#terre celte
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Scotland my love
#scotland#landscape#travel#trip#hiking#ecosse#voyage#randonnee#paysage#celtic land#serenity#beauty#terre celte#serenite
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Mai Atelier & Festival MĂšre Nature
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#botanique#camping isis#cĂ©vennes#Cycle des 8 initiations#ethnobotanique#festivalmĂšrenature#forĂȘt#FumĂ©e#herboristerie initiatique#MĂšre nature#nature#Plantes des celtes#rituel#Terre mĂšre#tisanes
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Les Celtes croyaient que les abeilles Ă©taient des intermĂ©diaires entre ce monde et l'autre. Ils pensaient que les abeilles pouvaient aider Ă transmettre des messages de ce monde au monde des morts, les aidant ainsi Ă communiquer avec leurs proches. Les abeilles sont tellement respectĂ©es pour leurs capacitĂ©s qu'il existe mĂȘme des documents juridiques crĂ©Ă©s dans le but de protĂ©ger toutes les pratiques liĂ©es aux abeilles. Le miel contient des enzymes vivantes.
đ Au contact d'une cuillĂšre en mĂ©tal, ces enzymes meurent.
đ La meilleure façon de manger du miel est d'utiliser une cuillĂšre en bois ou en plastique.
đ Le miel contient une substance qui aide le cerveau Ă mieux fonctionner.
đ Le miel est l'un des rares aliments sur terre qui ne peut soutenir que la vie humaine.
đ Une cuillĂšre Ă cafĂ© de miel suffit Ă maintenir la vie humaine pendant 24 heures.
đ La propolis, produite par les abeilles, est l'un des antibiotiques naturels les plus puissants.
đ Le miel n'a pas de date de pĂ©remption.
đ Les corps des grands empereurs Ă©taient enterrĂ©s dans des cercueils en or recouverts de miel pour Ă©viter qu'ils ne pourrissent.
đ Le terme « lune de miel » vient de la tradition qui veut que les jeunes mariĂ©s consomment du miel pour assurer leur fĂ©conditĂ© aprĂšs le mariage.
đ Une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1 000 fleurs et produit moins d'une cuillĂšre Ă cafĂ© de miel au cours de sa vie.
đ L'une des premiĂšres piĂšces de monnaie portait un symbole d'abeille.
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Celtes, Germains, HellĂšnes, Slaves, Scandinaves, Latins, IbĂšres ou plutĂŽt nous, leurs descendants, nous devons nous penser comme un mĂȘme peuple, hĂ©ritiers d'une mĂȘme terre, une immense patrie âŠ
Guillaume Faye - L'Archéofuturisme.
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Un Président ? Mais pourquoi faire ?
Je ne vais pas, comme beaucoup de nos compatriotes, affirmer que notre PrĂ©sident n'aime pas la France. Outre que c'est une affirmation bien trop forte pour ĂȘtre portĂ©e sans prĂ©cautions, je trouve que c'est vraiment trop paradoxal pour ĂȘtre ''envisageable'' : un homme dont toute la courte vie Ă tendu vers le but suprĂȘme du pouvoir Ă©ponyme doit ĂȘtre fou, s'il n'aime pas âen plus-- l'objet unique de sa quĂȘte existentielle ! Et pourtant...
Et pourtant, rien ou Ă peu prĂšs dans son comportement pendant son quinquennat et demi ne permet de trouver la moindre preuve d'un amour sincĂšre pour ce nom qui recouvre tant de choses pour tant de monde... Quant aux français âqui furent longtemps les habitants de cette terre, parfois dite celte ou gauloise (ce qui revient au mĂȘme), avant d'ĂȘtre peu Ă peu remplacĂ©s dans le rĂŽle ''d'occupant rĂ©fĂ©rent'' par des masses innombrables venues d'ailleurs sous le prĂ©texte de fuir des conditions de vie plus hostiles et moins amicales... mais n'ayant apparemment comme seul objectif que de recrĂ©er ici les horreurs qu'ils ont fui, lĂ -bas-- c'est peu dire que de constater qu'il a du mal Ă les supporter. En ce qui les concerne, la tentation de voir en lui une hostilitĂ© dĂ©clarĂ©e est peu sujette Ă caution.
Il faut reconnaĂźtre Ă son avantage qu'il a toujours Ă©tĂ© clair dans ses objectifs et net dans ses intentions : sa patrie Ă lui (autant dire que le mot lui est Ă©tranger !), c'est un concept indĂ©fini qu'il appelle ''Europe'' âmot-valise qui dĂ©signe autant de choses diffĂ©rentes et opposĂ©es que le nombre de locuteurs qui l'utilisent. La seule chose que leur soi-disant ''Europe'' n'est pas, c'est le beau concept dont ont rĂȘvĂ© ses PĂšres fondateurs, systĂšme d'idĂ©es auquel se raccrochent encore les gens de ma gĂ©nĂ©ration qui ont, comme moi, cru Ă un avenir plus beau, construit autour du joli mot ''Plus jamais ça''. HĂ©las, comme la presque totalitĂ© des mots de la langue française, ceux-lĂ ont Ă©tĂ© malmenĂ©s, dĂ©voyĂ©s, dĂ©formĂ©s et ne veulent, au mieux, plus rien dire (et au pire, c'est pire... si j'ose : ils signifient le contraire de ce qu'ils sont sensĂ©s signifier !).
Certains, depuis quelques mois, tirent de notre ou de leur expĂ©rience quotidienne une leçon pour le moins Ă©trange et difficile Ă admettre âsauf si on s'y penche avec sĂ©rieux et avec le courage de ne plus suivre aveuglĂ©ment tout ce qui vient de l'ElysĂ©e, de Matignon, du haut personnel politique et d'une Ă©crasante majoritĂ© des prĂ©tendus ''journalistes'' (qui ne sont que des chambres d'enregistrement et d'amplification de la ''doxa'' la plus dĂ©cervelante et -donc- la plus mortifĂšre) : l'attachement puĂ©ril de notre prĂ©sident pour sa soi-disant Europe le conduirait, depuis sa premiĂšre Ă©lection Ă la fonction suprĂȘme de l'Etat, Ă ce que toutes ses actions soient dans le seul but et avec la seule idĂ©e de dĂ©membrer la France en la rendant inexistante et ingouvernable, pour Ă©tendre la main-mise des europĂ©Ăątres sur cette partie, au moins, des terres qu'ils entendent soumettre Ă leur volontĂ© perverse, normative, et assassine.
Dans ma fonction de ''blogueur'' (= ''citoyen qui Ă©crit parce que les gens qui le lisent ont confiance en sa bonne foi''), je ne saurais cautionner cette lecture de notre histoire rĂ©cente âce que font, pourtant, beaucoup des gens que je frĂ©quente. En revanche, je dois reconnaĂźtre que le contemporain et concitoyen que je suis --voyez avec quel soin j'Ă©cris ces deux mots sans la cĂ©sure que je fais si souvent, lorsque je parle d'opposants Ă toute pensĂ©e ''ortho ou catho'' (en grec, áœÏΞÏÏ / orthĂłs, signifie droit, conforme, et ÎșÎ±ÎžÎżÏ / kathos, gĂ©nĂ©ral, universel)-- se pose de plus en plus souvent la question ''Et si c'Ă©tait eux qui avaient raison ?''... et est de plus en plus souvent gĂȘnĂ© par la rĂ©ponse qu'il est bien obligĂ© de se faire, devant les piĂštres performances Ă rĂ©pĂ©tition de nos guides âqui ne sont que des ''Attila'' ou des ''Gengis Khan'' pour notre pauvre pays qu'ils laisseront ravagĂ© et impossible Ă redresser...
La CinquiĂšme RĂ©publique souffre de la forte personnalitĂ© de son fondateur, mais ''n'est pas De Gaulle qui veut''. Et, pire encore, ''qui ne le veut surtout pas'' ! Nos institutions ont Ă©tĂ© faites par (donc, sans doute, ''pour'') un homme de grande dimension et de grande expĂ©rience, adorant la France au point de lui sacrifier (en 1940) son propre futur dont il se fichait pas mal, qui avait un rĂȘve pour notre destin commun, une culture Ă toute Ă©preuve et une comprĂ©hension de l'Histoire, grande et petite, qui Ă©tait une vision du maintien de la grandeur de notre gloire passĂ©e... Elles Ă©taient Ă©videmment infiniment trop grandes pour tous ses successeurs qui se sont contentĂ©s de cocher, vite fait, une petite case ici oĂč lĂ , et ont passĂ© leur temps Ă faire des concessions injustifiables et indĂ©sirĂ©es Ă la mode, au temps qui passe, Ă l'actualitĂ© et aux idĂ©es perverses venues d'une gauche qui n'a jamais rien compris aux vrais problĂšmes posĂ©s... N'importe quoi, Ă condition que ce soit Ă©phĂ©mĂšre âet, de prĂ©fĂ©rence, faux, con, et mauvais pour tout le monde (donc ''de Gauche''?).
Doutez-vous ? Alors passons rapidement en revue la derniĂšre sĂ©quence, celle qui nous prĂ©cipite dans le nĂ©ant Ă une vitesse uniformĂ©ment accĂ©lĂ©rĂ©e. En vue des Ă©lections europĂ©ennes (date connue et im-bougeable), il fallait taper dans la caisse pour en vider un Ă un tous les tiroirs, Ă mauvais escient. On creuse ainsi la dette tout en multipliant les dĂ©ficits : l'argent est jetĂ© par les fenĂȘtres, les dons non provisionnĂ©s, les cadeaux non-solvables (et inutiles, tous) Ă l'Ukraine, les menaces infantiles et irresponsables Ă Poutine, le jeu malsain entre l'AlgĂ©rie et le Maroc (pour notre ennemi dĂ©clarĂ©, contre notre meilleur alliĂ©), et en recrutant 2 fois plus de ''ponctionnaires'' qu'il ne s'Ă©tait engagĂ© Ă en supprimer, le prĂ©sident-enfant finit la sĂ©quence actuelle en tergiversant, devant un pays exsangue, en convoquant Bayrou, Cazeneuve, Bertrand, Beaudey et âderniĂšre trouvaille-- Barnier âcelui dont la seule chose qu'on avait Ă en dire Ă©tait ''il est aussi con qu'il est beau, et il est vraiment trĂšs beau'' âce dernier critĂšre le diffĂ©renciant Ă©videmment de tous les autres. Le soi-disant ''maĂźtre des horloges'' n'est plus maĂźtre de rien du tout, et cette fin de sĂ©quence ressemble Ă s'y mĂ©prendre Ă une fin... pour le plaisir d'en finir.
Pour boucler la boucle avec le premier paragraphe de cet ''édito'', je vais dire que, à ce soir, si je n'ose pas (encore) écrire, en tant qu'éditorialiste, que notre président n'aime pas la France, je suis obligé de reconnaßtre, en tant que citoyen, que s'il l'aime, ce serait d'une maniÚre qui ne lui laisse aucune chance de survie. C'est quand, la prochaine ''présidentielle'' imprévue ?
H-Cl.
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Here we go again...Â
Ăa faisait loooooongtemps l'Ă©quipe ! Me revoilĂ aprĂšs avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulĂ© "FICS" et boum je tombe sur cette pĂ©pite hehehe! On est toujours sur cet âšAU multilanguage kt âšj'espĂšre que ça va vous plaire, n'hĂ©sitez pas Ă partager vos idĂ©es et vos critiques ! đ€ VoilĂ , kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cĆur battait Ă la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait sâavancer vers lâautel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les reprĂ©sentants des terres celtes Ă©taient venus en CarmĂ©lide pour son mariageâ; elle Ă©tait Ă©piĂ©e, chaque geste, chaque pas Ă©taient mĂ©ticuleusement observĂ©s, dĂ©tailler. Elle nâĂ©tait pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fiĂšre. FiĂšre d'ĂȘtre la digne fille de sa mĂšre et de son pĂšre ; celle qu'on avait choisi pour l'Ălu des Dieux. En silence elle leur adressa une priĂšre ancienne, espĂ©rant ĂȘtre Ă la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancĂ© Ă©tait lĂ , habillĂ© dâune tunique bleu ciel, la couronne de fleur posĂ©e sur sa tĂȘte, son air bougon, agacĂ©, ses cheveux noirs, coupĂ© court, tellement diffĂ©rent des hommes dâici.Â
Elle arriva Ă sa hauteur, mais nâosa pas rencontrer son regard. C'Ă©tait encore un geste trop dĂ©mesurĂ© pour elle. Devant eux, le prĂȘtre sâavança, vĂȘtu dâune longue robe sombre, et dâune lourde croix pendant Ă son cou. Il avait un calice dorĂ© entre ses mains.Â
«âAu commencement, le Seigneur Dieu dit : il nâest pas bon que lâhomme soit seul.â» Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots.Â
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrĂ©tiens. Sa mĂšre crachait sur leur pratiques barbare et austĂšre. Son pĂšre nâen pensait pas mieux. Son enfance avait Ă©tĂ© bercĂ©e de contes et de lĂ©gendesâ; des Dieux puissants qui se transformaient en riviĂšres ou en forĂȘt, des gĂ©ants qui siĂ©geaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sĂ©vĂ©ritĂ©. CrĂ©atures omniprĂ©sentes, toujours parmi eux, tĂ©moins silencieux. Ils Ă©taient impĂ©tueux et sa famille lui avait appris Ă craindre la foudre, Ă lire les signes des sĂ©cheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui prĂ©sagent la guerre. Elle obĂ©issait aux croyances de sa mĂšre et de son peuple.Â
Le prĂȘtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonoritĂ©s Ă©corchĂ©es, aigĂŒesâ; la dĂ©votion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant.Â
Ghenifar sâagita, inconfortableâ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiĂšte de ce que les Dieux pensĂšrent dâelle. Ils la foudroieraient sur place si elle prĂȘtait un serment Ă une icĂŽne factice. Elle essaya discrĂštement de faire signe Ă sa mĂšre qui se tenait Ă sa gauche. Cette derniĂšre hocha la tĂȘte, grande Reine-GuerriĂšre, elle ne flĂ©chira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourdâhui, les Ăternels feront exception pour le bien du peuple celte.Â
Ghenifar retourna son attention sur la cĂ©rĂ©monie. Lâhomme, qui se fait appeler «âPĂšreâ» par les invitĂ©s, approcha le verre des lĂšvres de son Ă©poux. Il prit une gorgĂ©e, avant un soupir.Â
«âLe sang du Christ.â» Confia le prĂȘtre devant elle, lui tendant la coupe oĂč reposait un breuvage odorant et ocre Ă lâintĂ©rieur.Â
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obĂ©it. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang dâun animal sacrifiĂ© et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophĂ©tie envoyĂ©e. Dans ces croyances, ce n'Ă©tait pas anodin, le sacrifice d'un ĂȘtre vivant Ă©tait nĂ©cessaire seulement pour mes fĂȘtes importantes ou avant les batailles dĂ©cisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "PĂšre" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulĂ© d'angoisse logĂ©e au dessus de sa poitrine, le prĂȘtre Ă©tait peut-ĂȘtre un mauvais prĂ©sage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampĂ©e du liquide Ăąpre qui puait le vinaigre. CâĂ©tait du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goĂ»t infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'Ă©tait pas du sang. Son futur Ă©poux lâobserva, Ă©tonnĂ© de sa rĂ©action, mais il eut un demi-sourire amusĂ©.Â
Ghenifar ne put sâempĂȘcher de rougir.Â
Le prĂȘtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. «âVous avez Ă©coutĂ© La parole de Dieu qui a rĂ©vĂ©lĂ© aux Hommes le sens de lâamour et du mariage. Vous allez vous engager lâun envers lâautre.â»Â
Son Ă©poux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. «âOui, bon, allez, grouillez-vous, on nâa pas toute la journĂ©eâŠâ»Â
«âJe peux pas aller plus vite câest les codesâ!â»Â
«âVous savez oĂč je les mets vos codes Ă la conâ?â» Il menaça, la mĂąchoire crispĂ©e par sa colĂšre contenue. Â
Des murmures se propagĂšrent dans lâassemblĂ©e. OutrĂ©, le prĂȘtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crĂąne. Il souffla un «âEnfin Sireâ!â» en faisant un signe de croix sur son cĆur.Â
Ghenifar restait muette, elle observait la scĂšne sans en saisir le sens. Les coutumes chrĂ©tiennes Ă©taient particuliĂšres. Dans sa famille, la foi Ă©tait pratiquĂ©e par des chants et des danses. On appelait les Dieux Ă rejoindre les festivitĂ©s, les gens voulaient les honorĂ©s par des jeux et dâimmense banquet.Â
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrĂšrent. Ghenifar resta suspendue Ă ses lĂšvres, observant mĂ©ticuleusement son futur Ă©poux prononcĂ© des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient ĂȘtre tĂ©moins du dĂ©but de la plus belle histoire dâamour jamais Ă©crite. Elle Ă©tait si heureuse dâentendre ses vĆux, et son cĆur sâenvolait comme un oiseau libre et fou.Â
«âAujourdâhui, Naofa GwenhwĂżfarâŠâ» Il nâarriva pas Ă terminer sa phraseâ; les mots avaient pourri sur sa langue et lâodeur amĂšre de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle Ă©tait dâune beautĂ© attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pĂ©tales sâĂ©taient perdues dans ses boucles, son visage rond Ă peine sorti de lâadolescence, ses grands yeux noisette, pĂ©tillant dâune joie immense. Elle Ă©tait trop jeune pour ĂȘtre une Ă©pouse, pour ĂȘtre Reine. En dĂ©clarant ses vĆux dâun mariage Ă©ternel et heureux, Arthrhy la condamnait Ă une vie bien malheureuse. Il avait honte. «âJe vous prends pour ĂȘtre ma femme.â» Il eut le temps dâune inspiration, les mensonges collaient Ă sa langue et son palais, il avait lâimpression de sâĂ©touffer. La derniĂšre fois quâil avait prononcĂ© ses mots, câĂ©tait par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent Ă lâinstant pour son impunitĂ©. «âJe promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santĂ©, jusquâĂ ce que la mort nous sĂ©pare.â» Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cĆur serrĂ© dans sa poitrine.
Lui qui avait cru ĂȘtre un homme intĂšgre, loyal et juste⊠Il Ă©tait comme tous les autresâ; avide de pouvoir, ce mariage nâĂ©tait quâune passerelle pour affermir son privilĂšge sur le trĂŽne de Bretagne. Il nâĂ©tait quâun menteur, un lĂąche. Il nâavait rien de lâĂ©toffe des hĂ©ros et des rois de lĂ©gende. Ses poings se serrĂšrent, et sa mĂąchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de lâimage que le peuple avait dâun souverain. Son rĂšgne commençait et le poids sur ses Ă©paules Ă©tait dĂ©jĂ incommensurable.Â
Le roi LĂ©odagan se racla la gorge, il Ă©tait lĂ©gĂšrement embarrassĂ©.Â
«âMa fille ne parle pas brittonique, sire.â»Â
«âElle peut le dire en sa langue natale, ce nâest pas important.â» RĂ©pondit le Roi, indiffĂ©rent.Â
Les mots rassurants, mais autoritaires de son pĂšre lui parvinrentâ; un ordre força le serment hors de sa bouche. CâĂ©tait Ă son tour de prononcer les vĆux qui lâuniraient Ă jamais Ă cet homme.Â
Ghenifar Ă©tait terrorisĂ©e, ses lĂšvres tremblĂšrent, le sang pulsait dans ses veines Ă une cadence vertigineuse. Elle nâavait pas la force dâĂ©lever les yeux, elle fixa le mĂ©daillon de son Ă©poux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mĂȘmes vacillaient. Ce n'Ă©tait que des mots, elle les avait apprit par cĆur dĂšs son enfance, sa mĂšre lui rĂ©citait en coiffant ses cheveux indociles, elle rĂ©pĂ©tait "un jour, ma fille, tu Ă©pousera un homme, et tu nous rendra fiĂšre." Elle avait vĂ©cu avec cette Ă©pĂ©e au bord de la gorge. Elle Ă©tait une fille, elle devinerait femme et mĂšre, c'Ă©tait son devoir. Maintenant, elle devait prouver son hĂ©ritage de femme. Rendre ses parents fiers, ĂȘtre digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
«âTha mi⊠Tha miâŠâ» Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. «âTha mi a' mionnachadhâŠâ» Ghenifar balbutia, effrayĂ©e du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cĂ©rĂ©monie. Toutes ces hommes et ces femmes qui Ă©coutaient son Ă©locution bancale, incertaine, profĂ©rer des paroles sacrĂ©es, elle Ă©tait indigne de ce quâon lui donnait. Elle devina son visage Ă©carlate, ses joues en feu. Ses yeux se levĂšrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son Ă©poux, sincĂšre et patient. Quelque chose se dĂ©noua dans ses entrailles, libĂ©ra sa gorge, et elle sentit les mots coulĂ©s hors de ses lĂšvres avec sĂ©rĂ©nitĂ© et douceur.Â
«ââS mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's lĂ mh an lĂ imh. Gus an diugh, gu mâ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa.â» Elle lui jura un dĂ©vouement Ă©ternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cĆur.Â
LâĂ©pouse quâon lui avait promise Ă©tait une Ăąme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir lâaimer ni de lui offrir ce quâelle dĂ©sirait.Â
Le prĂȘtre posa sa paume Ă plat sur sa croix, sans dissimuler son Ă©motion. CâĂ©tait un mariage rĂ©ussi, contrairement au prĂ©cĂ©dent quâil avait eu le malheur d'officierâŠÂ
«Le CrĂ©ateur dit : VoilĂ pourquoi lâhomme quittera son pĂšre et sa mĂšre, il sâattachera Ă sa femme, et tous deux ne feront plus quâun.â» Il dĂ©clama Ă lâassemblĂ©e, captive par les Saintes Ăcritures. « Ce que Dieu a uni, que lâhomme ne le sĂ©pare pasâ!â»
Des invitĂ©s applaudirent, des convertis chrĂ©tiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariĂ©e ne semblait pas autant ravie par ces dĂ©clarations. Le Roi de CarmĂ©lide maugrĂ©ait dans sa barbe et tapait du pied. Un paĂŻen reste un paĂŻen. Les paroles des chrĂ©tiens ne valaient rien, et le Roi de CarmĂ©lide ne se laisserai pas duper. Il cracha derriĂšre son Ă©paule, ces Dieux Ă lui maudissaient dĂ©jĂ cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, mĂȘme si c'Ă©tait sa fille qu'il dĂ©posait devant l'autel du jugement. C'Ă©tait elle qui subirait les consĂ©quences de l'avarice de ses parents...
«âVous pouvez embrasser la mariĂ©e.â» Le prĂȘtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement.Â
«âHeinâ? Quoiâ?â» DemandĂšrent Ă lâunisson Arthrhy ainsi que le pĂšre de lâĂ©pousĂ©e.Â
«âBah, câest dans le livre, il faut queâŠâ»
«âDevant tout le mondeâ?â» Le Roi sâexclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de LĂ©odagan.
«âBah Sire⊠Câest pour prouver que votre amour est ââ»
«âAh non, ne commencez pasâ! Bon bahâŠâ»
Arthrhy ne savait plus oĂč poser son regard, dĂ©concertĂ©, il marmonna une insulte envers le prĂȘtre, ou Dieu, ou peut-ĂȘtre lui-mĂȘme.Â
Ghenifar tourna la tĂȘte vers ses parents, cherchant une rĂ©ponse auprĂšs dâeux, mais son pĂšre se tenait les cĂŽtes pour ne pas rire, sa figure transformĂ©e par une grimace. Sa mĂšre, avec une discrĂ©tion immense, murmura de sorte que tous les invitĂ©s pouvaient lâentendre «âFeumaidh tu pĂČg ris â!â» Ghenifar Ă©tait rouge jusquâĂ la racine de ses cheveux.Â
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce nâĂ©tait quâun baiser, rien de bien compliquĂ©. Il avança lĂ©gĂšrement son visage vers elle, et il avait lâimpression que son cĆur tremblait. CâĂ©tait elle qui franchit la derniĂšre limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrĂšrent, comme un choc. Le monde se mit Ă gronder des hurrahs et autres acclamations des invitĂ©s. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et lâirradier de lumiĂšre et de bonheur.Â
Arthrhy sâĂ©loigna rapidement sans considĂ©rer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermĂ© dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obĂ©issant et soumis Ă son pouvoir indiscutable. Son destin Ă©tait lancĂ©, et pourtant il Ă©tait vaincu. Il avait perdu.Â
Elle le suivit du regard, interdite devant lâautel, son bouquet Ă la main, ses rĂȘves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premiĂšres loges du dĂ©but dâune tragĂ©die.Â
Les paroles du prĂȘtre rĂ©sonnaient dans sa tĂȘte comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dĂ©s Ă©taient jetĂ©sâ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-mĂȘme, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naĂŻve, pour devenir Autre. Elle sâĂ©tait liĂ©e Ă un homme, le peuple voulait dâelle la bĂ©nĂ©diction de porter ses hĂ©ritiers, cette figure fidĂšle et inĂ©branlable aux cĂŽtĂ©s dâun roi tout puissant. VoilĂ son rĂŽle, Ă©pouse et mĂšre. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tĂąche Ă©pouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystĂ©riques de son cĆur. Elle savait ce qui lâattendait dĂ©sormais.Â
La nuit de noces.Â
#hahahhaha#j'adore ce texte je suis navrĂ©e mais je suis grĂące fiĂšre#gueniĂšvre ma puce tu mĂ©rites tellement mieux#cet Au me passionne pour la diffĂ©rence de la langue / impossibilitĂ© de communiquĂ©#mais surtout la diffĂ©rence de religion et de culturelle#genre historiquement c'est trop intĂ©ressant#et tout ça vu par le prisme de la relation de ces deux loulous#je vais essayer d'ĂȘtre plus rĂ©guliĂšre dans la rĂ©partition de ces one shot parce que j'ai retrouvĂ© pleeeeeeeein d'idĂ©e#kaamelott#arthur x gueniĂšvre#arthur pendragon#gueniĂšvre#mention spĂ©cial Ă lĂ©odagan de souffrir en direct du mariage de sa fille#et aussi au pĂšre Blaise de bien faire son Taff pour une fois#guesswhogotanamefics#kaamelott AU#kaamelott multilanguage AU#original writing#one shot#fanfic
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29/05 jour 2 Excursion
6 ArrĂȘts de prĂ©vu avec commentaires en Espagnol, anglais et français.
MUROS , culture de moules. 8000 habitants, village de pĂȘcheurs.
Orio : pour conserver maïs, poisson, pommes de terre... obélisque a chaque extrémité des orios , signe de fertilité, (origine celte) En bois , brique, granit suivant la région.
A suivre
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Invasion de la GrĂšce par les Celtes
Entre le Ve et le IVe siÚcle avant notre Úre, les tribus celtes se déplacÚrent en masse vers le sud de l'Europe, avec l'intention de s'emparer des terres et des richesses pour nourrir leur nombre croissant. En franchissant les Alpes, ces tribus entrÚrent en conflit avec les Romains et les Grecs qui vivaient autour de la Méditerranée. La mort d'Alexandre le Grand (356 av. J.-C. - 323 av. J.-C.) fit de la GrÚce une cible facile pour de nombreux chefs celtes opportunistes qui conduisirent leur peuple dans les Balkans, d'abord en Thrace et en Illyrie, avant d'avancer vers la Macédoine.
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Les Civilisations Paléomagos
La dĂ©couverte pour les humains du monde magique suite Ă lâĂvĂ©nement de Stonehenge ne fut pas le seul choc majeur qui suivit lâĂveil de la Magie.
Les multiples barriĂšres de dissimulations tombĂ©es rĂ©vĂ©lĂšrent Ă©galement les Mers, que mĂȘme les magus avaient oubliĂ©s⊠mais surtout de multiples ruines Ă travers le monde, prĂ©datant toutes les civilisations connues!
Ces ruines, il sâavĂ©ra vite, Ă©taient les vestiges des civilisations PalĂ©omagos, peuples dâHomo Magicus vivant durant le MĂ©solitique, et ayant disparu au NĂ©olithique.
Ces civilisations faisaient toutes un grand usage de magie, Ă un niveau Ă©quivalent, voire parfois supĂ©rieur au niveau de connaissance et de maĂźtrise de la magie actuel, et mĂȘme un niveau technique et culturel proche des Homo Sapiens durant lâAntiquitĂ©. De plus, lâusage de magie fait que ces civilisations pouvaient voyager et communiquer Ă travers le monde avec une facilitĂ© qui ne sera plus vue jusquâĂ la RĂ©volution Industrielle. MĂȘme si on avait perdu tout souvenir dâelles, ces civilisations avaient clairement laissĂ© leur trace dans lâHistoire, puisquâon trouve encore, des millĂ©naires aprĂšs leur disparition, des vestiges de leur culture dans les civilisations humaines ayant suivi.
Liste des Civilisations Paléomagos:
Agartha
localisation : Ouest Asie, principalement dans lâHimalaya jusquâen Inde et au NĂ©pal mais Ă©galement jusquâen Mongolie et en OuzbĂ©kistan langue : Samskrtam Agarthan Ă©criture : Siddham Agarthan style architectural : rappelant des temples hindous Il sâagit dâune civilisation presque entiĂšrement souterraine, si bien que les ruines auxquels on a pu avoir accĂšs sont trĂšs bien prĂ©servĂ©es. En contrepartie, la dĂ©couverte et lâaccĂšs Ă ces ruines est parmi les plus compliquĂ©s.
Les Agarthans Ă©taient un peuple vivant relativement isolĂ©, ne faisant que peu de commerce, et trĂšs spirituel, cherchant Ă se rapprocher toujours plus de lâessence de la magie. Câest probablement pour cela quâils vivaient sous terre, cherchant Ă se rapprocher plus des points telluriques oĂč la magie Ă©tait la plus puissante, mais aussi la plus instable. Leur utilisation de la magie sâappuyait largement sur les gemmes taillĂ©es, faisant de leurs zones magiques des Ćuvres dâart Ă©tincelantes.
Avalon
localisation : Europe du Nord-Ouest, de lâIslande Ă la Bretagne et de lâIrlande jusquâen SuĂšde langue : Gaelg Avalonan Ă©criture : Ogham Avalonan style architectural : rappelant du celte et viking Les Avalonans Ă©tait un peuple trĂšs spirituel, mais ouvert aux autres cultures dans son ensemble. Religieux, la divinitĂ© principale de leur panthĂ©on Ă©tait une dĂ©esse de la Magie et de la Flore. Ils construisaient donc Ă©normĂ©ment en symbiose avec la nature. Leurs ruines ne sont pas faciles Ă trouver, car les constructions les plus durables sont enfouies pour se rapprocher des lignes telluriques, tandis que le reste Ă©tait fait pour ĂȘtre difficilement diffĂ©renciable de la nature. Des recherches Ă Stonehenge ont rĂ©vĂ©lĂ© que le site avait Ă©tĂ© bĂąti au-dessus dâune place religieuse Avalonane, dâoĂč lâĂvĂ©nement de Stonehenge a probablement Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ© dâune maniĂšre ou dâune autre⊠Les Ă©crits Ă travers le monde semblent sâaccorder pour dire que les Avalonans Ă©taient un peuple ayant un don pour la Divination innĂ©.
Atlantis
localisation : Bassin mĂ©diterranĂ©en langue : Ellinika Atlantida Ă©criture : Alfavito Atlantida style architectural : rappelant du style grĂ©co-romain antique Peu de ruines ont pour lâinstant Ă©tĂ© explorĂ©s, car cette civilisation possĂ©dait probablement les barriĂšres les plus sophistiquĂ©es, difficiles Ă dĂ©sarmer et dangereuses Ă forcer. Des rares ruines ouvertes, il est clair quâils sont lâinfluence principale derriĂšre lâarchitecture grĂ©co-romaine. Ils paraissaient avoir une approche quasi scientifique de la magie, nâayant quasiment aucune notion de religion et Ă©taient trĂšs commerçants. Ils ont probablement crĂ©Ă© les fondamentaux de lâArithmancie.
Hyperborea
localisation : de la SuĂšde jusquâen CorĂ©e, couvrant principalement la Russie et lâEurope de lâEst langue : Hyperboroi Yazik Ă©criture : Cyril Hyperboreal style architectural : rappelant les fort militaires XVIIe siĂšcle CâĂ©tait un peuple martial, trĂšs ordonnĂ©, voyant plutĂŽt dâun mauvais Ćil ceux sâintĂ©ressant de trop prĂšs aux lignes et points telluriques, car ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme trop dangereux, puisque la magie environnante en est plus puissante, mais surtout plus instable. Ils commerçaient assez peu et ont provoquĂ© des conflits avec la plupart de leurs voisins. Les rares ruines identifiĂ©es pour lâinstant Ă©taient toutes des forts, massivement fortifiĂ©s aussi bien magicalement que physiquement, ayant probablement inspirĂ© les premiers chĂąteaux au Moyen Ăge et confirmant leur cĂŽtĂ© trĂšs belliqueux.
Iram
localisation : Moyen-Orient, de la Turquie Ă lâĂthiopie, de la Libye au Pakistan langue : Iram-Gi Ă©criture : Cuneis Irami style architectural : rappelant PĂ©tra et les villes troglodytes Tout aussi commerçants que leurs voisins Atlantes, les Iramis avaient en revanche une approche bien plus artistique de la magie, et sont ceux qui ont laissĂ© le plus de recueils Ă©crits de lâĂ©poque dans leurs ruines. En outre, la dĂ©sertification de la rĂ©gion a enfoui nombre de ruines, les rendant difficiles Ă retrouver. CâĂ©tait un peuple troglodyte, rendant leurs ruines dâautant plus dĂ©licates Ă retrouver, mais le travail fait dans les montagnes et autres ravins oĂč on a retrouvĂ© leurs traces est absolument Ă©poustouflant.
Lemurie
localisation : Sub-Sahara et OcĂ©an Indien langue : AlâLemuria Ă©criture : Abjadâ Lemuria style architectural : navires de tous types
On ne sait que peu de choses des Lemures, car trĂšs peu de ruines ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es. Cependant, tout indique que câĂ©tait un peuple de marins, trĂšs douĂ© en astronomie et vivant plus en mer quâĂ terre, leurs navires ayant Ă©tĂ© de vraies villes flottantes. Malheureusement, cette vie sur lâeau fait que presque tout a Ă©tĂ© perdu de leur civilisation, Ă lâexception de quelques restes trĂšs dĂ©gradĂ©s par le temps. Cependant, les rumerus veulent quâil existe encore certains de leurs navires, si bien protĂ©gĂ©s quâils nâont pas encore Ă©tĂ© retrouvĂ©s, et que ce seraient eux qui sont Ă lâorigine de la plupart des lĂ©gendes de navires fantĂŽmes.
Mu
Localisation : Amérique du Nord, mais également Nouvelle-Zélande et Australie langue : Tjukurrpa-Kapi écriture : Tjukurrpa-Waru style architectural : rappelant les ruines Incas
Ayant entretenu des liens Ă©troits avec les Avalonans, le peuple de Mu avait une civilisation similaire, mais donnant la part belle Ă la Faune plutĂŽt quâĂ la Flore, et que leurs temples nâĂ©taient pas sous terre mais au cĆur des montagnes. Il est fort probable que les premiers Bestiamihis viennent de cette civilisation.
Tiwanaku
localisation : AmĂ©rique du Sud et Centrale langue : Tsagali Mu Ă©criture : Sequoyah Mu style architectural : rappelant les ruines mayas Câest le seul peuple dont des ruines ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes avant mĂȘme lâĂvĂ©nement de Stonehenge, bien que, bien entendu, personne Ă lâĂ©poque nâait cru Ă la datation qui paraissait fantaisiste des lieux. Câest peut-ĂȘtre le peuple le plus diffĂ©rent, cherchant au contraire Ă sâĂ©lever vers les cieux en sâĂ©tablissant sur de hauts plateaux montagneux plutĂŽt quâĂ vivre sous terre comme le faisaient nombre de leurs contemporains. Ils pratiquaient Ă©normĂ©ment la magie rituelle, et sont lâexemple typique que lâon donne pour prĂ©venir des dangers de la magie noire : on pense en effet que cette civilisation sâest Ă©croulĂ©e avant les autres suite Ă une pratique trop intensive de rituels dangereux, ayant rendu une bonne partie de leur civilisation folle ou corrompue.
Yamatai
localisation : Japon, Chine et Asie du Sud-Est langue : Yamatai Guo Ă©criture : Kan Yamatai style architectural : rappelant les chĂąteaux japonais Cette civilisation Ă©tait probablement la plus isolationniste, nâayant quasiment pas de liens avec les autres peuples de lâĂ©poque et se contentant de commerce interne. Ils avaient une bonne maĂźtrise des rituels, et des lois trĂšs strictes Ă ce sujet pour Ă©viter les cas de corruption et de folie.
CâĂ©tait Ă©galement un peuple spirituel, respectueux de la magie quâils possĂ©daient et tout Ă fait conscient de sa dangerositĂ©. LĂ encore, leur architecture a Ă©tĂ© adoptĂ©e, dâabord part les Youkais, puis par les populations non magiques de la rĂ©gion bien plus tard.
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Halloween câest COOL et câest BLANC.
Ce sujet nĂ©cessitait une discussion franche Ă propos des Ă©ternels gĂącheurs de fĂȘte.
Je voulais Ă©crire cet article hier, mais peu importe.
Avec Halloween, nous avons eu le camp des rabat-joie, tout spĂ©cialement de droite, qui a trouvĂ© judicieux de pester. Ă cette occasion, les Catholiques ont particuliĂšrement voulu se rendre plus marginaux quâils ne le sont dĂ©jĂ .
« Je prĂ©fĂšre lâamour ! »
Ces ChrĂ©tiens « pĂ©tris dâamour », avec leur inquisition et leurs bĂ»chers, le sont tout autant que les antifas qui vous cassent la gueule en meute au nom de la tolĂ©rance universelle.
Quand ils saccageaient notre culture, ils ne procédaient pas avec des mots doux.
On sâen doute, rembarrer les gamins du voisinage en rageant comme un vieux con va contribuer Ă une affluence renouvelĂ©e Ă lâĂ©glise. Qui ne voudrait pas frĂ©quenter des saint-sulpiciens aigris qui refusent de donner des bonbons aux gosses, je vous pose la question ?
Quoi quâils en pensent, avec 3% de pratiquants rĂ©els, le christianisme est rĂ©siduel en France et il ne reviendra pas. Ils peuvent bouillir dans leur coin en maudissant leurs semblables, câest la rĂ©alitĂ© et la rĂ©alitĂ© est tout ce qui nous importe tant que nous vivons sur cette terre.
Parmi les arguments rĂ©currents contre cette fĂȘte, le caractĂšre « amĂ©ricain » dâHalloween auquel est associĂ© sa dimension « commerciale ». Cette festivitĂ© serait le symptĂŽme de lâacculturation des Français sous lâeffet de la domination du capitalisme amĂ©ricain et son caractĂšre artificiel proviendrait de cette importation « verticale » imposĂ©e par le business transatlantique que les masses de consommateurs abrutis adopteraient sans rĂ©flĂ©chir.
Tout cela est vrai, mais ça ne change rien.
Les ChrĂ©tiens sont les derniers Ă pouvoir lâouvrir sur ce sujet, eux qui ont imposĂ© leur religion dĂ©sertique aux EuropĂ©ens par la coercition et la terreur intellectuelle.
Si cette religion est aussi massivement abandonnĂ©e par les peuples blancs, ce nâest pas uniquement en raison du matĂ©rialisme culturel, mais aussi parce quâelle Ă©tait une prison mentale qui reposait sur la terreur infernale agitĂ©e sous le nez des masses par des curĂ©s qui nâĂ©taient pas les derniers Ă sauter leurs bonnes ou Ă piquer dans la caisse.
Et je ne parle pas de lâaccueil chaleureux que la plupart des Catholiques rĂ©servent aux nĂšgres dâAfrique dans leurs Ă©glises et quâils ne trouvent pas du tout « importĂ©s », ni inorganiques en Europe.
Il est un fait incontestable que les reprĂ©sentations de Halloween â dâailleurs littĂ©ralement « FĂȘte de tous les saints » en anglais â est autrement plus authentique et lĂ©gitime chez nous que cette histoire de « saints » inspirĂ©s par Yahveh.
Dâailleurs, ce sont les ChrĂ©tiens qui se sont appropriĂ©s cette fĂȘte, pas lâinverse.
Wikipédia :
La fĂȘte catholique de la Toussaint tire son origine dâune commĂ©moration de tous les martyrs, instituĂ©e Ă Rome en 613 par le pape Boniface IV ; Ă lâorigine, elle Ă©tait fĂȘtĂ©e le 13 mai, jour anniversaire de la consĂ©cration chrĂ©tienne du PanthĂ©on. Elle remplaçait la fĂȘte des Lemuria de la Rome antique cĂ©lĂ©brĂ©e Ă cette date pour conjurer les spectres malfaisants. Au IXe siĂšcle, la fĂȘte fut Ă©tendue à « tous les saints » par le pape GrĂ©goire IV et dĂ©calĂ©e au 1er novembre. Les historiens considĂšrent gĂ©nĂ©ralement que cette date a Ă©tĂ© choisie pour christianiser la fĂȘte de Samain.
Câest par un heureux effet boomerang que cette fĂȘte anglo-celtique de Grande-Bretagne est revenue en Europe continentale receltiser les Blancs, Gaulois en tĂȘte.
Pour les Celtes dont nous descendons, Halloween nâest rien dâautre que Samonios, le premier jour du premier mois de lâannĂ©e celtique. Elle ouvre la saison sombre, qui dure 6 mois, et sâĂ©tend jusquâĂ Beltaine, le 1er mai.
Wikipédia :
La plupart des historiens considĂšrent la fĂȘte folklorique paĂŻenne traditionnelle dâHalloween comme un hĂ©ritage de Samain, une fĂȘte qui Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ©e au dĂ©but de lâautomne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fĂȘte du Nouvel An. Pendant la protohistoire celtique, existait une fĂȘte religieuse â Samain en Irlande, Samonios en Gaule â, qui se dĂ©roulait sous lâautoritĂ© des druides, pendant sept jours : le jour de Samain lui-mĂȘme et trois jours avant et trois jours aprĂšs. « Câest une fĂȘte de fermeture de lâannĂ©e Ă©coulĂ©e et dâouverture de lâannĂ©e Ă venir. Dans le calendrier celtique basĂ© sur le cycle solaire, la date de Samain correspondait Ă la mi-temps dâune des quatre pĂ©riodes allant dâun Ă©quinoxe et Ă un solstice, ou dâun solstice Ă un Ă©quinoxe. Par diffĂ©rence, ce sont les extrĂ©mitĂ©s de ces pĂ©riodes qui sont aujourdâhui lâoccasion de cĂ©lĂ©brations dans les sociĂ©tĂ©s occidentales, et non leurs mi-temps : notre nouvel an actuel est fixĂ© dix jours aprĂšs le solstice dâhiver, PĂąques est fĂȘtĂ©e au moment de lâĂ©quinoxe de printemps, au solstice dâĂ©tĂ© a lieu la fĂȘte de la musique. Seul lâĂ©quinoxe dâautomne nâĂ©tant pas fĂȘtĂ© au profit de la mi-temps de la pĂ©riode qui le sĂ©pare du solstice dâhiver. Le temps de Samain est celui du Sidh (lâautre monde) briĂšvement confondu avec celui de lâhumanitĂ© ». La nuit de Samain nâappartient ni Ă lâannĂ©e qui se termine, ni Ă celle qui commence. La fĂȘte est une pĂ©riode close en dehors du temps. Câest la pĂ©riode oĂč les barriĂšres sont baissĂ©es et oĂč, selon les croyances de lâĂ©poque, lâirrĂ©el cĂŽtoie le rĂ©el et oĂč les hommes peuvent communiquer avec les gens de lâautre monde (Il sâagit lĂ de dĂ©mons ou des dieux des Tuatha DĂ© Danann). Lors de cette nuit de fermeture, les Gaulois avaient lâhabitude de pratiquer une cĂ©rĂ©monie afin de sâassurer que la nouvelle annĂ©e Ă venir se dĂ©roulerait sereinement. Par tradition, ils Ă©teignaient le feu de cheminĂ©e dans leur foyer puis se rassemblaient en cercle autour du feu sacrĂ© de lâautel, oĂč le feu Ă©tait aussi Ă©touffĂ© pour Ă©viter lâintrusion dâesprits malĂ©fiques dans le village. AprĂšs la cĂ©rĂ©monie, chaque foyer recevait des braises encore chaudes pour rallumer le feu dans sa maison pour ainsi protĂ©ger la famille des dangers de lâannĂ©e Ă venir. Les fĂȘtes druidiques ont disparu dâIrlande au Ve siĂšcle, avec lâarrivĂ©e dâune nouvelle religion, le christianisme.
Samonios est un moment hors du temps oĂč le monde se dissout et se rĂ©gĂ©nĂšre. Il est pour cette raison associĂ© Ă la mort, elle mĂȘme un Ă©tat transitoire de lâĂąme entre deux Ă©tats stables, mais aussi entre deux mondes.
Câest pour cette raison que nous allons fleurir les tombes de nos morts Ă cette occasion : câest le moment de lâannĂ©e oĂč nous pouvons en ĂȘtre physiquement le plus proches. Telle Ă©tait la conception de nos druides.
Cela se perpĂ©tue dans le monde nord-europĂ©en en illuminant les tombes le premier novembre. Se souvenir des morts les empĂȘchent de disparaĂźtre dans lâindiffĂ©renciation post-mortem.
Câest Ă©galement un moment de danger. Les esprits chtoniens, du monde souterrain et obscur, peuvent surgir dans notre monde. DâoĂč ces rĂ©fĂ©rences aux monstres et Ă la mort. Loin dâĂȘtre leur « cĂ©lĂ©bration », câest une Ă©preuve pour sâen emparer et mieux les dominer.
Câest donc une fĂȘte qui repose sur des mĂ©canismes psychologiques ancestraux extrĂȘmement puissants qui rĂ©veillent la mĂ©moire raciale des Blancs.
Les Catholiques â rejoints par quelques marxistes toujours obsĂ©dĂ©s par le fric des autres â qui viennent geindre Ă propos de la dimension « commerciale » de lâaffaire oublient de dire que toutes les grandes fĂȘtes chrĂ©tiennes Ă©taient des excuses pour commercer.
Ce que lâon appelait les « foires » mĂ©diĂ©vales. Un continent inconnu de ces gens enfermĂ©s dans leurs clapiers rĂ©sidentiels.
Wikipédia :
LâoriginalitĂ© des foires de Champagne est sans doute de former ainsi un cycle Ă©quilibrĂ© et continu tout au long de lâannĂ©e de « foires chaudes » (en Ă©tĂ©) et « froides » (en hiver) ainsi que de foires principales et secondaires qui procure aux marchands une place dâĂ©change presque permanente permettant non seulement dâĂ©changer des marchandises mais aussi de rĂ©gler leurs affaires financiĂšres.
2 au 15 janvier : foire « des Innocents » de Lagny-sur-Marne ;
mardi avant la mi-carĂȘme au dimanche de la Passion : foire de Bar-sur-Aube ;
semaine de la Passion : foire de SĂ©zanne ;
mai : foire chaude de « Saint-Quiriace » de Provins ;
24 juin à la mi-juillet : foire « chaude » ou de la Saint-Jean à Troyes ;
septembre / octobre : foire froide de « Saint-Ayoul » à Provins16 ;
début novembre à la semaine avant Noël : foire « froide » ou de la « Saint-Remi » à Troyes.
LâEglise est fortement reprĂ©sentĂ©e dans lâorganisation de ces foires dans une sociĂ©tĂ© oĂč la vie sĂ©culiĂšre est rythmĂ©e par le calendrier religieux. Les grandes fĂȘtes et les pĂšlerinages coĂŻncident souvent avec des foires et une frĂ©quentation importante.
Quand la France était chrétienne, on ne laissait pas le commerce dénaturer notre culture !
Sâil y a bien quelque chose qui a contribuĂ© Ă la ruine de lâĂąme des gens en France, câest la conjonction de la casuistique mĂ©diĂ©vale et du rationalisme de lâEncyclopĂ©die en plus du saupoudrage marxiste au 20Ăšme siĂšcle.
Ăa nous a donnĂ© des coupeurs de cheveux en quatre à « principes », gĂ©nĂ©ralement dĂ©garnis et myopes, cette sous-humanitĂ© dĂ©pourvue de toute Ă©nergie vitale et de toute mystique â oui, la casuistique est dĂ©pourvue de mystique, peu importe ce quâelle bavarde â dont nos profs de gauche contemporains descendent en droite ligne.
Terrifie lâĂ©glise de bergogliologie
Enfin, plus concrĂštement, en cette Ă©poque dâindividualisme terminal oĂč les Blancs sont incapables de faire quoi que ce soit ensemble, tout ce qui peut les pousser Ă sortir de leurs pavillons pour Ă©changer toutes gĂ©nĂ©rations confondues est bĂ©nĂ©fique. Les personnes ĂągĂ©es sont ravies de voir les gamins du quartier avec leurs petits costumes venir sonner Ă leurs portes. Les enfants voient autre chose que leurs Ă©crans et se rendent compte quâil y a des personnes qui vivent prĂšs de chez eux.
Enfin, ce qui ne gùche rien, par son caractÚre païen, elle est délicieusement haram, fonciÚrement anti-abrahamique, inconsciemment raciste.
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Pour toutes ces raisons, je suis un partisan rĂ©solu de la Samonios contemporaine que lâon nomme « Halloween », Ă dĂ©faut dâune Samonios stricto sensu, peu importe ce que racontent les casse-pieds qui voudraient nous clouer devant leur Yeshoua communiste.
DĂ©mocratie Participative
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#Blogtober Day 31; Samhain 101
LâHalloween, cĂ©lĂ©brĂ©e le 31 octobre, tire ses origines de la fĂȘte celtique de Samhain, une ancienne cĂ©lĂ©bration marquant la fin de la saison des rĂ©coltes et le dĂ©but de lâhiver. Pour les Celtes, cette pĂ©riode symbolisait la frontiĂšre entre le monde des vivants et celui des morts, moment oĂč les esprits pouvaient revenir sur terre. Afin de se protĂ©ger des mauvais esprits, les gens allumaient desâŠ
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Arran Cir Mhor, summit of Caisteal Abhail (and Goatfell).
#scotland#summit#landscape#mountainscape#ecosse#Arran Cir Mhor#Caisteal Abhail#Goatfell#travel#trip#hiking#voyage#randonnee#paysage#montagnes#celtic land#terre celte#arran
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DĂ©cembre, l'esprit de la forĂȘt
mardi 10 dĂ©cembre Atelier herboriste â Epicerie Le bugue de 10h Ă 12h mercredi 11 dĂ©cembre Dedicace herboriste â Librairie Marie et les mots 10h Ă 12h Dimanche 15 dĂ©cembre Dedicace herboriste et permanence â Epicerie associative LEs Locos â 10h Ă 18h. Les Eyzies de tayac E-book MĂ©decine celte et pratiques de fumigation Est-il un endroit sur terre oĂč le brĂ»lage de vĂ©gĂ©taux Ă des fins deâŠ
#conférence#Cycle des 8 initiations#Druide#druidesse#herboristerie initiatique#Médecines sacrées#Plantes des celtes#rituel#samhain#samonios
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REGARDONS LA FĂTE D'HALLOWEEN DU POINT DE VUE DE LA BIBLE .
« ⊠et ne prenez point part aux Ćuvres infructueuses des tĂ©nĂšbres, mais plutĂŽt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce quâils font en secret. » (ĂphĂ©siens 5:11,12)
La Bible dit que le chrĂ©tien est appelĂ© Ă la libertĂ©, que nous sommes sous la grĂące et non sous la loi. Une nouvelle vie en JĂ©sus-Christ nous a donnĂ© la libertĂ© de vivre comme nous choisissons de vivre. Mais, avec cette libertĂ© vient la responsabilitĂ© gĂ©niale de vivre nos vies dâune maniĂšre telle que nous sommes prĂȘts pour le siĂšge du jugement du Christ. Les bons choix, les choix divins faits ici sur la terre vont rĂ©colter des couronnes dans le ciel. Mais, lâutilisation de cette mĂȘme libertĂ© comme une occasion pour nos propres dĂ©sirs Ă©goĂŻstes rĂ©sulte dans la perte de ces couronnes. La Bible dit que vous devez choisir aujourdâhui qui vous servirez. Dieu nous permet de faire des choix.
Tout au long de la Bible, nous lisons Ă propos de Satan, le diable, dont le seul but dans la vie est de nous faire trĂ©bucher, de nous causer de la misĂšre et de la tristesse. La Bible dit quâil ne vient que pour chercher ses victimes, pour tuer ses victimes, et pour dĂ©truire autant de vies sauvĂ©es et non-sauvĂ©es que possible. Il est une force constante qui nous leurre dans lâĂ©garement, et qui nous attire sans fin vers le cĂŽtĂ© obscur, et qui utilise tous les moyens possibles pour complĂ©ter sa mission.
LâHalloween en AmĂ©rique en 2014 Ă©tait une des « fĂȘtes » les plus cĂ©lĂ©brĂ©es pendant toute lâannĂ©e, et les chrĂ©tiens y ont participĂ© presque autant que tout autre groupe de personnes. Les parents habillent leurs petits chĂ©ris en princesse et en costumes de cow-boy, frappent aux portes pour des bonbons, et dĂ©corent lâintĂ©rieur et lâextĂ©rieur de leurs maisons avec des lanternes festives, des fantĂŽmes suspendus, dâadorables sorciĂšres et sorciers. Mais, dâoĂč ce jour provient-il ? Nous allons jeter un coup dâĆil.
Beaucoup de chrĂ©tiens cĂ©lĂšbrent les fĂȘtes, comme lâHalloween, sans penser Ă leurs origines ou leur vrai sens. Il est impossible de sĂ©parer lâHalloween des druides parce quâils ont commencĂ© le « jour fĂ©riĂ© ». Pendant plusieurs centaines dâannĂ©es avant JĂ©sus-Christ, les Celtes ont habitĂ© ce qui est maintenant la France, lâAllemagne, lâAngleterre, lâĂcosse et lâIrlande. Les prĂȘtres celtiques Ă©taient appelĂ©s les druides. Ces peuples ont finalement Ă©tĂ© conquis par les Romains. Les informations sur les Celtes et les Druides proviennent de CĂ©sar et des historiens romains, des Ă©crits grecs aux environs de 200 avant JĂ©sus-Christ, et de trĂšs anciens Ă©crits retrouvĂ©s en Irlande. Les Ă©crits grecs et romains sur les Druides insistent lourdement sur leurs frĂ©quents sacrifices humains barbares. Les anciens textes irlandais en disent trĂšs peu sur les sacrifices humains, mais, dĂ©taillent lâutilisation de la magie par les Druides pour soulever des tempĂȘtes, jeter des sorts contre des lieux, tuer par lâutilisation de sorts et crĂ©er des obstacles magiques.
Les mignonnes lanternes illuminĂ©es sur votre porche ont Ă©tĂ© utilisĂ©es dâabord par les Druides dans leurs sacrifices humains. AprĂšs avoir tuĂ© leur victime, ils drainaient la graisse de leur corps et remplissaient une gourde ou une citrouille pour ensuite mettre une bougie Ă lâintĂ©rieur. Un visage sinistre Ă©tait sculptĂ© sur la face extĂ©rieure de la citrouille et la mĂšche Ă©tait allumĂ©e, en utilisant la graisse comme carburant. Cela Ă©tait fait pour apaiser leurs dieux, les esprits obscurs, Satan.
Le 31 octobre Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ© par les Druides avec beaucoup de sacrifices humains et un festival honorant leur dieu soleil et Samhain, le seigneur des morts. Ils croyaient que les Ăąmes pĂ©cheresses de ceux qui Ă©taient morts au cours de lâannĂ©e allaient dans un lieu de tourments et ne seraient libĂ©rĂ©es que seulement si Samhain Ă©tait satisfait de leurs sacrifices.
Les Ă©crits Irlandais racontent la fascination que les moines catholiques avaient avec les puissants Druides, et les Druides devinrent bientĂŽt des membres importants de leurs monastĂšres. Le Pape GrĂ©goire le Grand a dĂ©cidĂ© dâintĂ©grer les fĂȘtes des Druides dans lâĂ©glise. Il a fait la proclamation que, « Ils ne doivent plus sacrifier des bĂȘtes au diable, mais, ils peuvent les tuer pour la nourriture afin de plaire Ă Dieu, et rendre grĂące au donateur de tous les dons pour sa bontĂ© ». Le Pape GrĂ©goire III a dĂ©placĂ© le festival de lâĂ©glise du 31 octobre au 1 novembre et lâa appelĂ© la FĂȘte de Tous les Saints ou la Toussaint. Le Pape GrĂ©goire IV a dĂ©crĂ©tĂ© que la journĂ©e devait ĂȘtre respectĂ©e par lâĂ©glise universelle. Le terme Halloween provient de All Hallows Eve.
Les pĂšres fondateurs de lâAmĂ©rique ont refusĂ© de permettre lâobservation de la fĂȘte parce quâils savaient quâelle Ă©tait un jour fĂ©riĂ© paĂŻen. LâHalloween nâa pas Ă©tĂ© largement cĂ©lĂ©brĂ©e aux Ătats-Unis avant 1900. Dans les annĂ©es 1840, il y avait une famine terrible en Irlande, et ceci a envoyĂ© des milliers de catholiques irlandais en AmĂ©rique. Ils ont apportĂ© avec eux lâHalloween. La coutume moderne dâaller de porte en porte pour demander de la nourriture et des bonbons remonte Ă lâĂ©poque des Druides. Ils croyaient que les Ăąmes perdues et pĂ©cheresses Ă©taient libĂ©rĂ©es sur la terre par Samhain pendant une nuit, le 31 octobre, alors quâelles attendaient leur jugement. Ils pensaient que ces Ăąmes se prĂ©sentaient devant les maisons des vivants et Ă©taient accueillies avec des tables pleines de banquets. Les gens craignaient beaucoup ces esprits et pensaient que les esprits leur nuiraient et mĂȘme les tueraient si les sacrifices quâils donnaient nâapaisaient pas Samhain. Ils sculptaient des visages dĂ©moniaques dans des citrouilles ou de grands navets et y plaçaient une bougie afin de garder les mauvais esprits loin de leurs foyers.
La tradition de creuser des pommes pour y placer des noix provenait dâune addition romaine pour la veille du Nouvel An druidique. Les Romains adoraient Pomona qui Ă©tait la dĂ©esse de la moisson. Ils ont combinĂ© leur fĂȘte de la moisson de Pomona avec lâHalloween. TrĂšs peu de preuves archĂ©ologiques des Druides ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es, mais, il existe un excellent accord entre les documents romains et irlandais. Les deux affirment clairement que les connaissances des Druides nâont jamais Ă©tĂ© Ă©crites, mais, transmises de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration par des enseignements oraux. CâĂ©tait pour protĂ©ger leurs secrets. Rien ne devait ĂȘtre Ă©crit. Les Druides continuent secrĂštement avec sensiblement les mĂȘmes traditions.
Lorsque nous, les chrĂ©tiens, participons Ă lâHalloween, nous poursuivons la tradition druidique qui a commencĂ© avec les sacrifices humains et les adorations des dieux souterrains. La Bible nous dit de non seulement Ă©viter le mal, mais, aussi dâĂ©viter tout ce qui pourrait paraĂźtre mal. Nous sommes appelĂ©s Ă ĂȘtre « le sel et la lumiĂšre » pour un monde perdu et mourant. Nous sommes appelĂ©s Ă ĂȘtre un « peuple particulier », visiblement diffĂ©rent du monde qui nous entoure. Participer au festival du Diable, Ă tout le moins, est un mauvais tĂ©moignage et envoie des messages confus Ă nos enfants.
Utilisez votre libertĂ© dans le Christ de toutes les façons que vous choisissez pour ce 31 octobre, mais, rappelez-vous seulement quâun jour JĂ©sus vous demandera des explications Ă ce sujet au SiĂšge de Jugement.
Quelle réponse Lui donnerez-vous lors de cette journée ?
Geoffrey Grider
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"[.. ] il est intĂ©ressant de reproduire cette significative formule dâexhortation guerriĂšre de lâantique tradition celte : « Combattez pour votre terre et acceptez la mort sâil le faut : car la mort est une victoire et une libĂ©ration de lâĂąme ». Câest le mĂȘme concept qui correspond dans nos traditions classiques Ă lâexpression : mors triumphalis."
Julius Evola, MĂ©taphysique de la Guerre (1935)
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La ville de Lausanne, située sur les rives du lac Léman et entourée par les Alpes, a une histoire qui s'étend sur plusieurs millénaires. Des premiÚres traces de peuplement préhistorique aux périodes celte, romaine et médiévale, Lausanne a joué un rÎle clé en tant que centre religieux, intellectuel et commercial. Aujourd'hui, Lausanne est une ville dynamique et moderne, mondialement connue pour son rÎle dans le sport, notamment en tant que siÚge du Comité International Olympique (CIO). Ce guide explore en profondeur l'évolution de Lausanne à travers les ùges.
1. Les origines préhistoriques et celtiques
Les premiĂšres traces d'occupation humaine dans la rĂ©gion de Lausanne remontent Ă la prĂ©histoire, environ 4 000 ans avant notre Ăšre. La rĂ©gion autour du lac LĂ©man Ă©tait propice Ă la vie humaine en raison de l'abondance des ressources naturelles comme l'eau, le poisson et le bois. Les premiĂšres habitations lacustres (palafittes) ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes Ă proximitĂ© des rives du lac, notamment Ă Vidy, un quartier de Lausanne. Ces premiĂšres communautĂ©s vivaient principalement de la pĂȘche, de l'agriculture et du commerce local.
Au cours de l'Ăąge du fer, la rĂ©gion de Lausanne Ă©tait habitĂ©e par les HelvĂštes, une tribu celte qui dominait une grande partie du territoire actuel de la Suisse. Les HelvĂštes vivaient en communautĂ©s rurales et se consacraient Ă lâagriculture. Leurs relations avec les peuples voisins, comme les Romains et les Gaulois, ont jouĂ© un rĂŽle important dans le dĂ©veloppement Ă©conomique et culturel de la rĂ©gion.
2. Lousonna : Lausanne Ă l'Ă©poque romaine
Vers la fin du Ier siÚcle avant J.-C., les Romains envahirent la région habitée par les HelvÚtes et intégrÚrent la Suisse actuelle à l'Empire romain. Lausanne, connue à l'époque sous le nom de Lousonna, devint un port commercial important sur la rive du lac Léman. Ce village romain, situé à Vidy, à quelques kilomÚtres de la Lausanne moderne, jouait un rÎle clé dans le commerce entre l'Italie et la Gaule, ainsi que d'autres régions du bassin méditerranéen.
Le site de Lousonna comportait des infrastructures typiques des colonies romaines, telles que :
Un forum (place publique) oĂč se dĂ©roulaient des activitĂ©s commerciales et sociales.
Des thermes publics.
Un théùtre.
Des temples dédiés aux divinités romaines.
Au fil du temps, Lousonna devint une petite ville prospĂšre avec une population cosmopolite d'environ 1 500 Ă 2 000 habitants. Cependant, avec la chute de l'Empire romain au Ve siĂšcle, la ville romaine dĂ©clina, et la population se dĂ©plaça vers la colline de la CitĂ©, oĂč se trouve aujourd'hui le centre historique de Lausanne.
3. La Lausanne médiévale : du pouvoir religieux à la domination bernoise
AprĂšs la chute de l'Empire romain, la rĂ©gion de Lausanne fut contrĂŽlĂ©e par les Burgondes, un peuple germanique qui Ă©tablit le royaume de Bourgogne. Vers le Ve siĂšcle, Lausanne devint un centre chrĂ©tien important, grĂące Ă la construction dâĂ©glises et Ă lâinstallation dâun siĂšge Ă©piscopal, ce qui fit de la ville un centre religieux rĂ©gional. Ă cette Ă©poque, la ville commença Ă se dĂ©velopper autour de la colline de la CitĂ©, surplombant le lac LĂ©man, pour se protĂ©ger des invasions extĂ©rieures.
L'influence de l'Ăglise
Ă partir du IXe siĂšcle, les Ă©vĂȘques de Lausanne exercĂšrent un pouvoir considĂ©rable, Ă la fois spirituel et temporel. En tant que seigneurs locaux, les Ă©vĂȘques possĂ©daient dâimmenses terres et contrĂŽlaient une grande partie de la vie politique et Ă©conomique de la ville. Cette domination religieuse s'Ă©tendit Ă l'ensemble de la rĂ©gion jusqu'Ă la RĂ©forme.
Construction de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne
L'un des Ă©vĂ©nements marquants de cette pĂ©riode fut la construction de la cathĂ©drale Notre-Dame au XIIe siĂšcle. Cet Ă©difice gothique, situĂ© sur la colline de la CitĂ©, reste Ă ce jour l'un des monuments les plus emblĂ©matiques de Lausanne. La cathĂ©drale devint un centre spirituel majeur, attirant des pĂšlerins de toute l'Europe. Elle symbolisait le pouvoir et la richesse de l'Ăglise catholique Ă Lausanne.
4. La RĂ©forme protestante et la domination bernoise (1536-1798)
En 1536, Lausanne fut envahie par les troupes bernoises, marquant un tournant majeur dans lâhistoire de la ville. Berne, un canton protestant, imposa la RĂ©forme Ă Lausanne, mettant fin Ă des siĂšcles de domination catholique. Les Ă©vĂȘques furent expulsĂ©s, et les biens de l'Ăglise furent confisquĂ©s. La cathĂ©drale Notre-Dame fut convertie en temple protestant.
Pendant cette période, Lausanne perdit son autonomie politique et fut administrée par Berne en tant que simple bailliage. Toutefois, la ville conserva son rÎle intellectuel et éducatif. L'Académie de Lausanne, fondée en 1537, devint un centre majeur pour la formation des pasteurs protestants et des intellectuels réformés.
5. LâindĂ©pendance vaudoise et la pĂ©riode rĂ©volutionnaire
La domination bernoise prit fin en 1798 avec la RĂ©volution vaudoise. InspirĂ©e par les idĂ©aux de la RĂ©volution française, la population vaudoise se rĂ©volta contre lâautoritĂ© bernoise, avec lâaide des troupes françaises. Lausanne devint la capitale du nouveau canton de Vaud, intĂ©grĂ© Ă la RĂ©publique helvĂ©tique sous l'influence de NapolĂ©on Bonaparte.
Cette période fut marquée par une redéfinition de l'identité vaudoise et lausannoise, avec un fort sentiment d'indépendance et de souveraineté locale.
6. Le XIXe siĂšcle : industrialisation et transformation urbaine
Au cours du XIXe siÚcle, Lausanne entra dans une phase d'industrialisation rapide et d'urbanisation. La ville se modernisa avec l'arrivée du chemin de fer en 1856, reliant Lausanne au reste de la Suisse et de l'Europe. Le port d'Ouchy devint un point stratégique pour le commerce maritime sur le lac Léman.
Expansion économique et démographique
La révolution industrielle transforma Lausanne en un centre de commerce, de transport et d'industrie. La population augmenta rapidement, attirant des travailleurs des campagnes environnantes et des pays voisins. De nouveaux quartiers émergÚrent, et l'architecture de la ville évolua avec la construction de nombreux bùtiments publics, hÎtels de luxe, et résidences bourgeoises.
Tourisme et culture
Grùce à son emplacement pittoresque au bord du lac Léman et à sa proximité avec les Alpes, Lausanne attira également l'élite européenne, y compris des écrivains, des poÚtes et des artistes. Des figures littéraires comme Lord Byron, Victor Hugo et Charles Dickens visitÚrent Lausanne, contribuant à la renommée internationale de la ville.
7. Lausanne au XXe siĂšcle : une ville internationale et olympique
Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Lausanne se forgea une rĂ©putation de ville internationale, accueillant de nombreuses institutions et Ă©vĂ©nements mondiaux. En 1915, le ComitĂ© International Olympique (CIO) choisit Lausanne comme siĂšge, sous lâimpulsion de Pierre de Coubertin. Ce choix fit de Lausanne la capitale olympique, renforçant son rĂŽle de centre mondial pour les sports et le dialogue entre nations.
Le rĂŽle du CIO et lâexpansion du sport
Avec le temps, Lausanne devint le siĂšge de nombreuses fĂ©dĂ©rations sportives internationales et accueillit le MusĂ©e Olympique en 1993, un centre dâexposition sur lâhistoire des Jeux Olympiques. Aujourd'hui, Lausanne est une plaque tournante pour le sport international et abrite Ă©galement le Tribunal Arbitral du Sport (TAS).
Modernisation et développement économique
Le XXe siĂšcle fut aussi une pĂ©riode de transformation Ă©conomique et technologique. Lausanne se diversifia avec l'essor des secteurs des services, de la recherche et de l'Ă©ducation. L'UniversitĂ© de Lausanne (UNIL) et l'Ăcole Polytechnique FĂ©dĂ©rale de Lausanne (EPFL), fondĂ©e en 1969, sont devenues des centres de recherche de renommĂ©e mondiale, attirant des Ă©tudiants et des scientifiques internationaux.
8. Lausanne aujourd'hui : dynamisme, culture et innovation
Aujourd'hui, Lausanne est l'une des villes les plus dynamiques de Suisse, connue pour sa qualitĂ© de vie, son Ă©conomie florissante et sa scĂšne culturelle vibrante. C'est une ville internationale avec une population diversifiĂ©e, oĂč se cĂŽtoient les innovations technologiques, la culture et le sport.
Une ville culturelle
Lausanne est également une ville de festivals et d'événements culturels. Elle accueille le Festival de la Cité, un des plus anciens festivals en plein air de Suisse, ainsi que des institutions de renom comme le Béjart Ballet Lausanne, un des plus grands ballets contemporains du monde.
Centre d'innovation et d'Ă©ducation
L'EPFL et l'Université de Lausanne jouent un rÎle central dans la position de la ville en tant que pÎle de recherche et d'innovation. Les collaborations entre ces institutions et les entreprises locales dans des secteurs tels que la biotechnologie, l'intelligence artificielle et les technologies vertes sont à la pointe de la modernité.
Lausanne est une ville dont l'histoire est marquée par des transformations majeures, des origines celtiques et romaines à son rÎle de centre protestant et de capitale olympique. Aujourd'hui, elle combine un patrimoine historique riche avec une modernité dynamique, ce qui en fait l'une des villes les plus attractives de Suisse, tant pour ses habitants que pour ses visiteurs.
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