#tu comprends mon esprit
Explore tagged Tumblr posts
swashbucklery · 2 years ago
Note
okay, yelling because Taylor Alison Swift ABSOLUTELY would have a song lyric like "i know you're upstairs, i can see your silhouette" (+ you said you'd be here)
Look I NEED you to watch this show; that scene is from an episode long montage where Lestat fights with a 15 year old girl for his boyfriend’s attention and it is your everything. The internet is not prepared for how much you will love Claudia
But also if Speak Now era Taylor Swift also killed and tortured people this honestly would be the energy.
3 notes · View notes
daisydesetoiles · 2 months ago
Text
Flufftober 2024 : "Ça file les chocottes", "Vraiment ?"
12 octobre
« Ça file les chocottes », « Vraiment ? » ("This is spooky", "Really ?")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Octavio n'arrêtait pas de glisser ses doigts dans sa frange humide pour la repousser sur le côté. Ophélie n'était pas sûre de l'avoir déjà vu aussi désemparé: même quand ils s'étaient fait attaquer par le Sans-Peur, dans la ville basse noyée par la tempête de poussière et son tigre à dents de sabre, il était en territoire connu et donc, maîtrisait son environnement. Les rues pavées et vallonnées, les grosses flaques d'eau d'Anima, dues à la pluie froide qui tombait sans discontinuer depuis trois jours, devaient sacrément le dérouter. Il n'avait jamais appréhendé ces climats autrement que par les livres.
« Je comprends mieux pourquoi tes cheveux sont comme ça, commenta le Visionnaire à sa façon unique de plaisanter, l'expression neutre mais un léger rictus au coin des lèvres. Est-ce qu'il pleut constamment sur ton arche… hum, dans ton pays ? My, j'ai l'impression que l'eau s'est infiltrée jusque dans mes bottes. »
C'était vrai que l'écharpe ne s'illustrait pas particulièrement par ses capacités à tenir un parapluie parfaitement à la verticale. Il valait pourtant mieux que ce soit elle qui s'en charge plutôt qu'Octavio. Il était tellement habitué à manier les ombrelles, sous le soleil brûlant et les vols de perroquets de Babel, que son amie et lui se prenaient toutes les rafales de pluie dans le visage.
Le soleil commençait à baisser au-dessus des toits des maisons mais, comme on était encore que le 12 octobre, il ne disparaîtrait pas complètement avant deux bonnes heures. Ophélie avait le temps de montrer à Octavio la façon dont les Animistes célébraient l'une des fêtes les plus anciennes et les plus étonnantes de leur arche: les Tous Saints. À cette occasion, les objets les plus chouchoutés, appréciés et valorisés de chaque famille d'Anima étaient revêtus d'étoles blanches et décorés d'une petite bougie à la flammerole bleue tremblotante. Ça les changeait un peu et illustrait leur appartenance à une même grande, longue et fantastique histoire, issue de siècles d'objets animés par leurs talentueux propriétaires.
Pour autant, comme ils avaient tous l'habitude des tables de billard, machines à chocolat et autres rubans à chapeau doués d'un tempérament et de comportements détonants, la jeune fille ne s'attendait pas au commentaire tranquille qui émana de son compagnon de promenade :
« Ça file les chocottes.
-Vraiment ? s'étonna-t-elle. »
Un parapluie couleur citrouille était en train de tournoyer dans une flaque, devant eux, l'étole reliant chaque de ses douze extrémités lui donnant l'air d'émaner un halo d'éther blanc. La bougie dans sa poignée refusait obstinément de s'éteindre, malgré les gouttes d'eau qui trempèrent une nouvelle fois les bottes ailées d'Octavio. Le jeune homme s'écarta et, comme l'écharpe voulut continuer de l'abriter avec leur propre parapluie, son amie reçut une giclée de pluie sur les lunettes. L'autre extrémité de l'écharpe se mit aussitôt en tâche de les retirer de son nez pour les essuyer.
« Mais ce n'est pas désapprobateur, précisa le Visionnaire en tendant un mouchoir à Ophélie pour qu'elle s'essuie le front. In fact, c'est plutôt fascinant. Spooky. Un mélange d'effrayant et de mignon, je suppose.
-Depuis quand apprécies-tu ce qui est effrayant ? s'étonna son amie en récupérant ses lunettes sur son nez.
-Depuis que mon esprit s'est élevé à de nouvelles compréhensions. Il y a plus de mondes que ce que nous pouvons percevoir. C'est effrayant. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a aucune trace de bonté, de valeur ou de cuteness à l'intérieur, au contraire. C'est probablement pour ça que vos ancêtres célébraient cette fête de cette manière. »
Ophélie sourit et Octavio tourna brièvement la tête vers elle pour lui rendre son expression chaleureuse. Elle aimait la façon dont elle comprenait mieux le monde lorsqu'ils se promenaient ensemble.
5 notes · View notes
Text
27.11.2024
Ça fait deux ans.
Deux ans d’absence.
Deux ans sans ce besoin viscéral de revenir à l’écriture, sans ce besoin de vider mes tripes sur une page. Car c’est comme ça que je fonctionne depuis toujours. J’écris pour me vider. J’écris pour me raconter, m’expliquer, me découvrir mais avant tout pour me décharger de tout ce que je n’arrive pas à exprimer. De tout ce qui reste bloqué en moi et que je n’arrive pas à expliquer. Ou alors avec la sensation que même si je parle les mots qui sortiront de ma bouche ne parviendront pas à décrire pleinement et exactement les maux qui résonnent en moi.
Aujourd’hui j’écris car je suis surchargée. Je déborde. Je déborde et personne ne comprend pourquoi je déborde. Cela fait 3 jours que je n’arrête pas de pleurer. Et quand je pleure ce ne sont pas des larmichettes, ce ne sont pas des petites perles d’eau qui coulent sur mes joues. Mais bien des torrents et des cascades qui s’écoulent, et qui coulent, coulent, coulent sans pouvoir s’arrêter. Une piscine à débordement. Ma piscine à débordement.
Cela fait plusieurs moi que ça menace de déborder mais jusqu’alors j’ai toujours réussi à tout contenir, à faire en sorte que la piscine fonctionnement correctement. Quelque fois des remous, quelque fois des vagues qui viennent perler à la surface. Mais globalement la piscine était calme, la surface restait lisse. Rien à signaler à l’horizon. Et puis depuis 3-4 jours il y a tout qui déborde. Et ça ne s’arrête plus, je ne contrôle plus rien. La piscine est inondée. Drôle de pléonasme n’est-ce pas ?
J’aimerai vous expliquer pourquoi ça déborde et ça coule et ça coule et ça coule et ça coule depuis des jours. Mais par où commencer ? Est-ce que je sais moi-même ce qui a pété en moi ? Quelle fissure a fait éclater cette putain de piscine ? Alors qu’il y a une semaine encore elle était toute calme et douce. Pourquoi est-elle devenue glaciale ?
Un garçon. Une histoire. Un amour. Un amour fou, terrible, entier, passionné. Si passionné que j’en ai perdu les mots. Si intense que je n’ai même pas pu le décrire par l’écriture. Je l’ai rencontré il y a bientôt deux ans justement. Nous nous sommes aimés dès le premier regard, dès la première soirée. Mais dès le début ça a été compliqué : fuis-moi, je te suis, pars et je reviens. Mais notre amour nous ne pouvions le contrôler.
Tout est parti de là. Les montagnes russes, l’intensité. Comme à mon habitude, ma façon d’aimer c’est m’oublier complètement pour donner toute mon âme à l’être aimé. Donner, donner, donner c’est ma façon d’aimer quitte à parfois être essoufflé. Je ne dis pas qu’il ne m’a rien donné en échange au contraire. Mais je pense que là le problème vient de moi. Ne poser aucune limite, aucune barrière. Me donner complètement et entièrement à l’autre, corps, âme et esprit.
Et finir par en être débordé, et finir par craquer.
J’ai le ventre noué, à l’idée d’avoir trop donner pour en final ne pas en recevoir assez. J’ai au fond du ventre cette boule qui me dit il ne sera pas à la hauteur de tout l’amour que tu lui as apporté. C’est prétentieux de ma part ? Je ne sais pas. Depuis le début j’ai toujours donné sans compter et sans attendre quoi que ce soit en retour.
Mais aujourd’hui le vase a débordé. Et je n’ai senti personne à mes côtés.
2 notes · View notes
vulnerablequeen · 9 days ago
Text
Nicolas
On est la semaine précédant celle de mes vingt ans. Je suis à l’Abreuvoir (je répète, j’avais 19 ans) avec une de mes amies. On s’apprête à aller au sous-sol.
C’est aussi l’époque où je me commandais des Sex on the Beach au bar, et que j’avais toujours un petit sourire de la part des barmans. Heille, je voulais pas goûter l’alcool dans mes drinks. J’ai le droit. À l’époque, l’Abreuvoir était mon temple et j’étais une adepte depuis plusieurs années. Il y avait tout là-bas; le premier étage style bar sportif pour rencontrer des jocks, la terrasse chauffée pour aller fumer et parler à des p’tits bums et le sous-sol avec les fameuses poles dance pour possiblement frencher. Tout y était. Pourquoi aller ailleurs? 
Mon amie et moi on danse au sous-sol. Le genre de place qui nous transporte directement dans un épisode de Fugueuse. La musique est bonne, c’est du Rihanna. Je sens quelqu’un me regarder au loin. Mon prochain french qui m’attend? Let’s go. Je le regarde en retour et je constate qu’il s’est approché. Wo, il me veut? Alright. 
Oh, ça sera pas mon prochain kiss celui-là. C’est un ami d’enfance, je le connais depuis que je suis née. Je suis contente de le voir par exemple, ça faisait un bail. On jase un peu avant qu’il m’introduise à son ami, Nicolas. Nicolas est cute. Il a un regard perçant, les cheveux en bataille et est vêtu de noir. Il a l’air mystérieux. J’ai peut-être envie de percer le mystère. 
Les gars sont dans le mood pour fêter. Mon amie et moi aussi. Un mariage heureux, rien de moins. 
On décide de migrer vers la terrasse pour que les gars puissent fumer et qu’on s’entende un peu plus parler. Nicolas s’assoit tout de suite à côté de moi, nos cuisses se touchent volontairement. Ok, il ne perd pas de temps, me dis-je. On discute tous les quatre ensemble, on a du fun. On parle du dernier album de Drake, que j’ai dévoré. Nicolas et moi avons la même chanson préférée.
Tu me parles d’un bel adon. 
Plus je regarde Nico, plus il me rappelle quelqu’un. J’ai l’impression que c’est un acteur, mais il vient de me dire qu’il travaille pour la compagnie de son père. Peut-être que j’ai bu trop de drinks sucrés portant un nom risible. 
Mon amie et moi, on veut rentrer chez nous, on est un peu fatiguées. Mon amie est déçue de ne pas avoir frenché, je la comprends. On quitte les gars et je les invite par la bande à ma fête la semaine prochaine au Salon Officiel. Nicolas accepte tout de suite. D’accord, on se verra la semaine prochaine mon beau. 
« Damn, y’est down le gars. As he should. » me dit mon amie. 
Je donne un bec sur la joue à mon amie. J’aime ça quand on me donne des compliments. 
On est le 24 avril 2015, c’est le jour officiel - comme le Salon - de mes 20 ans. Mes ami·es de l’université et moi on fait une tournée des bars sur St-Denis: on va au 3 Amigos manger, on va au St-Bock prendre des shots, on va caler des pichets au St-Sulpice et on fait un arrêt au Pub du Quartier Latin prendre je sais plus quoi. Ça commence à être flou. 
On termine notre course à la boisson au Salon Officiel. Je suis complètement ivre. J’ai pris des shooters, j’ai mélangé les drinks, mais j’ai un bon fond de bouffe donc tout est bien géré. On n’a 20 ans juste une fois, hein?
On arrive au Salon Officiel et je ne vois que Nicolas au fond de la salle, pas loin du DJ booth où Ajust s’en donne à cœur joie. Je vais le rejoindre. Nicolas, pas Ajust, même si son set est excellent. 
« T’es tout seul? », lui lance-je. Mon esprit logique n’était pas invité à ma fête.
« Ouais, j’étais dans le coin. Ton ami d’enfance va arriver plus tard. », me répond Nicolas. 
On se met tout de suite à danser ensemble. Mes ami·es et moi et Nicolas sommes au centre du petit Salon Officiel et on est là pour mettre de l’ambiance. La musique est bonne, il fait chaud, tout est réuni pour que…
Nicolas m’embrasse. Un bec un peu timide, mais sincère. Il ne perd pas de temps. Mes pauvres ami·es vont devoir m’endurer en train de frencher pour un ti-bout. Je suis aussi timide que Nico à ce moment précis, mais l’alcool me donne le kick pour l’embrasser en retour. Y’a beaucoup de va-et-vient dans toute l’histoire.  
On est collés, on se french à grands coups d’insouciance. On a clairement plus conscience que mes ami·es nous regardent se manger la face. Oh well. 20 ans, right? 
Mon ami d’enfance nous rejoint finalement. Il doit être 2h du matin. La soirée a passé cruellement vite. Je lui donne le plus gros câlin du monde. T’sais, un bon câlin de fille saoule qui vient d’entrer dans la vingtaine. Ça saute dans les bras du monde, ça. 
On danse tout le monde ensemble, mes ami·es de l’uni décident de rentrer au bercail. Iels ont été vaillant·es toute la soirée. Allez dormir, mes ami·es. Vous êtes exceptionnel·les. 
Mon ami d’enfance, Nicolas et moi, on n’a pas le goût de se coucher. Nico me dit qu’on peut aller chez son père, vu qu’il n’habite pas loin. Je ne suis pas en état de rencontrer le daron, pense-je. Il nous confirme que son père est à Los Angeles pour le travail. Bon, parfait dans ce cas. 
Que la fête continue. 
On arrive chez le père de Nicolas et… Wow. Quessé ça cette belle maison-là qui n’a l’air de rien à l’extérieur? Les plafonds sont tellement hauts, mais c’est pas écho. Bien pensé, architecturalement parlant. 
On continue à boire, d’autres amis de Nico sont venus nous rejoindre pour un after party qui bat visiblement son plein. C’est l’fun, la vingtaine. On continue à faire des shots, à boire des gin tonic plus gin que tonic. Je suis bien partie, mais étonnement encore présente mentalement. C’est ça l’important. 
On se réchauffe des pizz’ congelées qu’on mange comme de vrais affamé·es. Je suis comblée. C’est comme ça que je voulais fêter ce soir. 
Nicolas m’invite à rester dormir. Il doit être 4h du matin. Je ne me vois pas retourner chez ma mère à ce moment-là, je pense que je lui avais dit que je dormais chez une de mes amies de toute façon. Ton lit ce sera, mon Nico. 
On monte et… pardon? Les escaliers flottants, les immenses chambres, les rideaux qui se baissent automatiquement… Mais où suis-je? 
« Ton père il fait quoi? », demande-je à Nicolas, de la façon la plus indiscrète possible. 
« Il travaille beaucoup disons », me répond Nico. J’oublie cette réponse incomplète et me jette sur le lit. Nicolas me déshabille, c’est cute. Il m’embrasse partout sur le corps. Sur le ventre. Les seins. Les joues. La bouche. Mmm. 
« Nico… Je suis trop saoule. Je te vois flou. Hahahaha. », lui dis-je, en toute honnêteté, en simulant un fou rire afin d’étouffer le possible malaise. 
« Y’a tellement pas de stress Gen. Moi aussi je suis complètement drunk. Hahahaha. » me revient-il, en respectant mes limites et les siennes. 
Une belle fête, quoi. 
On s’endort en cuillère dans son lit terriblement confortable. 
Je me réveille le lendemain matin, ou le matin même, vers 10h. J’ai un mal de tête monstrueux. Je remarque un peu plus le paysage et je suis toujours aussi impressionnée. Nicolas a un énorme projecteur dans sa chambre. Ça doit valoir cher, me suis-je passée comme remarque. 
Moi, je vaux pas grand chose en ce moment. Nico est encore endormi, j’en profite pour me rendre au rez-de-chaussé me claquer un bon verre d’eau.
La place est encore plus belle que la veille. Immenses œuvres d’art qui maquillent les murs, une cour intérieure digne d’une revue d’architecture. Je me sers un verre d’eau dans la somptueuse cuisine et je me retourne vers… des prix? 
Voyons. C’est un Golden Globe, ça? Et ça, un Emmy? Quoi? 
Attends. 
Je m’approche d’une photo regroupant plusieurs personnes et je vois Matthew McConaughey. Puis…
Jean-Marc Vallée. 
Attends minute. Attends. Attends. Attends. 
Je suis chez… Jean-Marc Vallée. 
Je ne vois que des photos de lui par la suite, avec Nicolas et son grand frère. 
Je sais où j’ai vu Nicolas. Dans C.R.A.Z.Y. Le petit frère. 
Tout devient clair. Mon mal de tête est quasiment parti tellement que mon cerveau est illuminé en ce moment. 
Nicolas descend. Il me voit devant toutes les décorations d’or. Il comprend que je comprends. 
« Ton père c’est fucking Jean-Marc Vallée? » lui lance-je, visiblement sous le choc. 
« Le seul et l’unique! » me répond-t-il, avec un beau sourire. Il a l’air fier. Il a raison de l’être. 
Je suis terriblement hangover, mais fière aussi d’être chez un homme que j’admire. 
Je ne pouvais pas mieux commencer ma vingtaine.  *** Aujourd'hui, c'est émotif pour moi de partager cette nouvelle-là. Je n'ai pas revu Nicolas après ça, mais je suis chanceuse d'avoir eu connaissance de la fierté et de l'amour qu'un fils porte envers son père aussi prolifique. La mort de Jean-Marc Vallée est une tragédie, tant pour sa famille que pour le cinéma et la télévision. Je chéris réellement cette histoire, plus particulièrement depuis son décès. J'aurai toujours une pensée pour ses fils.
2 notes · View notes
lashifteuselibre · 9 days ago
Text
Il est temps de lacher prise.
Source : https://www.reddit.com/r/shiftingrealities/comments/1fpw0bl/motivation_its_time_to_let_go/
C'est ma vérité. Si elle ne résonne pas en vous, laissez-la partir.
Il y a quelques jours, quelqu'un a commenté mon dernier post et m'a dit que c'était très démotivant, parce que tout le monde vous dit tout le temps que "la clé est en vous, ayez la foi, vous devez croire en votre pouvoir parce que vous êtes illimité".
La vérité est que cela a un peu blessé mon ego parce qu'ils me disent toujours : comme c'est motivant, merci. Mais malheureusement, nous avons un ego et tant que nous serons humains, nous continuerons à en avoir un. J'ai décidé de répondre, mais je l'ai supprimé parce que je pense que ce que je veux vraiment dire est quelque Je te comprends parfaitement. Je sais combien cela peut paraître démotivant lorsque tous ceux qui ont réussi à changer leur 3D le disent à leur médecin tout le temps.
Je sais que tu as du mal à gérer ce que tu vois dans ta 3D et avec tes croyances et tes pensées. Je sais exactement ce que tu ressens et il est tout à fait normal que tu ressentes cela. Mais il est temps de laisser tomber ces croyances qui sont là depuis longtemps et auxquelles tu t'es accroché parce que tu as trouvé en elles une sorte d'attachement, de réconfort et de protection. Pour une raison quelconque, ton ego a créé cette croyance et remercie-le parce qu'il a pris soin de toi pendant longtemps, quelle que soit la manière dont il l'a fait, il l'a fait parce qu'il croyait que c'était la bonne façon à ce moment-là.
Il est temps de remercier ton ego et de laisser tomber ces croyances, car tu en as besoin de nouvelles. Je ne peux pas te dire comment t'en débarrasser correctement ou incorrectement, mais je pense que la meilleure façon dans mon cas était de remercier mon ego et de les laisser partir. Tout d'abord, je veux que tu ne te juges pas toi-même pour la façon dont ton ego a pensé qu'il était juste de te protéger. Nous avons été élevés d'une manière qui nous fait croire en permanence que nous devons survivre et nous défendre avec des ongles et des griffes contre TOUT.
Une fois que vous avez trouvé cette croyance qui, vous le savez, déclenche plus de croyances, essayez des méthodes avec lesquelles vous vous sentez plus à l'aise pour les laisser partir. Le passé peut exister dans d'autres réalités, mais en ce moment pas dans ce que vous percevez dans votre 3D, seulement dans votre esprit et vos souvenirs. Vous ne devriez plus avoir peur et vous cacher, vous êtes belle, gentille et vous méritez le meilleur de l'univers. N'ayez plus peur car ces situations X n'arrivent plus. Vous êtes un enfant de l'univers et il vous aime complètement parce que vous êtes l'univers. Personne ne vous juge ici, personne n'a le droit de le faire car nous sommes tous humains et il est normal de faire des erreurs car nous le faisons tous et nous continuerons à en faire tant que nous serons en vie. J'ai besoin que vous sachiez à quel point vous êtes précieux, même si vous n'y croyez pas, je vous le dis, je sais que vous l'êtes, pour le simple fait d'être ici sur terre dans un monde que nous croyons apparemment physique. Vous êtes très courageux pour tout ce que vous avez dû traverser et pour l'avoir enduré, mais je veux que vous sachiez que tout est fini si vous le décidez maintenant. Vous n'avez plus besoin de ces croyances, il est temps de les laisser partir même si vous sentez qu'elles vous collent beaucoup, il est temps. Il est tout à fait légitime que vous ayez des doutes sur le changement, c'est normal.
Vous avez peur que ce ne soit pas réel et que vous soyez condamné à cette réalité pour le reste de votre vie, n'est-ce pas ? Vous devez quitter le mode victime car personne ni aucune force extérieure ne viendra le faire à votre place.Je vais te gronder un peu : parce qu'au lieu de voir tout le « négatif » que tu as dû traverser dans ton processus, tu ne le vois pas comme : Wow, je suis incroyablement fort pour tout ce qui s'est passé et pourtant je suis toujours là, plus fort, j'ai traversé tant de choses et pourtant je suis toujours là parce que je sais que c'est quelque chose que je veux pour moi-même. Chaque chose que tu as faite était un pas de plus vers la vie que tu veux pour toi-même. Honnêtement, quel sens aurait la vie si nous ne souffrions pas un peu ? Bien sûr, une fois que tu comprends ton pouvoir et que tu redeviens une conscience illimitée, tu arrêtes de le faire, mais c'est précisément pour cela que tu viens ici, pour expérimenter du point de vue d'un esprit humain. Crois-moi, tu finiras par y parvenir car dans un monde où nous sommes illimités, les possibilités sont incroyablement élevées pour y parvenir. J'oserais dire que c'est un retentissant SI TU Y AS RÉUSSI.
Quand votre 3D changera complètement, vous direz : Tout ce que j'ai dû traverser m'a rendu plus fort et moi seul sais ce que j'ai dû traverser pour arriver à ce moment incroyable, je m'aime. Je peux vous assurer que c'est quelque chose de complètement réel mais sans le montrer. Je ne dis pas cela pour vous motiver, pour essayer de voir au-delà de votre esprit humain. C'EST COMPLÈTEMENT RÉEL et cela continuera de l'être même si vous n'y croyez pas.Un conseil de ma part : arrêtez de voir ce que vous voulez comme quelque chose que « un jour j'aurai ». Vous vous êtes habitué à cette volonté depuis si longtemps, ce n'est pas la mienne, c'est mon souhait que vous exprimez de continuer à regarder la même 3D.
Il est temps de lâcher prise. Êtes-vous totalement prêt à changer votre réalité ? Ou avez-vous simplement trouvé un certain réconfort en vous imaginant dans d'autres réalités ?
Soyez honnête avec vous-même, car vous le méritez. Arrêtez d'essayer de regarder en dehors des publications ou des personnes qui l'ont fait, car votre processus ne sera jamais le même que le leur. Cherchez-vous vraiment et ne faites plus semblant, faites-le pour de vrai. De la manière qui vous convient le mieux.
Bon voyage, rappelez-vous que nous sommes des êtres doubles.
3 notes · View notes
papillondusublime · 4 months ago
Text
Tumblr media
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées,
Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté.
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse, Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;
Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, – Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes !
-"Élévation", Charles Baudelaire
3 notes · View notes
plaisirs76 · 2 months ago
Text
Mon Mentor, Jean
Bonjour, je me lance dans la narration de ma première rencontre avec mon mentor, Jean. Il était venu par train la veille au soir et était descendu dans un hôtel discret mais de bonne facture. Je suis arrivée pour 9 heures. Une fois dans sa chambre, je me suis précipitée dans la salle de bain pour me changer. Tout d'abord retirer toutes traces de masculinité pour me retrouver nue. J'ajuste ma perruque et me maquille un peu, fond de teint, rimmel, mascara, je garderai la bouche pour la fin. J'avais pris plusieurs tenues selon ses désirs. Je commence par une lingerie noire, string, culotte par dessus, porte jarretelles, soutien gorge et nuisette noire. Bas noir bien entendu.
Une fois revêtue de ma lingerie, une jupe noire mi cuisses avec fermeture éclair, un chemisier noir et blanc avec un veste par dessus. Et j'enfile mes escarpins noir, du rouge sur mes lèvres et Loux rentre fébrile dans la chambre. ( c'était mon prénom de femme, un clin d’œil à Louise Brooks, avec un "x" à la fin pour le côté coquin).
Allongé sur son lit, Jean m'observe. Il adore le style BCBG. Il me demande de bouger, de prendre des positions lascives, provocantes comme nos jeux par caméras interposées. Très vite, je vois à travers son slip qu'il bande. Il croise mon regard, perçoit mon trouble et me déclare : « Tu vois, je bande pour toi. »Ensuite, selon ses désirs, j'entame un strip-tease. Une fois en lingerie, il se lève, vient vers moi et commence à me caresser lentement tour le corps en partant des épaules, la nuque, mes flancs, la poitrine, les hanches, les fesses et mon sexe, alternant douceur et fermeté. Tantôt, il descend en me caressant, tantôt, il remonte en me malaxant fermement. Je dois avouer que je brûle de partout, mon anus se contracte autour du rosebud. Je sens son sexe puissant dans mon dos, sur mes fesses, entre mes fesses. Amant malicieux, il sait créer une excitation à fleur de peau. Puis, il s'agenouille devant moi, baisse mon string et commence à me lécher. Je tremble de partout. Lorsque mon sexe est entre ses mains et sa bouche, je deviens folle. Il m 'allonge sur le lit et continue à me faire jouir. J'ai une envie folle de son sexe. Il le sent et se met sur le dos pour que nous passions en 69. Le contact de son sexe, dur, chaud me donne comme une décharge électrique. Son sexe a un léger goût de vanille, mais cela doit être dû à son gel douche utilisé juste avant mon arrivée. Je comprends pourquoi certaines femmes aiment prendre un sexe en bouche. Il est possible d'en jouir. Probablement que les muqueuses buccales réagissent comme toutes les muqueuses. Sentir un sexe vibrer, palpiter dans votre bouche apporte une jouissance identique à celle de l'autre orifice. Si vous ajoutez à cela, le sentiment de contrôler le plaisir de votre partenaire, c'est quasiment un orgasme. J'adore jouer avec ce phallus dressé, dur et doux et brûlant..Après l'avoir bien titillé, léché sucé. Il me demande de le chevaucher. Au préalable, il a joué avec mon rosebud qu'il a fini par retirer pour y introduire ses doigts avec du gel. Au moment où il a introduit un doigt pour jouer avec mon anus, je suis transportée. Je tremblais de partout, presque à en pleurer. Je ne me contrôle plus, mon corps et mon esprit ne m'appartient plus, je ne suis plus que jouissance. Je n'ai qu'une idée en tête, recevoir cette queue, prendre cette queue en moi. Je veux être son jouet sexuel, lui appartenir. C'est très étrange comme sensation , nouvelle, mais terriblement plaisant. Je sens que ma chatte est mouillée. Je le chevauche. Lui tient son sexe dressé et moi j’écarte mes fesses pour mieux m'empaler sur lui. C'est une technique qui permet lorsque le sexe est conséquent de contrôler la pénétration pour empêcher toute douleur et jouer avec les différentes profondeurs. Mon plaisir lui importe beaucoup, il est là pour me donner un maximum de plaisirs. Une fois terriblement excitée, je suis prête à satisfaire ses moindres plaisirs. De rotations du bassin et va et vient le long de sa verge langoureux et rapides. Cela a fini par de puissants coups de queue sur lesquels je m’empale de plus en plus fort. Ses main sur mes hanches indique le rythme qu’li souhaite m’imposer. Je suis comblée. Je ressens des sensations jamais vécues. Certaines parties de mon corps vibrent comme jamais elles ne l'ont fait. Mon esprit est dans un monde inconnu mais tellement délicieux.Voilà comment s'est déroulé la première pénétration de la matinée. Après un bon moment de plaisirs intenses, nous prenons un peu de repos et je vais changer de tenue pour la suite.
2 notes · View notes
sous-le-saule · 1 year ago
Text
Tout au milieu des étoiles
(Le musicien fantôme, épisode 7 – parce que quand on commence quelque chose, il faut le finir, même s’il faut tordre les thèmes pour y parvenir.)
On m’arrache aux eaux sombres qui devaient me servir de tombeau. On me dépose lourdement sur un sol de bois. Un pont. Le pont du Musicien fantôme. Des marins inconnus se massent autour de moi et me dévisagent avec curiosité, tandis que je rends l’eau de mer que j’ai avalée. Ils ont quelque chose d’étrange que je ne parviens pas à cerner. Je ne comprends pas ce qui se passe. Désorienté, je cligne des yeux comme un hibou. La tempête rugit encore autour de nous mais elle n'atteint pas le pont, comme si le bateau constituait l’œil d’un cyclone. Mon esprit semble être resté dans les abysses. Je sens qu’une idée capitale m’échappe, jusqu’à ce qu’elle remonte comme une bulle à la surface, accompagnée d’une bouffée de panique. Où sont les autres ? Où est Esteban ?
Je désigne à l’inquiétant équipage les eaux en furie. « Il faut sauver mes amis ! Je vous en prie ! »
« Si nous les sauvons, accepteras-tu de nous aider ? »
Je cherche des yeux l’homme à qui appartient cette voix sépulcrale. Il s’avance, rompant le cercle de mes observateurs muets. La tête me tourne. Je connais ce visage, qui offre une ressemblance troublante avec le mien. C’est impossible. Je sais pertinemment que c’est impossible. Mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir pour l’instant.
« Je le promets. » Que puis-je dire d’autre ?
&&&
J’ai été tenu à l’écart le temps du sauvetage. Fermement mais avec courtoisie. J’ai reçu des vêtements secs, une couverture et un verre de rhum. Puis j’ai été autorisé à vérifier, de loin, que tous les hommes avaient été repêchés. Esteban est parmi eux. Je ne sais comment il va, je sais juste qu’il est en vie, et je devrai m’en contenter puisqu’un marin du Musicien fantôme me conduit, avec une opiniâtreté muette à laquelle je n’oserais désobéir, vers une cabine dont il ouvre la porte, m’intimant d’un geste l’ordre d’entrer.
A sa superficie et son luxe, je devine la cabine du capitaine, et je ne suis pas surpris d’y voir l’homme qui m’a arraché plus tôt la promesse de mon aide.
Entre-temps, j’ai remis mes idées en place et je l’interroge avant qu’il ait le temps d’ouvrir la bouche.
- Vous êtes mon grand-père, n’est-ce pas ? Il y a votre portrait sous un drap, dans le grenier du manoir familial.
Il acquiesce.
- Tout s’éclaire maintenant, dit-il. Je percevais ton existence – pardonne-moi, je ne peux l’exprimer plus clairement – mais je ne savais pas qui tu étais. Je me doutais qu’une telle connexion ne pouvait exister qu’avec un membre de ma famille, mais… ces dernières semaines, je t’ai senti approcher, de plus en plus, et quand je t’ai vu sur le pont… la ressemblance est frappante. Comment t’appelles-tu ?
- Giacomo.
- Sans surprise, ton père ne t’a pas donné mon prénom. J’imagine qu’il m’en voulait toujours d’être parti.
- Il ne parlait jamais de vous, en tout cas. Tout ce que j’ai réussi à lui arracher, c’est que vous étiez officier de marine et que vous étiez présumé mort en mer.
- La première partie est fausse, mais je suppose qu’« officier de marine » jette moins l’opprobre sur notre arbre généalogique qu’«  aventurier ». Quant à la seconde affirmation, elle est correcte, même si je la nuancerais quelque peu : je ne suis pas « présumé » mort en mer. Je me suis bel et bien noyé il y a dix-sept ans. Tout comme le reste de mon équipage.
Il me toise avec un sourire partagé entre moquerie et amertume.
- Tu es bien pâle, tout à coup. Que t’attendais-tu à trouver sur un navire fantôme, si ce n’est des spectres ?
- Vous n’en avez pas l’air, dis-je en maitrisant tant bien que mal le tremblement de mes mains.
- Nous ne sommes pas les formes éthérées que décrivent les récits mais, comme elles, nos âmes n’aspirent qu’à être libérées de cet état qui n’est ni la vie, ni la mort. Hélas, les sirènes en ont décidé autrement. J’aimerais pouvoir te dire que la punition est imméritée. Mais nous avons tué tant d’entre elles… A l’époque, j’étais aveuglé par l’excitation de la chasse et l’or facile. Sais-tu combien rapporte une écaille de sirène dans les cercles initiés ?
Des fantômes. Des sirènes. C’est trop à assimiler à la fois. Mes jambes se dérobent sous moi et je m’effondre sur un fauteuil. A la stupéfaction se mêle la déception. Voilà donc l’homme qui a incarné, dans mes rêveries d’enfant, le voyage, l’appel du large, la possibilité d’un autre destin…
- « Aventurier » est un terme encore trop flatteur pour vous décrire. Je dirais plutôt « braconnier ».
Il soupire.
- J’ai eu le temps de regretter. Crois-moi si je te dis que je comprends, à présent, le courroux des sirènes. Mais je ne parviens pas à les en convaincre.
Face à mon air interdit, il explique :
- Elles nous libéreront lorsque nous leur présenterons des excuses qu'elles estimeront acceptables.
- Je ne vois pas où est-
- Un chant. Ce sont des sirènes. Elles exigent donc un chant d’excuse, émouvant et exprimant sans le moindre doute la sincérité de nos regrets.
Je ne saisis toujours pas le problème et cela semble irriter mon grand-père, qui écarte les bras en s’exclamant :
- Ai-je l’air d’un musicien ? Cela fait dix-sept ans que j’essaie d’écrire ce foutu chant ! Rien n’est jamais assez bon pour elles. Il y a quelques années, je me suis mis à rêver de mélodies sur lesquelles je tentais laborieusement, à mon réveil, de plaquer des paroles d’excuses et que nous répétions ensuite sans relâche avant les soumettre aux sirènes. Toujours sans succès, hélas.
- Mais… C’étaient les miennes, n’est-ce pas ? C’étaient mes compositions !
- Tu as eu vent de cela ? s’étonne-t-il. Est-ce la raison de ta venue ? Oui. C’était les tiennes. J’ai mis un certain temps avant de comprendre qu’il y avait un lien entre ces airs et la présence que je ressentais dans mes rêves. Il fallait bien qu’ils viennent de quelque part. Je ne suis pas un artiste. Mais toi, oui. Il faut que tu m’aides. Que tu nous aides. Il faut que tu écrives ce chant.
Je sens la colère me monter au nez.
- Et pourquoi donc vous aiderais-je ? Vous avez utilisé ma musique pour attirer et couler d’innocents équipages !
Affichant une mine outrée, mon grand-père élève la voix à son tour :
- Nous n’attirons personne ! Nous ne faisons que répéter nos chants. Si des bateaux ont coulé, c’est parce qu’ils nous ont approchés de trop près. Comme tu as pu t’en rendre compte, mon navire est entouré d’une tempête incessante qui fait partie de la malédiction des sirènes, nous empêchant d’approcher des rivages et de toute embarcation susceptible de nous aider. Ce qui signifie, par ailleurs, que les hommes que tu m’as demandé de repêcher sont coincés sur ce navire avec nous, tout comme toi, jusqu’à ce que la malédiction soit levée.
Comme je m’apprête à répliquer, il m’arrête d’un geste autoritaire et ajoute, sur un ton dont l’apparence conciliante peine à masquer l’acidité :
- Mais je n’ai aucun doute que ma descendance accorde de l’importance à une parole donnée, et que tu tiendras à honorer ta promesse de nous aider, sans avoir besoin d’autre motivation…
&&&
Interrompant mes déambulations sur le pont, je soupire et lève les yeux vers le ciel. A la verticale des deux mâts, entre les circonvolutions instables des nuages qui encerclent le navire, se découpe un espace dégagé où brillent les étoiles. C’est le seul endroit où le regard peut se porter sans rencontrer les murs menaçants de la tempête. C’est comme si nous étions seuls au monde. Je n’ai aucune sympathie pour mon grand-père, mais je songe à ce que lui et son équipage ont dû ressentir pendant dix-sept ans. Et plus j’y pense, plus je ressens le poids de la responsabilité, comme tombé sur mes épaules depuis ce carré de ciel. Les âmes de l’équipage du Musicien fantôme. Les vies de l’équipage de l’Icare. Je ne suis pas sûr que mon art soit à la hauteur des exigences des sirènes.
Quelle ironie que là-haut, tout au milieu des étoiles, je puisse distinguer la constellation d’Orion. L'orgueilleux chasseur. C’est Esteban qui m’a appris à reconnaitre dans le ciel ce repère pour les navigateurs. Peut-être pourrais-je trouver mon inspiration dans ce mythe. Quelques notes me viennent… une ébauche de thème, avec laquelle mon esprit jongle quelques minutes. Ca, ce n’est pas mal. Pas mal du tout, même. Je me mets à la recherche de papier en me retroussant mentalement les manches.
Les sirènes veulent un chef-d’œuvre ? Giacomo Tremonti va leur en donner un !
12 notes · View notes
0x1-in · 1 month ago
Text
°❀.ೃ࿔* 𝗟𝗢𝗩𝗘 𝗠𝗘 𝗕𝗔𝗖𝗞 | 𝗦𝘂𝗻𝗦𝘂𝗻 en-. FR VER.
Tumblr media
♡ ‧₊˚ ⋅ ౨ৎ ‧₊ .ᐟ
Sunoo x Sunghoon.
Part 1.
Strangers to lovers.
Nb : j’ai fait cette histoire après un fanart que j’ai dessiné. (MERCI DE NE PAS REPOSTER SANS ME CRÉDITER)
Les dessins se trouveront à la fin.
Tumblr media
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
┊sunsun ff. ♡ ┊
" c h a p i t r e 1 : i l o v e y o u. „
(Je m’inspire simplement des leur physique. En aucun cas les personnages ne les représentent.)
Elle me gifla. 
L'ambiance de la fête s'était évanouie, emportant avec elle l'insouciance de la joie et des rires passés. Pourtant, le décor restait d'une clémence surprenante, et la musique, toujours vibrante, continuait de jouer jusqu'à... silence radio. J'étais à une fête d'anniversaire. Pas n'importe laquelle, c'était la fête d'anniversaire de ma petite-amie.
Ou peut-être que ex-petite-amie est le terme plus approprié.
Le monde nous scrutait du regard. Le silence semblait presque aussi bruyant qu'un concert de heavy metal ou bien qu'une nuit à la campagne, je ne sais pas. Le cœur tourmenté, sa main, d'un élan, effleura ma joue. Ce geste, aussi soudain qu'une flamme éphémère, me laissa immobile, le souffle coupé, tandis que l'éclat des lumières décoratives contrastait avec l'ombre naissante en moi.
J'avais honte.
— Park Sunghoon, tu n'es qu'un idiot ! Comment oses-tu ? Le jour de mon anniversaire, en plus ?! Tu ne comprends définitivement rien à l'amour, s'énerva-t-elle. C'est fini entre nous.
Ainsi, elle s'éloigna, me laissant seul dans la froideur d'un instant figé. Ma main, posée sur ma joue, tentait en vain de calmer l'ardeur qui brûlait, une douleur bien plus profonde que le simple choc de sa paume, j'étais prêt à parier qu'en plus de la marque de sa main, elle avait même créé un relief, une marque. Autour de moi, les regards flottaient, lourds de silence et de jugement. Je ne cherchais pas à me justifier, ni même à comprendre; je restais là, la tête baissée, envahi par une honte qui me consumait. Une étrange résignation me tenait, comme si, au plus profond de moi, je savais qu'elle avait raison, que ce châtiment muet était celui que je méritais. Je n'y comprenais rien en l'amour, et je n'avais donc jamais réussi à la faire sentir aimée.
Mais pour être d'une grande sincérité, je n'étais pas spécialement amoureux. Elle me plaisait, mais ça n'allait guère plus loin.
J'étais Park Sunghoon, le roi de la glace.
Et le roi venait de se faire humilier.
Je me suis pris la tempête la plus glaciale de mon royaume.
Finalement, l'amour c'est pour les nuls.
Ou justement, pas pour les nuls comme moi.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
J'étais en cours de mathématique, faisant simplement acte de présence. Loin de moi l'idée d'écouter quelque chose qui ne m'intéressait et ne m'intéressera jamais. J'avais mieux à faire. La scène de la semaine dernière, cette claque, revenait sans cesse comme un refrain, marquant mon esprit d'un souvenir encore brûlant. Le regard perdu vers la fenêtre, je sentis une main secouer mon épaule.
— Sunghoon..! Ça fait 10 plombs que je t'appelle. chuchota Jake, mon meilleur ami -et voisin de table-
— Ça se voit, t'as les cheveux blanc qui commencent à pousser. plaisantai-je.
— Haha, très drôle. retoqua-t-il sarcastiquement. Ça te dit d'aller à la salle d'arcade après les cours ??
— Je suis désolée, je dois récupérer ma sœur ce soir, je pourrais pas.
— T'inquiète ! On remettra ça ! me rassura-t-il d'un sourire radieux
Jake était ce genre de personne rare, bienveillante et lumineuse, trop précieuse pour ce monde. Il était même trop bon pour ce mauvais monde. Mon seul ami depuis l'enfance, celui qui contrastait avec mon caractère froid et distant. Lui, chaleureux et extraverti, avait le don de se lier d'amitié avec tous.
Il était tout ce que je n'étais pas, chaleureux, agréable, positif, enthousiaste. En plus d'être délégué, il se portait toujours présent pour autrui. C'est un homme formidable et amical.
J'étais bien différent.
On avait nos différends.
Le fin des cours retentit, nous indiquant qu'il était finalement l'heure pour chacun de rentrer chez soi, hormis les élèves punis. Ces derniers avaient comme mission d'accomplir l'heure de colle.
Dans la cours, après avoir salué Jake et Ni-Ki, un petit de troisième qu'il veillait comme un grand frère, je m'apprêtais à rentrer.
Enfin,...
Jusqu'à qu'une étrange main retient ma chemise. Par pur réflexe, je me retournai.
C'était un garçon, un jeune homme, pas plus grand que moi. Il était blond, certainement pas une couleur naturelle. Nous avions droit aux teintures même dans notre établissement ? Quoiqu'il en soit, sa chevelure dorée telle la lumière douce d'un cr��puscule, semblait porter sur lui un éclat éternel. Son visage, fin et délicat, évoquait la pureté d'une fleur de camélia, chaque trait subtilement sculpté comme une œuvre d'art éthérée. Ses yeux, vastes et lumineux, sont deux étoiles perdues dans un ciel d'ivoire, captivant ceux qui osent les croiser. Ses lèvres, légèrement rosées, semblaient prêtes à murmurer des secrets du vent. Il était une brise légère dans la chaleur d'un été, à la fois doux et envoûtant, irradiant une aura à la fois mystérieuse et angélique. C'était cela, c'était un ange.
Un ange tombé du ciel.
Il me regardait avec des yeux qui m'inculquaient du stresse, de l'excitation, de la peur mais aussi du courage. Son regard pétillant m'hypnotisaient
Il retira sa main, et baissa légèrement la tête.
— Park Sunghoon ? Hum... commença-t-il, jouant avec ses doigts, il y a une chose à laquelle je dois te faire part.
Il prit une grande inspiration, puis plongea son regard dans le mien, ses yeux brillants d'une sincérité presque effrayante. Ses joues rosirent, et je pouvais voir son corps frémir, partagé entre courage et vulnérabilité.
Ça ne pouvait tout de même pas être une déclaration d'amour..
— Je... Je t'aime. Sors avec moi.
C'était une déclaration d'amour.
Je restais planté là, ses mots résonnant dans mon esprit. Une déclaration d'amour ? Inattendu, c'est le moins qu'on puisse dire. J'étais à des kilomètres d'imaginer qu'un mec que je ne connaissais même pas puisse se pointer, les joues rouges, les mains tremblantes, pour me dire... ça. Moi, Sunghoon, le roi de glace, me retrouver face à une déclaration d'amour d'un parfait inconnu ? Mais comment tu réagis à ça sérieux ?
Normalement, j'aurais eu un réflexe de recul, une indifférence polie pour m'échapper de cette situation. Après tout, ce genre de choses, l'amour et toutes les émotions qui vont avec, m'échappaient. La claque de mon ex, sa colère, tout ça m'avait fait comprendre que ce n'était pas mon truc. Je n'avais jamais su ce qu'elle attendait vraiment de moi, et je n'avais même pas cherché à comprendre. Elle avait raison, probablement : je ne comprenais rien aux sentiments, à l'attachement. Peut-être parce que je ne les avais jamais ressentis de cette façon.
Mais en regardant ce dernier, quelque chose en moi hésita. Sa sincérité, l'authenticité de son regard... Il avait l'air d'y croire vraiment. Ce n'était pas un sentiment réciproque, mais une curiosité me poussait à accepter, comme une sorte de défi. Peut-être que cette fois, en me lançant dans l'inconnu, je probablement pourrais comprendre ce que les autres ressentaient, ou au moins essayer.
Ma main glissa machinalement sur ma nuque, signe de ma gêne, et je détournai les yeux, avant de lâcher, presque sans enthousiasme mais avec une sorte de curiosité étrange :
— D'accord... un léger souffle sortant de mes lèvres.
— C'est rien. Je me disais bien que tu— Attends, quoi ?? Tu viens d'accepter ???
— Oui.
— Mais je croyais que t'étais hétéro !
Je fronçai les sourcils, sentant une pointe d'agacement monter en moi. Dites moi que c'était une plaisanterie. Et puis quoi encore ? Il me fait une déclaration en pensant que j'étais hétéro ? Et maintenant, il fait les grands yeux parce que j'ai dit oui ?
— Si tu pensais que j'étais hétéro, pourquoi m'avoir demandé de sortir avec toi ?! demandai-je en haussant le ton, de plus en plus agacé par cette situation absurde.
Le blond haussa les épaules, un petit sourire satisfait sur les lèvres, comme s'il s'amusait de ma réaction.
— J'ai toujours rêvé de dire ça, avoua-t-il, avec un air mi-fier, mi-détaché. Il y avait une pointe d'audace dans ses yeux, un mélange de défi et de fierté qui semblait dire qu'il n'avait rien à perdre.
Ah, voilà, c'est ça, un jeu. Tout ça pour une phrase qui lui trottait dans la tête. Bien, et moi, je fais quoi maintenant ? Je retourne à ma vie de "roi de glace" et on fait comme si de rien n'était ?
Par la suite son expression changea, se faisant plus sérieuse, presque vulnérable.
— Et puis, il fallait que je te dise ce que je ressens pour pouvoir passer à autre chose, ajouta-t-il doucement. Mais je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes.
Son honnêteté me surprit. D'un coup, je me retrouvais face à quelqu'un qui m'expliquait ses raisons, sans détour ni fioriture. Pas comme mon ex, pas comme toutes ces personnes qui jouaient des jeux que je ne comprenais même pas.
— Pour être honnête, je n'y connais rien en l'amour, dis-je en lâchant un soupir. Je n'avais jamais vraiment réussi à comprendre ce que les gens attendaient de moi. Ma dernière relation m'avait montré que j'étais loin d'avoir tout compris.
Mais peut-être, pensais-je, que c'était justement pour ça que j'avais dit oui. Peut-être que j'avais besoin de tenter quelque chose de différent pour enfin savoir ce que ça faisait.
— Oui, j'ai sais. Tout le lycée ne parle que de la claque que tu t'es prise ! rit-il doucement.
Quelque chose me dit qu'il n'avait pas fini de jouer avec mes limites.
Un sourire amer flotta alors sur mes lèvres, les mains dans les poches, tout en sortant un soupir audible.
— Aaah... tout compte fait, je pense décliner ton offre-
Mais avant que je ne puisse achever ma phrase, il s'empressa d'ajouter :
— Attends attends, s'écria-t-il, agitant ses mains pour me retenir.
Bah tiens donc.
Il esquissa un sourire radieux, un sourire sincère, lumineux... presque céleste. Ses lèvres, délicatement courbées, laissaient transparaître une douceur infinie, un éclat de bonheur pur qui, pour un instant, semblait suspendre le temps. C'était un sourire rare, celui qui réchauffe l'âme et laisse une empreinte indélébile, comme une étoile filante traversant le ciel.
— Je peux t'apprendre ce qu'est l'amour. finit-il par dire.
Je restai silencieux, pris entre la tentation de découvrir ce qu'il avait à m'offrir et la méfiance que j'avais envers tout ce qui touchait aux sentiments.
— Bon... tentai-je de briser le silence, une légère hésitation dans ma voix. Veux-tu m'accompagner ? Je dois aller chercher ma sœur au collège. 
— Ça aurait été un plaisir, mais... je suis collé, répondit-il, sa voix teintée d'un brin de désespoir, un sourire gênée.
Lui ? Lui ??
L'idée de voir LUI en retenue me surprit. Lui, qui semblait être la définition même de l'innocence, l'âme d'un enfant qui n'oserait jamais transgresser les règles. 
— Toi ? Pourquoi donc ? demandai-je, un mélange d'étonnement et de curiosité se mêlant à mes mots. 
Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage d'une lumière espiègle. 
— J'ai peint mon casier avec des paillettes... avoua-t-il, presque comme une confession. 
Bien sûr.
Là je comprenais mieux.
Qui d'autre que ce type aurait eu le courage de transformer un simple espace de rangement en l'atelier de la fée Clochette ?
Puis, sans crier gare, il fouilla dans son sac et en sortit un stylo. D'une douceur infinie, il saisit mon bras, et l'éclat de ses doigts chauds contrastait avec ma peau glacée, me laissant frémir sous cette délicate étreinte. Un frisson me parcourut, me rappelant le frôlement léger d'une brise d'été. Lentement, il traça une série de chiffres...
Est-ce bien ce que je pense ?
Oui, son numéro.
C'était son numéro.
Son numéro, encré sur ma peau comme une promesse silencieuse. Un petit « xo » à la fin, symbole d'une affection voilée.
— Envoie-moi un message... ou appelle-moi, murmura-t-il, son ton flirtant avec l'éternité, accompagné d'un clin d'œil.
Il s'éloigna, me laissant seul, figé, encore prisonnier de l'instant. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres, comme une fleur timide émergeant au printemps. Mon cœur battait la chamade, mes joues s'enflammaient... Bordel. Que venait-il de me faire ?
Je venais d'avoir un petit ami. Un inconnu, un mystère à peine entrevu, un mec que je ne connaissais que des moindres et pourtant, peut-être serait-il mon Soleil.
Tandis que je restais là, à revivre la scène en boucle, mes yeux fixés sur mon bras, une soudaine vérité m'étreignit, frappé à plein fouet.
Merde... comment s'appelle-t-il... ?
À suivre…
Tumblr media
Merci à tous d’avoir lu ! <3
C’est la toute première fois que je poste ici hihi 🤭
J’espère que ça vous a plu !
J’aimerais savoir si j’en fais une suite, si l’histoire intéresse :)
Prenez soin de vous ! Bisous 🩷
XOXO.
(Les dessins sont juste ci dessous)
Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
selidren · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
8/10
Il est heureux que vos enfants soient eux mêmes trop jeunes pour se lancer de leur plein grès dans une telle folie. Quelque part, votre arrivée imminente m'emplit d'espoir, car avec de bons renforts, peut-être pourront nous renvoyer l'ennemi de l'autre côté des frontières et cette guerre prendra fin. Ainsi, mon fils sera de nouveau en sécurité et, si Dieu le veut, n'aura pas été trop abimé par ce qu'il a vécu.
J'ai des nouvelles bien sur, mais sporadiques et atrocement vagues. Il me cache beaucoup de ses pensées et de ses peurs (je le connais trop bien pour ne pas m'en rendre compte), et parfois ses lettres me parviennent toutes raturées de noir, ce qui augmente ma frustration. Il est certain qu'il ne veut pas m'inquiéter (lui aussi me connait trop bien ignorer ma peur) ni inquiéter sa mère et ses soeurs. Il aura bientôt une permission, ainsi je pourrai respirer sans l'étau qui me serre la gorge. Il reverra sa mère qui saura s'occuper de lui, et ira rendre visite à sa chère Yvonne (son amoureuse, comme vous l'aurez deviné). Je ne lui souhaite rien d'autre. Parfois, mon esprit torturé en vient presque à lui souhaiter une blessure quelconque, afin qu'ils le renvoient à la maison. Vous devez me juger monstrueux d'avoir de telles pensées mais ce sont les miennes depuis trop longtemps pour qu'elles en viennent à me choquer.
Transcription :
Constantin : Adelphe, tu m'as toujours dit que les rêves étaient les rêves, ils ne sont pas la réalité. Alexandre va bien, j'en suis sur !
Adelphe : Je n'en peux plus, tu comprends ? A bruit sourd ou fracas, je vois dans ma tête son corps sans vue. Je m'imagine le ramenant à la maison dans une housse mortuaire, le mettre dans un cercueil pour l'enterrement. Et je n'y peux rien... Je suis mort de peur. Que ferai-je si cela devait arriver ? Je ne pourrai pas... je ne pourrai pas continuer je crois...
Constantin : Adelphe, je... pardonne moi.
Adelphe : Ce n'est pas ta faute, bien au contraire. Tu as eu raison de me pousser à dire ce que j'avais sur le coeur, cela m'a fait du bien je crois.
Constantin : Tu n'as plus peur ?
Adelphe : Si, mais tu m'as rappelé que j'ai la chance d'avoir mon Tintin avec moi pour me soutenir, et ça, ce n'est pas rien.
Constantin : ...
Adelphe : Qu'y a-t-il ?
Constantin : Tu penses vraiment ce que tu disais ? Tu vas... Tu pourrai te tuer ?
8 notes · View notes
succoflood · 7 months ago
Text
Paradoxe 2.0
J'ai fait de l'escalade pour la première fois de ma vie aujourd'hui. Je me suis rendue compte de beaucoup de choses sur moi. L'envie ne manque pas. J'ai toujours envie d'essayer de m'accrocher à n'importe quoi qui se présentait à moi. De me jeter sur ce qui vient. D'essayer. Mais lorsque j'ai posé mes deux pieds et que mes deux mains me tiennent, là arrive la plus grosse étape. Avoir le courage de lâcher une main, un pied, pour le poser plus haut. Ce n'est pas chose facile, et je n'y arrive pas. Les seuls moments où j'y arrive, je suis encouragée par mes amies en bas qui me conseillent où poser mon pied. Et lorsque je comprends le mécanisme, il m'arrive parfois de prendre mon élan, sans réfléchir, et de sauter, grimper et tout se passe bien jusqu'à ce que je sois presque en haut. Mes bras sont à bout, ils n'en peuvent plus, ne peuvent plus me soutenir et moi je sens, je le vois, je vais lâcher. Mais la chute me faire extrêmement peur. Il faut juste que je descende par moi-même, doucement, tranquillement. Descendre, c'est beaucoup plus facile car il se rapproche du sol, la chute fait moins peur, on connait déjà le parcours car on l'a déjà traversé. Pourtant, descendre fait encore plus peur que monter. Il faut accepter de se laisser sauter dans le vide en espérant que notre corps et notre esprit nous permette de rattraper un point d'accroche. J'arrive en bas. Je regarde ce que j'ai fait. Je suis déçue, j'étais presque au sommet, mais je ne me suis pas écoutée. Presque en haut, j'ai commencé à paniquer, à me dire que je n'attendrais jamais l'arrivée. Pourtant j'ai traversé plus de la moitié du parcours, je suis presque arrivée ... Mais les dernières étapes font trop peur. Et si je monte encore plus et que je tombe de plus haut ? Mais je n'ai aucun risque si je tombe, au contraire, le matelas amorti la chute. La chute est même plus drôle et amusante que de grimper. Pourtant, impossible. Lorsque je suis presque en haut, j'ai besoin de l'avis et de la validation des autres pour réussir à monter. J'ai besoin qu'on me dise "vas-y tu y es presque", "fais toi confiance" parce que je ne me fais pas confiance. Je ne crois pas en mes capacités, je n'ai pas confiance en mon corps, alors qu'en réalité, je peux lâcher une main sans prendre le risque de tomber. J'ai besoin que les autres me disent qu'ils savent que je peux le faire pour le faire. Quelle honte. J'aimerais un jour arriver en haut sans avoir besoin qu'on me guide, qu'on me dise d'où aller, quel pied lâcher, et que je peux le faire pour le faire. Pourquoi est-ce que j'aime tant monter, que je me lance toujours de toutes mes forces d'une telle volonté, pour perdre confiance une fois que j'ai lâché mon dernier pied du sol. Pourquoi ai-je tant de volonté pour monter, alors que quand je commence à monter, l'angoisse me prend à la gorge et je me retrouve incapable de monter ?
4 notes · View notes
lekintsugihumain · 10 months ago
Text
Je ne sais pas comment développer un esprit propice à l'acquisition et à la mémorisation des connaissances.
Je suis allé me confronter à la chose que j’aime et que je redoute, les sciences. Là où on m’a toujours dis que j’avais du potentiel mais mon manque d’investissement me freinait dans la réussite de cette discipline.
Je vois ceux réussir dans les maths, aussi facilement qu’ils diraient bonjour pendant que moi je galère à avoir un niveau bac s (bon cette prépa veut faire de nous des futurs étudiants en médecine ou ingé alors je suppose que c’est plus que le niveau bac s)
Il y a beaucoup de chose que je ne sais pas faire que des collégiens savent faire.
Pour l'instant j'en suis encore où je récupère un sommeil décent, je mange deux fois par jour, mon hygiène est décente, je vois mes amis, je sors, je me remets au sport, j'améliore mon image.
La prochaine étape c'est les diplômes et tout ce que ça implique dans ce parcours...
J'en ai aucune idée de si j'ai les épaules pour.
J’en doute…
Tout ça me fais douter vraiment de mon intelligence et j'ai aucun moyen de la vérifier c'est ça le pire
Entre les « t'es limité » de l'un et les « jsp si tu es bête en fait » de l'autre. La répétions ça fais assimilation.
J'ai l'impression d'être une personne debile et lente et que je suis le seul à ne pas le voir que je suis comme ça.
C’est pas les maths ni la physique qui est difficile, c’est moi qui est stupide.
Le tda ajouté à tout ça, me désespère encore plus, il est un tel handicap dans ma réussite sur tout les plans.
Suis-je au max de mon potentiel ? En ai-je un btw ? Si j’arrive pas à réussir ça à acquérir ce diplôme comment je vais faire après ? C’est représentatif de ma pauvreté intellectuelle.
Je suis sûr que je suis en dessous de la moyenne en terme de Q.i
Je suis lent, j’arrive pas à comprendre les choses, rien à voir mais suffit de me voir avec ma kiné, j’arrive pas à reproduire la moitié des exercices qu’elles me donne comme si j’avais un problème au niveau psychomoteur, de la motricité, il doit être au niveau d’un nouveau né.
Je suis trop stupide pour ce monde, enfin, le monde du travail, j’ai mis 10 000 ans à mesurer un angle de mur pour y insérer un meuble svp
J’ai envie de me foutre en l’air, premier degré ça fais partie de mes raisons.
Il suffirait que quelqu’un me dise clairement les choses, que oui un lycéen serai faire ce que je n’arrive pas à faire en math, que j’ai un vocabulaire et une expression digne d’un primaire, et que je suis long à la détente.
Vous savez quoi ? Je ne comprend toujours pas comment on trouve la solution à ça
Une baguette et un bonbon coûte 1.10€ au total, la baguette coûte 1€ de plus que le bonbon, combien coûte le bonbon ?
Voilà je crois que j’ai envie de pleurer tellement je suis médiocre et que tout le monde le sait mais personne me le dit
3 notes · View notes
bienvenuechezmoi · 9 months ago
Text
Aujourd'hui, samedi 16 mars 2024, 1h55.
Je comprends dans ma chair la critique de l'école. L'école du capital. Celle qui forge les travailleurs dompté de demain.
Nous sommes biberonné dès 3 ans à obéir à l'adulte, à la hiérarchie, à la personne qui a le pouvoir dans la pièce. Par la violence ou non. Par la pression du groupe, par l'humiliation verbale mais aussi symbolique de la note ou par la récompense positive, les gommettes, les compliments, la reconnaissance d'un statut.
J'ai toujours compris théoriquement cette critique de notre domptage par l'école mais je la contrebalançais par "quand même c'est le système le moins pire pour apprendre au plus grand nombre à lire et écrire". Évidemment, l'école n'a pas était un fardeau pour moi. Je ne trouvais pas ça cool mais pas horrible non plus. Je remercie mes facilités pour avoir franchement pas branlé grand chose sans redoubler. Je n'étais pas là plus grande flèche de la famille, mais bon tranquille ça passe.
Cependant on ne sort pas indemne psychologiquement de 15 ans d'école nationale. On a appris à fermer sa gueule et à s'assoir pendant des heures durant.
Je pense que l'expérience est différente pour les etiquettés "bons élèves" et les "mauvais élèves". En tant que "bon élève" on a l'habitude de la récompense, de se sentir récompenser de façon régulière. Les "mauvais élèves" apprennent l'humiliation et les violences d'un milieu qui ne veut pas les voir exister pourtant ils y resteront pendant des années. Des années qui ont voulu les écraser jour après jours. Soit tu t'ecrase et tu apprends très jeune que tu ne vaux rien, soit tu rejettes la hiérarchie et tu slalomes entre les danger pour que ton corps et ton esprit survive. Tu apprends à te battre contre la hiérarchie qui te méprise et reconnaître ta valeur par toi même et non à travers les autres (évidemment le trauma n'est pas loin).
J'en viens au fait que le "mauvais éleve" a déjà appris a survivre dans un milieu hostile et à dire aux gens d'aller se faire foutre et ça va lui être très utile pour la suite de la vie. Alors que le "bon élève" a été biberonné a recevoir sa récompense de la hiérarchie. Il l'a veut de ton son être.
Puis le "bon élève" fini ses études et trouve un travail, sauf qu'il est toujours matrixé par sa récompense sociétale de sa place de bon élève. Malheureusement pour le "bon élève", l'école était un lieu qui se pense à minima en ayant un but louable d'éducation ce qui n'est pas le cas de l'entreprise. L'entreprise, elle, est très clair sur son but "on est là pour faire de la thune" et je souhaiterai ajouter à ce slogan "même si on doit en écraser sur le chemin". Le "bon élève"" se retrouve alors à se faire rouler dessus par les entreprises, car c'est ce qu'on lui a appris toute sa vie donc il l'applique. Il l'applique, et l'entreprise l'en remercie et utilise cette faiblesse, que dis-je cette apprentissage de la soumission encore et encore (jusqu'à atteindre 44% de stress psychologique au travail).
Tout ça pour dire que l'école nous dompte poir que l'on se fasse plus facilement écraser par les entreprises. On nous a appris à fermé sa gueule et à dire oui. Et quand on t'a appris toute ta vie à faire ça et que jusqu'à présent ce système ta toujours à peu près convenu la réalité de l'entreprise est violente.
Je rappelle un burn out au bout d'un 1 an mais ma manger est "ravie de mon travail". Je crois j'ai compris.
Surtout ne vous demandez pas pourquoi les conventions collectives des secteurs où il n'y a que des cadres sont éclatés.
Et pour côtoyer des vieux cadres ils sont complètement matrixés par leur travail c'est une dinguerie.
2 notes · View notes
human-antithesis · 1 year ago
Text
Élévation
Lyrics: "Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées,
Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté.
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes!"
-Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
6 notes · View notes
du-bout-de-leurs-ailes · 1 year ago
Text
Jeudi 26 octobre 2023
.
Il m'appelle
.
Je me suis demandé si j'avais reçu le Saint-Esprit. En fait, le Diable me l'a fait oublier. Il est passé par plein de moyens différents pour me le faire oublier. Le premier, je pense, a été la routine. Ensuite, la connaissance. Je connais bien la Bible maintenant. Avant, lorsque j'écoutais No me parler de Dieu, de Jésus, du Saint-Esprit, je m'abreuvais sans rien dire parce qu'il avait bien plus de connaissance, mais aussi une relation avec Jésus qui était déjà forte, établie, précise, tandis que moi j'avançais doucement avec l'aide du Saint-Esprit pour me guider. Aujourd'hui, je connais bien plus la parole. Alors qu'avant je me sentais illégitime (à tort) de parler de Christ, car peu assurée, aujourd'hui je peux en parler, je connais.
Mais connaître n'est pas avoir une relation avec Christ, avec le Saint-Esprit. Il nous parle par la parole et il est important de la lire. Cependant, de la même manière qu'il faut lire la parole avec les yeux de l'Esprit, qu'il faut lui demander de nous éclairer, il faut aussi parler de la Parole par l'Esprit. Il faut tout demander à l'Esprit, tout. Et c'est ce que j'ai fait après mon baptême. J'avais une telle paix, une telle assurance ! Pourtant, je n'allais pas à l'église, pourtant je n'étais pas entourée de chrétiens. J'avais le Saint-Esprit avec moi et il était le meilleur orateur que j'aurais pu avoir en moi pour parler de Lui.
Je comprends maintenant tellement No qui, il y a quelques semaines me parlait de sa recherche du Saint-Esprit avant. Je comprends tellement ses mots "quand tu connais comment c'était d'avoir le Saint-Esprit avec toi, tu le recherches encore et encore".
Tout en ce moment dans ma vie me dirige vers Lui. Tout ce qu'il m'envoie n'est en fait qu'un chemin qui mène à Lui. Ma lecture de la Bible, le livre Bonjour Saint-Esprit que je lis, ce que je reçois dans mes prières et mes appels. J'ai même ressenti sa présence dans la cuisine ce week-end, sa manifestation parfaite et puissance. Je l'ai encore senti dans la voiture hier.
Toutefois, aujourd'hui je constate que je manque de foi. Ce n'est pas une fatalité, ni un échec. Ce que l'Esprit me révèle et me demande me fera avancer. Je dois aspirer à l'Esprit, marcher par l'Esprit, et pour cela, il faut obéir. J'ai foi en la fidélité de Dieu. Je connais que ses promesses et ses voies sont parfaites.
Le Saint-Esprit veut venir à ma rencontre mais je suis encore prisonnière de ma chair, d'émotions qui l'empêchent de m'atteindre. Je vois aujourd'hui combien il aimerait venir me parler, établir sa communion avec moi, mais mon être ne le laisse pas entrer. Je l'appelle, il répond, mais n'arrive pas. Parce que je ne l'appelle pas avec une pleine foi. Ô Saint-Esprit, accorde-moi la grâce de me détacher de ma chair, de ces émotions qui entravent notre union, notre communication. Reviens à ma rencontre Saint-Esprit.
J'ai confiance. Il va venir me toucher à nouveau.
Pour cela je ne dois pas avoir peur de tout laisser. De tout abandonner. Ce que je n'ai pas encore fait. Je dois radicalement lui laisser ma vie, les amitiés et les relations qu'il me demandera de laisser, tous ces désirs et toutes ces actions qui ne glorifient pas son nom ou qui ne peuvent pas Le glorifier.
Pour commencer Seigneur, Saint-Esprit, je demande à ce que tu délies ma langue, que tu retires cet esprit de timidité qui m'empêche de te louer à haute voix dans la maison quand No est là. Je veux crier ton nom Seigneur, je veux te louer et ressentir ta présence dans ma vie.
Sois au bout du tunnel Saint-Esprit, permets que je t'atteigne au bout du tunnel. Au bout de cette semaine de jeûne que j'ai entrepris pour venir à ta rencontre, pour que tu me remplisses.
Amen.
2 notes · View notes
claudehenrion · 1 year ago
Text
Approximations pontificales (et autres)
Pendant les trois mois qu'a duré mon absence sur les écrans, les performances réalisées par le Saint Siège ont été, à mon sens –qui n'est que ce qu'il est : éminemment faillible et sujet à caution –en tout cas, très loin de toute infaillibilité pontificale-- parmi les plus inattendues dans leur être et dans leurs conséquences. C'est au point que je suis dans l'obligation de demander à tous les pratiquants qui ont transféré sur le Pape François le respect sans limite dû au Trône de Pierre, de ne pas aller plus loin dans la lecture de cet ''édito'' : ils pourraient me prendre en grippe ! Merci d'avance aux uns pour cet abandon de lecture, et, plus encore, aux autres, pour leur persévérance.
Tout à commencé avec un cours de géographie plus -graphique que géo- , d'où il ressortait que Marseille n'était plus en France –ce que beaucoup d'entre nous avaient déjà remarqué depuis un bout de temps : cette ville me fait penser au Tanger de mon enfance : sur des terres marocaines, mais ayant un statut ''hors sol'' qui était dit, in illo tempore, ''international''. Marseille, notre ex-belle ville de la Bonne Mère, est devenue, pour son bien très incertain mais pour notre mal certain, un appendice-réservoir maghrébo-subsaharien posé là, comme une excroissance en croissance qui génère de la décroissance, sous le signe du Croissant ! Marseille, pour le Pape François comme pour beaucoup d'autres, n'est donc plus en France, mais il est le seul à oser dire.
Ce subtile distinguo n'a pas empêché le président Macron (mais dans ce cas, est-il Président de la France ou de la seule Marseille ?) d'aller lui serrer la paluche : on raconte qu'il aurait dit : 'Marseille vaut bien une messe'' (NDLR : je crois cette citation apocryphe), ce qui a mis le ridicule microcosme germanopratin en émoi, en pétard, en ébullition, en crise de foie : ''Quoi ? Un chef d'Etat (NB : le Vatican) serait accueilli avec les honneurs dus à son rang, alors qu'il se dit ostensiblement catholique ? Et puis quoi, encore ? Et le laïcité anti-chrétienne, vous en faites quoi ?''. Et tout ce beau monde tellement laid, petit, étriqué et riquiqui de se donner en spectacle dans un solo à plusieurs : ''Plus con que moi, tu meurs !''.
Oui, mais voilà, le Pape a beau être réputé catho --ce qui est impardonnable et incompréhensible, pour un esprit (dé) formé à gauche-- c'est surtout un progressiste affirmé qui ne cache pas (et de moins en moins) toutes les mauvaises idées dont ce mouvement de pensée mortifère peut être la source. Et comme pour s'excuser de ce défaut, le voilà parti dans une défense effrénée de toute migration pourvu qu'elle soit excessive, incontrôlée, pas du tout justifiée, intrinsèquement létale pour tous les pays-cible et leurs populations, privées de leur ancienne ''souveraineté nationale''... et ayant la mort du catholicisme puis du christianisme comme principales motivations.
Et voilà aussitôt toute notre gauche moribonde qui devient ''papophile'' en un clin d’œil : plus catho qu'un gaucho, tu meurs ! On a atteint des sommets... au point que le dit Pape a dû allumer un contre-feu : ''D'accord, tous les migrants sont les bienvenus chez ceux qui n'en veulent à aucun prix, instruits par l'expérience... Mais on refuse la PMA pour tous et l'assassinat des grands malades et des vieillards au dessus d'un certain âge'' (NB : ce plaidoyer Pro domo se comprend, venant du Pape !). Et dans son désir de préciser la diversité ondoyante de son macronisme relatif (cf le ''et en même temps''...) ''François'' a même été jusqu'à ajouter que, pour lui, le mot ''mariage'' ne peut s'appliquer qu'à l'union d'un homme et d'une femme, ce que tous les amateurs de bon sens répètent en boucle depuis des années ''même si on peut imaginer d'autres formes de bénédiction pour des gens de même sexe qui s'aiment''... ce qui est plein de sagesse, une fois n'est pas coutume. Les moins vieux des plus anciens ont en mémoire la célèbre exhortation de Philippe le Hardi à son père, le roi de France Jean Le Bon, lors de la bataille de Poitiers, en 1356 : ''Père, gardez-vous à droite. Père, gardez-vous à gauche !'' Notre Saint père penche nettement des deux côtés, ''en même temps''...
Pour se casser la gueule auprès des progressouillards, ''y a pas mieux'' que de s'opposer à tout et n'importe quel changement-pour-le-changement : le soi-disant mariage pour tous et l'immigration sont deux marqueurs ''sociétaux'' de rêve pour semer la zizanie entre les faux zécolos, les vrais nostalgiques de Staline, ceux de Mitterrand, et les insoumis à toute intelligence. A propos du Pape, la gauche, déjà éclatée en autant de chapelles qu'elle compte de survivants, se re-déchire en deux : les fanas de l'invasion en cours, dite immigration pour faire avaler la pilule, vont se dire pour le '' Pape'', et les amateurs d'une solution finale pour tous ceux qui ne sont pas eux-mêmes et leurs proches vont se ranger derrière le ''pape'', la cohérence et l'unité doctrinales dussent-elles en pâtir : on n'est plus à ça près, depuis un bout de temps !
Heureusement que, dans ce désastre politico-doctrinal, l'écologie a pu amener un peu de baume au cœur des thuriféraires de ''Laudato si'' (= Loué sois-tu) : Laudate Deum ( = Louez Dieu) va replanter le décor : entre les versets de la Genèse'', si poétiques et si beaux qu'on les relit pour le plaisir et les élucucubrations sinistres, partisanes et mensongères du Giec et de Greta Thunberg (''santa subito'' ?), le choix semble être fait, au Vatican : ce n'est plus la Bible qui doit servir de référence : elle est totalement démodée... et les ''climato-sceptques'' adversaires du progressisme (comme toujours non définis) sont condamnables en tant que tels, juste ''parce que...'', quelles que soient leurs vraies raisons d'avoir raison !) : ils doivent aller en enfer vite fait, sans procès... (''damnati subito ?''), c'est le Pape qui le dit !
Car entre la véritable révolution qu'annonce une soi-disant ''démarche synodale'' (en réalité un moyen de faire progresser ce qui n'en avait nul besoin et de mettre du ''changement'' là où on aurait toléré du ''progrès'')... la nomination d'armées de cardinaux-électeurs systématiquement progressistes pour interdire tout retour en arrière... et l'enchaînement d'Encycliques de la même couleur politique... heureux seront ceux qui arriveront à retrouver leurs petits dans l'église qui s'annonce (ou, au contraire, ils seront vraiment très malheureux !).
Je ne serai plus là, je l'espère bien, mais je regrette d'avance un monde qui était largement plus doux et plus amical à l'Homme que toutes les fausses promesses intenables qui camouflent des évolutions qui (on peut le regretter, le déplorer, mais pas s'en étonner), vont tous dans le pire des ''mauvais sens''. Nous aurons l'occasion d'en reparler, hélas...
H-Cl.
2 notes · View notes