#Fleurs sombres
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Art mural pour téléviseur, fleurs sauvages, fleurs botaniques vintage de mauvaise humeur
Illustration numérique pour téléviseur Samsung Frame Ce fichier d'illustration est disponible en téléchargement immédiat au format JPG haute résolution, parfaitement dimensionné à 3840 x 2160 pixels pour s'adapter à tous les écrans de rapport 16:9.
Remarques importantes :
• Ce fichier est spécialement conçu pour une utilisation sur écran et ne peut pas être imprimé physiquement. • Les couleurs peuvent varier légèrement en fonction des paramètres de couleur de votre téléviseur et de l'affichage à l'écran.
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• Le fichier est disponible en téléchargement numérique uniquement. • Une fois votre paiement traité, le fichier sera accessible dans votre compte Etsy sous « Achats ».
:::::::::::::::::::::::::: Remarques : • Cette oeuvre d'art est créée à l'aide d'outils de dessin numériques, dont certains intègrent des capacités d'IA pour améliorer le processus de création • Il s'agit d'un téléchargement instantané ; aucun produit physique ne sera expédié. • Pour usage personnel uniquement.
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C’est amusant l’existence : à un moment, on est à la « fleur de l’âge », et puis un jour, arrive le tout dernier moment, où on a l’âge des fleurs…
V. H. SCORP
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guess who made it into the new sketch book ‼️‼️‼️‼️
OLD MAN YAOI WIN!!!!!!!!
YIPPEEEEE!!!!!!!!
EEKKKK!!!
My boys….they are like fathers to me…no… grandfathers…..
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#I love the yassification of prospero…….#aoooguhh….#fleur is also so pretty omg……#I love little itty bitty Lilia#💛! asks#💛! Cloveywoveykins#Oc 💛: Prospero Sombre#My faves!!!😋💕🙏
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Amour plastique but it's kubosai 🥹
#yellow talks#saiki k#kubosai#Dans mon esprit tout divague#je me perds dans tes yeux#Je me noie dans la vague de ton regard amoureux#Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau#Une fleur#une femme dans ton cœur Roméo#Je ne suis que ton nom#le souffle lancinant#De nos corps dans le sombre animés lentement#UGHHHHHHHHHHHHHHH THEEEMMMM#amour plastique
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(via Coussin avec l'œuvre « Texture cuir dentelle et fleurs noires et violettes » de l'artiste Fantasyplus)
#findyourthing#redbubble#texture#noir#rose#violet#cuir#sombre#tissu#fleur#feuille#satin#martelé#gothique#coussin#cadeau#idée
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When you need to declare your love to your wife but it is so strong you can't help but revert back to french.
You know the perk of being french ? I can write Rook rambling haha !
(Though I am incapable of writing poetry, so here is the poem I used and its approximate translation:
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(I breathe where you throb, you know ;
What for, alas! stay here if you leave me, and live if you go away?)
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
(What good is living, being the shadow of this fleeing angel?
What for, under the dark sky, being from the night only?)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(I am the flower of your walls for which April is the only good.
You only need to leave for me to be left with nothing.)
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.
(You surround me with Halos;
I care only about seeing you.
You need only to take flight for me to fly too.)
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.
(Should you leave, my front/forehead shall lean ;
My soul in the sky, its cradle, will flee,
In your white hand you hold this wild bird.)
Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
(What would I become, should I not hear your steps anymore?
Is it your life or mine that is fleeing ?
I cannot tell?)
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.
(When my thunder dies down, I take some from your pure heart ;
I am like the dove that just drank in the azur lake.)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini
(Love makes the soul understand the universe, healthful and blessed ;
And this lonely little flame shines upon the endless)
Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
(Without you, all of nature is only a closed cell where I go on an adventure,
Pale and no longer beloved.)
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
(Without you, everything falls apart ;
Shadows fill my dark eyebrow ;
A feast/party is a tomb,
The homeland is an exile.)
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !
(I beg and demand ;
Do not flee any longer from my pain,
O warbler of my soul who sings in my twigs!)
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?
(What could I want?
What could I be afraid of?
What would I do of life without you by my side?)
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
(You carry in the light,
You carry in the bushes,
On a wing my prayers,
On the other my songs.)
Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
(What will I tell to the fields that hide my inconsolable pain?
What would I do of the star?
What would I do of the flower?)
Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : " Où donc est ma soeur ?"
(What will I tell to the morose forest that illuminated your softness?
What will I answer at the rose asking "Where is my sister?")
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?
(I would die ;
Flee if you dare.
What is the point, days gone! of looking at all those she no longer looks at?)
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
(What would I do of the lyre, of virtue, of destiny?
Alas! And, without your smile,
What would I do of the morning?)
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
(What would I do, alone, wild, without you, of days and heavens,
Of my kisses without your lips,
And of my tears without your eyes!)
Il suffit que tu t'envoles pour que je m'envoles aussi - Victor Hugo
(You need only take flight for me to fly too))
#mello's drawings#rookvil#rook hunt#vil schoenheit#epel felmier#pomefiore#twisted wonderland#twst#art#my art#victor hugo
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YAYYY YAYYYY YAYYY PEACE AND LOVE ON PLANET EARTH!!!!!!!! 🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🗣️🗣️🗣️🗣️🗣️💪💪🗣️🗣️💪💪💥💥💥💥💥
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I have today as our friendshipversary on my calendar so uhmmmmm YAYYYY YYAYYYY YYIIPPEE!!!!
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where would we be without these guys
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#thank u prospero and fleur#ilysm#<- Yayy yiippepepepeo ilysmttt#💛! reblogs#💛! Cloveywoveykins#💥💥ULTIMATE FAVES💥💥#they look like little bugs I’m gonna squish them with hammers#I love them#Oc 💛: Prospero Sombre
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L'Art et la mode, no. 39, vol. 17, 26 septembre 1896, Paris. Pour l'automne. Dessin de G. de Billy. Bibliothèque nationale de France
Manteau de voyage en homespun tan forme redingote. Pèlerine formant revers et capuchon doublé de foulard écossais. Chapeau timbale en feutre garni de velours noir et de plumes lisses.
Tan homespun travelling coat in the form of a frock coat. Cape forming a lapel and hood lined with a tartan scarf. Felt timbale hat trimmed with black velvet and smooth feathers.
—
Chapeau Louis XVI en grosse soie tendue gris cendre. Passe doublée de velours gris. Ruchette de velours noir au bord. Liens de velours vert et vieux rose. Aigrette et plumes de marabout blanc.
Louis XVI hat in thick ash gray stretched silk. Pass lined with gray velvet. Black velvet ruche on the edge. Green and old pink velvet ties. White marabou egret and feathers.
—
Costume de demi-saison en drap moujik prune. Robe princesse avec devant formant boléro à larges revers de velours vert sombre encadrés de galon brodé. Piqûres croisées sur la jupe.
Mid-season suit in plum moujik cloth. Princess dress with bolero front with wide dark green velvet lapels framed with embroidered braid. Crossed stitching on the skirt.
—
Mantelet élégant en velours vert feuille garni de passementerie de jais. Manches-collet en gros satin vert doublé de Liberty tilleul. Toquet de feutre, garniture de velours turquoise. Plumes et aigrette noires.
Elegant mantle in leaf green velvet trimmed with jet braid. Collar sleeves in thick green satin lined with lime Liberty. Felt cap, turquoise velvet trim. Black feathers and aigrette.
—
Toilette de visites en velvétine à fleurs ton sur ton. Haute ceinture de satin noir. Manches et chemisette en sa tin coulissé de même nuance que les fleurs de la robe.
Visiting ensemble in velveteen with tone-on-tone flowers. High black satin belt. Sleeves and blouse in drawstring satin in the same shade as the flowers on the dress.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1896#on this day#September 26#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#collar#cape#hat#Modèles de chez#G. de Billy
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Conduis-moi, mon cher, vers l'intime galaxie Où, hiver comme été, scintillent les soleils. Dans notre Voie lactée se gare ton taxi Pour cueillir des fleurs dont aucune n'est pareille.
Là où les planètes brillent comme des schistes, Imprégnées de rayons comme de doux parfums, Je me laisse guider ainsi qu'une touriste; Tel un champ d'étoiles sont ouverts tes yeux bruns.
Coupant la lumière, tant elles glissent vite, Tes lèvres sont les pneus qui seuls prennent mes courbes. Que me frappent, vifs comme une météorite, Tes baisers embrasés autant qu'un feu de tourbe!
Que dans les ténèbres, que dans la sombre nuit, Jaillissent tes éclats telle l'eau des rivières! Qu'au centre de mon cœur, trou noir où rien ne luit, Pluie de Perséides recrache l'univers!
Je serai ramenée, sans voir d'aéroports, Chez moi par les vagues croissantes de la lune. Tombera ma tête. Je t'aime avec transport. Nous sommes deux penseurs, mais la pensée est une.
-Poésie: "Pluie de Perséides", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
#poesie#poetry#french literature#lovers#lovesick#i love you#love#relationship#amour#galaxy#milky way#planets#eyes#brown eyes#starry night#lights#meteorite#couple kissing#kisses#kissing#hug#embrace#night#darkness#black hole#moonlit#moon#romantic#romance#cosmos
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Notre Dame des Fleurs
Dans un coin sombre de la ville qui ne dort jamais, bruyante et lumineuse, il y a un.e petit.e, tout.e petit.e dieu ou déesse, qui garde le dernier souvenir de ce qu'étaient les fleurs.
Et pourtant i.elle n'est pas oublié.e, la peinture et les dessins sont leurs maigres, mais fréquentes offrandes, en remerciement pour un boulot réussi, une protection opportune, ou juste pour une miette de beauté.
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Our Lady of Flowers
In a dark corner of the tumultuous and never sleeping city, there is a tiny, tiny god or goddess, who hold the last memory of what flowers used to be.
And yet, they are not forgotten, painting and drawing are their meager, but frequent offerings, as thanks for a successful job, an opportune protection, or just a tiny sliver of beauty.
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque éloigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer �� une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
¤¤¤
« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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FORÊT silencieuse, aimable solitude,
Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré !
Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude !
Prestige de mon cœur ! Je crois voir s'exhaler des arbres, des gazons, une douce tristesse.
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse, Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière Ici, loin des humains .... Au bruit de ces ruisseaux, Sur un tapis de fleurs, dans ce lieu solitaire, Qu'ignoré, je sommeille à l'ombre des ormeaux !
Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles
Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit, Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit, Balancent tour à cour leurs guirlandes mobiles.
Forêts ! Agitez-vous doucement dans les airs !
À quel amant jamais serez-vous aussi chères ?
D'autres vous confieront des amours étrangères ;
Moi, de vos charmes seuls j'entretiens les déserts.
François-René de Chateaubriand (1768-1848)
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Poèmes basés sur "Roman" d’Arthur Rimbaud.
On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans,
On remplit de frivoles amours le temps passant.
Parfois, l’œil aiguisé du soleil laissant place
À une tendre lune blanche toute de grâce,
On s’aventure au cœur d’un sombre bois profond
Retrouver un visage aimé, une douce peau,
Et enfouies dans ce lit d’herbes aux odeurs grisantes,
On s’envoie des baisers et des paroles charmantes,
Qui s’envolent avec le vent, don de tourtereaux,
Dévoilant au monde assoupi leur secrète liaison
On est par trop sérieux quand l’âge nous fait être vieux
Quand nos plaisirs ne sont plus que des rêves d’antan,
On retrouve, enfouies parmi les pages d’un livre,
Des fleurs fanées, qui de leur odeur enivrent,
Flétrissants maintenant sous la dure lumière du soleil.
Et les mémoires affluent, les souvenirs, les rires,
Les baisers dérobés au coin du crépuscule,
Et tous ces chers plaisirs des êtres noctambules
S’envolent avec l’abrupte arrivée du réveil.
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(via Robe trapèze avec l'œuvre « Texture cuir noir et dentelle florale 3d » de l'artiste Fantasyplus)
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