#Charles le Téméraire
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The Flight of Charles the Bold (La Fuite de Charles le Téméraire)
by Eugène Burnand
#charles the bold#charles le téméraire#art#eugène burnand#medieval#middle ages#burgundian#burgundy#history#knights#knight#europe#european#armour#retreat#battle of morat#burgundian wars#duke of burgundy#switzerland#forest#horses#horse#hounds#dogs#trees#france#valois#heraldry#house of valois burgundy#house of valois
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Charles the Bold, Duke of Burgundy (1433-1477).
#royaume de france#duché de bourgogne#Charles le Téméraire#duc de bourgogne#maison de valois#bourgogne#valois bourgogne#house of valois#kingdom of france#house of valois burgundy#burgundy#charles the bold#duke of burgundy#equestrian portrait#in armour
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#xv#isabelle de bourbon#house of bourbon#duchesse de bourgogne#history of burgundy#charles le téméraire
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There are two dukes of Burgundy with the epithet of "the Bold" in history, Phillip and Charles, and you'd be forgiven for thinking they had similar fortunes, or at least temperaments, until you realise that in the original French version one is called le Hardi - the Audacious, and the other le Téméraire - the Reckless.
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Hello 🙂
I hope you’re all right.
I came to give you some news.
For the next fanfiction, publish, this will be a request for Maegor Targaryen.
Followed by two for Daemon Targaryen.
Then, in addition to the list in the last survey, I have the idea of taking inspiration from the history of my hometown.
Who is to have been besieged by Charles the Reckless, Duke of Burgundy (Charles le téméraire, Duc de Bourgogne in 1468, after three revolts of my city because the elections to become prince-bishop had been rigged by his father. And had inherited the city.
There are battles and the city have fighted with "six hundred Franchimontois" (les six cents Franchimontois), the steps of "the mountain of Bueren" is in homage to their dead. The city was sacked, the population massacred, women r*ped and ,looting neighborhoods by the army despite the ducal restrictions.
The city was set on fire three times and burned for seven weeks.
It’s violent, that’s true. But I have in mind to get inspired by it, for a fanfiction about Maegor or Daemon maybe in one-shot or headcannon for Aegon II, Aemond, Gwayne,... About how a person of the people wanting to save her city and her relatives. Travels to them and finds a way to convince them to help her city.
I will see if I publish it, it all depends on the feedback in comments or mp or in anon. It's not a joyfull event, but I can made it with two ending. A good and a Bad ending ? I will see.
Have a good weekend.
Earenwen
#author news#daemon x reader#daemon targaryen x chubby reader#house of the dragon fanfiction#aemond targaryen x reader#aegon ii targaryen x reader#gwayne hightower x reader#maegor targaryen x reader#chubby reader
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@novelmonger, I had a false start for the oldest book with The Scottish Chiefs by Jane Porter (struggled through the first 35 or so pages and then found out it was abridged and gave it up), but settled on The Water Babies by Charles Kingsley (the copy I was reading was published in 1917). It was, uh, an interesting ride. Sometimes it was a fairy story, sometimes it seemed like pictures of Christian truths, sometimes it was a natural history reader, sometimes it was about logic, sometimes it seemed to be supporting evolutionary theory and sometimes pointing out the holes in it, and then sometimes it hits you upside the head with the views of the time and place it was written.
For the newest book, Jack le téméraire: Dans les griffes du jarden maléfique by Ben Hatke was published in 2019 (the original work in English was published in 2016). I used my French dictionary frequently and backchecked most pages against the English after I'd worked through the French, but it was a fun challenge. I particularly enjoyed seeing how the text was translated and there are a few more significant changes that I'm rather curious about (the addition of a subtitle for one!).
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Louvre Haute Couture
La mode dans les collections de peintures du Louvre
Sabine de La Rochefoucauld
Gourcuff Gradenigo, Montreuil 2023, 140 pages,Broché, 20,4x25cm, ISBN 9782353403905
euro 26,00
email if you want to buy [email protected]
Qu'ils soient de personnages célèbres ou d'inconnus, le Louvre conserve une inestimable collection de portraits qui sont autant de témoignages de l'histoire du vêtement, de ses usages et de l'évolution du goût. C'est à une visite de cette galerie d'histoire de la mode que Sabine de La Rochefoucauld nous convie ici. Historienne de l'art, elle connait très bien la collection de peintures du musée du Louvre sur laquelle elle travaille depuis plusieurs années. Ainsi, elle décrypte pour nous la mise de deux personnages représentés sur une tapisserie du d��but du xve siècle qui illustre une scène d'amour courtois. Plus loin, c'est un portrait de Marguerite d'York, troisième femme de Charles le Téméraire, qui attire son attention. Vêtue d'une robe noire bordée d'hermine ornée de pièces d'orfèvrerie, coiffée d'un hennin, la duchesse de Bourgogne arbore avec élégance la mode de son temps. Sur son autoportrait daté de 1493, Albrecht Dürer apporte une attention particulière à son apparence car il ne doit ressembler à aucun autre. Ainsi s'explique le port de ce surprenant béret rouge doté de lanières souples, cette chemise échancrée galonnée de rouge et d'or ornée de lanières couverte d'un manteau bleu froncé au col et aux épaules. Dans le pastel qu'en a laissé Maurice Quentin de La Tour de la marquise de Pompadour, celle-ci, somptueusement vêtue de ce qu'on désignera dès lors robe à la française tient son rôle de belle et talentueuse icône de la mode. Ainsi, en une soixantaine de portraits du xve au xixe siècle, servi par un texte à la fois distrayant et érudit cet ouvrage nous invite grâce à cette promenade dans les collections de peintures du musée du Louvre à redécouvrir la mode avec ses matières, ses usages et ses accessoires.
23/11/23
#Louvre Haute Couture#collections peintures Louvre#Sabine de la Rochefoucauld#mode et ses matières#fashion books#fashionbooksmilano
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"Reliquaire de Charles Ier le Téméraire (Liège)" par Gérard Loyet en argent et émaux (circa 1467-71) présenté par Federica Veratelli - Université de Parme - lors des journées consacrées à “L'Ornement Précieux II” par L'Ecole des Arts Joailliers au Collège de France, janvier 2024.
#conferences#sculpture#inspirations bijoux#email#dragon#CharlesI#Loyet#Veratelli#EcoleVanCleef&Arpels#CollegeDeFrance
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HISTOIRE | Siège de Beauvais (1472) évitant le démembrement de la France ➽ http://bit.ly/Siege-Beauvais Cet épisode, qui dura presque un mois et au cours duquel on put louer le courage d’une certaine Jeanne « Hachette », illustre l'affrontement entre le roi Louis XI et le duc de Bourgogne Charles le Téméraire
#siège#Beauvais#roi#LouisXI#CharlesLeTéméraire#duc#Bourgogne#JeanneHachette#femmes#bataille#démembrement#royaume#histoire#france#history#passé#past#français#french
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The Battle of Grandson by Jacques Onfroy de Bréville
#battle of grandson#art#jacques onfroy de bréville#charles the bold#knights#burgundian#burgundian wars#charles le téméraire#swiss#pikemen#job#georges montorgueil#history#medieval#middle ages#switzerland#burgundy#knight#cavalry#europe#european#heraldry#louis xi
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"Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer."
Charles de Valois-Bourgogne, dit Charles le Téméraire, quatrième et dernier duc de Bourgogne, 1433 - 1477
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Eléonore de Habsbourg (1498 - 1588)
Ou celle qui a été deux fois reines de deux pays différents !
Eléonore naît le 15 novembre 1498 à Louvain, dans les Pays-Bas Espagnols, l’actuelle Belgique. Elle est le premier enfant de Philippe dit Philippe le Beau, duc de Bourgogne, et de son épouse, Jeanne de Castille, future reine de Castille et d’Aragon, que l’Histoire retiendra sous le nom de Jeanne la Folle.
Ambiance.
Niveau ascendance, Eléonore descend de personnages historiques bien badass comme il faut : ses grands-parents paternels sont Maximilien (Empereur du Saint Empire, Archiduc régnant d’Autriche et Roi des Romains) et Marie (Duchesse de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire), ce qui fait d’elle la nièce paternelle de Marguerite d’Autriche, l’une des grandes figures de La Paix des Dames, événement qui mettra un terme à la guerre entre Charles Quint et François I.
Du côté de sa mère, ses grands-parents sont Isabelle et Ferdinand, reine de Castille et roi d’Aragon, les meneurs de la Reconquista, les Rois Catholiques.
Si on remonte plus loin, elle a également du sang de la maison des Aviz, la maison régnante du Portugal mais aussi des Lancastre, étant une descendante de Jean de Gand, membre de la maison des Plantagenêt, lui-même descendant de la grande Aliénor d’Aquitaine, sans parler du sang français qu’il y a aussi dans ses veines !
Bref, que du beau monde !
Elle est très vite rejointe par de nombreux frères et sœurs :
Niveau ascendance, Eléonore descend de personnages historiques bien badass comme il faut : ses grands-parents paternels sont Maximilien (Empereur du Saint Empire, Archiduc régnant d’Autriche et Roi des Romains) et Marie (Duchesse de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire), ce qui fait d’elle la nièce paternelle de Marguerite d’Autriche, l’une des grandes figures de La Paix des Dames, événement qui mettra un terme à la guerre entre Charles Quint et François I.
Du côté de sa mère, ses grands-parents sont Isabelle et Ferdinand, reine de Castille et roi d’Aragon, les meneurs de la Reconquista, les Rois Catholiques.
Si on remonte plus loin, elle a également du sang de la maison des Aviz, la maison régnante du Portugal mais aussi des Lancastre, étant une descendante de Jean de Gand, membre de la maison des Plantagenêt, lui-même descendant de la grande Aliénor d’Aquitaine, sans parler du sang français qu’il y a aussi dans ses veines !
Bref, que du beau monde !
Elle est très vite rejointe par de nombreux frères et sœurs :
-Charles, le futur Charles Quint (1500-1558) ;
-Isabelle, future reine déchue de Danemark (1501-1526) ;
-Ferdinand, future Empereur du Saint Empire, Roi des Romains, Roi de Bohème et de Hongrie, Archiduc d’Autriche, fondateur de la branche des Habsbourg dont sera issue Marie-Antoinette (1503-1564) ;
-Marie, future reine de Hongrie et de Bohème, gouvernante des Pays-Bas (1505-1558) ;
-Catherine, future reine et régente de Portugal (1507-1578).
Hélas, l’enfance d’Eléonore bascule très vite.
Sa mère, Jeanne, commence à montrer des signes de folie. Aujourd’hui encore, on ignore exactement de quoi souffrait l’archiduchesse : était-ce une dépression post-partum ? Une schizophrénie ? Sachant qu’il y a également une composante héréditaire : sa grand-mère, Isabelle de Portugal, mère d’Isabelle de Castille, avait également sombré dans ce que l’on avait qualifié de démence. Hélas, comme les Habsbourg, les Aviz et les Trastamare se marient souvent entre eux, leurs problèmes s’exacerbent souvent sous l’effet de l’inceste.
Charles, le frère d’Eléonore, sera aussi marqué par des épisodes de dépression.
Marie, sa sœur ,sera aussi dépressive et l’on suspecte qu’elle aurait pu souffrir d’un trouble bipolaire.
En 1506, alors qu’Eléonore approche de ses 8 ans, tout s’accélère.
Le 26 septembre 1506, son père, Philippe, lequel est désormais roi consort de Castille et d’Aragon depuis le décès de sa belle-mère, meurt subitement à l’âge de 28 ans, laissant une veuve éplorée et surtout enceinte de la petite Catherine.
Jeanne ne se remettra jamais de la mort de son époux et surtout, elle refuse de se séparer de son cadavre.
Déclarée incapable, elle est enfermée à Tordesillas où elle accouchera de sa fille, que l’on lui laissera et qu’elle élèvera seule. Ferdinand, son père, agit en tant que régent pour elle ainsi qu’au nom de son futur héritier : le petit Charles, 6 ans.
Eléonore est presque orpheline.
C’est donc sa tante, Marguerite, la sœur de son père, laquelle avait été doublement la belle-sœur de Jeanne puisqu’elle avait épousé, en premières noces, son frère Jean, qui va l’élever aux côtés de Charles, de d’Isabelle et de Marie. Ferdinand, son petit-frère, étant né sur le territoire castillan et y étant demeuré, c’est son grand-père qui prendra le soin de l’élever.
En raison de son lignage plus qu’impressionnant, Eléonore est un parti très convoité : fille aînée de l’archiduc d’Autriche, sœur du futur roi de Castille et d’Aragon (et plus tard Empereur!), la main de la jeune fille est très vite prisée.
On envisage de la marier à Henri VII (1457-1509), alors veuf d’Elizabeth d’York (1466-1503), ou futur Henri VIII d’Angleterre (1491-1547) mais quand meurt son frère aîné, Arthur (1486-1502), son père décide qu’il épousera sa veuve, Catherine d’Aragon (1485-1536), la tante d’Eléonore, puisque le mariage n’a pas été consommé.
On pense aussi à Louis XII (1462-1515), veuf d’Anne de Bretagne, mais aussi à son héritier, le futur François I (1494-1547) qu’elle épousera plus tard, ou encore au roi polonais Sigismond I (1467-1548).
Vous voyez, la liste des prétendants est longue mais au final, on choisit de la marier à Manuel I de Portugal (1469-1521), lequel avait épousé en premières noces Isabelle d’Aragon (1470-1498) puis en secondes noces Marie d’Aragon (1482-1517)… qui étaient deux des tantes de sa nouvelle fiancée !
Le 16 juillet 1518, Eléonore, 19 ans, épouse donc Manuel, 49 ans et devient reine de Portugal.
La succession de Manuel est assurée puisqu’il a eu de sa seconde épouse trois fils encore en vie au moment de son union : Jean, le futur Jean III, Alphonse qui sera cardinal et Henri, futur Henri I. Parmi ses enfants, on compte également Isabelle (1503-1539), la future épouse bien-aimée de Charles Quint.
Oui, Eléonore a été la belle-mère puis la belle-sœur de sa future belle-sœur.
L’arbre généalogique tordu de Once Upon A Time peut aller se rhabiller !
De cette union naîtront deux enfants : Charles (1520-1521) et Marie (1521-1577).
Le mariage est cependant de courte durée : Manuel meurt de la peste le 18 décembre 1521 et Eléonore doit rentrer en Espagne, laissant sa fille de quelques mois derrière elle sur ordre de son frère.
La mère et la fille ne se reverront pas avant 1557 et Marie pardonnera difficilement à sa mère de l’avoir laissée derrière elle sans s’être battue pour elle.
De retour en Espagne, on envisage de la remarier à Charles, duc de Bourbon. Sauf que la guerre entre Charles Quint et François I fait rage.
La bataille de Pavie (1525) a eu lieu et le roi de France a été fait prisonnier, ainsi que ses fils François et Henri (Futur Henri II). Le souverain est d’ailleurs veuf depuis une année, son épouse Claude étant morte en juillet 1524.
L’occasion pour la paix est superbe et en 1526, Eléonore est fiancée à François.
Les fiançailles s’éternisent, surtout que les pourparlers avec la France pour la paix sont interminables. Le roi de France peut rentrer moyennant rançon mais ses fils restent en territoire ennemi. Les conditions de vie sont très dures, surtout que les enfants n’ont que 8 et 7 ans. Ils sont traités en prisonniers. Eléonore tente de leur rendre leur dignité en demandant à ce que des français restent à leurs côtés. Elle réclame également des vêtements, des jouets mais hélas, elle n’obtient que bien peu, faute de financement, et malgré ses efforts, ses beaux-fils ne l’aimeront jamais véritablement, voyant en elle la sœur de l’homme qui les a tant fait souffrir…
Le 03 août 1529 intervient la célèbre Paix des Dames à Cambrai : ce traité, mené par Louise de Savoie (la mère de François I) et par Marguerite d’Autriche (la tante d’Eléonore) met fin à une guerre interminable et coûteuse, tant sur l’aspect financier qu’humain.
Le 04 juillet 1530, Eléonore épouse enfin François et part en France avec ses beaux-fils, François et Henri.
Elle a 32 ans et après avoir été reine de Portugal, la voici reine de France.
Le rôle d’Eléonore est simple mais vital : elle est la garante de la paix entre l’Espagne et la France. Elle sert d’ailleurs parfois d’ambassadeur entre les deux pays.
Hélas, son pouvoir demeure fort limité.
Son mariage à François est malheureux : il la néglige, ne s’occupe guère d’elle et s’affiche plutôt ouvertement au bras de sa maîtresse, la célèbre Anne de Pisseleu (1508-1580).
De plus, le mariage demeure sans enfant.
Sans réel but à la Cour, une cour qui ne l’apprécie guère d’ailleurs, la jeune femme s’occupe alors des enfant de son époux et de la défunte Claude.
Le 31 mars 1547, François meurt à l’âge de 52 ans.
Eléonore, veuve une seconde fois, reine douairière une seconde fois, décide de rentrer chez elle. Elle rejoint sa sœur Marie à Bruxelles puis assiste à l’abdication de son frère Charles en 1555, épuisé et malade, qui laisse son empire à son fils Philippe, désormais Philippe II, avant de se retirer au monastère de Yuste.
En 1557, Jean III de Portugal, l’ancien beau-fils d’Eléonore, meurt et Marie, la fille de la douairière, part en Espagne afin d’y rencontrer sa mère.
La dernière fois qu’elles se sont vues, l’enfant avait six mois.
Marie ne s’est pas mariée, malgré de nombreuses propositions, et ne se mariera jamais.
Eléonore propose à sa fille de vivre avec elle, ce que l’infante refuse. Elle restera avec elle trois petites semaines avant de repartir au Portugal.
Le 25 février 1558, alors qu’elle revenait de Badajoz où elle avait enfin revu sa fille, Eléonore meurt à 59 ans des suites d’une crise d’asthme.
Son frère Charles et sa sœur Marie, dont elle était proche malgré tout, sont dévastés.
Charles meurt le 21 septembre 1558 de la malaria en tenant dans sa main le crucifix que tenait sa chère épouse quand elle mourut dix-neuf ans plus tôt.
Marie, elle, déjà fragile cardiaquement et ébranlée par la perte de sa grande sœur, ne supporte pas la perte de son frère et meurt le 18 octobre 1558 après avoir fait plusieurs crises cardiaques.
Les deux sœurs sont enterrées au Panthéon des Infants à l’Escurial, en Espagne.
Un destin incroyable mais une vie triste et dure, l’histoire d’Eléonore est hélas souvient oubliée alors qu’elle mériterait pourtant que l’on s’en souvienne.
- Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Eleonore, tu peux aller regarder ces sources :
-Michel Combet, Éléonore d'Autriche : seconde épouse de François Ier
-Ghislaine De Boom, Éléonore d'Autriche, reine de Portugal et de France : Une sœur méconnue de Charles-Quint
#femmeshistoriquesoubliees#histoiredefrance#histoireduportugal#histoiredespagne#eleonoredautriche#eleonoredehabsbourg
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Point n' est besoin d espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer —Charles le Téméraire
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Le Nouveau Passé-Présent - Charles le Téméraire, grand-duc d'Occident, avec Laurent Schang
Il se posait en nouvel Alexandre et il finit face contre terre. Lui, le puissant, le richissime duc de Bourgogne, devant qui les ambassadeurs s’inclinaient en lui donnant du grand-duc d’Occident, fut retrouvé deux jours après sa mort, survenue le 5 janvier 1477, nu et défiguré. Ainsi trépassa Charles le téméraire à la bataille de Nancy. Une journée avait suffi pour réduire à néant dix ans de…
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Charles le Téméraire, grand-duc d'Occident - Le Nouveau Passé-Présent avec Laurent Schang - TVL
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Le reliquaire de Charles le Téméraire de Gérard Loyet (XVe siècle)
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