#// je vous demande pardon : excuse me
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Les 6 rĂšgles...
Association : Spencer Reid x Lectrice
RĂ©sumĂ© : Tu as eu de mauvaises expĂ©riences sexuelle dans le passĂ© et alors qu'un soir vous ĂȘtes sur le point de coucher ensemble. Vous lui faĂźtes par des 6 rĂšgles Ă ne jamais franchir...
Avertissements : MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, aucune réelle scÚne de sexe mais évoquation de traumatises dû au sexe. Manque de confiance en soi.
Avant Spencer, vous aviez connu des relations tumultueuses. Tous les hommes avant lui vous avaient blessée, ne cherchant que le plaisir éphémÚre avant de s'éclipser avec des excuses toutes faites :
"Urgence familiale","Ma copine m'attend",ou encore "Nous deux, c'Ă©tait juste pour s'amuser, on est d'accord ?"
Mais Spencer Ă©tait diffĂ©rent. Cela faisait trois mois que vous sortiez ensemble, et il nâavait jamais exigĂ© quoi que ce soit. Au dĂ©but, vous aviez peur de faire quelque chose de travers. Puis il vous avait expliquĂ©, doucement, quâil voulait prendre son temps. Avec lui, tout semblait naturel. Vous aviez dansĂ© et ri ensemble sous le regard amusĂ© de Derek, et ce soir-lĂ , en rentrant, Spencer vous avait embrassĂ©e et plaquĂ©e doucement contre la porte.Ses lĂšvres avaient explorĂ© votre cou alors quâil vous guidait vers le canapĂ©. Il sâĂ©tait allongĂ© au-dessus de vous, ses gestes empreints dâune tendresse que vous nâaviez jamais connue. Mais alors que la passion montait, des souvenirs douloureux remontĂšrent Ă la surface. Votre corps se crispa.
Spencer sâĂ©carta immĂ©diatement, le regard inquiet.
â Ăa va ? demanda-t-il doucement.
â Oui⊠pardon.Vous tentĂątes de le ramener contre vous, de lui faire oublier votre hĂ©sitation, mais il resta en retrait, ses yeux dĂ©bordant de tendresse et de prĂ©occupation.
â On peut sâarrĂȘter lĂ si tu veux.Vous secouĂątes la tĂȘte.
â Non, non⊠pardon. Câest juste queâŠVous vous redressĂątes pour lui faire face, les mots difficiles Ă trouver.
â Je nâai jamais eu⊠de trĂšs belles expĂ©riences. Alors jâai quelques apprĂ©hensionsâŠSpencer sembla peinĂ©. Il se pencha pour dĂ©poser des baisers doux sur votre front, vos joues, puis vos lĂšvres.
â Je peux faire quelque chose pour tâaider ? demanda-t-il doucement.
â Oui⊠enfin, est-ce que je peux te demander quelque chose ? Il hocha la tĂȘte, attentif, et vous laissa de lâespace, bien que son regard restĂąt rivĂ© sur vous.
â Il y a six choses que je⊠que je nâaimerais pas faire. Est-ce que tu pourrais les respecter, sâil te plaĂźt ?
Spencer parut surpris un instant, mais il acquiesça. Il vous allongea dĂ©licatement sur le canapĂ©, glissa un oreiller sous votre tĂȘte pour votre confort, puis se pencha Ă nouveau, reprenant ses baisers.
â Vas-y, je tâĂ©coute, dit-il entre deux baisers sur votre cou.
Un peu troublée, vous osùtes murmurer :
â Pas par derriĂšre. Et ne me retourne pas sans me prĂ©venir, sâil te plaĂźt.Il sâarrĂȘta pour vous regarder.
â Je peux te demander pourquoi ?
Vous posĂątes une main sur ses yeux, gĂȘnĂ©e.
â Mes exs avaient lâhabitude de⊠me coincer. Tu comprends ?
Il ne bougea pas, respectant votre silence, et reprit doucement ses baisers sur vos joues. Vous retßntes difficilement vos larmes face à tant de délicatesse.
â Continue, ça fait une choseâŠ
â Si tu veux une fellation, demande-moi. Ne prends pas ma tĂȘte violemment.
Ses baisers devinrent plus intenses, et il resserra doucement lâĂ©treinte entre vos corps.
â Pas contre les murs, ajoutĂątes-vous aprĂšs un moment. Une fois, ma tĂȘte a violemment heurtĂ© un mur, et⊠il nâa mĂȘme pas pris la peine de vĂ©rifier si ça allait.
Votre respiration sâaccĂ©lĂ©ra sous lâeffet de ses mains caressant tendrement votre taille.
â Ne tire pas mes cheveux, sâil te plaĂźt, murmurĂątes-vous, dĂ©tournant lĂ©gĂšrement la tĂȘte.Vous hĂ©sitĂątes avant de continuer :
â Pas sur le sol non plus. La derniĂšre fois ça mâa laissĂ© des bleus horribles. Votre voix se brisa sur la derniĂšre requĂȘte :
â Et si je te demande dâarrĂȘter⊠promets-moi que tu tâarrĂȘteras.
Spencer enleva votre main pour déposer un long baiser sur vos lÚvres.
â Je te promets de respecter ces six rĂšgles, dit-il doucement. Mais je te promets aussi quâaucun homme ne franchira ces limites.
Vous vouliez le remercier, mais les mots se perdirent dans des larmes silencieuses.
Spencer les vit aussitÎt et vous serra tendrement dans ses bras, ses lÚvres déposant encore des baisers doux sur votre visage.
â Merci, Spencer. Je tâaime tellement.
â Tu mĂ©rites le meilleur, rĂ©pondit-il. Je tâaime aussi.
Cette nuit-lĂ , vous vous endormĂźtes dans ses bras, sans quâil ne relĂąche son Ă©treinte, comme pour vous protĂ©ger de tous les souvenirs passĂ©s.
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Printemps 1924Â - Champs-les-Sims
7/10
Je lui ai demandĂ© de ne pas le faire. Vous savez, il a commencĂ© Ă dix-sept ans sans vraiment avoir le choix. Mon grand-pĂšre avait disparu, mon pĂšre Ă©tait un adolescent de treize ans et ma grand-mĂšre Ă©tait dĂ©jĂ une vieille dame. Je me dis que ça n'a pas du ĂȘtre facile. Il veut sans doute que je reprenne le flambeau aussi tĂŽt par tradition et il pense que j'ai au mauvaise opinion de mes capacitĂ©s. Je crois que lui aussi, malgrĂ© les annĂ©es, ne se pense pas toujours digne. Il se serait sans doute dĂ©chargĂ© d'un poids je suppose.
Mais moi je ne suis pas prĂȘte. Pensez-vous ! Mes parents me traitent comme une adulte, mais il n'y a guĂšre que ma soeur ClĂ©o pour se voir comme une adulte par ici. Peut-ĂȘtre Antoine aussi, mais lui a toujours plus ou moins Ă©tĂ© un adulte, mĂȘme quand nous Ă©tions petits ! Je me demande mĂȘme ce que ça veut dire "ĂȘtre adulte", si ce n'est passer un Ăąge symbolique qui signifierai qu'on sait enfin ce qu'on est en train de faire et que les Ă©checs vont couter cher. Je refuse de prendre de telles responsabilitĂ©s tout de suite, surtout si j'ai la chance d'attendre un peu.
Transcription :
Adelphe « Je nâen ai assez de rien. Je ne sais pas quelle image tu as de toi-mĂȘme NoĂ©, mais tu nâas jamais Ă©tĂ© un fardeau pour moi. Si je tâai enseignĂ© le mĂ©tier, ce nâest pas par amour ou sens du devoir envers ton pĂšre. Ce nâest pas non plus parce que EugĂ©nie Le Bris lâa diligemment commandĂ©. CâĂ©tait tout simplement parce que tu me lâas demandĂ© et que cela te tenais Ă coeur. Je mentirais en disant que je nâapprĂ©cierai pas du temps Ă passer avec mes enfants et mon petit-enfant qui va naĂźtre, mais je peux tout aussi bien ĂȘtre ici et auprĂšs dâeux. »
ArsinoĂ© « Pardon, jeâŠÂ »
Adelphe « Assez avec les excuses jeune fille ! Il va falloir te montrer un peu plus assertive. Si câest ton souhait dâattendre, alors nous attendrons. »
ArsinoĂ© « Jâaime bien lâidĂ©e dâavoir du temps pour me prĂ©parer. »
Adelphe « Alors ce temps, nous le prendrons. »
ArsinoĂ© « Merci mon oncle. Mais mĂȘme aprĂšs, jâaimerai que vous ne vous effaciez pas trop. Que nous soyons davantage partenaires. Comme des associĂ©s en quelques sortes. MĂȘme si câest mon nom sur les papiers et la devanture. »
Adelphe « Je suis plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ©, un homme de surcroĂźt. Sans compter que les clients sont habituĂ©s Ă traiter avec moi depuis des dĂ©cennies. Jâai peur de te supplanter si je ne mâefface pas derriĂšre toi, ou pire, que nos clients te contournent pour traiter directement avec moi. »
Arsinoé « Moi, ça ne me fait pas peur. »
Adelphe « Vraiment ? »
ArsinoĂ© « Je vous connais trop bien mon oncle. Si jamais cela devait arriver, vous seriez tellement mortifiĂ© que vous feriez en sorte que cela ne se reproduise pas. Et tout ça sans mĂȘme que je mâen rende compte. »
Adelphe « Ah ah ! Ce nâest pas faux ! Et puis jâadmets que, dans mes jeunes annĂ©es, jâaurai apprĂ©ciĂ© que ton grand-pĂšre ait Ă©tĂ© derriĂšre moi, ne serait-ce que pour me rassurer. »
ArsinoĂ© « Alors vous voyez ? Papa mâa toujours dit que je pourrai compter sur vous, quoi quâil arrive. »
Adelphe « Je ne sais pas ce que jâai pu faire pour mĂ©riter une telle confiance, mais je suis vraiment touchĂ©. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Cléopùtre Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Adelphe Barbois#Constantin Le Bris#Maximilien Le Bris
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Peut-on ĂȘtre aussi bĂȘte ?
  Je dois reconnaĂźtre, pour ma plus grande honte, que je me suis bien ââplantĂ©ââ et ''emmĂȘlĂ© les pinceaux'' sur les dates des vacances scolaires de la zĂŽne ''C'', Ă un degrĂ© de graviitĂ© qui dĂ©passe l'entendement. Je vous en demande pardon.
Mais j'avais une excuse à invoquer (quant à savoir si vous allez l'accepter... je m'en remets à vous !) : un tir groupé de 4 abcÚs dentaires a fait de moi une caricature de ce que je suis en temps normal. Inconsciemment (je suppose) j'avais vraiment envie que les vacances commencent trÚs vite, ceci expliquant sans doute cela...
Compte tenu des circonstances, je ne me sens pas le courage de ''repartir'' pour une semaine... et je vous demande donc, chers amis-lecteurs, de conserver les dates qui étaient proposées dans mon éditorial de ce 10 février : reprise le 8 Mars.
Pardon encore et Bonnes vacances, tout de mĂȘme, quand le temps sera venu.
Claude Henrion, alias H-Cl.
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NSBC âą Chapitre 10
Ok⊠CâĂ©tait bizarre, mais quâest-ce que câĂ©tait bien ! Bon, jâai eu lâimpression de me faire fouiller la cervelle, mais pour la scientifique que je suis, câest un Ă©norme pas !
Lorsque je suis rentrĂ©e, Edward mâa jetĂ© un regard soulagĂ© de la porte de la salle de bain ouverte, alors quâil apprenait Ă Gabriel Ă faire sur le pot. Victoria lisait, mais elle a reposĂ© son ouvrage et mâa proposĂ© une partie dâĂ©checs, ce que jâai acceptĂ©. Et devinez quoiâŠ
Jâai gagnĂ©. Pour la premiĂšre fois.
« FĂ©licitations, Solange. Je nâai plus rien Ă tâapprendre de ce cĂŽtĂ©-lĂ . »
Vous ne rĂȘvez pas, elle me tutoie. Depuis la naissance de Gabriel, en fait. Je pense quâelle me considĂšre vraiment comme faisant partie de sa famille, maintenant. Et ça me fait chaud au cĆur. Car personne ne sâapproche facilement de Victoria OâRiley.
Elle est partie le sourire aux lĂšvres ce soir-lĂ , alors que tout le monde Ă©tait fatiguĂ© et quâEdward venait dâaller coucher Gabriel.
âą
Aujourdâhui, câest la FĂȘte des RĂ©coltes ! Ce qui veut dire⊠une occasion pour faire la fĂȘte ! Bon, dâaccord, on va ĂȘtre Ă nouveau que quatre, mais ça fait du bien de passer du temps en famille, non ?
Au saut du lit, jâai vu un gnome dans notre chambre⊠je lui ai donc offert Ă manger, histoire quâil ne sâapproche pas trop de mon fils avec des mauvaises intentions, on nâest jamais trop prudentsâŠ
« Câest bon, M. le Gnome ? Vous ĂȘtes heureux ? »
Il nâa pas rĂ©pondu, jâai pris ça pour un oui. Mais Edward, lui, a rĂ©ussi Ă en Ă©nerver unâŠ
Mâen fiche, câest lui qui rĂ©pare les objets cassĂ©s aprĂšs, hein ! Bon, il a prĂ©fĂ©rĂ© sâenfuir au lieu de demander pardon, alors câest moi qui mây colleâŠ
Mais il nâa pas aimĂ© mes excuses, apparemmentâŠ
Merci, Ed, je te revaudrais ça, sale froussard !
Bon, et bah puisque ça marche pas, employons les grands moyensâŠ
« Mais Solange, quâest-ce que tu fais ?!
â Je nous dĂ©barrasse dâune nuisance. »
Et voilà le travail !
« Super ma puce, merciâŠ
â Mais de rien. En revanche, la prochaine fois, Ă©vite de les mettre en colĂšreâŠÂ »
Pour se faire pardonner, il a dĂ©crĂ©tĂ© que câĂ©tait lui qui sâoccupait du Grand Repas. Je nâai pas protestĂ©, Ă©tant donnĂ© que, quand mĂȘme, de nous deux, câest lui qui cuisine le mieuxâŠ
En attendant quâil finisse, et que Victoria arrive, je me suis occupĂ©e de dĂ©corer la maison.
Yâavait un de ces bazars dans ces boĂźtes⊠Pas facile de trouver quelque chose dâintĂ©ressant. Mais finalementâŠ
⊠nous nous retrouvons tous Ă festoyer autour dâune dinde en tofu, dans une maison bien dĂ©corĂ©e !
« Alors, tâen penses quoi, Vicâ ? Câest pas de la viande, mais câest bon, non ?
â Câest pas mal, tu tâes amĂ©liorĂ©âŠ
â Comment ça, jâai toujours Ă©tĂ© un super cuistot !
â MouaisâŠÂ »
Elle me jette un petit sourire en coin en disant cela. Elle a de lâhumour, cette femme, quand elle veutâŠÂ ! Et on dirait quâil y en a un autre que ça amuse.
« Encoâe !
â Tu vois Vicâ, mon fils apprĂ©cie ma nourriture. »
Ils se disputent parfois comme des adolescents, mais ça ne les rend que plus attachants. Les frĂšres et sĆurs qui se chamaillent tout le temps sont les plus proches, non ?
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DL - RĂ©sumĂ© foireux S01.ĂP05
Repensant Ă ce que Fedora-chan lui a dit dans l'Ă©glise, la blondasse est en train de cueillir les roses. Pourquoi ? J'en ai foutrement aucune idĂ©e ! Soudain, l'hystĂ©rique arrive avec sa peluche et lui ordonne de le suivre avec les roses cueillies, puis va dans un cimetiĂšre avec elle. Il lui dit ensuite que la froideur, l'odeur des tombes et le silence l'excitent sexuellement lui font se sentir bien. Il affirme ensuite que sa mĂšre repose dans la tombe en face de lui... avant de dire qu'il l'a butĂ©e. Nikel... Alors, Yui... tu te retrouves avec un nĂ©crophile tarĂ© qui adore l'ambiance des cimetiĂšres, mais en plus il te sort comme ça qu'il a zigouillĂ© sa maman, donc fais pas chier. Sous les ordres du gamin, elle pose les fleurs sur la tombe avant de lui dire qu'elle s'en va. Ăa met l'hystĂ©rique en colĂšre qui commence Ă gueuler en rĂ©duisant le bouquet en miettes avant de rabaisser notre petite blonde en lui rappelant encore qu'elle n'est rien qu'une humaine. ApeurĂ©e, elle recule et on constate son immense talent Ă trĂ©bucher. Au bord de l'Ă©rection AmusĂ©, Kanato rigole et lui ordonne de lui implorer son pardon. AprĂšs ses excuses, il se jette sur elle pour la croquer... mais il recule avant de dire que les humaines se mettent en colĂšre si on les embrasse pas avant l'acte. Venant de quelqu'un qui apprĂ©cie plus la compagnie des cadavres que celle de sa famille, je suis pas Ă©tonnĂ©e de sa logique foireuse ! Il lui roule une pelle avant de la mordre. Sous le choc d'un sang aussi sucrĂ©, l'hystĂ©rique la remord avant de caresser ses cheveux et son Ă©paule en se disant que tout est okay si elle prend du plaisir (ça ne fonctionne pas, coco !). AprĂšs Yui retourne au man... attendez ! J'ai l'impression d'avoir vu cette dĂ©marche quelque part... ah oui, ça me revient maintenant !
Le tonton pĂ©dophile fait un coucou Ă Tsundere Simulator et disparaĂźt aprĂšs avoir parlĂ© de l'Ăveil. Car on manquait justement de cliffhanger ! De retour au manoir, Plante Verte entend des... des gĂ©missements ?! En plus, il y a mĂȘme la musique qui donne une ambiance obscĂšne. Oh et puis, merde ! C'est sans doute Claude Faustus en train de jouir sur une partie d'Ă©chec... il aime vraiment les Ă©checs, celui-lĂ . En fait non, c'Ă©tait un cauchemar et monsieur se rĂ©veille aprĂšs que Yui ait mis une main sur son Ă©paule avant de se faire un thĂ©, de critiquer la fille et quand elle demande si Shuu utilise cette salle, il le prend mal. Il lui prĂ©pare donc un thĂ© "spĂ©cialement pour elle" avec une bonne dose de GHB (non, je vous rassure ou pas, c'est du poison). En plus, ce con lui en refait avaler de force avant qu'elle ne s'effondre au sol et lui sort que c'est vulgaire de s'Ă©touffer de la sorte. Okay, parce qu'il y a une maniĂšre polie et respectable de s'Ă©touffer avec du poison ? Tu m'en diras tant ! Comme elle s'est coupĂ©e avec un Ă©clat de la tasse renversĂ©e au sol, Reiji prend sa main avant de la lĂ©cher et il affirme ne pas avoir de goĂ»t pour les choses qui ne sont pas parfaites (eh bah, il ne doit pas souvent se regarder dans le miroir alors đ) comme la tasse qu'il a sans doute dĂ©robĂ© dans la collection de vaisselle de sa grand-mĂšre. Yui se lĂšve en se chiant presque dessus et deux voies s'offrent Ă elle: fuir par la porte ou reculer contre la bibliothĂšque. Comme le talent de faire des choix intelligents manque cruellement dans son code gĂ©nĂ©tique, elle opte pour la bibliothĂšque. Le Butler la rejoint vite et lui dit que les humains, quand mĂȘme qu'ils soient que des sacs de sang sans valeur, rĂ©clament plus de plaisir que n'importe quel ĂȘtre et pense que lui croquer la nuque va lui faire plaisir. Question de paraĂźtre encore plus creepy, Reiji lui dit qu'il va soigner sa plaie, serrer le bandage si fort au point de couper la circulation du sang dans ses doigts afin que ceux-ci pourrissent et tombent. Il s'excite presque devant son visage terrifiĂ© et alors qu'elle vient tout juste de perdre connaissance, Monsieur-J'ai-Un-Gros-Balais-Dans-Le-Cul- se remĂ©more la fois oĂč il a fait buter sa daronne et lui pardonne pas d'ĂȘtre morte heureuse. Bon, au moins c'est clair il faut ajouter le mot "matricide" sur la liste des dĂ©fauts communs des frĂšres...
#résumé foireux#yui komori#kanato sakamaki#laito sakamaki#reiji sakamaki#subaru sakamaki#richter sakamaki#diabolik lovers anime#diabolik lovers#dl memes#diabolik lovers memes#my art
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Pardon
â 8 JANVIER ⶠ365 jours pour ranimer la flamme
LâĂternel dit Ă CaĂŻn : « OĂč est ton frĂšre Abel ? ». Il rĂ©pondit : « Je ne sais pas ; suis-je le gardien de mon frĂšre ? ». GenĂšse 4.9
Savoir demander pardon
CaĂŻn venait de tuer son frĂšre Abel par « jalousie ». LâĂternel Dieu Ă©tait parfaitement au courant de ce qui sâĂ©tait passĂ© ! Alors pourquoi pose-t-Il cette question Ă CaĂŻn ? Avez-vous dĂ©jĂ mĂ©ditĂ© sur cela ? Je nây vois quâune seule rĂ©ponse : Dieu dĂ©sirait entendre de la bouche de CaĂŻn quâil regrettait son geste ! Mais celui-ci, comme ses parents Adam et Ăve lâavaient fait, sâest retranchĂ© derriĂšre des excuses. Ăve trouva lâexcuse que câĂ©tait le serpent, Adam rejeta la faute sur Ăve et Dieu : « Câest la femme que Tu mâas donnĂ© Dieu »... CaĂŻn, nâayant trouvĂ© personne Ă accuser Ă sa place, mentit honteusement en se dĂ©chargeant de toute responsabilitĂ©. Si je parle de ceci aujourdâhui câest parce que la nature humaine est comme cela. Nous avons un mal terrible Ă demander pardon de la bonne maniĂšre. DĂ©jĂ de dire : « Je mâexcuse pour ce qui arrive mais câest Ă cause de... » nous coĂ»te un effort extrĂȘme, alors de dire : « Je te demande pardon, jâai fait le mal, je nâai aucune excuse et je suis indigne... » devient mission impossible. Pourtant si vous relisez lâhistoire du fils prodigue dans Luc 15, câest ce quâil a dit ! Mes bien-aimĂ©s, si nous voulons ĂȘtre au bĂ©nĂ©fice de la puissance extraordinaire du pardon, nous devons parler et agir de la sorte, envers Dieu, mais aussi envers notre prochain. Câest un leurre et une tromperie gigantesque de croire que nous vivrons la puissance libĂ©ratrice du pardon si nous nous cherchons des « circonstances attĂ©nuantes », si nous minimisons la faute, ou pire, si nous voulons faire endosser Ă un autre la responsabilitĂ© de notre mauvaise action ou parole ! La libertĂ© est dans la vĂ©ritĂ© ! ReconnaĂźtre honnĂȘtement notre faute sans fioriture, voilĂ la clĂ© de la libertĂ© ! - Lire plus ici :
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Fabienne la secrétaire cochonne
Ma secrétaire cochonne
 Je suis le gĂ©rant dâune boĂźte de BTP dans le sud de Paris. Jâapproche gentiment de la cinquantaine. Je suis mariĂ© et jâai deux enfants. Je passe le clair de mon temps au bureau pour joindre les deux bouts. Ce qui implique que je nâai pas vraiment trop de temps Ă accorder Ă ma femme. Dâautant plus que la libido de ma femme est proche du nĂ©ant. Je nâai donc plus trop lâoccasion de passer du bon temps avec elle. Mais mon appĂ©tit sexuel est toujours prĂ©sent. En vingt ans de mariage, je nâai couchĂ© quâavec une autre femme quâelle. Je ne considĂšre pas que je lâai trompĂ© car il sâagissait dâune prostituĂ©e que jâavais rencontrĂ© lors dâun de mes dĂ©placements professionnels.
 Mais depuis une semaine, une jolie brune a fait irruption dans ma vie ; il sâagit de ma nouvelle secrĂ©taire. Elle sâappelle Fabienne et elle un peu moins de trente ans. DĂšs que jâai posĂ© mes yeux sur elle, je nâai eu quâune seule obsession ; celle quâelle devienne ma maĂźtresse. Elle pose Ă premiĂšre vue une belle poitrine et son sourire me fait facilement craquer. Il mâarrive mĂȘme de me masturber Ă mon bureau en pensant Ă elle alors quâelle est la bureau jouxtant le mien.
 Le premier jeudi aprĂšs son arrivĂ©e, je lâinvite Ă manger avec moi Ă midi. Fabienne ne porte jamais de tenue provocante. Elle porte souvent un jean et un haut qui met parfaitement ses formes.
 à la pause de café, je vais la voir dans son bureau. Je toque à sa porte.
 -         Câest GĂ©rard ! Je peux entrer ?
-         Oui, bien sûr, monsieur.
-         Ăa va Fabienne. Tu te fais Ă ton nouveau travail ?
-         Oui, monsieur. Je voulais vous remercier de mâoffrir cette opportunitĂ© de travail pour vous.
-         Je sais bien que tu es encore en pĂ©riode dâessai mais saches que tu peux me tutoyer. Il nây que mes clients et mes fournisseurs qui me vouvoient.
-         Dâaccord, mon.. GĂ©rard.
-         Tu viens boire un café ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Avec plaisir.
 On va donc dans la salle de pause. Je marche lĂ©gĂšrement derriĂšre pour mater son joli petit cul. On sâassoit Ă une table aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© nos cafĂ©s Ă la machine.
 -         Tu sembles bien tâintĂ©grer ici, Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, GĂ©rard. Les gens sont plutĂŽt sympas, ici.
 Je nâarrive pas Ă la regarder dans les yeux quand je lui parle. Mon regard est attirĂ© par son dĂ©colletĂ©. Elle ne semble pas le voir ou du moins elle ne mâen fait pas la remarque.
 -         Et cĂŽtĂ© cĆur, ça se passe bien pour toi ?
 Fabienne se met à rougir.
 -         Pardon, je ne devrais te demander ça, Fabienne. Excuses-moi.
-         Non, GĂ©rard, ça ne me dĂ©range pas. Je nâai pas de relation stable en ce moment.
-         Pourquoi ça ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je nâai pas un caractĂšre trĂšs facile.
-         Pourtant, tu as lâair dâĂȘtre une jeune femme douce et souriante.
-         Merci pour tes compliments. Comment te dire⊠jâĂ©puise rapidement mes amants.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Tu mâintrigues, Fabienne. Dis-moi en plus.
-         Jâai des appĂ©tits difficiles Ă combler.
 Je sens mon cĆur sâemballer. Jâai mĂȘme un dĂ©but dâĂ©rection. Ma nouvelle secrĂ©taire serait-elle une salope ? Je pose dĂ©licatement une main sur la sienne. Elle me laisse la toucher. Elle me sourit. Je la regarde fixement dans les yeux.
 -         Tu aimes faire quoi, Fabienne ?
-         Afin de faire plus connaissance avec un homme, jâaime bien le prendre en bouche.
-         Tu nây vas pas par quatre chemins, Fabienne. Jâadore ta franchise.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Jâai rarement ma langue dans ma poche. Ăa mâa quelques tours.
-         Tu me ferais une petite gùterie ?
-         Ici, Gérard ?
-         Non, à mon bureau. On y sera plus tranquille.
 Elle regarde ma main et elle y voit ma bague de mariage.
 -         Tu es marié depuis longtemps ?
-         Ăa va faire presque vingt ans. Ăa te dĂ©range ?
-         Je nâai pas trop lâoccasion de faire ça avec des hommes mariĂ©s. Et aprĂšs tout, te tailler une pipe ce nâest pas comme si tu trompais ta femme, non ?
-         Tu as raison, Fabienne. Ăa fait tellement longtemps que je ne suis pas fait sucer⊠dâautant plus avec une jolie jeune femme comme toi.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Tu vas me faire rougir, GĂ©rard.
 On finit rapidement nos cafés et on se dirige vers mon bureau. Ma queue est déjà bien en forme.
 On entre dans mon bureau. On baisse les stores et Fabienne ferme la porte de mon bureau à clé.
 -         Comme ça, on est sĂ»r de ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©.
-         Mmm, viens jouer avec ma flûte, Fabienne !
 Je mâassis sur ma chaise. Fabienne se met Ă genoux devant moi. Elle mâaide Ă baisser mon pantalon et mon boxer. Ma queue est dĂ©jĂ dressĂ©e. Cela fait sourire ma belle petite secrĂ©taire.
 -         Tu as un bel engin, Gérard !
-         Elle nâattend plus que ta bouche, Fabienne !
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Laisses-moi jouer avec avant de te faire cracher dans ma bouche.
-         Mmm, petite coquine. Fais-moi du bien !
 Fabienne retire son gilet ainsi que son t-shirt. Son soutien-gorge rouge met bien en valeur sa gĂ©nĂ©reuse poitrine. Elle embrasse mon gland du bout de ses lĂšvres. Elle fait tourner sa langue autour de mon gland. Ma queue est vraiment dure. Elle retire lentement son soutien-gorge et elle vient serrer ma queue entre ses seins. Jâai droit Ă une bonne branlette espagnole. Ses seins sont fermes et doux. Je gĂ©mis doucement. Elle me regarde droit dans les yeux en me souriant. Fabienne sait comment faire monter mon excitation.  Elle lĂšche de temps en temps mon gland.
 -         Je crois que je tâai suffisamment torturĂ©.
 Elle se met finalement Ă me sucer. Elle glisse lentement ma queue dans sa bouche. Elle serre ma queue entre sa langue et son palais. Elle me suce divinement bien. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle caresse mes boules. Je gĂ©mis en sentant sa bouche coulisser le long de ma queue. Jâappuie sur sa tĂȘte afin quâelle me fasse une gorge profonde. Mon gland vient taper au fond de sa gorge. Sa salive coule le long de ma queue jusquâĂ mes boules. Jâai rarement Ă©tĂ© sucĂ© aussi bien.
 -         Mmm, tu vas me faire cracher, Fabienne oooh
 Je plonge bien ma queue au fond de sa gorge afin de dĂ©charger toute ma semence. Je crache plusieurs jets de sperme. Fabienne sâĂ©touffe presque en recevant autant de foutre au fondĂ© sa gorge. Elle me garde prisonniĂšre de sa bouche jusquâĂ ce que je finisse de jouir. Elle aspire dĂ©licatement mon gland pour en extraire mes derniĂšres gouttes. Mon orgasme est intense. Elle libĂšre ma queue et elle passe quelques petits coups de langue sous mon gland.
 -         Eh bien, ça devait faire longtemps que tu ne tâĂ©tais vidĂ© les couilles, GĂ©rard !
-         Dans une bouche aussi accueillante, oui. Ăa fait au moins trois jours que je nâavais pas crachĂ©.
-         Je suis heureuse de tâavoir soulagĂ©, patron.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Merci, Fabienne. Et en plus, tu as une belle poitrine.
 Fabienne se rhabille. Je caresse sa poitrine par-dessus son gilet.
 -         Tu aimes les gros seins, Gérard ?
-         Jâaime bien, oui. Ăa te dirait de manger avec moi Ă midi ?
-         Pourquoi pas. Jâai dĂ©jĂ eu droit Ă mon apĂ©ritif.
-         Coquine ! Reviens vite dans ton bureau avant que ça commence Ă jaser. Je viendrais te chercher toute Ă lâheure.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â OK, GĂ©rard.
 Quand elle se lĂšve, je viens lui donner une fessĂ©e. Ses fesses ont lâair vraiment fermes. Elle ouvre les stores et elle va sâinstaller Ă son bureau. Je remonte mon boxer et mon pantalon.
 JusquâĂ midi, jâai vraiment du mal Ă me concentrer m. Je repense au moment que je viens de passer avec ma belle secrĂ©taire cochonne. Fabienne me transfĂšre un appel de lâun de mes clients. On convient de se voir le lendemain soir afin de finaliser un nouveau contrat. Comme je sais quâil est plutĂŽt dur en affaires, je compte lui offrir un petit cadeau pour nĂ©gocier ce contrat.
 à midi moins dix, je vais toquer à la porte de Fabienne.
 -         Tu viens, Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, GĂ©rard.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â On va prendre ma voiture.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je te suis.
 On part donc vers le restaurant oĂč jâai lâhabitude dâamener mes clients. On mange en tĂȘte Ă tĂȘte.
 -         Jâai une rĂ©union afin de finaliser un nouveau contrat demain soir, Fabienne. Jâaimerais bien que tu mây accompagnes.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Comme tu veux.
-         Merci⊠par contre jâai autre chose Ă te demander.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Dis-moi, GĂ©rard.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â En fait, câest un client qui est assez radin et jâaimerais que tu mâaides.
-         Tâaider comment ?
-         Euh⊠tu peux toujours refuser maisâŠil faudrait que tu lui fasses un peu de rentre dedans.
-         Tu veux que je couche avec lui ? Il a quel ùge ?
-         Euh⊠oui et je pense quâil sera plus ouvert Ă nĂ©gocier aprĂšs avoir passĂ© un agrĂ©able moment avec toi. Il doit avoir mon Ăąge.
-         Je suis dâaccord. Mais par contre, tu voudrais que je porte quelque chose de sexy ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je dois avoir quelques robes qui pourraient lui plaire.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Tu devrais en prendre quelques unes pour choisir ensemble laquelle jâaimerais que tu portes.
-         Bien sûr, Gérard, comme tu veux.
 On repart vers ma voiture pour revenir au travail. Je matte encore son joli cul. On rentre dans la voiture mais je mâarrĂȘte quelques minutes aprĂšs dans un petit bois. Il se met Ă pleuvoir.
 -         Tu fais quoi, Gérard ?
-         Jâai envie de toi⊠maintenant.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Il pleut dehors.
-         On peut faire ça sur la banquette arriĂšre, Fabienne. Ne me dis pas non, sâil te plaĂźt.
-         Je dois tâavouer que jâen ai envie aussi surtout tâavoir sucĂ©.
-         Viens, alors !
 On se glisse avec plus ou moins dâaisance Ă lâarriĂšre de ma voiture. Elle commence Ă retire son gilet.
 -         Jâai cru comprendre que tu aimais mes seins.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, Fabienne mais, lĂ , câest plutĂŽt Ă ta chatte que je pense.
-         Mmm mon cochon !
 Je baisse mon pantalon et mon boxer pour me branler pendant quâelle se dĂ©shabille entiĂšrement. Son sexe est parfaitement Ă©pilĂ©. Elle se penche ensuite sur ma queue poir me sucer et me masturber.
 -         Mmm oooh, câest bien plus agrĂ©able quand câest une femme qui sâoccupe de ma queue.
Je pose une main sur ses fesses nues et mes doigts viennent dĂ©licatement effleurer ses deux trous. En atteignant sa chatte, cette derniĂšre est dĂ©jĂ lĂ©gĂšrement trempĂ©e. Jây glisse facilement deux doigts dedans. Elle gĂ©mit tout en continuant Ă me sucer. Je sors mes doigts de sa chatte pour goĂ»ter Ă son jus dâamour.
 -         Tuas bon goût et en plus tu suces tellement bien, Fabienne mmm. Je vais te prendre en levrette, ma petite coquine !
 Fabienne arrĂȘte donc de me sucer et elle se met en position, prĂȘte Ă se faire baiser. Je claque ses fesses et je met quelques coups de langue sur sa fente lisse. Ma queue est aussi dure que de la pierre. Je met donc derriĂšre elle. Je fais glisser mon gland le long de sa fente avant de rentrer en elle en lui assĂ©nant un fort coup de rein. Elle se met Ă crier.
 -         AAAH, tu y vas fort, là  !
-         Jâai tellement envie de te dĂ©foncer, Fabienne !
 Jâagrippe ses seins et je commence Ă la limer fort. Elle met son string dans sa bouche pour Ă©ternuer ses cris. Sa chatte est trempĂ©e mais je mâattendais Ă ce quâelle soit un peu plus serrĂ©e. Cette petite salope doit aimer les grosses queues. Je ralentis un instant pour claquer ses fesses. Elle semble prendre du plaisir avec ma queue. Je sens ses doigts sâoccuper de son petit bouton de plaisir. Je tire ses cheveux en arriĂšre. Elle crache son string et elle mâembrasse Ă pleine bouche.
 -         Dis-moi que tu aimes ma queue, salope !
-         Oooh aaaah, oui jâaime ta bite, GĂ©raaard !
-         Câest bien ! Mmm
 Je me rĂ©gale de limer sa chatte. Cela fait tellement longtemps que je nâai pas baisĂ© avec une jeune femme de son Ăąge. Jâalterne entre des coups de reins puissants et lents. Je sens peu Ă peu venir mon orgasme.
 -         Je vais remplir ta chatte, petite salope ! Mmm
-         Aaah GĂ©rard ! Jâadore ta biiite ! Aaah ouiii !
 J agrippe fort ses hanches et je finis par jouir en elle. Mon sperme inonde sa chatte de petite salope. Fabienne atteint à son tour son orgasme. Je sors ma queue de sa chatte et elle vient me sucer pour la nettoyer.
 -         GĂ©rard, jâaime me faire baiser comme ça.
-         Tu es tellement belle, Fabienne. Je te prédis un grand avenir dans ma société.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Merci, GĂ©rard.
-         Donnes-moi ton string et ton soutien-gorge, Fabienne ! Ă partir dâaujourdâhui, tu ne devrais plus porter de sous-vĂȘtements que tu viendras travailler.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Comme tu veux, GĂ©rard.
 On se rhabille. Je met son string et son soutien-gorge dans la poche de mon pantalon. On repasse Ă lâavant de ma voiture et on se dirige vers le bureau.
 Je vais mâinstaller Ă mon bureau. Fabienne va dans le sien. Je laisse tranquille Fabienne durant lâaprĂšs-midi. Je range ses sous-vĂȘtements dans un tiroir de mon bureau.
 à la fin de la journĂ©e et dĂšs que je me retrouve seul avec Fabienne je vais toquer Ă sa porte. Jâentre dans son bureau.
 -         Que puis-je faire pour toi, Gérard ?
-         Je voulais juste te souhaiter de passer de bonne soirĂ©e et nâoublies pas trop tenues pour demain.
-         Je sais. Passes une bonne soirée aussi.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Ă demain, ma petite cochonne.
 Je rentre donc chez moi. Mais ce que ne sais pas encore Fabienne, câest que mon client est un grand black.
 Le lendemain matin, jâarrive premier au bureau. Je sors le string et le soutien-gorge de fabienne. Je les pose sur mon bureau et je me branle. Jây crache abondamment dessus. Je range les sous-vĂȘtements de Fabienne.
 Je suis en train de tĂ©lĂ©phoner au client que lâon va rencontrer ce soir lorsque Fabienne se prĂ©sente devant ma porte. Je lui fais signe de rentrer. Elle porte un chemisier blanc avec une petite robe noire. Elle ferme la porte derriĂšre elle. Je recule un peu ma chaise. Fabienne se met Ă genoux devant moi. Elle dĂ©fait mon pantalon et elle sort ma queue. Elle commence Ă me sucer. Je continue Ă discuter malgrĂ© la langue de Fabienne qui sâoccupe de mon gland. Elle me masturbe pour bien me faire durcir. Mon client mâinforme quâil viendra avec son adjoint le soir-mĂȘme. Mais je garde cette information pour moi. Je me retiens de gĂ©mir. Fabienne me fait une gorge profonde. Je sens sa salive couler le long feu ma queue. Jâappuie sur sa tĂȘte pour quâelle prenne toute ma queue dans sa bouche. Mais si je me suis vidĂ© tout seul quelques minutes auparavant , je sens quâil me reste encore un peu de sperme Ă offrir Ă ma jeune secrĂ©taire. Je raccroche et Fabienne continue Ă me sucer. Elle me fixe du regard et elle me branle vigoureusement tout en gardant da langue sous mon gland. Elle me fait cracher ma semence dans sa bouche. Elle avale tout sans hĂ©sitation. Elle se relĂšve.
 -         Bonjour, Gérard.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Salut, Fabienne. Je vo9s que tu tâes fait belle.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Merci.
 Elle remonte lĂ©gĂšrement sa jupe pour me montrer quâelle ne porte rien en dessous.
 -         Mmm, jâadore. Et en haut ?
 Elle ouvre quelques boutons de son chemisier et elle sort lâun de ses seins.
 -         Oh, oui, parfait, Fabienne.
-         Tu étais avec qui au téléphone ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Avec le client quâon va voir ce soir.
-         On va au restaurant avec lui ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Non. Il faudrait que tu commandes Ă manger pour ce soir chez un traiteur.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je vais mâen occuper tout de suite.
-         Prévu quatre repas, Fabienne.
-         Pourquoi quatre ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Câest un gros mangeur.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Ah, OK.
 Fabienne sort de mon bureau aprĂšs mâavoir fait un lĂ©ger bisou sur la bouche.
 Durant la matinée, je vais prendre un café et Fabienne me rejoint quelques instants aprÚs à la machine à café.
 -         VoilĂ , jâai tout commandĂ© pour ce soir.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Tu es parfaite, Fabienne.
-         Jâai un petit sac avec des tenues pour ce soir. Tu veux que je les essaie dans ton bureau toute Ă lâheure ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, avec plaisir. Il faut que tu te fasses belle si on veut gagner ce futur contrat.
-         Tu peux mâen dire plus sur lâhomme quâon va voir ce soir ?
-         Ne sois pas si impatiente, Fabienne. Tout ce que je peux te dire câest que tu ne risques pas de le laisser indiffĂ©rent.
-         Si il aussi bien monté que toi, je vais bien me régaler.
-         Coquine ! Je pense quâil va te plaire.
-         Il faudra que je mette des sous-vĂȘtements, GĂ©rard ?
-         Ăa dĂ©pendra de la robe que tu mettras.
 On repart travailler avant que mon envie de baiser avec Fabienne ne me reprenne.
 Je mâenferme dans mon bureau afin de pas trop ĂȘtre tentĂ© de rejoindre Fabienne. Cette petite salope mâexcite tellement. Elle vient tout de mĂȘme toquer Ă ma porte vers midi. Jâouvre la porte pour la laisser entrer.
 -         Tu viens manger avec moi, Gérard?
-         Non, désolé, Fabienne. Je dois finir un dossier mais ce serait sympa de ta part de me ramener un sandwich.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â OK, GĂ©rard.
 Avant de me laisser seul, elle remonte sa jupe pour me montrer ses fesses.
 -         Fabienne, tu es une sacrĂ©e coquine. Jâai hĂąte de choisir ta robe pour ce soir.
-         Jâen ai choisi une qui est trĂšs provocante. JâespĂšre quâelle te plaira.
-         Vas manger avant que je ne change dâavis et que je te baise dans la salle de rĂ©union !
 Elle sort en affichant un grand sourire.
 Elle revient une heure aprÚs avec mon petit repas.
 -         Quand est-ce quâon choisit ma robe, GĂ©rard ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â DĂšs quâon sera tous les deux seuls, Fabienne.
 Elle vient me faire discrĂštement un petit bisou avant de me laisser seul. Jâappelle mon client pour finaliser notre rendez-vous du soir.
 Vers dix huit heures, je me retrouve enfin seul avec Fabienne. Je vais la rejoindre dans son bureau.
 -         Viens dans la salle de rĂ©union, Fabienne. Jâai hĂąte de voir tes tenues.
-         Jâarrive tout de suite, GĂ©rard.
 Elle me suit en prenant son sac. On sâenferme dans la salle de rĂ©union. Je mâassois sur lâune des chaises et Fabienne se met rapidement nue devant moi. Elle affiche un grand sourire. Elle joue avec ses gros seins. Je me met Ă bander. Elle remarque rapidement la bosse qui se forme dans mon pantalon.
 -         Tu veux que je te soulage, Gérard ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Il faut que je garde mes forces pour tout Ă lâheure. Je compte bien mâamuser moi aussi.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je comprends.
 Fabienne sort de son sac une robe noire Ă paillettes et elle lâenfile. Le haut de sa robe est quasiment transparent. Elle se met Ă tourner sur elle-mĂȘme.
 -         Elle te plaßt, Gérard ?
-         Oh que oui !
-         Câest la robe parfaite, Fabienne. Câest sĂ»r quâil va vouloir te sauter quand il te verra.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je suis heureuse quâelle te plaise. Je ne la porte que trĂšs rarement.
-         Elle met bien en valeur ta généreuse poitrine.
 Je me lĂšve pour me coller contre elle. Je glisse une main sous sa robe et je ne peux mâempĂȘcher de la doigter. On sâembrasse.
 -         Mmm. JâespĂšre que jâaurais droit Ă autre chose que tes doigts dans ma chatte toute Ă lâheure.
-         J'en suis sûr. Tu aimerais que je te la mette dans le cul ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, GĂ©rard. JâespĂšre que vous me prendrez tous les deux.
-         Jâai bien fait de tâembaucher, Fabienne. Jâai rarement eu une secrĂ©taire aussi sexy et cochonne que toi.
 Je glisse mes doigts couverts de mouille dans sa bouche. Elle les suce goulĂ»ment en me fixant dans les yeux. Elle caresse ma queue par-dessus mon pantalon. Jâai vraiment envie de la prendre. Nous sommes interrompus par lâarrivĂ©e du traiteur.
 Je vais récupérer les repas. Fabienne reste dans la salle de réunion. Je dépose mes paniers repas sur la table de la salle de réunion.
 -         Il arrive quand ton client ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Il ne devrait pas tarder, maintenant.
-         Jâai terriblement envie dâune queue, GĂ©rard !
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je le vois bien, Fabienne.
-         Tu peux te caresser en attendant mĂȘme si tu es dĂ©jĂ bien mouillĂ©e.
 Fabienne sâassoit sur la table de rĂ©union et elle relĂšve sa robe. Elle caresse son petit bouton de plaisir ainsi que sa fente. Elle me fait vraiment bander.
 Je vois mon client se garer dans la parking. Je sors de salle pour aller lâaccueillir.
 -         Tu veux que je vienne avec toi ?
-         Non, restes ici, Fabienne !
 Je vais Ă la rencontre de mon client. Il est accompagnĂ© dâun jeune homme dâune vingtaine dâannĂ©es.
 -         Bonsoir, Gérard.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Bonsoir, Moussa.
-         Je te présente, Demba,  mon futur gendre qui est aussi mon adjoint. Il me remplacera quand je partirais à la retraite.
-         Enchanté de faire ta connaissance.
-         Tu mâas parlĂ© dâune surprise quand on a discutĂ© cet aprĂšs-midi. Câest quoi ?
-         Vous pourrez voir par vous-mĂȘme. Elle vous attend dans ma salle de rĂ©union.
 On va donc rejoindre Fabienne.
 Moussa et Demba sourient en voyant Fabienne dans sa robe sexy.
 -         Mmm, GĂ©rard, jâadore ce genre de cadeau.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je savais quâil allait te plaire.
-         Comment sâappelle cette jolie brune ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je mâappelle Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Moi câest Moussa et voici Demba.
-         Enchantée de faire votre connaissance.
-         Tu es cent fois pris bandante que la derniÚre secrétaire de Gérard.
-         GĂ©rard, tu ne mâavais pas dit quâils seraient deux.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je voulais tâen faire la surprise.
 Moussa sâapproche de Fabienne. Il pose directement une main sur sa poitrine.
 -         Mets-toi à poil, salope !
 Fabienne sâexĂ©cute. Les deux hommes sont ravis de dĂ©couvrir Fabienne dans son plus simple appareil.
 -         Oh, salope, tu ne portes rien dessous ! Mmm. Tu as déjà baiser avec des blacks, Fabienne ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui.
-         On va voir si tu suces bien !
 Moussa et Demba sortent leurs sexes de leurs pantalons. Fabienne semble ravie de voir deux aussi gros sexes. Elle commence Ă sucer Moussa tandis quâelle branle Demba.
 -         Tu lâas trouvĂ© oĂč cette petite chienne, GĂ©rard ?
-         Elle cherchait un boulot. Je nâai pas hĂ©sitĂ© trĂšs longtemps Ă lâembaucher quand jâai vu ses magnifiques atouts.
-         Tu lâas dĂ©jĂ baisĂ©Â ?
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui.
-         Mmm, salope, tu suces bien. Continues !
 Fabienne suce chacun son tour ses deux beaux blacks. Je bande comme un ùne.
 -         Mets-toi sur la table, salope ! On va te baiser tous les trois !
-         Lequel dâentre vous va me prendre le cul ?
-         Câest moi, salope ! Demba te prendra la chatte et tu suceras ton patron.
-         Mmm, jâadore me faire dĂ©monter le cul par un black.
-         Oui, petite pute ! Tu vas la sentir ma grosse bite dans ton petit cul de blanche !
 On se met tous Ă poil. Demba sâallonge sur la table. Fabienne Ă un peu de mal Ă sâempaler sur sa queue.
 -         Oooh mmm, tu es bien monté. Aaah oui
-         Oooh tu es aussi serrée que ma future femme. Tu es vraiment bonne, petite salope !
Moussa se met derriÚre Fabienne. Il lui crache sur sa petite rondelle ridée. Il lui doigte le cul pour le préparer pour sa queue.  Je viens glisser ma queue dans sa bouche. Elle me suce toit en me fixant dans les yeux.
 -         Je vais te faire crier, petite salope ! Si tu aimes les grosses bites, crois-moi, tu vas ĂȘtre servie !
 Moussa pose son gland sur le petit trou de Fabienne. Il doit forcer in peu pour rentrer dans son cul. Fabienne ferme les yeux en sentant la queue de Moussa entrer dans son cul.
 -         GĂ©rard, baisses-lui la bouche pendant que je lâencule. Et toi, restes bien dans sa chatte !
-         Câest tout ce que mĂ©rite cette petite chienne !
-         Oh, putain quâelle est serrĂ©e ! Mmm jâadore ! Ăa me change du cul de ma femme !
 Je prends la tĂȘte de Fabienne entre mes mains et je lui assĂšne de bons coups de queue dans la bouche. Elle se met Ă baver. Moussa se glisse de plus en plus loin en elle.
 -         Oh que tu es une bonne petite salope, toi ! Jâadore ton cul ! Vas-y, Demba ! Baises la fort on va lui remplir tous ses trous Ă cette petite chienne !
-         Ta chatte est trop bonne, salope ! Je vais bientĂŽt tâinonder, sale chienne !
 Je lime la bouche de Fabienne. Son visage devient rouge. Elle a du mal à respirer avec mon gland qui vient taper au fond de sa gorge.
 Demba est le premier à jouir, il crache toute sa semence au fond de la chatte de Fabienne.
 -         Tu as dĂ©jĂ giclĂ©, Demba ? JâespĂšre que tu gicles moins vite avec ma fille !
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Câest la premiĂšre fois que je baise une blanche. Elle a des seins magnifiques.
-         Câest vrai que cette petite salope est bien foutue ! Mmm oooh je vais te remplir Ă mon tour.
 Je gicle au fond de la gorge de Fabienne juste avant Moussa. Il lui prend fort le cul jusquâĂ ce quâil lĂąche tout son sperme au fond des entrailles de Fabienne. Il sourit aprĂšs avoir sorti sa queue du cul de Fabienne.
 -         Ton cul est bien ouvert, petite salope !
-         Vous avez fait tous les deux du bien. Câest bon de se faire baiser par des blacks⊠ça me change de celles de certains mecs.
-         Il faut que je me sente viser, Fabienne ?
-         Non, Gérard ! Tu me baises bien toi aussi.
 Seul Fabienne reste nue.
 -         Restes le reste de la soirĂ©e toute nue, Fabienne. Comme ça, ça sera plus facile de te baiser si lâun dâentre nous en a envie.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Comme tu veux.
-         Jâadore les jeunes femmes obĂ©issantes comme toi. GĂ©rard a vraiment de la chance de tâavoir comme secrĂ©taire.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Jâai aussi de la chance de lâavoir.
 Je discute avec Moussa et Demba au sujet du contrat. Il semble en clin Ă faire des concessions afin que je rentre facilement dans mes frais. Pendant ce temps-lĂ , Fabienne sâoccupe des repas et elle installe tout sur la table.
 -         Mangeons, maintenant ! Tout ça mâa donnĂ© faim. Viens tâassoir sur mes genoux, Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Comme tu veux, Moussa.
 Il pose une main sur la poitrine de Fabienne et une autre entre ses cuisses. Il la doigte tout en pinçant ses tétons.
 -         Tes seins sont bien fermes, petite salope.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Ils sont naturels.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Tu es vraiment trĂšs belle, Fabienne.
Fabienne frotte ses fesses nues au niveau du sexe de Moussa. Elle le laisse la caresser.
 -         Mmm, tu as encore envie de ma bite, petite salope ?
-         Oui, Moussa. Elle mâa dĂ©jĂ fait beaucoup de bien quand tu me la mise dans le cul. Je veux te sentir dans ma chatte maintenant.
-         Si il nây que ça pour te faire plaisir. LĂšves-toi pour que je puisse sortir ma bite.
 Fabienne soulĂšve donc ses fesses. Elle se saisit de la queue de Moussa et elle guide son gland Ă lâentrĂ©e de son antre dâamour. Elle sâempale sur son membre dur.
 -         Mmm, c est bon dâavoir la bite dâun black dans la chatte. Ooh, tu es encore mieux montĂ© de ton futur gendre.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Câest vrai que ta chatte est bien chaude, petite chienne. Mmm
 Fabienne fait doucement coulisser la queue de Moussa dans sa chatte. Elle gémit en mordillant ses lÚvres. Il agrippe sa poitrine généreuse.
 -         Je vais te prendre en levrette, petite pute ! Mmm suces les deux autres cochons, salope !
 Moussa bascule Fabienne sur la table. Elle pose ses seins sur la table. Elles se saisit de ma queue et de celle de Demba. Elle nous suce chacun notre tour pendant que Moussa lui assÚne de puissants coups de reins. Son bassin claque contre les fesses de Fabienne.
 -         Oh mmm, je comprends pourquoi Demba nâa pas longtemps tenu. Puritain, ta chatte est trop booonne ! Mmm. Oui, salope !
 Demba rentre toute sa queue dans la bouche de Fabienne. Elle a du mal à respirer. Je me branle en le regardant se faire baiser par les deux blacks. Moussa la lime sans retenue. Il lui met des fessées.
 -         Mmm, tu vas me faire cracher, cochonne ! On va tous les tro8s arroser ton visage de sperme, Fabienne.
 Moussa sort de la chatte de Fabienne. Et vient mettre sa queue face au visage de Fabienne. On se branle tous les trois vigoureusement. Fabienne nous sourit et elle semble impatiente de recevoir notre petit cadeau. Je suis le premier Ă gicler sur son visage. Mon sperme coule sur son front et ses joues. Elle passe la langue qurmto8r de sa bouche pour assez de rĂ©cupĂ©rer un peu de ma semence. Câest au tour de Demba de gicler. Il couvre abondamment le visage de Fabienne. Moussa plonge son gland dans la bouche de Fabienne toit en continuant Ă se branler. DĂšs quâil sent que son orgasme arrive, il sort sa queue de sa bouche et il vient dĂ©poser son sperme un peu partout sur le visage de fabienne. Fabienne affiche un grand sourire. Elle passe ses doigts sur son visage pour rĂ©cupĂ©rer le mĂ©lange de nos spermes.
 -         Ooh, tu mâas bien vidĂ©, Fabienne !
-         Ta bite est vraiment merveilleuse, Moussa.
 On se rhabille tandis que Fabienne reste encore nue.
 -         Tu as vraiment de la chance de travailler avec une salope comme Fabienne, Gérard !
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Jâen suis de plus en plus conscient. Câest vrai quâelle cache bien son jeu.
-         Jâai hĂąte dâĂȘtre Ă notre prochaine nĂ©gociation de contrat.
 Je souris Ă Moussa et Demba. Fabienne essuie le reste de sperme quâelle a sur le visage avec un kleenex.
 -         Je suis vraiment trĂšs heureuse dâavoir participĂ© Ă cette nĂ©gociation.
-         Nous aussi, petite salope !
 On se salue et ils partent rejoindre leur voiture. Je reste seul avec Fabienne.
 -         Grùce à toi, on a gagné un gros contrat. Tu mérites bien une augmentation.
-         Je nâai pas ça juste pour gagner plus dâargent. Jâai vraiment pris du plaisir Ă me faire baiser sauvagement.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Jâai bien vu, Fabienne.
 On sâembrasse pendant quelques secondes. Elle remet sa robe sexy. Et je la ramĂšne Ă sa voiture.
 -         Passes une bonne fin de soirée, Fabienne.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Merci, GĂ©rard. On se revoit Lundi.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Ăa va ĂȘtre difficile de passer deux jours sans toi.
 Elle me sourit et je lui fait un dernier bisou avant quâelle ne dĂ©marre. AprĂšs cette soirĂ©e mouvementĂ©e, je rentre chez moi rejoindre ma femme.
 A chacune de mes nĂ©gociations, Fabienne est prĂ©sente et grĂące Ă ses dons, on arrive rapidement Ă gonfler notre carnet de commande. Aujourdâhui, Fabienne nâest plus ma secrĂ©taire. Elle est devenue mon adjointe Ă part entiĂšre⊠mais aussi ma maĂźtresse.
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âïž Gare aux jugements hĂątifs ! âïž
Chuck Swindoll raconte ce qui sâest passĂ© lors dâune sĂ©rie de confĂ©rences en Californie :
«Un homme sâest approchĂ© et mâa dit : âJâai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !â Je lâai remerciĂ©. Mais le dimanche, lors de ma premiĂšre intervention, lâhomme sâest assoupi. Jâai pensĂ© quâil avait fait un long trajet et quâil devait ĂȘtre fatiguĂ©. Pourtant, ça sâest reproduit chaque soir, jusquâĂ la fin de la semaine. JâĂ©tais embarrassĂ© : mes sermons Ă©taient-ils Ă ce point soporifiques ? Mais voilĂ que le vendredi matin, la femme assise Ă ses cĂŽtĂ©s est venue me dire : âMerci pour vos paroles et votre ministĂšre. Mon mari est atteint dâun cancer en phase terminale, et les mĂ©decins ne lui ont donnĂ© plus que quelques semaines Ă vivre. Quand nous avons parlĂ© de ce quâil voulait faire avant de mourir, il mâa dit : âJe veux aller Ă©couter Chuck Swindoll !â Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous prĂ©senter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !â»
Swindoll a dĂ©clarĂ© plus tard quâil aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux dâavoir portĂ© un jugement et dâavoir rĂ©agi sans sâĂȘtre renseignĂ©.
Pourquoi JĂ©sus aât-il dit : «Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s» ? Parce quâil peut y avoir, dans la vie dâune personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la mĂȘme grĂące que celle que Dieu vous accorde !
PriĂšre du jour :
Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
Parole du jour de Bon Gass,
24 octobre 2024
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Chapitre 5 : TOUS DROITS RESERVES
(nb : image pinterest)
Il est trois heures du matin, et Alexander nâarrive pas Ă penser Ă autre chose, que les derniĂšres paroles de Lady VĂ©ronica. Il ne les comprend pas⊠non, il ne veut pas les comprendre, et ça lâĂ©nerve grandement. Il se redresse, en silence, tout le monde dort, le salon est silencieux. Il attrape son gilet, ses chaussures, et passe la porte sur la pointe des pieds, avant de traverser le hall et dâouvrir lâĂ©norme porte en bois noire. La grille dâentrĂ©e brille sous la lumiĂšre de la lune, lâautomne est lĂ mais le ciel est dĂ©gagĂ©, il nây a aucun bruits mis Ă part le vent dans les branches nue des arbres, ça donne un cotĂ© dĂ©tente Ă lâendroit qui est tout de mĂȘme trĂšs effrayant.
"Vous pensez trop." Souffle une voix derriĂšre lui
Le blond sursaute et se retourne vivement, la plus jeune des fantĂŽmes est lĂ , ces yeux verts brillent Ă la lumiĂšre des Ă©toiles. Il la voit, comme si elle Ă©tait vivante, comme si elle pouvait le toucher, aucun halo de lumiĂšre ne lâentoure.
"P-Pardon ?" Bégaie-t-il
"Vous pensez trop." RĂ©pĂšte-t-elle
Il prend un instant pour la dĂ©tailler, sa peau pĂąle brille lĂ©gĂšrement faisant ressortir sa chevelure noir corbeau. Elle porte une espĂšce de robe lĂ©gĂšre, blanche et plus courte, il peut dâailleurs voir quâelle ne porte pas de chausson.
"Vos paroles mâont laissĂ©e⊠dubitatif." Explique-t-il doucement
"Je vous lâai pourtant expliquĂ©." Commence-t-elle. "Tous ceux qui ont touchĂ©s la clef de ce manoir sont morts, et dans un dĂ©lai⊠court. Votre temps dans ce manoir est comptĂ©." Â
"Pourtant, nous y resterons quoi que vous disiez." RĂ©pond-il simplement
La brune mime une expression de surprise, puis un léger sourire étire ses lÚvres. Le blond est véritablement déterminé, et il ne semble pas vouloir en faire autrement.
"Que faites-vous dehors ?" Demande Alexander
"Je vous lâai dit, rien nâentre ou ne sort de mon manoir, sans que jâen sois informĂ©e."
"Alors je vous ai réveillé ?"
"Pas exactement⊠Mais pourquoi ĂȘtes-vous sortie ? Il fait froid cette nuit."
"Je voulais réfléchir, sans réveiller mes amis." Souffle-t-il
La jeune femme semble prendre un instant pour rĂ©flĂ©chir, elle croise les bras puis redresse soudainement la tĂȘte.
"Je vais vous montrer un endroit !"
Elle se retourne, passe Ă travers la porte, le blond sâarrĂȘte un instant puis pousse la lourde porte. Il sourit en voyant la Lady lâattendre.
"Je ne passe pas Ă travers les murs moi." Sourit-il
"Ah⊠mes excuses, lâhabitude dâavoir des amies fantĂŽmes." Souffle-t-elle
Elle monte les escaliers principaux, puis emprunte le couloir avant de sâarrĂȘter devant la bibliothĂšque, elle y entre puis sâenfonce dans la piĂšce. Elle sâarrĂȘte Ă la barriĂšre au-dessus du salon et pointe du doigt un coin assombris de lâendroit.
"Câest le bureau dâElise, mais elle ne lâutilise pas beaucoup, nâhĂ©sitez pas Ă vous y installer. Je crois que Chlarissa a dâailleurs fait installer⊠le⊠gaz ? De son vivant."
Le blond sâarrĂȘte devant le bureau, et touche Ă lâaveuglette lâendroit avant de trouver la lumiĂšre, il tourne le levier. Il nây a pas grande chance que ça fonctionne toujours, et pourtant, une petite flamme apparaĂźt. Il dĂ©cide de sâen contenter, la prenant en main pour regarder autour de lui.
"Merci, mais vous ĂȘtes sĂ»r que je nâembĂȘterais pas Lady Elise ?"
"Je ne pense pas, elle nây est presque jamais, elle prĂ©fĂšre travailler en bas." Sourit doucement la jeune femme
Le blond attend un instant, il a trĂšs envie de lui parler de ce moment Ă©trange cet aprĂšs-midi, il veut comprendre ce qui lui est arrivĂ©. Semblant comprendre que quelque chose tracasse Alexander, VĂ©ronica hausse les sourcils avant de sâavancer pour parler moins fort.
"Qui a-t-il ? Demande-t-elle
"Jâaurais aimé⊠discuter de⊠cette aprĂšs-midi." Tente-t-il doucement
La brune fait un pas en arriĂšre, elle lui doit certes des explications mais qui a-t-il Ă dire de plus que ce quâelle a fait.
"Jâai pris possession de votre corps pour vous guider au mieux. Câest tout"
"Je ne parlais pas de ça, mais de ce que jâai vue en Ă©tant⊠à lâintĂ©rieur de vous ?"Â
VĂ©ronica marque un temps de pause, il a vue des choses, et elle lâavait traitĂ© de fou devant son ami. Elle nâavait pas voulu sâĂ©terniser lĂ -dessus.
"Vous avez dĂ» voir quelques-uns de mes souvenirs câest tout." Souffle-t-elle
Le blond sâapproche Ă son tour, cherchant Ă la distinguer un peu plus avec la lampe, il ne voit pas trĂšs bien. VĂ©ronica dĂ©tourne le regard en rougissant, il est trop proche, elle sent sa chaleurâŠ
"Jâai vue⊠Je vous ai vue vous, devant une fenĂȘtre, habiller tout de noir. Avec un voile⊠vous portiez un deuil ?" Demande-t-il doucement
"Ăa ne vous regarde pas Alexander." Souffle-t-elle
Le blond rougit, elle lâa appelĂ© par son prĂ©nom, câest la premiĂšre fois. Elle recule sâĂ©loignant de lui, elle ne veut pas ĂȘtre vue la mine morose.
"OĂč dormez-vous ?" Demande-t-il
"Pardon ?"
"Votre chambre, oĂč se situe-t-elle ?"
"Vous le savez trĂšs bien. Vous nâĂȘtes pas venue ici avec un simple plan entre vos mains, vous lâavez Ă©tudiĂ©." Souffle VĂ©ronica
Alexander recule Ă son tour, oui, il a Ă©tudiĂ© le plan parce quâil voulait ce manoir plus que tout au monde. Mais il ne lâa jamais dit Ă personne, mĂȘme pas Ă ses amis qui ont tout abandonnĂ© pour venir avec lui ici.
"Comment vous-"
"Vous avez eu accĂšs Ă mes souvenirs, jâai eu accĂšs aux votre." Le coupe la plus jeune
Il marque une pause lui aussi, elle sourit doucement. Une idée lui vient, ils veulent rester ? Autant jouer avec eux.
"TrĂšs bien, si vous trouvez ma chambre avant le lever du soleil, je vousâŠ"
"Donnerais les clefs de votre bureau ?" Demande le blond
Un jeu dangereux sâengage entre eux, VĂ©ronica veut jouer, et Alexander veut gagner. Dâaccord, elle est quasi sĂ»r quâil trouvera sa chambre, toutefois, il nây a rien dâintĂ©ressant dans son bureau, tout a dĂ©jĂ disparu.
"Si vous voulez seulement y accĂ©der, pourquoi pas, mais vous nây trouverez rien." Souffle-t-elle
"Autorisez moi Ă fouiller lâintĂ©rieur." Dit-il soudainement
"Il nây a rien dedans."
"Alors ça ne devrait pas vous embĂȘter ?"
Elle fronce les sourcils puis sourit en soupirant, bien, mais alors elle y posera ses conditions. Ce manoir est sa propriété, morte ou vivante.
"Dâaccord. Mais personne dâautre nâa le droit dây entrer. Et Bien sĂ»r je dois ĂȘtre avec vous quand vous y serez."
"Jâaccepte !"
Il tend la main par rĂ©flexe, la jeune femme le regarde, elle sait ce quâest une poignĂ© de mains, mais comment peut-il ĂȘtre aussi sĂ»r quâils peuvent se toucher ?
"Vous mâavez stabilisĂ© dans les escaliers, jâen conclu que vous pouvez nous toucher partiellement ?"
"HmmâŠ" Souffle-t-elle
Ils se serrent la main, la jeune femme recule passant Ă travers le mur pour attendre dans sa chambre, tout nâest pas aussi simple mais avec son Ă©tude approfondie des plans il ne peut que trouver. Alexander sourit, ok, le top dĂ©part est lancĂ©, il trouvera sans soucis la chambre, il connait les plans par cĆur. Il a voulu ĂȘtre gentleman en le lui demandant pour la raccompagner mais la jeune femme est pleine de ressources, et elle semble adorer les dĂ©fis. Il traverse les couloirs, sâarrĂȘtant pour ouvrir certaines portes, il tombe dâailleurs sur la chambre de Colette, celle-ci dort en pyjamas et ronfle. Lâheure passe beaucoup plus vite que ce quâil pensait, mais il sâarrĂȘte devant une porte entre-ouverte, juste Ă cĂŽtĂ© du bureau, il la pousse timidement, câest une piĂšce plongĂ©e dans le noir sans fenĂȘtre, il y a un rideau au fond. Le subterfuge est de qualitĂ©, la chambre du maĂźtre de maison est toujours cachĂ©e. Il traverse la piĂšce et tire le rideau avant de pousser la porte, et de tomber sur une Ă©norme fenĂȘtre, lĂ©gĂšrement plus petite que celle du bureau. VĂ©ronica est une nouvelle fois face Ă la fenĂȘtre, elle regarde la lune, elle se retourne lĂ©gĂšrement vers le blond retirant son collier pour le lui tendre.
"FĂ©licitation Ă vous. Alexander."
Il se rĂ©veil, en sursaut, le soleil brille dans le ciel, il cligne plusieurs fois des yeux et regarde autour de lui. Alexander est seul, seul dans une piĂšce quâil ne parvient pas Ă reconnaitre. Dans sa main droite, il sert une clef, la clef quâelle lui a donnĂ©e. Â
"Bon Alex, on attend que toi." Retentit une voix derriĂšre la porte
James, il semble attendre la depuis un moment, il nâose pas rentrer. VĂ©ronica, qui semblait appartenir Ă son rĂȘve, apparaĂźt devant Alexander.
"Allez, réveillez-vous, et sortez de ma chambre." Souffle-t-elle
Elle porte une robe plus habillĂ©e que la nuit derniĂšre, elle est apprĂȘtĂ©e, comme si ça faisait un moment quâelle lâattendait. Bien sĂ»r que ça faisait un moment quâelle lâattendait, elle lâa regardĂ© dormir pendant quelques longues heures, ne trouvant pas le sommeil.
"Je suisâŠ"
"Dans ma chambre oui."
Il essaye de remettre ses souvenirs en place, il a gagnĂ© la clef, il le sait mais aprĂšs⊠câest le noir total. Est-ce quâil sâest Ă©vanouit ? Non, il nâa pas mal au crĂąne ni nulle part ailleurs.
"Habillez-vous, et descendez, vos amis vous attendent pour le petit-déjeuner."
La jeune femme sourit lĂ©gĂšrement et passe Ă travers le mur pour rejoindre le salon. En bas, Lady Elise lâattend un livre en main, elle semble rĂ©veillĂ©e depuis plus longtemps.
"OĂč Ă©tiez-vous ?" Demande-t-elle doucement
"Nulle part, je me prĂ©parais. OĂč vouliez-vous que je sois."
Chlarissa, qui Ă©tait dans un coin de la piĂšce leva les yeux au ciel, elle sâapprocha dâun pas lent et lourd. De toute Ă©vidence elle lâavait percĂ© Ă jour.
"Avez-vous eu une discussion avec Alexander ?"
Le regard espiĂšgle quâelle lança Ă Elise lui donna la puce Ă lâoreille. La jeune brune, sourit au maĂźtre des lieux qui, Ă©tonnement, dĂ©tourna le regard.
"Seigneur oui ! Elle a eu une conversation avec lui ! Rien que tous les deux ?!"
"Ne criez pas Chlarissa." Grogna VĂ©ronica
"Mon dieux, si mĂȘme Lady VĂ©ronica sây met !"
Chlarissa se mise Ă rire, tandis que VĂ©ronica, gĂȘnĂ©e par leurs paroles, rougit en se dĂ©plaçant dans le salon pour reprendre ses esprits. Il ne sâĂ©tait rien passĂ© dâinconvenant.
"Avez-vous enfin acceptĂ© quâils ne nous veulent aucun mal ?" Demanda Elise
Elle lui fit un signe de main, sĂ©rieusement, pourquoi sâemballer pour si peu⊠La porte du salon sâouvrit, sur Isaac qui grommelait en avançant.
"Quâest-ce que tout se raffutâŠ" Souffla VĂ©ronica
"Excusez-nous pour ça." Commença Achlys.
"Oui câest bien ça excusez-vous !" Bougonne Isaac. "Vous ĂȘtes le maĂźtre des lieux, et vous avez donnĂ© une chambre Ă un seul dâentre nous."
VĂ©ronica se redresse dans son fauteuil, elle hausse les sourcils. Personnes nâavait jamais osĂ© lui parler comme ça⊠Elle croise les bras, fronce les sourcils et prend un air menaçant.
"PremiĂšrement, ne me parlez pas ainsi. Vous nâĂȘtes pas devant nâimporte qui. DeuxiĂšmement, je nâai attribuĂ© de chambre Ă personne, les seuls qui sont occupĂ©es, sont les nĂŽtres, Ă Elise, Chlarissa, Colette et moi-mĂȘme."
Isaac fronce les sourcils Ă son tour, avançant dâun pat vers la jeune femme, il ne va pas se laisser dĂ©monter, mĂȘme par un fantĂŽme.
"Alors comment expliquez-vous que seul notre cher ami ait eu une chambre cette nuit ?!"
La jeune femme soupire, elle nâa quâune envie, lâenvoyer valser Ă travers le hall dâentrĂ©e. Toutefois, elle reste calme, elle ne veut pas le blesser, se serait un excĂšs de colĂšre. Elise sâapproche pour dĂ©tendre lâatmosphĂšre, elle sent une pression soudaine.
"Allons, Isaac, je vous assure que Lady VĂ©ronica ne fait pas de favoritisme. Tout comme nous 3 dâailleurs."
"Pourquoi tentez-vous de lâen convaincre, il dĂ©teste dormir sur le sol Ă cause de lâaraignĂ©e quâil y a vue lâautre jour. Il veut une chambre ? Donnons une chambre." Souffle VĂ©ronica
Elle sourit doucement, faisant reculer Elise, elle connait ce visage, et elle ne lâaime vraiment pas. VĂ©ronica se lĂšve, avance vers Isaac les bras croisĂ©s, comme si le jeune homme comprenait que quelque chose nâallait pas, il recule.
"Je vous invites Ă monter, jâai une chambre spĂ©cialement pour vous." Souffle-t-elle
Elle lâattrape par lâĂ©paule et le pousse pour disparaĂźtre avec lui. Un long cri rĂ©sonne dans la demeure, glaçant le sang des trois autres hommes. Elise se prĂ©cipite vers un mur, elle pense au pire⊠Elle atterrit au premier Ă©tage, elle court Ă travers les couloirs, soudain, câest Colette qui dĂ©boule devant elle. Elle semble paniquĂ©e. Â
"Jâai entendu Isaac crier !" Sâexclame-t-elle
"Il a énervé Véronica ! Vite, aidez-moi à le trouver !"
Elles courent dans toute la bĂątisses, Ă la recherche de la propriĂ©taire. VĂ©ronica est en haut, dans le grenier, elle croise les bras et regarde Isaac, roulĂ© en boule sur lui-mĂȘme, ses mains protĂ©geant sa tĂȘte.
"Cette chambre vous convient-elle ?" Demande la jeune femme
"ArrĂȘtez, ce nâest pas drĂŽle !" Bougonne-t-il
"Pourquoi ? Vous vouliez une chambre non ? En voilà une, rien que pour vous." Sourit Véronica
Le garçon Ă lâair pĂ©trifiĂ©, il est entourĂ© dâaraignĂ©e, les toiles sont si Ă©paisses, quâelles forment une nouvelle tapisserie sur les murs du grenier. Il est tout bonnement terrifiĂ©. La jeune femme sourit, fiĂšre de sa leçon, personne ne lui a jamais parlĂ© comme ça, ni de son vivant, ni de sa mort. Mais soudain, un flash, elle voit un garçon aux allures familiĂšre devant elle, plus jeune, il lui dit quelque choseâŠ
« Véronica ! Ne les laisse pas me manger ! »
Son frĂšre⊠elle se souvient de lui plus jeune, il craignait aussi les araignĂ©es. Lui et Isaac arborent la mĂȘme moue triste et effrayĂ©e, elle secoue la tĂȘte et attrape le bras du jeune homme devant elle. Elle le ramĂšne dans le salon, oĂč elle le laisse se rassoir sur le sol, en le regardant. Alexander arrive dans la piĂšce, il les regarde depuis les escaliers en bout de salle.
"Il nây a plus dâaraignĂ©es ici." Souffle la jeune femme
Elle se penche devant Isaac, et caressa sa joue du bout des doigts pour le rassurer. Il est Ă©trangement moins craintif Ă ce contacte, il relĂšve les yeux, ils sont humides, sa phobie est vraiment invivable, elle dĂ©note mĂȘme complĂštement de son comportement glacial habituel. La jeune maĂźtresse de maison essuie doucement les petites larmes qui perles aux coins de ces yeux, elle nâaurait pas dĂ» aller aussi loin, jouer avec la phobie de quelquâun est trĂšs mal, et trĂšs dangereux. Â
"Excusez-moi, je suis allĂ©e trop loin, je nâaurais pas dĂ»." Souffle-t-elle
Isaac se sent mieux, il acquiesce pour accepter les excuses, et frotte ses yeux pour essuyer les larmes qui menacent de couler. Elle se redresse, et lui tend sa main, elle a véritablement vue son frÚre à travers Isaac, ça ne lui était jamais arrivée. Il accepte son aide, et se redresse puis reprend son sérieux, et son air distant, tout comme le frÚre de la jeune femme.
"Je nâaurais pas dĂ» vous accuser Ă tort. Veuillez mâexcuser." Dit-il simplement
"Votre ami a dormis dans ma chambre si vous voulez tout savoir, il sâest Ă©vanoui en plein milieu du couloir cette nuit et⊠nâayant pas la force de le porter jusquâau salon, je lâai mis dans mon lit Ă la place." Explique doucement la jeune femme
Lâexplication a lâair de convenir Ă Isaac, celui-ci acquiesce et recule dâun pat, il nâaurait pas dĂ» ĂȘtre aussi mĂ©chant. Le blond, qui Ă©coute la conversation depuis quelques minutes, les rejoint dâun pat lent.
"Câest pour ça que je ne me souviens de rien ?" Demande-t-il
 VĂ©ronica acquiesce silencieusement, elle nâa pas tout Ă fait dit la vĂ©ritĂ©, mais il est inutile de leur expliquer en dĂ©tail ce quâil sâest passĂ© cette nuit. Le blond, qui jusquâĂ prĂ©sent attendait des explications, ne peut se contenter de ce quâil a entendu. Pourquoi ce serait-il Ă©vanoui ? Il sâavance pour demander dâavantage dâinformations, mais James fait irruption dans le salon, essoufflĂ©.
"Grand dieu ! Vous Ă©tiez lĂ Â ?!" Sâexclame-t-il
Isaac regarde ailleurs, gĂȘnĂ©, de toute Ă©vidence, il a inquiĂ©tĂ© tout le monde, et il se souvient trĂšs bien du cri quâil a poussé⊠Mais le grenier Ă©tait un endroit si froid et inquiĂ©tant. Alexander ne quitte pas la jeune femme des yeux, elle lui cache quelque chose, et ça ne lui plait pas. Elise arrive Ă la suite de James, souffla de soulagement quand elle voit quâIsaac nâa rien. Colette dĂ©barque du mur sâempressant de se placer devant le garçon pour savoir sâil nâa rien. La jeune maĂźtre des lieu croise les bras, et se contente de disparaĂźtre dans un mur, Elisa hĂ©site Ă la suivre, mais la venue dâAchlys la pousse Ă rester.
"Avez-vous bien dormis ?" Demande-t-il à la jeune brune
"TrÚs bien je vous remercie, et vous ?" Demande-t-elle en souriant
"TrÚs bien également, le feu de cheminée nous a tenu chaud toute la nuit !"
Chlarissa, qui semble revenir dâon ne sait oĂč, croise les bras devant tant de bruits. Elle semble heureuse de voir que finalement Isaac nâa rien, mais tout se bruit lâagace trĂšs vite.
"Je vous conseille de vous hĂąter messieurs, si vous avez quelconques travaux Ă entreprendre, ne perdez pas de temps." Annonce-t-elle simplement
Et câest chose faite, car, aprĂšs un petit dĂ©jeunĂ© rapide et Ă©quilibrĂ©, les 4 hommes attaquent la partie quâils redoutent le plus, le mĂ©nage. Les fenĂȘtres sont ouvertes, les draps enlevĂ©s des meubles, la poussiĂšre faite, les toiles dâaraignĂ©es enlevĂ©es. Bref, le manoir semble bien plus propre. Dans le hall, Alexander balaie, il retire les derniĂšres feuilles qui ont pu entrer dans la demeure avec les allers retours des enfants. Il sent soudainement une prĂ©sence, il regarde autour de lui, puis reprend son activitĂ© premiĂšre.
"Vous pensez encore." Souffle VĂ©ronica
Le blond sursaute une nouvelle fois, il faudrait quâil lui dise quâĂ force il va faire une attaque. Il souffle doucement pour reprendre son calme.
"Que voulez-vous que je fasse dâautre en passant le balaie ?" Demande-t-il en continuant
Elle se dĂ©place pour sâassoir sur les marches de lâescaliers, le toise du regard, puis soupire en rouvrant son livre.
"Je ne sais pas, mais vos amis nâont pas lâair de pensez autant." Souffle-t-elle
Le blond soupire grossiĂšrement, câest bien la premiĂšre fois quâil le fait. Il nâaime pas trop savoir que quelquâun lui ment, et encore moins quand cette personne fait comme si de rien nâĂ©tait. Il sâapprĂȘte Ă se retourner pour lui demander une explication sur le champ, mais⊠James, lâinterrompt.
"Alex ! Il faut chercher lâaspirateur dans la voiture ! Et⊠si tu trouves lâenceinte dâIsaac, il nâose plus regarder dans son sac."
"Oui jây vais"
La brune regarde la scĂšne du coin de lâĆil, le blond plus ĂągĂ© remercie son ami et retourne Ă la piĂšce quâil nettoyait. Le blond le plus jeune se dirige vers le salon, attrape les clefs de la voitures et ressort de la demeure. Il pose lâappareil sur le sol en marbre de lâentrĂ©e et referme la porte Ă clef derriĂšre lui, il est silencieux, Ă©tonnement silencieux pour VĂ©ronica. Elle ne va pas se plaindre dâun peu de rĂ©pit et de calme, mais⊠elle ne peut sâempĂȘcher de penser quâil est bien trop calme.
James dĂ©vale les escaliers et attrape lâenceinte en remerciant son ami avant de remonter. En haut, Elise et Chlarissa semblent les surveiller, elles sont assises sur les seuls meubles quâils ne bougent pas toutes les deux minutes. Â
"Que tenez-vous dans la main James ?" Demande soudainement la brune
"Oh ça ? On appelle ça une enceinte, vous connaissez ?" Demande-t-il
"Non du tout."
"Ăa retransmet le son dâune musique depuis un appareil, comme nos tĂ©lĂ©phones, mais aussi⊠des ordinateurs ou⊠des tablettes." Explique-t-il
Achlys rĂ©flĂ©chit un instant, lâexplication de James est parfaite, mais Ă la tĂȘte des deux jeunes femmes, elles nâont pas lâair de comprendre un traĂźtre mots.
"Un peut comme un tourne-disque le fait avec un vinyle." Finit le gentleman
Colette apparaĂźt dâun mur et sautille, un large sourire aux lĂšvres, elle revient de la piĂšce oĂč Isaac se trouve.
"Jâen ai un ici ! Un tourne-disque ! Câest de mon Ă©poque ! Jâai rĂ©ussi Ă en chiper un Ă des visiteurs !"
"Ho ! Câest cette chose qui produit de la musique ?" Demande Elise
"Oui voilĂ ."
"Alors pitiĂ© dites-nous quâil existe plus que ces 2 chansons que Colettes nous fait entendre en boucle !" grogne Chlarissa
James et Achlys sâĂ©changent un regard, bien sĂ»r, ils ont des playlists bien fournies Ă eux 4, mais⊠tout comme ils arrivent Ă sâapprĂ©cier, ils sont diffĂ©rents lâun de lâautre.
"Allons mettez quelque chose James." Souffla Chlarissa depuis sa chaise
Le blond hĂ©site un instant et enclenche la musique, les basses sont calmes, Achlys acquiesce silencieusement quand il remarque que son ami a choisis une musique dĂ©licate pour commencer. Il reprend donc son mĂ©nage mais est rapidement stopper quand la premiĂšre phrase de la chanson est prononcĂ©eâŠ
« Câest le dĂ©cor ! du ConĂ©maraaaa ! »
Il lui lance un regard lâair de dire « tâes sĂ©rieux ?! », le plus ĂągĂ© des 4 nouveaux habitants se presse pour reprendre le contrĂŽle de la musique, toutefois Chlarissa grogne.
"Non de- ! Câest horrible !"
Elise esquisse un rire, elle trouve la situation bien drĂŽle, elle nâest pas fermĂ©e Ă la dĂ©couverte, mais elle doit bien avouer que cette musique nâest pas vraiment Ă son goĂ»t. Achlys arrive enfin Ă Ă©teindre la musique et soupire.
"Veuillez nous excuser, il semblerait que nous devions changez de registre."
James le regarde en haussant les Ă©paules, lâair de dire « tu mâas dit de mettre de la musique ! ». Colette croise les bras un sourire aux lĂšvres, câest amusant, ces garçons sont amusants. Isaac passe la tĂȘte par la porte, il porte des lunettes de protections et un masque.
"Pourquoi vous ne laissez pas ?" Demande-t-il
"Ce nâest pas aux goĂ»ts de ses dames, et cette chanson nâa rien Ă faire dans la playlist « mĂ©nage » James !" Gronde le plus vieux
"Comment ça « rien à y faire » ? Je la mets tout le temps !" bougonne le blond
Ils sâengagent dans un dĂ©bat sans queu ni tĂȘte, discutant de musiques, et de playlist, Isaac lĂšve les yeux au ciel et se remet Ă nettoyer ce quâil nettoyait, les sols. AprĂšs quelques longues minutes, Alex finit par dĂ©barquer dans la piĂšce, il attrape le tĂ©lĂ©phone de son ami, connecte son propre compte et met sa musique. Du classique, Achlys est satisfait, câest le compositeur prĂ©fĂ©rĂ© de James, et Isaac nâentend rien de toute maniĂšre.
"SĂ©rieux, le silence en bas est pesant." Souffle-t-il
"VĂ©ronica nâest pas avec vous ?" Demande Elise
"Elle lâĂ©tait puis elle est partie."
Il repart dans le hall, il Ă©tait en train de mĂ©langer des produits pour blanchir le sol, il remet son masque et ses lunettes, et attrape la serpillĂšre pour commencer Ă laver. La plus jeune des fantĂŽmes, qui a effectivement quitter le hall, fait le tour du manoir, depuis lâapparition de cet homme qui semble tout savoir des lieux et de son Ă©trangetĂ©, elle nâest pas rassurĂ©e. Elle sâarrĂȘte au bord de la riviĂšre, lâherbe haute la cache de tout autre personne, une question plus importante encore la fait rĂ©flĂ©chir⊠Comment dire au blond quâelle nâa pas su contrĂŽler sa possession, et que par sa faute ils sont indirectement liĂ©s ? Pire encore, comment lui dire quâil va ressentir tout ce quâelle a ressenti ?
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@ditzydursley gets a liâl starter!
They would be gone in the morningâ In the wake of the third task, Madame Maxime was anxious to get all of her students out of the Hogwarts grounds and back to Beauxbatons as quickly as possible. But in the meantime, for these few precious hours of evening, Fleur was free to contemplate the events of the day alone.
Or nearly alone, at least. âAh! Je vous demande pardon, I did not expect anyone else...â She recognized the other witch, of course; sheâd met Harryâs cousin many times over the year, if only in passing.
âHow...â She hesitated a moment before admitting, âWe were not allowed to see Harry again after he reappeared. Is he... well?â
#ditzydursley#closed starter#fleur v: the mermaids who tug at me [beauxbatons]#rp: fleur#// je vous demande pardon : excuse me
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je sais pas si vous vous souvenez mais en dĂ©cembre j'Ă©tais vnr Ă cause de mon groupe de potes du collĂšge qui avait organisĂ© un week-end pile poil au moment oĂč je pouvais pas sans mĂȘme essayer de trouver une solution c'Ă©tait un peu la goutte d'eau parce qu'avec eux c'est toujours comme ça moi et une autre fille on passe toujours Ă la trappe (une annĂ©e on voulait partir en vacs ensemble mais on Ă©tait 6 et une autre meuf arrĂȘtait pas de criser parce que du coup il fallait prendre deux voitures ça allait coĂ»ter cher gniagnia du coup j'avais dit "eh ben je viens pas comme ça vous ĂȘtes 5 bye bye" et elle Ă©tait venue me dire en mp "non reste moi je disais ça pour que ce soit Laura qui laisse tomber j'ai pas envie qu'elle vienne" euh pardon hors de question que je participe à ça) bref je me suis retirĂ©e de la conversation de groupe personne n'a rien dit jusqu'Ă il y a un mois quand j'avais le covid, un mec du groupe est venu me demander des nouvelles et il a demandĂ© pk je participais plus donc j'ai tout expliquĂ© je lui ai dit que j'Ă©tais hyper blessĂ©e de leur comportement que ça durait depuis toujours et que j'en avais assez cette fois etc il a dit "ah euh ok" donc je me suis dit bon il va raconter ça aux autres et j'aurai des excuses mais QUE NENNI j'attends toujours vraiment un pigeon
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Am... Stram... Gram...
Face Ă face, trois coupables possibles devant une erreur que j'ai dĂ©couverte trop tard pour y porter remĂšde : soit le systĂšme ''Tumblr'' ( = mon fournisseur d'espace)... soit mon ordinateur (parfois un peu Ă©tourdi...)... soit mon index droit (parfois malicieux, souvent maladroit et toujours plus pressĂ© qu'il ne devrait l'ĂȘtre).
Laissez-moi vous expliquer le drame-qui-n'en-est-pas-un que je viens de vivre : sachant que je serais occupĂ©, en ce n-iĂšme ''pont'' du joli mois de Mai, j'avais prĂ©parĂ© un Ă©ditorial prĂȘt Ă paraĂźtre ce soir Lundi de PentecĂŽte, pour que vous puissiez le lire demain mardi, normalement. Pour des raisons que je crois indĂ©pendantes de ma volontĂ©, il a Ă©tĂ© lĂąchĂ© dans la nature Samedi, mais datĂ© de ce soir... (NB : une parution le samedi est en principe exclue, dans notre ''cahier des charges'' : elle est, juste, impossible. Mais ça, c'est la thĂ©orie).
En pratique, il me reste Ă vous demander pardon pour ce contre temps... mĂȘme si, enquĂȘte parlementaire faite, il s'avĂšre que c'est moi qui aurais appuyĂ© sur le mauvais bouton. DĂšs demain, nous reprenons le rythme habituel, et en attendant, c'est celui dit ''de samedi'' qui reprend la place qui Ă©tait la sienne...
Avec mes excuses réitérées, je vous souhaite une belle semaine
H-Cl.
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NSBC âą Chapitre 17
Le lendemain, les garçons ont fait la connaissance de leur petite sĆur. Et apparemment, ça ne passe pas trĂšs bien auprĂšs de GabrielâŠ
« Câest⊠une fille ? »
Petit idiot, va. RaphaĂ«l, lui, lâaime dĂ©jĂ , apparemment.
« Oooh, comme elle est mignonne, maman ! »
Un amour, cet enfant, je vous le dis. Gabriel aussi, mĂȘme sâil rĂąle. Regardez-le, une omelette faite maison par son papa et le voilĂ Ă nouveau tout sourire !
Et puis, finalement, ce ne sont que des enfants⊠Ils sâen fichent un peu, des bĂ©bĂ©s. MĂȘme RaphaĂ«l, qui la trouve mignonne, a prĂ©fĂ©rĂ© passer son dimanche aprĂšs midi Ă jouer dehors avec son grand frĂšre plutĂŽt que de gazouiller devant sa petite sĆur. Et heureusement, sinon je mâinquiĂ©terai !
Câest le premier jour de lâĂ©tĂ©, aujourdâhui, en plus. Quâils en profitent !
De mon cĂŽtĂ©, je ne mâoffre pas le luxe de me prĂ©lasser au soleil. Finie la grossesse, il faut que les affaires reprennent, et avec elle, la dĂ©couverte de nouveaux Ă©lĂ©ments !
Edward veille sur la petite en attendant. Je remonterai quand il partira travailler.
âą
Vous vous souvenez quand jâai dis que le petit Tetsu Ă©tait une bonne frĂ©quentation pour mon aĂźnĂ©Â ? Et bah je retire ce que jâai dis ! Vous devez vous dire que venant dâune femme qui bouche volontairement les canalisations câest gens câest gonflĂ©, mais quand mĂȘme !
Je lui ai fais la morale, bien sĂ»r. Câest mal me connaĂźtre !
« Dis-donc, jeune homme, est-ce que câest toi qui salis ma pelouse comme ça ? »
« Euh⊠Pardon, Madame Berry⊠Je le referais plusâŠ
â Mh. Jâaccepte tes excuses. Une petite partie ? »
Il a lâair dĂ©stabilisĂ©. Excellent. Quoi ? Mais non, je ne maltraite pas les enfants, voyonsâŠ
Jâen ai profitĂ© pour faire connaissance avec lui, histoire de. Et il est sympa, ce gamin, quand il ne salit pas ma pelouse.
Finalement, comme je le disais, Gabriel se fait Ă la prĂ©sence de GaĂ«lle dans la maison. Depuis la naissance de RaphaĂ«l, il a Ă©tĂ© un grand frĂšre exemplaire. Je ne vois pas pourquoi ça changerait maintenantâŠ
RaphaĂ«l, lui, a un peu perdu le cĂŽtĂ© trĂšs avenant quâil avait Ă©tant bambin. Mais ça ne ternit pas sa relation avec Gabriel, loin de lĂ . Ils me piquent mĂȘme mon Ă©chiquier, des fois, les gredins !
JâespĂšre que la grande diffĂ©rence dâĂąge quâil y a entre eux deux et la petite derniĂšre ne lâaffecteront pas, cela dit. Elle a bien le temps de grandir et de se faire aimer dâeux, mais avec lâentrĂ©e prochaine dans lâadolescence de Gabriel, je me demande ce que ça va donnerâŠ
âą
Vous savez, mĂȘme enceinte, câest moi qui rĂ©parais tout dans la maison. Edward, lui, est beaucoup plus compĂ©tant en cuisine. Nous sommes lâinverse dâun couple traditionnel, en somme, haha !
Bref, tout ça pour dire que cette compĂ©tence, ainsi que ma logique avancĂ©e et mon contact amical avec les extra-terrestres me font me trouver au milieu de discussions entre les dirigeants du laboratoire dans lequel je travaille⊠Et je parle de gens haut-placĂ©s, qui ne travaillent pas dans le laboratoire. Mais qui le possĂšde, plutĂŽt. Ils hĂ©sitent Ă mâen confier la direction totale⊠Ăa devrait me rĂ©jouir, mais je suis plutĂŽt sous pression, si vous voulez mon avis ! (câest dâailleurs bien pour ça que je suis encore rĂ©veillĂ©e pour rĂ©parer des toilettes au milieu de la nuit)
Jâen ai parlĂ© Ă Vicâ le lendemain pour avoir son avis.
« Et ensuite ils mâont dit âVous vous acquitterez de cette tĂąche avec brio, jâen suis sĂ»râ dâune voix super importanteâŠÂ »
« Quoi ?! Mais câest super ça Solange ! Ăa veut dire quâils nous lĂącheraient un peu la grappe, sâils nommaient quelquâun en charge ici ! Ăa serait super que ça soit toi ! »
« Oui, enfin, ça veut aussi dire leur rendre des comptes continuellement, sur les progrĂšs du labo, etc. Ce sont des requins, tu sais bienâŠ
â Je sais. Câest pour ça quâil faut que ça soit toi. Jâimagine mal quelquâun dâautre leur tenir tĂȘte ! Et il faut quelquâun qui ne leur lĂšche pas continuellement les bottes. Pour notre bien Ă nous, qui travaillons ici ! »
⊠Elle nâa pas vraiment tortâŠÂ ! Hors de questions que je me laisse marcher sur les pieds par des vieux croulants ! Allez, câest dĂ©cidĂ©, sâils me proposent officiellement le poste, je le prends ! Ils ne savent pas ce qui les attend, hĂ©hĂ©.
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Printemps 1890, Hylewood, Canada (3/3)
Nous avons mis la dĂ©pouille de Maman en biĂšre et lâavons enterrĂ©e sans cĂ©rĂ©monie religieuse, conformĂ©ment Ă son souhait. Mon pĂšre est de nous tous le plus affectĂ©. Telle MĂ©dĂ©e abandonnĂ©e par Jason, il passait les journĂ©es qui ont suivi la mort de ma mĂšre Ă©tendu, sans manger, abandonnant son corps Ă la douleur, dissolvant tout son temps dans ses larmes depuis qu'elle a rendu lâĂąme. Les jours oĂč il quittait le lit conjugal, il ne levait pas les yeux ni ne dĂ©tachait son visage du sol. Une lettre, cependant, lâa sorti de sa torpeur : il mâa demandĂ© de vous la joindre.
Virgile
Monsieur Le Bris,
Nous avons lâhonneur de vous rĂ©expĂ©dier cette lettre retrouvĂ©e au guichet de New-York par la Compagnie GĂ©nĂ©rale Transatlantique, que nous venons de rĂ©ceptionner.
Jâai lâhonneur, etc.
M. E. FullĂ©, SecrĂ©taire Ă la surintendance gĂ©nĂ©ral des mandats de poste et des caisses dâĂ©pargne.
Paris, 11 novembre 1875
Mon cher Auguste,
Je tâĂ©cris aujourdâhui car je suis trĂšs malade. Mon quotidien est rĂ©duit Ă la respiration suivante : comment vais-je faire pour inspirer la prochaine fois ? Je nâen ai plus pour longtemps, et il fallait que je tâĂ©crive une derniĂšre fois, avant que la pneumonie mâemporte.
Avant toutes choses, je souhaitais te prĂ©senter mes excuses. Je suis bien consciente que tu as dĂ» attendre cette lettre longtemps⊠Pardon de ne pas avoir Ă©crit plus tĂŽt. Il y a dix-neuf ans, je quittais Hylewood sur une barque sans me retourner, et je laissais derriĂšre moi un passĂ© dont jâai fait tout mon possible pour me dĂ©partir, que jâai souhaitĂ© effacĂ© Ă tout prix - en effaçant mon accent, en changeant ma maniĂšre de parler. Mais toutes ces annĂ©es durant, je nâai pas cessĂ© une seconde de penser Ă toi.
Jâai quittĂ© le Canada quand jâavais vingt ans. Jâavais besoin de tout laisser derriĂšre mois et de repartir de zĂ©ro. Je me suis installĂ©e Ă Paris et jâai tentĂ© de faire carriĂšre dans le chant. Jâai bien chantĂ© quelques rĂŽles secondaires pour des opĂ©ras, mais je ne suis jamais parvenue jamais Ă percer en tant quâhĂ©roĂŻne : quelles chances avais-je face Ă des actrices de quinze ou seize ans, au sommet de leur carriĂšre quand je nâĂ©tais encore quâune inconnue ?Â
ArrivĂ©e Ă lâĂąge de vingt-six ans, si lâon nâa pas percĂ©, on ne percera jamais. Je me suis donc retirĂ©e de la scĂšne et jâai commencĂ© Ă enseigner le chant au Conservatoire de Paris.Â
Toi comme moi, nous avons grandi sans amour, protĂ©gĂ©s du monde comme des poupĂ©es de cristal. En quittant Hylewood, jâai vĂ©cu. IntensĂ©ment. Jâai aimĂ© lâart avec passion. Lâart ne mâa pas aimĂ©e autant que je lâaurais voulu. Jâai chantĂ©, de tout mon saoul, et jâai appris Ă dâautres Ă chanter. Je ne me suis jamais mariĂ©e, je nâai jamais eu dâenfants. Jâai rejettĂ© la demande en mariage dâun baryton, bien consciente quâĂ©tant donnĂ© mon Ăąge, celle-ci Ă©tait la derniĂšre que je recevrais jamais. Mais je ne pouvais pas me marier : mon vĂ©ritable amour Ă©tait pour la musique. Je ne regrette rien, car mes Ă©lĂšves ont Ă©tĂ© mes enfants.
Adieu, Auguste. JâespĂšre que tu es heureux et que tu vis la vie de tes rĂȘves.
Ta grande sĆur, Jo.
Bonus
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Jugements
Des facteurs que vous ignorez
Jeudi 24 Octobre
Gare aux jugements hĂątifs !
« Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s » Matthieu 7.1 "Je suis convaincue que des personnes seront portĂ©es par les messages de Parole du Jour, ce qui les incitera Ă profondĂ©ment changer en fonction de que Dieu a dĂ©cidĂ© pour eux." HĂ©lĂšne Je fais un don
Chuck Swindoll raconte ce qui sâest passĂ© lors dâune sĂ©rie de confĂ©rences en Californie : « Un homme sâest approchĂ© et mâa dit : "J'ai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !" Je l'ai remerciĂ©. Mais le dimanche, lors de ma premiĂšre intervention, l'homme sâest assoupi. Jâai pensĂ© qu'il avait fait un long trajet et qu'il devait ĂȘtre fatiguĂ©. Pourtant, ça s'est reproduit chaque soir, jusquâĂ la fin de la semaine. JâĂ©tais embarrassĂ© : mes sermons Ă©taient-ils Ă ce point soporifiques ? Mais voilĂ que le vendredi matin, la femme assise Ă ses cĂŽtĂ©s est venue me dire : "Merci pour vos paroles et votre ministĂšre. Mon mari est atteint d'un cancer en phase terminale, et les mĂ©decins ne lui ont donnĂ© plus que quelques semaines Ă vivre. Quand nous avons parlĂ© de ce qu'il voulait faire avant de mourir, il mâa dit : 'Je veux aller Ă©couter Chuck Swindoll !' Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous prĂ©senter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !" » Swindoll a dĂ©clarĂ© plus tard qu'il aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux dâavoir portĂ© un jugement et dâavoir rĂ©agi sans sâĂȘtre renseignĂ©. » Pourquoi JĂ©sus a-t-il dit : « Ne jugez pas, afin de ne pas ĂȘtre jugĂ©s » ? Parce qu'il peut y avoir, dans la vie dâune personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la mĂȘme grĂące que celle que Dieu vous accorde !
B365 â Plan de lecture 2 Chroniques 3
PriĂšre du jour Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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MESSAGE DU SACRIFICATEUR AUX SAINTS SERVITEURS ET SERVANTES DU SEIGNEUR JESUS-CHRIST DANS LA VERITE .
Que la paix du Seigneur soit avec vous, chers frĂšres et sĆurs dans le Seigneur JĂ©sus-Christ.
Je suis le Sacrificateur de L'Ăternel Docteur GbonguĂ© Joachim KessĂ©. Je viens vers vous, une fois de plus, vous donner cette adresse qui nous interpelle Ă l'unitĂ© dans la priĂšre.
La Bible nous dit dans 1 Pierre 2 : 5 «â et vous-mĂȘmes, comme des pierres vivantes, Ă©difiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin dâoffrir des victimes spirituelles, agrĂ©ables Ă Dieu par JĂ©sus-Christ. »âŹâŹâŹâŹâŹâŹ
Mes chers frĂšres et sĆurs dans le Seigneur et tout particuliĂšrement dans le ministĂšre.
Nos pĂšres ont dirigĂ© la vie spirituelle de ce pays sans bruit, dans la cohĂ©sion fraternelle et le respect mutuel pendant des dĂ©cennies. Quoiquâils aient eux aussi leurs diffĂ©rends.
Ils se sont laissés conduire par la parole et ont préservé le pays et surtout les ùmes qu'ils avaient sous leur garde de toute confusion.
Nous avons reprochĂ© Ă ces pĂšres de n'avoir pas manifestĂ© lâonction. Oui, ils n'Ă©taient pas des prophĂštes majors, des voyants, des scanners, des rĂ©vĂ©rends, des archbishops, des Ă©vĂȘques, âŠ
Mais ils vivaient la parole. à travers leur vie, leur réaction, on pouvait voir la sagesse et l'amour de Dieu. Les églises étaient alors tranquilles.
Puis notre gĂ©nĂ©ration arriva avec lâonction censĂ©e rendre l'Ă©glise plus dynamique et meilleure.
Je rĂ©pĂšte. Et notre gĂ©nĂ©ration arriva avec lâonction, les prophĂ©ties, les voyances et les titres.
Puis commencÚrent les guerres de positionnement, d'influence, de prééminence, etc. Cette affaire d'onction a entraßné la guerre fratricide. Et dans ça, nous avons perdu notre icÎne : le prophÚte Kacou Séverin. Mais cela ne nous a rien donné comme enseignement.
Nous nous sommes plongés de plus bel dans notre folie. C'était d'abord à la chaire ; et ensuite Internet fit son apparition.
Nous déplaçùmes cette guerre. De la chaire à Internet. Et cela au vu et au su de tous.
Et quâest-ce que cela nous apporte aux yeux des non-chrĂ©tiens et de nos gouvernants ?
Cela ne nous intĂ©resse guĂšre. Le pire, câest que, au moment oĂč deux de nos Ă©minents prophĂštes sont dans des situations difficiles Ă supporter, au lieu de nous unir autour du combat, notre Ă©go nous inspire de nous combattre, nous accusant et nous justifiant tour Ă tour sur Internet.
JusquâĂ quand, frĂšres, montrerons-nous Ă nos devanciers que nous sommes mĂ»rs, quâils peuvent compter sur nous, que nous ferons mieux quâeux pour le salut des Ăąmes et la restauration de notre nation ?
JusquâĂ quand arrĂȘterons-nous nos actes immatures ? JusquâĂ quand allons-nous continuer de nous livrer en spectacle aux yeux du monde ?
Quand est-ce que nous comprendrons quâen nous dĂ©shabillant mutuellement sur les rĂ©seaux sociaux, nous nous dĂ©shonorons nous-mĂȘmes aux yeux des non-chrĂ©tiens et que nous les empĂȘchons de croire en notre Dieu ? JusquâĂ quand allons-nous arrĂȘter de fournir Ă nos gouvernants des raisons de sâintroduire dans notre affaire pour y mettre de lâordre ?
FrĂšres, de tout cĆur, je vous demande pardon. Par amour pour le Seigneur, pardonnons-nous les uns les autres. Allons Ă lâessentiel.
Nos frĂšres sont incapables de se tenir Ă la chaire pour prĂȘcher. Ils manquent Ă leur peuple. Ils manquent Ă leurs familles. Parlant de familles, peut-ĂȘtre que vous ne le savez pas, les Ă©pouses des deux prophĂštes viennent dâaccoucher de beaux bĂ©bĂ©s. Ces nouveau-nĂ©s ont besoin de la chaleur de leurs pĂšres.
Ces prophĂštes manquent Ă©galement Ă la nation.
Câest ensemble que nous allons triompher. Ne tombons pas dans le jeu du diable. Car pendant que nous nous battons, lui il avance par le canal de ses adeptes qui se sont introduits au milieu de nous.
Bien-aimĂ©s, si par mes propos jâai heurtĂ© la sensibilitĂ© de quiconque parmi vous, veuillez mâen excuser. Mais je prie de tout cĆur quâĂ ce carrefour oĂč nous sommes, nous la jeune gĂ©nĂ©ration comprenions la nĂ©cessitĂ© pour nous de nous donner la main dâassociation, de faire taire nos diffĂ©rends, de mener le combat ensemble dans lâunitĂ© pour le rĂ©veil spirituel et la restauration de notre nation.
Que la paix et lâamour de JĂ©sus-Christ notre Seigneur et notre Sauveur nous animent tous.
Votre frĂšre et co-ouvrier dans la vigne du Seigneur, le Sacrificateur. Shalom.
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