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#traduction livre
mercurysfrench · 5 months
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Je pense que je vais essayer de lire un chapitre d’un livre en français. J’ai un peu peur de me décourager mais je pense que si je lis quelque chose que j’ai déjà lu en anglais, ce sera un peu plus facile.
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flashbic · 3 months
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Ça y est on se lance dans le gros projet de traduction des épisodes dont la track française est manquante let's goooooo
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ccnountche · 2 years
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À l’occasion de la sortie mondiale de son nouveau livre, qui paraitra en français chez Flammarion, l’ex-First Lady des Etats-Unis, Michelle Obama, accorde à "C à vous", sur France 5, et Brut, une interview exclusive qui sera menée par l'écrivaine franco-marocaine Leïla Slimani.
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crepuscule-pourpre · 10 months
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labibliothecaire · 1 year
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Aujourd'hui, on va parler bouquins (et pas tellement bibliothèque, même si bah ça reste dans le thème). Ça fait quelques années maintenant que je ne lis quasiment qu'en anglais, du moins quand le livre est écrit en anglais à la base.
Parmi les raisons qui m'ont poussées à me tourner vers les livres en VO, je peux dire bien entendu que ça me permet de ne pas devoir attendre une traduction (qui pourrait d'ailleurs ne jamais voir le jour). Je peux citer le prix (bonjour les livres à 10€ au Waterstones, contre 15-20 pour leurs équivalents traduits - même si ici c'est alors une question de coût de l'adaptation/traduction et de format puisque nos maisons d'éditions aiment bien sortir des "grands formats" qui coûtent, de fait, plus cher). Je pourrais même parler de ce bonheur d'avoir des livres qui sont (quasiment) TOUS du même format, qu'importe la maison d'édition, parce que les éditions anglaises semblent suivre un format standardiser et je ne suis pas obligée de jongler avec mille hauteurs de livres quand je range ma bibliothèque.
Mais ma raison principale, mon cheval de bataille, c'est tout simplement que j'ai de plus en plus de mal avec les traductions françaises.
Je n'ai pas étudié la traduction ni rien, c'est donc mon avis personnel, mon propre ressenti, mais voilà le topo : un livre n'est jamais traduit, il est adapté. Une traduction fiable à 100% n'existe pas, et pour les rares livres dont j'ai lus à la fois la VO anglaise et la traduction française, je me suis rendue compte que souvent certains choix de traduction me titillaient. Mon exemple le plus marquant, c'est le 1er tome de Harry Potter, aka le premier livre que j'ai lu en VO. Vous vous souvenez de Touffu, le chien à trois têtes de Hagrid ? Et bien, en VO, il s'appelle Fluffy. FLUFFY. Pour les nuls en anglais, "fluffy" signifie "pelucheux, duveteux". Un truc doux, donc, un nom mignon. Touffu, par contre, ça désigne quelque chose de "épais et dense". Vous voyez où je veux en venir ? On est clairement pas sur la même vibe. Traduire Fluffy en Touffu, pour moi ça a été une perte de sens monumentale. Genre, la traduction est littéralement passée à côté de la signification du nom, de son symbolisme dans l'histoire (les noms archi mignons que Hagrid donne à ses animaux monstrueux). Après, il y a aussi le problème des trucs intraduisibles, où les traducteurs ne peuvent que faire de leur mieux. Je repense notamment à ce passage dans Percy Jackson où la troupe est au Hoover Dam et s'amuse à faire des jeux de mots avec dam/damn, que la version française à dû tourner en "Hoover/Ouvert". GG à eux pour ça !
Et après, y a juste les choix d'édition/traduction où juste... je ne sais pas. Je ne comprends juste pas. Celaena de la saga Throne of Glass qui devient Keleana en français ? Sans parler du fait qu'elle soit appelée une "assassineuse". Sorry not sorry mais ce mot n'existe pas et en plus c'est moche comme tout (oui je juge et j'assume). Le mot "assassine" existe, hein. Il est rare, mais il existe.
Et aujourd'hui encore, je ne peux pas m'empêcher de souffler du nez quand je vois débarquer les traductions françaises des gros succès YA anglais et leurs titres... The Stolen Heir (litt. L'héritier volé) qui devient L'héritier trahi. To kill a kingdom (litt. Tuer/Pour tuer un royaume) qui devient Le royaume assassiné. These hollow vows (litt. Ces vœux creux) qui devient Ces promesses maudites. Sans oublier de citer mon fameux premier HP qui est quand même passé de "Et la pierre philosophale" à "À l'école des sorciers". Bon, là, on peut dire autre temps autres habitudes, mais les autres, on est en 2023, c'est quoi votre excuse ?
Alors oui, ce sont des choix éditoriaux, des décisions prises pour qu'un titre sonne mieux en français (je suis très moyennement convaincue par cet argument mais soit)... mais si déjà le titre n'est pas respecté, qu'en sera-t-il alors du contenu ?
Qu'on me pardonne de vouloir lire le vrai texte, les blagues d'origine, les prénoms non retouchés, tout ça, hein.
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philoursmars · 1 year
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016. Marseille à Noël, Au MuCEM, l’expo “Après Babel, Traduire”
- les 3 premières : “Speculum Humanae Salvationis" - 1480
- Vladimir Tatline
- comment dit-on “homosexualité masculine” en langue des signes ? Voilà la réponse.
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kamalamackerel · 2 years
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Ma toute dernière traduction, maintenant en librairie! 🌌 Découvrez l’histoire de la brave petite Laïka, premier être vivant à avoir voyagé jusqu’aux étoiles, telle qu’imaginée par @kaichengthom et @kaiyunching publié par les @editionsdentdelion. 🌏 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐋𝐚𝐢̈𝐤𝐚 est un hommage aux liens qui unissent toutes les créatures de la terre – et de l’univers. « Les illustrations de Kai Yun Ching, alliant de façon épatante crayon de bois et aquarelle, ravissent par leurs couleurs abondantes. Enfin, la traduction de Kama La Mackerel mérite d’être saluée, adoptant une langue inclusive qui est soulignée dans un court texte introductif. » ★★★ —Yannick Marcoux, @ledevoir #laika #laïka #forlaika #pourlaïka #conte #traduction #album #jeunesse #albumjeunesse #livre #littérature #enfance #jeunesse #kaichengthom #kaiyunching #montreal #québec #librairie #lamackerel #kamalamackerel https://www.instagram.com/p/CmNukRSI6vp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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empiredesimparte · 5 months
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°1 | Tuileries palace, 14 Thermidor An 230
Emperor Napoleon V and his wife Charlotte are worried about the presence of Louis Simparte on French soil. He is a notorious anti-imperialist, a sort of black sheep of the family. It seems he has decided to move back to Francesim. He has published a book "Freedom" in which he recounts his family's mistreatment of him, culminating in his liberating divorce from the mother of his children and the imperial family. The emperor has decided not to censor the book, nor to prosecute the author immediately, which is causing controversy among the Simparte people.
Finally, Napoleon V couldn't resist revealing to his wife that he and his uncle had a plan for dealing with the "Louis Simparte" case, without going into details.
Beginning ▬ Next
⚜ Traduction française
L'empereur Napoléon V et son épouse Charlotte sont inquiets de la présence sur le territoire français de Louis Simparte. C'est un anti-impérialiste notoire, une sorte de mouton noir de la famille. Il semblerait que ce dernier ait décidé de venir habiter à nouveau en Francesim. Il a publié un livre "Liberté" où il raconte les mauvais traitements familiaux qu'il a traversé jusqu'à son divorce libérateur avec la mère de ses enfants. L'empereur a décidé de ne pas censurer le livre, ni de poursuivre l'auteur en justice immédiatement, ce qui fait polémique au sein des Simparte.
Finalement, Napoléon V ne peut s'empêcher de révéler à son épouse que lui et son oncle ont un plan pour gérer le cas "Louis Simparte", sans rentrer dans les détails.
(Napoléon) Je l'ai feuilleté, un peu
(Charlotte) Tu te fais du mal (Napoléon) Je sais, mais comment faire autrement ?
(Charlotte) Tu ne m'as rien dit à propos de ton grand-père (Napoléon) Je ne l'ai jamais rencontré. Oncle Henri dit qu'il a trahi notre famille pour "vivre libre"
(Charlotte) Ton oncle doit être furieux (Napoléon) Il ne laisse rien paraître mais c'est évident
(Napoléon) Quel genre de père écrit "Liberté" à la mort de son fils ? (Charlotte) Pourquoi ne veux-tu pas le poursuivre en justice ?
(Napoléon) Je ne veux pas satisfaire les paparazzis
(Charlotte) Louis, tu dois faire quelque chose, il ne peut pas parader autour de nous pendant ton couronnement
(Napoléon) Ne t'en fais pas, oncle Henri et moi on a un plan
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neptunefairytales · 8 months
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I just found an old french edition of the GO book (2006?!) And the cover is way nicer than the actual version!
I wonder who inspire the designs for our ineffable husbands! Crowley has horns, widow's peak hair and is (litteraly) smoking! and Azi is a twink with glasses! XD
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In the back their is even a line about the infamous "soon-to-be-made american movie!" XD
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Now some rambling in french:
J'adore vraiment ce design de couverture! Bien plus que celle rouge actuelle toute moche. Je trouve même qu'il y a un petit coté steampunk! J'adore leur look général à tous les 2 même si je suis pas fan de leur coiffure! Et puis Crowley qui fume! Non! (même si je sais qu'il y a des partisans! ^^) Aziraphale me rappelle quelqu'un mais je sais pas qui???
Le coup du "bientôt adapté au cinéma"! Je me demande quand ils ont su que ça se ferait pas par rapport à l'impression du livre! Et quand je pense à ce qu'aurait pu être ce film je sais pas si je dois en rire ou en pleurer! XD
La traduction est un peu différente de celle d'aujourd'hui (genre Warlock s'appelle Abbandon, alors que celle d'ajd c'est Seth) certaines phrases et descriptions sont tournées autrement, c'est fun de comparer ^^ (maintenant il faut que je trouve l'édition de 99 (ou 95?) avec l’espèce de dragon/chimère)
@bucky1984 on a vite-fait parlé sur mon post de la couverture actuelle, t'en penses quoi de celle là?
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weset-thedark-onfire · 8 months
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Partage accessibilité et neurodiversité
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Le site neurodiversity design regroupe beaucoup de contenus pour améliorer les interfaces graphiques web en pensant aux personnes neuroatypiques. Le tout est en anglais mais la traduction automatique n'est pas trop mal.
Il propose :
Des conseils graphiques : j'aime particulièrement la partie bouton et interface, le tout reliés aux théories UX connues (trop bien pour apprendre)
Des personaes : ce sont des fiches utilisateurices qui regroupent leur identité, leurs besoins, leurs aspirations, leurs craintes, leurs blocages, leur matériel... Généralement, c'est utilisé pour pouvoir imagine, créer et rectifier des parcours sur des sites web - entre autre chose - en ayant toujours en tête les personnes qu'on cible.
Souvent, quand on créé des personaes pour un nouveau site, une application ou même un forum, dans le but de se mettre "dans la peau de", il est rare de penser à avoir des personaes handicapés ou ayant des besoins précis en terme de sensibilité ou autre. Et quand on y pense, ces personaes peuvent être réduit à leur handicap ou stéréotypés, en mettant totalement de côté les aspirations, besoins en dehors de leur handicap. Ces fiches là font les deux et je les trouve vraiment cool.
Y'a même un personae avec des éléments "négatifs", chose que je n'avais jamais vu comme "recherche des signes de vulnérabilité chez les autres". Ce qui permet de penser à un cas souvent oublié dans l'UX : tout le monde n'est pas sympa et gentil sur le web et quand cette personne veut faire du mal avec notre produit, elle trouvera un moyen. On sors un peu du cadre "Neuroatypies et design" mais si le sujet vous intéresse, je vous conseille le super livre (en anglais encore, sorry :/) "Design for safety", d'Eva PenzeyMoog.
Dans le même cadre de personaes, les guidelines accessibilité d'Orange en ont aussi, en français ! Elles sont d'avantages ciblés sur les handicaps et les besoins que cela peut entrainer mais on a quand même un contexte :)
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fieriframes · 7 months
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[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.
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Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.
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C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:
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Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité. 
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
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pierreferrero · 5 months
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Illustration pour la traduction du livre de Paul Scheerbart (1863-1915) aux éditions Othello : La Grande Révolution (1902 - Insel Verlag)
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ccnountche · 2 years
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Shubhangi Swarup, lauréate du prix Emile Guimet de littérature asiatique 2022
Créé en 2017 à l’initiative du musée national des arts asiatiques – Guimet, le prix Émile Guimet de littérature asiatique récompense "un roman ou un récit fidèle à la volonté du fondateur du musée [Guimet] : faire découvrir une Asie protéiforme et toujours surprenante". Quatre critères caractérisent ce prix.
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chaotic-history · 1 month
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The Nouvelle Biographie Générale's article on Villette, 1866
Because my sleep-deprived brain decided last night that translating Villette things was clearly my top priority. Footnotes like this (1) are original; the ones like this ¹ are added by me.
VILLETTE (Charles, marquis DE), born December 4, 1736, in Paris, where he died on July 9, 1793. His father, treasurer extraordinary of war, left him a 150,000 livre pension; his mother was popular for her wit and her beauty: he therefore had an easy path in the world. After having gone on a handful of campaigns, he returned to Paris (1763) with the rank of quartermaster general of the cavalry [maréchal général des logis de la cavalerie]. He was imprisoned, for what reason we don’t know¹, in the Strasbourg citadel; as soon as he had left at the end of six months, he went to Ferney to seek out Voltaire, who had been a friend of his mother. ‘I currently have at home with me to cheer me up’, wrote Voltaire, ‘a young M. de Villette, who knows all the verses that have ever been written, and who writes them himself, who sings, who does impressions of other people quite amusingly, who tells stories, who is a pantomime, who would delight even the inhabitants of this sad Geneva’². With the support of the philosophe, whom he didn’t hesitate to call his father, Villette threw himself into the literary world, wrote many verses, competed for prizes from the Académie Française which he didn’t win, and above all sang in every tone praises of Voltaire, who reciprocated doubly by calling him the French Tibullus. Displaying with effrontery his taste for unnatural vices, as was attested to by his contemporaries, it was thought that he would not marry, until he married a person equally distinguished by her virtues and by her amiable qualities in the Ferney chapel in 1777, and he thus became, according to a rueful joke of the patriarch of Ferney, a doctor in utroque³. He had with her a son, whom he had baptised in 1792 under the name of Voltaire-Villette. This marriage did not prevent him from returning to his vicious habits, nor from engaging in scandalous intrigues with fashionable women, among whom were Mlles Arnould et Raucourt. At the time of the revolution, Villette drafted the cahiers du bailliage for Sentis, in which he spoke warmly of the new principles, and he collaborated on the Chronique de Paris. Named deputy of Oise for the National Convention (1792), he protested strongly against the September massacres, and voted, in the trial of Louis XVI, for his imprisonment [rather than his execution]. He succumbed a few months later to a languishing illness. He owned the hôtel where Voltaire lived in Paris, on the quai which today bears his name; he acquired the château de Ferney and preserved the heart of his protector (1) in an urn bearing this inscription:
His spirit is everywhere and his heart is here.
Of a very slim literary talent, Villette was truly what Mme du Deffand called him: ‘a comic character’⁴. The wits of the time did not spare him; people laughed especially at his belief that he could share in Voltaire’s fame, and this epigram ran for a long time throughout Paris:
Little Villette, it is in vain
That you aspire to glory;
You will never be anything but a dwarf
Who plays a giant on the comic stage.
However, he was kind, devoted to his friends, and during the revolution he showed real courage in standing firm in his beliefs against the prejudices of the nobility and against revolutionary excesses. Palissot assures us that Villette’s best works should be attributed to Gugeland, his secretary. Be that as it may, these are the works which he had printed: Éloge de Henri IV; Paris, 1770, in-4°; Éloges Historiques de Charles V et de Henri IV; Amsterdam (Paris), 1772, in-4°; La Patroclée, ou Commencement du Seizième Chant de l’Iliade, Traduction Littérale en Vers; Paris, 1778, in-8°: Palissot attributes this to Voltaire; various pieces in the Almanach des Muses, reprinted in Œuvres de Boufflers et de Villette; London (Paris), 1782, in-18; Œuvres du Marquis de Villette; London and Paris, 1784, in-12, and 1786, in-16; Edinburgh and Paris, 1788, in-8°: in general, his Lettres contain interesting anecdotes. Between 1784 and 1792, Villette presented eight operas to the Académie Royale de Musique, which seem to have been neither put on nor succesful.
(1) This relic, preserved by his son, was given in 1864 to the government, which had it placed in one of the rooms of the Bibliothèque Impériale [now the Bibliothèque Nationale de France].
¹Like pretended father, like son, it was for causing a stir by planning to duel a lieutenant-colonel whom he had publicly insulted, according to Grimm’s correspondence.
²Voltaire to the comte d’Argental, February 27, 1765
³In utroque jure, meaning a doctor of both civil and ecclesiastical law, ie., if Villette gets married he will have sex with women as well as with men. Voltaire uses the term in this way in a letter to Villette from June 7, 1765.
⁴Mme du Deffand to Horace Walpole, February 12, 1775
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o-link · 3 months
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La véritable histoire de d'Artagnan | ARTE
La véritable histoire de Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, qui a inspiré l’intrépide mousquetaire de Dumas. De la légende littéraire au personnage historique, l’amateur de cape et d’épée ne perd pas au change…
C’est le Gascon le plus célèbre au monde. Depuis la parution en 1844 des Trois mousquetaires, d’Artagnan a acquis une renommée inégalable, grâce à la traduction du livre d’Alexandre Dumas en une centaine de langues et à ses dizaines d’adaptations à l’écran. De Douglas Fairbanks à Gene Kelly en passant par Belmondo ou Jean Marais, le compagnon d’Athos, Porthos et Aramis fait partie des héros les plus incarnés au cinéma. Personnage de légende, d’Artagnan n’est pourtant pas une fiction. Né aux alentours de 1615, Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, connut même une existence aussi fascinante que celle de son double littéraire : plongé au cœur des complots de la Fronde, qui menaçaient la royauté, le capitaine-lieutenant devint l'agent secret du cardinal Mazarin, puis l'homme de confiance de Louis XIV, pour lequel il arrêta Fouquet et combattit à travers toute l'Europe.
C’est l’histoire d’une double métamorphose que raconte cette enquête historique aux allures de jeu de piste : celle, à rebours, d’un personnage littéraire devenant sous nos yeux un homme réel au cœur de l’histoire ; celle, aussi, d’un jeune provincial qui connaît une ascension prodigieuse pour devenir l’un des favoris du Roi-Soleil. Entre les faits romancés par le génie de Dumas, puis décuplés par le septième art, et les grandes lignes d’une vie hors du commun, la légende de d’Artagnan s’enrichit d’une densité imprévue. Un héros pour tous, tous pour… la vérité historique !
Documentaire d'Augustin Viatte (France, 2020, 1h31mn)
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lepartidelamort · 6 months
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Yahvé, le dieu terroriste
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« It’s time for Jews to be feared ! » « Il est temps pour les juifs d’être craints », a déclaré le Rabbi Shmuley récemment. Les juifs n’ayant pas réussi à venir à bout de l’antisémitisme en essayant de se faire aimer ou admirer, doivent maintenant se faire craindre. C’est le nouveau mot d’ordre.
Le problème est que, si les juifs veulent être craints, alors ils doivent aussi accepter d’être détestés. La « crainte des juifs » peut se traduire, littéralement, par « judéophobie » (du grec phobos, crainte, peur). Pour se faire craindre, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le montrer. Bref, si les juifs veulent se faire craindre pour lutter contre l’antisémitisme, alors l’antisémitisme a de beaux jours devant lui.
Tout cela n’est pas très logique. Mais c’est très biblique. À ma connaissance, la Bible hébraïque ne recommande pas aux juifs de se faire aimer des non-juifs. Non, au contraire, elle leur apprend à se faire craindre. Le dieu d’Israël dit à son peuple, en Deutéronome 2:25 :
« À partir d’aujourd’hui, je répandrai la terreur et la crainte de toi parmi les peuples qui sont sous tous les cieux : quiconque entendra le bruit de ton approche sera saisi de trouble et frémira d’angoisse. »
Si Yahvé veut répandre la terreur parmi les non-juifs, n’est-il pas un dieu terroriste ? N’est-il pas le dieu des terroristes ? Les terroristes ont toujours été à l’honneur en Israël. En 1974, dans une interview télévisée, le futur Premier ministre Menahem Begin s’est vanté d’être le père fondateur du terrorisme mondial. Dans ses mémoires, il se félicite du massacre de Deir Yassin le 9 avril 1948, parce qu’ainsi, dit-il, plus d’un demi-million d’Arabes furent « pris de panique et s’enfuirent aux cris de “Deir Yassin” ». Qu’on ne me dise pas que Begin n’était pas un fidèle serviteur de son dieu.
Netanyahou est aussi un bon yahviste. En 2015, devant le Congrès américain, il demandait à l’Amérique de bombarder l’Iran au nom de la Bible hébraïque. Il citait le livre d’Esther, qui justement est important pour comprendre comment les juifs veulent se faire craindre. Je résume l’histoire. Le roi perse Assuérus a émis un décret de solution finale au sujet des juifs de son royaume, parce que « le peuple juif se trouve sur tous les points en conflit avec l’humanité entière, qu’il commet les pires méfaits jusqu’à menacer la stabilité de notre royaume ». Mais grâce aux charmes d’Esther, juive secrète qui s’est glissée dans le lit d’Assuérus, les juifs vont retourner la situation et obtenir du roi que le conseiller qui lui a inspiré ce décret soit pendu avec ces dix fils, et qu’un nouveau décret royal soit promulgué, qui donne aux juifs « permission d’exterminer, égorger et détruire, avec leurs femmes et leurs enfants, tous ceux qui voudraient les attaquer, et aussi de piller leurs biens » (8,11). C’est ainsi que les juifs massacrèrent soixante-quinze mille personnes. Dans tout le pays, conclut le livre d’Esther, « ce ne fut pour les Juifs, qu’allégresse, liesse, banquets et fêtes. Parmi la population du pays bien des gens se firent Juifs, car la crainte des Juifs s’appesantit sur eux » (8,17).
Cette histoire est totalement fictive, mais elle est très importante pour les juifs, car chaque année, à Pourim, ils célèbrent la pendaison d’Haman avec ses douze fils, et le massacre de 75 000 personnes, femmes et enfants compris.
Selon la conclusion de cette histoire, la crainte des juifs produit de nouveaux juifs, des gentils qui se font juifs par peur des juifs. C’est bien ce que dit le texte : « beaucoup de gens se firent Juifs parce que la peur des Juifs leur tomba dessus » (ou « les saisit », selon une autre traduction). Comme je l’ai dit, la crainte des juifs a plus de chance de produire des antisémites que des juifs nouveaux. Néanmoins, on trouverait facilement des exemples de gens qui se font juifs par peur des juifs : tout homme politique non-juif qui s’est un jour mis une kippa sur la tête et a juré une fidélité éternelle à Israël, s’est fait juif par peur des juifs.
Il y a dans le livre de Josué une autre histoire qui va dans le même sens. Au début du chapitre 2, Josué, qui reçoit ses ordres directement de Yahvé dans le Tabernacle, envoie deux espions dans la cité de Jéricho. Ayant été repérés, ils se cachent chez une prostituée du nom de Rahab. Celle-ci les aide à s’échapper en échange de la vie sauve pour elle et sa famille quand Israël attaquera la ville, parce que, dit-elle, « Je sais que Yahvé vous a donné ce pays, que vous faites notre terreur, et que tous les habitants du pays ont été pris de panique à votre approche ». Par conséquent, « Yahvé, votre dieu, est Dieu. »
Les éditeurs dominicains de la Bible de Jérusalem ont inclus en bas de cette histoire la note suivante : « Cette profession de foi au Dieu d’Israël a fait de Rahab, aux yeux de plus d’un Père de l’Église, une figure de l’Église venue de la Gentilité, sauvée par sa foi. » Que la putain de Jéricho soit un symbole de l’Église parce que, sous l’effet de la terreur d’Israël, elle se met à croire que le dieu d’Israël est Dieu et aide Israël à commettre le génocide de Jéricho (« hommes et femmes, jeunes et vieux, jusqu’aux taureaux, aux moutons et aux ânes », Josué 6:21), voilà une idée qui laisse perplexe.
Mais ce n’est pas, au fond, une mauvaise métaphore pour la complicité du monde chrétien dans le génocide israélien des Gazaouis. La peur d’Israël est, chez les chrétiens d’aujourd’hui, plus forte que la pitié pour les Gazaouis. Ils préfèrent cent fois s’en prendre à la Russie qu’à Israël. Car la Russie semble plutôt raisonnable, tandis qu’on ne sait pas de quoi Israël est capable.
Israël est le seul pays qui menace ouvertement de faire péter la planète. Ils appellent ça l’Option Samson. L’Option Samson, c’est la combinaison de la capacité nucléaire d’Israël et de sa réputation d’État paranoïaque, sociopathique et imprévisible. Tous les États savent qu’Israël possède une centaine de têtes nucléaires (80 selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm). Et tous les États savent qu’Israël est, comme prévenait déjà Moshe Dayan en 1967, « un chien fou, trop dangereux pour être importuné ». Semer la désolation nucléaire sur les ennemis d’Israël est très biblique :
« Et voici la plaie dont Yahvé frappera tous les peuples qui auront combattu contre Jérusalem : il fera pourrir leur chair alors qu’ils se tiendront debout, leurs yeux pourriront dans leurs orbites, et leur langue pourrira dans leur bouche. » (Zacharie 14,12)
Martin van Creveld, professeur d’histoire militaire à l’université de Jérusalem, expliquait au journal britannique The Guardian en 2003 que les révoltes palestiniennes ne trouveront qu’une seule solution : le « transfert » de tous les Palestiniens hors de Palestine. Sur le risque d’une opposition de la communauté internationale à un tel projet, il ajoutait : « Nous possédons plusieurs centaines de têtes et missiles nucléaires et nous pouvons les lancer dans toutes les directions. […] Nous avons la capacité d’entraîner le monde dans notre chute. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu’Israël ne tombe. » Voilà résumé l’essence de l’Option Samson.
L’audace et l’impunité d’Israël aujourd’hui sont incompréhensibles si l’on ne prend pas en compte l’Option Samson. Mais l’Option Samson, comme le pouvoir juif en général, est tabou : tout le monde doit la connaître, mais personne n’a le droit d’en parler. Ce silence est le test ultime de la peur d’Israël. Dans un récent post, Seymour Hersh écrit : « Personne à Washington n’est autorisé à parler de l’arsenal nucléaire israélien. Ou comment cela affecte la région. Ou si cela sert les intérêts américains, alors même que le Moyen-Orient est au bord d’une guerre régionale. »
Hersh ne le dit pas, mais tout le monde l’a compris : c’est grâce à l’assassinat de Kennedy qu’Israël a pu se doter de l’Option Samson. Jefferson Morley, un investigateur sur l’assassinat de Kennedy, fait remarquer, en commentaire du post de Hersh, qu’il existe aussi un « bâillon israélien » (the Israeli gag) dans la recherche sur Kennedy.
« Vous pouvez constater les effets de la règle du bâillon israélien dans le témoignage longtemps classifié de James Angleton, chef du contre-espionnage de la CIA, devant les enquêteurs du Sénat en juin 1975. Les expurgations rendent visible ce que les gouvernements américain et israélien cherchent à dissimuler en 2024 : comment Israël a obtenu des armes nucléaires sous la surveillance d’Angleton. »
Dans l’extrait ci-dessous du rapport déclassifié d’une audition devant le Sénat en juin 1975, Angleton confirme qu’il tenait the Israeli account, le compte israélien (on disait aussi the Israeli desk, le bureau israélien), mais le mot Israeli est censuré.
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Comme chacun sait, Angleton est le suspect numéro un à l’intérieur de la CIA pour l’assassinat de Kennedy. Or, dans sa biographie d’Angleton, Morley a démontré son étroite collusion avec le Mossad, incluant sa complicité dans la contrebande de matériaux et de technologie nucléaires vers Israël. Ce qui veut dire que la piste de la CIA rejoint directement la piste du Mossad (ce que Morley évite de dire, en tant que membre éminent de l’école respectable : « C’est la CIA ! »).
Je dois dire que suis très déçu par le neveu du président Kennedy, Robert Kennedy Junior, qui semble n’avoir aucune idée du lourd soupçon qui pèse sur Israël dans les assassinats de son oncle et de son père, ou bien fait semblant de ne pas le savoir, ou bien ne veut pas le savoir.
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Et puisque j’ai commencé cet article en parlant de Rabbi Shmuley, je dois préciser que Rabbi Shmuley est un des amis et conseillers de Robert Kennedy Junior. Lors d’un meeting le 25 juillet 2023, il a présenté Robert Kennedy en mentionnant son père : « Le 5 juin 1968, à 00 h 15,… Robert Kennedy Sr., l’un des plus grands Américains qui ont jamais vécu, a été abattu par un terroriste palestinien, Sirhan Sirhan, et assassiné en raison de son soutien à Israël. Il a été abattu parce qu’il voulait partager le sort du peuple juif. » Bobby Jr. a écouté sans broncher, sans le moindre signe de désapprobation, alors qu’il sait très bien que son père n’a pas été tué par Sirhan, et certainement pas pour son soutien à Israël. Robert Kennedy Junior est resté figé et muet dans son fauteuil, même quand une dame courageuse dans l’assistance à traité Shmuley de menteur.
C’est un moment tristement révélateur. En humiliant publiquement Robert Kennedy Junior, Shmuley fait un exemple. Pour se faire craindre, les juifs doivent montrer leur pouvoir en faisant des exemples.
C’est ce qu’il font à Gaza, à une autre échelle. Cela explique, selon Andrew Anglin, qu’ils laissent sortir tant d’images du martyre de Gaza : c’est une crucifixion, une agonie offerte en spectacle aux yeux de tous, pour l’exemple.
Israël veut régner par la terreur. C’est dans la nature d’Israël parce que c’est dans la nature du dieu d’Israël. Le dieu d’Israël est le dieu terroriste, et le monde entier est aujourd’hui saisi de terreur. Yahvé règne !
Laurent Guyénot
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