#Bon Temps Grill
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Bon Temps Grill: A Culinary Journey through Lafayette, LA
Bon Temps Grill: A Culinary Journey through Lafayette, LA Exploring the Tastes of Bon Temps Grill Are you ready to embark on a delightful culinary adventure in Lafayette, Louisiana? Look no further than Bon Temps Grill, a renowned restaurant that captures the essence of Cajun and Creole cuisine. With its delectable dishes, inviting ambiance, and warm hospitality, Bon Temps Grill has become a…
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Since I got up at 6 my brain has been screaming: you have to DO something. You have to accomplish something. You have to work towards something.
When I was 29 I'd gotten really good at ignoring that voice and just big chilling. Letting things flow. But relationships change us, and I was changed, and now it's a lot harder to shout down this debilitating drive to produce something.
I did laundry. I blogged. I took a photo of the sunrise. I exercised. I went on a massive research binge about UBI. I made some notes for a True Blood fanfic where Bon Temps adopts a UBI pilot program. I made a grilled cheese and apple sandwich. None of this has silenced my brain. You have to DO something. You have to FIX things. I feel paralyzed. Nothing is enough. Nothing is meaningful.
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Note
C'est quoi le principe de pentiment ?
C'est un jeu narratif qui se passe dans un village des Alpes au début du 16e siècle. Tu joues un artiste venu parfaire sa formation auprès de moines copistes, dont le métier est en train d'être rendu obsolète par l'imprimerie mécanique. Et pendant ton séjour, un client du monastère, un noble de la région très influent, est retrouvé assassiné dans la salle capitulaire. Ça fait paniquer les moines, qui accusent immédiatement l'un des leurs pour avoir un coupable à présenter à l'inquisiteur, mais en plus d'être probablement innocent (il est vieux et handicapé il aurait du mal à poignarder quelqu'un), c'est ton pote copiste ! Donc tu decides de mettre ton nez dans les affaires de tout le monde pour trouver le vrai coupable.
Sauf que t'as pas le temps ! L'inquisiteur arrive et tu pourras pas parler à tout le monde en ville et explorer et déchiffrer les secrets avant qu'il soit là, et une fois qu'il y est il faut lui présenter tes conclusions sans savoir si toi, tu as bien compris ce qu'il se passe. Et lui derrière il va prendre une décision en fonction de ce que tu lui dis, sans avoir forcément compris la même chose que toi. Ensuite, tu reviens dans le village à différentes époques, avec leur contexte historique changeant, et il faut gérer les conséquences de ce moment sur la vie de toute la communauté, sans savoir si ton rôle dans l'histoire a été d'alléger ou d'empirer les choses.
C'est très cool, très bien écrit, la direction artistique fait plein de trucs super, y a de la bonne musique et le générique est chanté par Kristin Hayter/Lingua Ignota ce qui est un enorme bon point pour moi. Et le gameplay est facile d'accès (on marche et on clique sur des options de dialogue principalement) mais y a plein de mini jeux tres agréables à prendre en main, aussi il est à 20 balles sur steam et peut probablement tourner sur un grille-pain ou approchant donc je recommande vraiment de tenter. Faut juste. Être prêt à être très triste. C'est vraiment très triste.
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Le mois d’avril est proche et il est enfin temps de dire au revoir aux légumes d’hiver pour laisser place aux asperges, petits pois, rhubarbe et autres délices que nous offre le printemps. Je ne sais pas vous, mais moi, ça me remplit de joie!
BURRATA, ASPERGES GRILLÉES ET CRÈME DE PETITS POIS
+- 300g de burrata
un bouquet de menthe
un petit bouquet de persil plat
1 petite gousse d’ail
1 citron jaune bio
1/2 botte d’asperges vertes
+- 500 cl de bouillon de légumes
200 g de petits pois
3 c. à soupe de crème (40%)
de l’huile d’olive
40g de noisettes
du sel et du poivre
facultatif: des fleurs comestibles pour la déco (des primevères, par exemple)
Sortez la burrata du frigo pour qu’elle soit à température ambiante au moment de la déguster.
Préparez la gremolata: mélangez l’ail, le persil et la menthe finement haché avec le zeste d’1/2 citron. Réservez.
Coupez la partie plus dure des asperges. Dans une casserole, portez le bouillon à ébullition et faites-y blanchir les petits pois et les asperges pendant +- 6 minutes. Les légumes doivent être encore un peu croquants.
Égouttez les légumes en conservant le bouillon. Réservez les asperges et la moitié des petits pois. Mixez le reste des petits pois avec 4 c. à soupe de bouillon, la crème, une dizaine de feuilles de menthe, un trait de jus de citron et d’huile d’olive, et du sel et du poivre au goût. Réservez.
Faites chauffer un filet d’huile dans une poêle ou un grill à feu moyen-vif. Faites revenir les noisettes grossièrement concassées pendant 2-3 minutes. Ajoutez les asperges et poursuivez la cuisson 1 à 2 minutes de chaque côté.
Dressez votre crème de petits pois au fond de l’assiette, puis disposez les asperges grillées et les noisettes. Ajoutez la burrata et parsemez de gremolata. Finissez avec un bon trait d’huile d’olive et un ou deux tour de moulin à poivre. Décorez avec les fleurs comestibles.
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Note
Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une esp��ce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
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-Storyline with @whiskeyshifts-
#TrueBlood | #Supernatural
#ANewAdventure
-After the Roadhouse burned down, I needed a change and leaving it behind was the best decision I could ever make for myself. It wasn’t a hard choice to make to leave Nebraska because it was never meant to be my home.
When you become a hunter, you travel from place to place and meet all kinds of new people. This is why I decided to continue my hunting journey and want to start saving people again.
I work better on my own anyway, and always have. It's been a few days on the road and I saw a sign that says 'Welcome to Bon Temps, Louisiana'. I heard a lot of stories about this town and didn't know which ones were true or not.
I knew I had to investigate it for myself and felt it was exactly the distraction I was looking for. The sun was going down for the night, and I drove up to the parking lot of a bar called Merlotte's Bar and Grill.
This place reminded me a lot of the Roadhouse. Maybe I wasn't leaving behind some things after all, and there are certain things that will be a part of me forever. I found an empty parking spot and turned the key to shut the engine off.
I opened the door, stepped out of the car, and walked towards the entrance. I opened the door and walked inside the building, looking around.-
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GRATIN DE FRUITS D'HIVER AU GRAND MARNIER
Un dessert facile, rapide et bon marché à réaliser, et qui plus est, particulièrement délicieux !
NGRÉDIENTS pour 4 personnes
🔸️Pour les fruits macérés 3 kiwis 3 clémentines 3 bananes 4cl de liqueur grand marnier
🔸️Pour le gratin 3 oeufs 60 g de sucre 3 cl de liqueur grand marnier®
PRÉPARATION
🔸️Coupez les bananes en rondelles, les kiwis en cube et les quartiers de clémentines en deux.
🔸️Mélangez avec la liqueur Grand Marnier®.
🔸️Montez les blancs en ajoutant progressivement le sucre. Ajoutez la liqueur Grand Marnier® puis les jaunes en continuant à mélanger au batteur. Ne fouettez pas trop car le gratin retomberait et deviendrait liquide !
🔸️Mélangez délicatement avec les fruits. Disposez dans un plat et gratinez au grill jusqu’à ce que la couleur soit dorée et régulière. Servez aussitôt.
❗️L'ASTUCE
Si vous aussi, vous n’avez pas le temps, ni même l’envie, de courir dans tous les sens, faites votre réserve de fruits surgelés. Vous pouvez, bien sûr, prendre les fruits qui vous conviennent. En Été, prenez des fraises et des framboises.
Et si vous n’avez pas de grill, peu importe, vous pouvez utiliser un petit chalumeau pour colorer le gratin. Grâce à ce mode de cuisson vous découvrirez des arômes cachés de la maturation en fût de chêne de Grand Marnier®.
Bonne dégustation...☺️
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Bleu lagon
Au milieu de l’allée centrale, elle pestait à voix basse, comme souvent dans cette situation. « Mais bon sang, ils ont bougé les rayons depuis hier... ». Tout cela était bien sûr délibéré… Perdre les gens dans le dédale, les faire passer devant le maximum de gadgets à deux sous était une façon de refourguer leur camelote. Elle le savait et cela l’exaspérait encore plus.
Naviguant d’un rayon à un autre, traînant son caddy de grand-mère comme un boulet, elle n’en pouvait plus de ces produits, gondoles, promos... et les clients qui semblaient prendre un malin plaisir à rester sur son passage. Tout cela lui donnait le tournis.
Elle refusait de faire partie du troupeau de moutons, qui se laisse berner par une « offre exceptionnelle, à saisir, tout doit disparaître ! ». C’est elle qui avait envie de disparaître, avant que le monstre supermarché ne l’engloutisse pour de bon.
Le temps filait entre ses doigts… Il lui semblait qu’elle errait depuis des heures, à la recherche de ce pour quoi elle était venue.
A l’angle des rayons « Liquides gouleyants » et « Fabuleux biscuits », elle eut un sursaut, qui la remit sur le droit chemin. Elle savait pourquoi elle était là et ne se laisserait pas abuser, foi de Gisèle !
Au détour des congélateurs, elle aperçut le rayon « Sent-bon partout » qu’elle pensait disparu à jamais. Là, sur la 2ème étagère, quelques petits pavés de plastique trônaient, avec leur languette blanche, prêts à servir : ils étaient à point. Elle s’empara d’un exemplaire, le déposa rapidement dans le caddy et repartit, soulagée, en direction des caisses. Elle allait enfin pouvoir quitter cet endroit maudit.
Arrivée à la maison, elle lâcha un joyeux « C’est moi ! Mon chéri, tu vas être content ! ». Elle saisit l’objet et, sans se déchausser, se rendit dans le salon. Robert, affairé à remplir sa troisième grille de tiercé, lui jeta un regard distrait.
« Regarde, j’ai ramené ça, tu sais c’est ton préféré : bleu lagon. Comme ça, dans les cabinets, ce sera les vacances tous les jours ! ».
Sans un mot, Robert attrapa le désodorisant et le rangea dans la petite armoire des toilettes, à côté des 13 autres.
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Spécialités culinaires - Liyue
Here we have: names of Liyue characters' special dishes in French and English; full lore description in French; translation of selected words after each description. Bon appétit!
🥢
Poisson bouilli du Restaurant Wanmin
Wanmin Restaurant's Boiled Fish
Spécialité culinaire de Xiangling. Le plat signature du Restaurant Wanmin revisité à la sauce Xiangling. Ceux qui auront la chance de le goûter apprécieront l'abondance de saveurs qui caractérise la haute gastronomie liyuéenne.
revisité - restyled, redesigned
bouillir - to boil
une abondance - abundance
🍽️
Délices des rivages
All-Delicacy Parcels
Spécialité culinaire de Xingqiu. On n'oserait presque ne pas vouloir toucher à ce plat bien présenté, mais après la première bouchée, il est difficile de s'arrêter de manger... Hum, ne me dites pas qu'il a enlevé les carottes ?
oser - to dare
❄️
Nouilles froides aux délices de la montagne
Cold Noodles with Mountain Delicacies
Spécialité culinaire de Chongyun. Ces nouilles seraient rafraichissantes en été, mais l'exorciste insiste également pour les manger en hiver. Quel courage...
la nouille - noodle
🌟
Viande-mora façon Caesor
Qiankun Mora Meat
Spécialité culinaire de Ningguang. La pâte est parfaitement moelleuse et la viande qu'elle renferme est juteuse. Quand est-ce que Dame Megrez des Sept Étoiles de Liyue a-t-elle appris à cuisiner un tel plat ?
renfermer - to contain
juteux - juicy, succulent
☁️
Sansespoir
No Tomorrow
Spécialité culinaire de Qiqi. Les ingrédients de ce plat ont été soigneusement arrangés. D'après Baizhu, Qiqi a mis beaucoup de temps à le préparer, mais une fois que l'on connaît les goûts de la jeune fille, il est difficile de vouloir en manger.
soigneusement - carefully
⚓️
Tranches de viande sautées
Flash-Fried Filet
Spécialité culinaire de Beidou. Cette dernière à appris une ou deux choses de Xiangling pour améliorer le gout de ce plat. Elle sera impressionnée si vous arrivez à le terminer d'une traite.
tranches de viande - slices of meat
terminer d'une traite - to end smth in one sitting
🎣
Poisson grillé du survivant
Survival Grilled Fish
Spécialité culinaire de Keqing. Ce poisson n'a pas été grillé à la flamme, mais frit de l'intérieur grâce à de l'énergie Électro. Vous succomberez à sa saveur exquise dès que vous mordrez sa peau croustillante. C'est donc grâce à ce genre de repas que Keqing survit dans la nature ? On aurait du mal à le croire...
succomber - to succumb
une peau croustillante - crispy skin
avoir du mal à croire - find it hard to believe
🎋
Soupe mijotée au bambou
Slow-Cooked Bamboo Shoot Soup
Spécialité culinaire de Zhongli. Le jambon a été sélectionné selon les normes gastronomiques du Pavillon Yuehai. La viande est de la poitrine de porc, fraîchement chassé à Deauclaire, tandis que les pousses de bambou sont les plus denses que vous trouverez dans le village de Qingce. Le tout est ensuite laissé à mijoter lentement... Un tel goût « particulier » ne peut être partagé qu'avec ceux qui savent l'apprécier.
mijoter - to simmer, to brew
la poitrine - brisket, chest
fraîchement chassé - freshly hunted
le pousse - green shoot
🎸
Poulet rock 'n' roll
Rockin' Riffin' Chicken!
Spécialité culinaire de Xinyan. Ce plat cache un piquant redoutable. Le manger vous fait pleurer mais vous ne pouvez pas vous arrêter ! Seul le diable aurait pu inventer un plat pareil !
le piquant - spiciness
redoutable - formidable, fearsome
🐋
Prise suprême
A Prize Catch
Spécialité culinaire de Tartaglia. On dirait une bête piégée dans une mare de sang, émettant des cris d'agonie inaudibles... Ce à quoi Tartaglia répond que ce n'est rien d'autre que ce qu'il a attrapé en mer et quelques spécialités locales de sa ville natale.
la mare - puddle, pool
émettre - to transmit
ce n’est rien d’autre que - it is nothing other than
❄️
Paix prospère
Prosperous Peace
Spécialité culinaire de Ganyu. L'image d'un Qilin au repos suffit à elle seule à calmer les esprits. Ganyu a cuisiné ce plat avec ses meilleures intentions et a également mis de côté l'une de ses fleurs de Qingxin préférées, rien que pour vous.
au repos - at rest
avec ses meilleures intentions - with the best of intentions
rien que pour vous - only for you
🔮
Beau songe
“Sweet Dream”
Spécialité culinaire de Xiao. Les rêves de Xiao sont simples et beaux.
simple - simple
👻
Parade des esprits
Ghostly March
Spécialité culinaire de Hu Tao. Les têtes rondes des goules donnent un aspect mignon à ce plat. Mais si vous veniez à goûter l'une d'entre elles, vous le regretteriez pendant longtemps... Cette assiette est remplie d'ingrédients aux saveurs intenses si bien qu'au final, on ne sait plus ce que l'on mange...
la goule - ghoul
intense - strong
⚖️
« À ma façon »
“My Way”
Spécialité culinaire de Yanfei. Du tofu aux œufs de crabe préparé avec une incroyable régularité dans la présentation. Les proportions et les saveurs suivent à la lettre les « lois du tofu aux œufs de crabe » citées dans la recette, sans la moindre omission.
œufs de crabe - crab eggs
régularité - consistency
suivre à la lettre - strictly follow
sans la moindre omission - without any omission
💌
Nouilles du cœur
Heartstring Noodles
Spécialité culinaire de Shenhe. Cela vient peut-être de son désir de recréer une saveur qui n'existe que dans ses souvenirs, mais Shenhe a consacré beaucoup de temps et d'efforts à la préparation de ce plat. Les nouilles onctueuses et la soupe délicieuse font certes grande impression, mais l'aspect le plus marquant de ce plat est le dévouement et le cœur mis à l'ouvrage...
onctueux - smooth
le dévouement - dedication
🎶
Jade de nuages
Cloud-Shrouded Jade
Spécialité culinaire de Yun Jin. Cette collation sucrée et collante n'affectera pas votre gorge, c'est la raison pour laquelle c'est la préférée de Yun Jin. L'arrière-goût est des plus raffinés, pas quelque chose dont on se lasse facilement. À bien y réfléchir, il y en a plus qu'elle n'en ferait pour elle-même, mais vous n'allez quand même pas vous plaindre de sa gentillesse...
collant - sticky
un arrière-goût - aftertaste
se lasse - to get tired, to get bored
à bien y réfléchir - on second thought
se plaindre de qch - to complain about
🍤
Crevettes à la rosée
Dew-Dipped Shrimp
Spécialité culinaire de Yelan. On trouve parmi les ingrédients du nouveau thé de rosée livré directement du Village de Qiaoying à la maison de thé, qu'on utilise pour frire rapidement des crevettes de rivière fraîchement pêchées. À la vue, il est d'une couleur élégante ; à l'odeur, on sent le parfum d'un thé lointain ; au goût, il est à la fois tendre et a une consistance élastique... Une petite minute, pourquoi est-elle en train d'apporter une assiette de piment ?
thé de rosée - dew tea
frire - to fry
une consistance élastique - elastic consistency
le piment - pepper, chili
🪴
Plat maison de Qingce
Qingce Household Dish
Spécialité culinaire de Yaoyao. Ne possédant pas le dressage élégant d’un grand restaurant, son apparence peut sembler assez sommaire, mais une seule bouchée est suffisante pour laisser un délicieux sentiment d’intimité et de chaleur qui reste inscrit dans la mémoire. Ce goût voyage du bout de la langue à la tête. Le secret de cette saveur se trouve sans doute dans l’affection de Yaoyao.
le dressage - dressing, taming
sommaire - basic
inscrit dans la mémoire - inscribed in the memory
🍲
Soupe apaisante
Heat-Quelling Soup
Spécialité culinaire de Baizhu. « Ce n'est pas vraiment un médicament, simplement quelque chose qui peut soulager une gorge sèche. »... Alors que la voix inquiète de Baizhu résonne dans vos oreilles, un bol de soupe aux fruits accueille votre regard. « Ce plat ne contient pas de sucre, mais il craignait que tu ne sois pas habitué(habituée) au goût amer, alors il en a ajouté un peu », ajoute Changsheng.
soulager - relieve, alleviate
une gorge sèche - a dry throat
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27 février
m. est rentrée de louvain, elle m’a raconté qu’elle avait touché la main de son dj préféré et elle m’a montré ses bleus monstrueux d’avoir dansé accrochée à la grille toute la nuit mais elle sentait rien parce qu’elle était sous mdma et maintenant qu’elle est là, même si on en parle pas, je sens l’humiliation plus fort, la honte d’avoir pu un instant imaginer que laura a. était en train de flirter avec moi. en fait c’était ça le pire samedi soir, devoir avouer à m. que je m’étais fourrée le doigt dans l’oeil bien au-delà du coude. la honte.
béa nous a envoyé la vidéo de la perf et je suis absolument horrifiée par ma posture. on dirait christophe willem. je suis une tortue. je comprends le “côté geeky” maintenant. c’est pas que mes lunettes. j’oublie tout le temps que je me tiens pas droite. je sais pas ce que je dois faire pour y penser. pour me redresser. parfois je me demande si j’ai le dos voûté parce que je suis pas assez aimée. parce que j’ai pas assez de nourriture ni de chaleur, parce que j’ai faim et j’ai froid et que je m’affaisse sur moi-même comme un volcan en fin de vie. je vais vers le sol au lieu d’aller vers le ciel, je suis géotropique comme les racines, attirée par le dessous, le royaume du sous-sol, le royaume des morts. la mort encore. c’est mon centre de gravité, elle fait partie de moi.
28 février
dernier jour de février et ça continue d’être aussi bien que le mois de janvier , malgré mes amour solitaires pour des danseuses hétéros, ça reste bien, ça me laisse un bon goût dans la bouche, j’adore mes petites histoires pathétiques. c’est mes trésors. en promenant loki ce matin je pensais à permafrost d’eva baltasar, à la narratrice qui enchaîne les filles et le sexe qui pourrait être mon alter ego dans une réalité alternative où j’aurais pas eu le même passé, et j’imaginais ce qu’aurait fait cette alter ego à ma place dans le studio de danse avec laura. elle aurait dit sure i want a beer et elle aurait usé de tous ses charmes pour essayer de la séduire. est-ce que je peux devenir cette personne? je veux pas devenir la narratrice de permafrost parce qu’elle est suicidaire et que son coeur est gelé, mais est-ce que je peux devenir un peu moins voûtée et un peu plus entreprenante? un peu moins molle et dégoulinante et un peu plus fière et ambitieuse?
1er mars
je crois que je suis prête pour le sexe. tout à l’heure j’ai pas senti la mort dans ma bouche comme d’habitude quand je m’imagine que ça pourrait m’arriver. ou à défaut de la mort, une angoisse profonde et si, un peu morbide quand même. peut être que ma fiction avec laura a. m’aura au moins apporté ça. parce que samedi dans la salle de bain de m., même si je savais pas trop à quoi m’attendre, une toute petite partie de moi s’attendait à du sexe. et puis l’autre partie de moi, la raisonnable, me répétait it’s not gonna happen à voix haute, pour me faire redescendre de mon volcan. it’s not gonna haaappen. and it didn’t. mais en me regardant dans la glace, nue, puis en culotte, puis en culotte et soutien-gorge, avec mes cheveux relevés en chignon, je crois que j’étais prête. peut être que rien que ça, d’avoir fait l’expérience de ce moment, même si c’était de la fiction, a fait basculer quelque chose, et que l’énergie que je dégage maintenant est plus ouverte, plus favorable à ce que quelque chose se passe, etc.
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Des retrouvailles mouvementées
@leslarmesdesmorts
Cet instant, Eliza en avait rêvé pendant plus d’un siècle et enfin elle se retrouvait devant son père, mais bien sûr, comme elle s’y attendait, ce dernier était loin de la reconnaître et encore moins croire qu’elle était sa fille, après tout, cela faisait longtemps que la jeune Salvatore aurais du mourir et non pas être transformée en vampire. Mais comme elle avait prévu cette éventualité, Eliza avait pris soin de prendre le seul portrait de famille qu’elle avait en sa possession, une photo prise peu de temps avant le supposé décès de son père, ce qui avait permis à la jolie brune de garder en mémoire les traits de ses parents, qu’une jeune enfant de cinq ans, qu’elle avais été il y a fort longtemps, ne se serait pas souvenue sans cela. Malheureusement, la jeune vampire n’eût même pas le temps de sortir cette carte puisque déjà, tu lui disais de rentrer dans sa famille, alors que la seule famille qu’il lui restait à présent était en face d’elle avant de quitter le Mystic Grill en laissant une vingtaine de dollars sur la table, laissant Eliza complètement décontenancée, ne sachant plus quoi faire pour faire comprendre à ce père qui était le sien, qui elle était bien qu’elle ne soit plus l’enfant de cinq ans qu’il avait laissé derrière lui.
Désormais seule à table, la jeune Salvatore croisa les bras sur cette dernière et enfouissait sa tête dedans, comme désespéré que son père ne lui ai pas laissé le temps ni l'occasion de lui montrer la photo, seule preuve qui restait de qui elle était, à moins de rajouter à cela, quelques recherches dans les archives de la ville pour ressortir le certificat de mariage de ses parents ainsi que son certificat de naissance, puisqu’il ne semblait pas s’en souvenir. Soufflant un bon coup, elle décida de se rendre rapidement aux archives pour récupérer une copie des documents pour les présenter à son père la prochaine fois qu’elle le verrait, et cette fois, elle ne le laissera pas partir sans lui montrer toutes les preuves la concernant, prouvant qu’elle était née de son union cinq ans avant sa mort. Bien sûr, ce genre de demande était particulièrement bizarre, mais Eliza n’en avais que faire, après tout, si elle faisait ça, c’était justement pour prouver à son père, qu’il est bien son père, même si les papiers qui le prouvent, ont désormais plus d’un siècle et faisait partie des archives de la ville. Bien que sa demande soit particulière, la chargée des archives consent à faire des photocopies des dits documents pour la jolie brune, qui avait prétexté reconstituer son arbre généalogique. Il faut plusieurs minutes pour faire la photocopie de tous les documents demandés par Eliza, l’âge de ses derniers ne facilitant pas particulièrement la tâche.
Quand elle eût enfin les papiers en mains, la jeune Salvatore remercia la chargée des archives, rangea les papiers dans son sac à mains et retrouva les rues de Mystic Falls, à la recherche d’où son père pouvait bien vivre, elle s’était d’ailleurs dirigée vers ce qui était désormais les ruines de l’ancien manoir des Salvatore, où elle était née, sans être sûre qu’il soit toujours intact, mais une fois devant la bâtisse quasiment détruite, la jolie brune ne pût s’empêcher d’avoir un sentiment de nostalgie pour cette demeure qui l'avait vue naître et qui désormais, n'était plus, repensant aux quelques souvenirs de cette période qu’il lui restait, puis se dirigeait vers le petit cimetière de la demeure, où était enterré sa mère et le reste de la famille Salvatore. Quand elle trouva enfin la tombe de sa défunte mère, Eliza s’agenouilla et sortit la seule photo qu’il lui restait de ses parents et d’elle ensemble, son seul souvenir.
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Sandwich de la rondelle - Snippet with a guest star
Rating : General audience, no ships but bad French
General description : Sirius, Théo Angevine, and Frederick Wentworth (borrowed from @amarguerite's most excellent Persuasion Skating AU) take part in a cooking segment for the morning news at the Canadian TV studio at the 2022 Olympics. (Yes, yes, I know NHLers didn’t participate, but this is an AU, shhh!)
Pardon my French in the first part, I don’t think I’ve written in French for over a decade? Some of the English version is at the end, will maybe post the rest eventually?
Thanks to @lumosinlove and @amarguerite for the characters, @noots-fic-fests for organising the fic-o-ween prompts, and @hazelnoot-analyst for the archiving :)
⚜⚜⚜
“Bienvenue à Salut Bonjour aux Jeux Olympiques, édition cuisine! Je suis Corinne, et nous avons avec nous aujourd’hui trois des fils les plus connus de la Belle Province. Ils sont ici pour nous montrer quelques unes de leurs petites astuces pour garantir un bon match et pour faire part dans une petite échange culturelle. Vous les connaissiez: nous souhaitons la bienvenue à Théo Angévine, des Vegas Golden Knights; Sirius Black, des Gryffindor Lions; et Frédéric Wentworth, des Habitants et capitaine de l’équipe nationale. Les trois ensembles forment la première ligne à l’attaque pour Canada pour ces jeux à Beijing.
Alors, Théo et Sirius, on me dit que vous avez tous les deux un rituel d’avant match très, mais très similaire. Qu’est-ce que c’est qu’un sandwich de la rondelle et comment se fait-il que vous en fassiez tous les deux un avant chaque parti?” “Bon, d’abord”, Théo jette une petite sourire au studio, “pour commencer, il vous faut du pain de mie, de la beurre, une banane, une petite cuillère de cannelle, du sucre blanc, et l���incontournable beurre de cacahuète.”
“Crémeux, ou croquant?”, interjette Corinne.
“Crémeux.” “Croquant.” Disent Théo et Sirius en même temps.
« Et vous pouvez utiliser du miel au lieu du sucre blanc si, pour une raison ou un autre, vous n’en aviez pas. L’important c’est que votre sandwich à un gout sucré. » ajoute Sirius.
Les trois joueurs prennent chacun une banane dans la main, et commencent à le couper en petits tranches. « Comme des rondelles, tu vois? Ensuite, on les trempe dans le miel ou sucre, puis il faut les saupoudrer avec un ‘tit peu de la cannelle. Puis dans la poêle pour les caraméliser. Ça prend, quoi, trois minutes? »
« Entre temps, fait griller le pain, puis étale un peu de beurre sur chaque côté, et saupoudre avec le reste du mélange sucre cannelle, or qu’avec de la cannelle si tu n’as pas de sucre. »
« Étale une des tranches de pain avec ton beurre de cacahuète croquant » Sirius jette un regard un peu compétitif vers Théo, qui assiste Frédéric avec la caramélisation des rondelles de banane.
Théo reprend, « Quand vos rondelles ont une petite peau dure, c’est le temps de les étaler à leur tour sur le beurre de cacahuète bien crémeux. Fermez le sandwich, et voilà! » Un sandwich de la rondelle.
« Pour les petits, c’est tout aussi délicieux sans caraméliser les bananes, et comme ça il ne te faut rien qu’un grille-pain. »
Corinne leur demande l’origine du sandwich, puis prends une grande bouchée du sandwich préparé par Sirius.
« ‘Fin, quand nous étions des Peewees, Sirius et moi, nous étions sur la même équipe pour un saison ou deux. Sirius était deux, trois ans plus jeune, et il avait toujours l’air affamé avant chaque parti. Un jour je lui ai offert un part de mon sandwich – ma mère m’en faisait toujours trois. Aussi simple que ça. »
Tous les yeux tournent vers Sirius, qui hausse ces épaules. Frédéric lui donne une petite tape, comme pour dire Parle, connard. Sirius ajoute, « Oui c’est ça. Je crois que j’avais sept, huit ans? C’était la première fois que j’avais gouté un sandwich sucré. C’était le sandwich parfait, croquant, sucré, pain bien dorée. J’en mange un avant chaque match. Hé, tu en avais trois? Tu m’en donnais qu’un demi-sandwich et tu en avais trois?! »
« Merci Sirius, Théo. Maintenant, passons à l’échange culturelle. Frédéric Wentworth va nous démontrer une des recettes traditionnelles de chez lui à Kahnawake, le pain frit…. »
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The next morning, Sirius, Théo, and Freddy find themselves back in the TV studio, behind the counter of the cooking set, this time with the hosts for the English morning show. Lisa LaFlamme, hired back as a special reporter for the games, greets the three then jumps right into introducing the segment.
« Good morning Canada! This is Lisa LaFlamme in the Team Canada studios, and I am joined today by the sharp end of the first line of the men’s national hockey team, winger and Captain Frederick Wentworth, center Sirius Black, and winger Théo Angevine. They are here to recreate yesterday’s viral cooking session for our English viewers. In case you missed it, Theo and Sirius are going to share one of their pre-game rituals with us, and then Frederick Wentworth is going to show us all how to make a celebratory staple from the Kahnawake reservation.
Theo, Sirius, you two share a remarkably similar pre-game ritual. How did this happen, and what is a puck sandwich? »
…
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Mes enfants, il est l'heure de conter les péripéties de notre second jour dans la jungle du parc du Virachey 🌴🎋
La nuit a présenté peu de surprises, si ce n'est qu'elle était un peu plus fraîche que prévu… Le ciel est très beau, et on voit les étoiles sans problème à travers notre moustiquaire, c'est génial et en plus le hamac est super confortable ! (Oui, un Dr Rathatton s'est inséré dans ce post et a nettement plus apprécié l'expérience hamac que moi, même si ce n'est pas évident évident sur les photos)
On remarque en se levant le matin que mon hamac est beaucoup plus grand que les autres, donc son rayon de courbure bien plus important aussi, c'est peut être pour ça que j'ai autant galéré!
Réveil à 6h, on entend le chant des gibbons, on dirait un sifflement d'oiseau tant le son est clair ! Le petit déjeuner se prépare avec lenteur, et on déguste une omelette sur du pain (réchauffé au dessus du feu sur une grille improvisée à base de bambou réalisée par Mr Cho) pendant que nos guides finissent les restes d'hier. Sakal nous apprend à remonter notre hamac (décidément, c'est sacrément bien fichu, le hamac est son propre sac de rangement), nos guides prennent une douche matinale et on lève le camp deux heures et demies après notre lever.
Le soleil a dépassé les arbres, on meurt déjà de chaud : la différence entre ombre et lumière est flagrante. Juste avant de partir, on Brûle tous nos plastiques dans les restes du feu : ce n'est pas terrible pour l'environnement, mais Sakal nous explique qu'il n'existe de toute façon pas de filière de recyclage dans le pays, tout est brûlé. Si on les ramène avec nous, ils finiront donc aussi dans un brasier, juste plus gros.
Lors de notre première pause après une demi heure de marche, Mr Cho nous fabrique deux petites "flûtes", des bambous fendus sur la hauteur qui produisent un grand sifflement (qui ressemble beaucoup à un grincement de frein non huilé je trouve) assez fort quand on a la bonne technique ! On traverse des zones de forêt dense et des formations de bambous immenses (qui se coincent dans les sacs), c'est assez impressionnant.
L'histoire se répète jusqu'à ce qu'on arrive à un cours d'eau vers 11h, où nos guides décident de monter le camp pour la pause de midi: on aide à éplucher les légumes, on refait cuire dans un bambou, le tout prend un temps fou ! Tout le monde participe, l'ambiance est bonne, Sakal nous parle du mariage d'un ami qu'il rate pour faire notre trek (mais les sous, c'est sacré. Et puis il lui donnera un beau cadeau pour se faire pardonner), le temps s'égraine lentement.
On repart 2h30 après le début de la pause (c'est donc pour ça qu'on est levés aussi tôt alors qu'on n'a que 12km à faire …), toujours aussi dégoulinant de sueur.
On finit par arriver vers 15h30 à notre lieu de bivouac, après avoir passé les deux dernières minutes à se frayer un chemin dans les buissons de houx (enfin, de son équivalent local)! Les mollets un peu découpés, on est sur une grande descente en pierre, avec un petit cours d'eau et des poches d'eau dans lesquelles nous nous trempons avec délectation.
Bon, l'eau n'est pas tout à fait limpide, mais je suis tellement crasseuse que je m'en rends à peine compte (jusqu'à ce que je remarque une énorme marque marron/vert fort peu seyante sur mon maillot, les rochers sont vraiment couverts de mousse).
Sakal nous raconte que dans quelques semaines, ce sera l'automne ici : les arbres vont perdre toutes leurs feuilles et le sol s'en couvrir. Comme cela sera suivi de très fortes chaleurs, la forêt prend régulièrement feu : Mr Cho a deux petites marques sur le haut du bras qui datent d'un incendie qui a failli ravager sa ferme et ses plantations de cajou (pas d'aide du gouvernement ou d'assurance dans ce cas là). Il a également plusieurs tatouages (assez discrets au vu de la couleur de sa peau) sur le torse, les bras et le dos, surtout des points repartis a priori de façon un peu aléatoire. On nous explique que c'est pour se protéger des pouvoirs des chamans qui pourraient lui vouloir du mal. Chaque village a son chaman, et selon les croyances locales mieux vaut être dans ses bonnes grâces (et se protéger quand même, on ne sait jamais).
Le soleil s'étant caché au moment précis de notre arrivée, nos vêtements resteront désespérément mouillés jusqu'au coucher, espérons que ça séchera un peu dans la nuit et demain matin ! Après avoir fait trempette, on entend le cri d'un "hornbill", ce gros oiseau qui paraît un peu posséder deux becs l'un sur l'autre. Apparemment, il crie après un autre oiseau qui lui aurait piqué ses fruits, il a l'air outré… dommage, il est trop loin dans la forêt, on ne le verra pas. Alors à la place, vous aurez le seul papillon que j'ai réussi à prendre en photo, alors qu'il y en avait plein partout ! Notamment un violet et noir qui a paru réconcilier Dr Rathatton avec cette espèce, lui tirant même un "wah!".
Après le dîner, une petite balade dans le noir s'organise : on part marcher une trentaine de minutes en forêt pour essayer d'y dénicher des animaux. A part des araignées PARTOUT (même sur les troncs d'arbre en hauteur) dont les yeux reflètent la lumière de nos lampes torches par des éclats verts et qu'on repère donc de loin, on ne verra malheureusement pas grand chose. Un grand bruit résonne, l'espoir grandit… ce ne sont finalement que deux bambous qui se sont frottés l'un contre l'autre sous l'effet du vent. Je me suis par contre fait dévorer les genoux en 10 secondes par 5 moustiques, snif. Pas d'animal pour nous ce soir, tant pis ! On a de nouveau droit aux étoiles, et c'est quand même sacrément sympa!
Comme j'ai pitié des arachnophobes ici bas (et que je n'avais aucune envie de m'approcher suffisamment d'une tarentule géante pour en prendre une photo décente), vous trouverez à la place une photo de fleurs.
On entend vaguement les basses d'une musique yrom forte au loin, Sakal nous explique que la jungle est en creux : comme un est sur un "pic", on entend en fait ce qui se passe dans le village de l'autre côté (probablement un mariage). Ce n'est pas suffisamment bruyant pour être gênant, c'est plutôt … inattendu !
La bonne surprise est qu'il n'y a aucune sangsue en cette saison (que des moustiques mais pas trop). Sakal nous raconte qu'elles ont des vertues thérapeutiques : une année, il s'est blessé assez fort au pied en tombant d'un arbre (la récolte des cajoux n'est pas très sécurisée visiblement, ça lui est arrivé 5 fois). Ne pouvant pas mettre de chaussures fermées, il est parti en trek en sandales (les arrêts maladie n'existent évidemment pas ici, pas plus que les congés payés) et s'est donc fait mordre par de multiples sangsues (à la grande peur des touristes qui l'accompagnaient et qui avaient peur que ça ne lui fasse mal). A sa surprise, la plaie était presque cicatrisée en deux jours, et aucune trace d'infection ou d'inflammation !
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Je continue mes lectures irlandaises, et ici, avec Jan Carson, c’est encore un réel coup de cœur, son roman Les ravissements est d’une rare puissance.
Le mot « ravissement » est à d’abord à comprendre au sens de « rapt » ; en effet, dans la petite commune d’Irlande du Nord, Ballylack, en 1993, alors que les « Troubles » secouent toujours la région, une classe entière de onze élèves de onze ans est frappée soudainement par une épidémie. Les enfants meurent, après une maladie douloureuse et fulgurante, les uns après les autres. Dans le village, la panique s’installe.
Ce qui est fabuleux, aux deux sens du terme (génial et de l’ordre de la fable), c’est que l’autrice nous raconte l’histoire d’une façon totalement originale. Une partie de la narration est faite à travers les yeux de Hannah, petite fille de la classe menacée, complètement ligotée dans une famille de protestants durs, qui interdit tout divertissement, associé à la sorcellerie, qui passe son temps à prier, à surveiller les consciences, à tenter de promouvoir cette façon rigoriste d’être au monde soumis à la volonté de Dieu. Hannah, petite fille futée, observe le monde et le passe au tamis que sa famille lui a donné comme grille de lecture. Tout devient péché assez rapidement. A travers ses yeux candides, on voit tout le ridicule du dogme religieux. Elle en développe pourtant une culpabilité très lourde.
Et voilà que les enfants morts viennent la visiter, et lui racontent leur « vie » après la mort qui n’a pas grand chose à voir avec ce que lui enseignent les Écritures… voilà déjà de quoi troubler la petite fille, qui les écoute avec effroi et gentillesse, soucieuse d’agir en bonne chrétienne.
L’autre coup de génie de l’autrice, c’est de raconter suite à la progression de l’épidémie, les réactions des uns et des autres, évoquant ainsi les onze familles, qui ont évidemment la douleur en commun, mais qui révèlent aussi des inégalités immenses face à leur place dans cette petite communauté, leur degré d’intégration. Ces tragédies mettent au jour les préjugés, notamment racistes, les petites lâchetés des uns et des autres, les secrets inavouables, les différences sociales. L’hypocrisie de tous, plus ou moins banale, plus ou moins grave, se révèle. D’autant que l’autrice fait preuve d’une finesse psychologique rare, et d’une forme d’ironie permanente qui douche le pathos qui deviendrait trop pesant s’il n’était contrebalancé ainsi.
Le lecteur assiste, impuissant, comme les familles, aux décès successifs. Un suspense assez pervers est mis en place autour d’Hannah. Horrifié et éperdu, on se met à avoir peur, et à être totalement suspendu aux événements racontés. On éprouve alors une forme de compréhension pour l’espoir délirant qui fait que l’on s’accroche aux prières ou aux autres stratégies pour infléchir le destin, même les plus absurdes. Puis on a envie, comme certains, d’envoyer valser le pasteur Bill, de gifler John, d’épauler Grandpa et Mum.
Mais au fond, et si l’enjeu n’était ni la vie, ni la mort mais l’appartenance à un groupe, l’union ? Ce dont manque le pays précisément avec ses guerres intestines, ses nuances de religions, ses sous groupes qui ne cessent de classer les gens, ce qui fait que Hannah se sent seule, même avant l’épidémie, car isolée de ses camarades en raison des règles insensées qui régissent sa vie. La religion est censée unir les humains, or, c’est précisément ce qui les éloigne, en Irlande du Nord (et dans bien d’autres endroits de la planète) ; or Hannah souffre, et à travers son personnage emblématique on comprend que c’est une souffrance universelle, d’être mise à l’écart, de côté. Elle n’est jamais si heureuse que lorsqu’elle se sent en connexion avec les autres, si le couvercle de la peur se lève un peu, si l’air circule, si des mains se joignent, non pas pour prier, mais pour sentir la vie qui pulse et se partage, l’affection qui lie les êtres. A quoi bon vivre sinon ? semble-t-elle penser, et nous avec elle.
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Je suis allé à la deuxième réunion SIA, aujourd'hui samedi 19 octobre 2024. Eh bien c'était incroyable. Je peux même dire que ça a changé ma vie. La connexion hyper rapide qui s'est effectuée m'a bouleversée, j'ai passé 2h30 avec ces gens et j'ai vraiment le sentiment de les connaître intimement. Il n'y a qu'à voir nos embrassades pour nous dire au revoir, je n'avais aucune peur, aucune crainte, que de l'amour, je pense que j'ai rarement ressenti ça, c'était fou. Je suis allé vers eux comme si c'était hyper naturel, parce que c'était mes frères et mes sœurs, et ça m'a bouleversé de ouf. un truc qui m'a marqué c'est la gravité qu'on avait tous. Et en même temps ça a cliqué parce que moi j'ai essaie de gravité depuis toujours et je me sentais hyper seul avec ça. Si j'avais peur de ne pas être cru, d'être le seul avec plusieurs membres de ma famille incestueux, et ça n'était pas le cas, Dieu merci. Quelqu'un d'autre a eu cette expérience et ça m'a validé comme jamais auparavant. Dans les partages l'expérience, mon esprit esprit aller à 200 Alleur, j'avais plein de choses à dire et à répondre ((mais on ne peut pas répondre), et ça m'a marqué comme quand le tour de la personne était fini et que je pouvais potentiellement parler, je sentais comme une grille, une cage qui se refermait sur moi, c'était dur de prendre cette place. Mais ça a été été. J'avais envie de dire que moi aussi c'est mon frère qui m'a fait subir des attouchements, comme la moitié des gens ici, j'avais envie de dire que j'essaye de ne plus dire que c'est mon grand frère mais que j'ai un frère plus âgé, comme ça ça indique de la distance parce que grand frère c'est inclus quand même une notion de protection je trouve, j'avais envie de de dire que ça me saoule un max parce que on a pas voulu m'écouter quand j'étais enfant et on a pas voulu me prendre au sérieux et comme je me sentais abandonné j'dédié ma vie à m'occuper des autres et j'étais infirmier j'ai fait un gros burnout, et lui aussi il est infirmier et ça me dégoûte qu'il ai accès au cœur des gens au cœur des gens vulnérables en plus parce que c'est comme ça que ça va commencer ça me fout le démon j'ai la rage franchement j'ai le démon. J'avais envie de dire que une enfance ou mes parents savait très bien qu'il y avait des problèmes de violence de mon frère sur moi et ils ont ignoré ça, ça a quand même bien contribué à m'amener vers des partenaires violons, envers lesquels je nourris une relation totalement toxique et je suis responsable aussi ça se fait à deux une relation toxique si avec une personne qui est toxique et que l'autre là-bas écoute je me barre c'est bon on est bon en fait fin l'histoire mais moi j'avais aussi ce truc où j'avais vachement peur d'être abandonné alors je restais et j'étais trop content que quand ton partenaire il est archi toxique et qui te fait des des menaces au suicide pour un ou pour un non bah il te montre que tu comptes pour lui quoi que t'as de l'impact sur une vie et quand t'as pas connu ça dans son enfance t'es là waouh je me rends compte que c'est horrible ce qui se passe mais quand même un peu waouh c'est chaud. Ouais j'avais envie de dire à quel point c'est ravagé comme plein de mes soucis aujourd'hui Deco de là quand même et que bah j'aurais quand même pu si j'avais reçu de l'aide de la part de mes chers parents j'aurais quand même pu prendre ça en charge plutôt quoi et genre. Ça m'aurait fait du bien d'apprendre quelques années plus tôt à pas juste repousser les gens comme si c'était la seule manière de relation P FKN R, ça m'aurait fait du bien de me rendre plus vulnérable, ça m'aurait fait du bien de main des liens sincères plutôt de brûler des ponts. J'ai brûlé des ponts de ouf moi, quand on est trop proche et trop intime c'est grave douloureux du coup il est bon ça donne l'impression de se libérer c'est ouf mais c'est tellement horrible mais en plus comme moi on me l'a fait j'étais là mais c'est horrible horrible ce truc je suis là ouais j'ai fait ça moi moi aussi j'ai commis cette horreur.
Bref j'ai pas fini de voir à quel point la liste des choses liée à ça est longue et combien j'ai fauté et combien j'ai été abandonné aussi. Ça va être encore quelques claque dans la gueule mais j'ai hâte. Je suis prêt.
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