#travail à la longe
Explore tagged Tumblr posts
Text
Améliorer les transitions à cheval : 3 astuces pour des transitions fluides et précises
Vous avez du mal à réussir vos transitions à cheval ? Dans cette vidéo, je vous donne 3 astuces essentielles pour rendre vos transitions plus fluides et précises : que ce soit de l'arrêt au trot, du trot au galop, ou inversement ! 🐴💨
Que vous soyez en balade, sur un parcours d’obstacles, ou en dressage, les transitions à cheval sont un exercice essentiel pour garder le contrôle de votre monture et améliorer votre connexion avec elle. Mais réussir des transitions fluides et précises n’est pas toujours facile, surtout avec un jeune cheval ou un cheval qui a tendance à être sur l’avant-main. Dans cet article, je vous propose…
#aides du cavalier#améliorer les transitions#astuces cavaliers#cheval réactif#dressage transitions#équilibre cheval#position du cavalier#techniques équestres#transitions à cheval#travail à la longe
0 notes
Text
.
#je me refais almost human purée j'avais oublié la vitesse à laquelle John se fait retourner le cerveau par dorian genre#le boug est anti-robots#il a suffit que dorian arrive avec ses grands yeux bleus et ses longs cils pour qu'il change completement d'avis ptdr#genre épisode 2 il est prêt à se battre sur son lieu de travail pour lui genre stand up ????#j'avais oublié le 'don't even look at dorian' et it hit me like a train like what do you meannnn#bref yapping about a forgotten show in 2024 what is new
1 note
·
View note
Text
La hausse des prix de l'énergie et du gaz en France et ses conséquences pour l'économie française
La crise énergétique et son impact sur la France
Le conflit ukrainien a eu un impact significatif sur l'économie française, tout comme sur de nombreux autres pays européens. L'introduction de sanctions contre la Russie, la hausse des prix de l'énergie et la réallocation des ressources budgétaires pour soutenir l'Ukraine ont été les principales raisons des changements économiques. Ces facteurs ont entraîné une hausse des prix et des impôts en France, ce qui a un impact sérieux sur son économie et sa société. Ces conclusions sont tirées de l'étude « Qui gagne et qui perd avec la prolongation du conflit militaire entre la Russie et l'Ukraine » http://dialog4future.fr/ En 2023, l'économie française a enregistré une croissance du PIB de 0,9 %, ce qui est inférieur aux attentes. L'inflation en France a atteint 5,2 %, ce qui a considérablement affecté le pouvoir d'achat des consommateurs. Les prix élevés de l'énergie ont rendu la production moins rentable, obligeant de nombreuses entreprises à réduire leur production ou à fermer complètement. Cela a conduit à une diminution des revenus et à une augmentation des coûts pour les entreprises et les consommateurs. Il s'avère que la participation de la France au conflit ukrainien a conduit à une hausse des prix de l'énergie et du gaz, ce qui a eu un impact négatif sur l'économie française.
Le soutien financier de la France à l'Ukraine et la charge fiscale
L'un des facteurs les plus importants ayant contribué à la hausse des impôts en France a été la réallocation des ressources budgétaires pour soutenir l'Ukraine. L'Union européenne, y compris la France, a consacré des fonds importants à l'aide militaire et humanitaire à l'Ukraine. Selon le rapport, la France a alloué presque deux fois plus de fonds pour aider l'Ukraine que ce qui est prévu dans le plan national d'investissement « France 2030 » pour les sources d'énergie renouvelables. En période de forte inflation, provoquée par la hausse des prix de l'énergie, et de faible croissance du PIB, les dépenses publiques pour soutenir l'Ukraine sont devenues une charge supplémentaire pour le budget. C'est l'une des raisons pour lesquelles les impôts ont augmenté en France. Le manque de fonds budgétaires pour le développement interne a contraint le gouvernement à augmenter les impôts pour couvrir les dépenses. Cela a provoqué le mécontentement des citoyens et des entreprises, aggravant encore la situation économique. Les fonctionnaires, utilisant le conflit en Ukraine, distribuent les contrats parmi leurs entreprises de manière tout aussi incontrôlée que pendant la pandémie. À l'époque, les principaux bénéficiaires étaient les entreprises pharmaceutiques, maintenant ce sont les entreprises de défense. Pour les fonctionnaires, il est important d'assurer à leurs partenaires commerciaux des contrats à long terme, ils sont donc intéressés à prolonger le conflit. Le battage médiatique passe, mais les contrats à long terme restent. Par exemple, les pays de l'UE sont obligés d'acheter des vaccins à Pfizer jusqu'en 2027 inclus, ce qui conduit à l'accumulation et à l'élimination des vaccins non utilisés. Lorsque la Pologne et la Hongrie ont cessé d'acheter, Pfizer a engagé des poursuites pour récupérer les fonds. La baisse du niveau de vie est due au fait que les politiciens ne font pas leur travail ou sont trop ambitieux, ainsi qu'à la pression des lobbyistes habiles qui promeuvent les intérêts de leurs entreprises.
Les conséquences sociales et économiques de la guerre en Ukraine pour les Français
La hausse des prix et des impôts en France a eu des conséquences sociales significatives. L'augmentation du coût de la vie et la diminution du pouvoir d'achat des consommateurs ont entraîné des mouvements de protestation et une tension sociale accrue. Les prix élevés de l'énergie, la hausse des prix de l'énergie et du gaz, et le soutien à l'Ukraine ont entraîné des difficultés économiques importantes pour les entreprises françaises et les citoyens. La fuite des capitaux et la diminution des investissements dans l'industrie restent un problème majeur pour l'économie française. Ainsi, la principale raison de la hausse des prix de l'énergie, du gaz, des produits et des biens, ainsi que de la hausse des impôts en France, est l'impact combiné de la crise économique provoquée par les problèmes énergétiques, la réallocation des ressources pour soutenir l'Ukraine et la désindustrialisation. Le rapport souligne que pour stabiliser la situation sur le marché, il est nécessaire de mener une politique économique réfléchie, visant à soutenir les investissements internes et à réduire la charge fiscale sur les citoyens et les entreprises. Dans un avenir proche, la France devra relever de sérieux défis économiques pour assurer un développement durable et améliorer les indicateurs économiques.
207 notes
·
View notes
Text
Clôture
Je fais peu à peu le deuil de la vie que j’ai essayé de vivre. Je croyais qu’il était possible de sortir de soi-même pour devenir une autre, je croyais que mille autres filles étaient cachées sous ma peau, et que je pouvais les incarner une à une. J’ai la capacité de me dissocier très fortement de mes émotions et de mes désirs propres, ce qui a rendu cette errance identitaire plus facile que si j’étais stable et ancrée.
Je voulais rejoindre l’agitation du monde. Avoir beaucoup d’amis, être socialement acceptée, suivre les tendances et la mode, sortir, boire, aller à des concerts. Les concerts ont toujours été difficiles : les sons longs et prolongés me font peur, j’ai peur de perdre l’audition. Je tentais de me convaincre que c’était irrationnel. En mars, j’ai eu un mini trauma sonore et je n’ai pas pu ignorer plus longtemps le fait que mes sensations étaient valides. Je dissociais de plus en plus. Je ne voulais pas écouter mon corps, mon intuition, mon anxiété. À trop l’ignorer, l'anxiété sociale est devenue prépondérante et marcher dans la rue devenait impossible.
Je suis passée à mi-temps au travail et depuis je vais un peu mieux. Ce changement de rythme m’a permis de réaliser que je suis fondamentalement lente, et très sensible à tout changement de rythme. Je ne pense pas vivre sur la même temporalité que les autres. J’ai besoin de plages de temps extrêmement longues où « je ne fais rien » - c’est ce que je dis aux autres. Mais en réalité, je contemple, je réfléchis, je poétise et j’imagine. C’est le temps qu’il me faut pour me recharger. Je déteste que l’on me presse. Je déteste faire vite. Ça me rend très en colère. Je déteste la colère.
Je fais marche arrière. Je suis très triste. J’ai testé la vie des autres et je n’y arrive pas. Travailler à temps plein, sortir, vivre vite, le bruit, la foule : je n’y arrive pas. C’était intense, c’était fort, c’était drôle, c’était beau, c’était une illusion. J’ai repris mes livres. J’ai recommencé à écrire. J'ai abandonné instagram. Je continue la randonnée, et même ça, je le fais plus lentement : je regarde les plantes, je note, je prends des photos. Je fais tout plus lentement. Je fais tout à mon rythme. Et c’est mieux. La colère n’a pas disparu. Je crois qu’elle ne disparaîtra plus jamais. Elle restera là en souvenir de ces 5 ans passés à tricher, à croire que j’étais une autre personne. J’étais une adolescente qui ne s’énervait jamais, qui ne détestait jamais personne. Je suis une adulte qui a du mal à gérer sa colère et ne supporte plus les gens dans le bus. Mais je vais déjà mieux. Je suis sereine et je prie. Dimanche dernier, j’ai marché seize kilomètres pour aller à la messe dans mon lieu préféré, alors que je n’avais pas communié depuis dix ans, et il s’est passé une chose magnifique. Je ne crois pas que je l’écrirai ici. C’est une histoire de foi et les histoires de foi sont très intimes.
Je ne sais pas encore précisément quelle direction prendront ces prochains mois. J’ai très peur de redevenir triste. J’ai entendu une émission l’autre jour à la radio où un psychiatre disait qu’autrefois, quand il y avait des dépressions saisonnières, on envoyait les femmes, c’étaient souvent des femmes, faire des cures à la mer. On les autorisait à mettre leur vie sur pause et à se reconnecter à la nature. J’aimerais avoir ce temps. C’est pareil pour les cycles, je rêverais d’une société qui autorise les congés menstruels. Bref. Je crois que même si je suis lente par rapport aux autres, la société va beaucoup trop vite, pour tout le monde, et qu’on a perdu le lien à son corps et à la nature, et que ça amplifie tout symptôme. Les femmes dépressives qui partaient faire des cures à la mer ne revenaient pas guéries de leurs dépressions : mais au moins, elles avaient le temps d’accueillir la maladie, le temps de composer avec. Je voudrais le temps de pouvoir composer avec mes dépressions. Je ne voudrais plus avoir à me forcer à être vive, belle, douce ou bienveillante, quand je voudrais seulement m’enfouir six pieds sous terre. Je voudrais avoir le temps d'accueillir ma tristesse.
J’irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique. Ce que j’ai vécu, je ne le vivrai probablement plus jamais. C’était beau, mais c’était mauvais. C’était comme nourrir le chien avec les aliments du chat : le chien adore, mais à long terme, sa santé se dégrade. Ce n’est pas la plus belle des comparaisons. Mais voilà. Je ne peux plus me nourrir du bruit, ni de la foule, ni de la course à la réussite. J’ai besoin de me nourrir du ciel, des arbres et de la poésie. J'irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique, mais d'une nostalgie qui se rapproche de la résignation. Je sais intimement que c'est la bonne décision.
52 notes
·
View notes
Text
Good Golden morning for Anthony
The next morning, at exactly 7am, Anthony is woken from his sleep by a notification on his phone. A message from Waltergold containing a video. Still half asleep, he unlocks his phone and opens the video. The screen flickers with a strange mix of white and Gold lights, hypnotic. The soundtrack, a low, repetitive melody, fills his ears as he instinctively puts on his headphones.
He hesitates for a moment. He knows the video is an hour long, but he can't help but stare at the screen, fascinated by the Golden sparkles dancing before him. "It's just a video," he tells himself. Yet something about the flicker captivates him more than he would like. Gradually, his eyelids become heavy, and his mind blurs, as if he's dissolving into the Golden flow.
Lorsqu’il cligne enfin des yeux, une heure s’est écoulée sans qu’il ne s’en aperçoive. Il regarde l’horloge de son téléphone, incrédule. Il est 8h15. « Merde, je suis en retard ! » Son cœur s’emballe. Il sursaute, se précipite vers la salle de bain. Sous la douche, une pensée étrange lui traverse l’esprit. Il se souvient d’un détail presque oublié ; lors de son entretien d’embauche, son patron avait évoqué un code vestimentaire au travail. À l’époque, Anthony n’y avait pas prêté attention, préférant ses vêtements décontractés. Mais aujourd’hui, pour une raison qu’il n’arrive pas à expliquer, cette règle lui paraît soudain indispensable.
En sortant de la douche, ses mains s'attardent plus longtemps que d'habitude sur son visage, son menton, ses cheveux. Il se sent étrangement préoccupé par son apparence. Il ouvre son placard et, au lieu de prendre sa tenue décontractée habituelle, il se retrouve à chercher des vêtements plus formels. Son esprit est embrumé, mais une certitude émerge : il doit se conformer. C'est comme si une voix intérieure lui disait que suivre les règles est la seule option.
Il sort une chemise en coton blanc immaculé. La matière est douce, presque soyeuse sous ses doigts. Il la fait glisser sur son torse, ajustant chaque bouton avec une précision méticuleuse. Puis, il attrape un pantalon gris anthracite, en laine légère. Il ne se souvient même plus pourquoi il a ce pantalon, mais il le trouve parfait aujourd'hui. Enfilant de fines chaussettes noires et des chaussures de ville en cuir noir brillant, il est surpris par la sensation du cuir sur sa peau, raide et structurée, à l'opposé du confort de ses baskets habituelles.
Devant le miroir, il hésite avant d’ajouter une cravate bleu marine, à peine texturée. Il l’enroule autour de son cou, serrant le nœud avec une précision surprenante pour quelqu’un qui en a à peine porté une. La soie de la cravate glisse doucement entre ses doigts, et il ajuste le nœud jusqu’à ce qu’il soit parfaitement centré et serré. Un dernier détail saute aux yeux : ses cheveux. Il ramasse un pot de gel qui traînait dans son tiroir, se demandant brièvement pourquoi il fait ça, puis l’applique généreusement, en peignant ses cheveux sur le côté avec une raie parfaitement visible. Le gel brille à la lumière, fixant ses cheveux impeccablement. En voyant son reflet, il se sent à la fois étrangement satisfait et troublé. Pourquoi cette obsession soudaine ?
As he leaves for the office, a feeling of absolute control washes over him. The tight, well-fitting clothes reinforce a sense of discipline he has never felt before. The wool of the pants gently rubs against his legs with each step, the collar of his shirt is slightly tight around his neck, and the knot of his tie exerts a constant, almost reassuring pressure.
At the office, reactions are quick to come. As soon as he walks through the door, his colleagues look up, surprised. This sudden change in style does not go unnoticed.
“Wow, Anthony, this is the first time I’ve seen you dressed so smartly!��� exclaims one of his colleagues.
“Do you have an interview with the bosses or something?” jokes another.
Anthony sketches an awkward smile, his cheeks slightly red, not really knowing what to say. He shrugs, mumbling something unintelligible about a “change of mood”. But that’s not the real reason. He knows it. There’s this inner voice, this impulse that pushed him to put on these formal clothes. He has a hard time understanding it, but it’s there, still echoing in his head.
Throughout the day, he receives compliments on his appearance. He finds himself enjoying the admiring glances. Yet, every chance he gets near a mirror, he can’t help but check his hair, running his hand through the gel to make sure his parting is still well defined. His tie knot becomes a silent obsession, which he adjusts constantly, even when no one is looking.
Despite the remarks and questions, Anthony easily focuses on his work. His thoughts also often drift to that morning video, to that strange feeling of obedience that now seems anchored in him. A part of him still resists, trying to understand what is happening, but another part, deeper, feels good in this new version of himself, more disciplined, more compliant.
The day finally ends. Anthony quickly greets his colleagues, escaping their curious glances, and goes home. He breathes a sigh of relief as he closes the door to his apartment behind him, but even at home, he cannot get rid of this strange feeling of discomfort and satisfaction mixed together.
(End of Part 3)
(Part 2)
#preppification#conformity#golden army#gold#ai generated#hypnotized#brainwashing#preppy#suit and tie#join us#gay men
40 notes
·
View notes
Text
Il y a deux jours je suis allez faire un tour sur prd. Ça faisait longtemps ! J'étais curieuse de voir les nouveaux forums qui s'étaient montés mais aussi voir quels anciens tiennent le choc après un an ou deux voir plus.
Savez-vous ce que j'ai eu à la fin de ma session de farfouillage ? Une migraine ! On s'en fou non me direz-vous ? Et bien non !
Ma migraine a été provoquée tout simplement par un manque d'accessibilité numérique sur les différents rpg. Je peux comprendre que de vieux forums aient du mal à changer leur charte graphique et encore pas vraiment justifiable ... Mais les nouveaux forums qui se montent ...
Je rêve d'un monde où la police ne serait pas en dessous de 15px, ou les polices de textes seraient lisibles et non justes jolies, que les textes respirent avec des interlignes corrects et que chacun vérifie que les couleurs mises en place respectent les normes d'accessibilité ! Pitié arrêtez avec votre jaune sur du rouge où on doit plisser des yeux pour lire et bannissez aussi votre blanc et noir pur !
Il y a un tas de ressources bien faites qui circulent sur le sujet, prenez la peine de les lire, pour le bien de tous ! Et quand je vois que des personnes qui sont au courant de ces ressources, font des forums sans appliquer les recommandations/conseils ça m'exaspère au plus haut point.
L'accessibilité numérique ce n'est pas seulement pour les personnes avec des difficultés, si ça fait du bien à une catégorie de personne ça fait du bien à tous !
Dans mon job je milite pour ça au quotidien et je me demande si je ne vais pas faire de mon Tumblr mon cheval de bataille pour les forums !
Il est temps que ça change. On a bien réussi à changer d'autres pratiques pour rendre les rpg plus safe et bien ça passe aussi par offrir un design agréable à sa communauté, c'est aussi prendre soin de ses membres en travaillant son accessibilité numérique !
Un long texte mais j'avais besoin de déverser sur Tumblr ... ✨
#accessibility#forum rpg#rpg francophone#codage#forum#design#malauxyeux#accessibilitenumerique#projet rpg
109 notes
·
View notes
Text
BIEVRE RIVER - PIERRE GASLY
PAIRING: pierre gasly x fem!reader
GENRE: angst, fluff
NOTE: english isn't my first language so im sorry for any mistakes
WARINGS: sad and heartbroken pierre :(, mentions of crying, google translated french
PART TWO
Pierre never ever had felt in his whole life that ridiculed and betrayed. The love of his life ran away from their wedding, plus with his own cousin. He looked pathetic in front of his friends and family.
It was supposed to be his day, his great day and what? And a dick.
During his great day, he was sitting with tears in his eyes and on face, with McDonald’s and a bottle of Absolut in his hands on the beach by the river Bievre.
He dropped his phone on the floor in the church, probably pulling it down, while he was running away by sacristy with face all in tears.
He had with himself a wallet, bottle of vodka, food, car and Alexander McQueen on himself.
He was feeling woefully, but still he was wealthy and handsome. She didn’t take these from him.
And when he was sitting the next hour, virtually alone on that beach, he heard a voice behind him; small, brokenly and crying a little bit.
“Sorry, mind if I sit here?” Gasly turned around and saw a girl in white shirt and long black skirt with heels and a bottle of wine in one hand and a box from one of the best bakers in Paris in the other. She had red eyes, just like him, which didn’t make him feel better.
“No, no problem” he answered, and she nodded her head in thanks and dropped the shoes on the sand.
“I’m Y/N, by the way” she said, when she finally sat down. Pierre shouldn’t have been ready at that moment for any conversation, but something attracted him to that girl, who just like him had to cry for some reason on that day. So because of that he told her his name. “Sounds nice. What brings you here, Pierre?”
“Ah, putain” he slipped out, when he was thinking for a while in silence. “Ma fiancée s'est enfuie de notre mariage” he said eventually, hoping that she didn’t speak french. Ah, fuck. My fiancée ran away from our wedding.
“Je suis vraiment désolé. Désolé de demander” the girl said quickly, which made Pierre want to hit himself on his forehead. She wasn't stupid. I mean, in his opinion, she didn't look stupid. I’m so sorry. Sorry for asking.
“D'accord. Je suppose que je devais en parler à quelqu'un” he laughed and then took a sip of vodka. “Et qu'est-ce qui vous amène ici?” It’s okay. I guess I had to tell someone. And you, what brings you here?
He was curious. Maybe it was her boyfriend? Or girlfriend. Or completely something else.
“Dure journée de travail” Y/N answered him, looking for something in her bag. A hard day at work.
“Dure journée de travail?” Where do you work?
“A l'Ambassade,” the girl said. In the embassy.
“Alors tu es intelligent” Pierre told, making her laugh. So you are clever.
“J'ai à peine réussi mes examens finaux! Je suis terriblement stupide” she announced and then took a corkscrew out of her purse. I barely graduated! I’m terribly stupid.
Pierre thought that Y/N was cute. Pretty also. Her H/C hair cascaded down her back, and her E/C eyes, freckles on her straight nose, and dimples on both cheeks gave her charm. She definitely wasn’t ugly, that was something he could tell after watching her wrestle with the wine stopper for a while.
“T'aider?” Do you need help?
The girl nodded, then handed him the bottle, taking his vodka from him so that it wouldn't spill.
“Sur quelle chanson étiez-vous censé danser la première danse?” she asked completely out of nowhere, and when she heard the title of Ed Sheeran's most popular song from him, she twisted her mouth in a grimace of disgust. “Oh God! C'est la pire première chanson de danse! Sérieusement? Il n'y en avait pas d'autre?” What song were you supposed to dance your first dance to? This is the worst song for a first dance! Seriously? There was no other?
"Je voulais quelque chose en français, mais elle a choisi Ed," he confessed, pouring wine into the glass she was holding. He had no idea where she got it from, but he liked it. I wanted something in French, but she chose Ed.
“C'est peut-être encore mieux que tu ne l'aies pas épousée. Totalement insipide de sa part," she said, sticking the bottle and glass into the wet sand before opening the box. "Aide-toi." She pushed them under his nose and he took out two yellow macaroons. Maybe it's even better that you didn't marry her. She is literally so tasteless. Help yourself.
“Merci”
Pierre thought that Y/N might have been right, that it was better that he had not married Dulcinea. Yes, she was pretty and he really felt something for her, but he wasn't bad at writing stories either.
"Je suppose que je devrais rentrer à la maison," he said, when the sun had long since sunk below the horizon and both bottles had run out of alcohol. "Mais j'ai perdu mon téléphone quelque part et je n'ai aucun moyen d'appeler Charles," he laughed at his stupidity. Drunk him told her the whole story of his life, but he regretted nothing. I should probably go home. But I lost my phone somewhere and I have no way to call Charles.
Y/N put her phone in front of his face. Already unlocked with a view of the Dune Paul Atreides wallpaper. Or Timothee Chalamet, because he played him in the last film adaptation, after all.
"Entrez l'indicatif régional devant ce long numéro” she announced as he took the smartphone from her. Enter the area code before this long number.
“Quel est l'indicatif de pays de Monaco?” What is the area code for Monaco?
“+377.”
"Comment sais-tu cela?" he asked, typing in his best friend's number. How do you know this?
"Je travaille à l'ambassade, ça doit être clair," she replied as if it were the most obvious thing in the world. I work at the Embassy, that's obvious.
About five or seven minutes after Charles answered the phone, he appeared on the beach looking very worried.
“Salut Charles! Tu me manques." Pierre greeted the Monegasque, whose expression changed to a concerned one when he saw Gasly's condition. The Frenchman got up from the sand and hugged Leclerc, who also wrapped his arms around him. He had never felt so sorry for him. And he knew him most of his life and was there when they kicked him out of Red Bull and moved to Toro Rosso. Hey Charles! I miss you.
"Je te suis aussi, Pierre. Je m'inquiétais pour toi" he replied after a moment as they pulled apart. I follow you too, Pierre. I was worried about you.
"Ah j'ai oublié! C'est Y/N. Mon nouvel ami. Y/N, voici Charles, mon meilleur ami” the blue-eyed man rushed towards the girl, dragging Charles with him. The brown haired woman hastily got up and almost spilled her wine from the glass, but she extended her hand towards the newly met man, shifting. Ah, I would forget! This is Y/N. My new friend. Y/N, this is Charles, my best friend.
Leclerc thought that Y/L/N was a really pretty girl. In Pierre's type.
"Comment rentres-tu à la maison, ma douce?" Gasly turned to her as she stowed her things into her rag bag. How are you getting home, sweets?
A red light bulb went off in Charles' head at that moment. His friend never asked his possible mates for one or two nights about transportation home.
“Métro," she replied shortly, and the brunette immediately shook his head. Subway.
“Non non Non! Nous vous conduirons avec Charles. D'accord, Charles?” The green-eyed man only nodded, because that was all he had left. The girl at first did not want to agree, but under Leclerc's pleading eyes she did, because she knew that drunk Pierre would not let her go so easily. No no no! We'll drive you with Charles. Right, Charles?
And so Y/N ended up sitting between Gasly's legs in a black Ferrari 488 Pista Spider. Brunette got his phone in his hands and after seeing it, he said that the next day he would go to the salon to replace the glass.
After a while, he also took a photo of Y/L/N looking out the window and showing her left profile in the frame. Pierre then thought that he had never seen a more beautiful woman in his entire life.
He encouraged the girl to give him her phone number, which she didn't want to do at first because he wouldn't remember her the next day anyway, and Charles was looking at them strangely. I mean, he was looking pityingly at Gasly, not at her. He was the one who felt completely sorry for her being stuck with his friend in this situation.
“C'est mon domaine. Merci beaucoup pour le trajet, Charles," she said finally, and the brunette sighed in dissatisfaction. This is my estate. Thank you very much for the ride, Charles.
"Je te reverrai, n'est-ce pas?" asked the sad Frenchman, not wanting to let go of the brunette from his arms. Leclerc gave Y/N an apologetic look, and she had no option but to agree. We'll see each other again, right?
Y/L/N quickly said goodbye to the men and then got out of the car.
"Je pense que je suis amoureux, Charles," Pierre squealed as he watched the girl enter her cage. The Monegasque slapped him on the back of the head, muttering that he was an idiot. I think I'm in love, Charles.
In the meantime, the girl entered her apartment and leaned against the front door, then sat on the floor, and finally began to sob.
Her roommate, Eszter, heard her crying and immediately went to her best friend. The girl was perfectly aware of her entire afternoon and evening. She may have drunk all the wine herself, but it was almost alcohol-free, so she wasn't drunk at all (unlike Pierre).
"What's wrong, sweets?" Balog asked, crouching beside the younger girl.
“I met a guy whose wife ran away from the wedding and he was drunk as fuck and wanted my number, so I gave it to him, but it was a mistake, because he won't remember me tomorrow anyway. And at work this cunt had a problem with me and I cried and all, I'm fed up, I want to sleep." Esz barely understood anything of her friend's gibberish as she helped her up off the cold floor. She led her into the living room, then sat her down on the couch and gave her tissues.
"He was old and rich, wasn't he?" The brunette knew her platonic soulmate type very well, so she knew what to expect.
“He was maybe ten years older. And definitely rich. He showed me his Ferrari... And his friend who was driving us also had a Ferrari” Y/L/N dreamed, leaning against the back of the sofa. “But his fiancée ran away from the altar. Guess it's not that great. Or she was cheating on him. I don't know, I want to forget about it. Just like he does about me.
But Pierre did not forget. Same as Y/N about him.
#pierre gasly fluff#pierre gasly angst#pierre gasly x reader#pierre gasly x y/n#pierre gasly x you#pierre gasly fanfic#pierre gasly#formula 1#pg10#formula 1 x reader#formula 1 x you#formula 1 x y/n
262 notes
·
View notes
Text
Au hasard de mes ballades...
Voici une Oeuvre d'Art insolite qui se découvre uniquement à marée basse sur le Bassin d'Arcachon.
Un Ostréiculteur du Canon au Cap Ferret a fait ériger en mai 2015 une statue en bronze sur ses parcs à huîtres.
Cette statue de deux mètres de haut, en alliage de cuivre et d’étain, symbole dorénavant de l’activité du lieu, représente un "Parqueur" en plein travail avec sa fourche à huîtres. Philippe Reveleau, ostréiculteur de père en fils depuis six générations a voulu rendre hommage à sa profession.
C'est en vacances, en se baladant sur une plage au Brésil, que l'idée a germé dans la tête de l'Ostréiculteur du Cap Ferret.
Il avait alors aperçu des statues de pêcheurs le long d'un rocher.
De retour chez lui, Philippe Reveleau a passé commande à l'Artiste Hollandaise, Christine Wiersema-Nederlof.
La statue est visible à marée basse.
Pratique, plus de chapeau vous indique donc 2 m d’eau minimum !
37 notes
·
View notes
Text
Good Omens Poetry: #chillomenstober day 10
The fourth prompt is: Yellow. I wrote a freeform poem in french! Forgive me for any grammatical mistakes, I am quite rusty but I tried my best! Wishing my high school french prof was here to correct my work xD
C'est la couleur de tes yeux Qui me fait toujours sourire Même quand je suis seul Je pense à toi dans ces moments Une chaleur pendant l'hiver Quand je désire Que tu me prennes dans tes bras Ou le jaune des feuilles d'automne Qui tombent dans un tas Et font le craquement sous nos pieds Les rayons dorés de soleil Nourrissent les tournesols Donc ils poussent bien en été Et aussi les abeilles Qui travaillent dur dans la ruche Le miel du printemps est le plus sucré La beauté dans tes yeux On le trouve partout Tu es toujours avec moi Mon cher
English Translation It's the color of your eyes That always makes me smile Even when I'm alone I think of you in these moments A warmth during winter When I long For you to take me in your arms Or the yellow of autumn leaves That fall in a pile And make a crunch under our feet The golden rays of the sun Feed the sunflowers So they thrive in the summertime And also the bees Who work hard in the hive Spring honey is the most sweet The beauty in your eyes It is found everywhere You are always with me My dear
#good omens#chillomenstober#gomens#good omens poetry#good omens fanart#ineffable husbands#crowley#aj crowley#anthony j crowley#aziraphale#az fell#angel of the eastern gate#crowley's eyes#yellow#french poetry#ticketyboooo posts
21 notes
·
View notes
Text
Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
20 notes
·
View notes
Text
J'ai tellement d'idée de code à proposer pour la communité. En ce moment je travaille toujours sur le générateur de fiche mais il prend du retard parce que j'essaye de le rendre facile à installer et utiliser. C'est pas ce que je trouve le plus passionnant à faire et en plus j'anticipe la rédaction du tutoriel (autrement appelé la documentation).
Et c'est vraiment le plus dur dans le libre-service d'un code je trouve 😭 Perso je met 2 à 3 fois plus de temps dans la documentation que dans le code lui-même.
Parce que une documentation du code c'est
rendre le code facile à lire (ce qui revient souvent à "mal" l'écrire)
le commenter
le présenter (en le mettant en situation, en faisant des démonstrations écrites et/ou imagées)
l'expliquer (hiérarchiser étape par étape)
anticiper les questions/problèmes
proposer des options/alternatives (pour tous les types de forums)
rédiger le tout en trouvant un bon équilibre entre des termes faciles et non-techniques tout en étant précis et concis
mettre en page tout ça
communiquer sur le code
C'est plus ou moins long en fonction du code proposé, évidemment. Un code de présentation de post se suffit souvent à lui-même par exemple, mais imaginez avec un libre-service comme le blank theme 💀
Je crois que ça avait jamais été vraiment évoqué. Et l'extrême majorité des personnes que je connais qui code (peu importe le niveau) et qui ont envie de proposer des choses à la communauté ne le font pas notamment à cause de cet aspect. Ca m'attriste toujours un peu mais je peux que comprendre. C'est super frustrant.
Voilà, donc là je dois commencer à rédiger tout ça pour le plugin de générateur de fiche mais la non-motivation m'a donnée envie de mettre en lumière cet aspect de nos LS.
Vos remerciements envers les créateurs auront d'autant plus de sens en ayant ça en tête 👏
36 notes
·
View notes
Text
Bonjour à toustes !
Pour célébrer l'été qui arrive, je suis heureuse de vous présenter "Le Chat, le Renard et le Loup", un court-métrage de fin d'études tout récemment terminé ! Un long travail ponctué par la vie qui a pu voir le jour grâce aux nombreux encouragements d'ami.e.s, des proches et des rencontres. Je ne partage que le trailer pour le moment, mais si vous souhaitez le voir en entier, n'hésitez pas à me mp ! :)
Hello !
To celebrate the coming summer, I'm pleased to present “Le Chat, le Renard et le Loup” (The Cat, the Fox and the Wolf), a recently-completed graduation short film! It's a long project, punctuated by life, which came to life thanks to a lot of encouragement from friends, family and encounters.
I'm only sharing the trailer for now, but if you'd like to see it in full, don't hesitate to mp me! :)
#animation film#film#traditional art#chatrenard#animated shortfilm#wolf#animals#emca#french animation#animation
23 notes
·
View notes
Text
1975, année charnière.
Je reviens d'un long périple en Amérique du sud. Éliane Laffont directrice de l'agence Sygma à New York me donne mes premiers reportages, ma première approche du monde des grandes agences. J'avais rencontré Eliane et Jean-Pierre sur ma route pour l'Amérique latine où j'allais rejoindre Marja, une jeune infirmière suédoise rencontrée quelques mois plus tôt au Pérou.
Eliane me demande de travailler sur les "seniors Citizen", le troisième âge. Je navigue entre New-York et la banlieue. À cette époque il était relativement facile de travailler sur des sujets de société, les autorisations étaient faciles à obtenir.
Sur cette photo, un couple dans le cadre de visites entre des senior Citizen du projet H.A.N.D et des étudiants de la Rye Neck High school de Mamaroneck, dans le Westchester (banlieue nord de New-York).
30 notes
·
View notes
Text
☾ Perfect life Challenge 2.0 ☽
Après avoir réalisé le premier Perfect life en 2021, je me devais de lui donner une seconde vie avec les mises à jour que l’ont à pu avoir sur les sims. J’ai néanmoins choisi de le laisser accessible en “jeu de base”, aucun pack n’est donc nécessaire pour le réaliser. Chaque pack pourra par contre rajouter des possibilités dans votre aventure. C’est un challenge que j’ai adoré créer et faire par la suite. Ils vous à également beaucoup plus, alors je vous en remercie!
Le but du challenge :
Compléter la totalité de la liste de vie principale plus bas et au moins 5 choses de la liste bonus (vous pouvez bien sûr en réaliser plus si vous le souhaitez).
L’ordre des listes n’a aucune importance, vous pouvez les faire dans l’ordre que vous le voulez et à l'âge que vous le voulez.
Le but que je recherche dans le challenge c’est de revisiter notre façon de jouer et la rendre plus réaliste, le jeu des sims à pour but de refléter la vie, il veut s’en rapprocher le plus possible, mais dans la vie on commence toujours par être bébé et grandir alors que pour ma part je débute toujours ma partie jeune adulte, alors pourquoi ne pas débuter bambin et dans une famille déjà construite qui n’est pas forcément stable et qu’on n’aurait peut être pas choisi ? Ça nous permettra de construire notre histoire à notre façon tout en laissant aussi notre personnage se développer, suivre peut être sa propre voie.
Règles du challenge :
*La principale mise à jour du challenge est suite à l'ajout de la tranche d'âge "nourrisson" qui rajoute donc une étape entre les bébés qu'on ne contrôle pas, et les bambins qui eux sont parfaitement autonome.
Vous pouvez totalement faire le challenge à partir de l'âge bambin si la nouvelle tranche d'âge ne vous intéresse pas, mais sachez néanmoins que j'ai testé la possibilité de jouer en tant que nourrisson et c'est parfaitement possible.
Vous pouvez tout demander à vos parents, et même développer sans eux les étapes de vie rajoutés dans le pack "grandir ensemble" (non accessible si vous n'avez pas le pack) Toutes les étapes de vies se développent parfaitement seule sauf celle de "motricité globale" qui nécessitent qu'un parents vous retourne sur le ventre 2/3 fois. A vous de choisir si vous voulez ne pas vous en occupez ou espérer qu'un des tuteurs de votre nourrisson viennent le mettre sur le ventre (le mien l'a fait 1 fois en 1 heure de jeu pour exemple)
________________________________
Liste principales :
- Premiers pas
- Un anniversaire vraiment bien réussi.
- Organiser une soirée.
- Premier jour d’école.
- Premier amour.
- Premier baiser.
- Première fois.
- Déménager de chez ses parents.
- Premier jour de travail.
- Se trouver un passe temps, une activité.
- Réalisation d’un souhait à long terme.
- Première sortie entre amis.
- Voyager.
- Premier meilleur.e ami.e
- Avoir un repas de famille.
- Faire un cadeau à quelqu’un.
- Réaliser 20 envies (à activer dans les réglages)
- Avoir une promotion.
- Faire son premier achat avec son salaire.
- Se disputer avec quelqu’un.
Liste Bonus :
- Premier enfant (adopté ou non)
- Mariage.
- Avoir des petits enfants.
- Aller à la fac.
- Une compétence au maximum (niveau 10)
- Avoir sa propre maison.
- Réaliser quelque chose d’excellent (toile ou autre)
- Se battre avec quelqu’un.
- Adopter un animal.
- Avoir 1000 abonnés sur un réseau sims.
- Pleurer la mort d’un proche.
- Vivre un comité d’accueil.
- Avoir une bonne moyenne à l'école (école, lycée ou fac)
- Avoir un correspondant en ligne.
- Terminer une collection (au choix)
- Vivre un divorce (de vous ou vos proches)
- Changer de voie professionnelle.
- Avoir une maladie ou un proche malade.
- Tout plaquer pour recommencer sa vie.
- Ouvrir un commerce.
*Chaque liste a son importance, la liste principale contient les choses que l'ont fait forcément en grandissant et qui sont plus ou moins obligatoire (sauf exception et si une des choses ne vous parait pas obligatoire pour vous, mettez la de coté sans soucis, par exemple si vous n'avez/ou votre sims aucune attirance pour personne, le premier amour zouuu on l'enlève) Quant à la seconde liste elle contient des choses plus "larges", tous le monde ne vit pas de mariage ou de divorce par exemple, c'est pour ca que c'est à vous de choisir ce que vous voulez faire dedans (et même une chose que vous n'avez pas vécu vous dans votre vie, peut arriver à votre sims bien sûr)
________________________________
Les petits plus selon vos packs :
Comme précisé plus haut le challenge n'a besoin d'aucun pack de jeu pour être fait, il est parfaitement accessible en jeu de base. Cependant il est vrai que certain pack se prête particulièrement au challenge, comme "grandir ensemble", "a la fac", "années lycée" et j'en passe selon votre façon de jouer ou de vouloir réaliser le challenge (avec créature surnaturel, animaux etc.)
N'hésitez donc pas à adapter votre façon de réaliser le challenge au pack que vous posséder, en intégrant des options que vous aimez.
Par exemple j'aime beaucoup le concept "d'étape de vie" rajouté avec grandir ensemble, je vais donc essayer d'en réaliser le plus possible pour voir l'évolution de mon sims.
________________________________
Voilà c'est tout ce que vous devez savoir! Ca reste un challenge très simple pour que vous puissiez le faire comme vous l'entendez.
En espérant qu'il vous plaise toujours autant qu'avant, je m'en vais préparer ma prochaine aventure dessus. En attendant, voici mes 2 précédant let's play sur le challenge :
youtube
youtube
24 notes
·
View notes
Text
" Camp Fire "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Javier Escuella
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après des festivités enflammées, le camp se repose et laisse place à une atmosphère plus calme. Aux yeux d'une certaine demoiselle, c'est le moment idéal pour se rapprocher du garçon dont elle est éprise. Ainsi, elle espère pouvoir passer un peu plus de temps avec lui et peut-être enfin se déclarer.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟗𝟏𝟑.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Les filles commencent à s'endormir. Elles tombent comme des mouches depuis que Tilly s'est retirée auprès de sa couchette. La célébration du retour de Sean les a grandement épuisées, après avoir autant bu, chanté, dansé, c'est compréhensible et elles ne sont d'ailleurs pas les seules. Abigail et le petit Jack se sont retirés de l'autre côté du camp ⸺du côté de la charrette de monsieur Pearson⸺. Il me semble que même le révérend, Molly et Dutch s'en sont allés. Plus grand monde ne rôde dans les parages à la recherche d'un partenaire de chant. Ils sont tous au lit.
Je crois que c'est mon jour de chance.
J'entends les voix de Pearson, Tonton et Arthur raisonner de là où je me trouve. Ils se trouvent autour du feu de camp, ils sont bien les seuls à tenir encore debout, même Sean s'est tut. De la musique flotte dans l'air, elle provient de la guitare de Javier.
J'esquisse un sourire rêveur à cette pensée, rapprochant mes mains de ma poitrine j'accoure auprès de la charrette de Pearson ⸺j'ai fait le tour de ma couchette partagée avec les filles jusqu'à l'entrée du camp, le feu qui sert à réchauffer nos repas et le lieu de travail de notre cuisinier⸺ je suis à la recherche d'une bière. Je sais qu'il y a des caisses un peu partout toutefois avec l'obscurité qui gagne l'endroit j'ai des difficultés à me repérer. Il m'est aussi contraignant d'éviter certains obstacles, notamment les tables et barils. Il me semble qu'il reste des bouteilles auprès de la tente de Dutch, si ni Karen ni Tonton n'ont pas tout vidé, il devrait en rester quelques-unes. Je fais donc le tour du camp à leur recherche.
L'humidité qui parfume les brindilles d'herbe me taquine les chevilles, elle laisse perler des gouttes d'eau le long de mon épiderme jusqu'à tâcher mes souliers. C'est assez inconfortable. Je suis chatouillée de toutes parts. J'accélère donc le pas. Passant devant les derniers hommes réveillés, je ne tarde pas à attirer leur attention.
Tonton se stoppe dans son monologue, il est le premier à me remarquer. Il crie mon prénom et me fait signe d'approcher.
« Approche, ne reste pas dans ton coin, ma petite, viens nous rejoindre ! »
Je me pince les lèvres et acquiesce. Mes mains se saisissent d'une bière tiède tandis que mon corps pivote.
« J'arrive, je viens. »
Arthur est assis sur le tronc d'arbre qui sert de banc, il est dos à moi. Quant à monsieur Pearson il se tient sur une caisse boisée à droite de Arthur et moi-même. Ils sont auprès du feu, profitant de sa luminosité et chaleur. Quant à Tonton et Javier ils nous font face, sous la tente. Tonton a pris place sur une chaise un peu plus vers monsieur Pearson, quant à Javier il fait face à Arthur, à même le sol. Sa guitare tient sur ses cuisses, de celle-ci s'échappe une agréable mélodie. Quant à ce que ces messieurs chantaient plus tôt, je ne préfère pas y repenser.
J'apporte ma bière à mes lèvres, histoire de me donner du courage j'en prends une gorgée et m'avance.
« Comment ça va ce soir ? » parle Arthur. « Pas trop dur ? »
Ma réponse se fait négative. Je parle tout en me rapprochant du feu.
« Outre le retour de Sean c'était plutôt calme aujourd'hui. La routine.. »
« C'est bien. Madame Grimshaw ne vous ménage pas, j'imagine ? »
« Ah, comme si c'était possible. » plaisanté-je. « Le jour où elle arrête de crier les poules auront des dents, tien. »
Ma remarque arrache un rire aux quatre hommes, j'en profite pour m'asseoir par terre. À côté de Javier.
« C'est bien que Sean soit de retour. Sa bonne humeur commençait à me manquer. »
« C'est vrai que sans lui c'était assez tendu. Il faut croire que ses conneries nous changent les idées. » renchérit Arthur.
« Il va nous en faire voir de toutes les couleurs, ça c'est moi qui vous le dit ! » s'exclame Tonton.
Javier ne joue plus très fort. À présent, une mélodie d'ambiance se balade dans l'air, de part sa légèreté elle a transformé l'atmosphère autrefois festive par quelque chose de plus calme. Elle rythme notre discussion sans pour autant nous désorienter. Je pense être la seule à avoir fait cette découverte, ou alors les hommes s'en fichent. Après tout la musique n'est qu'un moyen pour eux de chanter leurs musiques salaces à tout bout de champ.
Curieuse, je lui jette un coup d'œil.
Je suis assise sur sa gauche, les jambes recroquevillées sur le côté.
De mes deux mains, je tiens fermement ma bouteille, si elle n'avait pas été là j'aurais fini par me triturer mes doigts ou toucher mes cheveux toutes les cinq secondes. Plutôt, ici je joue avec l'extrémité ⸺là où se place la bouche⸺ et tente vigoureusement de m'occuper l'esprit.
J'ai des papillons dans le ventre.
Je crois que Arthur l'a remarqué.
Il me zieute accompagné d'un fin sourire aux lèvres, à l'instar d'une figure fraternelle il m'observe. Sans oublier de consommer sa propre bière. Ça fait longtemps qu'il m'a percée à jour, je ne parle pas de ce soir mais plutôt de ces derniers mois. Je suis consciente que je ne suis pas douée pour la discrétion, mon premier but n'est pas de passer inaperçue. À vrai dire c'est le dernier de mes soucis. Arthur me lance un clin d'œil auquel je réponds par un gloussement.
Sans attendre, Tonton nous interrompt.
« Qu'est-ce que vous avez tous les deux ? Vous faites des cachotteries, maintenant ? »
« Et de quoi je me mêle ? » s'emporte Arthur. « Va donc te rendre utile pour une fois et⸺ »
« Je suis utile ! C'est juste ma lombalgie qui m'handicape, si j'étais encore jeune tu peux être sûre qu'on serait sorti de ce pétrin depuis longtemps. »
« Mais bien sûr.. Tant que ça t'aide à dormir.. »
Je pouffe à nouveau.
Ma tête se tourne, je zieute Javier. Ses doigts s'attellent à poursuivre le fil de sa mélodie, quant à ses yeux.. Ils sont plongés dans les miens.
Je souris.
Il sourit.
Je rapproche mes jambes de ma poitrine, ma bière est rapidement laissée à l'abandon devant le feu; elle ne m'intéresse plus vraiment. Déposant ma joue contre mes genoux, je dévoue mon entière attention à Javier. Je.. Je ne⸺
Mon cœur est coincé dans ma gorge.
Mon estomac se fait lourd.
Qu'il est joli.. Je ne peux que m'agripper à mes mollets, les sourcils froncés.
« Comment⸺ Comment tu te portes ce soir ? »
Il touche quelques cordes. D'une lenteur enivrante, Javier les titille sans que, ne serait-ce qu'une fois, son regard ne se détourne du mien. Il ne m'observe pas avec malice. Il me regarde juste. Ça suffit amplement à me mettre dans tous mes états, j'attends qu'il réponde à ma question, en même temps, je combats l'envie de crier et gigoter.
Javier penche la tête.
« On a connu pire. »
« Tu n'es pas trop fatigué ? »
« Tu t'en fais pour moi ? Attention, je pourrais croire que tu as le béguin. » me taquine-t-il.
Mes yeux roulent au ciel.
« Ne te surestime pas, non plus.. C'est juste que Bill m'a parlé de cette histoire de bagarre au bar et puis tu n'es pas revenu au camp alors⸺ Je, je me demandais juste si ça allait... J'ai posé la même question à Arthur. Ne.. ne t'emballe pas. »
« Je m'emballe pas. »
Son rictus me crie le contraire.
Javier continue de jouer de ses doigts avec nonchalance, il fait mine que cette conversation ne lui fait aucun effet, il fait mine de ne rien remarquer pendant que ses doigts s'affairent à nous offrir un moment des plus agréable. Il a une telle aisance avec la musique, c'en est déroutant. Je déglutis à cela. Mes orteils se recroquevillent à l'intérieur de mes souliers. Mes pupilles le contemplent, je bois goulument la vue qu'il m'offre d'ici; son si joli visage, et sa tenue élégante. Il est parfaitement incrusté dans son environnement malgré l'aura luxueuse qui se dégage de lui.
Je suis dans l'incapacité de détourner le regard. Dès le moment où nos yeux se sont croisés j'ai été prise au piège.
Je ne peux pas le nier : c'est ce que je cherchais en m'asseyant auprès de lui. Être prise au piège sous lui, dévorée par ses pupilles aussi dévastatrices que le néant et charmée par le sourire taquin qui prend souvent place sur ses jolies lèvres froncées : c'est exactement ce que je désire. Il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer. C'est la raison pour laquelle je ne le fuis pas, je pars sans cesse à sa recherche dans l'espoir qu'il m'accueille pour ensuite me perde.
Il m'en faut peu pour être comblée.
Lui, seulement lui.
Javier.
« Tu repars demain ? »
Il arque un sourcil.
« Curieuse ? »
« Non— oui. Je me posais la question... »
« Je pensais faire un tour à Valentine, la dernière fois je n'ai pas pu m'y attarder trop longtemps. Qui sait, peut-être que je trouverais un bon coup. »
« Tu as déjà fait beaucoup. Tu pourrais te reposer ? »
« Ça aussi tu l'as dit à Arthur ? »
Je suis gênée. Son commentaire me force à détourner le regard.
« Non.. c'était... C'était juste histoire de faire la conversation puis— je— »
« Je te taquine. » me coupe-t-il. « J'y ai pensé, mais je tiens pas en place ces derniers temps. J'ai envie de me rendre utile. Je vais voir où ça me mène. »
« Tu vas encore t'absenter alors.. »
« Peut-être. »
J'inspire profondément, ma joue reste collée à mes genoux. J'ai les poumons lourds, tout mon corps se retrouve endoloris alors que je me situe aussi proche de lui. Nos épaules sont à deux doigts de se toucher. J'en rêve.
Mon regard ne se détache pas du sien.
Je suis hypnotisée.
« Tu es sortie du camp depuis qu'on est arrivés ? »
« Arthur nous a accompagnées à Valentine il y a quelques jours. C'était amusant. J'ai beaucoup à faire ici sinon. »
« Tu aimerais y retourner ? »
« Où ça, Valentine ? Oh, oui ! » j'affirme, soudain enthousiaste. « Mais il me faudrait une bonne raison pour convaincre quelqu'un de m'y emmener. J'avais pensé à Arthur mais il fait beaucoup en ce moment. Il y a Bill aussi, mais il est trop bête, il va encore causer des problèmes. »
Javier dépose sa guitare entre Tonton et lui.
« Je suis même pas une option ? Ça me blesse. »
« Tu viens rarement au camp ces derniers jours. Je ne vais pas t'embêter avec ça... »
« M'embêter ? Oh, ma belle, c'est mal me connaître. »
Mon cœur s'emballe.
Je respire fort.
« Ce serait un honneur de pouvoir t'y emmener faire un tour. »
Sa bouche se fend en un sourire.
« Si ça t'intéresse, bien sûr. »
Quelle question, il est évident que je le suis. Ça doit se lire sur mon visage. J'implose.
« Tu as— tu as quelque chose à faire là-bas ? » je m'interroge.
« Pas grand chose. Mais je peux toujours trouver de quoi nous faire un peu d'argent, on fera d'une pierre deux coups. »
Javier extirpe une cigarette de sa poche, il l'enflamme avec son briquet et l'apporte ensuite à ses lèvres. Tout en expirant, il me zieute.
« Tu veux ? »
Une question me brûle la langue.
Lorsque Arthur m'a emmenée à Valentine, ça a été en compagnie de Tonton, Tilly, Mary-Beth et Karen. Au départ, il avait des courses à faire. Son escale là-bas n'avait rien en rapport avec nous.
Je sais que si je dois y aller avec Javier, et que nous revenons les mains vides Dutch s'emportera ⸺il est assez tendu depuis Blackwater⸺, il est impératif que tous les membres du gang se montrent utiles. Mais... Si je dois aller à Valentine avec lui, j'espère secrètement que ça ne sera pas pour travailler.. Si nous nous retrouvons tous les deux dans un tel endroit, j'ose espérer que nous ferons bien plus que défier la loi et nous montrer sournois. J'espère que personne ne se rajoutera. Pas de Sean, ni de Bill, aucune fille pour m'embarrasser, juste moi et lui. Nous deux..
Est-ce que c'est trop demander ?
« Tu as des plans alors ? »
Javier me dévisage.
« T'es bien curieuse ce soir, dis-moi. Tu tiens si peu en place ? »
« Je me disais— on... On pourrait— »
« On ? »
J'arque un sourcil.
« Quelqu'un d'autre vient ? »
Javier secoue la tête. Il esquisse un fin rictus taquin et prend une taffe de sa cigarette; il l'expire tout en me répondant.
« Je pense pas. Les filles en ont eu assez après votre dernière escale et le reste de la bande est occupée de son côté. Ce sera que toi et moi. »
Sans surprise, l'idée me ravit. Je suis plus qu'emballée à la pensée que nous allons nous retrouver seuls.
Plus de madame Grimshaw pour nous couper, plus de Micah pour faire des remarques stupides ⸺même si ça fait déjà quelques semaines qu'il a disparu⸺, plus de Tonton pour gâcher l'ambiance. Tant de fois, nous aurions pu avoir l'occasion de nous rapprocher, de devenir plus, mais à chaque fois le manque d'intimité au sein du camp nous a gênés. Je ne peux m'empêcher de penser que c'est une chance unique. Elle est faite d'or : je refuse de la laisser passer. Le moment est idéal surtout après tout ce que nous venons de vivre, depuis Blackwater, les montagnes enneigées, je ne vois pas de meilleure occasion pour me confesser. Cette fois-ci, pas de Dutch pour nous interrompre, pas de Arthur pour rendre notre interaction gênante.
Je bats des cils un bref instant. Quant à Javier il attrape le cul de sa cigarette et le rapproche de ses lèvres. Il prend une profonde inspiration, l'expire : tout cela sans jamais me quitter du regard. Il m'observe d'un sérieux déconcertant.
Soudain, nous sommes interrompu.
« Eh, les deux fourbes, qu'est-ce que vous complotez ? »
C'est à nous que Tonton s'adresse.
« Ah, laisse les vieux fou, c'est pas tes oignons ! » peste Arthur.
« Tout ce qui se passe autour du feu est mes oignons, c'est mon sanctuaire. Alors, qu'est-ce que vous planifiez ? »
Tonton nous regarde, il balance ses yeux entre Javier et moi.
Il est tellement enthousiaste qu'il sourit grandement, ça ne fait que m'embarrasser davantage. Je détourne le regard malgré moi. Je regarde par dessus l'épaule d'Arthur, là où la tente de Dutch et Molly se trouve, ainsi je n'ai pas à faire face à leur expression curieuse.
Mes joues se creusent, je me mords l'intérieur de la bouche.
« En quoi ça te concerne, le vieux ? » réplique Javier. « Tu contribues à rien et tu voudrais qu'on te raconte nos vies ? La bonne blague. »
« Qu'est-ce que c'est sensé dire ? » s'indigne Tonton.
« Ça veut dire ce que ça veut dire, tien. »
« Non mais je rêve, décidément plus personne n'a de respect pour les malades.. »
« Malade ? La seule maladie que t'as c'est la fainéantise. » rétorque Arthur avec mesquinerie, il n'hésite d'ailleurs pas à ricaner.
« Et ma lombalgie alors, hein ? »
« C'est des conneries ! Tu trompes personne, vieux tas. »
Tonton marmonne dans sa barbe, ça m'arrache un sourire. Je les regarde à nouveau ⸺monsieur Pearson a disparu, il ne reste que nous quatre⸺, Arthur s'en va m'offrir un clin d'œil. Malgré ses quelques maladresses, il fait de son mieux pour m'aider. Je le remercierai plus tard, c'est certain. Les attaques qu'il lance à Tonton me mettent à l'aise, je ne me sens plus mise au pied du mur, toutefois, j'avoue ne plus avoir la force de me tourner vers Javier. Maintenant que notre bulle a été ⸺encore⸺ percée, j'ai comme l'impression que nous ne pourrons plus discuter, alors je me contente d'observer Arthur des étoiles dans les yeux.
Mes doigts triturent nerveusement le tissu de ma robe, je me sens nerveuse.
« Peu importe. » grommelle Tonton. « J'en ai assez entendu, je vais me coucher. »
« Tant mieux, une bonne nuit de sommeil te rendra plus aimable. » plaisante Arthur. « Va donc. »
J'en profite pour me lever.
Javier réagit immédiatement.
« Toi aussi ? » me questionne-t-il.
Tonton ne dort pas loin, il s'installe sur la seconde tente qui se trouve juste à côté du feu de camp. Elle n'est qu'à un petit mètre de nous, c'est là que le révérend s'est assoupi. Je le vois s'installer sur sa couchette et nous tourner le dos, pendant ce temps je dépose mes mains sur mon ventre, j'offre un sourire à Javier.
« Il faut bien que je sois en forme pour demain. Bonne nuit. »
« Oh— euh, ouais. »
Il se gratte la nuque.
« Bonne nuit. »
« Arthur, tu m'accompagnes ? » je demande.
Le concerné secoue la tête.
« Tu m'excuseras, je reste encore un peu avec Javier, on a des trucs à se dire. »
« D'accord, bonne nuit alors. »
« Bonne nuit, repose toi bien. » répond-t-il affectueusement.
Je ne peux pas m'empêcher de zieuter Javier. Il ne m'a toujours pas quittée du regard. Cependant, dès le moment il où je le remarque, je tourne aussitôt la tête, mes joues s'embrasent et mon estomac se recroqueville sur lui-même. Ah, j'ai chaud. J'ai mal à la poitrine. Mes mains se pressent sur mon bas-ventre tandis que j'entends Arthur pouffer. Nous sommes loin d'être discrets, je le savais déjà, mais le fait que nous soyons aussi évidents, même devant Arthur est plus humiliant que prévu.
Mes paumes se font moites.
« Je— Je vais y aller. »
Alors que je m'en vais, je reste sur un petit nuage. Je passe sur le côté de la tente de Dutch, dépasse la roulotte de Arthur, pour rejoindre ma couchette. Elle est aux côtés de celles des filles ⸺comme prévu, elles sont toutes endormies⸺. J'entends les voix de Javier et Arthur résonner, ils ne cessent de parler, accompagnés par le crépitement du feu.
Il fait frais, hormis les quelques lampes à huile éparpillées dans le camp, nous sommes plongés dans un noir complet. Je parle d'un noir si obscur que je n'en vois pas la fin. L'herbe à mes pieds n'est pas visible, je marche en faisant confiance à mon instinct, je ne sais pas ce qui traine par terre, j'avance juste. Tilly, Mary-Beth, Sadie, Karen, elles sont toutes les trois endormies. Il me tarde de les rejoindre. Nous sommes levées depuis très tôt ce matin; il nous a fallu recoudre des vêtements pour ensuite les nettoyer, aider à préparer les repas; se coucher tard n'aide pas. Demain, nous répéterons les mêmes actions, nous passerons la journée à coudre, laver, faire la vaisselle, pour nous coucher tout aussi tardivement. Rien que d'y penser me fait soupirer.
La vie de fugitif peut être frustrante.
Une fois suffisamment approchée de ma couche, je m'assieds dessus. Je remets ma chevelure en état puis passe mes mains sur mes bras, je les frotte vigoureusement.
Un sourire se pose sur mes lèvres.
J'apporte mes mains à ma poitrine, rêveuse, oui je ne peux pas m'empêcher de sourire. Je suis encore toute chamboulée.
Mon interaction avec Javier me revient à l'esprit et j'ai comme l'impression de tomber dans un ravin : c'est violent, je ne peux m'accrocher nul part, ma logique m'abandonne. Je perd pied. Et alors que son image me revient à l'esprit, je ne peux me retenir de glousser.
L'intensité avec laquelle il m'a contemplée, sa voix; ses paroles mielleuses, j'en ai des frissons.
Mes doigts s'agrippent à ma chemise. Je me pince les lèvres et pose mes yeux sur la roulotte d'Arthur ⸺elle a été installé juste devant la notre, nous bloquant ainsi la vue sur le feu de camp⸺ j'ai beau l'examiner dans ses moindres détails, je ne parviens pas à me sortir Javier de la tête. Je repasse notre interaction dans mon esprit, le moindre geste, coup d'œil, ce qui me force à de nouveau glousser. Je secoue la tête et tape des pieds.
Je me retiens de crier, pas seulement de beugler, mais aussi d'exprimer à tout le camp que je l'aime. Je désire l'avoir pour moi toute seule, je n'ai même pas envie d'attendre qu'il m'emmène à Valentine. Je veux être avec lui, là maintenant tout de suite. J'en ai la poitrine serrée.
Dans un tel état, je ne me sens pas de dormir. Je ne fais que revivre notre conversation, j'interprète les moindres gestes qu'il a pu faire en ma présence. Je n'ai pas envie de l'oublier, ne serait-ce qu'une minute. J'ai envie de conserver le sentiment qu'il fait naître au sein de mon cœur. J'ai envie... J'ai envie de penser si fort à lui que son image en finisse gravée dans mon esprit. J'en viens à m'imaginer ce qui pourrait bien se passer si nous nous retrouvons seul à Valentine. Allons-nous nous comporter tels de jeunes mariés ? Nous tenir la main afin de ne pas nous séparer ? Va-t-il enfin me charmer proprement, alors ira-t-il me faire l'amour dans un hôtel, au coin de la rue ? Me dévoilera-t-il ses sentiments avant ou après m'avoir volé mon premier baiser ?
Je ne peux pas y échapper, ces questions me hantent. Toutes ces possibilités...
J'en ai la chair de poule.
Brusquement, j'apporte mes mains à mon visage. Je frotte vigoureusement mes joues.
Je ne devrais pas me laisser aller à de telles pensées, elles sont salaces, déplacées, Javier est un homme bon, je suis folle pour penser ainsi de lui. Nous imaginer dans de telles positions...
Des bruits de pas m'interrompent, je lève la tête.
Arthur pose son avant-bras contre sa roulette, il m'observe d'un œil taquin. Je sursaute. Son chapeau a disparu, il ne le porte plus.
« Eh, tu pourras penser à lui demain il va pas disparaître, pour l'instant repose-toi. Tu vas te rendre malade. »
J'étouffe un rire.
« Très bien Arthur. »
Il hoche la tête.
« Merci et bonne nuit. » murmuré-je.
« De même. »
Il se décale de sa roulotte et s'en va se coucher. Je l'entends faire, je vois aussi son ombre sur le sol, elle s'agrandit, se mouve avec aise jusqu'à ce qu'elle disparaisse lorsque Arthur s'allonge. Simultanément, je vide mes poumons.
Ses paroles me restent en tête. Je secoue enfin la tête. Doucement, mes mains descendent se poser sur mes cuisses, je contemple un bref instant le ciel étoilé qui nous surplombe puis les bois qui nous servent de cachette.
Il n'y a plus un bruit dans le camp, désormais. Je crois que tout le monde est parti se coucher. Plus de musique, de rires, de discussions enflammées. Il n'y a que ce sentiment de solitude qui m'emporte, pour autant, il n'est pas dérangeant. Il me fait du bien. Je me laisse donc tomber sur ma couchette et me tourne du côté de Karen. Je bats des cils, l'observe endormie de mon côté. Puis, sans attendre, je ferme mes yeux. J'obéis au conseil de Arthur et m'endort sans perdre de temps. Je me recroqueville sur moi-même.
J'ai encore le cœur qui bat à toute allure, l'esprit embrumé. L'image de Javier ainsi que le son de sa voix me restent en mémoire, je suis incapable de les fuir. Pour autant, ça ne me déplaît pas. Si je m'endors, c'est en pensant à lui que je le fais. Il me tarde de passer une nouvelle journée à ses côtés et qui sait, peut-être plus dans les jours à venir.
#javier escuella#red dead redemption 2#red dead redemption two#rdr2#javier escuella x you#javier escuella x reader#rdr
21 notes
·
View notes
Text
Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bararreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1883 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertioin de son fiancée et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restructions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
13 notes
·
View notes