#Avion de transport
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Réplique du planeur Airspeed AS. 51 Horsa – Mémorial Pegasus – Ranville – Calvados – Février 2008
Photograhe : Fodfish
#WWII#royal air force#raf#aviation militaire#military aviation#avion de transport#transport aircraft#planeur#glider#Airspeed AS. 51 Horsa#horsa#mémorial pegasus#ranville#calvados#normandie#normandy#france#02/2008#2008
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airsLLide No. 6266: I-ATRP, ATR 42-312, Avianova, Basel-Mulhouse, July 11, 1991.
Avianova was formed in 1986 as subsidiary of Alisarda, the local carrier of the Italian island of Sardegna. It initially flew a fleet of ATR 42s acquired from ATI, Alitalia's domestic subsidiary, in an eye-catching livery.
However, Avianova itself was aborbed again by Alitalia in the fall of 1991, and thereafter it was quickly rebranded and repainted as Alitalia Express. The fleet then grew to also include three stretched ATR 72 commuters and five Fokker 70 jets, wearing Alitalia Express colors from the start on.
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Landing, Madrid
#landing#aterrizaje#transport#urban#couleur#color film#nocturno#night#lights#city lights#aeropuerto#avion#plane#human#capture the moment#luces#de noche#street photography#lifestyle#city life
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1. j'étais dans un avion qui traversait la forêt, et j'ai essayé moi-même de voler hors de l'avion pour montrer à kate.
un des profs (business ou bio) baissait un avion. il a essayé plusieurs versions (par exemple en bois) avantnque ça marche. j'ai baby-sitter les 6emes dcp quand on étaient dessus
qqc mauvais service?
arrivé, je baby-sittais marceau. kept being têtes a l'envers pour le soulever
2. after 5am
was at school, mr pe. amd PA keep talking to me? and the alarm js cut off rf explaining one of her "âmes perdus" has a million joseph images
+
je crois qu'il y avait qqc avec A mais je ne sais ni quoi ni quand
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Los primeros aviones de carga del mundo
Los aviones de carga son por mucho una de las soluciones más eficaces de transporte en el mundo. Durante la pandemia del COVID 19 ayudaron a la rápida distribución de medicinas y vacunas. Pero cuáles fueron los primeros aviones de carga? Aquí te lo decimos. Farman F69 Goliath El primer avión de carga en el mundo fue el Farman F-60 Goliath. Fue diseñado y construido por los hermanos Henri y…
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Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des ��preuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
#french#en français#upthebaguette#french side of tumblr#paris 2024#olympics#bee tries to talk#france#ecology#pollution#classism
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Tôt mercredi matin, une centaine de manifestant·es ont bloqué l’entrée d’un édifice de Bombardier près de l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau à Montréal. Ils et elles dénoncent la complicité de la compagnie ainsi que celle de l’entreprise d’armement et d’aéronautique Lockheed Martin, qui a aussi des bureaux sur le site, dans la mort de plus de 14 000 Gazaoui·es depuis le 7 octobre dernier.
« Ce n’est pas simplement une catastrophe humanitaire se déroulant à l’autre bout du monde, mais une guerre génocidaire dont l’État canadien et les intérêts économiques canadiens sont profondément complices », peut-on lire dans un communiqué émis par le groupe. « Nous ne pouvons pas accepter que les instruments du génocide et de l’apartheid continuent d’être manufacturés chez nous. »
Bombardier est visé puisque ses trains sont utilisés par la compagnie des Chemins de fer israéliens depuis 2010, notamment en Cisjordanie, dans des zones occupées illégalement par des colons israéliens. Notons toutefois que Bombardier a vendu sa division transport à Alstom en 2021 et ne fait plus de train depuis cette date.
Les manifestant·es soulignent aussi que le fabricant d’armes Lockheed Martin est l’un des principaux fournisseurs de l’armée israélienne, qui se serait récemment procuré des avions F-35 auprès des États-Unis, présumément utilisés à Gaza. [...]
Continuez la lecture.
Note from the poster @el-shab-hussein: I'll translate these segments later for English readers. For now this article is for the francophones who follow the blog. Je vais traduire cet extrait plus tard pour les lecteurs anglophones. Mais pour maintenant cet article est pour les francophones qui suivent ce blogue.
#cdnpoli#Montreal#Québec#Bombardier#Lockheed Martin#foreign policy#zionist occupation of Palestine#western imperialism
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Joséphine Le Bris#Jacqueline Rumédier#Louise Le Bris II
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Curtiss C-46 Commando – 1944
#WWII#Armée de l'Air américaine#United States Army Air Forces#USAAF#Aviation militaire#Military aviation#Avion de transport#Transport aircraft#Curtiss C-46 Commando#Curtiss C-46#C-46#1944
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airsLLide No. 21651: ZK-MCO, ATR 72-500, Air New Zealand Link, Wellington, May 9, 2002.
In 2002, Mount Cook Airlines - now independent from scenic flight operator Mount Cook Ski Planes - operates feeder flights under the Air New Zealand Link brand out of Christchurch on New Zealand's South Island, thereby complementing the similar services provided by Air Nelson on the North Island with Saab 340 aircraft.
In the capital Wellington, conveniently located on the Southern tip of the North Island, the two feeder networks literally converge, giving plane chasers a fair chance to collect a healthy cross-section of both fleets within a day - and that even with the scenic backdrop of Lyall Bay and surroundings.
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"Les puissances d’argent, en nous lançant tous dans la guerre, savaient le risque horrible qu’elles faisaient courir à l’Europe. Mais, en cas de danger, l’argent se transporte vite, il y a toujours des limousines, des trains, des bateaux, des avions, pour sauver la précieuse peau des ploutocrates aux abois."
Léon Degrelle, Pour une Révolution Authentique (7 février 1943)
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Cazas F-16 de la Fuerza Aérea de Rumania en acción por primera vez en los cielos de España
Aviones de combate F-16 están operando estas semanas sobre los cielos de España, varios de la Fuerza Aérea de Turquía y, por primera vez, de la de Rumania están participando en el curso de élite de la OTAN TLP, que tiene sede en la base aérea del Ejército del Aire y del Espacio de Albacete. Tras el verano ha comenzado una nueva edición del curso de vuelo del programa de liderazgo táctico TLP (Tactical Leadership Program), el denominado FC (Flight Course) 2024-3 comenzaba el 16 de septiembre, y concluirá el viernes 4 de octubre, con una duración de 3 semanas. El TLP recibirá unas 650 personas, 34 de ellos se graduarán en este curso, todo un referente en el ámbito de la OTAN, serán 22 pilotos, 6 oficiales de inteligencia y 6 controladores aéreos. Los vuelos, que se realizan de lunes a viernes en periodo de tarde, dieron comienzo el 23 de septiembre, ya que la primera semana se dedica a la actividad académica y a vuelos en simulador. Las naciones participantes en el bando Blue aportarán 18 plataformas, serán España con aviones Eurofighter, Francia con sus aviones de combate Dassault Aviation Mirage 2000D y Mirage 2000-5, Estados Unidos con los espectaculares biplazas F-15E Strike Eagle, y Rumanía y Turquía con F-16. Destaca la presencia por primera vez en España de aviones de combate de la Fuerza Aérea de Rumania, que trasladó a Albacete tres de sus F-16AM MLU (Mid Life Update o Actualización de Media Vida). Esta fuerza aérea de la OTAN adquirió una docena de estos cazas a Portugal de segunda mano en la pasada década, a los que luego sumó otros 5 de la misma procedencia, estando ahora en proceso de recibir otros 32, tras darlos de baja la Real Fuerza Aérea de Noruega. En cuanto a la participación del bando oponente (Red Air), cuentan con un total de 6 aeronaves, siendo las naciones participantes: España con Eurofigher, F-18A y F-18M de sus Alas 11, 46 y 12 respectivamente; y Estados Unidos con los referidos F-15E, de los que en total han llegado a Albacete una docena desde su base de RAF (Royal Air Force)-Lakenheath (centro de Inglaterra), que forma parte de la Fuerza Aérea de los Estados Unidos en Europa o United States Air Force Europe (USAFE). Como apoyo a la realización del curso de vuelo se cuenta, como es ya habitual desde la implantación del TLP en España en 2008, con el concurso de medios de Mando y Control del Ejército del Aire y del Espacio español (EA) durante la ejecución de las misiones. Es de destacar también la participación del avión remotamente tripulado o RPAS (Remotely Piloted Aircraft Systems) MQ-9 Predator B (NR-05) del Ala 23, así como de dos instructores belgas especialistas en misiones de rescate de personal y equipos adicionales de control aéreo táctico americanos y españoles. Como amenaza antiaérea está prevista la participación de sistemas reales de defensa aérea del Ejército del Aire y del Espacio, misiles antiaéreos MBDA Mistral y el de simulación, que realiza la iluminación a las aeronaves con láser o radar Textron Mallina, del que ya hablamos en defensa.com Para simular amenazas también se cuenta con varios sistemas de simulación de la empresa americana Polygon, junto con el sistema del Armée de l´Air et de l´Espace francés ARPEGE que, como los medios españoles, estarán desplegados en distintas zonas del área de operación. Respecto a la intervención de otros medios aéreos, en el ámbito de la búsqueda y rescate en combate o Combat Search and Rescue (CSAR) de las tripulaciones abatidas se espera la participación en misiones específicas de un helicóptero NH 90 del Ejército del Aire y del Espacio en el bando Blue Air, junto con sus respectivos equipos de extracción, y de dos helicópteros Sikorsky MH-60R Seahawk de la Marina de los Estados Unidos en el bando Red. También se contará con la colaboración de un avión de transporte táctico C295 del Ala 35. Finalmente, desde las instalaciones del TLP se continuará utilizando el avanzado simulador de vuelo (MACE), que permite entrenar a los pilotos no solo en el entorno virtual, también interactuar con las aeronaves en misiones reales a través de avanzados protocolos de comunicación. Fuente: Read the full article
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la verdad es que son un meme andante ustedes. Tanto que lloran con los medios de producción para los trabajadores, Milei les quiere dar Aerolineas Argentinas a los trabajadores y se ponen a llorar que no. ¿Quién los entiende? vayan a agarrar la pala.
vos querés un Entel 2 no
el riesgo de la desregulación de aerolíneas lo ves en las low costs (al menos cuando vino la gran oleada hace un par de años) donde al dejarle a la aerolínea el criterio de regulación de transporte terminas con aviones fuera de regla y una calidad de viaje espantosa. y no menciono el hecho de que durante la pandemia el estado contrató naves de AA para hacer transporte de vacunas, insumos y donaciones. y si somos honestos, sin apoyo del estado se reducirían los destinos nacionales al menos hasta la mitad. ojo que como se maneja AA ahora no me parece ideal, pero implementar "cielo abierto" y desregularizar UNA AEROLÍNEA es lo más psicópata que hay.
#un 10 por ciento a los trabajadores. y sí#es una neutralización completa de sindicalización. trabajador de aerolínea no es solo el de la pista o la azafata. ojalá.#los de más arriba van a vender sus acciones y se van a tomar el palo con la guita
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Villa Unión y Termas de Fiambala 💧
Après San José des Chacal, nous avons repris la longue route vers Salta. Nous avons refait un tour vers Rodéo avant le départ pour pouvoir refaire la sublime route que nous avions vu et nous en avons profité pour laisser de l’eau au petit temple érigé par mon père et Nico.
Suite à cela, nous avons mis le cap vers Villa Union car nous avions pour plan d’aller voir deux parcs classés par l’UNESCO : le parc Ischigualasto et le parc Talampaya. Nous voulions aussi en profiter pour aller à la Laguna Brava, un lac de fou rempli de flamands roses.
Malheureusement, Villa Union a été une grosse déception.
Dans cette zone, rien ne se fait sans guide et tout est très cher. Comptez entre 60 et 80€ par personne pour la visite des parcs qui se fait uniquement dans des bus touristiques ou dans sa propre voiture au milieu d’une caravane de véhicules. De plus, la Laguna Brava était fermée jusqu’à nouvel ordre à cause de la neige. Ici, le touriste français est vu comme un pigeon qui doit dépenser le triple de ce que dépense un local pour la moindre visite. Cette vérité était déjà assez présente sur tout le continent Argentin mais elle ne nous a jamais paru aussi flagrante qu’à Villa Union où les prix y sont exorbitants.
Nous n’avions pas envie de faire partie de cet engrenage et nous étions plutôt short sur l’argent après les réparations de la voiture. Nous avons donc fait l’impasse sur toutes ces visites et avons repris la route. A force de recherches nous avons quand même pu trouver une petite pépite à visiter totalement gratuitement : La Banda Florida, une version miniature de l’impressionnant canyon que vendait le parc Talampaya.
De retour dans notre Doudi Cuatro en direction du Nord, nous avons fait une halte dans un petit restaurant Libanais, le tout premier de notre voyage ! Agréablement surpris par cette découverte culinaire qui nous changeait du bife et des milanaises, nous avons pris le temps de déjeuner là. C’est autour de délicieux mezzes libanais et sandwichs falafels que nous avons fait la rencontre de Georges et son épouse, les deux patrons du restaurant. Georges est un argentino-libanais qui parlait parfaitement français et avec qui nous avons discuté un long moment. C’était une rencontre passionnante durant laquelle nous avons appris plein de choses sur le Liban et sur la famille de Georges (son fils est réalisateur et il a fait un court métrage en partenariat avec l’institut du monde Arabe, rien que ça !). Avant de partir, la femme de Georges nous a donné le meilleur plan que l’on a eu depuis le début du voyage : LES THERMES DE FIAMBALA !
Ces termes cachées au milieu des montagnes, près de la ville de Fiambala, sont un plan très local et peu connu des touristes. Elles n’apparaissent d’ailleurs pas dans les résultats de recherche Google Maps quand on tape le mot « termas ». Nous nous sommes donc empressés de nous y rendre.
Nous sommes arrivés à Fiambala, une très jolie petite ville dont les alentours sont à tomber par terre tant ils sont beaux. Nous avons bu un coup sur la place en observant les centaines de motos défiler devant nos yeux. En effet, depuis la crise, tout le monde ou presque circule en moto, un moyen de transport plus économique et facile à réparer.
Nous avons pris le créneau du soir pour les thermes, 12€ par personne pour 4h à mariner dans l’eau chaude : un plan en or !
Les thermes sont sublimes. Après une fastidieuse montée en voiture dans les hauteurs rocheuses, vous vous retrouvez au milieu de 15 bassins d’eau chaude naturelle provenant directement des montagnes. Tout est en pierre, les locaux s’y prélassent en partageant les ragots du moment et vous avez même un restaurant à bon prix pour vous requinquer entre deux baignades. C’était un paradis sur terre ! Nous nous y sommes rendus le dimanche soir et malgré la foule nous avions largement l’espace pour profiter de l’endroit. Nous avons décidé d’y retourner le mardi matin pour avoir les thermes rien que pour nous.
Après une nuit dans la pampa, nous sommes partis explorer le cañon del Indio le lundi, un magnifique canyon de pierres rouges qui s’étend sur quelques kilomètres.
Le mardi matin nous sommes retournés à 8h du matin aux thermes. Pari gagné, nous avons eu les thermes rien que pour nous pendant deux bonnes heures avant de voir quelques locaux débarquer. Un pur bonheur !
Nous sommes repartis détendus et heureux vers Cafayate, la dernière étape avant Salta !
Je vous raconte la suite dans le prochain post.
Besitos,
Luna.
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Le transport par navire émettant autant de gaz à effet de serre que celui par avions, les bateaux entament à leur tour leur transition énergétique. Le secteur vise la neutralité carbone en 2050, avec l’électricité en ligne de mire. S’il est expérimenté, le plaisancier repère immédiatement que ce bateau n’est pas comme les autres. Tout est dans la forme du moteur, à la poupe : plus fin, et manifestement plus léger. Le signe particulier des embarcations 100 % électriques que l’on commence à apercevoir le long des côtes. C’est à la fin de l’année 2020, durant la pandémie de Covid-19, que deux entrepreneurs de Barcelone se sont jetés à l’eau, François Jozic, cofondateur de Brunch Elektro, et Mathieu Quintart, fondateur de la plate-forme d’immobilier touristique Cocoon Holidays. Se sont penchés sur la problématique de pollution
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