#six lignes
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DENTIST APPOINTMENT TODAY LET'S GOOOOOOOO
#Belette's life#Gonna ask her to make me a new retainer#The one I have has lived well#Got it in January 2022#It lived more than a year and a half!#Which is impressive considering the one before lived less than six months#I have bruxism like you wouldn't believe#That and my new orthopedic soles next Friday!!!!#My chronic pains are about to get a little less intense#Hehehehehehe#Même si maintenant Dugommier c'est à l'autre bout de la ligne 6
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
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– “Prends-moi la main, Martial. Je sens qu’elle arrive... Elle est déjà là.” Émile était devenu pâle comme un enfant fiévreux, le teint cireux et le regard de moins en moins mobile. Martial l’avait soulagé de son bardas, puis défait les boutons de sa gabardine. Derrière le tissu percé, son gilet et sa chemise étaient rendus poisseux d’un sang épais. Il respirait très mal, mais ça ne s’épanchait plus.
– “Ça va aller mon Émile, n’aies pas peur.” À genoux dans ce trou de mortier, hors de vue des tireurs allemands, Martial était perdu. Une minute plus tôt, Émile, qui cheminait devant lui, s’était effondré comme un sac de linge, pile quand la détonation d’un Mauser avait claqué sèchement au loin, là-bas vers l’Est, du côté des barbelés fridolins. Plaqué au sol, il avait tout juste eu le temps de le prendre par les brêlages pour le tirer dans un trou d’obus. Que faire si loin des lignes ? Pas la peine de gueuler au secours. À un mètre de profondeur, derrière la terre retournée, personne n’entendrait. Et pas de fusée dans la musette. “Pas la peine, y se passe plus rien ici”, lui avait asséné l’adjudant Bollard avant le départ vers l’avant-poste du Lieutenant Dutray, avec des instructions écrites et un sac de ravitaillement. Mais pourquoi un de ces crétins de Boche avait fait feu ? Des jours que la pétarade avait cessé ! Merde, pourquoi ?! Merde, merde et re-merde !
– “Martial, t’es toujours là hein ?” Martial savait que sa voix allait flancher. Sa vue était entrain de se troubler. C’est que dans sa grosse pogne si froide de boue et de pluie, il sentait la fine main d’Émile plus froide encore. Il se racla la gorge. “T’inquiète, j’ai envoyé une fusée, les secours vont arriver. Ça va aller vite, ils ne tirent plus en face.” La tête d’Émile glissait doucement sur le côté. Martial la redressa et se pencha sur son jeune copain de tranchée. “Merde, Émile, tu vas pas lâcher maintenant. Six mois qu’on traine ensemble ici à déjouer tous les mauvais sorts. Partout on raconte que ça va se terminer, tout ce tintouin, ce merdier. Si c’est pas aujourd’hui, ce sera demain, ou la semaine prochaine, mais guère plus je te dis...” Émile esquissa un sourire. “C’est bête ça, alors. On devait rentrer ensemble pour que je te présente ma sœur.” Il y eut un temps. “Elle est jolie, tu sais, la petite Charlotte.” Martial sentait les larmes creuser leur chemin le long de ses joues, inondant chaque contour de sa barbe sale. ”Oui, elle est gironde ta frangine, mon Émile.” Sa respiration s’arrêta d’un coup. Martial eut le réflexe de secouer le tirailleur de seconde classe Émile Gandin, mortellement blessé d’une balle au poumon.
– “Tu dois pas partir, Émile ! J’entends les gars de la Santé qui arrivent, dis donc ! Respire, bon sang !” Émile eut une inspiration brève et un peu de lumière revint dans son regard. “... et mes parents, Martial. Je suis sûr que tu plairas à mon père,. C’est un dur à cuire, comme toi…”
– “Arrête de causer. Repose-toi, là. Fais pas d’effort, respire bien.” Martial plongea son regard dans celui d’Émile, 22 ans. Il s’imprégna de l’image de son jeune visage, si affreusement pâle.
Il vit assez nettement l’instant où le dernier souffle de vie passa entre les lèvres du mourant, faisant gonfler quelques petites bulles de salive rosâtres. Un très léger voile apparut à la surface des yeux d’Émile, quelque chose de ténu mais de définitif pourtant. Le signe qu’il venait de partir, de quitter ce trou de terre molle qui mêlait la chair des soldats, l’acier des obus et toutes les larmes de toutes les douleurs. C’était le 10 novembre 1918, quelque part dans le Nord de la France.
J.-M. M.
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Alfa Romeo GTV 2.0 V6 Turbo : une icône intemporelle dans l'écrin de Vérone
Rouge éclatant, lignes sculptées et un V6 sous le capot : la Lancia GTV 2.0 V6 Turbo est bien plus qu’une voiture, c’est une œuvre d’art mécanique. Découverte au Salon de Genève en 1995, cette élégante sportive a fait battre le cœur des passionnés d’Alfa Romeo à une époque où la marque renaissait sous l’égide du groupe Fiat. Aujourd’hui, cette GTV, bichonnée par un collectionneur passionné, traverse les rues historiques de Vérone avec une grâce intemporelle, rappelant l’âge d’or de l’automobile italienne.
Une quête de six ans pour une perle rare
Giovanni Farina, alfiste invétéré, a passé six longues années à chercher la GTV parfaite pour compléter sa collection. Résidant à Vérone, il est tombé sur ce joyau : une GTV 2.0 V6 Turbo immatriculée en 1996, arborant une peinture rouge pastelle et affichant seulement 33 000 kilomètres au compteur. Issue d’une concession Alfa Romeo, cette voiture est restée dans un état exceptionnel, presque comme neuve. Depuis son acquisition en 2018, Farina l’a soigneusement préservée, ne parcourant que quelques kilomètres pour maintenir son éclat.
Sous le capot : un chef-d’œuvre technique
Le cœur de cette GTV est son moteur V6 Turbo de 2 litres, une merveille d’ingénierie Alfa Romeo. Avec ses 200 chevaux, il offre une puissance progressive et raffinée, caractéristique des grands moteurs de la marque. Installé transversalement, il occupe chaque centimètre sous le capot, témoignant de l’audace technique de l’époque. Ce moteur se distingue par sa réactivité et son élasticité, procurant une conduite dynamique tout en restant confortable, même à bas régime.
Une expérience de conduite unique
La GTV séduit par ses sensations de conduite immersives. La position basse, les jambes légèrement étendues et les instruments nichés dans un tableau de bord en forme de "cannocchiale" transportent instantanément dans l’univers des grandes sportives italiennes. Farina souligne que cette version turbo est plus vive et plus plaisante que le modèle 3.0 V6, offrant une puissance immédiate et une aisance en conduite urbaine comme sur route sinueuse.
Malgré ses 30 ans, la GTV conserve une agilité remarquable grâce à son châssis bien équilibré et son système de suspension arrière multilink. Ses commandes robustes, bien que légèrement fermes, renforcent le lien entre le conducteur et la machine, un aspect essentiel pour les amateurs de sensations authentiques.
Un design intemporel dans un cadre historique
Le service photo réalisé dans la ville de Vérone met en valeur l’élégance de la GTV. Devant la basilique de San Zeno Maggiore ou avec Castelvecchio en toile de fond, cette Alfa Romeo semble parfaitement à sa place. Ses lignes en coin, signées Pininfarina, et sa teinte rouge éclatante rappellent que l’Italie est autant le berceau de l’art que de l’automobile.
Un hommage à une époque révolue
Avec seulement 33 000 kilomètres et un entretien méticuleux, cette GTV est une véritable capsule temporelle, incarnant l’esprit d’une époque où Alfa Romeo redéfinissait l’élégance et la sportivité. Aujourd’hui, elle ne se contente pas de rappeler le passé : elle continue d’inspirer les passionnés et de susciter l’admiration.
Pour tout amateur d’automobile, cette GTV est bien plus qu’une voiture : elle est une déclaration d’amour au plaisir de conduire, à l’ingénierie italienne et à la passion éternelle pour la route.
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Affiche de la BENTLEY BLUE TRAIN . La Bentley Speed Six est une auto créée pour la piste qui a forgé l'histoire de Bentley , victorieuse au Mans à plusieurs reprises, introduisant l'induction d'air forcé (compresseur) dans l'automobile sur son moteur de 180ch. Celle que l'on surnomme la « Train Bleu » est un exemplaire unique fabriqué en 1930 , célèbre pour avoir réussi à battre le célèbre « Train Bleu » , faisant le trajet entre Cannes et Calais. Sa ligne de toit basse lui confère un profil élancé . Elle était la seule Speed Six dotée d'un toit. Ce design a été utilisé par l'équipe de design Bentley comme l'une des sources d'inspiration de la Continental GT moderne. Le pari à 200£ Alors à Cannes avec des amis, Woolf Barnato, président de Bentley parie 200£ qu'il peut battre le train bleu...
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La Mode illustrée, no. 40, 5 octobre 1902, Paris. Costume-tailleur avec corsage à basques. Costume d'automne avec grand col. Modèles de Mlle Louise Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Costume-tailleur avec corsage à basques.
Costume en lainage rouge brique, garni de biais en drap mastic ornés de boutons dorés. La jupe de doublure, terminée par un volant, est recouverte d'une tunique faite devant avec un tablier coupé en pointe; on cercle les contours de cette tunique avec des biais de drap. La garniture est répétée sur les contours de la jaquette et des manches, ainsi que sur ceux du grand col; les devants, croisés, sont taillés en forme de grands revers terminés en pointes. On souligne la ligne de la taille par un biais de drap, sous lequel sont montées les basques entaillées sur les côtés. On complète les larges manches par des bouillonnes retenus dans des poignets étroits. Le costume est complété par une cravate en mousseline de soie crème.
Tailored suit with peplum bodice.
Brick red woolen suit, trimmed with putty cloth bias decorated with gold buttons. The lining skirt, finished with a flounce, is covered with a tunic made in front with a pointed apron; we circle the contours of this tunic with cloth bias. The trim is repeated on the contours of the jacket and sleeves, as well as those of the large collar; the fronts, crossed, are cut in the shape of large lapels ending in points. The waist line is highlighted with a sheet of cloth, under which the peplums cut on the sides are mounted. We complete the wide sleeves with bubbles held in narrow cuffs. The suit is completed with a cream chiffon tie.
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Costume d'automne avec grand col.
La jupe de ce costume, en drap zibeline bleu foncé, est cerclée dans le bas de deux biais de drap bleu piqués; un biais semblable ayant 6 centimètres de largeur masque la couture du devant.
La jaquette, ajustée et retenue à la taille par une ceinture en drap coupée en forme, est faite avec des basques demi-longues composées de six morceaux (voir le croquis représentant le dos du costume); on la complète par un grand col orné simplement de piqûres. Les devants, fermés sous un biais de drap, sont garnis de petits boutons en vieil argent. On souligne d'une rangée de piqûres les coutures de la jaquette.
Les manches, très évasées, sont bordées d'un volant coupé en forme masquant les petits bouillonnés et orné, ainsi que les manches, d'un gros bouton d'argent.
On complète le costume par un plastron à col droit [en toile et une cravate régate en velours bleu foncé.
Autumn suit with large collar.
The skirt of this suit, in dark blue sable cloth, is encircled at the bottom with two stitched blue cloth bias bindings; a similar bias tape 6 centimeters wide hides the front seam.
The jacket, fitted and held at the waist by a cloth belt cut to shape, is made with half-length basques made up of six pieces (see the sketch representing the back of the costume); it is completed with a large collar simply decorated with stitching. The fronts, closed under a cloth bias, are trimmed with small old silver buttons. We highlight the seams of the jacket with a row of stitching.
The very flared sleeves are edged with a shaped ruffle hiding the small ruffles and decorated, like the sleeves, with a large silver button.
The suit is completed with a bib with a straight collar [in canvas and a regatta tie in dark blue velvet.
#La Mode illustrée#20th century#1900s#1902#on this day#October 5#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#suit#tailored#autumn#Modèles de chez#Mademoiselle Louise Piret#devant et dos
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Aujourd'hui, ça fait six mois jour pour jour que j'ai créé ma chaîne youtube.
C'est fou de me dire qu'en si peu de temps, c'est presque devenu quelque chose de normal pour moi de publier des vidéos de mes pensées sur internet. D'autant qu'au début, je n'en menais pas large, ma timidité rendait le bouton "publier" comme le truc le plus angoissant du monde, et j'avais toujours peur que je ne sais qui tombe sur mes vidéos et m'insulte de tout les noms et se moque de moi.
Enfin, cela dit, la plupart des personnes de mon entourage ne sait toujours pas que je fais mes petites vidéos dans mon coin, et je pense que si un jour mon père ou mes collègues tombent sur ma chaîne, je déménage en Alaska et je change de nom.
Mais en dehors de ça, je suis contente d'avoir appris à faire les choses naturellement et à ne plus angoisser chaque fois que je mets mes images en ligne.
Prochaine étape, et pas des moindres : réussir à me filmer en public et ne pas prendre mes jambes à mon cou chaque fois que quelqu'un passe dans la rue où j'essaie de tourner une scène (ça m'évitera d'avoir un comportement plus que suspect aha). Je sais que quelques uns d'entre vous ici suivent mes vidéos, donc merci beaucoup, car c'est aussi grâce à votre bienveillance et vos gentils retours que je n'ai pas abandonné dès le début ♡
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« C’est cette histoire interdite que tous les ex-collégiens et les profs que j’ai rencontrés m’ont racontée : le racisme antiblanc – ordinaire, banalisé, institutionnalisé, parfois même incorporé, digne d’un manuel d’anthropologie raciale du XIXe siècle aboyé dans l’espéranto des banlieues. « Babtou fragile », « francaoui de merde », « sale gaouri », « sale gwer » (sale Blanc, sale Européen). Tous les témoignages aboutissent à la norme antiblanche qui structure les écoles dans les zones à forte immigration. Un racisme au carré, où l’ado blanc de peau est dominé dans les faits, mais traité comme dominant dans les représentations médiatiques. Si la pire des souffrances, c’est celle qui n’est pas reconnue, alors celle-ci n’est ni connue ni reconnue. C’est la tombe de ce collégien inconnu que nous voulons ériger, martyr d’un immense canular qui tient en six lettres : la « mixité », fantasme de nantis. Laissons-en l’oraison à ses acteurs de première ligne : les hussards d’une République en déroute et les troupes à pied, la bleusaille désenchantée des collégiens. »
François Bousquet, "Racisme antiblanc à l'école; la vérité cachée" in revue Eléments numéro 210 (en kiosques)
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la isla blanca; huitième version.
la isla blanca; septième mise à jour 💕 six mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes douceurs de co-admins, @themuseparadox, @erinye-stuff, @romystigri, @gerard-menjoui & moi-même venons vous présenter sa huitième version. pour l'occasion; lib fait totalement peau neuve avec un nouveau codage mais aussi beaucoup d'autres nouveautés à dénicher.
l'intrigue du mois; entre les murs teintés d'ocre, se dissipent les murmures solennels des promesses d'un autre temps, s'installent en douceur les lueurs de l'astre primaire de la cité entourée de nuages menaçants. le scélérat n'est plus là, vague souvenir déjà oublié par les esprits béats, calmes sont les vagues qui furent enragées, amorphes quand près des ruelles éclairées, on chante à l'amour et aux étreintes subtilisées. la saint-valentin, le moment où les flammes se déclarent, l'instant où les cœurs battent à l'unisson, sans retard. pourtant, loin des rayons chaleureux, l'ombre se dresse, mirage ou bien réelle créature que certains se plaisent à appeler reine des tristes desseins, la légende gronde dans les esprits dès lors que la saison hiémale touche à sa lente fin. avez-vous déjà entendu parler d'hamarre, déesse des amours et des couples qu'elle sépare sans détour ? elle est bien là, observant les faits et gestes de ceux qui vivent trop fort, trop vite, sans se soucier de son aura. sur l'île, le mythe se chuchote de bouches en bouches, s'éteint pour laisser planer les vapes idéalisées d'une vieille histoire décimée, celle de deux amants qui s'aimaient, puis séparés par les courants et les menaces de l'océan. on murmure aussi qu'il suffit de s'approcher de la grotte d'es culleram et d'y déposer un papier avec le prénom de l'être aimé, de revenir le jour suivant pour attester de tâches noires comme signe que l'affection est destinée à durer. s'il n'y en a pas, c'est qu'hamarre ne vous accordera pas sa bénédiction jusqu'au trépas. mais qui peut-on réellement croire ? simple fiction ou véritable invention, c'est à vous, chers habitants, d'en juger.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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"Meghan Markle reps pal Victoria Beckhams fashion brand during Colombia tour." Is Megs so desperate for a celebrity connection that she is acting like she and Victoria are besties? by u/HydeParkUK
"Meghan Markle reps pal Victoria Beckham’s fashion brand during Colombia tour." Is Megs so desperate for a celebrity connection that she is acting like she and Victoria are besties? From Page Six article today:Markle and Beckham are longtime friends; the duchess has worn a number of looks by the beloved Spice Girl in the past, and the Beckhams even attended the Sussexes’ royal wedding in 2018. (Oh really??)The Sussexes discussed online safety during a “Responsible Digital Future” event in Bogotá, with the duchess donning a brown silk Victoria Beckham shirt and a new pair of silky La Ligne pants ($295) in a similar earth tone. (Similar does not mean matching.)The royal previously sported the brown silk top for a “Time 100” special on ABC in 2020, and on Thursday, she left the top few buttons open to show off her gold Carter Juste Un Clou necklace ($16,200).Watch this space to see what Friday’s busy day brings for the ever-stylish duchess. (I guess Megs is submitting her own articles to Page six now. LOL) post link: https://ift.tt/aAwWshD author: HydeParkUK submitted: August 16, 2024 at 06:15PM via SaintMeghanMarkle on Reddit disclaimer: all views + opinions expressed by the author of this post, as well as any comments and reblogs, are solely the author's own; they do not necessarily reflect the views of the administrator of this Tumblr blog. For entertainment only.
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"Vers un bouleversement, mais à petits pas. L’Arcom, l’autorité de régulation de l’audiovisuel, a rendu publique le 18 juillet sa délibération concernant le respect du « pluralisme des courants de pensée et d’opinion ». Désormais, au lieu de contrôler seulement le temps de parole des responsables politiques à la radio et à la télé, afin de s’assurer que les divers courants politiques y ont droit à la parole de manière équitable, le gendarme de l’audiovisuel prendra en compte l’ensemble des participant·es aux programmes.
Objectif : lutter contre l’installation sur les antennes d’un déséquilibre « manifeste et durable » dérogeant aux principes du pluralisme politique, au sens large. Mais sans renouveler fondamentalement la manière dont l’Arcom opère. [...]
« Une évolution importante », qui était attendue depuis le 13 février dernier, date à laquelle le Conseil d’État, plus haute juridiction administrative, a demandé à l’Arcom de mieux veiller au respect du pluralisme par les médias qu’il contrôle en général, et par CNews en particulier.
Saisi par Reporters sans frontières (RSF) en 2021, qui lui demandait de mettre en demeure la chaîne d’information de Vincent Bolloré pour manquement à ses obligations relatives à l’honnêteté, à l’indépendance et au pluralisme de l’information, le gendarme de l’audiovisuel avait refusé. Début 2023, Roch-Olivier Maistre [président de l'ARCOM] avait même assuré que « CNews respecte strictement le pluralisme politique ».
Le Conseil d’État, pas franchement du même avis, avait donné raison sur presque toute la ligne à RSF, estimant pour la première fois que le respect du pluralisme devait tenir compte de « l’ensemble des participants aux programmes diffusés, y compris les chroniqueurs, animateurs et invités ». À charge pour l’Arcom de trouver, dans les six mois suivant la décision, le moyen de s’assurer du contrôle de cette obligation renforcée. [...]
Roch-Olivier Maistre et ses troupes traqueront désormais, a-t-il indiqué, le « déséquilibre évident ou, pour employer une expression à la mode, systémique, structurel, qui saute aux yeux ». Pour retenir leur attention, il faudra que ce déséquilibre soit aussi durable : il sera scruté sur une durée de trois mois pour les chaînes et radios classiques, et sur un mois pour les chaînes d’info en continu.
Pour se faire son avis, le régulateur s’appuiera sur « un faisceau d’indices » : la diversité des intervenant·es sur les plateaux, la diversité des thématiques faisant l’objet d’émissions, et la pluralité des points de vue exprimés sur chaque thème. « Est-ce qu’on est monocolore, monothématique, mono-intervenant ? », a traduit Roch-Olivier Maistre. [...]
Comme aujourd’hui, le gendarme de l’audiovisuel attendra la plupart du temps d’être saisi par des signalements pour se pencher sur un cas. Son attention se portera principalement sur les émissions d’information et « sur les programmes qui concourent à l’information », comme les débats et autres tablées d’éditorialistes, mais aussi les émissions d’infotainment.
Pas de grande surprise
[...] À vrai dire, on ne voit que les médias de Bolloré pour être gênés par les changements annoncés. Le recours de 2021 de RSF s’appuyait en particulier sur une étude de François Jost, sémiologue et professeur émérite à l’université Sorbonne-Nouvelle, qui avait démontré qu’en une semaine sur CNews, « les invités de droite et d’extrême droite [représentaient] plus des trois quarts des présences en plateau (78 %) ».
Précisément, sur le papier, la chaîne ne franchissait pas la ligne parce que, parmi les fers de lance de l’ultraconservatisme qu’elle promouvait, les journalistes étaient plus nombreux que les représentant·es de parti, et échappaient donc aux décomptes. L’Arcom va bientôt répondre une seconde fois à RSF, sur la base du nouveau cadre qu’elle vient de fixer.
La chaîne d’info a donc du souci à se faire. Tout comme sa petite sœur C8, théâtre des outrances de Cyril Hanouna, de plus en plus droitières au fil des mois, et Europe 1, la radio absorbée en 2020 par Vincent Bolloré, et qui n’a désormais plus rien à envier aux autres médias du groupe en termes de tonalité.
Rappelons que dès l’annonce de la dissolution par Emmanuel Macron, Sophie Davant a été éjectée d’Europe 1 pour faire de la place à Cyril Hanouna, qui a, trois semaines durant dans sa quotidienne d’une heure trente, fustigé l’alliance des partis de gauche et déroulé le tapis rouge aux candidat·es d’extrême droite.
[...]
À elles deux, C8 et CNews ont essuyé depuis 2012 plus de 45 sanctions de l’Arcom et de son ancêtre le CSA, pour un total de 7,5 millions d’euros d’amende (dont plus de 7 millions pour C8). Sans effet aucun sur leur manière de traiter l’actualité et de favoriser les thèmes et les prises de position chères à l’extrême droite.
Et jamais l’Arcom n’est allée jusqu’à prononcer les sanctions les plus sévères que lui autorise la loi, comme la suspension d’une émission ou, en dernier recours, le retrait de l’autorisation d’émettre à la chaîne dans son ensemble.
Avant la fin juillet, l’Arcom devra néanmoins faire un choix décisif, en réattribuant ou non à Bolloré les fréquences des ses deux chaînes controversées. L’autorité doit en effet trancher sur le renouvellement de l’attribution des fréquences des quinze chaînes de la TNT. Les auditions dans ce cadre, qui se sont achevées le 17 juillet, n’ont pas montré que les lieutenants de Bolloré avaient l’intention de changer quoi que ce soit à leurs méthodes.
Quelle que soit sa décision, l’Arcom a d’ores et déjà du pain sur la planche pour appliquer les nouvelles règles, car elles s’appliquent rétroactivement à compter du 13 février dernier, date à laquelle le Conseil d’État a rendu sa décision. Nul doute que l’autorité de régulation aura matière à se pencher de nouveau régulièrement sur les outrances des médias Bolloré.
Roch-Olivier Maistre a indiqué avoir déjà été saisi de plusieurs signalements sur le respect du pluralisme des opinions. « Le régulateur sera très attentif sur ce sujet, qui est central pour notre vitalité démocratique », a-t-il promis."
#PLEASE PLEASE PLEASE PLEASE PLEASE BOLLORE CRÈVE#france#upthebaguette#whatthefrance#french#en français#french side of tumblr#bollor��#cnews#c8#bee tries to talk
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Dernière ligne droite pour Les Voies Convergentes ! Après une semaine à ne pas pouvoir écrire parce que La Vie et aussi La Crève, j'ai bien avancé ce week-end. Je suis au premier tiers du dernier chapitre environ ✨ J'ai aussi relu et nettoyé les cinq premiers, j'ai bon espoir de pouvoir commencer à la mettre en ligne début juillet.
Pour les stats, il y aura donc officiellement six chapitres et un petit épilogue, cinq chapitres du point de vue d'Obi-Wan, un autre et l'épilogue du point de vue d'Anakin. Au premier tiers du sixième chapitre on est à 29 798 mots au total (oui, ça m'irrite de m'arrêter juste avant les 30 000 aujourd'hui, mais la scène suivante va me demander beaucoup d'énergie et de temps que je n'ai pas)
Un petit bout pour fêter ça :
Les jumeaux exécutèrent un petit salut branlant, Luke serra brièvement la jambe de son père, puis celle d'Obi-Wan, imité sans hésiter par la petite Qwi. Leia se contenta d’un « au’voi’ » et prit la main de son frère pour l’entraîner vers un autre jeu.
— Ils ont tellement grandi, murmura Obi-Wan en les regardant s'éloigner.
— Ne m’en parle pas. À ce rythme, on arrivera bientôt à avoir une conversation compréhensible avec Luke.
Une main apparut soudain devant lui.
— Tu viens ? demanda Anakin.
Obi-Wan haussa un sourcil.
— Je suis encore capable de me lever seul, dit-il en s'exécutant pour preuve.
— Et après tu te plains de mon manque de considération.
— Dans le cadre de ton pilotage, Anakin, pas au quotidien. Reva est déjà partie ?
— Les initiés ont un programme chargé, tu le sais mieux que moi.
Ils sortirent de la crèche, et seulement alors Anakin reprit :
— Je sais exactement ce que tu fais. Je ne suis pas... Je n'ai pas l'intention de prendre d'autre padawan.
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93 Bondy 1954 les grands ensembles HLM, terre d’accueil...Les premiers HLM datent de 1925-1930, mais au nord de la ville, leur construction ne commence que dans les années 1950-1960. A cette période d’urbanisme galopant, les promoteurs achètent les terres du nord encore disponibles pour y construire de grands ensembles immobiliers. En 1954, Bondy compte 22 411 habitants, la ville en comptera 51 653 en 1968, soient plus de 2 000 nouveaux habitants par an ! De nouveaux quartiers flambant neufs accueillent des populations migrantes chahutées par le vent de l’histoire, des pieds noirs, puis des familles immigrées d’Afrique du Nord, du Portugal, et d’Afrique sub-saharienne, notamment du Mali. Ville dynamique, marquée par des modes d’urbanisme contrasté, Bondy a ainsi toujours fait figure de terre d’accueil. C’est aujourd’hui de cette complexité urbaine et de cette mixité humaine que la ville tire sa richesse et entreprend un projet ambitieux de renouvellement urbain. C’est au tout début du 19e siècle, lors des derniers soubresauts de l’Empire Napoléonien, que Bondy va se retrouver sur le devant de la scène géopolitique européenne. En 1814, alors que Napoléon Ier rentre en France avec une armée battue, l’Europe entière coalisée contre l’Empire, est à ses trousses. 700 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois, Bavarois, Wurtembergois, Hollandais, Allemands franchissent le Rhin et marchent sur Paris. Le 27 mars, le corps d’armée du général prussien Yorch vainc, dans la forêt de Bondy, les corps français. Temporairement occupé par les troupes russes, Bondy devient le quartier général de l’Empereur de Russie et du Roi de Prusse. La défaite française, lors de la Bataille de Paris, marque la fin des opérations militaires de la Campagne de France et conduit à la première abdication de Napoléon puis la Restauration des Bourbons. Le 10 avril, des détachements des six premières légions de la garde nationale de Paris se rendent à Bondy pour y recevoir Son Altesse Royale Monsieur, frère du roi Louis XVIII. En 1802, les travaux de percement du Canal de l’Ourcq, voulus par Napoléon 1er pour apporter l’eau à Paris, est un fait marquant de son urbanisme et va permettre à partir de 1821, date à laquelle s’achèvent les travaux, l’installation d’industries, notamment des scieries puis des centrales à béton, qui seront utiles plus tard pour construire des logements. En 1860-1870, l’arrivée du chemin de fer et de la ligne Paris-Strasbourg marque un tournant dans l’évolution démographique de la ville. Beaucoup d’Alsaciens et de Lorrains qui n’ont pas voulu devenir allemands et qui travaillaient en nombre pour les chemins de fer, s’installent dans le quartier près de la gare. Au nord de la ville, des paysans cultivent toujours leurs champs, notamment des maraîchers, tandis que l’urbanisme se développe vers l’ouest et le sud. En 1905, une partie de la ville devient Les Pavillons-sous-Bois. C’est à cette date que se déploie la zone pavillonnaire du sud de la ville avec des maisons en meulière, typique de la région parisienne.
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L'Alfa Romeo 8C 2300 : Une Victoire Tardive à Spa
L'histoire de l'Alfa Romeo 8C est intrinsèquement liée à celle de Vittorio Jano, son concepteur. Cet ingénieur d'origine hongroise, né en 1891, a marqué l'histoire de l'automobile par son génie. Après des débuts chez STAR puis chez FIAT, où il a collaboré avec Giulio Cesare Cappa, un autre nom important de l'ingénierie automobile, Jano rejoint Alfa Romeo en 1923. Son départ de FIAT fut une perte telle que l'entreprise turinoise abandonna rapidement la compétition.
La légende raconte qu'Enzo Ferrari, alors jeune directeur de l'équipe de course Alfa Romeo, aurait joué un rôle déterminant dans l'arrivée de Jano, allant jusqu'à courtiser son épouse. Quoi qu'il en soit, l'arrivée de Jano coïncide avec l'ambition d'Alfa Romeo de s'imposer comme constructeur de voitures de sport, soutenue par Benito Mussolini, alors Premier ministre italien, qui voyait dans le sport automobile un outil de promotion technologique et politique pour le pays.
Dès son arrivée, Jano se consacre à la conception d'un six cylindres en ligne à double arbre à cames en tête, donnant naissance au 6C. En 1924, il conçoit un moteur huit cylindres qui allait équiper les voitures de course et de sport d'Alfa Romeo pendant les quinze années suivantes. Ce huit cylindres en ligne présentait des caractéristiques techniques uniques, avec quatre blocs en acier plaqué de deux cylindres sur un carter commun. D'une cylindrée de 1987 cm³, il propulsa la P2 à la victoire lors du Championnat du Monde des Grands Prix de 1925.
L'appellation 8C apparaît pour la première fois lors des Mille Miglia de 1931, désignant une voiture équipée d'un moteur doté de deux blocs en alliage de quatre cylindres, intégrant également les culasses. D'une cylindrée de 2336 cm³, ce moteur fut baptisé 8C 2300. Ce format fut ensuite décliné en 2,6 litres avec double compresseur pour les monoplaces (Tipo B-P3) en 1932, puis en 2,9 litres (8C 2900) de 1936 à 1939.
Initialement prévue pour la course, la production de la 8C fut étendue aux gentlemen drivers et aux acheteurs fortunés. Le châssis, à longerons et traverses, était disponible en trois longueurs : "Lungo" (long), avec un empattement de 3100 mm pour les courses d'endurance ; "Corto" (court), avec un empattement de 2750 mm pour les courses sur route ; et "Monza" (2650 mm) pour les courses sur circuit. Les plus grands carrossiers s'emparèrent de ces châssis, proposant une grande variété de carrosseries.
L'exemplaire dont il est question ici, châssis numéro 2211067, est une 8C 2300 de la deuxième série, avec moteur d'origine et une carrosserie ouverte Touring sur un châssis "Lungo". Immatriculée pour la première fois à Milan au nom de la Società Alfa Romeo, elle fut l'une des quatre voitures engagées par l'équipe aux 24 Heures du Mans 1932, avec le numéro 12, pilotée par le duo français Pierre Louis-Dreyfus et Antoine Schumann.
Malgré un résultat décevant (abandon sur sortie de route), cette participation s'inscrit dans un contexte prestigieux, marqué par la victoire d'une autre 8C 2300 pilotée par Raymond Sommer et Luigi Chinetti. Après sa réparation, la voiture fut revendue puis rachetée par Alfa Romeo pour participer aux 24 Heures du Mans 1933. Cette fois, pilotée par Guy Moll et Guy Cloitre, elle abandonna suite à un problème de batterie.
C'est finalement aux 24 Heures de Spa, deux semaines plus tard, que cette 8C 2300, confiée à Louis Chiron et Luigi Chinetti, remporta la victoire tant convoitée, parcourant 2806,3 km à une vitesse moyenne de près de 117 km/h.
Après cette victoire, les traces de la voiture se font plus discrètes, jusqu'à sa réapparition au Royaume-Uni en 1934. Après plusieurs propriétaires et une restauration dans les années 1960, elle fut entièrement restaurée en 2005 par le spécialiste Jim Stokes. Elle participa ensuite à divers rallyes et expositions, notamment au Concours d'Élégance de Pebble Beach en 2008, où elle remporta le prix Phil Hill.
Récemment repeinte dans sa couleur bleue d'origine, cette 8C 2300 a été vendue aux États-Unis en 2020, puis a changé de propriétaire en 2022. Elle est aujourd'hui conduite et appréciée pour le son rauque de son moteur, témoignant du génie de sa conception, plus de 90 ans après sa fabrication.
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Even more OC Icons
Et voilà les dernières icônes d'OCs que j'ai faites pour l'instant ! Plus ou moins, j'en ai aussi fait une de l'OC d'une amie, on verra si elle est ok pour que je le partage une autre fois. En tout cas, ici nous avons trois projets différents. Les 6 premiers personnages sont de Terne, mon histoire avec des faes. Pour commencer, Ateana, reine du Soleil, et ses enfants jumeaux, Safra et Sadi. La seconde ligne est composée de Njall, un épéiste de la Cour des Neiges, puis Victorine et Tricia de la Cour de la Lune. Victorine est une des rares humaines à prospérer dans le Territoire fae, c'est aussi la meilleure amie de Kelis.
Après ces six là, nous avons trois personnages d'Aux Fleurs l'Éternité, un projet que je ne suis pas sûre d'écrire, mais nous verrons ! Dans l'ordre, la princesse sans nom d'Anand, Ilkay, et Gwenn. Et pour finir, sur la dernière ligne, nous avons les trois personnages que je préférais dans un projet que j'écrivais au lycée. Il était honnêtement pourri, mais je suis toujours attachée à ces trois meilleurs amis, ils s'appellent Aisia, Skaï et Ezra.
(English under read more)
And with that, that's all the OC icons I've made for now! Well kinda, I also made one of a friend's OC but we'll see at another time if she agrees with me sharing it. In any case, here we have three different projects. First are 6 characters from Terne, my fae story. First are Ateana, the Sun Queen, and then her twin children, Safra and Sadi. The second line is made of Njall, a swordsman from the Snow court, and then Victorine and Tricia from the Moon court. Victorine is the rare human who thrives in fae territory, as well as Kelis' best friend.
After these six, we have three characters from Aux Fleurs l'éternité, a project I'm not sure I'll write but who knows! In order the Nameless Anand princess, Ilkay, and Gwenn. And finally on the last line we have the three characters I liked the best in a project I wrote back in high school. It honestly sucked but I still have a fondness for these three best friends, their names are Aisia, Skaï and Ezra.
#art#personnages originaux#original characters#original project#projet original#terne (working title)#artists on tumblr
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Palestine / Israël
Ces quatre cartes illustrent de manière frappante l'évolution de l'occupation israélienne de la Palestine au fil des décennies.
Voici une explication de cette colonisation et de son impact destructeur :
1. Pré-1948 : La première carte montre la Palestine historique avant la création d'Israël. Tout le territoire est occupé par les Palestiniens, avec des villes principales comme Haïfa, Jérusalem, Ramallah et Gaza.
2. 1947 – Plan de partage de l'ONU : La deuxième carte montre la proposition des Nations Unies en 1947 de diviser la Palestine en deux États, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes palestiniens. Bien que les Palestiniens représentaient la majorité de la population à l'époque, seulement 48 % du territoire leur était attribué.
3. 1967 – Ligne d'armistice : La troisième carte illustre l'occupation israélienne après la guerre des Six Jours en 1967, où Israël a pris le contrôle de la Cisjordanie et de Gaza. La Palestine a été réduite à 22 % de son territoire d'origine.
4. Aujourd'hui : La dernière carte montre la situation actuelle où des colonies israéliennes illégales se sont installées à l'intérieur de la Cisjordanie, fragmentant davantage le territoire palestinien. Le mur de séparation, en orange, accentue cette division, et les territoires restants pour un éventuel État palestinien ne représentent plus que 12 % de la Palestine historique.
Cette colonisation, en plus de priver les Palestiniens de leurs terres, détruit leur mode de vie, leur économie, leur liberté de mouvement, et leur droit à l'autodétermination. Les terres, autrefois fertiles et riches, sont désormais morcelées par des barrières physiques, ce qui empêche les Palestiniens de vivre dignement. La création de colonies et le mur de séparation augmentent les tensions, favorisent les conflits et conduisent souvent à des violences et des répressions. Elle tue donc non seulement physiquement par les violences militaires et civiles, mais aussi moralement et culturellement, en effaçant progressivement un peuple de son propre territoire.
C'est une tragédie humanitaire et politique qui s'étend sur plusieurs générations, entraînant des souffrances incessantes et la perte de vies humaines, tout en alimentant un cycle de guerre et de désespoir.
#FreePalestine#FreeGaza#StopGenocideOfPalestinians#GazaGenocide#SaveGaza#Genocide_of_Palestinians#Gaza#GENOCIDEGAZA#genocide#palestinewillbefree
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