#tabou no 2
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#francky vincent#tabou no 2#compas#fred bigord#alex losio#harry banaias#alain losio#roberto viranin dabriou#caribbean
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wtf part. 2
Je ne sais pas quoi penser du traitement fait aux forums +18 : lorsqu'on a des forums qui traitent de gang, criminalité, violence à gogo supplément prostitution y'a aucun problème, on peut faire de la pub partout. mais par contre quand y'a des forums +18 qui sont la porte ouverte à du smut (disons-le clairement) alors là, eux doivent être ban des serveurs de pub, sont tabous, etc.
encore une fois, ma question, en big 2024, c'est pourquoi on tolere davantage tout ce qui est violence/criminalité gratuite et qu'on fustuge l'intimité ?
on se croirait sur tf1 à 21h t'as le droit de voir des têtes coupées par un tueur en série. mais faut attentre 23h pour regarder fifty shades of grey (et encore remanié car on est sur une grande chaine).
vraiment, si vous avez des réponses, j'suis tout ouï.
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Chatte douloureuse à Poitiers : la maire féministe annonce jusqu’à 24 jours de vacances gratuits pour les 2000 femmes fonctionnaires de la ville.
Les mecs n'avaient qu'à être des femmes s'ils voulaient 12 jours de vacances à l'œil.
À Poitiers, les femmes auront droit à 3 semaines de vacances supplémentaires par an offertes par tous les contribuables.
C’est l’égalité homme-femme.
Libération :
La ville de Poitiers, dirigée par les Écologistes, a annoncé la mise en place d’un congé menstruel dès le 1er janvier 2025 pour ses 2 000 agentes. Un dispositif détaillé ce lundi 16 décembre, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel sur l’égalité professionnelle des agentes de la collectivité de Poitiers. A l’aide d’un certificat médical, les employées de la collectivité pourront prendre un à deux jours de congé menstruel chaque mois, en cas de règles douloureuses voire d’endométriose. «Chaque agente pourra en bénéficier sans impact sur sa rémunération car il n’y aura pas de jour de carence, sans impact sur sa carrière, et sans stigmatisation possible puisque cette autorisation spéciale d’absence est noyée parmi les autres, seul le médecin en connaissant la raison», a expliqué Stéphane Allouch, adjoint au personnel et au dialogue social à la ville de Poitiers, interrogé par France Bleu Poitou. Afin de lever le tabou autour des règles, la ville a également organisé des ateliers avec des agentes de la collectivité. «La première question qui s’est posée pour elles, c’est de savoir qui allait faire leur travail si elles sont absentes, a rapporté la conseillère municipale à l’égalité des droits Alexandra Duval. Il faut déconstruire cela. Les femmes ont droit d’avoir des conditions de travail adaptées.»
Ils vont déconstruire, mais ça ne répond pas à la question : qui va bosser à leur place ?
La réponse est simple : personne.
Parce qu’elles ne foutent rien pour commencer.
Celles qui ont posé cette question avaient peur de se faire réquisitionner pour remplacer leurs collègues, mais évidemment ce n’est pas à l’ordre du jour.
Poitiers suit l’exemple d’autres municipalités. La première d’entre elles, Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), a été la première ville française à mettre en place le congé menstruel, proposant jusqu’à deux journées par mois et sans carence à ses administrées. L’expérimentation avait été lancée le lundi 27 mars 2023. Depuis, d’autres collectivités ont pris le train en marche. C’est le cas de l’Eurométropole de Strasbourg, qui permet, depuis le 1er septembre 2024, à ses 3 500 agentes de bénéficier d’un «congé de santé gynécologique», soit treize jours d’absence exceptionnelle par an. Il y a deux mois, le 17 octobre, ce fut au tour de la commune de Barentin, en Seine-Maritime, de proposer à ses employées ce congé particulier. On peut également nommer Lyon, Nantes, Châlette-sur-Loing dans le Loiret, Orvault en Loire-Atlantique ou encore Abbeville dans les Hauts-de-France. Mais ce congé menstruel ne dépend pas du simple bon vouloir des mairies. Le 20 novembre dernier, la ville de Plaisance-du-Touch en Haute-Garonne, son centre communal d’action sociale ainsi que la communauté de communes du Grand Ouest Toulousain se sont heurtés à une réalité juridique : l’absence d’un cadre législatif, alors que le préfet local avait saisi le tribunal administratif pour demander l’annulation du dispositif. «Le tribunal estime que ces collectivités territoriales n’ont pas le pouvoir de prendre ce genre de décisions en l’absence de dispositions législatives ou réglementaires», avait rapporté France Bleu Occitanie.
À Poitiers, comptez 1,5 jour pour chacune des 2000 fonctionnaires de sexe féminin de la commune concernées par la mesure, soit 3000 jours d’absence mensuels.
Si on estime que ces fonctionnaires font semblant de travailler 7 heures par jour, cela représente 21000 heures de travail qui seront facturées aux contribuables chaque mois. Pour 11 mois (hors vacances d’été), c’est 230000 heures d’absence rémunérées.
Le salaire moyen d’un fonctionnaire territorial est de 2200 euros, auquel il faut ajouter les diverses cotisations à la charge de l’État et de ses collectivités, soit au moins 3000 euros. Une heure de travail d’une de ses gonzesses coûte au strict minimum 21 euros.
21 euros x 7 heures x 3000 jours x 11 mois = 4,8 millions d’euros par an.
Le budget annuel de la ville en 2024 est de 221 millions d’euros. Cette histoire d’ovaires douloureux à dormir debout va bouffer à elle seule 2% du budget de fonctionnement de la ville.
Oubliez la gangue du marketing féministe, c’est de l’achat de votes organisé par la traînée écologiste locale. Les 2000 garces qui vont bénéficier de ces 3 semaines de vacances supplémentaires vont bien évidemment voter pour cette tarée de maire en 2026.
Qui aurait pu croire qu’élire une dinde à la mairie se transformerait en gabegie généralisée ?
À un moment donné, quand on fait tout pour, on mérite le djihadisme.
Démocratie Participative
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Ressources autour de la gestion de la douleur.
Cette Bibliographie est issue du zine "Toujours mal quelques part" sortie en janvier 2024. Les catégories reprennent les différents chapitres de celui-ci. La liste est régulièrement mise à jour et complétée. N'hésitez pas à partager vos propres ressources pour la faire évoluer!
C’est quoi la douleur ?
L’Institut national de la santé et de la recherche médicale a un dossier qui reprend des informations générales sur la douleur.
La douleur, quelle chose étrange, Steve Hains & Sophie Standing, livre, 32p.
La douleur chronique perturbe l’équilibre cérébral, Rev Med Suisse, 2008/145 (Vol.-6), p. 493a–493a.
Lien entre douleur et trauma
Le Trauma, quelle chose étrange, Steve Haines & Sophie Standing, livre, 32p.
Le corps n’oublie rien. Bessen Van Der Kolk. Il existe une version résumée en zine nommé « Ressources sur le traumatisme » (Morgan.e).
Comment les traumatismes d’enfance impacte la santé tout au long de l’existence (« How childhood trauma affects health across a lifetime ») Nadine Burke Harris.
Qu’est ce que le trauma? L’auteur de le corps n’oublie rien explique («What is trauma? The author of “The Body Keeps the Score” explains,) Bessel van der Kolk.
Childhood exposure to violence and lifelong health: clinical intervention science and stress-biology research join forces. Moffitt, T. E., & Klaus-Grawe 2012 Think Tank (2013). Development and psychopathology, 25(4 Pt 2), 1619–1634.
Mécanismes d’adaptation
Pain-determined Dissociation Episodes, David A. Fishbain, R. B. Cutler, H. L. Rosomoff, R. Steele Rosomoff, Pain Medicine, Volume 2, Issue 3, September 2001, Pages 216–224.
Trop à l’aise avec nos diagnostics, zinzinzine,
Et toi, tu fais quoi dans la vie ?, Harriet de G, brochure, 4p.
Quand tout va bien
Une introduction en français à la technique du pacing.
Laziness Does does not exist, Devon Price, livre, 256p.
La culture du Valide Occidental, Zig Blanquer,
Les thérapies alternatives
A claire voie : manuel de savoir être fou en société, zine, 91p. Comporte un chapitre spécifique pour les premiers entrevus avec un·e thérapeute (dans un cadre psychiatrique).
Pour les proches
La théorie des cuillères, article wikipédia.
The spoon theory (La théorie des cuillères), Christine Miserandino, essai.
Soutien mutuel : les bases
Paillettes Toxiques et Sérum Phy : des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis hétéro), zine, 275p.
Point drogue
Une carte interactive pour savoir où tester ses produits
Relation entre tabagisme et douleur : revue narrative de la littérature scientifique, D. Balayssac, Revue des Maladies Respiratoires, Volume 38, Issue 3, 2021, Pages 269-277.
Se faire mal : comment prendre soin de toi lorsque tu ressens le besoin de te blesser, Icarus Projets, zine, 56p.
Alternatives à l’auto-mutilation, Traduction de Choose recovery par Dandelion Guide pour décrocher des médicaments psychotropes en réduisant les effets nocifs, zine, Icarus project, 70p. Tumer Fue : Une méthode libre pour en finir avec la clope, Robin, zine, 80p.
Toxicophobie mon amour, Pour déconstruire ses préjugés sur l'usage de produits.
Pendant la tempête
Le manuel de sevrage des psychotropes, livre, Soutien Benzo, 196p.
Aider ses ami.e.x.s qui ont parfois envie de mourir à ne peut-être pas mourir, traduction par ezekiel and the weirdos, zine, 33p.
Le mouvement death positiv tente de réduire les tabous autour de la mort et d’explorer les façons de préparer sa fin de vie sereinement.
Living with depression, Kat Amarië, vidéo (traduite).
Dépression comment te quitter, Luks, zine, 20p.
En vrac :
Chroniques des chroniques : une émission autour des maladies chroniques (douloureuses), radio rageuse.
La souffrance: que ressent-on quand quelqu’un nie notre douleur ?, podcast Emotion.
The Cancer Journals (Journal du cancer), Audre Lorde, livre, 96p. Fragments, Fatou S, livre, 150p.
Guide de navigation en eau trouble : se fabriquer des ressources quand on vit une crise ou un moment pas cool, zine, 40p.
Les ateliers groupe soin, volume 1, 2 et 3, zines, groupe soin. Du partage de savoir et vulgarisation de concepts médicaux issus de rencontre en groupe pour s’autonomiser.
My Body Is a Prison of Pain so I Want to Leave It Like a Mystic But I Also Love It & Want it to Matter Politically, Johanna Hedva, vidéo et transcript.
Hollow, Mia Mingus, Traduction d'Emma Bigé et Harriet de g, zine. De la science fiction avec des handi·es autonomes.
#zine making#zine promo#criptheory#chronic pain#chronic illness#pain management#invisible illness#invisible disability#maladie#handicap
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Seiyuu : Takahiro Sakurai / Takuya Satō ( Anime 2016 )
Prénom : Yû .
Nom : Kanda .
Origine : japonaise .
Taille : 1,75 m .
Poids : 61 kg .
Âge : 18 ans .
Anniversaire : 6 juin .
Groupe sanguin : AB .
Kanda est un jeune homme peu social et agressif. Il déteste qu'on l'appelle par son prénom car en japonais « yū » signifie « nabot ». En désaccord avec Allen sur l'importance de la vie, il passera son temps à se disputer avec ce dernier et ce dès leur première rencontre. Il ne l'appellera jamais par son prénom mais « moyashi » signifiant « pousse de soja ou harricot » et auquel Allen lui répondra « bakanda » (jeu de mot sur baka idiot, crétin et kanda).
Kanda possède un mystérieux pouvoir de guérison lié à la présence d'un tatouage représentant le symbole ॐ au niveau de son cœur et à une fleur de lotus qui reste dans sa chambre, dans un sablier. Son pouvoir de guérison raccourcit sa vie un peu plus à chaque utilisation.
Innocence : Mugen .
L'Innocence de Kanda est un katana, Mugen (les six illusions), qui peut créer des illusions ou se dédoubler pour accroître sa puissance.
Au niveau 0 :
C'est un katana normal : Kanda est tellement puissant qu'il n'a pas besoin de l'activer pour tuer de faibles Akuma.
Au niveau 1 :
Le katana brille et Kanda peut envoyer des rafales d'énergie qu'il contrôle à volonté, le « Déferlement d'insectes ».
Au niveau 2 :
Kanda possède deux katanas, pratique pour les double-attaques. La 3e illusion, « Les Illusions Taboues », lui permet d'accroître sa puissance mais puise dans son énergie vitale.
Type Cristallin :
Kanda à aussi atteint le type Cristallin après son retour à l'Organisation, 2 croix son apparu sur ses avant-bras faisant survenir un Katana
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L’endométriose dans la pop culture
Ici et là, dans la pop culture, on parle de l'endométriose. Cela ne paraît rien mais c'est la preuve que le tabou recul, que la population est informée.
Faisons un tour non exhaustif des cas où la pop culture parle d’endométriose :
Dans sa chanson “Déclaration”, le chanteur Stromae évoque ainsi la maladie "Toujours obligée d'aimer enfanter La contraception qui te détruit la santé Endométriose, enchantée J'suis mieux payé que toi sans vouloir me vanter".
L’épisode 5 de la saison 5 de la série Chesapeake shores, l’un des personnage a une endométriose. J'ai beaucoup aimé la façon dont la maladie a été abordée, avec un médecin qui rassure, en disant que l'infertilité n'est pas automatique.
La France n’est pas en reste avec la série Cherif (saison 6, épisode 3). Ce qui m’a le plus plu, c’est que l’endométriose était abordée comme un sujet mainstream. Le père d’une endométriosique, tue un gynéco qui a tardé à poser le diagnostic et a tranché dans le vif, en retirant l’utérus de sa fille malade. Inutile de préciser que, non, le meurtre n’est pas la solution aux violences gynécologiques. Cependant, je trouvais bouleversant de voir les scénaristes montrer à quel point, notre mauvaise prise en charge, peut nous anéantir.
Kelly dans Beverly Hills en souffre aussi (saison 7, épisode 30). Comme quoi, une série bien kitsch des 90's, peut être en avance sur notre gouvernement en matière de sensibilisation !
Bien sûr, les séries médicales ne sont pas en reste. Dans The Good Doctor (saison 2, épisode 3) une patiente vient se faire opérer pour réussir à tomber enceinte. On ne voit pas tout sur une imagerie médicale et souvent, au moment d'ouvrir c'est la surprise : il y a plus d'endo que ce que l'on pensait. Ce côté là est bien évoqué. Cependant, on se serait passé de la remarque qui laisse entendre que la douleur est liée au nombre de lésions (c'est faux). Du reste, le nombre d'heures au bloc et l'hystérectomie sans consentement, sont des ressorts scénaristiques discutables.
Impossible d’évoquer les séries médicales, sans évoquer Grey’s Anatomy (saison 18, épisode 10). On aime le médecin qui pense endo face à des douleurs lombaires chroniques, évoque les douleurs pendant les rapports et le fait que la pilule n'y change rien. Bonus pour la demande de consentement avant l'examen et la remarque sur le fait qu'on manque de recherche pour les femmes.On n'aime pas la vieille définition, le médecin qui laisse entendre que l'on connait la cause de la maladie et la réplique "ça se soigne, c'est traitable".
Sur Netflix, Plan cœur (saison 3, épisode 4) aborde la maladie sous l'angle de l'infertilité, un peu cliché. Toutefois cette série a le mérite de montrer sans détour, la violence médicale qu'il peut exister en parcours PMA. Un bonus pour la sororité quand son amie subit la même violence en voulant avorter !
Conversation with friends aborde l'endométriose sous l'angle qui manquait cruellement : celui du quotidien ! On peut y voir comment la maladie peut être handicapante, comme les malaises causés par la douleur. Bien sûr on y retrouve aussi l'accueil "chaleureux" que nous réservent les médecins mais ça fait du bien de sortir de l'éternel épisode au bloc opératoire.
Le Dr House a une approche qui laisse perplexe, aussi bien sur les symptômes (lèvres bleues), que sur la cause (l'opération d'un myome utérin). Certes Dr House n'est pas connu pour son réalisme scientifique mais tout de même...
Dans La vie à cinq (saison 6, épisode 4), on apprend que l'infertilité de Karen est liée à l'endométriose. Dans les épisodes suivants, on mesure les avancées faites, aussi bien au matière de prise en charge de l'endométriose, que de la PMA, au cours des années 1990.
Voilà ! Connaissez-vous d’autres références à l’endométriose dans la pop culture ?
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Dans ma tête ce 13 - 9 - 2023
Quoi de fou cette semaine... J'avais envie d'utiliser ce blog comme un journal... semi-intime. J'ai envie d'y coucher mes pensées... Mes émotions. Car j'en ai un peu plein le cul des tabous que la société met autour de la santé mentale.
Je me sens particulièrement fragile pour le moment. Et d'ailleurs... Je me demande si ce n'est pas une force que de l'admettre... soit... J'élucubre.
Le 31 juillet... J'ai coupé les ponts avec l'homme qui m'a servi de père durant 35 ans. Mes mots semblent dures. Mais je reste assertive. Peut-on qualifier de père une personne qui était censé vous protégé et qui a été moins que basique ? Car la base d'un père... c'est nourrir, protéger, donner de l'amour, offrir un toit, ... Si je comptes ce qu'il a fait sur ces 4 choses... Je n'en dénombre que 2... Vous allez me dire... c'est déjà ça... Mais il y a les choses qu'un père ne peut pas faire que le mien a fait. Mais... non... C'est moi la vilaine... La fille ingrate ! Celle qui refuse d'être élevée en allant portée plainte pour coups et blessures quand elle avait 12 ans. C'est moi qui subit. Et c'est moi qui est un problème.
Heureusement, maintenant, je suis bien entourée. Mes enfants sont fantastiques. Et j'ai des hommes adorables. Et je ne remercierais jamais assez le destin d'être polyamoureuse. ♥ Car j'ai pu rencontrer des personnes qui bien qu'ayant pas mal de défauts, ont nombre de qualités.
Et mes enfants... adorable petites créatures que j'ai mises au monde. Que j'aime plus que tout. Erwan ne comprend pas encore tout ce que je traverse. Mais Rose bien qu'elle ne comprenne pas tout... Se montre tellement enveloppante. Elle est souvent collée à moi. Quel plaisir de sentir ses petits bras m'entourer. Et me rappeler que je ne suis pas une humaine si nulle. Par moments, ça me fait culpabiliser. Car c'est à la maman de soutenir... Pas à l'enfant non ? bien que... Je dis ça... Mais je faisais pareil avec ma mère. Je crois juste que j'agissais avec elle. Comme elle agissait avec moi. Elle n'a pas été la meilleure des mères. Mais elle a toujours reconnus ses torts. Et juste pour ça... Je suis fière d'elle.
J'ai pris rendez-vous avec un psychiatre. Car je vis toujours au bord de la crise d'angoisse. Je le vois le 10 novembre.
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ChatGPT : une des clés du futur immédiat ?
En voyant la pléthore de titres et de ''Unes'' sur ce sujet, je ne suis pas mécontent d'avoir fait découvrir avant tout le monde ChatGPT à des lecteurs de ce Blog ! Ce sigle (mis pour Generative Pre-trained Transformer) n'a pas fini de faire couler de l'encre chez beaucoup… et faire faire ''un sang d'encre'' à beaucoup d'autres. (NB : Vous souvenez-vous, pourtant, avec quelle griserie de ''transgresser les tabous'' nous écrivions et prononcions les 3 lettres G-P-T, vers 3 /4 ans, cet âge dit ''anal'' ? Qui aurait dit que nous les retrouverions sous la forme inouïe de ''la plus grande révolution du moment'' --car d'autres viendront, encore plus époustouflantes !).
Depuis que j'ai découvert ce ‘’logiciel’’ dont nous n'avons pas fini de parler, j'ai souvent ''discuté'' (c'est le sens de ''Chat'') avec lui. (NB - Pour rendre à César ce qui n'est pas entièrement à moi, je dois en remercier mon fils Emmanuel, toujours à la recherche d'une nouveauté à exploiter : j'avais ''éventé'' ChatGPT, mais lui m'a fait entrer dans le vif du sujet). Je vous ai cité, déjà, certains de nos ''échanges'' : Poème à un centenaire, Lettre d'amour au chocolat, Where is Ukraine heading to ?, Qu'est-ce que le ''woke ?'', Le ''Moi'' peut-il se fondre dans le ''Nous ?'' … et tant d'autres : je ne me lasse pas de poser des questions à ce nouveau ''copain'' (qui parle les mêmes sept langues que moi... et beaucoup plus), mais dont j'aurai du mal à me faire un vrai ''Ami'' : il répond au quart de tour... mais quand on arrive à l'avoir au bout du fil, parce que son succès est si grand que toutes ses lignes sont occupées en permanence et qu’il faut attendre son tour, si on veut parler avec lui.
Un autre de ses ''frères-logiciels'', ‘’DALL- E 2′’, qui est défini par ses concepteurs comme ''un logiciel d'Intelligence Artificielle qui crée des images réalistes et d'art (sic !) à partir d'une description en langage humain'' s'est vu poser par une de mes petites filles (qui étudie les maths –son point fort-- et l'architecture—son hobby) la question suivante : ''Projet d'une véranda circulaire qui s'ouvre sur un terrain de jeu'' (vous pouvez le faire : ça prend quelques secondes !). Le ''projet'' en question est sorti de l'imprimante en moins d'une minute, irréprochable, ''intelligent'', réaliste, coté... à peu près parfait, m'a t-elle affirmé. Le même DALL-E 2 imprime en 6, 4, 2, ''un âne à la manière de Picasso''... puis ''à la manière de Basquiat'', puis... de n'importe quel grand peintre dont le nom vous vient en tête. Avec ChatGPT, des journalistes ont obtenu un ''faux original'' du discours de De Gaulle le 18 juin 1940... qui n'a, de notoriété historique, jamais été enregistré : la voix du Général y est plus que vraie. Ce monde me fascine, mais me fait peur : il est ''trop'' ! Beaucoup trop.
Car la nouveauté, la précision, la puissance et j'ai envie de dire ''la beauté'' de ce nouvel outil –dont personne, je pense, ne peut évaluer les champs d'application, les possibilités, le pouvoir, les facultés et les capacités... ni, d'ailleurs, la manipulation et les ''faux'' qu'il ouvre, réveillent aussitôt en nous les vieilles frayeurs bi-séculaires de remplacement de l'homme par la machine : on les croyait éteintes, passées de mode, et oubliées depuis la révolte des canuts (de 1831 à 1834, et jusqu'en 1848). Des ''endormeurs'' qualifiés avaient inventé le poncif cent mille fois répété depuis : ''Les machines ne seront jamais intelligentes au sens humain du terme'' (NB : Tu parles !) soutenu par des torrents de platitudes indémontrables et définitivement démontrées fausses (''Elles seront toujours incapables de créer''... ''Le domaine de l'art leur est interdit'' –comme si 99,5 % des ''jobs'' existants étaient à base d'art !--... ''Elles n'auront jamais de sentiments, d'imagination, de rêves, voire d'intention ou d'objectifs''... ''Elles reconnaîtront le quantitatif, jamais le qualitatif''... etc. J'arrête là : tout était faux ! Là comme ailleurs, les ''élites'' ont menti, nous ont abreuvés de leurs promesses intenables et ont raconté des ‘’craques’’ qui ne reposaient sur rien.
Il y a bien longtemps que je raconte, dans des dizaines de conférences sur les 5 continents , que la pensée est ou peut se représenter et se comprendre comme une série d'impulsions électriques ou électro-magnétiques qui peuvent atteindre des vitesses et des densités qui les font ressembler à un raz-de-marée intérieur, qui détruit tout, en un milliardième de seconde et pour un peu plus longtemps (NDLR-cette audace contre la ''doxa'' du temps m'a valu mon lot de mépris affligé devant ma sottise, de remarques condescendantes –que je devrais écrire en deux mots : ''ils le valent bien'' !--, d'accusations de pessimisme professionnel, et même de technolâtrie pour ceux qui connaissaient le mot : le mot ''complotiste'' n'avait pas encore été fabriqué par des conspirationnistes cachant leurs sales coups, leurs intrigues et leurs manigances... contre ceux qui ne les suivent pas dans leurs ''complots officiels''). Ce processus, que j'appelle ''une intuition fulgurante'' explique nos moments de ''trouvaille'', de découverte, de création artistique. Que révèle le célèbre ''Eureka'' d'Archimède, sinon la conscience de cette accélération... dont la machine n'est effectivement pas encore capable aujourd'hui... même si je crains très fort que cette impossibilité ne durera pas aussi longtemps que les impôts !
Déjà, il est évident que tout ce qui touche à nos compétences manuelles, à nos aptitudes physiques ou psychomotrices, à nos fonctions cognitives, à nos aptitudes à résumer, à décrire, à comprendre, à reproduire... est déjà ''tombé''. Quant à nos ''affects'', cette aptitude à ressentir des choses sans trop savoir quoi, à éprouver des sentiments et des émotions... ils sont en train de se demander s'ils ne sentent pas le vent du boulet : un nouveau domaine de recherche, baptisé ''Informatique affective'' s'attache (avec un certain succès) à créer et reproduire des dispositifs pouvant détecter les ''relations humaines'' et y réagir. (Par exemple, ils ''scrutent'' les émotions sur un visage pour y adapter leur réponse, ou bien ils savent distinguer un sourire de façade d'un sourire franc).
Devant la modification du monde qui s'annonce pour les années à venir –et que nous annonçons, ici, depuis la création de ce blog-- il ne faut pas désespérer (le pire n'est jamais le seule option !), mais il faut avoir le courage d'ouvrir les yeux, ce que beaucoup hésitent à faire : c'est tellement confortable, de vivre ''les yeux grand-fermés'' ! Des économistes parlent déjà d'une ''course'' (qui serait déjà lancée) entre l'homme et la machine pour savoir qui, en fin de compte, prendra le ''leadership''. Les paris sont ouverts... Simplement, il ne va pas falloir traîner en chemin, car de nouvelles marches à franchir vont faire leur apparition : ''OpenIA'' est loin d'être la dernière.,. et nous n'avons pas fini de nous extasier... ni, d’ailleurs, d'avoir peur !
A titre plus ''perso'', il serait sage de ne jamais perdre de vue les Lois (qui sont plutôt des adages) dites de Murphy : ''Si une chose a une chance d’aller mal, elle ira mal, un jour'' pour la première, et, pour l'autre : ''S'il existe au moins deux manières de faire quelque chose et si l’une de ces manières peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un pour emprunter cette voie''. Ce double ''viatique'' dans notre besace, on peut aborder plus sereinement le futur !
H-Cl
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(Motif-Radio) Reggae Pon Top # 44 2024, track listing below:
VINYL PART 1: CUSS DEM VERSION INI KAMOZE- WORLD A MUSIC BITTY MCLEAN- ALL THAT I HAVE MACKA B- NO BAD VIBES CARLTON LIVINGSTON- MARCUS MOSIAH GARVEY SUGAR MINOTT- GIVE THE PEOPLE WHAT THEY WANT DENNIS BROWN- REVOLUTION GREGORY ISAACS- SOON FORWARD GREGORY ISAACS- MR. BROWN
VINYL PART 2: DONOVAN KINGJAY- SEE & BLIND WINSTON REEDY- VERY WELL ITAL COUNSELOR ALLSTARS- SIMEON'S ACCENT ROBERT DALLAS- SEEK JAH FIRST OWEN KNIBBS- 30 GREENWICH RD PRINCE JAMO- NO GENERAL STEVE BASWELL- COOL RASTAMAN JUNIOR MERVIN- TIME STIFF BARRINGTON LEVY- BLACK HEART MAN BARRY BROWN- RELEASE THE CHAINS EARTH & STONE- DEVIL MUST HAVE MADE YOU
VINYL PART 3: BITTY MCLEAN- WALK AWAY FROM LOVE TABOU MIX SUGAR MINOTT- JAH PICKNEY TONY TUFF- KEEP WEH CARLTON LIVINGSTON- CHOICES LINVAL THOMPSON- VANITY BARRINGTON LEVY- ROB AND GONE B.LEVY/LINVAL THOMPSON- POLICE & SOLDIERS DENNIS BROWN & DHARMA- A TRUE MICHAEL PROFIT & JUNIOR CAT- EASE UP THE PRESSURE GREGORY ISAACS & J-NILE- SLAVEMASTER MEDLEY
VINYL PART 4: SUFFERE RIDDIM LEROY SMART- AFRICA NYTTO DREAD- KUSH WINSTON REEDY- GOODBYE CARLTON LIVINGSTON- BABY PLEASE ROOTSMALA- BELIEVE IN YOURSELF BIG YOUTH- THINGS IN LIGHT JACOB MILLER- I'M JUST A DREAD MICHAEL PROFIT- GUNMAN EEK A MOUSE- SMUGGLING MIGHTY DIAMONDS- TELL ME WHAT'S WRONG
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Monsieur Kame pt.2
Quelques semaines après, mes projets personnels se lancèrent et on me demanda de lui faire valider mes storyboards. J’avais hâte d’en apprendre avec un homme si expérimenté mais je tombai vite de haut.
Au lieu d’un moment d’apprentissage et d’échange, je me retrouvais debout devant son bureau, la tête baissée à m’entendre dire que j’étais la pire des éditrices. De « Ce n’est pas la faute de l’auteur, c’est la tienne si c’est si mauvais. » a tout simplement « C’est nul. », je passais ce qui me semblait des heures à me faire remettre à ma place bien salement, le tout avec une voix calme mais qui ne laissait de place a aucune contestation. Ces paroles ne venaient évidement jamais avec des remarques constructives, et je retournais souvent à mon bureau, ma pile de feuille invalidée et rien pour avancer.
Il ponctuait également ses sermons par des « Tu as compris ce que je te dis ? » auquel je répondais évidement par la positive, de peur de me faire encore plus rabaisser devant toute l’équipe. Son vocabulaire était aussi souvent très châtié et au lieu de prendre des chemins courts, m’expliquait les tenants et aboutissants de « L’Esprit Français ». Comme vous pouvez vous imaginer, je ne comprenais pas la moitié et cela l’exaspérait au plus grand point quand je lui avouais mon incompréhension. Il me demandait alors de répéter ce qu’il venait de dire, rendant notre conversation encore plus humiliante.
Au début, nouvelle dans le métier et avide d’en apprendre plus, je prenais sur moi et j’essayais de décrypter des conseils dans ce flot de venin. Mais au fur et à mesure que le temps passait, je n’écoutais même plus. Je commençais alors à lever la tête et observer son langage corporel pendant qu’il me rabaissait. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me rendis compte que, une fois sur deux, son regard n’était pas pose sur ma tête mais bien sur ma poitrine. Et il ne se gênait pas. En plus de me traiter comme une sous merde, il me matait.
Au début, j’essayais de lui trouver des excuses, mon collier, mon pull…etc. mais plus le temps passait et plus l’évidence était devant moi. J’essayais, par des stratagèmes, de lui montrer que cela me gênait mais rien n’y fit. Une fois, je croisais les bras. Puis la validation suivante, je me mis derrière une chaise, puis la suivante je mis des feuilles entre son regard et mon buste. Mais rien à faire. Lui demander de valider mes storyboard devenait de plus en plus insupportable. J’évitais donc cette tâche et me travail ralentissait de plus en plus.
Quelque moi plus tard, je changeais de bureau et me retrouva coincée entre le mur et Monsieur Kame. Ma vie allait devenir un enfer…
Mais contrairement à ce que je pensais, ce changement de place me rendis le travail plus facile. Côte à côte, il avait plus de mal à me reluquer et j’étais plus à mon aise. J’étais néanmoins incapable de m’enfuir si besoin mais le plus gênant était évité.
La deuxième source de terreur avec Monsieur Kame était l’heure du déjeuner. Vers 12h20, Monsieur Kame se levait de son bureau, prenait son chapeau et lançais un « On va manger ? ». A mon arrivée il demandait tout le temps à Madame Dragon et je n’avais pas vraiment à y réfléchir. Puis Madame Dragon est partie subitement et Monsieur Kame s’est dirigé vers moi. Nous nous retrouvons donc en tête à tête à manger des udons. Ma pauvre maitrise de la langue et mon stresse faisait que, les fois où nous avons mangé ensemble, il y avait beaucoup de silence. Le reste du temps Monsieur Kame me posait des questions du type « Est-ce que les français parlent de sexe entre eux ? Est-ce que c’est tabou ? » ou encore « Est-ce que tu trouves les japonaise belles ? ». De drôles à gênantes, ses questions étaient multiples. Comme il me posait beaucoup de questions personnelles, je me dis un jour qu’il serait bien que je lui rende la pareille. Je lui demandais alors qu’elles études il avait fait. Il me répondit d’un revers de la main « Mon parcours scolaire n’est pas intéressant, c’est plus le tiens qui m’intéresse. ». Je suis restée bouche bée puis j’ai dû me ressaisir pour répondre à sa question pressante sur si j’avais des amis japonais.
Au bout de 3 repas, je commençais à comprendre le mécanisme de ces conversations et je posais des questions sur les différences entre la France et le Japon. Il adorait ce genre de conversation. Il était évident pour lui que les deux pays étaient diamétralement opposés et ne comprenait pas quand je suis disais que telle ou telle chose était identique en France et au Japon.
Ces repas étaient très fatigants. Je devais maintenir la discussion, garder comme je le pouvais un bon japonais et manger en même temps. Et je ressortais souvent de ces « pauses » plus fatiguée qu’avant.
Heureusement pour moi, c’est après quelques repas que 4 nouveaux employés arrivèrent. Ils étaient plus intéressants et beaucoup plus bavards que moi et le centre d’intérêt de Monsieur Kame changea rapidement. Je réussis alors à m’extirper de ces heures de stresse.
Il y a cependant une chose dont ne je n’ai pas réussi à m’extirper. Ces moments commençaient de la même manière que les invitations à manger mais Monsieur Kame choisissait avec qui manger. « Monsieur No, Julie, on va manger ». Cette phrase était terrifiante. Les pauses déjeunées qui commençait comme cela annonçait une heure de détresse absolue. Ce n’était pas une invitation à manger, c’était une réunion de remise en place non officielle. Cela voulait dire que pendant une heure, devant mon bol de curry froid, je devais entendre Monsieur Kame me sermonner. Souvent il demandait à Monsieur No de nous accompagner, qui avec gentillesse me traduisait les paroles de Monsieur Kame. Il est donc devenu mon responsable et je savais que quand nous étions invités tous les deux à manger, cela allait barder pour mes fesses.
Comme dans toute histoire évidement, il y a des repas que j’ai passés avec Monsieur Kame qui étaient vraiment plaisants et il restait un homme très intéressant à écouter. Et malgré sa façon d’enseigner plus que discutable, j’appris beaucoup à ses côtés.
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Je déteste être sous-estimée par les autres.
Pourtant, je réalise que je suis la première à me sous-estimer.
Je ne me donne pas assez de crédit. Quand on me dit que je suis forte, je ne comprends pas. Je me trouve si faible.
Pourtant, quand je porte attention à la réalité, je me dois de réaliser combien je suis résiliente.
J'ai commencé 2024 avec un stage en travail social à l'hôpital psychiatrique Pierre-Janet, à Hull. Je vivais chez mes parents et j'étais en couple depuis 4 ans et demi.
Je termine 2024 dans la ville de Québec, loin de mes proches. Je suis retournée aux études, cette fois en littérature, ayant laissé tombé la criminologie et le travail social. Je suis célibataire, mais en amour comme jamais et fréquentant qui je crois sincèrement être mon âme-soeur.
Dans 2 jours, je vais faire la route jusqu'à Gatineau. Retrouver ma maison, mon quartier, ma forêt, mes amies, ma famille. Je vais retourner dans ce monde qui n'est plus le mien depuis des mois.
Ça me fait réaliser qu'il n'y a rien comme "mon monde". Tout ce que j'ai, c'est ma vie. Ce qui se passe dans l'instant présent et ma capacité de m'y plonger sans peur.
La peur a été ma seule constance pendant 10 ans. Je veux rompre avec elle.
2025, sois-moi douce et belle. Je suis fatiguée. Laisse-moi m'abandonner à la beauté de la vie. Laisse-moi me découvrir de fond en comble, sans crainte ni tabou. Laisse-moi m'incarner coeur-corps-âme en une seule entité. Ne me laisse pas vivre prise dans ma tête et dans mes fantaisies. Permets-moi de les vivre avec tous mes sens.
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Rappels : La monnaie est faite pour circuler ... Et les Etats pour organiser leur territoire et ce qui s'y trouve via les principes de Droit, tel que les normes ...
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1.1. Introduction
Le Consommateur Financeur... Financeur de quoi ? Financeur de tout ...
L'argent distribuée aux personnes et là où il y a un besoin, disons stratégique, finance les activités des gens qui en gagnent... Des citoyens en bonne santé participent d'avantage à la vie des Etats et donc au confort de tous. Ils coutent aussi moins chère à l'Etat, mais finalement un Etat souverain qui s'en donne les moyens - et connait notre Science... Enfin c'est quand même pas le bout du monde - n'a pas de raisons de subir un déficit.
1.2. Aller plus loin
L'idée n'est pas d'augmenter la TVA pour pouvoir dépenser sans compter. Mais de s'obliger à le faire en cas de budget annuel négatif. L'un des objectifs reste tout de même d'avoir un taux de TVA bas. Mais ne pas accroitre sa dette - ne pas ou plus en avoir... Voire même ne pas pouvoir la creuser indéfiniment sans prendre de mesure par défaut - prime sur le principe précédent. Du moins c'est ce que dit notre doctrine ! Mais franchement... Faudrait être *** pour ne pas le faire.
2. La xénophobie et ses conséquences
Ce texte aborde un sujet tabou en France. L'entre sois. Autrement dit la xénophobie brute, la xénophobie imposée, ainsi que la xénophobie institutionalisée. Mais comporte une dimension Scientifique essentielle. Même si ce que l'on a fait de la France n'est pas prête à l'entendre.
2.1 exposé des conclusions
=> "notion d'étalement - presque physiologique - des groupes" (...) "finissent quasiment toujours par empiéter dangereusement sur les espaces partagés ou revendiqués par des groupes du même ordre"(...) Par étouffement des "autres", des exclus, toujours plus nombreux, ces groupes ne peuvent alors récolter que des conflits par les faits découlant logiquement de leurs actions. Actions qui sont donc incompatible avec le maintien de l'ordre publique. Il existe un remède décrit - résumé - dans ce chapitre et détaillé dans le corpus littéraire de la Doctrine Eco-Equilibriste.
2.2 texte complet
On peut, par tout cela, également comprendre que le xénophobe ne protège pas ses Terres mais s'affaire inconsciemment à conserver sa capacité d'acquérir ce qu'il ne possède pas encore. Partant du principe que ce qui se trouve proche de lui, lui revient plus qu'à un autre, même s'il n'en est pas encore propriétaire. Mais tout cela ne doit pas faire perdre de vue que l'Etat, quant à lui, doit limiter la surconcentration de population et assurer - accompagner les citoyens, par le Droit, ainsi que les normes qu'il véhicule, pour obtenir - une bonne répartition des Terres. Le constat de cette réflexion est et demeure que le xénophobe s'apparente d'avantage à un Space Invador qu'un "étranger" se trouvant ou acquérant un logement proche de celui-ci. Dans la mesure où l'Etat ne spolie pas ses possessions terrestres et/ou ses sources de revenus. Et dans ce cas l'"étranger" lambda qui se trouve là n'est pas vraiment la cause du problème. Et encore moins le fond de celui-ci.
Il faut tout de même distinguer la peur de l'étranger - de l'inconnu - par simple peur non agressive, de la haine et la chasse de l'étranger. Même si les deux portent le même nom "xénophobie". Et que la première entraine souvent la seconde. Dans tous les cas en s'intéressant en Droit à prendre en charge les actes de malveillance et en laissant la xénophobie au rang de circonstance aggravante de l'acte de malveillance constaté par le flagrant crime ou signalé par la victime. La complexité devient alors gérable. La notion de sanction réparatrice suffisante s'applique ici pleinement.
La simple peur entraine tout de même certaines complications lorsqu'elle revient à chasser l'inconnu hors d'un espace partagé que le xénophobe ne possède pas ou s'est accaparé par la force et le crime. Sans parler de la notion d'étalement - presque physiologique - des groupes, qui finissent quasiment toujours par empiéter dangereusement sur les espaces partagés ou revendiqués par des groupes du même ordre. Ou des espaces à vocation commune. Un groupe xénophobe s'accaparant un service publique ou une instance démocratique par exemple détruit les fondations de la société qui l'environne. Ce groupe ne peut alors récolter que des conflits par les faits découlant logiquement de son action. Action qui est donc incompatible avec le maintien de l'ordre publique. Car la démocratie et le vivre ensemble disposent parmi d'autres paramètres d'une capacité essentielle. Celle d'assurer la non escalade des conflits, dès lors que le Droit s'exprime pleinement. La liberté s'arrête là où commence celle des autres.
" La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi. " (Bloc de constitutionnalité de la 5ème République Française, Déclaration du 26 août 1789 des droits de l'homme et du citoyen, Article 4)
Petite aparté qui pourrait faire sourire en d'autres circonstances. On reproche souvent aux personnes portant le nom de grandes familles, aillant ou non marquées l'Histoire de France et du Monde, de porter le nom d'une dynastie ou d'une tribu gauloise. Mais en effet "il n'y a plus de roi ici !" Si ce n'est la République mandatée par le peuple souverain en ses Terres lorsqu'elle n'est pas vacillante.
2.3 Conclusion
=> "notion d'étalement - presque physiologique - des groupes" (...) "finissent quasiment toujours par empiéter dangereusement sur les espaces partagés ou revendiqués par des groupes du même ordre"(...) Par étouffement des "autres", des exclus, toujours plus nombreux, ces groupes ne peuvent alors récolter que des conflits par les faits découlant logiquement de leurs actions. Actions qui sont donc incompatible avec le maintien de l'ordre publique. Il existe un remède décrit - résumé - dans ce chapitre et détaillé dans le corpus littéraire de la Doctrine Eco-Equilibriste.
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Le Syndrome de Renfield
Aujourd'hui, c'est Halloween et c'est le jour idéal pour vous parler d'une maladie peu connue et répandue, mais qui construit le mythe le plus connu dans le monde de l'horreur.
Le Syndrome de Renfield tient son nom du personnage du livre de Bram Stoker, Dracula. Ce terme est utilisé depuis 1992 pour décrire un trouble mental caractérisé par une attirance morbide pour le sang pouvant aller jusqu'à le consommer. Ce comportement est également appelé le Syndrome de la Comtesse pour les femmes ou encore Vampirisme Clinique.
Le Syndrome de Renfield se caractérise par :
un fétichisme sanguin l'individu a une attirance émotionnelle ou sexuelle pour le sang
une ingestion de sang l'individu a un besoin irrésistible de boire du sang (le sien ou celui d'une autre personne)
un développement progressif l'individu développe cette pathologie en plusieurs phases. D'abord, fasciné par le sang dès le plus jeune âge, son comportement évolue vers des actes plus extrêmes ☇ Phase 1 : excitation à la vue et à la consommation du sang ☇ Phase 2 : auto-vampirisme ☇ Phase 3 : sacrifice d'animaux afin de boire leur sang ☇ Phase 4 : plaisir de consommer du sang humain
Il est fortement possible que le syndrome de Renfield soit associé à d'autres troubles mentaux, comme des troubles de la personnalité, des psychoses ou des addictions. C'est pour cette raison qu'il n'est pas reconnu dans le DSM-V (le manuel de Diagnostic et Statistique de Troubles Mentaux Américain).
Les causes du syndrome sont encore très floues mais il semblerait que plusieurs facteurs ont été décelés.
Des facteurs biologiques (déséquilibres hormonaux ou anomalies neurologiques)
Des facteurs psychologiques (traumatismes infantiles, troubles de l'attachement, expérience de violence...)
Des facteurs socioculturels (influence de la popculture - Vampire)
Le mystère qui entoure ce syndrome empêche l'efficacité du traitement. Cependant, avec une approche pluridisciplinaire, il est possible de les aborder. Grâce à la psychothérapie, les causes profondes du trouble peuvent être explorées et des stratégies d'adaptation peuvent être développées. Avec une médication adaptée, les symptômes associés au syndrome de Renfield peuvent être gérés. La thérapie comportementale peut également aider à modifier les comportements liés à l'ingestion du sang.
Le Vampirisme Clinique est une pathologie rare et complexe qui reste méconnue et souvent confondue avec des fantasmes (ou comportements) excentriques. Le porteur a des tendances sadiques, nécrophiles et cannibales. Les conditions du Syndrome de Renfield ou de la Comtesse sont très probablement liées à la culture et à une pathologie délirante.
Malgré son existence réelle, le Vampirisme Clinique n'a que des "cas célèbres" fantastiques et mythiques, tels que Vlad l'empileur qui fut l'une des personnes qui a inspiré le personnage de Dracula, ou encore des sorcières du Moyen-Age. La nature taboue de la maladie et la complexité de son diagnostic rendent le syndrome toujours aussi mystérieux que la personne qui en est atteinte.
Le Syndrome de Renfield est un trouble complexe qui nécessite une approche thérapeutique spécifique. Bien que les causes exactes restent à déterminer, la recherche avance pour en savoir plus.
La fascination pour le sang est un phénomène complexe et souvent lié à des troubles psychologiques profonds. Il est donc important de ne pas le banaliser et de se rappeler que les personnes souffrant de ce trouble ne sont pas responsables de leurs actes et qu'elles ont besoin d'aide.
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💗💗Nouveau Jeu de la série Atelier en approche pour 2025 !💗💗
Le personnage me fait un peu penser à Youfie de Final Fantasy. Elle possède des bottes à propulsion, un bâton qui peut tirer des balles et une moto pour se déplacer; un monde assez moderne donc mais avec des décors de ruines comme j'aime et des énigmes a résoudre. Les autres personnages sont aussi stylés je trouve, j'aime beaucoup le chara-design :)
A voir si le mécanisme d'alchimie fonctionne bien !
La sortie est prévue le 21 mars 2025 sur PS4/PS5, SWITCH, XBOX et STEAM. Il semblerait que le jeu ne soit dispo en version physique que sur PS4/PS5 et XBOX séries X/S, pour les autres que du digital :(
Ceux qui précommandent auront droit à 2 costumes (un pour Yumia l'autre pour Flammi) et un équipement unique.
Le jeu sera dispo en VOSTFR :)
Aperçu du jeu en vidéo:
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Images:
Histoire:
L'Empire Aladissien prospérait autrefois sur un certain continent, grâce à l’alchimie qui a tenu les autres nations à distance, et possédait un développement remarquable.
Cependant, il a connu sa fin à cause d’un cataclysme soudain et mystérieux.
Le temps a progressé, et plusieurs siècles plus tard, l'alchimie est devenue « maléfique » et « tabou » car connue comme un « art dangereux qui entraîne la destruction ».
Dans cette terre désormais interdite et périlleuse, une alchimiste solitaire met les pieds: Yumia Liessfeldt.
Après avoir perdu sa mère dans un accident il y a trois ans, Yumia a découvert qu’elle appartenait à une famille d’alchimistes et a commencé à remettre en question beaucoup de choses.
Pourquoi Aladiss est-il tombé ? Pourquoi l’alchimie est-elle devenue « tabou » ? L'alchimie est-elle vraiment « mauvaise » ?
Croyant que toutes les vérités se trouvent sur le continent, Yumia se lance dans un voyage pour découvrir son histoire perdue.
Site officiel (fr)
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« Mauvaise langue » : Document qui brise le tabou de la langue arabe sur France 2 mercredi 11 septembre 2024
http://dlvr.it/TD1L41
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Ton thé t'a t-il ôté ta toux ?
J'avais totalement oublié ce jeu d'enfant que nous appelions ''parler chinois''. Il a fallu que Michel Barnier me le remette en mémoire (NB- j'espère que ce n'est pas la seule raison pour laquelle on l'a nommé Premier ministre --''le PM'' pour ceux qui se croient dans le secret des dieux.. .ou un peu dieu, eux-mêmes). Je suppose que nombre d'entre vous l'ont, comme moi, entendu nous annoncer ' sur France 2 : ''Je n'ai pas de tatou..''. (tatou ou ta toux, j'ai sauté le pas !).
En bon ''pro'' de la politique qu'il est, il a aussitôt nié l'avoir dit, et même pensé : il aurait dit ''tabou''. Il n'empêche : il l'a dit et bien dit ! (NB- Cette vieille habitude de contournement et de déni du réel fait partie du savoir faire des politicards de haut rang. On appelle cette vilaine habitude ''la stratégie du ''c'est pas moi, c'est lui''). Mais moi, je sais qu'il l'a dit. Il a même précisé ''Je n'ai pas de totem''. Or ceux qui ont déjà croisé un tatou et un totem dans la rue (on me jure qu'il y en a, encore vivants), voient bien la similitude et la proximité olfacto-visuelle entre ces deux marqueurs de notre temps.
J'entends déjà ceux qui ont vocation à ne pas être d'accord me dire qu'ils ne le sont pas (d'accord, bien sûr) et ne voient pas en quoi l'un ou l'autre serait des symboles de notre époque... ce à quoi je répondrai que la proximitude (c'est Ségolène Royal qui a rédigé cette ligne) entre un pangolin et un tatou fait d'eux deux descendants d'une seule et même souche, l'une en version ''Zhong Guo'' (= l'Empire du milieu), et l'autre en version ''les grandes plaines pour indiens et cow-boys ou aztèques et pastèques''. Cela acquis, les relations contre nature de ces mammifères placentaires avec une bonne vieille chauve souris –qui n'est ni chauve ni souris-- ont donné naissance à un avorton pas mal ''fin de race'', le Sars-cov II, dit ''covid''. La boucle est bouclée... Conclusion : y a t-il un tatou au gouvernement, ou non ?
Tout de même inquiet d'une telle possibilité, j'ai couru chez mon excellent ami Albert Duchmol, Professeur de philosophie politique aléatoire à Science Pipeau et spécialiste de sociologie para-quantique, et sa réponse fut sans ambiguïté : ''Le tatou fait partie du super-ordre des Xénartres et à ce titre, il appartient à la fois à la famille des Dasypodidés et à celle des Chlamyphoridés, exactement comme le Glyphodon''. Bon... Maintenant que nous voilà un peu rassurés par ce diagnostic, extrayons-nous un instant de la grisaille quotidienne et des petites querelles sur ''faut-il encore serrer la main du cousin Antoine qui aurait des sympathies pour le RN, ou faire un détour si vous croisez tante Germaine, qui a ''marché'' contre le mariage ''fourre-tous'' ? Pour répondre à la question du jour : que faire, si Barnier a menti et qu'il y a un tatou au gouvernement, pour parler comme Alain Rémond ?
D'abord, garder son calme : rien ne dit que cette armure-sur-pattes ne soit au moins aussi compétente que les pâles figures qu'on a sorti du fin fond du placard où ils ne faisaient (déjà !) rien. On a tout de même l'équipe C des remplaçants, les 36 derniers survivants de l'erreur macronique (comme il n'en reste que 36 encore vivants et qui osent se référencer à cette faute contre la pensée, c'est ce qui a permis d'ajouter Migaud et les deux ''Républicains'', pour faire 39) : mis à part Retaillaud, un tatou lambda devrait pouvoir faire à peu près aussi bien que cette bande d'ex-marcheurs choisis faute de pire. Poursuivons : Wikipédia, consulté aussi par mes soins, recommande que ''si un tatou veut faire son trou là où il ne devrait pas (dans notre cas, rue de Varenne ou rue de Grenelle, riches en ministères), il faut le persuader de le faire ailleurs''. Comment ? On s'en balance : Barnier dit que son lapsus est un ''fake'', ou vice-versa.
Dernier point important : les autochtones du Texas –dont le tatou est l'animal-fétiche-- savent que cette drôle de bestiole ''fixe ses frontières et définit son espace''. Et c'est là que tout s'explique, et on revient à la seule intéressante perspective de tout cet épisode, jusque là grotesque : Retaillaud, qui a l'air d'être arc-bouté sur ce sujet de la protection de notre espace vital (comme la carte du même nom) ne parle (avec raison) que de ça, puisque regarder enfin en face la perte d'identité, l'invasion plus ou moins en cours, et les frontières-passoires résoudrait presque automatiquement le trou de la Sécu et, par voie de conséquence, une partie de notre dette illimitée...
La question à laquelle je n'arrive pas à trouver de réponse depuis 3 jours est : ''et si c'était lui, Retaillaud, le tatou de Barnier ?''. L'aspect ''révélateur'' du lapsus dont nous parlions au début de cet éditorial prendrait alors tout son sens. La conclusion de cet ''édito'' va être celle que vous trouvez souvent sous ma plume, Amis-lecteurs : être lucide, d'accord. Mais tant qu'il y a de la vie... il faut espérer.
H-Cl.
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