#supplémentation vitaminique | Explore Tumblr posts and blogs

omagazineparis · 7 months ago

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5 façons dont les vitamines améliorent votre bien-être général

Les vitamines sont des nutriments essentiels dont notre organisme a besoin pour fonctionner correctement. Elles contribuent au maintien d'une bonne santé et à la prévention des maladies. Si la plupart des gens savent que les vitamines sont importantes pour notre bien-être, ils ignorent les façons surprenantes dont ces nutriments peuvent améliorer notre santé. Qu'il s'agisse de renforcer notre système immunitaire ou d'améliorer notre humeur, les vitamines peuvent faire des merveilles pour notre corps et notre esprit. Dans cet article, nous allons explorer cinq façons surprenantes dont les vitamines peuvent améliorer votre bien-être général. L'importance des vitamines pour le bien-être général Les vitamines sont des composés organiques dont notre corps a besoin en petites quantités pour fonctionner correctement. Elles sont essentielles au maintien de la santé des os, de la peau et des muscles. Les vitamines jouent également un rôle crucial dans le bon fonctionnement de notre système immunitaire. Il existe 13 vitamines essentielles dont notre corps a besoin. Elles peuvent être classées en deux catégories : les vitamines liposolubles et les vitamines hydrosolubles. Les vitamines liposolubles comprennent les vitamines A, D, E et K. Ces vitamines sont stockées dans les tissus adipeux et le foie et peuvent rester dans l'organisme pendant une longue période. Les vitamines hydrosolubles comprennent les vitamines B et C. Ces vitamines ne peuvent pas être stockées dans notre corps et nous devons les absorber régulièrement par le biais de notre alimentation. Bien que les vitamines soient essentielles au maintien d'une bonne santé, notre corps ne peut pas les produire. Nous devons donc les obtenir par le biais de notre alimentation ou de suppléments. Une alimentation équilibrée peut nous fournir toutes les vitamines essentielles dont nous avons besoin. Toutefois, en cas de carence ou si notre alimentation ne nous permet pas d'obtenir une quantité suffisante d'une vitamine spécifique, nous pouvons prendre des suppléments vitaminiques. Les vitamines peuvent améliorer votre santé mentale de manière surprenante Saviez-vous que certaines vitamines peuvent améliorer votre santé mentale ? Oui, c'est vrai ! Certaines vitamines peuvent contribuer à réduire le stress, l'anxiété et la dépression. L'une de ces vitamines est la vitamine D. Elle est connue sous le nom de vitamine du soleil, car notre corps la produit lorsque notre peau est exposée à la lumière du soleil. Des études ont montré que les personnes ayant un faible taux de vitamine D sont plus susceptibles de souffrir de dépression et d'anxiété. La vitamine B6 est une autre vitamine susceptible d'améliorer notre santé mentale. Elle est essentielle à la production de sérotonine, un neurotransmetteur qui régule notre humeur. Une carence en vitamine B6 est associée à la dépression et aux sautes d'humeur. La vitamine B12 est également essentielle au maintien d'une bonne santé mentale. Elle contribue à la production de globules rouges et au bon fonctionnement du système nerveux. Les vitamines peuvent améliorer votre santé physique de manière surprenante Les vitamines ne sont pas seulement essentielles pour notre santé mentale, elles peuvent aussi améliorer notre santé physique de manière surprenante. L'une de ces vitamines est la vitamine C. Il s'agit d'un puissant antioxydant qui aide à protéger nos cellules des dommages causés par les radicaux libres. La vitamine C contribue également à la production de collagène, une protéine essentielle à la santé de la peau, des os et des articulations. La vitamine D est une autre vitamine qui peut améliorer notre santé physique. Elle contribue à l'absorption du calcium, qui est essentiel à la santé des os. Une carence en vitamine D est associée à une fragilité osseuse, à une faiblesse musculaire et à un risque accru de fractures. La vitamine E est une autre vitamine qui peut améliorer notre santé physique. Il s'agit d'un puissant antioxydant qui aide à protéger nos cellules des dommages causés par les radicaux libres. Des vitamines surprenantes pour améliorer la santé de la peau Une peau saine est essentielle à notre bien-être général. Les vitamines peuvent jouer un rôle crucial dans le maintien d'une peau saine. L'une d'entre elles est la vitamine A. Elle est essentielle à la croissance et à la réparation des cellules de la peau. Une carence en vitamine A peut entraîner une sécheresse de la peau, de l'acné et d'autres problèmes cutanés. La vitamine C est une autre vitamine qui peut améliorer la santé de la peau. Elle contribue à la production de collagène, qui est essentiel à la santé de la peau. La vitamine E est une autre vitamine qui peut améliorer la santé de la peau. Elle contribue à protéger notre peau des dommages causés par les radicaux libres. Elle contribue également à réduire l'inflammation, qui peut être à l'origine de problèmes cutanés. La vitamine K est une autre vitamine surprenante qui peut améliorer la santé de notre peau. Elle contribue à réduire les cernes et les poches autour des yeux. A lire également : L’art de se régénérer : découvrez les vertus insoupçonnées des cures thermales Les vitamines peuvent améliorer votre sommeil de manière surprenante Le sommeil est essentiel à notre bien-être général. Les vitamines peuvent jouer un rôle crucial dans l'amélioration de la qualité du sommeil. L'une de ces vitamines est la vitamine D. Elle contribue à réguler notre cycle veille-sommeil. Des études ont montré que les personnes ayant un faible taux de vitamine D présentent un risque plus élevé de troubles du sommeil. La vitamine B6 est une autre vitamine qui peut améliorer notre sommeil. Elle contribue à la production de mélatonine, une hormone qui régule notre cycle veille-sommeil. Une carence en vitamine B6 est associée à l'insomnie et à d'autres troubles du sommeil. Le magnésium est également essentiel pour maintenir une bonne qualité de sommeil. Il aide à détendre les muscles et à réduire le stress, ce qui peut améliorer la qualité du sommeil. Les vitamines peuvent améliorer votre niveau d'énergie de manière surprenante Vous vous sentez fatigué et léthargique ? Les vitamines peuvent vous aider à augmenter votre niveau d'énergie. L'une de ces vitamines est la vitamine B12. Elle contribue à la production de globules rouges, qui transportent l'oxygène vers les tissus de l'organisme. Une carence en vitamine B12 peut entraîner fatigue et faiblesse. La vitamine C est une autre vitamine qui peut améliorer notre niveau d'énergie. Elle contribue à réduire la fatigue et à améliorer notre humeur. Le fer est également essentiel pour maintenir un bon niveau d'énergie. Il contribue à la production d'hémoglobine, qui transporte l'oxygène vers les tissus de notre corps. Les meilleures sources alimentaires de vitamines essentielles Une alimentation équilibrée peut nous apporter toutes les vitamines essentielles dont nous avons besoin. Voici quelques-unes des meilleures sources alimentaires de vitamines essentielles : - Vitamine A : patates douces, carottes, épinards et chou frisé. - Vitamine B6 : pois chiches, saumon, thon et poulet - Vitamine B12 : bœuf, foie, palourdes et poisson - Vitamine C : Agrumes, fraises, poivrons et brocolis - Vitamine D : Poissons gras, jaunes d'œufs et champignons - Vitamine E : Amandes, graines de tournesol et épinards - Vitamine K : chou frisé, épinards, brocoli et choux de Bruxelles A lire également : Bol chantant tibétain : comment choisir le vôtre ? Suppléments vitaminiques : avantages et inconvénients Bien qu'une alimentation équilibrée puisse nous fournir toutes les vitamines essentielles dont nous avons besoin, certaines personnes peuvent avoir besoin de prendre des suppléments vitaminiques. Les suppléments vitaminiques peuvent être bénéfiques pour les personnes qui souffrent d'une carence ou qui ne peuvent pas obtenir suffisamment d'une vitamine spécifique par le biais de leur alimentation. Toutefois, la prise excessive de certaines vitamines peut être nocive pour la santé. Une consommation excessive de vitamine A peut provoquer des nausées, des vertiges et des maux de tête. Un surdosage en vitamine D peut entraîner des lésions rénales et d'autres problèmes de santé. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments vitaminiques. Donnez vous les moyens d'avoir toujours la meilleure santé possible Les vitamines sont essentielles au maintien d'une bonne santé et à la prévention des maladies. Elles peuvent améliorer notre santé mentale et physique de manière surprenante. Une alimentation équilibrée peut nous fournir toutes les vitamines essentielles dont nous avons besoin. Toutefois, si nous souffrons d'une carence ou si notre alimentation ne nous permet pas d'obtenir une quantité suffisante d'une vitamine spécifique, nous pouvons prendre des suppléments vitaminiques. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments vitaminiques. Allez-y, ajoutez ces vitamines à votre régime alimentaire et améliorez votre bien-être général. Read the full article

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mediamed · 6 years ago

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Supplémentation vitaminique et grossesse : un impact sur le risque de trouble autistique ?

L’importance d’une supplémentation vitaminique, avant et/ou en début de grossesse, pour la prévention de certaines maladies du tube neural, est bien entrée dans la pratique courante des médecins. En revanche, l’impact de cette supplémentation [...] n’est pas démontré [...] Dans cette étude [...], portant sur 45 300 enfants [...]

Lire la suite - MediaMed

Marion Aupomerol 22 juillet 2018

Levine SZ, et al. Association of Maternal Use of Folic Acid and Multivitamin Supplements in the Periods Before and During Pregnancy With the Risk of Autism Spectrum Disorder in Offspring. JAMA Psychiatry ; Feb 2018.

#autisme #autism #TSA #acide folique #grossesse #supplémentation vitaminique #pregnancy #obstétrique #maternité #vitamines

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pharmabiounivers · 4 years ago

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Des vitamines pour une peau saine et éclatante

Trouver la bonne vitamine pour une peau saine n'est pas aussi compliqué qu'on le pense. Il existe plusieurs options parmi lesquelles choisir, mais avec juste un peu de connaissances, vous pouvez marcher sur la voie d'une peau saine et sans défaut en un rien de temps.

Votre peau a besoin de la bonne combinaison de nutriments pour faire son travail de bouclier qui défend l'ensemble du corps contre tout. Nourrissez votre peau de l'intérieur pour qu'elle reste belle, fonctionnelle et en bonne santé.

Tout le monde souhaite avoir une peau claire et éclatante. C'est un symbole de bonne santé et de bonheur. Notre peau agit comme une barrière qui protège nos organes internes des menaces extérieures telles que le mauvais environnement et la pollution, et les choses sauvages, chaudes et froides. Il est donc logique que nous prenions soin de notre peau. Veillez à manger et à apporter les vitamines nécessaires à l'organe principal de votre corps (la peau). C'est l'une des façons dont nous pouvons l'aider à rester en bonne santé. Si vous avez une peau saine et éclatante que vous pouvez voir dans le miroir, vous serez plus heureux et plus optimiste.

Voici quelques vitamines qui sont essentielles pour une peau saine, éclatante et sans défaut :

Vitamines pour une peau saine

Vitamines C et E Nous savons tous à quel point le soleil peut être nocif pour la peau. Les rayons UV sont les plus dangereux de tous. Si vous voulez améliorer votre peau naturellement, protégez-vous de l'exposition au soleil. Les vitamines topiques C et E peuvent fournir une photoprotection importante. Ces vitamines topiques peuvent vous protéger des effets néfastes d'une exposition excessive au soleil, menant au cancer de la peau. De nombreux dermatologues conseillent de prendre 400 mg de vitamine E naturelle par jour. Cela aidera à diminuer les photodommages, les rides et à améliorer la texture de la peau. La texture de la peau passe également par le blanchiment des dents ; vous pouvez obtenir un sourire sain et brillant en utilisant des dentifrices sans produits chimiques. Les vitamines C et E jouent donc un rôle important dans la protection de votre peau contre le soleil.

Vous pouvez obtenir de la vitamine C en mangeant des aliments sains comme les poivrons, le chou, les légumes verts et le brocoli. Ces aliments remplaceront toute la vitamine C dont votre peau manque naturellement par une consommation régulière. Si vous souhaitez prendre des suppléments, il est conseillé d'en consommer 500 à 1000 mg par jour.

La vitamine A La vitamine A fait partie des vitamines essentielles pour une peau saine. Si vous avez une peau rugueuse et écailleuse, il se peut que vous ayez une carence en vitamine A. En effet, la vitamine A est mandatée pour réparer la peau et les tissus. La vitamine A est nécessaire pour que la santé, l'apparence et la fonctionnalité de la peau soient optimales. La consommation de repas riches en nutriments, la prise de suppléments vitaminiques et l'application de produits vitaminés topiques peuvent être bénéfiques. Les vitamines peuvent être utilisées pour traiter plusieurs troubles cutanés, notamment l'acné, le psoriasis et les symptômes du photovieillissement, et rendre la peau plus belle.

La vitamine D Lorsque votre peau traite la lumière du soleil, de la vitamine D est formée. À ce moment-là, le cholestérol est converti en vitamine D. Vos reins et votre foie absorbent la vitamine D, qui est ensuite transférée dans tout votre organisme pour contribuer à la formation de cellules saines. La peau est concernée, car la vitamine D est essentielle à la tonicité de la peau. Elle peut également contribuer au traitement du psoriasis.

Vitamine du complexe B Il existe de nombreuses vitamines B, mais la biotine est la plus saine pour une peau saine. La biotine est un nutriment que l'on trouve dans les cellules de la peau, des ongles et des cheveux. Si vous ne consommez pas suffisamment de biotine, vous risquez de souffrir d'une dermatite (une réaction cutanée qui démange et desquame) ou même de perdre vos cheveux. Les bananes, les œufs, les flocons d'avoine et le riz sont des aliments qui permettent à votre peau de développer de la biotine par elle-même. Des préparations topiques contenant des vitamines B, dont la biotine, sont désormais disponibles. Ces produits de soins de la peau vous aideront à obtenir un éclat sain, à hydrater vos cellules et à améliorer le teint général de votre peau.

Conclusion Les vitamines mentionnées ci-dessus sont quelques-unes des principales vitamines pour une peau saine auxquelles vous devriez accorder une attention particulière. Chacune de ces vitamines peut être obtenue simplement en modifiant le régime alimentaire. Toutefois, si vous souhaitez avoir une peau claire et éclatante, il est bon d'utiliser des crèmes hydratantes topiques contenant ces vitamines. Une carence en vitamines peut avoir des effets néfastes sur la peau car les vitamines sont essentielles à votre bien-être et au fonctionnement de votre corps. Une carence en l'une ou l'autre des vitamines peut entraîner des dommages à la peau, comme le cancer de la peau. La consommation de vitamines est donc nécessaire pour votre peau et votre corps.

écrit par : pharmabiounivers

#pharmabiounivers #Vitamine

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agentfascinateur · 4 years ago

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my Covid Kit suggestions

Use a sleep apnea mask as respirator for your elder family members

Use a Berger oil lamp to burn any bacteria in the air inside your home

Avoid acetaminophen if you have aches, inflammation or migraines

Stock up on Buckley's cough syrup if you begin coughing

Take vitamin supplements like B12

Drink mint tea which reduces inflammation (avoid stimulants)

Keep Aspirin handy if you feel heart palpitations or numbing in the arm

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mes suggestions d’un Kit Covid

Utiliser un masque pour l'apnée du sommeil comme respirateur pour vos aînés

Utiliser une lampe à huile Berger pour brûler les bactéries ambiantes dans votre chez-vous

Éviter de prendre de l’acetaminophene en cas de douleur, inflammation ou migraines

Se doter de sirop Buckley's contre la toux dès les premiers symptômes

Prendre des suppléments vitaminiques comme le B12

Boire du thé à la menthe, qui réduit l’inflammation (éviter les stimulants)

Conserver de l’Aspirine à la main en cas de palpitations cardiaques ou engourdissement au bras

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infirmieres-domicile-blog · 4 years ago

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Qu'est-ce que les soins aux aînés?

Les Français vivent plus longtemps et vivent bien pendant de plus longues périodes. Cela a créé un domaine relativement nouveau et en croissance des services de santé et des prestataires de soins, connu sous le nom de soins aux personnes âgées. Les soins aux aînés couvrent une grande variété de problèmes. Cela comprend le choix d'un fournisseur de soins de santé approprié pour prendre soin d'une personne vieillissante. Cela comprend également la prise de décisions concernant le déplacement d'une personne âgée de la maison vers un établissement de soins en établissement. Les personnes âgées de 65 ans et plus constituent le segment de la population française qui croît le plus rapidement. De nombreuses personnes âgées mènent une vie saine, active et indépendante. Mais à mesure que de plus en plus de personnes atteignent 80 et 90 ans, le nombre d'adultes âgés ayant besoin d'aide pour la vie quotidienne augmente. Les responsabilités de ceux qui les soignent augmentent également.

Statistiques sur les soins aux aînés

Selon un rapport de 2016 (les statistiques les plus récentes disponibles) de l'Administration sur le vieillissement du ministère francais de la Santé et des Services sociaux:

La population âgée (personnes âgées de 65 ans ou plus) comptait 47,8 millions de français.

Le nombre de francais âgés de 65 ans et plus devrait passer de 47,8 millions en 2015 à environ 98 millions d'ici 2060.

Aujourd'hui, les personnes qui atteignent l'âge de 65 ans ont une espérance de vie moyenne de 19,4 ans supplémentaires (20,6 ans pour les femmes et 18 ans pour les hommes).

En quoi consiste le choix d'un fournisseur de soins de santé pour la personne âgée?

Différentes étapes de la vie peuvent nécessiter différents prestataires de soins de santé. Pour les personnes âgées, il est important d'avoir un fournisseur de soins de santé primaires qui comprend les besoins particuliers des personnes âgées.

De nombreux types de professionnels de la santé s'occupent des personnes âgées. Ces prestataires comprennent des médecins de famille, des internistes et des gériatres.

Médecin de famille. Fournit des soins de santé aux membres de la famille de tous âges.

Interniste. Spécialisé en médecine interne, généralement pour les adultes.

Gériatre. Spécialement formé aux soins aux aînés et à la gestion de nombreuses maladies complexes et avancées.

Le choix du bon fournisseur de soins de santé primaires est une décision importante. En général, vous recherchez un professionnel de la santé compétent et bien formé. Vous voulez également un prestataire qui se soucie de la personne et de son entourage. Les autres points à considérer incluent:

Mon assurance paiera-t-elle les visites au bureau et les services d'un fournisseur de soins de santé?

Le fournisseur de soins de santé est-il un praticien en solo ou fait-il partie d'un cabinet de groupe?

Le fournisseur de soins de santé accepte-t-il les patients de Medicare? Quelles sont les politiques et procédures Medicare du cabinet?

Quelles sont les affiliations de soins gérés du fournisseur de soins de santé?

Le bureau du fournisseur de soins de santé est-il situé dans un endroit pratique et sûr?

Dans quel hôpital le fournisseur de soins de santé traite-t-il les patients?

Suis-je à l'aise avec l'âge et le sexe du fournisseur de soins de santé?

Y a-t-il des barrières linguistiques?

Le fournisseur de soins de santé est-il un bon auditeur et un bon communicateur? Explique-t-il les choses clairement, pleinement et patiemment à la personne et à sa famille ou à son soignant?

Quelle est la politique du fournisseur de soins de santé concernant la poursuite du suivi des patients qui déménagent dans des centres de soins résidentiels?

Le fournisseur de soins de santé a-t-il une formation sur les conditions propres au vieillissement telles que la perte de mémoire, le déclin fonctionnel et les problèmes de fin de vie?

Le fournisseur de soins de santé a-t-il une formation ou est-il à l'aise avec la prestation de soins palliatifs à ses patients?

En quoi consiste l'interrogatoire du fournisseur de soins de santé?

Une fois que vous avez sélectionné 2 ou 3 fournisseurs de soins de santé possibles, c'est une bonne idée de visiter leurs bureaux et de leur poser des questions sur les politiques du bureau et leur approche des soins aux personnes âgées. Par exemple:

Combien de temps à l'avance dois-je prendre rendez-vous pour une visite non urgente?

Comment les visites d'urgence sont-elles gérées?

Traitez-vous de nombreuses personnes âgées?

Que pensez-vous de l'implication de la famille dans les décisions en matière de soins de santé?

Continuez-vous à suivre les gens s'ils déménagent dans un établissement de soins en résidence local?

En quoi consiste la préparation du rendez-vous?

Pour tirer le meilleur parti de chaque visite au cabinet du fournisseur de soins de santé, il est préférable de planifier à l'avance. Les directives suivantes peuvent vous aider à vous préparer au rendez-vous:

Connaissez toutes les informations de base susceptibles de vous être demandées (voir le formulaire d'informations de base ci-dessous).

Apportez les dossiers médicaux ou faites-les envoyer à l'avance.

Sachez quels médicaments la personne prend. Il s'agit notamment de médicaments sur ordonnance, de médicaments en vente libre et de suppléments vitaminiques et à base de plantes.

Connaître toutes les conditions médicales diagnostiquées.

Amenez un membre de la famille qui servira de deuxième paire d'yeux et d'oreilles pour la personne âgée.

Notez les questions à l'avance, y compris les préoccupations dont vous aimeriez discuter avec le fournisseur de soins de santé.

Apportez un bloc-notes et un crayon ou un magnétophone pour enregistrer les instructions et prendre des notes.

Lorsque vous visitez le fournisseur de soins de santé, il est préférable de disposer des informations de base suivantes. Cela peut vous aider à rendre votre visite aussi productive que possible. Vous pouvez utiliser ce formulaire de renseignements de base pour vous aider à vous préparer pour votre prochain rendez-vous médical.

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williamgunst · 2 years ago

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Nourriture saine et naturelle pour votre animal de compagnie

Quelle est l’alimentation la plus équilibrée pour un chien ? La cuisine maison est intéressante si elle est préparée de manière équilibrée. Son principal avantage est l’utilisation d’ingrédients frais. Il doit être composé de viande ou de poisson, de riz, de légumes, d’huile de colza et d’un supplément vitaminique et minéral. Comment préparer un repas équilibré pour chien ? Recette #1 : Poulet…

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myblogin-fr · 3 years ago

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Prévention et traitement de l'arthrite

L'arthrite est très fréquente, en particulier chez les personnes âgées, et provoque des douleurs et des inflammations. Vous apprendrez des informations précieuses qui vous aideront à gérer la douleur et l'inflammation associées à l'arthrite, afin que vous puissiez vivre une vie active et bien remplie sans douleur débilitante.

Ce livre contient les sujets suivants :

Informations générales sur l'arthrite

Définir la polyarthrite rhumatoïde

Il existe trois stades de l'arthrite :

Symptômes et signes de la polyarthrite rhumatoïde

Causes de la polyarthrite rhumatoïde

Arthrite du genou et à quoi s'attendre

Comment gérer la douleur arthritique

Vivre avec l'arthrose du genou

L'arthrite : ses effets débilitants et nocifs

Est-ce la polyarthrite rhumatoïde ou l'ostéoporose?

Symptômes de l'ostéoporose :

Qui affecte l'arthrite?

Avantages et inconvénients des médicaments contre l'arthrite en vente libre.

Remèdes à la maison et naturels pour l'arthrite

L'arthrite : pas seulement pour les personnes âgées

Infection généralement causée par des bactéries ou des virus

L'exercice peut-il vous aider à traiter la douleur arthritique?

Moyens gratuits pour se débarrasser de la douleur arthritique

Comment la loi de la gravité m'a aidé avec l'arthrite

Conseils pour vous aider à gérer l'arthrite

Analgésiques et arthrite

Yoga : le traitement complet des douleurs arthrosiques

Goji et arthrite

Comment l'huile de graines de chanvre peut-elle aider l'arthrite

Options de soulagement de la douleur pour l'arthrose des genoux

L'arthrite et les suppléments vitaminiques

Comment déterminer si la chirurgie est une option pour soulager la douleur arthritique

Quelles sont les alternatives à la chirurgie de l'arthrite ?

La vérité sur le régime contre l'arthrite et la perte de poids

Les aliments qui causent l'arthrite

Régime contre l'arthrite - Soulagement de la douleur

Vous pouvez aider à éliminer l'arthrite

La douleur et l'inflammation arthritiques peuvent-elles être soulagées immédiatement?

Arthroplastie de l'épaule chez les patients souffrant d'arthrose

Pour aider à soulager les douleurs arthritiques au volant

Arthrite : quand les choses deviennent trop grandes

Arthrite, douleur au genou, goutte, homme riche

Genoux, hanches, doigts et dossier douloureux

Solutions chirurgicales pour les douleurs arthrosiques

Arthrite, soulagement de la douleur et boissons gazeuses

Arthrite, spondylarthrite et douleurs musculaires : l'approche à base de plantes

Questions-réponses sur l'arthrite : Comprendre les différents types d'arthrite

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fatyh · 4 years ago

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2 -Il améliore votre beauté naturelle

DracoBelle ™ Nu imite les effets bénéfiques de la restriction calorique et de l'activité physique régulière en activant la voie anti-âge et de longévité d'AMPK / FOXO. Ce composant a démontré cliniquement (niveaux d'hydratation), élasticité et densité de la peau améliorés.

3 -Augmente l'élasticité de la peau

La perte d'élasticité de la peau est la principale cause de rides. Grâce à Collagen Select , votre peau retrouvera jour après jour une élasticité et une hydratation parfaites. Le supplément soutient également la production correcte de collagène et augmente les niveaux d'élastine jusqu'à 18%!

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Le composé vitaminique et minéral contenu dans Collagen Select soigne efficacement la pigmentation adéquate des cheveux et des ongles. De plus, grâce au collagène hydrolysé Verisol®, vos ongles cesseront de se fendre et deviendront nettement plus forts.

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omagazineparis · 7 months ago

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5 façons dont les vitamines améliorent votre bien-être général

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bio-leven-blog · 4 years ago

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Différents types d'antibiotiques peuvent combattre différents types de bactéries et de parasites, c'est pourquoi les médecins prescrivent des antibiotiques en fonction des bactéries spécifiques (bactéries ou parasites) qui causent l'infection. Alors s'il s'agit d'une maladie mineure, pourquoi ne pas se tourner vers la nature. La nature nous fournit de nombreux antibiotiques naturels sous forme de fruits, condiments, légumes, herbes, etc.? Les antibiotiques naturels peuvent en effet résister à certaines infections virales et fongiques. Plus important encore, ils ne tueront pas les «bonnes» bactéries dont le corps humain a besoin. 𝗟𝗘 𝗠𝗜𝗘𝗟 𝗗𝗘 #𝗠𝗔𝗡𝗨𝗞𝗔 Le miel, en particulier le miel de Manuka, est un antibiotique puissant. Il a des propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et antiseptiques. Une étude de 2014 a révélé que le miel a la capacité de combattre les infections, ce qui rend plus difficile pour les bactéries de développer une résistance. Sa combinaison unique de peroxyde d'hydrogène, d'acidité, d'osmose, de sucre et de polyphénols aide à tuer les cellules bactériennes. Pour profiter pleinement des propriétés antibiotiques du miel, utilisez-le toujours cru et bio. S'il est abordable, le miel de #Manuka semble être le choix parfait. Faisant l'objet de nombreuses études, notamment dans le traitement de certaines plaies locales, il est efficace. Par exemple, pour renforcer le système immunitaire, vous pouvez manger une quantité égale d'un mélange de miel et de cannelle chaque jour. 𝗟’𝗘𝗫𝗧𝗥𝗔𝗜𝗧 𝗗𝗘 𝗣𝗘́𝗣𝗜𝗡𝗦 𝗗𝗘 #𝗣𝗔𝗠𝗣𝗟𝗘𝗠𝗢𝗨𝗦𝗦𝗘 L'extrait de pépins de pamplemousse est un puissant antibiotique naturel. Il a des effets antiseptiques, antifongiques et antiviraux. Il est connu pour être efficace contre plus de 800 bactéries, virus, plus de 100 souches fongiques et de nombreux parasites. De plus, l'extrait de pépins de pamplemousse est riche en antioxydants, qui aident à renforcer l'immunité naturelle du corps. Habituellement utilisé dans les situations suivantes: – les maladies gastro-intestinales – les infestations par levures – les refroidissements en tous genres – les infections ORL – les mycoses de la peau et ongles – les infections urinaires – les déficiences immunitaires même graves – la fatigue chronique – les candidoses – les diarrhées – les grippes – les mycoses – les pellicules – les verrues – les excès de transpiration – les eczémas – les gingivites – les intoxications alimentaires -le choléra – la désinfection des blessures – la désinfection de l’eau à boire – L’hélicobacter Pylori L'extrait de pépins de pamplemousse existe presque exclusivement sous forme liquide. Bien sûr, je préfère l'extrait de pépins de pamplemousse bio. 𝗟𝗘 #𝗚𝗜𝗡𝗚𝗘𝗠𝗕𝗥𝗘 Le gingembre est une épice incroyable avec d'innombrables avantages. Les propriétés antibiotiques naturelles du gingembre aident à prévenir et à traiter de nombreux problèmes de santé causés par des bactéries. Le gingembre frais a un effet antibiotique sur les agents pathogènes d'origine alimentaire (tels que Salmonella). Il est également très efficace pour les infections respiratoires et parodontales. Le gingembre est l'une des meilleures mesures préventives pour prévenir les infections bactériennes. Sous forme de poudre, il est parfait pour vos plats. Il est également facile à trouver dans le thé ou les capsules. #𝗟’𝗘𝗖𝗛𝗜𝗡𝗔𝗖𝗘́𝗘 L'échinacée produit de belles fleurs. Il a été utilisé pour traiter de nombreuses infections pendant des siècles. Traditionnellement, il a été utilisé pour traiter les plaies ouvertes, la diphtérie, l'empoisonnement du sang et d'autres maladies bactériennes. Aujourd'hui, ce puissant antibiotique naturel est principalement utilisé pour traiter le rhume et la grippe en raison de sa capacité à détruire des formes plus dangereuses de bactéries, telles que Staphylococcus aureus. #𝗟’𝗔𝗜𝗟 L'ail est un antibiotique naturel puissant qui est utilisé comme médicament par de nombreuses cultures à travers le monde depuis des milliers d'années. En d'autres termes, c'est même l'un des remèdes contre la peste au Moyen Âge. L'ail a également des effets antiviraux, antifongiques et antibactériens. Il peut protéger et favoriser l'élimination des bactéries nocives. Les antioxydants naturels riches en antioxydants naturels peuvent détruire les radicaux libres, ce n'est pas seulement un moyen de purifier le sang, mais aussi l'un des meilleurs moyens d'améliorer les défenses naturelles. Pour tester son efficacité, il est idéal de consommer 2 ou 3 clous de girofle chaque jour. Certaines personnes peuvent même manger de l'ail à jeun pour augmenter son efficacité. L'ail s'intègre facilement dans votre quotidien et est l'une des meilleures solutions pour remplacer les antibiotiques chimiques (dans certains cas) et donc protéger la flore intestinale. 𝗟𝗮 #𝗣𝗿𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘀 La propolis est un produit fabriqué par les abeilles en utilisant diverses résines qu'elles collectent sur les bourgeons et l'écorce des arbres. Ils l'induisent dans la ruche pour assurer fermeté, résistance et stérilité. En raison de sa forte teneur en flavonoïdes, les compléments alimentaires à la propolis ont des propriétés antiseptiques, antibactériennes et antioxydantes. Étant donné que le risque d'allergie à la propolis augmentera avec l'allongement de la durée du traitement, il est recommandé de ne pas continuer pendant plus de 2-3 semaines. On trouve la propolis sous forme de morceaux bruts, de capsules, de comprimés, de gomme à mâcher, d’extrait fluide ou sec, de teinture, de rince-bouche, de dentifrice, de pommade, etc. De plus, Sirops (https://www.bioleven.be), remèdes à base de plantes ou suppléments vitaminiques et minéraux en renferment des quantités variables. 𝗟’𝗛𝗨𝗜𝗟𝗘 𝗗’𝗢𝗥𝗜𝗚𝗔𝗡 L’huile d’origan est antivirale et antifongique, elle s’attaque également aux bactéries pathogènes sans nuire aux bactéries bénéfiques. Même si l’huile d’origan est efficace contre les bactéries, méfiance ! La molécule principale de l’huile d’origan, le carvacrol, pourrait être toxique passé une certaine dose. Soyez donc très prudent dans son utilisation 𝗟𝗘 𝗖𝗨𝗥𝗖𝗨𝗠𝗔 Dans l'Ayurveda et la médecine chinoise, le curcuma a des propriétés anti-biotiques, aide à éliminer les bactéries pathogènes et améliore les défenses naturelles de l'organisme. Le curcuma peut également aider à prévenir les infections bactériennes, telles que les infections des plaies. Selon une étude de 2009, l'activité antibactérienne de la curcumine (l'ingrédient actif du curcuma) s'est avérée efficace contre Helicobacter pylori. Le curcuma est une épice naturelle qui peut être naturellement incorporée dans votre alimentation quotidienne et est généralement vendue sous forme de poudre. Il peut également être consommé avec du miel cru ( https://bit.ly/38ykevi ) 1 cuillère à café de poudre de curcuma équivaut à 5cc de miel, qui peut être transformé en un antibiotique naturel et puissant. Vous pouvez également prendre des suppléments de curcuma à haute disponibilité, que vous pouvez facilement trouver sur Internet ou dans les magasins d'aliments naturels. 𝗟’𝗘𝗫𝗧𝗥𝗔𝗜𝗧 𝗗𝗘 𝗙𝗘𝗨𝗜𝗟𝗟𝗘𝗦 𝗗’𝗢𝗟𝗜𝗩𝗜𝗘𝗥 L'action antibiotique naturelle de l'extrait de feuille d'olivier lui permet de traiter différents types d'infections bactériennes. Une étude de 2003 a prouvé l'efficacité de l'extrait de feuille d'olivier contre les bactéries et les champignons. Cet extrait a des propriétés anti-inflammatoires, peut aider à «piéger» les radicaux libres et a un effet bénéfique sur les patients souffrant d'hypertension légère. Vous pouvez utiliser l'extrait de feuille d'olivier de différentes manières. Infusion. Versez 1 litre d'eau bouillante dans un récipient de 50 grammes de feuilles coupées séchées. Laisser reposer 20 minutes. Filtrer et boire 1 tasse après les repas. Dans la soupe. Faites bouillir 40 grammes de feuilles séchées et hachées dans 1 litre d'eau pendant 10 minutes. Filtrer et boire 1 tasse après les repas. Une autre option consiste à prendre de l'extrait de feuille d'olivier en complément. 𝗟’𝗛𝗨𝗜𝗟𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗢𝗖𝗢 Encore une merveille de la nature. Les bienfaits de l’huile de noix de coco sont nombreux. Elle a des propriétés anti-fongiques, anti-microbiennes et possède des antioxydants que vous ne trouverez nulle part ailleurs dans la nature. Utilisez l’huile de coco pour stimuler votre système immunitaire, l’équilibre de la thyroïde, le cholestérol, contrôler les niveaux de sucre dans le sang, et même améliorer la fonction cérébrale. On peut bien sûr faire un usage externe de ce cadeau de Mère Nature. Incorporez une cuillère dans votre boisson du matin, cuisinez vos plats avec (l’huile de coco est celle qui résiste le mieux à la chaleur de la cuisson contrairement à d’autres huiles qui dégagent des toxiques en chauffant), ajoutez-là à vos gâteaux etc. En plus c’est délicieux ! 𝗟𝗘 𝗠𝗔𝗥𝗚𝗢𝗨𝗦𝗜𝗘𝗥 (𝗢𝗨 𝗡𝗘𝗘𝗠) Le neem, surnommé le clou de girofle indien, est un autre antibiotique naturel. Il aide à combattre les bactéries responsables de l'acné et de l'acné. Contrairement aux antibiotiques, l'imem peut résister aux bactéries sans provoquer de résistance aux antibiotiques. De plus, comme Inem possède des propriétés antibactériennes, il peut résoudre différents types de problèmes bucco-dentaires tels que la carie dentaire, la plaque dentaire, la gingivite et d'autres maladies bucco-dentaires. Il peut également combattre les infections cutanées. La prise de comprimés imme peut aider à éliminer les toxines accumulées dans le corps et à les libérer des parasites. #beauty #skincare #remedes #smoothies #making #tache #nettoyage #produit #environnement #ecologie #climat #nature #sante #zerodechet #innovation #mother #wattrelos #roubaix #paris #france #lyon #Marseille #Bordeaux #Toulouse #Lille #bruxelles #brussels #Liege #nice

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reseau-actu · 4 years ago

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Assurer un statut satisfaisant en vitamine D dans la population générale est particulièrement important dans le contexte de la Covid-19

Le rôle bénéfique de la vitamine D sur la prévention de l’infection par le SARS-CoV-2 et des formes graves a été suggéré par de nombreuses publications. Quelles sont les données actuellement disponibles dans la littérature ? Quels messages pratiques en tirer ? Quelle supplémentation proposer en prévention et en cas de Covid ? Position et recommandations d’experts et de sociétés savantes nationales françaises*. Exclusif !

Après 12 mois de circulation virale, la Covid-19, liée au SARS-CoV-2, a infecté des millions de personnes dans le monde, faisant des centaines de milliers de morts, en particulier chez les personnes âgées, fragiles et celles atteintes de maladies chroniques.1 En l’absence de traitement curatif efficace et accessible à ce jour contre la Covid-19, recourir à des molécules déjà existantes pourrait aider à contrôler la pandémie. Le rôle bénéfique potentiel de la vitamine D est discuté dans de nombreuses publications.2-5 L’objectif de cet article de position était de préciser les données actuellement disponibles dans la littérature biomédicale sur ce sujet, et d’en tirer des messages clairs et pragmatiques vis-à-vis de l’intérêt d’assurer un statut satisfaisant en vitamine D dans la population générale dans le contexte de la Covid-19.

La vitamine D comme aide à la prévention de l’infection par le SARS-CoV-2 ?

La carence en vitamine D, définie par une concentration circulante de 25-hydroxyvitamine D, ou 25(OH)D, inférieure à 12 ng/mL (ou 30 nmol/L), et l’insuffisance en vitamine D, définie par une concentration circulante de 25(OH)D entre 12 et 20 ng/mL (ou 50 nmol/L),6 peuvent affecter le système immunitaire. En effet, la vitamine D stimule d’une part l’expression et la sécrétion des peptides antimicrobiens par les monocytes/macrophages, ce qui participe aux défenses des muqueuses, mais aussi la synthèse de cytokines anti-inflammatoires tout en inhibant la synthèse de cytokines pro-inflammatoires.7

Plusieurs études observationnelles ont rapporté une association entre les concentrations circulantes basses de 25(OH)D et le risque d’infections respiratoires aiguës, dont la grippe.8 De plus, des méta-analyses récentes d’essais randomisés contrôlés rapportent un effet protecteur de la supplémentation en vitamine D sur les infections des voies respiratoires en particulier chez les sujets carencés en vitamine D recevant une supplémentation quotidienne ou hebdomadaire.9,10

Concernant la Covid-19, les premiers rapports montrent que la concentration circulante de 25(OH)D est plus basse chez les adultes infectés que chez les autres.11,12 Dans une étude écologique, des corrélations inverses ont été trouvées dans 46 pays entre la carence en vitamine D dans la population générale et l’incidence de la Covid-19.13 Plus précisément, l’existence d’une insuffisance en vitamine D semble précéder la survenue incidente de la Covid-19,14 et non l’inverse.

Malgré l’absence de données interventionnelles solides pour le moment, les résultats préliminaires de l’étude Koronastudien.no, montrant en Norvège que les consommateurs réguliers d’huile de foie de morue sont moins à risque d’être infectés par le SARS-CoV-2,15 suggèrent que la supplémentation en vitamine D pourrait aider à prévenir la Covid-19. Ces données observationnelles ne permettent pas de prouver l’imputabilité d’une concentration basse de 25(OH)D sur le risque de survenue de la Covid-19 chez un individu, mais les effets positifs connus de la vitamine D sur le système immunitaire soulèvent l’hypothèse que les personnes ayant un statut satisfaisant en vitamine D sont mieux armées pour ne pas développer la maladie.

La vitamine D comme aide à la prévention des formes graves de Covid-19 ?

Si la Covid-19 n’entraîne généralement que des symptômes bénins, elle peut aussi progresser vers une réaction inflammatoire incontrôlée, appelée « orage cytokinique », en partie secondaire à la régulation négative par le SARS-CoV-2 de l’enzyme de conversion de type 2 de l’angiotensine (ACE2 : enzyme de contre-régulation dégradant l’angiotensine 2 en angiotensine 1-7 ayant des propriétés antioxydantes, antifibrosantes et anti-inflammatoires). La conséquence est un état pro-inflammatoire associé à de graves lésions tissulaires, contribuant aux formes graves de Covid-19 et notamment à la survenue d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), souvent fatal.1 Les personnes âgées et celles ayant des comorbidités, telles que l’hypertension artérielle, le diabète ou l’obésité, sont plus à risque de développer une forme grave de Covid-19.

La vitamine D module l’activité du système rénine angiotensine et l’expression de l’ACE2.16 Une étude chez des rats ayant un SDRA chimiquement induit a ainsi montré que l’administration de vitamine D augmentait les taux d’ARNm et de protéines ACE2, et que les rats supplémentés en vitamine D avaient des symptômes de SDRA plus légers et des lésions pulmonaires plus modérées que les rats témoins.17 En outre, la modulation de l’immunité adaptative par la vitamine D (stimulation de l’expression de cytokines anti-inflammatoires par les macrophages et limitation de la production de cytokines pro-inflammatoires par les lymphocytes T helper de type 17) pourrait aussi limiter les conséquences de l’orage cytokinique.

On notera également que les principaux facteurs de risque de carence en vitamine D (l’âge avancé, l’obésité, ou les maladies chroniques) sont très semblables aux facteurs de risque de formes graves de Covid-19.1,6 En cas de Covid-19, plusieurs études ont ainsi montré, en prenant en compte les potentiels facteurs de confusion, que les personnes ayant une concentration de 25(OH)D basse étaient plus susceptibles d’évoluer vers une forme grave,18 de recourir à une ventilation non invasive,19 d’avoir une durée d’hospitalisation prolongée,12 mais aussi de mourir de la Covid-19,20 y compris dans les unités de soins intensifs.20 Alors que beaucoup d’études concluent à une corrélation inverse entre concentration de 25(OH)D chez les patients Covid-19 et sévérité de la maladie, ce n’est pas le cas de toutes les études.14 Pour une analyse critique des études publiées jusqu’au 15 octobre 2020 et des facteurs de confusion associés à la carence en vitamine D, comme la faible activité physique ou une nutrition défaillante, nous conseillons de consulter la revue de Mercola et al.5 Ainsi l’insuffisance en vitamine D pourrait constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19 ce qui est potentiellement très intéressant, car, contrairement aux autres facteurs de risque sur lesquels il n’existe que peu (ou pas) de possibilités d’agir, la carence en vitamine D est très facilement modifiable par une simple supplémentation.21

Les (rares) études d’intervention publiées sont en faveur d’un effet bénéfiquede la supplémentation en vitamine D pour réduire la gravité des symptômes chez les adultes atteints de Covid-19. Ainsi, un essai clinique randomisé contrôlé contre placebo chez 40 malades Covid-19 initialement carencés en vitamine D a montré qu’une plus grande proportion de participants ayant reçu une forte dose de vitamine D (50 000 UI/j pendant 7 jours) n’avaient plus d’ARN viral du SARS-CoV-2 détectable à 21 jours sur les prélèvements oropharyngés par rapport au groupe placebo (63 % vs 21 % respectivement ; p : 0,018).22 Sur le versant des bénéfices cliniques, un essai randomisé a rapporté, chez 76 adultes âgés en moyenne de 53 ans hospitalisés pour Covid-19, que ceux ayant reçu des suppléments de calcifédiol (c’est-à-dire de 25(OH)D) en plus des soins standards contre la Covid-19 ont eu significativement moins souvent recours à la réanimation que ceux n’ayant reçu que les soins standards (1/50 soit 2 % vs 13/26 soit 50 % ; p < 0,001).23 Ces résultats sont confortés par deux études quasi expérimentales conduites en France pendant la première vague qui ont rapporté des formes moins graves de Covid-19 et une amélioration de la survie d’environ 90 % en cas de supplémentation régulière en vitamine D3 chez des personnes âgées soit hospitalisées,24 soit résidant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).25 Une étude anglaise a également rapporté que la prise de fortes doses de vitamine D3 (environ 280 000 UI sur une période de 7 jours) était associée à une amélioration de 87 % de la survie chez les patients hospitalisés pour Covid-19, indépendamment des concentrations initiales de 25(OH)D.26 Les effectifs faibles et le design de ces études justifient toutefois la poursuite d’essais cliniques randomisés de grande envergure.27

Les données ci-dessus nous incitent à recommander dès à présent les actions suivantes

– Supplémentation en vitamine D avant toute infection par le SARS-CoV-2

La supplémentation en vitamine D est une mesure simple, efficace, sans danger, peu co��teuse et remboursée par l’Assurance maladie. Même s’il n’existe pas encore de preuves indiscutables que la supplémentation en vitamine D réduit le risque d’infection par le SARS-CoV-2, le maintien d’un statut vitaminique D satisfaisant présente de toute façon des bénéfices au-delà de la Covid-19 en favorisant, entre autres, la santé osseuse et neuromusculaire et en étant associé à une amélioration du pronostic dans certains cancers.6 Plusieurs sociétés savantes et groupes d’experts nationaux et internationaux ont déjà publié des avis recommandant la supplémentation en vitamine D dans le contexte de l’épidémie Covid-19.28-31 Les gouvernements britannique et écossais ont de leur côté prévu de fournir de la vitamine D à titre préventif à plusieurs millions de personnes fragiles.32

En l’absence de risque majeur lié à la supplémentation à dose adaptée33 et vu qu’environ la moitié de la population générale française a une hypovitaminose D,34tout pousse aujourd’hui à supplémenter en vitamine D tout au long de l’année les personnes à risque d’hypovitaminose D (c’est-à-dire les personnes de 80 ans et plus, ou malades, ou fragiles, ou dépendantes, ou obèses, ou vivant en EHPAD), et la population générale pendant la période hivernale.22L’objectif est que la majorité de la population générale atteigne une concentration de 25(OH)D sérique entre 20 et 60 ng/mL. Les études les plus solides méthodologiquement indiquent que des apports de1 200 UI/j sont nécessaires pour cela,35 ce qui, en l’absence de formes pharmaceutiques de vitamine D adaptées à une prise journalière simple, pourrait être remplacé par une prise de 50 000 UI de vitamine D3 par mois. Le double de cette dose devrait être prescrit aux sujets obèses. Cette attitude correspond en fait à respecter la recommandation (hors Covid-19) de maintenir un statut vitaminique D satisfaisant dans la population générale, et ne nécessite donc pas d’attendre les résultats d’essais contrôlés randomisés dédiés à la Covid-19 pour être appliquée. Le dosage de la 25(OH)D n’est pas nécessaire (et n’est de plus pas remboursé en France) dans ce cas. La crainte de lithiase rénale liée à la prescription de vitamine D sans dosage préalable (et donc sans confirmation de la carence en vitamine D) peut être rassurée par les résultats des grands essais cliniques récents contrôlés contre placebo qui ont clairement montré qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des lithiases rénales chez plusieurs dizaines de milliers d’individus non carencés en vitamine D (avec une 25(OH)D moyenne de l’ordre de 30 ng/mL à l’inclusion) qui avaient reçu pendant plusieurs années 2 000 UI/j,36 4 000 UI/j,37 ou 100 000 UI/mois.38

Chez certains patients (les patients en situation de « fragilité osseuse », les patients insuffisants rénaux chroniques avec DFG < à 45 mL/min/1,73 m², les patients ayant une malabsorption ou en post-chirurgie bariatrique malabsortive de type bypass, et les patients âgés chuteurs), la concentration-cible se situe plutôt entre 30 et 60 ng/mL. Le dosage de la 25(OH)D est alors nécessaire, et les modalités de supplémentation sont décrites dans les recommandations du Groupe de recherche et d’information sur l’ostéoporose (GRIO).39 Chez les patients âgés et très âgés, un rythme de recharge étalé sur plusieurs semaines peut être proposé afin d’éviter tout effet indésirable lié à la réplétion trop rapide.21, 40 Chez les enfants de 0 à 18 ans, et même si la Covid-19 est souvent peu sévère dans cette population (exception faite des rares cas de syndrome inflammatoire multi-systémique), la supplémentation en vitamine D mérite d’être poursuivie au cours de cette pandémie, à l’instar des résultats trouvés dans la bronchiolite chez l’enfant.41

– Supplémentation en vitamine D en cas de Covid-19 avérée

Comme on l’a vu plus haut, l’hypovitaminose D pourrait être un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19 qui a l’avantage d’être très facilement modifiable par une simple supplémentation. Même s’il semble logique, comme le recommande l’Académie de médecine,42 de supplémenter en vitamine D les patients atteints de Covid-19 en fonction d’un dosage de la 25(OH)D circulante, nous sommes aussi conscients que ce résultat de dosage pourrait dans de nombreux cas n’être disponible qu’après un délai selon nous inacceptable. Par exemple, la réalisation d’une prise de sang en ambulatoire intègre plusieurs étapes (prise de rendez-vous et déplacement au laboratoire, attente du résultat d’analyse, prescription du supplément et récupération à la pharmacie) qui risquent de décourager les patients, et ce d’autant qu’ils devraient rester isolés en raison de leur Covid-19. Des difficultés similaires peuvent être rencontrées dans les EHPAD ne disposant pas de pharmacie à usage intérieur. À l’hôpital, la possibilité de patienter jusqu’au résultat du dosage de 25(OH)D doit aussi être soigneusement évaluée à l’aune du degré d’urgence de la Covid-19 ayant motivé l’hospitalisation. Même si l’impact sur la prévention et/ou l’amélioration des formes graves de Covid-19 fait encore l’objet d’études en cours, nous recommandons donc, dans l’attente des résultats des essais contrôlés en cours, d’obtenir le plus rapidement possible un statut satisfaisant en vitamine D en cas d’infection par le SARS-CoV-2 (grade de recommandation 1B). Nous proposons de prescrire chez l’adulte, en traitement adjuvant aux protocoles de traitements standards disponibles, une dose de charge de vitamine D dès le diagnostic de Covid-19, par exemple 100 000 UI de vitamine D3 per os (200 000 UI chez les patients obèses et/ou ayant d’autres facteurs de risque de gravité de Covid-19) à renouveler après une semaine.21 Cette supplémentation permet de faire monter rapidement la concentration de 25(OH)D sans aucun risque en dehors de situations cliniques rares (sarcoïdose et autres granulomatoses) ou très rares (mutations inactivatrices de certains gènes comme CYP24A1), et d’obtenir un statut vitaminique D satisfaisant pendant la période critique d’environ un mois au cours de laquelle les patients atteints de Covid-19 peuvent déclarer des formes graves. L’intérêt potentiel de posologies plus élevées est actuellement à l’étude.27

Auteurs

*Avec le soutien de l’Association française de lutte antirhumatismale (AFLAR), de la Société française d’endocrinologie (SFE), de la Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG), de la Société française de pédiatrie (SFP), de la Société française d’endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SFEDP), et de la Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation (SFNDT).

Cédric Annweiler ([email protected]), département de gériatrie, centre hospitalier universitaire d’Angers, Angers, Jean-Pierre Aquino, délégation générale de la SFGG.

Justine Bacchetta, centre de référence des maladies rénales rares, centre de référence des maladies rares du calcium et du phosphore, hôpital Femme Mère Enfant, Bron.

Pierre Bataille, service de néphrologie, CH de Boulogne-sur-Mer, Boulogne-sur-Mer.

Stanislas Bataille, centre de néphrologie et transplantation rénale, Marseille.

Alexandra Benachi, service de gynécologie obstétrique, hôpital Antoine Béclère, APHP, Clamart.

Gilles Berrut, pôle hospitalo-universitaire de gérontologie clinique, CHU de Nantes, Nantes.

Hubert Blain, service de gériatrie, CHU de Montpellier, Montpellier.

Sylvie Bonin-Guillaume, service de médecine interne gériatrie, APHM, Marseille.

Marc Bonnefoy, département de médecine gériatrique, CHU Lyon, Pierre-Bénite.

Valérie Bousson, service de radiologie ostéo-articulaire, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.

Béatrice Bouvard, service de rhumatologie, CHU d’Angers, Angers.

Véronique Breuil, service de rhumatologie, CHU de Nice, Nice.

Olivier Bruyère, centre collaborateur de l’OMS pour l’étude de la santé et du vieillissement de l’appareil musculo-squelettique, département des sciences de la santé publique, Liège.

Étienne Cavalier, département de chimie clinique, CHU de Liège, Liège.

Thomas Célarier, département de gérontologie clinique, CHU de Saint-Étienne, Saint-Étienne.

Olivier Chabre, endocrinologie, CHU Grenoble-Alpes, Grenoble.

Philipe Chanson, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.

Roland Chapurlat, hôpital Édouard Herriot, Lyon.

Philippe Chassagne, service de médecine interne gériatrique, hôpital Charles Nicolle, Rouen.

Charles Chazot, néphrologie, NephroCare Tassin-Charcot, Sainte Foy-les-Lyon.

Martine Cohen-Solal, département de rhumatologie, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.

Catherine Cormier, service de rhumatologie, hôpital Cochin, APHP, Paris.

Bernard Cortet, département de rhumatologie, CHRU de Lille, Lille.

Marie Courbebaisse, service des explorations fonctionnelles, hôpital européen Georges Pompidou, APHP, Paris.

Tristan Cudennec, service de médecine gériatrique, hôpital Ambroise Paré, Boulogne-Billancourt.

Françoise Debiais, service de rhumatologie, CHU de Poitiers, Poitiers.

Rachel Desailloud, département d’endocrinologie, diabète et nutrition, CHU d’Amiens, Amiens.

Brigitte Delemer, endocrinologie, diabétologie, nutrition, hôpital Robert Debré, CHU de Reims, Reims.

Marc Duquenne, endocrinologie, CH de Saumur, Saumur.

Patrice Fardellone, service de rhumatologie, CHU d’Amiens, Amiens.

Denis Fouque, département de néphrologie, hôpital Lyon-Sud, Lyon.

Gérard Friedlander, fondation Université de Paris, Paris.

Thomas Funck-Brentano, service de rhumatologie, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.

Jean-Bernard Gauvain, service de court-séjour gériatrique, CHR d’Orléans, Orléans.

Gaetan Gavazzi, service gériatrie clinique, CHU Grenoble-Alpes, Saint-Martin-d’Hères.

Laurent Grange, président de l’AFLAR, service de rhumatologie, CHU Grenoble Alpes, hôpital sud, Échirolles.

Olivier Guérin, président de la SFGG, service de médecine gériatrique et thérapeutique, CHU de Nice, Nice

Dominique Guerrot, président de la commission de néphrologie de la SFNDT, service de néphrologie, CHU de Rouen, Rouen.

Pascal Guggenbuhl, Institut NUMECAN (Nutrition Metabolisms and Cancer), CHU de Rennes, Rennes.

Pascal Houillier, service des explorations fonctionnelles, hôpital européen Georges Pompidou, Paris.

Maryvonne Hourmant, présidente de la SFNDT, département de néphrologie et transplantation, CHU de Nantes, Nantes.

Rachida Inaoui, service de rhumatologie, Pitié-Salpêtrière, APHP, Paris.

Rose-Marie Javier, service de rhumatologie, hôpital de Hautepierre, Strasbourg.

Guillaume Jean, Néphrologie, NephroCare Tassin-Charcot, Sainte Foy-les-Lyon.

Claude Jeandel, centre de gérontologie, CHU de Montpellier, Montpellier.

Peter Kamenicky, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction physiologie et physiopathologie endocriniennes, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.

Véronique Kerlan, présidente de la SFE, département d’endocrinologie, diabète et maladies métaboliques, hôpital de la Cavale Blanche, Brest.

Mare-Hélène Lafage-Proust, Inserm U1059, Université de Saint-Étienne, Saint-Étienne.

Erick Legrand, service de rhumatologie, CHU d’Angers, Angers.

Bruno Lesourd, département de gériatrie, CHU de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand.

Éric Lespessailles, service de rhumatologie, CHR d’Orléans, Orléans.

Agnès Linglart, service d’endocrinologie pédiatrique, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin Bicêtre.

Pierre Marès, service de gynécologie obstétrique, CHRU de Nîmes, Nîmes.

Elena Paillaud, service de gériatrie, hôpital européen Georges Pompidou, APHP, Paris.

Dominique Prié, département BioPhyGen, hôpital Necker-Enfants Malades, Paris.

Yves Rollan, Gérontopôle de Toulouse, CHU de Toulouse, Toulouse.

Claire Roubaud, département de gérontologie clinique, CHU de Bordeaux, Bordeaux.

Jean-Marc Sabatier, institut de neuro-physiopathologie Marseille.

Guillaume Sacco, CNRS UMR 7284/INSERM U108, CHU de Nice, Nice.

Jean-Luc -Saladin, médecine générale, Le Havre.

Jean-Pierre Salles, unité d’endocrinologie, maladies osseuses, hôpital des Enfants, CHU de Toulouse, Toulouse.

Nathalie Salles, département de gérontologie clinique, CHU de Bordeaux, Bordeaux.

Martin Soubrier, département de rhumatologie, CHU Gabriel-Montpied, Clermont-Ferrand.

Bruno Sutter, Institut Calot, Berck-sur-Mer.

Achille Tchalla, unité de recherche clinique et d’innovation de gérontologie, CHU de Limoges, Limoges.

Florence Trémollières, centre de ménopause, hôpital Paule-de-Viguier, Toulouse.

Pablo Antonio Urena Torres, département de physiologie rénale, hôpital Necker-Enfants malades, APHP, Paris.

Marie-Christine Vantyghem, service d’endocrinologie et métabolisme, hôpital C. Huriez, CHRU de Lille, Lille.

Jean-Paul Viard, unité d’immuno-infectiologie, Hôtel-Dieu, APHP, Paris.

Emmanuelle Vignot, Inserm UMR 1033, hôpital E. Herriot, Lyon

Daniel Wendling, service de rhumatologie, CHRU de Besançon Besançon.

Jacques Young, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.

Jean-Claude Souberbielle, service des explorations fonctionnelles, hôpital Necker-Enfants Malades, APHP, Paris.

Tous les auteurs répondent à tous les critères suivants : contribution à la conception ou à l’analyse et à l’interprétation des données ; rédaction de l’article ou révision critique et apport intellectuel important ; approbation de la version finale à publier.

Liens d’intérêts

Source de financement : aucune.

C. Annweiler a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour le laboratoire Mylan.

H. Blain a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour le laboratoire Mylan.

F. Bruyère a reçu des grants de recherche et a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Amgen, Aptissen, Biophytis, IBSA, MEDA, Novartis, Sanofi, Servier, SMB, TRB Chemedica et UCB.

F. Debiais a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Abbott, Abbvie, Alexion, Amgen, Astrazenaca, Expanscience, Lilly, MSD, Novartis, Pfizer, Roche, Theramex, UCB.

P. Fardellone a participé à des interventions ponctuelles pour les laboratoires Arrow, Amgen, IPRAD, Lilly, Mylan, UCB

F. Trémollieres a participé à des actions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Amgen, Astellas, Arrow, Lilly France, Téva et Théramex.

E. Vignot a participé à des actions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires AbbVie, Amgen, BMS, Janssen Cilag, Kyowa Kirin, Lilly, Novartis, Pfizer, Roche Chugaï, Theramex, UCB.

D. Wendling a participé à des actions ponctuelles pour les laboratoires AbbVie, BMS, MSD, Pfizer, Roche Chugai, Nordic Pharma, UCB, Novartis, Lilly, Grunenthal, Galapagos, et a des intérêts indirects : Abbvie, Pfizer, Roche Chugai, MSD, UCB, Mylan, Fresenius Kabi.

Figures et tableaux

Références

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qolgarparis · 4 years ago

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Les compléments solgar à Paris

Améliorer sa santé en utilisant des suppléments de vitamines solgar

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Technique de stratégie alimentaire Les compléments alimentaires, ou compléments alimentaires, sont établis pour utiliser des nutriments tels que les vitamines, les minéraux, les acides aminés et les graisses aux personnes qui ne consomment pas les besoins quotidiens suffisants qui constituent une approche de stratégie d'alimentation saine. Techniquement, les compléments alimentaires comprennent également les compléments naturels, qui visent à aider à éviter ou à traiter des affections et des maladies spécifiques.

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Une stratégie d'alimentation fiable, basée sur des aliments à forte concentration en vitamines, est toujours un concept de service plus fantastique que les compléments. Lorsqu'une méthode de stratégie diététique n'est pas suffisante, un complément alimentaire vitaminé peut être l'action.

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Lorsque vous indiquez que vous ne recevez pas les vitamines appropriées, vous devez vous procurer un supplément vitaminique chez solgar.

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endometriosemonamour · 7 years ago

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Les recommandations de la Haute autorité de santé

Voici de quoi clore cette semaine de sensibilisation! Le 17 janvier 2018, la Haute autorité de santé (HAS) a ENFIN, sorti de nouvelles recommandations pour la prise en charge de l’endométriose (les dernières dataient de 2006). Les associations Endofrance et Endomind, ont participé à leur élaboration. Quitte à me farcir lire tout ça, je me suis dit que j’allais vous en faire un résumé, qui vaut ce qu’il vaut. Du simple mémo de quatre pages au dossier complet de quatre-cents pages, je m’appuie ici sur celui de quarante afin d’avoir des informations complètes mais néanmoins compréhensibles par le commun des mortels. A noter que toutes les recommandations ne se valent pas. Elles sont classées ainsi:

A : preuves scientifiques établies (Niveau de preuve 1 = élevé)

B : présomptions scientifiques (NP2)

C : faible niveau de preuves (NP3 et 4)

AE : accord experts

Il est indiqué en préambule que l’adénomyose (= endométriose ayant infiltré le muscle utérin) n’a pas traitée. Paradoxalement, dans le dossier de 400 pages, elle est évoquée 114 fois. Seuls trois cas d’endométrioses sont étudiés: péritonéale, ovarienne et profonde et ce choix n’est pas justifié. En ce qui concerne l’adénomyose, les médecins ne sont pas tous d’accord. Certains estiment que c’est un phénomène naturel, passé 40 ans, et que c’est quand cela arrive avant que c’est anormal et qu’il s’agit d’endométriose utérine et non d’adénomyose. Ce qui peut explique son exclusion.

Les experts se sont mis d’accord pour ��prendre en charge l’endométriose lorsqu’elle a un retentissement fonctionnel (douleur, infertilité) ou lorsqu’elle entraîne une altération du fonctionnement d’un organe.”(AE) Cette recommandation découle probablement du fait qu’aujourd’hui il n’existe pas de traitement spécifique et que les traitements ne sont pas dépourvus d’effets secondaires.

“Les données de la littérature ne sont pas en faveur d’une progression de l’endométriose au fil du temps, que ce soit en termes de volume ou de nombre des lésions.”(C, NP3) Dès lors, la HAS estime qu’il n’y a pas de données suffisantes pour préconiser un suivi systématique par imagerie des patientes diagnostiquées.

Bien qu’il existe environ 25% de cas asymptomatiques (réf. Endométriose: vaincre la douleur et l’infertilité, Giselle Frénette) les experts se sont accordés (AE) sur le fait qu’il n’est pas recommandé de faire un dépistage de la population en général. Une décision de bon sens, si l’on devait faire passer les tests pour toutes les maladies à l’ensemble de la population, nous passerions notre vie à faire des dépistages...

“À noter que les symptômes douloureux comme la dysménorrhée intense ou les dyspareunies profondes, sont fréquents en population générale (C) et ne sont pas systématiquement reliés à l’endométriose (C).“ “L’endométriose peut être associée à une modification des seuils douloureux avec discordance anatomoclinique (phénomène de sensibilisation) renforçant la douleur (B).” Cette dernière phrase me pose problème, outre le fait qu’il ne faudrait pas que cela accrédite l’accusation de douillette, la perception de la douleur est effectivement modifiée mais dans tous les sens. Ainsi les endométriosiques développent une résistance à la douleur. Si celle-ci peut-être utile, notamment lors des accouchements, elle nous rend aussi dangereuse pour nous même. J’ai ainsi passé une semaine avec une infection urinaire, trop habituée aux douleurs pelviennes pour réagir, et j’ai réagi une fois que j’ai eu de la fièvre et des douleurs au niveau des reins. Et ce genre d’histoires donne généralement lieu à un concours lors de rencontre entre malades! “Le syndrome douloureux chronique des patientes atteintes d’endométriose peut être responsable d’un retentissement physique, psychique et social important.”(C) Une reconnaissance de l’impact de l’endométriose sur nos vies, des plus appréciable.

Les experts sont d’accord sur le fait qu’en “cas de dysménorrhée isolée, sans autre symptôme douloureux ni souhait de grossesse immédiat, la recherche d’une endométriose n’est pas recommandée en cas d’efficacité de la contraception hormonale sur la dysménorrhée.”(AE) A mon sens, il s’agit de reculer pour mieux sauter puisque le jour où la patiente arrêtera la pilule pour avoir un enfant, il faudra qu’elle court après les médecins pour avoir le diagnostic, le tout dans la souffrance. Et si elle ne veut pas d’enfant, comme dirait l’adage populaire “pas de bras, pas de chocolat”! Je fait partie des cas qui ont connu une "explosion” de l’endométriose (rupture de kyste, occlusion intestinale, appendice qui se nécrose, embolie pulmonaire,...) et qui est donc arrivée aux urgences avec un manque cruel d’informations médicales sur son cas. Avoir un diagnostic et des images précises, permet d’éviter de se retrouver dans de telles situations, en contrôlant la maladie ou, à défaut, permet aux urgentistes de mieux appréhender le problème. Sans compter qu’une fois que l’endo “explose” l’état de santé se dégrade rapidement et qu’il faut se traîner de cabinet en cabinet. Ainsi cet accord des experts semble être plus un aveu de manque cruel de moyens, qu’une réelle recommandation... (Intuition confirmée par la conférence des portes ouvertes de l’hôpital Saint-Joseph.)

La stratégie diagnostique préconisée est la suivante :

“Chez les patientes souffrant de douleurs pelviennes chroniques, il est recommandé de rechercher une endométriose profonde en cas de douleur à la défécation pendant les règles, de signes urinaires cycliques, de dyspareunie profonde intense, ou d’infertilité associée.”(B)

“L’échographie pelvienne et l’IRM apportent des informations différentes et complémentaires.”(AE) (Le lavement rectal permet une meilleur visibilité et de ne pas avoir recours au gel de contraste au niveau du rectum et du vagin.) Dans ce paragraphe il est question de la qualification des radiologues car un non-spécialiste peut passer à côté de lésions endométriales. Il existe aussi des examens pour les atteintes spécifiques au recto-sigmoïde ou au niveau urinaire. La coelisocopie diagnostique n’est envisagée qu’en dernier recours, notamment en absence de d’imagerie objectivant l’endométriose.

La HAS reconnaît la nécessité de donner des informations claires aux patientes, notamment sur la fertilité. Une bonne chose car il ne se passe pas une semaine sans que je rencontre une jeune diagnostiquée, qui en raison des gros titres, est persuadée qu’elle est forcément infertile (pour rappel, cela concerne 30 à 40% des malades et la moitié réussira malgré tout à tomber enceinte). Une notice d’information est recommandée. “Au moment du choix du traitement, il est recommandé d’informer les atteintes sur les alternatives thérapeutiques, les bénéfices et les risques attendus de chacun des traitements, le risque de récidive, et de prendre en compte les attentes et les préférences de la patiente. Avant la chirurgie, des informations supplémentaires seront apportées sur son déroulement, son objectif, les inconvénients et les bénéfices escomptés, ses possibles complications, ses cicatrices, ses suites ainsi que le déroulement de la convalescence.” Il serait urgent que cette recommandation soit mise en oeuvre! Comme l’explique Anne Steiger donc son ouvrage, le plus souvent choisir un médecin c’est adhérer à telle ou telle chapelle. Certains médecins proposent donc uniquement le traitement qui a leur préférence. De mémoire, tous les livres témoignages sur l’endométriose évoquent une ménopause chimique plus ou moins imposée, sans en connaître tous les effets secondaires “tout au plus quelques bouffées de chaleur”... Quant aux chirurgies, il n’est pas rare non plus que les patientes se réveillent avec un ovaire ou une trompe en moins, ou encore une poche en plus, sans que ces risques ait été évoqués auparavant. Un traitement hormonal doit donc se prendre en tenant compte de l’avis de la patiente (notamment de ses précédentes réactions à un tel traitement). Il est, par ailleurs, préconisé de prescrire la ménopause chimique avec une add back therapy (macroprogestatif et oestrogène) pour limiter la baisse de densité minérale osseuse et limiter les effets secondaires. La prise en continue de pilule oestro-progestative fonctionne, de facto, sur les douleurs menstruelles mais pas forcément sur les douleurs pelviennes non-cycliques et la dyspareunie.

Concernant les adolescentes, il est recommandé en première intention de les mettre sous pilule et il n’est pas recommandé de les mettre sous ménopause chimique, en raison des risques sur la masse osseuse.

Bien qu’il n’y ait pas de données suffisantes pour recommander un régime alimentaire ou des suppléments vitaminiques, “l’acupuncture, l’ostéopathie et le yoga ont montré une amélioration de la qualité de vie.” Une étude a aussi démontré une efficacité modérée des herbes chinoises.

En France, contrairement aux chirurgiens pratiquant l’exérèse totale, rare sont les médecins acceptant d’opérer sans ménopause chimique préalable. Or, à contre courant, les experts se sont mis d’accord sur le fait qu’il “n’y a pas de preuve permettant de recommander systématiquement un traitement hormonal préopératoire dans le seul but de prévenir le risque de complication chirurgicale, de faciliter la chirurgie, ou de diminuer le risque de récidive de l’endométriose.” Les traitements sont à privilégier plutôt que de recourir à l’opération, selon le groupe d’étude. Et en cas d’opération il faut privilégier la cœlioscopie. “Les techniques d’exérèse et de destruction ont des efficacités comparables pour l’amélioration des douleurs.”(B) en ce qui concerne l’endométriose pelvienne. Cependant le groupe d’experts, nuance ensuite pour les endométriomes. “Il manque des études de bon niveau de preuve comparant la kystectomie à la destruction au laser ou à l’énergie plasma pour recommander ces techniques en remplacement de la kystectomie.” “Une évaluation de la réserve ovarienne peut être utile avant la chirurgie pour endométriose.”

Voilà, difficile de résumer ce texte barbare en quelque chose de digeste mais j’espère qu’au moins vous avez compris dans quelles directions la France se dirige pour notre prise en charge. Personnellement j’ai noté des avancées (encore faut-il qu’elles soient appliquées...) mais il reste beaucoup à faire et je ne suis pas fan de l’option “tout pilule” mais je vous laisse vous faire votre propre opinion. Soyez des patient.e.s éclairé.e.s et prenez soin de votre santé!

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thehealthsupplement · 4 years ago

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Eclipse Keto Avis

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gilvita · 3 years ago

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Comment votre corps bénéficie des suppléments de santé biologiques

Le corps humain peut être comparé au sol de nos jardins. Il a beaucoup à gagner des suppléments de santé organiques par rapport aux vitamines synthétiques, tout comme nos jardins peuvent bénéficier beaucoup de manière plus durable du compost et des engrais organiques par rapport aux engrais synthétiques. Le sol, par exemple, lorsqu'il est traité avec des engrais synthétiques, fait pousser les plantes très rapidement. Mais les nutriments sont également consommés rapidement, laissant le sol épuisé. Ensuite, vous devez appliquer un peu plus d'engrais, sinon vos plantes cesseront de pousser. En revanche, l'effet de l'engrais organique est progressif mais il conditionne tellement le sol qui à lui seul, devient sain et propice à la croissance des plantes. La richesse naturelle du sol est restaurée. De la même manière, notre corps peut tirer le meilleur parti de la chlorophylle liquide bio. Issus de mère Nature, ils sont naturellement équilibrés et notre corps s'enrichit de façon naturelle. Contrairement à certaines vitamines artificielles, si certains composés ne sont pas présents, ils peuvent ne pas être traités correctement ou absorbés par le corps. Le nombre de milligrammes que vous prenez quotidiennement d'une certaine vitamine ou d'un certain minéral n'est qu'une partie de l'équation de la santé. Le facteur le plus important est le nombre de milligrammes que votre corps absorbe et utilise réellement. Même les personnes en bonne santé ne seront pas en mesure de digérer, d'assimiler et d'utiliser pleinement la plupart des pilules de vitamines et de minéraux synthétiques. Alors imaginez à quel point ils seront peu utiles si vous êtes malade ou souffrez de problèmes digestifs - pratiquement zéro. Ils traverseront votre corps sans être absorbés et seront jetés dans les toilettes après quelques heures. Par conséquent, même si les vitamines artificielles peuvent être moins chères, si votre corps n'est pas en mesure d'utiliser correctement les nutriments, c'est un gaspillage d'argent. Les suppléments organiques rendent l'énergie plus cohérente et disponible. Ils aident à reconstituer les déséquilibres vitaminiques et minéraux à long terme. Les suppléments de santé biologiques sont le plus souvent préparés à partir de feuilles séchées et en poudre et de fruits de super fruits ou légumes connus. Certains se présentent sous forme d'extraits de fruits et de racines en poudre. Ils sont conditionnés en capsules tandis que certains sont vendus sous forme de poudre où vous pouvez mélanger avec votre boisson. Certains se présentent sous forme de jus. Quelle que soit leur forme, l'important est de s'assurer qu'ils ont été soumis à certains processus qui préservent la fraîcheur et les nutriments naturels qu'ils contiennent. Une autre raison d'opter pour des suppléments organiques est qu'ils ont moins de chances de contenir des produits chimiques toxiques qui peuvent avoir des effets secondaires négatifs comme des problèmes neurologiques et des niveaux de QI inférieurs. Les fruits et plantes suivants sont parmi les suppléments de santé biologiques et les traitements alternatifs les plus populaires de nos jours en raison des énormes avantages pour la santé qu'ils apportent. Herbert George L'herbe d'orge est l'un des aliments entiers les plus populaires aujourd'hui. C'est un favori des diabétiques car il régule le taux de sucre dans le sang de manière naturelle. L'herbe d'orge est également très nutritive et contient la plupart des composés nécessaires au fonctionnement équilibré du corps humain. L'herbe d'orge aurait 30 fois plus de vitamine B1 et 11 fois plus de calcium que dans le lait de vache, 6,5 fois plus de carotène et près de 5 fois la teneur en fer des épinards, près de sept fois la vitamine C dans les oranges et quatre fois la vitamine B1 dans la farine de blé entier. L'herbe d'orge a des niveaux naturels d'enzymes telles que la SOD (superoxyde dismutase), qui est un puissant antioxydant qui protège les cellules contre les radicaux libres toxiques, considérés comme l'un des principaux responsables du vieillissement. L'herbe d'orge contient également de la chlorophylle (soleil oxygéné liquide), un détoxifiant naturel qui débarrasse les intestins des toxines stockées. C'est la substance verte des légumes à feuilles. Si votre consommation de légumes à feuilles vertes n'est pas suffisante, compléter votre alimentation avec de la chlorophylle verte garantira à votre corps les nutriments dont il a besoin pour fonctionner correctement.

Herbe de blé L'herbe de blé est un favori de ceux qui souffrent d'hypertension artérielle car elle améliore les capillaires et aide à lutter contre les troubles sanguins. Il aide également les diabétiques car il aide à réguler la glycémie. L'herbe de blé a été notée pour avoir des effets bénéfiques également pour ceux qui ont le cancer. L'herbe de blé est considérée comme un aliment complet, rapidement absorbé par l'organisme pour fournir une énergie immédiate et éliminer la fatigue. L'herbe de blé est très riche en Chlorophylle, donc, un bon détoxifiant nettoyant le sang, les reins, le foie et les voies urinaires. L'herbe de blé a des propriétés anti-âge et est bonne pour la peau et les cheveux. Il améliore également la digestion et le métabolisme. Curcuma Les personnes souffrant d'hypertension artérielle bénéficieraient beaucoup du curcuma. •Réduit l'inflammation dans la polyarthrite rhumatoïde •Aide à réduire l'hypercholestérolémie •Empêche la formation de caillots sanguins pouvant entraîner une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral •Renforce la fonction hépatique •Aide à traiter l'hépatite C, la cirrhose et les maladies de la vésicule biliaire •Purificateur de sang et stimulant biliaire •Puissant anti-oxydant pour lutter contre les radicaux libres Églantier •Riche en vitamine C contient des vitamines A, B et D, des flavonoïdes antioxydants et des acides gras essentiels •Propriétés anti-inflammatoires pour aider dans l'arthrose et la polyarthrite rhumatoïde •Contient des caroténoïdes, des stérols végétaux et d'autres composés phytochimiques pour prévenir les maladies cardiaques •Utile dans le traitement des infections des voies urinaires Ginseng de Sibérie •Action normalisante sur le corps, indépendamment de la maladie ou du déséquilibre dans le corps •Augmente l'endurance (anti-fatigue) et renforce le système immunitaire •Ginseng Rouge Améliore la circulation sanguine et aide à faire face au stress •Améliore la mémoire et la concentration mentale •Aide à réguler la pression artérielle et la glycémie Cassis Ce super fruit est extraordinairement riche en vitamine C et de loin supérieur aux oranges navel - contenant plus de trois fois plus qu'une orange. Ils peuvent aider à prévenir l'inflammation des articulations, la fatigue oculaire et les infections urinaires. Il contient une bonne quantité de calcium, de potassium, de phosphore, de fer et de vitamine E et contient également des antioxydants (anthocyanes, un type de polyphénol) et des phytonutriments. Sureau C'est un véritable cadeau de la nature - un puissant combattant contre le rhume et les virus. Les baies de sureau contiennent plus de vitamine C que toute autre plante, à l'exception des cassis et des cynorhodons. La recherche traditionnelle et scientifique indique que les baies de sureau favorisent la résistance aux maladies et qu'elles ont également la capacité de prévenir et même de traiter un virus. Les baies de sureau sont utilisées depuis des siècles dans le traitement du rhume, des infections virales et des affections des voies respiratoires supérieures, y compris l'asthme. Feuille de Persil Il contient une multitude de nutriments tels que la vitamine A, C, E, les bioflavonoïdes, le fer, l'acide folique, les huiles volatiles, les coumarines, les flavonoïdes, la chlorophylle et de puissants composants anticancéreux. Le persil contient plus de vitamine C que tout autre légume culinaire - trois fois plus que dans les oranges et environ la même quantité que le cassis. Sa teneur en fer est également élevée, environ deux fois plus que les épinards. La plante est une bonne source de manganèse, de calcium et de potassium. Le persil et le jus crus sont utilisés pour nettoyer le sang, dissoudre les dépôts collants dans les veines, aident à maintenir l'élasticité des vaisseaux sanguins, aident à décomposer les petits calculs rénaux et biliaires et sont un rafraîchisseur d'haleine naturel et un diurétique.

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