#trouble du comportement
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Hey je ne sais pas si beaucoup de gens vont lire ceci mais c'est pas grave j'ai juste envie de raconter mes petites anecdotes de mon boulot ici .
Pour commencer je suis Élodie enchantée ! Je suis française et même si j'ai appris l'anglais j'ai pas envie de me casser la tête a tout écrire en anglais 😅 . Je travaille dans un itep avec des enfants qui ont des troubles du comportement... C'est pas rose tout les jours et il t'en fait voir de toutes les couleurs mais c'est un métier tout simplement passionnant et étrangement drôle parfois c'est pour cela que je veux raconter mes petites expériences qui on pu être très drôle .
Il faut savoir que je fais un service civique dans cette itep donc je ne pourrai pas y travailler très longtemps. Le seul moyen pour moi d'y travailler et de reprendre mes études et être embauchée là-bas mais bref !
Ma première anecdote est courte mais vraiment drôle c'était au tour début de mon service civique. On m'avait confié un enfant pour manger avec moi dans une salle et faire un temps duel . Cet enfant est connu pour être assez violent parfois et avoir des crises très rapidement . J'étais légèrement paniqué mais je voulais pas qu'il s'en aperçoive 😅 donc on part manger mais je vois qu'il s'occupe pas vraiment de moi ... J'essaie de lui parler mais rien à faire il s'en moque . On mange tranquillement puis il se lève d'un coup pour aller jouer avec une épée en carton qu'un enfant avait fait. Il faut savoir que l'enfant en question y tenait beaucoup,donc je lui demande de faire attention mais il me frappe avec . Il ne m'avait pas vraiment taper fort et c'était sûrement pour jouer mais l'objet était fragile donc je lui demande de le reposer et il le fait mais part en courant en dehors de la salle. J'essaie de le rappeler et de le rattraper mais le perd de vue . Je le recherche partout... Sort dans la cour et le voit de loin courir vers la porte d'entrée. Deviné quoi ? Il m'a enfermé dehors... 😅 Après quelques secondes je vois un éducateur arriver en tenant l'enfant par la main . Il me voit dehors m'ouvre la porte et rigole... Vous voyez le scénario quoi . Rien qui d'y repenser me donne envie de me cacher mais c'était vraiment drôle y'a pas a dire après c'est vrai que de le raconté comme ça par écrit et moins drole mais essayer d'imaginer 🥹.
Je tiens à vous dire que ma relation avec cet enfant s'est vraiment améliorée et j'en suis très heureuse .
Si t'a lu jusqu'ici je te dis bravo et merci en vrai 😂
Si t'a des questions concernant ce boulot ne te gêne pas ça me ferait plaisir
Merki 😘
#travail#moi#ma vie#note mine#myself#story#kids#itep#jobs#story time#anecdote#french girl#french#maladie#trouble#trouble du comportement#why me#why#why is my brain like this
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Je t’aime
#grunge girl#grunge#aesthetic#grungy aesthetic#grungyteens#grungy girls#fashion#design#anime#health & fitness#trouble du comportement alimentaire#disorder
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Heartstopper T4 Choses sérieuses d'Alice Oseman
Ce roman graphique d'Alice Oseman aborde avec habileté les troubles alimentaires et la santé mentale. Nick et Charlie nous emmènent dans un parcours de libération de la parole et de volonté d'enlever le tabou sur ces sujets.
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#Alice Oseman#Amour#anorexie#Choses sérieuses#Heartstopper#Romance#TCA#troubles du comportement alimentaire
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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*soupir* Allez on continue ce bouquin.
- La vive et fantastique Marie disparaît en lui disant "file moi ton adresse je te retrouverai" (bonjour le challenge), évidemment comme il veut tout contrôler il décide d'enquêter pour savoir qui elle est, le gros stalker là. Il se base sur UNE PHRASE qu'elle a dite. Flippant.
- Elle a disparu pcq un vieux gars est venu l'engueuler en lui disant que son infirmière la cherchait, c'est le truc qui me donne encore un peu d'espoir pour la suite. Quelle est sa maladie ? Je parie sur un trouble psy, ça irait trop bien avec son comportement extrême du moment de la rencontre.
- Le mec est insupportable. Il est imbu de sa personne, il est désagréable avec le mec qui remplace la bibliothécaire pcq il parle un peu trop simplement à son goût mais vraiment il m'énerve, et j'arrive pas à savoir si c'est voulu par l'auteur. S'il nous amène vers un gros CHEH ou si le gars va développer ses qualités au cours de l'histoire, ou que sais-je mais qqchose qui rend ce comportement utile à l'histoire. J'ai l'impression que non, que c'est juste un connard qui se prend pour un doux rêveur instruit mais qui est en fait totalement creux à l'intérieur et qu'il va rester creux au détriment de la pauvre Marie.
Putain quoi. Et après évidemment il sort son langage soutenu pour lui parler, pour bien montrer sa supériorité intellectuelle de mon cul là.
C'est vraiment un truc qui m'horripile chez les gens, cette supériorité par le langage. L'instruction n'est pas incompatible avec l'empathie et l'humanité.
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ce que je déteste sur les forums rps
vu que certain(e)s le font, autant que je m'y mette, non ?
Les forums ù y'a zéro diversité (des membres, principalement des nanas blanches), tu regardes dans les scénarios, tu voies que des mecs hétéros attendus, et blancs aussi de surcroit. un petit +1 quand le forum a la prétention de se sentir inclusif. m d r
les forums où el staff avait fixé une limite de 3 comptes. puis quand le staff a eu ses trois comptes, la règle change bizarrement à 6. et quand ils ont atteint les 6 comptes, la règle a changé à 9. tu cliques sur leur profil sur la PA et tu vois leurs 1872 dcs affichés. tu sais que si tu tentes un de leur scénarios, t'auras le droit à une réponse tous les deux mois car ils ont pas le temps (et d'autres rps avant toi).
les nanas qui se prônent comme des social justicières warriors, elles guettent toutes les ouvertures de forum dans l'unique but de placader un message bien salty dans la partie invité le jour de l'opening, histoire de bien afficher les méchants admins. (alors qu'un an avant, c'est elles qui faisaient ça en pire mais du jour au lendemain, elles ont décidé qu'elles seraient prétresses du rpg)
les gens qui vont dans les serveurs discords en attendant la pré-ouverture dudit foru. ça critique h24, remet en question sans arrêt les annexes, etc. ou demande la rédaction de 15 annexes en plus pour au final... ne pas s'inscrire sur le forum. cassez-vous sérieux.
les gens qui ont 4839886 triggers warnings (dont des tws qui sont homosexualité) mais l'homosexualité te trigger ? tu te rends compte de ce que tu dis ? et j'sais pas, le plaisir de la lecture, la rencontre avec l'inconnu. oui, on peut avoir des tws mais si ten as pour tout ou n'importe quoi, sorry not sorry, le rp n'est peut être pas fait pour toi.
les gens qui se jugent supérieurs (par ex. parce qu'ils font pas du smut) et qui adorent faire du slutshaming. bah écoute, chacun ses envies de rp. parfois, je fais du smut, parfois j'en fait pas, du dépend du perso et du contexte. et si t'évites un quelconque lien avec mon perso parce que ta grandeur te l'empêche, tant pis pour toi tho.
les gens avec qui t'as un rp. toutes les 3 semaines t'as une réponse, mais par contre, tu vois l'autre personne répondre 4893729 fois à la personne qui est son lien love interest. et quand tu te demandes où ça en est, elle te rep "beh le rp n'est plus d'actualité, il s'est passé 100 choses depuis". sans blague, j'ai bien vu quand j'attendais.
les gens qui se cachent derrière 10 troubles pour justifier leur mauvaise éducation. non, j'peux pas. bonus pour les personnes qui critiquent un comportement alors qu'une semaine avant/après, elles font la même chose.
les gens qui posent un scénario love en te disant qu'ils finiront endgame mais au bout de 76892 dramas et de 83 années. et donc, tu tentes de prendre et au bout de 5 rps, tu comprends qu'avec eux, ton perso n'évoluera jamais. fin, j'sais pas, des persos peuvent être en couple et avoir du drama, c'est pas incompatible. pourquoi les faire tourner autour pendant 150 ans ? la vie est trop courte.
les gens qui ne rpent et ne commentent les fiches que de leurs copaines. oui d'accord, restez entre vous (et faites vous un foru privé sérieux à ce point là)
bref, je critique, je critique mais heureusement y'a des chouettes forums, des choeuttes rpgistes, oui parfois y'a pas le feeling, oui, on peut pas tous s'entendre (et encore mon coté bisounours me fait dire qu'on est adultes et qu'avec un p'tit peu d'efforts de la part de chacun des cotés, y'aurait aucun soucis) mais bon, y'a encore et toujours de belles rencontres que je fais, même quinze ans après mon arrivée dans la sphère rpgique.
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Lucifer Morningstar est un Hypersensible
Dépressif , père absent mais pas que , beaucoup n'apprécie pas la personnalité de ce roi des enfers un peu atypique et enfantin beaucoup attendez autre chose de lui . Qu'un petit gars mignon pas du tout intimidant mais il est juste à l'image qu'on dépeint de lui avant sa chute .Un Chérubin ange a l'apparence enfantine ( oui d'après mes nombreuses recherches il n'est pas un archanges et pas un séraphin dans la bible ) , dans Hazbin hôtel débordant de créativité et de fantasie prête à être donné au monde . Point qu'on donnent aux Hypersensible venant balayer le fait qu'il pourrait être autiste comme dirait dans certaine théorie . Les autistesont un goût pour rester dans les régles et ne seront jamais créatif spontanément . Même si les hypersensibles et les autistes partagent de nombreux point commun comme avoir de forte émotions et une mauvaise gestion c'est bien pour cela que les hypersensible peuvent être vue a tords comme autiste vu leurs réaction . Sa passion des canards tournant à l'obsession peut être un TOC ( Le trouble obsessionnel-compulsif demeure souvent une énigme pour ceux qui n'en sont pas directement touchés. C'est un trouble anxieux qui se caractérise par des pensées intrusives et indésirables (obsessions) entraînant des comportements répétitifs et ritualisés (compulsions). En gros la fabrications de ses canards en plastique pouvant être une manifestation de sa dépression .... Dépression qui le force à se reclure chez lui voulant le moins contact possible due à son mal être .Les Hypersensible ont aussi cette volonté pas pour les même raison mais juste que les contacts les mettent mal à l'aise et épuise .... L'hypersensibilité peut être juste la cause qui la mené à la dépression par le rejet des autres anges ...Voir ses rêves s'envoler ainsi que ses croyance étant condamné à voir que le mauvais chez les humains comme le dit si bien sa fille dans l'introduction quand elle conte la légende de ses parents
Il est certes absent pendant une bonne partie de la vie de sa fille PAS par choix mais par fatalité .L'hypersensibilité quand tu es dans un cadre favorable peut être un don ou une malédiction un vrai démon si tu es pas dans un cadre favorable pour apprendre à la dompter ...Indomptée d'autre chose peut s'y mêler comme la dépression ...Donc selon moins Lucifer aurait au moins deux démons son Hypersensibilité et Dépression ... Son cerveau ne pouvant que resasser les choses en boucles et souvent le négatif l'entraîne dans cette spirale infernal le rendant incapable et faisant s'éloigner tout ceux qu'il aime .
Et en quoi il serait à l'image du Lucifer de la bible , lui aussi voulait notre bien .Nous aimant d'un amour débordant mais encore une fois jugé comme étant un individu dangereux avec ses idées pour l'équilibre il finit chassé . Sauf que le Lucifer biblique donna une autre réponse que la dépression .Mais la colère , une rage débordante
Que ce soit répondre par de la tristesse ou la colère c'est deux réponses que les Hypersensibilité peuvent donner tout cela à cause du même sentiments d'injustice que les deux ont ressentis
J'ai été moi même diagnostiqué Hypersensible ou j'ai appris à enchainer mon démon car je suis bien entourée mais il fut une époque ou j'étais partie sur le même chemin que notre Luci pour ça que je me sens proche de lui ( Pour exemple mon Toc serait de me mordre la main dès que j'ai une émotions peut importe la quelle qui risque de me submerger c'est un pour me calmer .Selon moi la fabrication de canard en plastique à pour but que Lucifer se calme et redescent émotionnellement )
Depressed, an absent father, but not just that—many don't appreciate the personality of this somewhat atypical and childish King of Hell. A lot of people expected something different from him. A cute little guy, not intimidating at all, he is simply a reflection of how he was portrayed before his fall. A cherub, an angel with a childlike appearance (yes, according to my many studies, he is not an archangel or a seraphim in the Bible), in Hazbin Hotel overflowing with creativity and fantasy, ready to be given to the world. Points that are attributed to hypersensitive people dismissing the notion that he could be autistic, as stated in some theories. Autistic people tend to stick to rules and are rarely spontaneously creative. Even though hypersensitive people and autistic individuals share many similarities, like experiencing strong emotions and having poor emotional regulation, hypersensitive individuals can often be wrongly perceived as autistic due to their reactions. His obsession with ducks could be a form of OCD (Obsessive-Compulsive Disorder). OCD is often a mystery to those not directly affected. It is an anxiety disorder characterized by intrusive, unwanted thoughts (obsessions) leading to repetitive, ritualized behaviors (compulsions). In short, the creation of his rubber ducks could be a manifestation of his depression… Depression that forces him to isolate himself, seeking minimal contact due to his inner suffering. Hypersensitive individuals also tend to avoid contact, not for the same reasons, but because interactions make them uncomfortable and drain them. Hypersensitivity could be the very cause that led to his depression, possibly stemming from rejection by other angels. Watching his dreams and beliefs crumble, doomed to see only the worst in humans, as his daughter says so well in the introduction when she recounts the legend of her parents.
He was certainly absent for much of his daughter's life, not by choice but by fate. Hypersensitivity, when nurtured in a supportive environment, can be a gift or a curse—a true demon if you are not in the right setting to learn how to tame it. Untamed, other issues can arise, such as depression. So, in my opinion, Lucifer has at least two demons: hypersensitivity and depression. His mind, constantly ruminating on things, often focusing on the negative, traps him in this infernal spiral, making him incapable and pushing away everyone he loves.
And how is he like the Lucifer of the Bible? He, too, wanted our well-being. He loved us with an overwhelming affection, but once again, judged as a dangerous individual due to his ideas about balance, he was cast out. Except the biblical Lucifer responded not with depression, but with anger, with overflowing rage.
Whether responding with sadness or anger, both are reactions that hypersensitive people can have, all due to the same sense of injustice that both have experienced.
I myself was diagnosed as Hypersensitive or I learned to chain my demon because I am well surrounded but there was a time when I went on the same path as our Luci because of that I feel close to him
(For example, my OCD would be to bite my hand as soon as I have an emotion, no matter what it is, which risks overwhelming me. It's to calm me down. According to me, the purpose of making a rubber duck is to make Lucifer calm down. and come down emotionally)
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Écrire un personnage avec un trouble mental
Dans le but de déstigmatiser les maladies mentales telles qu'elles sont communément décrites en RPG, voici une série de guides qui introduisent les différents troubles & les stéréotypes associés à éviter.
Troubles anxieux
Troubles de l'humeur
Troubles du comportement
Troubles de la personnalité
Troubles psychotiques
Trouble cognitifs
Troubles du développement
Troubles du comportement
Addictions
L'addiction est un trouble défini par une dépendance à une substance ou à une activité. La personne addict consomme de manière répétée un produit ou pratique de manière excessive une activité, jusqu'à perdre le contrôle de sa consommation et modifier son équilibre émotionnel. La consommation est poussée par la recherche de plaisir, mais la dopamine libérée est de moins en moins importante, aussi la personne se retrouve-t-elle dans un état émotionnel négatif qu'elle ne peut dépasser qu'en consommant de plus en plus. Dès lors, il devient difficile de se réguler ou de s'empêcher de consommer.
Les addictions ont de nombreuses cons��quences sur la vie personnelle, selon la substance ou l'activité en question. Il y a notamment un risque accru d’isolement, de marginalisation, et des conséquences sur le caractère ou l'humeur.
Il existe des traitements de substitution qui aident au sevrage de différentes substances psychoactives, et des médicaments addictolytiques. Mais il est aussi indispensable d'avoir un accompagnement psychosocial et de faire une psychothérapie.
En savoir plus :
Addictions : du plaisir à la dépendance, Inserm
La dépendance à l’alcool, Santé sur le net
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Je suis vraiment fatiguée. Je sais pas si c'est plus physique que mental. La semaine je me sens pas particulièrement mal, juste vide et seule. Et quand je le vois, juste triste et seule. En fait, je sais pas trop ce que j'attends, des comportements que j'aimerais qu'il ait sûrement. Et quand je vois le décalage, je ressens de la déception comme si les gens changeaient. Voire même du mépris de constater qu'ils changent pas. Mais ce que je vis le plus mal, c'est les insomnies et autres troubles du sommeil. C'est une torture de disposer d'autant de temps mais de ne pas réussir à dormir. Tout serait plus simple si je dormais. Je me souviens avoir eu dans ma vie qu'une seule période d'hypersomnie, aussi triste que ce soit, je donnerais beaucoup pour en avoir une autre. Enterrer ma présence et le temps qui passe dans des heures et des heures de sommeil. C'était bon. Je ne peinais pas à dormir, je dormais juste. Là je pourrais m'arracher les cheveux même les yeux tellement je suis frustrée. Pourquoi les autres dorment et pas moi ? J'ai pris conscience de ce luxe bien trop tard et j'ai l'impression de le payer. Je cogite à des trucs si ridicules et insolvables, je comprends pas qu'à chaque nuit je puisse prendre les mêmes sujets d'inquiétude/angoisse, me dire à nouveau les mêmes choses, et arriver aux mêmes dénouements sans jamais m'épuiser. Me taire. Accepter. Franchement, je sais pas ce que je fais, chaque petits regards lancés en arrière me donnent l'impression de ne pas suivre la bonne vie. C'est ça qui me rend malade toutes les nuits : passer consciencieusement à côté de moi.
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saga: Soumission & Domination 314
Côme devient Bi et Ludovic me présente ses parents
Plusieurs semaines plus tard, alors que Côme est entré comme membre actif des Escorts hétéro, pour le plus grand plaisir de déjà deux de mes plus fidèles clientes et pour leur plus grand plaisir selon leurs retours, il demande à me voir.
Quand il arrive et que je le reçois au 4ème, il me demande si ça ne me dérange pas d'aller au bureau du 1er.
Je lui demande s'il a eu un problème avec la cliente. Sa réponse négative, si elle me rassure coté travail, m'inquiète plus coté personnel !
Je le fais assoir et lui demande si tout va bien. Je m'assure qu'il n'est pas mécontent de ce qu'il perçoit pour ses prestations et que notre relation avec son frère n'est pas en cause. Réponses négatives à tous ces points.
J'attends donc qu'il se décide à me dire ce qui ne va pas. En attendant qu'il se décide je fais 2 cafés et lui en tends un. Ce n'est que quand il l'a fini qu'il se lance.
Il commence par me remercier de l'avoir mis sur le coup et qu'il m'est très reconnaissant de ce qui lui arrive. Je lui dis que c'est réciproque et qu'il fait merveilles auprès des clientes.
Il me dit que justement il craint de me décevoir. Comme je ne vois pas en quoi et que je lui en fais la remarque, il se lance.
Il m'explique que faire du sport 2 fois par semaine avec mon groupe, ça l'avait méchamment travaillé et qu'il avait envie de céder à Jona et François mais que ce faisant, il allait rompre le contrat moral qu'il avait pris avec moi comme quoi il était hétéro car c'était pour ça que je l'avais embauché.
J'éclate de rire. Sans que ça le vexe, je vois bien qu'il ne comprend pas ma réaction.
Je le rassure et lui dis qu'il n'a de contrat que de " prestater " pour ma boite. Que ce qu'il fait par ailleurs, à condition que cela ne remette pas en cause sa santé et par ricochet celles de mes clients, cela ne regardait que lui. Il s'en défend et avance que je ne l'aurais probablement pas embauché sinon.
Là, je lui fais remarquer qu'il dit quand même une grosse connerie étant donné que mon secteur client gay est beaucoup plus développé ! Effectivement il prend conscience de l'énormité de sa réflexion. Je résume pour lui : il est en train de s'apercevoir que certains mecs ne le laissent pas indifférent et que ça le trouble étant donné qu'il était sûr d'être hétéro à 200%.
Il me dit que c'est tout à fait ça et qu'en plus c'est sur Jona et François qu'il flash ! Comme ils sont en couple, ça le gène de s'immiscer entre eux. Même si ces derniers l'ont assuré que cela n'aurait aucune incidence pour personne. Je contourne mon bureau et pose mes fesses contre le plateau alors qu'il est devant moi prostré dans le fauteuil. (Enfin, prostrer un corps comme le sien c'est pas évident !).
Je le lève et lui relève la tête afin d'avoir ses yeux dans les miens. Je lui demande où il a bien pu trouver que s'il allait baiser avec Jona et François, cela mettrait en péril nos relations professionnelles et même personnelles ?
Je l'avais prévenu qu'il allait subir un siège en règle de la part de mes escorts, il avait oublié cela ? Que si je m'en doutais, cela voulait dire aussi que ce n'était pas de mon ressort mais qu'il était libre de vivre comme il le souhaitait.
Il tombe dans mes bras et 85Kg, c'est pas rien ! Il me dit que Jona et François sont des mecs vraiment bien, ce dont je ne doutais pas une seule seconde, que ce sont les seuls qui le font bander grave mais que ça l'effraie aussi.
Quand je lui dis qu'il aurait pu demander conseil à son frère, il me fait aussitôt jurer de ne rien lui dire.
Je le vois encore tourner autour du pot. Je sens bien qu'il n'en a pas fini. Nouveau silence puis il se lance. Il me dit qu'il est vierge coté cul et qu'il n'a jamais fait de pipe de sa vie. Il craint que sa première fois se passe mal et qu'il ne déçoive Jona et François.
Sous ses dehors de " grosse brute ", se cache un véritable mec sensible et prévenant. Ce dont je ne doutais pas vu son comportement avec Ludovic.
Je lui conseille de leur dire que ce sera sa première relation homosexuelle et de les laisser gérer. Je connais mes hommes, ils sauront faire en sorte qu'il en redemande !
Du coup il accepte l'apéro avant de rentrer chez lui.
Il profite du moment et que Ludovic ne soit pas là pour me parler de ses parents. Ludovic leur a tout déballé l'autre matin au petit déjeuner familial. Comme quoi il est homo, qu'il a rencontré un garçon qui lui plait (il n'a pas eu l'inconscience de dire deux garçons, un c'est déjà pas évident à faire passer), qu'il passera plusieurs nuits par semaine avec lui. Et que c'est comme ça que leur second fils est heureux.
Il me dit que ç'avait coupé court à toutes les discussions en cours. Le premier à avoir réagi est leur petit frère de 16ans qui lui a demandé qui c'était son mec, s'il le connaissait. Puis ses parents l'ont questionné pour savoir s'il était sérieux en leur disant ça. Devant l'assurance de leur fils ils ont dû convenir qu'il leur disait la vérité. Leur mère lui a dit que pour elle, ça ne changeait pas le fait qu'il était et resterait leur fils quelques choix qu'il fasse dans la vie mais que s'il pouvait éviter de virer mauvais garçon, cela la rassurerait quand même. Leur père les a surpris par le fait qu'il s'est inquiété du fait que le chemin de vie qu'il s'était choisi n'était pas simple et qu'il se mettait d'emblée des bâtons dans les roues.
Une fois la conversation terminée, Ils ont dit à Ludovic qu'ils souhaitaient rencontrer le jeune homme qui a fait craquer leur fils.
PH est plié en deux de rire. Il me dit que j'ai du pot que cela ne me soit pas arrivé avant. Mais le milieu d'où sont issus mes autres escorts n'est pas le même aussi.
Je demande si c'est indispensable. Côme me répond que si je veux pouvoir continuer à voir son frère et à l'héberger quelques soirs par semaine, j'avais plutôt intérêt à pointer mes fesses chez eux. J'essaye de refiler la corvée à PH. Il se défile et me dit que c'est mon choix que d'avoir placé Ludovic comme plus qu'un de mes simples escorts dans notre vie et donc que c'était à moi de m'y coller.
Pour m'encourager, Côme me dit qu'il sera présent ce soir là pour nous soutenir tous les deux.
Quand il est parti, j'appelle Jona et lui fais part de notre conversation pour Côme bien sûr. Il me dit qu'il lui avait déjà dit tout cela mais que Côme ne les croyait pas. Je lui dis juste de faire attention que c'est un puceau avec les mecs. Quand il me répond de ne pas m'en faire et qu'ils s'en doutaient avec François, je sais que je peux avoir confiance, je leur laisse bien ma mère après tout !
Rencontre des parents de Ludovic et Côme.
Je suis invité à l'apéritif le vendredi soir qui suit notre conversation. Je me change au moins trois fois avant d'y aller. PH est plié de rire de voir mon comportement. Il me dit que je n'avais pas autant stressé quand j'avais rencontré les siens. Je lui dis que j'étais jeune et inconscient à l'époque (il y a 3 ans déjà).
Finalement je reste en Jeans (de marque) et passe un blazer par-dessus un polo à manches longues. Style détendu mais classe, ce que j'imagine devoir convenir dans le milieu rural évolué. Je prends la 300C moins m'as-tu vu que la SLS.
Quand j'arrive, Ludovic est dehors avant que je ne mette un pied sur le sol. Il m'embrasse sur la bouche et me dit qu'il avait négocié ça avec ses parents. Je le remercie, c'est moins brutal comme contact. Il ajoute de ne pas faire attention à son petit frère qui est d'une curiosité maladive envers moi et me dit que Côme est là.
Je le suis, pénètre dans une entrée où trône une tête de cerf impressionnante. Vaut mieux ne pas être WWF ici ! Je le suis jusqu'au salon. Ses parents se lèvent pour m'accueillir. Je prends la main de madame et me penche légèrement dessus. Celle de monsieur est ferme sans être conflictuelle. Côme me salut et le petit frère se permet de m'embrasser sur la joue pour la provoque je pense. Ce qui lui vaut un regard noir de son père.
Je n'en mène pas large et pourtant j'ai rencontré des personnes autrement plus importantes qu'eux, mais aucune dans ces circonstances. Intérieurement je maudis PH de ne pas avoir accepté la corvée. Le père me sert un Martini (faut garder les idées claires ce soir) alors qu'il prend un whisky bien tassé.
La conversation est neutre, études, famille. Madame me demande si je suis de la famille d'Emma X. Je confirme que c'est ma mère. Elle manque de s'étouffer vu notre différence d'âge (entre ma mère et moi). J'ajoute rapidement qu'elle m'a adopté quand mes propres parents sont décédés. Excuses de sa part, je minimise l'impact. Mais j'ai l'impression que ça me rends plus " sympathique ". Le père entre dans le vif du sujet. Il me dit qu'il me trouve gentil mais que nous sommes jeunes, surtout Ludovic. Ludo se récrie que ce n'est pas une raison pour ne pas savoir reconnaitre les sentiments quand ils se développent entre deux êtres. J'ajoute qu'effectivement nous le sommes mais que c'est aussi le moment des expériences, des essais pour savoir nos véritables natures. Que je suis conscient que Ludovic pourrait me quitter d'ici quelques temps même si ce n'est pas ce que je souhaite. J'accepte le défi. Il me répond que ce n'est pas un jeu. J'ai loupé !! J'argumente sur le fait que je suis là pour son fils parce qu'il me plait énormément, que j'ai de forts sentiments pour lui et que c'est réciproque. C'est pas évident de se dévoiler comme ça devant des inconnus !! Surtout quand le petit dernier sort " ils sont amoureux ". Ce qui lui vaut d'être éjecté de la salle.
Je rappelle que j'ai 25 ans et que je suis conscient du trouble que je provoque dans cette maison. J'ajoute que si cela n'avait pas été moi, cela aurait été un autre, la nature de leur fils n'étant pas de leur ramener une gentille jeune fille.
Côme entre dans la conversation. Il dit à son père qu'il connaissait les penchants de son frère depuis leurs apparitions et qu'il ne l'avait encore jamais vu aussi épanoui et heureux que depuis qu'il me connaissait. Il doit avoir l'oreille du père car cela clos la discussion. Elle repart sur des banalités jusqu'à ce que la mère m'invite à diner. Côme me fait un signe d'accepter et je m'excuse pour m'isoler et appeler PH. Bref résumé, il me dit qu'il dinera seul que ce n'est pas un souci qu'il a pas mal de travaille. Je l'aime ce mec !
Au diner le petit dernier est de retour mais il a dû être briefé car il se retient de sortir des vannes vaseuses. Dans la discussion, quand le père apprend que je suis déjà dans le conseil d'administration des sociétés de ma mère, cela me pose. Et du coup quand Ludovic demande plus de liberté quant au fait de découcher du nid familial, il obtient satisfaction sous conditions qu'il réussisse tous ses partiels. J'assure qu'étant moi-même encore en 4ème année d'école de commerce, je veillerai à ce qu'il ne les loupe pas.
Quand je les quitte, on ne se tape pas dans le dos (c'est pas le genre) mais il règne entre nous une entente cordiale. Malheureusement Ludovic ne me suis pas !!
Il sera avec nous le soir suivant. Racontant à sa façon le diner de la veille à PH. Là, je m'aperçois qu'il a beaucoup d'humour.
La rencontre avec Marc s'est passée idéalement. Mon mec a craqué devant son physique et Ludo s'est adapté avec un naturel suspect. Je saurais plus tard qu'il avait cuisiné PH pour ne pas faire d'impairs avec Marc.
Notre première nuit à 4 s'est terminée au matin, tous morts de fatigue et les couilles sèches. Heureusement qu'on était un vendredi soir ! Je crois bien que Ludovic s'est fait enculer par chacun d'entre nous et qu'il nous a tous pompé au moins une fois. Après sa prestation, les 22x6 de Marc ne lui ont pas posés de problème. Nous n'avons jamais été deux couples cote à cote mais un quatuor en train de faire l'amour. Je me suis surpris à penser que Marc était même beaucoup plus doux avec Ludovic qu'il ne l'avait jamais été avec nous autres (PH, Ernesto et moi). Une nuit de folie où les caresses ont succédé à des enculages de folie, me rappelant par bien des aspects les retours d'Ernesto à la maison, quelques cm en moins mais la douceur en plus. J'ai adoré mon 69 avec Ludovic alors que Marc m'enculait et que PH faisait de même à mon partenaire. Tout comme lorsque c'était moi qui l'enculait alors qu'il se faisait celui de PH pompant Marc. Je pense qu'on a dû tous juter au moins 4 fois dans la nuit. Ce qui est sûr c'est qu'on n'a pas débandé pendant des heures.
Au déjeuner du lendemain (petit, déjeuner sauté), Marc me dira combien notre choix l'avait ravi. Encore plus que tous ceux que je lui avais ramené exception faite de PH et Ernesto bien sûr.
Jardinier
workers team
~~
innocent crowd
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propaganda material
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Mon ami sur Discord se demandait pourquoi Roseille n'a pas essayé de parler à Kassis plutôt que de nous laisser nous occuper de Kassis. Mais le truc c'est que justement quand on a signé pour affronter le conseil 4. Et que Roseille essaye de lui parler, Kassis lui dit clairement de la fermer. Donc ouais, Kassis n'est pas réceptif à parler avec sa soeur. Peut être qu'avant qu'on arrive, Roseille a essayé de lui parler mais son petit frère l'a envoyé bouler car il veut se focaliser sur son entraînement !
Elle nous dit même ce qui ne va pas avec Kassis. Et au fond je pense qu'elle comprend pas ce changement radical. Le fait qu'elle dise "C'est juste une phase." C'est la seule raison qu'elle a réussit à trouver suite à son comportement. Mais je pense qu'elle se doute que quelque chose ne va pas mais n'arrive pas à trouver les mots pour l'expliquer ! Oui Roseille n'a pas été la meilleure des soeurs on l'a vu. Or je sais pas si quelqu'un d'autre l'a remarqué, mais après l'incident des statues d'Adoramis. Roseille ne le rabaisse plus à ce moment là !
Le fait que justement elle a du mal à parler son frère, fait d'elle une grande soeur assez réaliste. On voit qu'elle se soucie de lui mais comme Kassis ne semble vouloir ni écouter sa grande soeur ni même Irido. Et que le seul qu'il veut bien nous entendre, c'est nous ! Je peux comprendre pourquoi Roseille veuille nous confier Kassis. Car pendant l'histoire, la seule personne dont Kassis est obsédé de vaincre c'est nous ! Donc on est mieux apte à ce qu'il nous écoute contrairement aux autres.
My friend on Discord was wondering why Carmine didn't try to talk to Kieran instead of leaving us to deal with Kieran. But the thing is, just when we've signed up to take on Council 4. And Carmine tries to talk to him, Kieran clearly tells her to shut up. So yeah, Kieran isn't receptive to talking with his sister. Maybe before we got there, Carmine had tried to talk to him, but his little brother told her to get lost because he wanted to focus on his training!
She even tells us what's wrong with Kieran. And deep down I don't think she understands this radical change. The fact that she says "It's just a phase." It's the only reason she's managed to find for his behavior. But I think she knows something's wrong but can't find the words to explain it! Yes, Carmine hasn't been the best of sisters, as we've seen. Now I don't know if anyone else has noticed, but after the Loyal Three statue incident. Roseille didn't belittle him then!
The fact that she has trouble talking to her brother makes her a rather realistic big sister. We can see that she cares about him, but Kieran doesn't seem to want to listen to his big sister, or even Drayton. And the only one he'll listen to is us! I can understand why Carmine wants us to look after Kieran. Because during the story, we're the only person Kieran is obsessed with defeating. So we're more likely to get him to listen to us than the others.
#pokemon#pokemon sv#indigo disk#indigo disk spoilers#carmine#kieran#Carmine has a tough love for her brother#Before she probably thought Kieran understood this tough love#But it didn't it only reinforced his insecurities#By the time she realized it it was too late
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19 janvier 1945, condamnation à mort de ROBERT BRASILLACH (1909-1945) Nous vous proposons la recension du livre Ph Bilger sur ce procès inique par Dominique Venner dans la NRH: "Le courage est rare. Il en a fallu beaucoup à l’avocat général Philippe Bilger pour écrire ce livre comme il l’a fait. Un livre qui est une interrogation sur la justice et un réquisitoire à l’encontre des magistrats de l’Épuration. Vingt minutes pour la mort. Robert Brasillach : le procès expédié Le prétexte lui est offert par le procès de Robert Brasillach, dont la mort programmée, fut exécutée à l’aube du 6 février 1945. M. Bilger rappelle que les magistrats de l’Épuration venaient tous de Vichy : « Ils n’ont même pas retourné leur veste intellectuelle et judiciaire. Tout naturellement, ils ont glissé d’un rôle à un autre, d’une sévérité à une autre et ont osé donner des leçons à un accusé qui s’était engagé là où eux avaient agi en fonctionnaires. J’ai en horreur tous ces salamalecs, ces courtoisies de façade, cette absurde et feinte chevalerie judiciaire qui laisse croire à des combattants loyaux quand les dés étaient pipés. » Au passage, l’auteur révèle quelques chiffres ignorés. Sous Vichy, entre 1941 et 1944, les juges des juridictions d’exception ont prononcé 19 condamnations à mort suivies d’une seule exécution. À la Libération, les mêmes magistrats siégeant dans les cours de justice ont édicté près de 7 000 condamnations à mort, dont 767 suivies d’exécution. La magistrature a franchi tranquillement la frontière entre la légalité de Vichy et la légitimité du nouveau pouvoir gaulliste, sans trouble apparent, obéissant à ce qui lui était demandé. Dans ce livre d’une rare probité, Philippe Bilger examine le rôle et le comportement des acteurs du procès de Robert Brasillach, le 19 janvier 1945. Six heures, sans instruction préalable, et vingt minutes de délibéré, pour parvenir à la décision de mort, prévue à l’avance. L’accusé, d’abord, Robert Brasillach, 36 ans. « Un être plein de contradiction » écrit M. Bilger qui fait du critique littéraire, du romancier tendre et léger, du poète et du polémiste violent, un portrait juste et nuancé dans l’ensemble. Surtout, il lui reconnaît l’intelligence et le courage d’avoir compris par avance qu’il serait seul contre tous et que son unique recours, face aux juges et à l’Histoire, serait de bien se tenir : « Le dernier mot de la morale reste l’allure ». Et d’allure, à aucun instant, Brasillach n’en a manqué. M. Bilger est beaucoup plus réservé sur son avocat, Me Isorni, dont l’intégrité n’est pas en cause. Mais, dit-il, cet avocat n’avait pas mesuré la réalité implacable de ce type de procès jugé d’avance, hors de toute justice. Au passage, et par contraste, il rend hommage à la « défense de rupture » adoptée par Me Vergès dès la guerre d’Algérie. Un type de défense qui récuse la légitimité des juges et soutient le bon droit d’un accusé que l’on sait condamné. Mais, on l’a dit, l’avocat général Bilger se montre surtout indigné en connaissance de cause par les magistrats de ce procès inique. L’ayant lu, il serait difficile de ne pas partager son indignation.
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Vent post sur la parentalité
Pour rester dans le thème.
Ça fait des semaines, voir des mois que j'y réfléchis.
Je ne pense toujours pas vouloir d'enfants. Et c'est toujours la crainte que ça puisse casser notre couple d'ici quelques années (mon compagnon n'y pense pas du tout pour le moment et ne sait pas s'il en veut)
Pour moi ça serait vraiment briser ma vie. Déjà que j'arrive pas à me "gérer" au quotidien (+ le fait que j'ai encore du mal à accepter que c'est aussi car je suis handicapée et que c'est une des raisons pour lesquelles que faire les tâches ménagères c'est compliquer).
Le manque d'intimité, avoir la tête prise 365j/24h par un être qui est totalement dépendant. Très probable que ce soit un point négatif pour mon bien être mental et crises d'hypersensibilité.
Je n'arrive pas à m'imaginer me faire appeler "maman" ni d'avoir le rôle de mère. Je pense que je DETESTERAI la partie grossesse/accouchement = je veux pas voir mon corps changer. C'est encore un parcours pour l'accepter. Et la dysphorie que je risque d'avoir ???
Je sais que mon compagnon serait un parent formidable. Je pense que sur le plan pratique/matériel je serais irréprochable, faire attention à sa sécurité/santé/bien être. Mais tout ce qui touche au plan émotionnel je n'arrive pas à m'imaginer avoir un lien avec, un affect, ou un rapport "classique" d'amour avec un enfant.
Déjà que j'arrive pas me dire que "j'aime" ma famille. Je sais que mes parents sont cools, je m'entend relativement bien avec ma sœur. Mais sans plus. Mes cousins/oncles et tantes sont drôles et sympas. Mais pareil, je ne sais pas si j'arrive à me dire que j'ai un affect avec. Si on n'avait pas été de la même famille, probable que jamais je n'aurais essayer de tisser des liens avec.
Je l'ai vu avec ma nièce. Je réagis, j'essaye de "jouer" mais comparer à tous ceux qui jouent avec elle, je suis le moins tactile possible, je garde mes distances, je force pas les bisous et n'en donne pas (pareil pour les câlins). Je sens que je ne sais pas comment me comporter.
Je l'ai aussi dit à mon compagnon. Si jamais on en vient au point d'accord d'avoir un enfant (naturellement). Je veux être le parent qui sort en premier du congé parentalité pour amener l'argent du foyer et "fuir" ma responsabilité. Et aussi que j'ai envie de m'investir un "minimum".
C'est hyper égoïste (ptdr l'argument qu'on donne aux personnes qui n'en veulent pas et qui en veulent aussi) mais vraiment le seul truc qui me motive à avoir un enfant, c'est que je sais que moi et mon compagnon, on lui inculquerait des bonnes valeurs et qu'il sera le mieux entourer pour son éducation (au sens large).
Donc je pense que je ne serais pas un bon parents d'un point de vue interne au bordel car je m'imagine pas être capable d'être impliquée émotionnellement, que cet enfant sera le malheur de mon futur mal être personnel. Mais que de l'extérieur, personne captera car je serais un minimum impliquée.
Les seuls points positif que je vois = au bout de quelques mois de grossesse le ventre sera un support PARFAIT pour reposer mes poignets quand je jouerais aux jeux vidéo. J'espère que j'aurais le vagin plus lâche/détendu. Ce qui me permettra de pas me sentir irritée après chaque rapport (pourtant j'utilise des lub hydratants, et j'ai même fait une cure pour améliorer ma flore. Ça n'a quasi rien fait). Et apparemment, le bordel hormonal fera que j'aurais peut être moins de troubles de l'humeur liés aux hormones car vraiment, c'est de plus en plus insupportable avec les années.
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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En ce qui concerne les normes sociales, il me semble que de nos jours, il existe plusieurs membres de notre société qui sont victimes de ces exigences. Nous laissons les autres dicter la façon dont nous devrions vivre, et les actions plus importantes pour notre développement personnel. En fait, c'est une société qui crée une personne qui se laisse marcher sur les pieds.
Par rapport au livre de Marie Darrieussecq, un aspect clairement évident est que la narratrice n'est pas en charge de ses actions. À cause de trouble financière, elle est mis dans une position où un directeur de parfumerie prend en charge le futur de son corps. En étant une prostituée, elle vent son corps pour satisfier plutôt le directeur à la place de ses clients et elle-même. Par conséquent, elle ne sent aucune raison d'être en vie, sauf une fausse idée que son corps est seulement avantageux quand les autres en profite, et quand elle présente un niveau de beauté que les autres trouvent convenables.
Cependant, ce mécanisme de la pensée change vers la fin du livre, et la narratrice se rend compte que sa forme de truie réalise une vie plus simple et paisible. C'est-à-dire, quand elle décide à rejeter les normes sociales épouvantables, elle trouve une meilleure vie. Comparé à notre société actuelle, je crois que la majorité d'entre nous pourrait profiter d'une décision similaire à la narratrice. Trop souvent, c'est les personnes autours de nous qui influence comment nous devrions se comporter. Néanmoins, cela peut provoquer un grand manque d'estime de soi. Parfois, la meilleure décision est de s'en moquer complètement de l'opinion des autres, et de faire uniquement les choix idéales pour notre avenir en tant qu'individus!
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