#une petite anecdote comme ça
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très marrant le petit message d'alexandre juste avant le ciné-concert pour nous demander de respecter les règles et pas être des gros cons pendant le spectacle
c'est d'autant plus marrant quand on sait comment s'est passé le tout premier ciné-concert kv1 à lyon et comment il a pété un câble parce que des blaireaux placés devant la régie s'amusaient pendant toute la séance à passer leur main devant le projo pour faire des ombres chinoises sur l'écran 💀
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Frenchvedev!
"moi, chui quelqu'un qui réagit à ce qui se passe, parfois dans le négatif, parfois dans le positif"
"on va voir comment ça se passe cette année... il y des jours ou il y a tout le stade pour moi, il y a des jours ou il y a tout le stade contre - ouais, les français ils sont durs à - comme vous dites - à séduire"
"c'est des émotions, un jour on t'aime un jour on t'aime pas"
"ben on aime bien... next gen, old gen, moi, chui mi-gen"
"j'ai plus le même feu de jeunesse, quand on monte, on vient de rentrer dans les 100, dans les 10, je suis plutôt là à progresser, à garder cet feu"
"le service [de Giovanni Mpetshi Perricard] m'inspire, c'est vrai. C'est marrant parce que déja... on s'entrainait quand il, je ne sais pas quelle place il avait, mais autor de 500-600 et ouais, c'était dûr de le retourner déja!"
et il termine par la petite anecdote en racontant que Karen s'entrainait avec GMP lors des US Open et avait décidé de rentrer dans le terrain un peu plus pour les entraînements à la deuxième balle, puis était assez choqué par les "missiles" qu'il recevait - et GMP qui lui explicait calmement qu'il avait bien réduit la vitesse de service de 10 km/h 😂
#i saw he had done a new interview in french and immediately had to look it up#yeah some small mistakes here and there but how is he soooo french in the way he talks sometimes it's amazing!#daniil medvedev#tennis#paris masters 2024#france.tv interview#danya interview#my screenshots
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ce que j'ai oublié de dire de ce week-end c'est que j'ai encore pleuré à cause des mêmes trucs bourrée dans la salle de bain avec elyas, après avoir vomi je lui ai dit que je buvais trop mais que j'essayais d'arrêter (pas de boire mais de boire trop régulièrement pour supporter la journée) et de là je lui ai raconté plein de trucs je lui ai dit pourquoi je me mettais dans cet état lamentable selon moi, que je pouvais plus me voir aussi, que j'avais du mal à trouver ma place dans cette famille en repensant notamment aux dernières réflexions de mon grand-père qui ont accentué le fait que je ne peux plus me voir, il m'a dit que je cachais bien mes émotions mais qu'il avait vu que ça n'allait pas toute cette journée, je lui ai parlé des évènements récents et plus anciens qui me gâchent la vie, lui aussi m'a parlé du même sujet, de ce qu'il a vécu qui rejoint beaucoup de mes expériences bien qu'il m'ait dit qu'il ne ressentait pas les choses de la même manière et que ça ne l'avait pas marqué comme ça a pu me le faire, puis de là on a encore parlé de ma sœur car je crois que j'avais fait le lien entre ma réaction à certaines choses et la manière dont ma sœur m'a toujours traité, j'en avais déjà parlé avec Y la semaine dernière pour je ne sais plus quelle raison, je lui avais dit des trucs que je ne dis jamais et il m'avait répondu quelque chose genre « désolé mais ta sœur c'est une vieille meuf » puis qu'il comprenait mieux beaucoup de mes réactions et de mes ressentis enfin qu'il me comprenait beaucoup mieux tout court à la lumière de ces quelques trucs, là elyas m'a dit genre « elle n'est pas toxique mais elle est carrément égocentrique » puis qu'il avait vécu des relations tellement toxiques que ses comportements c'était en quelque sorte du pipi de chat pour lui même si ça l'affecte quand même et ça m'a fait tellement de bien de parler de tout ça avec lui, tout comme à lui qui m'a envoyé un message dans lequel il a écrit que ça lui avait fait du bien de parler de certains choses et qu'on partage des ressentis en commun sur la vie ou à propos de ma sœur, qu'il se sentait plus compris et tout mais malgré tout le bien que ces deux discussions ont pu me faire ça recommence à trop tourner en boucle dans ma tête je fais de nouveaux liens et je suis fatiguée d'avoir grandi avec une sœur qui prend toute la place qui n'écoute pas les autres, qui ne pense qu'à elle, qui m'a fait vivre beaucoup de choses méchantes qu'elle aime bien raconter comme si c'était des anecdotes drôles qui ne m'avaient pas profondément traumatisé et je suis fatiguée de me dire que beaucoup de ma personnalité découle du fait que j'ai toujours du arrondir les angles avec elle depuis toute petite, que si tout le monde a toujours dit à nos parents c'est fabuleux vos filles ne se disputent jamais et s'entendent tellement bien c'est parce que je faisais tout (et je le fais encore?) pour ne pas qu'il y ait de disputes, que j'ai appris trop petite que ce que je voulais et que mes émotions ne comptaient pas tant que ça par rapport aux siennes (et à celles des autres par la même occasion) que si je voulais qu'on m'aime et que j'ai de l'attention il fallait que je fasse abstraction de ce que je voulais moi, puis qu'il y avait toujours plus intéressant que moi d'ailleurs et tout plein d'autres choses qui me font penser que oui si j'ai des parents à peu près convenables j'ai quand même douillé sévère avec ma sœur et que ça continuera puisque comme m'a dit ma mamie cet été « c'est trop tard tu as mal éduqué ta sœur » (oui c'est ma faute du coup apparemment d'avoir voulu que ma grand sœur m'aime autant que je l'aime et qu'elle en ai profité pour prendre le dessus sur moi)
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Je repense à la fois, ça devait être début mai, (j'étais vraiment en pleine addiction active depuis au moins 3 ans, suite à une rechute) [=une bonne petite popote de coke, speed, hallucinogènes en veux-tu en voilà, K and k-holes et de l'alcool tous les jours, bcp d'alcool, des trous de mémoire plusieurs fois par semaine, des afters, des paranoias, des états tellement pathétiques (et psychotiques), un sentiment de honte extrême et de dégoût persistant, des insomnies, 3 accidents de la route en moins d'un an etc. Honnêtement, ça me rend triste d'écrire tout ça. La loose, ou devrais-je plutôt dire, la souffrance maximale], je m'étais retrouvée à une after après une rave. Sans faire exprès, je me suis enfermée dehors, dans la rue. Je sonnais à la porte mais personne n'ouvrait. J'ai donc décidé d'appeler mon "pote" qui, je le savais, était à l'intérieur. Il était déjà 7h du mat' passé voire plus, mais voilà, tu veux pas que la fête s'arrête. Il ne m'a pas répondu alors je lui ai laissé un message vocal (un message vocal d'une personne extrêmement défoncée qui était en train de se droguer et de faire la fête depuis plus de 24h++ alright). Il y avait un gars dehors avec moi, il était dans la même situation. Il avait l'air sympa et mignon (tout le monde a l'air sympa et mignon quand t'es defoncey....). On est rentré chez moi ensemble. Au fond, ca m'arrangeait car j'étais dans un état déplorable. Je ne voyais plus grand chose et j'avais du mal à marcher. (....). Bref. Il y a quelques semaines, je suis allée au musée un dimanche de bonne heure et j'y ai croisé mon ancien avocat (une autre longue histoire). J'avais tellement pas envie de le voir, j'ai même essayé de l'éviter mais évidemment on a fait un face à face. Il m'a dit "très drôle en tout cas le message vocal que tu (oui, il me tutoie le mec) m'as laissé l'autre jour!" Wow. Vous auriez dû voir ma tronche. J'avais pas réalisé que mon pote et mon avocat avait le même prénom. Trop la gêne..... Cette anecdote est à la limite (à la limite einh) légère, risible mais en fait non. Je ne veux plus être un clown, je ne veux plus qu'on prenne avantage de moi, je ne veux plus dépendre de rien, ni de personne. J'ai au moins 1000 anecdotes comme celle-ci, des versions plus dangereuse, plus triste, plus gênante, plus horrible. Je ne veux plus vivre tout ça, c'est fini. C'est fini. C'est tout. La sobriété, c'est avoir les idées plus claires mais c'est surtout un vrai travail d'introspection, laborieux et lourd, pénible et épuisant. C'est se souvenir de plein de choses, des choses parfois si profondes et ancrées dans le subconscient que je me dis "ah ouais... je comprends pourquoi j'avais besoin d'étouffer tout ça, ma pauvre" , et je me dis ça avec beaucoup d'empathie et d'amour (du moins, j'essaye)
#my chemical romance#addiction#cestpasjoli#exposure therapy#mental illness#introspection#alcoholism#Ça va aller#I am t r y i n g
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts...
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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Il a précisé que les environs l'appelaient Green Eyes. C'est vrai que ses yeux étaient joliment verts, je ne l'aurais pas cru. Je ne regarde pas assez les yeux des êtres...
Ma tête allait dans plusieurs directions. Je ne voulais pas être de ceux qui rejettent les êtres survivant à l'extérieur, par peur ou par dégoût, ou par les deux, comme le critiquent des films mainstreams. Néanmoins, je ne voulais pas être de ces jeunes gens aisés et innocents qui se font tromper, justement parce qu'ils ne voulaient pas être de ceux qui rejettent les moins aisés et innocents sans raison.
Puis, les yeux verts de Green Eyes s'étaient attardés sur mes affaires lorsqu'il ouvra la conversation, et celle-ci était curieusement focalisée sur mon entourage sain et ma vie qui s'écoulait sans difficultés financières. Lorsqu'il s'écria que je pourrais filmer sa vie, suite à ma confession sur mon temps cinématographique, je perdis mon humanité et lui dis que j'aimais la tranquillité et la solitude.
Il cria alors à Beauty de s'approcher. Il fit les présentations. Elle allait comme moi à la Nouvelle Orléans. Elle pensait que je m'appelais Sugar. Son regard me fit sentir tel un joli petit éclair à la vanille. Quelle dégoûtante sensation. Un guest à l'auberge à Montréal me l'avait déjà offerte, mais il avait été plus doux dans son approche.
Je crus pertinent de répliquer que je m'appelais plutôt Salt. Elle n'eut pas l'air de comprendre. Green Eyes, n'en parlons pas. Soudain, une frayeur me traversa. Et si c'était un jeu d'équipe ? L'un détournerait ma conscience tandis que l'autre filerait avec mes choses. Ça m'était arrivé en France. L'on avait résisté ce jour-là.
Mon apparence se fit donc contrariée. Beauty partit, je ne sais même plus comment. Green Eyes admit alors qu'il manquait d'argent. 1$ contre le retour de la tranquillité était embêtant mais, d'un autre côté, il y avait du temps avant que le bus ne démarre, et il me semblait qu'il n'y avait pas qu'un seul Green Eyes dans les environs. J'espérais donc acquérir une tranquillité totale dans le quartier avec le dollar.
Je partis quand-même marcher. Green Eyes pourrait être insatisfait, ou passer le mot à d'autres Green Eyes. Il plut néanmoins. De plus, entrer dans l'établissement où je pensais qu'était entrée la passagère sympathique d'Allemagne m'intéressait. Le rejet et la vulnérabilité me bloquaient néanmoins. C'était d'ailleurs pour ça que je m'étais mis à marcher, et en partie pour ça que je m'étais initialement assis loin de tout le monde, à l'ombre et à proximité de Green Eyes.
J'entrai dans l'établissement. Pas d'Allemande. Pas de toilettes. Pas de WiFi. Pas de coca. Je m'apprêtais à rester mais la vendeuse m'épargna en évoquant les toilettes du restaurant japonnais à côté. Il y eut à nouveau plusieurs chemins dans ma tête. l'Allemande était sûrement à l'intérieur mais c'était un restaurant, qui plus est Japonnais, et je ne souhaitais acquérir rien de plus qu'un coca. 1 dollar contre la solitude ça faisait déjà beaucoup. Enfin, pour un être bousculé par la peur du rejet et de la vulnérabilité, la démarche complète commençait à être gênante.
Mais l'extérieur était mouillé, l'attente encore importante et les Green Eyes peut-être toujours ambitieux. Puis fuck it, pourquoi pas vaincre ses peurs.
Malgré le peu de lumière, et le bois et le plastique isolant chaque table, je compris que l'Allemande n'était pas là. Fuck. Les employés du lieu de restauration japonaise, qui semblaient être beaucoup de choses si ce n'est Japonais, eurent de la difficulté à gérer mon cas particulier. L'on me donna une table et mon coca, mais l'on vint régulièrement s'assurer que je ne voulais pas plus que le sombre liquide gazeux, que je ne voulais pas plutôt de la nourriture japonaise, et, tout aussi régulièrement, que j'étais sûr que j'étais alright. Je commençais à me le demander.
L'une des attaquants fut finalement amicale. Elle me demanda de quoi parlait le livre que je lisais. Je me perdis en anecdotes, pour finalement admettre que je ne savais pas trop, comme je n'étais qu'au début. Elle revint et, fuck, j'aurais juré qu'elle se montrait taquine. Je commençais à être un être humain comblé quand me vint la pensée qu'elle ambitionnait peut-être un pourboire coquin. Fuck, d'abord Green Eyes puis ça.
Je crois que ça m'était déjà arrivé en Grèce. Une serveuse s'était montrée amicale et, alors que je m'apprêtais à tomber amoureux, papa affirma qu'elle voulait de l'argent. De plus, concernant la serveuse du restaurant japonnais, j'eus l'impression qu'elle était déjà venue à bout du client précédent. Elle parut surprise du pourboire qu'il lui laissa.
Qu'à cela ne tienne, j'avais failli perdre la vie, donc un peu de chaleur humaine, même payante, était la bienvenue. Mentalement prêt à être généreux, je lui annonçai que j'étais prêt à payer. Elle me répondit que ce n'était pas la peine... La gratuité est une sensation confortable, elle allège le corps et déploie le sourire.
Beauty était bien dans le bus pour la Nouvelle Orléans. Green Eyes n'avait pas menti. Et la personne d'Allemagne avait un siège assigné à côté du mien. Elle aussi avait vécu très jeune dans une famille d'accueil étrangère pendant une année, au Texas la concernant. Presque pour la première fois de mon temps, presque 10 ans après Sydney, je pus en parler.
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La Lionne
Texte de Pauline Laroche-Vachaud
« La Lionne », à Trept, c’est un nom qui sonne comme une véritable institution, un haut lieu, un cœur encore vivant, au fond, même si ce qu’avaient été ses murs accueille désormais bien d’autres gestes et des mondes tout autres... Entre « La Lionne » où, souvent, 10 heures par jour et 6 jours par semaine quelques 80 ouvrières pouvaient suer à produire 1500 voire 2000 chemises quotidiennes et, désormais, « la Salle des Roches », ouverte aux divers loisirs que nous avons le temps de nous offrir aujourd’hui, rien à faire, la parenté est difficile à trouver. L’usine n’est plus ; elle a fermé à la fin des années 80, après un demi-siècle d’évolution, de modernisation, d’extension et d’honnête pain lourdement gagné.
On aimerait qu’existe un livre qui fasse revivre la vie de ces murs quand tant de femmes s’échinaient aux poignets, aux cols, aux manches, aux boutonnières et aux ourlets, assembler, rabattre, fermer, monter, pointer, finir, plier… On voudrait entendre des anecdotes, rendre un peu de voix, de chair…
On pense pour commencer aux guimpières car, avant l’ouverture de « La Lionne » elle-même, c’étaient elles les tenantes du lieu, elles dont les tâches visaient à enrouler, en bobines éblouissantes, la magie et la splendeur de la tréfilerie, ces fameux fils de faux-or lamés, à un fil de coton ou de soie.
Dans quel but? pour que dans d’autres ateliers, par d’autres ouvrières - une étape, puis une autre -, finissent par s’enluminer les costumes d’apparat, les beaux vêtements de mode, les habits des grands jours. Et que ça brille ! On voudrait aussi, évidemment, entendre ces fameuses chemisières qui, plus discrètes que les tailleurs, moins immédiatement symboles de la vie du village, de son essor, de son savoir-faire, n’ont pourtant rien à envier aux fiers et nombreux carriers. Les chemises conçues par ces femmes étaient bien vendues, pour certaines, à Pierre Cardin, Paco Rabanne, Charles Jourdan… Le prestige est-il moins grand que celui des pierres treptoises composant le Pont Alexandre III, à Paris, ou les piliers d’entrée du Parc de la tête d’or ? Autres usages, autres gloires, mais une excellence qui circule, et loin. Ce n’est pas rien.
On voudrait écouter leurs histoires, les relayer. Tant de petites mains talentueuses, sans tambours ni trompettes, scrupuleuses, précises, tenues à des réalisations impeccables - parfaitement symétriques ou rien, parfaitement régulières ou rien, parfaitement fidèles au modèle ou rien ! La moindre erreur, aussi infime fût-elle, et il n’y avait plus qu’à reprendre l’ouvrage. On voudrait entendre les rires, les blagues, les soupirs, les ragots les espoirs, les lassitudes, les fatigues immenses, les fiertés et les douleurs…
« La Lionne », rien que ce nom, comme trempé d’or et d’acier, semble le signe d’une élégance intraitable…. Le travail, lui, était-il féroce, vorace ? Les jeunes femmes ne faisaient-elle que passer, le temps de trouver un mari et de voler vers d’autres horizons ? Souvent, semble-t-il, mais pas toujours. Certaines dames s’y engagèrent à vie… Quels bruits, associés à quels gestes, quelles machines habitaient ce lieu comme un orchestre perpétuel, horloge suisse aux rendez-vous inébranlables : 7h30-12h/12h45-16h15. (Horaires extensibles à volonté, bien sûr, puisque le paiement à la pièce poussait à rester.) Un jour de neige, une employée, venant de Passins à vélo, eut 15 minutes de retard. Vertement tancée. La production n’attend pas, ne pardonne pas. « Exemple réussi de complète décentralisation », trouve-t-on dans la presse des années 60. Il semble que les ouvriers du textile lyonnais étaient trop chers, trop réactifs sans doute aussi. Alors l’idée de la campagne avait gagné. Hommes et femmes portant différemment la colère et la pénibilité du travail, peut-être, ouvriers et ouvrières moins chers payés, mais pas moins doués. Les archives de l’usine ont toutes disparu à la mort des époux Besse, qui menèrent le lieu comme leur deuxième maison, durant presque 30 ans. Les photos qui restaient ont pris l’eau dans une cave. Il ne reste plus d’écrits, plus d’images, ou très peu. Il vit cependant, encore, quelques souvenirs. Et ils mériteraient bien un livre.
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FIVES-VOICES LOVE
Chapitre 2
Après deux heures d’anglais, la sonnerie retentit, annonçant l’heure de la pause. Enid se dirigea vers la petite cafétéria du lycée, où elle se servit un café et prit quelques en-cas. Le lieu était animé, mais calme, rempli d’étudiants profitant de cette pause pour bavarder ou simplement se détendre.
Non loin de là, les garçons s’étaient installés sur les fauteuils près des grandes fenêtres, un coin tranquille où ils avaient l’habitude de se retrouver. Zayn, regardant Enid de loin, brisa le silence.
« Elle a l’air plutôt timide », dit-il en passant distraitement une main dans ses cheveux.
Harry ne put s’empêcher de sourire et lança un regard malicieux à Niall avant de lui pincer les joues. « Un peu comme toi, l’Irlandais ! » plaisanta-t-il.
Niall, un peu gêné, se redressa en ajustant son pull. « C’est vrai qu’elle est mignonne », marmonna-t-il, le regard perdu dans la direction d’Enid, qui se tenait près du comptoir de la cafétéria.
Liam hocha la tête d’un air décidé. « On devrait l’intégrer à notre groupe, ça ne peut que lui faire du bien. »
« Je vais la chercher ! » lança Harry en se levant d’un bond, déterminé à faire le premier pas. Mais il eut à peine le temps de se redresser que deux filles s’approchèrent d’Enid.
« Salut ! Moi, c’est Lottie, et elle, c’est Safaa ! » dit l’une d’elles avec un sourire éclatant. Les garçons échangèrent un regard amusé : Lottie et Safaa n’étaient autres que les petites sœurs de Louis et Zayn, en première année, et elles semblaient bien décidées à accueillir Enid avant qu’eux ne puissent le faire.
Harry soupira et se laissa retomber sur le fauteuil, visiblement déçu. « Bon… on ira lui parler à midi », dit-il en souriant, essayant de cacher sa frustration.
Louis, riant de bon cœur, ajouta : « Elles ont l’air d’avoir pris les devants pour nous. »
« Comment va ta sœur, Gemma ? » demanda Louis à Harry, curieux.
Harry sourit légèrement avant de répondre. « Elle est à l’université, et elle sort avec un gars qui s’appelle Ashton. Elle a l’air super heureuse ! »
Louis hocha la tête, un sourire complice aux lèvres. « Tant mieux pour elle, alors. »
Pendant ce temps, Enid sirotait son café, un sourire aux lèvres en écoutant les blagues de Safaa et de Lottie, qui tentaient de la faire rire et de lui raconter quelques anecdotes amusantes sur le lycée. Elles semblaient déjà bien s’entendre, et Enid se sentait peu à peu plus à l’aise.
Madame Doherty, la directrice, s’approcha d’Enid et posa doucement une main sur son épaule, attirant son attention.
« Tes parents sont venus ce matin pour signer les derniers papiers d’inscription, et ils ont apporté tes affaires », dit-elle avec un sourire chaleureux. « Ce soir, on t’installe dans ta chambre ! »
Enid sourit timidement, touchée par l’enthousiasme de la directrice, qui semblait réellement soucieuse de l’accueillir dans les meilleures conditions.
Avant de repartir, Madame Doherty tendit une feuille à Enid. « Est-ce que tu pourrais remettre ce document à Niall ? Il doit passer au secrétariat pour compléter quelques formalités. »
Enid s’approcha timidement du groupe, un léger sourire aux lèvres. « Euh... Niall, Madame Doherty m’a demandé de te donner ce document », dit-elle en tendant le papier.
Niall releva la tête, un peu surpris, et prit le document. « Ah, oui, c’est pour que je puisse intégrer l’internat. J’habite plus loin du lycée que les autres », expliqua-t-il en souriant, légèrement embarrassé. Leurs doigts se frôlèrent par accident, et Niall sentit un léger frisson lui parcourir la main, ce qui le fit sourire timidement.
Liam, observant la scène, ressentit un élan de curiosité et d’envie. Il avait envie de parler à Enid, de la connaître davantage, mais quelque chose en lui lui soufflait qu’il n’était pas le seul à penser ainsi. Il se demandait si cette compétition naissante pour attirer son attention n’allait pas compliquer les choses entre eux tous.
Quand la pause prit fin, ils se dirigèrent vers leur cours de chimie avec Monsieur Peterson. Enid, nouvelle dans la classe, semblait hésiter, ne sachant pas où s’asseoir. Liam, repérant son hésitation, lui fit signe. « Enid ! Viens, je n’ai pas de partenaire », lança-t-il avec un sourire.
Elle s’avança vers lui et s’assit à ses côtés, un peu rassurée. Au fond de la classe, Zayn observait la scène, une expression indéchiffrable dans les yeux, comme s’il n’était pas tout à fait à l’aise avec cette proximité soudaine entre Liam et Enid.
Liam, cherchant un moyen de briser la glace, complimenta Enid. « J’adore tes mèches violettes », dit-il en souriant tout en effleurant doucement ses cheveux. « Le violet, c’est ma couleur préférée ! »
Enid sourit, sortant un stylo de son sac. « C’est vrai ? Moi aussi ! » répondit-elle en riant.
Les deux échangèrent un regard complice et éclatèrent de rire ensemble. Pendant ce temps, Harry, assis à côté de Zayn, remarqua son expression sombre et lança un coup d’œil à Louis, murmurant discrètement : « Regarde Zayn... »
Louis suivit son regard et remarqua à son tour la lueur de rivalité dans les yeux de Zayn, une émotion qu’il n’avait pas l’habitude de voir chez son ami.
#one direction#france#fanfiction#liam payne#niall horan#harry styles#louis tomlinson#zayn malik#Spotify
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20 avril
pendant qu'on mangeait des lasagnes aux blettes l. nous racontait ses souvenirs d'enfance au bord de la pétrusse, la maison de sa tante avait une porte secrète à la cave qui menait dans la falaise de la ville mais elle a été détruite pour construire un mini golf. ça m'a un peu changé les idées, jusqu'à ce que la conversation tourne vers trouver un travail, ce qui m'a de nouveau donné envie de pleurer, parce que quand on me parle de travail j'ai envie de pleurer, c'est une loi de l'univers. surtout quand on m'en parle avec bienveillance. elle avait pas du tout l'air de me juger, alors que peut être qu'elle me jugeait un peu parce que juste avant elles parlaient de ces jeunes qui veulent plus travailler avec maman, comme si j'étais pas là à table avec elles, moi une jeune qui ne veut pas travailler. elle m'a demandé ce que j'aimerais faire dans l'idéal et j'ai dit je sais pas. dans l'idéal j'aimerais mourir. ou être rockstar, ou comédienne. ou écrivaine-femme au foyer. dans l'idéal j'aimerais être mariée. et être sur scène. un mix de tout ça. mais je pouvais pas lui dire ça elle m'aurait prise pour une frappadingue, même si elle a dit dans l'idéal, elle a pas dit dans une réalité alternative. elle m'a dit que mes cheveux étaient très jolis. je m'étais dit que mes nouveaux cheveux allaient me motiver à faire quelque chose de ma journée mais non je suis au lit et j'ai envie de rien et en plus j'ai mangé trop de lasagnes aux blettes.
hier soir r. m'a envoyé une vidéo d'un ado qui répète YOU MATTER devant une caméra de sonnette de porte et évidemment je l'ai pris personnellement et j'ai eu envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. l'autre jour je lui ai raconté mon anecdote de la thérapeute qui m'avait envoyée chez le prêtre parce que d'après elle je manquais d'amour et qu'elle disait qu'elle pouvait plus rien pour moi et puis tant qu'à faire je lui ai aussi parlé de maman et du fait que je me sentais pas aimée et après je me suis dit putain mais moi c'est tout ou rien, ou je reste fermée comme une huître ou je me mets toute nue avec toutes mes blessures à la vue. et ça me rend malade qu'il soit extra gentil avec moi et me demande régulièrement comment je vais parce qu'il sait que je suis fragile, et maintenant il sait aussi que je suis complètement cassée, mais je veux pas être sa pote fragile et vaguement drôle qui aime la bonne musique et qui sait écouter les problèmes des autres avec bienveillance. je veux qu'il pense à moi 24/7 et qu'il ait envie de me voir tout le temps, je veux rencontrer sa fille et qu'on cuisine ensemble dans sa petite cuisine en enfilade, je veux prendre le train avec lui et m'endormir sur son épaule et me réveiller sur la côte belge parce que je sais rester réaliste dans mes fantasmes et me promener sur la plage avec lui en mangeant une glace, ou pas, je m'en fous, je veux juste être avec lui. je veux tellement être avec lui que j'en dors pas la nuit. même j. ne me rendait pas aussi malade. mais c'était y a dix ans, j'avais accumulé moins de solitude.
ce matin chez le coiffeur j'imaginais ce qu'il dirait si je lui racontais tout. et ça fait UN AN que ça dure?? et t'es toujours pas passée à autre chose? non brian. j'avais envie que tout le monde dans le salon de coiffure vienne me présenter ses sincères voeux de bon rétablissement ou juste sa compassion en me gratouillant la tête pendant que moi je gratouillais la tête du petit chien blanc qui dormait dans mes bras.
22 avril
j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. je suis sortie marcher pendant une heure pour prendre l'air et m'aérer le cerveau mais ça marche pas, je me retrouve exactement au même endroit en rentrant. je me demande si j'arriverais à écrire ailleurs. je crois que oui. le lundi après-midi maintenant maman ne travaille plus et ça me fait prendre conscience qu'une fois qu'elle sera à la retraite à la fin de l'année j'aurai plus le choix, je serai obligée de déménager parce qu'elle sera à la maison toute la journée et ce genre de cohabitation intense est inenvisageable. j'ai huit mois pour préparer mon départ. samedi l. disait qu'elle avait lu que l'état comptait embaucher 1500 personnes bientôt et j'ai dit ah ben oui je regarderai alors que non je regarderai pas. elle m'a aussi parlé de son amie écrivaine qui vit à vienne et qui gagne de l'argent en rédigeant des annonces publicitaires pour un journal (??) mais qu'elle gagne qu'une centaine d'euros avec ça et maman a demandé comment elle faisait pour vivre alors et l. a dit elle est mariée. i rest my case, je dois me marier.
23 avril
j'ai parlé de mes soucis d'occupation à a. hier soir et elle m'a dit pourquoi tu ferais pas des études d'océanographie? c'est ton truc non la mer? et puis elle m'a suggéré de faire du wwoofing, si jamais je me retrouve sans plan au mois de décembre, y a toujours le wwoofing. mon éternel plan de fuite que je ne déclenche jamais. mais je peux pas faire ça indéfiniment. je suis pas le genre de personne à pouvoir vivre de wwoofing et d'eau fraîche comme ces gens en commentaires dans les groupes fb que j'ai rejoint dans le but de me motiver. par exemple dimanche dans la forêt j'ai croisé une bande de jeunes avec des sacs à dos et une carte et un chien comme le club des cinq, ils avaient l'air un peu perdus et ils écoutaient de la musique sur un téléphone en fond sonore et y en avait un qui disait j'en peux plus je dois manger un truc et puis il a commencé à grêler et un peu plus loin j'ai croisé un couple de pré-retraités en doudoune fine à petits bourrelets avec des bâtons de marche et j'avais mille fois plus envie d'être eux que le groupe de jeunes avec leurs sacs à dos. c'est pas que j'avais vraiment envie d'être eux, mais je tendais plus vers eux, vers leur mode de vie, je sais pas, ils représentaient comme une espèce de réconfort, après avoir croisé les autres en train de galérer avec leur aventure. mais j'ai pas toujours préféré les vieux aux jeunes de toute façon? en fait je crois j'échapperai juste jamais à mon désir de vivre une vie de retraitée aisée dans ma jolie maison confortable.
j'ai l'impression que tous mes raisonnements tournent en rond et que je me cogne contre toujours le même mur, et que tant que je serai coincée ici tout ce que je dirai sera faussé. peut être que je devrais changer l'utilisation de mon journal et ne noter plus que les trucs positifs, et donc non faussés, plus de raisonnements et de plaintes et de jérémiades, que les choses qui sont bien et simples et concrètes et là et qui méritent d'être remarquées. alors: je suis toujours assez contente de me lever le matin même si je fais rien de particulier, en ce moment il fait soleil et c'est toujours mon moment préféré de la journée. hier soir a. m'a complimentée sur mes nouveaux cheveux. je lui ai prêté sabir et point de chute parce qu'elle voulait lire mes textes. j'ai échangé des sourires avec le chef de choeur et ça c'était bien aussi. pour une fois j'ai pas une seule fois plongé dans le puits de tristesse. peut être qu'il l'a remarqué. peut être qu'il a compris que j'avais rejoint cette chorale uniquement dans un but thérapeutique, vu comment je chante/chante pas quand j'en peux plus. enfin au début c'était pour chanter mais je me suis vite rendu compte que c'était au dessus de mes capacités vocales. j'ai aussi vu un cheval hier, ou un poney plus probablement, et puis en rentrant de ma promenade dans les champs j'ai mangé les restes de mon cheesecake de ce weekend. j'avais aussi fait une très bonne tarte pomme-poire à la cannelle parce qu'il me restait de la pâte et je l'ai finie hier soir devant c ce soir en rentrant de la chorale. voilà pour la journée d'hier.
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02/09/2023 -- Photo 8:
Pendant quelques photos, il n'y aura pas de série, juste quelques photos que j'ai fais comme ça pour le plaisir sans réelle demande ^^
Pour revenir sur le timing des publications et le retard que j'ai, si je continue à poster à un rythme comme je le fais aujourd'hui mais sans prendre de pause une fois tous les 2 jours, je pense que je pourrais être à jour au bout d'un petit mois, après chaque fois que je ferais de nouvelles IA, ça sera dater du jour même ou de la veille et ça sera beaucoup plus simple pour les anecdotes
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Je vais vous raconter quelque chose d’assez bête qui m’est arrivé hier : Comme je vous avais dis je me suis promenée hier et à un moment j’étais dans un magasin où il y’avait des testeurs de parfum. J’en mets donc sur ma manche histoire de sentir, et là je sais pas ce qu’il s’est passé mais j’ai inconsciemment sniffer le parfum d’une puissante tellement intense qu’elle a certainement parfumé mon âme hahaha. Suite à cela j’ai sentie une brûlure atroce de mon nez jusqu’à mes poumons, c’était horrible… Évidemment dans un parfum il y’a de l’alcool et pleins de composants chimiques.. alors forcément c’est nocif d’en respirer profondément comme ça.. J’avais des picotements toutes les heures qui ont suivi, puis le soir ça me faisait terriblement mal au point où je ne pouvais même plus parler! Je pensais pas qu’un geste aussi anodin aurait pu provoquer autant de douleurs. Heureusement que le lendemain ça allait beaucoup mieux! J’étais soulagée de voir que ça n’avait rien fait d’autres et sur l’instant ça m’a fait rire tellement c’est ridicule… Imaginez que j’aurais eu un autre problème de santé car.. j’ai sniffer du parfum..alala🥲. D’ailleurs petite anecdote : à l’époque où j’avais eu le Covid pour la première fois, certaines odeurs étaient modifiés, par conséquent les parfums avaient pour moi une odeurs de pourritures! Et bien cette fois j’ai eu ma dose des années où je ne les sentais pas haha.
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April Kepner est née le 23 avril à Columbus dans l'Ohio. Sa mère Karen est enseignante et son père Joe est cultivateur de maïs. Elle est la deuxième enfant d'une fratrie de quatre filles (Kimmie, Libby et Alice). Elle a grandi dans une ferme de maïs. À l'origine, résidente à Mercy West, elle arrive au Seattle Grace Hospital pour la fusion entre les deux hôpitaux. Rapidement, elle se lie d'amitié avec Reed Adamson, qui devient vite sa meilleure amie, et entre en conflit avec Lexie Grey, qui lui vole son petit carnet intime pour la toucher moralement. Une patiente meurt par sa faute et Reed la dénoncera à contrecœur, ce qui lui vaudra la perte de son poste. Elle le récupérera grâce à Derek qui la reprendra dans le SGH une fois devenu chef. Elle s'éprendra de lui, mais lui ne ressentira pas la même chose vis-à-vis d'elle. April finit par être nommée Cheffe des Résidents par le Docteur Owen Hunt. Elle prendra son rôle très au sérieux, mais n'arrivera pas à imposer son autorité à ses collègues. Au fil des mois, April apprendra de plus en plus à se faire accepter en tant que Cheffe des Résidents. Elle tient à garder sa virginité jusqu'au mariage et c'est une personne très croyante, ce qui attire souvent la moquerie de ses collègues de travail. Bien qu'elle soit très changeante en termes de caractère, il y a quelques anecdotes que l'on remarque lorsqu'on la connaît mieux : au cours de l'adolescence, April avait beaucoup d'acné et elle a porté des bagues et des lunettes jusqu'à la faculté, c'est pourquoi ses sœurs l'ont surnommée "le vilain petit canard". Elle rêve de se marier dans un champ plein de belles fleurs avec des papillons lâchés quand elle dit "Je le veux". Quand April est nerveuse, en colère ou contrariée, sa voix devient plus aiguë que d'habitude. Elle bouge aussi souvent ses mains quand elle explique quelque chose et c'est une excellente cuisinière. Elle est allergique aux cacahuètes et aime les biscuits de fortune chinois ou encore qu'elle adore la chanson "I'm sexy and I know it" de LMFAO. Elle part à San Francisco où elle passe des examens oraux pour ses sept années de résidence avec les autres Résidents. Durant son séjour, elle se rapprochera de Jackson Avery et finira par perdre sa virginité la veille des examens. Suite à ça, elle va perdre confiance en elle et ne réussira pas à les passer. Tous les hôpitaux des États-Unis rejettent sa requête, et même le SGH lui annoncera qu'ils ne pourront pas la recruter pour l'année suivante. Owen vient cependant la chercher pour lui proposer de revenir travailler à l'hopital. Elle finira par accepter mais continuera de se sentir mal à l'aise vis à vis de Jackson a qui elle a offert ce qu'elle tenait le plus. Etant donné que le personnage quitte la série, je peux facilement l'adapter à d'autres univers médicaux comme Chicago Med, Dr.House ou autres. Elle peut aussi s'adapter à d'autres univers réels si elle travaille en centre hospitalier.
Joue avec : Travis Montgomery - Jackson Avery
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Anecdotes de stage au hasard avec le public :
- un petit bonhomme de 5-6 ans à lunettes qui vient me rendre les livres avec un sourire jusqu'aux oreilles fier comme Artaban alors que l'un de ses CD était tout rayé 😅
- Des résident.e.s d'un EHPAD pour une séance de jeux vidéos avec la Switch. Pour le bowling une dame dit " Avant que ça soit sur internet c'était un vrai jeu hein"
- Une fille de mon âge atteinte de trisomie 21 qui me faisait des checks pour venir emprunter
- D'un côté j'avais des "donne ça à la dame" et de l'autre "Tu fais un stage ? Quelle classe ? Troisième ?"
- une dame qui en rendant me dit " je repasse vous remettre le CD dans le livre" et qui n'est pas revenue 😶🌫️
- La partie Jeunes BD était un vrai enfer, il y en avait des KILOS à ranger chaque jour, dans la partie la plus chaude de la salle.
- En revanche c'était le bonheur de ranger les Max et Lili. Pas lourd. Toujours empruntés par paquets pas besoin de les ranger dans l'ordre alphabétique.
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Non mais du coup je vais partager la chose trop jolie qui s’est passée hier avant que ce qui me reste d’enthousiasme (et d’alcool) ne disparaissent. Hier à un repas je retrouve une cousine que j’ai pas vu et à qui je n’ai pas donné de nouvelles depuis 300 ans (Classic Neïla 💯). Au début je flippe pck je suis une super grande fan de la culpabilité 🙏 !! Mais bref elle vient avec sa fille de 9 ans que j’ai seulement vue quand c’était encore un gremlins, je sais plus comment ça s’est passé mais peu de temps après que je lui proposé de s’assoir à côté de moi (à sa fille) on enclenche une conversation, et elle a passé UNE HEURE à me parler de son immense passion pour les drag queens, et de tous les spectacles de drag queens auxquels elle est allée, on remarque qu’on a la même drag queen française préférée, etc etc, elle me parle de sa phase fan des Beatles (que j’avais au même âge) du fait qu’elle est super fan de Mylène Farmer (comme moi depuis enfant j’ai vraiment failli chialer) du fait qu’elle est fan de Cher (non mais j’ai pas fini), FAN DE THE CURE ??????!!!!! ET ELLE EST GÉMEAUX COMME MOI ???? On arrêtait pas de se checker 👊 à chaque fois qu’on voyait qu’on avait un autre point commun lol, et elle était trop contente et émue pck je cite « t’es la première personne de ma famille qui aime les mêmes choses que moi » BREF très très envie de plorer ❤️🩹❤️🩹❤️🩹. Pour couronner le tout je me réveille avec un message de sa maman sur WhatsApp ce matin qui est une photo d’une playlist que la petite a écrite à la main avec un crayon à mine arc-en-ciel qui s’appelle « Neïla Rita Passion : » avec que des bangers et évidemment du Mylène. BREF, incroyable et inespéré Life is gorgeous and a cutie pie parfois. Trop hâte d’être la cousine cool avec qui ont fait des playlists des années 80. Also j’ai pu renouer avec sa maman aussi du coup et j’ai encore une fois envie de chialer !!! La tendresse c’est vraiment super 👍 ! Bref voilà tout, si vous aussi avez n’importe quelle anecdote choupi à partager n’hésitez point sous ce post 👇🤓🤓🤓
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Hey je ne sais pas si beaucoup de gens vont lire ceci mais c'est pas grave j'ai juste envie de raconter mes petites anecdotes de mon boulot ici .
Pour commencer je suis Élodie enchantée ! Je suis française et même si j'ai appris l'anglais j'ai pas envie de me casser la tête a tout écrire en anglais 😅 . Je travaille dans un itep avec des enfants qui ont des troubles du comportement... C'est pas rose tout les jours et il t'en fait voir de toutes les couleurs mais c'est un métier tout simplement passionnant et étrangement drôle parfois c'est pour cela que je veux raconter mes petites expériences qui on pu être très drôle .
Il faut savoir que je fais un service civique dans cette itep donc je ne pourrai pas y travailler très longtemps. Le seul moyen pour moi d'y travailler et de reprendre mes études et être embauchée là-bas mais bref !
Ma première anecdote est courte mais vraiment drôle c'était au tour début de mon service civique. On m'avait confié un enfant pour manger avec moi dans une salle et faire un temps duel . Cet enfant est connu pour être assez violent parfois et avoir des crises très rapidement . J'étais légèrement paniqué mais je voulais pas qu'il s'en aperçoive 😅 donc on part manger mais je vois qu'il s'occupe pas vraiment de moi ... J'essaie de lui parler mais rien à faire il s'en moque . On mange tranquillement puis il se lève d'un coup pour aller jouer avec une épée en carton qu'un enfant avait fait. Il faut savoir que l'enfant en question y tenait beaucoup,donc je lui demande de faire attention mais il me frappe avec . Il ne m'avait pas vraiment taper fort et c'était sûrement pour jouer mais l'objet était fragile donc je lui demande de le reposer et il le fait mais part en courant en dehors de la salle. J'essaie de le rappeler et de le rattraper mais le perd de vue . Je le recherche partout... Sort dans la cour et le voit de loin courir vers la porte d'entrée. Deviné quoi ? Il m'a enfermé dehors... 😅 Après quelques secondes je vois un éducateur arriver en tenant l'enfant par la main . Il me voit dehors m'ouvre la porte et rigole... Vous voyez le scénario quoi . Rien qui d'y repenser me donne envie de me cacher mais c'était vraiment drôle y'a pas a dire après c'est vrai que de le raconté comme ça par écrit et moins drole mais essayer d'imaginer 🥹.
Je tiens à vous dire que ma relation avec cet enfant s'est vraiment améliorée et j'en suis très heureuse .
Si t'a lu jusqu'ici je te dis bravo et merci en vrai 😂
Si t'a des questions concernant ce boulot ne te gêne pas ça me ferait plaisir
Merki 😘
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Emma, son Django, son vélo… et que ça roule!
Texte d’Emma Montillet
Emma est une voyageuse invétérée, il faut que ça bouge, à droite, à gauche, en haut, en bas, en diagonale aussi surtout, mais pas sans son vélo ni, surtout, son adorable Django. Lors de ses aventures, elle prend le temps d’écrire un petit journal, en ligne. En voici un extrait!
Llanes, Espagne, 23 Mars 2022, 17°C
Etape 1: 62 km et des patates, 1086 m de dénivelé.
Je suis partagée entre vous faire transpirer ou mettre les formes.
Plantons le décor. Un voyage à vélo peut avoir des moments fabuleux et d'autres complètement galère ! C'est pas vraiment des vacances, mais plutôt un dépassement de soi et un challenge.
Oui, j’aurais pu passer des vacances pépère tranquillou mais j'ai choisi d'aller à la rencontre de moi- même. Désolée pour cette philosophie “femme actuelle” mais je suis complètement KO! A l’heure où je vous écris, je m'apaise un peu. Une demi-heure plus tôt, je voyais mes affaires se faire emporter par l’océan, le chien en train d’essayer de nager et moi pousser le vélo en pleurant.
Petit aperçu de la journée : je l’ai passée avec l'impression d'être un saucisson oublié dans une voiture en plein mois de juillet ! Trempée !!!!!! C'est hyper vallonné… Ma difficulté vient de mon patapouf Django qui boîte et a de grandes difficultés à marcher. Ça me fait de la peine pour lui. Demain je vais chercher un véto. Et me reposer un peu car j'ai tellement transpiré que… j’ai un fessier de babouin!!!! Demain, c’est danseuse je crois bien!!! J’essaye de tourner avec humour ce qui s'est passé ce soir, prendre du recul, mais je vous avoue que j'en ai plus que bavé. Ben oui… je suis tombée car je n’arrivais pas à soutenir le poids du vélo, plus la remorque, plus le chien. J'étais en train de me dire “ c'est une belle plage pour mourir mais ça fait chier, j'ai pas rangé ma maison avant de partir!”
Et là.... miracle… je croise deux randonneurs! Mes sauveurs!!!!! Tous les trois, on a poussé le vélo pendant plus de 30 minutes. Grâce à eux, j'ai pu rejoindre le haut de la colline. J'étais tellement reconnaissante, j’en avais les larmes aux yeux.
Je suis dans ma tente, complètement tordue, car le sol n'est pas droit; mais avec mon cerveau tordu ça va compenser… Comme un oiseau qui apprend à voler. Là, j'aurais eu une riche expérience! Parfait pour du “REX”!!!! Traduction: du Retour d’expérience. Comme quoi ce qu'on apprend au boulot peut nous servir dans la vie perso ! Demain je tirerai les enseignements de ma journée, pourquoi je vais grandir grâce à ça etc… Et je vous parlerai des magnifiques paysages que j'ai découverts. Mais là... place à la méditation, à la guitare… Un câlin au chien et dodo.
PS: dans quelque temps ça deviendra mon anecdote préférée. Je vais m'en sortir et faire appel à mon moral d'acier. Même si j'ai pleuré, je sais que je vais rebondir !
PS2 : tout va déjà mieux, je passe la soirée avec mes anges!!!!!! Je vous raconte demain. Je suis trop chanceuse!!!
Ribadesella 23 Mars 2022 18°C
Étape 2 : 35.6km 455 m dénivelé et… mes anges gardiens!
J'ai fait toutes les erreurs de primo-intervenants. Pourtant, c'est loin d'être mon premier voyage à vélo. Bref. Alors, en “REX”: - nourriture: prendre plus à bouffer. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive mais je mange comme
4!!!!! Du coup hier j'ai tout englouti en mode boulimique. Résultat, comme les bars où je suis passée étaient fermés j'ai failli manger las croquetas del perro…
Oulalala pinaise (façon Simpsons), j'ai encore plein de choses à raconter sur hier. Déjà il faut que je m'engueule. Si j’avais été patron, je me serais virée !
- préparation : je crois que quand une personne me recommande en espagnol un endroit pour dormir, je n’écouterai plus car je ne comprends rien aux consignes!!!! Hier c'était juste impossible comme endroit!
-hydratation: quand c'est trop pentu, tu ne peux pas boire en roulant car tu vas tellement doucement que tu tombes. Et si tu t’arrêtes et ben, tu ne repars plus! Dilemme cornélien !!!! Pousser ou se déshydrater????
Ni l'un ni l’autre, banane! Si tu prépares ton parcours un peu plus, tu peux anticiper. En tous cas, là, je ne pouvais pas boire. C'est comme si vous essayiez de prendre un verre en faisant du trampoline....
- minute d'arrêt ! Quand tu vois un obstacle qui te semble quasi insurmontable ben… peut-être qu'il l'est vraiment ! Arrête-toi, boudu. Réfléchis deux minutes et fais demi-tour si besoin!!!! Ne fais pas ta tête brûlée : ça passe large !
Revenons à la soirée. Hier j'ai vraiment eu le "cul bordé de nouilles"!!!! (C'est au sens figuré car au sens propre, c'est plutôt des ampoules… pas de dessin.) Mes anges gardiens sont revenus pour m’amener des bonnes pâtes chaudes et une bière. J'ai hésité, j’avais peur de faire un coma éthylique vu mon état ! Or la soirée a été incroyable !!!! Tellement inattendue. José et Christina, les petits anges, donc, ont joué de la guitare et chanté. J'ai eu tellement de chance de les rencontrer… J’en ai eu les larmes aux yeux. Il faut croire que j’avais une belle étoile.
Ce matin je me suis réveillée en haut des plages, c'était trop beau. Puis véto pour Django. Et, vous savez quoi: José est mécanicien vélo !!! Si si, je vous jure!!! Incroyable non? Il m’a tout réparé le vélo !
Là, je surplombe la mer. Je vais me laisser bercer par le chant des vagues. "Oulalala tu fais ta poète pouet pouet pouet;-)"
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