#vocabulaire coréen
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korean-with-haneul · 2 years ago
Note
Bonjour
J'ai une question bête
Je voudrais savoir comment on écrit en coréen
Mots ou chiffres "sino-coréen" mots ou chiffres "pur coréen".
Dans des livres on voit beaucoup de mots traduits comme mots , vocabulaire, verbes, adjectifs, grammaire etc mais jamais ces mots là et ne voudrais savoir.
Merci
Bonne journée
I'll first answer in French and then in English.
Pour les numéros coréen purs (하나, 둘, 셋….. Etc)
◕On les appelle:고유어 수사
Et pour les numéros sino-coréen (일, 이, 삼, 사… Etc)
◕On les appelle: 한자어 수사
J'aimerais aussi ajouter que ces termes sont rarement utilisés même par des personnes coréens. Normalement on dit : 숫자 /수 pour les numéros
~◕~◕~◕~◕~
Korean pure numbers (하나, 둘, 셋….. Etc)
◕They are called 고유어 수사 in Korean
Sino korean numbers (일, 이, 삼, 사… Etc)
◕They are called 한자어 수사 in Korean
N.B. These terms "고유어 수사" and "한자어 수사" aren't used that much even by Korean people
Hope that helped ^^
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nssip · 1 year ago
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j'ai commencé à lire les articles sur l'économie en coréen, je dois développer mon vocabulaire car je veux pas prendre un cours d'économie pour le semestre prochain et ne RIEN comprendre du tout
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dailykoreanselfstudy · 5 years ago
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자연 nature 🍃
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녹지 [綠地] = espace vert
조경 [造景] = aménagement paysager 
수변 [水邊] = riverain, (du) bord de l’eau
산책로 [散策路] = promenade, chemin de randonnée, sentier 
면적 [面積] = étendue, superficie, surface, aire
습지 [濕地] = terrain humide, marécage
생태 [生態] = écologie, vie organique
경관 [景觀] = paysage, vue, perspective, panorama
• Quelques exemples:
이 곳은 경관이 빼어나게¹ 좋다!   = Cet endroit a une vue magnifique! ¹빼어나다 = exceptionnel 
포장을¹ 해서 수변공원에서 먹어도 돼요. = Vous pouvez aussi l’emballer et le manger au parc riverain. ¹포장 [包裝] = emballage
이 길은 주민들의 산책로로 이용된다¹. = Ce chemin est utilisé par les habitants locaux comme sentier. ¹이용되다 [利用-] = être utilisé
옛날에는 습지에다 바로 볍씨를¹ 뿌려² 농사를³ 지었다. = Autrefois, les graines de riz étaient plantées directement sur les zones humides. ¹볍씨 = semence de riz ²뿌리다 = asperger, saupoudrer, semer ³농사 [農事] = agriculture
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dailykoreanselfstudy · 5 years ago
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아싸! - yay!
흠 - hmm…
째깍째깍 - *horloge*
쉿! - Shh!
엉엉 - *pleure*
탕 - Bang!
쾅 - Crash!
딩동 - *sonnette*
냠냠 / 쩝쩝 / 우걱우걱 *mâche de la nourriture* - 냠냠 est un son mignon - 쩝쩝 est un “mauvais son” (bruyant/ mangeur sale)
꿀꺽꿀꺽 - *gloup gloup* 
빵빵 - *un klaxon de voiture*
짝짝짝 - *applaudissement*
쏙닥쏙닥 - *chuchotement*
삐걱삐걱 - *grincement*
뿅 - poof!
휭휭 - *son du vent*
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MORE Korean Onomatopoeia - 더 한국어 의성
“쉿! 너무 시끄러워요!” - Shh! You’re too loud!
on·o·mat·o·poe·ia
/ˌänəˌmadəˈpēə,ˌänəˌmädəˈpēə/
noun
the formation of a word from a sound associated with what is named (e.g., cuckoo, sizzle ). the use of onomatopoeia for rhetorical effect
아싸! - yay!
흠 - hmm…
째깍째깍 - clock
쉿! - Shh!
엉엉 - crying
탕 - Bang!
쾅 - Crash!
딩동 - doorbell
냠냠 / 쩝쩝 / 우걱우걱 - chewing food
냠냠 is a cute sound
쩝쩝 is a bad sound (noisy / messy eater)
꿀꺽꿀꺽 - gulp gulp
빵빵 - a car horn
짝짝짝 - clapping
쏙닥쏙닥 - whispering
삐걱삐걱 - squeaking
뿅 - poof!
휭휭 - the sound of the wind
Happy Learning :)
~ SK101
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pe974 · 2 years ago
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mon français
seule nom c 'est façon coréene,
qui est mun seon myeong? par exemple
17ans ramasser le vocabulaire et commencer a apprendre
18ans essayer de memoriser le libre mais echoué via la pseudo façon qui concerne pas ma situation
18ans regarder le chaîne youtube ichiban japan
19ans faire un test et gagné b1. .
20ans sauter a la reunion et parler avec des gens, faire developper mon parler
21ans commencer regarder un film
21ans commencer analyser le film dans 3 façons par 5 jours
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page-a-pages · 4 years ago
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Etre soi: Julian est une sirène et autres albums
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Julian est une sirène fait partie des albums qui ont été remarqués au printemps dernier. Aux Etats-Unis, où il a été publié en 2018, il a récolté quantité de prix et a été traduit en quatorze langues (catalan, portugais, italien, chinois, danois, allemand, espagnol, finnois, norvégien, suédois, français, japonais, néerlandais et coréen). Il se pourrait même qu’il devienne un classique d’un genre fluide où les catégories et les identités s’expriment avec simplicité dans toute leur complexité.
Julian rêve d’être une sirène et avec l’aide de sa grand-mère il va le devenir. On pourrait se satisfaire de ce résumé tant le propos est abordé avec naturel, se contentant pour l’étayer d’une ligne de texte sous les images, quand elles ne sont pas en pleine page, se suffisant à elles-mêmes. C’est ainsi que les enfants prendront cette histoire, avec évidence, tant il est courant, à leur âge, de rêver d’être une sirène ou un autre personnage de conte. Mes petites voisines, à qui j’ai lu l’album, l’ont aimé et ont beaucoup apprécié les illustrations. A un moment donné, elles m’ont posé la question: « Julian, c’est une fille ou un garçon ? » Je leur ai répondu que Julian était un garçon, réponse tout à fait convaincante puisqu’on a repris la lecture. Elles n’ont bronché ni sur le fait qu’un garçon — mais Julian se sent-il garçon ? — veuille être une sirène. En y repensant, j’aurais pu leur répondre comme ma fille le faisait quand, petite, on lui demandait si elle était une fille ou un garçon et qu’elle répondait avec beaucoup de sérieux: “Je suis un titi” (son surnom). Donc, comme son titre l’indique, à part son prénom de garçon, Julian est une sirène. Tout simplement.
Cet album est né de l’intérêt de l’auteure pour les questions liées au genre, mais également de sa rencontre avec une personne trans, son parcours et les questions liées à sa transition au niveau du cercle familial. « Comment va-t-on expliquer ça aux enfants?».  Elle s’est dès lors intéressée à des références qui pourraient raconter ce type d’expériences autour d’identités de genre du point de vue d’un enfant et non des adultes. Elle s’est documentée sur le milieu drag, le voguing, les ballrooms new-yorkaises et s’est procuré un film documentaire emblématique : Paris is burning. Ces pratiques ont beaucoup inspiré l’album, dans leur façon d’inclure les rapports de jeu avec un très grand sérieux - comme d’ailleurs les enfants savent si bien le faire -, les expressions exubérantes et en même temps naturelles, les vécus de questions d’acceptation, de famille et de quête de soi.
Pour autant qu’on lise l’anglais et qu’on maîtrise un peu le vocabulaire LGBTQIA+, la page du site de Jessica Love en lien avec l’album - https://jesslove.format.com/julian-is-a-mermaid - mérite qu’on s’y arrête. Après une brève présentation de l’album, elle reproduit des extraits d’une interview où elle répond aux questions liées à son inspiration et au fait qu’elle ait choisi de mettre en scène une famille afro-latino-américaine et des expériences trans (ou drag) alors qu’elle même est blanche et cishet (cis: en accord avec son genre de naissance + het: hétéro). D’ailleurs, cette partie de la page porte le titre suivant : “On being a white, cishet artist creating outside my experience…” Car si Jessica Love a longtemps craint de ne pas avoir la légitimité de traiter d’un sujet et d’un groupe ethnique qui ne sont pas siens, elle avait à cœur de soutenir le mouvement Black Lives Matter et de lutter contre le racisme anti-noir. Ces questions importantes permettent des discussions qui ont rarement lieu lorsqu’on reste dans les normes très blanches de l’édition jeunesse.
Ce premier album a mûri pendant six ans. Et si son auteure a beaucoup dessiné étant enfant, elle n’en a pour autant pas fait son métier. On est d’autant plus charmé par la qualité des illustrations à la gouache sur papier brut dont la couleur est proche de celle de la peau des protagonistes. Ici le blanc, du papier et des peaux, n’est pas la couleur par défaut. Le dessin agile et expressif - on adore la liberté contenue dans les scènes de rue -, aux couleurs poudrées teintées de touches vivres pourrait presque se passer de texte. D’ailleurs les mots sont rares et bien placés. Les pages de garde épatantes mettent en scène, en ouverture du livre, une brochette de grands-mères aux corps généreux contenus dans des maillots de bain colorés et le referment sur ces mêmes grands-mères bonnes fées devenues des sirènes bienveillantes qui accompagnent le jeune Julian dans son devenir. Ce dernier d’ailleurs regarde les lecteurices droit dans les yeux, un sourire clin d’oeil aux lèvres. Sa Mamita aussi nous regarde, l’air de dire: “Vous voyez comme c’est simple!”.
Citons enfin une scène de rue carnavalesque, digne de Rio de Janeiro, où l’auteure a glissé en premier plan deux drag queen, dont l’une belle comme un papillon est juchée sur des platform shoes aux talons démesurés. Une manière de légitimer, mine de rien, le queer.
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  Un nouvel album, Julian at the Wedding, paraîtra en anglais au mois d’octobre et sa traduction française au printemps 2021. On l’attend avec impatience…
N.B. Que les lecteurices n’aillent pas croire que le vocabulaire LGBTQIA+ m’est familier, ni que je connaisse les mouvements cités par Jessica Love sur son site. Non, j’ai dû apprendre, me renseigner. Mais surtout, ma fille Loraine-Titi Furter, militante active, très à l’aise sur les questions de genre, sujet de ses recherches, a collaboré une nouvelle fois avec enthousiasme et bienveillance à cet article.
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Anne Herbauts, dans son nouvel album qui paraît cet automne chez Casterman, aborde le thème des manières propres à chacun de vivre sa vie. 
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Un enfant énumère les différences qu’il note dans les traits de caractère de ses parents. Chaque comparaison le ramène à lui et à la conclusion suivante: “Moi, je ne suis ni l’un ni l’autre. Je suis moi.” Et l’auteure, au moyen de ses illustrations, d’emmener le lecteur en balade - en randonnée - dans le quotidien de cet enfant, du matin à la promenade de l’après-midi. Des parents, on ne verra que des bribes de corps, les mains, les pieds puisque c’est le point de vue de l’enfant qui prime, sa manière bien à lui d’appréhender sa journée. Et comme on est à sa hauteur, il est représenté en entier, sous la forme d’un petit animal qui change de page en page au gré des petits noms tendres dont l’affublent ses parents: “petit chat”, “lapin”, “moustique” et autres noms d’oiseaux.Anne Herbauts poursuit son travail à destination des plus petits. Creusant dans cette direction, elle va loin dans la simplicité - même dans le désordre d’une maison - et laisse place à l’espace dans la page, au grain du papier. Les taches de couleur à l’aquarelle sont parfois rehaussées de traits au crayon, ces mêmes traits qu’elle décline seuls, au besoin. On retrouve également ses impressions sur papiers découpés pour les vêtements. Au résultat, un album d’une extrême lisibilité, au dessin gai et poétique.
Signalons encore deux autres titres sur l’être soi parus au printemps passé à L’Ecole des loisirs ; l’un chez Kaléidoscope, l’autre chez Pastel.
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  Milo le pacifique n’a que faire de se battre comme ses congénères. Sur la banquise aux ours polaires, il préfère regarder les étoiles filantes et s’occuper de ses protégés, les blanchons. Bien malgré lui, il est emmené un jour dans la grande ville qui ne dort jamais à devoir combattre sur un ring… Milo se retrouve alors face à une vieille connaissance, le terrible Yuma, un morse champion du monde des poids lourds. Au final, ces retrouvailles n’auront que du bon.
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  « Rien que toi… Il n’y a pas deux ours comme toi » dit Maman Ourse en réponse à la question de son petit Alfie. Cette réponse qu’elle va répéter de page en page, en randonnée, elle l’étaye d’exemples qui vont du particulier – le petit ours et sa sœur bébé – au général – le monde qui les entoure - et qui sont des leçons d’apprentissage et d’ouverture sur la vie, sur soi. A mesurer le monde, dans toute sa tendresse, on se voit lire cet album au calme, bien calés dans des coussins, un bras autour d’un petit corps qui se pelotonne, avec le pouce dans la bouche.
Julian est une sirène / Jessica Love.- L’Ecole des loisirs (Pastel), 2020
Ni l’un ni l’autre / Anne Herbauts. - Casterman, 2020
Milo l’ours polaire / Laurent Souillé et Juliette Lagrange. – Kaléidoscope, 2020
Rien que toi / Sally Grindley et Célia Chauffrey. – L’Ecole des loisirs (Pastel), 2020
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nickijonathan · 4 years ago
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3 Meilleur traducteur vocal
1. Ili traducteur vocal
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Préparez-vous à avoir des conversations complètes en espagnol avec le traducteur portable Ili. Ce petit traducteur de langue portatif a trois boutons, y compris le bouton d'alimentation - pour traduire, vous maintenez le gros bouton enfoncé pour que l'appareil écoute et traduise automatiquement, et en appuyant à nouveau dessus, vous répéterez la phrase. Le troisième bouton répète ce que vous avez dit (dans la voix d'Ili), et si vous maintenez le bouton enfoncé, il bascule entre l'espagnol et l'anglais (l'appareil propose également le japonais et le mandarin). C'est aussi proche de la traduction en temps réel que cela est technologiquement possible. L'Ili est ultra-portable et portable, et il fonctionne même sans connexion Internet.
2. Birgus bidirectionnel traducteur vocal
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Si vous vous rendez en Chine, cela vaut la peine d'investir dans le traducteur vocal bidirectionnel Birgus Language. Cet appareil extrêmement utile offre une traduction bidirectionnelle en ligne en cliquant simplement sur quelques boutons, et le taux de précision est aussi élevé que 98 pour cent (c'est pratiquement aussi proche d'avoir un traducteur humain que ça va obtenir). En plus du chinois, il prend en charge sept autres langues hors ligne. Le traducteur prend également en charge 44 langues avec son appareil photo pour la traduction de photos en ligne. Et, vous pouvez utiliser sa fonction d'enregistrement pour enregistrer autant de phrases et de mots que vous le souhaitez. Ce traducteur est également extrêmement convivial, avec son écran tactile couleur de 2,4 pouces et son design élégant et léger.
3. Sauleoo traducteur vocal
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Les traducteurs numériques peuvent être utiles pour traduire des images ainsi que des indices verbaux. Le traducteur de langue Sauleoo comprend une caméra qui peut être utilisée pour capturer des panneaux de signalisation et des portes d'aéroport à traduire dans 47 langues différentes. Ce traducteur de langue bidirectionnel peut également être utilisé verbalement avec 137 langues, dont l'espagnol, le français, l'italien, le chinois et le japonais. Sa fonction hors ligne peut traduire l'allemand, le néerlandais, le coréen, l'espagnol et d'autres langues lorsque vous n'êtes pas connecté au WiFi. Ce traducteur léger peut facilement tenir dans votre poche et a une autonomie de quatre à huit heures lorsqu'il est utilisé. Vous devriez cliquer ici pour voir plus de traducteurs vocaux de meilleure qualité.
Que rechercher dans un traducteur électronique
LANGUE
Certains traducteurs peuvent gérer n'importe quelle langue que vous leur lancez (ou, au moins, beaucoup d'entre eux); d'autres sont équipés pour gérer une seule langue, comme le chinois ou l'espagnol. Sachez que les types à tout faire n'ont peut-être pas tout à fait la gamme de vocabulaire des modèles dédiés, mais si vous vous lancez partout, avoir beaucoup de bases couvertes - par rapport à l'achat d'un traducteur différent pour chaque langue - peut être idéal.
COÛT
Selon la fréquence à laquelle vous voyagez, vous voudrez peut-être déterminer s'il vaut mieux parler un peu plus à un traducteur qui possède une meilleure reconnaissance vocale et un meilleur vocabulaire ou opter pour un modèle de budget qui couvre les bases d'une aventure unique.
KEYBOARD VS. ENTRÉE VOCALE
Pensez à la façon dont vous allez probablement utiliser un traducteur électronique. Si vous essayez principalement de traduire des conversations, un traducteur à saisie vocale pourrait être votre meilleur choix. À l'inverse, un modèle basé sur un clavier peut vous limiter lorsqu'il s'agit de comprendre ce que les autres disent.
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heywannalearn · 6 years ago
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kpop: le vocabulaire
I’ve been getting into kpop and of course, want to learn Korean immediately while my French materials stare at me...
Au lieu d'apprendre le coréen, je présente du vocabulaire français ;)
la kpop : the kpop (it’s feminine - probably because pop music is la musique pop or la pop) J’aime trop la kpop! : I like/love kpop too much! ;) La Corée du Sud : South Korea Le coréen : Korean (the language)  per exemple: Je parle coréen. : I speak Korean. Coréen/coréenne : Korean, adjective. Masculine/feminine.  per exemple: Il est coréen. Elle est coréenne. : He is Korean. She is Korean.  la fandom : a fandom.  un phénomène culturel : a cultural phenomenon (French newspapers really like using this phrase for kpop!)
Quelques ressources à lire :
Buzzfeed: “Les fans de K-pop nous disent pourquoi ils adorent cette musique”
Le Parisien: “BTS : comment la K-pop est devenue un phénomène”
Le Monde: “Qu’est-ce que Blackpink, le groupe de K-pop qui bat des records sur YouTube ?”
Blog: “Le français dans la Kpop”  (about French words/language or culture in Kpop)
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Bisous, -heywannalearn
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euterpeconsulting · 6 years ago
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Les meilleures ressources de langues gratuites ou abordables (partie 1)
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Bonjour à toutes et à tous !
Apprendre une langue est toujours un défi ! Que ce soit pour voyager, pour travailler, pour s’installer dans un autre pays ou tout simplement pour le plaisir de découvrir, par curiosité, cela représente une organisation toute particulière, car apprendre une langue, cela prend du temps. Malheureusement, ce n’est pas toujours accessible car il n’est pas toujours possible de prendre des cours particuliers pour des raisons diverses. C’est la raison pour laquelle nous vous avons préparé une petite sélection d’applications, de sites internet et autres méthodes pour petits et/ou grands, pour apprendre ce que vous voulez en un temps réduit, en restant chez vous (ou pas) et sans vous ruiner !
Commençons par une petite sélection d’applications :
Avec Duolingo, devenez polyglottes 
Gratuit
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Certains d’entre vous la connaissent sûrement déjà car sa réputation n’est plus à faire : cette appli est totalement gratuite et très ludique. Mais elle présente aussi l’avantage de proposer de nombreuses langues dans sa version anglophone mais un peu moins dans celle francophone (pour le moment). En tout cas, elle est disponible sur iOS comme sur Android.
Cette appli permet l’apprentissage d’une ou plusieurs langues sous forme de jeux et inclue un objectif journalier que l’utilisateur fixe lui-même. Si vous n’atteindrez pas le niveau langue maternelle grâce à cette appli, elle vous permettra néanmoins d’acquérir de très bonnes bases et un bon niveau intermédiaire. Son point fort est aussi celui de vous garder motivé : vous pouvez suivre votre progression et tirer de la fierté de vos accomplissements.
Un autre bon côté de cette appli c’est qu’elle n’est pas ouverte qu’aux débutants : vous pouvez choisir de passer un petit test lors de votre première utilisation de l’appli afin de commencer l’apprentissage à un niveau optimal.
Développeur : Duolingo
Langues disponibles sur la version anglophone : espagnol, français, allemand, mandarin, japonais, italien, coréen, portugais, néerlandais, irlandais, danois, suédois, turc, esperanto, norvégien, ukrainien, russe, polonais, gallois, hébreu, vietnamien, hongrois, grec moderne, swahili, roumain, tchèque
Langues disponibles sur la version francophone : anglais, espagnol, allemand, italien, portugais
Lingodeer, les langues asiatiques dans la poche 
Gratuit
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Cette appli, elle aussi gratuite et disponible sur Android et iOS vous permet d’apprendre le chinois, le japonais et le coréen sur la version en français et le vietnamien, le portugais, l’espagnol, le français et l’allemand sur la version en anglais.
A l’instar de Duolingo, Lingodeer permet un apprentissage amusant de la langue mais sa configuration est plus adaptée à l’apprentissage des langues asiatiques (explications claires de l’emploi des caractères et des tons en chinois, du syllabaire coréen ou des kana et kanji en japonais).
Développeur : LingoDeer Co, Ltd
Gus on the Go, toutes les langues (ou presque !) pour les enfants et les plus grands 
Payant
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Cette appli est une des rares de notre sélection à être payante, mais contrairement à la plupart des applications de langues payantes, celle-ci affiche un prix raisonnable et fixe (et non un tarif mensuel). Initialement destinée aux enfants, elle peut aussi s’adresser aux plus grands comme un bon moyen de découvrir une langue à partir de zéro. Si vous n’apprendrez pas à faire de phrase, c’est un bon moyen de retenir le vocabulaire de base et de vous familiariser avec les sonorités et la prononciation de la langue.
Elle se présente sous forme de « fiches » de vocabulaire interactives (en fonction du thème de la leçon, vous trouverez un décor -le marché, le réfrigérateur, la ferme…- et pourrez appuyer sur les objets pour entendre leurs noms assortis de l’orthographe du mot). Une fois le vocabulaire étudié, des jeux vous sont proposés (assez enfantins mais très utiles pour retenir ce que vous venez d’étudier). Le seul inconvénient est que les systèmes d’écriture propres à chaque langue ne vous sont pas expliqués, l’application s’adresse aux grands débutants.
Son atout principal est le nombre de langues disponibles (bien qu’il vous faudra payer séparément pour chaque langue). De plus, il propose des langues généralement peu proposées dans le cadre des applications, par exemple, vous n’y trouverez pas que le chinois mandarin, mais aussi le cantonais, le taïwanais ou le mandarin de Taïwan (traditionnel).
Par ailleurs, le vocabulaire mentionné dans l’application est écrit, contrairement à la plupart des applications destinées aux enfants. Le développeur propose aussi des applications complémentaires sous forme de petites histoires racontées dans la langue étudiée, complétées par des animations. Un bon moyen de commencer à mettre en application le vocabulaire appris.
Enfin, peu importe votre langue maternelle lorsque vous téléchargez Gus on the Go : quelle que soit la langue choisie, tout ce que vous entendrez sera prononcé dans la langue en cours d’apprentissage.
Prix : 4.99 €
Développeur : toojuice
Langues disponibles : hébreu, grec, arménien (oriental et occidental), anglais, italien, portugais, ingouche, français, allemand, japonais, espagnol, vietnamien, arabe, russe, mandarin, coréen, croate, roumain, polonais, hongrois, danois, norvégien, suédois, mandarin de Taïwan, filipino, turc, hindi, taïwanais
Linguarena, pour apprendre les langues africaines
Payant
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Si cette appli peut vous permettre d’apprendre des langues « répandues » comme l’anglais ou l’allemand, Linguarena a surtout la particularité de présenter des langues généralement moins représentées dans le cadre des applications comme le swahili ou le wolof. Si vous avez toujours été tenté d’apprendre une langue africaine, cette appli est faite pour vous ! Bien qu’elle soit payante, son prix (fixe) reste très abordable pour cette ressource ludique et fiable, alors n’hésitez plus !
Prix : variable en fonction de la langue, de 2,28 € à 10/15 €
Développeur : samba kamara
Langues disponibles : swahili, bambara, wolof, anglais, allemand
Huaying, le dictionnaire de chinois pratique et léger
Gratuit
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Huaying est un dictionnaire de chinois gratuit, en français et en anglais, depuis ou vers une traduction du/en chinois. Généralement assez précis, il s’illustre toujours de quelques exemples que je vous conseille de lire attentivement afin de connaître le sens du mot avec exactitude. Cette application ne marche qu’avec la langue chinoise (mandarin).
Développeur : Arnaud Adant
Pinyin Trainer, pour perfectionner votre prononciation... et éviter les quiproquos
Pour que l’on ne vous apporte pas un cheval lorsque vous parlez de votre mère !
Gratuit
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Tous ceux qui apprennent le mandarin pourront vous en parler : la prononciation de la langue est un véritable casse-tête pour les débutants ! En effet, la présence de tons (inexistants en français) fait qu’en fonction de l’intonation que vous lui donnez, un mot peut avoir différentes significations, ce qui complique la tâche aux débutants lorsqu’ils tentent de se faire comprendre. Mais comme toute difficulté linguistique, elle peut être surmontée ! L’appli qui nous intéresse, Pinyin trainer, vous permet de vous entraîner à différencier les quatre tons et d’améliorer votre prononciation. Grâce à des exercices de reconnaissance des tons, vous progresserez rapidement en compréhension orale. Dernière info sympathique : celle-ci est gratuite.
Développeur : Molatra
Kimiko Coréen, maîtrisez la grammaire coréenne comme un chef
Gratuit
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Cette application, en français et gratuite, vous permet d’apprendre le coréen grâce à des explications précises. Elle s’adresse aux débutants comme aux intermédiaires et se présente sous la forme d’un livre de grammaire. Il suffit à l’utilisateur de chercher la leçon dont il a besoin par un sommaire en page d’accueil. Seul bémol de cette application c’est qu’il vous faudra la compléter à l’aide d’un dictionnaire ou des fiches thématiques, car l’application ne comporte pas de listes de mots pour étoffer votre vocabulaire.
Développeur : Arnaud Jordan
Le Japonais en Douceur, l’appli gratuite la plus complète
Gratuit
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Cette application est de loin la meilleure pour apprendre le japonais : des explications grammaticales claires, des thèmes de vocabulaire, des exercices… Elle a tous les avantages des applications payantes, mais elle est gratuite ! Les leçons se présentent sous format audio, ce qui vous permet de faire autre chose en même temps que vous l’écoutez (cuisiner, marcher…). Le cours audio, initialement diffusé par la radio NHK est compensé par des leçons écrites, même s’il est plus avantageux de prendre des notes supplémentaires à partir de l’audio qui dispense plus d’informations.
L’appli est disponible sur iOS en français et en anglais, mais n’est malheureusement disponible qu’en anglais sur Android.
Développeur : pengli li
HelloChinese, pour bien débuter en mandarin
Gratuit
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Cette application, réservée à l’apprentissage du chinois mandarin, fonctionne presque comme Duolingo. Bien que son icône soit un peu cliché, l’appli a pour avantage de prêter attention à votre prononciation (vous vous enregistrez et l’application analyse vos erreurs).
Gratuite, elle vous permet de démarrer votre apprentissage au seuil que vous désirez et est disponible sur iOS comme sur Android.
Développeur : HelloChinese Technology Co Ltd
LingQ Suédois, analysez les phrases mot à mot
Gratuit
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Les applications Ling Q vous permettent d’analyser mot à mot des phrases dans la langue que vous tentez d’apprendre. En revanche, elle est assez onéreuse, excepté sa version suédoise, qui est gratuite car pour l’instant moins complète. Cette application peut être un bon moyen d’étudier des textes simples et d’apprendre du vocabulaire. Attention, la version suédoise n’est disponible que sur iOS.
Développeur : the Linguist Institute
ZIHOP ou comment retenir les caractères chinois sans efforts
Gratuit
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Cette appli, très axée vers l’apprentissage du vocabulaire, est très pratique pour retenir les caractères. Par ailleurs, vous pouvez choisir un objectif précis (HSK 1 à 6, LV1/2/3 au bac) ou démarrer de zéro. En revanche, ZIHOP ne comprend que l’apprentissage de hanzi (caractères chinois), il faut donc utiliser un livre de grammaire et/ou une autre application en complément.
Développeur : Dorian Lovera
Si vous proposez ces applications à vos lecteurs, n’hésitez pas à nous laisser leurs commentaires, remarques... ;-)
Rendez-vous très prochainement pour une sélection complémentaire de ressources disponibles sur le Web 
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dailykoreanselfstudy · 5 years ago
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오늘의 어휘목록 📑
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영웅 [英雄] = héros
주르륵 *onomatopée* = son de quelque chose qui coule
자세하다 [仔細/子細-] = détaillé
밑에 = sous  {”밑” + la particule “에”}  
굽다 = cuire
벌집 = nid d’abeille, ruche, alvéole, guêpier, nid de guêpe
굳히다 = durcir, solidifier, figer
식감 = texture (d’un aliment)
동시 [同時] = en même temps, à la fois, simultanément
번거롭다 = contrariant, ennuyeux, embêtant
가득 = plein, rempli
올리다 = augmenter, élever, hausser
달다 = sucré
입맛 = goût (en matière de nourriture)
조절하다 [調節-] = régler, mettre (quelque chose) au point
사각 = carré (forme)
틀 = moule, forme
자유롭게 [自由-] = librement
원형 [圓形] = cercle, rond (forme)
시청하다  [視聽-] = regarder/écouter (une émission de tv)
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booksmyway · 7 years ago
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Radio Study Sessions : Learn Korean with NCT의 나잇 나잇 : 장난 밤 장단 밤 : with 권진아 & 박재정 (NCT's Night Night ! : A long and Funny Night with Kwon Jinah and Park Jaejung)
Link to listen or download the podcast : 📻 (date : 13.02.2018)
Link to other vocabulary list/descriptions of Radio/TV Shows (posted every Sundays) : 📝
Information : « NCT’s Night Night ! » is radio show with NCT’s Johnny and Jaehyun which airs everyday between 11pm and Midnight (Korean Time). Each night has a different topic. « A long and Funny Night » is usually Fridays’ one*, but here it is on a Tuesday. So on Tuesdays, Johnny and Jaehyun invite Kwon Jinah and Park Jaejung to read true stories sent by listeners which are meant to be funny (or at least amusing).
Why this post ? : Listening to radio is a great way to improve your listening skills in a language. As it has no visual indication of what is being said, it forces you to concentrate on voices only to understand. What you can see above is a list of words I learnt (or learnt how to use/write) through listening to NCT’s radio show. I added a quick description of some of the topic that were held during the emission, so that if you want to listen to it, but you’re not confident enough to understand everything, you can read these descriptions before and then listen to it. It is meant to be a (very quick) brief of what they are talking about.
How to listen to SBS’ « NCT’s Night Night ! » and other radio shows ? : If your country’s time somehow matches Korean time, at a descent hour (which means not in the middle of the night) then you can listen to the show live (and even react with live comment) with the Gorealra App which is SBS’ official app (available for PC and Smartphones). The show airs on COOL FM (107.7).
For people from France, Deutschland and other neighbor countries : tune in at 3pm in winter hours and 4pm in summer hours.
For people from other countries : Korean Time is at UTC+9 all year round (they don’t change their clocks)
This app and the “Kong App” from KBS Radio allows you to listen to Korean radio in real time or in “replay” as podcasts. Both apps are available on Smartphone Apps platform and for PCs.
*They have one subject per night but I will do this kind of post only for this subject and the « 재쟈의 방 » (Jae&Joe’s Room), and maybe the « DO! 다이제스트 » with NCT’s Doyoung, even though I listen to it everyday.
Why french translations ? :
Because I’m french (^-^).
« To Go » vocabulary list :
Korean to English :
솔내 : lonely 코감기 : a cold 감기 하다 : to catch a cold 무대 : a stage 우연 : coincidence 사연 : story 꿀 : honey 교수님 : professor […]을 위한 : for smth 이불킥 : blanket kick 위법 : illegal 연합 : charity 아르바이트 : part time job 일부러 하다 : to do smth deliberately 중학교 : secondary school 의자 : chair 왼쪽 : left side 오른쪽 : right side 미래를 위에서 : for the future 엘리베이터 : elevator 항상 : always 튀다 to run away 금지 : interdiction 조건 : condition (term) 누군가를 다치게하다 : to hurt someone 계속 : to continue on
Traduction Coréen-Français :
솔내 : seul(e) (dans le sens de “solitaire”) 코감기 : un rhume 감기 하다 : attraper froid 무대 : la scène 우연 : hasard, coïncidence 사연 : histoire, sujet 꿀 : miel 교수님 : professeur […]을 위한 : pour qqch (suffixe) 이불킥 : coup dans l’oreiller 위법 : illégal 연합 : association 아르바이트 : travail à temps partiel 일부러 하다 : faire qqch. intentionnellement 중학교 : collège 의자 : chaise 왼쪽 : côté gauche 오른쪽 : côté droit 미래를 위에서 : pour le futur 엘리베이터 : ascenseur 항상 : toujours 튀다 s’enfuir 금지 : interdiction 조건 : condition (term) 누군가를 다치게하다 : blesser quelqu’un 계속 : continuer
(Feel free to notify me if there are mistakes in the translations)
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miharusblog · 7 years ago
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Merci beaucoup pour ton blog, il est absolument génial et m'aide beaucoup à apprendre le coréen. Non seulement les leçons sont simples et bien expliquées, mais j'apprends également pas mal de vocabulaire sans que ça fasse "grosse liste ennuyeuse qui va rentrer par une oreille et sortir par l'autre". Voilà
wahhhhhh une française !!! merci beaucoup pour ton ptit message ça me touche et me motive vraiment à continuer!!! j'essaye de faire de mon mieux pour rendre l'apprentissage le plus simple et compréhensible possible car par mon expérience c'est ce qui marche le plus pour moi, donc je suis contente que ma méthode te convienne aussi !! :) passe une bonne journée et merci encore!♡
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lecoreenauquotidien · 8 years ago
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Nouveau quiz : les verbes coréens (partie 2)
http://autodidacteencoreen.fr/quiz-verbes-coreen-partie-2/
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fabzefab · 8 years ago
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« Cette ambiance de cité existe vraiment chez l’EI. Les habitudes de cité n’ont pas trop changé en vérité. Le langage est le même. Les jihadistes ont islamisé le vocabulaire qui caractérise la délinquance. Avant ils auraient dit « tapettes », aujourd’hui, ils disent « murtad », apostat. Mais c’est exactement pareil que quand ils insultaient les gens avant dans leur période d’égarement, la jahilya. Les mots s’arabisent, s’islamisent, mais les comportements restent les mêmes. Ils s’insultent, ils font des punchlines comme dans le rap, mais à la gloire de Daesh. Même là-bas, ils étaient toujours attirés par tout ce qui est or, femmes, armes … C’est les mêmes centres d’intérêt qu’ils avaient en banlieue, c’est les mêmes plaisirs. Sauf que, détaille Zoubeir, « ce qu’ils ont volé, ils vont dire qu’ils l’ont pris en butin. Ils ont fait une ghanima. Quand ils vont mentir à des gens qui ne sont pas comme eux, ils vont pas dire que c’est du mensonge, ils disent que c’est de la ruse. Quand ils parlent d’insulter, ils vont dire que Dieu les a autorisé à médire sur les mécréants. Ils font leurs mêmes conneries, mais avec un peu plus d’islam, d’islamité dedans ».
David Thompson, Seuil / Les Jours, 2016, 295p, 19,50€
Pour étudier le phénomène que constitue le jihadisme français, David Thompson, à l’inverse de nombre de ses collègues, n’est pas allé interviewer des spécialistes spécialisés ni des experts en expertise, ni des sommités du monde universitaire capables de donner un avis sur à peu près tout. Loin d’une analyse caricaturale ou approximative, il a recueilli la parole la plus proche du phénomène lui-même puisque ce sont les jihadistes qui parlent dans ce livre, ceux qui sont partis et revenus, ceux qui sont encore là-bas, ceux qui sont revenus repentis, ceux qui sont revenus avec toujours la même détermination idéologique, bref, il a donné la parole à ces personnes aux profils bien plus complexes et compliqués que tout ce que l’on peut lire ou entendre dans les médias, et a compilé cette parole dans ce livre aussi intéressant qu’évidemment terrifiant.
On découvre donc de beaucoup plus près à quoi ressemblent les jihadistes français et si la plupart d’entre eux sont, comme on l’imagine, des gogols décérébrés venus des cités, des délinquants à peine éduqués, semi-débiles, élevés dans la haine du juif et de la France, abreuvés de discours complotistes et de blougi-boulga politico-religieux qu’ils recrachent sans la moindre capacité de recul ni d’analyse, ça ne constitue pas pour autant la totalité de la horde.
Les témoignages recueillis ont presque tous pour point commun des individus qui se sentent humiliés par la France, qui ne parviennent pas à y trouver une place, un statut social et qui dérivent de fait dans une sorte de limbe à la recherche d’un sens à donner à leur vie. Puisqu’ils ne sont pas intégrés ni reconnus, ils se sentent perdus. A cette sensation d’égarement, on leur offre une explication toute faite : le problème ne vient pas d’eux mais de la France, des valeurs occidentales, et du capitalisme.
On pourrait donc avoir des gens prêt à grossir les rangs du parti de Mélenchon, ou déterminés à s’installer dans la ZAD ou à s’associer aux black blocs pour donner du coup de poing dans les rassemblements anti-mondialistes.
Hélas, la religion est passée par là. Ces gens n’ont pas été élevés dans le militantisme politique mais sont passés par l’islam. Et la religion, au lieu de les pousser à une prise de conscience citoyenne, les envoie se faire enfermer le cerveau dans une idéologie salafiste (tous ou presque passent d’abord par le salafisme quiétiste avant de le quitter pour le jihadiste quand ils se radicalisent et ne tolèrent plus les « compromis républicains » des quiétistes) qui leur fait croire que pratiquer un islam résolument tourné vers la violence (avec appui sur les textes du Coran, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les padamalgam et les « ça n’a rien à voir avec l’islam », qui d’ailleurs, rendent fous de rage les jihadistes, persuadés, eux, de pratiquer le seul vrai et pur islam) va leur permettre d’enfin trouver du sens à leur vie et d’enfin échapper à la République, invention mécréante (l’islam, dans sa lecture rigoriste, s’avère totalement incompatible avec la République, puisque le Coran assure que le pouvoir n’appartient qu’à Dieu et ne peut en aucun cas être donné au peuple) qu’il faut détruire par tous les moyens.
Et nous voilà donc avec de pauvres tarés, armés de kalachnikov, qui se retrouvent en Syrie où de dominés, ils deviennent dominants, d’humiliés ils deviennent humiliants, de victimes de la violence étatique ils deviennent bourreaux de la violence d’un état qu’ils représentent désormais.
La religion, poison pour esprits faibles, transforme donc des forces vives de la nation dont nous aurions bien besoin pour nous soulever contre le capitalisme en tueurs dégénérés qui commettent en Syrie, mille fois pire que ce qu’ils reprochent à leurs ennemis en France.
C’est d’ailleurs tout aussi pathétique que tragique de lire ces gens cracher leur haine sur les valeurs de la France, sur le consumérisme, sur le mariage homosexuel et de les retrouver ensuite en Syrie avec des bagnoles rutilantes, des smartphone derniers cris, à violer en tournantes les esclaves yézidies.
Car voilà ce que permet l’islamisation de ces gens : ça leur donne une excuse pour devenir des ordures. Ils peuvent tout se permettre puisque l’islam valide chacune de leurs exactions.
Ils ne craignent ni foudre divine ni jugement des hommes puisqu’ils sont la main de Dieu. Un Dieu pas très sympathique et qui leur permet de massacrer leurs propres frères musulmans mais ils s’en accommodent. Car avec le cerveau lavé par la religion, les voilà persuadés d’œuvrer pour le bien et donc autorisés à lâcher leurs plus bas instincts.
L’idéologie religieuse rend halal les pires des crimes. A partir de là, ça ne peut qu’attirer les déchets de notre société trop faibles, lâches ou débiles pour trouver un moyen plus créatif et constructif d’exprimer leur violence issue de la frustration.
Quelle belle invention que la religion …
Au-delà de ces profils psychologiques qui ressemblent donc à des militants d’extrême-gauche pervertis par les délires religieux, on découvre comment l’Etat Islamique se comporte en Syrie et c’est pas joli-joli sur le plan de la pureté et de la sainteté.
Le passage sur le racisme pratiqué entre eux par ces individus est à la fois terriblement ironique (les mecs haïssent les français qu’ils jugent racistes mais ils se comportent de façon bien pire avec d’autres ethnies une fois partis faire le jihad) et tristement comique lors de ce passage à propos du pauvre jihadiste coréen qui n’arrive pas à trouver de femme car personne ne veut d’un asiatique …
On mesure d’ailleurs au travers de ce livre à quel point la misère sexuelle joue un rôle majeur dans l’endoctrinement. Pour les garçons, partir rejoindre daesh c’est la certitude d’enfin niquer des filles puisque le viol est légitime et halal tandis que pour les femmes, c’est l’assurance de trouver « un homme, un vrai », un prince charmant barbu et ultra-violent, qui se bat pour une cause, loin des « frères » qui fument du teushi en sifflant les meufs dans les téci. Sauf qu’une fois là-bas, les filles déchantent vite, bien évidemment.
Ce qui ne les empêche pas, contrairement à ce qu’une pensée sexiste en France laissait croire, de se montrer plus dangereuse encore que les hommes. Car si la plupart des mecs partent là-bas pour jouer à GTA ou Call of Duty en vrai, avec des civils en victimes, pour niquer des esclaves ou pour avoir de belles pompes aux pieds, les filles elles, partent avec une conviction idéologique et religieuse bien plus solide. Elles sont réellement motivées par le jihad. En quand elles reviennent en France, déçue par l’ambiance des quartiers qu’elles ont retrouvé dans l’EI à cause des jihadistes français, elles n’ont rien perdu de leur détermination à frapper la France, pays qu’elles exècrent parce qu’elles s’y sentent rejetées.
Les filles, dans cet ouvrage, apparaissent infiniment plus dangereuse que ne le considérait l’état français jusqu’à l’attentat raté de la fin de l’été dernier.
Très intéressant donc de comprendre un peu mieux qui sont ces gens. Intéressant et bien sûr terriblement flippant quand on découvre, toujours au travers de la parole des premiers concernés, à quel point nos prisons sont devenues des incubateurs à jihadistes et surtout, à quel point les juges sont démunis face au phénomène. Pour exemple, sera cité le cas d’un prisonnier tellement maboule dans sa tête avec la religion (le mec, il veut pas que son co-détenu regarde la météo car y’a que dieu qui peut prédire le futur ! ) que les autres taulards l’appellent le fou, mais il sera relâché quand même et ira directement égorger un prêtre dans une église de Saint-Etienne du Rouvray. En gros, toute la prison savait que le mec était cramé dans sa tête mais on l’a quand même laissé sortir.
C’est dire à quel point la menace jihadiste est encore mal perçue et mal comprise par ceux censés garantir la sécurité des citoyens de ce pays.
Donc on va pas se mentir, c’est pas un bouquin qui fait du bien, qui rassure et qui apaise. Mais le lire me parait essentiel pour mieux comprendre qui sont ces gens et de fait, avoir de meilleures armes pour les combattre. Bien sûr, se pose la question de savoir quoi faire de ceux qui sont radicalisés sans le moindre espoir de retour. David Thompson fait parler les jihadistes et tous sont d’accord pour dire que la « déradicalisation », c’est du bullshit, ça n’a aucune prise sur eux. Donc on fait quoi de ces gens dont le seul et unique but dans la vie est de mourir en commettant des meurtres sur des civils français, sur des enfants, au nom d’Allah ?
Mais au-delà de cette question, il faut se demander comment empêcher d’autres esprits de tomber dans ce piège religieux. Et pour ça, la société française doit changer du tout au tout. Il n’est plus possible de donner la sensation à des citoyens d’être de seconde zone, d’être des cibles, d’être des victimes ou des boucs-émissaires. L’égalité et la fraternité sont plus que jamais nécessaires pour que chacun, dans ce putain de pays, se sente enfin à sa place. Les jihadistes français sont les plus déterminés à mourir de tous les pays qui se retrouvent à l’EI. Ils sont ceux qui détestent le plus leur pays d’origine. Putain, si ça, ça fait pas réfléchir !
Ne laissons plus la religion voler les âmes de ces gens. Prenons en main notre destin, sauvons nos miches, et votons tout sauf la haine, le rejet, l’exclusion, le communautarisme, la xénophobie et le racisme. Par pitié !
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taekwondola-blog · 5 years ago
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Paris Taekwondo Académie Test de promotion 2020
Paris Taekwondo Académie Test de promotion« Adultes, Adolescents et Enfants »
Planning du Samedi 21 Mars 2020
(Tests de Promotion et d’évaluation Adultes)
Les inscriptions se font auprès et avec l’accord du corps enseignant.
Inscription Obligatoire Par SMS au : 06 62 49 18 96
Taekwondo – Paris 5
(Aucune Inscription sur place le jour même)
Les tests permettent de mesurer le degré d’implication personnelle d’un pratiquant (e) et d’évaluer la volonté et les efforts qu’il met en œuvre afin de progresser dans sa pratique du Taekwondo.
Important : Les candidats (e) postulants aux tests d’évaluation sont invités à se présenter au cours régulièrement participation fortement conseillée et appréciée.
Le système de Progression proposé pour les Adultes
Le système des tests de promotion et des tests d’évaluation pour les Adultes, Correspond au programme technique proposé par le centre mondial du Taekwondo. Il est structuré en «10 Keup» et « 9 Dan » avec 7 ceintures de couleur : Blanche ;  Jaune, verte, bleue, Marron, Rouge, noire du 1 au 9 Dan.
Le temps de formation entre chaque ceinture est fonction du niveau d’exigence requis. L’assiduité permet de se préparer au mieux : 2 à 3 cours par semaine sont nécessaires pour progresser de manière harmonieuse.
Le Système des tests de promotion et des tests de contrôle de niveaux au Paris Taekwondo ont lieu toutes les Trimestre (de septembre à juin).
Les résultats seront communiqués qu’après le test de promotion et en aucun avant.  Le temps entre chaque ceinture s’allonge en fonction du niveau d’exigence requis.
L’assiduité permet de se préparer au mieux car chaque leçon est utile 2 à 3 cours chaque semaine permettent de progresser de façon harmonieuse.
Les ceintures sont délivrées par le corps enseignant. Les thèmes et les critères de notation retenus pour les Tests de promotion et les Tests d’évaluation Adultes sont : la coordination, le regard, l’équilibre, la précision, le khiap, l’attitude. les aspects techniques :
Les Tests de promotion pour les Adultes abordent tous les aspects de la discipline à savoir : Thèmes abordés :
Techniques fondamentales Kibon
Formes Poomsae
Combat conventionnel yaksot kyeurougi
Techniques de combat réglementaire Kyeurougi
Technique de self-défense Hoshin-sul
Techniques de coup sur cible
Techniques de coup de pieds sauté
Les tests d’évaluations et de promotion ont lieu sous la direction de Maître Guy Friess 8 Dan de Taekwondo du centre mondial et Maître Byeon Kyeon-Suk 8 Dan de Taekwondo du centre mondial , Grand Maîtres Instructeur mondiaux, Professionnels et Haut Gradés du Centre Mondial, ils bénéficient de plus 25 années d’expérience en France et en Corée, et sont Experts diplômés d’état et codirigeant du Paris Taekwondo Académie.
Le système des tests de promotion et d’évaluation pour les enfants et les adolescents
« Progression du Taekwondo pour les Jeunes  (enfants et adolescent ».
Les tests permettent de mesurer le degré d’implication personnelle d’un pratiquant (e)  et d’évaluer la volonté et les efforts qu’il met en œuvre afin de progresser dans sa pratique du Taekwondo.
Il comprend 14 ceintures de couleur : Blanche, Blanche-jaune, Jaune, Jaune-verte, Verte, Verte-bleu, Bleu, Bleu-marron, Marron, Marron et rouge, Rouge, Rouge et noire. Le temps de formation entre chaque ceinture dépend du niveau d’exigence requis.
Les différents niveaux « Keup » et « les ceintures de couleurs sont délivrés par le corps enseignant ». Les résultats ne seront communiqués qu’après le test de promotion.
L’attribution des grades et ceintures est réglementée par le Centre mondial du Taekwondo en Corée, y compris pour les enfants. Il existe dix niveaux ou « Keup ».
Les Techniques fondamentales « Kibon » comprennent les Formes « Poomsae », le Combat conventionnel « yaksot kyeurougi », les Techniques de coup sur « cible », les Techniques de coups de pied « sautés », les Techniques de combat réglementaire « Kyeurougi » et le Vocabulaire, la « Terminologie ».
1. Techniques fondamentales Kibon
2. Formes Poomsae
3. Combat conventionnel yaksot kyeurougi
4. Techniques de combat réglementaire Kyeurougi
5. Technique de self-défense Hoshin-sul
6. Techniques de coup sur cible
7. Techniques de coups de pied sautés
C’est l’occasion de donner le meilleur de soi-même et de montrer sa motivation au jury.
Le système des tests de promotion et des tests d’évaluation pour les Adultes, Correspond au programme technique proposé par le centre mondial du Taekwondo. Il est structuré en «10 Keup» et « 9 Dan » avec 7 ceintures de couleur : Blanche ;  Jaune, verte, bleue, Marron, Rouge, noire du 1 au 9 Dan.
Le temps de formation entre chaque ceinture est fonction du niveau d’exigence requis.
L’assiduité permet de se préparer au mieux : 2 à 3 cours par semaine sont nécessaires pour progresser de manière harmonieuse.
Les ceintures sont délivrées par le corps enseignant. Les thèmes et les critères de notation retenus pour les Tests de promotion et les Tests d’évaluation Adultes sont : la coordination, le regard, l’équilibre, la précision, le khiap, l’attitude. les aspects techniques :
I- Les ceintures
Le temps de formation entre chaque ceinture dépend du niveau d’exigence requis.
Ces différents niveaux correspondent à 12 ceintures de couleur : Blanche, Blanche-jaune, Jaune, Jaune-verte, Verte, Verte-bleue, Bleue, Bleue-marron, Marron, Marron et rouge, Rouge, Rouge et noire.
Les âges mentionnés dans ce tableau n’indiquent pas une « obligation » d’obtenir telle ceinture à tel âge, mais un âge minimum pour atteindre le niveau requis.
Ce tableau commence à partir de l’âge de 5 ans et indique pour chaque ceinture l’âge minimum requis :
II – Les 10 premiers « keup » sont différenciés par 12 ceintures de couleur
Ceinture blanche à partir de 5 ans
Ceinture blanche rayure jaune à partir de 5 ans
Ceinture jaune à partir de 5 ans et demi
Ceinture jaune rayure verte à partir de 6 ans
Ceinture verte à partir de 6 ans et demi
Ceinture verte rayure bleue à partir de  7 ans
Ceinture bleue 7 ans et demi [âge minimum]
Ceinture bleu rayure marron à partir de 8 ans
Ceinture marron à partir de 8 ans et demi
Ceinture marron rayure rouge à partir de 9 ans
Ceinture rouge à partir de 9 ans et demi
Ceinture rouge rayure noire à partir de 10 ans
Par exemple la ceinture  IL Poum (noire et rouge) correspond à l’âge minimum d’un enfant de 11 ans, comme l’illustre le tableau récapitulatif suivant. III- Les 4 « poom » supérieurs enfant
Ceinture 1 poom  à partir de 11 ans
Ceinture 2 poom  à partir de 13 ans
Ceinture 3 poom  à partir de 15 ans
Ceinture 4 poom  à partir de 17 ans
Les niveaux supérieurs enfant comprennent 4 « poom».
Le système de Progression proposé pour les Adultes
Le système des tests de promotion et des tests d’évaluation pour les Adultes, Correspond au programme technique proposé par le centre mondial du Taekwondo. Il est structuré en «10 Keup» et « 9 Dan » avec 7 ceintures de couleur : Blanche ;  Jaune, verte, bleue, Marron, Rouge, noire du 1 au 9 Dan.
Le temps de formation entre chaque ceinture est fonction du niveau d’exigence requis. L’assiduité permet de se préparer au mieux : 2 à 3 cours par semaine sont nécessaires pour progresser de manière harmonieuse.
Le Système des tests de promotion et des tests de contrôle de niveaux au Paris Taekwondo ont lieu toutes les Trimestre (de septembre à juin).
Les résultats seront communiqués qu’après le test de promotion et en aucun avant.  Le temps entre chaque ceinture s’allonge en fonction du niveau d’exigence requis.
L’assiduité permet de se préparer au mieux car chaque leçon est utile 2 à 3 cours chaque semaine permettent de progresser de façon harmonieuse.
Les ceintures sont délivrées par le corps enseignant. Les thèmes et les critères de notation retenus pour les Tests de promotion et les Tests d’évaluation Adultes sont : la coordination, le regard, l’équilibre, la précision, le khiap, l’attitude. les aspects techniques :
Les Tests de promotion pour les Adultes abordent tous les aspects de la discipline à savoir : Thèmes abordés :
Techniques fondamentales Kibon
Formes Poomsae
Combat conventionnel yaksot kyeurougi
Techniques de combat réglementaire Kyeurougi
Technique de self-défense Hoshin-sul
Techniques de coup sur cible
Techniques de coup de pieds sauté
Permet à tous les adhérents du Paris Taekwondo de mesurer les progrès réels réalisés.L’attribution des grades et des ceintures est réglementée par le Centre mondial du Taekwondo pour les enfants et les adolescents comme pour les Adultes. Le Kukkiwon, dont le siège mondial est à Séoul en Corée du sud, délivre aux pratiquants des 209 pays qui lui sont affiliés des certificats dont le grade est mondialement reconnu, particulièrement prisés par les pratiquants (e) du monde entier, ces certificats sont obligatoires pour participer à des événements ou des championnats internationaux supervisés par la fédération mondial.
Taekwondo – Paris 15
Paris Taekwondo Académie Grand Angle et Zoom sur les Tests d’évaluations.
Chaque année les tests d’évaluation nous réservent de très bonnes surprises et d’excellentes prestations.
Ils rassemblent la majorité des membres du Paris Taekwondo Académie toutes catégories d’âges confondues. Un excellent tremplin pour valider les progrès réalisés.
Des grands moments de partage pour les adhérents qui ont donné le meilleur d’eux même.
Ils regroupent l’apprentissage des techniques fondamentales (kibon), les techniques défensives et offensives contenues dans les formes codifiées (Poomsae), le combat conventionnel (Yaksot Kyeurougi) et les techniques d’auto défense (Hosin-Sul).
« Au Paris Taekwondo le concept des  cours doit être tous simplement motivant, passionnant et intéressant notre objectif principal est partager notre passion » .
Le taekwondo, art martial coréen est une méthode de défense personnelle mais également une école de maîtrise de soi. Il est accessible à tous quels que soit l’âge (hommes, femmes et enfants). Le Taekwondo du centre mondial est pratiqué dans 209 pays dans le monde par 90 Millions de pratiquants.
Paris Taekwondo Académie Un art martial coréen pour toute la famille
Informations pratiques : Où, quand, comment pratiquer le Taekwondo à Paris :
Grand Angle et Zoom sur le Paris Taekwondo Académie labellisé par le centre mondial du Taekwondo
Le Paris Taekwondo Académie regroupe cinq Lieux de pratique situés en plein cœur de Paris situés en plein cœur de Paris 11, 5 et 15 arrondissements.
Paris Taekwondo Club N°1 à Paris : Cours Hommes et Femmes Enfants à partir de 5 ans
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utopiedujour · 5 years ago
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Comment les adolescents modifient les règles de l’information
Ce qui va impacter les medias, et la société. Pour le meilleur et pour le pire.
Le président du Salvador a tout compris.
En septembre, Nayib Bukele s’est exprimé durant une Assemblée générale de l’ONU et il soudain fait une pause dans son discours  pour prendre un selfie depuis le pupitre. “Croyez-moi, bien plus de gens verront ce selfie, une fois que je l’aurais mis en ligne, que de gens n’écouteront ce discours” a-t-il dit, avant d’ajouter : “J’espère que le selfie sera bien.”
Marianne Williamson, une candidate new-age qui se présente à la nomination des démocrates pour la présidentielle américaine, a tout compris elle aussi. Après un débat, en juillet, quand on lui a demandé s’il s’était bien passé, elle a répondu qu’elle ne le saurait vraiment que “plus tard, quand je verrais les mèmes [hashtags et autres mentions qui se propagent sur les réseaux sociaux, ndt]”.
Un autre petit candidat démocrate, Andrew Yang, est lui aussi dans la confidence. Son premier grand entretien avec un média a eu lieu au micro de Joe Rogan, un comédien rendu célèbre par Internet qui a 7  millions d’abonnés sur YouTube. Deux jours plus tard, l’interview avait été vue un million de fois. Andrew Yang dit que sa campagne est à deux temps : BR (before Rogan, avant Rogan) et AR (après Rogan).
Ces petits candidats politiques résument bien la façon dont les adolescents et les jeunes adultes consomment l’information de nos jours. Presque entièrement sur les réseaux sociaux. Presque entièrement sous forme audiovisuelle.
Et le contenu de l’information – par exemple “Le président fait un discours à l’ONU” – est moins important que son emballage. Il est souvent enveloppé d’humour ou de commentaire personnel. Ou bien, tout aussi fréquemment, il est transmis par des personnalités qui exercent une influence énorme sur les jeunes mais sont très peu connues de la population en général.
Ces principes sont vrais tout autour du monde, même si les modalités et les plateformes de diffusion diffèrent. De 2009 à 2018, le pourcentage d’adolescents qui lisent des journaux est passé de 60 % à 20 %, selon les chiffres du Programme for International Student Assessment (PISA), le mécanisme d’évaluation des 15-16 ans dans l’OCDE. Les jeunes Indiens ont deux fois moins de probabilités de consulter le site timesofindia.com (le plus important site d’information indien en langue anglaise) que les plus âgés. Ils sont aussi beaucoup plus attirés par les vidéos et par les potins de Bollywood. En Grande-Bretagne, les adolescents connaissent moins bien la BBC que YouTube ou Netflix.
Les chaînes publiques “vont être confrontées à des menaces sur leur survie à l’avenir si elles ne parviennent pas à toucher suffisamment les jeunes” a prévenu l’Ofcom, l’autorité britannique des médias.
80 % des jeunes du monde arabophone âgés de 18 à 24 ans s’informent désormais directement sur les réseaux sociaux : c’était 25 % en 2015.
Leur réseau préféré est Facebook, même si dans les pays du Golfe, et surtout en Arabie saoudite, ils sont captivés par Snapchat. Deux tiers des ados sud-coréens vont en ligne pour savoir ce qui se passe dans le monde, et sur ces deux tiers, 97 % se connectent directement à Naver, le portail et moteur de recherche dominant dans leur pays. Selon le Pew Research Centre, 95 % des ados américains ont accès à un smartphone et 45 % sont en ligne “à peu près constamment”. Une étude menée sur les adolescents américains et britanniques, commandée par le Reuters Institute for the Study of Journalism à Oxford, affirme qu’en matière d’information, les jeunes réagissent le plus à ce “qu’elle peut leur apporter en tant qu’individus, plutôt qu’à la société au sens large”.
Il est tentant de ne pas s’intéresser aux habitudes de consommation de l’information des adolescents. La plupart ne peuvent pas voter, leur pouvoir d’achat est limité et ils sont probablement incapables de placer le Salvador sur une carte. Ce dédain n’est pas justifié. Un tiers de l’humanité a moins de 20 ans. Plus de la moitié est maintenant connectée à Internet. Les jeunes sont le futur. C’est particulièrement vrai pour les médias, où leurs habitudes peuvent motiver des décisions à un milliard de dollars, comme l’achat d’Instagram par Facebook en 2012, et sa tentative, avortée, d’acheter Snapchat l’année suivante.
Les adolescents comprennent que la technologie leur donne un pouvoir disproportionné. La jeune activiste suédoise Greta Thunberg a lancé le mouvement mondial des “grèves de l’école pour le climat” qui touche désormais 150 pays. Des manifestations conduites par les étudiants, dont certains ne sont que lycéens, ont éclos tout autour du monde, du Chili à Hong Kong. Les politiques, les décideurs et les patrons des médias devraient y prêter attention : la façon dont l’information est faite, diffusée, consommée par les adolescents aujourd’hui détermine ce qui se passera dans leurs pays et leur secteur d’activité demain. Une ado de 13 ans a dit à la représentante du Congrès américain Alexandria Ocasio-Cortez : “Je n’ai pas encore l’âge de voter, mais je peux vous suivre sur Instagram !”
Pour mieux comprendre ce futur, observez l’Amérique. Son écosystème médiatique est le plus dynamique du monde, et c’est la patrie de la plupart des plateformes utilisées par les jeunes du monde entier, dont Instagram, WhatsApp, Facebook, YouTube et Snapchat. (TikTok, le phénomène que les plus jeunes adorent, est chinois et strictement nettoyé de tout contenu politique). Les médias américains ont beaucoup d’influence dans le monde entier, et sont très largement imités : le ‘New York Times’ s’enorgueillit d’avoir des lecteurs partout ; des sites tels que BuzzFeed ont inspiré des sites similaires, des “pièges à clics”, dans des dizaines de pays. De plus, le vocabulaire politique et culturel de l’Amérique est omniprésent. Un « mème » lancé en Amérique a une bonne probabilité de se répandre dans le monde entier.
L’arène de ces « mèmes » a changé. Depuis l’élection présidentielle de 2016 en Amérique, Facebook est sur la sellette pour son rôle dans la diffusion des informations. Mais pour beaucoup d’ados occidentaux, Facebook est de toute façon démodé. Il est réservé aux “vieux”. Peu fréquentent Twitter, qui joue un rôle disproportionné dans le journalisme et la politique pour l’unique raison que beaucoup d’abonnés sont journalistes ou politiques (dont Donald Trump). Ils ne s’intéressent pas non plus aux sites supposément orientés “jeunes” comme BuzzFeed. “Ce sont des adultes qui essaient de parler aux jeunes” tranche Victoria, 16 ans, qui vit dans le Kentucky. Les ados méprisent des réseaux sociaux qui, il y a seulement quelques années, étaient décrits comme “the next big thing”. Griffin, un ado de 16 ans qui vit dans la ville chinoise de Wuxi, pense que Jinri Toutiao (“Les titres du jour”), l’application d’information la plus populaire en Chine avec 120 millions d’utilisateurs chaque jour, est un piège à clics pour les adultes.
Ils ont migré vers Instagram (propriété de Facebook), WhatsApp (idem) et YouTube (propriété de Google), dont chacun compte plus qu’un milliard d’utilisateurs. (Snapchat est populaire en Amérique, mais moins ailleurs.) Selon l’Institut Pew, 85 % des ados américains utilisent YouTube ; plus de 70 % Instagram. Common Sense, une association américaine, a déterminé récemment que 69 % des ados américains regardent des vidéos en ligne chaque jour, la plupart du temps sur YouTube. Ils passent presque sept heures et demie par jour à fixer des écrans en tout genre.
Instagram est une destination plutôt inattendue pour ceux qui cherche à s’informer. Les utilisateurs postent des photos sur leur “fil”, en général de jolies photos. L’application n’autorise qu’un seul lien hypertexte par compte, situé dans la bio. Et elle ne propose pas de mécanisme pour republier et partager. Cependant, le lancement de ses “stories” en 2016, des images éphémères assorties de notes, a permis d’ajouter du texte à ce qui était un réseau de partage de photos. Les stories ont permis de partager et de republier, et ont dopé la croissance d’Instagram. Les stories permettent aussi à ceux qui ont plus de 10 000 abonnés de partager des liens vers d’autres contenus. C’est là que les utilisateurs ont convergé, et c’est là que ceux qui espèrent les influencer les ont suivis : publicitaires, marketeurs, politiques, prosélytes, et différents fauteurs de troubles sont tous maintenant empilés dans Instagram.
Prenez par exemple l’Amazonie. Fin août, tous ceux qui ont un compte Instagram, n’importe où dans le monde, savaient que “la forêt vierge de l’Amazonie, le poumon qui produit 20 % de l’oxygène de notre planète, brûle”. Ce sont les mots du président Emmanuel Macron dans un post publié sur Instagram le 22 août, qui a été liké par  200 000 personnes. Le même jour, le compte Instagram du ‘National Geographic’, le 11e compte le plus suivi sur Instagram (126 millions de followers), a posté des photos des incendies de forêt dans l’Amazonie. Comme Leonardo DiCaprio (38 millions d’abonnés), Prilly Latuconsina (une actrice indonésienne, 32 millions d’abonnés), et Malaika Arora (une mannequin indienne, 10 millions d’abonnés). Deux jours plus tard, la Nasa (51 millions d’abonnés) a jeté de l’huile sur cet incendie virtuel en publiant une photo satellite de l’Amazonie en feu.
Un cocktail détonant
Les photos de l’Amazonie en feu sont bien vite devenues incontournables, comme l’accusation envers les médias traditionnels de faire l’impasse sur cette catastrophe. “Je n’ai vu que ça pendant des semaines” se souvient Dylan, un lycéen de 17 ans de Lexington, dans le Kentucky. “Tout ce que je voyais sur l’Amazonie, je le partageais” ajoute Stacy, une Bostonienne de 15 ans. Des comptes sans scrupule ont tenté de profiter de ce désastre en lançant des appels aux dons, ou en promettant de planter un arbre pour chaque “like”. Les médias traditionnels du monde entier ont ensuite publié des articles, et certains ont démenti de fausses informations propagées sur Instagram, comme les “20 % de l’oxygène du monde” du président Macron. Dans des interviews conduites par ‘The Economist’ avec 24 adolescents vivant à Lexington et à Boston, tous ont cité spontanément les incendies en Amazonie. “Ils n’ont pas été beaucoup couverts” juge Olivia Seltzer, Californienne de 15 ans qui a lancé il y a deux ans ‘The Cramm’, une lettre d’information pour les adolescents dont le lien est publié sur Instagram et envoyé aux abonnés par mail ou texto. Ils se disent “très frustrés parce que ce genre d’information n’a pas d’échos. Beaucoup de jeunes prennent les devants et informent eux-mêmes les gens de leur âge.”
“Beaucoup de jeunes prennent les devants et informent eux-mêmes les gens de leur âge”
Les médias d’information nés sur Instagram se multiplient aussi. Ils ne couvrent pas uniquement des sujets sérieux. @nowthisnews (2 millions d’abonnés) combine du texte à de courtes vidéos et parle de tout, des manifestations politiques à Hong Kong à un chien né avec une queue sur la tête. (Il a aussi une page sur d’autres plateformes comme Facebook, Twitter et YouTube.) @houseofhighlights (15 millions d’abonnés) est consacré aux sports américains. En 2015, il a été racheté par Bleacher Report, un grand site d’informations sur le sport. Les deux dominent le “top 10” d’Instagram en matière d’engagement, mesuré par le nombre de likes et de commentaires cumulés, explique Axios, un autre site d’information. “Nous avons un net avantage, celui de n’avoir jamais essayé de prendre quelque chose qui fonctionne dans un média traditionnel et de l’avoir imposé de force dans le digital” dit Howard Mittman, le CEO de Bleacher Report. Certains concurrents, selon lui, sont comme “l’oncle divorcé qui a acheté la voiture décapotable à la mode mais dans la mauvaise couleur, et qui porte des vêtements chics qu’il ne met pas en valeur”.
Un autre média né sur Instagram et immensément populaire est @theshaderoom (17 millions d’abonnés), qui diffuse principalement des potins sur les célébrités (il a néanmoins parlé des incendies en Amazonie). TMZ fut pendant un temps le blog people de référence avec une couverture classique des stars. @theshaderoom renouvelle le genre sur les réseaux sociaux. Parfois, différents canaux se croisent. “Je regardais un post sur Cardi B – une chanteuse de rap, 56 millions de followers – et les commentaires disaient : ‘Pourquoi vous ne parlez pas de l’Amazonie ?’ ” se souvient Jaliyah, 15 ans, de Boston. Les jeunes sont “très compliqués dans la façon dont ils consomment l’information”, reconnaît Samhita Mukhopadhyay, rédactrice en chef du magazine américain ‘TeenVogue’. “Ils peuvent jongler entre Justin Bieber, pour savoir exactement ce qu’il fait, et Greta Thunberg, et ils iront à la manifestation pour le climat.”
“Les jeunes sont “très compliqués dans la façon dont ils consomment l’information. Ils peuvent jongler entre Justin Bieber, pour savoir exactement ce qu’il fait, et Greta Thunberg, et ils iront à la manifestation pour le climat”
Dans le monde arabophone, les ‘mèmes’ sont des caricatures ou des captures d’écran de vieux films, pour se moquer de la politique. Ailleurs, des milliers de comptes ont changé leur photo de profil cet été et sont passés à un carré bleu profond ou rouge vif. Le premier était destiné à informer sur les manifestations au Soudan. Le deuxième sur celle du Kashmir indien. “Le cyber-activisme est devenu l’un des moyens les plus faciles pour être vu comme cool” reconnaît Sadie, de Lexington. Il n’est pas rare de faire défiler les photos d’instagram et de passer d’un clip sur le divorce d’une célébrité à une manifestation dans un coin perdu de la planète en l’espace de quelques secondes. Cet étrange cocktail de célébrités, de politique et d’activisme est une autre caractéristique de l’information à l’ère des réseaux sociaux : les “nouvelles” n’arrivent plus ou pas seulement par les comptes et supports dédiés au journalisme. Elles peuvent être n’importe quoi, un mème, l’opinion d’une star d’Internet comme PewDiePie, le youtubeur le plus influent au monde. Il met en ligne principalement des vidéos comiques sur les jeux vidéo et la culture internet. Pendant cinq ans, il a eu le plus grand nombre de followers sur YouTube, avant d’être dépassé par t-Series, un label de musique indien, en avril 2019. Il reste deuxième, avec ses 102 millions d’abonnés. La diffusion agrégée des journaux en papier et de la diffusion en ligne de chaque quotidien publié en Amérique atteint environ 30 millions de personnes. Daksha, 13 ans, dans le Kentucky, passe son temps à créer des mèmes et à les déposer sur le portail Reddit, dans un groupe dédié à PewDiePie. Elle recherche la “satisfaction que Lord PewDiePie en personne réagisse” sur sa chaîne.
Des millions d’abonnés
Sarah, 16 ans, du Kentucky, dit que “tous les garçons qui participent au club de débats du lycée adorent Ben Shapiro”, un conservateur grand producteur de controverses, suivi par 876 000 abonnés sur YouTube. En Allemagne, un autre youtubeur du nom de Rezo (1,16 million d’abonnés) est devenu viral depuis qu’il a diffusé sa diatribe contre les riches et les vieux, et surtout le parti d’Angela Merkel, les chrétiens-démocrates. Felipe Neto, youtubeur au Brésil (35 millions d’abonnés) gagne 30 millions de reais par an (7,5 millions de dollars). Il a débuté par des blagues pour les adolescents, puis est devenu un critique féroce du président Jair Bolsonaro. En septembre, il a fait les gros titres pour avoir distribué 14 000 livres ‘gay-friendly’ au salon du livre de Rio de Janeiro, pour répondre au maire évangéliste de la ville qui avait censuré un roman graphique comportant un héros gay. Bref, les adolescents s’informent auprès d’autres jeunes qui partagent en grande partie leurs opinions personnelles et sont à peine mieux informés qu’eux.
“Bref, les adolescents s’informent auprès d’autres jeunes qui partagent en grande partie leurs opinions personnelles et sont à peine mieux informés qu’eux”
Selon les mots de M. Mittman, les ados consommateurs d’informations recherchent “un niveau d’authenticité qui leur permet de savoir qu’on leur parle à eux”. D’autres disent s’informer en regardant les émissions satiriques de fin de soirée, comme celles de Trevor Noah ou Stephen Colbert, ou d’humoristes comme Hasan Minhaj, dont les sketches sont très regardés sur Netflix. Les personnalités remplacent les médias. “Je trouve que c’est ennuyeux quand c’est un article. Mais si c’est une vidéo, ça devient super intéressant” explique Dioneilys, 16 ans, à Boston.
Ce qui ouvre la porte aux extrémismes et à la désinformation. Les posts sur les incendies en Amazonie de l’été étaient bourrés d’erreurs. Les personnalités comme PewDiePie, ainsi que d’autres youtubeurs, sont régulièrement accusés de faire des commentaires extrémistes ou des blagues de mauvais goût. Les ‘mèmes’ ont souvent peu de liens avec les faits. Beaucoup d’ados disent en être conscients, mais l’origine douteuse des informations qu’ils reçoivent ne les inquiète pas. La pure répétition suffit à en convaincre certains. “Je ne crois rien de ce que je lis sur les réseaux sociaux, à moins que ça soit redit sans cesse, alors, peut-être…” dit Jaliyah de Boston.  D’autres acceptent l’information comme vraie si elle émane de comptes vérifiés. Mais beaucoup lui font confiance à la simple condition qu’elle provienne de leurs amis.
Les ‘mèmes’ont souvent peu de liens avec les faits. Beaucoup d’ados disent en être conscients, mais l’origine douteuse des informations qu’ils reçoivent ne les inquiète pas. La pure répétition suffit à en convaincre certains
Beaucoup de Brésiliens “croient immédiatement dans l’authenticité d’un message audio envoyé via WhatsApp par quelqu’un qu’ils connaissent”, alors qu’ils traitent avec méfiance des révélations exclusives fournies par ‘Folha de S. Paulo’, le grand quotidien brésilien, dit Joel Pinheiro da Fonseca, un éditorialiste de 34 ans employé par ce journal. Quand il s’est aperçu que peu de jeunes lisaient ses chroniques (ou les autres pages du journal, d’ailleurs) M. Pinheiro a lancé une chaîne sur YouTube. Les commentaires de ses fans sur sa tignasse ou sur la déco de sa maison sont aussi nombreux que ceux sur ses analyses politiques. “Ils trouvent que la qualité rudimentaire de ma chaîne la rend plus authentique. Les jeunes veulent établir une relation directe avec leurs sources d’informations.”
Une conséquence de cette dépendance aux personnalités est que les plateformes sur lesquelles elles apparaissent, et non leurs publications, deviennent l’origine de l’information. “Quand votre point de départ est sur les réseaux sociaux – WhatsApp, Instagram, peu importe – votre loyauté envers n’importe quel éditeur de presse est bien plus basse” admet Satyan Gajwani, qui dirige le service numérique du groupe Times, le plus important groupe de médias en Inde. Plus d’un demi-milliard de personnes consultent chaque mois l’une de ses publications numériques ; plus de 100 millions le font au quotidien. “Comment construire assez de confiance pour qu’ils deviennent loyaux à la marque ?” demande-t-il. Manvi, 15 ans, qui vit à Delhi, illustre ses préoccupations. Sa famille est abonnée à deux quotidiens du Times Group, mais en ligne, elle lit “ce qui se présente quand j’ouvre Chrome sur mon téléphone”. Quand on lui demande d’où viennent les informations, elle répond : “je n’en sais rien du tout”.
“Une conséquence de cette dépendance aux personnalités est que les plateformes sur lesquelles elles apparaissent, et non leurs publications, deviennent l’origine de l’information”
Un rapport de l’Ofcom souligne que “quand les lecteurs consomment l’information de cette façon, leur engagement est en général éphémère”. De plus, “ils sont moins susceptibles de connaître la source d’un contenu informatif. Certains parmi les plus jeunes participants à notre étude n’avaient pas de lien étroit avec la BBC, la considérant comme un fournisseur d’informations en ligne parmi tant d’autres.”
Obsolescence médiatique
Pour les entreprises, le contexte présente à la fois des opportunités et des problèmes. Des jeunes pousses comme @houseofhighlights et @theshaderoom sont imitées dans le monde entier. Les médias classiques comme la BBC, le Times Group en Inde, ou Turner en Amérique, qui possède le site Bleacher Report, vont être contraints de s’y intéresser et de procéder à des acquisitions pour rester pertinents. Le grand risque est qu’ils pourraient le faire tout en continuant à décliner, étant donné que la confiance dans les grands médias s’évapore. Quoi qu’il advienne, les jeunes continueront à passer un temps énorme en ligne. “Les réseaux sociaux gouvernent tous les aspects de notre vie en fait” reconnaît Stacy, 15 ans, de Boston.
“Pour la société, c’est plus inquiétant. Les youtubeurs ou les instagrameurs ne signent aucune charte de déontologie, et ne sont pas intéressés par les pratiques journalistiques traditionnelles, l’objectivité, l’impartialité. Leurs motivations ne sont pas handicapées par des notions vieillottes de bien commun”
Ce qui donne à ces insurgés de l’information un pouvoir colossal. Les gouvernements, les institutions ne peuvent pas les faire disparaître. Certains semblent d’ailleurs penser qu’ils n’ont pas d’autre choix que de se jeter dans la mêlée. Durant son discours à l’ONU, le président Bukele l’a reconnu : “Nous ne sommes peut-être pas prêts à l’accepter, et nous pourrions nous rebeller contre ça, mais l’Internet devient toujours plus le monde réel”.
The Economist
© 2020 The Economist Newspaper Limited. All rights reserved. Source The Economist, traduction Le nouvel Economiste, publié sous licence. L’article en version originale : www.economist.com.
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