#ÇA C'EST MON JACQUES
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altho-arto · 1 year ago
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They called Simon WHAT in the french version ?????!
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selidren · 16 days ago
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
3/5
Avoir deux filles m'a fait beaucoup pensé. Surtout au vu de ce que tu écris dans ta lettre au sujet des femmes au Canada ou de l'enseignement de l'anglais. J'en ai discuté avec Antoine, et figure toi qu'il connait étrangement bien le sujet. En effet, la faculté des Sciences Politiques où il étudie est très "américanophile" comme il dit. Il dit que ça vient de Tocqueville, même si je n'ai aucune idée de qui il s'agit mis à part qu'il s'agissait d'un philosophe. Nous en avons même parlé assez longuement, et quand Antoine parle de politique, il a cette petite lueur dans les yeux qui me rend parfois jalouse de ne pas être allée à la faculté.
Il aimerait pouvoir en parler plus longuement, mais Grand-Mère n'apprécie pas tellement les socialistes, sans bien sur évoquer les communistes. De plus, avoir un débat avec elle est éreintant, elle ne cesse de multiplier les stratégies de fuite ou les appels au bon sens quand elle se sent en difficulté. Pour mon frère, c'est assez difficile à vivre car il aimerait pouvoir partager plus de choses avec elle. Pense-tu, quand il est question de politique, elle rapporte tout à Napoléon ! Et pas seulement au troisième.
Transcription :
Eugénie « Et comment se passe l’école mon garçon ? »
Marc-Antoine « Très bien Grand-Mère. Mes professeurs sont contents de mon travail et je passe la plupart de mon temps libre à la bibliothèque. Ils n’arrêtent pas d’y ramener de nouveaux livres, c’est fascinant. Beaucoup de livres américains cependant... »
Arsinoé « Et ça ne te plaît pas ? »
Marc-Antoine « Bon, je n’ose pas dire grand-chose, mais j’ai l’impression que tout le monde à la faculté ne jure que par l’Amérique. L’Amérique par ci, l’industrie américaine par là, la femme américaine serait « trop libérée »… Enfin bref, nos anciens sont tellement persuadés de prêcher en territoire conquis qu’ils en oublient que tout le monde n’est pas d’accord. Mais d’un autre côté, ils fustigent Wilson et ses Quatorze Points. »
Arsinoé « Donc en réalité, ils ne suivent que ce qui les arrange. Soit c’est un modèle à suivre, soit c’est un contre-exemple à éviter. »
Marc-Antoine « Exactement ! Ils n’ont que ça à la bouche ! »
Eugénie « Les Américains sont des brutes incultes, je l’ai toujours dit. Je ne vois pas en quoi nous devrions être fascinés par tous ces imbéciles d’outre Atlantique. »
Arsinoé « Le Canada est aussi en Amérique, Grand-Mère. »
Eugénie « Seigneur ma fille, me crois-tu idiote ? Heureusement qu’il y a là-bas quelques français pour raffiner l’ensemble, voilà ce que je dis ! Si ce n’était Napoléon, je ne parviens pas à comprendre ce qui a pu pousser ton arrière-grand-oncle Jacques à rester. »
Marc-Antoine « Tout n’est pas si blanc ou si noir Grand-Mère. Et je ne crois pas qu’on puisse parler vraiment de « français ». Ils sont canadiens depuis bien longtemps, et si ce n’est la langue, je pense qu’ils ont une culture aussi différente qu’entre nous et… voyons… nos voisins allemands par exemple. »
Eugénie « Oh non, pas les allemands. Ces immondes brutes nous ont bien fait assez de mal ! »
Marc-Antoine « Je ne faisais que… oh, laissez tomber ce n’est pas grave. »
Arsinoé « Vous n’aimez pas grand-monde Grand-Mère. »
Eugénie « Il faut dire qu’il n’y a pas grand monde pour nous aimer non plus. La réciproque est vraie également. Mais n’y voyez pas une attaque contre nos cousins, ce sont de braves gens. Même si il est vrai que Cousin Jules est sans doute trop américain sur bien des aspects... »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que... »
Arsinoé « Quelqu’un peut-il trouver grâce à vos yeux ? »
Eugénie « Tu me vois donc comme une vieille bique amère… Pour commencer, vous bien sur ! Ma brillante descendance qui comble toutes mes attentes, ainsi que... »
Marc-Antoine « Que pensez-vous des communistes ? »
Eugénie « Oh ceux-là. Vous savez, je n’ai rien contre les socialistes, mais il ne faut pas trop l’être non plus n’est-ce pas ? Quand il était jeune, votre père a lu un livre socialiste, et il a retourné la tête à tous les élèves de sa classe. C’était un pamphlet anti-clérical, a-t-on idée d’introduire cela chez nous ? Les communistes détestent Dieu ! Fort heureusement, votre grand-père a eu tôt fait de lui remettre les idées en place. »
Arsinoé « Pourtant, Papa aime toujours aussi peu les curés, de même que les monarchistes. »
Eugénie « C’est à cause de toutes ces bêtises qu’il a lues. Le socialisme mets des idées étranges dans la tête des gens. Vous savez qui était également socialiste ? La mère de Cousin Jules. Et quels étranges fils elle a eu… La brave femme a sans doute fait de son mieux, mais avec de telles idées, il était naturel que ces deux arbres ne poussent pas droit. »
Arsinoé « Admettez quand même que certaines idées sont bonnes. Je ne suis pas spécialistes, mais il me semble que les communistes veulent davantage d’égalité dans la société, et ce n’est pas plus mal n’est-ce pas ? »
Eugénie « De mon temps, les gens n’avaient pas toutes ces bêtises en tête et ils n’étaient pas plus malheureux. L’égalité… pfff, à quoi bon ? Va t-on déposséder tous ces braves patrons des biens qu’ils ont mis leur vie entière à créer ? »
Marc-Antoine « Et bien, nous pouvons comprendre leur point de vue non ? »
Eugénie « Veux-tu voir ta sœur privée de ses biens ? Toutes nos belles choses dispersées aux quatre vents ? Assister à la fin de tout ce que votre grand-père et votre oncle ont mis une vie à bâtir ? »
Marc-Antoine « Non… bien sur que non... »
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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La politique de la psychanalyse selon Lacan («l’inconscient, c’est la politique») c’est tout le contraire de la pathétique soumission de l’ECF de Jacques-Alain Miller au discours dominant et sa promotion, au nom du Bien, des identifications sexuelles imaginaires des Gender Studies...
La véritable dimension politique de la psychanalyse révèle son accès dans le Séminaire XX, quand Lacan affirme : «l'objectif de mon enseignement est ... de dissocier a et A ... c'est ici que la scission ou un détachement reste à être effectué».
Si cette «séparation» n'a pas lieu (c'est l'étape logique qui vient après l'aliénation...) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison.
Alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme...
Voilà pourquoi il avance que le psychanalyste, qui doit devenir un "saint", aura dû apprendre à "déchariter"...
«Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains.»
Pour Lacan, la fin d'une analyse se marque donc d’une séparation, la séparation de l'objet (a) du Moi (l'identité imaginaro-symbolique), l'objet se trouvant expulsé hors du circuit signifiant, dans une prise de distance décisive avec l’ordre symbolique...
L'équivoque signifiante concernant la notion de «lettre» est ici capitale.
La lettre en tant qu'elle est réelle n'est pas le message qu'elle contient mais si l’on peut dire "l'être de la lettre" lui-même, le reste matériel qui résiste à la symbolisation.
La séparation au sens psychanalytique consiste donc à séparer le contenu de la lettre, ce qu'il y a à l'intérieur, son message, de la lettre elle-même en tant qu'elle est le support du message, son enveloppe matérielle, le message n’étant rien d’autre in fine que le médium lui-même...
Ce reste-déchet-excrément, seul support restant d'identification, est le corrélât objectif réel du sujet, sans lequel le sujet lui-même disparaîtrait irrévocablement.
Ainsi naît la notion de Sinthome (saint-homme) chez Lacan...
«À la vérité le saint ne se croit pas de «mérites», ce qui ne veut pas dire qu’il n’ait pas de morale.
Le seul ennui, pour les autres, c’est qu’on ne voit pas où ça le conduit.
Moi je cogite, je cogite éperdument pour qu’il y en ait de nouveaux comme ça.
C’est sans doute de ne pas moi-même y atteindre.» (Télévision)
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journaldenimportequi · 4 months ago
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Lundi 8 juillet 2024
Comment lui dire adieu
Ce n'est pas la grande forme. Je veux dire, mentalement, parce que physiquement, je vais pas trop mal, enfin, je grossis, les gens pensent que je ne fais rien de mes journées mais c'est faux : je grossis.
Mais je déprime pas mal, épisodiquement. Là ça m'a encore repris hier, dans la nuit, envie de crever. J'ai réfléchi et j'ai pensé qu'il fallait que j'aille manger, alors je suis allé manger du Saint Nectaire avec du saucisson, ça m'a remonté le moral, la bouffe, ça fait du bien.
Je souffre un peu, oh, c'est rien par rapport aux gens qui ont de vrais raisons de souffrir (malades et handicapés, je les surnomme les infortunés lorsque je les croise, et je que me réjouis d'être bien portant). Mais voilà, c'est la misère affective qui provoque mon désarroi. Quand est-ce que je vais arriver à être heureux tout seul ?
J'essaye de rencontrer des filles, ça me coûte même pas mal de pognon, sur Tinder... je match avec des filles et puis on discute, quand elles daignent me répondre mais ça ne va jamais plus loin. Mais enfin, de quoi je me plains, après tout cela ne fait que 10 mois que je suis célibataire ! Whatever...
Je me suis forcé à écrire ce soir, j'ai eu raison, parce qu'au fur et à mesure où s'écrivent ces lignent ma peine s'envole, le pouvoir de l'écriture...
Il faut que je vous dise, le mois dernier, il est arrivé un malheur, malheur prévisible hélas, mais voilà, Françoise Hardy est morte.
Et, un peu sur un coup de tête, j'ai décidé de me rendre à ses obsèques.
Alors me voilà une semaine plus tard à Paris, où j'ai loué un Airbnb, et je suis allé au Père Lachaise (que je commence à connaître, parce que ce n'est pas la première fois que je m'y rendais).
Que dire de l'événement... au début, j'ai trouvé que c'était un peu un cirque digne de Cannes en période de festival, tous ces gens qui commentaient l'arrivé des people... il en est arrivé un paquet, de Nicolas Sarkozy (avec la fidèle Carla) à Mathieu Chedid, en passant par Etienne Daho qui est passé à côté de moi, arrivant par le côté du public, reconnaissable malgré son bonnet et ses lunettes noires, et puis la première dame, Brigitte Macron, et puis bien sûr Thomas et Jacques Dutronc, qui ont été applaudis.
Et puis le cerceuil est apparu et en l'apercevant ma gorge s'est serrée, je l'avoue.
Ensuite retentit une musique : Et Si Je M'en Vais Avant Toi, j'ai trouvé ça très beau.
J'avais acheté une fleur, une rose blanche, et je me trouvais un peu bête parce que je ne savais pas où la déposer, de plus, bizarrement, quasiment personne n'est venu avec des fleurs... J'ai fini par la déposer quelque par à côté d'une photo de Françoise et de quelques fleurs qui avaient été accrochées là.
Je ne me suis pas éternisé. J'ai dû rester une heure et demi. Et puis je suis reparti, après la cérémonie. Je n'ai pris aucune photo, je pensait bêtement que ce serait indécent en telles circonstances mais j'avais probablement tort puisque la plupart des gens prenaient des clichés à tout va.
Quelques temps plus tard après ma sortie, j'étais sur un banc non loin de l'entrée du Père Lachaise, lorsqu'on m'a abordé. Il s'agissait de Benoît, une homme que je connais via les réseaux sociaux (et particulièrement par le forum « Sugar Montain »). Cela fait trois fois en un an que je me fait accoster comme ça par une connaissance des réseaux. C'est plutôt agréable, parce que ça me fait socialiser. Benoît était accompagné d'un jeune ami à lui et ça m'a permis de faire aussi sa connaissance. Depuis, nous nous suivons mutuellement sur Instagram.
J'avais parlé de Berlin, ici, il y a quelques temps. Ce projet est tombé à l'eau, comme souvent, en fait. Avec mes amies on fait des plans excitants et au final ils ne se réalisent pas, c'est une habitude. Mais je garde cette envie de voyage. J'ai réfléchi et il me semble qu'en économisant seulement quelques mois (c'est à dire en cessant de dépenser des centaines d'euros en bouquins chaque putain de mois) je pourrais facilement me payer un autre séjour à New York. Ca me trotte dans la tête depuis un moment. J'ai rêvé de New York pendant toute ma vie, et puis j'y suis allé, et depuis, je ne rêve que d'y retourner. Ce projet se concrétisera t il ? Ou sera t il empêché par ma tendance maladive à procrastiner ? J'aurai voulu y aller avec mon frère, histoire qu'il s'occupe de régler toutes les choses pratiques que j'ai la flemme de prendre en main, mais selon lui, il ne peut plus se rendre aux USA pendant plusieurs années parce qu'il a fait un voyage à Cuba. Cette idée me semble surprenante mais c'est en tout cas ce qu'il prétend. Et si j'y allais seul ? Justine, ça ne l'intéresse pas. Mais peut être que Canel serait encore enthousiasmé par cette idée, alors je pourrais y aller avec elle...
On verra, mais en tout cas si ça se fait ce sera en 2025.
Je me suis rendu qu'on d'une chose, récemment : je suis un artiste sans œuvre, et ça, c'est une vraie tragédie.
Dans 3 jours je me rendrai à nouveau à Lyon pour le concert de Cat Power, donc je vous parlais dans la dernière note, vous savez, celui où je suis censé rentrer gratuitement sur invitation en échange d'un papier. Ca me remontera peut être le moral.
Allez, je vous laisse, j'ai écris deux pages, c'est déjà pas mal, non ?
Bande son : The River, Bruce Springsteen
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sinniel · 4 months ago
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Questions abouth the author
Merci de m'avoir taguée @ladyniniane, même si c'était parfois un peu compliqué de répondre à certaines questions ^^
About me
When did you start writing?
J'ai commencé à écrire vers mes neuf-dix ans, après avoir passé mon enfance à écouter puis par la suite raconter des histoires avec mon frère.
Are there genres/themes you enjoy reading different to the ones you write?
J'aime beaucoup la poésie, et j'ai énormément lu étant plus jeune. Mon parcours scolaire m'a également fait découvrir beaucoup de genres et de thèmes différents, et si certaines œuvres ne m'ont clairement pas plue à l'époque (La Bête Humaine de Zola notamment ou encore les Mémoires de De Gaule), d'autres m'ont touchée et fascinée (Les Liaisons Dangereuses de Laclos ou encore L'Odyssée d'Homère).
Mes genres préférés restent la fantasy, le fantastique et les œuvres mythologiques. J'aime beaucoup les univers développés par la science-fiction également, mais je n'en lis quasiment pas, ce qui fait que lorsque j'écris dans l'espace, la magie reste présente.
Is there an author you want to emulate, or one to whom you're often compared?
Je ne cherche pas réellement à reproduire le style d'un auteur, mais je sais que je suis fortement influencée par Jacques Prévert. Une amie m'a déjà comparé à des groupes de musiques tels que Artics Monkeys.
Can you tell me a little about your writing space?
Comme pour le dessin, j'écris généralement à une table (sur ordinateur ou papier) ou dans mon lit.
What’s your most effective way to muster up some muse?
Laisser mon cerveau joyeusement divaguer en écoutant de la musique atmosphérique (en ce moment la BO d'Elden Ring aide beaucoup curieusement, particulièrement celle de Leyndell.)
Did the place(s) you grew up in influence the people and places you write about?
Oh que oui ! La présence de l'eau est assez importante dans mes écrits, et ça n'étonnera pas grand monde de savoir que j'ai grandi et que je vis en Bretagne. Les légendes de chez moi m'ont également beaucoup marquées, et je ne peux pas m'empêcher de faire des références en écrivant des personnages ou des lieux.
Are there any recurring themes of your writing, and if so, do they surprise you at all?
Beaucoup de mes histoires, et ce dès mon plus jeune âge, tournent autour de trois thèmes récurents : le deuil, l'absence, et la puissance de l'amour, qu'il soit platonique ou non, dans ses bons et ses mauvais côtés. Ce qui ne m'étonne pas beaucoup, au vu de mon passé, et des œuvres qui m'ont influencée.
My Characters
Would you please tell me about your current favourite character?
... Monsieur le juge c'est pas une question facile ça... On va dire Islin, vu que c'est l'un de mes personnages qui me suis depuis bien... Dix ans ? Je crois ? Ma dou que le temps passe vite.
J'ai déjà parlé de lui il y a longtemps, un aveugle ayant une soeur jumelle, Aria, et qui a vécu une enfance difficile (avec entre autre kidnapping, abandon et brimades et harcèlement dans le village ou il habitait au début de l'histoire que j'ai commencé avec une amie). Vu qu'il a -enter autre- le pouvoir de visiter des timelines différentes, ça me permet d'approfondir son caractère, de voir ce qui aurait pu se passer si... Résultat, c'est passé du "ressemble à un bébou, est un bébou" à "ressemble à un bébou, mais pourrais te tuer sans la moindre hésitation si tu fais du mal à ceux qu'il aime"
Which of your characters do you think you’d be friends with in real life?
Sans doute la plupart ? À part ceux que j'ai écris pour être des ordures, j'ai du mal à ne pas me sentir attachée envers mes personnages. Après, qui sait, je pense que certains aimeraient me coller des baffes vu tout ce que je leur fait subir ^^
Which of your characters would you dislike most if you met them?
Euuuuuuuuh... Plus que détester, ce serait surtout en avoir une crainte sévère : Artémissia, la mère d'Aéria et la patronne de la mafia de la ville censée partir bientôt à la retraite. "Censée".
Tell me more about the process of coming up with your characters.
Généralement je commence par l'apparence (en quelques traits simples : âge, couleurs d'yeux, de cheveux et de peau) puis je cherche un prénom qui collerait à l'histoire que j'imagine. Une de mes fanfictions annonce le twist de fin par le prénom de mon héroïne qui a une signification particulière en breton par exemple.
Do you notice any recurring themes/traits among your characters?
À part la propension de mes personnages d'être des femmes aux cheveux courts qui ont une sale tendance à se sacrifier pour les autres... La plupart feraient tout pour ceux qu'elles considèrent proches, mais certaines sont plus prêtes à se salir les mains que d'autres. Et tous, absolument tous, ont vécu soit un deuil, soit un abandon.
How do you picture your characters?
Je les imagine souvent dans des scènes que je joue dans ma tête. J'ai un mal de chien à les séparer de leur contexte, ce qui fait que des fois, c'est compliqué de les dessiner. Ils gagnent en netteté au fur et à mesure que l'histoire avance
My Writing
What’s your reason for writing?
La plupart du temps c'est parce qu'une histoire a décidé de s'inviter dans mon cerveau, et elle devient tellement omniprésente que je dois la poser sur le papier avant que je ne devienne chèvre. Certaines fois, c'est pour exprimer les émotions qui bouillonnent en moi et qui n'arrivent pas à sortir autrement.
Is there any specific comment or type of comment you find particularly motivating coming from your readers?
J'adore quand mes lecteurs me disent que mes écrits leur ont fait ressentir les émotions de mes personnages. J'avoue que j'ai aussi une certaine fierté lorsqu'on me dit que j'ai réussi à faire les pleurer.
How do you want to be thought of by those who read your work?
Comme quelqu'un qui les a ému.
What do you feel is your greatest strength as a writer?
Ma description des ambiances, des lieux et des émotions. C'est sans doute parce que j'ai commencé à écrire de la poésie, mais j'arrive assez bien à retranscrire des atmosphères et des sentiments via les mots.
How do you feel about your own writing?
Je sens et je vois que j'ai fait beaucoup de chemin. De mes premiers écrits que j'ai du mal à relire à ceux plus récents, on voit clairement une sacrée évolution. Mais ce qui est assez drôle, c'est que déjà toute petite j'avais des thèmes qui me tenaient à cœur et qui le sont restés. Ils ont juste évolués.
If you were the last person on earth and knew your writing would never be read by another human, would you still write?
Oui, tout comme je continuerais de dessiner. C'est quelque chose qui me permet de m'évader, je ne vois pas pourquoi j'arrêterai.
When you write, are you influenced by what others might enjoy reading, or do you write purely what you enjoy? if it’s a mix of the two, which holds the most influence?
Honnêtement, sans doute un peu un mix des deux. Mais c'est surtout ce que moi j'aime faire qui prend le dessus. Je peux suivre des thèmes, des appels à texte, mais au final, j'en fais toujours ce que je veux, et je finis par retomber dans mes thèmes, mes images, mes sons. Parfois ça met du temps à venir. Ça peut danser dans mon crâne des mois, des années avant que je ne le couche quelque part. Alors ça ne sert à rien de suivre les trend. De toute manière, on ne peut pas écrire pour tout le monde, alors autant écrire pour soi.
Je ne tagg personne, mais si certains veulent s'essayer à l'exercice, n'hésitez pas ^^
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claudehenrion · 7 months ago
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Crac ! Boum ! Hue ! (etc...)
Surtout, ne me faites pas dire ce que je ne pense pas : ce titre n'est en rien une revendication de ma part. Non, je n'ai pas, comme Jacques Dutron avait la chance d'en avoir un dans sa jeunesse, ''un piège à filles, un truc tabou, Un joujou extra qui fait crac boum hue''... Et, hélas, ''Les filles ne tombent pas à mes genoux''. En revanche, dans mon immeuble parisien, un voisin a profité de ses vacances pour se lancer dans des travaux iso-hidalguesques. Je ne sais pas à quelles destructions sont destinés les bruits incroyables qui provoquent mon réveil depuis quelques matins, mais ses corps de métiers doivent se prendre pour des décathloniens... ou pour le ''truc'' de Dutron !
Si je vous raconte ça, c'est parce que grâce à une ''pub'' parue dans le quotidien gratuit ''20 minutes'' et transmise par Alain Rémond, de ''La Croix'', je suis tombé sur une proposition d'expérimenter une toute nouvelle technique dite ''de relaxation sonore'' : si je veux vraiment être enfin bien dans ma tête, dans mon corps, et partout ailleurs, il me faut absolument ''des vibrations sonores''. Question à 100 $ (US) : ''C'est grave, docteur ?''. La réponse est : on verra plus tard... car pour le moment, il semblerait que je manque dramatiquement de cette invention ''ultra-quelque chose '' et ''extra-pleine de trucs'', dont une sophrologue-spécialisée-en-relaxation-sonore vante les mérites indubitables (?) dans la dite pub. ''Ces massages sonores, affirme-t-elle sans faiblir, sont la base d'une science nouvelle, la (je cite) sonopuncture'' qui, si j'ai tout compris, serait exactement la même chose qu'une acupuncture dont l'aiguille serait remplacée par des sons (c'est un peu comme un coq au vin, qui serait fait avec des andouilles de vire et des tripes à la mode de Caen !).
''Les vibrations sonores –explique-t-elle-- se propagent à travers les os, et le cerveau est (donc ?) directement atteint sans effort'' (Questions : atteint où, par quoi, venant de qui ?). Le résultat est sans appel  : c'est épatant ! On est relaxé dans tous les sens, comme jamais. Et c'est pour qui, toutes ces merveilles ? Mais pour tout le monde, voyons ! Pour vous et pour votre belle-mère... ce qui m'a remis en mémoire une émission récente de FR3, sur le thermalisme : devant l'effondrement du nombre de gens intéressés par ce sport, la station de Bagnères-de-Bigorre a remplacé la fréquentation de ses sources chantantes par... des siestes interminables sur un lit sous lequel des abeilles (par milliers, par trilliers, par ruches entières) font vibrer leurs ailes... ce qui vous guérit de toutes les mêmes choses que ''les eaux'' jusque là (ça me fait penser aux belles-mères à cause de la possibilité d'une erreur d'aiguillage qui donnerait à ces hyménoptères pleins de piquant(s) l'envie de se tromper d'étage... et là, ''Bonjour les dégâts'' !).
Vous allez me dire : quel lien avec ton voisin d'immeuble ? Mais voyons... dans le caractère relaxant et curatif du bruit ! Je veux parler du miracle de la ''sonothérapie'', dont je suis en mesure de mesurer à leur juste mesure les avantages (pour moi rigoureusement introuvables) et les inconvénients (dont je tiens la liste à votre disposition : elle n'entre pas dans les limites fixées par mon fournisseur d'espace !). Mais je peux vous dire que, depuis quelques jours, j'expérimente, à fond la caisse, les massages sonores, les voyages éponymes, la sono- et la -puncture et que, jusqu'à cet instant, cela ne marche pas avec ou sur moi. Mais alors... pas du tout !
En fait, si quelqu'un pouvait être intéressé par mon avis (ce qui est rarement le cas...), je dirais même que ça a un effet rigoureusement inverse : les perceuses et les marteaux-piqueurs semblent créer sur mon système nerveux des dégâts collatéraux qui me foutent un coup de vieux dont je n'avais absolument pas besoin. Je peux même vous dire que le seul fait d'entendre des murs d'habitude protecteurs se mettre à trembler comme un volcan en Islande, et menacer de s'écouler après s'être fissurés comme un hôpital à Gaza, m'angoisse et génère en moi des torrents de gros mots et d'insultes que je n'avais pas éructées depuis les années (à peu près trois, comme toute ma classe d'âge !) où je fréquentais assidûment l'institution militaire en tant que ''Maintenu''.
En fait, j'en ai même tiré une sorte de règle générale : ''Plus ça vibre, et plus je stresse !'', et plus je suis enveloppé, jeté, trimballé, secoué, violenté et j'en passe, dans une solitude généralement réservée aux coureurs de fond, pour paraphraser Alan Sillitoe (''The loneliness of the long distance runner'' –1959). Et, un peu comme les paysans français ou les habitants du Pas de Calais, j'ai une forte impression d'abandon, de ''trop, c'est trop'', et de ''personne ne m'aime''...
C'est d'ailleurs à cette impression d'abandon que vous devez cet édito encore plus ''déjanté'' que les autres : il fallait que je partage ma ''différence ressentie'' entre les textes qui circulent, en cette période où la folie sort de plus en plus souvent des asiles … et le ressenti, justement, d'un pauvre citoyen lambda confronté aux terribles réalités du siècle ! Pour un peu, je deviendrais sartrien (c'est vous dire combien je suis touché, en profondeur !), au point de penser que l'enfer, c'est le bruit des autres ! Bonne sieste et à demain, pour un sujet plus sérieux...
H-Cl.
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bonsoirs37 · 2 years ago
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14/04 étape 10. Villefollet (79)- Courcelles (17) Comment résumer cette étape ? Humide, pluvieuse, mouillée, trempée, imbibée... Au-dessus du genou, j'étais au sec et en dessous c'était comme si j'étais dans l'eau. C'est quoi ce pays où il pleut pendant 3h00 sans s'arrêter ? Je suis parti à 7h05 et 10 mn plus tard, la cabane est tombée sur le chien, 3h durant. Mais il y avait aussi le vent.. alors les 2 combinés c'était vraiment exténuant. Pour la première fois, j'avais ma dose. Je me suis arrêté à Paillé (350 hab), pour déjeuner, un seul menu, mais un régal. Je me serais cru chez Mauricette (à Diou 36 ou je suis né) dans les années 70 avec les mêmes personnages au bar. C'est chouette d'encore trouver ça dans nos campagnes. Pas de pluie pendant le déjeuner mais au moment où j'ai le pied dehors à 13h30 ...bis repetita, et là ça n'a pas arrêté jusqu'à mon arrivée chez Marie-Jeanne. A mon arrivée après la douche, il faut s'occuper de GG et DD, je vous rassure ils vont bien . Chaque matin avant de partir et chaque soir à mon arrivée, je les bichonne : une noisette de NOK avec un peu de gel aloe Vera et massage pour les 2 . Pour l'instant ça marche, c'est le pied. Aujourd'hui pas trop l'occasion de faire des photos, fautes à Eole et Hyades. En Charente Maritime, le chemin de St Jacques est balisé avec ces pierres reconstituées avec la coquille en relief (en plus du balisage officiel) Ça en jette. Je vais me reposer avant d'aller dîner avec Marie Jeanne. A demain ou ce soir peut être.
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chifourmi · 2 years ago
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Bon, c'est avec le peu d'énergie que j'ai que je vous partage enfin le bilan de mon voyage au Canada.
Niveau évolution mentale :
- J'ai compris que je suis faite pour voyager. Mais j'aimerais bien essayer d'être vraiment toute seule la prochaine fois.
- Je n'étais plus dans l'ambiance toxique de ma famille donc je n'ai pas crié pendant 3 mois!!! Du coup à côté du stress que j'avais pour les choses de tous les jours, je me sentais quand même plus apaisée là où j'étais.
- Je suis sortie de ma grotte et je me suis rendu compte que le fait de m'être complètement renfermée depuis le covid m'a rendu intolérante aux moindres défauts des gens. Mais du coup le fait de n'être jamais seule m'a aidé à travailler là dessus.
Niveau expériences :
- Déjà entre Québec, Montréal et Ottawa, je préfère Québec.
Québec est tellement safe et cocooning. Les gens sortent tôt et repartent tôt. Tu peux rentrer toute seule en pleine nuit. Il y a plus de nature mais il faut impérativement avoir une voiture. C'est trop galère de faire tout en bus.
Montréal est incroyable. L'ambiance est folle. Y a des lumières partout, des magasins partout. Il y a trop de choses à faire. Dont une expo Barbie gratuite!! (Nan mais c'était vraiment stylé par contre)
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Ottawa est... méga flippant. Y a des sdf DANGEREUX. Ils se trimballent avec des couteaux énormes, certains te poursuivent en tapant des casseroles et en criant, les serveurs sortent de leur resto et te suivent si tu ne leur a pas donné de pourboire?? Et la police est partout mais apparemment elle n'agit pas beaucoup.
- J'ai goûté des tas de spécialités : poutine, pudding chômeur, tourtière, la queue de castor (une dinguerie), la tire d'érable (j'en rafolle), pâté à la viande, tarte au sucre, et j'en oublie sûrement. Je crois que parmi tout ça, mon préféré était la tire d'érable, je vous jure c'est incroyable. Concernant la poutine, j'ai été un peu déçue parce que tout le monde en parlait tellement que je pensais que ça aurait un goût particulier mais c'est assez banal en vrai. Après c'est très "réconfortant" et je comprends qu'ils en rafollent même si c'est pas ULTRA bon. Je ne sais pas si vous comprenez ce que je veux dire? C'est comme les pop corn devant un cinéma, c'est un classique dont tu ne te passes pas.
- J'ai découvert plusieurs artistes québecois. J'ai beaucoup écouté "Les trois accords". Ma chanson préférée d'eux s'appelle "les amoureux qui s'aiment", je la trouve hyper réconfortante :
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On a bien rigolé en écoutant "coton ouaté" de "Bleu jeans bleu" :
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Et sinon une chanson du folklore Québécois qui va vous rester en tête toute la journée si vous l'écouter :
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- Concernant ce qu'on a visité au Québec : on a vu les chutes Montmorency, les chutes de la Chaudière, le vieux-Québec et son marché de Noël Allemand (toujours pas compris pourquoi Allemand), des show de Drag Queen pour la première fois, on a été dans un bar à arcade pour la première fois aussi, le parc Jacques Cartier en automne ET en hiver (c'était vraiment dingue), on a voulu tester le chien de traîneau mais y avait pas assez de neige donc on a juste pu faire coucou aux chiens 🥲, les plaines d'Abraham, le parc du bois de Coulonge, on a été à Lévis en prenant le traversier, on a été dans un bar à jeu de société, on a fait un escape game qu'on a foiré mdr, on a fait du patinage sur une patinoire naturelle, on a vu la rue St-Joseph, on est allées dans une cabane à sucre, on a vu des illuminations dans les bois qui racontaient l'histoire du peuple des Huron-Wendat, on a vu un match de hockey, on a été à l'observatoire de Québec, et sûrement d'autres choses mais je m'en rappelle pas.
Concernant Montréal on a vu la ville souterraine, le plateau Mont-Royal, la pointe à Caillière, le vieux Montréal, le vieux-port, l'oratoire, le musée des Beaux-arts, la Grande Roue, et des rues avec de beelles maisons mais on est restées que 4 jours donc on a pas pu tout voir.
À Ottawa on est restées à l'intérieur la plupart du temps parce qu'on s'est vite rendu compte que ce n'était pas safe et en plus à ce moment là il faisait extrêmement froid. On est quand même allées voir le parlement qui était vachement stylé.
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Depuis que je suis revenue :
- Le jetlag est ultra présent. Je dors de 23h à 1h puis j'arrive à me rendormir seulement vers 5h du mat. J'ai faim en plein milieu de la nuit?? Je n'arrive à rien faire de mes journées pour l'instant....
- J'essaye d'être méga tolérante avec ma famille parce que je ne veux plus être dans cette ambiance de dispute h24.
- Mes chats reviennent dans ma chambre. Apparemment ils l'avaient désertée depuis que j'étais partie 🥺
Je pense que ça résume plutôt bien mon séjour là-bas et ce que j'en retiens!
(15/01/2023)
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learning-to-think · 2 years ago
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🎵
Choose an artist you like and use their songs to answer this as close to the truth as possible!
@violetsnotebook tagged anyone who wanted to do it, so I jumped on the bandwagon! Thank you for the invitation <3
I'm going to do it with a French artist, his songs are in French, so I'll try and translate the lyrics for y'all ^^
Artist/Band: Jean-Jacques Goldman / Maroon 5
Gender: "C'était un p'tit bonhomme, rien qu'un tout p'tit bonhomme / Malhabile et rêveur, un peu loupé en somme / Se croyait inutile, banni des autres hommes" - Il changeait la vie ('It was a lil boy, nothing but a very little boy / Clumsy and dreamy, a little failed to summarise / Believed himself useless, banned from other men' - He changed life)
Describe yourself: "Ici, tout est joué d'avance / Et l'on n'y peut rien changer / Tout dépend de ta naissance / Et moi je ne suis pas bien né" - Là-bas ('Here, all is already decided / And we cannot change anything / Everything depends on your birth / And me, I'm not well born' - Over there)
How do you feel: "Encore un matin / Qui cherche et qui doute / Matin perdu cherche une route" - Encore un Matin ('Another morning / looking and doubting / Lost morning looking for a road' - Another Morning)
If you could go anywhere, where would it be: "Ici, nos rêves sont étroits / C'est pour ça que j'irai là-bas" - Là-bas ('Here, our dreams are cramped / That's why I'll go over there') OR "Et loin de nos villes / Comme octobre l'est d'avril' - Puisque tu pars ('And far from nos cities / As October is from April' - Seeing as you're leaving)
Best friend(s): 'Elle est mon sol, elle est mon ciel / Elle est là même où mes pas ne me guident pas / [...] / Elle est plus que ma vie, elle est bien mieux que moi / Elle est ce qui me reste quand je fais plus le poids" - Je ne vous parlerai pas d'elle ('She's my ground, she's my sky / She's even where my steps don't guide me / [...] / She's more than my life, she's way better than me / She's all I've got left when I don't measure up any more' - I won't tell you about her)
Favorite time of day: "Minuit se lève / En haut des tours / Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd / La nuit camoufle" - Envole-moi ('Midnight rises / At the top of the towers / The voices stop talked and all becomes blind and deaf / The night conceals' - Fly me away)
If my life was a TV show: "Le moment viendra, tout changera de place / Il suffira d'un signe / Un matin" - Il suffira d'un signe ('The time will come, everything will move places / A sign will be enough')
Relationship status: "On n'aura jamais de train pour l'amour / Jamais d'horaires, de rails, sans détour, à vie / J'l'aime aussi" - Je l'aime aussi ('We will never get a train for love / no schedule, no railway, no detour, for life / I like 'em too' - I like them too) (Note: 'them' is a singular gender neutral pronoun here, because, out of context, 'l' could be short for 'le' or 'la'... and the person I'm thinking about is a they/them user. \o/)
Fear: "J'oublierai ton nom / De mille façons / Et cette certitude / Me fait plus mal encore" - J'oublierai ton nom ('I will forget your name / In a thousand ways / And that certitude / Hurts me even more' - I will forget your name)
I found a translation of "Il Suffira d'Un Signe" but??? the English translation was all about a guy waiting for a girl to give him a sign that there might be a possibility for them to be romantically involved, when??? the French version is Not Like That. Like, literally, not the same song at all.
Again, anyone who sees this and wants to do it is welcome! I'll tag a few people @fluencylevelfrench @nordic-language-love @jezatalks @eliskydavajidobrounoc @romancelangs
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girafeduvexin · 2 years ago
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Laurent Boyer : Je crois savoir, j'ai vu quelque part ton ancien prof de violon dire que t'étais relativement doué, mais que tu étais un peu fainéant. Genre, il est doué mais il veut rien faire.
Jean-Jacques Goldman : J'étais pas, oui... C'est une caractéristique qui m'a suivi et qui continue à me poursuivre [rires de Laurent Boyer]. Je parle pour la fainéantise !
Laurent Boyer : Ça t'ennuyait l'école ?
Jean-Jacques Goldman : Ouais.
Laurent Boyer : Passionné par quoi, par les filles ?
Jean-Jacques Goldman : Ça me paraissait tellement inaccessible ! J'étais très très décalé. Les autres étaient coiffés, ils avaient des vêtements à la mode. Nous on était dans un monde un peu à part. J'avais des culottes courtes jusqu'à j'sais pas quel âge, je faisais mon violon, j'étais boy scout. Les autres, ils allaient au café tout seuls. Je me sentais toujours... [rires] J'étais pas comme eux quoi !
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lalignedujour · 2 years ago
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J'attends le métro.
"Les gens sont beaux". La phrase me vient involontairement. La phrase de Baptiste Beaulieu. Je pense aussi au morceau de Jacques. Je pense à la richesse émotionnelle d'une personne multipliée par tant de personnes. Davantage sur ces deux quais que dans ma commune. C'est beau tout ça. Tout le monde est beau.
Je viens d'arriver dans la ville. Habituellement, je voyage avec ma valise de régie. Mais depuis que je suis salarié de la compagnie, je n'ai plus à amener mon matériel. Je voyage léger.
Dans le métro, un monsieur sent le tabac froid. Une fille fait défiler les TikTok. Un gars regarde des vidéos de foot en faisant la gueule. Deux ados parlent en "tch" (luntchi, jeutchi). Une femme entre, ses lunettes sont beaucoup trop basses par rapport à ses yeux. "Les gens sont moches". La phrase me vient involontairement.
Je sors de la station, je suis derrière une des ados vulgaires. Ses cheveux sentent bon. Le gars de la vidéo de foot avait vraiment de très beaux traits. Deux ados amoureux.ses, maladroit.es, s'embrassent en attendant le bus. Les gens sont beaux, les gens sont moches. Ça dépend ce qu'on regarde ou ce qu'on sent. Les gens sont comme ça, et c'est beau.
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fuckyouwitches · 1 year ago
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Un être sans âme... C'est pas faux. Mais faut pas hésiter à parler de bêtise, de stupidité, de connerie. Parce qu'il est franchement très très con. Je ne vois rien d'intelligent dans la manière qu'il a eut de te traiter. J'en reviens au fait qu'il t'ai dit qu'il t'aimait pour te larguer 5 minutes plus tard. Ce mec est un gros con. Il a été bercé trop prêt du mur hein. C'est le cas de beaucoup de belges apparemment. Bref, Dieu merci, c'est de l'histoire ancienne ! Bisou bella
Hahaha ! Et bien je ne te contredirais pas ! C'est incontestablement un vrai con. Les belges peuvent être très gentils. Mais opportunistes avec nous. Ils veulent tout de nous, jusqu'à notre identité. Ils nous flattent avec de belles paroles comme "pays frère", alors qu'ils n'hésitent pas à la première occasion à nous poignarder dans le dos. Ils veulent avoir accès à tous nos médias, comme si ça parlait d'eux, ils ont exigé de pourvoir regarder nos chaines de télévision sans payer un centime, au frais des contribuables français, ils veulent lire tous nos écrivains, écouter tous nos chanteurs, s'habiller et parler comme nous, mais je note que par exemple, pendant des années, la France donnait systématiquement à la Belgique 12 points (le maximum) à l'Eurovision tandis qu'eux donnaient les 12 points à d'autres pays. Un jour, très récent, la France, a enfin cessé son aveuglement : depuis 2 ans, c'est zéro vote pour la Belgique ! Pas trop tôt. Ils veulent toutes nos technologies mais achètent des F-35 aux américains alors qu'ils sont censés acheter européen, donc français, donc Dassault, donc le Rafale. Dassault vient de les éjecter de son titanesque projet avec ces mots : "Pourquoi j'inclurais des traitres comme les belges dans mon projet ? Qu'ils continuent à acheter américains !". Les belges ultra vexés et culottés, se plaignent, depuis lors, de ne plus faire partie du projets Dassault malgré leur indéniable trahison.
Jacques Brel a été rejeté par presque toutes les maisons de disques belges et il ne trouvait pas le succès. Il débarque en France, vit à Montmartre, tente sa chance en bouffant les pissenlits par la racine jusqu'à ce qu'une maison de disque française le prenne en charge. Là, l'immense succès que l'on connait. Et bien dès que les étrangers se trompent en disant de Brel "french singer", les belges rappliquent en clamant super énervés "He was NOT french he was a belgian man". Même chose avec Stromae, qui, sans la France n'aurait jamais percé et ils continuent avec leur agaçante Angèle. Les frites ont été inventées en France, précisément à Paris. Ils s'attribuent la recette alors que des preuves historiques existent. Et cetera, et cetera... Opportunistes, pas sincères, traitres et ingrats.
C'est un peu ça le Ô, un vieux con belge aux belles paroles, lâche comme pas deux et traitre. Et puis il est germanophile. Sauf quand ça l'arrange. je remarquais qu'il s'identifiait aux allemands mais se servait généreusement dans l'art français pour ses billets. Un vrai con quoi !
Baptiste, lui, est bien français ;-) bisou douceur.
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Le solutionnisme technologique à l’épreuve de la logique et de l’irréductibilité du sujet
La prétention transhumaniste prédit la mort de la mort, c’est le fil de son marché, ce qui l’a mise "en marche". Mais la prédiction est un art difficile, surtout lorsqu’il s’agit de l’avenir..
Ce que les esprits bi-dimensionnels, les semi-habiles, les apôtres du binarisme technologique (majoritaires de nos jours) ne peuvent pas saisir, faute de savoir compter jusqu’à trois, c’est que la dimension dialectique en tant qu’elle est devenue depuis Hegel un strict équivalent de la logique elle-même, fait que "la mort de la mort" ne saurait revenir à la vie.
Pour le penseur de la négativité, la négation d’un négation ne revient jamais à l’affirmation première, c’est un fait logique, qui trouvera son éclatante confirmation dans la psychanalyse: ne sommes-nous pas toujours déjà, en tant que sujet de l’inconscient [noté S barré ($) par Lacan], le résultat d’une négation de la négation?
La première négation m’aura coupé de l’identification immédiate à mon corps, je suis forcé de passer par le langage...
Puis négation de la négation oblige: c’est le langage lui-même qui est nié, le sujet ne s'y trouve pas (rejet de la chaîne signifiante) étant toujours "représenté" par un signifiant pour un autre signifiant qui ne le représente pas...
Quand une "chose" est niée, j'obtiens en lieu et place de cette chose "rien" (res qui signifie "chose", est l'étymon latin de rien); puis ce rien est nié à son tour et je me retrouve avec "moins que rien", un rien marqué du signe négatif, pas un rien qui serait la négation de quelque "chose" (ça c'était la première négation) mais la négation d'un rien, une sorte d'inconsistance pré-ontologique qui crée un manque au cœur même du vide (raison pour laquelle, le Dieu de la Kabbale fut prié de créer au préalable le néant...)
En tant que simplement vivants, ne sommes-nous pas toujours déjà des résidents de cette zone du "moins que rien" comme un reste qui persiste en survivant à sa propre auto-annihilation?
La différence entre le sujet de la psychanalyse et le sujet de la philosophie, c’est que s’il y a bien un sujet de l’inconscient (déduit par la logique de performativité rétroactive du signifiant) il n’y a pas d’inconscient du sujet, ce en quoi le sujet $ est RÉEL.
«Le réel, le seul réel que nous touchons c'est la fente dont se définit le sujet». (Jacques Lacan)
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christophe76460 · 28 days ago
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08 octobre 2024.
Nous découvrons qui est Dieu.
Dans Jean 10, verset 30, on découvre les Juifs qui demandent à Jésus qu'il leur disent ouvertement s'il est le Messie. Il leur répond que oui. A partir de là, leur rage les conduit à vouloir le faire mourir en l'accusant, verset 33.
Jésus se déclare donc "Fils de Dieu" et il a raison.
Dans la Parole de Dieu il est souvent question de "fils de..." et il est intéressant de s'y attarder maintenant.
Par exemple : être fils de prophète signifie qu'on appartient à l'ordre des prophètes. Voir 1 Rois 20 verset 35.
De même, si l'on était fils de chantres c'est qu'on l'était soi-même. Voir Néhémie 12 v 28.
Autre exemple dans Marc 3 verset 17, Jacques et Jean furent appelés par Jésus, des fils du tonnerre. Quelle idée ! Mais pourquoi ? C'est juste parce que ces messieurs avaient un caractère impétueux, pas forcément parce que leurs parents l'étaient, évidemment.
Vous connaissez tous les particularités de la langue française. Enfin je pense...
Il paraît que je suis (Jean-Marc) fils de la France. Oh, j'en ai de la chance, non ? Mais maman et papa s'appellent Jeanine et Michel. Et mon nom de famille... Bah non, ce n'est pas France. Être fils de la France ça indique juste que je suis français avec la culture française incrustée en moi.
Quand j'étais gamin, étant Parisien de naissance, quand je suis parti en province on m'appelait le "titi de Paris", le gamin ou fils de Paris. Vous comprenez certainement...
Et comme je ne suis pas là pour parler de moi, je reviens à l'affirmation de Jésus qui se déclare Fils de Dieu, cela indique tout simplement qu'il est du même ordre et de la même nature que Dieu.
C'est ainsi que ces paroles lues dans ce chapitre 10 de Jean et ailleurs dans les évangiles nous prouvent sa parfaite et complète divinité.
Il a donc tout à fait et légitimement le droit de dire, comme cité ci-dessus :
"Moi et le Père, nous sommes un".
Vos frères Jean-Marc et Nicolas.
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vulnerablequeen · 1 month ago
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La ruelle
J’écris sur mon balcon le ¾ du temps. Je ne sais pas ce que je vais faire en hiver. Je ne sais pas comment j’ai fait pour écrire sur mon divan ou à ma table de cuisine pendant tout ce temps.
La ruelle m’apaise.
Après quatre ans à vivre dans mon appart actuel, j’ai découvert un plaisir inégalé: celui de me statcher au gros soleil sur mon balcon. Bon, c’pas 100% vrai: quand il fait chaud je rentre à l’intérieur parce que je su comme une vieille guénille détrempée après avoir lavé son char. C’est l’image que j’ai de moi quand je suis en sueur. Je ne suis pas Jessica Simpson au lave-auto dans le clip These Boots Are Made For Walking. Nenon: je suis l’éponge surdimensionnée qui ruisselle pendant une chaude journée au car wash.
Toujours est-il que j’adore ma ruelle. Les gens qui la peuplent ont l’air d’être de maudites bonnes personnes. L’autre jour, j’entendais Sylvie (j’assume que son nom est Sylvie par sa gestuelle et la bonté dans sa voix) parler au téléphone avec Michel (je sais son nom, car elle le répétait assez souvent). Elle lui disait qu’elle pensait à lui. Elle a même dit, dans un anglais aussi cassé que les lunettes que mon chat a cr*ssées par terre: « I’m there for you mon Michel ». Je ne sais pas ce que Michel traversait, mais ma Sylvie allait être là. Ça m’a ému. Je l’aime Sylvie. Ou Chantal. Ou Sonia. Ou peu importe son nom. Un cœur sur la main, ça n’a pas de nom ni de visage. Mais ce qui me vient en tête en relisant cette expression, c’est la tunique mauve, les cheveux grisâtres un peu décoiffés par la paire de lunettes qui couronnent notre reine, Sylvie. Elle habite avec un grand bonhomme, appelons-le Jacques, qui m’a l’air tout aussi sympathique. Je ne sais pas pourquoi. J'ai envie de croire que ce sont de bonnes personnes. Le cynisme me démange souvent, mais c'est l'espoir qui apaise les plaies, dans tous les sens du terme.
L’autre jour, je les voyais avec leurs chum·es et juste assez de bières pour bien profiter d’un samedi après-midi. Les enfants d’à côté hurlaient dans la piscine et ça ne leur faisait pas un pli sua’ canette.
Les chialeux et chialeuses jappent fort, mais la majorité silencieuse, elle, est sereine sous un parasol vert lime. Et elle est composée de Sylvie, de Jacques et de leurs ami·es qui se jasent entre eux et elles. J’entends souvent des rires quand j'écris ou je travaille. Je n’écoute pas les conversations non plus, je ne les entends pas. C’est leur musicalité, leurs intonations qui atterrissent dans mes oreilles, comme la bass du Piknic Électronik le dimanche. 
À l’heure où j’écris, près de 22h00, il n’y a plus personne dans la ruelle. Il n’y a que les chats qui se promènent.
Je ne peux donc pas dire qu’il n’y a pas un chat.
Ce serait vous mentir.
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zoeobdura · 2 months ago
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Croyances
Abderhamann, Martin, David. Et si le ciel était vide.
Je ne crois pas en Dieu. Dieu ne m'appelle pas. Je vous dirais bien que je crois en moi. Qu'est-ce que ça veut dire croire en soi ? Se pourrait-il que tout comme lui, je n'existe pas ? Descartes disait je pense donc je suis. Moi je crois, et pardonnez-moi si je plombe l'ambiance, que c'est à sa douleur qu'on se sent vivre. Alors j'imagine que depuis toi je crois en moi. C'est marrant, j'aurais plutôt dit l'inverse.
Je crois en moi. Je crois que je m'aime.
J'aime mes yeux verts et mes pupilles qui s'agrandissaient quand tu entrais dans le bar.
J'aime mes taches de rousseur que tu trouvais bien trop candides toi qui connaissais mes ardeurs et mon insatiabilité
J'aime mes joues rondes qui t'ont laissé approcher croyant que j'étais bien plus docile que je ne le suis.
J'aime ma ride du lion comme la marque de ma lassitude de ne jamais croire à tes mensonges
J'aime mes cernes de nuits et d'années passées à croire que j'en aimerais un jour un autre
J'aime le pli sur mes paupières des nuits de profonde solitude à espérer qu'un Dieu me délivre de toi
J'aime ma voix rauque qui prononce des phrases si dramatiques que vous croiriez qu'elles sont fausses.
Caché sous cette énorme poitrine, j'aime mon coeur qui croyait que je survivrais pas cette fois-ci. Et regarde, me voilà, prête à croire les mensonges d'un autre. Prête à croire à nouveau que cette fois-ci ça marchera. Prête aussi à me chérir pour l'éternité si personne n'agrippe mon bras. Prête à me noyer dans le travail pour éviter de faire face à l'absurdité d'avoir un si grand lit.
Nostalgique de naissance, je crois au passé plus qu'à l'avenir. Je regarde inlassablement les mêmes films de Jacques Demy espérant découvrir un détail qui m'avait échappé. Quand une chose me plaît, je l'attrape, je l'agrippe, je la saigne jusqu'à l'étouffer. Les demoiselles de Rochefort, Robin, ma bouteille de vin.
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