#// je vous demande pardon : excuse me
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ludivinevanckerwisky · 16 days ago
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Les 6 rĂšgles...
Association : Spencer Reid x Lectrice
RĂ©sumĂ© : Tu as eu de mauvaises expĂ©riences sexuelle dans le passĂ© et alors qu'un soir vous ĂȘtes sur le point de coucher ensemble. Vous lui faĂźtes par des 6 rĂšgles Ă  ne jamais franchir...
Avertissements : MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, aucune réelle scÚne de sexe mais évoquation de traumatises dû au sexe. Manque de confiance en soi.
Avant Spencer, vous aviez connu des relations tumultueuses. Tous les hommes avant lui vous avaient blessée, ne cherchant que le plaisir éphémÚre avant de s'éclipser avec des excuses toutes faites :
"Urgence familiale","Ma copine m'attend",ou encore "Nous deux, c'Ă©tait juste pour s'amuser, on est d'accord ?"
Mais Spencer Ă©tait diffĂ©rent. Cela faisait trois mois que vous sortiez ensemble, et il n’avait jamais exigĂ© quoi que ce soit. Au dĂ©but, vous aviez peur de faire quelque chose de travers. Puis il vous avait expliquĂ©, doucement, qu’il voulait prendre son temps. Avec lui, tout semblait naturel. Vous aviez dansĂ© et ri ensemble sous le regard amusĂ© de Derek, et ce soir-lĂ , en rentrant, Spencer vous avait embrassĂ©e et plaquĂ©e doucement contre la porte.Ses lĂšvres avaient explorĂ© votre cou alors qu’il vous guidait vers le canapĂ©. Il s’était allongĂ© au-dessus de vous, ses gestes empreints d’une tendresse que vous n’aviez jamais connue. Mais alors que la passion montait, des souvenirs douloureux remontĂšrent Ă  la surface. Votre corps se crispa.
Spencer s’écarta immĂ©diatement, le regard inquiet.
— Ça va ? demanda-t-il doucement.
— Oui
 pardon.Vous tentĂątes de le ramener contre vous, de lui faire oublier votre hĂ©sitation, mais il resta en retrait, ses yeux dĂ©bordant de tendresse et de prĂ©occupation.
— On peut s’arrĂȘter lĂ  si tu veux.Vous secouĂątes la tĂȘte.
— Non, non
 pardon. C’est juste que
Vous vous redressñtes pour lui faire face, les mots difficiles à trouver.
— Je n’ai jamais eu
 de trĂšs belles expĂ©riences. Alors j’ai quelques apprĂ©hensions
Spencer sembla peinĂ©. Il se pencha pour dĂ©poser des baisers doux sur votre front, vos joues, puis vos lĂšvres.
— Je peux faire quelque chose pour t’aider ? demanda-t-il doucement.
— Oui
 enfin, est-ce que je peux te demander quelque chose ? Il hocha la tĂȘte, attentif, et vous laissa de l’espace, bien que son regard restĂąt rivĂ© sur vous.
— Il y a six choses que je
 que je n’aimerais pas faire. Est-ce que tu pourrais les respecter, s’il te plaüt ?
Spencer parut surpris un instant, mais il acquiesça. Il vous allongea dĂ©licatement sur le canapĂ©, glissa un oreiller sous votre tĂȘte pour votre confort, puis se pencha Ă  nouveau, reprenant ses baisers.
— Vas-y, je t’écoute, dit-il entre deux baisers sur votre cou.
Un peu troublée, vous osùtes murmurer :
— Pas par derriĂšre. Et ne me retourne pas sans me prĂ©venir, s’il te plaĂźt.Il s’arrĂȘta pour vous regarder.
— Je peux te demander pourquoi ?
Vous posĂątes une main sur ses yeux, gĂȘnĂ©e.
— Mes exs avaient l’habitude de
 me coincer. Tu comprends ?
Il ne bougea pas, respectant votre silence, et reprit doucement ses baisers sur vos joues. Vous retßntes difficilement vos larmes face à tant de délicatesse.
— Continue, ça fait une chose

— Si tu veux une fellation, demande-moi. Ne prends pas ma tĂȘte violemment.
Ses baisers devinrent plus intenses, et il resserra doucement l’étreinte entre vos corps.
— Pas contre les murs, ajoutĂątes-vous aprĂšs un moment. Une fois, ma tĂȘte a violemment heurtĂ© un mur, et
 il n’a mĂȘme pas pris la peine de vĂ©rifier si ça allait.
Votre respiration s’accĂ©lĂ©ra sous l’effet de ses mains caressant tendrement votre taille.
— Ne tire pas mes cheveux, s’il te plaĂźt, murmurĂątes-vous, dĂ©tournant lĂ©gĂšrement la tĂȘte.Vous hĂ©sitĂątes avant de continuer :
— Pas sur le sol non plus. La derniĂšre fois ça m’a laissĂ© des bleus horribles. Votre voix se brisa sur la derniĂšre requĂȘte :
— Et si je te demande d’arrĂȘter
 promets-moi que tu t’arrĂȘteras.
Spencer enleva votre main pour déposer un long baiser sur vos lÚvres.
— Je te promets de respecter ces six rùgles, dit-il doucement. Mais je te promets aussi qu’aucun homme ne franchira ces limites.
Vous vouliez le remercier, mais les mots se perdirent dans des larmes silencieuses.
Spencer les vit aussitÎt et vous serra tendrement dans ses bras, ses lÚvres déposant encore des baisers doux sur votre visage.
— Merci, Spencer. Je t’aime tellement.
— Tu mĂ©rites le meilleur, rĂ©pondit-il. Je t’aime aussi.
Cette nuit-lĂ , vous vous endormĂźtes dans ses bras, sans qu’il ne relĂąche son Ă©treinte, comme pour vous protĂ©ger de tous les souvenirs passĂ©s.
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selidren · 4 months ago
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
7/10
Je lui ai demandĂ© de ne pas le faire. Vous savez, il a commencĂ© Ă  dix-sept ans sans vraiment avoir le choix. Mon grand-pĂšre avait disparu, mon pĂšre Ă©tait un adolescent de treize ans et ma grand-mĂšre Ă©tait dĂ©jĂ  une vieille dame. Je me dis que ça n'a pas du ĂȘtre facile. Il veut sans doute que je reprenne le flambeau aussi tĂŽt par tradition et il pense que j'ai au mauvaise opinion de mes capacitĂ©s. Je crois que lui aussi, malgrĂ© les annĂ©es, ne se pense pas toujours digne. Il se serait sans doute dĂ©chargĂ© d'un poids je suppose.
Mais moi je ne suis pas prĂȘte. Pensez-vous ! Mes parents me traitent comme une adulte, mais il n'y a guĂšre que ma soeur ClĂ©o pour se voir comme une adulte par ici. Peut-ĂȘtre Antoine aussi, mais lui a toujours plus ou moins Ă©tĂ© un adulte, mĂȘme quand nous Ă©tions petits ! Je me demande mĂȘme ce que ça veut dire "ĂȘtre adulte", si ce n'est passer un Ăąge symbolique qui signifierai qu'on sait enfin ce qu'on est en train de faire et que les Ă©checs vont couter cher. Je refuse de prendre de telles responsabilitĂ©s tout de suite, surtout si j'ai la chance d'attendre un peu.
Transcription :
Adelphe « Je n’en ai assez de rien. Je ne sais pas quelle image tu as de toi-mĂȘme NoĂ©, mais tu n’as jamais Ă©tĂ© un fardeau pour moi. Si je t’ai enseignĂ© le mĂ©tier, ce n’est pas par amour ou sens du devoir envers ton pĂšre. Ce n’est pas non plus parce que EugĂ©nie Le Bris l’a diligemment commandĂ©. C’était tout simplement parce que tu me l’as demandĂ© et que cela te tenais Ă  coeur. Je mentirais en disant que je n’apprĂ©cierai pas du temps Ă  passer avec mes enfants et mon petit-enfant qui va naĂźtre, mais je peux tout aussi bien ĂȘtre ici et auprĂšs d’eux. »
ArsinoĂ© « Pardon, je  »
Adelphe « Assez avec les excuses jeune fille ! Il va falloir te montrer un peu plus assertive. Si c’est ton souhait d’attendre, alors nous attendrons. »
ArsinoĂ© « J’aime bien l’idĂ©e d’avoir du temps pour me prĂ©parer. »
Adelphe « Alors ce temps, nous le prendrons. »
ArsinoĂ© « Merci mon oncle. Mais mĂȘme aprĂšs, j’aimerai que vous ne vous effaciez pas trop. Que nous soyons davantage partenaires. Comme des associĂ©s en quelques sortes. MĂȘme si c’est mon nom sur les papiers et la devanture. »
Adelphe « Je suis plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ©, un homme de surcroĂźt. Sans compter que les clients sont habituĂ©s Ă  traiter avec moi depuis des dĂ©cennies. J’ai peur de te supplanter si je ne m’efface pas derriĂšre toi, ou pire, que nos clients te contournent pour traiter directement avec moi. »
Arsinoé « Moi, ça ne me fait pas peur. »
Adelphe « Vraiment ? »
ArsinoĂ© « Je vous connais trop bien mon oncle. Si jamais cela devait arriver, vous seriez tellement mortifiĂ© que vous feriez en sorte que cela ne se reproduise pas. Et tout ça sans mĂȘme que je m’en rende compte. »
Adelphe « Ah ah ! Ce n’est pas faux ! Et puis j’admets que, dans mes jeunes annĂ©es, j’aurai apprĂ©ciĂ© que ton grand-pĂšre ait Ă©tĂ© derriĂšre moi, ne serait-ce que pour me rassurer. »
ArsinoĂ© « Alors vous voyez ? Papa m’a toujours dit que je pourrai compter sur vous, quoi qu’il arrive. »
Adelphe « Je ne sais pas ce que j’ai pu faire pour mĂ©riter une telle confiance, mais je suis vraiment touchĂ©. »
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claudehenrion · 2 years ago
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Peut-on ĂȘtre aussi bĂȘte ?
  Je dois reconnaĂźtre, pour ma plus grande honte, que je me suis bien ‘’planté’’ et  ''emmĂȘlĂ© les pinceaux'' sur les dates des vacances scolaires de la zĂŽne ''C'', Ă  un degrĂ© de graviitĂ© qui dĂ©passe l'entendement. Je vous en demande pardon.
Mais j'avais une excuse à invoquer (quant à savoir si vous allez l'accepter... je m'en remets à vous !) : un tir groupé de 4 abcÚs dentaires a fait de moi une caricature de ce que je suis en temps normal. Inconsciemment (je suppose) j'avais vraiment envie que les vacances commencent trÚs vite, ceci expliquant sans doute cela...
Compte tenu des circonstances, je ne me sens pas le courage de ''repartir'' pour une semaine... et je vous demande donc, chers amis-lecteurs, de conserver les dates qui étaient proposées dans mon éditorial de ce 10 février : reprise le 8 Mars.
Pardon encore et Bonnes vacances, tout de mĂȘme, quand le temps sera venu.
Claude Henrion, alias H-Cl.
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ongatheringsimsandstories · 1 year ago
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NSBC ‱ Chapitre 10
Ok
 C’était bizarre, mais qu’est-ce que c’était bien ! Bon, j’ai eu l’impression de me faire fouiller la cervelle, mais pour la scientifique que je suis, c’est un Ă©norme pas !
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Lorsque je suis rentrĂ©e, Edward m’a jetĂ© un regard soulagĂ© de la porte de la salle de bain ouverte, alors qu’il apprenait Ă  Gabriel Ă  faire sur le pot. Victoria lisait, mais elle a reposĂ© son ouvrage et m’a proposĂ© une partie d’échecs, ce que j’ai acceptĂ©. Et devinez quoi

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J’ai gagnĂ©. Pour la premiĂšre fois.
« FĂ©licitations, Solange. Je n’ai plus rien Ă  t’apprendre de ce cĂŽtĂ©-lĂ . »
Vous ne rĂȘvez pas, elle me tutoie. Depuis la naissance de Gabriel, en fait. Je pense qu’elle me considĂšre vraiment comme faisant partie de sa famille, maintenant. Et ça me fait chaud au cƓur. Car personne ne s’approche facilement de Victoria O’Riley.
Elle est partie le sourire aux lĂšvres ce soir-lĂ , alors que tout le monde Ă©tait fatiguĂ© et qu’Edward venait d’aller coucher Gabriel.
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‱
Aujourd’hui, c’est la FĂȘte des RĂ©coltes ! Ce qui veut dire
 une occasion pour faire la fĂȘte ! Bon, d’accord, on va ĂȘtre Ă  nouveau que quatre, mais ça fait du bien de passer du temps en famille, non ?
Au saut du lit, j’ai vu un gnome dans notre chambre
 je lui ai donc offert à manger, histoire qu’il ne s’approche pas trop de mon fils avec des mauvaises intentions, on n’est jamais trop prudents

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« C’est bon, M. le Gnome ? Vous ĂȘtes heureux ? »
Il n’a pas rĂ©pondu, j’ai pris ça pour un oui. Mais Edward, lui, a rĂ©ussi Ă  en Ă©nerver un

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M’en fiche, c’est lui qui rĂ©pare les objets cassĂ©s aprĂšs, hein ! Bon, il a prĂ©fĂ©rĂ© s’enfuir au lieu de demander pardon, alors c’est moi qui m’y colle

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Mais il n’a pas aimĂ© mes excuses, apparemment

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Merci, Ed, je te revaudrais ça, sale froussard !
Bon, et bah puisque ça marche pas, employons les grands moyens

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« Mais Solange, qu’est-ce que tu fais ?!
— Je nous dĂ©barrasse d’une nuisance. »
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Et voilà le travail !
« Super ma puce, merci

— Mais de rien. En revanche, la prochaine fois, Ă©vite de les mettre en colĂšre  »
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Pour se faire pardonner, il a dĂ©crĂ©tĂ© que c’était lui qui s’occupait du Grand Repas. Je n’ai pas protestĂ©, Ă©tant donnĂ© que, quand mĂȘme, de nous deux, c’est lui qui cuisine le mieux

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En attendant qu’il finisse, et que Victoria arrive, je me suis occupĂ©e de dĂ©corer la maison.
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Y’avait un de ces bazars dans ces boĂźtes
 Pas facile de trouver quelque chose d’intĂ©ressant. Mais finalement

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 nous nous retrouvons tous Ă  festoyer autour d’une dinde en tofu, dans une maison bien dĂ©corĂ©e !
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« Alors, t’en penses quoi, Vic’ ? C’est pas de la viande, mais c’est bon, non ?
— C’est pas mal, tu t’es amĂ©lioré 
— Comment ça, j’ai toujours Ă©tĂ© un super cuistot !
— Mouais  »
Elle me jette un petit sourire en coin en disant cela. Elle a de l’humour, cette femme, quand elle veut
 ! Et on dirait qu’il y en a un autre que ça amuse.
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« Enco’e !
— Tu vois Vic’, mon fils apprĂ©cie ma nourriture. »
Ils se disputent parfois comme des adolescents, mais ça ne les rend que plus attachants. Les frùres et sƓurs qui se chamaillent tout le temps sont les plus proches, non ?
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arypurple · 2 years ago
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DL - RĂ©sumĂ© foireux S01.ÉP05
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Repensant Ă  ce que Fedora-chan lui a dit dans l'Ă©glise, la blondasse est en train de cueillir les roses. Pourquoi ? J'en ai foutrement aucune idĂ©e ! Soudain, l'hystĂ©rique arrive avec sa peluche et lui ordonne de le suivre avec les roses cueillies, puis va dans un cimetiĂšre avec elle. Il lui dit ensuite que la froideur, l'odeur des tombes et le silence l'excitent sexuellement lui font se sentir bien. Il affirme ensuite que sa mĂšre repose dans la tombe en face de lui... avant de dire qu'il l'a butĂ©e. Nikel... Alors, Yui... tu te retrouves avec un nĂ©crophile tarĂ© qui adore l'ambiance des cimetiĂšres, mais en plus il te sort comme ça qu'il a zigouillĂ© sa maman, donc fais pas chier. Sous les ordres du gamin, elle pose les fleurs sur la tombe avant de lui dire qu'elle s'en va. Ça met l'hystĂ©rique en colĂšre qui commence Ă  gueuler en rĂ©duisant le bouquet en miettes avant de rabaisser notre petite blonde en lui rappelant encore qu'elle n'est rien qu'une humaine. ApeurĂ©e, elle recule et on constate son immense talent Ă  trĂ©bucher. Au bord de l'Ă©rection AmusĂ©, Kanato rigole et lui ordonne de lui implorer son pardon. AprĂšs ses excuses, il se jette sur elle pour la croquer... mais il recule avant de dire que les humaines se mettent en colĂšre si on les embrasse pas avant l'acte. Venant de quelqu'un qui apprĂ©cie plus la compagnie des cadavres que celle de sa famille, je suis pas Ă©tonnĂ©e de sa logique foireuse ! Il lui roule une pelle avant de la mordre. Sous le choc d'un sang aussi sucrĂ©, l'hystĂ©rique la remord avant de caresser ses cheveux et son Ă©paule en se disant que tout est okay si elle prend du plaisir (ça ne fonctionne pas, coco !). AprĂšs Yui retourne au man... attendez ! J'ai l'impression d'avoir vu cette dĂ©marche quelque part... ah oui, ça me revient maintenant !
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Le tonton pĂ©dophile fait un coucou Ă  Tsundere Simulator et disparaĂźt aprĂšs avoir parlĂ© de l'Éveil. Car on manquait justement de cliffhanger ! De retour au manoir, Plante Verte entend des... des gĂ©missements ?! En plus, il y a mĂȘme la musique qui donne une ambiance obscĂšne. Oh et puis, merde ! C'est sans doute Claude Faustus en train de jouir sur une partie d'Ă©chec... il aime vraiment les Ă©checs, celui-lĂ . En fait non, c'Ă©tait un cauchemar et monsieur se rĂ©veille aprĂšs que Yui ait mis une main sur son Ă©paule avant de se faire un thĂ©, de critiquer la fille et quand elle demande si Shuu utilise cette salle, il le prend mal. Il lui prĂ©pare donc un thĂ© "spĂ©cialement pour elle" avec une bonne dose de GHB (non, je vous rassure ou pas, c'est du poison). En plus, ce con lui en refait avaler de force avant qu'elle ne s'effondre au sol et lui sort que c'est vulgaire de s'Ă©touffer de la sorte. Okay, parce qu'il y a une maniĂšre polie et respectable de s'Ă©touffer avec du poison ? Tu m'en diras tant ! Comme elle s'est coupĂ©e avec un Ă©clat de la tasse renversĂ©e au sol, Reiji prend sa main avant de la lĂ©cher et il affirme ne pas avoir de goĂ»t pour les choses qui ne sont pas parfaites (eh bah, il ne doit pas souvent se regarder dans le miroir alors 😂) comme la tasse qu'il a sans doute dĂ©robĂ© dans la collection de vaisselle de sa grand-mĂšre. Yui se lĂšve en se chiant presque dessus et deux voies s'offrent Ă  elle: fuir par la porte ou reculer contre la bibliothĂšque. Comme le talent de faire des choix intelligents manque cruellement dans son code gĂ©nĂ©tique, elle opte pour la bibliothĂšque. Le Butler la rejoint vite et lui dit que les humains, quand mĂȘme qu'ils soient que des sacs de sang sans valeur, rĂ©clament plus de plaisir que n'importe quel ĂȘtre et pense que lui croquer la nuque va lui faire plaisir. Question de paraĂźtre encore plus creepy, Reiji lui dit qu'il va soigner sa plaie, serrer le bandage si fort au point de couper la circulation du sang dans ses doigts afin que ceux-ci pourrissent et tombent. Il s'excite presque devant son visage terrifiĂ© et alors qu'elle vient tout juste de perdre connaissance, Monsieur-J'ai-Un-Gros-Balais-Dans-Le-Cul- se remĂ©more la fois oĂč il a fait buter sa daronne et lui pardonne pas d'ĂȘtre morte heureuse. Bon, au moins c'est clair il faut ajouter le mot "matricide" sur la liste des dĂ©fauts communs des frĂšres...
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yes-bernie-stuff · 4 days ago
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Pardon
◀ 8 JANVIER ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
L’Éternel dit Ă  CaĂŻn : « OĂč est ton frĂšre Abel ? ». Il rĂ©pondit : « Je ne sais pas ; suis-je le gardien de mon frĂšre ? ». GenĂšse 4.9
Savoir demander pardon
CaĂŻn venait de tuer son frĂšre Abel par « jalousie ». L’Éternel Dieu Ă©tait parfaitement au courant de ce qui s’était passĂ© ! Alors pourquoi pose-t-Il cette question Ă  CaĂŻn ? Avez-vous dĂ©jĂ  mĂ©ditĂ© sur cela ? Je n’y vois qu’une seule rĂ©ponse : Dieu dĂ©sirait entendre de la bouche de CaĂŻn qu’il regrettait son geste ! Mais celui-ci, comme ses parents Adam et Ève l’avaient fait, s’est retranchĂ© derriĂšre des excuses. Ève trouva l’excuse que c’était le serpent, Adam rejeta la faute sur Ève et Dieu : « C’est la femme que Tu m’as donnĂ© Dieu »... CaĂŻn, n’ayant trouvĂ© personne Ă  accuser Ă  sa place, mentit honteusement en se dĂ©chargeant de toute responsabilitĂ©. Si je parle de ceci aujourd’hui c’est parce que la nature humaine est comme cela. Nous avons un mal terrible Ă  demander pardon de la bonne maniĂšre. DĂ©jĂ  de dire : « Je m’excuse pour ce qui arrive mais c’est Ă  cause de... » nous coĂ»te un effort extrĂȘme, alors de dire : « Je te demande pardon, j’ai fait le mal, je n’ai aucune excuse et je suis indigne... » devient mission impossible. Pourtant si vous relisez l’histoire du fils prodigue dans Luc 15, c’est ce qu’il a dit ! Mes bien-aimĂ©s, si nous voulons ĂȘtre au bĂ©nĂ©fice de la puissance extraordinaire du pardon, nous devons parler et agir de la sorte, envers Dieu, mais aussi envers notre prochain. C’est un leurre et une tromperie gigantesque de croire que nous vivrons la puissance libĂ©ratrice du pardon si nous nous cherchons des « circonstances attĂ©nuantes », si nous minimisons la faute, ou pire, si nous voulons faire endosser Ă  un autre la responsabilitĂ© de notre mauvaise action ou parole ! La libertĂ© est dans la vĂ©ritĂ© ! ReconnaĂźtre honnĂȘtement notre faute sans fioriture, voilĂ  la clĂ© de la libertĂ© ! - Lire plus ici :
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elisadufour · 1 month ago
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Fabienne la secrétaire cochonne
Ma secrétaire cochonne
  Je suis le gĂ©rant d’une boĂźte de BTP dans le sud de Paris. J’approche gentiment de la cinquantaine. Je suis mariĂ© et j’ai deux enfants. Je passe le clair de mon temps au bureau pour joindre les deux bouts. Ce qui implique que je n’ai pas vraiment trop de temps Ă  accorder Ă  ma femme. D’autant plus que la libido de ma femme est proche du nĂ©ant. Je n’ai donc plus trop l’occasion de passer du bon temps avec elle. Mais mon appĂ©tit sexuel est toujours prĂ©sent. En vingt ans de mariage, je n’ai couchĂ© qu’avec une autre femme qu’elle. Je ne considĂšre pas que je l’ai trompĂ© car il s’agissait d’une prostituĂ©e que j’avais rencontrĂ© lors d’un de mes dĂ©placements professionnels.
  Mais depuis une semaine, une jolie brune a fait irruption dans ma vie ; il s’agit de ma nouvelle secrĂ©taire. Elle s’appelle Fabienne et elle un peu moins de trente ans. DĂšs que j’ai posĂ© mes yeux sur elle, je n’ai eu qu’une seule obsession ; celle qu’elle devienne ma maĂźtresse. Elle pose Ă  premiĂšre vue une belle poitrine et son sourire me fait facilement craquer. Il m’arrive mĂȘme de me masturber Ă  mon bureau en pensant Ă  elle alors qu’elle est la bureau jouxtant le mien.
  Le premier jeudi aprĂšs son arrivĂ©e,  je l’invite Ă  manger avec moi Ă  midi. Fabienne ne porte jamais de tenue provocante. Elle porte souvent un jean et un haut qui met parfaitement ses formes.
  À la pause de cafĂ©, je vais la voir dans son bureau. Je toque Ă  sa porte.
  -          C’est GĂ©rard ! Je peux entrer ?
-          Oui, bien sûr, monsieur.
-          Ça va Fabienne. Tu te fais à ton nouveau travail ?
-          Oui, monsieur. Je voulais vous remercier de m’offrir cette opportunitĂ© de travail pour vous.
-          Je sais bien que tu es encore en pĂ©riode d’essai mais saches que tu peux me tutoyer. Il n’y que mes clients et mes fournisseurs qui me vouvoient.
-          D’accord,  mon.. GĂ©rard.
-          Tu viens boire un café ?
-          Avec plaisir.
  On va donc dans la salle de pause. Je marche lĂ©gĂšrement derriĂšre pour mater son joli petit cul. On s’assoit Ă  une table aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© nos cafĂ©s Ă  la machine.
  -          Tu sembles bien t’intĂ©grer ici, Fabienne.
-          Oui, Gérard. Les gens sont plutÎt sympas, ici.
  Je n’arrive pas Ă  la regarder dans les yeux quand je lui parle. Mon regard est attirĂ© par son dĂ©colletĂ©. Elle ne semble pas le voir ou du moins elle ne m’en fait pas la remarque.
  -          Et cĂŽtĂ© cƓur, ça se passe bien pour toi ?
  Fabienne se met à rougir.
  -          Pardon, je ne devrais te demander ça, Fabienne.  Excuses-moi.
-          Non, GĂ©rard, ça ne me dĂ©range pas. Je n’ai pas de relation stable en ce moment.
-          Pourquoi ça ?
-          Je n’ai pas un caractùre trùs facile.
-          Pourtant, tu as l’air d’ĂȘtre une jeune femme douce et souriante.
-          Merci pour tes compliments. Comment te dire
 j’épuise rapidement mes amants.
-          Tu m’intrigues, Fabienne. Dis-moi en plus.
-          J’ai des appĂ©tits difficiles Ă  combler.
  Je sens mon cƓur s’emballer. J’ai mĂȘme un dĂ©but d’érection. Ma nouvelle secrĂ©taire serait-elle une salope ? Je pose dĂ©licatement une main sur la sienne. Elle me laisse la toucher. Elle me sourit. Je la regarde fixement dans les yeux.
  -          Tu aimes faire quoi, Fabienne ?
-          Afin de faire plus connaissance avec un homme,  j’aime bien le prendre en bouche.
-          Tu n’y vas pas par quatre chemins, Fabienne.  J’adore ta franchise.
-          J’ai rarement ma langue dans ma poche. Ça m’a quelques tours.
-          Tu me ferais une petite gùterie ?
-          Ici, Gérard ?
-          Non, à mon bureau.  On y sera plus tranquille.
  Elle regarde ma main et elle y voit ma bague de mariage.
  -          Tu es marié depuis longtemps ?
-          Ça va faire presque vingt ans. Ça te dĂ©range ?
-          Je  n’ai pas trop l’occasion de faire ça avec des hommes mariĂ©s. Et aprĂšs tout, te tailler une pipe ce n’est pas comme si tu trompais ta femme, non ?
-          Tu as raison, Fabienne. Ça fait tellement longtemps que je ne suis pas fait sucer
 d’autant plus avec une jolie jeune femme comme toi.
-          Tu vas me faire rougir, Gérard.
  On finit rapidement nos cafés et on se dirige vers mon bureau. Ma queue est déjà bien en forme.
  On entre dans mon bureau. On baisse les stores et Fabienne ferme la porte de mon bureau à clé.
  -          Comme ça, on est sĂ»r de ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©.
-          Mmm, viens jouer avec ma flûte,  Fabienne !
  Je m’assis sur ma chaise. Fabienne se met Ă  genoux devant moi. Elle m’aide Ă  baisser mon pantalon et mon boxer. Ma queue est dĂ©jĂ  dressĂ©e. Cela fait sourire ma belle petite secrĂ©taire.
  -          Tu as un bel engin, Gérard !
-          Elle n’attend plus que ta bouche, Fabienne !
-          Laisses-moi jouer avec avant de te faire cracher dans ma bouche.
-          Mmm, petite coquine. Fais-moi du bien !
  Fabienne retire son gilet ainsi que son t-shirt. Son soutien-gorge rouge met bien en valeur sa gĂ©nĂ©reuse poitrine. Elle embrasse mon gland du bout de ses lĂšvres. Elle fait tourner sa langue autour de mon gland. Ma queue est vraiment dure. Elle retire lentement son soutien-gorge et elle vient serrer ma queue entre ses seins. J’ai droit Ă  une bonne branlette espagnole. Ses seins sont fermes et doux. Je gĂ©mis doucement. Elle me regarde droit dans les yeux en me souriant. Fabienne sait comment faire monter mon excitation.  Elle lĂšche de temps en temps mon gland.
  -          Je crois que je t’ai suffisamment torturĂ©.
  Elle se met finalement Ă  me sucer.  Elle glisse lentement ma queue dans sa bouche. Elle serre ma queue entre sa langue et son palais. Elle me suce divinement bien. Elle me regarde droit dans les yeux.  Elle caresse mes boules. Je gĂ©mis en sentant sa bouche coulisser le long de ma queue. J’appuie sur sa tĂȘte afin qu’elle me fasse une gorge profonde. Mon gland vient taper au fond de sa gorge. Sa salive coule le long de ma queue jusqu’à mes boules. J’ai rarement Ă©tĂ© sucĂ© aussi bien.
  -          Mmm, tu vas me faire cracher,  Fabienne oooh
  Je plonge bien ma queue au fond de sa gorge afin de dĂ©charger toute ma semence.  Je crache plusieurs jets de sperme. Fabienne s’étouffe presque en recevant autant de foutre au fondĂ© sa gorge. Elle me garde prisonniĂšre de sa bouche jusqu’à ce que je finisse de jouir. Elle aspire dĂ©licatement mon gland pour en extraire mes derniĂšres gouttes. Mon orgasme est intense.  Elle libĂšre ma queue et elle passe quelques petits coups de langue sous mon gland.
  -          Eh bien, ça devait faire longtemps que tu ne t’étais vidĂ© les couilles,  GĂ©rard !
-          Dans une bouche aussi accueillante, oui. Ça fait au moins trois jours que je n’avais pas crachĂ©.
-          Je suis heureuse de t’avoir soulagĂ©, patron.
-          Merci, Fabienne. Et en plus, tu as une belle poitrine.
  Fabienne se rhabille. Je caresse sa poitrine par-dessus son gilet.
  -          Tu aimes les gros seins, Gérard ?
-          J’aime bien, oui. Ça te dirait de manger avec moi à midi ?
-          Pourquoi pas. J’ai dĂ©jĂ  eu droit Ă  mon apĂ©ritif.
-          Coquine ! Reviens vite dans ton bureau avant que ça commence à jaser. Je viendrais te chercher toute à l’heure.
-          OK, Gérard.
  Quand elle se lĂšve, je viens lui donner une fessĂ©e.  Ses fesses ont l’air vraiment fermes. Elle ouvre les stores et elle va s’installer Ă  son bureau.  Je remonte mon boxer et mon pantalon.
  Jusqu’à midi,  j’ai vraiment du mal Ă  me concentrer m. Je repense au moment que je viens de passer avec ma belle secrĂ©taire cochonne. Fabienne me transfĂšre un appel de l’un de mes clients. On convient de se voir le lendemain soir afin de finaliser un nouveau contrat. Comme je sais qu’il est plutĂŽt dur en affaires, je compte lui offrir un petit cadeau pour nĂ©gocier ce contrat.
  À midi moins dix, je vais toquer à la porte de Fabienne.
  -          Tu viens, Fabienne.
-          Oui, Gérard.
-          On va prendre ma voiture.
-          Je te suis.
  On part donc vers le restaurant oĂč j’ai l’habitude d’amener mes clients. On mange en tĂȘte Ă  tĂȘte.
  -          J’ai une rĂ©union afin de finaliser un nouveau contrat demain soir, Fabienne.  J’aimerais bien que tu m’y accompagnes.
-          Comme tu veux.
-          Merci
 par contre j’ai autre chose à te demander.
-          Dis-moi, Gérard.
-          En fait, c’est un client qui est assez radin et j’aimerais que tu m’aides.
-          T’aider comment ?
-          Euh
 tu peux toujours refuser mais
il faudrait que tu lui fasses un peu de rentre dedans.
-          Tu veux que je couche avec lui ? Il a quel ùge ?
-          Euh
 oui et je pense qu’il sera plus ouvert Ă  nĂ©gocier aprĂšs avoir passĂ© un agrĂ©able moment avec toi. Il doit avoir mon Ăąge.
-          Je suis d’accord. Mais par contre,  tu voudrais que je porte quelque chose de sexy ?
-          Oui, Fabienne.
-          Je dois avoir quelques robes qui pourraient lui plaire.
-          Tu devrais en prendre quelques unes pour choisir ensemble laquelle j’aimerais que tu portes.
-          Bien sûr,  Gérard, comme tu veux.
  On repart vers ma voiture pour revenir au travail. Je matte encore son joli cul. On rentre dans la voiture mais je m’arrĂȘte quelques minutes aprĂšs dans un petit bois. Il se met Ă  pleuvoir.
  -          Tu fais quoi, Gérard ?
-          J’ai envie de toi
 maintenant.
-          Il pleut dehors.
-          On peut faire ça sur la banquette arriùre, Fabienne. Ne me dis pas non, s’il te plaüt.
-          Je dois t’avouer que j’en ai envie aussi surtout t’avoir sucĂ©.
-          Viens, alors !
  On se glisse avec plus ou moins d’aisance à l’arriùre de ma voiture. Elle commence à retire son gilet.
  -          J’ai cru comprendre que tu aimais mes seins.
-          Oui, Fabienne mais, là, c’est plutît à ta chatte que je pense.
-          Mmm mon cochon !
  Je baisse mon pantalon et mon boxer pour me branler pendant qu’elle se dĂ©shabille entiĂšrement. Son sexe est parfaitement Ă©pilĂ©. Elle se penche ensuite sur ma queue poir me sucer et me masturber.
  -          Mmm oooh, c’est bien plus agrĂ©able quand c’est une femme qui s’occupe de ma queue.
Je pose une main sur ses fesses nues et mes doigts viennent dĂ©licatement effleurer ses deux trous. En atteignant sa chatte, cette derniĂšre est dĂ©jĂ  lĂ©gĂšrement trempĂ©e. J’y glisse facilement deux doigts dedans. Elle gĂ©mit tout en continuant Ă  me sucer. Je sors mes doigts de sa chatte pour goĂ»ter Ă  son jus d’amour.
  -          Tuas bon goût et en plus tu suces tellement bien, Fabienne mmm. Je vais te prendre en levrette,  ma petite coquine !
  Fabienne arrĂȘte donc de me sucer et elle se met en position, prĂȘte Ă  se faire baiser. Je claque ses fesses et je met quelques coups de langue sur sa fente lisse. Ma queue est aussi dure que de la pierre. Je met donc derriĂšre elle. Je fais glisser mon gland le long de sa fente avant de rentrer en elle en lui assĂ©nant un fort coup de rein. Elle se met Ă  crier.
  -          AAAH, tu y vas fort, là !
-          J’ai tellement envie de te dĂ©foncer,  Fabienne !
  J’agrippe ses seins et je commence Ă  la limer fort. Elle met son string dans sa bouche pour Ă©ternuer ses cris. Sa chatte est trempĂ©e mais je m’attendais Ă  ce qu’elle soit un peu plus serrĂ©e. Cette petite salope doit aimer les grosses queues. Je ralentis un instant pour claquer ses fesses. Elle semble prendre du plaisir avec ma queue.  Je sens ses doigts s’occuper de son petit bouton de plaisir. Je tire ses cheveux en arriĂšre.  Elle crache son string et elle m’embrasse Ă  pleine bouche.
  -          Dis-moi que tu aimes ma queue, salope !
-          Oooh aaaah, oui j’aime ta bite, GĂ©raaard !
-          C’est bien ! Mmm
  Je me rĂ©gale de limer sa chatte. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas baisĂ© avec une jeune femme de son Ăąge. J’alterne entre des  coups de reins puissants et lents. Je sens peu Ă  peu venir mon orgasme.
  -          Je vais remplir ta chatte,  petite salope ! Mmm
-          Aaah GĂ©rard ! J’adore ta biiite ! Aaah ouiii !
  J agrippe fort ses hanches  et je finis par jouir en elle. Mon sperme inonde sa chatte de petite salope. Fabienne atteint à son tour son orgasme. Je sors ma queue de sa chatte et elle vient me sucer pour la nettoyer.
  -          GĂ©rard, j’aime me faire baiser comme ça.
-          Tu es tellement belle, Fabienne. Je te prédis un grand avenir dans ma société.
-          Merci, Gérard.
-          Donnes-moi ton string et ton soutien-gorge, Fabienne ! À partir d’aujourd’hui,  tu ne devrais plus porter de sous-vĂȘtements que tu viendras travailler.
-          Comme tu veux, Gérard.
  On se rhabille. Je met son string et son soutien-gorge dans la poche de mon pantalon. On repasse à l’avant de ma voiture et on se dirige vers le bureau.
  Je vais m’installer Ă  mon bureau. Fabienne va dans le sien. Je laisse tranquille Fabienne durant l’aprĂšs-midi. Je range ses sous-vĂȘtements dans un tiroir de mon bureau.
  À la fin de la journĂ©e et dĂšs que je me retrouve seul avec Fabienne  je vais toquer Ă  sa porte. J’entre dans son bureau.
  -          Que puis-je faire pour toi, Gérard ?
-          Je voulais juste te souhaiter de passer de bonne soirĂ©e et n’oublies pas trop tenues pour demain.
-          Je sais. Passes une bonne soirée aussi.
-          À demain, ma petite cochonne.
  Je rentre donc chez moi. Mais ce que ne sais pas encore Fabienne, c’est que mon  client est un grand black.
  Le lendemain matin, j’arrive premier au bureau. Je sors le string et le soutien-gorge de fabienne. Je les pose sur mon bureau  et je me branle. J’y crache abondamment dessus. Je range les sous-vĂȘtements de Fabienne.
  Je suis en train de tĂ©lĂ©phoner au client que l’on va rencontrer ce soir lorsque Fabienne se prĂ©sente devant ma porte. Je lui fais signe de rentrer.  Elle porte un chemisier blanc avec une petite robe noire. Elle ferme la porte derriĂšre elle. Je recule un peu ma chaise. Fabienne se met Ă  genoux devant moi. Elle dĂ©fait mon pantalon et elle sort ma queue. Elle commence Ă  me sucer. Je continue Ă  discuter malgrĂ© la langue de Fabienne qui s’occupe de mon gland. Elle me masturbe pour bien me faire durcir. Mon client m’informe qu’il viendra avec son adjoint le soir-mĂȘme.  Mais je garde cette information pour moi. Je me retiens de gĂ©mir. Fabienne me fait une gorge profonde. Je sens sa salive couler le long feu ma queue.  J’appuie sur sa tĂȘte pour qu’elle prenne toute ma queue dans sa bouche. Mais si je me suis vidĂ© tout seul quelques minutes auparavant ,  je sens qu’il me reste encore un peu de sperme Ă  offrir Ă  ma jeune secrĂ©taire.  Je raccroche et Fabienne continue Ă  me sucer. Elle me fixe du regard et elle me branle vigoureusement tout en gardant da langue sous mon gland. Elle me fait cracher ma semence dans sa bouche. Elle avale tout  sans hĂ©sitation. Elle se relĂšve.
  -          Bonjour,  Gérard.
-          Salut, Fabienne. Je vo9s que tu t’es fait belle.
-          Merci.
  Elle remonte lĂ©gĂšrement sa jupe pour me montrer qu’elle ne porte rien en dessous.
  -          Mmm, j’adore.  Et en haut ?
  Elle ouvre quelques boutons de son chemisier et elle sort l’un de ses seins.
  -          Oh, oui, parfait, Fabienne.
-          Tu étais avec qui au téléphone ?
-          Avec le client qu’on va voir ce soir.
-          On va au restaurant avec lui ?
-          Non. Il faudrait que tu commandes à manger pour ce soir chez un traiteur.
-          Je vais m’en occuper tout de suite.
-          Prévu quatre repas, Fabienne.
-          Pourquoi quatre ?
-          C’est un gros mangeur.
-          Ah, OK.
  Fabienne sort de mon bureau aprĂšs m’avoir fait un lĂ©ger bisou sur la bouche.
  Durant la matinée, je vais prendre un café et Fabienne me rejoint quelques instants aprÚs à la machine à café.
  -          VoilĂ ,  j’ai tout commandĂ© pour ce soir.
-          Tu es parfaite, Fabienne.
-          J’ai un petit sac avec des tenues pour ce soir. Tu veux que je les essaie dans ton bureau toute à l’heure ?
-          Oui, avec plaisir. Il faut que tu te fasses belle si on veut gagner ce futur contrat.
-          Tu peux m’en dire plus sur l’homme qu’on va voir ce soir ?
-          Ne sois pas si impatiente, Fabienne. Tout ce que je peux te dire c’est que tu ne risques pas de le laisser indiffĂ©rent.
-          Si il aussi bien monté que toi, je vais bien me régaler.
-          Coquine ! Je pense qu’il va te plaire.
-          Il faudra que je mette des sous-vĂȘtements,  GĂ©rard ?
-          Ça dĂ©pendra de la robe que tu mettras.
  On repart travailler avant que mon envie de baiser avec Fabienne ne me reprenne.
  Je m’enferme dans mon bureau afin de pas trop ĂȘtre tentĂ© de rejoindre Fabienne. Cette petite salope m’excite tellement. Elle vient tout de mĂȘme toquer Ă  ma porte vers midi. J’ouvre la porte pour la laisser entrer.
  -          Tu viens manger avec moi, Gérard?
-          Non, désolé,  Fabienne. Je dois finir un dossier mais ce serait sympa de ta part de me ramener un sandwich.
-          OK, Gérard.
  Avant de me laisser seul, elle remonte sa jupe pour me montrer ses fesses.
  -          Fabienne, tu es une sacrĂ©e coquine. J’ai hĂąte de choisir ta robe pour ce soir.
-          J’en ai choisi une qui est trùs provocante.  J’espùre qu’elle te plaira.
-          Vas manger avant que je ne change d’avis et que je te baise dans la salle de rĂ©union !
  Elle sort en affichant un grand sourire.
  Elle revient une heure aprÚs avec mon petit repas.
  -          Quand est-ce qu’on choisit ma robe, GĂ©rard ?
-          Dùs qu’on sera tous les deux seuls, Fabienne.
  Elle vient me faire discrùtement un petit bisou avant de me laisser seul. J’appelle mon client pour finaliser notre rendez-vous du soir.
  Vers dix huit heures,  je me retrouve enfin seul avec Fabienne. Je vais la rejoindre dans son bureau.
  -          Viens dans la salle de rĂ©union,  Fabienne. J’ai hĂąte de voir tes tenues.
-          J’arrive tout de suite,  GĂ©rard.
  Elle me suit en prenant son sac. On s’enferme dans la salle de rĂ©union. Je m’assois sur l’une des chaises et Fabienne se met rapidement nue devant moi. Elle affiche un grand sourire. Elle joue avec ses gros seins.  Je me met Ă  bander. Elle remarque rapidement la bosse qui se forme dans mon pantalon.
  -          Tu veux que je te soulage, Gérard ?
-          Il faut que je garde mes forces pour tout à l’heure. Je compte bien m’amuser moi aussi.
-          Je comprends.
  Fabienne sort de son sac une robe noire Ă  paillettes et elle l’enfile. Le haut de sa robe est quasiment transparent. Elle se met Ă  tourner sur elle-mĂȘme.
  -          Elle te plaßt, Gérard ?
-          Oh que oui !
-          C’est la robe parfaite, Fabienne. C’est sĂ»r qu’il va vouloir te sauter quand il te verra.
-          Je suis heureuse qu’elle te plaise. Je ne la porte que trùs rarement.
-          Elle met bien en valeur ta généreuse poitrine.
  Je me lĂšve pour me coller contre elle. Je glisse une main sous sa robe et je ne peux m’empĂȘcher de la doigter. On s’embrasse.
  -          Mmm. J’espùre que j’aurais droit à autre chose que tes doigts dans ma chatte toute à l’heure.
-          J'en suis sûr. Tu aimerais que je te la mette dans le cul ?
-          Oui, GĂ©rard. J’espĂšre que vous me prendrez tous les deux.
-          J’ai bien fait de t’embaucher, Fabienne. J’ai rarement eu une secrĂ©taire aussi sexy et cochonne que toi.
  Je glisse mes doigts couverts de mouille dans sa bouche. Elle les suce goulĂ»ment en me fixant dans les yeux. Elle caresse ma queue par-dessus mon pantalon. J’ai vraiment envie de la prendre. Nous sommes interrompus par l’arrivĂ©e du traiteur.
  Je vais récupérer les repas. Fabienne reste dans la salle de réunion. Je dépose mes paniers repas sur la table de la salle de réunion.
  -          Il arrive quand ton client ?
-          Il ne devrait pas tarder, maintenant.
-          J’ai terriblement envie d’une queue, GĂ©rard !
-          Je le vois bien, Fabienne.
-          Tu peux te caresser en attendant mĂȘme si tu es dĂ©jĂ  bien mouillĂ©e.
  Fabienne s’assoit sur la table de rĂ©union et elle relĂšve sa robe. Elle caresse son petit bouton de plaisir ainsi que sa fente. Elle me fait vraiment bander.
  Je vois mon client se garer dans la parking. Je sors de salle pour aller l’accueillir.
  -          Tu veux que je vienne avec toi ?
-          Non, restes ici, Fabienne !
  Je vais Ă  la rencontre de mon client. Il est accompagnĂ© d’un jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©es.
  -          Bonsoir, Gérard.
-          Bonsoir, Moussa.
-          Je te présente, Demba,  mon futur gendre qui est aussi mon adjoint. Il me remplacera quand je partirais à la retraite.
-          Enchanté de faire ta connaissance.
-          Tu m’as parlĂ© d’une surprise quand on a discutĂ© cet aprĂšs-midi. C’est quoi ?
-          Vous pourrez voir par vous-mĂȘme. Elle vous attend dans ma salle de rĂ©union.
  On va donc rejoindre Fabienne.
  Moussa et Demba sourient en voyant Fabienne dans sa robe sexy.
  -          Mmm, GĂ©rard,  j’adore ce genre de cadeau.
-          Je savais qu’il allait te plaire.
-          Comment s’appelle cette jolie brune ?
-          Je m’appelle Fabienne.
-          Moi c’est Moussa et voici Demba.
-          Enchantée de faire votre connaissance.
-          Tu es cent fois pris bandante que la derniÚre secrétaire de Gérard.
-          GĂ©rard,  tu ne m’avais pas dit qu’ils seraient deux.
-          Je voulais t’en faire la surprise.
  Moussa s’approche de Fabienne.  Il pose directement une main sur sa poitrine.
  -          Mets-toi à poil, salope !
  Fabienne s’exĂ©cute. Les deux hommes sont ravis de dĂ©couvrir Fabienne dans son plus simple appareil.
  -          Oh, salope, tu ne portes rien dessous ! Mmm. Tu as déjà baiser avec des blacks, Fabienne ?
-          Oui.
-          On va voir si tu suces bien !
  Moussa et Demba sortent leurs sexes de leurs pantalons. Fabienne semble ravie de voir deux aussi gros sexes. Elle commence à sucer Moussa tandis qu’elle branle Demba.
  -          Tu l’as trouvĂ© oĂč cette petite chienne, GĂ©rard ?
-          Elle cherchait un boulot. Je n’ai pas hĂ©sitĂ© trĂšs longtemps Ă  l’embaucher quand j’ai vu ses magnifiques atouts.
-          Tu l’as dĂ©jĂ  baisé ?
-          Oui.
-          Mmm, salope, tu suces bien. Continues !
  Fabienne suce chacun son tour ses deux beaux blacks. Je bande comme un ùne.
  -          Mets-toi sur la table, salope ! On va te baiser tous les trois !
-          Lequel d’entre vous va me prendre le  cul ?
-          C’est moi, salope ! Demba te prendra la chatte et tu suceras ton patron.
-          Mmm, j’adore me faire dĂ©monter le cul par un  black.
-          Oui, petite pute ! Tu vas la sentir ma grosse bite dans ton petit cul de blanche !
  On se met tous à poil. Demba s’allonge sur la table. Fabienne à un peu de mal à s’empaler sur sa queue.
  -          Oooh mmm, tu es bien monté.  Aaah oui
-          Oooh tu es aussi serrée que ma future femme. Tu es vraiment bonne, petite salope !
Moussa se met derriÚre Fabienne.  Il lui crache sur sa petite rondelle ridée. Il lui doigte le cul pour le préparer pour sa queue.  Je viens glisser ma queue dans sa bouche. Elle me suce toit en me fixant dans les yeux.
  -          Je vais te faire crier, petite salope ! Si tu aimes les grosses bites, crois-moi, tu vas ĂȘtre servie !
  Moussa pose son gland sur le petit trou de Fabienne. Il doit forcer in peu pour rentrer dans son cul. Fabienne ferme les yeux en sentant la queue de Moussa entrer dans son cul.
  -          GĂ©rard,  baisses-lui la bouche pendant que je l’encule. Et toi, restes bien dans sa chatte !
-          C’est tout ce que mĂ©rite cette petite chienne !
-          Oh, putain qu’elle est serrĂ©e ! Mmm j’adore ! Ça me change du cul de ma femme !
  Je prends la tĂȘte de Fabienne entre mes mains et je lui assĂšne de bons coups de queue dans la bouche. Elle se met Ă  baver. Moussa se glisse de plus en plus loin en elle.
  -          Oh que tu es une bonne petite salope, toi ! J’adore ton cul ! Vas-y,  Demba ! Baises la fort on va lui remplir tous ses trous à cette petite chienne !
-          Ta chatte est trop bonne, salope ! Je vais bientît t’inonder, sale chienne !
  Je lime la bouche de Fabienne. Son visage devient rouge. Elle a du mal à respirer avec mon gland qui vient taper au fond de sa gorge.
  Demba est le premier à jouir, il crache toute sa semence au fond de la chatte de Fabienne.
  -          Tu as dĂ©jĂ  giclĂ©, Demba ? J’espĂšre que tu gicles moins vite avec ma fille !
-          C’est la premiùre fois que je baise une blanche. Elle a des seins magnifiques.
-          C’est vrai que cette petite salope est bien foutue ! Mmm oooh je vais te remplir à mon tour.
  Je gicle au fond de la gorge de Fabienne juste avant Moussa. Il lui prend fort le cul jusqu’à ce qu’il lñche tout son sperme au fond des entrailles de Fabienne. Il sourit aprùs avoir sorti sa queue du cul de Fabienne.
  -          Ton cul est bien ouvert, petite salope !
-          Vous avez fait tous les deux du bien. C’est bon de se faire baiser par des blacks
 ça me change de celles de certains mecs.
-          Il faut que je me sente viser, Fabienne ?
-          Non, Gérard ! Tu me baises bien toi aussi.
  Seul Fabienne reste nue.
  -          Restes le reste de la soirĂ©e toute nue, Fabienne. Comme ça, ça sera plus facile de te baiser si l’un d’entre nous en a envie.
-          Comme tu veux.
-          J’adore les jeunes femmes obĂ©issantes comme toi. GĂ©rard a vraiment de la chance de t’avoir comme secrĂ©taire.
-          J’ai aussi de la chance de l’avoir.
  Je discute avec Moussa et Demba au sujet du contrat. Il semble en clin à faire des concessions afin que je rentre facilement dans mes frais. Pendant ce temps-là,  Fabienne s’occupe des repas et elle installe tout sur la table.
  -          Mangeons, maintenant ! Tout ça m’a donnĂ© faim. Viens t’assoir sur mes genoux, Fabienne.
-          Comme tu veux, Moussa.
  Il pose une main sur la poitrine de Fabienne et une autre entre ses cuisses. Il la doigte tout en pinçant ses tétons.
  -          Tes seins sont bien fermes,  petite salope.
-          Ils sont naturels.
-          Tu es vraiment trÚs belle, Fabienne.
Fabienne frotte ses fesses nues au niveau du sexe de Moussa. Elle le laisse la caresser.
  -          Mmm, tu as encore envie de ma bite,  petite salope ?
-          Oui, Moussa. Elle m’a dĂ©jĂ  fait beaucoup de bien quand tu me la mise dans le cul. Je veux te sentir dans ma chatte maintenant.
-          Si il n’y que ça pour te faire plaisir. Lùves-toi pour que je puisse sortir ma bite.
  Fabienne soulĂšve donc ses fesses. Elle se saisit de la queue de Moussa et elle guide son gland Ă  l’entrĂ©e de son antre d’amour. Elle s’empale sur son membre dur.
  -          Mmm, c est bon d’avoir la bite d’un black dans la chatte. Ooh, tu es encore mieux montĂ© de ton futur gendre.
-          C’est vrai que ta chatte est bien chaude, petite chienne. Mmm
  Fabienne fait doucement coulisser la queue de Moussa dans sa chatte. Elle gémit en mordillant ses lÚvres. Il agrippe sa poitrine généreuse.
  -          Je vais te prendre en levrette, petite pute ! Mmm suces les deux autres cochons, salope !
  Moussa bascule Fabienne sur la table. Elle pose ses seins sur la table. Elles se saisit de ma queue et de celle de Demba. Elle nous suce chacun notre tour pendant que Moussa lui assÚne de puissants coups de reins. Son bassin claque contre les fesses de Fabienne.
  -          Oh mmm, je comprends pourquoi Demba n’a pas longtemps tenu. Puritain, ta chatte est trop booonne ! Mmm. Oui, salope !
  Demba rentre toute sa queue dans la bouche de Fabienne. Elle a du mal à respirer. Je me branle en le regardant se faire baiser par les deux blacks. Moussa la lime sans retenue. Il lui met des fessées.
  -          Mmm, tu vas me faire cracher, cochonne ! On va tous les tro8s arroser ton visage de sperme, Fabienne.
  Moussa sort de la chatte de Fabienne. Et vient mettre sa queue face au visage de Fabienne.  On se branle tous les trois vigoureusement. Fabienne nous sourit et elle semble impatiente de recevoir notre petit cadeau. Je suis le premier Ă  gicler sur son visage. Mon sperme coule sur son front et ses joues. Elle passe la langue qurmto8r de sa bouche pour assez de rĂ©cupĂ©rer un peu de ma semence. C’est au tour de Demba de gicler. Il couvre abondamment le visage de Fabienne. Moussa plonge son gland dans la bouche de Fabienne toit en continuant Ă  se branler. DĂšs qu’il sent que son orgasme arrive, il sort sa queue de sa bouche et il vient dĂ©poser son sperme un peu partout sur le visage de fabienne. Fabienne affiche un grand sourire.  Elle passe ses doigts sur son visage pour rĂ©cupĂ©rer le mĂ©lange de nos spermes.
  -          Ooh, tu m’as bien vidĂ©, Fabienne !
-          Ta bite est vraiment merveilleuse,  Moussa.
  On se rhabille tandis que Fabienne reste encore nue.
  -          Tu as vraiment de la chance de travailler avec une salope comme Fabienne, Gérard !
-          J’en suis de plus en plus conscient. C’est vrai qu’elle cache bien son jeu.
-          J’ai hĂąte d’ĂȘtre Ă  notre prochaine nĂ©gociation de contrat.
  Je souris à Moussa et Demba. Fabienne essuie le reste de sperme qu’elle a sur le visage avec un kleenex.
  -          Je suis vraiment trĂšs heureuse d’avoir participĂ© Ă  cette nĂ©gociation.
-          Nous aussi, petite salope !
  On se salue et ils partent rejoindre leur voiture. Je reste seul avec Fabienne.
  -          Grùce à toi, on a gagné un gros contrat.  Tu mérites bien une augmentation.
-          Je n’ai pas ça juste pour gagner plus d’argent. J’ai vraiment pris du plaisir à me faire baiser sauvagement.
-          J’ai bien vu, Fabienne.
  On s’embrasse pendant quelques secondes. Elle remet sa robe sexy. Et je la ramùne à sa voiture.
  -          Passes une bonne fin de soirée, Fabienne.
-          Merci, Gérard. On se revoit Lundi.
-          Ça va ĂȘtre difficile de passer deux jours sans toi.
  Elle me sourit et je lui fait un dernier bisou avant qu’elle ne dĂ©marre. AprĂšs cette soirĂ©e mouvementĂ©e, je rentre chez moi rejoindre ma femme.
  A chacune de mes nĂ©gociations, Fabienne est prĂ©sente et grĂące Ă  ses dons, on arrive rapidement Ă  gonfler notre carnet de commande. Aujourd’hui, Fabienne n’est plus ma secrĂ©taire. Elle est devenue mon adjointe Ă  part entiĂšre
 mais aussi ma maĂźtresse.
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christophe76460 · 3 months ago
Text
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⚖ Gare aux jugements hĂątifs ! ✝
Chuck Swindoll raconte ce qui s’est passĂ© lors d’une sĂ©rie de confĂ©rences en Californie :
«Un homme s’est approchĂ© et m’a dit : “J’ai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !” Je l’ai remerciĂ©. Mais le dimanche, lors de ma premiĂšre intervention, l’homme s’est assoupi. J’ai pensĂ© qu’il avait fait un long trajet et qu’il devait ĂȘtre fatiguĂ©. Pourtant, ça s’est reproduit chaque soir, jusqu’à la fin de la semaine. J’étais embarrassĂ© : mes sermons Ă©taient-ils Ă  ce point soporifiques ? Mais voilĂ  que le vendredi matin, la femme assise Ă  ses cĂŽtĂ©s est venue me dire : “Merci pour vos paroles et votre ministĂšre. Mon mari est atteint d’un cancer en phase terminale, et les mĂ©decins ne lui ont donnĂ© plus que quelques semaines Ă  vivre. Quand nous avons parlĂ© de ce qu’il voulait faire avant de mourir, il m’a dit : ‘Je veux aller Ă©couter Chuck Swindoll !’ Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous prĂ©senter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !”»
Swindoll a dĂ©clarĂ© plus tard qu’il aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux d’avoir portĂ© un jugement et d’avoir rĂ©agi sans s’ĂȘtre renseignĂ©.
Pourquoi JĂ©sus a‑t-il dit : «Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s» ? Parce qu’il peut y avoir, dans la vie d’une personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la mĂȘme grĂące que celle que Dieu vous accorde !
PriĂšre du jour :
Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
Parole du jour de Bon Gass,
24 octobre 2024
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v-book-n · 1 year ago
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Chapitre 5 : TOUS DROITS RESERVES
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Il est trois heures du matin, et Alexander n’arrive pas Ă  penser Ă  autre chose, que les derniĂšres paroles de Lady VĂ©ronica. Il ne les comprend pas
 non, il ne veut pas les comprendre, et ça l’énerve grandement. Il se redresse, en silence, tout le monde dort, le salon est silencieux. Il attrape son gilet, ses chaussures, et passe la porte sur la pointe des pieds, avant de traverser le hall et d’ouvrir l’énorme porte en bois noire. La grille d’entrĂ©e brille sous la lumiĂšre de la lune, l’automne est lĂ  mais le ciel est dĂ©gagĂ©, il n’y a aucun bruits mis Ă  part le vent dans les branches nue des arbres, ça donne un cotĂ© dĂ©tente Ă  l’endroit qui est tout de mĂȘme trĂšs effrayant.
"Vous pensez trop." Souffle une voix derriĂšre lui
Le blond sursaute et se retourne vivement, la plus jeune des fantĂŽmes est lĂ , ces yeux verts brillent Ă  la lumiĂšre des Ă©toiles. Il la voit, comme si elle Ă©tait vivante, comme si elle pouvait le toucher, aucun halo de lumiĂšre ne l’entoure.
"P-Pardon ?" Bégaie-t-il
"Vous pensez trop." RĂ©pĂšte-t-elle
Il prend un instant pour la dĂ©tailler, sa peau pĂąle brille lĂ©gĂšrement faisant ressortir sa chevelure noir corbeau. Elle porte une espĂšce de robe lĂ©gĂšre, blanche et plus courte, il peut d’ailleurs voir qu’elle ne porte pas de chausson.
"Vos paroles m’ont laissĂ©e
 dubitatif." Explique-t-il doucement
"Je vous l’ai pourtant expliquĂ©." Commence-t-elle. "Tous ceux qui ont touchĂ©s la clef de ce manoir sont morts, et dans un dĂ©lai
 court. Votre temps dans ce manoir est comptĂ©."  
"Pourtant, nous y resterons quoi que vous disiez." RĂ©pond-il simplement
La brune mime une expression de surprise, puis un léger sourire étire ses lÚvres. Le blond est véritablement déterminé, et il ne semble pas vouloir en faire autrement.
"Que faites-vous dehors ?" Demande Alexander
"Je vous l’ai dit, rien n’entre ou ne sort de mon manoir, sans que j’en sois informĂ©e."
"Alors je vous ai réveillé ?"
"Pas exactement
 Mais pourquoi ĂȘtes-vous sortie ? Il fait froid cette nuit."
"Je voulais réfléchir, sans réveiller mes amis." Souffle-t-il
La jeune femme semble prendre un instant pour rĂ©flĂ©chir, elle croise les bras puis redresse soudainement la tĂȘte.
"Je vais vous montrer un endroit !"
Elle se retourne, passe Ă  travers la porte, le blond s’arrĂȘte un instant puis pousse la lourde porte. Il sourit en voyant la Lady l’attendre.
"Je ne passe pas Ă  travers les murs moi." Sourit-il
"Ah
 mes excuses, l’habitude d’avoir des amies fantîmes." Souffle-t-elle
Elle monte les escaliers principaux, puis emprunte le couloir avant de s’arrĂȘter devant la bibliothĂšque, elle y entre puis s’enfonce dans la piĂšce. Elle s’arrĂȘte Ă  la barriĂšre au-dessus du salon et pointe du doigt un coin assombris de l’endroit.
"C’est le bureau d’Elise, mais elle ne l’utilise pas beaucoup, n’hĂ©sitez pas Ă  vous y installer. Je crois que Chlarissa a d’ailleurs fait installer
 le
 gaz ? De son vivant."
Le blond s’arrĂȘte devant le bureau, et touche Ă  l’aveuglette l’endroit avant de trouver la lumiĂšre, il tourne le levier. Il n’y a pas grande chance que ça fonctionne toujours, et pourtant, une petite flamme apparaĂźt. Il dĂ©cide de s’en contenter, la prenant en main pour regarder autour de lui.
"Merci, mais vous ĂȘtes sĂ»r que je n’embĂȘterais pas Lady Elise ?"
"Je ne pense pas, elle n’y est presque jamais, elle prĂ©fĂšre travailler en bas." Sourit doucement la jeune femme
Le blond attend un instant, il a trĂšs envie de lui parler de ce moment Ă©trange cet aprĂšs-midi, il veut comprendre ce qui lui est arrivĂ©. Semblant comprendre que quelque chose tracasse Alexander, VĂ©ronica hausse les sourcils avant de s’avancer pour parler moins fort.
"Qui a-t-il ? Demande-t-elle
"J’aurais aimé  discuter de
 cette aprĂšs-midi." Tente-t-il doucement
La brune fait un pas en arriùre, elle lui doit certes des explications mais qui a-t-il à dire de plus que ce qu’elle a fait.
"J’ai pris possession de votre corps pour vous guider au mieux. C’est tout"
"Je ne parlais pas de ça, mais de ce que j’ai vue en Ă©tant
 Ă  l’intĂ©rieur de vous ?" 
VĂ©ronica marque un temps de pause, il a vue des choses, et elle l’avait traitĂ© de fou devant son ami. Elle n’avait pas voulu s’éterniser lĂ -dessus.
"Vous avez dĂ» voir quelques-uns de mes souvenirs c’est tout." Souffle-t-elle
Le blond s’approche Ă  son tour, cherchant Ă  la distinguer un peu plus avec la lampe, il ne voit pas trĂšs bien. VĂ©ronica dĂ©tourne le regard en rougissant, il est trop proche, elle sent sa chaleur

"J’ai vue
 Je vous ai vue vous, devant une fenĂȘtre, habiller tout de noir. Avec un voile
 vous portiez un deuil ?" Demande-t-il doucement
"Ça ne vous regarde pas Alexander." Souffle-t-elle
Le blond rougit, elle l’a appelĂ© par son prĂ©nom, c’est la premiĂšre fois. Elle recule s’éloignant de lui, elle ne veut pas ĂȘtre vue la mine morose.
"OĂč dormez-vous ?" Demande-t-il
"Pardon ?"
"Votre chambre, oĂč se situe-t-elle ?"
"Vous le savez trĂšs bien. Vous n’ĂȘtes pas venue ici avec un simple plan entre vos mains, vous l’avez Ă©tudiĂ©." Souffle VĂ©ronica
Alexander recule Ă  son tour, oui, il a Ă©tudiĂ© le plan parce qu’il voulait ce manoir plus que tout au monde. Mais il ne l’a jamais dit Ă  personne, mĂȘme pas Ă  ses amis qui ont tout abandonnĂ© pour venir avec lui ici.
"Comment vous-"
"Vous avez eu accùs à mes souvenirs, j’ai eu accùs aux votre." Le coupe la plus jeune
Il marque une pause lui aussi, elle sourit doucement. Une idée lui vient, ils veulent rester ? Autant jouer avec eux.
"Trùs bien, si vous trouvez ma chambre avant le lever du soleil, je vous
"
"Donnerais les clefs de votre bureau ?" Demande le blond
Un jeu dangereux s’engage entre eux, VĂ©ronica veut jouer, et Alexander veut gagner. D’accord, elle est quasi sĂ»r qu’il trouvera sa chambre, toutefois, il n’y a rien d’intĂ©ressant dans son bureau, tout a dĂ©jĂ  disparu.
"Si vous voulez seulement y accĂ©der, pourquoi pas, mais vous n’y trouverez rien." Souffle-t-elle
"Autorisez moi Ă  fouiller l’intĂ©rieur." Dit-il soudainement
"Il n’y a rien dedans."
"Alors ça ne devrait pas vous embĂȘter ?"
Elle fronce les sourcils puis sourit en soupirant, bien, mais alors elle y posera ses conditions. Ce manoir est sa propriété, morte ou vivante.
"D’accord. Mais personne d’autre n’a le droit d’y entrer. Et Bien sĂ»r je dois ĂȘtre avec vous quand vous y serez."
"J’accepte !"
Il tend la main par rĂ©flexe, la jeune femme le regarde, elle sait ce qu’est une poignĂ© de mains, mais comment peut-il ĂȘtre aussi sĂ»r qu’ils peuvent se toucher ?
"Vous m’avez stabilisĂ© dans les escaliers, j’en conclu que vous pouvez nous toucher partiellement ?"
"Hmm
" Souffle-t-elle
Ils se serrent la main, la jeune femme recule passant Ă  travers le mur pour attendre dans sa chambre, tout n’est pas aussi simple mais avec son Ă©tude approfondie des plans il ne peut que trouver. Alexander sourit, ok, le top dĂ©part est lancĂ©, il trouvera sans soucis la chambre, il connait les plans par cƓur. Il a voulu ĂȘtre gentleman en le lui demandant pour la raccompagner mais la jeune femme est pleine de ressources, et elle semble adorer les dĂ©fis. Il traverse les couloirs, s’arrĂȘtant pour ouvrir certaines portes, il tombe d’ailleurs sur la chambre de Colette, celle-ci dort en pyjamas et ronfle. L’heure passe beaucoup plus vite que ce qu’il pensait, mais il s’arrĂȘte devant une porte entre-ouverte, juste Ă  cĂŽtĂ© du bureau, il la pousse timidement, c’est une piĂšce plongĂ©e dans le noir sans fenĂȘtre, il y a un rideau au fond. Le subterfuge est de qualitĂ©, la chambre du maĂźtre de maison est toujours cachĂ©e. Il traverse la piĂšce et tire le rideau avant de pousser la porte, et de tomber sur une Ă©norme fenĂȘtre, lĂ©gĂšrement plus petite que celle du bureau. VĂ©ronica est une nouvelle fois face Ă  la fenĂȘtre, elle regarde la lune, elle se retourne lĂ©gĂšrement vers le blond retirant son collier pour le lui tendre.
"FĂ©licitation Ă  vous. Alexander."
Il se rĂ©veil, en sursaut, le soleil brille dans le ciel, il cligne plusieurs fois des yeux et regarde autour de lui. Alexander est seul, seul dans une piĂšce qu’il ne parvient pas Ă  reconnaitre. Dans sa main droite, il sert une clef, la clef qu’elle lui a donnĂ©e.  
"Bon Alex, on attend que toi." Retentit une voix derriĂšre la porte
James, il semble attendre la depuis un moment, il n’ose pas rentrer. VĂ©ronica, qui semblait appartenir Ă  son rĂȘve, apparaĂźt devant Alexander.
"Allez, réveillez-vous, et sortez de ma chambre." Souffle-t-elle
Elle porte une robe plus habillĂ©e que la nuit derniĂšre, elle est apprĂȘtĂ©e, comme si ça faisait un moment qu’elle l’attendait. Bien sĂ»r que ça faisait un moment qu’elle l’attendait, elle l’a regardĂ© dormir pendant quelques longues heures, ne trouvant pas le sommeil.
"Je suis
"
"Dans ma chambre oui."
Il essaye de remettre ses souvenirs en place, il a gagnĂ© la clef, il le sait mais aprĂšs
 c’est le noir total. Est-ce qu’il s’est Ă©vanouit ? Non, il n’a pas mal au crĂąne ni nulle part ailleurs.
"Habillez-vous, et descendez, vos amis vous attendent pour le petit-déjeuner."
La jeune femme sourit lĂ©gĂšrement et passe Ă  travers le mur pour rejoindre le salon. En bas, Lady Elise l’attend un livre en main, elle semble rĂ©veillĂ©e depuis plus longtemps.
"OĂč Ă©tiez-vous ?" Demande-t-elle doucement
"Nulle part, je me prĂ©parais. OĂč vouliez-vous que je sois."
Chlarissa, qui Ă©tait dans un coin de la piĂšce leva les yeux au ciel, elle s’approcha d’un pas lent et lourd. De toute Ă©vidence elle l’avait percĂ© Ă  jour.
"Avez-vous eu une discussion avec Alexander ?"
Le regard espiĂšgle qu’elle lança Ă  Elise lui donna la puce Ă  l’oreille. La jeune brune, sourit au maĂźtre des lieux qui, Ă©tonnement, dĂ©tourna le regard.
"Seigneur oui ! Elle a eu une conversation avec lui ! Rien que tous les deux ?!"
"Ne criez pas Chlarissa." Grogna VĂ©ronica
"Mon dieux, si mĂȘme Lady VĂ©ronica s’y met !"
Chlarissa se mise Ă  rire, tandis que VĂ©ronica, gĂȘnĂ©e par leurs paroles, rougit en se dĂ©plaçant dans le salon pour reprendre ses esprits. Il ne s’était rien passĂ© d’inconvenant.
"Avez-vous enfin acceptĂ© qu’ils ne nous veulent aucun mal ?" Demanda Elise
Elle lui fit un signe de main, sĂ©rieusement, pourquoi s’emballer pour si peu
 La porte du salon s’ouvrit, sur Isaac qui grommelait en avançant.
"Qu’est-ce que tout se raffut
" Souffla VĂ©ronica
"Excusez-nous pour ça." Commença Achlys.
"Oui c’est bien ça excusez-vous !" Bougonne Isaac. "Vous ĂȘtes le maĂźtre des lieux, et vous avez donnĂ© une chambre Ă  un seul d’entre nous."
VĂ©ronica se redresse dans son fauteuil, elle hausse les sourcils. Personnes n’avait jamais osĂ© lui parler comme ça
 Elle croise les bras, fronce les sourcils et prend un air menaçant.
"PremiĂšrement, ne me parlez pas ainsi. Vous n’ĂȘtes pas devant n’importe qui. DeuxiĂšmement, je n’ai attribuĂ© de chambre Ă  personne, les seuls qui sont occupĂ©es, sont les nĂŽtres, Ă  Elise, Chlarissa, Colette et moi-mĂȘme."
Isaac fronce les sourcils Ă  son tour, avançant d’un pat vers la jeune femme, il ne va pas se laisser dĂ©monter, mĂȘme par un fantĂŽme.
"Alors comment expliquez-vous que seul notre cher ami ait eu une chambre cette nuit ?!"
La jeune femme soupire, elle n’a qu’une envie, l’envoyer valser Ă  travers le hall d’entrĂ©e. Toutefois, elle reste calme, elle ne veut pas le blesser, se serait un excĂšs de colĂšre. Elise s’approche pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre, elle sent une pression soudaine.
"Allons, Isaac, je vous assure que Lady VĂ©ronica ne fait pas de favoritisme. Tout comme nous 3 d’ailleurs."
"Pourquoi tentez-vous de l’en convaincre, il dĂ©teste dormir sur le sol Ă  cause de l’araignĂ©e qu’il y a vue l’autre jour. Il veut une chambre ? Donnons une chambre." Souffle VĂ©ronica
Elle sourit doucement, faisant reculer Elise, elle connait ce visage, et elle ne l’aime vraiment pas. VĂ©ronica se lĂšve, avance vers Isaac les bras croisĂ©s, comme si le jeune homme comprenait que quelque chose n’allait pas, il recule.
"Je vous invites Ă  monter, j’ai une chambre spĂ©cialement pour vous." Souffle-t-elle
Elle l’attrape par l’épaule et le pousse pour disparaĂźtre avec lui. Un long cri rĂ©sonne dans la demeure, glaçant le sang des trois autres hommes. Elise se prĂ©cipite vers un mur, elle pense au pire
 Elle atterrit au premier Ă©tage, elle court Ă  travers les couloirs, soudain, c’est Colette qui dĂ©boule devant elle. Elle semble paniquĂ©e.  
"J’ai entendu Isaac crier !" S’exclame-t-elle
"Il a énervé Véronica ! Vite, aidez-moi à le trouver !"
Elles courent dans toute la bĂątisses, Ă  la recherche de la propriĂ©taire. VĂ©ronica est en haut, dans le grenier, elle croise les bras et regarde Isaac, roulĂ© en boule sur lui-mĂȘme, ses mains protĂ©geant sa tĂȘte.
"Cette chambre vous convient-elle ?" Demande la jeune femme
"ArrĂȘtez, ce n’est pas drĂŽle !" Bougonne-t-il
"Pourquoi ? Vous vouliez une chambre non ? En voilà une, rien que pour vous." Sourit Véronica
Le garçon Ă  l’air pĂ©trifiĂ©, il est entourĂ© d’araignĂ©e, les toiles sont si Ă©paisses, qu’elles forment une nouvelle tapisserie sur les murs du grenier. Il est tout bonnement terrifiĂ©. La jeune femme sourit, fiĂšre de sa leçon, personne ne lui a jamais parlĂ© comme ça, ni de son vivant, ni de sa mort. Mais soudain, un flash, elle voit un garçon aux allures familiĂšre devant elle, plus jeune, il lui dit quelque chose

« Véronica ! Ne les laisse pas me manger ! »
Son frĂšre
 elle se souvient de lui plus jeune, il craignait aussi les araignĂ©es. Lui et Isaac arborent la mĂȘme moue triste et effrayĂ©e, elle secoue la tĂȘte et attrape le bras du jeune homme devant elle. Elle le ramĂšne dans le salon, oĂč elle le laisse se rassoir sur le sol, en le regardant. Alexander arrive dans la piĂšce, il les regarde depuis les escaliers en bout de salle.
"Il n’y a plus d’araignĂ©es ici." Souffle la jeune femme
Elle se penche devant Isaac, et caressa sa joue du bout des doigts pour le rassurer. Il est Ă©trangement moins craintif Ă  ce contacte, il relĂšve les yeux, ils sont humides, sa phobie est vraiment invivable, elle dĂ©note mĂȘme complĂštement de son comportement glacial habituel. La jeune maĂźtresse de maison essuie doucement les petites larmes qui perles aux coins de ces yeux, elle n’aurait pas dĂ» aller aussi loin, jouer avec la phobie de quelqu’un est trĂšs mal, et trĂšs dangereux.  
"Excusez-moi, je suis allĂ©e trop loin, je n’aurais pas dĂ»." Souffle-t-elle
Isaac se sent mieux, il acquiesce pour accepter les excuses, et frotte ses yeux pour essuyer les larmes qui menacent de couler. Elle se redresse, et lui tend sa main, elle a véritablement vue son frÚre à travers Isaac, ça ne lui était jamais arrivée. Il accepte son aide, et se redresse puis reprend son sérieux, et son air distant, tout comme le frÚre de la jeune femme.
"Je n’aurais pas dĂ» vous accuser Ă  tort. Veuillez m’excuser." Dit-il simplement
"Votre ami a dormis dans ma chambre si vous voulez tout savoir, il s’est Ă©vanoui en plein milieu du couloir cette nuit et
 n’ayant pas la force de le porter jusqu’au salon, je l’ai mis dans mon lit Ă  la place." Explique doucement la jeune femme
L’explication a l’air de convenir Ă  Isaac, celui-ci acquiesce et recule d’un pat, il n’aurait pas dĂ» ĂȘtre aussi mĂ©chant. Le blond, qui Ă©coute la conversation depuis quelques minutes, les rejoint d’un pat lent.
"C’est pour ça que je ne me souviens de rien ?" Demande-t-il
 VĂ©ronica acquiesce silencieusement, elle n’a pas tout Ă  fait dit la vĂ©ritĂ©, mais il est inutile de leur expliquer en dĂ©tail ce qu’il s’est passĂ© cette nuit. Le blond, qui jusqu’à prĂ©sent attendait des explications, ne peut se contenter de ce qu’il a entendu. Pourquoi ce serait-il Ă©vanoui ? Il s’avance pour demander d’avantage d’informations, mais James fait irruption dans le salon, essoufflĂ©.
"Grand dieu ! Vous Ă©tiez là ?!" S’exclame-t-il
Isaac regarde ailleurs, gĂȘnĂ©, de toute Ă©vidence, il a inquiĂ©tĂ© tout le monde, et il se souvient trĂšs bien du cri qu’il a poussé  Mais le grenier Ă©tait un endroit si froid et inquiĂ©tant. Alexander ne quitte pas la jeune femme des yeux, elle lui cache quelque chose, et ça ne lui plait pas. Elise arrive Ă  la suite de James, souffla de soulagement quand elle voit qu’Isaac n’a rien. Colette dĂ©barque du mur s’empressant de se placer devant le garçon pour savoir s’il n’a rien. La jeune maĂźtre des lieu croise les bras, et se contente de disparaĂźtre dans un mur, Elisa hĂ©site Ă  la suivre, mais la venue d’Achlys la pousse Ă  rester.
"Avez-vous bien dormis ?" Demande-t-il à la jeune brune
"TrÚs bien je vous remercie, et vous ?" Demande-t-elle en souriant
"TrÚs bien également, le feu de cheminée nous a tenu chaud toute la nuit !"
Chlarissa, qui semble revenir d’on ne sait oĂč, croise les bras devant tant de bruits. Elle semble heureuse de voir que finalement Isaac n’a rien, mais tout se bruit l’agace trĂšs vite.
"Je vous conseille de vous hĂąter messieurs, si vous avez quelconques travaux Ă  entreprendre, ne perdez pas de temps." Annonce-t-elle simplement
Et c’est chose faite, car, aprĂšs un petit dĂ©jeunĂ© rapide et Ă©quilibrĂ©, les 4 hommes attaquent la partie qu’ils redoutent le plus, le mĂ©nage. Les fenĂȘtres sont ouvertes, les draps enlevĂ©s des meubles, la poussiĂšre faite, les toiles d’araignĂ©es enlevĂ©es. Bref, le manoir semble bien plus propre. Dans le hall, Alexander balaie, il retire les derniĂšres feuilles qui ont pu entrer dans la demeure avec les allers retours des enfants. Il sent soudainement une prĂ©sence, il regarde autour de lui, puis reprend son activitĂ© premiĂšre.
"Vous pensez encore." Souffle VĂ©ronica
Le blond sursaute une nouvelle fois, il faudrait qu’il lui dise qu’à force il va faire une attaque. Il souffle doucement pour reprendre son calme.
"Que voulez-vous que je fasse d’autre en passant le balaie ?" Demande-t-il en continuant
Elle se dĂ©place pour s’assoir sur les marches de l’escaliers, le toise du regard, puis soupire en rouvrant son livre.
"Je ne sais pas, mais vos amis n’ont pas l’air de pensez autant." Souffle-t-elle
Le blond soupire grossiĂšrement, c’est bien la premiĂšre fois qu’il le fait. Il n’aime pas trop savoir que quelqu’un lui ment, et encore moins quand cette personne fait comme si de rien n’était. Il s’apprĂȘte Ă  se retourner pour lui demander une explication sur le champ, mais
 James, l’interrompt.
"Alex ! Il faut chercher l’aspirateur dans la voiture ! Et
 si tu trouves l’enceinte d’Isaac, il n’ose plus regarder dans son sac."
"Oui j’y vais"
La brune regarde la scĂšne du coin de l’Ɠil, le blond plus ĂągĂ© remercie son ami et retourne Ă  la piĂšce qu’il nettoyait. Le blond le plus jeune se dirige vers le salon, attrape les clefs de la voitures et ressort de la demeure. Il pose l’appareil sur le sol en marbre de l’entrĂ©e et referme la porte Ă  clef derriĂšre lui, il est silencieux, Ă©tonnement silencieux pour VĂ©ronica. Elle ne va pas se plaindre d’un peu de rĂ©pit et de calme, mais
 elle ne peut s’empĂȘcher de penser qu’il est bien trop calme.
James dĂ©vale les escaliers et attrape l’enceinte en remerciant son ami avant de remonter. En haut, Elise et Chlarissa semblent les surveiller, elles sont assises sur les seuls meubles qu’ils ne bougent pas toutes les deux minutes.  
"Que tenez-vous dans la main James ?" Demande soudainement la brune
"Oh ça ? On appelle ça une enceinte, vous connaissez ?" Demande-t-il
"Non du tout."
"Ça retransmet le son d’une musique depuis un appareil, comme nos tĂ©lĂ©phones, mais aussi
 des ordinateurs ou
 des tablettes." Explique-t-il
Achlys rĂ©flĂ©chit un instant, l’explication de James est parfaite, mais Ă  la tĂȘte des deux jeunes femmes, elles n’ont pas l’air de comprendre un traĂźtre mots.
"Un peut comme un tourne-disque le fait avec un vinyle." Finit le gentleman
Colette apparaĂźt d’un mur et sautille, un large sourire aux lĂšvres, elle revient de la piĂšce oĂč Isaac se trouve.
"J’en ai un ici ! Un tourne-disque ! C’est de mon Ă©poque ! J’ai rĂ©ussi Ă  en chiper un Ă  des visiteurs !"
"Ho ! C’est cette chose qui produit de la musique ?" Demande Elise
"Oui voilĂ ."
"Alors pitiĂ© dites-nous qu’il existe plus que ces 2 chansons que Colettes nous fait entendre en boucle !" grogne Chlarissa
James et Achlys s’échangent un regard, bien sĂ»r, ils ont des playlists bien fournies Ă  eux 4, mais
 tout comme ils arrivent Ă  s’apprĂ©cier, ils sont diffĂ©rents l’un de l’autre.
"Allons mettez quelque chose James." Souffla Chlarissa depuis sa chaise
Le blond hésite un instant et enclenche la musique, les basses sont calmes, Achlys acquiesce silencieusement quand il remarque que son ami a choisis une musique délicate pour commencer. Il reprend donc son ménage mais est rapidement stopper quand la premiÚre phrase de la chanson est prononcée

« C’est le dĂ©cor ! du ConĂ©maraaaa ! »
Il lui lance un regard l’air de dire « t’es sĂ©rieux ?! », le plus ĂągĂ© des 4 nouveaux habitants se presse pour reprendre le contrĂŽle de la musique, toutefois Chlarissa grogne.
"Non de- ! C’est horrible !"
Elise esquisse un rire, elle trouve la situation bien drĂŽle, elle n’est pas fermĂ©e Ă  la dĂ©couverte, mais elle doit bien avouer que cette musique n’est pas vraiment Ă  son goĂ»t. Achlys arrive enfin Ă  Ă©teindre la musique et soupire.
"Veuillez nous excuser, il semblerait que nous devions changez de registre."
James le regarde en haussant les Ă©paules, l’air de dire « tu m’as dit de mettre de la musique ! ». Colette croise les bras un sourire aux lĂšvres, c’est amusant, ces garçons sont amusants. Isaac passe la tĂȘte par la porte, il porte des lunettes de protections et un masque.
"Pourquoi vous ne laissez pas ?" Demande-t-il
"Ce n’est pas aux goĂ»ts de ses dames, et cette chanson n’a rien Ă  faire dans la playlist « mĂ©nage » James !" Gronde le plus vieux
"Comment ça « rien à y faire » ? Je la mets tout le temps !" bougonne le blond
Ils s’engagent dans un dĂ©bat sans queu ni tĂȘte, discutant de musiques, et de playlist, Isaac lĂšve les yeux au ciel et se remet Ă  nettoyer ce qu’il nettoyait, les sols. AprĂšs quelques longues minutes, Alex finit par dĂ©barquer dans la piĂšce, il attrape le tĂ©lĂ©phone de son ami, connecte son propre compte et met sa musique. Du classique, Achlys est satisfait, c’est le compositeur prĂ©fĂ©rĂ© de James, et Isaac n’entend rien de toute maniĂšre.
"SĂ©rieux, le silence en bas est pesant." Souffle-t-il
"VĂ©ronica n’est pas avec vous ?" Demande Elise
"Elle l’était puis elle est partie."
Il repart dans le hall, il Ă©tait en train de mĂ©langer des produits pour blanchir le sol, il remet son masque et ses lunettes, et attrape la serpillĂšre pour commencer Ă  laver. La plus jeune des fantĂŽmes, qui a effectivement quitter le hall, fait le tour du manoir, depuis l’apparition de cet homme qui semble tout savoir des lieux et de son Ă©trangetĂ©, elle n’est pas rassurĂ©e. Elle s’arrĂȘte au bord de la riviĂšre, l’herbe haute la cache de tout autre personne, une question plus importante encore la fait rĂ©flĂ©chir
 Comment dire au blond qu’elle n’a pas su contrĂŽler sa possession, et que par sa faute ils sont indirectement liĂ©s ? Pire encore, comment lui dire qu’il va ressentir tout ce qu’elle a ressenti ?
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thewrongsorts · 3 years ago
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@ditzydursley gets a li’l starter!
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They would be gone in the morning— In the wake of the third task, Madame Maxime was anxious to get all of her students out of the Hogwarts grounds and back to Beauxbatons as quickly as possible. But in the meantime, for these few precious hours of evening, Fleur was free to contemplate the events of the day alone.
Or nearly alone, at least. “Ah! Je vous demande pardon, I did not expect anyone else...” She recognized the other witch, of course; she’d met Harry’s cousin many times over the year, if only in passing.
“How...” She hesitated a moment before admitting, “We were not allowed to see Harry again after he reappeared. Is he... well?”
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clhook · 3 years ago
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je sais pas si vous vous souvenez mais en dĂ©cembre j'Ă©tais vnr Ă  cause de mon groupe de potes du collĂšge qui avait organisĂ© un week-end pile poil au moment oĂč je pouvais pas sans mĂȘme essayer de trouver une solution c'Ă©tait un peu la goutte d'eau parce qu'avec eux c'est toujours comme ça moi et une autre fille on passe toujours Ă  la trappe (une annĂ©e on voulait partir en vacs ensemble mais on Ă©tait 6 et une autre meuf arrĂȘtait pas de criser parce que du coup il fallait prendre deux voitures ça allait coĂ»ter cher gniagnia du coup j'avais dit "eh ben je viens pas comme ça vous ĂȘtes 5 bye bye" et elle Ă©tait venue me dire en mp "non reste moi je disais ça pour que ce soit Laura qui laisse tomber j'ai pas envie qu'elle vienne" euh pardon hors de question que je participe Ă  ça) bref je me suis retirĂ©e de la conversation de groupe personne n'a rien dit jusqu'Ă  il y a un mois quand j'avais le covid, un mec du groupe est venu me demander des nouvelles et il a demandĂ© pk je participais plus donc j'ai tout expliquĂ© je lui ai dit que j'Ă©tais hyper blessĂ©e de leur comportement que ça durait depuis toujours et que j'en avais assez cette fois etc il a dit "ah euh ok" donc je me suis dit bon il va raconter ça aux autres et j'aurai des excuses mais QUE NENNI j'attends toujours vraiment un pigeon
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claudehenrion · 8 months ago
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Am... Stram... Gram...
Face Ă  face, trois coupables possibles devant une erreur que j'ai dĂ©couverte trop tard pour y porter remĂšde : soit le systĂšme ''Tumblr'' ( = mon fournisseur d'espace)... soit mon ordinateur (parfois un peu Ă©tourdi...)... soit mon index droit (parfois malicieux, souvent maladroit et toujours plus pressĂ© qu'il ne devrait l'ĂȘtre).
Laissez-moi vous expliquer le drame-qui-n'en-est-pas-un que je viens de vivre : sachant que je serais occupĂ©, en ce n-iĂšme ''pont'' du joli mois de Mai, j'avais prĂ©parĂ© un Ă©ditorial prĂȘt Ă  paraĂźtre ce soir Lundi de PentecĂŽte, pour que vous puissiez le lire demain mardi, normalement. Pour des raisons que je crois indĂ©pendantes de ma volontĂ©, il a Ă©tĂ© lĂąchĂ© dans la nature Samedi, mais datĂ© de ce soir... (NB : une parution le samedi est en principe exclue, dans notre ''cahier des charges'' : elle est, juste, impossible. Mais ça, c'est la thĂ©orie).
En pratique, il me reste Ă  vous demander pardon pour ce contre temps... mĂȘme si, enquĂȘte parlementaire faite, il s'avĂšre que c'est moi qui aurais appuyĂ© sur le mauvais bouton. DĂšs demain, nous reprenons le rythme habituel, et en attendant, c'est celui dit ''de samedi'' qui reprend la place qui Ă©tait la sienne...
Avec mes excuses réitérées, je vous souhaite une belle semaine
H-Cl.
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ongatheringsimsandstories · 1 year ago
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NSBC ‱ Chapitre 17
Le lendemain, les garçons ont fait la connaissance de leur petite sƓur. Et apparemment, ça ne passe pas trùs bien auprùs de Gabriel

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« C’est
 une fille ? »
Petit idiot, va. RaphaĂ«l, lui, l’aime dĂ©jĂ , apparemment.
« Oooh, comme elle est mignonne, maman ! »
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Un amour, cet enfant, je vous le dis. Gabriel aussi, mĂȘme s’il rĂąle. Regardez-le, une omelette faite maison par son papa et le voilĂ  Ă  nouveau tout sourire !
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Et puis, finalement, ce ne sont que des enfants
 Ils s’en fichent un peu, des bĂ©bĂ©s. MĂȘme RaphaĂ«l, qui la trouve mignonne, a prĂ©fĂ©rĂ© passer son dimanche aprĂšs midi Ă  jouer dehors avec son grand frĂšre plutĂŽt que de gazouiller devant sa petite sƓur. Et heureusement, sinon je m’inquiĂ©terai !
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C’est le premier jour de l’étĂ©, aujourd’hui, en plus. Qu’ils en profitent !
De mon cĂŽtĂ©, je ne m’offre pas le luxe de me prĂ©lasser au soleil. Finie la grossesse, il faut que les affaires reprennent, et avec elle, la dĂ©couverte de nouveaux Ă©lĂ©ments !
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Edward veille sur la petite en attendant. Je remonterai quand il partira travailler.
‱
Vous vous souvenez quand j’ai dis que le petit Tetsu Ă©tait une bonne frĂ©quentation pour mon aĂźné ? Et bah je retire ce que j’ai dis ! Vous devez vous dire que venant d’une femme qui bouche volontairement les canalisations c’est gens c’est gonflĂ©, mais quand mĂȘme !
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Je lui ai fais la morale, bien sĂ»r. C’est mal me connaĂźtre !
« Dis-donc, jeune homme, est-ce que c’est toi qui salis ma pelouse comme ça ? »
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« Euh
 Pardon, Madame Berry
 Je le referais plus

— Mh. J’accepte tes excuses. Une petite partie ? »
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Il a l’air dĂ©stabilisĂ©. Excellent. Quoi ? Mais non, je ne maltraite pas les enfants, voyons

J’en ai profitĂ© pour faire connaissance avec lui, histoire de. Et il est sympa, ce gamin, quand il ne salit pas ma pelouse.
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Finalement, comme je le disais, Gabriel se fait Ă  la prĂ©sence de GaĂ«lle dans la maison. Depuis la naissance de RaphaĂ«l, il a Ă©tĂ© un grand frĂšre exemplaire. Je ne vois pas pourquoi ça changerait maintenant

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RaphaĂ«l, lui, a un peu perdu le cĂŽtĂ© trĂšs avenant qu’il avait Ă©tant bambin. Mais ça ne ternit pas sa relation avec Gabriel, loin de lĂ . Ils me piquent mĂȘme mon Ă©chiquier, des fois, les gredins !
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J’espĂšre que la grande diffĂ©rence d’ñge qu’il y a entre eux deux et la petite derniĂšre ne l’affecteront pas, cela dit. Elle a bien le temps de grandir et de se faire aimer d’eux, mais avec l’entrĂ©e prochaine dans l’adolescence de Gabriel, je me demande ce que ça va donner

‱
Vous savez, mĂȘme enceinte, c’est moi qui rĂ©parais tout dans la maison. Edward, lui, est beaucoup plus compĂ©tant en cuisine. Nous sommes l’inverse d’un couple traditionnel, en somme, haha !
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Bref, tout ça pour dire que cette compĂ©tence, ainsi que ma logique avancĂ©e et mon contact amical avec les extra-terrestres me font me trouver au milieu de discussions entre les dirigeants du laboratoire dans lequel je travaille
 Et je parle de gens haut-placĂ©s, qui ne travaillent pas dans le laboratoire. Mais qui le possĂšde, plutĂŽt. Ils hĂ©sitent Ă  m’en confier la direction totale
 Ça devrait me rĂ©jouir, mais je suis plutĂŽt sous pression, si vous voulez mon avis ! (c’est d’ailleurs bien pour ça que je suis encore rĂ©veillĂ©e pour rĂ©parer des toilettes au milieu de la nuit)
J’en ai parlĂ© Ă  Vic’ le lendemain pour avoir son avis.
« Et ensuite ils m’ont dit ‘Vous vous acquitterez de cette tĂąche avec brio, j’en suis sĂ»r’ d’une voix super importante  »
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« Quoi ?! Mais c’est super ça Solange ! Ça veut dire qu’ils nous lĂącheraient un peu la grappe, s’ils nommaient quelqu’un en charge ici ! Ça serait super que ça soit toi ! »
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« Oui, enfin, ça veut aussi dire leur rendre des comptes continuellement, sur les progrĂšs du labo, etc. Ce sont des requins, tu sais bien

— Je sais. C’est pour ça qu’il faut que ça soit toi. J’imagine mal quelqu’un d’autre leur tenir tĂȘte ! Et il faut quelqu’un qui ne leur lĂšche pas continuellement les bottes. Pour notre bien Ă  nous, qui travaillons ici ! »
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 Elle n’a pas vraiment tort
 ! Hors de questions que je me laisse marcher sur les pieds par des vieux croulants ! Allez, c’est dĂ©cidĂ©, s’ils me proposent officiellement le poste, je le prends ! Ils ne savent pas ce qui les attend, hĂ©hĂ©.
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aisakalegacy · 2 years ago
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Printemps 1890, Hylewood, Canada (3/3)
Nous avons mis la dĂ©pouille de Maman en biĂšre et l’avons enterrĂ©e sans cĂ©rĂ©monie religieuse, conformĂ©ment Ă  son souhait. Mon pĂšre est de nous tous le plus affectĂ©. Telle MĂ©dĂ©e abandonnĂ©e par Jason, il passait les journĂ©es qui ont suivi la mort de ma mĂšre Ă©tendu, sans manger, abandonnant son corps Ă  la douleur, dissolvant tout son temps dans ses larmes depuis qu'elle a rendu l’ñme. Les jours oĂč il quittait le lit conjugal, il ne levait pas les yeux ni ne dĂ©tachait son visage du sol. Une lettre, cependant, l’a sorti de sa torpeur : il m’a demandĂ© de vous la joindre.
Virgile
Monsieur Le Bris,
Nous avons l’honneur de vous rĂ©expĂ©dier cette lettre retrouvĂ©e au guichet de New-York par la Compagnie GĂ©nĂ©rale Transatlantique, que nous venons de rĂ©ceptionner.
J’ai l’honneur, etc.
M. E. FullĂ©, SecrĂ©taire Ă  la surintendance gĂ©nĂ©ral des mandats de poste et des caisses d’épargne.
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Paris, 11 novembre 1875
Mon cher Auguste,
Je t’écris aujourd’hui car je suis trĂšs malade. Mon quotidien est rĂ©duit Ă  la respiration suivante : comment vais-je faire pour inspirer la prochaine fois ? Je n’en ai plus pour longtemps, et il fallait que je t’écrive une derniĂšre fois, avant que la pneumonie m’emporte.
Avant toutes choses, je souhaitais te prĂ©senter mes excuses. Je suis bien consciente que tu as dĂ» attendre cette lettre longtemps
 Pardon de ne pas avoir Ă©crit plus tĂŽt. Il y a dix-neuf ans, je quittais Hylewood sur une barque sans me retourner, et je laissais derriĂšre moi un passĂ© dont j’ai fait tout mon possible pour me dĂ©partir, que j’ai souhaitĂ© effacĂ© Ă  tout prix - en effaçant mon accent, en changeant ma maniĂšre de parler. Mais toutes ces annĂ©es durant, je n’ai pas cessĂ© une seconde de penser Ă  toi.
J’ai quittĂ© le Canada quand j’avais vingt ans. J’avais besoin de tout laisser derriĂšre mois et de repartir de zĂ©ro. Je me suis installĂ©e Ă  Paris et j’ai tentĂ© de faire carriĂšre dans le chant. J’ai bien chantĂ© quelques rĂŽles secondaires pour des opĂ©ras, mais je ne suis jamais parvenue jamais Ă  percer en tant qu’hĂ©roĂŻne : quelles chances avais-je face Ă  des actrices de quinze ou seize ans, au sommet de leur carriĂšre quand je n’étais encore qu’une inconnue ? 
ArrivĂ©e Ă  l’ñge de vingt-six ans, si l’on n’a pas percĂ©, on ne percera jamais. Je me suis donc retirĂ©e de la scĂšne et j’ai commencĂ© Ă  enseigner le chant au Conservatoire de Paris. 
Toi comme moi, nous avons grandi sans amour, protĂ©gĂ©s du monde comme des poupĂ©es de cristal. En quittant Hylewood, j’ai vĂ©cu. IntensĂ©ment. J’ai aimĂ© l’art avec passion. L’art ne m’a pas aimĂ©e autant que je l’aurais voulu. J’ai chantĂ©, de tout mon saoul, et j’ai appris Ă  d’autres Ă  chanter. Je ne me suis jamais mariĂ©e, je n’ai jamais eu d’enfants. J’ai rejettĂ© la demande en mariage d’un baryton, bien consciente qu’étant donnĂ© mon Ăąge, celle-ci Ă©tait la derniĂšre que je recevrais jamais. Mais je ne pouvais pas me marier : mon vĂ©ritable amour Ă©tait pour la musique. Je ne regrette rien, car mes Ă©lĂšves ont Ă©tĂ© mes enfants.
Adieu, Auguste. J’espĂšre que tu es heureux et que tu vis la vie de tes rĂȘves.
Ta grande sƓur, Jo.
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Bonus
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yes-bernie-stuff · 3 months ago
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Jugements
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Des facteurs que vous ignorez
Jeudi 24 Octobre
Gare aux jugements hĂątifs !
« Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s » Matthieu 7.1 "Je suis convaincue que des personnes seront portĂ©es par les messages de Parole du Jour, ce qui les incitera Ă  profondĂ©ment changer en fonction de que Dieu a dĂ©cidĂ© pour eux." HĂ©lĂšne Je fais un don
Chuck Swindoll raconte ce qui s’est passĂ© lors d’une sĂ©rie de confĂ©rences en Californie : « Un homme s’est approchĂ© et m’a dit : "J'ai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !" Je l'ai remerciĂ©. Mais le dimanche, lors de ma premiĂšre intervention, l'homme s’est assoupi. J’ai pensĂ© qu'il avait fait un long trajet et qu'il devait ĂȘtre fatiguĂ©. Pourtant, ça s'est reproduit chaque soir, jusqu’à la fin de la semaine. J’étais embarrassĂ© : mes sermons Ă©taient-ils Ă  ce point soporifiques ? Mais voilĂ  que le vendredi matin, la femme assise Ă  ses cĂŽtĂ©s est venue me dire : "Merci pour vos paroles et votre ministĂšre. Mon mari est atteint d'un cancer en phase terminale, et les mĂ©decins ne lui ont donnĂ© plus que quelques semaines Ă  vivre. Quand nous avons parlĂ© de ce qu'il voulait faire avant de mourir, il m’a dit : 'Je veux aller Ă©couter Chuck Swindoll !' Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous prĂ©senter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !" » Swindoll a dĂ©clarĂ© plus tard qu'il aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux d’avoir portĂ© un jugement et d’avoir rĂ©agi sans s’ĂȘtre renseignĂ©. » Pourquoi JĂ©sus a-t-il dit : « Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s » ? Parce qu'il peut y avoir, dans la vie d’une personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la mĂȘme grĂące que celle que Dieu vous accorde !
B365 — Plan de lecture 2 Chroniques 3
PriĂšre du jour Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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christophe76460 · 1 year ago
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MESSAGE DU SACRIFICATEUR AUX SAINTS SERVITEURS ET SERVANTES DU SEIGNEUR JESUS-CHRIST DANS LA VERITE .
Que la paix du Seigneur soit avec vous, chers frĂšres et sƓurs dans le Seigneur JĂ©sus-Christ.
Je suis le Sacrificateur de L'Éternel Docteur GbonguĂ© Joachim KessĂ©. Je viens vers vous, une fois de plus, vous donner cette adresse qui nous interpelle Ă  l'unitĂ© dans la priĂšre.
La Bible nous dit dans 1 Pierre 2 : 5 «‭ et vous-mĂȘmes, comme des pierres vivantes, Ă©difiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agrĂ©ables Ă  Dieu par JĂ©sus-Christ. »‏‏‏‏‏‏
Mes chers frùres et sƓurs dans le Seigneur et tout particuliùrement dans le ministùre.
Nos pĂšres ont dirigĂ© la vie spirituelle de ce pays sans bruit, dans la cohĂ©sion fraternelle et le respect mutuel pendant des dĂ©cennies. Quoiqu’ils aient eux aussi leurs diffĂ©rends.
Ils se sont laissés conduire par la parole et ont préservé le pays et surtout les ùmes qu'ils avaient sous leur garde de toute confusion.
Nous avons reprochĂ© Ă  ces pĂšres de n'avoir pas manifestĂ© l’onction. Oui, ils n'Ă©taient pas des prophĂštes majors, des voyants, des scanners, des rĂ©vĂ©rends, des archbishops, des Ă©vĂȘques, 

Mais ils vivaient la parole. À travers leur vie, leur rĂ©action, on pouvait voir la sagesse et l'amour de Dieu. Les Ă©glises Ă©taient alors tranquilles.
Puis notre gĂ©nĂ©ration arriva avec l’onction censĂ©e rendre l'Ă©glise plus dynamique et meilleure.
Je rĂ©pĂšte. Et notre gĂ©nĂ©ration arriva avec l’onction, les prophĂ©ties, les voyances et les titres.
Puis commencÚrent les guerres de positionnement, d'influence, de prééminence, etc. Cette affaire d'onction a entraßné la guerre fratricide. Et dans ça, nous avons perdu notre icÎne : le prophÚte Kacou Séverin. Mais cela ne nous a rien donné comme enseignement.
Nous nous sommes plongés de plus bel dans notre folie. C'était d'abord à la chaire ; et ensuite Internet fit son apparition.
Nous déplaçùmes cette guerre. De la chaire à Internet. Et cela au vu et au su de tous.
Et qu’est-ce que cela nous apporte aux yeux des non-chrĂ©tiens et de nos gouvernants ?
Cela ne nous intĂ©resse guĂšre. Le pire, c’est que, au moment oĂč deux de nos Ă©minents prophĂštes sont dans des situations difficiles Ă  supporter, au lieu de nous unir autour du combat, notre Ă©go nous inspire de nous combattre, nous accusant et nous justifiant tour Ă  tour sur Internet.
Jusqu’à quand, frĂšres, montrerons-nous Ă  nos devanciers que nous sommes mĂ»rs, qu’ils peuvent compter sur nous, que nous ferons mieux qu’eux pour le salut des Ăąmes et la restauration de notre nation ?
Jusqu’à quand arrĂȘterons-nous nos actes immatures ? Jusqu’à quand allons-nous continuer de nous livrer en spectacle aux yeux du monde ?
Quand est-ce que nous comprendrons qu’en nous dĂ©shabillant mutuellement sur les rĂ©seaux sociaux, nous nous dĂ©shonorons nous-mĂȘmes aux yeux des non-chrĂ©tiens et que nous les empĂȘchons de croire en notre Dieu ? Jusqu’à quand allons-nous arrĂȘter de fournir Ă  nos gouvernants des raisons de s’introduire dans notre affaire pour y mettre de l’ordre ?
Frùres, de tout cƓur, je vous demande pardon. Par amour pour le Seigneur, pardonnons-nous les uns les autres. Allons à l’essentiel.
Nos frĂšres sont incapables de se tenir Ă  la chaire pour prĂȘcher. Ils manquent Ă  leur peuple. Ils manquent Ă  leurs familles. Parlant de familles, peut-ĂȘtre que vous ne le savez pas, les Ă©pouses des deux prophĂštes viennent d’accoucher de beaux bĂ©bĂ©s. Ces nouveau-nĂ©s ont besoin de la chaleur de leurs pĂšres.
Ces prophĂštes manquent Ă©galement Ă  la nation.
C’est ensemble que nous allons triompher. Ne tombons pas dans le jeu du diable. Car pendant que nous nous battons, lui il avance par le canal de ses adeptes qui se sont introduits au milieu de nous.
Bien-aimĂ©s, si par mes propos j’ai heurtĂ© la sensibilitĂ© de quiconque parmi vous, veuillez m’en excuser. Mais je prie de tout cƓur qu’à ce carrefour oĂč nous sommes, nous la jeune gĂ©nĂ©ration comprenions la nĂ©cessitĂ© pour nous de nous donner la main d’association, de faire taire nos diffĂ©rends, de mener le combat ensemble dans l’unitĂ© pour le rĂ©veil spirituel et la restauration de notre nation.
Que la paix et l’amour de JĂ©sus-Christ notre Seigneur et notre Sauveur nous animent tous.
Votre frĂšre et co-ouvrier dans la vigne du Seigneur, le Sacrificateur. Shalom.
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