#Aspirai
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Queira receber a Efusão do Espírito Santo.
“Aspirai aos dons espirituais” monsenhor Jonas Abib Ser instrumento do Espírito Santo não é resultado da nossa perfeição nem da nossa santidade. Pelo contrário! Nosso caminho de santificação, de perfeição, passa, necessariamente, pela efusão do Espírito Santo, pois não é possível apenas com nosso esforço. Certamente, podemos colaborar, cooperar, deixar-nos trabalhar pelo Senhor, mas é Ele quem…
#A Present for You.#A Primavera da Igreja.#A PROMESSA DA NOVA ALIANÇA#A Promessa do Pai.#Alainça#Aliança com Deus#Apostolado#Aprofundamento#Aspirai#Aspirai os Dons Espirituais#Batismo#Batismo de Jesus#Batismo do Senhor#Batismo no Espírito#Batismo no Espírito Santo#Canção Nova#Carisma#Católico#CCNA#Charisma#Charismatic#Chocolate#colheita#Comunidade#Comunidade Católica Nova Aliança#Crisma#Cristo#cura#Dom de Linguas#Dom do Espírito Santo
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"Entrai nella libreria e aspirai quel profumo di carta e magia che inspiegabilmente a nessuno era ancora venuto in mente di imbottigliare.”
Carlos Ruiz Zafón "Il gioco dell'angelo"
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Nouvelle lettre à ma femme...et nouvelle ode au candaulisme...
A ma femme, à la femme que j’ai passionnément et réellement aimée...
Sois libre.
Tu veux être libre ! Sois-le !
Réellement et en réalité.
Tu dis souvent, très souvent : « Plus de mec...Je n’aurais que des amants... »
Alors chiche ! Fais-le...
Prends-en un, deux, ce que tu veux, ceux que tu veux... !
Et moi restant ton mari, peut-être pourrais-je aussi devenir l’un d’entre eux, sait-on jamais même si ça me parait difficile... ?
Si ça te redonne libido et sourire...
Fais-le...Oui, rien que pour ça, oui fais-le...
Ose enfin être ce que tu es , ce que tu veux être...
Si ça te « sauve » ...Fais-le...
Si ça sauve notre couple...Fais-le !
Si ç’est ce que tu veux au fond de toi...Fais-le !
Tu en as toutes les facilités et toutes les possibilités : chez lui, chez eux, en déplacement, à l’hôtel, même dans « ton appartement » ...
Je te préfère mille fois libre que malheureuse, aigrie, rancunière, colérique, insupportable...
Oh, bien sûr, ce n’est en rien et même pour tout dire tout l’opposé de tout ce que je voulais initialement, mais maintenant il faut qu’on en sorte, pour toi, pour moi, pour nous.
Il faut en admettre l’échec, en tirer les conclusions, se relancer, prendre des décisions...
Agir...
Moi je souhaitais et voulais un partage de ce mode de vie, un vrai et réel partage, libertin certes mais plus encore, un partage de vie, de liberté(s) voulues, consenties, admises, comme autant de bonheurs de joies, de complicités...
En confiance, en tranquillité, en partage, en différence de mode de vie, un mode de vie différent mais surtout libre...comme toi tu veux, voulais, aspires, aspirais... !
Mais toi, non, d’ailleurs je ne suis pas sûr que tu veuille exactement ça...
Sais-tu réellement ce que tu veux... ? Sais-tu réellement ce que tu voudrais... ?
Je pense que tu veux juste ta liberté, à toi, et à toi seule...
Alors prends-là !
Et du coup, vivons en couple libre sans divorce...J’ai horreur des conflits et je ne veux surtout pas faire de mal à nos parents réciproques...
Aussi, dans le fonctionnement du couple libre d’aller et de faire ce qu’il veut (dans le respect de l’autre bien sûr), juste prévenir l’autre, comme tu voulais, comme tu me l’a demandé et indiqué. Comme certains couples au FM que tu connais fonctionnent, des absences, des soirées, weekend chacun de son côté...
Ne pas savoir avec qui tu es et où tu es, et surtout ce qui s’y passe...
Tant pis, ce n’est réellement pas ce que je souhaitais pour notre couple ni mon sens du partage au sein du couple...mais du coup, juste savoir à peu près où et quand malgré tout...Un lieu, une date...
C’est tout ce que je demande maintenant et avec la réciproque dont je n’aurais pas même eu forcément besoin s’il y avait eu vraiment partages et complicités au sein de notre couple.
Donc, oui, ton plaisir sera mon plaisir même s’il sera moindre car non complice et non partageable… !
Force est de constater dans notre société moderne, et peut être même de tous temps, que les femmes libres, libérées et libertines sont souvent plus heureuses que leurs homologues monogames.
Aussi sois en une. Prends cette liberté, prends-là ! Ose la prendre. Je pense qu’il n’y a que ça pour te sauver, pour me sauver, pour nous sauver, pour sauver notre couple.
La raison est simple, elles donnent et reçoivent plus d’amour. Nous sommes des créatures sociales qui obtiennent le bonheur par les interactions avec d’autres. Dans le cas de la femme libre, elle rencontre plus de gens et ces interactions sont normalement et de fait très agréables, le plus souvent sur le mode de la séduction perpétuelle.
Une légèreté s’empare de leur vie et agit sur elles, leur entourage et leur perception du bonheur.
Un homme qui rencontre une femme monogame peut être indifférent ou courtois au mieux.
Un homme qui rencontre une femme libre sera plus amical, plus coquin et fera tout pour montrer à quel point il peut être bon et à son écoute, aller au-devant de ses envies, lui faire plaisir.
En outre, une femme libre sera beaucoup plus confiante et sûre d’elle quand son mari et les autres hommes qu’elle rencontre lui disent constamment à quel point elle est belle.
La normalité n’existe que dans les esprits sans imagination...
On peut être mariés et trouver d’autres personnes intellectuellement, amicalement et même sexuellement parlant...Il n’y a rien d’anormal à vivre et à aimer la vie, l’amour et le sexe me semble-t-il ?
De plus, tu as toujours eu des amis même en étant avec moi et même si tu ne les gardes pas...Ce qui d’ailleurs dans le cas des amants pourrait être un plus...Ne pas les garder trop longtemps.
Un bon mari doit vouloir que sa femme soit aussi heureuse qu’elle peut l’être.
Par conséquent, la seule voie logique à suivre est de la laisser ou faire d’elle une femme libre.
Une femme libre, libérée et libertine à plus de chance d’être une femme heureuse, vivant et inspirant l’amour et le bonheur.
J’ai toujours rêvé d’être un bon mari.
Laisse-moi alors une chance de l’être ou de le devenir.
Bannir la jalousie, la colère, les conflits...
Juste vouloir et faire en sorte que vive en travers moi, au travers nous la paix, l’Amour, l’harmonie...
Laisse-moi devenir cet homme, ce mari, cet amant... !
Cet homme libre d’être libre et d’avoir su libérer les autres et surtout toi... !
Sois « ma Lyria »...( nom de notre Chatte très indépendante...)
Une femme libre, libérée et libertine à plus de chance d’être une femme heureuse, vivant et inspirant l’amour et le bonheur.
Prends la sécurité et l’amour du mariage mais aussi la chance, l’excitation, l’expérience de la vie et du couple libre...
Be an hotwife !
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"Dans une civilisation basée sur le livre, les hommes de loi sont en général des gens cultivés, attachés à la raison et qui ont un art impressionnant de développer leurs arguments. On oublie souvent, dans l’histoire de l’Amérique aux XVIIIe et XIXe siècles, que la profession juridique représentait "une sorte de corps privilégié dans le domaine de l’intellect", comme le remarqua Tocqueville […] Ils aspiraient à sauver la civilisation américaine en "créant une rationalité pour la loi". Pour atteindre un tel idéal ils estimaient qu’il ne suffisait pas que les futurs hommes de loi apprennent le droit mais qu’ils devaient aussi s’élargir l’esprit. Le célèbre professeur de droit jacob Tyson soutenait qu’un homme de loi devait bien connaître les œuvres de Sénèque, de Cicéron et de Platon. Georges Sharswood, prévoyant peut-être la dégradation de l’enseignement du droit au XXe siècle, observait en 1854 que celui qui lisait exclusivement du droit s’appauvrissait l’esprit et que "prisonnier des technicités qui lui étaient devenues si familières, il était incapable d’avoir une vision large et compréhensive même sur des sujets qui étaient de son rayon"."
Neil Postman, Se distraire à en mourir, trad. Thérèsa Chérisey, 1985.
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the bling ring
avec @dopexlovers on adore faire des rencontres, on a donc prévu plusieurs pl pour inclure dans nos plans de nouvelles bouilles 👀 voici les premiers — en espérant que les plots attirent quelques âmes en quête d'un forum où jeter l'ancre à long terme 🥰









icons ©jenna
— dynamique,,
iels se sont progressivement rencontré·e·s entre 2020 et 2021. toustes en échec professionnel ou en difficulté financière pour des raisons qui leur étaient propres, iels ont pris l'habitude de se réunir au lac sierra, autour de leurs voitures et de quelques bouteilles, pour rire de leurs patrons, se plaindre du capitalisme, rêver de la vie à laquelle iels aspiraient ((i don't have what i deserve!)) et se changer les idées — pause dans le temps tendant à rendre le quotidien moins pesant. (…) attiré·e·s les uns vers les autres de manière presque surréelle [ irrésistible ] depuis qu'iels se sont rassemblé·e·s, iels ont été incapables de se séparer. iels pensaient n'être que des coups de coeur affectifs avant que l'arrivée d'Eren ne déclenche la première manifestation magique : la télépathie.
— cluster,,
• télépathie : iels s'en servent notamment dans le cadre de leurs activités [ souvent risquées ]. • co-conscience : utilisée notamment si l'une des filles est en danger ; eren prend alors le contrôle de son corps pour la tirer d'affaire. • projection astrale : même à distance iels apparaissent presque constamment les un·e·s aux autres. ((plus d'infos sur les clusters))
— activités,,
tout a commencé sur un coup de tête et les voilà désormais embarqué·e·s dans une aventure à la fois risquée et exaltante. iels se renseignent sur les déplacements des ultra-riches et se faufilent dans leurs demeures en leur absence, goûtant quelques heures au délice du luxe le plus éhonté. depuis cette année, iels ont espacé ce type d'escapades : ont obtenu des contacts et vendent désormais leur compagnie pour des rdv ou d'évènements.
♡ par ici pour tous les détails & pour découvrir les membres du groupe ♡
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O labirinto do eu
Acordei com a chuva tamborilando na janela, uma luz tímida e pálida atravessava os vitrôs, o dia estava começando, acompanhado do frio da chuva que durara a noite inteira. Sentei-me na cama, a camisola branca à altura dos joelhos, pisei os pés nus no chão de madeira e constatei que estava frio e úmido. Não conseguia me lembrar da noite passada, nem dos dias anteriores, minha memória era como um livro novo, de lombadas perfeitas e capa lisa, sem marcas de uso. O coração batia rápido, fazendo parecer que minha pele era como uma folha fina e fácil de rasgar.
Caminhei pela casa vazia e silenciosa, parando diante da porta grande e pesada, a madeira carregada de entalhes em formato de rosas, puxei a maçaneta e ela se abriu sem esforço, revelando o bosque que cercava a casa. Tudo me parecia igual, menos o portão, lembrava-me, não sei como, de que era branco, mas a visão a minha frente era de um portão imenso e negro, cheio de aspirais cortantes. Agitei-me ao olhar através do portão, um emaranhado de galhos e folhas formavam um corredor longo e estreito, caminhei devagar, sem tirar os olhos do fim do corredor, não me lembrei de que estava descalça até pisar em uma pedra pontiaguda e me encolher sentindo a dor se espalhar pelo calcanhar. Agarrei as grades do portão o puxei, ele não se moveu, sacudi-o novamente, tomei distância e olhei para a fechadura enorme, estava trancado.
– A chave está com você. – Disse uma voz suave e feminina.
Assustada, olhei para trás, mas não vi ninguém. Olhei novamente para as minhas mãos e lá estava, uma chave antiga, com detalhes em aspirais, exatamente como o portão, senti o peso e o frio do metal contra a minha pele, também fria pelo vento da manhã. Encaixei a pesada chave e girei, um sonoro click fez a tranca se soltar.
Do outro lado do portão o corredor de galhos e folhas parecia me chamar, uma leve atração me inquietava, caminhei desconfiada até me dar conta, não era apenas um corredor, era um labirinto. Um arrepio me subiu a espinha eriçando os pelos da minha nuca, virei, pronta para voltar para a casa, mas ela não estava mais lá, tudo era um emaranhado de galhos e folhas.
Uma sensação de medo e curiosidade me tomou e comecei a caminhar.
Avistei um vulto branco pelo canto dos olhos ao atravessar para o outro lado, meu coração gelou, um arrepio gelado percorreu meu corpo como uma corrente elétrica e dei um salto. Voltei, encolhendo-me atrás de uma parede, olhei atentamente para onde havia avistado o vulto, mas o que vi foi um rosto, recolhi-me novamente atrás da imensa parede de arbusto. Pigarreei:
— Tem alguém aí?— A voz saiu trêmula e fina, e não houve resposta.
Perguntei novamente, e novamente obtive o silêncio como resposta. Saí lentamente de onde estava, do outro lado alguém acompanhava meus movimentos desconfiados. Não era um estranho, era eu mesma, de camisola e cabelos negros e desgrenhados, era um espelho, um tanto quanto embaçado. Caminhei devagar sentindo a terra úmida sob meus pés descalços e calejados, o passo apressado, talvez estivesse próxima a uma saída, já havia tanto tempo desde a saída de casa que eu havia perdido a noção do tempo, não sabia mais que dia ou que horas eram.
Me aproximando do espelho percebi certa translucidez, e me dei conta de que não era apenas um espelho, era um vidro, eu podia olhar através dele. Segurei na grossa moldura de metal frio, pensava comigo mesma que alí tudo era gelado, quando percebi um enorme reflexo do outro lado, e era eu mesma, abaixada em frente a um lago espelhado, olhando meu próprio reflexo, mas não fora isso que me espantara, o que me assustou foi me ver minúscula, de camisola branca e cabelo desgrenhando, dentro da minha própria pupila. Eu estava presa dentro de mim mesma, o labirinto era eu.
-Érica Barroso
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Je sais que j'ai des chances d'être lu mais bah la race je peux pas la laisser gagner comme ça .Si je dois partir , elle partira avec moi
Enfin vu l'épisode purée j'ai kiffé voir Vérosika dire les termes à blitzo. Car en vrai Blitzo me rappel une bonne amie , je ne l'ai jamais hein...mais pareille je lui ai donné beaucoup de chose et ma rendu que de la toxicité de l'aide de l'attention . Et ça n'a pas affecté que moi mais tout mon serveur on est pas aussi nombreux que les ex de Blitzy mais on est un sacré paquet . Je crois que ça c'est mal terminé car on est pas aller dans son sens à elle , disons vouloir être aidé mais quand les gens se bougent pour elle bye et ça nous a tous usé et affecté de différente manière
Comme Vérosika on a finit par passer pour les méchant de l'histoire. Tu ne peux pas décemment dire que tu as pas passé d'excellent moment avec nous alors que j'ai le souvenir de t'avoir vu rire avec nous . Tu ne peux pas dire je vous ai rien demandé alors que tu étais la première à vouloir des explications des rectifications. On a pas été parfait mais c'est l'ensemble de tes comportement qui nous a poussé a bout nous qui voulait de donner tellement . Puis de ce que je t'ai vu faire ailleurs , le parfait inverse de ce que tu aspirais avec nous . Chez nous c'était mauvais mais ailleurs ça passe.
L'épisode m'a poussé a écrire ceci pour mettre vraiment un point final au conflit car je sais l'image qu'on a de tes amis et on en a rien a pété continue on sait ce qu'on vaut ce qu'on a voulu faire pour taider . Le personnage de ce petit diablotin te correspond bien plus que n'importe lequel dans tout l'univers de Vizie .
Il ne suffit pas de dire je veux changer , il a aussi la volonté et l'envie de vraiment le faire . Avoir des difficulté social ou relationnel ne peux pas tout expliquer , ne peux pas tout pardonner ce n'est pas un putain de totem d'immunité et c'est encore moins une tare !
Finally saw the episode, I really enjoyed seeing Vérosika say the terms to blitzo. Because in real life Blitzo reminds me of a good friend, I never have eh... but the same I gave her a lot of choice and gave me only the permission of the help of attention. And it didn't just affect me but my whole server, we're not as numerous as Blitzy's exes but we're a hell of a lot. I think it ended badly because we didn't go in her direction, let's say we wanted to be helped but when people moved for her bye and it used us all and affected us in different ways Like Vérosika we ended up being seen as the villains of the story. You can't decently say that you didn't have a great time with us when I remember seeing you laughing with us. You can't say I didn't ask you anything when you were the first to want explanations of the corrections. We weren't perfect but it was all of your behavior that pushed us to the limit, we who wanted to give so much. Then what I saw you do elsewhere, the perfect opposite of what you aspired to with us. At home it was bad but it's OK elsewhere. The episode pushed me to write this to really put an end to the conflict because I know the image we have of your friends and we don't care, keep going, we know what we're worth, what we're worth something I wanted to do to help you. The character of this little imp suits you more than any in the entire Vizie universe
It is not enough to say I want to change, he also has the will and the desire to really do it. Having social or relational difficulties can't explain everything, can't forgive everything, it's not a fucking totem of immunity and it's even less a defect!
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Aigues-Mortes

Louis IX, roi pieux et déterminé, se tenait sur la rive droite de la Seine, contemplant la vaste étendue d’eau qui s’étendait devant lui. Il avait une vision : un port qui servirait de point de départ pour sa croisade en Terre Sainte.
« Aigues Mortes, » murmura-t-il, le nom résonnant dans son esprit comme une promesse. Ce serait là que son armée se rassemblerait, là où les cœurs des croisés s’enflammeraient pour la foi.
Louis convoqua ses conseillers dans son palais à Paris. La salle du trône était remplie de nobles, de chevaliers et de clercs, tous attentifs à son discours.
« Mes amis, » commença-t-il, sa voix forte et claire, « j’ai décidé de fonder un port à Aigues Mortes. Ce sera notre point de départ pour la croisade. Nous devons établir une base solide pour nos navires et nos hommes. » Son doigt désignait un point près de la mer Méditerranée, une ville inconnue de la plupart des nobles présents.
Les murmures parcoururent la salle. Certains nobles étaient sceptiques, doutant de la viabilité d’un port dans une région marécageuse. Mais Louis, avec sa foi inébranlable, poursuivit : « Ce port sera un symbole de notre détermination à libérer Jérusalem. Nous devons agir avec courage et foi. »
Les mois passèrent, et les travaux de construction d’Aigues Mortes commencèrent. Des ouvriers, des artisans et des soldats affluèrent pour ériger des quais, des entrepôts et des fortifications. Louis supervisait chaque étape, s’assurant que tout était fait selon ses plans.
Les rives de l’étang de Vaccarès prenaient vie, et bientôt, le bruit des outils et des cris des travailleurs résonnait dans l’air. Les villageois des environs, d’abord hésitants, commencèrent à voir l’importance de ce projet.
« Regardez, » disait l’un d’eux, « notre roi bâtit un avenir pour nous tous. »
Alors qu’Aigues Mortes prenait forme, Louis IX envoya des messagers à travers le royaume, appelant les nobles et les chevaliers à se joindre à lui pour la croisade. Les lettres étaient ornées de sceaux royaux et de promesses de gloire et de rédemption.
« Venez, mes frères, » écrivait-il. « Ensemble, nous irons libérer la Terre Sainte. Aigues Mortes sera notre port, notre point de départ vers la victoire. »
Les nobles répondirent à l’appel, et bientôt, des hommes de toutes parts affluèrent vers le nouveau port.
Le jour tant attendu arriva. Les voiles blanches des navires flottaient au vent, prêtes à prendre le large. Le roi se tenait sur le quai, entouré de ses chevaliers, le cœur empli d’espoir et de détermination.
« Mes amis, » s’écria-t-il, « aujourd’hui, nous partons pour une noble cause. Que Dieu nous guide et nous protège dans notre quête. »
Les cris de joie et de ferveur s’élevèrent dans l’air. Les hommes se serraient les coudes, unis par la foi et le désir de défendre leur religion.
Les soldats montèrent à bord des navires, leurs armures scintillant sous le soleil. Louis, le dernier à embarquer, se retourna une dernière fois vers Aigues Mortes, son cœur battant d’émotion.
« Que ce port soit le témoin de notre bravoure et de notre foi, » murmura-t-il avant de s’engager sur le chemin de la croisade.
Les voiles se gonflèrent, et les navires prirent le large, laissant derrière eux le port qui marquerait le début d’une nouvelle ère pour la France et pour la chrétienté.
Ainsi, Aigues Mortes devint non seulement un port, mais un symbole d’espoir et de détermination pour tous ceux qui aspiraient à la paix et à la rédemption. Louis IX, le roi croisé, avait ouvert la voie vers la Terre Sainte, et son nom resterait gravé dans l’histoire.
#Louis IX#Saint-Louis#Aigues-Mortes#fanfic#13th century#history medieval#medieval history#7 crusade#7e croisade#moyen âge#histoire de France
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Ces jours-ci sur Tumblr, je vois beaucoup de gens déprimer car leur boulot n’est pas ce à quoi ils s’attendaient ou tout simplement pas ce à quoi ils aspiraient.
J’ai un peu honte de moi mais j’espère que ça vous remontra le moral ou au moins que vous vous sentirez un peu moins seul :
Mon rêve c’était d’être écrivain et par des coups du destin un peu foireux je me suis retrouvée traductrice de BD pxrnx.
On ramène tous des sous comme on peut, j’espère que vous avez quand même le temps de faire ce que vous aimez en dehors de vos heures de travail.
Force à vous ♡
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a difícil missão de ser assexual numa sociedade allo
acho que desde os 15 anos me acho diferente — não apenas das outras meninas, mas de todo mundo.
aos quinze anos, as minhas amigas amavam aulas de dança e amavam se apresentar em frente à escola (eu desisti das aulas de dança mais ou menos aos 13 anos; odiava apresentações — de qualquer tipo). aos quinze anos, elas compravam revistas para garotas por causa das dicas sobre beleza e garotos (eu comprava por causa das bandas que eu gostava e que eram destaque vez ou outra nessas revistas).
aos quinze anos, eu lembro bem de um evento na escola em que todas correram atrás de um apresentador simplesmente porque, sei lá, houve um surto coletivo sobre com quem ele ficaria primeiro. eu fiquei aterrorizada e sem entender nada.
foi nesse dia que eu percebi que eu não entendia a maior parte do que era a adolescência. ou o que era ser um garota aparentemente "normal".
eu sempre odiei falar sobre beijos, namoro etc. simplesmente porque, em primeiro lugar, me incomoda. em segundo, porque pouco esses assuntos fizeram parte da minha realidade. quando fizeram parte, era apenas eu me pressionando para ser o que a sociedade chama de "garota adolescente".
eu era outro tipo de garota adolescente: alguém que preferia ficar sozinha, ouvir música e ler fanfics.
eu me apaixonava (e continuo me apaixonando) numa frequência muito baixa e não entendia nada sobre o mundo das minhas amigas: pessoas que beijavam por beijar, pela conta, para poder dizer que eram alguém.
de certa forma, eu me sentia ninguém. não sabia por que eu sempre fugia de coisas que "deveriam" ser naturais. não sabia por que, mesmo inserida em situações "normais", eu me sentia desconfortável.
um dia, fez sentido. porque palavras existem para isso: dar sentido.
quando descobri a palavra assexual, ainda era muito sobre "não fazer sexo". essa era a única definição — e não fez sentido, para mim, naquela época. somente dois ou três anos depois é que a assexualidade foi tomando uma forma mais diversa para mim — e eu pude me ver nela.
então, o quebra-cabeça estava diante de mim; tenho a plena consciência de que ele sempre estará, pois o mundo da sexualidade é fluido e está sempre nos fazendo aprender.
a cada relato, a cada pessoa ace que fala sobre isso, a cada livro que leio sobre me descubro cada vez mais — e mais importante: posso me sentir livre para entender o que faz e o que não faz sentido para mim.
hoje, falar de atração sexual, para mim, é lembrar que, apesar do que me fizeram sentir a minha vida inteira, eu sou inteira e normal, porque existem mais de 7 bilhões de jeitos de ser.
hoje, eu amo ter o pensamento: "sou assexual demais para isso" ou "me sinto assim, pois sou ace", porque já tive muita vergonha de não parecer suficiente para es outres — para possíveis amigues e crushes. sempre entrei em aspirais de ansiedade de que iriam me achar esquisita, ou errada. defeituosa, de algum jeito.
daqui pra frente, quero poder dizer que sinto orgulho da pessoa ace que sou. não porque quero me achar melhor do que alguém allo (apesar da sociedade delus não fazer sentido nenhum, pra mim), mas porque é libertador poder sentir orgulho num mundo que sempre tentou me fazer sentir inadequada e envergonhada.
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Mentre stavo ancora parlando, lei mi si fece vicina, sentivo la coscia accanto al mio fianco. Si chinò su di me per seguire con gli occhi ciò che leggevo, mi voltai leggermente e trovai il seno di fronte al viso.
"Senta signora, le cose sono due" sentenziai.
"Mi dica"
"O si veste lei o mi spoglio io" con un braccio le cinsi la vita e l'attirai a me, affondai la faccia in quel pizzo morbido e aspirai il suo odore dolce e delicato.
Mi aspettavo uno schiaffo, una spinta, uno strattone per tirarsi indietro, invece sentii le sue mani aperte che afferrarono la mia testa e la diressero verso lo scollo, sulla pelle tra i due seni.

Volevo affogare tra quelle morbide e calde e profumate mammelle, volevo affogarci dentro tanto erano accoglienti e piacevoli.
Con una mossa decisa la feci sedere a cavalcioni sulle mie gambe, con le mani aperte afferrai le natiche e le spinsi verso me...
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Entrai nella libreria e aspirai quel profumo di carta e magia che inspiegabilmente a nessuno era ancora venuto in mente di imbottigliare.
|| Carlos Ruiz Zafòn
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- Aimes-tu le chaos ? -
Lorsque tu te levais le matin, triste et mélancolique, tu aspirais
A des jours meilleurs, à du répit.
Les éclats de voix et la souffrance nourrissaient ton quotidien,
Tu imaginais un nuage paisible où poser ton cœur.
Tu haïssais, tu étais amère, tu suppliais la vie de t'apporter de l'apaisement,
Et chaque jour le même cirque se déroulait.
Aujourd'hui, tu l'as ce calme, cette tranquillité... Et la mélancolie revient.
Aimes-tu danser avec le chaos ?
Est-ce là ta manière de composer avec ce que tu connais ?
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Mandalas
Na minha mente!
Saindo pra fora!
Como aspirais
Irreais
Do infinito agora
Eu sempre aqui
Quem me tornei?
Quem eu queri
AAAAAAAAAA
E eu to denovo
Na mesma fossa
No mesmo poço
Sem degrau pra pisar
Coisas pra se inspirar
Pessoas pra você conversar
Na vastidão da minha mente
O eu do agora
Como um cavalo sem nome
Esperando a fome
Vir fazer o que a vida começou
Me levar pra sete palmos
Infinitos pra lugar nenhum
Eu sou só um ser comum
Eu sou só
...
Um
Me busquem daqui de dentro
Eu estou perdido
Na minha propria mente...
Até a musica mudar
Até minha alma trocar de dimesão
Tocar em outra tranfusão...
De eus
De meus
De...
De o ques?
Pra ques?
Pros seus
Pontos
Pontos
p
.o
..n
.....to
..ssss
Sssss
Ssss
Sss
Ss
S
Mano, que brisa foi essa? Kkkkkkkkkk
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Mais la qualité de l'ouvrage de chacun sera clairement révélée au jour du Jugement.
En effet, ce jour se manifestera par le feu, et le feu éprouvera l'ouvrage de chacun pour montrer ce qu'il vaut.
Si quelqu'un a édifié un ouvrage qui résiste au feu, il recevra une récompense.
Par contre, si l'ouvrage est brûlé, son auteur perdra la récompense; cependant lui-même sera sauvé, mais comme s'il avait passé à travers les flammes d'un incendie.
Vous savez sûrement que vous êtes le temple de Dieu et que l'Esprit de Dieu habite en vous. Eh bien, si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu détruira le coupable. Car le temple de Dieu est saint, et c'est vous qui êtes son temple. 1 Corinthiens 3: 13-17 BFC
Mettez votre cœur et votre âme dans tout ce que vous faites, comme si c’était pour le Seigneur lui-même et non pour des hommes.
Car vous le savez bien : c’est lui qui vous donnera votre véritable salaire : l’héritage des cieux qu’il vous réserve comme récompense.
Servez donc le Christ comme votre Maître et Seigneur.
Celui qui agit mal recevra aussi le salaire que méritent ses mauvaises actions, car Dieu ne fait pas de différence entre les hommes. Colossiens 3: 23-25 POV
Ce jour-là, il traitera chacun selon ce qu’il aura fait : chaque homme recevra ce que valent ses actes.
Ceux qui, sans se lasser, ont cherché à bien faire, prouvant par là qu’ils tenaient à l’approbation divine et aspiraient à la vie éternelle, ceux-là auront en partage la gloire, l’honneur et une vie impérissable.
Les autres, par contre, qui n’ont pensé qu’à eux-mêmes, à la satisfaction de leurs ambitions et de leurs convoitises, se souciant fort peu de la vérité, les récalcitrants qui refusent d’obéir aux règles divines et s’abandonnent docilement au mal, seront frappés par la colère divine. Romains 2: 6-8 POV
#chrétien #foi #conversion #repentance #baptême #identification #engagement #église #salut #amour #Dieu #brebis #Berger #croix #songe #vision #rêve #misericorde @followers @tout le monde
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16 décembre : le Kazakhstan affirme son indépendance
Le 16 décembre 1991, le Kazakhstan fut la toute dernière des républiques soviétique à proclamer son indépendance à l’égard d’une URSS qui n’avait plus que dix jours à vivre avant sa dissolution. Comme la plupart des républiques soviétiques, elle avait déclaré sa souveraineté dès le 25 octobre 1990, un jour dont l’anniversaire sert de fête nationale. Le 16 décembre n’en est pas moins une date importante car le Jour de l’indépendance (Тәуелсіздік күні) est tout de même gratifié de deux jours fériés, les festivités se prolongeant le 17 décembre.
Le Kazakhstan est resté longtemps proche de Moscou, au point l’appeler à l’aide lors des émeutes de janvier 2022. Les Russes avait aidé à rétablir l’ordre et Noursoultan Nazarbaïev, le président qui était arrivé à la tête du pays avant l’indépendance et qui s’était incrusté au pouvoir pendant près de trois décennies, avait été mis à l’écart. L’agression de l’Ukraine par la Russie va refroidir le Kazakhstan qui, depuis, prend ses distances, préférant décliner l’invitation de Moscou à intégrer les Brics.
Le 16 décembre est chaque année l’occasion pour les nationalistes, qui ont le vent en poupe, de dénoncer le colonialisme russe de jadis, la terrible famine de 1932 et la répression politique à l’époque soviétique, notamment celle l’insurrection de décembre 1986 dont le souvenir est réactivé par la coïncidence des dates d’anniversaire. Le 16 décembre 1986, le secrétaire général du PC kazakh, Guennadj Kolbin, prenait ses fonctions. Ce Russe parachuté par Moscou remplaçait Kunaev, un Kazakh, corrompu mais populaire. Cette nomination a provoqué les émeutes dites de Jeloqsan (décembre en langue kazakhe), violemment réprimées, mais perçue a posteriori comme le début de la renaissance kazakhe, d’où l’importance donnée aujourd’hui à ce double anniversaire du 16 décembre.
La météo annonçait des tempêtes et des chutes de neige pour ces deux jours fériés, la saison n’est jamais propice aux festivités en plein air. Dans les villages, on construit des yourtes y faire la fête. À Astana, la capitale, une grande réception est organisée au Palais présidentiel lors de laquelle le président Kassym-Jomart Tokaïev distribue médailles et décorations aux citoyens méritants. Pour l’occasion, beaucoup d’invités ont revétué des costumes traditionnels.
À Almaty, ce 16 décembre, une cérémonie de dépôt de couronnes a lieu au monument de l'Indépendance sur la place de la République (ancienne place Brejnev). L'événement réunit des représentants du conseil des anciens combattants, de l'administration municipale, des organismes publics, des associations ethnoculturelles et des participants de l'événement de décembre 1986.
Le 17 décembre, des couronnes de fleurs seront déposées devant le monument « L'aube de l'indépendance », célébrant le 38e anniversaire de l'événement de décembre 1986. L’assistance marquera une minute de silence en souvenir des morts de la répression et les représentants religieux réciteront des versets du Coran.
Toute la semaine dernière, des concerts et des conférences ont été donnés. Dans un des principaux lycées de la ville, une réunion intitulée "Mes grands-pères aspiraient à l'indépendance », s’adressait aux lycéens. Tout un passé de lutte nationale et anticoloniale est en train de se construire.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 16 décembre 2024
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