#une chaîne de merde
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#youtube#humour#deepfake#ia#parodie#emmanuel macron#brigitte macron#danielle cohn#chef d'ouvre#une chaîne de merde
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Mais en fait lui j'en ai trop marre en vrai qu'est ce qu'il fout là ?

Genre Bayrou premier degré s'est dit c'est OK d'avoir ce connard comme ministre mais on vit dans un putain de zoo I swear 🤡🤡🤡
TOUS LES JOURS il lâche un truc ultra raciste ou islamophobe. Les propos discriminants en France c'est illégal aux dernières nouvelles mais visiblement tu peux passer sur BFM et balancer des dingueries impunément ptdr.
Ca me saoule j'ai envie de pleurer j'en ai marre de ces politiciens de merde, ouvrez lui une chaine youtube et laissez le faire ses stand-up raciste avec 200 vues pitié qu'il se barre de nos chaînes de TV et du gouvernement
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Contexte
Liverpool, 1984.
"T'étais où?"
Sa voix éraillée me fait sursauter. Je cesse d'appeler le chat et me redresse, le coeur battant, dans un cliquetis de métal, de chaînes et de cuir. Les Sex Pistols hurlent dans mes oreilles et c'est d'une main tremblante que je laisse tomber mes écouteurs le long de mon cou. Je n'ai pas le courage de peser sur Pause. Ma mère a encore bu. Enfin... je crois. Quelque chose cloche. Il y a cette odeur de tabac froid et de fer dans le living-room et de... quelque chose. Quelque chose qui me serre la gorge et me donne envie de reculer, de fuir. Un relent épais, stagnant, comme si la maison elle-même avait commencé à pourrir de l’intérieur. Une odeur de suie rance et d’eau noire, celle des ruelles détrempées après les émeutes. Celle des quais, quand la vase remonte et qu’on jurerait sentir des choses mortes sous la surface. La maison est toute noire. Je distingue à peine sa frêle silhouette, sur le fauteuil. La fumée de sa cigarette et sa tête, affaissée sur l'accoudoir.
Je déglutis, ma mère n'est plus elle-même depuis des mois, déjà. Des conneries. Des oublis. Des chutes de toutes sortes. Des délires apocalyptiques. Papa dit que c'est les nerfs. On n'a plus d'argent depuis qu'il a perdu son boulot, au Port. On va perdre la maison. Et Billy... Billy a cette maladie dont on ne doit pas parler, vous comprenez? Ils appellent ça le Sida, maintenant.
Thatcher nous a abandonné. Il n'y a plus de boulot pour personne. Plus d'espoir. Plus rien. Rien que des vies brisées, des émeutes et de la violence, ici, à Toxteth. Parfois, j’ai l’impression que la ville entière devient comme elle, comme ma mère. Flasque, creuse, vidée de tout sauf de sa propre merde.
"Allez 'Man. Viens te coucher, tu veux?"
Je fais un pas. Un pas de trop.
Je perds l'équilibre. Je glisse. Je tombe. C'est chaud, c'est visqueux. C'est poisseux, sous mes mains. Ça pue, bon sang, ça pue… le cuivre, la charogne et cette maudite odeur rampante qui me prend à la gorge. Et c'est quand je la vois se tordre et se lever en craquant que je comprends.
Ce n'est plus ma mère que j'ai en face de moi.
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste.
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais.
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes.
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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Ce projet pourrait-il vous intéresser, finalement?
J'ai mis le projet sur PRD et deux serveurs Discord mais je peine à recevoir des avis. Le projet sur PRD : https://www.pub-rpg-design.com/t143350-what-feast-at-night-surnaturel-horreur-16
Ce projet vous intéresse-t-il? Auriez-vous des envies particulières, etc?
Je suis vraiment ouvert aux commentaires et suggestions. Je veux que ça marche, cette fois-ci!!!
Puis-je avoir vos commentaires? Les do & don't? Merci!!!
Contexte
Liverpool, 1983.
"T'étais où?"
Sa voix éraillée me fait sursauter. Je cesse d'appeler le chat et me redresse, le coeur battant, dans un cliquetis de métal, de chaînes et de cuir. Les Sex Pistols hurlent dans mes oreilles et c'est d'une main tremblante que je laisse tomber mes écouteurs le long de mon cou. Je n'ai pas le courage de peser sur Pause. Ma mère a encore bu. Enfin... je crois. Quelque chose cloche. Il y a cette odeur de tabac froid et de fer dans le living-room et de... quelque chose. Quelque chose qui me serre la gorge et me donne envie de reculer, de fuir. Un relent épais, stagnant, comme si la maison elle-même avait commencé à pourrir de l’intérieur. Une odeur de suie rance et d’eau noire, celle des ruelles détrempées après les émeutes. Celle des quais, quand la vase remonte et qu’on jurerait sentir des choses mortes sous la surface. La maison est toute noire. Je distingue à peine sa frêle silhouette, sur le fauteuil. La fumée de sa cigarette et sa tête, affaissée sur l'accoudoir.
Je déglutis, ma mère n'est plus elle-même depuis des mois, déjà. Des conneries. Des oublis. Des chutes de toutes sortes. Des délires apocalyptiques. Papa dit que c'est les nerfs. On n'a plus d'argent depuis qu'il a perdu son boulot, au Port. On va perdre la maison. Et Billy... Billy a cette maladie dont on ne doit pas parler, vous comprenez? Ils appellent ça le Sida, maintenant.
Thatcher nous a abandonné. Il n'y a plus de boulot pour personne. Plus d'espoir. Plus rien. Rien que des vies brisées, des émeutes et de la violence, ici, à Toxteth. Parfois, j’ai l’impression que la ville entière devient comme elle, comme ma mère. Flasque, creuse, vidée de tout sauf de sa propre merde.
"Allez 'Man. Viens te coucher, tu veux?"
Je fais un pas. Un pas de trop.
Je perds l'équilibre. Je glisse. Je tombe. C'est chaud, c'est visqueux. C'est poisseux, sous mes mains. Ça pue, bon sang, ça pue… le cuivre, la charogne et cette maudite odeur rampante qui me prend à la gorge. Et c'est quand je la vois se tordre et se lever en craquant que je comprends.
Ce n'est plus ma mère que j'ai en face de moi.
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Le TOC
Je regarde mon chat qui me regarde. Ses grands yeux verts me scrutent. Je ne sais pas à quoi il pense. Il a le regard vif, il y a clairement bien des choses qui se passent dans cette petite caboche adorable. Lui, il ne se doute pas des pensées qui traversent mon esprit à chaque millième de seconde.
Des pensées qui virevoltent, qui se bousculent. Ma tête est Times Square un samedi soir. Les touristes ne sont pas les plus bienveillants dans ce cerveau-là. Ils polluent l’atmosphère en criant des injures, en peignant des portraits irréalistes, en créant des scénarios qui relèvent de la folie furieuse.
Ce sont les pires artistes que j’ai rencontrés.
Et ils s’invitent comme ça, dans ma tête, en me montrant leur art désastreux en boucle. Sans cesse. Sans relâche.
Ils vont puiser leur créativité dans mes failles, mes travers, mes doutes. Leur plus grande inspiration demeure ma confiance en moi. Cette partie si fragile de ma personnalité leur donne du gaz à l’année. Une mine d’art.
À chaque pensée se dessine une image plus défaitiste de moi, ils me donnent une vision sans futur. L’un d’eux est en train de me convaincre que je suis fondamentalement laide. Dans tous les sens du terme, de long en large. Que je ne suis pas drôle, que je suis moche, que je ne m’habille pas bien, que j’ai pris du poids et que c’est mal, très mal, ça. Vieux grossophobe. Que je ne mérite pas l’attention des gens, moi, l’attention whore.
Ce sont les maîtres de l’horreur et je ne suis qu’une visiteuse dans cette galerie de mauvais goût.
(Remarquez que j’utilise seulement le masculin dans cette explication.)
Et moi, je suis là.
Au beau milieu de ce brouhaha qui me fait perdre l’horizon, au détriment de ma santé mentale. Je les regarde faire, je les observe m’enlever des bouts de moi qui me sont chers, vitaux. Je les regarde piétiner mon art, celui de me faire une vie où il fait bon vivre. Ils élisent domicile dans un havre de paix qui ne leur appartient pas. Ils font un sit in sans cause.
Je les regarde, parce que se battre contre eux à chaque seconde de ma vie devient épuisant. Ils ne gagneront jamais même s’ils gagnent du terrain à certains moments. Je dois simplement cohabiter avec leur essence malveillante.
Ils ne me définissent pas.
Ils sont là pour me nuire. Mon art, la vie que je me crée, ce texte que j’écris à l’instant, est plus fort que toute cette merde qu’ils produisent à la chaîne.
Que leurs portraits ne sont pas des miroirs.
Que mon art et moi, sommes les seuls qui méritent d’être exposés.
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Voilà les daubes qui vont prendre place après la disparition des merdes que sont C8 et NRJ12... Réel TV une chaîne soutenue par un milliardaire tchèque dont l'agenda n'est pas très clair et dont l'ambition est de faire du débat tout en pratiquant la concentration dans les médias. Gageons que cela va surtout se concrétiser par une propagande parée des atours de la pensée et de la démocratie inspirée par le printemps républicain et toute la clique de faussaires qui y collaborent, Barbier, Enthoven , Fourrest, Gisbert alias demi couille molle et bien d'autres merdeux clairement positionnés sur l'islamophobie, le sionisme, le libéralisme économique, l'instrumentation des services publics à des fins privées, l'antiracisme à géométrie variable et le néo colonialisme. Ça promet....
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Comment éberluer, tenir dans les chaînes toutes ces viandes mornes ?… en plus des discours et de l’alcool ? Par la radio, le cinéma ! On leur fabrique des dieux nouveaux ! Et du même coup, s’il le faut, plusieurs idoles nouvelles par mois ! de plus en plus niaises et plus creuse ! M. Fairbanks, M. Powell, donnerez-vous l’immense joie aux multitudes qui vous adulent, de daigner un petit instant paraître en personne ? dans toute votre gloire bouleversante ? épanouissime ? quelques secondes éternelles ? sur un trône tout en or massif ? que cinquante nations du monde puissent enfin vous contempler dans la chair de Dieu !… Ce n’est plus aux artistes inouïs, aux génies sublimissimes que s’adressent nos timides prières… nos ferveurs brûlantes… c’est aux dieux, aux dieux des veaux… les plus puissants, les plus réels de tous les dieux… Comment se fabriquent, je vous demande, les idoles dont se peuplent tous les rêves des générations d’aujourd’hui ? Comment le plus infime crétin, le canard le plus rebutant, la plus désespérante donzelle, peuvent-ils se muer en dieux ?… déesse ? recueillir plus d’âmes en un jour que Jésus-Christ en deux mille ans ?… Publicité ! Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l’or et devant la merde !… Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n’eut jamais dans toutes les pires antiquités… Du coup, on la gave, elle en crève… Et plus nulle, plus insignifiante est l’idole choisie au départ, plus elle a de chance de triompher dans le cœur des foules… mieux la publicité s’accroche à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie… Ce sont les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture.
Céline, « Bagatelles pour un massacre », 1937, dans Écrits polémiques, Québec, Éditions 8, 2012, p. 60.
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Je l'aime tellement. Je suis tellement bien avec lui. Il a chez moi une chambre imaginaire, avec son nom sur la porte, les couleurs que je lui associe sur le papier peint. Une bibliothèque avec des livres que je lis sur un pouf. Une table basse, une penderie, un meuble avec une chaîne hi-fi, une bouilloire et une lampe sur une tablette, un fauteuil, un canapé.
Je voudrais pouvoir passer mes journées dans cette chambre. Peut-être qu'un jour, j'y ajouterai un lit et de quoi cuisiner.
Zut. Cette blague ne le fait pas rire. L'humour visuel, ce sera pas avec lui.
Mince. Il m'a expliqué pourquoi les personnages de dessins animés ont quatre doigts par main, mais il a pas su biiieeen m'expliquer pourquoi. Les compréhension en profondeur, ce sera pas avec lui.
Je ne peux pas tout partager avec lui, c'est normal. Il ne peut pas me combler entièrement. Je dois aller un peu dans d'autres pièces.
Merde. Il boude parce que je ne peux pas le voir ce soir. La vulnérabilité dans la communication, ce ne sera pas avec lui.
Et petit à petit, comme ça, je retire un meuble de sa chambre imaginaire.
Flûte.
Allez, encore un meuble.
Et puis un jour, j'entre dans sa pièce imaginaire. Elle a toujours son nom sur la porte, toujours ses couleurs aux murs. Mais elle résonne.
J'ai déplacé les meubles un à un. Ils encombrent pour l'instant le salon, je n'ai pas trouvé la pièce adéquate.
Je l'aime toujours. C'est toujours chez moi. Mais j'y vais moins souvent. J'ai moins l'élan. Alors, à quoi bon chauffer cette pièce ?
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Un fournisseur de carburant norvégien décrète un embargo contre les navires de guerre américains.
Les manipulations du Grand Satan ont fini par lasser.
Finalement, les Européens montrent des signes de virilité contre l’occupant américain.
Il est dommage que ce soit au prétexte de l’affaire ukrainienne, mais toute activité qui précipite le départ de ZOG du continent est une avancée stratégique.
United Kingdom Defense Journal :
Dans une déclaration ferme, l’entreprise a critiqué un événement télévisé impliquant le président américain Donald Trump et le vice-président J.D. Vance, le qualifiant de « plus grand spectacle de merde jamais présenté en direct à la télévision ». Haltbakk Bunkers a félicité le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour sa retenue, accusant les États-Unis d’avoir « organisé un spectacle télévisé de poignardage dans le dos » et déclarant que le spectacle « nous rendait malades ».
En conséquence, la société a déclaré : « Nous avons décidé de cesser immédiatement de fournir du carburant aux forces américaines en Norvège et à leurs navires faisant escale dans les ports norvégiens. Pas de carburant pour les Américains ! Haltbakk Bunkers a également exhorté les Norvégiens et les Européens à suivre son exemple, concluant sa déclaration par le slogan « Slava Ukraina » en soutien à l’Ukraine.
Haltbakk Bunkers est un fournisseur de carburant norvégien qui fournit du carburant marin pour les navires et les opérations militaires. Basée à Kristiansund, en Norvège, l’entreprise est spécialisée dans les services de soutage pour les navires opérant dans les eaux norvégiennes, et propose des services de logistique et de distribution de carburant pour les clients civils et militaires. Haltbakk Bunkers joue un rôle important dans l’industrie maritime norvégienne, en fournissant du carburant aux navires faisant escale dans les ports norvégiens, y compris aux forces de l’OTAN et aux forces alliées. La décision de couper les vivres à l’armée américaine pourrait avoir des conséquences logistiques sur les opérations navales américaines dans la région. La Norvège est un membre clé de l’OTAN et accueille fréquemment des forces américaines et alliées pour des exercices conjoints et des opérations de défense de l’Arctique. Cette annonce soulève des questions sur la position européenne au sens large à l’égard de la politique des États-Unis vis-à-vis de l’Ukraine et sur la possibilité que d’autres entreprises ou gouvernements prennent des mesures similaires. Elle met également en évidence la manière dont les entreprises privées européennes réagissent de manière indépendante aux développements géopolitiques. Les États-Unis n’ont pas encore réagi à cette décision et il reste à voir si cela affectera les chaînes d’approvisionnement en carburant des forces américaines opérant en Norvège et dans la région de l’Atlantique Nord.
On peut toujours pester contre le fait que ce soit par soutien à Zelensky, mais je préfère voir les choses sur le temps long.
Plus vite cet état dégénéré judéo-américain sera chassé du continent, plus vite la race blanche se régénérera.
Cette affaire ukrainienne sera réglée tôt ou tard et nous finirons par trouver un terrain d’entente avec la Russie. Le plus important est de libérer l’Europe de ces empoisonneurs enjuivés qui ont ravagé notre culture depuis 1945.
Imaginez être occupé par une armée négro-hispanique dont le pays est en passe d’être à majorité non-blanche et qui n’a pour raison d’être que de servir Israël.

C’est ce que représente chaque base américaine sur le continent.
Ces occupants doivent partir et leurs laquais être purgés.
Démocratie Participative
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Mort de C8 : La gauche scélérate nous prive des libertés ?

C’est officiel, mesdames et messieurs, la gauche française a décidé que trop de liberté d’expression, c’était dangereux. C8 la chaîne du peuple, la télé des vrais, la dernière tranchée de la libre parole ... ferme ! La disparition de Touche Pas à Mon Poste marque la fin d’une époque. Une décision venue d’en haut (très haut, trop haut ?) Apparemment, ce serait le secrétaire général de l’Élysée, le franc-maçon qu'est Alexis Kohler qui aurait monté un dossier pour l'arrêt de C8 parce qu'il veut vraiment contrôler l'audiovisuel", a-t-il déclaré, ajoutant que le président de l'ARCOM, Roch-Olivier Maistre, aurait également été dans la confidence et que le président de la République n'était pas averti de cela. Une sentence politique, un assassinat médiatique Derrière cette mise à mort télévisuelle, on retrouve un gouvernement à la sauce quinoa-bio-sans-gluten, qui ne supportait plus de voir des chroniqueurs oser dire ce que la majorité silencieuse pense tout bas. À l’Élysée, certains rêvaient d’un pays où tout le monde regarderait des documentaires sur l’élevage des vers de terre en Corrèze. Le couperet est tombé, Hanouna censuré, TPMP sacrifié sur l’autel du politiquement correct. Fini les débats passionnés sur les vraies questions de société, fini les invités venus de tous horizons, fini le seul endroit où on pouvait encore rigoler. La gauche vous condamne a regardé leur merde de Quotidien, émission de gauche pour bobo parisien. Je crache sur Yann Barthès, ce cafard qui doit bien se frotter les mains. Sauf si les français boycottent les chaîne du service public. Une France orpheline Des millions de téléspectateurs se retrouvent dépossédés de leur chaîne préférée, contraints de zapper entre une émission sur l’architecture de la Renaissance et des rediffusions sur TMC». La dernière lueur de populisme cathodique s’est éteinte. Dans les rues, les fans sont en pleurs. Un certain Jean-Michel, 48 ans, amateur de chips et de punchlines, confie : « Je rentrais du boulot, je m’installais avec ma bière, et je me marrais. Maintenant, quoi ? Je vais devoir regarder Quotidien ? » Et maintenant ? Une seule chose est certaine : le combat ne fait que commencer. La fin d’une liberté ? Ceux qui se réjouissent de cette fermeture feraient bien d’y réfléchir à deux fois. Aujourd’hui, C8. Et demain ? À quand la censure de Gulli pour propos trop enfantins ? France 2 supprimée pour trop de reportages sur les agriculteurs ? C’est la porte ouverte à un monde où il ne restera plus qu’une seule chaîne : Quotidien, en boucle, 24h/24. C8 n’était pas qu’une chaîne, c’était un rempart contre l’ennui. Une voix différente. Une télé pour le peuple. Et aujourd’hui, on nous l’arrache. Si tu l'aime pas tu zappe ! Encore un déchet de ce gouvernement qui veux diriger le monde depuis leur fauteuil ! Le français, prend sur soit ,s'enrage et en silence attend que cette putain de guerre dans ce pays éclate pour aller nettoyer de l’intérieur tout les cafards, les nuisibles et la vermine qu'il y a dans ce que l'on appel encore, le gouvernement. Repose en paix, C8. Tu nous manqueras. David SCHMIDT Read the full article
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REQUIEM DE LA RUINE I LA MUSIQUE EST-ELLE À OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE ?
Ça ressemblera à quoi la musique dans 100 piges? Vu l’invasion de merdes et de copier/coller qu’on se mange déjà depuis 10 ans sur les ondes, qu’elles soient radio, hertziennes ou WiFi, j’ose même pas imaginer le Q.I type d’un mélomane dans 100 ans. Un siècle, c’est 4 générations à peine… Au rythme où tout s’écroule, ça devrait atteindre des scores qui avoisinent ceux d’un morceau de pâté oublié au fond du frigo… Pour la frange cérébrale du cheptel, on peut toutefois espérer des pointes franchissant, non sans mal, le seuil dit de « l’idiotie », un bon 32 pour les plus vifs! Sachant que « l’idiotie » est comprise entre 30 et 50 points de Q.I, soit une gamme d’individus allant de l’arriéré profond au rappeur sous-prolétaire du genre haineux sans raison, autant dire que ça ouvre la porte sur de bien belles perspectives tout ça…
Pour l’instant, rassurez-vous, nous ne sommes encore qu’au stade de l’aliénation, qui est, il faut bien l’admettre, en passe d’atteindre son apogée… depuis que la musique est devenue l’Industrie de la musique et qu’on fait des chansons comme on vend du dentifrice, en tube et à la chaîne, tout ce qui sort des grandes majors n’est plus qu’une copie, d’une copie d’une copie, d’une énième copie, déjà surplagiée, maintes fois reprise, usée, remixée, 50 fois rapiécée…
« Heureux qui comme Skrillex a fait un bon bouap-bouap. »
Pour ceux qui ont autre chose que du carton à la place des tympans, si on écoute attentivement, une majeure partie de la production phonographique occidentale ne tourne au fond que sur les 3 mêmes accords péraves, tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre, et le même boom boom binaire en fond… et accélère le tempo de 10 points tiens! Rajoute une octave pour voir! Nickel, c’est dans la boîte! Sans déconner, c’est pas avec 3 brins de ciboulette qu’on révolutionne une recette de cuisine, enfin… à peu de choses prêt, c’est plus ou moins la même tambouille qu’on nous ressert à chaque fois. Heureusement, nous avons encore le libre accès à toute la bonne musique du monde grâce au net mais pour combien de temps? Qui nous dit que demain, Valls et sa clique ne feront pas passer une loi condamnant toute personne prise en flagrant délit d’écouter autre chose que NRJ ou Radio FG à 7 ans d’emprisonnement pour incitation à la haine raciale et trouble à l’ordre public?
De toute façon, c’est à l’usine comme à l’usine! Comme tout bon produit manufacturé qui se respecte, la chanson n’échappe pas à la règle de l’obsolescence programmée. Au même titre que vos Mac Book ou que vos micro-ondes sont programmés pour tomber en rade à une date bien précise, et de manière nette et définitive – bizness is bizness – en sortie de chaîne, la durée de vie d’une chanson ne vaut pas mieux que celle d’un T-shirt H&M ou un yahourt aux fruits. La musique, au final on n’en a rien à carrer, c’est secondaire tout ça. La musique, c’est juste la bande son du produit qu’on cherche à placer en tête de gondole, à savoir « l’artiste ». Là où tout n’est que spectacle permanent, le buzz est roi et le compteur youtube est son Excalibur. Ce qui compte, c’est l’image. L’identité de marque. « Quoi? Tu sais pas chanter? C’est ça? Non tu… tu… tu quoi? Qu’est-ce que t’as à bouger tes bras comme ça? Haaa t’es muet? Y’a rien qui sort, c’est ça? Mais on s’en fout, c’est pas un problème ça… y’a des logiciels et des plug-in pour ça! Continues de te trémousser, ouais bouge ton cul comme ça, c’est nickel! » Vous croyez quoi? dans 100 piges, les studios auront disparu. Game Over. On écrira des albums dans les locaux de la DGSE en partenariat avec des cabinets de tendances, des agences de pub et le service neurologie de la Pitié-Salpétrière. 2114 la musique? Plus qu’un art, une arme de diversion massive…
On sera sûrement tous pucés comme des clébards en 2100 quelque chose, mais nos arrières petits-enfants, eux, ils trouveront ça funny. Ils se feront tous poser des Télécortex. Des petits ports USB derrière l’oreille reliés à une carte SD directement implantée dans le cerveau, et qui leur permettra d’être connectés en temps réel au serveur du département culturel de la NSA et ainsi d’avoir accès à sa fabuleuse banque de données. Avec l’abonnement Premium, ils pourront télécharger à même l’esprit des milliards de tétra-octets de musique débile, des discographies entières de gémissements de femmes enceintes sur du dubstep ralenti à 30 bpm, des clips de Rn’B zoophiles et des pornos végétaux (gang-bang de cactus, bukkake d’orchidées) et autres programmes éducatifs en tout genre. Le programme interne de la puce réagira aux moindres stimuli du cerveau, adaptant intuitivement des playlists et des sons d’ambiance en fonction de l’humeur du moment ou des diverses situations de la vie. La vie transformée en un clip sans fin, le clip de sa swag de life en fucking continu. Ou la conscience musicaillée jusqu’à l’os, la diversion parfaite, degré zéro du lien social, esclavage intégral…
C’est vrai, la version dystopique n’est jamais très enjouée, faut l’avouer. Un monde à l’image de 1984, Idiocracy et Matrix insérés à l’intérieur d’un clip de Flo Rida, ça fait pas rêver. Forcément. Mais au pire, on peut se dire qu’on sera plus là pour voir tout ça, ni entendre toutes ces conneries. Qu’ils auront qu’à se démerder tous ces p’tits décérébrés! Nous, on finira vieux et liquides, et on passera notre temps à pester contre eux… « Pfffff… Écoute ça j’te dis petit! ça c’est d’la musique! de la vraie bonne musique comme on savait en faire de mon temps! » 3,4…
« Qu’est-ce qu’on est serrées au fond de cette boîte! chantent les sardines, chantent les sardines!«
Plus de doute, le futur, c’est du passé qui vieillit mal.
Bluetooth et amalgames !
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Quotes
Quotes - Liste de tous les « Je garde ! »
<YD62>: N'empêche c'est trop classe de pisser par le cul
On parlait des bourdons
Tanoshi: dont women pee from the butt too Tanoshi: Im not an expert on the subject
Même contexte
Spy: faut analyser sa merde
Spy: ici on analyse la merde
Contexte : http://mu-forum.no-ip.org/viewtopic.php?p=234788#p234788
Fynmorph (23:50:18) : i would deepthroat madi
<Shahra>: i don't want tit
Il voulait dire “it”
<Tanoshi> " ouin ouin prout "
Anal tearing, Xyzzy
Tanoshi: la brise qui caresse ton zizi
On parlait de jupe
Phoenix Wright, fourbe, rêve de Kennedy honorablement : La fic.
L'avocat un peu con nommé Phoenix Wright se mettait en pyjama tranquillement.
Il jouait à Ace Attorney : Phoenix Wright (lol) qui traitait de l'affaire Kennedy.
Mais il était bloqué au procès : il ne parvenait pas à trouver qui avait bien pu tuer Kennedy !!!
Il n'avait que très peu d'indices sur cette affaire : une photo, des bouts de cerveaux, et un string (mais qu'est ce que ça fout là ?)
Alors il inspecta mieux les preuves, et eut une révélation :
Ce string appartenait en fait à Barack Obama qui n'existait pas encore pourtant!!!
Phoenix était stupéfait, comment cela était il possible? Il éteigna son jeu car il devait dormir.
Sur sa table de chevet reposait le témoignage de Ronald McDonald, le premier suspect de l'assassinat de Kennedy.
Fourbe, Phoenix Wright eut une idée : il allait accabler ce pauvre Ronald McDonald en lui mettant le crime sur le dos !! Il ne l'avait jamais blairé, celui-là.
Pour le faire chier, il décida de lui commander un menu Maxi Best-Of Big Mac frite Coca à minuit. Et comme c'est un bon troll, il rajouta un supplément CBO.
Phoenix Wright se coucha donc, l'esprit tranquile. Et là, il commença à rêver et vit une ombre...
C'était Gumshoe en slip, on voyais ses poils de torse et il tenait dans la main un couteau.
A partir de ce moment, il se rendit compte que le coupable n'était nul autre que Gumshoe même si Kennedy s'était fait fusiller !!!
Il vit une deuxième ombre : c'était Kennedy, dans des habits traditionnels japonais, honorable.
"-C'est un honneur Monsieur de vous voir, mais vous êtes mort ?
-Comme ton mentor LOL"
Alors Phoenix Wright, celui dans le rêve, sortit un fusil, énervé.
Il visa Kennedy et dit: "Je m'appelle Phoenix Wright et tu as insulté mon patron, tu vas mourir!".
Seulement avant d'appuyer sur la détente, il se réveilla en sursaut et remarqua Gumshoe couché à côté de lui torse nu.
Ce n'était donc pas seulement un rêve !! Pour purger Gumshoe de ses pêchés, il lui fit l'amour violemment [NO HOMO]
Et au beau milieu de cet acte sauvage arriva Ronald McDonald avec le fameux menu Maxi Best Of Big Mac frite Coca avec supplément CBO.
Ce jour-là, Phoenix Wright dormit très bien, ou presque.
En effet, sa nuit aurait été parfaite si seulement Barack Obama en string avait été là...
Ce fut ainsi que fut créé la creepypasta sur l'affaire Kennedy.
FIN
Le créateur de Twitchplayspokemon (que l'on nommera ici Charles), sans raison aucune, lécha Eren Jaeger: la fic.
A l'aube d'un grand jour, Charles avait eu une idée fantastique : faire une chaîne Twitch sur Attack on Titan.
C'était sa nouvelle grande "expérience sociale". Il comptait ainsi observer les réactions de milliers de joueurs devant la transformation (presque) érotique d'Eren Jaeger en titan.
Mais, pour garder le suspens le plus longtemps possible, il commença par le 1er épisode.
Le fameux épisode où le père d'eren avoua qu'il était secrétement pedophile, ah et que sa mère crève aussi.
C'était un moment heureux, le soleil dressé très haut dans le ciel. Charles contemplait le corps robuste d'Eren en pleine puberté dans le premier épisode de ce spin-off.
Mais ce que tout le monde attendait (par tout le monde, j'entends Charles), c'était la fameuse transformation d'Eren. Transformation. TRANSFORMATION.
Soudainement, le pourcentage d'homosexuels sur Terre augmenta de 30%.
En effet car la transformation d'Eren était dans le style de Sailor Moon, il était quasiment nu avec la galaxie en relief. (woa)
Le président Barack Obama affirma que le problème de surpopulation pour les années à venir était résolu grâce à cette transformation.
Mais revenons à Charles. Il était scotché à l'écran : c'était encore mieux que dans ses rêves.
Alors, sans raison, aucune, il lécha son écran, là où se trouvait le corps ruisselant de sueurs d'Eren.
Ce dont tout le monde pouvait voir grâce à la caméra caché dans la chambre de Charles posé par Sachatte.
Sa langue fit up up down a start b sur le corps d'Eren.
Et là, TADAM ! Ça fait des chocapics !
"-Ça tombe bien, je savait pas quoi manger aujourd'hui !" dit-il.
Après ce fantasme réalisé et ses chocapics mangés, il se maria avec Mikasa et eurent trois autistes.
FIN
Tanoshi: J'ai bien apprit à dessiner des bites moi
On parlait des mains
Tanoshi: my penis is now big penis
Tanoshi: *frotte TRES TRES FORT et le zizi prend feu*
Tanoshi: just the zizi area...
Sarthy: *retourne dans ses plantations de zizis*
Sarthy: Imagine un plant de zizi
Sarthy: Un arbre à zizi
Sarthy: Et un fermier qui regarde si les zizis sont mûrs
Tanoshi: et qui croque dedans
Sarthy: :O
Tanoshi: " hmm juteux "
Sarthy: ok
Sarthy: Nectar de zizi
Sarthy: Zizi 100% naturel sans pesticides
Tanoshi: eNOUGH
Tanoshi: omg
Tanoshi: imagine les zizis à ogm alors
Tanoshi: If i get free shit
Tanoshi: Why wouldnt i take most of it
Tanoshi: i said mouais
Tanoshi: i too once thought nintendogs was the peak of technology
Tanoshi: become dick critique
Sarthy: .
/フフ ム`ヽ
/ ノ) ∧__∧ ) ヽ
/ | (✿uwu ) ノ⌒(ゝ._,ノ
/ ノ⌒7⌒ヽーく \ /
丶_ ノ ✩ ノ、 ✩|/
`ヽ `ー-‘_人`ーノ
丶  ̄ _人’彡ノ
/`ヽ _/ 十\
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/ / | / /
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\__/__/
Shahra: *boner*
Sarthy: Mais c'est froid non
Sarthy: la mer baltique
Tanoshi: yep
Tanoshi: your dick will shrink considerably if you go there
[16:54:08] Spy: manger des pénis : très équilibré
Sarthy: tintin!!!
Sarthy: Le héros des égouts apparaît
[…]
Sarthy: shien ne pense rien du héros des égouts ?
Sarthy: ingrat !
Tanoshi: he's scared of humans too
Tanoshi: especially tintin
Sarthy: .
Sarthy: C'est pas tintin
Sarthy: I'm so done
Tanoshi: seulement si tu mets ton fursuit d'ours
Tanoshi: sinon j'arrive pas a bander
Tanoshi: please touch my weewee...
Sarthy: *touches the weewee*
Sarthy: *duck toy sound*
Tanoshi: AAAAAH!!! AAAAAAAAA *cums*
Tanoshi: thank
Sarthy: https://twitter.com/itele/status/554297935799001088 j'ai bien fait de pas aller à bordeaux en fait
Sarthy: j'aurais fait une crise d'agoraphobie
Tanoshi: imagine les streetpass
Tanoshi: Ouais non tkt
Tanoshi: Je suis juste con
Tanoshi: are you a fucking rasicm
Spy: tu peux fantasmer sur des joueurs de rugby je m'en fous
Spy: du moment que tu me laisses fantasmer sur des enfants en bas age
Sarthy: je voulais dire que ton pénis ne faisait plus que 7 cm
Spy: oh
Spy: sacré augmentation
Spy: je suis maintenant une femme
Spy: moi aussi j'aimerai rentrer la merde à nouveau dans mon rectum
Spy: pas toi?
Sarthy: Spy: moi aussi j'aimerai rentrer la merde à nouveau dans mon rectum
Spy: pas toi?
Sarthy: ça ressortira
Spy: comme la merde
Sarthy: "L'Islande, sortie de la crise, dit "non, merci" à l'Union européenne"
Sarthy: pourquoi ce titre m'a fait rire
Sarthy: j'imagine trop les dirigeants en mode "euh non merci, ça va ^^"
Spy: oi
Spy: sinon ça m'intéresse pas
Spy: c'est ennuyeux
Sarthy: "Antisémitisme : Mélenchon fait condamner Juppé, Copé et NKM"
Sarthy: et ça?
Spy: non plus
Sarthy: "Spy a un gros cactus dans le cul"
Sarthy: et ça?
Spy: c'est pas un cactus c'est mon doigt
Tanoshi: J'ai cherché si il y avait des pruniers en finlande
Tanoshi: aucun :(
Tanoshi: and north korea is a coconut
Tanoshi: dicky dicky come to me
Tanoshi: dicky dicky don't hide
Spy: ouais j'aime les trucs de moins de 15 ans
Tanoshi: straight males love giraffe titty
Sarthy: *touches the dick*
Tanoshi: *purrs* :3
Tanoshi: i'll pay taxes if it means i can buy yiff
Tanoshi: jouons en 50cc
Tanoshi: je suis le nicolas sarkozy du crime
Tanoshi: i want to color a slimy bear tongue and go to sleep
Tanoshi: Matt is dessert!!
Tanoshi, [26.04.16 12:45]
C'est pas parce que ça se mange que je vais en bouffer vieux
Tanoshi, [26.04.16 12:45]
C'est comme les vagins
[21:12:23] Spu: je crois que c'est plus dû au fait que j'ai cassé récemment
[21:12:31] Spu: j'ai pas du faire mon deuil on va dire
[21:13:26] Goupi: "deuil"
[21:13:28] Goupi: tu lui as fait quoi
[21:13:31] Goupi: répond j'appelle les flics
6/05/2016
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Virginie Delalande (1980 - )
Ou celle qui a décidé de dire merde à la surdité !
Virginie Delalande est née le 18 août 1980. Dès la naissance, on lui diagnostique une surdité profonde et on annonce à ses parents que leur petite fille va avoir une vie plus limitée et surtout que jamais elle n’entendra et jamais elle ne parlera.
Les Delalande n’en croient pas un mot et c’est ainsi que Virginie suivra, tout au long de son enfance et de son adolescence, des cours d’orthophonie. Elle apprend également à lire sur les lèvres.
Oui, Virginie est une badass.

L’adolescente a également la chance de bénéficier d’un codeur pour suivre ses cours : cette personne code ce que disent les professeurs en Langue Française Parlée Complétée. La LFPC se basant sur le code manuel autour du visage et de la lecture labiale, cela semble parfaitement adapté pour la jeune fille.
A 18 ans, elle sait également parler la langue des signes.
18 ans, majorité… et tentative d’une pose d’un implant pour essayer de lui permettre d’entendre un peu. Vont s’en suivre quatre ans de tentative de réglages, de migraines, qui vont se solder par la perte définitive d’une des oreilles. Désormais, elle n’a plus qu’un implant qui lui permet de déterminer son environnement.
Après ses années lycées, Virginie entre en droit à l'Université Panthéon-Assas et malgré les difficultés liées à son handicap, elle valide chaque année, passe l’examen du Barreau…
Et devient la première femme sourde de France à devenir avocate.
Oui, je vous l’avais dit, Virginie est une badass !
Cependant, la jeune femme décide de ne pas se tourner vers les plaidoiries dans les tribunaux ou les cours et devient juriste avant de développer son activité et de devenir également coach en 2019.

L’histoire de Virginie est terriblement inspirante, au point qu’avant qu’elle ne développe son activité de coaching, elle est approchée par la réalisatrice Laëtitia Moreaux. Ainsi naît le documentaire L’Eloquence des Sourds dans lequel l’avocate explique son parcours, ses difficultés, et aussi les préjugés qu’elle a à subir au quotidien.
Rien n’arrête notre Virginie nationale puisqu’en 2019, elle participe au concours d’éloquence organisé par Laurent Ruquier : Le Grand Oral, où elle arrive deuxième derrière Bill François !
En juillet 2020, elle est sélectionnée parmi les 40 femmes inspirantes en France selon Forbes11 et en novembre, parmi les 25 Linkedin Top Voices 2020 France D’ailleurs, elle fera la une de Forbes en 2022.

Virginie écrit aussi un livre dont le titre la définit si bien : Abandonner ? Jamais ! Cette biographie retrace son parcours et donne des pistes de développement personnel.

Elle anime une émission de télévision depuis 2022 : B-Inspired, sur la chaîne Bsmart, un talk show où elle reçoit des personnes au parcours aussi inspirant que le sien.
Enfin, toujours en 2022, elle est faire Chevalière de l’Ordre National du Mérite.
A côté de ça, Virginie a aussi sa vie de femme : elle est la mère de deux enfants, sourds eux aussi et gageons qu’avec une mère comme elle, eux non plus ne se sentiront jamais limités par leur handicap !
Quelques citations de Virginie :
Sourde profonde de naissance, je me plais à dépasser les barrières que la société dresse régulièrement devant moi.
Mon credo : Différents ou non, nous avons tous en nous des trésors que nous pouvons mettre au service de chacun.
Arrêtez de me mettre des barrières que je ne me mets pas moi-même !
Virginie Delalande est une véritable battante et à elle, rien ne lui semble impossible ! Quel dommage qu’elle ne soit pas plus connue, que ce soit dans notre hexagone comme à l’étranger !
- Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Virginie, tu peux aller regarder ces sources :
Le site internet de Virginie : https://www.handicapower.com/
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Besoin de mettre une lancée de mots dans le vide, ça me tend les côtes à un point pas possible, envie d’enrager la feuille, de produire ce râle dans ma gorge sur les touches, sur la feuille, de balancer tout ce qui vient en deux minutes, je sens de la retenue, ou de la recherche qui voudrait chercher mais ne parvient pas à se lancer.
Chercher un objet, une piste, une proie, vas-y vas-y vas-y c’est ça, j’ai besoin de ça, de lancer la purée, de pas réfléchir, pas retenir, pas me demander si ce mot est le bon ou si le prochain est mieux, oublie, parler parler parler
ça y est la pub Spotify au même moment bien sûr, chiotte, je coupe le son, je veux pas être coupé dans la diatribe, je sais pas où ça va, je dis rien, je m’en rends même bien compte, c’est comme si je me mettais à courir à fond les ballons avec plein de lianes autour de mes bras et de mes jambes et que je forçais la route jusqu’à sentir qu’elles tombent une à une et me foutent la paix.
Je me dévide, me dénude, je crie, je cours, j’avance, je lance les bras en l’air, je saute, j’avance en tournant sur moi-même pour que ça tombe, je me délie des liens, des chaînes, de toute cette tension que je sens dans mes muscles là, allez fuck off, lâchez-moi, j’ai besoin de circuler, d’avancer, de faire, de produire, de m’amuser, de jouer, d’oser, de me ridiculiser et de pas mourir, merde merde merde, on y va, on s’en fout, faut juste se vider les tripes, se vider le ciboulot, arrêter de réfléchir, de contrôler, c’est la grande feuille blanche, trois pinceaux, vingt couleurs et que je plonge ces pinceaux dans les couleurs et que je te renverse tout, que je te balance ça sur la feuille sans ordre aucun, juste des pulsions organiques, le corps qui fait n’importe quoi, qui fait son truc, libre de mouvement, de faire, de bruit, de mouvement de corps,
un grand vent qui tabasse tout, une course à la vie à plein volume, à pleine puissance, à pleine vitesse, droit dans le mur vide du silence et du ciel, sans danger en fait sinon de brasser de l’air, de ne rien dire, rien faire, rien articuler qui ait le moindre sens, et puis quoi bon, qu’est-ce qu’on s’en fout ? Est-ce que le gosse qui court dans les champs se pose la moindre question ? Il court parce qu’il a envie de courir, il crie parce qu’il a un cri dans la gorge, il rigole parce qu’il rigole avec le papillon et puis c’est tout, et puis le ciel immense, et puis l’herbe ça chatouille, et puis que je m'écroule de bonheur franchement c’est ça qui est bon.
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