#terre celte
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grandboute · 12 days ago
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Scotland my love
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herboristecueilleuse · 8 months ago
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Mai Atelier & Festival MĂšre Nature
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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Les Celtes croyaient que les abeilles Ă©taient des intermĂ©diaires entre ce monde et l'autre. Ils pensaient que les abeilles pouvaient aider Ă  transmettre des messages de ce monde au monde des morts, les aidant ainsi Ă  communiquer avec leurs proches. Les abeilles sont tellement respectĂ©es pour leurs capacitĂ©s qu'il existe mĂȘme des documents juridiques crĂ©Ă©s dans le but de protĂ©ger toutes les pratiques liĂ©es aux abeilles. Le miel contient des enzymes vivantes.
🐝 Au contact d'une cuillĂšre en mĂ©tal, ces enzymes meurent.
🐝 La meilleure façon de manger du miel est d'utiliser une cuillùre en bois ou en plastique.
🐝 Le miel contient une substance qui aide le cerveau à mieux fonctionner.
🐝 Le miel est l'un des rares aliments sur terre qui ne peut soutenir que la vie humaine.
🐝 Une cuillĂšre Ă  cafĂ© de miel suffit Ă  maintenir la vie humaine pendant 24 heures.
🐝 La propolis, produite par les abeilles, est l'un des antibiotiques naturels les plus puissants.
🐝 Le miel n'a pas de date de pĂ©remption.
🐝 Les corps des grands empereurs Ă©taient enterrĂ©s dans des cercueils en or recouverts de miel pour Ă©viter qu'ils ne pourrissent.
🐝 Le terme « lune de miel » vient de la tradition qui veut que les jeunes mariĂ©s consomment du miel pour assurer leur fĂ©conditĂ© aprĂšs le mariage.
🐝 Une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1 000 fleurs et produit moins d'une cuillĂšre Ă  cafĂ© de miel au cours de sa vie.
🐝 L'une des premiùres piùces de monnaie portait un symbole d'abeille.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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Celtes, Germains, HellĂšnes, Slaves, Scandinaves, Latins, IbĂšres ou plutĂŽt nous, leurs descendants, nous devons nous penser comme un mĂȘme peuple, hĂ©ritiers d'une mĂȘme terre, une immense patrie 

Guillaume Faye - L'Archéofuturisme.
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claudehenrion · 4 months ago
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Un Président ? Mais pourquoi faire ?
Je ne vais pas, comme beaucoup de nos compatriotes, affirmer que notre PrĂ©sident n'aime pas la France. Outre que c'est une affirmation bien trop forte pour ĂȘtre portĂ©e sans prĂ©cautions, je trouve que c'est vraiment trop paradoxal pour ĂȘtre ''envisageable'' : un homme dont toute la courte vie Ă  tendu vers le but suprĂȘme du pouvoir Ă©ponyme doit ĂȘtre fou, s'il n'aime pas –en plus-- l'objet unique de sa quĂȘte existentielle ! Et pourtant...
Et pourtant, rien ou Ă  peu prĂšs dans son comportement pendant son quinquennat et demi ne permet de trouver la moindre preuve d'un amour sincĂšre pour ce nom qui recouvre tant de choses pour tant de monde... Quant aux français –qui furent longtemps les habitants de cette terre, parfois dite celte ou gauloise (ce qui revient au mĂȘme), avant d'ĂȘtre peu Ă  peu remplacĂ©s dans le rĂŽle ''d'occupant rĂ©fĂ©rent'' par des masses innombrables venues d'ailleurs sous le prĂ©texte de fuir des conditions de vie plus hostiles et moins amicales... mais n'ayant apparemment comme seul objectif que de recrĂ©er ici les horreurs qu'ils ont fui, lĂ -bas-- c'est peu dire que de constater qu'il a du mal Ă  les supporter. En ce qui les concerne, la tentation de voir en lui une hostilitĂ© dĂ©clarĂ©e est peu sujette Ă  caution.
Il faut reconnaĂźtre Ă  son avantage qu'il a toujours Ă©tĂ© clair dans ses objectifs et net dans ses intentions : sa patrie Ă  lui (autant dire que le mot lui est Ă©tranger !), c'est un concept indĂ©fini qu'il appelle ''Europe'' –mot-valise qui dĂ©signe autant de choses diffĂ©rentes et opposĂ©es que le nombre de locuteurs qui l'utilisent. La seule chose que leur soi-disant ''Europe'' n'est pas, c'est le beau concept dont ont rĂȘvĂ© ses PĂšres fondateurs, systĂšme d'idĂ©es auquel se raccrochent encore les gens de ma gĂ©nĂ©ration qui ont, comme moi, cru Ă  un avenir plus beau, construit autour du joli mot ''Plus jamais ça''. HĂ©las, comme la presque totalitĂ© des mots de la langue française, ceux-lĂ  ont Ă©tĂ© malmenĂ©s, dĂ©voyĂ©s, dĂ©formĂ©s et ne veulent, au mieux, plus rien dire (et au pire, c'est pire... si j'ose : ils signifient le contraire de ce qu'ils sont sensĂ©s signifier !).
Certains, depuis quelques mois, tirent de notre ou de leur expĂ©rience quotidienne une leçon pour le moins Ă©trange et difficile Ă  admettre –sauf si on s'y penche avec sĂ©rieux et avec le courage de ne plus suivre aveuglĂ©ment tout ce qui vient de l'ElysĂ©e, de Matignon, du haut personnel politique et d'une Ă©crasante majoritĂ© des prĂ©tendus ''journalistes'' (qui ne sont que des chambres d'enregistrement et d'amplification de la ''doxa'' la plus dĂ©cervelante et -donc- la plus mortifĂšre) : l'attachement puĂ©ril de notre prĂ©sident pour sa soi-disant Europe le conduirait, depuis sa premiĂšre Ă©lection Ă  la fonction suprĂȘme de l'Etat, Ă  ce que toutes ses actions soient dans le seul but et avec la seule idĂ©e de dĂ©membrer la France en la rendant inexistante et ingouvernable, pour Ă©tendre la main-mise des europĂ©Ăątres sur cette partie, au moins, des terres qu'ils entendent soumettre Ă  leur volontĂ© perverse, normative, et assassine.
Dans ma fonction de ''blogueur'' (= ''citoyen qui Ă©crit parce que les gens qui le lisent ont confiance en sa bonne foi''), je ne saurais cautionner cette lecture de notre histoire rĂ©cente –ce que font, pourtant, beaucoup des gens que je frĂ©quente. En revanche, je dois reconnaĂźtre que le contemporain et concitoyen que je suis --voyez avec quel soin j'Ă©cris ces deux mots sans la cĂ©sure que je fais si souvent, lorsque je parle d'opposants Ă  toute pensĂ©e ''ortho ou catho'' (en grec, ᜀρΞός / orthĂłs, signifie droit, conforme, et ÎșÎ±ÎžÎżÏ‚ / kathos, gĂ©nĂ©ral, universel)-- se pose de plus en plus souvent la question ''Et si c'Ă©tait eux qui avaient raison ?''... et est de plus en plus souvent gĂȘnĂ© par la rĂ©ponse qu'il est bien obligĂ© de se faire, devant les piĂštres performances Ă  rĂ©pĂ©tition de nos guides –qui ne sont que des ''Attila'' ou des ''Gengis Khan'' pour notre pauvre pays qu'ils laisseront ravagĂ© et impossible Ă  redresser...
La CinquiĂšme RĂ©publique souffre de la forte personnalitĂ© de son fondateur, mais ''n'est pas De Gaulle qui veut''. Et, pire encore, ''qui ne le veut surtout pas'' ! Nos institutions ont Ă©tĂ© faites par (donc, sans doute, ''pour'') un homme de grande dimension et de grande expĂ©rience, adorant la France au point de lui sacrifier (en 1940) son propre futur dont il se fichait pas mal, qui avait un rĂȘve pour notre destin commun, une culture Ă  toute Ă©preuve et une comprĂ©hension de l'Histoire, grande et petite, qui Ă©tait une vision du maintien de la grandeur de notre gloire passĂ©e... Elles Ă©taient Ă©videmment infiniment trop grandes pour tous ses successeurs qui se sont contentĂ©s de cocher, vite fait, une petite case ici oĂč lĂ , et ont passĂ© leur temps Ă  faire des concessions injustifiables et indĂ©sirĂ©es Ă  la mode, au temps qui passe, Ă  l'actualitĂ© et aux idĂ©es perverses venues d'une gauche qui n'a jamais rien compris aux vrais problĂšmes posĂ©s... N'importe quoi, Ă  condition que ce soit Ă©phĂ©mĂšre –et, de prĂ©fĂ©rence, faux, con, et mauvais pour tout le monde (donc ''de Gauche''?).
Doutez-vous ? Alors passons rapidement en revue la derniĂšre sĂ©quence, celle qui nous prĂ©cipite dans le nĂ©ant Ă  une vitesse uniformĂ©ment accĂ©lĂ©rĂ©e. En vue des Ă©lections europĂ©ennes (date connue et im-bougeable), il fallait taper dans la caisse pour en vider un Ă  un tous les tiroirs, Ă  mauvais escient. On creuse ainsi la dette tout en multipliant les dĂ©ficits : l'argent est jetĂ© par les fenĂȘtres, les dons non provisionnĂ©s, les cadeaux non-solvables (et inutiles, tous) Ă  l'Ukraine, les menaces infantiles et irresponsables Ă  Poutine, le jeu malsain entre l'AlgĂ©rie et le Maroc (pour notre ennemi dĂ©clarĂ©, contre notre meilleur alliĂ©), et en recrutant 2 fois plus de ''ponctionnaires'' qu'il ne s'Ă©tait engagĂ© Ă  en supprimer, le prĂ©sident-enfant finit la sĂ©quence actuelle en tergiversant, devant un pays exsangue, en convoquant Bayrou, Cazeneuve, Bertrand, Beaudey et –derniĂšre trouvaille-- Barnier –celui dont la seule chose qu'on avait Ă  en dire Ă©tait ''il est aussi con qu'il est beau, et il est vraiment trĂšs beau'' –ce dernier critĂšre le diffĂ©renciant Ă©videmment de tous les autres. Le soi-disant ''maĂźtre des horloges'' n'est plus maĂźtre de rien du tout, et cette fin de sĂ©quence ressemble Ă  s'y mĂ©prendre Ă  une fin... pour le plaisir d'en finir.
Pour boucler la boucle avec le premier paragraphe de cet ''édito'', je vais dire que, à ce soir, si je n'ose pas (encore) écrire, en tant qu'éditorialiste, que notre président n'aime pas la France, je suis obligé de reconnaßtre, en tant que citoyen, que s'il l'aime, ce serait d'une maniÚre qui ne lui laisse aucune chance de survie. C'est quand, la prochaine ''présidentielle'' imprévue ?
H-Cl.
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guesswhogotaname · 2 years ago
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'Ă©quipe ! Me revoilĂ  aprĂšs avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulĂ© "FICS" et boum je tombe sur cette pĂ©pite hehehe! On est toujours sur cet ✹AU multilanguage kt ✹j'espĂšre que ça va vous plaire, n'hĂ©sitez pas Ă  partager vos idĂ©es et vos critiques ! đŸ€Ÿ VoilĂ , kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cƓur battait Ă  la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les reprĂ©sentants des terres celtes Ă©taient venus en CarmĂ©lide pour son mariage ; elle Ă©tait Ă©piĂ©e, chaque geste, chaque pas Ă©taient mĂ©ticuleusement observĂ©s, dĂ©tailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fiĂšre. FiĂšre d'ĂȘtre la digne fille de sa mĂšre et de son pĂšre ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une priĂšre ancienne, espĂ©rant ĂȘtre Ă  la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancĂ© Ă©tait lĂ , habillĂ© d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posĂ©e sur sa tĂȘte, son air bougon, agacĂ©, ses cheveux noirs, coupĂ© court, tellement diffĂ©rent des hommes d’ici. 
Elle arriva Ă  sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'Ă©tait encore un geste trop dĂ©mesurĂ© pour elle. Devant eux, le prĂȘtre s’avança, vĂȘtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant Ă  son cou. Il avait un calice dorĂ© entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrĂ©tiens. Sa mĂšre crachait sur leur pratiques barbare et austĂšre. Son pĂšre n’en pensait pas mieux. Son enfance avait Ă©tĂ© bercĂ©e de contes et de lĂ©gendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en riviĂšres ou en forĂȘt, des gĂ©ants qui siĂ©geaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sĂ©vĂ©ritĂ©. CrĂ©atures omniprĂ©sentes, toujours parmi eux, tĂ©moins silencieux. Ils Ă©taient impĂ©tueux et sa famille lui avait appris Ă  craindre la foudre, Ă  lire les signes des sĂ©cheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui prĂ©sagent la guerre. Elle obĂ©issait aux croyances de sa mĂšre et de son peuple. 
Le prĂȘtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonoritĂ©s Ă©corchĂ©es, aigĂŒes ; la dĂ©votion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiĂšte de ce que les Dieux pensĂšrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prĂȘtait un serment Ă  une icĂŽne factice. Elle essaya discrĂštement de faire signe Ă  sa mĂšre qui se tenait Ă  sa gauche. Cette derniĂšre hocha la tĂȘte, grande Reine-GuerriĂšre, elle ne flĂ©chira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cĂ©rĂ©monie. L’homme, qui se fait appeler « PĂšre » par les invitĂ©s, approcha le verre des lĂšvres de son Ă©poux. Il prit une gorgĂ©e, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prĂȘtre devant elle, lui tendant la coupe oĂč reposait un breuvage odorant et ocre Ă  l’intĂ©rieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obĂ©it. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifiĂ© et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophĂ©tie envoyĂ©e. Dans ces croyances, ce n'Ă©tait pas anodin, le sacrifice d'un ĂȘtre vivant Ă©tait nĂ©cessaire seulement pour mes fĂȘtes importantes ou avant les batailles dĂ©cisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "PĂšre" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulĂ© d'angoisse logĂ©e au dessus de sa poitrine, le prĂȘtre Ă©tait peut-ĂȘtre un mauvais prĂ©sage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampĂ©e du liquide Ăąpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goĂ»t infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'Ă©tait pas du sang. Son futur Ă©poux l’observa, Ă©tonnĂ© de sa rĂ©action, mais il eut un demi-sourire amusĂ©. 
Ghenifar ne put s’empĂȘcher de rougir. 
Le prĂȘtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez Ă©coutĂ© La parole de Dieu qui a rĂ©vĂ©lĂ© aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son Ă©poux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journĂ©e  » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez oĂč je les mets vos codes Ă  la con ? » Il menaça, la mĂąchoire crispĂ©e par sa colĂšre contenue.  
Des murmures se propagĂšrent dans l’assemblĂ©e. OutrĂ©, le prĂȘtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crĂąne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cƓur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scĂšne sans en saisir le sens. Les coutumes chrĂ©tiennes Ă©taient particuliĂšres. Dans sa famille, la foi Ă©tait pratiquĂ©e par des chants et des danses. On appelait les Dieux Ă  rejoindre les festivitĂ©s, les gens voulaient les honorĂ©s par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrĂšrent. Ghenifar resta suspendue Ă  ses lĂšvres, observant mĂ©ticuleusement son futur Ă©poux prononcĂ© des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient ĂȘtre tĂ©moins du dĂ©but de la plus belle histoire d’amour jamais Ă©crite. Elle Ă©tait si heureuse d’entendre ses vƓux, et son cƓur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa GwenhwĂżfar  » Il n’arriva pas Ă  terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amĂšre de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle Ă©tait d’une beautĂ© attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pĂ©tales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond Ă  peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pĂ©tillant d’une joie immense. Elle Ă©tait trop jeune pour ĂȘtre une Ă©pouse, pour ĂȘtre Reine. En dĂ©clarant ses vƓux d’un mariage Ă©ternel et heureux, Arthrhy la condamnait Ă  une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour ĂȘtre ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient Ă  sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La derniĂšre fois qu’il avait prononcĂ© ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent Ă  l’instant pour son impunitĂ©. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santĂ©, jusqu’à ce que la mort nous sĂ©pare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cƓur serrĂ© dans sa poitrine.
Lui qui avait cru ĂȘtre un homme intĂšgre, loyal et juste
 Il Ă©tait comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilĂšge sur le trĂŽne de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lĂąche. Il n’avait rien de l’étoffe des hĂ©ros et des rois de lĂ©gende. Ses poings se serrĂšrent, et sa mĂąchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son rĂšgne commençait et le poids sur ses Ă©paules Ă©tait dĂ©jĂ  incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légÚrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » RĂ©pondit le Roi, indiffĂ©rent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son pĂšre lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était Ă  son tour de prononcer les vƓux qui l’uniraient Ă  jamais Ă  cet homme. 
Ghenifar Ă©tait terrorisĂ©e, ses lĂšvres tremblĂšrent, le sang pulsait dans ses veines Ă  une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le mĂ©daillon de son Ă©poux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mĂȘmes vacillaient. Ce n'Ă©tait que des mots, elle les avait apprit par cƓur dĂšs son enfance, sa mĂšre lui rĂ©citait en coiffant ses cheveux indociles, elle rĂ©pĂ©tait "un jour, ma fille, tu Ă©pousera un homme, et tu nous rendra fiĂšre." Elle avait vĂ©cu avec cette Ă©pĂ©e au bord de la gorge. Elle Ă©tait une fille, elle devinerait femme et mĂšre, c'Ă©tait son devoir. Maintenant, elle devait prouver son hĂ©ritage de femme. Rendre ses parents fiers, ĂȘtre digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi
 Tha mi  » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh  » Ghenifar balbutia, effrayĂ©e du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cĂ©rĂ©monie. Toutes ces hommes et ces femmes qui Ă©coutaient son Ă©locution bancale, incertaine, profĂ©rer des paroles sacrĂ©es, elle Ă©tait indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage Ă©carlate, ses joues en feu. Ses yeux se levĂšrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son Ă©poux, sincĂšre et patient. Quelque chose se dĂ©noua dans ses entrailles, libĂ©ra sa gorge, et elle sentit les mots coulĂ©s hors de ses lĂšvres avec sĂ©rĂ©nitĂ© et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's lĂ mh an lĂ imh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dĂ©vouement Ă©ternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cƓur. 
L’épouse qu’on lui avait promise Ă©tait une Ăąme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle dĂ©sirait. 
Le prĂȘtre posa sa paume Ă  plat sur sa croix, sans dissimuler son Ă©motion. C’était un mariage rĂ©ussi, contrairement au prĂ©cĂ©dent qu’il avait eu le malheur d'officier
 
«Le CrĂ©ateur dit : VoilĂ  pourquoi l’homme quittera son pĂšre et sa mĂšre, il s’attachera Ă  sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il dĂ©clama Ă  l’assemblĂ©e, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sĂ©pare pas ! »
Des invitĂ©s applaudirent, des convertis chrĂ©tiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariĂ©e ne semblait pas autant ravie par ces dĂ©clarations. Le Roi de CarmĂ©lide maugrĂ©ait dans sa barbe et tapait du pied. Un paĂŻen reste un paĂŻen. Les paroles des chrĂ©tiens ne valaient rien, et le Roi de CarmĂ©lide ne se laisserai pas duper. Il cracha derriĂšre son Ă©paule, ces Dieux Ă  lui maudissaient dĂ©jĂ  cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, mĂȘme si c'Ă©tait sa fille qu'il dĂ©posait devant l'autel du jugement. C'Ă©tait elle qui subirait les consĂ©quences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariĂ©e. » Le prĂȘtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  DemandĂšrent Ă  l’unisson Arthrhy ainsi que le pĂšre de l’épousĂ©e. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que  »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de LĂ©odagan.
« Bah Sire
 C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah  »
Arthrhy ne savait plus oĂč poser son regard, dĂ©concertĂ©, il marmonna une insulte envers le prĂȘtre, ou Dieu, ou peut-ĂȘtre lui-mĂȘme. 
Ghenifar tourna la tĂȘte vers ses parents, cherchant une rĂ©ponse auprĂšs d’eux, mais son pĂšre se tenait les cĂŽtes pour ne pas rire, sa figure transformĂ©e par une grimace. Sa mĂšre, avec une discrĂ©tion immense, murmura de sorte que tous les invitĂ©s pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pĂČg ris  ! » Ghenifar Ă©tait rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliquĂ©. Il avança lĂ©gĂšrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cƓur tremblait. C’était elle qui franchit la derniĂšre limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrĂšrent, comme un choc. Le monde se mit Ă  gronder des hurrahs et autres acclamations des invitĂ©s. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumiĂšre et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considĂ©rer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermĂ© dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obĂ©issant et soumis Ă  son pouvoir indiscutable. Son destin Ă©tait lancĂ©, et pourtant il Ă©tait vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet Ă  la main, ses rĂȘves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premiĂšres loges du dĂ©but d’une tragĂ©die. 
Les paroles du prĂȘtre rĂ©sonnaient dans sa tĂȘte comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dĂ©s Ă©taient jetĂ©s ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-mĂȘme, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naĂŻve, pour devenir Autre. Elle s’était liĂ©e Ă  un homme, le peuple voulait d’elle la bĂ©nĂ©diction de porter ses hĂ©ritiers, cette figure fidĂšle et inĂ©branlable aux cĂŽtĂ©s d’un roi tout puissant. VoilĂ  son rĂŽle, Ă©pouse et mĂšre. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tĂąche Ă©pouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystĂ©riques de son cƓur. Elle savait ce qui l’attendait dĂ©sormais. 
La nuit de noces. 
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bonsoirs37 · 2 years ago
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29/05 jour 2 Excursion
6 ArrĂȘts de prĂ©vu avec commentaires en Espagnol, anglais et français.
MUROS , culture de moules. 8000 habitants, village de pĂȘcheurs.
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Orio : pour conserver maïs, poisson, pommes de terre... obélisque a chaque extrémité des orios , signe de fertilité, (origine celte) En bois , brique, granit suivant la région.
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A suivre
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Invasion de la GrĂšce par les Celtes
Entre le Ve et le IVe siÚcle avant notre Úre, les tribus celtes se déplacÚrent en masse vers le sud de l'Europe, avec l'intention de s'emparer des terres et des richesses pour nourrir leur nombre croissant. En franchissant les Alpes, ces tribus entrÚrent en conflit avec les Romains et les Grecs qui vivaient autour de la Méditerranée. La mort d'Alexandre le Grand (356 av. J.-C. - 323 av. J.-C.) fit de la GrÚce une cible facile pour de nombreux chefs celtes opportunistes qui conduisirent leur peuple dans les Balkans, d'abord en Thrace et en Illyrie, avant d'avancer vers la Macédoine.
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nordiamus · 1 year ago
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Les Civilisations Paléomagos
La dĂ©couverte pour les humains du monde magique suite Ă  l’ÉvĂ©nement de Stonehenge ne fut pas le seul choc majeur qui suivit l’Éveil de la Magie.
Les multiples barriĂšres de dissimulations tombĂ©es rĂ©vĂ©lĂšrent Ă©galement les Mers, que mĂȘme les magus avaient oubliĂ©s
 mais surtout de multiples ruines Ă  travers le monde, prĂ©datant toutes les civilisations connues!
Ces ruines, il s’avĂ©ra vite, Ă©taient les vestiges des civilisations PalĂ©omagos, peuples d’Homo Magicus vivant durant le MĂ©solitique, et ayant disparu au NĂ©olithique.
Ces civilisations faisaient toutes un grand usage de magie, Ă  un niveau Ă©quivalent, voire parfois supĂ©rieur au niveau de connaissance et de maĂźtrise de la magie actuel, et mĂȘme un niveau technique et culturel proche des Homo Sapiens durant l’AntiquitĂ©. De plus, l’usage de magie fait que ces civilisations pouvaient voyager et communiquer Ă  travers le monde avec une facilitĂ© qui ne sera plus vue jusqu’à la RĂ©volution Industrielle. MĂȘme si on avait perdu tout souvenir d’elles, ces civilisations avaient clairement laissĂ© leur trace dans l’Histoire, puisqu’on trouve encore, des millĂ©naires aprĂšs leur disparition, des vestiges de leur culture dans les civilisations humaines ayant suivi.
Liste des Civilisations Paléomagos:
Agartha
localisation : Ouest Asie, principalement dans l’Himalaya jusqu’en Inde et au NĂ©pal mais Ă©galement jusqu’en Mongolie et en OuzbĂ©kistan langue : Samskrtam Agarthan Ă©criture : Siddham Agarthan style architectural : rappelant des temples hindous Il s’agit d’une civilisation presque entiĂšrement souterraine, si bien que les ruines auxquels on a pu avoir accĂšs sont trĂšs bien prĂ©servĂ©es. En contrepartie, la dĂ©couverte et l’accĂšs Ă  ces ruines est parmi les plus compliquĂ©s.
Les Agarthans Ă©taient un peuple vivant relativement isolĂ©, ne faisant que peu de commerce, et trĂšs spirituel, cherchant Ă  se rapprocher toujours plus de l’essence de la magie. C’est probablement pour cela qu’ils vivaient sous terre, cherchant Ă  se rapprocher plus des points telluriques oĂč la magie Ă©tait la plus puissante, mais aussi la plus instable. Leur utilisation de la magie s’appuyait largement sur les gemmes taillĂ©es, faisant de leurs zones magiques des Ɠuvres d’art Ă©tincelantes.
Avalon
localisation : Europe du Nord-Ouest, de l’Islande Ă  la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en SuĂšde langue : Gaelg Avalonan Ă©criture : Ogham Avalonan style architectural : rappelant du celte et viking Les Avalonans Ă©tait un peuple trĂšs spirituel, mais ouvert aux autres cultures dans son ensemble. Religieux, la divinitĂ© principale de leur panthĂ©on Ă©tait une dĂ©esse de la Magie et de la Flore. Ils construisaient donc Ă©normĂ©ment en symbiose avec la nature. Leurs ruines ne sont pas faciles Ă  trouver, car les constructions les plus durables sont enfouies pour se rapprocher des lignes telluriques, tandis que le reste Ă©tait fait pour ĂȘtre difficilement diffĂ©renciable de la nature. Des recherches Ă  Stonehenge ont rĂ©vĂ©lĂ© que le site avait Ă©tĂ© bĂąti au-dessus d’une place religieuse Avalonane, d’oĂč l’ÉvĂ©nement de Stonehenge a probablement Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ© d’une maniĂšre ou d’une autre
 Les Ă©crits Ă  travers le monde semblent s’accorder pour dire que les Avalonans Ă©taient un peuple ayant un don pour la Divination innĂ©.
Atlantis
localisation : Bassin mĂ©diterranĂ©en langue : Ellinika Atlantida Ă©criture : Alfavito Atlantida style architectural : rappelant du style grĂ©co-romain antique Peu de ruines ont pour l’instant Ă©tĂ© explorĂ©s, car cette civilisation possĂ©dait probablement les barriĂšres les plus sophistiquĂ©es, difficiles Ă  dĂ©sarmer et dangereuses Ă  forcer. Des rares ruines ouvertes, il est clair qu’ils sont l’influence principale derriĂšre l’architecture grĂ©co-romaine. Ils paraissaient avoir une approche quasi scientifique de la magie, n’ayant quasiment aucune notion de religion et Ă©taient trĂšs commerçants. Ils ont probablement crĂ©Ă© les fondamentaux de l’Arithmancie.
Hyperborea
localisation : de la SuĂšde jusqu’en CorĂ©e, couvrant principalement la Russie et l’Europe de l’Est langue : Hyperboroi Yazik Ă©criture : Cyril Hyperboreal style architectural : rappelant les fort militaires XVIIe siĂšcle C’était un peuple martial, trĂšs ordonnĂ©, voyant plutĂŽt d’un mauvais Ɠil ceux s’intĂ©ressant de trop prĂšs aux lignes et points telluriques, car ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme trop dangereux, puisque la magie environnante en est plus puissante, mais surtout plus instable. Ils commerçaient assez peu et ont provoquĂ© des conflits avec la plupart de leurs voisins. Les rares ruines identifiĂ©es pour l’instant Ă©taient toutes des forts, massivement fortifiĂ©s aussi bien magicalement que physiquement, ayant probablement inspirĂ© les premiers chĂąteaux au Moyen Âge et confirmant leur cĂŽtĂ© trĂšs belliqueux.
Iram
localisation : Moyen-Orient, de la Turquie Ă  l’Éthiopie, de la Libye au Pakistan langue : Iram-Gi Ă©criture : Cuneis Irami style architectural : rappelant PĂ©tra et les villes troglodytes Tout aussi commerçants que leurs voisins Atlantes, les Iramis avaient en revanche une approche bien plus artistique de la magie, et sont ceux qui ont laissĂ© le plus de recueils Ă©crits de l’époque dans leurs ruines. En outre, la dĂ©sertification de la rĂ©gion a enfoui nombre de ruines, les rendant difficiles Ă  retrouver. C’était un peuple troglodyte, rendant leurs ruines d’autant plus dĂ©licates Ă  retrouver, mais le travail fait dans les montagnes et autres ravins oĂč on a retrouvĂ© leurs traces est absolument Ă©poustouflant.
Lemurie
localisation : Sub-Sahara et OcĂ©an Indien langue : Al’Lemuria Ă©criture : Abjad’ Lemuria style architectural : navires de tous types
On ne sait que peu de choses des Lemures, car trĂšs peu de ruines ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es. Cependant, tout indique que c’était un peuple de marins, trĂšs douĂ© en astronomie et vivant plus en mer qu’à terre, leurs navires ayant Ă©tĂ© de vraies villes flottantes. Malheureusement, cette vie sur l’eau fait que presque tout a Ă©tĂ© perdu de leur civilisation, Ă  l’exception de quelques restes trĂšs dĂ©gradĂ©s par le temps. Cependant, les rumerus veulent qu’il existe encore certains de leurs navires, si bien protĂ©gĂ©s qu’ils n’ont pas encore Ă©tĂ© retrouvĂ©s, et que ce seraient eux qui sont Ă  l’origine de la plupart des lĂ©gendes de navires fantĂŽmes.
Mu
Localisation : Amérique du Nord, mais également Nouvelle-Zélande et Australie langue : Tjukurrpa-Kapi écriture : Tjukurrpa-Waru style architectural : rappelant les ruines Incas
Ayant entretenu des liens Ă©troits avec les Avalonans, le peuple de Mu avait une civilisation similaire, mais donnant la part belle Ă  la Faune plutĂŽt qu’à la Flore, et que leurs temples n’étaient pas sous terre mais au cƓur des montagnes. Il est fort probable que les premiers Bestiamihis viennent de cette civilisation.
Tiwanaku
localisation : AmĂ©rique du Sud et Centrale langue : Tsagali Mu Ă©criture : Sequoyah Mu style architectural : rappelant les ruines mayas C’est le seul peuple dont des ruines ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes avant mĂȘme l’ÉvĂ©nement de Stonehenge, bien que, bien entendu, personne Ă  l’époque n’ait cru Ă  la datation qui paraissait fantaisiste des lieux. C’est peut-ĂȘtre le peuple le plus diffĂ©rent, cherchant au contraire Ă  s’élever vers les cieux en s’établissant sur de hauts plateaux montagneux plutĂŽt qu’à vivre sous terre comme le faisaient nombre de leurs contemporains. Ils pratiquaient Ă©normĂ©ment la magie rituelle, et sont l’exemple typique que l’on donne pour prĂ©venir des dangers de la magie noire : on pense en effet que cette civilisation s’est Ă©croulĂ©e avant les autres suite Ă  une pratique trop intensive de rituels dangereux, ayant rendu une bonne partie de leur civilisation folle ou corrompue.
Yamatai
localisation : Japon, Chine et Asie du Sud-Est langue : Yamatai Guo Ă©criture : Kan Yamatai style architectural : rappelant les chĂąteaux japonais Cette civilisation Ă©tait probablement la plus isolationniste, n’ayant quasiment pas de liens avec les autres peuples de l’époque et se contentant de commerce interne. Ils avaient une bonne maĂźtrise des rituels, et des lois trĂšs strictes Ă  ce sujet pour Ă©viter les cas de corruption et de folie.
C’était Ă©galement un peuple spirituel, respectueux de la magie qu’ils possĂ©daient et tout Ă  fait conscient de sa dangerositĂ©. LĂ  encore, leur architecture a Ă©tĂ© adoptĂ©e, d’abord part les Youkais, puis par les populations non magiques de la rĂ©gion bien plus tard.
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lepartidelamort · 2 months ago
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Halloween c’est COOL et c’est BLANC.
Ce sujet nĂ©cessitait une discussion franche Ă  propos des Ă©ternels gĂącheurs de fĂȘte.
Je voulais Ă©crire cet article hier, mais peu importe.
Avec Halloween, nous avons eu le camp des rabat-joie, tout spĂ©cialement de droite, qui a trouvĂ© judicieux de pester. À cette occasion, les Catholiques ont particuliĂšrement voulu se rendre plus marginaux qu’ils ne le sont dĂ©jĂ .
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« Je prĂ©fĂšre l’amour ! »
Ces ChrĂ©tiens « pĂ©tris d’amour », avec leur inquisition et leurs bĂ»chers, le sont tout autant que les antifas qui vous cassent la gueule en meute au nom de la tolĂ©rance universelle.
Quand ils saccageaient notre culture, ils ne procédaient pas avec des mots doux.
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On s’en doute, rembarrer les gamins du voisinage en rageant comme un vieux con va contribuer Ă  une affluence renouvelĂ©e Ă  l’église. Qui ne voudrait pas frĂ©quenter des saint-sulpiciens aigris qui refusent de donner des bonbons aux gosses, je vous pose la question ?
Quoi qu’ils en pensent, avec 3% de pratiquants rĂ©els, le christianisme est rĂ©siduel en France et il ne reviendra pas. Ils peuvent bouillir dans leur coin en maudissant leurs semblables, c’est la rĂ©alitĂ© et la rĂ©alitĂ© est tout ce qui nous importe tant que nous vivons sur cette terre.
Parmi les arguments rĂ©currents contre cette fĂȘte, le caractĂšre « amĂ©ricain » d’Halloween auquel est associĂ© sa dimension « commerciale ». Cette festivitĂ© serait le symptĂŽme de l’acculturation des Français sous l’effet de la domination du capitalisme amĂ©ricain et son caractĂšre artificiel proviendrait de cette importation « verticale » imposĂ©e par le business transatlantique que les masses de consommateurs abrutis adopteraient sans rĂ©flĂ©chir.
Tout cela est vrai, mais ça ne change rien.
Les ChrĂ©tiens sont les derniers Ă  pouvoir l’ouvrir sur ce sujet, eux qui ont imposĂ© leur religion dĂ©sertique aux EuropĂ©ens par la coercition et la terreur intellectuelle.
Si cette religion est aussi massivement abandonnĂ©e par les peuples blancs, ce n’est pas uniquement en raison du matĂ©rialisme culturel, mais aussi parce qu’elle Ă©tait une prison mentale qui reposait sur la terreur infernale agitĂ©e sous le nez des masses par des curĂ©s qui n’étaient pas les derniers Ă  sauter leurs bonnes ou Ă  piquer dans la caisse.
Et je ne parle pas de l’accueil chaleureux que la plupart des Catholiques rĂ©servent aux nĂšgres d’Afrique dans leurs Ă©glises et qu’ils ne trouvent pas du tout « importĂ©s », ni inorganiques en Europe.
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Il est un fait incontestable que les reprĂ©sentations de Halloween – d’ailleurs littĂ©ralement « FĂȘte de tous les saints » en anglais – est autrement plus authentique et lĂ©gitime chez nous que cette histoire de « saints » inspirĂ©s par Yahveh.
D’ailleurs, ce sont les ChrĂ©tiens qui se sont appropriĂ©s cette fĂȘte, pas l’inverse.
Wikipédia :
La fĂȘte catholique de la Toussaint tire son origine d’une commĂ©moration de tous les martyrs, instituĂ©e Ă  Rome en 613 par le pape Boniface IV ; Ă  l’origine, elle Ă©tait fĂȘtĂ©e le 13 mai, jour anniversaire de la consĂ©cration chrĂ©tienne du PanthĂ©on. Elle remplaçait la fĂȘte des Lemuria de la Rome antique cĂ©lĂ©brĂ©e Ă  cette date pour conjurer les spectres malfaisants. Au IXe siĂšcle, la fĂȘte fut Ă©tendue Ă  « tous les saints » par le pape GrĂ©goire IV et dĂ©calĂ©e au 1er novembre. Les historiens considĂšrent gĂ©nĂ©ralement que cette date a Ă©tĂ© choisie pour christianiser la fĂȘte de Samain.
C’est par un heureux effet boomerang que cette fĂȘte anglo-celtique de Grande-Bretagne est revenue en Europe continentale receltiser les Blancs, Gaulois en tĂȘte.
Pour les Celtes dont nous descendons, Halloween n’est rien d’autre que Samonios, le premier jour du premier mois de l’annĂ©e celtique. Elle ouvre la saison sombre, qui dure 6 mois, et s’étend jusqu’à Beltaine, le 1er mai.
Wikipédia :
La plupart des historiens considĂšrent la fĂȘte folklorique paĂŻenne traditionnelle d’Halloween comme un hĂ©ritage de Samain, une fĂȘte qui Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ©e au dĂ©but de l’automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fĂȘte du Nouvel An. Pendant la protohistoire celtique, existait une fĂȘte religieuse – Samain en Irlande, Samonios en Gaule –, qui se dĂ©roulait sous l’autoritĂ© des druides, pendant sept jours : le jour de Samain lui-mĂȘme et trois jours avant et trois jours aprĂšs. « C’est une fĂȘte de fermeture de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e et d’ouverture de l’annĂ©e Ă  venir. Dans le calendrier celtique basĂ© sur le cycle solaire, la date de Samain correspondait Ă  la mi-temps d’une des quatre pĂ©riodes allant d’un Ă©quinoxe et Ă  un solstice, ou d’un solstice Ă  un Ă©quinoxe. Par diffĂ©rence, ce sont les extrĂ©mitĂ©s de ces pĂ©riodes qui sont aujourd’hui l’occasion de cĂ©lĂ©brations dans les sociĂ©tĂ©s occidentales, et non leurs mi-temps : notre nouvel an actuel est fixĂ© dix jours aprĂšs le solstice d’hiver, PĂąques est fĂȘtĂ©e au moment de l’équinoxe de printemps, au solstice d’étĂ© a lieu la fĂȘte de la musique. Seul l’équinoxe d’automne n’étant pas fĂȘtĂ© au profit de la mi-temps de la pĂ©riode qui le sĂ©pare du solstice d’hiver. Le temps de Samain est celui du Sidh (l’autre monde) briĂšvement confondu avec celui de l’humanitĂ© ». La nuit de Samain n’appartient ni Ă  l’annĂ©e qui se termine, ni Ă  celle qui commence. La fĂȘte est une pĂ©riode close en dehors du temps. C’est la pĂ©riode oĂč les barriĂšres sont baissĂ©es et oĂč, selon les croyances de l’époque, l’irrĂ©el cĂŽtoie le rĂ©el et oĂč les hommes peuvent communiquer avec les gens de l’autre monde (Il s’agit lĂ  de dĂ©mons ou des dieux des Tuatha DĂ© Danann). Lors de cette nuit de fermeture, les Gaulois avaient l’habitude de pratiquer une cĂ©rĂ©monie afin de s’assurer que la nouvelle annĂ©e Ă  venir se dĂ©roulerait sereinement. Par tradition, ils Ă©teignaient le feu de cheminĂ©e dans leur foyer puis se rassemblaient en cercle autour du feu sacrĂ© de l’autel, oĂč le feu Ă©tait aussi Ă©touffĂ© pour Ă©viter l’intrusion d’esprits malĂ©fiques dans le village. AprĂšs la cĂ©rĂ©monie, chaque foyer recevait des braises encore chaudes pour rallumer le feu dans sa maison pour ainsi protĂ©ger la famille des dangers de l’annĂ©e Ă  venir. Les fĂȘtes druidiques ont disparu d’Irlande au Ve siĂšcle, avec l’arrivĂ©e d’une nouvelle religion, le christianisme.
Samonios est un moment hors du temps oĂč le monde se dissout et se rĂ©gĂ©nĂšre. Il est pour cette raison associĂ© Ă  la mort, elle mĂȘme un Ă©tat transitoire de l’ñme entre deux Ă©tats stables, mais aussi entre deux mondes.
C’est pour cette raison que nous allons fleurir les tombes de nos morts Ă  cette occasion : c’est le moment de l’annĂ©e oĂč nous pouvons en ĂȘtre physiquement le plus proches. Telle Ă©tait la conception de nos druides.
Cela se perpĂ©tue dans le monde nord-europĂ©en en illuminant les tombes le premier novembre. Se souvenir des morts les empĂȘchent de disparaĂźtre dans l’indiffĂ©renciation post-mortem.
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C’est Ă©galement un moment de danger. Les esprits chtoniens, du monde souterrain et obscur, peuvent surgir dans notre monde. D’oĂč ces rĂ©fĂ©rences aux monstres et Ă  la mort. Loin d’ĂȘtre leur « cĂ©lĂ©bration », c’est une Ă©preuve pour s’en emparer et mieux les dominer.
C’est donc une fĂȘte qui repose sur des mĂ©canismes psychologiques ancestraux extrĂȘmement puissants qui rĂ©veillent la mĂ©moire raciale des Blancs.
Les Catholiques – rejoints par quelques marxistes toujours obsĂ©dĂ©s par le fric des autres – qui viennent geindre Ă  propos de la dimension « commerciale » de l’affaire oublient de dire que toutes les grandes fĂȘtes chrĂ©tiennes Ă©taient des excuses pour commercer.
Ce que l’on appelait les « foires » mĂ©diĂ©vales. Un continent inconnu de ces gens enfermĂ©s dans leurs clapiers rĂ©sidentiels.
Wikipédia :
L’originalitĂ© des foires de Champagne est sans doute de former ainsi un cycle Ă©quilibrĂ© et continu tout au long de l’annĂ©e de « foires chaudes » (en Ă©tĂ©) et « froides » (en hiver) ainsi que de foires principales et secondaires qui procure aux marchands une place d’échange presque permanente permettant non seulement d’échanger des marchandises mais aussi de rĂ©gler leurs affaires financiĂšres.
2 au 15 janvier : foire « des Innocents » de Lagny-sur-Marne ;
mardi avant la mi-carĂȘme au dimanche de la Passion : foire de Bar-sur-Aube ;
semaine de la Passion : foire de SĂ©zanne ;
mai : foire chaude de « Saint-Quiriace » de Provins ;
24 juin à la mi-juillet : foire « chaude » ou de la Saint-Jean à Troyes ;
septembre / octobre : foire froide de « Saint-Ayoul » à Provins16 ;
début novembre à la semaine avant Noël : foire « froide » ou de la « Saint-Remi » à Troyes.
L’Eglise est fortement reprĂ©sentĂ©e dans l’organisation de ces foires dans une sociĂ©tĂ© oĂč la vie sĂ©culiĂšre est rythmĂ©e par le calendrier religieux. Les grandes fĂȘtes et les pĂšlerinages coĂŻncident souvent avec des foires et une frĂ©quentation importante.
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Quand la France était chrétienne, on ne laissait pas le commerce dénaturer notre culture !
S’il y a bien quelque chose qui a contribuĂ© Ă  la ruine de l’ñme des gens en France, c’est la conjonction de la casuistique mĂ©diĂ©vale et du rationalisme de l’EncyclopĂ©die en plus du saupoudrage marxiste au 20Ăšme siĂšcle.
Ça nous a donnĂ© des coupeurs de cheveux en quatre Ă  « principes », gĂ©nĂ©ralement dĂ©garnis et myopes, cette sous-humanitĂ© dĂ©pourvue de toute Ă©nergie vitale et de toute mystique – oui, la casuistique est dĂ©pourvue de mystique, peu importe ce qu’elle bavarde – dont nos profs de gauche contemporains descendent en droite ligne.
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Terrifie l’église de bergogliologie
Enfin, plus concrĂštement, en cette Ă©poque d’individualisme terminal oĂč les Blancs sont incapables de faire quoi que ce soit ensemble, tout ce qui peut les pousser Ă  sortir de leurs pavillons pour Ă©changer toutes gĂ©nĂ©rations confondues est bĂ©nĂ©fique. Les personnes ĂągĂ©es sont ravies de voir les gamins du quartier avec leurs petits costumes venir sonner Ă  leurs portes. Les enfants voient autre chose que leurs Ă©crans et se rendent compte qu’il y a des personnes qui vivent prĂšs de chez eux.
Enfin, ce qui ne gùche rien, par son caractÚre païen, elle est délicieusement haram, fonciÚrement anti-abrahamique, inconsciemment raciste.
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Pour toutes ces raisons, je suis un partisan rĂ©solu de la Samonios contemporaine que l’on nomme « Halloween », Ă  dĂ©faut d’une Samonios stricto sensu, peu importe ce que racontent les casse-pieds qui voudraient nous clouer devant leur Yeshoua communiste.
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DĂ©mocratie Participative
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fallpumpkinpie · 2 months ago
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#Blogtober Day 31; Samhain 101
L’Halloween, cĂ©lĂ©brĂ©e le 31 octobre, tire ses origines de la fĂȘte celtique de Samhain, une ancienne cĂ©lĂ©bration marquant la fin de la saison des rĂ©coltes et le dĂ©but de l’hiver. Pour les Celtes, cette pĂ©riode symbolisait la frontiĂšre entre le monde des vivants et celui des morts, moment oĂč les esprits pouvaient revenir sur terre. Afin de se protĂ©ger des mauvais esprits, les gens allumaient des

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grandboute · 6 days ago
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Arran Cir Mhor, summit of Caisteal Abhail (and Goatfell).
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herboristecueilleuse · 22 days ago
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DĂ©cembre, l'esprit de la forĂȘt
mardi 10 dĂ©cembre Atelier herboriste – Epicerie Le bugue de 10h Ă  12h mercredi 11 dĂ©cembre Dedicace herboriste – Librairie Marie et les mots 10h Ă  12h Dimanche 15 dĂ©cembre Dedicace herboriste et permanence – Epicerie associative LEs Locos – 10h Ă  18h. Les Eyzies de tayac E-book MĂ©decine celte et pratiques de fumigation Est-il un endroit sur terre oĂč le brĂ»lage de vĂ©gĂ©taux Ă  des fins de

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christophe76460 · 2 months ago
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REGARDONS LA FÊTE D'HALLOWEEN DU POINT DE VUE DE LA BIBLE .
« 
 et ne prenez point part aux Ɠuvres infructueuses des tĂ©nĂšbres, mais plutĂŽt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce qu’ils font en secret. » (ÉphĂ©siens 5:11,12)
La Bible dit que le chrĂ©tien est appelĂ© Ă  la libertĂ©, que nous sommes sous la grĂące et non sous la loi. Une nouvelle vie en JĂ©sus-Christ nous a donnĂ© la libertĂ© de vivre comme nous choisissons de vivre. Mais, avec cette libertĂ© vient la responsabilitĂ© gĂ©niale de vivre nos vies d’une maniĂšre telle que nous sommes prĂȘts pour le siĂšge du jugement du Christ. Les bons choix, les choix divins faits ici sur la terre vont rĂ©colter des couronnes dans le ciel. Mais, l’utilisation de cette mĂȘme libertĂ© comme une occasion pour nos propres dĂ©sirs Ă©goĂŻstes rĂ©sulte dans la perte de ces couronnes. La Bible dit que vous devez choisir aujourd’hui qui vous servirez. Dieu nous permet de faire des choix.
Tout au long de la Bible, nous lisons Ă  propos de Satan, le diable, dont le seul but dans la vie est de nous faire trĂ©bucher, de nous causer de la misĂšre et de la tristesse. La Bible dit qu’il ne vient que pour chercher ses victimes, pour tuer ses victimes, et pour dĂ©truire autant de vies sauvĂ©es et non-sauvĂ©es que possible. Il est une force constante qui nous leurre dans l’égarement, et qui nous attire sans fin vers le cĂŽtĂ© obscur, et qui utilise tous les moyens possibles pour complĂ©ter sa mission.
L’Halloween en AmĂ©rique en 2014 Ă©tait une des « fĂȘtes » les plus cĂ©lĂ©brĂ©es pendant toute l’annĂ©e, et les chrĂ©tiens y ont participĂ© presque autant que tout autre groupe de personnes. Les parents habillent leurs petits chĂ©ris en princesse et en costumes de cow-boy, frappent aux portes pour des bonbons, et dĂ©corent l’intĂ©rieur et l’extĂ©rieur de leurs maisons avec des lanternes festives, des fantĂŽmes suspendus, d’adorables sorciĂšres et sorciers. Mais, d’oĂč ce jour provient-il ? Nous allons jeter un coup d’Ɠil.
Beaucoup de chrĂ©tiens cĂ©lĂšbrent les fĂȘtes, comme l’Halloween, sans penser Ă  leurs origines ou leur vrai sens. Il est impossible de sĂ©parer l’Halloween des druides parce qu’ils ont commencĂ© le « jour fĂ©riĂ© ». Pendant plusieurs centaines d’annĂ©es avant JĂ©sus-Christ, les Celtes ont habitĂ© ce qui est maintenant la France, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Écosse et l’Irlande. Les prĂȘtres celtiques Ă©taient appelĂ©s les druides. Ces peuples ont finalement Ă©tĂ© conquis par les Romains. Les informations sur les Celtes et les Druides proviennent de CĂ©sar et des historiens romains, des Ă©crits grecs aux environs de 200 avant JĂ©sus-Christ, et de trĂšs anciens Ă©crits retrouvĂ©s en Irlande. Les Ă©crits grecs et romains sur les Druides insistent lourdement sur leurs frĂ©quents sacrifices humains barbares. Les anciens textes irlandais en disent trĂšs peu sur les sacrifices humains, mais, dĂ©taillent l’utilisation de la magie par les Druides pour soulever des tempĂȘtes, jeter des sorts contre des lieux, tuer par l’utilisation de sorts et crĂ©er des obstacles magiques.
Les mignonnes lanternes illuminĂ©es sur votre porche ont Ă©tĂ© utilisĂ©es d’abord par les Druides dans leurs sacrifices humains. AprĂšs avoir tuĂ© leur victime, ils drainaient la graisse de leur corps et remplissaient une gourde ou une citrouille pour ensuite mettre une bougie Ă  l’intĂ©rieur. Un visage sinistre Ă©tait sculptĂ© sur la face extĂ©rieure de la citrouille et la mĂšche Ă©tait allumĂ©e, en utilisant la graisse comme carburant. Cela Ă©tait fait pour apaiser leurs dieux, les esprits obscurs, Satan.
Le 31 octobre Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ© par les Druides avec beaucoup de sacrifices humains et un festival honorant leur dieu soleil et Samhain, le seigneur des morts. Ils croyaient que les Ăąmes pĂ©cheresses de ceux qui Ă©taient morts au cours de l’annĂ©e allaient dans un lieu de tourments et ne seraient libĂ©rĂ©es que seulement si Samhain Ă©tait satisfait de leurs sacrifices.
Les Ă©crits Irlandais racontent la fascination que les moines catholiques avaient avec les puissants Druides, et les Druides devinrent bientĂŽt des membres importants de leurs monastĂšres. Le Pape GrĂ©goire le Grand a dĂ©cidĂ© d’intĂ©grer les fĂȘtes des Druides dans l’église. Il a fait la proclamation que, « Ils ne doivent plus sacrifier des bĂȘtes au diable, mais, ils peuvent les tuer pour la nourriture afin de plaire Ă  Dieu, et rendre grĂące au donateur de tous les dons pour sa bontĂ© ». Le Pape GrĂ©goire III a dĂ©placĂ© le festival de l’église du 31 octobre au 1 novembre et l’a appelĂ© la FĂȘte de Tous les Saints ou la Toussaint. Le Pape GrĂ©goire IV a dĂ©crĂ©tĂ© que la journĂ©e devait ĂȘtre respectĂ©e par l’église universelle. Le terme Halloween provient de All Hallows Eve.
Les pĂšres fondateurs de l’AmĂ©rique ont refusĂ© de permettre l’observation de la fĂȘte parce qu’ils savaient qu’elle Ă©tait un jour fĂ©riĂ© paĂŻen. L’Halloween n’a pas Ă©tĂ© largement cĂ©lĂ©brĂ©e aux États-Unis avant 1900. Dans les annĂ©es 1840, il y avait une famine terrible en Irlande, et ceci a envoyĂ© des milliers de catholiques irlandais en AmĂ©rique. Ils ont apportĂ© avec eux l’Halloween. La coutume moderne d’aller de porte en porte pour demander de la nourriture et des bonbons remonte Ă  l’époque des Druides. Ils croyaient que les Ăąmes perdues et pĂ©cheresses Ă©taient libĂ©rĂ©es sur la terre par Samhain pendant une nuit, le 31 octobre, alors qu’elles attendaient leur jugement. Ils pensaient que ces Ăąmes se prĂ©sentaient devant les maisons des vivants et Ă©taient accueillies avec des tables pleines de banquets. Les gens craignaient beaucoup ces esprits et pensaient que les esprits leur nuiraient et mĂȘme les tueraient si les sacrifices qu’ils donnaient n’apaisaient pas Samhain. Ils sculptaient des visages dĂ©moniaques dans des citrouilles ou de grands navets et y plaçaient une bougie afin de garder les mauvais esprits loin de leurs foyers.
La tradition de creuser des pommes pour y placer des noix provenait d’une addition romaine pour la veille du Nouvel An druidique. Les Romains adoraient Pomona qui Ă©tait la dĂ©esse de la moisson. Ils ont combinĂ© leur fĂȘte de la moisson de Pomona avec l’Halloween. TrĂšs peu de preuves archĂ©ologiques des Druides ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es, mais, il existe un excellent accord entre les documents romains et irlandais. Les deux affirment clairement que les connaissances des Druides n’ont jamais Ă©tĂ© Ă©crites, mais, transmises de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration par des enseignements oraux. C’était pour protĂ©ger leurs secrets. Rien ne devait ĂȘtre Ă©crit. Les Druides continuent secrĂštement avec sensiblement les mĂȘmes traditions.
Lorsque nous, les chrĂ©tiens, participons Ă  l’Halloween, nous poursuivons la tradition druidique qui a commencĂ© avec les sacrifices humains et les adorations des dieux souterrains. La Bible nous dit de non seulement Ă©viter le mal, mais, aussi d’éviter tout ce qui pourrait paraĂźtre mal. Nous sommes appelĂ©s Ă  ĂȘtre « le sel et la lumiĂšre » pour un monde perdu et mourant. Nous sommes appelĂ©s Ă  ĂȘtre un « peuple particulier », visiblement diffĂ©rent du monde qui nous entoure. Participer au festival du Diable, Ă  tout le moins, est un mauvais tĂ©moignage et envoie des messages confus Ă  nos enfants.
Utilisez votre libertĂ© dans le Christ de toutes les façons que vous choisissez pour ce 31 octobre, mais, rappelez-vous seulement qu’un jour JĂ©sus vous demandera des explications Ă  ce sujet au SiĂšge de Jugement.
Quelle réponse Lui donnerez-vous lors de cette journée ?
Geoffrey Grider
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aurevoirmonty · 11 months ago
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"[.. ] il est intĂ©ressant de reproduire cette significative formule d’exhortation guerriĂšre de l’antique tradition celte : « Combattez pour votre terre et acceptez la mort s’il le faut : car la mort est une victoire et une libĂ©ration de l’ñme ». C’est le mĂȘme concept qui correspond dans nos traditions classiques Ă  l’expression : mors triumphalis."
Julius Evola, MĂ©taphysique de la Guerre (1935)
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a-lausanne · 4 months ago
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La ville de Lausanne, située sur les rives du lac Léman et entourée par les Alpes, a une histoire qui s'étend sur plusieurs millénaires. Des premiÚres traces de peuplement préhistorique aux périodes celte, romaine et médiévale, Lausanne a joué un rÎle clé en tant que centre religieux, intellectuel et commercial. Aujourd'hui, Lausanne est une ville dynamique et moderne, mondialement connue pour son rÎle dans le sport, notamment en tant que siÚge du Comité International Olympique (CIO). Ce guide explore en profondeur l'évolution de Lausanne à travers les ùges.
1. Les origines préhistoriques et celtiques
Les premiĂšres traces d'occupation humaine dans la rĂ©gion de Lausanne remontent Ă  la prĂ©histoire, environ 4 000 ans avant notre Ăšre. La rĂ©gion autour du lac LĂ©man Ă©tait propice Ă  la vie humaine en raison de l'abondance des ressources naturelles comme l'eau, le poisson et le bois. Les premiĂšres habitations lacustres (palafittes) ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes Ă  proximitĂ© des rives du lac, notamment Ă  Vidy, un quartier de Lausanne. Ces premiĂšres communautĂ©s vivaient principalement de la pĂȘche, de l'agriculture et du commerce local.
Au cours de l'Ăąge du fer, la rĂ©gion de Lausanne Ă©tait habitĂ©e par les HelvĂštes, une tribu celte qui dominait une grande partie du territoire actuel de la Suisse. Les HelvĂštes vivaient en communautĂ©s rurales et se consacraient Ă  l’agriculture. Leurs relations avec les peuples voisins, comme les Romains et les Gaulois, ont jouĂ© un rĂŽle important dans le dĂ©veloppement Ă©conomique et culturel de la rĂ©gion.
2. Lousonna : Lausanne Ă  l'Ă©poque romaine
Vers la fin du Ier siÚcle avant J.-C., les Romains envahirent la région habitée par les HelvÚtes et intégrÚrent la Suisse actuelle à l'Empire romain. Lausanne, connue à l'époque sous le nom de Lousonna, devint un port commercial important sur la rive du lac Léman. Ce village romain, situé à Vidy, à quelques kilomÚtres de la Lausanne moderne, jouait un rÎle clé dans le commerce entre l'Italie et la Gaule, ainsi que d'autres régions du bassin méditerranéen.
Le site de Lousonna comportait des infrastructures typiques des colonies romaines, telles que :
Un forum (place publique) oĂč se dĂ©roulaient des activitĂ©s commerciales et sociales.
Des thermes publics.
Un théùtre.
Des temples dédiés aux divinités romaines.
Au fil du temps, Lousonna devint une petite ville prospĂšre avec une population cosmopolite d'environ 1 500 Ă  2 000 habitants. Cependant, avec la chute de l'Empire romain au Ve siĂšcle, la ville romaine dĂ©clina, et la population se dĂ©plaça vers la colline de la CitĂ©, oĂč se trouve aujourd'hui le centre historique de Lausanne.
3. La Lausanne médiévale : du pouvoir religieux à la domination bernoise
AprĂšs la chute de l'Empire romain, la rĂ©gion de Lausanne fut contrĂŽlĂ©e par les Burgondes, un peuple germanique qui Ă©tablit le royaume de Bourgogne. Vers le Ve siĂšcle, Lausanne devint un centre chrĂ©tien important, grĂące Ă  la construction d’églises et Ă  l’installation d’un siĂšge Ă©piscopal, ce qui fit de la ville un centre religieux rĂ©gional. À cette Ă©poque, la ville commença Ă  se dĂ©velopper autour de la colline de la CitĂ©, surplombant le lac LĂ©man, pour se protĂ©ger des invasions extĂ©rieures.
L'influence de l'Église
À partir du IXe siĂšcle, les Ă©vĂȘques de Lausanne exercĂšrent un pouvoir considĂ©rable, Ă  la fois spirituel et temporel. En tant que seigneurs locaux, les Ă©vĂȘques possĂ©daient d’immenses terres et contrĂŽlaient une grande partie de la vie politique et Ă©conomique de la ville. Cette domination religieuse s'Ă©tendit Ă  l'ensemble de la rĂ©gion jusqu'Ă  la RĂ©forme.
Construction de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne
L'un des Ă©vĂ©nements marquants de cette pĂ©riode fut la construction de la cathĂ©drale Notre-Dame au XIIe siĂšcle. Cet Ă©difice gothique, situĂ© sur la colline de la CitĂ©, reste Ă  ce jour l'un des monuments les plus emblĂ©matiques de Lausanne. La cathĂ©drale devint un centre spirituel majeur, attirant des pĂšlerins de toute l'Europe. Elle symbolisait le pouvoir et la richesse de l'Église catholique Ă  Lausanne.
4. La RĂ©forme protestante et la domination bernoise (1536-1798)
En 1536, Lausanne fut envahie par les troupes bernoises, marquant un tournant majeur dans l’histoire de la ville. Berne, un canton protestant, imposa la RĂ©forme Ă  Lausanne, mettant fin Ă  des siĂšcles de domination catholique. Les Ă©vĂȘques furent expulsĂ©s, et les biens de l'Église furent confisquĂ©s. La cathĂ©drale Notre-Dame fut convertie en temple protestant.
Pendant cette période, Lausanne perdit son autonomie politique et fut administrée par Berne en tant que simple bailliage. Toutefois, la ville conserva son rÎle intellectuel et éducatif. L'Académie de Lausanne, fondée en 1537, devint un centre majeur pour la formation des pasteurs protestants et des intellectuels réformés.
5. L’indĂ©pendance vaudoise et la pĂ©riode rĂ©volutionnaire
La domination bernoise prit fin en 1798 avec la RĂ©volution vaudoise. InspirĂ©e par les idĂ©aux de la RĂ©volution française, la population vaudoise se rĂ©volta contre l’autoritĂ© bernoise, avec l’aide des troupes françaises. Lausanne devint la capitale du nouveau canton de Vaud, intĂ©grĂ© Ă  la RĂ©publique helvĂ©tique sous l'influence de NapolĂ©on Bonaparte.
Cette période fut marquée par une redéfinition de l'identité vaudoise et lausannoise, avec un fort sentiment d'indépendance et de souveraineté locale.
6. Le XIXe siĂšcle : industrialisation et transformation urbaine
Au cours du XIXe siÚcle, Lausanne entra dans une phase d'industrialisation rapide et d'urbanisation. La ville se modernisa avec l'arrivée du chemin de fer en 1856, reliant Lausanne au reste de la Suisse et de l'Europe. Le port d'Ouchy devint un point stratégique pour le commerce maritime sur le lac Léman.
Expansion économique et démographique
La révolution industrielle transforma Lausanne en un centre de commerce, de transport et d'industrie. La population augmenta rapidement, attirant des travailleurs des campagnes environnantes et des pays voisins. De nouveaux quartiers émergÚrent, et l'architecture de la ville évolua avec la construction de nombreux bùtiments publics, hÎtels de luxe, et résidences bourgeoises.
Tourisme et culture
Grùce à son emplacement pittoresque au bord du lac Léman et à sa proximité avec les Alpes, Lausanne attira également l'élite européenne, y compris des écrivains, des poÚtes et des artistes. Des figures littéraires comme Lord Byron, Victor Hugo et Charles Dickens visitÚrent Lausanne, contribuant à la renommée internationale de la ville.
7. Lausanne au XXe siĂšcle : une ville internationale et olympique
Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Lausanne se forgea une rĂ©putation de ville internationale, accueillant de nombreuses institutions et Ă©vĂ©nements mondiaux. En 1915, le ComitĂ© International Olympique (CIO) choisit Lausanne comme siĂšge, sous l’impulsion de Pierre de Coubertin. Ce choix fit de Lausanne la capitale olympique, renforçant son rĂŽle de centre mondial pour les sports et le dialogue entre nations.
Le rîle du CIO et l’expansion du sport
Avec le temps, Lausanne devint le siĂšge de nombreuses fĂ©dĂ©rations sportives internationales et accueillit le MusĂ©e Olympique en 1993, un centre d’exposition sur l’histoire des Jeux Olympiques. Aujourd'hui, Lausanne est une plaque tournante pour le sport international et abrite Ă©galement le Tribunal Arbitral du Sport (TAS).
Modernisation et développement économique
Le XXe siĂšcle fut aussi une pĂ©riode de transformation Ă©conomique et technologique. Lausanne se diversifia avec l'essor des secteurs des services, de la recherche et de l'Ă©ducation. L'UniversitĂ© de Lausanne (UNIL) et l'École Polytechnique FĂ©dĂ©rale de Lausanne (EPFL), fondĂ©e en 1969, sont devenues des centres de recherche de renommĂ©e mondiale, attirant des Ă©tudiants et des scientifiques internationaux.
8. Lausanne aujourd'hui : dynamisme, culture et innovation
Aujourd'hui, Lausanne est l'une des villes les plus dynamiques de Suisse, connue pour sa qualitĂ© de vie, son Ă©conomie florissante et sa scĂšne culturelle vibrante. C'est une ville internationale avec une population diversifiĂ©e, oĂč se cĂŽtoient les innovations technologiques, la culture et le sport.
Une ville culturelle
Lausanne est également une ville de festivals et d'événements culturels. Elle accueille le Festival de la Cité, un des plus anciens festivals en plein air de Suisse, ainsi que des institutions de renom comme le Béjart Ballet Lausanne, un des plus grands ballets contemporains du monde.
Centre d'innovation et d'Ă©ducation
L'EPFL et l'Université de Lausanne jouent un rÎle central dans la position de la ville en tant que pÎle de recherche et d'innovation. Les collaborations entre ces institutions et les entreprises locales dans des secteurs tels que la biotechnologie, l'intelligence artificielle et les technologies vertes sont à la pointe de la modernité.
Lausanne est une ville dont l'histoire est marquée par des transformations majeures, des origines celtiques et romaines à son rÎle de centre protestant et de capitale olympique. Aujourd'hui, elle combine un patrimoine historique riche avec une modernité dynamique, ce qui en fait l'une des villes les plus attractives de Suisse, tant pour ses habitants que pour ses visiteurs.
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