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Plagiat.
Certain-es ont certainement vu passer le message posté concernant le plagiat donc j'ai été accusé sous ce compte pour les avatars de jeffrey dean morgan faits sur mon tumblr @boite-a-idees. Les avatars seront supprimés sous peu. Comme je n'ai rien à cacher, je vais c/c ma réponse à reyes. Et parce que je ne suis pas du genre à prendre les gens pour des cons et à être irrespectueuse. ----- Salut. Je rentre de chez moi après une bonne journée de merde et je vois que tu m'affiches sur tumblr. Alors en tout franchement, je suis navrée. Tout ce que je pourrais dire ne sera clairement pas suffisant pour apaiser ta colère et ton impression de plagiat et je n'ai vraiment pas la force psychologique pour ça. Tu vois ça comme du plagiat ? Ma foi, je vais supprimer mes avatars si ça peut te soulager. Mais, en toute franchise, je ne me crois même pas être abonnée à ton tumblr ou avoir vu tes avatars concernés par le passé. C'est possible, j'en sais rien. Donc ben écoute, navrée. Vraiment, j'ai pas la force psychologique pour me battre. J'vais aller gérer la crise d'angoisse que ça vient de me procurer et supprimer les avatars, poster un méa culpa si tu veux. Saches que je suis tout sauf une mauvaise personne ou une tricheuse ou quoi que ce soit. Je n'aime absolument pas tirer la couverture sur moi. Je n'ai absolument pas confiance en ce que je fais. Et le plagiat, c'est vraiment pas un truc que j'aime et que je tolère de base. Donc tout mes excuses pour ce que ça a pu engendrer chez toi. -----
Alors navrée, pour ce que ça a provoqué chez disaste(r)eyes @badandbreakfast-designs ... je ne sais pas, ou plus, si j'ai un jour vu les avatars concernés. C'est possible. En toute franchise je n'en sais rien. Je pense être cependant une personne suffisamment honnête et cool pour qu'on vienne me voir en mp m'afficher comme ça. La colère est certainement légitime, car toutes les émotions le sont. Mais il y a l'art et la manière de faire et dire les choses. Donc encore une fois, toutes mes excuses si c'est passé pour du plagiat. Ce n'était ni le cas, ni ma volonté. Mais croiront ce qui le veulent, ou pas. Sincèrement ... chacun est juge. Je pense cependant avoir assez d'imagination pour ne pas avoir à pomper sur les autres et ceux qui me connaissent savent que je n'aurais JAMAIS pu pomper et l'afficher fièrement en me disant "dans l'doute ça peut passer". C'est vraiment pas mon genre. Donc, encore une fois, je réitère mes excuses. Lilie.
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 3 : Bienvenue sur la route
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
La pièce était enveloppée d'une atmosphère chargée d'anticipation. Les murs, couverts de livres anciens et de symboles mystiques, semblaient vibrer au rythme des pensées d'Ivana. Elle faisait les cent pas, ses pieds glissant légèrement sur le sol en bois poli, tandis qu'Agatha l'observait avec un mélange de bienveillance et d'amusement.
« Ivana, arrête de marcher comme ça, » lança Agatha en s'approchant. « On dirait un enfant de quatre ans qui attend Noël. »
Ivana s'arrêta brusquement, levant les yeux vers Agatha. Son visage trahissait une lutte entre l'anxiété et l'envie de rire. Elle haussait les épaules, un geste à la fois de désespoir et de résignation.
« Je sais, mais c'est quand même stressant comme situation. On attend toutes les autres sorcières, et si quelque chose ne se passe pas comme prévu ? »
Agatha s'approcha un peu plus, une lueur de compréhension dans ses yeux. « Écoute, » répondit Agatha avec fermeté, « chaque sorcière ici a ses propres raisons de vouloir faire partie du coven ne t'en fais pas elle vont venir . »
Ivana hocha lentement la tête, commençant à se détendre sous le regard apaisant de son amie. « D'accord, d'accord.»
La pièce était éclairée par la lumière dorée du soleil couchant qui filtrait à travers les rideaux légers, projetant des motifs délicats sur le sol en bois. Agatha, avec ses cheveux châtains tombant en boucles autour de son visage, se tenait là, les bras croisés, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle observait Ivana, qui était assise sur le canapé, ses jambes croisées, trahissant son agitation.
« De toute façon, tu as toujours été impatiente, » lança Agatha, son ton léger, presque taquin.
Ivana lâcha un rire nerveux, une note d'irritation dans sa voix. Elle leva les yeux vers Agatha, ses pupilles sombres reflétant une lueur de défi.
« Comme si tu avais été présente dans ma vie pour le savoir, » rétorqua-t-elle, un sourire amer se dessinant sur ses lèvres.
Agatha, toujours confiante, haussait les épaules, ses yeux pétillants d'une malice familière. « Oui, j'ai été présente durant une partie de ta vie, » affirma-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Ivana, se redressant légèrement, plissa les lèvres, une ombre de tristesse traversant son visage. « Tu ne peux pas juger, vu que tu n'es pas restée longtemps dans ma vie, » dit-elle, sa voix tremblant légèrement.
Agatha, ne se laissant pas abattre, répliqua avec un éclat de rire. « C'est parceque ta très cher mère m'a jeté un sort. »
Ivana, les poings serrés, sentit une vague de frustration l'envahir. « Ça n'a rien à voir ! Wanda t'a jeté le sort de rester la voisine gentille mais envahissante, donc tu aurait très bien pu continuer à prendre des nouvelles de moi. »
Un silence pesant s'installa alors, rempli de non-dits. Ivana, bien qu'elle ne le formulât pas, se sentait abandonnée par Agatha. La douleur de la solitude s'insinuait en elle, lui rappelant que, malgré les rires et les souvenirs partagés, une distance invisible s'était creusée entre elles. Les souvenirs d'anciens éclats de rire résonnaient dans sa tête, mais la réalité de leur situation actuelle lui pesait lourdement sur le cœur.
Agatha ouvrit la bouche pour répondre à l'accusation d'Ivana, mais avant qu'elle puisse articuler une réponse, la porte du salon s'ouvrit avec fracas. Un groupe de sorcières entra, apportant avec elles une vague d'énergie et d'excitation. La pièce, déjà baignée de lumière dorée, sembla s’illuminer davantage à leur arrivée.
« Désolées pour le retard ! » s'exclama Jen, sa voix résonnant joyeusement dans l’espace.
« On a failli être en retard à la réunion, » ajouta Alice, une sorcière à la chevelure noire comme l'ébène, qui s'avança avec assurance. « Mais nous sommes là maintenant, et c’est tout ce qui compte ! »
Ivana, voyant Lucillia entrer dans le groupe, ne put s'empêcher de sourire. La jeune sorcière, bien plus jeune qu'Agatha et les autres, avait un air pétillant et une énergie contagieuse. Elle se tenait un peu en retrait, mais son regard brillant trahissait son enthousiasme.
☆○o。 。o○☆
Le coven passa le portail scintillant, un frisson d'excitation parcourant l'air. Ils se retrouvèrent soudain dans une forêt enchantée, baignée de lumière dorée. Les arbres, aux troncs tordus et aux feuilles multicolores, semblaient chuchoter des secrets anciens. Des fleurs luminescentes parsemaient le sol, illuminant le chemin de couleurs vives, et des petites créatures aux plumages éclatants voletaient entre les branches, ajoutant à l'atmosphère féerique.
« Regardez cette beauté ! » s'exclama Alice, ses yeux pétillants d'émerveillement alors qu'elle levait les bras comme pour embrasser la magie qui les entourait.
« Oui sublime. Aller nous devons commencer à marcher. »Dit alors Agatha
À ces mots, le groupe se mit en mouvement, leurs pas résonnant doucement sur le tapis de feuilles croustillantes. Lucillia et Ivana se retrouvèrent en tête, avançant avec curiosité sur le chemin sinueux qui s'étendait devant elles. Le doux parfum des fleurs et le chant des oiseaux créaient une mélodie apaisante. Alors qu'elles avançaient, Lucillia aperçut un détail fascinant.
« Attends, Ivana, » dit-elle, fascinée, en désignant le cou d'Ivana. « Ton tatouage, cette petite colombe, elle est super belle ! »
Ivana se tourna, un sourire timide illuminant son visage, ses yeux brillants de fierté. « Merci, Lucillia. C'est un symbole de purté pour moi. J'aime l'idée qu'elle me rappelle de rester honnête même dans les moments difficiles et de ne pas faire les même erreur que ma mère »
À quelques pas derrière, Agatha et Lilia observaient la scène avec une expression moins enthousiaste. Agatha plissa les yeux, un frisson d'inquiétude traversant son esprit.
« Je n'aime pas ça, » murmura-t-elle à Lilia, sa voix teintée de méfiance. « Elles semblent trop proches, comme si elles oubliaient pourquoi nous sommes ici dit à ta protégé de ne pas s'approcher d'Ivana. »
Lilia hocha la tête, ses pensées s'égarant dans les implications de cette nouvelle amitié. « Ma protégé ? Non mais je rêve. Retiens toi Agatha tu vas finir verte comme la sorcière de l'ouest. » répondit-elle, scrutant les alentours, comme si elle pouvait sentir une présence invisible.
Lilia se tenait légèrement en retrait, observant la dynamique qui se tissait entre Ivana et Lucillia. Bien qu'elle n'ait pas verbalement exprimé son accord avec les inquiétudes d'Agatha, une partie d'elle-même ressentait la même chose. Une tension subtile flottait dans l'air, comme si la forêt elle-même retenait son souffle, attentive à leurs émotions.
Lucillia, avec son sourire radieux et son énergie contagieuse, semblait incarner une lumière qui attirait Lilia. Chaque éclat de rire et chaque geste gracieux de Lucillia éveillaient en elle une curiosité et un désir d'approfondir leur lien. Lilia se sentait attirée par cette connexion inexplicable, comme si elles partageaient un secret que seules elles pouvaient comprendre.
Lilia, ne pouvait s'empêcher de ressentir une affinité grandissante pour Lucillia, une complice potentielle dans cette aventure magique.
Les couleurs vibrantes de la forêt semblaient refléter son dilemme intérieur. Les feuilles scintillantes dansaient au gré d'une brise légère, et les fleurs luminescentes éclairaient le chemin, tout en symbolisant la beauté et la fragilité des relations. Lilia se demandait si elle pourrait vraiment se permettre de laisser cette connexion avec Lucillia s'évanouir.
Elle se tourna vers Lucillia, qui était en train de ramasser une fleur éclatante, ses yeux brillants d'enthousiasme. Lilia sentit son cœur se serrer à l'idée de perdre cette opportunité. Elle voulait s'ouvrir à cette nouvelle amitié, mais les choses étaient compliqué.
Dans ce moment suspendu, Lilia prit une profonde inspiration, se promettant de trouver un moyen d'équilibrer ses sentiments. Elle se rendit compte que, même si elle n'avait pas encore trouvé les mots pour exprimer son accord avec Agatha, elle ne pouvait ignorer la magie qui se tissait avec Lucillia. La forêt, avec ses mystères et ses merveilles, devenait le témoin silencieux de ce combat intérieur, une toile de fond pour un choix qui pourrait changer le cours de leur aventure.
Agatha se tenait à l'écart, ses yeux rivés sur Ivana, qui riait avec Lucillia au loin. Une vague de mécontentement l'envahit, et elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Leurs rires résonnaient dans l'air, mais pour Agatha, chaque éclat de joie de Lucillia était comme une flèche, transperçant le lien fragile qu'elle partageait avec Ivana.
Elle se remémora son enfance, lorsque le monde semblait plus simple. À l'époque où elle était encore 'Agnes', Agatha avait passé d'innombrables heures avec Ivana, tissant des souvenirs indélébiles.
Maintenant, en voyant Ivana s'épanouir en tant qu'adulte, Agatha ressentait une lutte intérieure. D'un côté, elle voulait voir Ivana heureuse, mais de l'autre, l'idée que quelqu'un d'autre puisse se rapprocher d'elle la dérangeait profondément. C'était comme si Lucillia menaçait de lui voler une part de ce qu'elle considéré comme précieux.
Agatha se questionnait sur ses véritables sentiments. Était-ce une simple possessivité, un écho de son attachement d'antan, ou bien une envie plus profonde de garder Ivana pour elle seule ? Cette ambivalence la tourmentait, et elle se sentait tiraillée entre le désir de protéger leur amitié et la peur de perdre Ivana au profit de Lucillia.
Elle observa chaque geste de Lucillia, chaque sourire échangé, et un sentiment d'inquiétude grandissait en elle. Agatha se demandait si elle pouvait vraiment faire confiance à cette nouvelle présence dans la vie d'Ivana. La forêt, témoin silencieux de cette lutte émotionnelle, semblait vibrer autour d'elle, accentuant la tension qui régnait dans son cœur.
☆○o。 。o○☆
La forêt n'était pas vide, loin de là. Une ambiance mystérieuse flottait dans l'air, presque palpable. À l'autre bout de la forêt, un homme se tenait là, silhouette énigmatique au milieu des arbres imposants. Il était vêtu de cuir, une tenue qui épousait parfaitement son corps, lui donnant un air à la fois dangereux et séduisant.
Son manteau noir, long et usé, flottait légèrement autour de lui, comme s'il était en harmonie avec le souffle du vent. Les coutures étaient délicates, ornées de motifs subtils qui semblaient raconter une histoire ancienne. Sous ce manteau, il portait une chemise sombre, et ses pantalons en cuir étaient ajustés, accentuant sa stature imposante.
Son visage était partiellement caché par une ombre, mais ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse, presque hypnotique. Il avait des cheveux sombres, légèrement ondulés, qui tombaient sur son front, ajoutant à son allure mystérieuse. La forêt, avec ses bruits de feuilles et ses murmures de créatures, semblait se taire en sa présence, comme si même la nature reconnaissait la puissance qui émanait de lui.
L'homme mystérieux se tenait au milieu de la forêt dense, entouré de grands arbres aux troncs noueux, leurs feuilles bruissant doucement sous le souffle du vent. Soudain, il sentit une présence, une énergie sombre et familière qui envahissait l'air. Les sorcières approchaient, et leur aura maléfique perturbait l'harmonie de la nature autour de lui.
Il ferma les yeux, cherchant à se concentrer, imaginant un accueil horrible à leur donner, une confrontation qui pourrait faire trembler même les plus courageux. Dans son esprit, il voyait des ombres se mouvoir, des rires sinistres résonner dans la nuit.
Tout à coup, il ressentit une chaleur intense dans sa main. Sa dague, toujours à ses côtés, commença à s'illuminer d'une lueur éclatante, projetant des reflets argentés sur son visage marqué par l'angoisse. Le métal scintillait comme s'il était animé d'une vie propre, réagissant à la menace qui approchait.
"Non, c'est impossible..." murmura-t-il, sa voix tremblante trahissant son choc. Il ouvrit les yeux, fixant la dague avec une intensité renouvelée, réalisant que cet éclat n'était pas simplement un phénomène. Cela signifiait quelque chose, une connexion avec les sorcières, un appel à l'action.
Il se redressa, le cœur battant, prêt à affronter ce qui allait venir. L'atmosphère était chargée de tension, et il savait que le moment de la confrontation était proche. Les sorcières, avec leurs rituels et leurs pouvoirs, n'étaient pas là pour négocier. Il devait se préparer à défendre son domaine, à utiliser la force de la dague illuminée pour contrer leur magie.
☆○o。 。o○☆
Le coven avançait prudemment sur le chemin qui leur avait été indiqué, l’atmosphère chargée d’une tension palpable. Les arbres, sombres et tordus, semblaient chuchoter des secrets alors qu’elles progressaient, sans vraiment savoir où cette route les mènerait. Soudain, au loin, une silhouette se dessina : une maison isolée, ses fenêtres sombres comme des yeux vides.
« Il faudrait qu’on entre pour voir ce qui se passe, » proposa Alice, sa voix brisant le silence pesant. Elle se tourna vers ses compagnes, déterminée mais visiblement nerveuse.
Lucillia, les sourcils froncés, n’était pas rassurée par l’idée. « Et si c’est un piège ? » murmura-t-elle, ses yeux scrutant les ombres autour d’elles.
Mais alors, elle croisa le regard de Lilia, qui lui offrit un sourire apaisant. Ce simple échange lui redonna un peu de courage.Ivana, un peu en retrait, observa Agatha. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans cette connexion silencieuse, une compréhension mutuelle s’établit. Agatha, avec un soupçon de bravoure, s’avança vers la porte. Elle prit une profonde inspiration, puis, avec une main ferme, elle saisit la poignée et l’ouvrit lentement. Le grincement de la porte résonna dans l’air frais du crépuscule, ajoutant une note de mystère à leur aventure.
Lorsque les femmes franchirent le seuil de la maison, une atmosphère étrange et fascinante les enveloppa. L’air semblait vibrer autour d’elles, chargé d’une énergie mystérieuse. À peine avaient-elles posé le pied à l’intérieur qu’un éclair de lumière éblouissant jaillit, les enveloppant dans un halo scintillant.
En un instant, leurs vêtements de tous les jours se transformèrent. Les robes colorées et les jupes légères se métamorphosèrent en armures brillantes, ajustées et ornées de motifs guerriers. Les cuirs et les métaux scintillaient sous la lumière, et chaque femme se retrouva vêtue d’une tenue qui évoquait la force et la bravoure.
Ivana :
Lucillia :
Le regard d'Agatha se posa immédiatement sur Ivana, captivé par sa présence. La pièce était baignée d'une lumière dorée, et chaque rayon semblait mettre en valeur la beauté d'Ivana. Son visage, délicatement sculpté, affichait un sourire qui illuminait son regard.
Ses cheveux, longs et ondulés, tombaient en cascade sur ses épaules, capturant la lumière et créant un halo autour d'elle. À chaque mouvement, ils semblaient danser, attirant encore plus l'attention d'Agatha.
À cette vue, un sourire involontaire se dessina sur les lèvres d'Agatha. Elle ressentit une montée d'admiration, une chaleur douce qui s'empara de son cœur. Ivana était non seulement belle, mais elle dégageait une sensualité naturelle, une confiance en soi qui la rendait encore plus séduisante. Cependant, cette pensée fit frémir Agatha. Elle secoua la tête, comme pour chasser cette idée de son esprit, consciente que ces sentiments pourraient compliquer leur liens. Son esprit était en émoi, tiraillé entre admiration et la crainte de franchir une ligne qu'elle ne voulait pas dépasser.
Lilia se tenait là, absorbée par la silhouette de Lucillia. Sa tenue de guerrière, faite de cuir et de métal, épousait parfaitement ses formes, accentuant sa beauté naturelle. Les détails de son armure, avec ses ornements délicats et ses inscriptions anciennes, racontaient une histoire de bravoure et de force. Chaque pièce semblait conçue non seulement pour la protéger, mais aussi pour mettre en valeur sa grâce.
Les épaules de Lucillia étaient recouvertes d'épaulières finement travaillées, qui brillaient sous la lumière ambiante, tandis que sa ceinture, ornée de runes mystérieuses, marquait sa taille avec élégance. Lilia ne pouvait s'empêcher de remarquer la façon dont les cheveux de Lucillia, tressés avec soin, tombaient en cascade sur son dos, ajoutant une touche de féminité à sa présence guerrière.
Alors qu'elle observait chaque détail, Lilia ressentit une montée d'émotions qu'elle n'avait pas anticipée. Son cœur battait plus vite et son esprit commença à vagabonder vers des pensées plus intimes, des scénarios qui la faisaient rougir. Elle se reprit rapidement, consciente du chemin que prenaient ses pensées.
Pour détourner son attention, Lilia s'éclaircit la voix et, avec une légèreté feinte, demanda :
"On doit s'attendre �� quoi ?" Cette question, bien qu'anodine, était une tentative de ramener la conversation sur un terrain plus sûr, tout en cachant le tumulte qui régnait dans son esprit.
Alice se tenait au milieu du groupe, ses yeux scrutant les visages des autres, son esprit en proie à l'incertitude. Elle prit une profonde inspiration avant de s'adresser à ses amis.
"Je ne sais pas du tout," avoua-t-elle, sa voix trahissant une légère tremblement.
Elle se sentait perdue, comme si les réponses qu'elle cherchait se cachaient dans l'ombre des arbres qui les entouraient.Jen, qui se tenait à côté d'elle, tourna la tête vers Agatha, une lueur d'espoir dans ses yeux.
"Tu devrais savoir, Agatha," dit-elle avec une certaine impatience. "Tu as déjà fait la route, non ?"
Agatha, les bras croisés, baissa légèrement le regard, semblant peser ses mots.
"Oui, mais la route change en fonction du Coven," expliqua-t-elle, la voix empreinte de sérieux. "Je ne peux pas vraiment dire ce qui va se passer. Chaque fois, c'est différent."
Les autres échangèrent des regards inquiets, l'atmosphère devenant de plus en plus tendue. Alice sentit son cœur s'accélérer, l'angoisse s'installant dans son estomac.
"Et si on se perdait ?" demanda-t-elle, la peur transparaissant dans sa voix.
Jen hocha la tête, cherchant à apaiser l'atmosphère. "On va trouver notre chemin, ensemble," ajouta-t-elle avec un sourire encourageant, même si elle-même n'était pas si sûre.
Lucillia avançait lentement vers les étagères poussiéreuses, ses doigts glissant sur les couvertures des livres anciens. L'air était chargé d'une odeur de vieux papier et de cuir, et chaque pas qu'elle faisait semblait résonner dans le silence oppressant de la maison. Elle se pencha pour examiner un tome relié en cuir, ses pages jaunies par le temps, espérant y trouver une solution pour échapper à cet endroit mystérieux.
Pendant ce temps, Ivana, attirée par un objet ancien qui brillait faiblement dans un coin de la pièce, s'approcha avec curiosité. Elle découvrit un couteau au manche délicatement sculpté, dont la lame semblait scintiller sous la lumière tamisée. Elle le prit en main, fascinée par sa beauté.
"Regardez ça," dit-elle en se tournant vers les autres femmes, un sourire émerveillé sur le visage.
Mais à cet instant précis, un grondement sourd résonna à travers les murs de la maison, et le sol commença à trembler sous leurs pieds. Alice, surprise, leva les yeux vers Ivana, l'inquiétude se lisant sur son visage.
"Qu'est-ce que tu as fait ?" demanda Alice sa voix trahissant une panique grandissante.
Ivana, un peu déconcertée, secoua la tête. "Rien, j'ai juste pris ça," répondit-elle, levant le couteau pour le montrer, comme si cela pouvait apaiser la situation.
Les murs semblaient vibrer, et des livres tombèrent des étagères, créant un bruit assourdissant.
"Tu es sûre que ça ne vient pas de ce couteau ?" s'exclama Lucillia, ses yeux écarquillés par la peur.
"Je ne sais pas ! Peut-être que c'est un symbole ou quelque chose comme ça," répondit Ivana, son enthousiasme initial se transformant en nervosité.
Alice, qui observait la scène, intervint. "Mettez-le de côté, Ivana ! Peut-être que c'est dangereux," suggéra-t-elle, sa voix ferme mais teintée d'inquiétude.
Alors que Lucillia, Ivana et Alice reprenaient leur souffle après le tremblement, une lumière éclatante illumina la pièce. Subitement, une femme apparut, ses yeux flamboyants et son visage marqué par une détermination féroce. Elle leva les bras, et une flamme jaillit de sa bouche, illuminant la pièce d'une lueur inquiétante.
"Rendez-moi ce couteau !" cria-t-elle, sa voix résonnant comme un écho dans l'obscurité.
Les sorcières, terrifiées, échangèrent des regards paniqués avant de se précipiter vers une porte au fond de la pièce.
"Vite ! Dans la chambre !" s'exclama Lucillia,
Le coven se précipitèrent à l'intérieur, fermant la porte derrière elles juste à temps pour entendre le souffle de feu frapper le bois.
"C'est ce couteau qu'elle veut !" s'écria Lilia, les yeux brillants d'une détermination nouvelle. "C'est avec ça qu'il faut la battre !"
Ivana, le cœur battant, se tourna vers ses amies. "Dans se cas j'y vais !" déclara-t-elle, sa voix pleine de courage.
Agatha, la plus sage du groupe, s'approcha d'Ivana, posant une main apaisante sur son épaule.
"Non, attends ! Ce n'est pas une simple bataille. Nous devons réfléchir," tenta-t-elle de la dissuader, son regard sérieux. "Cette femme est puissante. Nous devons trouver un moyen de la neutraliser sans la provoquer davantage tu n'a pas de pouvoir.."
Ivana sentit son cœur se gonfler à ces mots. Elle savait qu'Agatha tenait à elle, mais elle ne voulait pas l'admettre. Elle plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à déceler la profondeur de ses émotions. Les yeux d'Agatha brillaient d'une lueur protectrice, et Ivana ne pouvait s'empêcher de sourire, même si elle essayait de rester sérieuse.
"Attention, Agatha," commença Ivana, un ton taquin dans la voix. "Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu t'inquiètes pour moi." Elle lui fit un clin d'œil espiègle, un éclat de malice illuminant son visage.
vana poussa la porte avec détermination, les gonds grincèrent légèrement, brisant le silence pesant de la pièce. Devant elles se tenait une femme au visage marqué.
"On ne vous a jamais dit que ce n'était pas bon de fumer ?" lança Ivana, sa voix pleine de défi, tandis qu'elle scrutait la femme avec une intensité qui ne laissait pas de place au doute.
La femme, visiblement irritée par le commentaire, esquissa un sourire sinistre avant de cracher une gerbe de feu, une flamme vive qui jaillit de sa bouche comme un dragon en colère.
Ivana, réagissant rapidement, brandit un couteau au-dessus de sa tête, le métal brillant à la lumière vacillante. Un mur de protection avec la lame, un éclat d'acier qui semblait défier les flammes.
À côté d'elle, Lilia tira Lucillia vers elle, l’enveloppant dans un geste protecteur. Elle avait besoin de sentir sa présence, de la savoir à ses côtés face à cette menace.
"Reste près de moi, Lucillia," murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son anxiété.
Lucillia, bien que légèrement hésitante, hocha la tête, cherchant du réconfort dans la chaleur de Lilia.Agatha, en retrait, observait la scène avec une angoisse palpable. Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'elle voyait les flammes danser, et son cœur battait la chamade. Elle savait que la situation devenait de plus en plus dangereuse, et chaque instant comptait.
La tension était à son comble, et le combat entre le feu et le métal semblait figé dans le temps, chaque personnage jouant son rôle dans ce drame inattendu.
☆○o。 。o○☆
L'épreuve était enfin terminée, et les sorcières se rassemblaient autour d'un feu de camp crépitant, la lumière dansant sur leurs visages fatigués. Les ombres des arbres environnants semblaient s'étirer et se contorsionner, comme si elles écoutaient attentivement les murmures des sorcières. La chaleur du feu contrastait avec l'air frais de la nuit, apportant un certain réconfort après les épreuves qu'elles venaient de traverser.
Ivana, assise légèrement à l'écart, fixait les flammes avec une intensité troublante. Ses pensées étaient en désordre, un tourbillon d'émotions qu'elle ne parvenait pas à mettre en mots. Les événements récents la hantaient : l'épreuve dans le labyrinthe de flammes, les visions troublantes qu'elle avait rencontrées, et surtout, la réapparition d'Agatha. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Ces questions tourbillonnaient dans son esprit, la laissant perplexe et anxieuse.
Les autres sorcières discutaient à voix basse, partageant des histoires et des rires pour alléger l'atmosphère, mais Ivana se sentait déconnectée. Chaque rire semblait résonner comme un écho lointain, tandis qu'elle se débattait avec ses propres pensées. Elle se rappelait les moments passés avec Agatha, les secrets qu'elles avaient partagés, et la trahison qui avait suivi. La voir à nouveau, vivante et pleine de vie, était à la fois un soulagement et une source de confusion.
Dans son cœur, une question persistait : comment pouvait-elle faire confiance à Agatha après tout ce qui s'était passé ? La réponse lui échappait, et alors qu'elle regardait les étoiles scintiller dans le ciel, elle savait qu'elle devait trouver une solution, non seulement pour elle-même, mais aussi pour le groupe qui comptait sur elle.
Agatha s'approcha d'Ivana, ses pas légers sur le sol recouvert de feuilles mortes, le crépitement du feu de camp en arrière-plan. Elle observa le visage d'Ivana, marqué par l'inquiétude et la fatigue. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur son visage, accentuant l'air préoccupé qui l'entourait. Agatha sentit une boule d'inquiétude se former dans sa poitrine.
Elle s'accroupit près d'Ivana, se penchant légèrement pour lui chuchoter doucement à l'oreille :
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" Sa voix était douce, presque un murmure, comme si elle craignait de briser le fragile silence de la nuit.
Ivana tourna lentement la tête vers elle, ses yeux reflétant une lueur de gratitude mêlée à de la tristesse.
"Je suis juste fatiguée," répondit-elle, sa voix à peine audible, mais suffisamment claire pour qu'Agatha l'entende.
Elle lui offrit un fin sourire, un geste qui semblait cacher des montagnes d'émotions non exprimées.Agatha ne pouvait s'empêcher de ressentir une profonde empathie. Elle savait que la fatigue d'Ivana n'était pas seulement physique, mais aussi émotionnelle, le poids des événements récents pesant lourdement sur ses épaules.
"Je vais me coucher," dit Ivana en se dirigeant vers un coin plus tranquille, où elle pourrait réfléchir sans être dérangée.
Agatha la regarda s'éloigner, un mélange de préoccupation et de détermination dans son cœur. Elle savait que la nuit serait longue pour Ivana, mais elle espérait qu'avec le temps, elle trouverait la force de partager ses pensées.
Lucillia était assise près de Lilia, le crépitement du feu de camp illuminant leurs visages. Les flammes dansaient, projetant des ombres dansantes autour d'elles, créant une atmosphère chaleureuse malgré la fraîcheur de la nuit. Lucillia tourna la tête vers Lilia, ses yeux brillants de gratitude.
"Merci d'avoir veillé sur moi pendant l'épreuve," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'émotion.
Les mots flottaient dans l'air comme des étoiles, et Lilia sentit son cœur se réchauffer à cette reconnaissance.Lilia, touchée par les remerciements de Lucillia, se pencha légèrement en avant. Elle posa une main réconfortante sur le genou de Lucillia, un geste simple mais chargé de sens.
"C'est normal," répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je veillerai toujours sur toi."
Lucillia leva les yeux, un mélange d'incrédulité et de soulagement sur son visage. "Vraiment ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité qui la rendait encore plus touchante.
"Tu as ma parole," affirma Lilia, sa voix ferme et pleine de promesse.
Elle savait que leur amitié était un lien précieux, et elle était prête à tout pour protéger Lucillia. Le feu continuait de crépiter, mais pour elles, ce moment était tout aussi lumineux que les flammes qui les entouraient.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Pensée 9 23min
Chut ! Écoute. Arrête je te dis et écoute ! Tu entends ? Non rien, rien du tout ? C'est exactement ça, tu n'entends rien. Il n'y a rien à part le silence. Un silence qui remplit l'espace, qui commence à peser sur tes épaules mais il n'est pas vilain ce silence. Il est juste seul ce silence, il lui suffit de quelqu'un qui l'écoute et tu verras il va se mettre à être bavard tout à coup. À présent tu discutes avec ce silence. Il ne pèse plus, tu l'as accepté et il fait partie de toi tout comme tu fais partie de lui. Tu es calme, gentil, attentionné et c'est réciproque. Tu t'es fait un ami de ce silence. Il est ton nouveau refuge. Quand tu es oppressé par le boucan environnant de la civilisation, va le voir et il te rassurera ce silence. Tu te rapproches de plus en plus de lui et tout va bien. Tu sais tout et tu ne sais rien en même temps. Tu es détendu. Le silence te berce car tu es son enfant. Tu ne te préoccupes plus de l'extérieur, il n'y a que toi avec le silence. Tu as fermé les yeux et tu as l'impression de flotter dans la Voie Lactée. Si tu veux parler, ne le fais pas. Le silence a plus de choses à dire. Finalement tu t'endors près de lui. Ton réveil sonne ! Et oui, le rêve est terminé. Même le silence doit finir.
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✎ using direct object pronouns en français
duolingo section 3 unit 6
i am listening to you ➪ je vous écoute
i don’t know you ➪ je ne vous connais pas
do you understand me? ➪ tu me comprends ?
do you see me? ➪ tu me vois ?
does she see you everyday? ➪ elle te voit tous les jours ?
we don’t hate you ➪ on ne te déteste pas
we know you well ➪ on te connaît bien
do you love me? ➪ tu m’aimes ?
come see me! ➪ viens me voir !
i’m inviting you ➪ je t’invite
#duolingo#french#french language#frenchblr#french langblr#french learning#langblr#language learning#study french#foreign languages#french vocab#self study#français#french vocabulary#learning french#france
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Modern AU Kaamelott
(j'ai lut La petite hétéro by TheHappyEgg et ça ma rongé le cerveau donc voila mon AU foireux sur les perso de Kaamelott étudiant).
Arthur Pendragon
" il sent la monster et la clops dès huit heure trente, baptiser “l’accumulateur compulsif”, j’ai nommer; Arthur Pendragon! "
Je vois Arthur étudiant en histoire de l'art avec options Archéologie, ses subjects préféré: Rome Antique/Grèce Antique - Moyen-Age. Il a redoublé sa L2.
Il a EVIDEMENT fait un Erasmus à Rome.
Il est aussi au conservatoire, musique classique ou modern.
Certainement président d'une association étudiante qu'il a repris ou créer ( Surement un truc du genre "La table ronde" pour que tous vos droit soit respecté)
Grinder/Tinder: Peux importe l'appli', il est dessus.
Surement boursier, doit certainement bossé à la BU ou à un U.
Vous pouvez pas m'enlevé qu'il écoute SUREMENT, du Kyo, il en a honte mais il a tous les albums et les a vue en concert.
Il conduit surement une monospace acheté sur le boncoin pour pouvoir trimbalé toute l'équipe.
A un décapsuleur/couteau suisse baptisé Escalibur.
Depression, burnout, anxiété, manque affectif, le con a un cocktail.
Bonus: Bisexuel voir Pansexuel ? Certainement polyamoureux.
Lancelot Du Lac
" Élus mister Université trois années de suite! le fière le fringant, Lancelot Dulac! "
Troisième années de droit, surement de droite qu'il dit "modéré".
Il est obviously, le secrétaire de l'asso' d'Arthur, ils l'ont créer ensemble à l'époque.
Un conte tinder qu'il assume pas, avec une description genre " Capitaine de l'équipe de badminton, j'aime les balade sur la plages, recherche relation sérieuse".
Je sais pas Lancelot c'est le connard qui conduit une mini, ou une voiture deux places...
Si il fait pas aussi partit du BDE/ est le chouchou des profs c'est pas normal.
Il fait de la poésie en cachette.
Je dirais BPD, ou problème de gestion de la colère, problème obsessionnelle, OCD meme ?
Bonus: Hétéro qui pourrait avoir une seul relation gay dans sa vie, genre pour être sur qu'il est bien hétéro.
Perceval De Galle
"Revoyant à peine la lumière du jour, sortit l’année dernière d’une prépa Math-Physique, je vous présente, Perceval De Gales! "
Je peux pas être objectif c'est mon chouchou.
Premier année en école d'ingénieur.
C'est se genre de gars mauvais au collège/lycée mais qui est inaltérable à la fac.
Il a fait un bac pro Mécanique Auto pour bossé dans le garage de ses vieux, mais son prof de math la poussé à tenter une prépa.
Ce con a fait une prépa Math-Physique et il c'est jamais autant fait chier de ça vie car tous était trop facile.
Dyslexique, j'ai raison c'est tout.
Membre du club d’astronomie et de l’association de la table ronde en temps que fouteur de merde première catégorie.
Octogone sans règles des que quelqu'un parle de la théorie de la terre plate.
Le connard que Arthur va voir quand son monospace lâche.
La définition d'un "con intelligent"
C'est le con qui à donné "Escalibur" à Arthur.
Bonus: Celui la est technique: "Le genre qui sort avec une personne pour son âme et rien d'autre" Il s'en fout, beau moche, trans, cis, nonbinaire tous ca, si l'amour est là, il est là, sinon demi-sexuel.
Karadoc de Vanne
" Un petit creux ? Une baisse de sucre ? Besoin de savoir quel est le meilleur kebab rapport qualité pétage de bide? Alors il vous faut : Karado de Vanne!"
A rencontrait Perceval durant les années lycées.
Je le vois pas étudiant ? Ou peut etre un truc genre STAPS, mais plus pour la blague.
Lui il a fait un CAP cuisine.
Deuxième fouteurs de merde de première catégorie dans l'assos, mais il serre aussi de traiteur quand ils font une soirée.
Il conduit un kangoo, un véhicule de chantier qu'il prend à ses vieux.
C'est le type qui a réussis à couper une tranche de saucisson avec sa carte étudiantes
A une note google map avec tous les meilleurs restorant, bar, fastfood et kebab de la ville classé part ordre de qualité/prix.
Il connait toutes les petites boulangerie et fromageries de la ville.
A surement gardait sa carte METRO de son anciens job d'été.
Connait beaucoup trop de monde dans l'industrie agro-alimentaire.
Personne ne sait comment il a eu une copine.
Bonus: Hétéro part défaut, pas de questionnement rien, c'est les réglage d'usine.
Bah c'est déjà pas mal dis donc, si vous en voulez plus hésité pas à me demandé, j'ai encore Merlin, Bohort et Elias dans un coin.
#arthur pendragon#kaamelott#Kaamelott headcon#Perceval de galle#Lancelot#Lancelot du lac#Karadoc#jpp de moi quand meme#my headcanons#modernau
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Je lui ai finalement envoyé des messages vocaux. J'ai pas voulu attendre de voir ma psy parce que c'était trop long et j'avais envie de passer à autre chose. Attention, j'ai bien réfléchi à ce que je disais et comment je le disais. J'ai bien fait d'attendre une semaine avant de revenir vers lui. Grâce à ça j'avais beaucoup plus de recul, je n'étais plus dans la colère et l'émotion. J'ai tout écrit hier et j'ai attendu le lendemain pour relire et modifier. Ensuite j'ai tout lu dans des messages vocaux. Puis j'ai fermé la conv. Je ne m'attends à rien, je ne m'attends pas à ce qu'il les écoute ou à ce qu'il réponde. Mon but principal était de me débarrasser de tout ça. Ça ressemble à un monologue ce que je lui ai envoyé. Quand je lui parle de mes incompréhensions, je fais juste des hypothèses et je lui dis qu'il n'est pas obligé de répondre. En fait je pense que je préférerais même qu'il ne réponde pas. Je veux juste qu'il prenne en compte ce que je lui dis. J'ai cette naïveté de croire que ça pourra le faire réfléchir et évoluer. Mais en vrai depuis l'appel qu'on a eu, je sens qu'il est assez mature et ouvert pour entendre ce que j'ai à lui dire. Sinon je ne me serais pas battue et j'aurais lâché l'affaire.
À la fin, je lui fais un vrai bel adieu pour tout bien clôturer. Ça me tenait à cœur pour que tout ça se finisse aussi bien que ça a commencé. J'ai pas envie d'avoir de la rancœur envers lui, je ne veux retenir que le positif. Puis au final les torts sont partagés. Je lui souhaite le meilleur 🤍
(25/05/2024)
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"Ne sois pas triste,
personne ne pourra nous voler
nos souvenirs.
Il me suffit désormais
de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent
pour deviner ton souffle.
Alors écoute :
où que je sois,
je devinerai tes éclats de rire,
je verrai les sourires dans tes yeux,
j´entendrai les éclats de ta voix.
Savoir simplement que tu es là
quelque part sur cette terre sera,
dans mon enfer, mon petit coin de paradis... »
Marc Levy :
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J'ai compris ce qui me dérangeait dans ses yeux dans le ciel par la déesse Eliatrope, c'est l'équivalent de caméra de surveillance surveillant les faits et gestes de chaque personne. C'est le début d'une dystopie et Yugo ne semble pas voir en quoi c'est justement un problème. La déesse Eliatrope prône la non violence mais impose sa vision des choses. Lors de l'assemblée, elle écoute qu'à moitié que ce les rois et les reines ont à dire. La déesse Eliatrope souhaite tellement un monde sûre pour ses enfants qu'elle ne voit pas que justement qu'elle va priver la liberté de ses enfants et du peuple des 12. Comme le dit la fameuse citation "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux". Et ça correspond parfaitement à ce que fait la déesse Eliatrope.
Et vu comment Yugo ne semble pas voir le problème des actes de sa mère contrairement à Adamaï et probablement Amalia par la suite. Je crains un conflit entre ces trois là, Adamaï et Amalia qui tentent de raisonner Yugo mais il refuse de les écouter car il veut pas se séparer de sa famille retrouvé.
I understood what was bothering me about his eyes in the sky through the goddess Eliatrope, it's the equivalent of a surveillance camera monitoring everyone's every move. This is the beginning of a dystopia, and Yugo doesn't seem to see why this is a problem. The goddess Eliatrope advocates non-violence, but imposes her own vision of things. At the council, she only half listens to what the kings and queens have to say. The goddess Eliatrope wants so much to make the world safe for her children that she can't see that she's taking away the freedom of her children and the people of the 12. As the famous quote goes, "A people willing to sacrifice a little freedom for a little security deserves neither, and ends up losing both". And that's exactly what the goddess Eliatrope does.
And given how Yugo doesn't seem to see the problem with her mother's actions, unlike Adamaï and probably Amalia later on. I fear a conflict between these three, Adamaï and Amalia, who try to reason with Yugo but he refuses to listen to them because he doesn't want to be separated from his reunited family.
#wakfu#wakfu season 4#wakfu spoilers#eliatrope goddess#yugo#adamai#amalia sheran sharm#the world of wakfu starting to becoming a dystopia and it's scaring me
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Hello ! J’ai une question un peu particulière (à laquelle tu peux répondre en privé comme en publique si tu veux)
Je m’abstiens de commenter le conflit israelo-palestinien dans mes cercles sociaux car j’estime ne pas en connaître suffisamment sur le sujet. De ce qu’on apprend au lycée, j’ai particulièrement retenu que c’était bien plus complexe que « les méchants contre les gentils ». J’arrive à un point où il me semble essentiel d’en savoir plus et de me former une vraie opinion. La manière générale dont les informations sont relayées est un peu trop subjective à mon goût. Je me demandais si tu conseillais des sources particulières pour se renseigner, qui ne sont pas aussi manichéennes que ce qu’on peut voir sur les réseaux et dans les cercles de gauche.
Je te suis depuis pas mal de temps maintenant et va savoir pourquoi, il m’a paru assez évident de me tourner vers toi pour cette question. Je me suis dit que je ne perdais rien à demander :)
Oh ça me flatte beaucoup!
Écoute déjà bien comprendre l’histoire de la région aide. Même une recherche tout simple dans une encyclopédie
- sur l’empire Ottoman et son influence dans la région
- sur ce qu’il s’est passé pendant la 1e guerre mondiale et surtout les accords Sykes-Picot
Déjà ça te donnera une bonne idée de ce qu’il s’est passé avant. Ensuite, tu peux de la même façon lire :
- Sur les prémisses du sionisme au XIXe eu Europe, pour comprendre comment ce mouvement est né et dans quel contexte.
- sur les mandats français et britanniques jusqu’à la fin de la 2e GM dans la région et en particulier la Palestine mandataire, gérée par le Royaume Uni
Ça c’est pour le contexte avant la création d’Israël.
Après tu peux lire sur les différentes guerres déclenchées par les pays voisins dès la création d’Israël : guerre des Six Jours, guerre du Kippour etc… et leurs conséquences sur la géographie actuelle du pays.
Puis sur la constitution depuis les pays voisins des mouvements type FPLP, et leurs conséquences sur la région : septembre noir en Jordanie, guerre civile du Liban, guerre Irak-Koweit etc… Et notamment la personnalité de ses leaders comme Yasser Arafat.
Pour le moyen orient de manière générale : l’expulsion des juifs du moyen orient après 1948, l’idéologie pan-arabe / parti baas, les rivalités chi’ites - sunnites et les guerres qu’elles ont provoqué, la montée du wahhabisme / islamisme dans le contexte de la guerre froide et son influence > révolution Iranienne etc
Puis à partir des années 90 : accords de Camp David, les différentes intifadas, l’histoire du Hamas, etc jusqu’à aujourd’hui.
Comme auteur français sur le sujet j’aime bien Martine Gozlan qui a aussi écrit des livres qui sont bien fait sur le sujet. Il y a une journaliste que je suis sur Twitter qui s’y connaît plutôt bien aussi c’est Laura-Maï Gravériaux. Mais tous les autres (Georges Malbrunot, et compagnie = 🚮 et j’espère qu’ils ont jeté leurs talkie walkie)
Mais déjà une bonne lecture encyclo fait du bien au cerveau, quand j’ai commencé à me renseigner là-dessus à la vingtaine je ne savais pas 5% du contexte (et pourtant j’étais très encouragée à avoir une opinion 😅).
Je me considère comme relativement bien informée maintenant mais je dois être à 60% peut-être !
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T'as un lien pour les Rousseleaks ? Je trouve rien à part des articles sur des emplois fictifs...
https://x.com/PaduStream/status/1810400926303400171
Faut malheureusement avoir un compte twitter pour voir toute la thread. On écoute, on fait tourner, on appelle sa branche locale du PCF et on leur demande des comptes !!!
#Fabien roussel#NFP#rousseleaks#upthebaguette#moi à 11h j'étais au PCF de Loire-Atlantique ils avaient pas entendu le truc#je leur ai fait écouter ils sont devenus pâles ! pâles !#je leur ai envoyé les liens ils sont en train de faire tourner eux aussi dans leurs boucles#faut à tout prix le dégager Roussel
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La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
2/3
En y repensant, je me rends compte que dans ma panique, je n'ai même pas répondu aux éléments que tu mentionnais dans ta lettre. Excuse moi je t'en prie. J'ai bien reçu ta carte et j'avoue que voir ces musiciens m'a fait un peu rêvé. Je ne suis jamais vraiment sortie du village, et je suis allée à Paris quelques rares fois, mais Ange m'a promis qu'il m'emmènerait dans un club de jazz pour y voir un concert dès que je le pourrai. Et bien sur, j'ai été surprise d'apprendre pour le nouvel emploi de ta mère. J'avoue que je n'imaginais pas cela possible pour une femme. Grand-Mère a eu un commentaire un peu grognon, mais il faut l'excuser, c'est du à son âge.
Je suis aussi heureuse de voir tes frères et soeurs trouver leur voie. Chez nous, cela commence à prendre forme également. C'est étrange, car j'ai vraiment l'impression que nous étions encore en pleine enfance il y a quelques temps. Avec mon mariage, la sortie du premier livre de Cléo (dire que je ne l'ai même pas mentionné, je suis une piètre soeur !), les projets politiques d'Antoine et Sélène qui s'entraine pour le tournoi doubles dames de l'année prochaine, les projets vont bon train.
Transcription :
Arsinoé « Attends Antoine ! Tu as fait la tête pendant presque toute la cérémonie. Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Marc-Antoine « Ce n’est pas vraiment le moment pour en parler. »
Arsinoé « Si, au contraire. Je te connais, si on ne crève pas l’abcès maintenant tu vas aller bouder dans ton coin puis faire comme si tout allait bien. Sans compter que… qu’est-ce que c’est que cette odeur ? »
Marc-Antoine « Pardon ? »
Arsinoé « Tu sens la poussière et le naphtalène à plein nez ! Mais où es-tu allé chercher ce costume ? Au fond du grenier ? »
Marc-Antoine « En fait, oui. Comme je n’avais pas de smoking à ma taille pour l’occasion, j’ai été chercher le costume de Grand-Père Maximilien dans les vieilles armoires. C’est le costume avec lequel il s’est marié. »
Arsinoé « C’est élégant, c’est certain. Mais tu aurais peut-être du le faire laver et repasser avant de le porter. Je ne serais pas étonnée de découvrir une colonie d’araignées dans une des poches. Il n’a pas été porté depuis… au moins cinquante ans ! »
Marc-Antoine « Cinquante et un ans précisément. Ce costume est un morceau d’histoire ! Et de toute façon, je ne l’ai trouvé que ce matin, alors Aurore n’aurait pas eu le temps de s’en occuper. »
Arsinoé « Grand-Mère sait que tu l’appelle Aurore maintenant ? »
Arsinoé « Ecoute, je sais que tu n’es pas ravi de ce mariage mais... »
Marc-Antoine « Mais quel euphémisme ! Bien sur que non ! Je croyais que tu ne voulais pas que Grand-Mère contrôle ta vie et regarde toi ! »
Arsinoé « Je n’avais pas précisément le choix. Et je ne pourrais rêver meilleur mari qu’Ange. »
Marc-Antoine « Et comme par hasard, ce mariage exhausse les rêves les plus précieux d’Eugénie Le Bris. Noé, j’ai l’impression que tu as été piégée... »
Arsinoé « Par ma bêtise oui certainement ! »
Marc-Antoine « J’apprécie beaucoup Ange, tu le sais, mais lui ne fréquente que des hommes ! Tu seras malheureuse comme les pierres ! »
Arsinoé « Il fréquente « majoritairement » des hommes. Et ce n’est pas le sujet. Au moins, ton neveu ou ta nièce aura un père. Oncle Adelphe dit que… »
Marc-Antoine « Je me fiche de ce que dit Oncle Adelphe. C’est à toi que je pense ! »
Arsinoé « Alors écoute moi un peu bon sang ! »
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𝐌𝐚𝐫𝐯𝐞𝐥 | wanda maximoff
Wanda Maximoff x Reader
Warning : petit spoil civil war
Mots : 126
Masterlist
Tu avais appris ce qu'il s'était passé à Lagos et avait décidé de rejoindre Wanda pour voir comment elle allait. Tu toquas à sa porte et rentras. Elle était assise sur son lit, le regard dans le vide.
❝━ Salut...
━ C'est de ma faute. Dit-elle directement.❞
Wanda et la culpabilité, c'était une grande histoire.
Tu allas t'asseoir à côté d'elle.
❝━ Dis pas ça.
━ Ils sont morts à cause de moi. Ajouta-t-elle.❞
Ses yeux commençaient à se remplir de larmes. Tu lui pris la main et la forças à te regarder.
❝━ C'était un accident, Wanda. Écoute moi bien, rien n'est de ta faute.❞
Ses larmes coulèrent tandis que tu la prenais dans tes bras pour la réconforter.
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Aime une personne douce ... Le genre dont le cœur est brisé par les chiots et les enfants blessés. Quelqu’un qui pleure sur des fins tristes au cinéma et ressent une joie profonde par rapport aux gens heureux. Quelqu’un qui embrasse ton âme au lieu de ton cœur parce qu’ils savent que ton âme est là où tu gardes ton univers et que ton cœur n’est qu’une étoile. Le genre de personne à qui l’on dit qu’ils sont trop sensibles parce qu’ils ont un cœur plus fragile et facilement blessé. (Pourtant, les gens doux trouveront toujours une raison de sourire, peu importe à quel point les choses sont malheureuses.) Aime une personne douce. Un être humain qui a toujours un gentil sourire pour tout le monde, même quand ils ne retrouvent pas le sourire en retour. Quelqu’un dont le coeur est brisé par la condition de ce monde. Quelqu’un qui a toujours un mot gentil pour ceux qui ont reçu les pires nouvelles qu’ils pouvaient en ce moment. Un homme ou une femme qui ne peut pas regarder quelqu’un qui souffre et ne rien faire pour l’aider. (Vous voyez, les gens doux ne toléreront jamais l’injustice devant eux et ne laisseront jamais tomber quand quelqu’un est blessé.) Aime une personne douce. Une personne qui est positive, même dans le pire des cas. Quelqu’un dont la force n’est pas dans la bravade, mais dans le calme. Quelqu’un qui est fort pour les autres parce que c’est ce qui est nécessaire dans ce moment. Quelqu’un qui est la lune qui apaise à la place du soleil qui br��le. Quelqu’un qui voit le meilleur des gens même quand vous pensez qu’ils ne valent pas la peine. Le genre de personne qui veut toujours faire le meilleur pour ceux qu’il aime. (Parce que les gens doux ne supportent pas l’idée de blesser quelqu’un qui leur a accordé leur confiance.) Aime une personne douce. Le genre qui regarde quelqu’un qui se bat, que ce soit pour ouvrir une porte, ou a perdu ses clés et fera tout ce qu’il peut pour aider. Quelqu’un qui préférerait souffrir que de laisser tomber quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui essaie, pas parce que c’est ce qu’ils ont à faire, mais parce qu’ils veulent faire de leur mieux. Un être humain toujours prêt à communiquer et à parler. (Les personnes les plus douces demanderont toujours deux fois si vous êtes d’accord, quand vous dites que vous l’êtes, parce qu’elles peuvent lire les humeurs et comprendre quand vous avez besoin de quelqu’un qui vous écoute.) Protéger une personne douce. Ce genre de personnes est en train de se mettre en danger avec des mots comme «endurcir» et «vous êtes si naïf» et «ils vont profiter de vous». Quelqu’un que vous pouvez voir qu’on tente de le briser. Quelqu’un qui est une cible facile pour le ridicule parce que leur coeur est plus doux que la plupart des autres autour. Quelqu’un qui est rapide à s’excuser et réparer les choses indépendamment de la faute (Les personnes douces ont besoin de protection non pas parce qu’elles sont faibles, mais parce qu’elles ont été brisées brutalement par ceux en qui elles avaient confiance en leurs coeurs.) Sois une personne douce. Sois un coussin dans un monde plein de rochers et d’endroits difficiles. Sois une âme douce où tout le monde est blasé. Sois cette personne. Parce que les gens comme ça sont plus rares et plus précieux que les bijoux les plus rares de ce monde.
Nikita Gill
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Nn parce que tu soutiens une sioniste, pas parce que tu écoutes de la musique, concentre toi stp
franchement faut passer à autre chose mdr va voir ailleurs ou viens discuter par message :)
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La douceur dans la lueur
Le pied dans la porte
Cessons d'exister dans la nasse
Poisson haut perché dans les fonds marins
de l'ombre
Dans la lumière aussi il y a des ruines
L'homme au mégot penché sur un corps
Comme vouloir revivre dans la beauté
le sauvage le vibratile
Un peu de sueur à son front qui scintillait
Douce esquisse de ton visage motif de papier peint sur les murs comme un jardin faussement en friche
Des oiseaux de craie s'effaçaient
Des becs de crocs en dedans
L'ivresse de la mer à nos pieds usés
Le nu comme l'eau pour se désaltérer
Œil univers je me suis perdu
Dans les tiens le plus doux velours du voir
Et dans la nuit des bateaux avaient sombrés
coquilles d'œufs éparpillées sous l'or du sable
Comme tes pensées comme mes mains
Vivre ce dedans de toi pour dérober quel secret
Une clef vers les portes derrière lesquelles
L'âme écoute oreille collée à ton plaisir
De pluie fine de petit matin de sourire Embrasser enfin ton ventre-lèvres
tiède comme un passage
au bout d'un poème qui ne veut pas finir
jacques dor
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