#Visa de travail pour africains
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Tout Savoir sur les Visa Travail au Canada Pour les Professionnels Africains
Le Canada continue d'être l'une des destinations les plus populaires pour les professionnels du monde entier, et en particulier pour ceux venant d'Afrique. Grâce à ses opportunités d'emploi, son environnement accueillant et sa qualité de vie élevée, de nombreux Africains choisissent de faire carrière dans ce pays. Cependant, avant de pouvoir commencer à travailler au Canada, il est crucial de bien comprendre les visa travail nécessaires pour entrer légalement et travailler.
Dans cet article, nous vous expliquons tout ce que vous devez savoir sur les visa travail pour le Canada, les conditions d'éligibilité, le processus de demande et les programmes spécifiques destinés aux professionnels africains.
1. Les Différents Types de Visa Travail pour le Canada
Le Canada offre différents types de visa travail selon le profil du candidat et le type de travail recherché. Voici les principales catégories :
1.1. Permis de travail temporaire
Le permis de travail temporaire permet aux professionnels étrangers de travailler au Canada pour un employeur spécifique pendant une période déterminée. Ce visa est idéal pour ceux qui ont déjà reçu une offre d'emploi d'une entreprise canadienne. Il est souvent accompagné d'une étude d'impact sur le marché du travail (EIMT) pour démontrer qu'aucun Canadien ou résident permanent ne peut occuper le poste.
1.2. Permis de travail ouvert
Le permis de travail ouvert permet de travailler pour n'importe quel employeur canadien, sans restrictions géographiques. Ce type de permis est particulièrement utile pour les travailleurs qualifiés souhaitant explorer diverses opportunités professionnelles au Canada.
1.3. Programme des travailleurs qualifiés
Le programme des travailleurs qualifiés (Express Entry) est un système d'immigration conçu pour attirer les professionnels qualifiés. Il inclut les catégories suivantes :
Programme fédéral des travailleurs qualifiés.
Programme des travailleurs de la province de Québec.
Programme des travailleurs de certaines provinces.
Les candidats sont évalués sur des critères tels que l'éducation, l'expérience professionnelle et les compétences linguistiques.
2. Conditions d'Éligibilité pour les Professionnels Africains
Les candidats africains souhaitant obtenir un visa travail Canada doivent satisfaire à certaines conditions d'éligibilité :
2.1. Offre d'emploi valide
Un visa travail nécessite généralement une offre d'emploi d'un employeur canadien. Cette offre doit être valide et correspondre aux critères de la catégorie de visa choisie.
2.2. Compétences et qualifications
Le Canada recherche des professionnels ayant des compétences spécifiques et de l'expérience dans des secteurs d'emploi en demande. Il est essentiel que les candidats aient un niveau de compétence et d'expérience conforme aux attentes du marché du travail canadien.
2.3. Exigences linguistiques
La maîtrise de l'anglais ou du français est un critère important pour l'obtention du visa. Les candidats doivent passer un test linguistique reconnu, comme le IELTS pour l'anglais ou le TEF pour le français.
2.4. Autres exigences
En fonction de la catégorie du visa, des documents tels qu'un examen médical, une vérification des antécédents criminels et la preuve de fonds peuvent être exigés.
3. Le Processus de Demande de Visa Travail Canada
3.1. Préparation de votre dossier
Avant de soumettre une demande, assurez-vous de rassembler tous les documents nécessaires, y compris votre offre d'emploi, vos diplômes, votre passeport et vos résultats aux tests linguistiques.
3.2. Soumettre votre demande
La demande de visa peut être soumise en ligne via le site officiel de l'immigration canadienne. Vous devrez créer un compte, remplir le formulaire et soumettre vos documents. Si nécessaire, vous devrez également payer les frais de demande.
3.3. Suivi de votre demande
Une fois votre demande soumise, vous recevrez une confirmation de la part des autorités canadiennes. Le traitement de la demande peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois, selon la catégorie de visa et la charge de travail du gouvernement.
3.4. Réception du visa et entrée au Canada
Après approbation, vous recevrez votre visa travail et pourrez entrer au Canada pour commencer votre travail. À votre arrivée, vous devrez vous présenter à un agent d'immigration pour vérifier vos documents.
4. Comment le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique Peut Vous Aider
Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique vous offre un service de préfinancement visa qui facilite votre processus d'immigration vers le Canada. Nous nous occupons du préfinancement de votre visa travail, du billet d’avion et de votre logement. Grâce à notre expertise, nous vous guidons tout au long du processus et nous nous assurons que toutes les étapes sont correctement suivies pour que vous puissiez commencer votre nouvelle vie au Canada sans tracas.
Visitez notre site www.fondsautonomieafrique.org pour plus d’informations sur nos services de préfinancement et d’accompagnement.
5. Conclusion
Le Canada est un excellent choix pour les professionnels africains en quête de nouvelles opportunités de carrière. En suivant le processus rigoureux pour obtenir votre visa travail, vous pouvez faire un pas vers une carrière enrichissante et un avenir prospère au Canada. Assurez-vous de bien respecter les conditions d'éligibilité, de soumettre un dossier complet et de vous faire accompagner par des experts pour maximiser vos chances de succès.
Si vous souhaitez en savoir plus ou obtenir une assistance complète pour votre demande de visa travail, contactez-nous dès aujourd'hui via Fonds d'Autonomie pour l'Afrique.
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L’Espagne offre des visas de travail ; voici ce qu’il faut retenir
Avec ses visas de travail, l’Espagne pourrait être l’opportunité que de nombreux africains attendent. Il n’est plus à rappeler que de nombreux Africains rêvent d’immigrer en Europe pour y travailler. L’Espagne pourrait donc devenir cette porte d’entrée légale. Concrètement, l’Espagne propose des mesures qui pourraient intéresser des travailleurs étrangers non-européens, particulièrement dans les…
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Vendredi 18 Août 2023.
Festival photo de La Gacilly.
La nature en héritage est la thématique des vingt ans du festival. Il y a, sauf erreur de ma part, vingt-trois photographes exposés avec beaucoup de belles choses. Ce n’est pas un compte rendu que je ferais, ce n’est pas mon rôle, mais un clin d’œil aujourd’hui à Pascal Maitre**** auteur de la photo publiée aujourd’hui. Son exposition, Metropolis, interroge aujourd’hui sur le futur des villes de plus en plus tentaculaires à travers le monde.
« Selon les Nations Unies, deux humains vivront dans une zone urbaine d’ici à 2050. D’après les mêmes experts, la planète comptera 43 villes de plus de 10 millions d’habitants-contre 23 aujourd’hui, en excluant les ensembles métropolitains plus larges. Sur le continent africain, quatre villes dépasseront ce seuil symbolique pour rejoindre les rangs du Caire, de Kinshasa et de Lagos » *
Cette photo fait partie du travail de Pascal sur le charbon de bois dans le monde, autre exposition qui sera visible à Visa pour l’image** dans deux semaines. Elle m’interpelle beaucoup sur le rapport entre le monde dit développé et le tiers monde, et l’avenir de notre planète.
« Selon l’ONU, aujourd’hui plus de la moitié des arbres abattus sur la planète sont utilisés pour produire du charbon de bois et du bois de chauffage. En République démocratique du Congo, chaque année 500 000 hectares de forêt sont transformés en charbon. Le Cambodge a perdu plus d’un tiers de ses forêts primaires, dont une grande partie pour le charbon de bois utilisé notamment dans la production de l’acier ». ***
*Texte repris du catalogue du festival sur l’exposition de Pascal.
** Le charbon de bois : l’or noir des pauvres.
*** Extrait du texte de présentation de Pascal Maitre pour l’exposition à Visa.
**** J’ai rencontré Pascal pour la première fois en 1986 à Denver, Colorado, où nous avions été choisis parmi 200 photographes pour le projet « A day in the life of America ». Nous avons ensuite fondé, avec cinq autres photographes, l’agence Odyssey images. Aujourd’hui nous nous sommes retrouvés au sein de l’agence MYOP.
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La presse africaine de ce vendredi aborde plusieurs sujets notamment les 20 mesures phares prises par le président sénégalais Macky Sall, à l’issue du Conseil présidentiel tenu jeudi à Thiès (centre-ouest), l’atelier pour le renforcement du rôle des services pharmaceutiques au Gabon, le lancement de la 6ème édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA) en Côte d’Ivoire et la fermeture de toutes les universités et centres interuniversitaires du pays entre le 22 février et le 14 mars pour des raisons de sécurité au Nigeria. 20 mesures phares prises par le président sénégalais Macky Sall Revue de presse quotidienne Africaine de ce jeudi 9 février 2023 Les journaux africains évoquent également la situation de l’emploi dans l’Etat régional d’Amhara en Ethiopie, la suppression des visas entre le Kenya et l’Érythrée et le problème des attaques ciblant les lanceurs d’alerte contre la corruption en Afrique du Sud. Au Sénégal, la politique reste toujours le sujet dominant de l’actualité traitée par les parutions de ce vendredi notamment les 20 mesures phares prises par le chef de l’Etat Macky Sall à l’issue du Conseil présidentiel tenu à Thiès à l’occasion de sa tournée économique dédiée à cette région centre-ouest du pays, outre l’interdiction par l’autorité préfectorale de Mbacké (centre) du meeting du leader de Pastef (Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité-opposition), Ousmane Sonko. ‘’La main généreuse de l’Etat pour Thiès’’, titre le journal ‘’Le Soleil’’ qui annonce 20 mesures phares d’un montant de 1500 milliards de FCfa pour des secteurs visés comme le chemin de fer ; l’éducation et la formation ; la sécurité ; l’économie maritime ; le pétrole et le gaz ; la santé ; l’emploi ; le tourisme entre autres. ‘’En Quête’’, qui titre ‘’Le pacte de Thiès’’, écrit Macky-Idy-Babacar Diop, pour parler de la relation entre le Président Macky Sall, Idrissa Seck (Idy), président du Conseil économique social et environnemental, président du parti Rewmi (le pays) et le maire de la ville hôte, le professeur Babacar Diop. Le média prédit ‘’trois potentiels candidats à la Présidentielle de 2024 réunis, hier, autour de la table et de la République’’. Le journal ‘’WalfQuotidien’’ écrit ‘’Idy balise le chemin de la retraite’’ en se focalisant sur la troisième candidature du président Macky Sall pour la présidentielle de 2024. Pour sa part, ‘’BES Bi Le Jour’’ présente à sa Une ‘’Idy et les non-dits’’ pour revenir sur le débat du 3-ème mandat. ‘’Il souhaite à Macky Sall +une mention honorable sur les langues de la postérités+’’. Répliquant, le Président Sall lance en ces mots +Merci pour votre talent oratoire et vos prières+’’, rapporte le quotidien. Revue de la presse quotidienne internationale africaine REVUE DE PRESSE Mardi 8 février 2023 ‘’Prémices de fin d’Idylle’’, titre ‘’L’Observateur’’, notant que ‘’le leader de Rewmi Idrissa Seck, met la pression à Macky Sall avec un message codé de Seck, lui rappelant le conseil qu’il avait donné à Wade en 2011’’. Selon ‘’Tribune’’, ‘’Idy évoque la fin de règne de Macky’’. Le leader du parti Rewmi à l’endroit du chef de l’Etat lance ‘’+Que les choix futurs que vous aurez à faire puissent vous valoir un parachèvement de votre parcours déjà exceptionnel. Vous avez fait la preuve que votre vision va bien au-delà de Diamniadio+’’, écrit la publication. D’autre part, les quotidiens se sont également penchés sur l’interdiction du meeting d’Ousmane Sonko à Mbacké. ‘’Montée des périls, attention !!!’’, informe ‘’Le Témoin’’ indiquant que ‘’malgré l’interdiction par le préfet de Mbacké, Sonko se dit déterminé à tenir son méga-meeting dans le Baol. Il compte prier à Touba vendredi. Hier son cortège avait été gazé à la Patte D’Oie’’, indique le média. Atelier sur le renforcement du rôle des services pharmaceutiques suites judiciaires de l’accident de Kaffrine et les mesures de sécurité routière à la Une revue de presse du 14 janvier 2023
La rencontre de Mbacké pourtant interdite, ‘’Sonko, déterminé à tenir son meeting, menace’’, rapporte ‘’Les Echos’’, selon qui, ‘’il promet de déclencher des manifestations simultanées dans tout le pays et dans la diaspora si…’’. Au Gabon, « L’Union » écrit que l’Agence du médicament a organisé conjointement avec la Banque mondiale et Medrac Afrique, un atelier sur le renforcement du rôle des services pharmaceutiques pour la lutte contre les maladies non transmissibles, afin de trouver des pistes de solutions pour améliorer leurs prises en charge. « Cette table ronde permettra, d’une part, de déterminer le rôle présentement joué par les pharmacies dans cette lutte et, d’autre part, d’élaborer et proposer des recommandations stratégiques visant à renforcer l’implication desdites pharmacies pour la maintenance d’un système d’approvisionnement stable et continue en médicaments, l’information, la communication et l’éducation des patients vus en pharmacie, la fourniture de service de conseil et de dépistage aux patients dans les pharmacies » , a relevé le secrétaire général du ministère de la Santé, Patrice Ontina, à l’ouverture des travaux à la place du ministre de tutelle. Selon l’OMS, poursuit le média, le Gabon est confronté à une augmentation substantielle de l’incidence des maladies non transmissibles qui sont désormais responsables de près d’un tiers des décès qui y sont enregistrés. Lancement de la 6e édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA) revue de presse du 27 décembre 2022 - rapport cour des comptes 18 En Côte d’Ivoire, ’’Fraternité Matin’’ rapporte que le Premier ministre, Patrick Achi a procédé, jeudi à Abidjan, au lancement de la 6e édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA), en présence de plusieurs membres du gouvernement et de l’ambassadrice du Royaume des Pays-Bas, pays invité d’honneur du SARA 2023, organisé autour du thème «l’Agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : Quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire de nos pays ?». «Avec plus de 22% du PIB et 60 % des emplois durables en 2020, le secteur agricole occupe en effet une place comme nulle autre, dans le notre tissu socio-économique national», déclaré M. Achi, note la publication. Selon le Premier ministre, ajoute le journal, «ce secteur est au cœur de la vision 2030 du Chef de l’État, Alassane Ouattara, et des transformations structurelles que nous voulons accomplir pour notre production agricole, notre décollage industriel, nos capacités d’export, comme sources de créations d’emplois nouveaux et de revenus supplémentaires». Les rues de la capitale politique de Côte d'Ivoire pour parler de ce prix Conseil des ministres décentralisé de Tambacounda en exergue revue de presse du 27 décembre 2022 De son côté, ’’Notre Voie’’ écrit qu’en marge de la remise du Prix Félix Houphouët-Boigny – UNESCO pour la recherche de la paix, 100 jeunes bénévoles de Yamoussoukro se sont mobilisés pour la promotion de la paix. Constitués en groupe de cinq, ces jeunes issus des organisations de jeunesses de Yamoussoukro, ont sillonné les rues de la capitale politique pour parler de ce prix, de son histoire, et surtout de paix, fait savoir le quotidien. Au Nigeria, « The Nation » rapporte que le gouvernement fédéral a ordonné la fermeture de toutes les universités et centres interuniversitaires du pays entre le 22 février et le 14 mars pour des raisons de sécurité. Suite à la directive du ministre de l’Education, Adamu Adamu, la Commission nationale des universités (NUC), dans une circulaire adressée à tous les vice-chanceliers de toutes les universités et aux directeurs/chefs exécutifs des centres interuniversitaires, a demandé à tous les personnels des universités de quitter les lieux pendant la période électorale, fait savoir le média. Sans espèces de la Banque centrale du Nigeria (CBN)
Conseil des ministres décentralisé de Tambacounda en exergue revue de presse du 27 décembre 2022 + Pour sa part, « The Guardian » écrit que le conseiller à la sécurité nationale (NSA), Mohammed Monguno, a déclaré que le changement de monnaie et la politique sans espèces de la Banque centrale du Nigeria (CBN), s’ils ne sont pas bien pensés, peuvent affecter les opérations des troupes sur le terrain. M. Monguno a fait cette remarque lorsqu’il s’est présenté devant une commission ad hoc de la Chambre des représentants sur le changement de monnaie et la politique sans espèces, jeudi à Abuja, précise le journal. « Représenté par le chef de l’unité de défense, le contre-amiral Abubakar Mustapha, le NSA a déclaré que même dans les pays avancés, de telles politiques pourraient affecter les opérations des troupes si elles ne sont pas bien mises en œuvre », ajoute la publication. 400 783 citoyens ont trouvé un emploi au cours des six derniers mois réaction du gouvernement au rapport de la Cour des comptes au menu revue de presse du 24 décembre 2022 ok « Certains de nos soldats sont déployés dans des endroits où ils ne peuvent pas accéder à des moyens numériques pour payer leur subsistance quotidienne; c’est le principal problème dont la NSA a parlé », poursuit le quotidien. En Ethiopie, « The Ethiopian Herald » s’intéresse à la situation de l’emploi dans l’Etat régional d’Amhara en relevant que jusqu’à présent, les activités de création d’emplois ont été aussi prometteuses que 400 783 citoyens ont trouvé un emploi au cours des six derniers mois seulement. Le journal qui cite le Bureau du travail et des compétences de l’État régional d’Amhara, souligne que cette région table sur la création de 1 180 000 emplois sur les douze mois de l’année. Les emplois au niveau du secteur agricole représentent 33 pc tandis que l’industrie couvre 45 pc, précise le journal, ajoutant que le commerce et le secteur privé ont joué un rôle important dans la création de postes d’emploi. Isaias Afwerki est arrivé mercredi au Kenya pour une visite d’État de deux jours Dernier rapport de la cour des comptes et le procès des députés de l’opposition à la Une Revue de presse du 20 décembre 2022 Sur un autre registre, le journal revient sur les performances du tourisme dans l’Etat régional d’Oromia, en rapportant que le secteur a généré plus de 8,2 milliards de birr (01 dollars= 53 birr) auprès des touristes locaux et étrangers au cours des six derniers mois. Le quotidien note que quelque 7,9 millions de touristes nationaux et 120 000 étrangers ont visité l’État régional d’Oromia au cours de cette période. Au Kenya, « The Standard » s’intéresse à la suppression des visas entre le Kenya et l’Érythrée, relevant que la décision a été annoncée par le Président Kényan William Ruto, à l’occasion de la visite de son homologue érythréen, Isaias Afwerki, à Nairobi. Le journal ajoute que Ruto a déclaré que le Kenya ouvrirait, avec effet immédiat, une ambassade à Asmara, la capitale de l’Érythrée, faisant savoir qu’Isaias Afwerki est arrivé mercredi au Kenya pour une visite d’État de deux jours. En tête de l’ordre du jour de sa rencontre avec le président Ruto figuraient des accords bilatéraux dans plusieurs domaines de coopération, indique la publication, rappelant que la dernière visite officielle d’Isaias Afwerki au Kenya remonte au 15 décembre 2018. réaction du gouvernement au rapport de la Cour des comptes au menu revue de presse du 24 décembre 2022 + A lire aussi Les couloirs de la vie en Afrique de l’Ouest et du centre dans le « Financement du déficit d’infrastructure » (Conclave) De son côté, « Daily Nation » s’intéresse à l’alerte de sécurité émise jeudi par les autorités américaines concernant d’éventuelles attaques dans la capitale Nairobi et dans d’autres villes du pays, appelant ses citoyens à « faire preuve de vigilance dans les lieux fréquentés par les touristes et les étrangers ». Citant l
’ambassade des États-Unis au Kenya, l’auteur de l’article rapporte que « les lieux fréquentés par les ressortissants américains et étrangers et les touristes à Nairobi et ailleurs au Kenya restent des cibles attrayantes pour les terroristes qui prévoient de mener des attaques potentiellement imminentes ». En Afrique du Sud, « Sunday Times » s’arrête sur le problème des attaques ciblant les lanceurs d’alerte contre la corruption qui gangrène les sphères de l’État. La loi sud-africaine est contre-intuitive par rapport aux objectifs louables de la dénonciation Message Du Khalife Général Des Tidianes A La Une Revue De Presse Du 10 Octobre 2022 Le journal revient ainsi sur les propos du ministre de la Justice, Ronald Lamola, selon lesquels le niveau de représailles auquel font face les lanceurs d’alerte s’avère préoccupant, faisant état de plusieurs lacunes dans la loi sur les divulgations publiques. S’exprimant lors d’une conférence sur la réforme de l’administration de la justice pénale, M. Lamola a également souligné que la loi sud-africaine est contre-intuitive par rapport aux objectifs louables de la dénonciation, qui vise à lutter contre la culture de corruption organisationnelle qui sévit dans le pays. Par ailleurs, le responsable a salué les lanceurs d’alerte qui se sont manifestés pour révéler les dessous des conduites contraires à l’éthique et de la corruption dans les secteurs public et privé. Dans un autre registre, « Eyewitness News » indique que la crise de l’électricité continue d’affecter l’économie de plein fouet. revue-presse-nouveau1-1 A lire aussi Un décret pour sécuriser les exploitations familiales (Réforme foncière) Il rapporte ainsi que le ministre des Ressources minérales et de l’Énergie, Gwede Mantashe, a mis l’accent sur l’impact grave des délestages électriques en faisant savoir que l’économie du pays perd 1 milliard de rands par jour (plus de 56 millions de dollars) à cause de cette crise. Intervenant lors de la Conférence africaine sur le secteur minier « African mining Indaba », M. Mantashe a rappelé que 2022 a été l’année où l’Afrique du Sud a enregistré le plus de coupures de courant et de perturbations de l’approvisionnement à cause des pannes ayant affecté les unités de production. Par Kafunel Avec MAP
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La presse africaine de ce vendredi aborde plusieurs sujets notamment les 20 mesures phares prises par le président sénégalais Macky Sall, à l’issue du Conseil présidentiel tenu jeudi à Thiès (centre-ouest), l’atelier pour le renforcement du rôle des services pharmaceutiques au Gabon, le lancement de la 6ème édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA) en Côte d’Ivoire et la fermeture de toutes les universités et centres interuniversitaires du pays entre le 22 février et le 14 mars pour des raisons de sécurité au Nigeria. 20 mesures phares prises par le président sénégalais Macky Sall Revue de presse quotidienne Africaine de ce jeudi 9 février 2023 Les journaux africains évoquent également la situation de l’emploi dans l’Etat régional d’Amhara en Ethiopie, la suppression des visas entre le Kenya et l’Érythrée et le problème des attaques ciblant les lanceurs d’alerte contre la corruption en Afrique du Sud. Au Sénégal, la politique reste toujours le sujet dominant de l’actualité traitée par les parutions de ce vendredi notamment les 20 mesures phares prises par le chef de l’Etat Macky Sall à l’issue du Conseil présidentiel tenu à Thiès à l’occasion de sa tournée économique dédiée à cette région centre-ouest du pays, outre l’interdiction par l’autorité préfectorale de Mbacké (centre) du meeting du leader de Pastef (Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité-opposition), Ousmane Sonko. ‘’La main généreuse de l’Etat pour Thiès’’, titre le journal ‘’Le Soleil’’ qui annonce 20 mesures phares d’un montant de 1500 milliards de FCfa pour des secteurs visés comme le chemin de fer ; l’éducation et la formation ; la sécurité ; l’économie maritime ; le pétrole et le gaz ; la santé ; l’emploi ; le tourisme entre autres. ‘’En Quête’’, qui titre ‘’Le pacte de Thiès’’, écrit Macky-Idy-Babacar Diop, pour parler de la relation entre le Président Macky Sall, Idrissa Seck (Idy), président du Conseil économique social et environnemental, président du parti Rewmi (le pays) et le maire de la ville hôte, le professeur Babacar Diop. Le média prédit ‘’trois potentiels candidats à la Présidentielle de 2024 réunis, hier, autour de la table et de la République’’. Le journal ‘’WalfQuotidien’’ écrit ‘’Idy balise le chemin de la retraite’’ en se focalisant sur la troisième candidature du président Macky Sall pour la présidentielle de 2024. Pour sa part, ‘’BES Bi Le Jour’’ présente à sa Une ‘’Idy et les non-dits’’ pour revenir sur le débat du 3-ème mandat. ‘’Il souhaite à Macky Sall +une mention honorable sur les langues de la postérités+’’. Répliquant, le Président Sall lance en ces mots +Merci pour votre talent oratoire et vos prières+’’, rapporte le quotidien. Revue de la presse quotidienne internationale africaine REVUE DE PRESSE Mardi 8 février 2023 ‘’Prémices de fin d’Idylle’’, titre ‘’L’Observateur’’, notant que ‘’le leader de Rewmi Idrissa Seck, met la pression à Macky Sall avec un message codé de Seck, lui rappelant le conseil qu’il avait donné à Wade en 2011’’. Selon ‘’Tribune’’, ‘’Idy évoque la fin de règne de Macky’’. Le leader du parti Rewmi à l’endroit du chef de l’Etat lance ‘’+Que les choix futurs que vous aurez à faire puissent vous valoir un parachèvement de votre parcours déjà exceptionnel. Vous avez fait la preuve que votre vision va bien au-delà de Diamniadio+’’, écrit la publication. D’autre part, les quotidiens se sont également penchés sur l’interdiction du meeting d’Ousmane Sonko à Mbacké. ‘’Montée des périls, attention !!!’’, informe ‘’Le Témoin’’ indiquant que ‘’malgré l’interdiction par le préfet de Mbacké, Sonko se dit déterminé à tenir son méga-meeting dans le Baol. Il compte prier à Touba vendredi. Hier son cortège avait été gazé à la Patte D’Oie’’, indique le média. Atelier sur le renforcement du rôle des services pharmaceutiques suites judiciaires de l’accident de Kaffrine et les mesures de sécurité routière à la Une revue de presse du 14 janvier 2023
La rencontre de Mbacké pourtant interdite, ‘’Sonko, déterminé à tenir son meeting, menace’’, rapporte ‘’Les Echos’’, selon qui, ‘’il promet de déclencher des manifestations simultanées dans tout le pays et dans la diaspora si…’’. Au Gabon, « L’Union » écrit que l’Agence du médicament a organisé conjointement avec la Banque mondiale et Medrac Afrique, un atelier sur le renforcement du rôle des services pharmaceutiques pour la lutte contre les maladies non transmissibles, afin de trouver des pistes de solutions pour améliorer leurs prises en charge. « Cette table ronde permettra, d’une part, de déterminer le rôle présentement joué par les pharmacies dans cette lutte et, d’autre part, d’élaborer et proposer des recommandations stratégiques visant à renforcer l’implication desdites pharmacies pour la maintenance d’un système d’approvisionnement stable et continue en médicaments, l’information, la communication et l’éducation des patients vus en pharmacie, la fourniture de service de conseil et de dépistage aux patients dans les pharmacies » , a relevé le secrétaire général du ministère de la Santé, Patrice Ontina, à l’ouverture des travaux à la place du ministre de tutelle. Selon l’OMS, poursuit le média, le Gabon est confronté à une augmentation substantielle de l’incidence des maladies non transmissibles qui sont désormais responsables de près d’un tiers des décès qui y sont enregistrés. Lancement de la 6e édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA) revue de presse du 27 décembre 2022 - rapport cour des comptes 18 En Côte d’Ivoire, ’’Fraternité Matin’’ rapporte que le Premier ministre, Patrick Achi a procédé, jeudi à Abidjan, au lancement de la 6e édition du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA), en présence de plusieurs membres du gouvernement et de l’ambassadrice du Royaume des Pays-Bas, pays invité d’honneur du SARA 2023, organisé autour du thème «l’Agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : Quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire de nos pays ?». «Avec plus de 22% du PIB et 60 % des emplois durables en 2020, le secteur agricole occupe en effet une place comme nulle autre, dans le notre tissu socio-économique national», déclaré M. Achi, note la publication. Selon le Premier ministre, ajoute le journal, «ce secteur est au cœur de la vision 2030 du Chef de l’État, Alassane Ouattara, et des transformations structurelles que nous voulons accomplir pour notre production agricole, notre décollage industriel, nos capacités d’export, comme sources de créations d’emplois nouveaux et de revenus supplémentaires». Les rues de la capitale politique de Côte d'Ivoire pour parler de ce prix Conseil des ministres décentralisé de Tambacounda en exergue revue de presse du 27 décembre 2022 De son côté, ’’Notre Voie’’ écrit qu’en marge de la remise du Prix Félix Houphouët-Boigny – UNESCO pour la recherche de la paix, 100 jeunes bénévoles de Yamoussoukro se sont mobilisés pour la promotion de la paix. Constitués en groupe de cinq, ces jeunes issus des organisations de jeunesses de Yamoussoukro, ont sillonné les rues de la capitale politique pour parler de ce prix, de son histoire, et surtout de paix, fait savoir le quotidien. Au Nigeria, « The Nation » rapporte que le gouvernement fédéral a ordonné la fermeture de toutes les universités et centres interuniversitaires du pays entre le 22 février et le 14 mars pour des raisons de sécurité. Suite à la directive du ministre de l’Education, Adamu Adamu, la Commission nationale des universités (NUC), dans une circulaire adressée à tous les vice-chanceliers de toutes les universités et aux directeurs/chefs exécutifs des centres interuniversitaires, a demandé à tous les personnels des universités de quitter les lieux pendant la période électorale, fait savoir le média. Sans espèces de la Banque centrale du Nigeria (CBN)
Conseil des ministres décentralisé de Tambacounda en exergue revue de presse du 27 décembre 2022 + Pour sa part, « The Guardian » écrit que le conseiller à la sécurité nationale (NSA), Mohammed Monguno, a déclaré que le changement de monnaie et la politique sans espèces de la Banque centrale du Nigeria (CBN), s’ils ne sont pas bien pensés, peuvent affecter les opérations des troupes sur le terrain. M. Monguno a fait cette remarque lorsqu’il s’est présenté devant une commission ad hoc de la Chambre des représentants sur le changement de monnaie et la politique sans espèces, jeudi à Abuja, précise le journal. « Représenté par le chef de l’unité de défense, le contre-amiral Abubakar Mustapha, le NSA a déclaré que même dans les pays avancés, de telles politiques pourraient affecter les opérations des troupes si elles ne sont pas bien mises en œuvre », ajoute la publication. 400 783 citoyens ont trouvé un emploi au cours des six derniers mois réaction du gouvernement au rapport de la Cour des comptes au menu revue de presse du 24 décembre 2022 ok « Certains de nos soldats sont déployés dans des endroits où ils ne peuvent pas accéder à des moyens numériques pour payer leur subsistance quotidienne; c’est le principal problème dont la NSA a parlé », poursuit le quotidien. En Ethiopie, « The Ethiopian Herald » s’intéresse à la situation de l’emploi dans l’Etat régional d’Amhara en relevant que jusqu’à présent, les activités de création d’emplois ont été aussi prometteuses que 400 783 citoyens ont trouvé un emploi au cours des six derniers mois seulement. Le journal qui cite le Bureau du travail et des compétences de l’État régional d’Amhara, souligne que cette région table sur la création de 1 180 000 emplois sur les douze mois de l’année. Les emplois au niveau du secteur agricole représentent 33 pc tandis que l’industrie couvre 45 pc, précise le journal, ajoutant que le commerce et le secteur privé ont joué un rôle important dans la création de postes d’emploi. Isaias Afwerki est arrivé mercredi au Kenya pour une visite d’État de deux jours Dernier rapport de la cour des comptes et le procès des députés de l’opposition à la Une Revue de presse du 20 décembre 2022 Sur un autre registre, le journal revient sur les performances du tourisme dans l’Etat régional d’Oromia, en rapportant que le secteur a généré plus de 8,2 milliards de birr (01 dollars= 53 birr) auprès des touristes locaux et étrangers au cours des six derniers mois. Le quotidien note que quelque 7,9 millions de touristes nationaux et 120 000 étrangers ont visité l’État régional d’Oromia au cours de cette période. Au Kenya, « The Standard » s’intéresse à la suppression des visas entre le Kenya et l’Érythrée, relevant que la décision a été annoncée par le Président Kényan William Ruto, à l’occasion de la visite de son homologue érythréen, Isaias Afwerki, à Nairobi. Le journal ajoute que Ruto a déclaré que le Kenya ouvrirait, avec effet immédiat, une ambassade à Asmara, la capitale de l’Érythrée, faisant savoir qu’Isaias Afwerki est arrivé mercredi au Kenya pour une visite d’État de deux jours. En tête de l’ordre du jour de sa rencontre avec le président Ruto figuraient des accords bilatéraux dans plusieurs domaines de coopération, indique la publication, rappelant que la dernière visite officielle d’Isaias Afwerki au Kenya remonte au 15 décembre 2018. réaction du gouvernement au rapport de la Cour des comptes au menu revue de presse du 24 décembre 2022 + A lire aussi Les couloirs de la vie en Afrique de l’Ouest et du centre dans le « Financement du déficit d’infrastructure » (Conclave) De son côté, « Daily Nation » s’intéresse à l’alerte de sécurité émise jeudi par les autorités américaines concernant d’éventuelles attaques dans la capitale Nairobi et dans d’autres villes du pays, appelant ses citoyens à « faire preuve de vigilance dans les lieux fréquentés par les touristes et les étrangers ». Citant l
’ambassade des États-Unis au Kenya, l’auteur de l’article rapporte que « les lieux fréquentés par les ressortissants américains et étrangers et les touristes à Nairobi et ailleurs au Kenya restent des cibles attrayantes pour les terroristes qui prévoient de mener des attaques potentiellement imminentes ». En Afrique du Sud, « Sunday Times » s’arrête sur le problème des attaques ciblant les lanceurs d’alerte contre la corruption qui gangrène les sphères de l’État. La loi sud-africaine est contre-intuitive par rapport aux objectifs louables de la dénonciation Message Du Khalife Général Des Tidianes A La Une Revue De Presse Du 10 Octobre 2022 Le journal revient ainsi sur les propos du ministre de la Justice, Ronald Lamola, selon lesquels le niveau de représailles auquel font face les lanceurs d’alerte s’avère préoccupant, faisant état de plusieurs lacunes dans la loi sur les divulgations publiques. S’exprimant lors d’une conférence sur la réforme de l’administration de la justice pénale, M. Lamola a également souligné que la loi sud-africaine est contre-intuitive par rapport aux objectifs louables de la dénonciation, qui vise à lutter contre la culture de corruption organisationnelle qui sévit dans le pays. Par ailleurs, le responsable a salué les lanceurs d’alerte qui se sont manifestés pour révéler les dessous des conduites contraires à l’éthique et de la corruption dans les secteurs public et privé. Dans un autre registre, « Eyewitness News » indique que la crise de l’électricité continue d’affecter l’économie de plein fouet. revue-presse-nouveau1-1 A lire aussi Un décret pour sécuriser les exploitations familiales (Réforme foncière) Il rapporte ainsi que le ministre des Ressources minérales et de l’Énergie, Gwede Mantashe, a mis l’accent sur l’impact grave des délestages électriques en faisant savoir que l’économie du pays perd 1 milliard de rands par jour (plus de 56 millions de dollars) à cause de cette crise. Intervenant lors de la Conférence africaine sur le secteur minier « African mining Indaba », M. Mantashe a rappelé que 2022 a été l’année où l’Afrique du Sud a enregistré le plus de coupures de courant et de perturbations de l’approvisionnement à cause des pannes ayant affecté les unités de production. Par Kafunel Avec MAP
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Trucs et astuces pour voyager en Afrique
Vous avez finalement franchi le pas et réservé ce billet pour une aventure épique en Afrique, vous avez planifié un itinéraire approximatif, choisi votre safari et vous serez bientôt sur votre chemin - hourra!
De l'incroyable environnement naturel à la riche histoire culturelle, en passant par les habitants chaleureux et les marchés dynamiques, l'Afrique a tout, parfois tout à la fois. Il y a juste quelque chose à propos de ce continent fascinant qui vous attire et vous incite à revenir encore et encore. Mais force est de constater que c’est aussi un endroit décourageant pour les explorateurs les plus durs! VOUS POUVEZ AUSSI VÉRIFIER agence de voyage au senegal
Comment parler la langue
Si vous craignez de rester à jamais coincé à l’aéroport de Tanzanie parce que vous ne pouvez pas diriger votre chauffeur de taxi en swahili fluide, restez calme.
Vous serez très soulagés de découvrir que malgré les 1 500 à 2 000 langues locales parlées en Afrique, l’anglais est en réalité une langue officielle dans de nombreux pays (avec l’allemand ou le français dans quelques pays!).
Ne manquez pas d’être paresseux et de ne compter que sur l’anglais; apprendre quelques phrases clés. Les locaux l’apprécieront et vous vivrez une expérience bien plus riche. Par exemple, un sympathique propriétaire de stand de fruits malawien a ajouté quelques pièces de plus parce que nous avons essayé notre meilleur Chichewa avec lui!
Comment sont les locaux
Oubliez ce que vous avez vu dans les films; collectivement, les Africains font partie des personnes les plus amicales de la planète. C’est courant d’être accueillis avec un grand sourire et un bonjour, et la plupart souhaitent apprendre votre nom, votre lieu d’origine et la raison de votre visite.
Vous rencontrerez probablement l’expression «Mzungu» qui vous est lancée - souvent par des habitants souriants qui balancent les fenêtres de la voiture ou vous dépassent dans la rue. La traduction littérale de swahili est «une personne qui erre sans but», bien qu’elle soit utilisée de nos jours pour décrire tout étranger blanc. C’est surtout dit d’une manière amicale et plaisante - essayez donc de ne pas vous offenser.
Il est également important de se rappeler que l’Afrique dans son ensemble est très religieuse (le christianisme et l’islam sont largement pratiqués) et très conservatrice, donc respectez-la dans votre discours et dans votre tenue vestimentaire.
Comment éviter les tracasseries aux frontières
Malheureusement, la corruption aux frontières est un aspect du voyage en Afrique qui peut être sérieusement frustrant pour les voyageurs.
La plupart du temps, vous réussirez sans problème, d’autres fois, vous devrez peut-être attendre des heures pour que votre passeport soit traité sans aucune explication, ou vous devrez payer un pot-de-vin à un fonctionnaire corrompu. Ensuite, il y a les rabatteurs qui proposent d'échanger votre argent à des taux totalement ridicules ou d'essayer de vous vendre n'importe quoi, des bracelets aux samosas (remarque: achetez toujours les samosas, les gars).
Heureusement, nous avons réussi à franchir huit contrôles frontaliers différents en un minimum de tracas, et vous le pouvez aussi en suivant ces conseils:
Soyez informé: connaissez vos exigences en matière de visa avant de visiter n'importe quel pays d'Afrique. Entrez en contact avec votre ambassade locale avant de voyager ou rendez-vous sur Project Visa pour obtenir des réponses à toutes vos questions relatives aux visas.
Soyez organisé: Bien que vous puissiez obtenir la plupart des visas aux différents points d’entrée, leur organisation à l’avance vous épargne une tonne de tracas (et parfois d’argent!) Plus tard.
Soyez malin: emportez toujours des dollars US de réserve au cas où. Si vous devez changer de l'argent à la frontière, connaissez toujours le taux de change avant de vous y rendre et négociez bien.
Soyez têtu - si quelqu'un a l'air de vouloir délibérément bloquer les choses pour vous faire payer pour que vous «précipitiez le processus» fermement (et poliment!), Demandez de récupérer votre passeport. Si vous êtes certain que votre visa satisfait à toutes les exigences mais que l’on vous demande de payer plus pour l’obtenir, approuvez-le, refusez et demandez à parler à un autre responsable.
Avant tout: abordez le processus avec le sourire et éclatez de rire. C’est plus facile comme ça!
Comment voyager
Une des meilleures choses à faire pour voyager en Afrique, peu importe où vous êtes ou où vous voulez aller, aller de A à B est toujours possible. Comment vous obtenez de A-B cependant, est une autre histoire tout à fait.
Les taxis, les tuk-tuks, les cyclomoteurs, les pousse-pousse, vous l'appelez… Si elle a des roues et semble capable de parcourir une certaine distance, vous pouvez probablement voyager dessus. Vous pourriez vous retrouver assis dans un avion ou un bus, entassés dans un minibus local avec 25 autres personnes (et une étrange chèvre ou un poulet!), Ou faisant de l'auto-stop à l'arrière d'une camionnette avec la moitié d'un village marchés.
Pour mémoire, voyager en minibus est un rite de passage africain et nous vous recommandons totalement d'embarquer dans un siège inconfortable et dans des conditions de travail exigeantes pour comprendre le mode de vie des habitants!
Pour un voyage dans lequel vous pourrez vous détendre, nos conseils sont les suivants:
Toujours voyager par jour. Toujours.
Attachez toujours votre ceinture
Ne vous attendez pas à partir ou à arriver à l'heure - les choses tournent à l'heure africaine ici!
Vous pouvez ou non obtenir un siège. Vous pouvez vous asseoir dans l'allée du bus pendant 5 heures avec un poulet picorant à la tête. Rouler avec, tout cela fait partie de l’aventure!
Pour la plupart des trajets en minibus, vous pouvez négocier votre tarif
Ne payez jamais de «frais de stockage de sacs» dans les grands autobus. C’est une arnaque: le prix de votre billet inclut vos bagages.
Hébergement
Des tentes de safari de luxe sur mesure où vous pouvez vivre comme Prince Harry, à vos dortoirs de routards standard où les bouchons d'oreilles anti-ronflement sont indispensables - les options pour poser la tête en Afrique sont nombreuses et variées.
En fait, de nombreux voyageurs choisissent de camper à travers l’Afrique (comme nous l’avons souvent fait!), Car les installations de camping sont accessibles, sûres, dotées de bons équipements et très bon marché. De plus, quel meilleur moyen de se faire de nouveaux amis qu'en s'asseyant autour d'un feu de camp pour échanger des histoires sur sa journée?!
Les grandes villes ont toutes les options d'hébergement habituelles, plus vous vous aventurez dans la campagne, moins il y a d'options disponibles. Ne craignez pas, vous trouverez TOUJOURS un endroit pour vous reposer après une dure journée d’aventures!
Choses à considérer:
Réservez toujours votre hébergement longtemps à l’avance pendant la haute saison (mai à octobre). Des endroits comme la Namibie sont extrêmement populaires, avec un hébergement très limité dans les zones désertiques.
Utilisez des guides, des critiques en ligne ou des recommandations locales. Obtient-il de bonnes critiques?!
Votre logement dispose-t-il d'un coffre-fort, de casiers ou de cadenas?
Y a-t-il un gardien de nuit / sécurité pour s'assurer que vous et vos biens êtes en sécurité pendant la nuit?
Comment rester en bonne santé
Médicaments et santé: renseignez-vous auprès de votre médecin traitant sur les vaccins et les médicaments dont vous aurez besoin avant votre départ.
Conseil: la plupart des pays exigent une preuve de vaccination contre la fièvre jaune uniquement pour entrer dans le pays.
Nous avons également préparé les éléments suivants pour continuer à lutter contre l'aventure sur la route:
Médicament antipaludique
Antibiotiques
Analgésiques
Antihistamine
Comprimés d'iode
Crème hydrocortisone
Insectifuge: DEET est votre nouveau meilleur ami!
* Malheureusement, bien que les lacs africains semblent invitants, beaucoup abritent un horrible parasite appelé Bilharzia. Nous ne sommes pas dans le métier d’histoires d’horreur, nous vous laisserons donc enquêter sur les délices de celui-ci - mais vous NE VOULEZ PAS l’obtenir. Toujours vérifier auprès des habitants avant de plonger.
Eau: Il existe une idée fausse assez répandue selon laquelle il n’ya pas d’eau potable en Afrique, mais nous sommes ici pour vous dire qu’il est possible de boire de l’eau directement au robinet en Afrique du Sud, en Namibie et dans certaines parties de la Zambie et du Botswana. Dirigez-vous vers le nord et vous devrez faire preuve de prudence, mais emportez des comprimés d'iode et tout ira bien!
Nourriture: Tout ce que vous devez vraiment savoir, c'est que la nourriture en Afrique est délicieuse. C’est aussi principalement de haute qualité - bien que peut-être éviter la viande dans les régions éloignées en raison d’un manque de réfrigération adéquate.
Comment rester en sécurité
Nous nous sommes sentis plus en sécurité dans les pays africains que dans les autres régions du monde où nous sommes allés. Cependant, comme toujours, il est utile de faire vos recherches avant de partir.
Tenez compte de ce qui suit et vous aurez un voyage sans stress!
Laissez les bijoux et les marques de créateurs flashy à la maison - elles ne sont pas pratiques et font de vous une cible instantanément.
Portez une ceinture porte-monnaie OU emportez seulement une journée avec de l’argent liquide.
Lorsque vous retirez de l'argent au guichet automatique, soyez conscient de votre environnement. Si quelque chose semble suspect, avancez vite.
Nous sommes des photographes, ce qui signifie que nous voyageons toujours avec de gros appareils photo et des objectifs encore plus grands. Mais vous ne le saurez jamais, car ils sont en sécurité dans nos sacs jusqu’au besoin. Ne vous faites pas une cible en agitant la vôtre!
Ne vous promenez pas seul la nuit dans les rues, surtout dans les grandes villes ou les agglomérations urbaines. Si vous êtes en retard, prenez un taxi ou Uber à chaque fois.
Les pickpockets existent ici comme partout. Par conséquent, si vous visitez des marchés, des bazars, des trains ou des gares routières, faites très attention.
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10 conseils de voyage pour un safari africain
1. Assurance voyage
Dès que vous confirmez vos projets de voyage, prenez une assurance voyage. Choisissez une police couvrant l’annulation, les maladies, l’évacuation d’urgence et les traitements hospitaliers correspondants. Assurez-vous d'emporter avec vous les numéros de téléphone d'urgence de votre assurance voyage, ainsi que votre numéro / vos détails de police.
Êtes-vous prêt pour votre aventure de safari? billet avion dakar conakry
2. Sécurité personnelle
Votre sécurité personnelle est principalement une question de bon sens. Alors, prenez les mêmes précautions lorsque vous voyagez en Afrique en safari que dans n'importe quelle grande ville du pays:
Ne transportez pas de grosses sommes d’argent (voir ci-dessous pour plus d’informations sur les espèces, les cartes de crédit et les distributeurs automatiques de billets).
Transportez votre argent (ainsi que votre passeport et autres documents de voyage) dans une bourse dissimulée sous votre chemise. Gardez-le hors de vue ou rangé dans votre sac ou votre sac à dos (qui devrait rester visible à tout moment).
Gardez un œil sur vos sacs personnels lorsque vous vous promenez dans des endroits très fréquentés (aéroports, marchés, restaurants et dans la rue).
Ne marchez pas seul la nuit.
Laissez votre passeport, vos billets d'avion et vos espèces dans un endroit sûr (l'hôtel / lodge) lorsque vous vous aventurez.
Gardez les objets de valeur (téléphones, appareils photo, étuis de portefeuille, sacs à main) à l'abri des regards. Enfermez-les dans le coffre-fort ou remettez-les à la direction.
Si possible, laissez vos bijoux à la maison.
3. Espèces, cartes de crédit et guichets automatiques
Emportez une combinaison d’argent liquide (de préférence en dollars américains pour la plupart des pays… et en rand pour l’Afrique du Sud) et au moins une carte de crédit.
Les chèques de voyage (chèques) ne sont plus largement acceptés dans les pays africains (Tanzanie, par exemple). Le dollar américain reste le plus largement accepté, suivi de l'euro et de la livre sterling.
Un conseil de voyage très important concerne l'argent. Emportez au moins 150 USD à 250 USD par personne et par semaine à domicile. Les visas garantis à l'arrivée doivent être payés en espèces et pour le montant exact.
Certains pays n'acceptent pas les billets en dollars américains antérieurs à 2000, en raison de suspicions de contrefaçon.
Méfiez-vous des changeurs de monnaie dans la rue! Si vous en utilisez un, assurez-vous de compter chaque billet séparément pour vous assurer que le montant total est présent avant de verser votre propre argent. Une fois compté, veillez à ne pas laisser le tas de votre vue. C'est un vieux truc pour changer de paquet et pour vous faire découvrir plus tard que le nouveau paquet est principalement constitué de journal. Si les traders sont légitimes, ils ne seront pas offensés!
Cartes de crédit et de débit
La plupart des établissements acceptent les cartes de crédit internationales. Utilisez-les comme moyen de paiement dans la mesure du possible. Il est judicieux d'emporter plus d'une marque de carte de crédit, car tous les types de cartes ne sont pas acceptés par tous les points de vente / hôtels. À la baisse, les sociétés émettrices de cartes de crédit n'offrent pas les meilleurs taux de change et ajoutent souvent des frais de transaction à l'étranger pour faire bonne mesure!
Les cartes de crédit en Afrique comportent un supplément - jusqu'à 5% dans certains cas, voire plus! Assurez-vous de poser des questions sur les suppléments avant de remettre votre carte de crédit.
Conseil de voyage important: La plupart des banques et des sociétés émettrices de cartes de crédit vous conseillent de les conseiller avant de voyager à l’étranger. Ceci afin que leurs systèmes de surveillance de carte de crédit ne suspendent pas votre carte lorsqu'ils détectent des achats inhabituels. De tels achats déclencheront la suspension de votre carte et vous laisseront des conséquences embarrassantes.
Aussi, soyez prudent de fournir les détails de votre carte de crédit lorsque vous voyagez. Et ne laissez pas votre carte de côté lorsque vous payez votre facture.
Guichets automatiques
En Afrique, les guichets automatiques fournissent uniquement la monnaie locale et vous aurez peut-être besoin d'un code PIN international. Assurez-vous de vérifier auprès de votre banque / carte de crédit à la maison comment cela devrait fonctionner. Tous les guichets automatiques en Afrique n'accepteront tous les types de cartes de crédit. VISA a la meilleure couverture en Afrique. Utilisez un guichet automatique dans une banque. Ainsi, si votre carte est conservée pour une raison quelconque, vous pouvez entrer et la récupérer. Ne vous fiez pas aux guichets automatiques comme source principale d’argent en safari!
4. courant électrique
En Afrique, l’électricité est comprise entre 220 et 240V / 50Hz, de même qu’une grande partie de l’Europe, du Royaume-Uni, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande et de la quasi-totalité des pays asiatiques et de l’Inde. Ceux d’entre vous d’Amérique du Nord doivent apporter un adaptateur pour la bonne configuration de la fiche et un convertisseur.
5. Téléphone mobile et accès internet
De manière générale, les communications en Afrique ne sont pas ce à quoi vous êtes habitué chez vous, mais la couverture téléphonique mobile (cellulaire) (et même le Wi-Fi) est certainement plus répandue dans toute l'Afrique - bien que pas dans certaines des destinations de safari les plus éloignées (heureusement).
Un conseil de voyage avant de partir: vérifiez auprès de votre fournisseur de service que votre téléphone est enregistré pour l'itinérance internationale (et vérifiez qu'il est compatible avec les réseaux en Afrique. La plupart fonctionnent sur des réseaux numériques GSM, fonctionnant à une fréquence de 900 MHz (et certains réseaux 3G également) Si votre téléphone est un téléphone GSM bi-bande ou tri-bande, il fonctionnera parfaitement.
De plus en plus, nous constatons que le Wi-Fi est proposé dans les camps / lodges de safari - certains étant une extension du réseau de communication de ce pays et d’autres connectés par satellite. Avant de quitter votre pays, adressez-vous à votre spécialiste des voyages en Afrique pour savoir quels camps / lodges disposent du WiFi. Mieux vaut utiliser le WiFi que votre téléphone mobile. Évitez les frais d'itinérance internationaux exorbitants!
6. l'eau
Buvez de l'eau en bouteille. Vous êtes toujours en sécurité en buvant de l'eau en bouteille qui est facilement disponible dans tous les camps et pavillons. Emportez avec vous une bouteille d'eau à tout moment, y compris lors des transferts entre camps. Si vous avez le moindre doute sur la qualité de l’eau dans laquelle vous séjournez, renseignez-vous auprès du personnel. Et si l'eau n'est ni traitée ni embouteillée, évitez la présence de glace dans les boissons ou lavez vos dents avec l'eau du robinet. Prenez des comprimés de purification de l'eau en cas d'urgence si vous pensez que de l'eau en bouteille ne sera pas disponible.
L'industrie du safari fait un effort concerté pour réduire l'utilisation de bouteilles d'eau en plastique - essayez de travailler avec elles.
Un certain nombre d’opérateurs de safari mettent à votre disposition des bouteilles d’eau stérilisées (principalement en acier inoxydable) que vous pourrez remplir avec de l’eau purifiée dans leurs camps et leurs lodges. C'est une initiative que vous devriez adopter autant que possible car cela aura un impact environnemental significatif et positif. En supprimant les bouteilles en plastique remplies en usine (scellées), vous économiserez du carburant pour transporter ces bouteilles dans des régions isolées (par milliers), mais vous résoudrez également le problème de la pollution énorme des routes et des villes que ces bouteilles en plastique favorisent. .
Attention: la déshydratation est un réel danger pour le safari. Assurez-vous de boire à intervalles réguliers et d'avoir de l'eau à portée de main en tout temps.
7. poussière
En hiver (juin à octobre), les réserves de gibier peuvent être extrêmement poussiéreuses. Les porteurs de lentilles cornéennes doivent apporter des gouttes pour les yeux et des lunettes pour éviter une irritation des yeux. Nettoyez régulièrement les objectifs de l'appareil photo et de la vidéo et rangez-les dans un sac pour appareil photo lors d'un safari.
8. Pourboire
Faut-il laisser un pourboire, et si oui, combien? C'est un dilemme commun pour la plupart des visiteurs dans n'importe quel pays étranger! En Afrique, les pourboires ne sont pas attendus mais sont d'usage. Le pourboire traditionnel offert aux guides de safari ou au personnel du camp n'est pas inclus dans le prix de votre visite et est totalement discrétionnaire.
N'oubliez pas que ce qui peut sembler une somme sans importance pour vous peut être important pour le personnel africain local et sera certainement reçu avec une démonstration de gratitude qui est véritablement humiliante.
Dans la plupart des lodges de safari, le personnel de la réception disposera d’une "boîte à pourboire" qui couvrira tous les services "invisibles" dont vous avez bénéficié pendant votre séjour, y compris la femme de ménage et le personnel de cuisine.
9. Organisme de bienfaisance en safari
De nombreux visiteurs en Afrique ressentent le besoin urgent d'aider les moins fortunés qu'ils rencontrent lors d'un safari, ou lorsqu'ils visitent un village ou une école. Il est préférable de rechercher une opportunité appropriée pendant votre voyage, plutôt que d’emporter des cadeaux de chez vous. De nombreux camps de safari et pavillons travaillent activement avec les communautés locales pour soutenir les écoles, les cliniques et d’autres projets. Informez-vous de cela lorsque vous êtes sur place et visitez l'école, la clinique ou le projet si vous le pouvez. Un don à quelque chose que vous avez vu sur le terrain vous apportera plus de satisfaction (et aidera directement les plus démunis). Contribuer de manière à aider une personne (ou une communauté) à s’aider et à améliorer son mode de vie.
Résistez à la tentation d’offrir des «cadeaux» aux enfants du bord de la route. Cela ne fait qu’encourager la dépendance vis-à-vis d’une telle générosité et enseigne à ces enfants que mendier apporte une récompense. Il n'y a pas de dignité dans la mendicité et le harcèlement qu'elle engendre ne vous attirera pas non plus le prochain groupe de touristes!
10. général
La plupart des pays africains ont des réglementations strictes en matière de contrôle des changes et il est illégal d'entrer dans le pays ou de le quitter avec autre chose que des montants nominaux en monnaie locale. Pour éviter tout problème, n’échangez pas trop d’argent en monnaie locale à la fois. Il n'y a normalement aucune restriction sur la quantité de devises étrangères pouvant être importée.
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Un rire, un rocher blanc et quelques oiseaux, aux ailes déployées
« Pourquoi tu ris comme ça ? » demande l’un des élèves du cours de français en imitant le rire aigu de Moubarak.
« C’est mon rire », répond Moubarak, sans autre commentaire.
À la fin du cours, l’autre élève vient me voir. Il insiste sur ce rire qui n’est pas vrai, dit-il.
« Laisse, je lui dis. Le rire de Moubarak, il doit avoir une histoire. Tout a une histoire, laisse. »
***
Darfour
À l’école, Moubarak a toujours été premier de la classe et pourtant ses maîtres ne l’aiment pas. Il ne tient pas en place, il ne les regarde pas et use beaucoup trop vite ses crayons car il passe son temps à dessiner partout. Mais impossible pour eux de le prendre en faute : Moubarak a toujours la réponse à leurs questions, c’est à croire qu’il écoute quand même tout en faisant autre chose, impensable.
Quand il rentre de l’école, il y a un endroit bien précis, près du rocher blanc, où il change de langue. Il passe de l’arabe au zaghawa. L’arabe, c’est pour la ville ; le zaghawa c’est pour son village. En passant le rocher blanc, Moubarak se sent toujours un peu plus en sécurité.
Mars 2008
L’armée soudanaise attaque massivement la ville pour déloger les rebelles qui s’y trouvent. Chaque maison est fouillée, retournée. Chaque personne interrogée. Aux maisons des Darfouris, les soldats cassent la porte pour que les officiers interrogateurs sachent qu’il s’agit là d’une demeure de la mauvaise ethnie.
Le père de Moubarak est traîné hors de chez lui. On l’interroge, on le frappe à coups de crosse de fusil. Que sait-il des rebelles zaghawas ? Est-il parent avec le docteur Khalil Ibrahim ? Qui a-t-il abrité chez lui ? Pourquoi a-t-il participé à une rébellion contre le gouvernement soudanais ?
Entre chaque question, un coup. Pour chaque mauvaise réponse, un coup. Il n’y a pas de bonne réponse.
Moubarak regarde les soldats emmener son père, couvert de sang.
Chaque jour, près du rocher blanc, Moubarak va attendre que son père revienne. Tantôt il chante, tantôt il prie, tantôt il pleure. Toujours il rentre seul avec la nuit.
Après cinq mois, le père revient, squelette entouré de haillons et titubant. La mère lui donne à manger, le fils à boire, on attend qu’il parle mais il ne fait que dormir. Lorsqu’il parlera enfin, il racontera seulement qu’ils l’ont menacé de tout lui prendre, sa maison, ses champs, de tuer sa famille entière, s’il montrait encore le moindre signe de rébellion. Il n’expliquera rien d’autre et personne ne posera d’autre question aux cicatrices de son visage.
2011
L’oreille collée contre un poste radio, Moubarak raidit ses jambes pour résister à la pression de son ami qui voudrait prendre sa place et mieux entendre les informations du jour. “Le Mouvement pour la Justice et l’Egalité annonce qu’il rejette totalement le projet d’accord de paix proposé par l’ONU. Les solutions proposées sur le problème des réfugiés, la compensation aux habitants du Darfour affectés par 8 ans de conflit, le partage du pouvoir et des richesses sont insuffisantes.”
La radio enchaîne avec l’annonce d’un référendum décidé par le Président sur le statut administratif du Darfour. Un référendum sans que les Darfouris ne l’aient demandé ; un référendum où ils iront voter sous la surveillance des soldats soudanais. Quelle farce !
Moubarak abandonne la radio à son ami et prend un bus pour rentrer au village. Il embrasse sa mère, boit de l’abreh et attend que son père rentre des champs. Lorsque ce dernier arrive, Moubarak se lève, prend une grande inspiration et lui parle d’une voix un peu plus rauque que d’ordinaire : « Père, j’ai désormais 17 ans. Je veux prendre les armes et me battre contre le gouvernement soudanais qui nous opprime ! »
Le père le regarde sans dire un mot. Il tape la terre qui recouvre son pantalon. Longuement. Puis il s’assied et ferme les yeux, le visage tourné vers le sol. Moubarak hésite à rajouter quelque chose. Plusieurs fois, des débuts de phrases se forment dans sa tête mais la suite ne vient pas ; il attend et finit par s’asseoir lui aussi.
Alors enfin le père le regarde. Ses yeux semblent soudain terriblement vieux. « Mon fils. Je te l’interdis. »
Dans le cœur de Moubarak, c’est la tempête. Les mêmes débuts de phrases reviennent, il y a les mots courage et fierté et notre peuple qui tournent et retournent sans qu’il sache comment il devrait les faire sortir de sa bouche ; il y a la colère et l’injustice aussi ; pourquoi lui interdire, pourquoi !
Le père dit : « Pars du Soudan maintenant. Va trouver une vie en paix ailleurs. Je veux une vie en paix pour toi. »
En passant devant le rocher blanc, Moubarak se demande s’il va longtemps garder en mémoire le visage de sa mère en larmes.
Septembre 2011 - Égypte
Allongé dans la pénombre, Moubarak tente d’attraper la bouteille d’eau dans son sac sans faire le moindre bruit. Malgré toutes ses précautions, l’un des passeurs lui fait tout de même un signe et un regard noir. Moubarak attendra pour laver sa gorge de la poussière du Sinaï.
Il regarde les autres hommes allongés dans les cailloux de cette montagne désertique. Lui, il est soudanais, c’est sûr, pense-t-il. Lui, érythréen. Lui aussi. Lui, somalien. Lui... tiens, je ne sais pas. Lui, c’est un Darfouri.
Avec son doigt, il dessine dans la terre un oiseau aux ailes déployées. Il n’a pas le temps de le finir, les passeurs font signe que c’est le moment d’y aller. Le groupe rampe dans la nuit. Le premier passeur se relève et court jusqu’à un grillage affaissé. Il jette son sac par-dessus et l’escalade sans difficulté. Les hommes en font autant. Mais alors qu’ils sont encore trois suspendus au grillage, une déflagration éclate dans l’air. Un projecteur les illumine. Un second bruit sourd retentit et vient frapper le Somalien dans le dos. Moubarak reçoit une gerbe de sang dans les yeux, il hurle et, sans savoir par quel réflexe, il retient le Somalien qui allait tomber du grillage. Un autre homme vient l’aider à le faire passer par-dessus. Les tirs des policiers égyptiens sont désormais de plus en plus rapprochés. Si proches qu’on ne sent pas les coupures des barbelés qui surmontent le grillage en les empoignant.
Moubarak tombe de l’autre côté et court avec les autres jusqu’à un fossé dans lequel ils restent tous allongés sans bouger, laissant le bruit des balles s’éteindre peu à peu.
Lorsqu’un premier rayon de soleil vient frapper le fossé, l’un des passeurs lève la tête délicatement et finit par s’aventurer tout entier sur la terre. Il dit aux hommes qu’ils peuvent sortir, leur explique qu’ils doivent se signaler à une voiture de police, et il disparaît dans un nuage d’encouragements tout aussi chaleureux qu’hypocrites.
Au bord de la route, Moubarak et les autres hommes arrêtent une voiture de police. Les policiers emmènent le Somalien à l’hôpital et les autres dans un centre pour demandeurs d’asile. Après une batterie de tests médicaux et de papiers administratifs, une forme de quarantaine d’une vingtaine de jours, Moubarak obtient un « visa » de 4 mois l’autorisant à se rendre en ville et à circuler sur le territoire israélien – moyennant l’obligation de revenir au centre tous les 4 mois pour l’établissement d’un nouveau visa, bien entendu.
Mais en ville, il ne trouve ni aide, ni logement. Personne pour le soutenir. Dormant dans la rue, fouillant dans les poubelles pour manger, il trouve un petit livre arabe-hébreu et chaque jour, sous sa couverture de fortune, il apprend l’hébreu. Lorsqu’il estime suffisamment bien le parler, Moubarak arpente les rues de la ville et demande du travail partout. Il parvient à se faire embaucher dans une usine, comme manutentionnaire.
Pendant plus de 2 ans, il travaille dans la même usine, parle hébreu avec ses collègues qui deviennent ses amis, il cesse d’avoir faim, a un petit logement et regarde le football à la télévision. Tous les 4 mois, il doit se rappeler que ce pays n’est pas le sien et aller faire renouveler son visa.
Janvier 2014 - un peu de politique
Les rues de Tel Aviv sont bondées de manifestants. Des dizaines de milliers de demandeurs d’asile sont rassemblés pour demander l’annulation des nouvelles mesures prises par le gouvernement israélien. En décembre, le Premier Ministre Benyamin Netanyahou s’est en effet dit déterminé à expulser les dizaines de milliers de migrants clandestins. Pour ce faire, le gouvernement a mis en place toute une série de mesures, allant des contrôles systématiques à l’incarcération, en passant par le non-renouvellement du fameux visa, sans la moindre raison. L’édification d’un mur-frontière entre l’Égypte et Israël, pour enrayer le passage des Africains, est renforcée, le budget s’élève à 270 millions d’euros. Le grillage faiblard sera remplacé par un bouclier infranchissable de barbelés multicouches. De 10 000 exilés passés par le Sinaï en 2010, ils ne seront plus que... 20 en 2016. Les statistiques sont heureuses et ne précisent pas que les 10 000 suivants passeront donc par la Libye.
Le visa de Moubarak n’est pas renouvelé. Il sait parfaitement ce qu’il encourt s’il est contrôlé sans visa valable : la détention et le renvoi au Soudan. Il prend la décision de rentrer au Soudan de son propre chef. Il achète un billet d’avion pour Khartoum et quitte Israël.
En descendant de l’avion, Moubarak dit une petite prière : il est heureux de retrouver son pays. Devant lui, dans la file d’attente, il voit les gens se tendre sans qu’il comprenne pourquoi. Il passe la tête mais n’aperçoit rien de particulier, sinon des agents de l’aéroport qui vérifient les passeports. Beaucoup de passagers de son avion partent avec des hommes que Moubarak ne parvient à identifier qu’une fois qu’il se trouve devant eux. Il s’agit du NISS (National Intelligence and Security Service ; Jihaaz Al Amn Al Watani Wal Mukhaabaraat), le service de renseignement du Président, sa police politique.
« Ton passeport », demandent-ils à Moubarak, qui le tend sans commentaire. Sitôt ont-ils lu son nom, les deux agents lui demandent de les suivre. Ils l’emmènent en voiture jusqu’à leur quartier général et le font patienter dans un bureau.
Un officier vient l’interroger. Quelle était sa vie avant de partir en Israël, qui lui a dit de partir en Israël, quelles sont ses connexions avec les Juifs en Israël, est-ce qu’il a été entraîné par les Juifs en Israël ?
Moubarak répond que non.
Quels sont les noms de toutes les organisations qui l’ont contacté en Israël ? Moubarak répond qu’il n’en connaît pas, qu’il n’a rien fait de mal, qu’il a juste travaillé dans une usine à porter des cartons.
Quels sont les noms des participants aux manifestations de Tel Aviv ? Est-ce que Abdul Wahid Al Nur [leader du groupe rebelle Mouvement de libération du Soudan] était à Tel Aviv ?
Moubarak n’en sait rien du tout, il n’est jamais allé aux manifestations, il ne connaît pas de leader rebelle, il ne sait rien et ne comprend pas pourquoi on lui pose toutes ces questions.
L’officier pousse Moubarak sèchement et repose ses questions. Toujours les mêmes réponses. L’officier frappe avec ses poings. Toujours les mêmes réponses. Avec sa matraque, sur la tête, sur les mains. Mêmes réponses. Moubarak est jeté dans une cellule de prison infâme. Il a un seul repas par jour, qu’il vomit systématiquement lors de l’interrogatoire quotidien et répétitif, toujours constitué des mêmes questions et des mêmes tortures.
Comme Moubarak n’a toujours aucune réponse à apporter, l’officier le traite de kâfir [infidèle à la religion musulmane]. « Je vais te tuer si tu ne dis rien et on tuera toute ta famille ensuite. Je sais où habitent tes parents. Je tuerai ton père d’abord et je resterai seul avec ta mère ensuite. »
La nuit, dans sa cellule, Moubarak essaie d’inventer des réponses. Des noms d’organisations plausibles. Des rencontres cohérentes. Le caractère de telle ou telle personne. Mais le lendemain, face à l’officier, les mensonges ne veulent pas sortir de lui. Et les coups pleuvent, encore. Et chaque nuit, il s’échappe en construisant un imaginaire de réponses qu’il ne donnera jamais, où des personnages inconnus prennent peu à peu vie, ayant avec le temps des visages et des personnalités plus affirmés que la veille, au point que Moubarak se demande s’il les connaît ou non et s’il ne devient pas fou à force de vouloir échapper à la folie.
Au bout d’un mois, Moubarak perd connaissance dans sa cellule. Il se réveille à l’hôpital, une perfusion au bras, les chevilles menottées au lit, un garde à la porte le surveillant lui et les autres prisonniers-malades de la chambre. Seul moment d’intimité : les toilettes. Après 3 jours de repos, Moubarak profite d’un passage aux WC pour s’échapper par la fenêtre. Il sait qu’il n’a que quelques minutes avant que le garde ne vienne frapper à la porte et parte à sa recherche, aussi il court le plus vite possible dans les rues inconnues et rentre dans une maison. Il se jette au sol et supplie l’homme effaré qui le regarde : « Aidez-moi, quelqu’un veut me tuer. » L’homme le laisse téléphoner et lui donne un pantalon.
Juin 2014 - Libye
Sur le mur, des dizaines d’oiseaux aux ailes déployées se chevauchent. Les plus anciens ont été faits à la craie. Les plus récents avec un caillou, grattant la paroi, lorsqu’il n’y avait plus de craie.
Dans le couloir, des hurlements. Comme toujours. Tous les jours, toutes les nuits. Ces cris et cette odeur. Au début, il vomissait. Au début, tout le monde vomit.
Un Nigérian ne bouge plus depuis longtemps. Mort, sans doute. Qui a la force d'aller voir.
Coup de feu.
Au début, on sursaute. Le cœur accélère, on a peur. Au début.
Porte qui s’ouvre, fermer les yeux pour la lumière qui brûle. Bruit des seaux de nourriture, bruit des louches. Nourriture jetée sur le sol, comme une pâtée pour chiens. Ceux qui ont la force rampent pour manger.
Août 2014 - Méditerranée
Il se souvient de sa mère qui lui disait que le bateau était une chose dangereuse. Il n’a même pas revu sa mère.
Septembre 2014 - Italie/Danemark
Moubarak prend un train pour la Norvège. Un de ses cousins est réfugié en Norvège, il veut le rejoindre. Il traverse les pays les uns après les autres. Italie, Allemagne, Danemark, le train s’arrête. Contrôle de la police aux frontières. Moubarak et quinze autres exilés sont descendus du train.
Il explique qu’il ne veut pas demander l’asile au Danemark, qu’il veut aller en Norvège, il supplie « laissez-moi aller en Norvège ! » mais il n’a pas le choix. Il est emmené dans un énorme centre pour demandeurs d’asile (600 personnes). On lui fait remplir une demande d’asile. On lui dit qu’il faut attendre. Il ne trouve aucune aide, aucun soutien.
Il apprend le danois. Et le parle rapidement.
Juin 2015 - un peu de politique
En juin 2015, le Parti populaire danois, parti d’extrême droite, fait une percée lors des élections législatives au Danemark. L’ambiance est délétère dans le pays, tout le monde hait les exilés.
Moubarak doit attendre 1 an avant de pouvoir passer son entretien de demande d’asile. Comme de nombreuses autres personnes, il comprend mal l’interprète fourni, qui parle l’arabe irakien tandis que lui parle l’arabe soudanais. Il explique ce problème et dit qu’il pense être important d’être bien compris pour un entretien aussi crucial. On lui répond qu’il est bien trop difficile ; que s’il souhaite changer d’interprète, il devra attendre a minima 6 mois ou 1 an supplémentaire avant d’avoir un autre rendez-vous pour un entretien de demande d’asile. Est-il sûr de vouloir un autre interprète ?
Moubarak renonce et garde son interprète.
Un mois plus tard, la réponse arrive : négative. « Vous ne pouvez prétendre à un statut de réfugié au Danemark car vous avez d’ores et déjà un statut de réfugié en Hongrie. »
Moubarak relit la phrase trois fois. Il n’a jamais mis les pieds en Hongrie. Il fait appel de la décision. Son conseil juridique obtient du service de l’immigration qu’il reconnaisse son erreur.
Six mois s’écoulent avant qu’il ait un nouvel entretien de demande d’asile, dont la réponse arrive après seulement deux semaines. Négative. Le Danemark accuse Moubarak d’avoir menti et de ne jamais être allé en Israël. « Considérant que le demandeur a menti sur son séjour en Israël, nous ne pouvons tenir le reste de son récit pour avéré. » Le service de l’immigration lui donne 15 jours pour quitter le pays.
Dans sa chambre, fixant le papier, Moubarak sort les photos de lui et ses amis dans l’usine israélienne. Il est pris d’un fou rire nerveux. L’un de ses colocataires lui demande ce qui lui arrive. « Rien », lui répond-il, car comment pourrait-il expliquer ce qu’il ressent à cet instant précis. Comment pourrait-il lui dire qu’aller en Israël n’était pas son choix, mais l’idée de son père, qu’il a été torturé pour y être allé, comment raconter la cellule, les coups de matraque, l’électricité sur le corps, comment dire qu’il n’a jamais revu le sourire de sa mère et qu’il n’a en mémoire que ses larmes ; Israël qui n’a pas voulu de lui et qu’on l’accuse de n’avoir jamais vu alors que cela lui a coûté si cher, sans même qu’il comprenne pourquoi, son pays qu’il a dû encore quitter pour ça, il revoit tout : le pantalon prêté par l’inconnu, le taxi pris sans argent, le souk Chaabi caché sous un étal, le taudis d’El Gedida, les geôles libyennes et ses camarades qu’on emmenait pour les vendre dans des marchés aux noirs, pourquoi eux pourquoi pas moi, la même question tous les soirs, la même prière tous les soirs Dieu qui es si grand, protège-nous tous et pardonne-moi de te demander de me protéger un peu plus encore, la culpabilité, la peur, le désespoir, l’odeur de la poudre sur la plage devant le bateau, les femmes avec leur regard vide, hurlant dès qu’un homme les frôle, le dégoût et la honte, toutes ces images à chasser de sa tête chaque jour, comment pourrait-il lui dire avec des pauvres mots alors que c’est toute une vie qui s’écorche ici.
« Rien », il dit, et il fait son sac.
Mars 2016 - Allemagne
C’est décidé, Moubarak va venir en France. Il prend le train direction Paris. Mais en Allemagne, il est contrôlé et on le fait descendre du train. Il explique qu’il ne veut pas demander l’asile en Allemagne, « laissez-moi aller en France, s’il vous plaît ! » mais il n’a pas le choix. Il est emmené dans un centre pour demandeurs d’asile où on lui explique qu’avant toute chose, il doit apprendre à parler allemand.
Il apprend l’allemand.
Août 2016 - France
Sa demande d’asile en Allemagne est refusée puisqu’il est désormais dubliné au Danemark, premier pays européen où il a été enregistré, qui est responsable ad vitam eternam de sa demande d’asile, bien qu’ils ne veulent pas lui accorder, c’est dire toute la cohérence du système Dublin.
En août 2016, Moubarak arrive à Paris et dépose sa demande d’asile en France. Il est envoyé dans un centre pour demandeurs d’asile dans l’Essonne. Après 3 mois, la préfecture de l’Essonne prend la décision de le renvoyer au Danemark et le met dans un avion pour Copenhague.
Décembre 2016 - Danemark
À la descente de l’avion, personne ne l’attend à l’aéroport. Le pilote, vaguement agacé, s’étonne que personne ne soit là pour prendre en charge Moubarak. Il finit par lui tendre son dossier, qu’il était censé remettre à un responsable du service de l’immigration, et lui dit de se débrouiller avec car il n’a pas que ça à faire.
Moubarak se rend donc tout seul à Sandholm, institution pour demandeurs d’asile à quelques dizaines de kilomètres de Copenhague. Il explique sa situation, mais on ne sait pas quoi faire de lui. On le renvoie au poste de police adjacent. Il explique de nouveau sa situation, donne son nom et son numéro d’identité danois. Le policier laisse s’afficher le dossier de Moubarak à l’écran, en prend connaissance et lui dit : « Mais pourquoi vous revenez ? Vous savez bien qu’on veut pas de vous ! »
Moubarak lui répond : « Je reviens parce que la France m’a renvoyé et parce que vous, le Danemark, avez accepté de me reprendre en charge, sinon je ne reviendrais pas, je n’ai pas du tout envie d’être ici non plus ! »
Sur ces belles paroles, le policier le place en centre de rétention.
Un avocat le fait sortir du centre de rétention après 2 jours. Moubarak est envoyé dans un centre pour demandeurs d’asile. Il ne trouve aucune aide, aucun soutien. Chaque jour, on lui propose de retourner au Soudan. Le Danemark pourra même l’aider, lui apporter un soutien financier, prendre en charge le billet d’avion, il faut vraiment qu’il réfléchisse à cette opportunité !
En arabe, Moubarak répond : « Chacun ses formes de matraque. » La travailleuse sociale sourit et lui dit « ça veut dire oui ? »
Après 6 mois, il passe un nouvel entretien de demande d’asile et reçoit aussitôt une réponse négative, n’incluant aucune motivation mais récapitulant son historique précédent – y compris son fameux « statut de réfugié en Hongrie ».
Il a 15 jours pour quitter le pays.
Septembre 2017 - Allemagne
C’est décidé, Moubarak va revenir en France. Il reprend le train direction Paris. Mais en Allemagne, il est recontrôlé et on le refait descendre du train. Il réexplique qu’il ne veut pas demander l’asile en Allemagne, qu’il est dubliné au Danemark, qu’il a déjà eu une réponse négative en Allemagne la dernière fois, il dit « laissez-moi aller en France, s’il vous plaît ! » mais il n’a pas le choix. Il est emmené dans un centre pour demandeurs d’asile où on lui explique qu’avant toute chose, il doit apprendre à parler allemand.
Il dit « oui oui je sais ».
Sa demande d’asile est rejetée puisqu’il est dubliné au Danemark.
Octobre 2018 - un peu de politique
Dans sa circulaire du 20 novembre 2017, Gérard Collomb, alors nouveau Premier ministre, mettait la pression aux préfets français pour accélérer les expulsions et les exhorter à fournir des résultats – chiffrés. Comme chaque année, octobre est le mois redouté pour les organisations qui accompagnent les exilé.e.s, car d’un seul coup certaines préfectures se réveillent et réalisent qu’elles ne vont pas avoir rempli les quotas d’expulsion – bien entendu, il n’y a pas de quota à remplir, officiellement ; seulement voilà, chaque année, à partir d’octobre et jusqu’à décembre c’est la grande artillerie qui tire dans tous les sens pour expulser tout ce qui est expulsable : adultes, enfants, personnes malades, Dubliné.e.s, personnes victimes de violences, allez hop.
Certainement le hasard.
Novembre 2018 - Valence
« Considérant que vous avez demandé l’asile en France en avril 2018 ; considérant que nous avons sollicité les autorités danoises pour une reprise en charge car le Danemark est responsable de votre demande d’asile ; considérant que les autorités danoises ont répondu positivement, nous vous informons de la décision du préfet de la Drôme de vous renvoyer au Danemark. Est-ce que vous comprenez ? »
Moubarak me regarde. Je lui fais un clin d’œil. Avant même que l’interprète au téléphone ait commencé à traduire, il dit : « Oui, j’ai compris. »
L’agente de la préfecture a un petit sursaut d’étonnement. « Oh, mais vous parlez français ! »
Il ne répond pas.
Dans le local, j’ai étalé les papiers de la préfecture dans tous les sens et je me lance dans des calculs de délais de recours et de délais de ci et de ça, je parle toute seule, je compte toute seule, en faisant le tour du bureau frénétiquement et en composant 8 numéros de téléphone à la fois.
Allongé sur le canapé, Moubarak ne bouge pas d’un millimètre. Il regarde un poster de la BD Le loup en slip sur le mur.
Après une heure et demie de gesticulations et de coups de fil, je m’approche de lui en souriant : « Bon, j’ai une solution. Tu me fais confiance ?
— Comme à mon rocher blanc.
— Comme à quoi ? Heing ?
— Tu me dis ta solution et après je te dis mon rocher blanc. Et aussi, écris-le, mon rocher blanc, s’il te plaît.
— J’ai rien compris, mais d’accord. »
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MES CONSEILS AUX JEUNES MALAGASY!
CONSEILS PROVENANT D’UNE MALGACHE ETUDIANT ICI EN NOUVELLE-ZELANDE !
Manahoana, Good day everyone, Bonjour, Kia ora (c’est comme cela qu’on dit ici en NZ),
Voyez-vous, je me permets de mettre la langue Malgache en priorité, mais je me dois de m’exprimer en Français car si j’écrivais en Malgache, celles et ceux à qui j’aimerais m’adresser ne comprendraient pas mes dires ( mon frère, ma soeur et moi avons fait nos études secondaires dans une école de langue française et non au LFT; ça ne nous a pas empêché d’intégrer plus tard une université anglophone ici en NZ).
Déjà, merci de me lire, et merci de bien vouloir lire jusqu’à la fin car vers la bas, se trouvent des conseils très précieux qui vous épargneront votre temps, votre sueur et surtout votre argent car je sais par expérience, ou du moins, en me basant sur l’expérience de mon frère, que gagner 1 ou 2 ans sur un cursus à l’étranger, équivaut à “économiser” beaucoup. Plus bas, je partage également des “tricks” pour les questions d’émigration en Nouvelle-Zélande et ailleurs (s’il y a des infos qui vous intéressent, surtout les liens sur l’immigration, it is best to copy them somewhere ; n’hésitez pas non plus à montrer ou à partager ce post avec des personnes que vous aimez ou que vous détestez!!!)
COMMENT JE VOIS MADA (avant déjà de parler plus de la Nouvelle-Zélande que je connais bien)
Avant d’aller plus loin, pour ceux intéressé(e)s pour étudier dans des pays AUTRE QUE la France, voici une page FB qui pourrait vous aider (je vais y inclure plus tard des liens pour l’immigration, les universités anglophones). Je rappelle, cette page a juste un rôle d’information. Cette page contient aussi des informations sur des pays offrant des soins médicaux, dans lesquels la demande de visa n’est pas nécessaire (Dieu merci, la France n’est plus le seul pays au monde qui soit capable d’offrir des soins de qualité; elle a perdu ce statut depuis une bonne décennie maintenant). Là, d’autres pays le font bien et pour moins cher, et surtout, ils ne nous font pas patienter pour u-des histoires de paperasses (moi je vous dis, c’est la raison principale qui nous a poussé à étudier, travailler et immigrer ici en Nouvelle-Zélande). Voici donc le lien FB:
LE nom de la page:
ALTERNATIVE PLACES (infos pouvant aider sur l’immigration, études, les processus de visas pour les pays anglohones et le Québec, les endroits pour se soigner qui ne nécessitent pas de visa)
https://www.facebook.com/Alternative-Places-425323798282753/?modal=admin_todo_tour
Contrairement à mes compatriotes Malgaches, j'ai toujours refusé de prendre un visa d’études pour la France (je préfère faire ma résidence permanente ici en NZ, attendre 5 ans pour avoir un passeport néo-zélandais, et une fois ce passport obtenu, je serai en mesure de voyager dans 160 pays env. sans avoir à faire une demande de visa…donc, oui, un free-waiver passport est DIX FOIX MIEUX qu’un visa de circulation (qui doit être renouvelé tous les ans) car de toute manière, vous n’aurez (plus) aucun visa à demander pour vous rendre n’importe ou!!
IL FAUT REFLECHIR AUSSI A VOTRE CHOIX POUR LES ETUDES UNIVERSITAIRES: JE VOUS EXPLIQUE LE CAS DE MON FRERE EN NOUVELLE-ZELANDE
J’ai mon frère qui habite en Nouvelle-Zélande (qui a déjà la résidence permanente car me dit-il, plus tard, il n’aura plus envie de quémander un visa dans certaines ambassades à tana, s’il revient un jour évidemment), et j’avoue que c’est aussi lui qui m’avait fait savoir que là-bas (alors que c’est un pays extrêmement riche), les ressentiments envers la mainmise étrangère existe bel et bien !!! et ils ont raison de ne pas se laisser faire!
CONCERNANT MON FRERE (juste pour rire avant qu’on entame plus bas les infos sur l’immigration ou la résidence permanente)
Lui, il me dit souvent, « au moins ici en NZ, je n’enrichis ni les entreprises « indiennes », ni les boites « francaises», deux « entités » qui font tout pour maintenir et préserver leur propres interêts à madagascar!
Regardez juste…. Qui produit du yaourt aujourd’hui? Qui produit du ciment ou qui en a le monopole? Qui vend du lait? qui vend l’essence? dans quel pays repartent les profits sur les ventes sur les carburants? De quelle nationalité sont la plupart des promoteurs immobiliers? Qui profite de nos pierres précieuses?
essayez de répondre …..
Mon frère me dit très souvent qu’il est motivé pour aller travailler car il travaille désormais pour une entreprise néo-zélandaise, non seulement, il achète, boit, vit néo-zélandais, mais enverra ses enfants soit en NZ, soit en Scandinavie, soit en Australie pour leurs années universitaires plus tard (dans plusieurs années). Il veut NI bosser à Mada (pour contribuer à enrichir certains vahiny), NI en France (ruiné par les problèmes sociaux), NI en Inde (mieux vaut pas), NI a Maurice (un peu trop petit, même si je le préfère de loin à La réunion voisine), NI a la Reunion (préjugés trop ancrés envers les Malgaches, trop petit, pas assez européanisé, « fausse France », « Faux Gaulois », trop de vicieux, mentalité exécrable, et puis….visa requis et difficile, autant aller en France directement à mon avis et demander un visa Schengen..;comme ça, pendant les vacances, on peut au moins profiter pour visiter l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, et encore plus!!!!!). Mais bon, moi, vous savez déjà ce que je préfère et que je ne suis pas trop trop “France”.
IL Y A PLUSIEURS ANNEES, DES AMIS LUI ONT CONSEILLE D’ETUDIER A LA REUNION, MAIS MON FRERE A PUREMENT ET CATEGORIQUEMENT REFUSE!!!!!
Cela fait désormais 6-7 ans qu’il s’est installé là-bas mais il y a 2 ans environ, la boite pour laquelle il travaille a réussi à décrocher un gros contrat pour fournir des produits agro-alimentaire dans un pays d’Amérique latine (je ne pourrais dire lequel); ledit contrat valait plusieurs centaines de millions d’euros et s’étalerait sur plusieurs années. Devinez de quel pays était leur principal concurrent? Oui, c’était une firme française…donc, au final, grace à sa contribution (mais aussi à celle d’autres étrangers), la compagnie pour laquelle il travaille a été choisi par le gouvernement de ce pays d’Amérique du Sud et a évidemment remporté l’appel d’offre….une petite revanche, comme mon frère aime appeler cela. Le jour ou cela s’est passé, il nous a appelé pour nous l’annoncer, mais aussi pour dire qu’il a bien fait d’avoir décliné l’offre d’aller étudier à L’ile de la Réunion (honnêtement, si c’est pour faire la queue pour prendre un visa DOM-TOM, autant aller en métropole - à Paris - moi je pense franchement qu’aller en France vaut encore cent fois plus le coup que se rendre à la petite ile de la Réunion)! Moi franchement, ça ne me viendrait même pas à l’esprit!!! autant prendre un visa Néo-zélandais, Sud-Africain ou Australien…ou le cas échéant, un visa Schengen si vous tenez tant à vous rendre dans un pays francophone (je peux comprendre que certains d’entre vous choisissent la France pour un début car c’est vrai, il y a parfois cet aspect familial, linguistique, etc…) Comme lui, je pense que jamais (et lui non plus), il n’aurait eu cette chance qu’il a eu en Nouvelle-Zélande! D’ailleurs, j’ai ma soeur - qui habite à Bordeaux - va aussi émigrer car la France (et les Français) pour elle, sont synonyme de problèmes sociaux, délinquance, misère sociale, crise, grèves, risque de terrorisme important, etc…
VOILA POURQUOI MOI, JE N’APPRECIE PAS BEAUCOUP LA REUNION (par contre, je déteste beaucoup moins l’ile Maurice, mais je ne l’apprécie pas trop pour autant)
Justement concernant la Réunion, je trouve que c’est une “fausse France”, voilà comment je perçois cette ile flottante qui ressemble à un morceau de caillou au milieu de l’océan indien. Pour moi, c’est un endroit qui n’a pas d’identité claire!!!! C’est un DOM-TOM mais pour moi, ce n’est pas la France (la France à mes yeux, c’est ce pays ou l’on peut trouver de beaux petits villages nichés au fond des vallées, c’est ce pays on l’on trouve des fromagers, des vignerons…c’est aussi un peu Paris et son métro infernal et bruyant), mais CE n4EST PAS LA REUNION!!!! La Reunion, …je ne sais pas… C’est ni la France, ni l’inde, ni la Chine, ni Madagascar, mais c’est en même temps un peu tous ces pays. Pour moi, je déteste ce genre d’endroit …. Je préfère me rendre directement en France, en Inde (là-bas, je verrai au moins un culture authentique et de beaux temples), en Chine (je verrai au moins un vrai pays authentique), ou rester à Mada (au moins, Madagascar a certes des vices, mais au moins, ça a une vraie identité contrairement à la réunion, une pauvre ile qui ne sait même pas sur quel pied danser!!!! De plus, la mentalité réunionnaise est exécrable, bien pire qu’en métropole!!!! SI UN AMI VOUS DIT D’AILLER ETUDIER LA-BAS, N’Y ALLEZ SURTOUT PAS!!!!!! Moi je pense que c’est un très mauvais endroit pour les Malgaches et même si vous avez les diplômes et tout ça, à cause des préjugez, on vous mettra les bâtons dans les roues. Moi je sais que si mon frère avait fait ce choix, il serait revenu bredouille à Mada (Je suis d’une certitude absolue qu’il n’aurait jamais eu une carte de résident!!!! Now, we ,as a Family, did not regret that choice as he managed to get a permanent residency visa from the New Zealand Department of Immigration, Thanks God. A chaque fois que je transite par soit La Réunion, soit par Maurice pour venir ici, je remarque souvent des regards ou des attitudes envieuses de la part de certains (et pas tous) Mauriciens ou Réunionnais. Je pense que certains d’entre eux digèrent pas trop le fait de voir des Malgaches avoir réussi à s’installer dans un pays qui est bien mieux perçu que là ou ils vivent.
Maintenant,
Revenons à la Nouvelle-Zélande car pour moi, ce pays me porte chance (pour le moment) étant donné que je suis en train de poursuivre mes études (je fais un Undergraduate Diploma in Paediatrics), le temps que je puisse effectuer les première démarches pour ma résidence permanente, d’ici environ 9-10 mois. Je tiens d’ailleurs à attacher ci-dessous un lien sur cette destination (pour les vacances par exemple, au lieu de se rendre à La Réunion chaque fois)
Une présentation sur la Nouvelle-Zélande: https://www.youtube.com/watch?v=_eMAXOp2PvA&t=21s
POUR VOUS QUI AVEZ BESOIN DE VOUS SOIGNER EN DEHORS DE MADAGASCAR, AU LIEU D’ATTENDRE LES VISAS, PENSEZ A D’AUTRES DESTINATIONS
Entre nous, mieux vaut encore se rendre en Inde pour se faire opérer (car les Indiens d’Inde ne sont en aucun cas racistes envers nous les Malgaches, nous sommes justes une autre ile pour eux, et ils ne raisonnent pas du tout comme les “Karana” de Madagascar, ça vous pouvez me croire là-dessus), ou en Malaisie, un pays qui a développé le tourisme médical.
Regardez ce lien par exemple: https://www.tourismemedical.net/tourisme-medical-en-asie-du-sud-est/
Et aussi: https://medicaltourismmalaysia.com Et https://medicaltourismmalaysia.com/2018/09/01/healthcare-tourism-in-malaysia-where-do-i-start/
La raison pour laquelle je propose cette destination, c’est que leur prix est compétitif, les médecins compétents et chevronnés; la Malaisie se trouve seulement à env. 5 heures de vol de Maurice (En fait, il y a un jour de la semaine ou vous n’avez qu’à faire escale pendant seulement 2 heures à Maurice). Enfin, il n’y a pas besoin de faire une demande de visa pour la Malaisie. Une fois sur place, car j’y suis allée 3 fois, on vous donne un visa de 30 jours à l’aéroport à Kuala Lumpur!!! Alors plutôt que d’attendre un visa dans une ambassade et faire des aller-retour ou risquer votre vie, mieux vaut être ouvert à d’autres options, non?
Et moins courant, il y a aussi le Costa Rica
https://patientsbeyondborders.com/costa-rica
UNE CHOSE QUE J’AI REMARQUEE SUR LES COMMUNAUTES INDIENNES EN ANGLETERRE ET AILLEURS (bien differentes des Karana de Mada)
C’est en voyageant en dehors de la France que nous avons commencé à nous rendre compte, mais en NZ par exemple, mais aussi en Angleterre (surtout à Londres et à Liverpool), il y a énormément d’étrangers, surtout des Indiens, de Bengalais et de Pakistanais. Chose étrange… là-bas, ou plutot, chose normale…. ce sont les locaux qui semblent avoir la priorité et le contrôle de tout. c’est le cas en Angleterre et c’est pareil en Nouvelle-Zélande. Aussi, contrairement à chez nous, les communautés étrangères dans ces pays ont réussi à s’intégrer et à accumuler leur richesses vraiment à la sueur de leur front (pas en faisant des arnaques et des emagouilles). Pour cela, moi, je leur dois du respect. En NZ, mon frère a tissé des liens très intimes avec des Indiens (d’Inde) et m’a dit que les Indiens là-bas n’ont rien à voir avec les Karana de Mada (en terme de mentalité)!!!! Là-bas, ils sont moins conservateurs, moins « stuck up in their mind », plus ouverts, mais aussi, plus sympas et surtout, ce sont des gens qui triment et qui travaillent dur et qui ont du mérite!!!!
LA FRANCE, CE QUE J’EN PENSE (avant et après avoir vécu en Nouvelle-Zélande)
Avant que je n’ai eu la chance de connaitre le monde anglo-saxon, comme tous les Malgaches, la France m’a assez plu. Pour beaucoup de malgaches, je me demande toujours ce qu’ils en pensent (je pense que bcp de malgaches voient la France comme un idéal, or c’est loin d’être le cas, croyez-moi!!!)…car je ne le sais toujours pas; pour ma part, c’est un pays riche culturellement parlant, mais c’est loin d’être le seul pays qui présente de l’interêt, surtout, pour ceux qui, comme moi, ont eu la chance de voir autre chose que la France. Pour moi, c’est un pays qui est certes riche, mais qui est miné par les problèmes sociaux (gilets jaunes, manifs à tout va, bref…le bordel), par un racisme latent et hypocrite (contrairement au racisme Américain), par le terrorisme qui va encore faire des victimes en France et…ailleurs (qui a déjà affecté des ressortissants malgaches je le signale) et par la montée du chômage et la précarité. Pour moi, la France est grise, monotone, redondante et ennuyante!!!! Les Français sont chiants, pas faciles à vivre (pas étonnant si 1 couple sur 2 divorce), et toujours là à se plaindre de tout et de rien (cette attitude typiquement latine ne se retrouve pratiquement pas chez les Canadiens, Australiens ou Néo-Zélandais) ….épouser un Français serait …UN FIASCO (je déteste leur caractère ..toujours là à se plaindre et à se bomber le torse alors qu’il n’y a que du vent dedans!!!!), Le Français, l’Italien et l’Espagnol ne sont que de beaux parleurs et des gens arrogants!!! Ils sont trop catholiques, trop hypocrites et se plaignent toujours des immigrés pour tout et pour rien!!! Je me demande comment font les filles malgaches pour rester avec des types de ce genre!!! Pour moi, comme je le dis plus bas et comme je le dirai toujours, mieux vaut rester célibataire jusqu’à la mort plutôt qu’épouser un Gaulois!!!! Et c’est la raison pour laquelle je n’ai JAMAIS été intéressée pour sortir avec un Français, car d’un …je ne veux pas de passeport Français!!! De deux, je préfère étudier en NZ, passer par le système su “skilled immigration stream” (skilled = spécialisé, diplômé) pour obtenir plus tard la Résidence permanente, puis par la suite, la citoyenneté NZ, un passeport, qui je le rappelle, permet de voyager ds plusieurs pays sans avoir à faire de demande de visas, y compris en Europe!!! (Sachez que le passeport Argentin et chilien vous permet aussi de rentrer en Europe sans visa…les détails sont plus bas).
Bref, la France pour moi est un pays qui m’a de moins en moins attiré, surtout lorsque nous avons commencé à voyager (une idée de mon frère à l’origine) en Afrique du Sud, à Hong-Kong, en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, en Norvège, puis plus tard, l’idée nous est venue de visiter l’Océanie!!! Bien que j’ai adoré Sydney, je suis littéralement tombée sous le charme de Auckland, mais aussi de Wellington!!! Pour moi, aucune ville au monde ne possédait le charme, le calme (tout en étant des endroits développés) que les villes de la NZ!! Oui, l’Australie est aussi pas mal, mais après, c’est une question de choix!!
Ohhh, j’ai failli oublier… à part être le pays du fromage (il existe du superbe fromage aussi en Nouvelle-Zélande, en Argentine, mais aussi ..en Australie (sur l’ile de Tasmanie notamment)) et du vin (bref, l’Argentine et l’Australie produisent du superbe Malbec ou Chardonnay désormais qui sont aussi mondialement connu)
POUR VOUS LES JEUNES, OU POUR NOUS…CHOISISSONS BIEN NOTRE CURSUS MAIS AUSSI LE PAYS OU ETUDIER! ….car plus tard, vous pourriez le regretter!
J’aimerais en profiter pour m’adresser à des jeunes et/ou à leurs parents. Je pense qu’il est capital de passer du temps (faire des recherches sur la toile des années avant de partir, voir si un pays possède des « pathways » pour l’immigration, les opportunités d’emploi dans un pays donné) afin d’effectuer les bons choix pour le cursus universitaire de vos enfants, mais aussi …au-delà. Je ne sais pas ce que vous pensez, mais pour ma part, je ne voudrais pas venir étudier dans un pays ou j’aurais fait l’effort de m’intégrer, ou j’aurais dépensé mes sous pour qu’on me dise après « merci d’avoir dépensé vos euros chez nous, maintenant, vous avez 6 mois pour vous trouver un boulot ou alors dégagez!!!! ». Oui…vous savez ou je veux en venir. Si c’est pour y investir de l’argent, y passer du temps et être loin des parents, autant s’assurer que ce pays, une fois vos études terminées, vous proposera au moins des options pour des options plus permanentes, pour déboucher sur la citoyenneté plus tard!!!!
Si c’est pour dépenser l’argent de mes parents, autant choisir un pays qui n’exploite pas mon pays et qui ne fourre pas son nez dans la souveraineté de Madagascar, et qui en plus, ne me donnera rien en échange (à moins peut-être de faire comme certaines qui vont aller obtenir la nationalité en épousant un vieux type de 75 ballets et bénéficier de son passeport après.
Sinon, faire le bon choix et investir dut temps dans les recherches (comparer les programmes d’immigration, vous renseigner sur les secteurs qui recrutent, voir aussi l’économie, le taux de chômage, le prix des universités, etc…) vous évitera, à vous, de n’avoir le choix de revenir à Mada et de trimer ici (car trouver les fonds pour créer un business est plus que difficile) avec les conditions salariales ici.
POURQUOI MON FRERE (et nous autres) ONT ou AVONS FAIT LE CHOIX DE QUITTER MADAGASCAR
Raison 1: plus tard dans notre vie, nous n'avons pas envie de faire la queue pour un visa touristique; nous ne voulons pas avoir l’impression de demander un visa dans une chancellerie là-bas à Tananarive. En fait, certaines chancelleries SEMBLENT SI RADINS avec le nombre de jours qu’ils accordent sur le visa…c’est comme ce pays d'Europe auquel je pense pays étaient un pays Si beau que ça!!!! (Moi, je pense que ce n’est plus le cas). Juste à titre de comparaison, ici en Nouvelle-Zélande, les visas touristiques qu’on vous délivre dure 3 mois même si vous spécifiez que vous n’allez y rester que 10 jours; ici, on vous donne 90 jours sur votre “Visitor visa”!!!!! J’ai entendu dire qu’en Australie (un pays pourtant perçu comme étant raciste), ils sont aussi assez larges lorsqu’il s’agit de délivrer des visas visiteurs (contrairement aux ambassades européennes à Mada), car j’ai connu un malgache qui y est allé souvent et à chaque fois, il obtenait des visas de 90 jours pour se rendre à Melbourne.
Raison 2: en cas de maladie, il est toujours plus interessant d'avoir un passeport (qu'on appelle "waiver-feee passport") qui "pèsent" un peu dans la balance et qui peuvent "ouvrir" des portes. Bref, ce sont des passeports qui vous epargent les procedures de demande de visa, donc qui vous permettent de rentrer en europe ou en nouvelle-zelande sans avoir a quemander un visa. C'est le cas de la plupart de passeports europeen, americain, neo-zelandais, et etonnement….Argentin, Chilien et d'autres pays d’Amerique du sud (je connais un Malgache qui aujourd'hui, detient un passport argentin, et qui n'a pas besoin du moindre visa pour se rendre en France, et ds toute l'europe).
Raison 3: j'ai pas envie que ma vie dépende d'un fonctionnaire qui s'est fait largué le soir
Raison 4: oui, le passeport malgache est cher à avoir, pourtant, il n'ouvre aucune porte. Regardez juste en afrique australe…si vous voyagez en Afrique du sud, et qu'une fois su place, vous souhaitez vs rendre en namibie, au Botswana, cela vous sera IMPOSSIBLE…car il faut un visa d'abord…Pour le Botswana et la Namibie!!!!! Mais si vous avez un passeport francais, neo-zelandais ou Argentin, vous n'aurez qu’à payer qq droits de visa et ca y est, vous rentrez en Namibie, au botswana sans problème. Ça, ce n’est pas normal je trouve!
Raison 5: si j'ai envie de sortir de mada ou si plus tard, mes enfants désireront sortir, le ou la fonctionaire des différentes chancelleries (comme ce fut le cas d'une de mes amies au consulat d'un pays européen à madagascar, connu pour ses frites et ses moules), ne pourra plus lui dire "on ne peut te donner un visa car tu n’obéis pas aux critères". Avec un passeport “free waiver”, plus personne ne pourra me (ou leur dire) dire “non!”. Ce sera TOUJOURS un “Oui” car de toute manière, avec un futur passeport Néo-zélandais, il me sera possible de contourner toutes les formalités de demande de visa pour tt séjour < 90 jours pour quasiment n’importe quel pays, et ce our toute la zone Schengen et l'Australie!!!!. De plus, déjà avec un RP de NZ, je suis en mesure de bénéficier de frais de scolarité réduites (3 fois moins cher que pour les étudiants internationaux, donc sous visa d’études), de deux, j’aurai (avec la RP) le droit de m’y rendre et de rentrer en NZ sans avoir à faire une demande de permis d’études (bien évidemment, comme je l’ai mentionné, pour tout RP, il faut faire une demande de RP qui consiste à passer des tests de langues, d’avoir étudié 2 ans en NZ, de passer des “medicals”, bref, c’est “challenging”, mais moi je trouve que sur le long terme, c’est un superbe investissement car plus tard, ça mène vers la citoyenneté…donc le passeport NZ. Voyez sur le long terme!
aison 6: Je ne suis pas une fan du « fihavanana » à la Malgache. pour nous 3 (moi, ma soeur et mon frère), les Havana n’ont pas servi à grand chose, encore moins à aider. Pourtant nous, sans leur aide, on a réussi!
raison 7: raison politique (pas plus de précisions)
aison 8: je n'aime pas le climat de Tana (trop versatile, étouffant mais soufflant un vent froid) Raison 9: je n'aime pas trop l'ambiance sociale à Madagascar (je n’aime pas trop l’humour des jeunes à Mada) raison 10: je n'aime pas les administrations malgaches (trop constipées, comme le sont beaucoup de fonctionnaires) Raison 11: Bien que nous avions pu ouvrir un business à Mada, je ne me voyais pas évoluer à M/scar pour le restant de ma vie. J’ai vu pleines de personnes dont les vies ont tant dépendu des “administrations”; je crois que c’est ce qui m’a poussé à voir ailleurs Raison 12: JE NE VEUX PAS TRAVAILLER POUR NI DES KARANA, NI POUR DES CHINTOKS, NI POUR DES FRANCAIS DE MADAGASCAR (qui seront de toute manière, moins qualifiés que moi)!!!! Connaissant leur mentalité, ainsi que le niveau de salaire auquel je serai payée une fois là-bas, mieux vaut travailler à l’étranger!!!! En NZ, si on me harcèle, je pourrai contacter un syndicat et le harcelleur ne pourra pas “acheter” ou “influencer” les membres du syndicat (contrairement à mada). Si ça devient grave, je pourrais aussi porter plainte devant une juridiction néo-zélandaise (ici, on ne peut pas acheter la justice ..et ça, c’est super bien!!!!).
Raison 13: A Madagascar, si on loue un local dans un centre commercial, il y a - à ce qu’il parait, une politique du favoritisme. Si vous ne faites pas partie du “club”, vous payez un loyer supérieur; en d’autres termes, il y a une totale injustice. Ici en Nouvelle-Zélande, CELA N’ARRIVE JAMAIS!!!! Si vous êtes Néo-zélandais, et que vous souhaitez ouvrir une boutique de vêtements dans un centre commercial (dont les capitaux sont bien évidemment détenus par les néo-zélandais, et non par des étrangers…c’est absolument normal!!!), vous paierez le MEME LOYER qu’une personne (par exemple, un Vietnamien qui est Résident permanent en NZ ou un Coréen qui vient d’obtenir la nationalité NZ!!!!). Donc ici, que vous soyez néo-zélandais, coréen (un résident permanent), japonais, Africain, Malgache, vous payez le même loyer!!!
Raison 14: En Nouvelle Zélande (mais aussi dans tous les pays occidentaux, la France y compris), il n’y a pas de salaire “expat”!!! Mon frère, qui travaille comme Project coordinator ici pour une boite d’agroalimentaire, gagne exactement LE MEME SALAIRE qu’un Néo-Zélandais!!!! Et pourtant, d’un il est MALGACHE, de deux, il est seulement RESIDENT PERMANENT (la dernière étape avant de pouvoir acquérir un passeport NZ). S’il travaillait à M/Scar; il n’aurait jamais cette chance!!!! Je pense que notre choix de nous être installés ici (d’avoir fait tous les efforts administratifs) s’avère être un bon choix. D’un, on n’a pas a bosser pour des “étrangers” à mada, de deux, il est payé de manière “JUSTE” et équitable. ON sent que le salaire néo-zélandais s’ajuste bien avec le niveau de vie ici!!! De plus, si jamais on vous harcèle là-bas (comme ce fut le cas de 3 ou 4 filles que j’avais connues et dont certaines ont bossé chez une entreprise de communication sise du coté d’antanimena; l’entreprise fut rachetée par un gros bonnet malgache mais à l’époque, elle fut gérée par deux vazaha hyper vicieux, bref, des obsédés sexuels - une autre fille bossait pour une ONG, dont le patron fut aussi un étranger vicelard), vos recours seront limités (à moins que…), par contre ici en NZ, si une personne vous fait subir le moindre harcèlement, elle risque gros!!!! C’est la raison pour laquelle je vous encourage de partir et de planifier un parcours migratoire si vous en avez la chance, car un jour, si vous ne le faites pas, vous risquez de bosser pour des escrocs à Mada!!!
Raison 15: Ici en NZ, je me sens libre de marcher ou je veux…je sors de la maison, je marche pour acheter du pain, des smoothies, sans avoir à avoir peur que quelqu’un va tirer mon sac, ou me dévisager de haut en bas, ou même, me sortir un couteau en pleine rue!!!!! A Tana, je me suis sentie comme dans un boite (toujours en bagnole)….on ne peut pas se permettre une vie comme cela car si vous le faites, vous finissez poignardée!!! En fait, la vie à tana, ça se résume ainsi: MAISON > VOITURE > CENTRE COMMERCIAL > VOITURE > MAISON…. Vous ne marchez jamais et vous grossissez vite, et plus tard, beaucoup de gens finiront par être cardiaques, obèses et ayant constamment des problèmes de tension (AVC, etc…). Ici, mais aussi dans des pays comme le Canada ou l’Australie, je vois tout le monde marcher et beaucoup de gens sont actifs, les gens bougent, ils font du jogging le long des plages les après-midi, prennent peu le bus ou la voiture…Normal qu’ils vivent tous jusqu’à 80-85 ans!!!! Et ce que j’ai remarqué, c’est qu’ici, une personne de 70 ans est encore HYPER COSTAUD!!!! A Mada à 70 ans, beaucoup souffrent déjà de maladies diverses!! triste mais vrai!
Raison 16: Ici, on peut boire l’eau du robinet, sans aucun souci. Ici donc, il n’y a pas besoin d’acheter de l’enviant (comme en France) à chaque fois!!! C’est un des rares pays au monde ou on a cet avantage (avec l’Australie et le Canada).
Raison 17: Quand j’étais jeune, j’entendais souvent “la bouffe à Mada est bonne”. Bon, Oui, c’est peut être vrai dans Quelques cas…mais en ayant voyagé ailleurs, je peux vous dire que la nourriture ici est très diversifiée. On trouve diverses variétés de fruits, et la viande de porc par exemple, sui des règlementations très strictes (on ne a pique pas comme à Mada pour les faire grossir). Ici, il ya aussi beaucoup légumes bio, de nourritures quasi-prêtes et surtout, respectant les dates limites (à mada, j’ai entendu dire qu’il y avait une compagnie du cote de tanjombato qui falsifiait les dates sur certains produits périmés provenant de l’étranger); honnêtement là-bas, je me méfie un peu quand je fais mes courses.
A MADA, SI VOUS STES EN BONNE SANTE, TOUT EST BON, MAIS SI JAMAIS VOUS AVEZ DES ENNUIS COMME CE MONSIEUR, ALORS…LISEZ LA SUITE
Beaucoup de gens à Mada roulent en 4x4 et sont immensément riches (mais sans filet de sécurité en cas de couac). Je me souviendrai toujours de ce monsieur, un ancien collègue de travail de mon père. Cet homme, d’un certain âge, avait tout…l’argent ne lui manquait pas mais ce qui lui faisait défaut, c’est sa santé fragile. Un jour, il avait besoin d’une opération délicate et cette dernière a bien évidemment besoin d’être réalisée en Europe, ou dans des pays “avancés”. Le cout de cette opération fut de 25,000 - 30,000 Euros. Bien entendu, il les avait, mais vu qu’il était sur passeport malgache, il a dû effectuer une demande de visa dans une certaine ambassade. Cette demande a été très compliquée car les fonctionnaires n’ont pas arrêté de demander des justificatifs, etc… et pourtant, le temps passe; las d’attendre, il a dû contacter des centres hospitaliers aux Etats-Unis, et Dieu merci, le processus de demande de visa a été très rapide à Andranomena, mais le cout a été plus élevé (45,000-60,000 USD). Au final, il a dû partir aux Etats-Unis pour obtenir les soins nécessaires (en passant par Maurice, Hong-Kong (pas besoin de visa pour les séjours < 15j), puis repartir 2 jours après vers les Etats-Unis, ce afin d’éviter à tout prix, de prendre un visa de transit via la zone schengen). S’il avait été NZ, ou Argentin (ou s’il avait la RP dans ces pays), il aurait juste pu se rendre en NZ, se faire opérer et faire en sorte que le système social de ces pays contribuent au paiement des couts de l’opération (ça, c’est le gros problème à Mada, en cas de pépin, tu casques tout!!!! L’état s’en fout et encore moins, les hôpitaux!!! Au contraire, vous deviendrez une vache à lait s’ils se rendent compte que vous avez des tunes; je connais des gens de la classe aisée qui en ont été victimes en devenant de grosses vaches à crème fraiche (pour les hôpitaux malgaches), croyez-moi!!!…moi, c’est ce que je veux éviter!!!).
NOUS n’AVONS PAS OPTE POUR LA FACILITE POUR IMMIGRER ici EN NZ!
J’aurais pu trouver l’option facile (comme bcp de filles à Mada), à savoir, épouser un vieux type de 80 ans; le hic, c’est que je DETESTE devoir faire cela, et je ne suis pas trop attirée par des personnes de certaines origines (je préfère être franche), ceux d’origine latine en général; ceci étant, je ne me vois pas trop vouloir non plus épouser un NZ ou un Anglais pour les papiers (comme le font Bcp de filles). Mieux vaut, comme je l’ai mentionné, faire l’effort d’obtenir une RP via ses propres efforts (en étudiant et en passant les différents tests requis pour l’immigration); ou, demander à mon frère de me nommer via “sponsorship” ( c le mieux à faire); comme cela, contrairement aux autres filles malgaches, je ne perdrai pas ma dignité (car oui, bcp épousent un vazaha par interet, j’en suis sûre!!!); et de deux, plus tard, je n’aurai pas à être redevable envers un “vazaha” (quel qu’il soit) qui n’arrêtera pas de me rabâcher “ahhh, c’est grâce à moi que tu es ici”..ou “si ct pas moi, tu serais encore dans ton pays, etc…” et tu ne pourras RIEN dire car c’est vrai; et d’ailleurs, c’est ce genre de remarques qui retombent sur bcp bcp bcp de filles qui sortent avec des étrangers…Seigneur Dieu, quelle souffrance!!!! Quelle misère, quel manque de dignité, quelle honte!!!!
Moi j’ai bien vu avec mon frère pour obtenir sa Résidence permanente: il est passé par les étapes de base (étudier, réussir à obtenir son BSC - c en fait un Bachelor’s dégrée, il a ensuite cherché du boulot), et un fois que tous les critères sont réunis, il a cherché un avocat (un immigration lawyer - plus bas, j’explique cela plus en détail); il a passé les tests de langue, il s’est informé en ligne, a consulté des avocats pour obtenir des conseils, a demandé conseil à ses camarades de classe étrangers (c’est hyper important pour obtenir des “tuyaux”), et envoyé ses CV par-ci par-là (au lieu de cela, il aurait effectivement aussi pu draguer une néo-zélandaise ou une australienne pour leur nationalité, mais ne l’a jamais fait; il a en fait épousé une fille asiatique venant d’un pays dont le passeport a la même “puissance” que le passeport malgache. le fait est qu'il a épousé cette fille par amour, et c’est évident, ce n’était surement pas pour son passeport!!!)…et, plus tard et avec de la patience et des efforts, sa stratégie a payé. Là, je vois très bien, IL NE DOIT RIEN A QUICONQUE et IL N’EST REDEVABLE ENVERS PERSONNE!!! Moi, je trouve que ça, c’est louable !! Plus tard dans sa vie, sa conjointe ne pourra jamais lui dire “toi, c’est grâce à moi que tu es devenu néo-zélandais!!!!”, ou sa conjointe ne pourrais pas non plus lui faire de chantage du genre “Fais-ça pour moi sinon bye bye ta nationalité ou ta résidence permanente”. Non, ça n’arrivera pas car il a fait les efforts nécessaires pour en arriver là, et c’est comme ça qu’il faut faire dans la vie, les amis…. Il ne faut pas coucher avec des “Vieilles carcasses” et endurer et l’odeur, et les chantages, et les insultes pour obtenir un passeport "fort". Entre temps, bonjour les aller-retour dans certaines ambassades! Je préfère de loin suer pour étudier ici, faire des aller-retour chez un immigration lawyer ou attorney ou consultants et obtenir les choses la tête haute…avec FIERTE ET DIGNITE!!!! CA, C'EST MOI!!!
POURQUOI NE PAS CHOISIR LA FRANCE (du moins, pour nous 3)
Raison 1: Contrairement à la NZ, la France n’a pas de programme d’immigration. Une fois les études finies, les étrangers sont mis dehors avec peu de chance d’accéder aux bonnes opportunités! Raison 2: terrorisme : oui, il y a trop d’actes terroristes si on compare à des pays comme l’Australie ou la NZ…je crois que cela est évident et les chiffres le prouvent! Raison 3: Pays hypocrite. Pour ma part, je préfère de loin les Américains qui n’ont pas peur de dire “moi, quand j’ai une certaine idée des choses, je n’ai pas peur de mettre Trump dans la “ballot”; En France, on faits semblant de dire “moi je suis contre le FN, mais au fond, la majorité des Français ne sont pas si en désaccord que cela avec les idées de Marine Le Pen!!! Je pense que la France est pays d’hypocrites (contrairement aux pays anglo-saxons). Raison 4: Les gilets jaunes Raison 5: les chancelleries en Afrique adoptent des méthode “manquant de civisme et d’élégance” pour la délivrance de visa. Raison 6: Il n’y a pas de “route” vers une immigration à long terme; une fois vos études terminées, vous devez revenir (je trouve cela dommage si vous avez fait tout un effort de vous intégrer là-bas -c’est un peu de la peine perdue) Raison 7: C’est un pays qui ne reconnait pas trop vos efforts (même si vous avez de bonnes notes, les préjugés trop ancrés ainsi que le chômage montant joueront CONTRE vous!!; vos chances d’obtenir un emploi dans un délai de 6 mois est pratiquement impossible!!! Raison 8: J’ai la nette impression que certains pays veulent foutre dehors des gens qui ont été formés chez eux, des gens qui ont fait l’effort ET d’un autre côté, ils laissent rentrer des immigrés illégaux qui arrivent par barque!!! Pour moi, la France a un système d’immigration reflétant une telle injustice que pour moi, ça ne vaut pas trop le coup d’y aller (à moins peut-être que vous voulez juste y aller pour le diplôme et avoir déjà un plan et une volonté indéterminée de revenir à Madagascar après les études en Europe, (et être déjà titulaire de la nationalité française pour ressortir en cas de besoin)…pour reprendre une affaire familiale à Mada par exemple…Pour ce genre de personnes, la France est idéale). Raison ç: Police minée par les préjugés (si jamais vous êtes victimes d’acte xénophobe, il y a très très peu de chance pour que votre pliante au commissariat soit prix en compte (ce n’est pas comme en Allemagne ou là-bas, la Bundespolizei fera tout pour courir après les racistes; ce ne sera pas le cas au Québec non plus, là-bas, la police vous aidera!!!!). Ici en NZ, la police aura aussi beaucoup de considération pour vous.
POURQUOI N’AVONS-NOUS PAS CHOISI LA REUNION?
OUI C’eST A COTE MAIS…..
Raison 1: Les Malgaches sont en première ligne là-bas (contrairement à la France ou ce sont plus les Arabes et les Noirs qui occupent la première place; au moins, on est en 3eme position en France metropolitaine) Raison 2: Contrairement à la France métropolitaine, La Reunion souffre d’une véritable crise d’identité; ça se voit à la manière avec laquelle les Créoles agissent Raison 3: trop proche de Madagascar (si l’on aime pas trop les visites des havanes surtout) Raison 4: ON se sent comme à Mada, on se sent comme en Inde, on se sent comme dans un quartier reculé de Bordeaux ou de Paris…bref, on se sent …je ne sais pas trop ou Raison 4: Si il nous arrivait quelque chose, je ne fais pas confiance aux médecins réunionnais (bcp doivent ne pas être trop objectifs envers les Malgaches) Raison 5: D’après ce que j’ai entendu, le visa est très difficile à obtenir Raison 6: Trop petit !!!!!!!!!! On y fait vite le tour et pendant les vacances, on a seulement le choix entre aller à Maurice ou rentrer à Mada (pas intéressant du tout); En métropole, au moins, on peut grimper dans un bus et profiter pour voir la Belgique (beau pour visiter mais dégueulasse pour émigrer!!!), l’Allemagne (un très beau pays ou étudier et vivre), les Pays-Bas, l’Angleterre, l’Espagne..etc… bref, en France, vous pouvez circuler de toute la zone Schengen (je ne sais pas vous, mais la visa Schengen vaut PLUS que ce pauvre visa réunionnais). Raison 7: TELLEMENT CHER !!! Raison 8: les Réunionnais sont des gens peu sympathiques (pour la plupart); Mieux vaut encore, si vous ne voulez pas vous rendre en Europe, se rendre en Malaisie (l'ile Maurice est aussi tordue de toute manière)
POURQUOI PAS L’ILE MAURICE?
We did not choose it for the same reasons as we did not choose La Reunion… well, almost for the same reasons!
AUJOURD’HUI, LES PERSONNES QUI NOUS AVAIENT “POUSSE” VERS LA REUNION NOUS ENVIENT FAROUCHEMENT POUR NOTRE INSTALLATION EN NZ!!
IL y a plusieurs années, comme je l’ai mentionné plus haut, des amis et des gens de la famille ont conseillé à mon frère d’aller à la Réunion et ont vivement critiqué sa décision d’aller étudier en Nouvelle-Zélande!!! Ils disaient…c’est le bout du monde là-bas!!; Aujourd’hui, ce sont ces MEMES personnes qui nous envient d’avoir réussi à nous “fixér” là-bas dans ce pays de l’Océanie..Oui, c’est vrai, du bout du monde!!! Mais contrairement à La Réunion, la Nouvelle-Zélande a une charme incomparable, un peuple bien plus accueillant mais aussi MOINS RACISTE!!!! Dix fois MOINS RACISTE!!! Et honnêtement entre nous, j’ai 100 fois plus confiance entre les mains de médecins Néo-Zélandais qu’entre les mains des créoles de la Réunion d’à coté!!! De plus, la NZ a donné à mon frère:
une excellente opportunité de travail, 2.un cadre de vie et d’environnement pour s’émanciper (à la réunion, c’est tout sauf le cas),
un bon système social digne du système social en Europe (vu qu’il est résident permanent de la NZ)
Un salaire plus qu’adéquat
Un environnement sain (peu de préjugés par rapport à la réunion ou à la France , ou même à la Belgique)
un “futur” passeport (car il ne l’a pas encore obtenu) qui permet de visiter plusieurs pays sans avoir à quémander un visa et qui facilite l’entrée et l’établissement dans des pays difficiles comme l’Australie par exemple.
Une opportunité de ne pas payer les taxes en France (car oui, il consomme NZ et paie ses taxes ici)
Une opportunité de ne pas consommer Français (et réunionnais !!!)
Et a donné à ses enfants:
Une opportunité d’étudier dans un environnement purement anglophone et anglo-saxon (pas créole avec leur langage pourri et puant…le Français réunionnais est UNE INSULTE à la langue Française!!! Désolée de le dire de cette manière mais c’est vrai!!)
Des passeports (car nés sur le sol NZ avec un parent résident permanent OU citoyen NZ) qui leur ouvriront plus de portes; mes 2 nièces n’auront jamais et ne connaitront jamais ce que c’est de devoir demander un visa touristique pour la Belgique, la France ou l’Italie!!!
L’opportunité de grandir en tant que Malgaches (dire que je suis française est une INSULTE, car NON, je ne me reconnais du tout l’identité française et d’ailleurs, je FERAI TOUT TOUT TOUT pour NE JAMAIS DEVENIR FRANÇAISE!!!) influencés par la culture Anglo-saxonne
L’opportunité de grandir dans un pays avec une bonne identité culturelle (pas une identité bordélique comme à La Réunion!!!)
L’opportunité de grandir dans un pays sain, ou la police est saine psychologiquement (pas comme en France ou ils se comportent comme des tarés), pour grandir aussi dans un pays ou il y a TRES TRES peu de chances d’actes terroristes (contrairement à la France ou à chaque coin de rue, on craint pour sa vie!!!)
6. Aujourd’hui, la France est un pays qui m’attire peu et je ferais tout pour ne pas y faire mes études, en partie, comme je l’ai expliqué, parce qu’il n’existe plus de “pathway” vers une immigration permanente. C’est pour cela que j'opterai pour le même pays ou mon frère habite en ce moment (en NZ)), soit pas visa sponsorship (tout à fait possible pour mon cas et faisable car il est déjà sur place), soit via le système d'immigration via le “point system” (moins évident, mais toujours possible si votre spécialité coincide avec les listes d'occupations (occupation list) demandées par le Gvt Néo-zélandais. Si vous êtes en seconde aujourd’hui, ou même en classe de 5ème, je vous conseille vivement de jeter un coup d’oeil sur ces listes, comme cela, vous pouvez déjà vous préparer tôt!!!
7. regardez ces liens (ça peut vous aider): a.Liens sur les “skills” recherchés pour immigrer http://skillshortages.immigration.govt.nz
8. http://www.visabureau.com/newzealand/visa-requirement.aspx
9. B.Pour ceux qui veulent explorer des voies d’études, voici un lien: https://www.studyinnewzealand.govt.nz
10. Juste une chose, comme c’est à coté de la NZ(mais je connais moins par contre), je vous envoie aussi un lien sur un organisme qui assiste pour les étudiants pour les études en Australie https://www.studiesinaustralia.com
11. c.Et pour ceux qui souhaitent étudier des cursus plus cours (genre l’équivalent des Bac+2 en Europe, voici un programme d’études (que j’ai recherché pour vous et que je viens aussi de découvrir); ça s’appelle TAFE:
12. https://www.tafensw.edu.au/courses
13. À mon sens, mais faut vous renseigner, cela pourrait aussi déboucher sur la route vers l’immigration.
14. Aussi, pour vous qui recherchez une assistance pour vos filières en Australie, voici un lien qui peut s’avérer utile: http://www.hello-aussie.com.au
15. D.Si vous ne voulez pas ou pas encore partir loin, l’Afrique du sud s’avère aussi être un très bonne option: Voici un lien sur les études là-bas:
16. https://www.educations.com/study-guides/africa/study-in-south-africa/
17. E.Voici un lien sur l’atmosphère sociale dans la ville du Cap (Cape town) par exemple: https://www.youtube.com/watch?v=jEnqWUUvbuc&t=31s
18. Par contre, je dois vous dire, je ne connais pas trop le système pour y immigrer. A mon sens, l’Afrique du sud est peu chère et est un pays agréable (j’y étais donc je peux en témoigner), mais le mieux, c’est d’y aller pour 2-3 ans, puis postuler ailleurs (par équivalence) par la suite, puis immigrer dans des pays qui offrent un programme d’immigration (non, pas la France!! La France, je crois, c’est pour ceux qui veulent juste gagner un diplôme et revenir au bled après..franchement!!!).
19. AUTRES PAYS OU PARTIR Pour ETUDIER ou POUR PARTIR EN RETRAITE!!!
20. Le Québec qui est comme la France, francophone et qui offre de superbes alternatives en terme d'université et de filières. C'est une très belle province avec parait-il de bonnes perspectives d'emploi. Là-bas, contrairement à certains pays d'Europe, on ne vous renverra pas après 6 mois une fois vos études finies. De plus, ce ne sera pas avec les chancelleries à Tananarive que vous allez "dealer"...et ça, moi je trouve que c'est TRES TRES TRES positif!
21. L’Amerique du Sud peut aussi être un alternative. En Argentine, je crois savoir qu’étudier deux ans là-bas permet de demander un résidence temporaire (tramiente), qui débouchera aussi sur une résidence permanente, puis un passeport (qui je le rappelle, est exempté de visa dans l’espace Schengen), et qui permet de rentrer dans 150 pays au moins sans visa!!! Pour les retraités, ils ont aussi un système de “retirement visa” ou il faut juste prouver que vous avez une rentrée d’argent mensuelle ou trimestrielle; ils ont aussi la même chose au Chili.
22. En Equateur, il est possible aussi d’obtenir la résidence en investissant seulement 15,000 USD!!
23. Des pays comme la Malaisie offrent aussi une forme de résidence; seul hic, c’est qu’il faut 100 mille USD bloqués dans un compte pour pouvoir adhérer au programme. Le nom de ce programme: “Malaysia second home”.
24. PETIT CONSEIL PERSO (de mon frère, qui possède déjà un bon nombre d’années d’expérience ailleurs)
25. Pour notre part, même si nous avons pu faire les démarches nous-mêmes, il est parfois conseillé de prendre des avocats d’immigration (oui, mon frère a bien dû faire des efforts pour ne pas devoir à épouser des Françaises ou des Réunionnaises), car ces personnes ont généralement une expérience du terrain que vous n’aurez pas; certes, c’est payant, mais au moins, un « immigration lawyer » sera en mesure de vous dire déjà si oui ou non vous pouvez vous qualifier; il pourra aussi vous conseiller et guider sur les papiers à fournir, sur comment monter le dossier, et surtout, sur comment éviter des pièges, qui peuvent vous couter très cher!!!! Dernière chose, avec un lawyer, vous risquez moins de perdre votre temps (à cause d’un document manquant ou inadéquat) et je pense (par expérience avec mon frère) qu’il y a un peu plus de chances qu’un dossier passe, car lui saura quelle « route » sera la mieux adaptée pour vous (PS/ cela n’est pas uniquement valable pour la NZ cependant);par exemple, googlez juste « IMMIGRATION LAWYER new zealand » ou “Attorneys specialized in immigration in xxxxxx” et faites votre choix. Si vous projetez d’étudier ailleurs, tapez la même chose en changeant le nom du pays. N’écoutez pas toujours les autres qui veulent vous promettre monts et merveilles ou qui veulent vous faire croire en la qualité de certaines écoles en métropole, car certes, il y a le diplôme, mais, il y aussi l’avenir ….. Posez-vous juste la question suivante : “est-ce que je veux revenir à Mada après mes études? ”. et “est-ce que je ne voudrais pas avoir une alternative au passeport malgache, surtout en cas de pépin plus tard dans la vie” (maladie, accident, besoin de traitement, besoin de chirurgie, crise politique, épidémie soudaine, catastrophe naturelle, tremblement de terre, etc….)…et après, décidez et ne regrettez pas comme certaines de mes amis/amies qui eux, ont fait le choix de partir en Europe et ont dû revenir à Mada (n’ont pas réussi à trouver un emploi là-bas); certains et certaines ont déjà regretté d’être revenus…..d’autres regrettent tout simplement de n’être pas partis ailleurs…d’autres commencent seulement à chercher une “autre route” que maintenant (car la France n’offre rien de toute les manières)…. d’autres, voyant que nous avons réussi à nous “fixer” quelque part, nous envient!!
26. COMMENT FAIRE AVANT DE PARTIR ETUDIER AILLEURS ET POUR VOUS EVITER DE PERDRE DU TEMPS
27. Pour vous qui avez 15 ans, 17 ans, 20 ans, n’ayez d’emprunter des chemins autres que celui que vos parents ont pris; n’ayez pas peur de prendre une route que personne de votre famille n’a eu l’audace de prendre…mon frère, lorsqu’il était parti en NZ, beaucoup ont essayé de lui proposer les “destinations habituelles”, comme La réunion - on entendait souvent “Va étudier à La réunion, c’est bien, ya de belles nanas, fait chaud…” Bref, peut-être il fait chaud, mais les opportunités sont pourries et le racisme anti-malgache, fort!!!!. Mon frère avait refusé d’écouter ses propres amis et même sa famille (ny Havana, cousins, etc…); comme je l’ai mentionné plus haut, s’il avait été en France ou à la Réunion, il n’aurait (probablement) pas eu cette opportunité de travail ET d’immigration qu’il a eu aujourd’hui (il travaille comme “project coordinator” pour une boite d’agroalimentaire). Je le sais car je connais des Malgaches en France, beaucoup de Malgaches qui sont partis en même temps que lui, qui sont diplômés de grandes écoles en France, dont certaines très connues et réputées, mais qui malgré tout, triment, ou à qui on refusé des opportunités de travail. Beaucoup bossent à des postes “qui rabaissent le moral”, d’autres livrent des journaux, d’autres passent la journée à ranger des étagères, etc…(peut-être à cause du fait qu’ils ne sont pas Français). Comme quoi, FAUT OSER dans la vie, car si lui s’était laissé influencé par ses “namana” ou “Havana” ou “fianakaviana”, sa vie n’en serait pas arrivée là….lui, moi, ma soeur, nous serions probablement en France diplômés, mais au chômage ou faisant des petits boulots qui paient trois fois rien!!!! Plus en France, je suis quasiment sûre qu’on n’aurait même pas eu de visa permanent encore…on serait encore sous visa étudiant ou une arnaque de ce genre!!! Ici, en NZ, certes il y a aussi des défis, il y a aussi du racisme (le nier serait mentir et partout, il y en a de toutes les manières), mais j’ai l’impression qu’il est bien plus discret qu’en France (plus Anglais, donc moins direct), et ailleurs qu’en France, j’ai l’impression que les Anglo-saxons sont plus “Color blind”, plus ouverts que les Français et moins enclins aux préjugés. Ici, il est possible de faire une application sur un RP après juste 2 ans d’études (à condition que ce que j’étudie corresponde à la liste d’occupation, ça c’est important, mais pour ça, et avant de quitter Mada, je vous conseille vraiment de contacter un lawyer en même temps que vous faites vos recherches d’études…comme ça, vous ne perdrez pas de temps à étudier qch qui ne rentre pas dans la liste d’occupation). Le lawyer (l’avocat d’immigration) devrait pouvoir vous conseiller sur le choix d’études et après, vous entamez les démarches d’inscription (vous pouvez aussi faire le choix vous-même mais assurez-vous que votre domaine d’études corresponde plus ou moins aux liste d’occupation - je sais que les filières comme “frigoriste, nurse, accountant” sont recherchés mais à votre place, regardez bien cette liste ou en cas de doute, prenez un lawyer). Une fois accepté par l’uni, just apply for a NZ visa. A Tana, vous ne pouvez le faire nulle part, mais le mieux, c’est d’envoyer votre dossier à l’ile Maurice, à l’ambassade de la NZ (Vous pouvez aussi le faire via un lawyer, mais ce n’est pas obligé). Pour l’Australie, je crois qu’il faut aussi envoyer à Maurice, à l’australian high commission (Vous pouvez aussi contacter IDP Mauritius car eux s’occupent des étudiants mauriciens qui veulent étudier en Australie, mais aussi, je crois, pour la NZ…moi, je ne suis pas passée par eux, mais j’ai une amie mauricienne qui est passée par eux). Mais le mieux, pour IDP, c’est de se rendre directement à Port Louis (les bureaux de IDP se trouvent sur Cavell street, je crois à Port Louis), et vous y allez direct sans rdv, vous leur dites que vous voulez étudier en Océanie et que vous recherchez un branche d’études en particulier (une fois que vous avez mis tt au point avec le lawyer qui vous aura conseillé la “bonne branche”) croyez-moi, ils vont vous aider mais il faut aller à Maurice pour cela; je crois qu’il y a qq forms à remplir mais sinon, c’est pas trop cher. Allez-y à Maurice car sinon, ils vont ignorer vos emails et parlez-leur face à face; il n’y a que comme ça que ça va marcher. Certes, c’est plus cher que d’étudier en Europe (ou de toute manière, on vous dira “merci d’avoir payé, m’tant, tire-toi chez toi”, mais au moins, vous aurez plus de chances de vous y installer de manière permanente. De souvenir, et basé sur les dires de cette amie mauricienne, je crois qu’ils vous aident aussi pour votre visa, donc, en qq sorte, vous leur envoyer votre dossier et c’est eux qui se chargent de “se relayer” entre vous et l’ambassade. Autre alternative, il y a un lien que j’ai mis juste qq paragraphes (b.) plus haut qui propose aussi un service d’aide…..mais celui-là je pense est basé en Océanie P.S L’Australie occidentale possède aussi l’une des meilleures de mine au monde ( car la mine, ça ils connaissent mieux qui quiconque).
28. Dernier conseil… pour vous qui avez 14, 15 ans, Commencez les Maths car les mathématiques ou les sciences (biologie, chimie) vous ouvriront beaucoup de portes (opportunités) dans ces pays. Vous n’aurez pas de difficultés à étudier des filières tels que “biotechnology” ou appuyer pour des métiers comme “chemical engineer”, “mining engineer”.
29. POUR FINIR…ET MES DERNIERS CONSEILS
30. PENSEZ-Y…..surtout, vous qui êtes encore dans la vingtaine, la trentaine ou même, la quarantaine…. Ne regrettez surtout pas votre choix aujourd'hui car sinon, vous allez vous retrouver un jour, à devoir demander un visa, faire des aller-retour, être contraints d’attendre devant ce hublot de cette certaine ambassade avec derrière, un ignorant de fonctionnaire qui vous dira quoi fournir. Moi, c’est pour cela que j’ai décidé de mettre les voiles et m’engager dans les démarches pour obtenir un RP ici en NZ. Cette démarche de RP, bien entendu, débouchera un jour sur un passeport et grace à cela, je n’aurai plus à demander un visa si je veux me rendre dans la zone Schengen, au Japon, en Norvège, en Amérique du sud, etc…. Bref, pour moi, ou plutôt pour nous, il est important de voir les choses de loin, de prévoir, d’anticiper, car tout simplement, on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve, à vous, à moi, à nous tous…. Mais cette initiative, il faut la prendre aujourd'hui, et il faut avoir le courage de la prendre.
#études#Madagascar#malagasy#nouvelle-zélande#immigration#Visas#ambassade#canada#université#malgache#france#australie#schengen#résidence permanente#passeport#conseils
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Visa Travail Canada : Processus, Délais et Exigences
Obtenir un visa travail pour le Canada est un processus essentiel pour toute personne souhaitant s'installer et travailler dans ce pays aux multiples opportunités. Le Canada est l'une des destinations les plus populaires pour les travailleurs étrangers en raison de sa forte demande en compétences internationales et de son cadre de vie attractif. Cependant, avant de pouvoir poser vos valises au Canada, il est important de comprendre les étapes, les délais et les exigences nécessaires pour obtenir un visa travail.
1. Le Processus pour Obtenir un Visa Travail au Canada
Le processus pour obtenir un visa travail Canada suit plusieurs étapes bien définies. Voici les principales étapes à suivre :
1.1. Choisir le type de visa travail approprié
Il existe deux principaux types de visa travail pour le Canada :
Le permis de travail temporaire : Vous permet de travailler pour un employeur canadien spécifique pendant une période déterminée.
Le permis de travail ouvert : Permet de travailler pour n’importe quel employeur au Canada sans restriction.
1.2. Obtenir une offre d'emploi
Une offre d’emploi est généralement nécessaire pour obtenir un visa travail. L'employeur canadien doit fournir un certificat d'acceptation du Québec (CAQ) ou une étude d'impact sur le marché du travail (EIMT).
1.3. Soumettre la demande
Après avoir obtenu l'offre d’emploi, vous pouvez soumettre votre demande de visa via le site officiel du gouvernement canadien. Cette demande se fait généralement en ligne, où vous devrez soumettre les documents requis, comme votre passeport, une photo récente et l’offre d’emploi.
1.4. Attendre la décision
Après soumission, le processus de traitement commence. Le temps de traitement peut varier en fonction du type de visa et du volume de demandes.
2. Délais de Traitement pour un Visa Travail Canada
Les délais de traitement peuvent varier selon plusieurs facteurs, mais en général :
Permis de travail temporaire : Traitement en 2 à 6 semaines.
Permis de travail ouvert : Le traitement peut prendre 3 à 6 mois.
Programmes de travailleurs qualifiés : Environ 6 mois à un an.
3. Exigences pour Obtenir un Visa Travail
Le gouvernement canadien impose certaines exigences pour les demandeurs de visa travail :
3.1. Offre d’emploi valide
Vous devez avoir une offre d'emploi d'un employeur canadien. Certaines positions peuvent être exemptées des exigences de l'EIMT.
3.2. Compétences et qualifications
Le Canada cherche des travailleurs qualifiés, et vous devrez prouver que vous avez les qualifications nécessaires pour exercer l’emploi.
3.3. Preuve de fonds
Vous devez prouver que vous avez les fonds nécessaires pour subvenir à vos besoins pendant que vous travaillez au Canada.
3.4. Examen médical et vérification des antécédents
Un examen médical et une vérification des antécédents criminels peuvent être exigés.
4. Comment Accélérer le Processus de Demande ?
Bien que le processus pour obtenir un visa travail Canada puisse être long, voici quelques conseils pour accélérer les démarches :
Soumettre un dossier complet pour éviter des retards dus à des informations manquantes.
Répondre rapidement aux demandes de renseignements supplémentaires.
Suivre l’état de votre demande en ligne.
Conclusion : Facilitez Votre Demande avec le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique
Le processus d'obtention d'un visa travail Canada peut sembler complexe, mais avec le bon accompagnement, il devient beaucoup plus facile. Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique peut vous aider en préfinançant votre visa, votre billet d’avion et votre logement, vous permettant ainsi de vous concentrer sur votre installation professionnelle au Canada. Contactez-nous dès aujourd'hui pour obtenir une assistance complète.
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Spécialiste et analyste des cultures urbaines, formé durant six (6) ans dans plusieurs secteurs artistiques. Entrepreneur culturel, consultant Culture & sport, administrateur, régisseur… Ce jeune acteur de la culture africaine est une personne à connaître. Latif Lafrik1 sillonne les capitales africaines pour s’informer, se former et se construire. En tant que producteur d’émissions thématiques, il travaille durant 5 ans pour faciliter la diffusion du Hip Hop africain, et des musiques de la diaspora. Attaché de presse culturel et sportif, sa polyvalence, son expérience et sa compréhension de l’artistique lui permettent de coordonner de gros projets et d’animer des conférences. Après sa mission sur Danse L’Afrique Danse à Bamako en 2010 et au 3ème FESMAN à Dakar, Latif LAfrik1 rentre au Gabon et se concentre sur le développement de la danse de création en professionnalisant des artistes et des compagnies à l’instar de Ngoua Andy Scott, Gaell Ikonda, et Basko. Premier jeune africain à bénéficier d’une immersion en production et diffusion au Pavillon Noir – Ballet Preljocaj en France, il est aujourd’hui sur Plateau Jeune Création de Libreville et a produit et co-produit près de 40 spectacles et former plus de 250 danseurs professionnels. Depuis 2013, il est consultant auprès de plusieurs institutions et ministères en Afrique. Il est membre du conseil d’orientation de Danse l’Afrique Danse avec l’Institut Français à Paris. Ambassadeur Visa For Music à Rabat au Maroc et Président depuis 2015 de la FEGAF (Fédération Gabonaise des Directeurs de Festival). Il reste sans nul doute possible, un jeune à avoir dans son carnet d’adresses.
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Spécialiste et analyste des cultures urbaines, formé durant six (6) ans dans plusieurs secteurs artistiques. Entrepreneur culturel, consultant Culture & sport, administrateur, régisseur… Ce jeune acteur de la culture africaine est une personne à connaître. Latif Lafrik1 sillonne les capitales africaines pour s’informer, se former et se construire. En tant que producteur d’émissions thématiques, il travaille durant 5 ans pour faciliter la diffusion du Hip Hop africain, et des musiques de la diaspora. Attaché de presse culturel et sportif, sa polyvalence, son expérience et sa compréhension de l’artistique lui permettent de coordonner de gros projets et d’animer des conférences. Après sa mission sur Danse L’Afrique Danse à Bamako en 2010 et au 3ème FESMAN à Dakar, Latif LAfrik1 rentre au Gabon et se concentre sur le développement de la danse de création en professionnalisant des artistes et des compagnies à l’instar de Ngoua Andy Scott, Gaell Ikonda, et Basko. Premier jeune africain à bénéficier d’une immersion en production et diffusion au Pavillon Noir – Ballet Preljocaj en France, il est aujourd’hui sur Plateau Jeune Création de Libreville et a produit et co-produit près de 40 spectacles et former plus de 250 danseurs professionnels. Depuis 2013, il est consultant auprès de plusieurs institutions et ministères en Afrique. Il est membre du conseil d’orientation de Danse l’Afrique Danse avec l’Institut Français à Paris. Ambassadeur Visa For Music à Rabat au Maroc et Président depuis 2015 de la FEGAF (Fédération Gabonaise des Directeurs de Festival). Il reste sans nul doute possible, un jeune à avoir dans son carnet d’adresses.
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Étudier à l'étranger pour les étudiants ivoiriens
Pour de nombreux étudiants africains, étudier à l'étranger est un véritable défi. C'est particulièrement vrai pour les étudiants qui viennent de Côte d’Ivoire et qui sont confrontés à de nombreux défis rendant leurs études pénibles.
Seed Education en Afrique
Ayant établi des liens solides en Afrique, Seed Education est une organisation à but non lucratif qui s'efforce d'aider les Africains à réaliser leur rêve d'étudier à l'étranger. Nous veillons à faciliter le processus de transition des nouveaux diplômés, des étudiants de premier cycle et de master à la recherche d'un nouveau cadre éducatif à l'étranger.
Étudier aux USA
Plusieurs types de bourses sont attribuées chaque année à des étudiants ivoiriens pour leur permettre d'étudier aux États-Unis. On y trouve également les prix de distinction décernés par le gouvernement américain, ceux des entreprises américaines, ceux des fondations et organisations internationales, les aides financières et réductions accordées aux familles à faibles revenus.
Passer sa licence aux USA
Dans la plupart des universités américaines, la licence est communément appelée Bachelor's degree. De plus, elle est délivrée après trois années régulières d’études.
Poursuivre son Master aux USA
L'obtention d'un Master offre aux diplômés des États-Unis de meilleures perspectives d'emploi et de meilleures compétences existantes. Le Master s'obtient généralement après quatre ans d'études à temps plein encore appelé Master’s degree.
Les universités où étudier aux USA
Les étudiants ivoiriens allant étudier aux USA ont le choix entre les universités publiques (l'université d’Arizona, l’université de Caroline du Nord, celle de Caroline du Sud, etc) d’une part et les universités privées (l'université Rice, l'université Baylor, l'université Columbia, etc).
En 2021, le Coronavirus a poussé certaines institutions à permettre aux étudiants ivoiriens de d’effectuer leur cycle d’étude à distance.
Les bourses pour étudier aux USA
Les étudiants ivoiriens bénéficient par an d’un certain nombre de bourses disponibles pour aller étudier aux États-Unis. Ce sujet fait l'objet d'une discussion animée entre eux. Et afin d'augmenter le nombre d'étudiants ivoiriens à l'Université d'Amérique, les conseillers de Seed sont été informés des bourses disponibles pour les apprenants ivoiriens.
Les opportunités de travail aux USA
Les étudiants ivoiriens peuvent trouver du travail pendant leurs études aux États-Unis, mais seulement sous certaines conditions. Il existe un cas où les étudiants peuvent travailler hors du campus pendant leur première année de visa d'étudiant F-1 ou M-1 - c'est lorsqu'ils participent à des programmes de formation sur le campus.
Étudier au Canada
Chaque année, les jeunes étudiants ivoiriens peuvent demander plusieurs types de bourses pour les aider à poursuivre leurs études au Canada. Parmi celles-ci, il y a les bourses d'études reconnues internationalement offertes par le gouvernement canadien, les entreprises, les fondations et les organisations étrangères, les bourses d'études à l'étranger, l'aide aux familles à faible revenu, etc.
Passer sa licence au Canada
Il s'agit d'une formation de trois ans au cours de laquelle l'étudiant doit assister régulièrement aux cours afin d'obtenir un diplôme. Ce diplôme connu en France sous le nom de licence, est appelé Bachelor’s degree au Canada.
Poursuivre son Master au Canada
Connu sous le nom de Master, ce diplôme nécessite quatre années d'études afin d'être décerné. Il s'agit d'un diplôme d'enseignement supérieur connu sous le nom de Master's degree au Canada avec un taux d'emploi plus élevé.
Les universités où étudier au Canada
Les apprenants ivoiriens poursuivant leurs études au Canada disposent d’une liste d’universités variées à cet effet dont :
l’Université de l’Athabasca
l’Université de Brandon
l’Université Simon Fraser
Ces universités énoncées ne sont qu’un extrait de la panoplie existante qui ouvrant leur porte aux étudiants ivoiriens. Et l’an 2021 a également permis, du fait de la pandémie sévissant à l’échelle mondiale, que les étudiants venants d’Afrique puissent suivre des cours à distances.
Les bourses pour étudier au Canada
Chaque année, plusieurs étudiants ivoiriens bénéficient d’un nombre important de bourses afin d’aller étudier au Canada. Nous avons conscience que ce sujet soulève discussion pour les étudiants. C'est la raison pou laquelle les conseillers de Seed gardent un œil sur la disponibilité des bourses pour les étudiants ivoiriens vis-à-vis des universités au Canada.
Les opportunités de travail au Canada
Au cours de leur cursus universitaire au Canada, les étudiants ivoiriens peuvent décrocher un emploi, à condition de remplir certains critères. Et cela implique d’étudier sur le campus et de s’inscrire à des programmes de formation durant leur premier semestre en ayant leur statut F-1 et M-1.
Étudier au Royaume-Uni
Les étudiants ivoiriens bénéficient d'un certain nombre de bourses et de prix leur sont offerts chaque année afin qu'ils puissent poursuivre leurs études supérieures à l'étranger. Elles émanent du gouvernement britannique, de grandes entreprises, de fondations et d’organisations internationales. Il existe également des prêts étudiants et des aides destinés aux familles à faibles revenus.
Passer sa licence au Royaume-Uni
Dans le cadre des institutions britanniques, la licence est délivrée sous le nom de Bachelor’s degree. Son obtention exige que l’étudiant y aspirant fasse régulièrement trois années d’études.
Poursuivre son Master au Royaume-Uni
Le Master est très employable en Grande-Bretagne. Il y est plus communément appelé Bachelor of Honour et exige quatre années d'études pour son octroi.
Les universités où étudier au Royaume-Uni
Les étudiants ivoiriens désireux de continuer leurs études en Grande-Bretagne peuvent choisir parmi une large gamme d’universités britanniques comme :
l’Université de Lancaster
l’Université de Derby
l’Université Kingston
Ces universités énoncées constituent un bref aperçu dune liste encore plus étendue en la matière. Et en 2021, le coronavirus a poussé beaucoup d’institutions à autoriser les apprenants africains à suivre leur cursus à distance, ce qui permet à ceux-ci d’économiser.
Les bourses pour étudier au Royaume-Uni
Plusieurs étudiants de Côte d’Ivoire reçoivent des bourses importantes pour étudier au Royaume-Uni. C'est un sujet important à discuter entre étudiants. Les conseillers Seed se tiennent informés de toute opportunité de bourses pour les étudiants ivoiriens qui vont à l'université au Royaume-Uni.
Les opportunités de travail au Royaume-Uni
Même si les étudiants ivoiriens qui étudient au Royaume-Uni ont des chances de trouver un emploi, ils doivent se rappeler de respecter certaines conditions. Ce n'est qu'une fois qu’ils ont achevé leur premier semestre, lorsqu'ils ont le statut de F-1 ou M-1, qu'ils peuvent travailler en dehors des limites de l'université.
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Nigeria - USA: Will Biden's Win Reset Relations with Abuja?
Nigéria - États-Unis: la victoire de Biden réinitialisera-t-elle les relations avec Abuja?
Par Ruth Olurounbi, à Lagos
Publié le lundi 9 novembre 2020 20:32, mis à jour le mardi 10 novembre 2020 06:48
buhari usa
Le président nigérian Muhammadu Buhari prend la parole lors d'une conférence de presse dans la roseraie de la Maison Blanche à Washington, le lundi 30 avril 2018 (Crédit: AP Photo / Carolyn Kaster)
Dans ce qui a semblé être une éternité alors que l'élection présidentielle américaine de 2020 s'est prolongée en jours de comptage, pour les Nigérians, ce fut un grand soupir de soulagement quand il a été annoncé que Joseph Robinette Biden Jr. serait le 46e président des États-Unis.
Les dirigeants africains n'ont pas tardé à accueillir le nouveau président américain pour sa victoire électorale, qui a exprimé l'espoir que la victoire de Biden stimulerait le commerce, ainsi que d'autres relations entre le continent et les États-Unis.
Le président nigérian Muhammadu Buhari a félicité Biden «pour son élection à un moment d'incertitude et de peur dans les affaires mondiales» dans un tweet.
«Le bilan remarquable du président élu Biden nous donne l’espoir qu’il ajoutera de la valeur à la présidence et aux affaires mondiales. Nous espérons une plus grande coopération entre le Nigéria et les États-Unis, en particulier aux niveaux économique, diplomatique, politique et sécuritaire », a ajouté Buhari.
Tristement célèbre, la première réunion de Trump avec «Muhammadu Buhari, âgé de 75 ans, nigérian, en avril, s'est terminée par le fait que le président américain a déclaré à ses collaborateurs qu'il ne voulait plus jamais rencontrer quelqu'un d'aussi sans vie, selon trois personnes proches du dossier», a rapporté le Financial Times en 2018.
D'autres dirigeants, dont le président sud-africain Cyril Ramaphosa, ont également écrit dans un tweet de félicitations déclarant: «Nous félicitons le président élu Joe Biden et le vice-président Kamala Harris et le peuple américain pour votre élection. Nous sommes impatients de travailler avec vous et d'approfondir nos liens d'amitié et de coopération. »
L’administration entrante est une «réinitialisation crédible» et apporte avec elle «les perspectives d’une politique plus prévisible à l’égard du Nigéria et de l’Afrique en général»…
Pour de nombreux dirigeants africains, une présidence Biden pourrait apporter des relations bilatérales améliorées et encore plus fortes avec le continent, ce que les analystes disent que le président sortant Trump avait ignoré pendant la majeure partie de son règne de quatre ans. Mais que peut attendre le Nigéria du président Biden?
«Rétablir les liens de coopération»
Pour Femi Soneye, un consultant en sécurité aux États-Unis le voit, l'administration Biden pourrait rétablir les liens de coopération entre le continent et les États-Unis, ce que l'administration Obama a favorisé pendant ses huit ans de présidence. Il voit l'administration Biden comme recentrant sa politique en Afrique et réparant les relations «détériorées sous l'administration Trump».
Selon lui, l'administration entrante est une «réinitialisation crédible» et apporte avec elle «les perspectives d'une politique plus prévisible à l'égard du Nigeria et de l'Afrique en général dans laquelle les nations seront à nouveau traitées comme des partenaires importants qu'elles sont et surtout respectés.
«Sous l'administration Trump, des dizaines de milliards de dollars pour la nourriture, l'eau, l'éducation, la santé, la sécurité et d'autres besoins de développement étaient en jeu. L'administration Trump était connue pour avoir utilisé les réductions de l'aide comme un bâton de politique étrangère, mais avec la présidence de Biden, le Nigéria et l'Afrique, en général, n'ont pas à s'inquiéter à nouveau de la réduction annuelle des budgets de l'USAID », déclare Soneye à The Africa Report.
«Une présidence Biden pourrait voir une approche plus ciblée du commerce international au lieu de l'approche plus générale de Trump», ajoute Soneye.
Biden est considéré comme un unificateur qui veut construire des alliances, en particulier en ce qui concerne l'Afrique et le Nigéria, «la nation noire la plus peuplée et la plus grande économie du continent», dit-il.
D'un autre côté, s'il est tentant de penser que la présidence de Biden extrapolera simplement à partir de l'administration Obama, les analystes de SMB Intelligence estiment: «Ce qui est plus probable, c'est que Biden poursuivra la politique de Trump de 'Making America Great Again', en un respect clé: le commerce. »
Dans son rapport, que peut attendre le Nigeria du président Biden? Les analystes disent qu'ils voient Biden comme favorisant sans équivoque une délocalisation des emplois américains qui redonne du pouvoir aux travailleurs américains. "Biden fera plus que ramener les emplois perdus en raison du COVID-19 et de l'incompétence de Trump, il créera des millions de nouveaux emplois dans la fabrication et l'innovation dans toute l'Amérique."
Cela a des implications pour l’achat de pétrole nigérian par les États-Unis, qui est également en baisse en raison de l’attention croissante accordée à la production nationale d’énergie aux États-Unis, ont déclaré les analystes. En août dernier, les États-Unis ont annoncé avoir réduit leurs importations de pétrole brut nigérian à 9,37 millions de barils au cours des cinq premiers mois de cette année, soit 11,67 millions de barils de moins que ce qu'ils avaient acheté à la même période de 2019.
«Le volume mensuel le plus élevé de brut nigérian acheté par le pays nord-américain jusqu'à présent cette année était de 2,12 millions de barils, contre 11,78 millions de barils en 2019. Ses achats ont chuté de 63,03% au premier trimestre 2020 à 5,53 millions de barils, comparé au dernier trimestre de 2019 où il a acheté 15,07 millions de barils au Nigéria. C'est un état des choses qui ne changera probablement pas », a déclaré SBM dans le rapport.
Annuler l'interdiction d'immigration de Trump
Bien que les recettes pétrolières américaines du Nigéria continuent de diminuer, les immigrants nigérians dans ce pays d'Amérique du Nord espèrent qu'une présidence Biden améliorera leurs chances de travailler et d'y vivre; tandis que ceux qui ont l'intention d'émigrer sont impatients de voir une révision de l'interdiction de voyager de Trump qui pourrait améliorer leurs chances d'améliorer leur vie.
LIRE LA SUITE Nigeria: Si vous pensiez que 2020 était mauvaise, préparez-vous pour 2021
«En tant que groupe d'immigrants très informés et bien éduqués, de nombreux Nigérians d'Amérique pensent que leurs chances de travailler et de vivre en Amérique sont favorisées par des politiques libérales qui favorisent l'égalité plutôt que le racisme; tout en donnant des chances égales de travail et d'opportunités pour réaliser leurs rêves de migrants », déclare Olusola Amusan, basée à Dallas, évangéliste en intelligence artificielle chez Coven Works Inc.
Le nationalisme populiste `` Amérique d'abord '' de Donald Trump a conduit à un décret interdisant les immigrants de huit pays (Tchad, Iran, Libye, Corée du Nord, Somalie, Syrie, Venezuela et Yémen) - dont six à majorité musulmane - quelques jours à peine après avoir pris ses fonctions .
En janvier de cette année, le Nigéria, l'Érythrée, le Kirghizistan, le Myanmar, le Soudan et la Tanzanie ont été ajoutés à la liste, pour des raisons de sécurité. Les autorités nigérianes ont déclaré que l'inclusion du Nigéria les avait surpris.
LIRE LA SUITE: L'interdiction des visas l'emporte sur les relations entre le Nigeria et les États-Unis
Avec trois Nigérians-Américains ayant remporté des postes électifs dans le cycle électoral de 2020 et augmentant les rangs des Nigérians-Américains ayant une influence politique, les Nigérians chez eux ont bon espoir qu'une fois qu'il prendra ses fonctions, le président Joe Biden annulera cette interdiction, comme il l'avait promis. une partie de ses promesses de campagne.
Relations diplomatiques entre Washington et Abuja
Les relations diplomatiques des États-Unis avec Abuja ont été controversées ces dernières années, aboutissant au blocage de la candidature de l’ancien ministre nigérian des Finances Ngozi Okonjo-Iweala pour le poste le plus élevé à l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
LIRE LA SUITE Les États-Unis retardent la nomination de Ngozi Okonjo-Iweala au poste de Directeur général de l'OMC
Les États-Unis ont également été considérés comme jouant un rôle majeur dans le retard de la réélection d'Akinwumi Adesina à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), à la suite d'allégations de corruption, il a été blanchi par une commission d'enquête.
LIRE LA SUITE BAD: La «vraie» géopolitique de l'affaire Adesina
Cependant, un gouvernement dirigé par Biden est «susceptible d'être plus réceptif non seulement à l'immigration en provenance du Nigéria, mais respecterait également l'histoire diplomatique des deux nations», affirment les analystes de SMB.
La vigilance des droits de l'homme
De plus, les analystes disent qu'ils s'attendent à ce qu'un gouvernement dirigé par Biden exercera probablement plus de pression sur le gouvernement nigérian en ce qui concerne les problèmes de violation des droits de l'homme, en particulier dans la foulée des dernières manifestations #EndSARS qui ont attiré l'attention du président élu. Joseph Biden, ainsi que l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton, qui ont tous deux publié des déclarations soutenant les manifestants.
LIRE LA SUITE Cher gouvernement nigérian, vous devez gagner le respect et non le forcer
À ce moment-là, Biden avait demandé à Buhari de: «Cesser la violente répression contre les manifestants au Nigéria, qui a déjà fait plusieurs morts», ce à quoi le président Buhari a répondu: «À nos voisins en particulier, et aux membres de la communauté internationale, beaucoup d’entre eux ont exprimé leur inquiétude concernant le développement en cours au Nigéria, nous vous remercions et vous exhortons tous à chercher à connaître tous les faits disponibles avant de prendre position ou de se précipiter pour juger et de faire des déclarations hâtives.
LIRE LA SUITE Lagos brûle après que l'armée a été accusée de «massacre de Lekki»
À la suite de la déclaration de Biden selon laquelle "les États-Unis doivent se tenir aux côtés des Nigérians qui manifestent pacifiquement pour la réforme de la police et cherchent à mettre fin à la corruption dans leur démocratie", les Nigérians espèrent voir une réduction des violations des droits de l'homme dans le monde, y compris au Nigéria.
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Les Différents Types de Visa Travail Canada pour les Africains
L'immigration au Canada est un rêve pour de nombreux Africains désireux de construire un avenir meilleur pour eux-mêmes et leur famille. Le Canada offre des opportunités de travail exceptionnelles grâce à ses programmes d'immigration flexibles et à son marché du travail dynamique. Cependant, obtenir un visa travail Canada nécessite de comprendre les différents types de permis de travail disponibles et de choisir celui qui correspond à votre situation.
1. Permis de Travail Temporaire (Work Permit)
Le permis de travail temporaire est l'un des visa les plus populaires pour ceux qui souhaitent travailler au Canada pour une période déterminée. Ce permis est délivré aux travailleurs étrangers qui possèdent une offre d'emploi valide d'un employeur canadien.
Critères d’éligibilité :
Vous devez disposer d'une offre d'emploi valide d'un employeur canadien.
Certains secteurs nécessitent une validation du Marché du Travail (LMIA).
Avantages :
Opportunités dans divers secteurs : Vous pouvez travailler dans divers domaines au Canada, de l'agriculture à l'informatique.
Renouvelable : Certains permis peuvent être prolongés en fonction de l'offre d'emploi.
2. Permis de Travail Ouvert (Open Work Permit)
Le permis de travail ouvert offre une flexibilité supplémentaire, car il vous permet de travailler pour n'importe quel employeur canadien, sans être lié à un employeur spécifique.
Critères d’éligibilité :
Conjoint(e) de citoyen canadien ou résident permanent.
Étudiants internationaux ayant terminé un programme d’études au Canada.
Avantages :
Grande flexibilité : Vous n'êtes pas lié à un employeur, ce qui vous permet de changer de travail facilement.
Opportunités dans diverses industries : Vous pouvez explorer diverses carrières en fonction des opportunités disponibles.
3. Permis de Travail Postdiplôme (Post-Graduation Work Permit)
Le permis de travail postdiplôme est destiné aux étudiants étrangers ayant terminé un programme d’études au Canada. Ce visa vous permet de travailler au Canada et d'acquérir de l'expérience professionnelle après l’obtention de votre diplôme.
Critères d’éligibilité :
Vous devez avoir terminé un programme d'études d'au moins huit mois dans une institution d'enseignement agréée.
Avantages :
Expérience professionnelle canadienne : Ce permis est une excellente opportunité pour les diplômés étrangers d'acquérir une expérience de travail canadienne.
Durée flexible : La durée de votre permis dépend de la durée de votre programme d'études.
4. Programme Express Entry
Le programme Express Entry est destiné aux travailleurs qualifiés qui souhaitent immigrer au Canada de manière permanente. Bien que ce ne soit pas un permis de travail, il permet d'obtenir un statut de résident permanent, avec la possibilité de travailler immédiatement.
Critères d’éligibilité :
Vous devez avoir une expérience de travail qualifié dans un domaine spécifique.
Le système de classement CRS détermine si vous êtes éligible.
Avantages :
Résidence permanente : Ce programme vous permet d’obtenir la résidence permanente et de travailler au Canada de manière illimitée.
Opportunités à long terme : Il ouvre la voie à de nombreuses possibilités professionnelles à long terme au Canada.
5. Programme des Travailleurs Temporaires (Temporary Foreign Worker Program - TFWP)
Le TFWP permet aux employeurs canadiens de recruter des travailleurs étrangers pour des emplois temporaires dans certains secteurs.
Critères d’éligibilité :
Vous devez avoir une offre d'emploi valide d’un employeur qui participe au programme.
L'employeur doit obtenir un LMIA pour valider l'offre d'emploi.
Avantages :
Secteurs spécifiques : Ce programme permet de combler les pénuries de main-d'œuvre dans des secteurs clés, tels que l’agriculture et la construction.
Conclusion
Le Canada offre de nombreuses possibilités pour les travailleurs étrangers, en particulier pour les Africains désireux d’immigrer. Que vous soyez un professionnel qualifié, un étudiant ou un conjoint de citoyen canadien, il existe un visa travail adapté à vos besoins. En comprenant les critères d’éligibilité et en choisissant le bon programme, vous pouvez maximiser vos chances de réussir votre immigration au Canada.
Prêt à commencer votre parcours d'immigration au Canada ? Découvrez comment le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique peut vous accompagner dans le préfinancement de votre visa travail. Contactez-nous maintenant pour plus d'informations et pour démarrer votre démarche.
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Mayotte : terre d’accueil ?
Devenue française, Mayotte est donc un territoire soumis à la politique migratoire française. Ici, les Comoriens ne peuvent donc plus accéder librement à ce territoire qui autrefois composait pourtant leur archipel. Le contrôle des voies de transit pétrolier dans le canal du Mozambique dépendrait de cette présence française à Mayotte et l’une des plus grandes bases d’écoute militaires tricolores est installée à Mayotte.
Cette question est centrale ici. Mayotte est française. Il y a donc d’un côté les Mahorais, français de surcroît, et les Comoriens de l’archipel des Comores. Elle rassemble trois îles : Anjouan, Mohéli et la Grande Comores. Ces trois îles tout comme Mayotte ont été soumis en 1974 à un référendum dont l’issue s’est soldé par l’indépendance des Comores. Depuis 1995 les Comoriens doivent donc disposer d’un visa pour entrer à Mayotte.
Les Comores sont aujourd’hui le 21ème pays le plus pauvre au monde. L'Union des Comores vit partiellement des envois d'argent de sa diaspora, qui constituent 25% du PIB : plus de Comoriens vivent sur le territoire français que sur le territoire comorien, notamment à Mayotte, la Réunion et Marseille.
La grande pauvreté, l’absence de développement et de perspectives d’avenir ont pour impact la migration massive des Comoriens vers Mayotte.
Il faut préciser que les Comores se situent approximativement à 70 km de Mayotte. La police aux frontières, très présente à Mayotte, renvoie quotidiennement des Comoriens vers les Comores. La proximité de l’archipel fait que ces mêmes Comoriens reviennent quelques jours après.
Ce va-et-vient est continuel mais il n’est pas sans danger. Chaque année des dizaines de personnes trouvent la mort dans la mer séparant Mayotte des Comores. Les Kwassas Kwassas, bateaux de fortunes transportant les candidats au départ, n’arrivent malheureusement pas toujours à destination.
Du regard que je porte sur la situation les choses vont mal et semblent sans issue.
En effet, l’immigration, légitime à mon sens, entraîne un flux continuel et finalement assez massif de personnes pour qui rien n’est fait sur le territoire.
Massif pas réellement par le nombre de personnes qu’elle représente mais plutôt au vu de la taille de l’île et de la concentration de personnes qu’elle entraîne.
Les Mahorais se plaignent ici de l’insécurité, de la délinquance. Ils reportent majoritairement la faute sur les Comoriens, qui seraient responsables de bien des maux sur l’île.
La préfecture de Mamoudzou, chef lieu de l’île, est totalement saturée. Les demandes de titre de séjour des Comoriens s’accumulent au même titre que les demandes d’asiles d’une population Africaines, plutôt récente sur l’île. Des ressortissants de Madagascar, de la République Démocratique du Congo, du Sénégal, du Rwanda, de l’Ouganda, de Somalie ou encore de Syrie. Le parcours migratoire de ces personnes relève du surréalisme. Les récits de ces parcours forcent le respect et pourtant..
Arrivés à Mayotte après tant d’épreuves qui ont bien souvent coûté la vie à des dizaines d’entre eux, ils sont confrontés à l’indifférence, le mépris, mais surtout le racisme.
Dans mon travail où je rencontre souvent des propriétaires louant leur appartement, je me confronte régulièrement à la xénophobie. Les propriétaires me demandent quasi systématiquement la nationalité des personnes que je souhaite reloger.
Je me souviens de l’un d’entre eux qui m’a particulièrement marqué.
Nous nous sommes rendus avec M. T et et sa compagne dans la ville de Tsoundzou II ou j’avais repéré un appartement. Lorsque le propriétaire nous a vu, il ne m’a salué qu’à moi, la Mzougou, alors que la visite était destinée au couple que j’accompagnais.
Lors de la visite alors que le couple était dans une pièce à côté, le propriétaire m’a pris à parti pour me demander la nationalité du couple.
Je lui ai répondu que s’il souhaitait savoir s’ils étaient régularisés je pouvais lui assurer mais je ne voyais pas en quoi la nationalité des personnes avait une importance dans leur démarche de location. Il m’a répondu qu’il demandait juste comme ça. Malgré tout, quelques minutes après il s’est senti obligé de poser la question à Mr. T. Ce dernier lui à dit être Rwandais. Le propriétaire en voyant mon regard sceptique s’est justifié « vous savez j’ai des amis Rwandais ».
Ce même type de propriétaire qui par la suite ne donne plus aucune nouvelles, ou vous explique que finalement l’appartement n’est plus à louer alors qu’il continue à reposter les annonces.
J’aimerai vous dire que cette situation est un cas isolé. C’est pourtant ici la norme.
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