#souris blanche
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The witchy mouse, Souris Blanche
My absolute favorite so far of these redraws. I mean, fuck, you'll see why seeing the original. Speaking of
The original
#miraculous#miraculous ladybug#miraculoustalesofladybugandcatnoir#au#miraculous au#alternate universe#fanart#miraculous fanart#digital art#design#gala#formal design#formal dress#formal wear#mlb juleka#juleka miraculous#miraculous juleka#juleka couffaine#juleka#souris blanche#souris#mlb design#mouse kwami#mouse miraculous#kwami swap
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(via Coussin avec l'œuvre « "Synthwave Skyline: A Lovely White Mouse" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
#findyourthing#redbubble#Synthwave skyline rétro-futuriste t-shirt imprimé souris blanche esthétique vintage mode rétro style années 80 design unique nostalgie coule
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(via Coussin avec l'œuvre « Une jolie petite chauve-souris avec des lucioles » de l'artiste Fantasyplus)
#findyourthing#redbubble#chauve souris#mignon#kawaii#bat#sweatshirt#coussin#pillow#tablier#tshirt#luciole#blanche#beten#animal#fantastique#fantasy#nature#vol
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La Mode nationale, no. 20, 17 mai 1902, Paris. Groupe de toilettes de voyage pour dames, jeunes filles et enfants. Bibliothèque nationale de France
(1) Manteau de voyage pour jeune femme ou dame d'âge moyen, en fil et soie beige ou en homespun léger. Paletot long à plis cousus jusqu'à une distance de quarante centimètres du bord. Autour, plis repincés ou straps étroits. Grand col en forme et col rabattant. Gros boutons de nacre blonde.
(1) Travel coat for young or middle-aged ladies, in beige thread and silk or light homespun. Long overcoat with pleats sewn up to a distance of forty centimeters from the edge. Around, re-pinched pleats or narrow straps. Large shaped collar and turn-down collar. Large blond mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 5 mètres de lainage ou 8 mètres de tissu fil et soie.
Chapeau de paille beige relevée, genre marquis, enroulé de dentelle blanche. De chaque côté, le bord est maintenu par une barrette de velours noir et un motif d'acier.
Raised beige straw hat, marquis style, wrapped in white lace. On each side, the edge is held by a black velvet bar and a steel pattern.
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(2) Robe de voyage pour jeune femme ou jeune fille, en corskrew bleuté. Jupe en forme, garnie de straps disposés en pintes. Boléro croisé à la taille, orné de longs revers châle en taffetas damassé noir et blanc. Manche chemisette. Plastron et cravate d'homme en soie noire.
(2) Travel dress for young women or girls, in blue corskrew. Shaped skirt, garnished with straps arranged in pints. Bolero crossed at the waist, decorated with long shawl lapels in black and white damask taffeta. Shirt sleeve. Men's bib and tie in black silk.
Matériaux: 6 mètres de lainage.
Matelot de paille bleue, garni de velours noir et d'un couteau beige.
Blue straw sailor, trimmed with black velvet and a beige knife.
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(3) Manteau pour fillette de 10 ans, en lainage fantaisie gris-souris. Grande pèlerine encadrée d'un large biais écossais de tons doux. Pattes de drap gris pour fermer et boutons de nacre.
(3) Coat for 10-year-old girl, in fancy mouse-grey wool. Large cape framed with a wide Scottish bias in soft tones. Gray cloth tabs to close and mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 2 mètres de lainage; 1 mètre d'écossais.
Chapeau auréole en paille rouge mélangée, drapé de liberty rouge et piqué d'un nœud rouge.
Halo hat in mixed red straw, draped in red liberty and adorned with a red bow.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1902#on this day#May 17#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#bibliothèque nationale de france#dress#coat#collar#cape
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l'amour ouf - (brouillon d'état nuage)
ce soir là, c'est comme un magma de sentiment qui cédait en moi. c'était comme découvrir que le père Noël n'existait pas, que la petite souris ne passait jamais. ce soir-là, c'était comme si je découvrais la vérité sur l'amour, ou plutôt de celui qui n'est jamais arrivé à moi. peut-être que je l'ai manqué, peut-être que quelqu'un l'a pris en lui depuis toujours, peut-être qu'il est enfermé dans une boîte à double tour, peut-être qu'il faut être plus intelligente que moi pour pouvoir l'ouvrir. c'est une énigme brisante, qui éclabousse les larmes sur les pages blanches, pourquoi je ne suis jamais celle qu'on choisit ? celle qu'on aime avec volonté de tout son cœur. dis la vie, pourquoi je ne suis pas celle dont on tombe amoureux ? peut-être que cet amour est bloqué dans une vie antérieure avec un homme qui n'autorise personne à m'aimer plus que lui. finalement, c'est comme si chaque conte de fée ne m'était pas destiné. mon corps était orné de l'amour sur chacun de mes membres, mais il n'avait jamais croisé mon chemin. j'étais une amoureuse de l'amour, une amoureuse de l'espoir et j'étais destinée à une vie où l'on ne me choisirait pas, où je serais juste bien, mais pas suffisante, où on ne tomberait pas amoureux de moi, j'étais celle qu'on laisserait dans un coin, celle qui s'habituerait a une vie fade et sans saveur. que c'est déchirant, la vie d'adulte, quand toutes les merveilles qu'on me racontait enfant n'existe plus. que c'est épuisant, la vie d'adulte, quand les âmes-sœurs n'existent qu'au temps de mes parents. que c'est déprimant, la vie d'adulte, quand celle-ci devient toute tracé sans palpitation et sans émotion, que c'est triste d'être malheureux et de ne plus croire en quelque chose qui nous maintenait en vie. que c'est bouleversant d'écrire sur l'amour depuis mes quatorze ans, d'y croire chaque jour comme une lueur d'espoir, de le sentir possible autour de moi sans jamais le rencontré. ma vie depuis le début ne vivait qu'autour de l'amour, de l'état amoureux, des âmes-sœurs, des âmes de plusieurs vies, du coup de foudre de mes parents, de tous les films bouleversants, des livres, de textes hurlant ses théories, ses définitions propres à chacun, de ses insomnies, de la boule dans mon ventre. que c'est humiliant, d'avoir été une âme transparente dans ce monde qu'est l'amour. que ce serait tragique, de mourir, sans avoir goûté au fait qu'on ait été amoureux de nous. courir après l'amour ne m'a rien apporté d'autres que de l'espoir et de la perte de temps. l'espoir n'apporte que le néant. être juste bien ce n'est jamais suffisant.
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Je rentre en flottant de la danse, le corps tout chaud. Je joue avec mon ombre sous le halo jaune des lampadaire. Jaune orange, et bleue la nuit, et blanche la lune. Je marche au ralenti parce que j'ai pas peur du quartier. Je croise une souris sur les planches du ponton. Grise et discrète. Comme moi.
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Rerebonsoir ahah~
On termine ce petit tour de mes mascottes avec la petite Alba, la correspondante étrangère de Irvin !📨
Alba est une petite Chauve-souris blanche du Honduras (ou Ectophylla alba). C'est une espèce de chauve-souris très populaire, d'une part parce qu'elle a une bouille absolument adorable, et d'autre part à cause de sa faculté à construire de petites tentes en grignotant de manière méthodique certaines partie de la feuille sous laquelle elle se suspend~ 🍃
Bref comme beaucoup, je fais partie du fan club de cette espèce et c'est tout naturellement que je l'ai choisie lorsque je souhaitais créer une correspondante pour Irvin ! (Ce concept découle directement de mon propre vécu scolaire ahahah)
Comme pour ses 2 amis, Alba porte elle aussi un accessoire, un chapeau surmonté d'une petite pousse en référence direct aux fameuses feuilles-tentes ~
Enfin, niveau caractère, c'est une chauve-souris assez calme et qui aime beaucoup le thé et la musique !
Ce design spécifique a été réalisé pour des stickers et des petits porte-clés, que vous pourrez retrouver sur ma boutique l'année prochaine o/
J'espère que ce petit tour de mes mascottes vous a plu, n'hésitez pas à me faire des retours et à bientôt pour d'autres illus !
#bats#chiroptera#clip studio paint#cute art#cute bats#drawing#i love bats#illustration#small artist#keychain#stickers#merch
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Tagged by @garnetrena thanks !!
Rules: list the first line of your last 10 (posted) fics and see if there's a pattern!
Sentinelles (Les Trois Mousquetaires, Aramis/Original Character, M)
Âmes sœurs.
La volupté de l'honneur (Les Trois Mousquetaires, Athos Comte de la Fère/Marie de Rohan Duchesse de Chevreuse, T)
Quand le mousquetaire Athos, Comte de La Fère, avait abandonné l’idée de l'amour, il l'avait fait en pleine et entière conscience des moqueries que ce choix de vie allait faire pleuvoir sur ses épaules encore jeunes mais déjà fatiguées par la discipline et la mélancolie.
Crimes Célèbres (Les Trois Mousquetaires, Aramis/Original Character & Original Character/Original Character, T)
Mes chers enfants, ce que je vous écris aujourd’hui doit, pour toujours, demeurer entre nous.
La maîtresse abandonnée (Kaamelott, Ygerne & Uther Pendragon, G)
Si on avait dit à la petite princesse Ygerne de Tintagel qu'elle allait un jour épouser le roi de toute la Bretagne elle aurait simplement souri.
Arthur, roi de Bretagne - Anthologie établie par Eugène Molozay (Kaamelott, Arthur Pendragon/Venec, G)
« Le roi Arthur, bien que nous ayons des preuves historiques de l'existence d'un personnage semblable à celui décrit dans les récits de chevalerie du Moyen-Âge et dans les films et séries de notre époque contemporaine, reste un homme de fiction.
Le Bon, la Brute et le Friand (Kaamelott, Multiple ships, G)
Fic co-écrite avec @kabbal, je mets donc la première phrase du chapitre que j'ai écrit.
Bordel.
La belle inconnue (Kaamelott, Arthur Pendragon/Guenièvre, M)
Quand ses lèvres se posent sur la peau blanche et crémeuse du cou de son épouse retrouvée il ne peut plus penser à autre chose qu'à leurs corps enlacés sur une épaisse fourrure dans l'intimité de leur tente.
La faute à Nanterre (Les Misérables, Enjolras/Grantaire, T)
En se réveillant ce matin pour aller, comme à son habitude, prendre un café sans sucre mais avec un nuage de lait au Petit Saint-Benoît, Grantaire a eu l'étrange impression qu'il n'allait pas passer une bonne journée.
Beautiful wonder (Desperate Housewives, Bree Van de Kamp/Gabrielle Solis, T)
To fall in love with someone was one thing.
Sleeping pill (House MD, Gregory House/James Wilson, T)
The doctor Gregory House was always the best at everything he did.
Je tagge @aramielles et @kabbal
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Orchid’Animaux
L’orchidée pieuvre Prosthechea cochleata
Dark Vador Aristolochia salvadorensis
Tête de singe Dracula simia
La plante chauve-souris Tacca chantrieri
L'orchidée aigrette blanche Habenaria radiata
L’orchidée bourdon Ophrys scolopax
Le muflier tête de mort Misopates orontium
L’orchidée canard volant Caleana major
L'orchidée méduse Bulbophyllum medusae
L’orchidée araignée Brassia
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Hier Fred a fait une soirée d'essai au café del mare et moi j'ai eu Loane au téléphone
Ça me fait vraiment plaisir et du bien qu'on recommence à se parler et à se voir
Elle a vraiment pas bien vécu le fait qu'il aille faire son essai là-bas et puis je sais qu'en ce moment elle va vraiment pas bien alors je lui ai proposé qu'on se voit
Je l'ai rejoint (d'ailleurs j'ai marché sous l'orage et la pluie diluvienne, les éclairs déchiraient le ciel et venaient chatouiller le clocher des églises, c'était vraiment formidable de vivre tout ça et sentir la pluie chaude sur ma peau nue) et on a passé quasiment toute la soirée ensemble
J'ai fini de lui raconter tous les petits détails d'avec Fred, on a beaucoup beaucoup parlé et puis je l'ai aussi écouté, et ça me fait tellement de bien d'enfin avoir une relation réciproque ou chacun écoute l'autre pour de vrai
A cause de son traitement elle a du aller au dodo alors je suis rentrée dormir chez Fred parce que j'étais pas en état de conduire
Quand je suis arrivée il y avait encore les deux types qui sont arrivés quand moi je suis partie pour aller chez Loane et à ma TRÈS GRANDE SURPRISE j'ai découvert Helios assis sur le canapé également
J'ai pas voulu réagir plus que ça, et puis j'ai de nouveau entendu toutes ces remarques et ces pics sexuels et ça m'a vraiment agacé (même si ça me faisait rire aussi, a vrai dire je crois que je trouve ça pathétique)
Et tout d'un coup, au milieu des conversations
"C'est pas lui qu'il faut engueuler, c'est nous tous, c'était une initiative de groupe"
Il m'a regardé droit dans les yeux et il m'a dit qu'il avait prit de la C
Et là
A cet instant précis
J'ai été incapable de parler ni de le regarder
Incapable de réagir
Parce qu'au final j'avais pas besoin de réagir
La réalité se suffisait à elle-même
En quelques minutes devant mes yeux j'ai vu défiler nos 9 mois de relation
J'ai revu la période où il pouvait plus se passer de cette foutue poudre blanche. J'ai revu tous les messages et les photos sur son téléphone. J'ai revu son comportement détaché et destructeur. J'ai revu mon corps qui s'amaigrit et mes poignets qui saignent. J'ai revu mes larmes couler en torrents, l'impression de n'être jamais suffisante, la peur d'être coincée dans cette situation pour toujours. J'ai revu l'angoisse par rapport à l'argent, j'ai revu la faim quand on se privait de manger pour qu'il puisse taper, j'ai revu l'isolement.
J'ai revu ces derniers jours aussi. Toutes ces personnes qui se mobilisent pour me sortir de la, Loane y compris, alors qu'à l'origine c'est son amie à lui. J'ai revu mes doutes, l'envie de croire qu'il pourrait changer. J'ai revu ses promesses toutes récentes. J'ai revu ce combat qui fait rage à l'intérieur de moi depuis des mois.
Et puis j'ai souri dans le vide
J'ai souri jusqu'à presque en rire nerveusement
Ça y est c'est fini
Il n'y aura plus de retour en arrière
C'est le déclic que j'attendais désespérément
Je veux plus me battre du tout
C'est terminé
En plus de ça avec Loane j'ai trouvé un appart absolument incroyable je vais essayer de contacter pour en savoir plus
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I present the ever perceptive mouse, Juleka as Souris Blanche
Touched up the proportions, the coloring, and giving her the black lineart treatment.
Here's the original:
#miraculous#miraculous ladybug#miraculoustalesofladybugandcatnoir#au#alternate universe#fanart#miraculous au#miraculous fanart#digital art#design#mlb juleka#miraculous juleka#juleka#juleka couffaine#souris blanche#souris#mlb au#mlb redesign#mlb fandom#mlb fanart#mlb design#character design#fan design#redesign character#miraculous redesign#redesign#mouse kwami#mouse miraculous#kwami swap#ml fandom
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bon les gars faut que je conclue cette année d’hypokhâgne en rassemblant tous les faits notables de ces deux derniers jours. sans surprise beaucoup d’événements concernent b.
- JOUR 1 : not ma pote qui me dit que lorsqu’elle lui a posé dans son casier un mot de remerciement pour l’année, le lendemain he went for a hug but stopped mid-air à cause de la pression sociale. lui qui sort la chemise blanche de telenovela with the popped top button et avec qui on passe deux heures à traduire un passage en grec du nouveau testament et à parler philo et religion, brother my catholic past has been STRESSED. ça et est-ce que b. est en train de slowly heal my daddy issues en me soutenant alors même que je vais contre son avis de continuer le grec ? i think so. AH et also not b. qui répond au tel en plein milieu de son cours « attendez c’est le lycée….faut que je réponde, si jamais j’ai fait une bêtise » ; la première fois que je l’entends dire « salut » au lieu de « bonjour »
- JOUR 2 : dernier jour de cours de l’année, et on commence avec deux heures de b. déjà il est arrivé en retard à son propre cours. il est arrivé en disant « oh c’est trop mignon ils m’ont attendu ! » mon chat on peut pas commencer sans toi en même temps. et il a réussi à oublier les gobelets pour le goûter aka le seul truc qu’on lui avait demandé de ramener. you had ONE JOB. on a lu nos réécritures de Mme Bovary et en me rendant la mienne il a spécifié « j’ai beaucoup ri ». il a souligné un passage et a commenté « style alexandre astier… » j’étais là YES IL A LES BONNES REFS. et à la fin du cours je lui ai donné son cadeau, « oh merci c’est adorable, c’est trop gentil ! » il a vu la dédicace il a souri, non seulement il avait pas le livre mais en plus ça faisait longtemps qu’il voulait lire l’auteur, j’ai tout gagné. pis on a discuté un peu après il nous a avoué qu’il était un peu entré en prepa par accident (parce qu’on lui avait dit fonce) et que de fil en aiguille il avait fait son doctorat. pis on est allés en philo, discussion de deux heures avec notre prof sur l’avenir en khâgne et encore après. pis on a fait le picnic ! b. a des chaussettes bretzel. on s’est assis l’un à côté de l’autre on a énormément parlé, musique (il aime orelsan), actualité (on a des opinions convergentes) et religion aussi (de catholique à catholique on s’est beaucoup compris). et surtout on s’est marrés. pis y’avait de futurs hypokhâgneux aussi, j’ai pu faire mon prof, mon khâgneux surtout. et je suis reparti en même temps que b., qui m’a demandé ce que j’allais faire en attendant la réunion de pré-rentrée des hypokhâgneux, je lui ai dit « ah bah faut que je continue marot » parce que je lis l’adolescence clémentine. il m’a demandé comment j’en étais venu à lire ça, je lui ai avoué que c’était à cause de son article sur le sujet. ça lui a fait grave plaisir d’avoir quelqu’un avec qui parler de ses articles universitaires. et j’ai eu le dialogue suivant :
MOI : « je sais pas si vous avez eu le temps de lire le mot qui y [dans le bouquin que je lui ai offert] était attaché »
B. « si, si je l’ai lu, et ça m’a beaucoup trop touché. je mérite pas tout ça. »
MOI : « mais si, allons. »
B. : « mais ça reflète vos valeurs aussi. des valeurs que je partage. »
MOI : « [sourire doux] je crois l’avoir compris. »
genre. L’AMITIÉ QUOI. et je l’ai revu après à la pré-rentrée, avec tous les petits hypokhâgneux terrifiés. je me suis exprimé aussi en tant que futur khâgne, je leur ai dit de pas avoir peur des bibliographies, de respirer et de se calmer un coup surtout. et je me suis barré en lui laissant une future helléniste, il m’a remercié pour mon intervention, et quand je lui ai dit « à septembre » ma voix est partie dans les aigus parce que je pleurais un tout petit peu. quelle journée, mes enfants, quelle journée
#voilà. seigneur dieu c’est PARTI#je suis aussi inconsolable que lila qui quitte flo et oliv à la fin de son année de khûbe voyez ?#bref#prépa talk#la complainte de julot
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Avec le feu, tout le monde est noir
Le feu a tout détruit. Il a tout emporté. Les femmes, les hommes, les assiettes, les couverts, les couvertures, les portes, les meubles, les murs, les odeurs de lys et de jasmin, les joies, les peines, tout, tout. Il ne reste plus rien. Que la cendre, blanche et grise. Les pompiers sont arrivés trop tard, avec leurs uniformes rouges. Le feu n’est plus rouge. Le feu a même emporté le rouge du feu. Si je n’étais pas partie, le feu m’aurait emportée aussi. Il m’aurait brulé la chair, comme il l’a fait avec celles de mes amies. On ne reconnait plus personne, ont dit les pompiers tout en rouge. Les corps sont carbonisés. Ils sont noirs. Avec le feu, tout le monde est noir. Tout le monde est noir et tout le monde est mort. Les femmes, les hommes, les assiettes, les couverts, les couvertures, les portes, les meubles, les murs, les odeurs de lys et de jasmin, les joies, les peines, tout, tout. C’est la fin. Plus d’amies, plus de lit, plus de toit. Il ne reste que nous : Cécile et moi. Et moi je suis morte avec mes sœurs. Une morte vivante. Vivante. Pourquoi moi ? Qu’on me brûle et qu’on mêle mes cendres aux leurs ! Cécile pleure. Elle a tellement de peine que ses larmes sont une mer capable d’éteindre tous les feux. Je lui tends le sachet que l’on vient d’acheter. Et au milieu des larmes, Cécile a souri. Au milieu des larmes, elle a dit : « Merci les cacahuètes. » Cécile a raison : il faut sourire au milieu des larmes. Il faut dire merci aux cacahuètes. Il faut leur dire merci, parce que c’est grâce à elles que nous sommes encore en vie. // Dédé ANYOH //
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La Mode nationale, no. 1, 4 janvier 1896, Paris. No. 11. Groupe de toilettes. Bibliothèque nationale de France
(1) Dos du No. 3.
(2) Dos du No. 4.
(3) Toilette de promenade, en lainage Suède uni. Corsage-veste Louis XVI, rond devant et à petites basques godées derrière où elles sont retenues par deux boutons; devant, ceinture suissesse en satin bleu; sur les épaules, bretelles retenues par des boutons, entourant une pèlerine revers en satin bleu brodé, col montant, manches empire. Jupe à godets, très evasée du bas, garnie devant par deux bandes de galon retenues en haut par des boutons. Chapeau Louis XVI en feutre Suède, garni par une bande de soie plissée relevée droite et par deux plumes d'autruche droites sur le derrière.
(3) Walking ensemble, in plain Suede wool. Louis XVI bodice-jacket, round in front and with small basques at the back where they are held in place by two buttons; front, Swiss belt in blue satin; on the shoulders, straps held by buttons, surrounding an embroidered blue satin cuffed cape, high collar, empire sleeves. Godet skirt, very flared at the bottom, trimmed in front with two strips of braid held at the top with buttons. Louis XVI hat in Sweden felt, trimmed with a band of pleated silk raised straight and with two straight ostrich feathers on the back.
Métrage: 10 mètres lainage grande largeur.
(4) Toilette de lainage gris souris. ��� Corsage à revers, orné de petits boutons, ouvrant jusqu'à la ceinture sur un plastron bleu brodé de soutache, col montant, basques à godets en velours. Manches gigot à crevés de velours, avec hauts poignets ornés de petits boutons. Jupe à godets, avec petits boutons dans le bas. Chapeau rond en velours plissé, orné d'un côté par un groupe de coques semblables, de l'autre par deux plumes d'autruche.
(4) Mouse gray woolen ensemble. — Lapel bodice, decorated with small buttons, opening up to the belt on a blue bib embroidered with soutache, high collar, velvet basques with godets. Velvet leg-of-mutton sleeves, with high cuffs decorated with small buttons. Godet skirt, with small buttons at the bottom. Round hat in pleated velvet, decorated on one side with a group of similar shells, on the other with two ostrich feathers.
Métrage: 10 mètres lainage grande largeur.
(5) Robe d'intèrieur en flanelle blanche, — Corsage-blouse à longues basques; dessus, col carré en broderie entouré par un grand volant de dentelle, séparé derrière; col montant, bretelles de ruban brodé devant, et bande semblable au milieu dans le dos. Manches ballon, relevées par un nœud. Jupe à godets.
(5) Indoor dress in white flannel, — Blouse-bodice with long basques; above, square embroidery collar surrounded by a large lace ruffle, separated behind; stand-up collar, embroidered ribbon straps in front, and similar band in the middle of the back. Balloon sleeves, raised with a knot. Godet skirt.
Métrage: 12 mètres flanelle.
(6) Toilette d'intèrieur, en lainage vert grenouille, corsage à petite pinte ouvert sur une chemisette en mousseline de soie rose, col montant, grand col à pointes en passementerie, faisant pointe derrière jusqu'à la ceinture, jockeys semblables sur manches ballon courtes. Jupe à godets, très plissée derrière.
(6) Indoor dress, in frog green wool, small pint bodice open over a pink silk chiffon shirt, high collar, large pointed collar in trimmings, pointing behind to the waist, similar jockeys on sleeves short balloon. Godet skirt, very pleated behind.
Métrage: 9 mètres lainage grande largeur.
(7) Dos du numéro 6.
(8) Dos du numéro 5.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1896#on this day#January 4#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#collar#devant et dos
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
- Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
- Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
- Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
- Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
- Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
- Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
- Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
- Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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Le Langage De L’Amour ♡
This is in the perspective of a man that’s deeply into a girl that’s never been seen. She’s a natural beauty, one that people can’t seem to grasp.
Je t’aime, les mots ne peuvent pas décrire-
Tes yeux, tes lèvres. Tu es un ange. Tes yeux sont des cristaux, ils scintillent. Tes lèvres sont embrassables et douces, comme du miel. Tu dis des mots doux, et ta lumière blanche me piège.
Tes ailes d’ange sont étonnantes, tu es l’image même de la beauté. Embrasse-moi, mon ange, et je pourrai monter au ciel. Tu es la raison pour ma survie, mon bébé.
Les mots ne suffisent pas à décrire, je suis tellement amoureux de toi. Souris encore, ma chérie, pour que je sois à toi. C’est une promesse.
Sincerely, ♡
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