#études de marché
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Comment racheter un fonds de commerce de magasin de produits de santé
Comment racheter un fonds de commerce de magasin de produits de santé
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Ouipay | L’expert anti-crash de ton business !
Comment lancer son business en ligne ? L'article : https://blog.ouipay.fr/2023/03/commen...
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En pleine étude de marché ... 🤨
Début février, j'ai commencé mon accompagnement avec la BGE. L'idée c'est de nous donner les bases de la création d'entreprise. Pour moi ce sont principalement des révisions car j'ai fait un BTS de gestion ...
Tout se passait très bien jusqu'à ce qu'on nous demande de faire notre étude de marché. Je connais les éléments à prendre en compte, je sais faire des recherches, je sais même comment réaliser des enquêtes ...
On ne nous donne pas beaucoup de temps et moi je veux faire trop de choses en même temps ... faire la rédaction, mes enquêtes et traiter toutes les données brutes récoltées chez différents organismes (parce que forcément dans mon domaine, les rapports se font rares !), noter tout ce que je ne peux pas faire dans les délais en essayant de ne rien oublier ...
En plus ça fout la pression parce que finalement ces organismes ne t'accompagnent mais pas te "forment" à la création d'entreprise en te demandant de valider des étapes entre chaque session ... en 1 mois et demi donc. Du coup tu veux faire vite ... plus vite que ce que ça devrait ...et tu sais que tu devras revenir dessus après. Mais comme on t'aura fait faire autre chose entre temps, bah ce ne sera plus frais ...et tu ne rajouteras que la moitié de ce à quoi tu étais en train de penser ...
Finalement j'ai l'impression qu'on m'arrache un peu mon projet des mains ...
#création d'entreprise#création#entreprise#étude de marché#travail#boulot#statistiques#enquête#que du fun !
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OFFRE DE SERVICE D'ÉTUDE DE MARCHÉ
#OFFRE DE SERVICE D'ÉTUDE DE MARCHÉ#*Titre :* Étude de marché complet de l'entreprise KJE BUSINESS pour les entrepreneurs locaux et internationaux au Cameroun#*Objectif :* Réaliser une étude de marché approfondie pour identifier les opportunités et les défis pour les entrepreneurs locaux et intern#*Services inclus :*#1. Analyse de la concurrence#2. Étude de la demande#3. Analyse des tendances du marché#4. Évaluation des opportunités et des défis#5. Rapport détaillé et recommandations#*Méthodologie :*#1. Recherche documentaire#2. Entretiens avec les experts#3. Enquête auprès des consommateurs#4. Analyse des données#*Délai :* 6 semaines#*Tarif :* 2 500 000 FCFA#Je suis à votre disposition pour discuter de cette offre de service et répondre à vos questions.#WHATSAPP : +237694817843#TÉL : +237672928342
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Visa Travail Canada : Processus, Délais et Exigences
Obtenir un visa travail pour le Canada est un processus essentiel pour toute personne souhaitant s'installer et travailler dans ce pays aux multiples opportunités. Le Canada est l'une des destinations les plus populaires pour les travailleurs étrangers en raison de sa forte demande en compétences internationales et de son cadre de vie attractif. Cependant, avant de pouvoir poser vos valises au Canada, il est important de comprendre les étapes, les délais et les exigences nécessaires pour obtenir un visa travail.
1. Le Processus pour Obtenir un Visa Travail au Canada
Le processus pour obtenir un visa travail Canada suit plusieurs étapes bien définies. Voici les principales étapes à suivre :
1.1. Choisir le type de visa travail approprié
Il existe deux principaux types de visa travail pour le Canada :
Le permis de travail temporaire : Vous permet de travailler pour un employeur canadien spécifique pendant une période déterminée.
Le permis de travail ouvert : Permet de travailler pour n’importe quel employeur au Canada sans restriction.
1.2. Obtenir une offre d'emploi
Une offre d’emploi est généralement nécessaire pour obtenir un visa travail. L'employeur canadien doit fournir un certificat d'acceptation du Québec (CAQ) ou une étude d'impact sur le marché du travail (EIMT).
1.3. Soumettre la demande
Après avoir obtenu l'offre d’emploi, vous pouvez soumettre votre demande de visa via le site officiel du gouvernement canadien. Cette demande se fait généralement en ligne, où vous devrez soumettre les documents requis, comme votre passeport, une photo récente et l’offre d’emploi.
1.4. Attendre la décision
Après soumission, le processus de traitement commence. Le temps de traitement peut varier en fonction du type de visa et du volume de demandes.
2. Délais de Traitement pour un Visa Travail Canada
Les délais de traitement peuvent varier selon plusieurs facteurs, mais en général :
Permis de travail temporaire : Traitement en 2 à 6 semaines.
Permis de travail ouvert : Le traitement peut prendre 3 à 6 mois.
Programmes de travailleurs qualifiés : Environ 6 mois à un an.
3. Exigences pour Obtenir un Visa Travail
Le gouvernement canadien impose certaines exigences pour les demandeurs de visa travail :
3.1. Offre d’emploi valide
Vous devez avoir une offre d'emploi d'un employeur canadien. Certaines positions peuvent être exemptées des exigences de l'EIMT.
3.2. Compétences et qualifications
Le Canada cherche des travailleurs qualifiés, et vous devrez prouver que vous avez les qualifications nécessaires pour exercer l’emploi.
3.3. Preuve de fonds
Vous devez prouver que vous avez les fonds nécessaires pour subvenir à vos besoins pendant que vous travaillez au Canada.
3.4. Examen médical et vérification des antécédents
Un examen médical et une vérification des antécédents criminels peuvent être exigés.
4. Comment Accélérer le Processus de Demande ?
Bien que le processus pour obtenir un visa travail Canada puisse être long, voici quelques conseils pour accélérer les démarches :
Soumettre un dossier complet pour éviter des retards dus à des informations manquantes.
Répondre rapidement aux demandes de renseignements supplémentaires.
Suivre l’état de votre demande en ligne.
Conclusion : Facilitez Votre Demande avec le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique
Le processus d'obtention d'un visa travail Canada peut sembler complexe, mais avec le bon accompagnement, il devient beaucoup plus facile. Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique peut vous aider en préfinançant votre visa, votre billet d’avion et votre logement, vous permettant ainsi de vous concentrer sur votre installation professionnelle au Canada. Contactez-nous dès aujourd'hui pour obtenir une assistance complète.
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#🇨🇲 SALUT ICI LE COMMERCIAL JUNIOR ÉDOUARD KONTCHOU. AU CAMEROUN J'ASSURE :#- vos études de marchés#- votre communication a travers le digital#- la gestion clientèle et négociation avec Les partenaires#watsap : +237694817843
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saga: Soumission & Domination 329
Sosthène dans le grand bain
Alors que je vais pour le mettre aux enchères comme toutes mes nouvelles recrues, je reçois un appel d'Henri l'ami d'Emma et " père " de Kev. Il voudrait offrir un mec à son " fils " pour son anniversaire et pour être sûr de ne pas se tromper quant au physique qui le branche vraiment, il me dit qu'il me fait confiance. Pae ailleurs il sait que Kev adore les belles queues et me demande si je n'aurais pas un beau noir pour satisfaire cette exigence.
Je pense aussitôt à Sosthène. Je lui explique le cas mais aussi que j'allais le mettre aux enchères pour sa première vrai prestation dans ma société. Il connait le principe car je crois bien me souvenir qu'il en avait été l'instigateur. Evidemment il me dit que ce n'est pas un problème mais qu'il n'a pas 2 heures à passer pour obtenir ma dernière acquisition. Pour couper court, il me propose un chiffre qui se situe dans le très haut de ces pratiques mais ajoute qu'il le gardera 24h du samedi PM au dimanche PM. Bien sûr il prend les frais de voyage en 1ère à sa charge.
Je ne peux refuser. C'est un ami ! En plus cela retardera d'autant son passage aux bites XXL, même si Kev avec ses 21x5.5 ne fais pas partie des petites bites !
Evidemment la date est fixe et je vérifie vite avec Sosthène sa disponibilité. Je lui annonce aussi les conditions de sa première prestation. Ça l'excite d'être un cadeau d'anniversaires. Que ce soit pour un ami à moi par contre lui met un peu la pression. Je le déstresse. Le fait que ça lui prenne un WE entier (voyages compris) ne le dérange pas. Il me dit qu'il bossera dans le train.
Henri m'envoie un mail pour les détails. Un chauffeur viendra chercher Sosthène à la gare et l'emmènera directement chez lui. Il me demande de lui mettre dans ses bagages un costume chic pace qu'il comptait l'emmener avec Kev dans un des plus grand restaurant de Paris pour fêter son anniversaire.
Le samedi matin, Sosthène passe au Blockhaus faire ses bagages. Je lui choisis le costume qu'il va porter, la chemise et la cravate. Pour le reste il se débrouille et je le vois mettre un soin particulier au choix de ses sous-vêtements. Il emporte aussi des jeans de marques et des hauts fashion qui mettent en valeur son physique. Quand je l'emmène à la gare, je vérifie qu'il a suffisamment de liquide sur lui, qu'il a bien l'adresse d'Henri et ses coordonnées téléphoniques. Ça le distrait. Il emporte aussi son portable pour travailler dans le train. C'est la première fois qu'il voyage en 1ère et me demande comment on fait pour déjeuner. Je lui dis que j'ai pris l'option plateau à la place avec son billet. Il n'aura pas à trainer au wagon bar.
Rapport d'Henri :
L'Escort a été pris en charge par mon chauffeur à l'heure prévu. Quand je le vois entrer dans mon appartement, je suis content. Pas surpris, car je sais que Sasha ne m'aurait jamais envoyé du second choix, mais le garçon parait ouvert et aborde un visage intelligent. Quand nous échangeons quelques mots, je ne me suis pas trompé. Il me dit être en étude de lettre et que sa soeur fait l'école des Chartes. Je lui demande s'il a prévu d'aller la voir ce WE. Il me répond que non, il n'était là que pour moi et ne l'avait même pas contactée. Il verrait s'il lui restait du temps avant son train dimanche soir.
Nous discutons littérature. Il a de bonnes bases en classique et les dernières parutions ne lui sont pas étrangères. Le dernier Nobel de littérature non plus, je note qu'il a lu plusieurs de ses ouvrages. C'est agréable de ne pas avoir à parler économie de marché et vision économique du monde. Le temps passe et Kev ne va pas tarder à revenir des courses que je lui ai demandées de faire. Je lui propose un café et il accepte de m'accompagner.
Coté physique, Sasha me l'a bien choisi. Son jeans serré ne cache pas grand choses de ses " qualités " innées. Je suis sûr que Sasha y a pensé lorsqu'il me l'a recommandé pour Kev. Je sais que mon " fils " qui est surtout actif avec moi aime se faire démonter l'anus de temps à autre.
Kev entre dans l'appartement. Je lui laisse la suite du compte rendu.
Kev :
Quand je rentre chez Henri avec mes paquets plein les mains, je vois en face de lui, en train de prendre un café, un jeune black assez beau. Cela m'étonne parce que depuis que je suis avec lui, c'est la première fois que cela arrive. Peut-être avait il fait appel à des escorts mais jusque-là jamais en ma présence. Sans que cela ne me vexe, je suis peiné qu'il ne m'en ait pas parlé. Il est vrai que nous en faisons plus l'amour autant qu'aux débuts de notre relation. Le fait qu'il m'ait adopté, a aussi participé à ce ralentissement, je m'en aperçois maintenant. Alors que je reste figé devant le tableau, je dois arborer une figure qui en dit long puisqu'Henri se lève, me rejoint et me roule une pelle. J'ai du mal à l'apprécier comme d'habitude. Henri s'écarte et me montrant le black me souhaite un bon anniversaire. L'imbécile, il m'a fait peur !! Je comprends enfin la véritable raison de la présence du tiers. Il se lève et se présente. Sosthène ! Il n'y a que nos Caribéens pour utiliser des noms aussi anciens. Il est jeune mais je sais qu'Henri aura fait attention qu'il soit majeur. Il est canon et le renflement central de ses jeans attire tout de suite le regard.
Henri me dit que c'est un des Escorts de Sasha. Il vient de chez lui, c'est son premier contrat et il est pour lui jusqu'à demain après-midi. Comme je connais les tarifs des premiers contrats chez Sasha, je remercie Henri pour ce cadeau d'une telle valeur. Henri continu en me donnant le programme du soir. Il nous informe qu'il a réservé le restaurant pour 20h30 et souligne que cela nous laisse 3h30 pour que j'installe Sosthène chez moi. Il nous chasse et nous demande de revenir au plus tard vers 20h. Je l'aime trop ! Il se doutait que je bandais et qu'il me serait dur d'attendre la fin de la soirée. Je laisse les paquets en vrac et prends le bagage de Sosthène et lui dis de me suivre. Il me demande de lui laisser les porter mais je ne m'arrête pas. Il est obligé de me suivre. J'aime assez la timidité qui le prend alors que l'ascenseur descend.
Quand nous entrons dans mon immeuble 2° plus loin, il admire l'architecture rénovée. Il trouve très bien aussi mon duplex dans lequel nous entrons. J'accroche son bagage dans l'entrée et le pousse jusqu'au canapé dans lequel je le fais tomber. Sans précaution j'ouvre mon " cadeau ". Son t-shirt vole en même temps que son pull cintré. Pour le pantalon c'est plus dur comme il colle à sa peau. Du coup j'ai juste le temps de voir la marque du slip qui descend avec. Je reconnais un des fournisseurs préférés de Sasha. Un bel Aussiebum, à effet je le parierai ! Quand il se dresse nu devant moi, je lui tends son sous-vêtement pour qu'il le remette. Effectivement le choix était judicieux. Le paquet, soutenu par la poche, son paquet est projeté devant lui et avec son volume de départ... J'adore. Il s'approche alors de moi et commence à me déshabiller. Il prend son temps et je crois bien qu'il s'aperçoit que je bous intérieurement. Il me met torse nu et se plaque contre mes pecs pour me rouler une pelle. J'aime ses lèvres et sa voracité. Souvent les mecs que je trouve refusent de se laisser embrasser et encore plus que je mette la langue ! Quand il quitte mes lèvres c'est pour laisser les siennes glisser sur ma peau jusqu'à mes tétons. Ils sont déjà gros habituellement à force de les travailler mais là, sous la sollicitation de sa langue et de ses dents, ils sont tout gonflés. Il me laisse alors pour s'agenouiller et défaire mon pantalon. Ma bite déforme déjà le tissu et il sait ce qui l'attend ! Comme moi tout à l'heure, il arrache mon boxer avec le chino. Ma queue en jaillit comme un diable à ressort. Mon gland lui frappe la joue alors qu'il se plaque sur mon ventre. Sosthène se penche alors et mes 21cm disparaissent entre ses lèvres. Dieu que c'est bon ! J'ai eu beau m'être fait sucer il y a pas une heure par un vendeur de chez Abercrombie où je faisais quelques emplettes, sa bouche est 10 fois meilleure. Elle est surtout beaucoup plus profonde que celle du minet hypertrophié des épaules. Je ne sais pas où Sasha va les chercher mais les quelques Escorts que j'ai eu l'occasion de pratiquer ont toujours été tops.
Je le laisse faire jusqu'au moment où je vois qu'il compte continuer jusqu'à me faire jouir. Pas si vite, nous avons 3 heures, enfin plus que 2h30 devant nous !
Je le relève avant qu'il n'ait réussit son coup. Je profite un moment de ses lèvres soyeuses. Je suis plus large et plus costaud que lui. Dans mes bras, il ne peut ni fuir ni changer de position. Je sens sa bite gonfler son trunk. Je décolle mon bassin juste le temps de faire tomber ce dernier morceau de tissu qui nous sépare. Sa bite se dresse contre la mienne et j'ai bien l'impression que c'est lui qui gagne à la compétition de qui a la plus longue ! Mes mains quittent sa tête pour ses fesses et tout en le maintenant contre moi je lui fais rouler des hanches. Nos sexes se frottent l'un cotre l'autre et j'aime trop ça. Il décolle ses lèvres et, dans mon oreille, me dit qu'il est recto/verso tout à ma disposition. Ça, je le savais mais c'est toujours bon de l'entendre de sa part. Mes mains s'avancent dans le sillon qui permet de séparer ses fesses. Mes doigts s'enfoncent et je pose mes deux majeurs sur sa rondelle. Pas un poil n'a gêné ma progression en dehors de son buisson hyper taillé au-dessus de sa bite, il est d'une douceur pré-pubértienne. Ça aussi c'est la patte de Sasha.
C'est à mon tour d'honorer sa virilité. Depuis le passage d'Éric dans ma gorge et mon cul, il n'y a pas beaucoup de bite que je ne puisse prendre des deux côtés ! Celle-là va passer toute seule. Son gland vient me gratter les amygdales et je l'entends souffler au-dessus de moi. Ses mains viennent même se poser sur mes épaules pour soutenir sa station verticale. J'aime faire cet effet.
Il me redresse à son tour et toujours tout bas, comme s'il avait peur de sa propre voix, il me dit de l'enculer. Si j'aime préparer longtemps le cul qui va recevoir ma bite, des fois je suis trop excité et alors le mec mange grave ! Ça va être son cas ce soir. Je l'envoie valser sur le canapé. Je lui tire le bassin en arrière et comme je me kpote, il prend la position idéale pour une prise en levrette. Mes kpotes sont quand même bien lubrifiée et la sueur qui coule entre ses fesses vont faciliter la pénétration. Je présente mon gland et alors que je le pose sur sa rosette, cette dernière palpite d'impatience. Sasha l'a bien formé. Il attend patiemment le désir du client. Il ne recule pas avec impatience pour abréger le supplice, il attend, tendu comme une corde de piano. Quand je le pénètre, ce n'est pas un cri de douleur mais un soupir de soulagement qu'il laisse échapper. Sans m'arrêter, je continue ma progression dans ses muqueuses et je ne cesse de pousser que quand je sens mes couilles se coller aux siennes. Là, j'attends, non pas que Sosthène s'habitue à ma bite mais je suis trop bien au fond de lui. Sa rondelle pulse autour de la base de ma queue et me fait comme un effet de pompe. J'attends qu'il n'attende plus pour me déchaîner. Il s'accroche au dossier du canapé pour garantir sa position alors que debout derrière lui, mes mains accrochées à ses hanches, j'utilise la totalité de mes 21cm pour le limer. De temps à autre, j'attends que sa rondelle se referme avant d'y replonger ma bite. Comme il me l'avait confié, il accepte avec plaisir les effets de mon excitation. Je le redresse pour lui tourner la tête et abuser de ses lèvres. Mes reins, totalement indépendants continu leur oeuvre de labourage. Quand j'arrive à me décoller de sa bouche, je le fais pivoter sur ma queue et le repose dos sur l'assise du canapé, ses jambes contre mon torse et reprend le labourage de ses reins. Face à face, je peux voir directement les effets de mon action sur son visage. Mais bientôt je ne vois plus rien car je ne résiste pas à écraser ses lèvres carmin avec les miennes. C'est collé de la bouche au cul que nous prenons notre premier pied intégral. Quand je sens son sperme se diffuser entres nos abdos collés, je jute à mon tour et rempli ma kpote. Ce n'est que totalement vidés, nos corps apaisés que nos bouches se décollent enfin et que nos langues se laissent. Malgré le temps qui passe nous prenons 10mn pour retrouver la réalité. Après c'est la course évidemment. Heureusement ma douche permet de nous laver ensemble. Je l'aide à mettre ses boutons de manchette. Il n'en a manifestement pas l'habitude. De même je lui fais un noeud de cravate Windsor, plus équilibré que celui qu'il s'apprêtait à faire. Nous sommes un peu en retard mais quand même dans les temps quand nous débarquons chez Henri. Il voit nos cheveux encore mouillés et comprend bien ce que nous faisions il n'y a pas longtemps. Il redresse mon propre noeud de cravate et passe une main dans les cheveux de Sosthène pour y mettre un semblant d'ordre avant de donner le départ. Dans l'ascenseur, il me demande si le cadeau que j'ai entamé me plaisait. Il se permet de me demander cela devant Sosthène parce qu'il connait déjà la réponse. Nos yeux brillants étaient de bons indices. Je l'embrasse tendrement et lui dis que je n'aurais pas mieux choisi moi-même. Sosthène rougit !
Le trajet est lent et je vois que Sosthène regarde par la glace le spectacle des parisiens en train de courir sur les trottoirs. La porte de la berline nous est ouverte et nous prenons pied devant le restaurant. Je déstresse Sosthène que je sens tendu. Je lui dis que s'il a un doute, qu'il me regarde faire et qu'il m'imite après.
Nous entrons et sommes dirigés vers notre table. Le restaurant est quasiment plein. Je vois quelques têtes de connaissances et leur fait un léger signe de tête. Henri fait un écart pour saluer un de ses pairs. La table est un peu en retrait même si nous voyons la totalité de la salle. Une coupe de champagne nous est servie afin d'attendre l'entrée. Henri nous dit avoir déjà choisi les plats et demande à Sosthène s'il y a des mets qu'il n'aime pas, dénégations de sa part.
Henri sort deux petit paquets plats de sa poche et m'en tend un en me souhaitant un bon anniversaire avant de poser l'autre devant Sosthène. Je vois bien que ce dernier ne comprend pas. A voix basse, il essai de refuser et tente de repousser le cadeau vers Henri. Mon homme lui dit que lui aussi gardera un souvenir de mon anniversaire.
J'ouvre. Le paquet vient de la place Vendôme. Trop plat pour une montre, et trop gros pour une bague, j'écarte le papier et ouvre l'écrin. Un jonc en or brille sur le fond noir. Je pense à un cockring avant de voir que son diamètre est un peu gros même pour moi. C'est donc un bracelet. Sans attendre je l'enfile à mon poignet droit. Je dois forcer un peu pour passer la main, comme ça je ne risque pas de le perdre. En face de moi, Sosthène est bloqué devant le même présent. Je l'entends souffler à Henri qu'il ne peut accepter. Et ajoute qu'il est déjà payé pour être là. Henri lui dit que c'est pour ça que c'est un cadeau et pas autre chose. Il lui dit de ne pas le vexer et de le mettre à son poignet lui aussi. Avec un peu plus de mal que moi, ses mains sont un peu plus grosses que les miennes, il obtempère. Sur sa peau, l'or rend encore mieux. Ses joues sont noires de son trouble. Pour le détendre je lui dis que je suis très content qu'Henri ait pensé à cela. Mon cadeau principal c'est lui, ce que nous avons au poignet c'est juste pour nous rappeler ce bon moment. Henri confirme que c'est juste cela et que c'est pour ça qu'il a fait graver la date dessus.
Le diner est délicieux, mais c'est l'inverse qui serait étrange dans un tel lieu. La conversation est intéressante. C'est ça qui est bien avec les garçons de Sasha. Ils sont beaux, baisent bien et en plus loin d'être cons ! Son costume est classe et je le lui dis. Il rit et me répond que c'est Sasha qui l'a emmené faire les boutiques car il n'en avait pas. Je comprends mieux ses problèmes pour nouer sa cravate. Le dessert arrive trop vite tellement le moment est agréable. Je sais qu'il l'est aussi pour Henri. Je commence à bien le connaitre mon " père ". Même pour mon anniversaire, il aurait écourté si Sosthène n'avait pas été au niveau. Quand il apprend que c'est son premier séjour à Paris, il décide de rentrer en passant devant les monuments de Paris. C'est touchant. Si dans un premier temps Sosthène se retient, quand on traverse le Louvre, il a le nez collé au carreau et ne le décolle plus. Je me promets que demain je l'emmènerai à la tour Eiffel. Je sais c'est cliché mais c'est à faire quand même.
Nous prenons un dernier café chez Henri. Je profite d'un court séjour de Sosthène aux toilettes, je suggère à Henri qu'on pourrait se le partager cette nuit. Il refuse que c'est mon cadeau à moi tout seul et quand Sosthène réapparait, il nous chasse de chez lui.
La nuit qui suit est très très courte et j'ai profité de mon cadeau jusqu'à m'écrouler de fatigue vidé complet. Son coup de rein pour propulser sa queue en moi m'a fait autant de bien que sa rondelle musclée autour de ma bite. Je crois quand même l'avoir mis dans le même état ! Au réveil j'ai mal partout et si j'en crois la délicatesse avec laquelle Sosthène bouge lui aussi doit avoir un peu mal aux fessiers ! La douche en commun nous redonne vie et une apparence décente. Je me sens rajeunir à ses côtés. Il a encore une fraicheur qui bientôt va disparaitre avec le nombre de prestation ! Je le presse. Il remet ses jeans à se faire violer sur place et je l'imite, après tout mon physique n'a rien à lui envier. Un coup d'oeil à la glace de l'entrée, j'y vois deux beaux jeunes hommes un blanc et un métis que tout homo normalement constitué mourrait d'envie de mettre dans son lit. Ok je ne suis pas modeste, juste réaliste !
Je le pousse dehors. Il croit quelques minutes que nous retournons chez Henri mais non, direction le métro. Il plisse le nez quand on s'engouffre dans la bouche. Comme nous sommes grands, nous respirons au-dessus des autres, descente à Trocadéro.
La descente, la traversée sur le pont d'Iéna donne une belle vue sur la tour Eiffel. Je prends 2 billets et nous faisons la queue. Je l'abandonne le temps d'aller acheter 2 hot dog. La moutarde coule sur sa main et je la lui attrape pour lécher son doigt. Ça ma vaut une remarque désagréable d'un mec plus loin derrière nous. Je l'entends et j'attrape Sosthène pour lui rouler une pelle. Il me laisse faire et quand l'autre réitère ses insultes, je me déplace jusqu'à lui. Il réalise à ce moment-là qu'il est plus petit et bien moins large que moi. Il s'excuse. Je laisse tomber un " t'es trop con mon pauvre " et retourne près de Sosthène. Autour de lui il doit subir les lazzis que son attitude a provoqués au point qu'il se casse avec la meuf vulgaire qui l'accompagnait.
Sosthène est comme un gamin. Nous prenons l'ascenseur jusqu'au premier et montons le reste à pied. Il me met presque un étage dans la vue ! Tout en haut la vue est superbe, pas chaude mais superbe quand même. Il m'attrape et me roule un patin tellement il est content. Puis il s'excuse de m'avoir fait ça. Il est trop ce gamin ! Quand nous descendons il me remercie de l'avoir emmené là. Nous reprenons un deuxième hot dog et le mangeons en marchand. Il me questionne sur Sasha. Il se demande s'il ne lui a pas fait confiance trop vite, même si jusque-là tout s'est bien passé. Je le rassure. Je connais l'animal depuis maintenant 7 ans et jamais il n'a pris quelqu'un en traitre. Il me croit sinon, comme il me dit, il n'aurait pas autant d'amis ni d'escorts.
Nous flânons il n'y a pas de sexe entre nous et c'est soudain très agréable. Par les quais nous rejoignons le Louvre. Nous prenons un café en terrasse. Deux filles à la table d'à côté nous draguent. Elles sont jolies hollandaise d'après leur accent quand elles parlent en anglais. Elles sont un peu lourdes et je me penche vers Sosthène pose mes lèvres sur les siennes juste un instant. Cela suffit pour qu'elles s'excusent en riant de nous avoir " dérangés ".
Soudain il s'affole de son train et s'aperçoit qu'il l'a loupé. Il va pour courir à la gare. Je le retiens, ses bagages !! Il prendra le suivant. Quand il s'inquiète que Sasha lui a payé le billet en première, je l'assure qu'il pourra quand même l'échanger. On repasse vite à l'appart et je l'aide à ranger son costume dans son bagage. Je l'accompagne en taxi. Nous faisons l'échange du billet et j'attends le train avec lui, même s'il me dit que je peux le laisser.
Je ne le quitte qu'après l'avoir mis au train. J'appelle alors Sasha pour lui expliquer que son petit nouveau aura du retard. Ça le fait rire et il me demande de lui envoyer un compte rendu, d'où le texte ci-dessus.
Je récupère Sosthène avec 2 heures de retard. Il s'excuse de m'avoir fait ce coup-là. Je remarque le jonc qu'il a au poignet. Cadeau d'Henri ? Il acquiesce. Je lui montre ma caisse et lui dit que ça ne m'étonne pas. Comme il ne comprend pas je lui dis que la moitié de ma SLS est de sa part. Je le ramène au Blockhaus prendre sa voiture. Il monte faire la bise à PH et Ludovic puis rentre vite chez lui.
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Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis » mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors.
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
#ça va être une putain d'hécatombe !!!#mediapart#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#france#workers rights#bee tries to talk#article copié en entier car réservé aux abonnés#(c'est mon tag pour les retrouver)
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La rentrée
La semaine dernière c'était la rentrée pour les écoles au Québec. Bien que ces années soient loin derrière moi, je pense qu'un petit tour dans nos écoles est essentiel pour bien comprendre la société.
Le système d'éducation québécois est différent de celui en France, mais pas que! En effet, l'éducation étant un champ de compétence provinciale, chaque province est maître dans ses écoles. Vous trouverez donc des variantes d'une province à l'autre.
C'est la loi!
Au Québec, tous les enfants dès l'âge de 6 et jusqu'à 16 ans doivent aller à l'école. C'est la loi. La chronologie académique se divise en plusieurs paliés et chacun de ces paliés est divisés en 2 sessions (automne, de fin août à fin décembre et hiver, de janvier à mai/juin):
-> Pré-Scolaire
Dès l'âge de 5 ans les enfants sont invités à fréquenter la maternelle. Sans être obligatoire, 98% des enfants s'y retrouvent chaque année. Le gouvernement tente depuis quelques années d'offrir la maternelle à partir de l'âge de 4 ans, mais le manque de ressource retarde le projet.
-> Le Primaire
Entre 6 et 12 ans, les élèves fréquentent le premier cycle d'éducation: le primaire. Les élèves restent dans le même groupe toute l'année et un professeur enseigne toutes les matières à quelques exceptions près (éducation physique (sport) ou musique par exemple).
-> Le Secondaire
Entre l'âge de 13 à 17 ans, c'est au secondaire que les enfants terminent l'enseignement obligatoire et général. À la fin de leur secondaire 5, un diplôme d'études secondaire (DES) est remis à ceux qui ont réussi à avoir plus de 60% dans chacune des matières obligatoires. Ce diplôme sert de tremplin afin d'accéder aux études supérieurs. Chaque matière est enseignée par un professeur spécialisé et pour certaines matières le groupe peut être divisé en fonction des matières (chimie, physique, mathématiques ou anglais sont des matières qui sont offertes en niveaux plus avancés pour certains élèves)
À partir du secondaire 3, certains élèves peuvent prendre une autre branche du cursus scolaire régulier et se diriger vers les études professionnelles. Les matières plus "traditionnelles" sont alors abandonnées au profit de l'apprentissage d'un métier. À la fin, l'élève se fera remettre un diplôme d'études professionnelles (DEP) qui le mènera sur le marché du travail.
-> Le CEGEP
Acronyme de "collège d'enseignement général et professionnel", il s'agit du premier palié des études supérieures. Il se divise en 2 groupes: le cursus technique qui dure 3 ans et qui, un peu comme pour le DEP mène au marché du travail en apprenant un métier en plus des matières de bases obligatoires et le cursus régulier (2 ans) qui mène à l'université. Dans chacun des cas les jeunes ressortent avec un diplôme d'études collégiales (DEC).
Le CEGEP n'existe qu'au Québec et, si mes informations sont exactes, correspondrait (plus ou moins) au BAC en France.
-> L'Université
Dernier palié d'étude au Québec. Il se divise en 3 niveaux: le baccalauréat (bac), la maitrise et le doctorat. Le nombre d'années peut varier en fonction du cursus choisi.
Lexique scolaire
Abreuvoir: fontaine pour boire de l'eau que l'on retrouve dans les écoles et autres lieux publics.
Bal de finissants: fêtes organisées par les étudiants (et l'école) pour célébrer la fin de leur études secondaires. De plus en plus, ce bal est aussi organisé pour le premier cycle, soit le primaire.
Brocheuse: agrafeuse. Dans laquelle au Québec nous mettons des broches pour brocher mes feuilles et en France vous mettez des agrafes pour agrafer vos feuilles 😋
Cahier Canada: Petit cahier comportant des lignes pleines seulement, celui-ci ne comporte PAS de lignes pointillées.
Cafétéria: Endroit où les élèves vont prendre leur repas
Cartable: classeur à anneaux
Couler: Rater, manquer, échouer (un cour, un examen, une session). Se dit aussi "pocher".
Crayon de plomb ou crayon à mine: crayon à papier
Duo-tang: classeur à attaches
Efface: gomme
Élève: Personne qui fréquente les 2 premiers cycles, c'est-à-dire: primaire et secondaire
Espadrilles: chaussure de sport, basket, tennis
Étudiant: Personne qui fréquente un établissement d'études supérieures (CEGEP, université)
Etui à crayons: trousse, coffre
Feuille de cartable: feuille mobile
Foxer: Faire l'école buissonnière, ne pas aller à ses cours.
Gymnase: Endroit où les cours d'éducation physique (sport) sont donnés.
Maitresse d'école: synonyme d'enseignante, de professeure. Ne s'utilise presque plus.
Papier collant: ruban adhésif. Se dit aussi Scotch tape (le nom d'une marque)
Polyvalente: établissement d'études secondaires.
Pousse-mine: Porte-mine
Sac d'école/sac à dos/pack sack: cartable
Je souhaite à tous une bonne rentrée! Tant aux petits qui vont retrouver leurs camarades, qu’à leurs parents qui vont avoir la sainte paix 8h par jour 🤣.
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Énorme : Le GNL (gaz naturel liquéfié) émet plus de gaz à effet de serre que le charbon 😂
Quand est-ce qu'on arrête cette comédie ?
De nouvelles recherches parviennent à la conclusion que le gaz naturel liquéfié laisse une empreinte de gaz à effet de serre de 33 % supérieure à celle du charbon, lorsque la transformation et le transport maritime sont pris en compte…
Pour en arriver à ces résultats, Robert W. Howarth, professeur à l'Université Cornell, s’est intéressé à l’ensemble du cycle de vie du GNL américain destinée à l’exportation.
▶️ C’est en prenant en compte les émissions de gaz à effet de serre à chaque étape de production (extraction, liquéfaction, transport, stockage) que l’empreinte carbone du gaz naturel devient pire que celle du charbon, selon l’étude qui a été révisée par des pairs. Et cela n’est pas sans conséquences…
Les estimations antérieures du gouvernement et de l'industrie ont supposé que le GNL est considérablement plus faible que le charbon, offrant la promesse qu'il pourrait le remplacer dans des pays comme la Chine, ainsi qu'à l'aide d'alliés européens menacés par l'invasion de l'Ukraine.
▶️ La recherche conclue que jusqu'à 3,5 % du gaz livré aux clients fuit dans l'atmosphère, beaucoup plus que ce que l'on supposait auparavant. En tant que gaz à effet de serre, le méthane est plus de 80 fois plus puissant que le dioxyde de carbone lorsqu'il est considéré sur une période de 20 ans.
▶️ Les émissions de méthane en amont et intermédiaire sont les principales sources d'émission du GNL. Les émissions totales en amont et à mi-parcours représentent en moyenne 47 % de l'empreinte totale de gaz à effet de serre du GNL. D'autres émissions importantes sont le processus de liquéfaction (8,8 % du total en moyenne) et le transport des camions-citernes (5,5 % du total). Les émissions des navires-citernes varient de 3 % à 8 % selon le type de pétrolier.
▶️ « Presque toutes les émissions de méthane se produisent en amont lorsque vous extrayez le gaz de schiste et que vous le liquéfiez », a déclaré Howarth. « Tout cela est amplifié pour mettre le gaz naturel liquéfié sur le marché. Même considéré dans les délais de 100 ans après les émissions qui sous-estiment gravement les dommages climatiques du méthane, l'empreinte de GNL est égale ou supérieure à celle du charbon. (…) Le GNL aura donc toujours une + grande empreinte climatique que le gaz naturel, quelles que soient les hypothèses d’être une énergie de transition »
Le document a généré une tempête politique depuis sa première publication à l'avant-projet l'année dernière, car il remet en question un principe central de l'expansion rapide de l'industrie mondiale du GNL. Le projet initial a joué un rôle critique en persuadant l'administration de Biden pour suspendre l'approbation des nouveaux terminaux d'exportation de GNL en janvier 2024.
La polémique est loin de s'arrêter, des contres études ont été dilligentées. Les conséquences de ces révélations sont littéralement vertigineuses. Sur tous les plans et où que l'on se place…
https://doi.org/10.1002/ese3.1934
ft.com/content/ae59729d-48f8-4b10-be3d-a41f7d13295b
theguardian.com/us-news/2024/oct/04/exported-liquefied-natural-gas-coal-study
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23 avril
encore une journée de rêve dans la vie de lara w., ce matin je me suis entrainée à chanter you still believe in me au piano en essayant de trouver les bons accords, et puis vu que j'arrivais toujours pas à écrire je suis de nouveau partie me promener dans un endroit que je connaissais pas, cette fois j'ai pris le bus jusqu'à la gare cents/hamm et en arrivant devant une église j'ai vu le plus GROS avion que j'avais jamais vu, juste au dessus de ma tête, on aurait dit un de mes rêves catastrophe sauf que personne n'est mort et aucun avion ne s'est écrasé, j'ai juste perdu l'équilibre sous le choc et parce que j'avais la tête en l'air. en baissant les yeux j'ai vu un bac à fleurs à étages qui ressemblait à une pièce montée ou à une fontaine et je me suis dit à cet instant précis que voir des gros avions passer dans le ciel était une très bonne raison de ne pas mourir et que je pourrais peut être remplacer les trajets à la pierre plantée dans la voiture de h. par des excursions à proximité de l'aéroport. de là je suis descendue dans une vallée par la forêt, j'y étais déjà allée mais pas de ce côté-là, j'ai reconnu l'odeur de l'alzette. je l'ai longée pendant une éternité en marchant sur une petite route déserte sans savoir où j'allais, puis j'ai pris un petit chemin dans la forêt et au bout d'un moment je suis remontée et j'ai atterri dans des champs de colza à bonnevoie. magique. j'ai marché jusqu'à la gare et je suis rentrée en bus. à la maison j'ai mangé du pain grillé avec du beurre de cacahouète et une demie pomme et puis au lieu d'écrire j'ai ouvert instagram où tout le monde avait l'air particulièrement prolifique, f. s. avance bien dans son roman, c. b. fait une performance aux halles de schaerbeek demain et r. est trop occupé par la pièce de sa soeur pour écouter les morceaux que je lui envoie. mais en ce moment ça va avec lui. ça va!!!
25 avril
j'écoutais l'interview d'un humoriste qui vient de réaliser son premier film à la radio et il racontait qu'avant il était cuisinier (je crois) et puis ses parents lui ont LOUÉ une salle à AVIGNON pour qu'il puisse faire son spectacle, ça leur a coûté 10000 euros et ils ont dit au pire on perd 10000 euros, ben oui, et puis un soir un producteur de laurent ruquier ou je sais pas quoi était dans la salle etc etc. autre histoire entendue à la radio: la fille d'un photographe connu qui était agente d'artistes et puis elle a lu un livre sur la botanique et la permaculture et elle est devenue maraichère mais elle préfère dire food gardener et maintenant elle adore sa vie. et moi hier soir pendant que je faisais mon lit je pensais à r. et à sa soeur qui font tous les deux les métiers que j'aimerais faire, même si soyons sérieuse deux minutes je serai jamais musicienne, et je pensais à a. qui me disait de faire des études de biologie marine, et je me demandais pourquoi j'assumais pas de dire aux gens que je voulais faire du spectacle vivant. enfin si je sais pourquoi, mais en plus de ça c'est un monde qui m'est totalement opaque et j'ai aucune idée de comment me lancer là-dedans. et si je retourne à l'école pour devenir bibliothécaire j'aurai pas le temps de m'occuper de ma carrière dans le spectacle vivant. est-ce que je m'en occupe maintenant que j'ai le temps? non, mais une fois que je me serai lancée dans ma carrière de bibliothécaire ce sera définitif. je préfère rester flotter dans le limbo des possibilités.
hier soir j'étais de nouveau sur le site du magasin de musique de sandweiler à choisir un micro et tout ça en calculant combien ça me coûterait en tout avec le synthé, mais j'ai l'impression que j'arriverai jamais à franchir le pas 1. parce que j'ai peur de dépenser de l'argent et 2. j'ai trop peur d'être nulle et d'avoir gaspillé de l'argent pour rien. j'ai peur de prendre des risques. je me fais pas confiance. quand j'ai dit à r. que je voulais faire du stand-up il a dit go! le monde a besoin de toi lara et je sais pas pourquoi ça m'a énervée. c'est un peu comme quand on me dit que je suis forte, dans le sens courageuse. go fuck yourself je suis tout sauf courageuse et le monde a pas besoin de moi. j'espère qu'il aura jamais le malheur de me dire que je suis forte parce que je risque de lui mettre une gifle.
27 avril
à la philarmonie ce soir j'ai eu des pensées très bizarres en écoutant l'orchestre jouer et plus particulièrement pendant le boléro de ravel, je pensais à mon fantasme de cuisiner avec r. et sa fille dans sa petite cuisine et je me disais c'est quoi ce fantasme de vie domestique là? qu'est-ce que ça veut dire? aurais-je envie... de fonder une famille?? et puis je me suis imaginé...tomber enceinte de r.??? est-ce que j'ai envie d'avoir un bébé?? et puis je me suis dit non il a déjà une fille, je peux très bien me contenter d'une belle-fille et j'ai commencé à m'imaginer en famille recomposée avec lui et c'était bien et j'avais pas du tout envie de me rappeler que ça n'arrivera jamais. et puis j'ai pensé à la naissance de sa fille, au moment où sa copine a du partir à l'hôpital, ou peut être qu'elle a accouché à la maison, à l'état dans lequel il devait être, à sa joie, à son excitation, à sa terreur dans doute, et puis au rêve qui tourne au cauchemar, et je me suis de nouveau demandé ce qui s'était passé pour qu'on lui enlève la garde de sa fille pendant deux ans VAZY c'est pas r. qui m'envoie mille photos de sa fille en me demandant si je trouve qu'elle lui ressemble (non) alors que j'étais en train de parler de sa naissance dans mon journal?? c'est quoi cette sorcellerie?? ils passent le weekend chez sa mère à la campagne. demain ils vont réparer son vélo et faire une tarte aux pommes.
BON. autres pensées de la philarmonie ce soir: pendant la fin du boléro de ravel j'avais envie de crier des trucs par dessus la musique et je me suis dit qu'il faudra que je le propose à r., de crier des trucs par dessus sa musique. j'ai aussi beaucoup pensé à mon livre, je l'ai enfin repris cette semaine et je me pose beaucoup de questions sur le style. j'arrive pas à décider si je pars plus dans la poésie ou plus dans le journal. pendant les danses polovtsiennes de borodine j'ai tranché pour le journal, you do you, ça sert à rien de se renier, et puis je me suis rappelé de rebeka rebeka qui est du journal et qui est un texte tout à fait légitime. mais j'ai vraiment du mal à m'y mettre. j'ai passé l'après-midi à regarder parlement dans mon lit cet après-midi. je sais pas pourquoi je me suis prise de passion pour les institutions européennes, à force de passer devant le parlement à bruxelles et de voir le grand drapeau européen flotter à la fenêtre tous les lundi soirs à la chorale. la série est ultra romancée et caricaturale mais elle satisfait mon envie de contenu eurocratique. lundi dernier à la chorale il manquait un ténor et quelqu'un a dit wilfried est à strasbourg, comme si c'était un truc qui allait de soi, et ça m'a fascinée, et maintenant que j'ai regardé la série ça me fascine encore plus, alors que bon y a vraiment pas de quoi être fascinée.
c'est pas vrai il est une heure et demie et j'ai mon cours de lux demain matin mais r. m'a flingué mon sommeil une fois n'est pas coutume alors que j'ai littéralement failli m'endormir pendant le début du boléro parce que c'est leeent et moi j'aime quand c'est rapide et surtout quand c'est FORT, j'aime le bombastique, surtout dans la musique classique, mais dans les autres musiques aussi, j'aime quand ça explose et quand ça crie et quand ça fait du bruit, et r. il m'impose que du doux tout le temps, du doux du doux et de l'ultra doux, ultra zacht en néerlandais, comme le pq, et j'aime l'ultra doux aussi, mais au fond du fond je suis pas une ultra douce, je suis une bombastique. une grandiloquente. une pompeuse. et pendant moussorgski je pensais au concert/dj set de rebeka warrior à bruxelles hier soir et je pensais à ma vie de retraitée avant l'heure et même si j'adore les concerts à la philarmonie et que j'avais des frissons tout le temps, presque tout le temps, ça m'aurait quand même plus dit d'aller percer mes tympans chez rebeka. j'ai de nouveau commencé à me creuser la tête pour trouver une solution à tout ça, j'espérais que moussorgski m'aiderait à avoir une illumination soudaine avec sa musique pompeuse, musique pompeuse pour fille pompeuse, mais à part mes fantasmes familiaux et mon envie de crier, aucune idée ne s'est présentée à moi.
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Les étapes pour racheter un fonds de commerce de magasin de jouets pour bébés
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Lancer son business en ligne peut sembler intimidant, mais avec les bons outils et la bonne stratégie, cela peut être une expérience enrichissante et épanouissante. Aujourd’hui, Ouipay.fr l’expert anti-crash de votre business en ligne vous aide à lancer votre activité. Dans cet article nous nous focaliserons sur l'état des lieux de la situation et le choix de la forme juridique de votre business.
Faire un état des lieux de la situation
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Vous avez décidé de lancer votre business en ligne ! Génial, vous voilà au cœur d’une belle aventure. Pour partir sur de bonnes bases, commencez par faire l’état des lieux de votre situation.
Les questions à se poser
Pourquoi ai-je envie de lancer mon activité ?
Quels produits ou services ai-je envie de vendre ?
Quel apport financier puis-je apporter au commencement ?
Ai-je envie de vendre des produits physiques ou dématérialisés ?
Vais-je travailler seul ou à plusieurs ?
En clair, notez toutes les choses qui se rapprochent de près ou de loin à votre projet. Vous devez avoir une vision claire de ce que vous souhaitez créer, pour établir une stratégie percutante.
L’analyse du marché et de la concurrence
Lorsqu'on décide de se lancer dans la création d'entreprise, il est crucial de réaliser une étude de marché approfondie. Cette étude permet d'analyser le marché et la concurrence afin de mieux comprendre l'environnement dans lequel on souhaite évoluer. En effet, une bonne connaissance du marché et de la concurrence permet de développer une stratégie marketing efficace et de se démarquer des concurrents.
La première étape pour réaliser une étude de marché est de construire le cadre de l'étude. Il est important de définir le secteur d'activité, la zone géographique ainsi que les différentes étapes de l'analyse. Il est également nécessaire de choisir les outils d'analyse qui permettront de collecter les informations et les données nécessaires. Parmi les outils d'analyse, on peut citer les enquêtes de marché, les études quantitatives et qualitatives, les recherches de marché, la veille concurrentielle, les analyses des tendances du marché et des habitudes de consommation.
L'étape suivante consiste à analyser les marchés et les concurrents. Pour cela, il est recommandé de commencer par une étude de marché quantitative pour évaluer la taille du marché et le potentiel du marché visé. Cette étude permet également de segmenter les clients potentiels et de cibler les niches les plus rentables. L'analyse du marché doit également prendre en compte les grandes tendances du marché ainsi que les facteurs démographiques et économiques.
L'analyse concurrentielle doit, quant à elle, permettre de déterminer les concurrents directs et indirects, leurs parts de marché et leur positionnement sur le marché. Cette étape doit également inclure une analyse de leurs forces et faiblesses ainsi que de leur stratégie commerciale.
Une fois l'analyse du marché et de la concurrence réalisée, il est recommandé de rédiger une synthèse de l'étude qui permettra de présenter les principales conclusions. Cette synthèse doit inclure des informations relatives aux segments de marché visés aux tendances du marché, aux concurrents directs et indirects ainsi qu’aux potentiels de développement. Cette synthèse permettra ensuite d'élaborer votre plan d’action.
À noter : il est important de souligner que la réalisation d'une étude de marché est un processus continu qui nécessite une veille active sur les évolutions du marché et de la concurrence.
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Philosophie, dialectique et psychanalyse
Pour peu que nous considérions le terme de perversion dans son acception originelle de détournement, de déviation d’une tendance par rapport à son but dit "naturel", nous partirons du «déni de la dimension du sujet à proprement parler», pour opposer:
• aux philosophies "perverses" car elles font l'apologie de l'individu compris comme un être corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un "monde" conçu comme le lieu "naturel" de son inscription (un monde dans lequel il entretient des rapports avec les autres)…
• la philosophie authentique, qui est celle de l'hystérique, celle inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son «manque-à-être», un sujet divisé par la question de savoir:
1/ ce qu'il est pour le désir de l'Autre et
2/ ce que l'Autre semble attendre de lui ;
un sujet véritablement sujet, assujetti donc, ne pouvant se concevoir a priori que dans le retrait subjectif, une radicale extériorité par rapport à la prétendue réalité dite "objective".
Ainsi, l’homme, l’être, l’individu, la personne, le da-sein, le sujet… ce sont des mots qui chacun définissent un certain horizon de sens. Et de non-sens.
• Dans la tradition philosophique pré-lacanienne, ce qui s’appelle sujet (cf L’herméneutique du sujet de Foucault) n’est pas en soi sexualisé, la "sexualisation" c’est quelque chose qui se passe au niveau empirique, contingent, pour cette pensée, il y aurait ainsi d’abord un sujet, et ensuite interviendrait sa sexualisation…
• Dans la théorie psychanalytique, c’est l’inverse, c’est la sexuation (la coupure) qui est la condition formelle a priori de la constitution d’un sujet, raison (entre autres) pour laquelle le sujet de l’inconscient, le sujet de la psychanalyse, est toujours a priori un sujet divisé, un sujet clivé, un sujet barré, inconsistant, qui se note $ (S barré).
Le $ujet c'est tout le contraire d'un individu, puisque l'indivision est le contraire de la division.
Le sujet de l'inconscient, qui n'est autre que le sujet du Cogito cartésien, non transparent à lui-même, comme l'a démontré Lacan, est rigoureusement exogène à l'univers des statistiques, et n'a rien à voir avec les élucubrations universitaires pseudo-égalitaristes abstraites des Gender Studies ou des études de marché. «La science est une idéologie de la suppression du sujet» note Lacan…
Le sujet de l'inconscient ne parle pas "directement", mais ça parle de lui dans le strict cadre de l'énonciation productrice d'un énoncé, et c'est seulement par là qu'il s'appréhende, notamment par la médiation du psychanalyste capable d’en entendre quelque chose dans une écoute dite "analytique", ce qui implique le recours à la dialectique.
La dialectique consiste à repérer le point commun dans ce qui constitue a priori les oppositions dans leur apparence inconciliable.
Dans le cas du jugement esthétique (par exemple: qu’est-ce que le Beau?), nous avons:
- le premier temps (thèse) qui est celui du jugement dogmatique: ce qui est beau, c’est ce que je connais déjà comme objet que je trouve beau
- dans un deuxième temps (antithèse), je me rends compte que c’est la culture spécifique du sujet qui prédétermine ce qui est beau pour lui, et j’en arrive donc au jugement sceptique qui aboutit au relativisme culturel: tout se vaut, il n’y a pas de beau en soi, chacun sa vérité…
- le troisième temps (synthèse) permet de poser le problème de manière différente, le jugement dialectique permet de saisir le point commun entre les deux temps précédents: dans les deux cas, le beau semble dépendre de quelque chose d’externe au sujet, cependant si je ressens un plaisir esthétique, ce n’est pas dans l’objet extérieur qu’il s’agit de chercher les critères décisifs du beau, mais bien chez le sujet lui-même.
Or s’il y a plaisir (esthétique) c’est qu’il y aura eu un désir (subversion du sujet et dialectique du désir), si j’ai du plaisir à boire, c’est que j’aurai eu soif, le plaisir de boire présuppose la soif (sauf pour les boit-sans-soif...) car nous dit Spinoza, nous ne désirons pas une chose parce qu’elle est belle mais nous trouvons des choses belles parce que nous les désirons.
La synthèse au plan dialectique intègre donc les deux propositions qui précèdent (thèse et antithèse) et reprend la position de l’antithèse mais en lui faisant faire un pas de plus, le pas décisif, qui consiste à réintégrer le sujet de l’énonciation dans son énoncé.
Le problème s’en trouve déplacé et ne se pose plus de la même manière, la question ne peut plus se poser comme «qu’est-ce que le Beau» mais: «qu’est-ce que, toi, tu appelles le Beau?»
C’est la manière de questionner propre à Socrate qui fait passer la question du plan objectif «qu’est ce qu’une chose?» au plan du sujet «qu’appelles-tu, toi, cette chose?», rappelant que ce sont toujours à des mots que nous avons affaire a priori, et que chaque sujet est à considérer dans sa singularité absolue.
Voilà pourquoi Lacan considère Socrate comme le premier psychanalyste («l’hystérie géniale de Socrate») et Hegel comme «le plus sublime des hystériques»...
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Non non non a l'hésitation
Oui oui oui a la reformulation...
C'est a dire que nos enfants bénéficiant de soutien financier pour parfaite leur étude...
Doivent tous simplement se tenir à 20ans un BTS en poche plus une maîtrise bac +3
Voir un master bac +5
Seriez vous d'accord 18/30 ans
De voter au référendum cette loi qui vous fait bénéficier d'une bourse d'étude pour manger et pour dormir...
Ce qui équivaut tout de même a une offre de la part du marché du travail avec au moins le BTS ou HEC après Maths sup maths spé....
Pour résilier une loi favorable à votre financement des retraites il y avait 10.000.000 de retraité en 2000'.. maintenant 17.000.000
Voir dépasser les 20.000.000 d'ici. 2030
On vit plus longtemps et le travail c'est la santé ne rien faire ce n'est pas de la conserver OK
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Quelques news de mon projet 💼
Et benh, comme j'ai enfin compris que je ne pouvais compter que sur moi-même, j'ai décidé de ...me débrouiller toute seule ...et si jamais ça ne va pas à quelqu'un, je leur demanderai gentiment "vous étiez-où quand il fallait m'aider ?"
Parce qu'ils se targuent tous de vouloir t'aider ... mais ils t'enfoncent plus qu'autre chose.
L'ancien étant dans une pépinière, je me suis renseignée pour l'intégrer afin de me sécuriser. J'ai eu un rendez-vous et j'ai pas été déçue ...
"On ne prend plus les entreprises au stade de projet"
Ah, c'est cocasse ça ! Non parce que je crois que le principe de la pépinière c'est de t'accompagner vers la réussite. J'en déduis que celle-ci ne t'accompagne que si ton entreprise tient déjà debout. Moi j'appelle ça un hôtel d'entreprise, pas une pépinière.
"On fait volontairement l'impasse sur la communication car quand ils démarrent, ils n'ont pas les moyens !"
Sur le moment je ne réalisais pas la gravité de ce que j'venais d'entendre mais après coup j'avais envie d'hurler. Comment tu peux volontairement faire l'impasse sur la communication quand tu dois accompagner des entreprises ?! Certes, beaucoup n'ont pas les moyens de se payer un site marchant à 20k€ mais avant d'en arriver là, il y a tellement de choses à faire ...et pour pas un rond à commencer par gérer les réseaux sociaux, apprendre à programmer des post's, apprendre à gérer une situation de crise, apprendre à démarcher sans agresser ta cible, obtenir une certaine image sans avoir à lâcher un rein dans une identité visuelle (en commençant par une ligne éditoriale, des signatures de mail !) ...
D'y repenser, j'suis colère ... Grrr !
"Et puis de toute façon, on a plus besoin des sites web si on a les réseaux sociaux !"
C'est faux ! Surtout en ce moment ! Oui les réseaux sociaux peuvent aider au début mais à un moment il devient important d'avoir sa propre vitrine à soi. Pourquoi ? Parce que les réseaux sociaux évoluent et les entreprises n'ont aucun pouvoir sur son évolution. De nombreux artistes ont tout perdu quand Twitter est devenu X, leur cible ayant migré sur Mastodon, Bluesky ou encore Threads.
C'est là que j'ai compris que je suis la seule à savoir ce que je veux faire ...
Car oui, un expert en marketing, en gestion d'entreprise, il a des compétences, je ne nie pas mais il ne connaitra pas forcément les spécificités de ton marché et de ta cible. Avec le recul, ça fait écho à la différence Entrepreneur/Manager que j'ai vu au bac et en BTS : L'entrepreneur, il est créatif, il voit des opportunités et il les saisit. Le manager lui, il gère. L'opportunité représente un risque et le manager en a une sainte horreur.
Du coup j'ai abandonné l'idée de me faire accompagner pour être sécurisée car ... tous m'étaient finalement plus néfastes qu'autre chose. Je pense encore aux "Non mais l'IA peut/pourra le faire" ...à chaque fois que je parlais de mon projet ... au moins que j'ai carrément douté de moi, mes études ... de mon utilité pour le monde (et oui ça va grave loin du coup).
Du coup j'avance toute seule !
Je fais mon étude de marché. Je me prends des stops monstrueux quand je demande à répondre à un questionnaire. J'ai donc changé de stratégie 4 ou 5 fois, je lis des livres pour améliorer mes techniques. Je démarche sur les réseaux ... on me répond !
J'essaie, je tombe, je me relève, j'apprends, j'avance.
En parallèle, j'suis active sur Threads. De mon côté, ça ressemble énormément à une sorte de Linkedin des créatifs mais avec des bonnes vibes.
Il y a peu, et je vais finir sur ça : en me baladant sur Instagram j'suis tombée sur une leçon inspirante d'une bonne sorcière :
"La réussite, c'est ce qui arrive quand on survit à ses erreurs."
agoodwitchofficial (Instagram)
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