#Action des jeunes pour le bien-être social | Explore Tumblr Posts and Blogs

christophe76460 · 10 days

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Pense Plus Grand

DÉTACHE-TOI DE TES LIMITES

"En effet, c'est Dieu qui nous a formés; il nous a créés, dans notre union avec Jésus-Christ, pour que nous menions une vie riche en actions bonnes, celles qu'il a préparées d'avance afin que nous les pratiquions." Éphésiens 2:10 BFC

J'ai lu l'histoire d'un jeune homme qui a grandi dans la pauvreté, sans père, et avec une mère qui n'avait pas de temps pour lui. Compte tenu de cela, l’État l’avait classé comme enfant à risque. À partir de ce moment-là, cette définition trônait au-dessus de sa vie. Il était convaincu de cette déclaration sur sa personne et n’avait pas beaucoup d’espoir pour son avenir. Plus il grandissait, plus il accumulait des problèmes, s’enfonçait dans des impasses et vivait dans un environnement malsain. Un jour, on décida de l'envoyer chez la directrice de l'école. Elle essaya de trouver quel était le problème de ce garçon, mais lui, l’ignora totalement. Cependant, la directrice n’abandonna pas et essaya de toucher son cœur. Finalement, il la regarda et lui posa cette question: "Franchement, qu’est-ce que vous voulez de moi? Je ne ferai ou ne vivrai jamais grandes choses. Je suis un enfant à risque. Je suis un cas social." La directrice l’écouta patiemment et lui dit: "Ecoute-moi bien: Tu n’es pas un enfant à risque. Tu es un enfant avec beaucoup de possibilités." Quand le garçon entendit ces mots, c’était comme si quelqu’un changeait quelque chose dans son intérieur. Il demanda: "Qu’entendez-vous par beaucoup de possibilités?" Elle répondit: "En toi sommeillent des rêves qui désirent devenir réalité, tu as un grand potentiel prêt à être découvert, tu es intelligent et talentueux." Durant toute sa vie, le jeune garçon avait entendu le contraire. Qu’il était un enfant à risque, un cas social. Mais à partir de ce moment-là, il commença à changer ses pensées et à développer une nouvelle vision. Aujourd’hui, cet homme gère sa propre entreprise avec beaucoup de succès. De plus, il visite des écoles et tient des conférences pour montrer aux jeunes qu’ils ne sont pas des enfants à risque, mais des personnes avec des possibilités.

Personne parmi nous n’est destiné à vivre une vie dans la pauvreté et dépendre de l’État. Chacun de nous a un potentiel divin qui n’attend que d’être découvert. C’est pour cela que je t’encourage: Découvre la force de Dieu en toi. Cette force t’aidera à empoigner de nouvelles choses, à te relever, à briser les chaînes qui te retiennent, à avancer et à te détacher de tes limites. Lève-toi et résiste contre les pensées et déclarations des gens qui veulent te faire croire que tu n’as pas de talents, qu’il n’y a pas de possibilités pour toi, que tu es juste médiocre, une personne à risque ou un problème pour la société. Recherche les promesses de Dieu qui affirment qu’Il t’a créé comme un chef-d’œuvre avec des possibilités, des talents, des rêves et de nouvelles idées. C’est Dieu qui définit notre avenir. Pour cette raison, regarde à Dieu. Accroche-toi à Lui et dépasse tes limites. Dieu te connaît et Il finira par utiliser chacune de tes situations pour ton bien si tu Lui laisses la première place et te décides à te détacher de ce qui te retiens.

«Ce que nous sommes, nous le devons à Dieu ; car par notre union avec Jésus-Christ, Dieu nous a créés pour une vie riche d’œuvres bonnes qu’il a préparées à l’avance afin que nous les accomplissions.»

‭‭Ephésiens‬ ‭2‬:‭10‬ ‭BDS‬‬

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blog-corporate-strategy · 4 months

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L'approche RSE de l'entreprise WATT DB : Zoom sur sur les pratiques de bien-être au travail, du massage AMMA aux after-works ou comment fidéliser les collaborateurs - Paloma FOUDA CG2P

WATT Design & Build, fondée en octobre 2011, est une société à actions simplifiées appartenant au Groupe Snef, spécialisé dans les domaines de l'énergie, de la mécanique et du numérique. Avec un capital social de 300 000 euros et environ 130 employés, cette entreprise se concentre sur Basée à Paris, WATT DB opère en France et à l'international grâce à ses 13 établissements secondaires, intégrés juridiquement au Groupe Snef. En tant que prestataire de services intellectuels, WATT DB couvre une large gamme d'activités allant de l'ingénierie, l'étude technique, la conception, la rénovation, l'aménagement d'espaces à de l'audit et la conception d'espaces.

Durant mon stage de janvier à mars 2024, une de leurs pratiques m’a conduit à me poser de nombreuses questions sur la qualité de vie au travail. L’événement déclencheur a été le moment où la chargée d'accueil/secrétaire administrative Coco, m’a proposé de prendre un rendez-vous avec le masseur. Je n’ai pas tout de suite accepté la proposition, car je voulais connaître le cadre de cette pratique. Devrais-je me dévêtir ? Où se situerait la séance ? De quel type de massage s'agirait-il ?

Il s’agit de massage sur chaise ou massage AMMA, une méthode de détente pratiquée sur une chaise ergonomique. Son but est de soulager les tensions par un toucher énergisant du dos, des bras, de la tête et des mains. C’est une pratique de plus en plus populaire en entreprise en ce qu’elle permet de revigorer les employés et les aider à lutter contre le stress. J’ai pu tester 4 à 5 séances qui consistaient à des massages dynamisants que j’ai grandement appréciés.

Cette pratique s’inscrit dans un contexte plus large de l’approche RSE de l’entreprise WATT DB qui a pour philosophie de placer l’homme au cœur de son activité. Fair WATT est leur vision de la RSE qui repose sur le dialogue, la transparence et le respect pour établir des partenariats équitables avec leurs clients, collaborateurs et partenaires. Leur contribution au développement durable est de garantir les droits fondamentaux grâce à des campagnes de sensibilisation pour des pratiques plus justes et sa capacité à s’adapter pour offrir des conditions commerciales optimales. Par exemple, l’entreprise fait signer le Code de conduite Groupe pour lutter contre la corruption et forme systématiquement ses nouveaux employés en compliance. Le respect des ressources naturelles est établi par l’utilisation de matériaux éco-responsables et le réemploi des matériaux avant le recyclage. Quant à la biodiversité, elle est gérée pour favoriser le respect de l'énergie et des ressources lors des chantiers. Enfin, l’insertion professionnelle des jeunes est une mission perçue à travers des initiatives comme 100 chances, 100 emplois et la promotion de l’égalité femmes-hommes avec un équilibre de 40-60 % dans l’entreprise.

Pour revenir à la qualité de vie au travail, il est intéressant de noter que les massages AMMA ne sont pas la seule pratique de bien-être en entreprise. Cette dernière organise également des rendez-vous pour l’équipe tous les mercredis midis avec un coach sportif. Au programme : course, renforcement musculaire et HIIT training. À l'aube des Jeux de Paris 2024, en 2023, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra avait déjà lancé un plan pour promouvoir l'activité physique en milieu professionnel pour lutter contre la sédentarité, qui menace 95 % des Français. En 2023, seulement 13 % des dirigeants ont intégré des aménagements sportifs dans leurs entreprises, malgré les avantages démontrés tels qu'une meilleure qualité de vie, une fidélisation des employés, une augmentation de la productivité et une réduction de l'absentéisme. Dans les faits, je n’ai reçu que peu d’informations concernant ces résultats avantageux au sein de WATT DB, puisque l’échantillon qui participait à ses activités sportives n’était que très faible. Les adeptes étaient déjà des sportifs en dehors des heures de travail.

Parallèlement et de manière contradictoire, la culture de convivialité en entreprise est enracinée chez Watt DB. La culture de convivialité englobe toutes les activités sociales et informelles autour de repas qui renforcent les liens entre collègues et favorisent un environnement de travail agréable et collaboratif. On compte parmi elles les sushi-party, les crêpes party organisées pour les enfants des collaborateurs ou encore les petits déjeuners quotidiens à base de viennoiseries.

Si l’on se penche sur les raisons supposées et réelles de ces pratiques, nous avons d’un côté une philosophie d’entreprise dont le motto est le bien-être du salarié, de l’homme et plus largement de l’environnement. Mais le revers de la médaille peut parfois cacher d’autres motivations.

Dans certains cas, cela peut être une raison pour accentuer la productivité en apportant aux collaborateurs l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle… dans l’environnement professionnel. Dans le cas de WATT DB, les horaires sont respectés dans la majorité des cas, sauf urgence nécessitant des heures supplémentaires (clôture fiscale, deadline d’un projet d'architecture à rendre…).

Également, ces pratiques peuvent cacher une forme de compensation pour des salaires peu satisfaisants. Chez Watt DB, la politique des salaires est confidentielle, mais est assurée par une majoration de leur salaire pour couvrir les temps de non production des salariés qui bénéficient aussi d’un 13e mois.

Les apports négatifs potentiels, qui sont un avis fondamentalement personnel, soulèvent la question de l’intimité au travail et le manque de limite entre vie professionnelle et vie personnelle. Cette tendance est remarquée notamment dans les conceptions que WATT DB fait pour ses clients qui demandent des espaces de travail avec salle de jeu, de sieste, canapé, cuisine et télé pour apporter une certaine familiarité au travail qui dénote comparée aux openspace des années passées.

D’autres modalités alternatives de pratiques de bien-être au travail pourraient inclure des activités et des formations ludiques de développement personnel qui permettent à l’employé de travailler et d’approfondir leur savoir-être, et ainsi leur donner confiance en eux et en leurs compétences. L’encouragement de micropauses pour rester concentré et productif, en effet : les chiffres le montrent : après 20 minutes consécutives de travail, le cerveau perd 30 % de ses capacités de concentration. Après 50 minutes, il en perd 50 %. Enfin, des formations des managers pour favoriser l’écoute et l’accompagnement bienveillant des collaborateurs pour limiter le stress.

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streampourvous · 1 year

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Les meilleures séries de 2023... Votre porte d'entrée vers des drames, des comédies et des aventures sans fin !

Dans l'année 2023, l'industrie des séries télévisées a prospéré dans le monde entier avec une diversité et une richesse uniques. Cette année a vu la création de productions remarquables issues de diverses cultures et sociétés, qui ont réussi à influencer les téléspectateurs de manière unique et innovante. Ces séries sont également une source d'inspiration, de divertissement et de réflexion profonde. Elles ont suscité des débats et des interactions à travers le monde, laissant leur empreinte dans la mémoire du public. Les histoires et les personnages ont varié entre drame, comédie, fiction et suspense, offrant ainsi au public la possibilité de choisir ses séries préférées en fonction de ses intérêts personnels. Ces œuvres ont dépassé les frontières géographiques et ont touché des téléspectateurs de toutes les cultures et de tous les pays. Les séries internationales ont attiré un large public, grâce à des récits et des scénarios captivants, et ont réussi à communiquer profondément avec leur auditoire, véhiculant des messages puissants. Les séries de cette année se sont incarnées dans des techniques de production modernes et des scénarios intelligents, les rendant ainsi attrayantes et laissant une forte impression sur les cœurs et les esprits des téléspectateurs. Elles ont abordé d'importantes questions sociales et épiques qui touchent l'humanité dans son ensemble, renforçant ainsi l'esprit de solidarité et de compréhension globale... Voici les meilleures d'entre elles ! Les meilleures séries de 2023 : Painkiller À chaque épisode de la série, un personnage réel se présente, tentant de soulager sa douleur pendant quelques instants, en nous racontant la perte d'un de ses proches à cause de l'oxycodone. Chacun de ces personnages nous rappelle que ce que nous verrons plus tard en termes de tristesse et de douleur a réellement eu lieu, à l'exception de quelques personnages fictifs, nécessaires pour le développement dramatique. Plus tard, nous suivons Eddie Flowers, une enquêtrice au bureau du procureur américain en Virginie, l'une des premières personnes à découvrir l'oxycodone et l'histoire de la dépendance qu'elle a engendrée due à une enquête sur la fraude en 1998. Après deux décennies de tentatives pour coincer Richard Sackler et sa société Purdue Pharma, elle explique les ramifications du cas porté contre eux et ce qui est arrivé aux toxicomanes dans le passé, ainsi que les actions d'un cabinet d'avocats à Washington qui cherche à poursuivre en justice Purdue Pharma collectivement et à essayer de révéler les motivations de la famille riche et la politique qu'elle a suivie pour commercialiser ce médicament dangereux. Outre le personnage d'Eddie, qui est également la narratrice, il existe plusieurs lignes dramatiques ayant un impact sur le récit du tueur de la douleur. L'une de ces lignes se concentre sur la vie de Glen Krager, un homme d'une trentaine d'années, mécanicien de profession, qui subit une grave blessure au dos pendant son travail, ce qui le conduit à inclure l'oxycodone dans son plan de traitement. L'une des principales intrigues de Painkiller concerne Shannon Shiffer, une jeune représentante de commerce, recrutée et formée par Brett Hawford, une experte en manipulation des médecins pour les inciter à prescrire de l'oxycodone aux patients. Des clés de voûte de la masculinité fragile, une séduction sexuelle à partir de poupées Barbie. Et enfin, il y a Richard Sackler, responsable de la création et de la commercialisation de l'oxycodone, qui aime l'argent et la victoire, se convaincant que son objectif est de créer un médicament à base d'opiacés qui améliorerait le bien-être et la vie, et qu'il serait plus tard légal de manipuler les esprits et les âmes. La société a financé la recherche sur le médicament, a payé les médecins pour prouver que l'oxycodone pouvait traiter en toute sécurité et efficacité les maladies, sans que plus de 1 % de la population ne devienne accro. Only Murders in the Building Trois étrangers vivent dans le même immeuble à New York et partagent une obsession pour les vrais crimes. Ils se retrouvent soudainement impliqués dans un meurtre. Cette série criminelle et mystérieuse se compose de 30 épisodes, avec dix épisodes par saison. Elle a débuté en 2021 et se poursuit jusqu'à notre époque en 2023. Virgin River Parfois, la vie devient si difficile pour une personne qu'elle la pousse à tout quitter et à recommencer dans un endroit inconnu. Cela peut être une tentative d'oublier le passé et de repartir à zéro, car les souvenirs négatifs sont souvent associés aux lieux. Les petites villes isolées, où personne ne vous connaît, sont souvent le meilleur endroit pour recommencer à zéro. C'est ce qui est arrivé à Melinda (Mel) Monroe, une infirmière aux cheveux blonds magnifiques, qui quitte la grande et trépidante ville de Los Angeles pour trouver refuge à Virgin River. Elle veut reconstruire sa vie détruite et devenir infirmière dans le cabinet du Dr. Vernon Mullins, le médecin bien-aimé de la petite communauté de Virgin River. Le médecin n'accepte pas facilement Mel, surtout parce que leur relation a mal commencé. Cependant, en raison de l'insistance de Hope McCrea, l'ancienne femme de Vernon, il finit par accepter la présence de Mel à contrecœur. Les événements commencent progressivement à révéler le douloureux passé de Mel, qui l'a poussée à fuir la grande ville. Mel a vraiment perdu beaucoup : son mari aimant Mark et leur bébé décédé à la naissance. Elle était submergée par le chagrin et ne pouvait pas supporter un seul instant de plus dans la mémoire chargée de Los Angeles. Mel commence à découvrir le monde doux et paisible de Virgin River et impose sa belle âme aimante aux habitants de la ville qui en tombent instantanément amoureux. Même Vernon, qui avait fortement rejeté son arrivée au début, se retrouve captivé par son charme doux et sa vaste expérience en tant qu'infirmière, capable de gérer les situations d'urgence en obstétrique. L'arrivée de Mel à Virgin River n'est pas du tout ennuyeuse, car elle découvre immédiatement un bébé abandonné devant le cabinet du médecin. Elle commence alors à enquêter sur la mère de l'enfant, et ce n'est que le début des nombreux événements captivants qui ajoutent une saveur unique à la série. En réalité, ce qui rend Virgin River si attrayante, c'est l'histoire douce qui mélange romance et intrigue captivante, loin des exagérations absurdes. Heels La série raconte l'histoire des frères Jack et Ace Spade, qui travaillent pour la fédération de lutte de DWA en Géorgie. Jack, l'aîné, a hérité de cette petite fédération obscure de leur père, ce qui divise sa vie en deux. Dans la première vie, il est le propriétaire de la fédération et contrôle tout ce qui se passe dans "le ring". Tous ceux qui se trouvent dans "la cage" lui obéissent. Dans la deuxième vie, il est le mari et le père qui lutte pour répondre aux besoins de sa famille. Le médecin n'accepte pas facilement Mel, surtout parce que leur relation a mal commencé. Cependant, en raison de l'insistance de Hope McCrea, l'ancienne femme de Vernon, il finit par accepter la présence de Mel à contrecœur. Les événements commencent progressivement à révéler le douloureux passé de Mel, qui l'a poussée à fuir la grande ville. Mel a vraiment perdu beaucoup : son mari aimant Mark et leur bébé décédé à la naissance. Elle était submergée par le chagrin et ne pouvait pas supporter un seul instant de plus dans la mémoire chargée de Los Angeles. Mel commence à découvrir le monde doux et paisible de Virgin River et impose sa belle âme aimante aux habitants de la ville qui en tombent instantanément amoureux. Même Vernon, qui avait fortement rejeté son arrivée au début, se retrouve captivé par son charme doux et sa vaste expérience en tant qu'infirmière, capable de gérer les situations d'urgence en obstétrique. L'arrivée de Mel à Virgin River n'est pas du tout ennuyeuse, car elle découvre immédiatement un bébé abandonné devant le cabinet du médecin. Elle commence alors à enquêter sur la mère de l'enfant, et ce n'est que le début des nombreux événements captivants qui ajoutent une saveur unique à la série. En réalité, ce qui rend Virgin River si attrayante, c'est l'histoire douce qui mélange romance et intrigue captivante, loin des exagérations absurdes. The Last of Us La série commence lentement, avec le premier épisode se déroulant dans les années 60, où l'on voit une entrevue avec deux scientifiques spécialistes des virus. L'un d'entre eux met en garde contre le danger des champignons, qui pourraient prendre le contrôle du cerveau humain sans aucune restriction, ce qui explique les événements futurs. L'intrigue se déplace ensuite en 2003, où l'on fait la connaissance de Joel et de sa fille Sarah, qui mènent une vie paisible et ordinaire. Les événements sont racontés du point de vue de Sarah, qui est inconsciente de ce qui se passe. Cependant, le danger est insinué à travers chaque scène, que ce soit par les actualités diffusées à la radio ou par la tension chez le propriétaire de la bijouterie où Sarah est allée faire réparer la montre de son père. Soudain, Sarah est réveillée par des explosions et sort de la maison pour secourir le chien de leurs voisins, qui semble extrêmement effrayé. Elle découvre que sa vieille voisine paralysée s'est transformée en une sorte de créature étrange et a tué tous les habitants de la maison. Pendant sa tentative de fuite, son père arrive à la maison avec son oncle Tommy, essayant de s'échapper de la ville devenue un véritable enfer. Cependant, Sarah est tuée par un soldat sous les yeux de son père. L'histoire saute ensuite de vingt ans, où l'on voit Joel, devenu une épave humaine, vivant dans une zone de quarantaine à Boston. Les champignons qui ont ravagé le monde il y a vingt ans ont changé l'humanité entière. Cette zone est dirigée par l'Agence fédérale de réponse aux catastrophes (FEDRA) de manière autoritaire et oppressante. Les gens sont forcés de travailler dans des emplois pénibles, comme la crémation des corps et le nettoyage des égouts, en échange de cartes de rationnement pour leur subsistance quotidienne. Cependant, Joel n'est pas satisfait de cette vie et travaille également comme contrebandier avec sa partenaire Tess. Lorsque son frère Tommy échoue à les contacter depuis leur base dans le Wyoming, ils tentent d'acheter une batterie de voiture à un marchand local. Mais au lieu de cela, ils la vendent à un groupe rebelle connu sous le nom de Lucioles, qui s'oppose à la FEDRA. Dans une tentative de récupérer la batterie, Joel et Tess découvrent que la transaction a mal tourné et que la plupart des combattants des Lucioles sont morts. Marlene, la chef blessée des Lucioles, fait un marché avec Joel et Tess : ils doivent escorter la jeune Ellie jusqu'en Massachusetts, à travers les États dévastés par les champignons mortels, en échange des fournitures qui les aideront à atteindre Tommy. Joel et Tess tentent de découvrir la véritable importance d'Ellie, mais Marlene reste silencieuse. Alors qu'ils s'échappent, ils sont capturés par un soldat alors qu'ils s'infiltrent à l'extérieur. Ellie le poignarde lorsqu'il essaie de les infecter, et lorsque le soldat tente de les abattre, Joel le frappe à mort. Ellie leur révèle alors que l'infection a commencé trois jours auparavant, mais que les symptômes ne se sont pas manifestés chez elle, ce qui est considéré comme impossible. La série commence peut-être lentement, mais l'excitation croissante, la tension et le drame exceptionnel dominent tout. Ajoutez à cela la précision des détails et la manière habile dont les événements sont reliés, ce qui a fait exploser les audiences épisode après épisode. Il est évident que les futurs épisodes promettent encore plus d'excitation. Citadel L'histoire commence par la présentation d'un luxueux train qui semble traverser les montagnes des Alpes en Italie. Le train est rempli de personnes visiblement riches, parmi lesquelles nous rencontrons Mason Kane et Nadia Cane, qui travaillent pour une organisation secrète appelée la Citadelle. Cette organisation a été créée principalement pour dissuader les partisans de la guerre et promouvoir la paix dans le monde. Nadia et Mason pensent qu'ils sont dans le train pour intercepter une mallette d'uranium, mais en réalité, une organisation malveillante appelée le Manticore a commencé à tuer les agents de la Citadelle à travers le monde et prévoit maintenant d'éliminer Nadia et Mason en même temps. En même temps, le chef de la Citadelle découvre qu'il y a une taupe parmi leurs rangs, la personne ayant divulgué les secrets de la Citadelle, ce qui déclenche un combat sanglant entre les agents de la Citadelle et les méchants, aboutissant à l'explosion du train. Avant de pleurer la mort du beau Mason, nous découvrons qu'il a survécu mais a complètement perdu la mémoire en raison de la méthode de désactivation spéciale de la Citadelle, qui efface la mémoire des agents en cas de danger. L'histoire saute ensuite de huit ans, où l'ancien agent vit sa vie sous le nom de Kyle Conner avec sa femme et sa petite fille sans se souvenir de son identité réelle. Tout ce qu'il sait, c'est qu'il y a une belle femme qui hante ses rêves, et il ne sait pas qui elle est. Pendant ce temps, l'ancien agent de la Citadelle, Bernard Orlick, découvre que Mason Kane est toujours en vie et que les méchants du Manticore recherchent une boîte contenant tous les secrets de la Citadelle. Il la cache avec sa famille et demande son aide pour la protéger en échange de retrouver sa mémoire et sa vie, en particulier après avoir appris que Nadia a également survécu à l'accident et se trouve maintenant en Espagne. La série de six épisodes est pleine d'excitation, d'imaginaire et d'aventures d'espionnage. Silo Il y a de nombreuses années, les humains ont construit un silo, une installation autonome (nourriture, eau, énergie), composée de 144 étages souterrains reliés par un large escalier en colimaçon. À l'intérieur, 10 000 survivants vivent, car la planète Terre a été frappée par une catastrophe environnementale qui a rendu l'air toxique et impropre à la respiration. Ce qui suscite des doutes, c'est que l'histoire a été effacée de la mémoire de tous d'une manière ou d'une autre. Personne ne sait comment ils se sont retrouvés là-bas ni quelles étaient les circonstances qui ont rendu la vie à l'extérieur impossible. La société de Silo est soumise à un ensemble strict de règles, et ceux qui les enfreignent sont punis. En particulier, ceux qui osent fouiller dans le passé, poser des questions interdites, sont soumis à l'action du pouvoir judiciaire et des exécuteurs de la loi chargés de protéger la société. Ils sont envoyés à l'extérieur pour le nettoyage, à moins qu'ils ne le demandent eux-mêmes pour tester une théorie qui les pousse à poser des questions interdites. Beaucoup ont été tourmentés par ces questions et voulaient connaître l'histoire du silo, comment il a été construit, qui l'a construit, et à quoi ressemblait la vie avant. Bien sûr, tous ceux qui partent pour l'extérieur ne reviennent jamais, et ils sont retrouvés morts après le nettoyage - le nettoyage de l'écran de surveillance qui montre la désolation à l'extérieur et que les résidents peuvent voir. Cependant, ils laissent toujours derrière eux de petites preuves de la vérité, incitant ceux qui les trouvent à enquêter. Le dernier à être impliqué dans tout cela est l'ingénieure Juliette, responsable de la maintenance mécanique du silo située dans le niveau profond, l'endroit qui maintient tout en marche et en vie. Elle est nommée shérif après avoir été recommandée par son collègue George Wilkins, avant sa mort. Elle accepte le poste principalement pour découvrir qui a essayé de le tuer, étant sûr qu'il avait des soupçons sur la vérité du silo et lui a donné des indices. Elle doit donc découvrir les fils de la conspiration et savoir qui sont les responsables de tout cela et quelles sont leurs intentions pour enterrer la vérité. Hijack Tomber victime d'un enlèvement est une expérience terrifiante, remplie d'anxiété et d'inquiétude. Nous espérons de tout cœur que personne parmi vous ne sera confronté à une épreuve similaire. La série a présenté un enlèvement effrayant d'un avion en route de Dubaï à Londres lors d'un vol de sept heures. La série a réussi à capturer l'atmosphère de terreur et d'anxiété qui accompagne une telle opération. Read the full article

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lefondamentsdelislam · 1 year

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LE PROPHÈTE MOHAMMED EN TANT QU'ÉPOUX ET PÈRE : Partie 4.1

POURQUOI AVAIT-IL PLUS D'UNE ÉPOUSE?

Certains détracteurs de l'islam, soit parce qu'ils ne connaissent pas les raisons de ces mariages ou qu'ils veulent le dépeindre comme un libertin qui ne se refuse rien, ont accusé le Messager de défauts de caractère qui sont incompatibles avec la vertu moyenne, et encore moins avec la vertu du dernier Messager de Dieu et du meilleur modèle pour l'humanité. Les faits, qui sont tous facilement disponibles dans un grand nombre de biographies et de récits de ses paroles et de ses actions dont l'authenticité a bien été établie, réfutent de telles allégations et montrent que ces mariages faisaient partie d'une vie strictement disciplinée et représentaient pour lui un fardeau de plus.

Les raisons derrière ses mariages, quoiqu'elles diffèrent d'un cas à l'autre, ont toutes trait à son rôle de leader de la nouvelle communauté musulmane et à sa responsabilité de guider ses adeptes vers les normes et les valeurs de l'islam.

Mohammed se maria avec sa première épouse quand il avait vingt-cinq ans, c'est-à-dire quinze ans avant que sa Prophétie ne commence. Etant donné l'environnement moral et culturel dans lequel il vivait, sans même mentionner le climat, son jeune âge et d'autres facteurs, il jouissait néanmoins d'une parfaite réputation de quelqu'un de chaste, intègre et digne de confiance. Aussitôt qu'il fut appelé à la Prophétie, il s'attira des ennemis qui l'accusèrent de toutes sortes de choses. Pourtant, même ses ennemis les plus acharnés n'attaquèrent pas sa réputation, car cela les aurait amenés à être immédiatement ridiculisés et discrédités. Il est important de comprendre que sa vie était fondée sur la chasteté et l'autodiscipline dès le début, et resta ainsi.

Quand il était à la fleur de l'âge, à 25 ans, Mohammed épousa Khadija, une veuve de quinze ans son aînée. Ce mariage était très élevé et exceptionnel aux yeux du Prophète et de Dieu. Pendant vingt-trois années, ce couple dévoué vécut ensemble dans un parfait contentement et fidélité. Le Prophète n'eut aucune autre épouse du vivant de Khadija, bien que l'opinion publique et les normes sociales l'auraient permis. Même ses ennemis admirent que, pendant ces années-là, ils ne pouvaient trouver aucune déficience dans son caractère moral. Quand elle mourut dans le courant de la huitième année de sa Prophétie, le Prophète se retrouva à nouveau seul; mais cette fois-ci avec des enfants. Il ne se remaria pas pendant quatre ou cinq ans. Tous ses autres mariages survinrent après qu'il eut 53 ans ou plus tard, donc à un âge où l'on n'a plus vraiment d'intérêt ni de désir pour le mariage, surtout en Arabie où les gens vieillissaient relativement tôt. Par conséquent, les allégations de libertinage et de laisser-aller sont sans fondements.

Les gens se demandent souvent comment un Prophète pourrait avoir plus d'une épouse. Il faut d'abord considérer trois points pour pouvoir répondre à cette question. Mais avant cela, voyons qui sont les auteurs de cette question. Pour la plupart, il s'agit de chrétiens ou de juifs (les Gens du Livre), ou encore d'athées. Comme très souvent de telles personnes ne savent quasiment rien de l'islam, leur question se fonde soit sur une sincère ignorance, soit sur un désir de semer le doute parmi les croyants.

Ceux qui ne croient pas en une religion ni ne la pratiquent devraient éviter de critiquer ceux qui y croient et la pratiquent. De telles personnes sont souvent connues pour leur libertinage, leurs nombreux partenaires sexuels et leur refus de se soumettre à toutes formes d'éthique ou de valeurs morales. Leur auto-indulgence, qu'ils déguisent mais ne restreignent pas, ainsi que leur refus de considérer ses conséquences sur eux-mêmes et sur les jeunes en général, sans compter leurs propres enfants, a eu de très graves répercussions sociales. Se considérant totalement libres, ils se lancent dans des activités que la plupart des sociétés jugent immorales: l'inceste, l'homosexualité, la polyandrie (le fait d'avoir plusieurs 'maris' en même temps), etc. Ils n'arrêtent jamais pour se demander quels effets ces pratiques ont sur les enfants de telles unions.

Une fois que nous avons compris cela, nous pouvons mettre en perspective leurs critiques et voir ce qu'elles sont vraiment: un désir, conscient ou non, d'entraîner les croyants dans une confusion morale et vicieuse dans laquelle ils ont eux-mêmes été pris.

On se demande pourquoi les juifs et les chrétiens attaquent le Prophète à cause de ses nombreux mariages. Ont-ils oublié que les grands patriarches hébreux, considérés comme des Prophètes dans la Bible et dans le Coran, et qui sont vénérés par les juifs, les chrétiens et les musulmans comme des exemples d'excellence morale, pratiquaient la polygamie? Qui plus est, comme dans le cas du Prophète Salomon[1], ils avaient bien plus de femmes que le Prophète Mohammed. L'on en vient à se demander s'ils sont plus motivés par leurs sentiments anti-islamiques que par un intérêt sincère.

La polygamie n'a pas commencé avec les musulmans. De plus, dans le cas du Prophète de l'islam, cela représentait une part importante dans la transmission du message et dans l'invitation des incroyants à l'islam. Par exemple, une religion qui embrasse toutes les sphères de la vie ne saurait se taire dès qu'il s'agit des affaires intimes. De telles choses ne peuvent être connues qu'entre époux. Par conséquent, il doit y avoir des femmes qui puissent donner des conseils et des indications claires, puisque de tels sujets ne peuvent pas être abandonnés aux allusions habituelles, aux insinuations et aux sous-entendus. Les épouses du Prophète servaient d'enseignantes qui transmettaient et expliquaient à d'autres femmes, ainsi qu'aux hommes, les normes islamiques et les règles concernant les affaires conjugales, familiales et les autres sujets intimes.

Certains mariages furent contractés pour des raisons spécifiques telles que:

Comme ses épouses comptaient des femmes de tous âges, les normes et les exigences de la loi islamique pouvaient être appliquées correctement à chaque étape de leurs vies et de leurs expériences. Ces dispositions étaient apprises et appliquées parmi les membres de la Famille du Prophète et ensuite transmises à d'autres musulmans par le biais de ses épouses.

Chacune de ses épouses appartenait à une tribu ou à un clan différents, ce qui lui permettait d'établir des liens de parenté et d'affinité à travers toute l'Arabie. Cela engendra un profond attachement pour lui à travers les divers peuples de la nouvelle communauté musulmane, et créa et assura l'égalité et la fraternité d'un point de vue pratique et religieux.

À la fois avant et après la mort du Prophète, chaque épouse se révéla d'un grand profit et d'une grande aide. Elles transmettaient et interprétaient l'islam à leurs peuples dans toutes ses dimensions internes et externes, ainsi que les qualités, les manières et la foi de l'homme qui était la personnification du Coran dans tous les aspects de sa vie. De cette façon, leurs peuples apprenaient le Coran, la Sounna, le tafsir (commentaires et interprétations coraniques) et le fiqh (compréhension de la loi islamique), et devinrent donc pleinement conscients de l'essence et de l'esprit de l'islam.

À travers ses mariages, le Prophète avait établi des liens de parenté dans toute la péninsule arabique et pouvait donc circuler librement et être accepté comme un membre de chacune de ces familles. De plus, tous ceux qui étaient ainsi liés à lui se sentaient assez proches de lui pour pouvoir lui demander directement des conseils sur n'importe quel sujet. La tribu entière profitait aussi d'une telle alliance; ils se considéraient chanceux et étaient fiers de leurs nouveaux liens de parenté. Par exemple, de tels liens furent établis avec les Omeyyades (grâce à Oumm Habiba), avec les Hashimites (grâce à Zaynab bint Jahsh) et avec les Banou Makhzoum (grâce à Oumm Salama).

Ce que nous avons dit jusqu'ici est général et pourrait, à certains égards, valoir pour tous les Prophètes. Cependant, nous allons maintenant décrire brièvement la vie de ces femmes, pas dans l'ordre des mariages mais à partir d'une autre perspective.

Khadija fut la première épouse du Prophète. Quand ils se marièrent, elle avait 40 ans et lui 25. Elle fut la mère de tous ses enfants sauf Ibrahim qui mourut en bas âge. Mais elle était plus que son épouse - elle était aussi son amie qui partageait ses inclinations et ses idéaux à un degré remarquable. Leur mariage fut merveilleusement béni et ils vécurent ensemble dans une grande harmonie pendant vingt-trois ans. À travers tous les outrages et les persécutions dont il fut accablé par les Mecquois, Khadija était son plus cher compagnon et aide. Il l'aimait tendrement et ne se maria avec aucune autre femme de son vivant.

Ce mariage représente les formes idéales d'intimité, d'amitié, de respect mutuel, de soutien et de consolation. Bien qu'il fût fidèle et loyal envers toutes ses épouses, il n'oublia jamais Khadija; pendant le reste de sa vie, il ne cessa de mentionner ses vertus et ses mérites. Le Prophète ne se remaria pas pendant les quatre ou cinq années qui suivirent sa mort. Le fait de pourvoir à l'alimentation et à tous les autres besoins de ses enfants, supportant les problèmes et les difficultés, firent de lui à la fois un père et une mère. Oser prétendre que cet homme était un sensuel ou un homme à femmes est totalement aberrant. S'il n'y avait ne serait-ce qu'une once de vérité en cela, il n'aurait pas pu vivre comme l'histoire rapporte qu'il a vécu.

Aïcha, sa deuxième épouse (mais pas dans l'ordre chronologique de mariage), était la fille d'Abou Bakr, son ami le plus proche et son disciple le plus dévoué. L'un des premiers convertis à l'islam, cet homme avait depuis longtemps aspiré à raffermir son profond attachement au Prophète en lui accordant la main de sa fille Aïcha. Son acceptation conféra le plus grand honneur et la plus grande faveur à un homme qui avait partagé tous les bons et mauvais moments avec lui depuis le début de sa mission.

Aïcha, qui s'avéra une femme remarquablement intelligente et sage, avait à la fois la nature et le tempérament pour faire avancer le travail de la mission prophétique. Son mariage la prépara à être une éducatrice et un guide spirituel pour toutes les femmes. Elle devint une élève et disciple du Prophète et à travers lui, comme tant d'autres musulmans de cette période bénie, elle développa et perfectionna ses talents afin de le rejoindre dans la demeure de félicité comme son épouse et son élève. Sa vie et le service qu'elle rendit à l'islam après son mariage prouvent qu'une personne aussi exceptionnelle était effectivement digne d'être la femme du Prophète.

À travers les années, elle se révéla l'une des plus grandes autorités compétentes dans le domaine des hadiths, une excellente commentatrice du Coran et une experte reconnue et distinguée en fiqh (jurisprudence islamique). Elle représentait véritablement les expériences et les qualités internes et externes du Prophète Mohammed à travers sa compréhension unique.

Oumm Salama, du clan des Makhzoum, fut d'abord mariée à son cousin. Le couple avait embrassé l'islam dès les tout débuts et avait émigré en Abyssinie afin d'échapper à la persécution des Qoraïchites. Après leur retour, ils émigrèrent à Médine avec leurs quatre enfants. Son mari prit part à de nombreux combats puis, sévèrement touché à celle d'Ouhoud, obtint le martyre peu de temps après. Abou Bakr et Omar offrirent de l'épouser, conscients de ses besoins et de ses souffrances en tant que veuve avec quatre enfants sans aucun soutien. Elle refusa, persuadée que personne ne pouvait être mieux que son défunt mari.

Plus tard, le Prophète lui fit une proposition de mariage. Cela était très juste et naturel car cette noble femme, qui n'avait jamais fui les sacrifices et les souffrances pour l'islam, était désormais seule après avoir passé de nombreuses années parmi le clan arabe le plus noble. Il ne fallait pas la négliger et la laisser mendier sa subsistance. Considérant sa piété, sa sincérité et tout ce qu'elle avait souffert, elle méritait d'être aidée. En l'épousant, le Prophète faisait ce qu'il avait toujours fait depuis sa jeunesse, à savoir offrir son amitié à ceux qui n'ont pas d'amis, soutenir ceux qui ne reçoivent pas de soutien et protéger ceux qui sont sans protection.

Oumm Salama était aussi intelligente et comprenait très vite. Elle avait toutes les qualités et les dons pour devenir un guide spirituel et une éducatrice. Suite à son mariage avec le Prophète, elle devint une nouvelle étudiante dans l'école du savoir et de la guidance, envers qui toutes les femmes sont reconnaissantes. Rappelons-nous que, à cette époque, le Prophète approchait la soixantaine. Son mariage avec une veuve qui avait quatre enfants et son acceptation de pourvoir à toutes les dépenses et d'assumer toutes les responsabilités conséquentes ne peuvent être compris qu'en termes de ses réserves infinies de compassion et d'humanité.

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ouyander · 1 year

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La formation des formateurs du programme AfricTivistes Civic Engagement Tour-Afrique de l'Ouest a démarré le 4 janvier 2021 à Nouakchott. La session mettra à disposition l’outil pédagogique du programme pour la mise en œuvre du curriculum afin de renforcer l’engagement citoyen, la transformation sociale et le leadership des jeunes. Après l'étape de la Mauritanie, la première phase de AfricTivistes Civic Engagement Tour-Afrique de l'Ouest sera déployée en Gambie et en Guinée-Bissau. Pendant quatre jours, les facilitateurs envoyés par AfricTivistes se chargent de former de jeunes leaders provenant d’horizons divers notamment actifs sur les réseaux, dans les associations, les organisations ou mouvements sociaux. Ces derniers seront dotés de connaissances leur permettant d'être des relais auprès d’un public plus large pour pouvoir leur inculquer les notions et les valeurs du leadership civique et comment utiliser les outils numériques pour conscientiser et influencer la masse sur les questions de citoyenneté. “Nous voulons créer une nouvelle génération de citoyens engagés dans des questions sociétales et citoyennes à travers le numérique afin de mobiliser davantage d’acteurs et renforcer l’impact de leurs actions”, soutient le chargé du programme ACET M. Seydina Ndiaye. Poursuivant, le président des AfricTivistes, M. Cheikh Fall, a indiqué que le financement de ce projet a été reçu depuis un certain temps et qu’à cause de la Covid-19, le projet n’avait pas pu être déployé. Avant de se réjouir qu’on ait pu reprendre le projet en commençant par la Mauritanie. “Le but de cette tournée d’ateliers d’engagement civique pour ces jeunes, hommes et femmes, engagés, est de donner aux participants les capacités de promouvoir et de renforcer l’engagement civique des citoyens et aussi de les aider à construire des communautés plus responsables et durables. Une fois outillés, ils vont partager ce qu’ils ont appris avec d’autres jeunes de leur pays. Bien sûr, AfricTivistes accompagnera le déroulement de cette étape", soutient Monsieur Fall. Qui indique dans la foulée qu’après la Mauritanie, l’équipe des formateurs d’AfricTivistes se rendra en Gambie en février 2021 et en Guinée-Bissau en mars 2021. Il faut rappeler en outre qu’AfricTivistes Civic Engagement Tour (#ACET Afrique de l’Ouest) est un programme d'ateliers de renforcement de capacités, financé par l’Ambassade des Pays-Bas au Sénégal, destiné aux jeunes résidant en Afrique de l’Ouest particulièrement ceux qui s’intéressent aux questions d’engagement citoyen, de leadership civique et de transformation sociale. Il cible tout individu, âgé de 18 à 35 ans, démontrant une motivation à utiliser le numérique pour renforcer la participation citoyenne dans la construction de la cité et promouvoir la citoyenneté. AfricTivistes Civic Engagement Tour-Afrique de l’Ouest (Programme ): Nouakchott ouvre le bal Les jeunes formés sont exhortés à partager leurs actions menées autour de l’engagement citoyen avec un ensemble d’acteurs issus de leur communauté. Ce qui leur permettra ainsi de développer un réseau d’acteurs dynamiques et de pérenniser leurs interventions au sein de leur localité. Les porteurs de projets seront appuyés par AfricTivistes et ses différents partenaires et collaborateurs en Afrique de l’Ouest pour une meilleure formulation de leurs actions et engagements. A lire aussi Un nouveau site d’Information axé sur le fact checking lancé samedi Au terme des sessions, chaque jeune recevra une série d’outils nécessaires à la mise en place de la promotion de la citoyenneté, la transformation sociale, le narratif local sur les réseaux sociaux et la planification stratégique d’action citoyenne à court et long terme. Le hashtag (#SunuCitoyennete) sera disponible pour suivre toutes les activités du projet et partager les différentes initiatives des participants. Pour rappel, la phase pilote du programme ACET s'est déroulée au Sénégal dans les régions de Dakar, Saint Louis, Ziguinchor

et Fatick. Elle a permis de former près de 200 jeunes qui actuellement soit travaille en étroite collaboration avec leurs communautés ou déroulent des activités à grand impact social.

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naantokhi · 1 year

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et Fatick. Elle a permis de former près de 200 jeunes qui actuellement soit travaille en étroite collaboration avec leurs communautés ou déroulent des activités à grand impact social.

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toutmontbeliard-com · 2 years

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Nupes Pays de Montbéliard : grève du mardi 7 mars 2023

La Nupes du Pays de Montbéliard communique : "Les organisations politiques membres de la NUPES saluent la mobilisation de ces millions de travailleurs, jeunes, retraités qui, depuis le 19 janvier 2023, expriment leur opposition à cette réforme des retraites. Ces personnes sont déterminées à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans. Malgré la propagande du gouvernement qui ne convainc pas du bien-fondé de sa réforme, l’écrasante majorité de la population comme 90% des salariés font preuve de détermination et rejettent cette réforme brutale, inacceptable et inutile. En opposition à ce projet de réforme des retraites, l’unité des organisations syndicales a construit un mouvement solide, déterminé, ancré dans le paysage social de tout le pays. En complément de ces manifestations, c’est plus d’un million de personnes qui ont signé et diffusent la pétition en ligne proposée par les organisations syndicales. Cette opposition à la réforme touche désormais toutes les strates de la population. Malgré cela, le gouvernement et le président de la République restent sourds et dégradent la cohésion sociale du pays en refusant toujours de retirer ce projet injuste. C’est pourquoi nous soutenons l’intersyndicale qui réaffirme sa détermination à mettre la France à l’arrêt le mars 7 mars 2023 en appelant à une participation massive aux manifestations organisées. Nous appelons tous nos militants à participer aux actions prévues par l'intersyndicale dans le Pays de Montbéliard. Manifestation à 14h30 au Champ de Foire à Montbéliard. Le 7 mars doit être une véritable journée morte dans les entreprises, les administrations, les services, les commerces, les écoles, les lieux d’études, les transports… A l'occasion du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, nous rendrons visibles les conséquences particulièrement graves de ce projet pour elles. Ensemble, dès le 7 mars, mettons un coup d’arrêt à ce projet de réforme des retraites inacceptable". Read the full article

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christophe76460 · 1 month

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La délivrance du tabac

Dans sa recherche du bonheur, l’homme a pris différentes voies qui l’ont laissé déçu. Parmi celles-ci se trouvent les richesses, les activités sociales et l’usage du tabac et de l’alcool. Toutes ces choses ont laissé l’homme avec un vide intérieur. Dans Jean 4.1-30, Jésus fait référence à ce vide dans sa rencontre avec la femme samaritaine qui puisait de l’eau. Il lui a offert de l’eau vive qui comblerait la soif de son âme. L’eau du puits a comblé sa soif physique, mais Jésus a satisfait sa soif intérieure.

Probablement peu de gens aujourd’hui admettraient qu’ils ont un besoin, ou une soif intérieure, dans leur vie. Même si les actions physiques et les désirs étouffent souvent ce besoin, il est toujours présent. Pour cette raison, Dieu a envoyé Jésus pour délivrer l’homme des tentations et péchés de ce monde (ou de la chair). Il tend de l’espérance aux captifs du péché, une espérance de liberté et de renouvellement pour nos cœurs et nos esprits.

➡ Pourquoi les gens utilisent le tabac

Pourquoi est-ce que les gens utilisent le tabac aujourd’hui? Est-ce qu’il donne une satisfaction durable? Peut-être que des amis qu’on admire ont cette habitude, ce qui pourrait rendre désirable l’action de fumer. Quelquefois les gens sentent le besoin de faire certaines choses, qu’ils ne feraient pas normalement, seulement dans le but d’être accepté. Y a-t-il un sentiment d’insécurité qui a besoin d’être comblé? Il serait bien que chacun analyse ces questions sérieusement.

L’insécurité pousse souvent une personne à passer son temps à faire des activités qui l’empêchent de penser aux choses plus importantes de la vie. Parfois quelqu’un développe des habitudes qui lui donnent l’apparence d’être maître de soi. Les gens nerveux sentent souvent le besoin d’un objet dans la main pour se calmer. Ils deviennent dépendants des cigarettes, mais n’y trouvent aucune tranquillité durable.

Plusieurs jeunes gens sont influencés à essayer la cigarette. Leurs amis peuvent leur offrir une bouffée. La publicité montre de jeunes adultes en santé en train de faire usage du tabac, ce qui donne l’impression que c’est la chose à faire. Certains peuvent imiter leurs parents qui fument. Ils pensent qu’ils peuvent maîtriser leur désir de fumer et sont certains qu’ils peuvent arrêter n’importe quand. Cependant, ils se rendent compte trop tard qu’ils ne peuvent plus arrêter et sont esclaves du tabac.

➡ Est-ce que le tabac est péché?

Est-ce que c’est mal d’utiliser le tabac ? Est-ce que la Bible dit que c’est péché? Ces questions sont posées fréquemment et elles méritent une réponse. Non, la Bible ne fait pas mention du tabac. Cependant, elle donne des directives et des principes qui peuvent être utilisés comme guide.

La Bible enseigne clairement que nos corps ne nous appartiennent pas, mais sont destinés comme des temples de Dieu et de son Saint-Esprit. 1 Corinthiens 3.16, 17 nous montre que c’est péché de faire du tort ou de souiller nos corps : «Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous? Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint, et c’est ce que vous êtes.» Il a été clairement prouvé que l’usage du tabac affaiblit et même détruit le corps qui a été conçu pour rendre honneur et service à Dieu. «Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes?» (1 Corinthiens 6.19).

Dieu plaide auprès des hommes de s’abstenir des désirs charnels qui diminuent leurs sens spirituels. «Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme» (1 Pierre 2.11). Mis ensemble, les distractions des valeurs authentiques et les plaisirs de la chair qui sont cherchés dans l’usage du tabac, l’identifient comme un agent qui «fait la guerre à l’âme.» L’usage du tabac est un effort pour satisfaire la nature charnelle. La Bible dit, «Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’esprit s’affectionnent aux choses de l’esprit» (Romains 8.5).

Dieu désire que ses serviteurs vivent des vies pures, séparées de la société incrédule qui les entoure. En acceptant Christ et sa voie, et en portant sa croix, une personne sera amenée à vivre une vie différente de ceux qui ne sont pas chrétiens. L’apôtre Paul a écrit, «Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d’autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde!» (Galates 6.14). Peut-on dire que l’usage du tabac est une habitude saine, pure et inoffensive? Est-ce que cet usage doit faire partie de la vie d’une personne qui a été séparée du monde par la croix de Christ ? Nous devons conclure que son usage identifie une personne à ces nombreuses autres qui se trouvent sur la voie large et qui cherchent leur propre plaisir plutôt que la volonté de Dieu.

➡ Un mauvais usage des ressources

Le besoin de dépenser de l’argent pour du tabac prive souvent les enfants et les adultes des nécessités de la vie — nourriture, vêtements et même maisons. Cet usage égoïste de l’argent cause beaucoup de souffrance et d’inconfort dans le monde aujourd’hui. Des milliards de dollars sont dépensés annuellement à acheter du tabac pour un plaisir égoïste. Le Seigneur déclare, «Pourquoi pesez-vous de l’argent pour ce qui ne nourrit pas ? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents» (Ésaïe 55.2).

➡ Dieu peut délivrer

Dieu vous aime et veut que vous veniez à lui tel que vous êtes. Il est bien capable de vous délivrer. Même si le tabac rend une personne très dépendante, et que vous en éprouviez un besoin maladif, Dieu va volontiers utiliser sa force toute-puissante pour vous aider à surmonter votre problème. « Quel Dieu est semblable à toi, qui pardonnes l’iniquité, qui oublies les péchés du reste de ton héritage? Il ne garde pas sa colère à toujours, car il prend plaisir à la miséricorde. Il aura encore compassion de nous, Il mettra sous ses pieds nos iniquités ; Tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés » (Michée 7.18, 19).

Si vous faites usage du tabac, il se peut que plusieurs questions viennent à votre esprit. Vous pouvez demander, «Que penseront mes amis si j’arrête de fumer? Que penseront-ils si je ne peux pas arrêter? J’ai déjà essayé et j’ai échoué. Le désir pour une cigarette est si fort. En fumer une me donne du soulagement — jusqu’à ce que j’éprouve le besoin pour une autre. Qui va m’aider? Est-ce que Dieu comprend comment je me sens?»

Dieu voit votre cœur. Il ne voit pas seulement vos habitudes et vos problèmes, mais il voit comment Satan vous a piégé. Votre propre orgueil peut vous avoir attiré ces problèmes en utilisant votre désir d’être approuvé par vos amis. Jésus est mort sur la croix pour délivrer de la servitude du péché. Ceux qui reconnaissent leur besoin de délivrance et qui crucifient leur chair trouveront de l’aide. Romains 6.5, 6 nous instruit en ces termes : «En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché.»

Dieu nous a créés à son image et s’attend à ce que nous le glorifiions avec notre vie. Les Écritures disent dans 1 Corinthiens 6.20, «Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.» Les choses qui ne glorifient pas Dieu sont particulièrement celles qui, plus tard, laissent un sentiment de vide. Les gens sont tentés de toujours les recommencer en espérant trouver du plaisir. Mais, hélas! Ça ne dure pas. La compassion et la miséricorde de Dieu s’étendent à ceux qui sont pris dans ce cercle vicieux pour les amener dans une nouveauté de vie en Christ. «Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles» (2 Corinthiens 5.17).

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idevart-blog · 2 years

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Avec 1 million d’utilisateurs actifs chaque mois, TikTok était le 7ème réseau social en 2021. Centrée sur le divertissement, la danse, l’humour, les DIY et le fitness, l’application a même dépassé Twitter et Snapchat. Côté croissance, elle a connu une hausse de 1157,76 % de ses utilisateurs entre 2018 et 2020. Enfin, TikTok est le réseau social où les sessions sont les plus longues (en moyenne 11 minutes). Cela représente un total de 68 milliards d’heures passée sur l’application en 2019 ! Tandis que le marketing d’influence connaît un réussite fou, TikTok semble donc être la plateforme incontournable pour toucher un public jeune et dynamique. Rappelons que ce type de marketing tend à promouvoir une marque via des personnalités des réseaux sociaux – des influenceurs. Qu’il s’agisse de nano-influenceurs ayant moins de 10 000 abonnés ou de mega-influenceurs qui en comptent plus de 500 000, le marketing d’influence offre une visibilité et un pouvoir de conversion exceptionnels. Désormais, voici 4 astuces pour optimiser votre marketing sur TikTok. Inspirez-vous des exemples de marques pour booster la vôtre sur ce réseau social si populaire ! 1 / Incitez les utilisateurs à créer du contenu autour de votre marque La première approche consiste à employer le contenu généré par l’utilisateur (CGU). Il s’agit d’inciter votre public cible à créer du contenu autour de votre marque, afin de la promouvoir. En outre, les vidéos créées par d’autres utilisateurs sont plus authentiques et plaisent davantage au public de TikTok. Pour ce faire, vous devez faire preuve de créativité en proposant un thème attractif. Notamment, les défis sont très populaires et encouragent les participations et les partages. Pensez aussi à créer un hashtag associé à ce challenge. Cela vous offrira plus de visibilité et augmentera les chances que votre action marketing devienne virale. Par exemple, Guess a lancé le hashtag #InMyDenim en 2018. Pour ce défi, des influenceurs devaient publier des vidéos où ils passaient d’un look échevelé à un style glamour. Prenons l’exemple de Fortnite, dont l’audience jeune est très active sur TikTok. Pour engager cette audience, le développeur Epic Games a lancé un challenge en 2020 : #EmoteRoyaleContest. Il invitait les utilisateurs à créer des danses originales susceptibles de devenir des emotes officielles pour les personnages du jeu. 2 / Faites appel aux micro-influenceurs Deuxièmement, vous pourriez aussi promouvoir votre marque en passant par des micro-influenceurs. Ils sont plus abordables que les grandes célébrités de TikTok, tout en ayant un potentiel intéressant. En effet, si vous les choisissez judicieusement, ces petits influenceurs pourraient vous apporter de nombreux consommateurs. Assurez-vous donc que leur audience corresponde parfaitement à la vôtre, et que leurs messages soient en cohérence avec les vôtres. Cela améliorera vos chances de réussite. Quand vous faîtes appel à des influenceurs, quels qu’ils soient, précisez bien vos attentes. Un brief clair évitera les pertes de temps pour eux comme pour vous. Gymshark exploite depuis longtemps le marketing d’influence sur Instagram. La marque de fitness a envahi TikTok début 2019 avec son challenge sportif « 66 Days: Change Your Life » (#gymshark66). Pour une meilleure visibilité, elle s’est associée à 6 influenceurs du secteur du fitness Pour garder une homogénéité, fournissez aussi certains éléments visuels de votre marque. Par exemple, envoyez à vos micro-influenceurs votre logo en haute définition afin qu’ils puissent l’intégrer dans leurs publications TikTok. Si vous démarrez et que vous souhaitez créer votre logo, vous pouvez aller sur le site de Tailor Brands. La plateforme vous permet d’en générer un facilement et rapidement, qui soit cohérent avec votre image de marque. D’ailleurs, vous pouvez même consulter le compte TikTok de @TailorBrands pour révéler les créations uniques d’une multitude d’utilisateurs. 3 / Exploitez les publicités TikTok

Une autre option est d’employer les publicités TikTok. Les plus populaires et abordables sont les annonces In-Feed, qui apparaissent dans le flux de l’utilisateur d'après ses centres d’intérêt. Il s’agit d’une vidéo jusqu’à 60 secondes, avec la marque, un texte de 100 caractères maximum, un appel à l’action et une URL de destination. C’est le type de TikTok Ad qu’a choisi Maybelline pour lancer son nouveau mascara en Espagne. En partenariat avec @lolaloliitaaa, la marque de cosmétiques a créé une publicité One Day Max In-Feed Ad. On y voit l’influenceuse employer le mascara Lash Lift de manière naturelle. Surgissant au milieu d’autres CGU, cette vidéo immersive d’aspect authentique a généré plus de 3,5 millions d’impressions et 109 000 likes. Il y a plusieurs aussi les TopView Ads, qui apparaissent en haut du flux « Pour toi » durant la première ouverture de l’appli. Ce format offre une très grande portée et un nombre élevé d’impressions. Enfin, la Brand Takeover Ad apparaît à l’ouverture de TikTok, en plein écran. Durant entre 3 et 5 secondes, cette publicité premium est très coûteuse. 4 / Créez vos propres vidéos TikTok Enfin, vous pouvez aussi créer vos propres vidéos TikTok. Elles doivent être courtes, engageantes et fidèles à votre image de marque. Sur cette application énergique, la créativité et l’originalité sont de mise. Tout en montrant votre expertise, n’hésitez donc pas à miser sur l’humour. De plus, veillez à monter une vidéo suffisamment dynamique. Et si vous y incluez du texte, assurez-vous qu’il soit lisible (police de caractères et temps d’affichage). En bref, il faut que les utilisateurs aient envie de liker et partager vos vidéos TikTok pour qu’elles fassent le buzz. Alors inspirez-vous des tendances ou lancez la vôtre !

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wabinfos · 3 years

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Mongala: Evasion des cinq voleurs à main armée dans l’AMIGO de l’Auditorat Militaire de Garnison

Cinq voleurs à main armée qui se trouvaient en détention au sein de l’AMIGO de l’Auditorat Militaire de Garnison de la Mongala à Lisala ont réussi à s’évader de cette maison carcérale le 27 juillet 2021, au environs de 19h00. Alors qu’il leur restait seulement une seule journée consacrée pour la plaidoirie dans un procès en audience publique à chambre foraine par le Tribunal Militaire de Garnison…

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#Action des jeunes pour le bien-être social #actualité Mongala #AJBS #RDC

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alexar60 · 3 years

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Escalier

Je n’ai jamais compris pourquoi elle était entrée dans cette secte, parce qu’il s’agissait bien d’une secte ! A cette période, elle allait terriblement mal. Elle sentait sa vie s’enfoncer de plus en plus dans la dépression, la peur et l’instabilité. Après les études, elle ne trouva pas de travail, son copain était parti. Puis, il y a eu le sentiment d’être incomprise par sa famille. Alors, elle a ouvert la porte de cet établissement soupçonné d’accueillir une fausse religion.

Je ne sais plus comment cela est arrivé. Je crois que c’est une copine pendant une soirée. Elles ont discuté avant de l’inviter à découvrir son lieu de bien-être. Elle est entrée dans ce monde, a participé à une de ces messes. Elle a de suite été charmée notamment grâce au soutra du lotus. En fait, elle s’est reconnue dans certains passages. Ensuite, il y eut des discussions avec des gens agréables et sympathiques. Il y eut une nouvelle invitation, puis une autre. Il y eut des sourires en sortant de ce temple, et surtout, un bien-être de se retrouver. A chaque fois, elle était aux anges, heureuse de pouvoir revivre.

Trois mois après son adhésion, elle me proposa de venir ; au moins voir. Seulement, je n’étais pas curieux. Dès lors, elle organisa des réceptions chez elle où elle invitait, aussi bien quelques amis fidèles comme moi, que ses nouveaux amis. Les soirées devinrent vite tendues car elles se finissaient toujours par des conversations sur le bien-être, la vie sociale, les problèmes qu’on ne voyait jamais. Et malgré leurs sourires, nous sentions qu’ils étaient faux. Ils ne s’amusaient pas, ne dansaient pas. Ils ne flirtaient pas non plus, ils n’avaient rien de jeunes ni de vieux au demeurant. En fait, on avait l’impression de faire face à des robots qui se contentaient de réciter un texte tiré d’un vieux livre de philosophie à la mode catholique-bouddhiste-indou avec une pincée d’islam. Et si on leur disait qu’ils étaient dans une secte, ils niaient farouchement en expliquant que leur association était totalement laïque.

Suite à cela, poussée par ces tristes personnages, elle fit le tri dans ses derniers amis. Elle coupa les ponts. Je fus le tout dernier à rester jusqu’au bout. J’avoue, j’étais un peu amoureux d’elle et je la voyais dépérir étrangement. Alors, j’ai accepté pour lui faire plaisir, surtout pour continuer à la voir. Elle entra plus souvent dans ma vie, heureuse que je sois toujours avec elle. Elle m’invita à ces messes. Je découvris la lecture de leur bible. Moi aussi, j’ai ressenti quelques émois en lisant des passages touchants. J’écoutai les adeptes parler du bonheur obtenu grâce à l’enchantement de cette lecture. J’ai entendu les témoignages de joie après une bonne action ou du sentiment d’avoir progressé dans les étapes de la vie. J’ai trouvé cela si touchant.

Pour lui faire plaisir, j’ai adhéré à cette mascarade. J’ai participé aux réunions du soir, j’ai reçu ces adeptes dans mon domicile afin d’organiser une lecture collective de leur livre. J’ai payé une cotisation. Mais petit-à-petit, il y avait autres choses. Lentement et surement, ils s’incrustèrent dans ma vie, critiquant mon régime alimentaire, mes connaissances, mes relations. Même mon avenir était remis en cause, à moins que je fasse don de quelque-chose pour leur église. Ce fut elle qui posa la question ? Un don à qui et à quoi ?

Une semaine plus tard, nous étions dans le centre. Nous fîmes une prière dans la salle principale. Juste après, je fus stupéfait de voir quelques membres importants vêtus d’une bure. Leur apparence ecclésiastique me dérangea si bien que je voulus quitter l’endroit. Cependant, par respect, et parce que je ne voulais pas laisser mon amie seule, je décidai de rester.

Peu après la messe, les moines entonnèrent un étrange chant avant de nous inviter à les suivre. Je pensai connaitre le bâtiment puisque nous faisions régulièrement des réunions. A l’étage, il y avait des salles de discussion, au ré-de chaussée, la salle principale ainsi qu’une salle de repas et une cuisine. Par contre, nous nous arrêtâmes devant un long rideau noir que je n’avais jamais remarqué. Le grand prêtre dont la robe était entièrement noire, tira le rideau, faisant apparaitre une porte d’un bois fort ancien. Pendant que nous retînmes notre respiration, il poussa la porte laissant place à un trou rectangulaire et effroyablement noir. Je regardai mon amie dont le sourire avait disparu. Sa peau était terriblement blanche, signe qu’elle avait peur et regrettait d’être ici. Le leader prononça quelques mots, d’abord dans notre direction ensuite vers celle de la porte.

Soudain, une lumière éclaira une partie du trou, montrant la présence d’un escalier. Je tendis la tête pour mieux voir mais je ne remarquai rien d’autre que les premières marches qui donnaient une impression de mâchoire aux dents limées, prête à se refermer sur moi si j’osai m’y incruster. Mon amie demanda quoi faire. Au moment où l’un des meneurs nous ordonna de descendre, une senteur nauséabonde remonta l’escalier jusqu’aux narines. Je compris qu’il n’y avait rien, que la porte était fermée depuis des lustres ! Pourtant, j’entendis quelque-chose remuer. Des rats, probablement ? Cela déplut à ma copine qui hésita à avancer.

Une proche de mon amie raconta que tout le monde était descendu pour le baptême et l’adhésion au groupe. Et si, nous étions dignes de leur confrérie, alors, nous remonterions transformés et heureux. Je reconnais avoir eu beaucoup de mal à la croire. Par contre, mon amie entendit ces mots doux et rassurants qui la poussèrent à franchir le seuil. Elle posa le pied sur la première marche grinçante. Puis, elle commença à descendre, s’enfonçant dans les ténèbres.

Sans attendre, je la suivis. Tout-à-coup, je sentis le souffle de la porte en train de se refermer dans mon dos. Elle cria, apeurée de se trouver dans le noir complet. Je la rassurai et n’ayant aucune garantie de la solidité de l’escalier, je proposai de continuer de descendre. Mes mains gardèrent le contact avec le mur ; une crasse visqueuse collait à mes doigts. Derrière moi, j’entendais les chants et les clameurs de la secte ; des prières dans une langue inconnue. Nous descendîmes très lentement quelques marches. Par moment, elle disait avoir peur, ne pas se sentir bien. Je pense qu’elle pleurait. Puis, il y eut un énorme grognement.

Cela venait du fond de la grotte ou de la cave dans laquelle nous descendions. Je n’ai rien entendu de comparable ni de pire. Je m’arrêtai, elle resta paralysée par ce hurlement diabolique. Elle voulut remonter mais l’escalier était trop étroit et les marches certainement trop fragiles pour supporter deux personnes en même temps. Alors, nous restâmes dans le noir sur cet escalier de malheur à ne pas savoir ce que nous devions faire. Remonter et constater que la porte restera fermée ou descendre et affronter une horreur de la nature ? Et si c’était un canular ? Alors, je proposai quand même de continuer. Il ne peut rien arriver, me dis-je.

L’atmosphère empestait de plus en plus. Cela puait la charogne avec un soupçon de moisi. L’odeur devint si forte qu’il imprégna mes narines et ma gorge. Je voulus vomir tellement cela montait au nez. Elle descendit marche par marche. Elle arriva sur une sorte de palier. Et elle attendit que je la rejoigne. Mais en un éclair, quelqu’un l’agrippa. Elle hurla, supplia de l’aider. Seulement, il m’était impossible de savoir par où elle venait de partir. L’écho de ses cris se dispersait dans la cave. Je ne savais pas quoi faire. J’entendis grogner, puis hurler et un bruit, un choc terrible résonna avant le silence absolu !

Je restai tremblant, pétrifié sur les dernières marches. Je ne savais pas quoi faire. Mes yeux n’étaient pas encore habitués à l’obscurité du lieu, mon ouïe n’entendit rien. J’étais perdu tel un aveugle dans une salle vide. Et j’avais peur, me demandant ce que je devais faire. Je n’osai pas l’appeler non plus, par peur d’attirer la chose.

« Tout va bien ! dit-elle sèchement. Nous pouvons remonter ! » Je ne l’avais pas entendu venir vers moi. Dès lors, elle me suivit. Une fois en haut des marches, elle récita une prière, la porte s’ouvrit laissant apparaitre une lumière aveuglante. Les autres attendaient en formant deux rangées de chaque côté du couloir. Ils entonnèrent des chants puis ils se turent lorsqu’elle leva la main. Le chef de la secte la serra dans ses bras en disant : « bienvenue ma sœur ! » Il s’approcha ensuite de moi et après avoir fixé mon regard, il regretta que je ne sois pas digne de leur foi. Alors, je fus prié de quitter leur temple sans jamais revenir.

Mon amie n’eut aucun mot à mon sujet. Elle me défia d’un regard méconnaissable. Par la suite, j’ai cherché à appeler mon amie, mais elle n’a jamais répondu à mes appels. Depuis ce jour, elle m’évite et passe de plus en plus de temps dans cette secte. Par moment, j’ai l’impression qu’elle est encore en bas de cet escalier. C’est certain, elle y a laissé quelque-chose ! Alors, cette nuit, j’ai décidé d’y pénétrer et de descendre à nouveau pour connaitre le fin mot de l’histoire.

Mon dieu que j’ai peur !

Alex@r60 – août 2021

#Alex@r60 #texte #french #français #fantazy #horreur #30jourspourécrire

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aisakalegacy · 3 years

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Printemps 1862, Hylewood, Canada (1/9)

Chère cousine Eugénie,

J’ai été absolument navré de prendre connaissance du contenu de votre dernière lettre. Je comprends votre détresse, le sentiment de trahison et d’injustice qui vous anime. Vous avez largement rempli votre devoir, vous méritez d’être célébrée pour cela et que l’on vous rende le traitement qui vous est dû. Je comprends votre hargne et vous avez toute ma sympathie. Mais j’ai besoin une fois encore du conseil d’André, sur une affaire dont je l’ai déjà entretenu et au sujet de laquelle il est le seul à pouvoir m’éclairer. Je vous prie de lui remettre le feuillet suivant, à sa discrétion seule.

Je vous prie d'accepter, chère cousine, avec mes hommages, l'expression de mon respectueux dévouement.

Auguste Le Bris

⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂ ⁂

André,

Je vous écris avec empressement après avoir reçu une lettre de votre épouse, dans laquelle elle m’entretient de sa découverte de vos enfants naturels. Je ne m’étendrai pas davantage sur cette dernière. Cousine Eugénie m’écrit que votre maîtresse est désormais mariée. J’imagine que vous avez fait amende depuis longtemps, et que vous souffrez déjà bien assez des conséquences de vos erreurs passées. Rachetez-vous auprès de votre épouse. Vous lui devez tout votre succès et vous lui devrez tout succès à venir. Rendez-le-lui comme il se doit.

Je ne pouvais décemment ne pas vous faire mention de cette lettre. J’imagine que votre épouse vous a annoncé son action aussitôt qu’elle fut postée. Mais cette dernière affaire n’est pas ce qui me pousse à vous écrire aussi vite. Dans votre dernière lettre, vous m’écrivez de ne pas accorder trop de crédit à l’histoire de ma mère, et m’aviez incité à écouter ce que me dicte ma raison. J’admets être assez impressionnable, et son récit m’avait profondément bousculé. Votre lettre m’avait convaincu d’une explication plus rationnelle, et, rallié à votre avis, je n’y avais plus pensé. De nouveaux éléments me poussent cependant à reconsidérer la véracité de cette piste…

Il me faut commencer mon récit par le début. Vous savez que je suis un littéraire. Je monte à cheval, je jardine, mais je ne suis pas un homme très actif. Je ne me suis jamais battu, même lorsque j’étais moqué, plus jeune, par les autres enfants de mon âge. Croyez-le ou non, je vous écris pourtant avec l’arcade sourcilière ouverte. Comme quoi, il y a une première fois à tout !

Je vous avais mentionné, lors de ma dernière lettre, mes fiançailles avec Mademoiselle Rumédier. Ce que j’ignorais alors, c’est qu’elle avait déjà un amoureux, avec lequel elle a bien entendu rompu immédiatement mais qui me voue depuis une haine certaine. Et naturellement, cet éconduit n’est autre que Nicolas Leloup, mon tortionnaire d’enfance, le seul jeune homme de mon âge à Hylewood, dont je vous entretenais déjà enfant…

Depuis que j’élève des chevaux, outre les vendre, j’ai la responsabilité de les monter. Ces promenades sauvages sont agréables et me permettent de prendre un peu l’air. L’autre soir pourtant, ma sortie a été écourtée… Je chevauchais dans le bois d’Hylewood. Il commençait à se faire tard, et je décidai de rentrez chez moi en empruntant le seul chemin praticable en cette saison. Me barrant la route, Monsieur Leloup m’attendait à la lisière du village. Je n’allais pas le bousculer, et celui-ci commençait à effrayer ma monture, aussi pris-je la décision de mettre pied à terre pour lui faire face. Ce lâche me couvrit d’insulte, jusqu’à me faire perdre patience. Le premier coup parti de mon poing, il répondit, et cela dégénéra en bagarre… Il était de toute évidence plus habitué que moi à ce genre d’exercice, car il me laissa confus, endolori et contusionné, à peine assez conscient pour comprendre les obscénités et autres menaces qu’il m’assenait en partant. Lorsque enfin je me relevai, le matin commençait à poindre et il était déjà loin.

[Transcription]

Nicolas Leloup : Alors, Le Bris ? On s’essaye à l’élévation sociale en volant la femme des autres ?

Auguste Le Bris : Mademoiselle Le Bris est responsable de ses propres décisions. Si vous avez quelque chose à redire, je vous en prie, dites-le-lui vous-même. J’ai hâte de voir sa réaction.

Nicolas Leloup : Tu te crois malin ? Ta copine, t’es le seul à ne pas être encore passé dessus. C’est un bien endommagé.

Auguste Le Bris : Ferme-la. Ne parle pas comme ça de Jacqueline.

Nicolas Leloup : Oh ? Le rat de bibliothèque se rebelle ? Au secours. Tu vas faire quoi ? Me réciter un texte en grec ?

Auguste Le Bris : Ferme-la, je t’ai dit.

Nicolas Leloup : T’as raison, il ne faut pas trop que je t’énerve. Tu risquerais de foutre le feu à ma maison, comme ton taré de père.

#ts3 #simblr #legacy challenge #history challenge #decades challenge #lebris #lebrisgen2 #Auguste Le Bris #Jacqueline Rumédier #Jacques Le Bris #Nicolas Leloup

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nonscolemondedapres · 4 years

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Manifeste pour une société non violente et respectueuse des enfants en tant que personnes

(à l'occasion des projets d'encadrement total de l'enfance énoncés par le gouvernement français - 2020)

Nous voulons une société libre, égale, fraternelle et résiliente.

Nous disons que les enfants n’appartiennent à personne d’autre qu’à eux-mêmes.

Pas à leurs parents et pas non plus à la République.

Nous voulons des institutions collectives libres, égales, fraternelles et résilientes, qui permettent de ne laisser personne au bord de la route, ET nous voulons des libertés individuelles, pour que chaque personne puisse choisir la route qui lui convient le mieux.

Nous voulons une autre école ET l’instruction en famille, nous voulons une population entière sensibilisée à ce qu’est l’adultisme et formée à la non-violence éducative.Nous ne renonçons à rien.

Nous disons que toutes les vies ont la même valeur, que les êtres devraient naitre libres et égaux, et que les intelligences sont multiples, non destinées à subir passivement un moule de formatage identique. Nous disons que tous les pédagogues sont des créatifs capables de révéler tous les talents, et que les enfants, les bébés, les vieillards, les étiquetés différents, les méprisés ne sont pas les plus petits d’entre les pédagogues. Nous disons que l’on apprend d’un arbre, d’une fourmi, d’une poussière d’étoile, d’un conflit, bref, de la Vie en général. Nous disons avec Paulo Freire que « personne n’éduque autrui, personne ne s’éduque seul, les êtres humains s’éduquent ensemble par l’intermédiaire du monde ».

Nous disons que ceux qui veulent, aujourd’hui, rendre la scolarisation obligatoire dans une école qui a 120 ans de retard pédagogique et 60 ans de retard en non-violence éducative le font par intérêt personnel et par calcul politique. Sans méchanceté particulière, par simple faiblesse humaine de vouloir maintenir un statut et un mode de vie, conserver un ordre établi dans lequel ils sont confortables et qui est menacé par les revendications de justice qui montent, partout. Un mode de vie dont nous voyons, nous, qu’il repose sur l’exploitation passée et actuelle de populations, de territoires et d’écosystèmes, selon des logiques de domination systémiques croisées complexes de classe, d’origine, de culture, d’âge et de genre. Un mode de vie qui nous mène droit dans le mur du réchauffement global et des changements climatiques.

Nous, parents signataires, savons qu’il y a, à l’intérieur de l’institution école des gens qui pensent l’enfant en tant que personne capable de ses choix, qui se souviennent de l’enseignement mutuel, qui prennent en compte les acquis de l’éducation dite « nouvelle », qui s’intéressent à l’incroyable vitalité pédagogique que l’on trouve dans les écoles alternatives, les tiers lieux à vocation éducative, l’éducation populaire et … dans l’instruction en famille. Nous savons que 3,5% de convaincus suffisent à changer le monde.

Nous, enseignants, animateurs, facilitateurs, éducateurs, orthophonistes, pédopsychiatres, psychologues, militants associatifs…signataires, qui prenont en charge des enfants avec qui nous ne vivons pas, savons que la relation d’attachement parent-enfant, quelque soit sa qualité, est primordiale dans la structuration psychique de la personnalité de l’enfant, et qu’il est absolument central de lui faire une place à nos côtés, dans toutes les circonstances.

Nous, hors des frontières de France, signons aussi pour manifester notre soutien à ceux qui, en France, se lèvent aujourd'hui pour la liberté des enfants.

Nous voulons la reconnaissance des enfants en tant que personnes.

Nous voulons le droit à l’auto-détermination des enfants.

Pour ceux qui le souhaitent, le droit à s’instruire en famille, dans le monde, sans être violentés.

Pour ceux qui le souhaitent, le droit à s’instruire au sein d’un espace collectif à inventer, public, gratuit, inclusif, respectueux des rythmes, ouvert au monde, non compétitif, riche de diversités pédagogiques et de libertés pour les enfants.

Nous voulons l’accès à l’instruction pour tous, et pas que dans l’enfance, tout au long de la vie.

Nous voulons le droit pour tous les enfants à grandir sans violences physiques ou psychologiques, sans inégalités sociales, économiques, culturelles, de classe, de genre, d’origine ou en raison de leur handicap.

Nous voulons le soutien économique aux parents leur permettant d’avoir du temps pour exercer leur parentalité – non patriarcale, répondant aux besoins des enfants – fonction d’utilité publique pour une société résiliente.

Nous voulons un monde où l’enfance non violentée soit le souci de tous.

Nous voulons une planète où nos enfants puissent vivre aujourd'hui et demain.

Nous voulons, tout simplement, la liberté, l'égalité, la fraternité et la résilience. En même temps.

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Vous pouvez signer ce manifeste en commentaire, ici ou sur facebook, ou en envoyant vos informations à : [email protected] (adresse cryptée).

Indiquez vos : nom, prénom, profession, avec combien d'enfant vous partagez votre vie si c'est le cas, lieu, pays. SAUF si vous êtes enseignant en poste dans l’EN, nomade, non déclarant, membre d'une communauté discriminée... Dans ces cas nous vous recommandons le combo prénom/ lieu (sans le nom de famille) ou nom/prénom sans le lieu. Mais la profession et les enfants, c'est important. :)

Ce manifeste n’est pas une revendication adressée au gouvernement, c’est une déclaration de nos fiertés et de nos valeurs, qui n’engage que ses signataires. Sans compromis, et parce que ça fait du bien. Pour les actions coordonnées concrètes à court terme, suivez les actions des associations IEF : LED’A, LAIA, CISE, UNIE, Collectif FELICIA ... et votre intuition.

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Premiers signataires :

Lakshmi Lanoire, danseuse géographe & mère à temps plein, partage sa vie avec trois enfants, Bains-sur-Oust, France.Sylvie - Mulhouse - Professeure de l'Education Nationale

Jean-Baptiste Malivernay - directeur organisme de formation, partage sa vie avec deux enfants, Besançon, France

Charlotte Limodin, consultante et formatrice, ex prof, partage sa vie avec deux enfants, Pays Basque.

Violette Bastin, philosophe entrepreneuse, facilitatrice/animatrice zd, ex chercheuse, ex prof, ex libraire, partage sa vie avec deux enfants, Bruxelles, Belgique

Caroline, éducatrice de jeunes enfants, partage sa vie avec deux enfants, AriègeMédée Hess, infirmière, partage sa vie avec trois personnes de -18ans, Marenne, Belgique

Simon Guichard, enseignant d'EPS, vivant avec un enfant, Nantes, France.

Lugdivine Gabriel, cadre territorial, ex assistante sociale, partage sa vie avec trois enfants, Grans, France

Caroline de Montlebert, ingénieur agronome, partage sa vie avec quatre enfants, Corenc, France

Sophie Masson, Conseillère agricole, partage sa vie avec deux enfants, Salies-de-Béarn, Pyrénées-Atlantiques

Aude Couet-lannes, Infirmière, partage sa vie avec quatre enfants, Reims, France

Valérie Kotti, mère a temps plein, tutrice/curatrice, partage sa vie avec un enfant, Nantes

Marylin Grollemund mère à temps plein, créatrice, partage sa vie avec trois enfants, Marseille

Antoinette Laurent, sociologue photographe, partage sa vie avec trois personnes dites mineures, Allauch, France

Olivier Venck, animateur-militant et père à temps plein, partage sa vie avec trois enfants, Allauch, France

Zoé Daligault, interprète de conférences, partage sa vie avec un enfant, à Toulon, France

Jonathan Mialon, père à temps plein, partage sa vie avec un enfant, sur la Terre

Sylviana Lamour , digital nomad, partage sa vie avec trois enfants, en mouvement

Angélique Mercier, auxiliaire de puériculture, assistante maternelle, partage sa vie avec deux enfants, Rognac, France

Karine, consultante en parentalité, partage sa vie avec trois enfants, Normandie

Les signataires suivants sont en commentaires.

#manifeste #unschooling #homeschooling #école #France #justicesociale #justiceclimatique #liberté #liberté égalité fraternité #mondedaprès

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claudehenrion · 3 years

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Notre roman national - ( II ) : La Nation et son Histoire

Il est évident que je ne risque pas de savoir qui je suis si on me force à oublier d'où je viens. Après l'Histoire, hier, il faut donc nous pencher sur la Nation, cette mal-aimée des heures tristes qui semblent avoir choisi de chasser le principal pour ne conserver que l'accessoire. Une Nation est, comme une famille, une structure sociale qui a jusqu'ici résisté au temps, aux modes, aux guerres, à l'intox... (comme le montre chaque match de la Coupe d'Europe de foot, en ce moment). Lorsqu'on le regarde depuis la droite, ce vocable honni des cuistres recouvre, résume et définit l'identité, la culture et la transmission... alors que, vu de la gauche, c'est égalitarisme, droit-de-l'hommisme, compassionnisme et ‘’table rase''. Pas facile !

Il ne saurait y avoir de Nation (c'est-à-dire un peuple rassemblé et uni autour d'une histoire partagée, qui la créé) sans le ''ciment'' qu'est sa culture, irremplaçable et indivisible, et la volonté de perpétuer cet héritage. Les maîtres d'école ''de l'ancien temps'', justement respectés selon leurs mérites, savaient maîtriser parfaitement l'évocation glorieuse de ''L'Histoire de France'' --en trois mots comme en un seul. Le résultat coulait de source : nous étions fiers d'être français ! Nos pédagogues actuels haïraient cette idée, s'ils savaient qu'elle a existé... puis ils se hâteraient d'aller défiler derrière des banderoles pour exiger leur droit à l'arrêt des attentats, pour clamer un soi-disant droit à blasphémer contre toute croyance extérieure à leur système de référence, et pour pratiquer leur ''droit de retrait'' (?), pendant que leurs jeunes victimes, desséchées par leurs mauvaises idées, se réfugient dans de soi-disant ''jeux'' de harcèlement cruel, ou dans la visite de sites pornographiques !

Et pourtant... on sait, depuis Cioran, que ''tant qu'une nation a la conscience de sa supériorité, elle est respectée. Dès qu'elle ne l'a plus, elle s'humanise et ne compte plus. Les peuples s'appuient sur leur passé glorieux pour fonder un avenir puissant''. Regardons le monde autour de nous : la Russie, la Chine, l'Iran ou la Turquie et son rêve ottoman, voire l'Etat islamique et sa fringale de Califat, ou, dans un genre différent, les pays dits ''de Visegrad'' --d'où viendra peut-être le salut de notre civilisation-- ont un sens aigu de leur histoire, que certains de leurs gourous (Erdogan, bien sûr, mais aussi tout musulman pratiquant, les pseudo féministes, les justiciers sans cause et les professionnels de l'anachronisme érigé en principe premier) n'hésitent pas à manipuler, ce qui est une faute impardonnable. Mais tout cela ne peut rien contre le formidable ''avantage compétitif'' qu'est le partage d'un ''roman national'' plein de héros magnifiques et de leurs victoires éclatantes... Et le destin d'Israël, par exemple, se joue certainement davantage sur le risque actuel de la perte de la formidable union nationale qui le rendait invincible... que sur la force intrinsèquement faible des armées arabes et du criminel Hezbollah iranophile.

La détérioration du lien entre Histoire et Nation trouve sa source dans l'évolution actuelle de notre rapport à l'Histoire. Aujourd'hui, une tendance malheureuse est de verser dans une temporalité quasi-orpheline : l'Homme ne doit plus avoir de passé et encore moins un futur, puisque seul compterait le présent... qui n'est qu'un inexistant philosophique. Or une Nation, au delà d'être ''un plébiscite de tous les jours'' (le mot est de Renan), est un passé riche de la volonté d'un avenir qu'il faut donc connaître, pour l'aimer, puis apprivoiser, pour le transmettre... On peut parler d'une ''volonté de tout partager'', ce qui est à l'opposé absolu de l'affreux concept du ''vivre ensemble'' dont nous menacent les cuistres : celui-là est passif -donc condamné d'avance à l'échec-- alors que la ''volonté'' est ''un actif en action'', si j'ose. Avec sa formulation en forme de condamnation, où leur faux concept peut-il mener qui que ce soit où que ce soit ? A part l'illusion qu'ils peuvent faire naître, que peuvent faire ces mots vides de sens d'autre que tuer tout ce qui les effleure ?

La critique est facile, et le XXè siècle ne s'est pas privé de se déchaîner sans aménité sur tout ce qui pouvait paraître naïf, exagéré, déplacé, ou caricatural dans cette manière de ''créer de l'unité''. Mais malgré les persifleurs, ce récit de nos origines fait partie de notre ''roman national'', construction mythifiée de l'histoire de France héritée de Michelet, destinée au public populaire, à l'école primaire et au foyer familial, et écrit à la fin du XIXe siècle par l'élite incontestée de nos plus grands historiens : Amédée Thierry, Henri Martin ou Ernest Lavisse... à la mémoire duquel l'expression ''Nos ancêtres les Gaulois'' est indéfectiblement liée : ''Autrefois notre pays s'appelait la Gaule et les habitants s'appelaient les Gaulois'', est une expression qui a marqué pour 200 ans notre inconscient national : imaginez donc, aujourd'hui, ce que pourrait être notre vie, sans Astérix ni Obélix ! ''Par Toutatis'', quel ennui ! Et comme absolument tous les pays ont suivi ce cheminement, celui qui s’abstenait perdait toutes les guerres à venir, par absence de patriotisme...

Lavisse précisait : ''Il y a dans le passé lointain une poésie qu'il faut verser dans les jeunes âmes pour y fortifier le sentiment patriotique. Faisons-leur aimer nos ancêtres les Gaulois et les forêts des druides, Charles Martel à Poitiers, Roland à Roncevaux, Godefroi de Bouillon à Jérusalem, Jeanne d’Arc, Bayard, et tous nos héros du passé, même enveloppés de légendes, car c'est un malheur que nos légendes s'oublient, que nous n'ayons plus de contes du foyer, et que, sur tous les points de la France, on n’entende pour toute poésie que les refrains orduriers et bêtes, venus de Paris (NDLR : Déjà !). La France ne peut pas vivre sans poésie''.

On n'était pas dupe, mais comme on les a aimés, ces héros de notre enfance, même un peu ''augmentés'' : ils ont été remplacés (car il n'est pas question de vivre sans rêves) par d'affreuses mangas japonaises, par Superman et Superwoman, Tarzan, l'Homme araignée, Rocky ou Rambo --parmi tant d'autres auxquels les enfants s'identifient facilement. Je ne suis pas convaincu que ni nous, ni nos enfants, ni la vérité, ni quoi que ce soit au monde, ait beaucoup gagné en remplaçant le Chevalier Bayard --même un peu surdimentionné-- par Sylvester Stallone ou Jeanne d'Arc par Gal Gadot ou Lara Stone, si jolies soient-elles....

Des ironistes, plus bêtes que clairvoyants, ont ironisé devant le fait que la France a exporté ces-ancêtres-les-gaulois en Indochine, et du nord au sud de l'Afrique, ce qui pouvait prêter à rire... En fait, c'était le seul moyen d'inonder de livres scolaires à bon marché les peuples dont la scolarisation aurait été impossible, autrement. Et penser que les merveilleux instituteurs d’alors n'entouraient pas chaque phrase de toutes les précautions nécessaires c'est leur faire insulte. J'en atteste : je l’ai vécu.

La querelle entre les “pro” et les “con” en matière de roman historique se résume en fait à une dispute sur la causalité et la finalité… ou à un désaccord sur le choix des moyens : vaut-il mieux enseigner des erreurs légères et très évidentes dont personne ne sera dupe… ou laisser les gens croupir dans une absence de “CE” mensonge-là, qui laissera les esprits avaler de “vrais mensonges” mille fois plus gros, mille fois plus nocifs, mille fois plus irrattrapables et… mille fois plus propices à semer la haine (nous le voyons chaque jour, depuis la victoire de cette stupide pudibonderie) ? Il semblerait que la campagne actuelle pour imposer de fausses vérités –fausses mais conformes à la doxa du jour–. entraîne des résultats qui sont mille fois plus catastrophiques que n'en ont jamais fait “nos ancêtres les gaulois” : eux, ils étaient aimés. Nos “pédagos” sont haïs. Faux progrès, où est ta victoire ?

H-Cl.

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memoire2cite · 3 years

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la cité YVES FARGES à terres neuves une constr de decembre 1961 ! Dans les années 60 la Ville est confrontée à une grave crise du logement, dans la cité ouvrière, les logements sont saturés. Bègles compte plus de 27 000 habitants en 1968. Pour y remédier les élus, dont Simone Rossignol, 1ère adjointe déléguée au logement et à l'aide sociale, lancent des chantiers de grands ensembles : la cité Monmousseau puis Yves Farges à Terres Neuves. Puis le 25 oct. 2010 Les habitants d'Yves-Farge pensaient déjà à l'avenir. A 10 h elles ont fait boOom..ses tours symbolisant la cité ouvrière des années 60 ... https://dailymotion.com/video/x1un8a la tour F de la cité Yves-Farge à Bègles (Gironde) a été foudroyée. C'est la troisième tour ainsi effacée du paysage depuis 2007. Cette démolition marque « une nouvelle étape dans l'aménagement du quartier Terres-Neuves, qui comptera 1 000 logements, 15 000 m 2 de locaux d'activités créatives, des équipements et des locaux professionnels (120 000 m 2 Shon au total) », estime André Lassansaa, directeur général de la Saemcib, bailleur social et maître d'ouvrage du renouvellement urbain du nord-est de la commune. Les constructions destinées au relogement sont situées dans un périmètre de 500 m des anciennes tours, conformément au souhait de Noël Mamère, maire et président de la Saemcib. « C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… » Je suis né en 1929 à Saint-Pey-de-Castets, en Entre-deux-Mers, où j’ai vécu jusqu’à mon installation sur Bordeaux en 1957. Communiste militant, j’ai déménagé à Bègles quelques années avant d’être élu premier adjoint au maire de Bègles en 1971, Cité Yves Farge, bâtiment A. C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… Plus tard, un plafond d’attribution a été fixé, ce qui a mis progressivement fin à la mixité. Comme ceux dont les revenus dépassaient un certain seuil devaient payer un surloyer, il devenait plus intéressant pour eux d’aller se loger dans les cités de cadres comme la Cité Maurice Thorez. Ce que l’on appelait à l’époque les ILN, les Immeubles à Loyers Normaux. Beaucoup de gens qui sont partis de Bègles faute de logement après la guerre sont revenus au début des années soixante. C’est Duhourquet qui a lancé les grandes constructions : La Cité Yves Farge, la Cité Maurice Thorez. C’est aussi l’époque où les HLM Midi ont lancé la construction de la Cité du Dorat. La société HLM gérait tout, le terrain était à eux, mais vingt pour cent des logements revenaient à la ville de façon réglementaire. Auparavant, il y avait de gros problèmes de logement sur Bègles. Car l’objectif de telles opérations est certes de modifier le paysage urbain, mais dans le but d’améliorer les conditions de vie des habitants qui vivent et des personnes qui travaillent sur ce territoire. L’objet est bien de favoriser une meilleure appropriation des espaces publics et privés dans la perspective de permettre le « vivre ensemble », et ce dans les meilleures conditions possibles et pour chacun d’entre nous : c’est-à-dire « faire société ». Ainsi, la prise en compte de la dimension humaine et sociale du projet est essentielle et prioritaire. Un projet de renouvellement urbain doit, dès le départ, s’attacher aux besoins et aux problématiques des habitants et des résidents du territoire concerné. Aux côtés des financeurs public et privés, des bailleurs, des collectivités, des architectes et urbanistes, le travail social a dès lors une place à part entière au sein du pilotage du projet : de l’élaboration en passant par la mise en œuvre et jusqu’à l’évaluation. L’accompagnement social, et plus particulièrement l’accompagnement au relogement, nécessite une attention particulière. Il s’appuie sur une méthodologie élaborée en partenariat : bailleurs et acteurs locaux de l’action sociale. Son objectif est de permettre, d’évaluer, de faire émerger les besoins et attentes des habitants et des résidents du territoire, de favoriser la proximité avec les habitants et de mettre en œuvre la concertation et la participation des habitants. Ce travail s’appuie sur un principe, une idée : « Le temps de l’habitant n’est pas celui de l’opérateur, de l’architecte ou de l’élu ». J’ai travaillé dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain de Bègles, commune de 25 000 habitants de l’agglomération bordelaise. Cette opération consistait dans le renouvellement quasi complet du quartier Nord-Est de la Ville, marquée par l’arrivée du tramway au cœur d’une cité de 448 logements, dont près de 300 allaient être démolis. Une des premières réunions publiques, à laquelle j’ai participé, a eu lieu dans une école du quartier en 2001 ou 2002. J’ai gardé, tout au long de ma mission, le souvenir de cette habitante qui, en sortant de cette réunion publique de présentation du « schéma directeur » par l’architecte et les élus de la ville, me disait : « Ce projet c’est l’Arlésienne ! On en entend parler depuis des mois et ça ne se fera jamais ! » Les habitants ont attendu encore trois ou quatre ans avant de voir la première pelleteuse dans le quartier. Les enfants des familles accompagnées à l’époque dans le cadre du relogement, sont devenus de jeunes parents pour qui les préoccupations ont évolué avec les années : la question de la fonctionnalité, du coût du logement, ainsi que des services de proximité, de l’accès à l’emploi ou aux transports en commun a supplanté pour eux celle des balançoires dans le parc ou du city stade au pied des appartements, même si l’intérêt demeure au vu de la génération suivante. Près de 14 ans après le démarrage du projet, l’opération n’est pas entièrement achevée et le quartier est encore en chantier. Même si de nombreux logements ont été construits et livrés et que le tramway fonctionne et dessert depuis plusieurs années les nouvelles résidences et entreprises installées sur le territoire, des travaux de construction, de prolongement du tramway, de voirie et autres entreprises d’aménagement des espaces publics sont encore en cours. L’habitant a nécessairement besoin d’être entendu et accompagné durant cette période qui, à l’échelle d’une vie personnelle et familiale, peut sembler une « éternité ». Dans ce contexte, la proximité n’est pas qu’une notion. Elle doit se traduire par des moyens et des outils devant favoriser réellement sa mise en œuvre, et ce à deux niveaux : en ce qui concerne l’accompagnement individuel des familles mais aussi l’accompagnement des habitants sur un plan collectif. L’accompagnement social au relogement des familles s’est appuyé dans ce projet sur la mise à disposition auprès du bailleur d’une conseillère en économie sociale et familiale du centre communal d’action sociale, ainsi que sur le suivi individuel de chacune des familles tout au long de l’opération, des rencontres au domicile des personnes, des permanences hebdomadaires sur le quartier en pied d’immeuble. La disponibilité d’un travailleur social « dédié » à l’opération, disponible et présent physiquement sur le quartier a favorisé cette proximité nécessaire avec les habitants.L’enquête sociale de relogement a permis dans un premier temps de repréciser les besoins et attentes des habitants du quartier et de pouvoir faire le lien avec les propositions du projet, qui furent ainsi adaptées autant que possible. Les suivis individuels ont permis de repérer les éventuelles difficultés socio-économiques des personnes, de rechercher des logements adaptés aux différentes situations (logements pour personnes à mobilité réduite, composition familiale…), de favoriser l’autonomie et l’intégration dans le nouveau logement (gestion des nouvelles charges liées à l’individualisation des compteurs ou du fonctionnement des appareils de chauffage par exemple…).Les familles restant dans les logements des bâtiments réhabilités ont également été accompagnées en suivi individuel. Plus d’une cinquantaine d’entre elles ont pu bénéficier de l’aide à « l’auto-réhabilitation accompagnée ». Ce projet social fut mis en œuvre en cours d’O.R.U. (Opération de Renouvellement Urbain) en 2005, grâce à un partenariat entre le centre communal d’action sociale de la ville, le bailleur, la collectivité, la Maison Départementale de la Solidarité et de l’Insertion (service social déconcentré du département) et en s’appuyant sur les compétences de l’opérateur technique, l’Association des Compagnons Bâtisseurs. Basée sur le principe de l’entraide et de la solidarité, cette action a permis à ces familles, qui n’avaient les moyens ni économiques, ni matériels et/ou de compétences, de rénover leurs logements par le biais de travaux d’aménagement, de réparations, de confort et/ou de décoration L’accompagnement collectif des habitants concerne plusieurs domaines d’intervention. Prendre en compte la dimension sociale du projet, c’est aussi s’attacher aux problématiques de vie collective au sein des immeubles et du quartier (gestion des dégradations, de la vacance des logements une fois les relogements engagés, des nuisances, des déchets…). Ainsi fut mis en place un groupe de gestion urbaine de proximité constitué d’habitants, du bailleur, de techniciens et d’élus. Des rencontres mensuelles ont permis de faire face aux différentes difficultés rencontrées par les habitants et les opérateurs tout au long de l’opération. Démolition, reconstruction, rénovation urbaine… Ces termes évoquent tout de suite des projets architecturaux et urbanistiques d’envergure, s’étalant sur le long terme (parfois à l’échelle de plusieurs décennies), et dont les principaux protagonistes sont les architectes, les urbanistes, les paysagistes et autres techniciens, ainsi que les élus et les opérateurs publics. Si la réussite d’une opération de renouvellement urbain tient sans conteste à la qualité du projet technique, elle est indéniablement liée à la prise en compte du principal « objet » du projet : l’Habitant.Donner une place à l’habitant dans un projet de renouvellement urbain, c’est faire place aux vies bousculées par l’évolution urbanistique et économique. Accompagner les habitants dans un quartier en mutation, c’est faire un travail de mémoire pour leur permettre de s’approprier ce changement de cadre de vie. Pour des familles qui ont vécu depuis plusieurs générations au sein de ce quartier. C’est un travail de deuil dont il s’agit parfois. Ainsi, l’animation sociale, par le biais des maisons de quartier et des associations locales, permet d’accompagner les familles, dans la proximité, au plus près des préoccupations des habitants.Au cœur du chantier il y a l’Habitant ; celui pour qui on remue ciel et terre, celui pour qui on rénove, on démolit, on reconstruit.

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