Tumgik
#théorie du genre
jloisse · 1 year
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Question fort simple de Charlie Kirk mais... réponse très compliquée des "wokes" 🏳️‍🌈
« Qu'est-ce qu'une femme? »
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tontonchristobal · 1 year
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jefrozyul · 1 year
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L'inquiétante tendance de parler Queer
Comme le veut la tradition, le dictionnaire de langue française Le Petit Robert présentait sa liste de nouveaux mots pour son édition 2024. Le résultat est décevant, des anglicismes de plus en plus normalisé et sans surprise puisque ce dictionnaire nous montre à point que le pays de la langue de Molière fait mauvaise figure en matière de langue.
Autre aspect, parmi les nouveaux mots: Mégenrer... Voilà une autre preuve que la théorie du genre gagne du terrain et devient une tendance qui n'est que le début. Désormais, les dictionnaires se plient aveuglément à une minorité pour soit disant être plus inclusif.
De nos jours, les mots font peur même offense certaines personnes comme les non-binaires donc certains, extrémiste dans l'âme, veulent abolir les femmes et les hommes. La société occidentale s'enfonce dans une fragilité ridicule tellement que c'est la majorité qui en écope.
Les wokistes doivent se réjouir, ils pourront continuer à bourrer le crâne des enfants avec leur langage pendant que le domaine de l'éducation est une situation alarmante.
Bref, "mégenrer" n'est pas le qui va changer le monde. Si on prétend qu'il s'agit du progrès, ce n'est pas tout le monde qui vit sur la même planète. Mais bon, les gens semblent dormi.
Désespoir
Quel avenir pour la langue française et les autres à travers le monde qui sont rongé par la théorie du genre et son appauvrissement intellectuel?
Comment allons nous parler en 2030 dans un société peuplé de "producteurs de sperme" et "producteurs d'œufs"?
Les wokistes cherchent à imposer leurs lois à la majorité sur comment parler à une minorité, cela devrait être pourtant ridicule mais les gens aiment tolérer les dérives.
Pour eux, la majorité est un groupe d'individu qui faut rééduquer à la saveur car cette minorité en question en a rien à faire du respect.
Il n'est pas question de parler d'évolution de la langue mais réécrire la langue française comme ceux et celles qui réécrire l'histoire de l'humanité à leur guise.
Un bref fantasme et obsession sur un individualisme qui empire et s'impose sans opposition.
Attention, ce n'est qu'un début.
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manglechan1204 · 3 months
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Avant d’avoir les résultats et qu’on ait tous envie de crever, j’ai voulu faire un tour des fanfics sur la politique française ( a des fins scientifiques bien entendu ) et oh boi y’a des trucs à dire
Sur Wattpad :
-Il y’a plus de 270 fanfics Bardella x Attal ( Les gars ?? Je comprends amour haine tout ça, mais wsh )
-J'en ai trouvé aucune sur le Front Populaire ou la gauche en général ( ce qui est une bonne chose ? je suppose ? )
-Par contre j’en ai lu une ( pour la science toujours ) où ils sont des persos secondaires 🤷‍♂️
-Antoine Daniel a fait des dégâts irréparables au milieu des fanfics shitpost /pos
AO3 :
-Y’a un tag populaire " RPF Political " ( Je dois vivre avec cette info maintenant )
-La tendance est beaucoup plus au ship Macron sur ce site bien que tjr pas mal de Bardellattal ? *Ugh*
-Toujours aucune du Front Populaire mais j’en ai trouvé avec Mélenchon qui datent toutes de 2017/2018
Voila
Si vous vous voulez plus de détail hésitez pas 👍
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renkon365 · 1 year
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tututfdp · 4 months
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Modern AU Kaamelott
(j'ai lut La petite hétéro by TheHappyEgg et ça ma rongé le cerveau donc voila mon AU foireux sur les perso de Kaamelott étudiant).
Arthur Pendragon
 " il sent la monster et la clops dès huit heure trente, baptiser “l’accumulateur compulsif”, j’ai nommer; Arthur Pendragon! "
Je vois Arthur étudiant en histoire de l'art avec options Archéologie, ses subjects préféré: Rome Antique/Grèce Antique - Moyen-Age. Il a redoublé sa L2.
Il a EVIDEMENT fait un Erasmus à Rome.
Il est aussi au conservatoire, musique classique ou modern.
Certainement président d'une association étudiante qu'il a repris ou créer ( Surement un truc du genre "La table ronde" pour que tous vos droit soit respecté)
Grinder/Tinder: Peux importe l'appli', il est dessus.
Surement boursier, doit certainement bossé à la BU ou à un U.
Vous pouvez pas m'enlevé qu'il écoute SUREMENT, du Kyo, il en a honte mais il a tous les albums et les a vue en concert.
Il conduit surement une monospace acheté sur le boncoin pour pouvoir trimbalé toute l'équipe.
A un décapsuleur/couteau suisse baptisé Escalibur.
Depression, burnout, anxiété, manque affectif, le con a un cocktail.
Bonus: Bisexuel voir Pansexuel ? Certainement polyamoureux.
Lancelot Du Lac
" Élus mister Université trois années de suite! le fière le fringant, Lancelot Dulac! "
Troisième années de droit, surement de droite qu'il dit "modéré".
Il est obviously, le secrétaire de l'asso' d'Arthur, ils l'ont créer ensemble à l'époque.
Un conte tinder qu'il assume pas, avec une description genre " Capitaine de l'équipe de badminton, j'aime les balade sur la plages, recherche relation sérieuse".
Je sais pas Lancelot c'est le connard qui conduit une mini, ou une voiture deux places...
Si il fait pas aussi partit du BDE/ est le chouchou des profs c'est pas normal.
Il fait de la poésie en cachette.
Je dirais BPD, ou problème de gestion de la colère, problème obsessionnelle, OCD meme ?
Bonus: Hétéro qui pourrait avoir une seul relation gay dans sa vie, genre pour être sur qu'il est bien hétéro.
Perceval De Galle
"Revoyant à peine la lumière du jour, sortit l’année dernière d’une prépa Math-Physique, je vous présente,  Perceval De Gales! "
Je peux pas être objectif c'est mon chouchou.
Premier année en école d'ingénieur.
C'est se genre de gars mauvais au collège/lycée mais qui est inaltérable à la fac.
Il a fait un bac pro Mécanique Auto pour bossé dans le garage de ses vieux, mais son prof de math la poussé à tenter une prépa.
Ce con a fait une prépa Math-Physique et il c'est jamais autant fait chier de ça vie car tous était trop facile.
Dyslexique, j'ai raison c'est tout.
Membre du club d’astronomie et de l’association de la table ronde en temps que fouteur de merde première catégorie.
Octogone sans règles des que quelqu'un parle de la théorie de la terre plate.
Le connard que Arthur va voir quand son monospace lâche.
La définition d'un "con intelligent"
C'est le con qui à donné "Escalibur" à Arthur.
Bonus: Celui la est technique: "Le genre qui sort avec une personne pour son âme et rien d'autre" Il s'en fout, beau moche, trans, cis, nonbinaire tous ca, si l'amour est là, il est là, sinon demi-sexuel.
Karadoc de Vanne
" Un petit creux ? Une baisse de sucre ? Besoin de savoir quel est le meilleur kebab rapport qualité pétage de bide? Alors il vous faut : Karado de Vanne!"
A rencontrait Perceval durant les années lycées.
Je le vois pas étudiant ? Ou peut etre un truc genre STAPS, mais plus pour la blague.
Lui il a fait un CAP cuisine.
Deuxième fouteurs de merde de première catégorie dans l'assos, mais il serre aussi de traiteur quand ils font une soirée.
Il conduit un kangoo, un véhicule de chantier qu'il prend à ses vieux.
C'est le type qui a réussis à couper une tranche de saucisson avec sa carte étudiantes
A une note google map avec tous les meilleurs restorant, bar, fastfood et kebab de la ville classé part ordre de qualité/prix.
Il connait toutes les petites boulangerie et fromageries de la ville.
A surement gardait sa carte METRO de son anciens job d'été.
Connait beaucoup trop de monde dans l'industrie agro-alimentaire.
Personne ne sait comment il a eu une copine.
Bonus: Hétéro part défaut, pas de questionnement rien, c'est les réglage d'usine.
Bah c'est déjà pas mal dis donc, si vous en voulez plus hésité pas à me demandé, j'ai encore Merlin, Bohort et Elias dans un coin.
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dooareyastudy · 3 months
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quels livres conseilleriez vous pour mieux comprendre le communisme ou le découvrir genre l'essentiel d'une sorte de bibliothèque rouge🙃
Pour commencer : le Manifeste du parti communiste (Marx & Engels, 1848), évidemment !
Sur cette base, on peut enchaîner avec Socialisme utopique et socialisme scientifique (Engels, 1880) et - passage obligé - Le Capital (Marx & Engels, 1867) (qu'on peut lire d'un bloc si on est un lecteur accroché mais il existe aussi de nombreux chapitres édités seuls, ce qui peut faciliter l'approche de l’œuvre entière).
Sur cette base, on peut ensuite développer plusieurs autres approches / développements du marxisme.
Pour développer sur le marxiste orthodoxe : Principes élémentaires de philosophie (Politzer, 1946) (référence très PC).
Pour développer les critiques du travail, on a des références plus lisibles (Le droit à la paresse, Lafargue, 1880) que d'autres (les travaux du groupe Krisis, tellement intéressants mais assez chiants à lire, plein de jargons - même chose pour Postone : si on veut creuser de ce côté, je conseille à condition d'être accroché Les aventures de la marchandise & La société autophage, Anselm Jappe, 2003 et 2017).
Pour des travaux plus historiques, sur les développements du capitalisme et ses évolutions : La société ingouvernable, Chamayou, 2018 (que je recommande vivement : bien écrit, facile d'accès et très intéressant) ; Le nouvel esprit du capitalisme, Boltanski et Chiapellon, 1999 (très intéressant aussi mais si on n'est pas chercheur, il ne faut pas avoir de scrupules à sauter les chapitres qui traitent de méthodo). Sur les liens capitalisme / fascisme, on pourra lire Libres d'obéir, Chapoutot, 2020.
On va aussi trouver des travaux mêlant marxisme et écologie avec, à encore, des références plus accessibles (La Nature contre le Capital, Saito, 2021 - qui propose une relecture de Marx pour penser le rapport des humains à la nature) que d'autres (Le mur énergétique du capital, Aumercier, 2021 - très intéressant, mais assez technique).
On trouve également des développements féministes de la théorie marxiste, avec notamment Le marxisme et l'oppression des femmes, Vogel, 2022 (qui adopte une approche très historique). On peut citer aussi des travaux critiques du marxisme, comme Le capitalisme patriarcal, Federici, 2019. Mention spéciale pour un livre qui retourne l'estomac que j'ai fini récemment : Le ventre des femmes : capitalisme, racialisation, féminisme, Vergès, 2017.
Il y a bien évidemment des angles morts importants dans ces quelques références, à commencer par les questions de colonisation et de racialisation sur lesquelles j'ai encore peu lu. N'hésitez pas à proposer des titres, pour compléter sur ce point ou d'autres !
Vu que je passe l'essentiel de mon temps à lire, je serais ravie d'élargir mes horizons (d'ailleurs, on m'a prêté l'ouvrage des soulèvements de la terre donc pour répondre à un anon qui m'avait posé la question : je ne l'ai pas lu, mais ça ne saurait tarder !)
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
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Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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lisa972kdlz · 8 months
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Portails Interunivers :
Vous ne vous êtes jamais demandé comment les personnages faisaient pour passer d'un univers alternatif à un autre ?
Selon les histoires, les comics et les headcanons, la possibilité d'accès aux AU's est très relative. Il n'y a pas de créateur du Multivers d'Undertale, donc pas de canon vis à vis des liens que l'on fait entre les univers. Il a été observé une pluralité de chemins, premièrement à travers des moyens spécifiques et précis :
Par les portes de l'Oméga Timeline (assez limitée dans la mesure où on ne peut pas circuler ailleurs que dans son univers si l'on n'a pas d'abord été invité (je crois, c'est pas très clair, détrompez-moi si vous êtes sûrs de quelque chose)),
Par le biais de machines scientifiques, programmées par Gaster la plupart du temps, comme dans Chancetale avec les plans repris par Ace et Alphys,
Par des personnages qui ont la capacité de créer des portails où de se téléporter naturellement comme Dream ou Nightmare.
Secondement, les chemins... Sans explication notable. Dans certaines histoires, les personnages peuvent voyager d'AU en AU sans questionnement, sans règle, sans précision, on sait juste que c'est possible, genre comme on prend un bus. Passages secrets, téléportations, etc, on peut imaginer ce qu'on veut que ce ne sera jamais mentionné. Franchement, je n'accepte qu'avec des One-Shot ou des histoires délirantes sans enjeu, parce que... Essayer de trouver une logique à tout est mon hobby, va falloir vous y habituer \⁠(☆⁠▽⁠☆)⁠/
Mais les plus intéressants de cette problématique sont les personnages qui peuvent directement ouvrir des portails/se téléporter comme Ace, Color, Error ou Fresh, dans le cadre où c'est considéré comme un pouvoir spécial. Il en existe plein d'autres, mais ce sont eux que je connais le plus. Ça pose beaucoup de questionnements, surtout Ace qui obtient cette capacité du jour au lendemain alors que son créateur est quand même très réfléchi à propos de la cohérence. La seule solution en correspondance avec son pouvoir de briser le quatrième mur serait qu'il passe de case en case pour sauter d'un AU à un autre. Seulement ce n'est pas ce qu'il fait, il se téléporte ou créé un portail. Comment ? Pourquoi ? Pourquoi d'un coup ?
J'ai réfléchi, réfléchi, puis j'ai trouvé une corrélation entre ces personnages qui pourraient se révéler être une causalité.
Ce sont tous des Outer-Characters. C'est-à-dire des personnages extérieurs à la réalité, sans AU, sans monde auquel fusionner leurs codes.
L'univers de Ace a été détruit par Error et n'existe plus dorénavant.
Color a été effacé de sa réalité, comme Gaster, son code s'est donc détaché.
Error a été littéralement expulsé dans l'Anti-void et s'est transformé en créature de glitchs (on en reparle plus tard).
Fresh est un parasite sans univers maternel, on sait pas trop d'où il sort mais en tout cas comme il n'existe pas officiellement d'Underfresh, il n'appartient à aucun univers.
Tels des électrons libres passants d'un courant à un autre, exilés entre les blocs qui façonnent les univers, ne possédant plus de point fixe, ils bénéficieraient donc d'une liberté de mouvement que les autres n'ont pas. Hors de l'espace, et pour certains (Core!Frisk, Gaster), carrément hors du temps.
Bon, ils ont un rapport assez étroit avec le Multivers, leurs codes ne sont pas "collés" à des blocs, et ça leur permet de zigzaguer entre les AU's . Mais comment ?
Et bien en considérant le fait que les AU's sont eux-mêmes liés entre eux. Le Multivers d'Undertale est une toile. Les Timelines qui finissent par se détacher pour devenir des AU's à part entière (Aftertale, Dusttale, Horrortale), des concepts qui se ressemblent (Underswap, Storyshift), et même les plus éloignés, TOUS sont reliés les uns aux autres. Et c'est par ce point de vue que je propose la théorie des brèches :
Il existe dans notre monde des hypothèses comme quoi des failles de la réalité existeraient et laisseraient parfois entrer des choses bizarres... Des créatures extraordinaires, des malédictions... Et les lieux mystiques et intenses en concentration de bizarrerie comme le Triangle des Bermudes seraient des lieux de ce genre. Abracadabrantesque pour notre monde, mais dans celui de la fiction, pourquoi pas ? Après tout quelle histoire est parfaite ? Quel Lore n'a pas son couac ? Quel jeu n'a aucun bug ? Ces anomalies, ces petites erreurs que nous faisons sans corriger des paradoxes formeraient ainsi des failles qu'il serait possible d'exploiter et d'ouvrir. Les Outer-Character, de part leur nature d'électron libre et leur conscience de la Toile, seraient plus sensibles à ces failles et seraient plus à même de les repérer et de les exploiter. En revanche, non seulement ces failles ne se trouvent pas partout, mais en plus certaines sont des anomalies au-delà de notre perception de la réalité, elles auraient leur propre place dans l'espace-temps. Ce qui veut dire qu'elles pourraient être présentes durant un certain laps de temps puis disparaître, ou n'être disponible qu'à un endroit précis une certaine heure un certain jour... On peut également imaginer que des univers sont plus "fermés" et inaccessibles que d'autres ? (J'accorde personnellement ça aux Multivers/AU's, genre un AU qui regroupe les personnages principaux du Multivers comme Vampireverse, Empireverse, Minuscultale etc.) Comme ça, on veut inventer des histoires où les protagonistes se confrontent à des contraintes de temps et d'espace qui les empêchent de s'enfuir à tout bout de champ !
Excuses scénaristiques offertes par la maison, ne me remerciez pas (☞◖■ᴥ■◗)⁠☞✨✨ !
C'est assez gros et ça implique beaucoup de choses... Voyons voir...
Donc, cela voudrait-il dire que par exemple tous les habitants de l'Oméga Timeline dont les AU's ont été détruits par Error auraient la possibilité d'ouvrir des brèches comme ils le veulent ?
Ben euh... Oui, techniquement. Mais on peut imaginer des centaines de raisons pour laquelle ils ne le feraient pas. Ouvrir une brèche demande de l'entraînement et de l'expérience, c'est risqué, dangereux, ça amène à des erreurs de parcours, de coordonnées, ou bien tout simplement ils ne sont pas au courant qu'ils peuvent le faire. Ce n'est pas parce que tu as techniquement la capacité humaine de faire des saltos arrières que tu sais forcément en faire.
Et Geno, c'est un Outer-Character ? Mmmh... Techniquement il est coincé dans l'écran de Sauvegarde, ce qui ne veut pas dire qu'il a été expulsé de son AU. Plus de sa Timeline, mais ça n'en fait pas un Outer-Character non plus.
Ink, c'est assez intéressant, il y a plusieurs possibilités. Son AU existe techniquement, il est juste incomplet et oublié de tous. Cependant, il pourrait être un Outer-Character dû au fait qu'il s'y est effacé quand il a déchiré son âme (étant l'essence de son être une âme pourrait aussi être le lien d'un individu à son univers, pourquoi pas ?), ou bien, étant donné qu'il semble plutôt ouvrir des portails spéciaux et qu'il se téléporte aussi dans l'encre, parce que ça fait partie de ses pouvoirs acquis des Créateur via la "peinture magique" (certaines versions veulent qu'il ne peut pas ouvrir de portail sans son pinceau). Personnellement je préfère ça, car si on adhère à la théorie qu'il a finalement encore une âme mais qu'elle est détachée de son corps, ça réglerait le paradoxe.
À moins qu'il soit pleinement un Outer-Character parce qu'Error aurait détruit son AU il y a longtemps, c'est tout à fait possible aussi.
En ce qui concerne les personnages qui voyagent habituellement entre les AU's comme le Facteur ou le Sans de UnderEat, ou même parfois Death, il y a deux hypothèses : soient ils ont tout simplement appris à ouvrir des brèches même sans être des Outer-Character (car je pense que c'est possible, il faut juste être très doué, très sensible et très déterminé), soit ils détiennent cette capacité car c'est le principe même de leur existence. Le Facteur et UnderEat!Sans ont été créés POUR créer des liens entre les AU's (je ne sais même pas si le Facteur a son propre univers en fait), tandis que Death... Et bien ça dépend car je n'ai jamais réussi à comprendre si son influence de la grande Faucheuse était juste propre à son AU ou si cela s'étendait sur tout le Multivers. S'il n'est propre qu'à son AU, techniquement il ne devrait pas avoir ce privilège. Mais si les dieux de Reapertale, autant lui que Toriel, Papyrus, Gaster ou Asgore, s'occupent du Multivers entier, alors c'est logique qu'ils puissent tous voyager entre les AU's comme bon leur semble.
Et les autres ? Et bien, selon moi ils ne sont juste pas capables d'ouvrir des brèches, et les personnages comme Sans, Red ou Blue ne devraient pas en détenir la capacité. Encore moins ceux qui n'ont aucune connaissance des univers. Parce que si n'importe qui pouvait le faire ce serait quand même un gros, gros bordel. Même, scénaristiquement, ce serait un peu chiant si tout le monde pouvait aller où il voulait quand il voulait et s'enfuir pareillement. Mais pour le coup c'est juste mon interprétation des choses.
Mais ce n'est pas fini ! Qu'est-ce qui fait encore que c'est comme ça ? Extrapolons un peu. Peut-on, dans le Multivers d'Undertale, relier cette histoire de brèches et de liens à quelque chose qu'on connait ? Existe-t-il une dimension où tous les AU's se rejoignent en un même centre ? Une dimension pour être le Noyau ?
Et oui !
Je parle bien sûr de la Doodlesph– l'Anti-Void.
Qu'est-ce que l'Anti-Void ? On a jamais eu de définition exacte. On sait par le comic de CrayonQueen que c'est un néant blanc un peu mysterieux dans lequel s'est retrouvé Geno quand une expérience de Détermination a mal tourné. Il a été baptisé l'Anti-Void parce qu'il est blanc et pas noir comme le Void.... Mais c'est tout. Et c'est pas cool parce que des néants blancs, y'en a un peu à foison. La plupart du temps, ce sont des AU's vides dont il ne reste plus rien, Chancetale, par exemple. Des AU's vides, mais pas détruits cependant, car dans Undertale pendant la route Génocide, on sait qu'après l'effacement du monde il ne reste plus rien, c'est le Void. Noir, froid, silencieux. Le Void est les ténèbres qui compose les étoiles du ciel.
On en déduit que ces AU's vide tout blanc, ce serait plutôt quand le CONTENU de l'AU est vide, mais pas l'AU lui-même, comme X-tale ou ___tale (c'est contradictoire avec Chancetale qui est détruit de chez détruit, cependant c'est normal d'avoir quelques contradictions quand on parle d'un monde créé par des centaines de personnes différentes). Ce qui est sûr, c'est que l'Anti-Void ne fait pas partie de cette catégorie. Ce n'est pas une coquille vide. C'est autre chose. Ça se voit dans ce qu'il fait à ses locataires, en les transformant littéralement en glitchs amnésiques et détraqués. Cela se voit dans les brèches qu'ouvre Error, donnant sur ses souvenirs anciens. Cela se voit quand on sait que c'est un moyen, au bout d'un certain temps, d'entendre la voix des Créateurs.
L'Anti-Void est l'exact opposé du Void : c'est le Tout, le Lien où tout chemin se croise. Après tout, combien de personnages s'y sont déjà rendus accidentellement ? Ne parlons pas des centaines d'histoire x reader où le protagoniste se retrouve par hasard dans l'Anti-Void après je ne sais quelle péripétie 😂 et allons plutôt vers ce qui est arrivé à Geno, ou bien à la machine de Ace dont l'Anti-void a été la première destination. Rien qu'à observer comment Error a appris à utiliser les brèches... À chaque fois il passe D'ABORD par l'Anti-Void avant d'ouvrir un portail d'un AU à un autre. C'est la Gare Centrale des passages entre les dimensions. Je dirais même, c'est un passage OBLIGATOIRE. Chaque AU est en connexion avec un autre VIA l'Anti-Void. Disons juste que la plupart des gens font le raccourci instinctivement.
Mais pourquoi le Noyau serait l'Anti-Void et pas la Doodlesphère ? C'est une dimension qui semble bien mieux disposée à remplir ce rôle...
Et bien... L'un n'empêche pas l'autre.
En fait, la Doodlesphère et l'Anti-Void sont étroitement liés. J'ai remarqué qu'il y a souvent deux points de vue abordables dans le Multivers : la partie code (le Joueur, les algorithmes, glitchs et bugs, comme Error, Fatal, Glitchtale, etc.) et la partie spirituelle (la pensée, la foi, les émotions, les Créateurs, Ink, Faith, Dreamtale, etc.) Et si l'Anti-Void était le Noyau "codé" du Multivers tandis que la Doodlesphère était son Noyau spirituel ?
Car il y a la toile informatique et la toile du peintre 🤣 !
Mhrm–... Pardon :'> (cette blague marche en anglais ?)
N'est-ce toute de même pas un drôle de hasard que les deux plus grands ennemis du Multivers au passé similaire vivent dans deux habitats qui se ressemblent et se complètent ?
La toile... Assez ironique d'ailleurs que son locataire soit un squelette qui manie les fils...
Error est le SDF de la réalité par excellence, c'est dans sa thématique de personnage et dans son design, donc pas étonnant que ce soit sans doute l'être le plus apte à repérer les failles dans le Multivers. C'est caractéristique extrêmement adoptée dans les fanfics ou les comics, il peut ouvrir des fenêtres quasiment où il veut quand il veut ! (c'est pour ça que je trouve bizarre le fait que Corrompu trouve canoniquement Error inutile alors que c'est justement LE type qui peut lui ouvrir les portes vers tous les AU's qu'il veut, même les positifs) Après tout, il est resté piégé au sein même du Tout pendant un temps indéterminé. Canoniquement, au bout d'un certain moment passé dans l'Anti-Void, tout le monde peut devenir un "error" : un être ayant perdu et acquis toute sorte de codes venant de partout et nulle part à la fois, jusqu'à ce qu'il ne reste presque plus rien de ce qu'il était avant, personnalité, couleurs, souvenirs. Pas étonnant si on admet c'est l'agglomération de tous les codes du Multivers ! Au bout d'un moment, n'importe quelle chose finit par se disperser et se disloquer !
Partiellement ?
Entièrement ?
Au bout d'un moment, Error finirait-il par disparaître à force de vivre dans l'Anti-void ?
Subirait-il moins de perte de mémoire s'il arrêtait d'y aller ?
Euh... au choix. ¯⁠\⁠(⁠°⁠_⁠o⁠)⁠/⁠¯ j'aime pas trop l'idée qu'on puisse se dissoudre entièrement dans l'Anti-Void mais après tout pourquoi pas.
Attends, attends... Si les brèches ont un rapport spatio-temporel, que l'Anti-Void est le regroupement de toutes ces dimensions et qu'Error a pu créer une fenêtre vers son passé dans son comic, alors est-ce qu'Error serait en mesure de voyager dans le temps ???
Euh..............euh... (⁠@⁠_⁠@⁠;⁠) c'est vrai que CQ a déjà mentionné l'hypothèse qu'il pouvait exister plusieurs Error en même temps, mais...euh....je...
Je sais pas (⁠•⁠ ⁠▽⁠ ⁠•⁠;⁠)
Je sais pas...
Peut-être que non, ou du moins personne qui serait, certes détaché de l'espace, mais pas forcément détaché du temps ? Error est-il seulement conscient de ce qu'il est capable de faire ? Peut-être qu'il peut simplement regarder mais pas y entrer ?
Mais alors... Il pourrait quand même voir n'importe quel futur et passé ? Ou seulement ce qui le concerne ?
J'en.
Sais.
Foutre rien.
Je suis pas allée jusque là xD
Mais bon, c'est déjà pas mal, non ?
Si vous avez des théories, headcanons ou même que vous avez repéré des incohérences dans mes propos, n'hésitez pas à m'en faire part, c'est un Headcanon mais ce n'est pas parfait, alors j'aimerais bien le peaufiner le plus possible :3
À la revoyure !
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chifourmi · 1 year
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J'ai trop la haine. Mon examen s'est mal passé alors que ça devait être un des plus faciles. Le prof a toujours dit que le par coeur ne l'intéressait pas, pourtant là il a fait fort. Il a posé des questions sur les auteurs vus en cours alors que moi ce que j'ai retenu c'est surtout ce dont ils parlaient?? Ensuite, il a posé des questions sur des concepts qu'on avait à peine survolés?? Certains concepts ne me disaient rien du tout?! En juin, il avait donné une situation à analyser et là RIEN, juste de la théorie. Je suis trop énervée. Après l'exam, j'ai parlé aux gens qui l'avaient repassé et ils étaient tous dégoûtés aussi.
Je vais devoir rester en Bac 3 c'est sûr. J'ai trop le seum je suis vraiment trop énervée là, comment les profs peuvent être aussi vaches avec des gens en DERNIÈRE année??? Je vais devoir repayer l'année pour quelques cours seulement (pcq je suis sûre que je vais râter les prochains vu qu'ils sont ultra durs mdr). C'est vraiment la blague de l'année j'en ai trop marre. C'est archi nul les études, que tous les connards de profs de ce genre aillent bien se faire foutre!!!!
(23/08/2023)
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randomnameless · 5 months
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et où pas mal de personnes censées se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmilière alors moi voter pour vieux monsieur qui a formé son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturé en Algérie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontières (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censé être, genre, normal, et pas un twist où en fait c'est un super raciste qui a "créé" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des Héros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-être mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de même, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrée autour d'une "waifu qui est en fait méchant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dégommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dépeints comme des vilains pas beaux méchants qui à la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de même la volonté de débarrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - à l'époque ce que j'aurais appelé une tarte à la crème mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent à leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est très très bof.
Est-ce que ces "théories racialistes" sur les "hybrides Nabatéens" c'est juste de la liberté littéraire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nauséabondes qui émanent des toilettes, ou des personnes qui ont joué au jeu et ne se rendant pas compte des énormités de Dedel - qui sont malgré tout passées sous silence par les développeurs et scénaristes eux-mêmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcément attirés dès le départ pour élargir ses horizons et peut-être apprécier d'une autre manière quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est à cause du sang de Nabatéens" et chie sur, ben, les persos Nabatéens eux-mêmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides Nabatéens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santé/gérables s'ils ont trop de sang Nabatéen", je ne peux/veux plus les lire/voir/écouter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloqué, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser à Dedel qui aurait du sang de Nabatéen [encore dans un contexte de demi-nabatéens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un Emblème dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant même que je ne découvre le trou à fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'à cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant où j'ai envie d'être chill et de juste, apprécier des trucs plutôt que de râler (j'ai déjà la vraie vie pour ça), mais là c'est juste, je pense, de la déception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais déblatéré il y a longtemps! C'est tellement génial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idée d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les métisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables à cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
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jloisse · 1 year
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Le Premier ministre du Qatar, Al Thani, répond à une journaliste de CNN au sujet de l'idéologie du genre :
"Notre société veut préserver notre tradition et nous sommes fiers de notre foi. C'est quelque chose d'inacceptable dans notre foi."
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tontonchristobal · 10 months
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Psychanalyse, enfance et sexualité …ou sexuation?
(Partie 1)
«Nous nous sommes détachés d’une origine qui ne nous lâche pas. Il faut rater, s’y remettre, et rater mieux.»
Samuel Beckett
1 - Comment aborder ce que depuis Freud on appelle — au risque des pires confusions et de leurs désastreuses conséquences — ladite "sexualité infantile"?
En faisant retour à Freud.
2 - Le lecteur attentif y découvrira que les traductions françaises (tout comme celle de la Standard Edition) sont laxistes, consternantes et même catastrophiques, ne faisant pas la différence entre les termes allemands Sexualtrieb – que Freud emploie pour désigner la pulsion sexuelle adulte (ou pulsion sexuelle devenue autonome)  – et Geschlechtstrieb, que Freud utilise dans ses propos sur la "sexualité infantile", ce dernier syntagme lui-même étant à manier avec précaution car dans tout l’enseignement freudien, il n’apparaît jamais comme signifiant directement "la sexualité des enfants" (ce qui laisserait croire que les enfants ont une sexualité effective, rapportable à celle des adultes), mais est toujours inclus dans une dimension à proprement parler psychique, répondant de l’ordre symbolique: théorie, rêve, rêverie, pensée, fantasme… comme par exemple dans les Trois essais sur la théorie sexuelle de 1905 (Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie)... Car ce "sexuel" qui apparaît sous la plume de Freud ne vise pas tant "la sexualité" dans l’acception courante que lui donnent les adultes (à savoir la jouissance indépendamment de la procréation) mais est plutôt à entendre au sens de la sexuation (même étymologie que sectionner ou sécateur) c’est à dire la coupure qui logiquement débouche sur la question de l’origine, toujours au travail dans le psychisme des enfants, point d’origine du fantasme: «D’où est ce que je viens?», «Où étais-je avant d’être né?» « D’où viennent les enfants ? » (Woher die Kinder kommen ?)
3 - Les termes Sexualtrieb et Geschlechtstrieb sont donc restés indistinctement traduits par «pulsion sexuelle» (ou «sexual instinct» en anglais) jusqu’à la traduction des Œuvres complètes de Freud aux PUF, première édition à différencier les deux types de pulsion, mais où malheureusement Geschlechtstrieb est traduit par «pulsion sexuée», ce qui est encore une erreur, la pulsion dite Geschlechtstrieb n’étant ni sexuelle ni sexuée…
En effet le terme Geschlecht étant traduit par "genre" au sens de "l’espèce humaine" (qui n’a rien à voir avec l’usage anglo-saxon du mot "gender" qui désigne la façon dont seraient vécus "l’être homme" ou "l’être femme"), Geschlechtstrieb la "pulsion de genre" ou "pulsion identitaire" est à considérer comme visant l’image du corps humain unifié, antérieurement à la différence des sexes et à l’apparition des objets, renvoyant à la seule dimension du fantasme, et donc du sujet, réalisé seulement au plan symbolique, à savoir du langage (les "pensées" au sens freudien), tandis que "Sexualtrieb" désigne l’expérience sexuelle réelle…
4 - Traduire Geschlechtstrieb par «pulsion sexuelle» ou «pulsion sexuée», trahit donc une profonde méconnaissance de la lettre comme de l’esprit de Freud, en particulier la découverte freudienne que cette pulsion prend racine dans le psychisme enfantin qui n’est pas embarrassé de la division sexuelle, ni des objets, et encore moins de la sexualité adulte…
5 - Essayons dans un premier temps de nous rapprocher de la forme de la pensée de Freud, puis nous tenterons de retrouver la logique qui prévaut à l’apparition de cette Geschlechtstrieb…
La démarche de Freud n’est pas de l’ordre d’une spéculation abstraite, la psychanalyse est toujours et en premier lieu une praxis, une cure par la parole (une clinique du discours et un discours pourra-t-on en déduire de l’enseignement de Lacan) d’où peut être extraite, après-coup, une théorie…
Freud s’appuie toujours d’abord sur ce qu’il a pu et peut observer lui-même, ce qu’il en tire en termes conceptuels reste parcellaire, non-définitif, soumis à réexamen et réinterprétation constante dans une démarche d’expérimentation et de recherche logique permanentes, comme en témoigne sa lettre à Lou Andreas-Salomé: «L’élaboration systématique d’une matière m’est impossible, la nature fragmentaire de mes expériences et le caractère sporadique de mon inspiration ne le permettent pas. Mais si je vis encore dix ans, que durant cette période, je reste capable de travailler, ne meurs pas de faim, ne suis pas tué ni trop fortement étreint par la détresse des miens ou de ceux qui m’entourent – trop de conditions peut-être – je peux vous promettre d’y ajouter d’autres contributions. (Une des premières de ce genre sera contenue dans Au-delà du principe de plaisir sur lequel je m’attends de votre part à une appréciation synthético-critique).»
La précautions de Freud, son souci de précision lexicale placent délibérément son travail de recherche sous le signe du "symbolique", à savoir la dimension psychique à proprement parler, comme en témoigne son invention de la Geschlechtstrieb: approximativement traduite par "pulsion de genre".
6 - La "pulsion de genre" que je préfère traduire par "pulsion d’espèce" est en tant que telle a-sexuée, c’est à dire qu’à la différence de la pulsion sexuelle, elle ne se définit pas en rapport à des objets externes et donc déjà ex-(s)istants, elle va au contraire permettre de constituer des objets dans un souci d’adéquation imaginaire au sujet en cours de construction…
Nous voilà dès lors en mesure de lever une autre erreur de traduction et de lecture: on lit un peu partout que pour Freud l’enfant est un "pervers polymorphe", mais Freud constatant que chez l’enfant la pulsion (Geschlechtstrieb) antécède les objets, cela a pour conséquence que les modalités de sa jouissance n’étant pas fixées, l’enfant est dit «polymorphiquement pervers», à savoir pas encore déterminé par des choix d’objet, ce qui le situe à l’opposé du pervers tel qu’il apparaît dans le langage courant, notamment ce qui se couvre des noms de "sadisme", "masochisme", "fétichisme", "transvestisme", etc. qui définissent une palette d’attitudes et de comportements par rapport à un objet sexuel extérieur…
7 - Pour saisir quelque chose de la genèse de la (mal nommée et mal traduite) "sexualité infantile", à laquelle il serait nécessaire de substituer "pulsions corrélatives de la sexuation chez l’enfant" pour nommer mieux les choses, encore convient-il de revenir aux premières observations freudiennes selon lesquelles c’est à partir de l’expérience de la séparation du corps maternel que l’image du corps propre peut commencer à s’élaborer chez l’enfant, notamment au travers de ce que Freud appelle les "théories sexuelles infantiles" que l’enfant élucubre en secret pour arriver à penser la séparation (Scheidung) du corps maternel, et grâce auxquelles il fait l’expérience de son corps séparé comme unité signifiante…
8 - Il est ici nécessaire d’ouvrir une parenthèse pour rappeler que si la fin d’une analyse menée jusqu’à son terme logique amène le sujet à assumer la castration symbolique — à savoir que ce n’est pas seulement la castration qui est symbolique mais bien le symbolique qui est castration, l’Autre lui-même étant castré — cela suppose qu’il aura dû dépasser, selon les mots de Freud, «le refus de la position féminine (l’action qui constitue à adopter une attitude passive) pour les deux sexes» (que Lacan traduira par: "se faire la dupe du Discours Analytique"), compte tenu qu’au départ, la mère aura été considérée comme le premier objet libidinal des enfants des deux sexes, qui auront donc — qu’ils soient fille ou garçon! — commencé par occuper une position phallique-active vis à vis de leur mère, et que cela n’avait pour autant rien avoir avec la "sexualité" dans son acception courante puisqu’il ne s’agissait pas du tout d’une quête de jouissance indépendamment de la procréation, mais simplement la continuation des effets de la pulsation propre aux contractions maternelles qui ayant expulsé l’enfant hors d’elle, l’erre du mouvement lui-même aura porté l’enfant à retourner d’où il vient… Ne pouvant "rentrer" dans la mère d’où il est sorti, son recours est de la faire littéralement entrer en lui en tétant et en avalant son lait, par une de ces inversions logiques (transposition) qui caractérise, avec le déplacement et la condensation, le mouvement propre aux rapports substitutifs du fantasme (pensées) au réel (être)…
9 - Cette séparation progressive du corps originel, du corps de la mère [« l’enfant ne connaît qu’à partir de son propre corps » (der Knabe von eigenen Körper kennt), écrit Freud dans « Les théories sexuelles infantiles»] ne saurait être opérée sans une séparation des pensées. Un autre corps implique une autre pensée… et c’est là que l’enseignement lacanien, s’inscrivant dans le strict prolongement de la découverte freudienne, en dégage les perspectives induites et inédites: si la mère en tant que corps parlant incarne le premier Autre pour l’enfant (l’Autre avec un grand A en tant que lieu des signifiants), ce qui est corroboré par l’expérience, c’est que cela se sera passé dans un moment inaugural que nous pouvons considérer comme la véritable naissance du sujet, celui où l’enfant s’aperçoit que sa mère ne connaît pas ses pensées: en effet, jusqu’à ce moment là — les mots appartenant à l’Autre! — l’enfant ne pouvait pas dissocier ses pensées de celles de l’autre, et ne pouvait pas ne pas croire que l’Autre savait ce qu’il pensait, mais l’expérience lui ayant montré qu’elle ne sait pas (ce qu’il pense), il sait désormais qu’elle n’en sait rien! Les adultes ne savent pas! Et apparemment, ils ne savent pas qu’ils ne savent pas… (l’inconscient – das Unbewußte – restant toujours corrélé à un "ne-pas-savoir" qui le précède partout comme son ombre)
10 - Cette émergence du sujet, corrélative de l’élaboration de l’image du corps, passe donc par plusieurs étapes, l’enfant aura commencé par se sentir en osmose avec des bouts du corps maternel qui lui procurent apaisement et satisfaction après qu’un certain manque se sera fait sentir, avec la désagréable sensation d’avoir subi une perte initiale qui heureusement peut se trouver compensée par l’autre maternel secourable dont les soins viennent colmater son corps vécu comme incomplet, fragmenté, troué. Ainsi la première rencontre du plaisir chez le nourrisson apparaît-elle non pas sous la forme d’une recherche active de plaisir, mais bien plutôt sous la forme de l’expérience plaisante d’une cessation du déplaisir. Raison pour laquelle Freud l’évoque en terme de satisfaction (Befriedigung), et non pas de plaisir (Lust) ni de jouissance (Genuss)…
11 - Cette expérience vécue de satisfaction (satisfaire signifie étymologiquement: faire assez, indiquant une "juste mesure") du nourrisson passe par l’action maternante d’un apaisement psychique et physique des tensions internes.
À ce stade (et bien que le corps maternel, rappelons-le, soit originellement à considérer comme le premier objet libidinal pour le nourrisson) il ne saurait être question du fantasme d’un "objet sexuel" externe qui viendrait combler les sensations de vide éprouvées de son corps, c’est l’amour de la mère, ses paroles aimantes, le fait qu’elle le nourrisse avec attention, qu’elle prodigue des soins affectueux au corps du bébé vécu comme inachevé… que se calme l’excès de tensions traversant l’enfant, ses états d’hyperexcitation faisant écho à une séparation de corps assimilable à un déchirement, le soin maternel transforme ses trous en orifices, lui ménageant ainsi la possibilité d’apprendre à distinguer progressivement extérieur et intérieur. «Je suis né troué» note Henri Michaux dans un saisissant raccourci.
12 - Pour pousser un peu plus loin la précision, remarquons que Freud évoque cette «expérience vécue de satisfaction» mettant en scène l’action spécifique maternelle comme introduisant une modification dans le monde extérieur qui consiste en l’introduction de nourriture, produisant le double apaisement, physique et psychique, action qui sera une fois de plus trahie dans la transcription: Freud écrit d’abord Nahrungseinfuhr (introduction de nourriture), qui sera curieusement "corrigé" dans les deux éditions allemandes (Anf. et NB) par Nahrungzufuhr (apport de nourriture), terme plus courant qui passe sous silence la dimension de l’intrusion (du sein ou de la tétine) susceptible de provoquer chez le nourrisson une première différenciation entre son corps propre et les fragments du corps maternel qui jusqu’alors ne pouvait avoir lieu. Cette différenciation trouve sa correspondance dans l’écart entre son état corporel et son vécu psychique que sera venu corroborer l’écart progressivement instauré entre extérieur et intérieur…
13 - C’est ainsi que commence à se mettre en place pour le nourrisson le passage de la chair (der Körper) au corps animé (der Leib) et c’est aussi ici que die Lust (le plaisir) fait son apparition en tant que terme complexe puisqu’il désigne à la fois les excitations, sources de tension et l’apaisement de ces tensions dans l’expérience de la satisfaction.
Pour Freud, en effet, le plaisir du petit enfant ne fait pas d’emblée l’objet d’une recherche orientée vers l’extérieur, il arrive toujours d’abord comme cessation des tensions ayant provoqué le déplaisir, la satisfaction se manifestant de prime abord comme abolition du déplaisir.
14 - Il n’y a donc pas a priori dans la perspective freudienne de quête active du plaisir, et c’est seulement après avoir pu établir une première différence entre les bouts du corps maternel et les fragments du corps propre qu’entre en jeu la première possibilité du plaisir (Lust) à proprement parler, avec l’apaisement des tensions dans le fait de sucer, téter ou aspirer (saugen) que l’enfant peut désormais provoquer pour lui-même par l’action de suçoter (lutschen) son pouce ou un objet extérieur.
Il sera dès lors entré de plain-pied dans ce qui a été annoncé plus haut comme pulsion de genre (der Geschlechtstrieb) qu’il est encore tout à fait fautif de traduire par "pulsion sexuée" pour la bonne raison que que le genre que signifie Geschlecht n’est rien d’autre que le genre humain, l’espèce humaine en tant qu’elle est corrélée à l’image d’un corps humain unifié (Françoise Dolto parlera d’"image inconsciente du corps"), qui antécède la division sexuelle, non-encore intervenue à ce stade des possibilités de conceptions et représentations infantiles.
15 - La Geschlechtstrieb constitue donc une découverte décisive de Freud dans la saisie de la construction de l’enfant: « Aucun auteur à ma connaissance n’a clairement reconnu la régularité d’une pulsion de genre (der Geschlechtstrieb) durant l’enfance. […] Une fois adulte, nous ne savons rien de tout cela par nous-mêmes» remarque-t-il dans ses Trois essais sur la sexualité infantile.
Or cette "pulsion de genre" freudienne reste encore à ce jour non seulement négligée dans les traductions mais encore pratiquement jamais prise en compte par la littérature psychanalytique.
Or Freud insiste pour différencier la Geschlechtstrieb et la Sexualtrieb, la "pulsion de genre" lui apparaissant à proprement parler comme anobjectale, non marquée à priori par des objets extérieurs, comme c’est le cas dans la culture grecque antique où la pulsion antécède les objets et prévaut donc sur eux, à la différence de la pensée judéo-chrétienne pour qui l’objet extérieur est valorisé aux dépens de la pulsion en la surdéterminant au point de faire oublier que la pulsion tourne toujours autour d’un trou…
16 - Ouvrons ici une autre parenthèse: pour observer, à travers une illustration empruntée à Slavoj Zizek, combien l’apparition du boomerang peut illustrer le premier moment d'émergence de la subjectivité, son "invention" marquant la division élémentaire entre désir et pulsion. Le maniement particulier du boomerang, qui consiste à savoir rattraper l'arme lorsque j'ai raté la cible, annonce le temps de la culture, le passage "impossible" d’un instinct (animal) à la pulsion (mythique).
Le simple fait de lancer le boomerang met en scène la division entre le but et la cible; le vrai but n'est plus d'atteindre la cible mais de perpétuer le mouvement circulaire répétitif qui consiste à la manquer.
Voilà comment la pulsion, qui consiste à tourner sans fin autour d’un objet — ou de sa place vide – sans jamais l'atteindre, génère par ce mouvement même une jouissance dont il devient impossible de se défaire.
Le désir vise un objet impossible à atteindre (l'objet petit a de Lacan qui "n'existe pas" dans la réalité) et ne renonce jamais à réussir - ce qui fait que le désir est tragique ; tandis que la pulsion, qui trouve sa jouissance dans l'échec même à atteindre l'objet, ne renonce jamais à échouer, ce en quoi la pulsion ouvre à la dimension comique. La vie est donc, dans sa dimension la plus fondamentale, de l'ordre d'une expérience comique.
Ce comique qui s’articule au tragique tient à la substitution de la chose par le mot, ou du "monde extérieur" par la pensée, du réel en tant qu’inaccessible à l’imaginaire qui vient sur un mode compensatoire y simuler un accès, à l’image du nourrisson qui s’imagine en train de téter un sein absent et jouit du mouvement pulsatile de ses lèvres qu’il associe à un certain type de pensées…
17 - Ces pensées qui apparaissent comme compensatoires représentent pour l’enfant les premiers moments de la formation de son psychisme, où se conçoit l’image du corps en construction, un corps ressenti comme manquant, troué, incomplet, à réparer après la séparation du corps maternel, dans une élaboration fantasmatique à partir de la façon dont ce corps aura été affecté, apaisé, érotisé par les attentions maternantes (ses substituts dans le soin).
Dans ses Trois essais sur la théorie sexuelle (1905), et Les théories sexuelles infantiles (1908), Freud met en évidence que «L’enfant ne connaît qu’à partir de son propre corps » (der Knabe von eigenen Körper kennt), soulignant ainsi que l’enfant ne cherche ni ne reconnaît aucun objet sexuel extérieur à lui. C’est là qu’il convient encore d’insister sur le fait que cette décidément mal nommée "sexualité infantile", qui pourrait être plus justement décrite par "la compensation psychique — à savoir imaginaire et destinée à rester au strict plan du fantasme — des effets réels de la sexuation" ouvre à l’enfant l’espace psychique pour des élaborations fantasmagoriques qui lui permettent de se donner une image du corps propre, antérieure à toute division sexuelle, avant l’apparition des objets…
18 - Voilà comment il convient d’entendre le "sexuel" lorsque Freud parle de l’enfant. «Le but sexuel, écrit Freud, est soumis d’abord à la domination d’une zone érogène qui sera comblée par un fragment du corps maternel», à savoir le pouvoir de colmatage et d’apaisement des sein, bouche, peau, main, etc. Les pulsions dites "sexuelles" sont partielles et se mettent en place indépendamment de tout objet sexuel externe pour permettre à l’enfant de produire les "théories sexuelles infantiles" qu’il s’invente à partir des stimulations symboliques lui permettant de compenser la séparation (die Scheidung) d’avec le corps de la mère.
Dans Les théories sexuelles infantiles, Freud avance: «Il me semble découler de nombreuses informations que les enfants refusent de croire à la théorie de la cigogne, mais après avoir été ainsi une première fois trompés et repoussés, ils en viennent à soupçonner qu’il y a quelque chose d’interdit que les “grandes personnes” gardent pour elles, et, pour cette raison, ils enveloppent de secret leurs recherches ultérieures.»
19 - Freud repère trois types de scénarios dans lesquels s’inscrivent les "théories sexuelles infantiles" élaborées par l’enfant, hors les propos lénifiants des adultes, à des fins d’élucidation du mystère d’où viennent les bébés:
-la mère dotée d’un pénis (déni de la division sexuelle)
-l’enfant comme bout du corps excrété de sa mère (représentation cloacale de la naissance)
-un coït sadique mettant en scène une tension fort-faible (le fort ex-siste, le faible n’est rien)…
20 - Ce que démontre à l’évidence la survenue précoce de ces "théories sexuelles infantiles" c’est que l’activité symbolique, le fait même de penser, de s’imaginer par devers soi, indépendamment des parents, comment viennent les enfants, est cruciale dans la construction du corps propre en tant que séparé du corps maternel, et que si ces pensées s’élaborent en secret (Geheimnis), à l’abri du regard parental tout en produisant une mise en scène intérieure, c’est que les premiers scénarios fantasmatiques apparaissent comme une défense contre le «corps étranger» (Fremdkörper) qui vient de l’extérieur, les parents, les autres et «préviennent le retour d’événements redoutés» en fantasmant un corps déjà consolidé, unifié.
Ses élaborations secrètes ne vont pas sans engendrer chez l’enfant un conflit psychique entre ce qu’il considère comme un savoir issu de son corps propre et le savoir des grandes personnes, cette tension générant un clivage (Spaltung) chez l’enfant qui navigue entre l’obligation de faire plaisir aux adultes en leur obéissant (ce qui dispense de l’effort de réflexion), et se laisser porter par ses imaginations (tout en dissimulant ses recherches).
Ainsi s’élaborent les "théories sexuelles infantiles" qui tentent de percer le mystère de la venue des bébés tout en permettant à l’enfant d’élaborer une image du corps par le fantasme, afin de prévenir et anticiper les rencontres avec d’autres corps.
21 - Ces élucubrations infantiles participent de la construction du corps propre par élaboration d’une image qui vient en compensation de la sexuation, de la coupure, de la césure d’avec le corps maternel.
Pour Freud ces "théories" comportent, selon ses propres termes, un «fragment de pure vérité». Examinons de plus près les trois scénarios:
1/ La mère dotée d’un pénis ou le fantasme qui consiste à attribuer un pénis à tous les êtres humains, y compris féminins, préserve l’enfant de la question de la différence des genres (Geschletsunterschiede) en figurant un corps plein, entier, sans trous, sans vide…
2/ La représentation cloacale de la naissance marque une continuité avec ce qui précède. En niant l’existence de la cavité vaginale, il n’y a qu’un orifice par lequel  l’enfant doit être évacué comme un excrément, une selle. Freud cite la formule latine abusivement attribuée à Saint Augustin : «Inter urinas et faeces nascimur» (nous naissons entre l’urine et les fèces). Cette représentation élude la différence entre le corps maternel et celui de l’enfant en modulant la séparation par l’idée que l’enfant serait un bout détaché du corps de la mère excrété. Que l’enfant se considère comme un fragment du corps de sa mère indique que la séparation entre sa pensée et celle de sa mère n’a pas encore eu lieu. L’unité corporelle mise en scène dans la première "théorie sexuelle infantile" s’est déplacée au niveau psychique: il n’y pas de séparation des psychés, l’enfant en est au stade d’un appareil psychique pour deux corps…
3/ La troisième "théorie" poursuit la logique compensatoire des deux premières, en préservant l’idée du "un", de la place unique. Cette conception plus tardive est étiquetée de "sadique", le coït est perçu comme une violence dont l’enfant trouve témoignage par les cris et gémissements qu’il aura cru entendre, les traces suspectes sur la couche des parents… Cette représentation met en scène ce qui semble une opposition ou le faible-passif disparaît sous la domination du corps fort-actif. La poursuite de l’idée d’unité du corps propre se soutient du déni de la différence sexuelle car il n’est question ici que d’affirmer une position identitaire répondant de la pulsion identitaire (Geschleschtstrieb) mise à jour par Freud et traduite par pulsion de genre, qui ne saurait être confondue avec la pulsion sexuelle puisqu’elle antécède, et de fait dénie la différence des sexes. Cette pulsion qui permet à l’homme-en-devenir – au sens générique du terme – de s’imaginer un corps à partir d’une image.
(à suivre…)
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claudehenrion · 7 months
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Rappel pas inutile : une petite histoire de... nous !
Pour bien comprendre le sens traumatisant que pourrait annoncer un risque d'effondrement plus ou moins prochain du ''système AMOC'' –dont nous parlions hier (c'est lui qui règle les courants de l'Atlantique –et surtout le Gulf Stram, en ce qui nous concerne), une petite histoire des évolutions de l'humanité sur son ''biotope'', la Terre, ne semble pas inutile, ne serait-ce que pour comprendre pourquoi les bobards du Giec et de Greta Thunberg réunis -avec Macron comme ''cornac''!-- ne sont pas ''la Vérité'', mais une théorie parmi tant d'autres... et, de loin, pas la plus vraisemblable.
Tout a commencé il y a entre 3,3 et 2,8 millions d'années, avec Homo qui fut réputé ''habilis''. On trouve des Homo ergaster (Homo erectus africains) vieux de 1.8 million d’années, mais les datations les plus récentes situent Homo sapiens, notre ancêtre direct, il y a quelque 300 000 ans...  Apparu en Afrique en l'état actuel de nos connaissances, cet Homo sapiens va ensuite ''coloniser'' le monde… du Proche-Orient à l'Asie (il y a 100 000 ans), et de Europe (40 000 ans) à l'Australie (15000 ans ''à peine''). Cet Homo-là va ''supplanter'' les autres espèces du genre (dont nos malheureux cousins néandertaliens, si proches de nous, mais qui vont disparaître pour des raisons encore très discutées... dont la plus vraisemblable est celle du ''premier génocide'' de l'Histoire (par les Sapiens) –qui s'est transmis, dans la mémoire biblique, sous la forme du meurtre horrible (et traumatisant) d'Abel par Caïn, un frère supprimant l'autre...
L'espèce humaine proprement dite, ''Anthropos'', est née... le jour où l'un de ses membres est arrivé à exprimer du chagrin de manière évidente, en perdant une ''femelle'', un enfant ou un compagnon de chasse, et a procédé au premier enterrement connu, quittant ainsi le stade ''hominien'' pour être, à partir de cet instant, un homme au plein sens du terme, grâce à cette première manifestation indiscutable d'une capacité de se penser comme un ''moi'' identifiable dans un monde inexpliqué, et d'une croyance en un ''au-delà''. On le désignera par ''Adam'' pour ne pas l'oublier, car il y a bien un ''avant'' cet instant précis... et il y aura un ''après''. Mais ensuite, l'évolution sera quasi nulle, millénaire après millénaire, avec, comme seuls facteurs évolutifs, des transhumances en fonction de combats entre tribus, de glaciations ou de sécheresses (dont les variations, parfois énormes, n'avaient déjà rien à voir avec le ''CO²''!).
Au cours des 5 derniers millénaires (inutile de préciser : ''environ'', pour tout cet édito !), une véritable révolution, dite ''néolithique'' a vu se ''n-tupler'' le nombre des humains, grâce à l'agriculture et à l'élevage. Le développement des populations a trouvé alors une nouvelle ''vitesse'' (en réalité très lente !), et à l'époque dite ''de la naissance du Christ'' –notre ''année zéro''--, il n'y avait sur terre que dans les 250 millions d'humains, ce que nous avons beaucoup de mal à réaliser : combien de nos intellectuels font de ce temps-là une lecture anachronique, très fausse, ''avec des regards d'aujourd'hui'' ? Mais ce que nous appelons improprement ''le progrès'' va s'accélérer –sans doute parce que nous avons l'impression d'en savoir plus, sur cette phase 3 et, plus encore, sur la phase suivante...
Vers l'an 1500 de notre calendrier, la Renaissance a étalé ses richesses et ses beautés dans un monde peuplé d'à peine 500 millions d'humains, encore très largement soumis aux famines et aux grandes épidémies qui avaient ravagé le Moyen-Age : on oublie trop souvent que la population européenne aux alentours de l'an de vraie disgrâce 1350, a été divisée par deux par la Grande Peste –dite Noire-- et que nos ancêtres erraient sans toit, sans rien à manger et pratiquement nus (Jean Fourastier). La Renaissance, d'abord économique puis artistique et enfin sociale, amorça un virage radical des données démographiques, qui a été confirmé et amplifié par la première puis la seconde des ''révolutions industrielles'' et par un climat très doux. Cette ''transition démographique'' (rendue possible grâce à des progrès en tous genres –techniques, médicaux, sociaux...) est née en Europe mais s'est répandue, sous des formes et par des canaux divers, dans la presque totalité du ''monde connu'' d'alors, faisant comme ''exploser'' le nombre de ''terriens'').
Le nombre des vivants créait sa propre augmentation des naissances, la médecine allongeait la vie dans des proportions jamais vues –ni même imaginées (Petit rappel : Au milieu du XVIIIe siècle, la moitié des enfants mouraient avant l'âge de 10 ans et l'espérance théorique de vie ne dépassait pas 25 ans. : ce fut ''la petite ère glaciaire'' qui a permis aux peintres flamands de nous ''inonder'' de leurs chefs d'oeuvre. Le temps se radoucissant enfin, l'espérance de vie a atteint 30 ans à la fin du XVIII è siècle, puis fait un bond à 37 ans en 1810 en partie grâce à la vaccination contre la variole (> 1799). Avec un effet iso-exponentiel, les humains sont passés de 1,6 milliards en 1900 à 2,5 milliards en 1945 malgré la terrible guerre de 39/45, à 5 milliards en 1987, 8 milliards en 2022... et à 9,7 milliards en 2050 (chiffre de l'ONU, pour un ''scenario médian'')... .
A titre personnel, je dois dire que, même en étant conscient de ces chiffres et depuis longtemps, j'ai du mal à réaliser que j'aurai vu, de mon vivant, l'humanité passer de à peine plus de 2 milliards en 1934 à... pas loin de 9 milliards, bientôt, et j'aurai vu le monde et la nature se contorsionner pour laisser de la place à cette marée...  C'est un tsunami qui commence à peine, mais que nos hommes politiques refusent de voir, pour ne pas toucher du doigt la fausseté de leurs systèmes de référence totalement obsolètes : ils préfèrent les ignorer pour ne pas avoir à reconnaître qu'ils sont, volontairement, passés à côté de tous les vrais problèmes, pourtant visibles et annoncés !
Et au lieu de se préparer à cette ''invasion planétaire de l'homme par l'homme'' avec toutes les horreurs que cela va inévitablement entraîner, et de tenter de se mobiliser pour influer sur les évolutions de ces courbes terrifiantes, nos pantins ont préféré inventer une ridicule ''transition climatique'' sur laquelle ils ont un pouvoir d'action asymptote à zéro (en soi... et surtout parce que... là n'est pas le problème majeur !), au lieu de tout faire pour inventer de vraies solutions à une ''transition démographique'' dont la survenue est incontournable, la démographie étant une science exacte dans ''les limites de l'espace-temps d'une génération'', soit à peu près 30 ans...
Et... fous parmi les fous, ''les transhumanistes'' nous promettent des ''hommes augmentés qui pourraient vivre 1000 ans'' (sic ! Mon Dieu, qu'ils sont cons ! Vous imaginez les ponctions fiscales –de l'ordre de 200, 300, ou 500 % des revenus-- obligatoires pour faire face au ''trou de la Sécu version 3-0'' ! Heureusement que cela n'arrivera pas. Mais déjà là, tel que c'est parti, tout cela a peu de chances de se terminer dans l'euphorie ! En attendant, tout notre argent continue à être versé sans limites dans le gouffre sans fond d'une augmentation des températures qui n'aura sans doute pas lieu –et qui, même si elle arrive, ne sera en rien influencée par les mesures absurdes, inutiles et contre-productives sur lesquelles la France –avec quelques autres-- s'auto-mutile dans les grandes largeurs... Nous aurons l'occasion d'en reparler bientôt.
H-Cl.
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perduedansmatete · 8 months
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résumé de cette semaine lundi j’ai fait la morte pour cause d’urticaire, mardi je suis allée au restaurant avec mes meilleures amies pour avouer à l'une d'entre elles qu'on avait appris que son gars était le genre de facho qui avait voté zemmour aux présidentielles, on pensait que ça allait mettre fin à leur relation sachant qu'elle baigne dans le communisme depuis sa plus tendre enfance, qu'elle bosse dans un des seuls journaux qu'on peut encore qualifier de gauche et qu'elle avait dit que c'était un motif de rupture pour elle mais finalement non elle a estimé que c'était pas si grave qu'il lui ait caché ce gros détail pendant plus d'un an et demi et que pire que ça, apparemment il avait changé grâce à elle (il serait donc je cite « juste de droite avec quelques avis de gauche ») ce qui a l'air de beaucoup flatter son égo et c'est là que je me dis que la barre est vraiment très basse, le point positif de cette soirée étant qu'on s'est régalé et qu'on a rien payé car il y avait des problèmes de courant dans le restaurant, sinon je suis très peu allée en cours et j'ai beaucoup bu alors que j'aurais du être à la fac mais à partir de demain ça change (c'est faux les bières du lundi midi sont devenues une institution très rapidement) jeudi grève oblige 21 profs sur 27 absents dans mon collège alors qu'on est toujours en sous-effectif ce jour là et que cette fois-ci on était que deux surveillants, autant dire que c'était sportif mais la direction a quand même eu le temps de m'inviter à un « goûter » sur les coups de dix heures, ce qui m'a fait très peur car j'ai cru que c'était un piège et que j'avais fait une connerie mais non ils voulaient juste profiter d'un moment de calme pour manger de la brioche tous ensemble c'était vraiment très étrange j'espère ne plus jamais revivre ça puis vendredi je suis allée voir mon meilleur ami sur grand écran dans un petit cinéma car un de ses potes a monté un genre de documentaire sur l'amour et sur les nouvelles formes de relations blablabla c'était très marrant en vérité et je pensais rentrer directement après mais j'ai retrouvé des gens du passé et j'ai fini paumée au fin fond de ma banlieue dans le même genre de soirée que celles où j'allais à dix-sept ans c'était fatiguant, étonnant et plein de drogues auxquelles je n'ai pas du tout touché (trop forte) mais très bien en même temps même si j'ai appris qu'un ami de cette époque était un énorme violeur, c'est le point négatif mais à chaque fois qu'on m'apprend ce genre de nouvelle je suis jamais étonnée, sur une note plus positive hier j'ai enfin découvert l'appart d'une de mes meilleures amies après des mois à ne pas réussir à se voir autrement qu'au thé dansant d'anniversaire de ses parents... (la vie d'adulte apparemment) et je remercie infiniment son entorse car c'est son immobilisation qui nous a permis de passer enfin un moment ensemble à se raconter nos vies et à pas mal rire aussi, c'était super sympa et la suite l'était tout autant puisque j'ai rejoins tia avec mes meilleures amies pour leur faire découvrir notre bar préféré puis dimanche on a commencé notre exposé pour un cours trop chiant mais on a préféré discuter du fait que les sociologues étaient quand même d'énormes prouveurs à écrire des textes insupportables et illisibles simplement parce qu'ils sont tous moches (c'est notre théorie, vive la sociologie)
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