#aîné
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soumissionsaines-blog · 1 year ago
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mysterious-secret-garden · 1 year ago
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Drawing from 'Fromont Jeune and Risler Aîné', 1885 by Alphonse Daudet.
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daltoncity · 2 years ago
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Comment correctement identifier un Dalton isolé de ses frères?
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Bah oui, en le mesurant.
Enfin, s'il se laisse faire, bien entendu. Ce n'est peut-être pas à essayer sur Joe.
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ruemorinpointcom · 1 year ago
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CIUSSS Saguenay-Lac-Saint-Jean
Journée recrutement à la Maison des aînés de Saguenay Continue reading Untitled
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boutondepanique · 1 year ago
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leszackardises · 2 years ago
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Le percutant documentaire « Évincés: Les aînés contre-attaquent » est disponible
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70sscifiart · 1 year ago
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1972 cover art for 'La Force Mystérieuse,' by J.-H. Rosny aîné. Possibly by Henri Lievens.
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sforzesco · 11 months ago
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It’s a little bit ‘I was the match and you were the rock, maybe we started this fire/We sat apart and watched all we had burn on the pyre,’ and ‘Do you understand that we will never be the same again?’ from Bastille’s The Things We Lost In The Fire
and a little bit:
‘A l’instar de son aîné, Caius Antonius sait se montrer délicieux. Il est cultivé, intelligent, plein d’esprit, gracieux, amiable. Surtout, il appartient à la même génération que Brutus, au même milieu. Depuis le départ de Cassius pour l’Orient, il y à quatre mois, Marcus a vécu avec des hommes dont il pourrait être le père, ou avec les soldats, des bas officiers plus âgés mais qui ne sont pas de son monde.’
and also
‘En juin, Cassius a enlevé Laodicée et définitivement défait les forces de Dolabella. Jugeant les autres à sq propre mesur, le beau Publius Cornelius s'est souvenu de ce qu'il avait fait subir à Trebonius…Cassius passant pour un homme violent et rancunier, pour un ami fidèle aussi, Dolabella s'est dit qu'il allait payer la mort horrible de l'ancien gouverneur.’
Brutus: Assassin par idéal, Anne Berner
actually it’s mostly about how my entire playlist for the road leading up to Philippi (after both Brutus and Cassius leave Rome after the assassination of Caesar) is Bastille’s Bad Blood album on repeat. I want their relationship to get messy. There’s another version of this scene that gets a lot more teeth to the subtext of the conversation, but I wanted to play around with it first before committing to like. room layouts. there was originally a couple of transitional panels before the last 2 because I wanted Brutus to really chew on this thought he has, but augh. stairs. didn’t feel like drawing those.
ko-fi⭐ bsky ⭐ pixiv ⭐ pillowfort ⭐ cohost ⭐ cara.app
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soumissionsaines-blog · 1 year ago
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empiredesimparte · 7 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°3 | Belgisim, 15 Thermidor An 230
During the Europesim summit, Napoleon V tried to create a dialogue between the leaders of the Empire of Pierreland (Emperor David) and the Union of Iona (Queen Viviana II). This initiative proved to be of little avail.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Durant le sommet d'Europesim, Napoléon V tente de créer un dialogue entre les dirigeants de l'empire de Pierreland (l'empereur David) et de l'Union d'Iona (la reine Viviana II). Cette initiative ne s'avère que peu fructueuse : les tensions sont désormais fortes entre les pays européensims.
(Napoléon) Ce ne sera pas agréable, mais il va falloir que vous trouviez un terrain d'entente
(David) Je suis d'accord. Nous sommes tous des adultes responsables ici, et... pour être franc, certaines vérités ne devront pas quitter cette pièce, pas encore
(Eloise) Je ne crois pas que mes enfants soient un sujet d'État pertinent qui relève de la politique européennesim, du moins avant la majorité. N'est-ce pas David ? De parent à parent (Napoléon) S'il vous plaît...
(David) Quand j'ai reçu votre lettre... Je craignais que mon fils ne soit pas assez mâture pour assumer sa paternité. J'ai consulté Katalina, qui n'est pas d'accord et veut que Louis soit partie intégrante de la vie de Lenerd. À cause de ce désaccord, j'ai demandé à mes deux fils aînés et conseillers d'État... (Eloise) Vous considérez que votre petit-fils est une affaire d'état ? Comme ces deux-là qui ne sont pas vos fils ? Pardon ?!
(David) Ils sont mes fils. Felipe par le sang et Edmund par la loi. Et oui, mon petit-fils est devenu une affaire d'État ! Le père n'a pas été informé du fait que vous soyez enceinte ! (Eloise) Comme s'il ne savait pas compter jusqu'à 9...
(Napoléon) David, Lenerd devrait être reconnu par votre empire... Sinon mon filleul va...
(David) Nom de Dieu, j'essaye d'admettre mes fautes-
(Napoléon) S'il vous plaît, du calme. Repoussons ce rendez-vous...
(Eloise) Je n'ai pas besoin ni ne veut de son argent. Ni même du soutien, à moins que Louis en soit l'instigateur
(David) Eloise, je vous prie de bien vouloir croire que tout le soutien et l'argent que je vous ferai parvenir sera une attention de Louis
(Eloise) Le même Louis que vous maintenez dans l'ignorance ? Non, merci. (David) Pour le moment. Je ne pense pas que Louis devrait-
(Eloise) Vous, vous vous, VOUS. Il s'agit de mon bébé. De son bébé. Pourquoi pensez-vous que vous pouvez l'éloigner de son fils ?
(David) Le garçon n'a que 19 ans. Il ne peut pas gérer ça !
(Eloise) À 19 ans j'aurais assumé les conséquences de mes putains d'actions
(David) Donne-nous 10 ans, à Katalina et moi. Il sera alors élevé comme un prince de Pierreland avec tous les droits qu'ils lui reviennent et je le reconnaîtrai comme mon petit fils. Je dirai au public la vérité
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francaistoutsimplement · 16 days ago
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Lorsque j’étais enfant, puis adolescent, je faisais du patin à roulettes sans genouillères, du vélo sans casque. Vélo si nous n’étions pas l’aîné que nous récupérions d’eux. A la télévision Il y avait 2 puis 3 chaînes et c’était nous la télécommande.
Nos instituteurs, lorsque nous faisions une grosse bêtise, nous tiraient les petits cheveux sur le côté et, si nos parents l’apprenaient, c’était notre fête à la maison. L’instituteur avait toujours raison, les enfants et parents le respectaient.
Nous avions 2 francs d’argent de poche et nous ne dépensions pas tout. Nous donnions des coups de main aux voisins et parfois nous recevions une pièce. A 14 ans nous travaillions comme aide un mois en été et nous nous payions ainsi une mobylette d’occasion. Les bandes des cassettes s’enroulaient autour de la tête de lecture et nous réparions cela avec un stylo. Nous récupérions à l’instar des vélos, les vêtements de nos aînés. Nous allions sonner à la porte de nos amis pour demander aux parents s’il pouvaient venir jouer avec nous.
Nous nous recoiffions de la main et rentrions notre chemise dans le pantalon le jeudi soir pour aller demander aux parents de notre petite amie si elle pouvait nous accompagner samedi soir, nous promettions d’être de retour à 10h et nous l’étions
Bien entendu nous faisions également des bêtises, mais si nous cassions quelque chose, nos parents le payaient, toujours, et nous étions punis, toujours. Parfois les bêtises étaient graves, et pour certains c’était la maison de correction. La violence existait également, mais c’était à coups de poing et toujours un à un. Nous avions le sens de l’honneur et nous nous respections.
Bien que "turbulent", je n’ai jamais vu un couteau. Alors bien sûr il y avait également des racailles, des jeunes dangereux, mais ils étaient l’exception et ne se fréquentaient qu’entre eux. Nous ne vivions pas tous dans le luxe, les gadgets, nous nous contentions de peu, et nos parents ne connaissaient pas le surendettement qui pourri tellement de familles et de vies.
Source X-Alain Weber
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antonio-m · 11 months ago
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“Portrait de M. Nodler, fils aîné à Trouville”, c.1865 by Gustave Courbet (1819–1877). French painter. Smith College Museum of Art, Northampton, UK. oil on canvas
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ainsleywsin · 2 months ago
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Je voulais réagir là où ça été soulevé récemment mais un poste à part entière me semble finalement plus pertinent. 
Quand on vient à parler de sexualité, de la jouer ou non en rp, et comment, il revient toujours à un moment donné dans la conversation des contre-arguments fallacieux. Et ici je voudrais parler de l’inceste. 
Et il n’y a pas d’autres façon de le dire que : 
L’inceste ne peut pas être une sexualité ou un acte sexuel consenti. 
On peut se cacher derrière le fait de parler d’adultes consentants quand on parle d’inceste, mais les modalités mêmes de l’inceste et de son existence empêchent toute notion de consentement.  Il existe des ouvrages, des podcasts et des émissions qui détaillent avec précision tous les mécanismes de l’inceste, aussi je vais me contenter d’énoncer brièvement et sans développer : 
Que l’on soit enfants ou adultes, les modalités qui permettent à l’inceste d’exister et de perdurer sont la violence (physique ou psychique), la manipulation, le secret et le silence. C’est la culture du silence qui permet à l’inceste de perdurer et qui permet l’emprise. L’inceste, c’est de la violence, de l’abus de pouvoir, une agression sexuelle, du viol. 
On ne peut pas parler d’amour dans l’inceste. C’est une relation de pouvoir, de domination (au sens sociologique du terme), c’est quelqu’un (le plus souvent un aîné) qui profite de quelqu’un d’autre de plus vulnérable que lui, un régime de terreur, d’écrasement et de silence imposé par l’incesteur à l’incesté. Les modalités de l’inceste entretiennent la confusion avec l’amour. 
Dans une telle configuration, il ne peut pas y avoir de consentement. On ne peut pas associer l’inceste à une sexualité réfléchie et consentie (la sexualité est de l’amour, du plaisir, du consentement, ...). 
Pour en revenir au RP : on peut jouer des configurations de relations toxiques, chacun·e trace la limite avec ses partenaires. J’entends et je vois parfaitement l’effet cathartique de jouer et d'interpréter ces dynamiques. J’ai pas envie de faire la police des mœurs, chacun trace sa propre ligne de ce qui lui semble éthique ou moral à jouer. Mais si on s’engage dans ce genre de jeu avec des relations toxiques, que ça soit de l’inceste ou autre, on ne peut pas nier la réalité ; on ne peut pas romantiser, il faut voir comme elles sont : des relations toxiques et néfastes. 
On peut aussi se poser la question des motivations à jouer de l’inceste et avoir en tête que le mythe de l’inceste heureux envahit la (pop)culture : GOT, The Borgias, Twin Peaks, House of Dragon, Gainsbourg, Dexter… Ce sont des représentations fantasmées et faussées, qui reprennent les codes de brouillage de l’inceste entre amour et abus. (A ce sujet, je conseille vraiment de lire Dussy, qui explique comme même dans la façon de parler de l’inceste on utilise le vocabulaire de l’affection et de l’amour.)
Si vous voulez vous documenter sur le sujet, je vous conseille  :
BEDEAU, Johanna et CIBOULET, Marie-Laure, « L’Inceste », LSD, la série documentaire, France Culture 
BIENAIMÉ, Charlotte, « Inceste et pédocriminalité : la loi du silence », Un podcast à soi (podcast)
BREY, Iris  et al. - Culture de l’inceste
DROUAR, Juliet -  La culture de l’inceste (article médiapart)
DUSSY, Dorothée-  Le berceau des dominations, anthropologie de l’inceste
https://facealinceste.fr/
https://incestearevi.org/
KOUCHNER, Camille  - La familia Grande
MCDANIELS, Tiffany - Betty 
PUDLOWSKI, Charlotte - Ou peut-être une nuit (+ version podcast)
ROJZMAN, Théa - Grand silence
SINNO, Neige - Triste Tigre
TUAILLON, Victoire - La loi de l’inceste (podcast)
TUAILLON, Victoire  Qui sont les incesteurs (podcast)
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ekman · 4 months ago
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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boutondepanique · 1 year ago
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Un bouton de panique ou un détecteur de chute sert à sécuriser énormément les proches de gens âgés ou bien en perte de mobilité. Ces petits dispositifs bien utiles peuvent être branchés à une centrale ou bien seulement liés à un numéro de téléphone d’une personne désignée. Épargnez sur ces bracelets d’urgence en magasinant et en comparant les diverses offres ! Obtenez, en remplissant le formulaire au https://boutondepanique.ca/, des soumissions rapides gratuitement pour des systèmes de sécurité (pendentifs, bracelets, boutons…). Il y en a pour tous les types et budgets et cela ne vous engage en rien. Nos partenaires, des experts en sécurité de partout en province (Gatineau, Sherbrooke, Québec, Montréal, Trois-Rivières, Saguenay…) vous contacteront rapidement.
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mrsines · 14 days ago
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Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce r��ve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。  。o○☆.☆○o。  。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain. 
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même. 
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est  détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
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