#se détendre au travail
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Favorisez le bien-être au travail avec ces 8 idées amusantes !
On aborde toujours le sujet du stress et du burnout de manière négative. Dans le cadre d’un défi consistant à écrire des articles de blog à l’aide de l’intelligence artificielle, j’ai demandé à notre ami ChatGPT quelles étaient ses idées amusantes pour éviter l’épuisement professionnel et favoriser le bien-être au travail. Ses réponses loufoques ne m’ont pas déçu ! Je vous en partage…
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#détente au travail#éviter l&039;épuisement professionnel#éviter le burnout#se détendre au travail#stress au travail
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L'épuisement émotionnel est provoqué par la volonté d'être toujours fort.
L’épuisement émotionnel est un état qui s’atteint en raison d’une surcharge d’effort.
Il n’apparaît pas du jour au lendemain.
Il s’agit d’un processus qui s’incube lentement, jusqu’à parvenir à un point où la personne s’effondre.
Les causes : L’épuisement émotionnel provient du fait qu’il existe un déséquilibre entre ce que nous donnons et ce que nous recevons.
À force d’importants sacrifices.
La personne épuisée manque généralement de temps pour elle-même. Elle ne reçoit pas suffisamment de reconnaissance, d’affection ou de considération.
Les issues : La meilleure façon de surmonter l’épuisement émotionnel est, bien évidemment, de se reposer. Nous devons trouver du temps libre pour nous détendre et être tranquille.
Une autre solution consiste à travailler pour construire une attitude différente face aux obligations quotidiennes.
Chaque journée devrait inclure des moments à consacrer aux engagements mais également pour se reposer et effectuer des activités enrichissantes.
Les obsessions de perfection ou d’accomplissement doivent être mises de côté.
Il est donc très important d’avoir de l’empathie pour nous-mêmes. Rien de tel pour cela que de passer du temps seul pendant la journée.
Respirer, se reconnecter avec ce que nous sommes et ce que nous voulons.
Dans le cas contraire, il nous sera tôt ou tard impossible d’aller de l’avant.
- Firdaws MotivActions.fr
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Je discutais avec une ancienne collègue qui était surveillante et elle ose me faire une remarque en mode que parfois je ne bossais pas au lycée et j'étais là frero on va se détendre déjà je faisais l'effort de venir j'ai pas eu le mémo comme quoi il fallait aussi travailler
#le toupet des gens#heureusement c'était ironique de sa part#une petite blagounette#quentin le surveillant
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Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: trois concepts pour comprendre la faillite de la raison discursive, dont le discours analytique révèle le mécanisme logique: plus tu fais de profit plus tu veux en faire, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable, plus tu bois de Coca plus tu as soif...
Le "plus de jouir" lacanien — concept indispensable à la saisie des impasses et paradoxes du parlêtre que nous sommes — est directement tiré de la plus-value marxienne.
Pour "illustrer" l'impossibilité du "riche" à payer, un retour à l'original n'est peut-être pas superflu, et voici donc la logique (hegelienne!) que Marx déploie pour décrire le processus de la "consommation":
"En convertissant une partie de son capital en force de travail, le capitaliste valorise son capital global. Il fait d’une pierre deux coups. Il ne profite pas seulement de ce qu’il reçoit de l’ouvrier, mais aussi de ce qu’il lui donne.
Le capital aliéné dans l’échange contre de la force de travail est transformé en moyens de subsistance dont la consommation sert à reproduire les muscles, les nerfs, les os, le cerveau des ouvriers qu’il a déjà et à engendrer de nouveaux ouvriers.
À l’intérieur même des limites de ce qui est absolument nécessaire, la consommation individuelle de la classe ouvrière est donc la retransformation des moyens de subsistance que le capital a aliénés contre de la force de travail, en une force de travail que le capital peut réexploiter.
Elle est production et reproduction du moyen de production le plus indispensable au capitaliste, l’ouvrier lui-même."
(Le Capital, 1867, Livre I, Quatrième édition allemande, Puf, 1993, p. 642.)
Ce qui n'est pas sans éclairer d'une lumière singulière la fameuse déclaration de Patrick Le Lay (alors PDG de TF1) de la logique sous-jacente des médias:
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (...).
Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (...).
Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise."
Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: voilà donc les trois notions paradoxales qui permettent d’aborder le réel dans son rapport au symbolique, et qui permettent de comprendre pourquoi l’idéal de l’échange équilibré reste voué à l’imaginaire, les prétentions rationnelles étant toujours ravagées par une logique de l'excès qui les ruine - plus tu bois de Coca plus tu as soif, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable (plus il t’en coûtera), plus tu fais de profit plus tu veux en faire...
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Hey, where is she?
FR
White Blade : "Hey, someone a vu mon créateur ? ça commence a se faire long son absence prolongé"
Light Purity : "Je crois qu'elle suivait des cours... quelque chose comme ça... et elle est un peu stressé."
WB : "Des cours ? Elle aurait pu prévenir."
LP : "Oui, c'est vrais. Cela devait être court, mais ça s'est prolongé sur plusieurs mois et elle est désolé."
WB : "Et pourquoi elle est stressé ?"
LP : "Je crois comme tout le monde, elle subit l'inflation. Ses cours devaient débouché sur un travail, mais ça ne se fait pas. Elle espérait trouver un emploi proche de chez elle, mais il y en a pas. Elle ne peut plus postuler a un travail a 30 min de chez elle pour un salaire de misère, elle va s'endetter a cause des prix des ressources et des déplacement continuellement au augmentation. Elle voit la date de fin de son chômage approcher, donc elle stresse encore plus et bientôt elle va voir toute ses économies disparaitre pour payer le loyer.
Donc elle essais de trouver un moyen de se détendre et de trouver une solution a tête reposer."
Lucky Punk : "Pourquoi ne pas demander de l'aide ?"
LP : "Ce n'est pas son genre. Elle préfère travailler en contrepartie et payer des cotisations pour l'avenir. Car oui a chaque dessin qu'elle vend, elle paye des cotisations..."
Lucky Punk : "Hey, mais... elle n'a plus vendu de dessin depuis plus d'un an... qu'est-ce qu'elle fout ?"
LP : "Mmmh, j'ai ma petite théorie. Il y a eu un enchainement d'événements durants cette période et... elle un gros syndrome de l'imposteur qui lui pourrit la vie. Elle n'a sans doute pas eu le courage de surmonter l'obstacle sur le moment ?"
WB : "Okay, d'accord, et maintenant ?"
LP : "Elle essait de faire face et vous donnez rapidement de ses nouvelles. Elle se sent mal à l'aise de ne pas le faire vous savez !"
BASYKAIL : "Vous savez que je vous entend ?!"
Les soeurs : "AH!"
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EN
White Blade : "Hey, has anyone seen my creator? It's getting long since she's been gone".
Light Purity : "I think she was taking classes… something like that… and she's a little stressed out."
WB: "Classes? She could have warned."
LP: "Yes, that's true. It was supposed to be short, but it went on for several months and she's sorry."
WB: "And why is she stressed?"
LP: "I think like everyone else, she's experiencing inflation. Her classes were supposed to lead to a job, but it's not happening. She was hoping to find a job close to home, but there isn't one. She can't apply for a job 30 minutes from her home for a miserable salary, she will go into debt because of the price of resources and the constant increase in travel. She sees the end date of her unemployment approaching, so she stresses even more and soon she will see all her savings disappear to pay the rent.
So she's trying to find a way to relax and find a way to rest her head."
Lucky Punk: "Why not ask for help?"
LP: "That's not like her. She prefers to work in return and pay dues for the future. Because yes, with every drawing she sells, she pays dues…"
Lucky Punk: "Hey, but… she hasn't sold a drawing in over a year… what the hell is she doing?"
LP: "Mmmh, I have my little theory. There was a chain of events during this period and… she has a big impostor syndrome that is ruining her life. She probably didn't have the courage to overcome the obstacle at the time?"
WB: "Okay, right, what about now?"
LP: "She was trying to cope and you give her a quick update. She feels bad about not doing it you know!"
BASYKAIL: "You know I can hear you?!"
Sisters: "AH!"
-Basy
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" Little Little "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Solas.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Trouvant refuge auprès de Solas à Fort Céleste, l'inquisitrice juge qu'il serait bon de passer un peu de temps avec celui-ci. Elle pense passer un agréable moment, sans se douter d'à quel point la présence du jeune homme risque de la chambouler.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟑𝟏𝟔.
Musique : Little Little - Red Velvet.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
« Mon cœur. »
Il murmure, l'expression soudain éclairée par mon arrivée. Je lui réponds dans un sourire.
Sa simple présence me ravit, je m'étais attendue à le retrouver; nous deux, l'un face à l'autre, nos souvenirs emmêlés, toutes nos discussions passées soudain ravivées sous la forme d'une complicité romantique, toutefois je dois avouer que je ne me suis toujours pas habituée à l'effet qu'il me fait. Solas me paraît à la fois à ma merci et à des kilomètres de là. Cela devrait me faire peur, instaurer une barrière entre nous, cependant cela ne fait que m'attirer davantage à lui.
La porte menant au hall de Fort Céleste se referme sur mes pas. Elle me transmet l'impression que nous sommes seuls, si on en oublie la foule d'alliés perchées au dessus de nous sur deux étages. Le brouhaha des aristocrates m'est à présent inaudible, ils ont beau se penser discrets, j'entends la moindre de leur opinion concernant mes plus récentes décisions au sujet de l'inquisition. Et il faut dire qu'ils ne me ménagent pas j'en ai bien peur. J'ai besoin de me détendre, de penser à autre chose. Il fallait que je m'éloigne de toutes ces attentes, ces demandes, tous ces yeux de biches rivés en ma direction..
C'est ici que j'ai trouvé refuge. Le coin intellectuel de Fort Céleste, où nos agents travaillent d'arrache-pied afin de nous donner les atouts nécessaires pour venir à bout de Corypheus et de son armée de démons. Ce qui se situe en haut m'importe peu, je dois dire.
Pour l'instant tout ce que je vois c'est lui.
Solas.
« Comment allez-vous ? »
Tout en le questionnant, je m'assois. Il n'y a qu'un fauteuil ⸺hormis le canapé près des escaliers⸺ je m'autorise à le monopoliser ce que Solas ne me reproche pas. Il s'est éloigné de la fresque pour me rejoindre, il zieute brièvement un parchemin sur la table dont il s'est saisi.
« Quelque peu exténué par nos récentes aventures, et vous ? »
« Un peu pareil.. »
Il arque un sourcil.
« Les... Les nobles de Val-Royeaux. » je confesse, plaquant mon coude contre la table et laissant ma joue reposer sur mon poing. « Ils m'en demandent beaucoup, je ne suis qu'une personne. »
« Ils ont d'hautes attentes. »
« Je crains de ne pouvoir les atteindre.. j'ai déjà tant de choses à gérer avec les Gardes de l'Ombre et les failles. Maintenant je dois écouter Joséphine et Vivienne me parler de la cour et de comment embellir Fort Céleste ? J'avais besoin d'une pause. »
« Je crains de ne pouvoir être une grande aide dans ce cas. »
« Je n'attends rien de vous, Solas rassurez-vous. J'avais... J'avais juste besoin de souffler. »
« Ici ? »
« Où d'autre ? » m'étonné-je.
Un brin de curiosité me pique, mais je sais qu'il n'a pas d'idée en tête. Il a dû penser que j'aurais préféré le jardin, mes appartements, voire le haut des murailles. Il est vrai que celles-ci offrent une vue splendide.
« Votre présence est la bienvenue, restez-donc ici le temps qu'il vous faudra. »
« Merci, Solas. » je réponds.
Il est devant moi, les paumes de ses mains plaquées sur la table et accompagné d'un fin rictus sur ses lèvres qui se veut tout sauf taquin. Il m'observe, je fais de même.
Cette même impression se saisit de moi, j'ai l'audace de penser qu'il m'est possible de l'atteindre. Nous partageons une connexion folle; elle se certifie par les baisers que nous avons échangés, que ce soit dans son monde à lui, l'immatériel, voire sur le balcon au sommet de Fort Céleste dans ma chambre. Je suis réconfortée par la pensée que personne n'a encore vu cet aspect de lui. Il n'appartient qu'à moi. Malgré tout, il me paraît tout aussi lointain. Solas est présent physiquement, mais je ne saurai dire ce qui se trame dans son esprit. Je ne peux qu'être intriguée.
J'aimerais me saisir de sa main et m'ouvrir à lui afin qu'il s'ouvre à moi en retour.
Je désire bien plus que de simples baisers coupables.
Je suis toutefois contrainte de calmer mes ardeurs. Je ne saisis pas pourquoi sur le moment ⸺la nouvelle de notre relation a déjà fait le tour de notre organisation, merci Sera, alors le fait que nous partagions un simple baiser dans un endroit publique ne devrait pas me gêner⸺ mais ne peux qu'accepter. Je cède et détourne le regard.
« Vous continuez d'observer ces fresques. » constaté-je. « Ont-elles un sens ? »
Il se racle la gorge puis passe ses mains dans son dos. Son inconfort m'intrigue.
« J'y travaille. »
« Elles sont splendides. »
« Très. Son artiste devait être talentueux. » dit-il.
Fort Céleste était ainsi lorsque nous l'avons trouvé. Abandonné, il nous révéla ses secrets, nous accueillit à bras ouverts et malgré mes difficultés à comprendre la raison de son existence ainsi que de son immensité, j'essayai de l'apprécier tel quel. Un château au fort caractère ayant surmonté vents et marées au sommet de cette montagne enneigée.. ça n'est pas tous les jours qu'il est donné de séjourner dans un tel lieu. Il frôlerait le sacré.
Les fresques aux murs ne me parlent pas vraiment. Outre leur splendeur.
Ce que fait Solas à les observer tous les jours m'échappe, j'aurais bien trop envie de m'enfuir par la porte de sortie, direction l'extérieur histoire de prendre un bon bol d'air frais. Mais après tout, ce côté mélancolique lui va bien. C'est tout Solas. Les vestiges du passé ont une grande importance pour lui, notamment ses racines, c'en serait presque admirable si il n'était pas autant sur la défensive à ce propos. Cela fait partie de son charme j'imagine. C'est un elfe fier, puissant, il n'a pas honte de qui il est voire d'exprimer son point de vue dans n'importe quel type de situation. Cela doit être la raison pour laquelle ces fresques le passionnent autant, il me semble qu'elles ont une nature elfique.
J'avoue que ça ne m'intéresse pas tant que ça. Contrairement à Solas, je n'apporte pas une bien grande importance au passé. Encore une fois; ça n'est pas la raison de ma venue ici.
« Oh, tien. »
Soudain, la silhouette sur le mur attire mon attention.
Fronçant les sourcils, je la pointe du doigt. Solas me suit. Elle se situe près de la porte de sortie, non pas celle menant au hall du château mais aux murailles. J'y vois un homme à la silhouette sombre. Il me rappelle...
« Il vous ressemble. »
« Queᅳ »
Solas tousse contre son poing.
« Vous trouvez ? »
« Je dis ça comme ça. » me rattrapé-je. « C'est juste.. oui, j'ai eu l'impression qu'il vous ressemblait. »
« Je suppose que je ne suis pas le seul elfe de la sorte à Férelden. Il n'est pas rare que certains traits soient partagés au fil des générations. »
J'acquiesce.
L'homme sur la fresque a une allure effrayante. La dague qu'il conserve près de lui y est pour beaucoup mais c'est davantage le fait qu'il a été peint dans des couleurs sombres qui me donne cette impression. Il est fait de noir, fondu dans l'obscurité tandis que la lame dont il est muni est blanche au possible. J'ai du mal à savoir si il la tient de face ou dans son dos. La chose principale qui me frappe est, en effet, sa ressemblance avec Solas. La même droiture dans leur posture ⸺témoin d'une éducation aristocrate je suppose⸺ ainsi que de traits droits, géométriques. Ils sont tout deux dotés d'une mâchoire taillée, d'un menton puissant; sur la fresque celui-ci est visible puisque la tête de l'homme est de profil.
Néanmoins, cette ressemblance ne parvient pas à me convaincre autant qu'elle le devrait.
Je ne sais pas si la dague est une métaphore quant à la trahison, la tromperie fourberie ou un bien réel ⸺sûrement les deux⸺, mais j'imagine mal Solas ainsi. J'en rirai presque. Cette silhouette et lui ne partagent qu'une chose; leur splendeur. Rien de plus.
Mon regard dérive du mur. Je le porte sur lui.
Solas m'observe déjà, un éclat de surprise passe dans ses yeux. Je me pince les lèvres, penche la tête sur le côté.
« Solas ? »
Il se reprend.
« Mon cœur ? »
« Vous étiez perdu dans vos pensées ? »
« Brièvement, ça ira. »
Il se reprend, plaque la paume de sa main sur la table et s'y tient.
Des parchemins sont laissés à l'abandon, certains sont tâchés par la cire de bougies. Il y en a deux sur le meuble. C'est un bazar. Je ne sais pas ce que Solas fait de tout ce savoir, la bibliothèque de Fort Céleste semble le combler, c'est tant mieux, il a recueilli quelques documents dont une petite pile d'ouvrages sur le coin, ça se sent qu'elle a été utilisée. Je ne suis pas particulièrement intéressée par ce savoir. Il m'échappe, je le sais bien. Je préfère largement retourner regarder Solas. Et je crois qu'il s'en est aperçu.
Il esquisse un rictus gêné, je fais pareil.
Au creux de ma poitrine, je sens mon cœur se serrer. Contemplant Solas dans le blanc des yeux, consciente des sentiments romantique que je lui porte, je me trouve dans l'incapacité de l'ignorer. Nous ne sommes pas seuls, quelques yeux doivent êtres rivés sur nous, et peut-être même davantage d'oreilles. Ils attendent de me voir m'affirmer, ou de succomber, qui sait. Toutefois, alors que je fais face à l'homme dont je me suis terriblement amoureuse, plus rien d'autre n'est apte à m'ébranler.
Lors de ce bref instant, de cette pause bien mérité, Corypheus quitte mon esprit, le destin de ce monde ne repose plus sur mes épaules. Je ne suis qu'une simple elfe éprise d'un des miens et, l'espace d'un maigre instant, la réalité m'échappe.
Enveloppée par l'enlace des songes, je ne peux que m'imaginer aux côtés de Solas.
Pour toujours.
Et à jamais.
Cela suffit à me combler. Quelques minutes passées auprès de lui et voilà que je me sens revivre, je ne ressens pas l'envie de me remettre au travail, loin de là, encore moins de faire face à l'armée d'aristocrates dans le hall sans Joséphine pour me superviser. L'envie d'aller de l'avant s'est emparée de moi. Je désire faire de mon mieux, survire. Sauver des innocents compte, toutefois ici je ne songe qu'à Solas.
Il est omniprésent dans mon esprit autant que dans mon cœur. Il remplit son rôle d'amant à la perfection.
De part sa simple présence, il m'épaule.
D'une simple conversation, il me redonne de la force.
Alors évidement que je ne cesse de l'admirer, évidement que mon cœur s'emballe et que je tombe davantage amoureuse de lui ⸺bien que cela me paraisse impossible : je l'aime déjà à la folie⸺. Je ne peux que lui sourire bêtement. Si jamais je venais à lui faire part de mes sentiments, ici et maintenant, je...
Il lui faut du temps. Je me montrerai patiente.
Je me régale de ces moments que nous partageons. Qu'ils soient à Fort Céleste ou sur le champ de bataille je n'en rate pas une miette. Même si je dois avouer être particulièrement friande de nos discussions ici. Cet endroit n'est pas particulièrement agréable sachant que nous sommes surveillés, mais la pièce de cet étage n'appartient qu'à nous. C'est spécial à mes yeux.
Je suis là, avec lui, et c'est tout ce qui compte.
Solas se penche dans ma direction. Il tend sa main et, délicatement, me touche la mâchoire. Le geste se veut délicat, il me caresse, ses yeux dans les miens. Je ne bouge pas. Figée sur le fauteuil, mes mains compressées contre mes cuisses, j'en ai le souffle court. Solas a un air curieux sur le visage. À nouveau, je le sens lointain. Mais son toucher me fait du bien.
Je ne saurai le décrire. Tout me paraît flou alors qu'il est si proche, je me sens transportée ailleurs, à l'instar de notre voyage dans l'immatériel. Je me perds dans son regard. J'aimerais y périr. Ses beaux yeux bleu, son éclat féroce et à la fois mélancolique, cela ne me fait que l'admirer davantage. Plus il me touche, glissant la pulpe de ses doigts sur ma joue, et plus mes sens se détériorent. De légers fourmillements me parcourent le corps, de mes mains jusqu'à mes jambes. Je n'avais encore jamais ressenti ça. Je me demande si c'est pareil pour lui... Je me demande si il est autant affecté par ma présence que je suis par la sienne.
J'aime à croire que oui.
J'aime à croire que mes sentiments sont plus que partagés, et tant pis s'il reste muet à ce propos. De sa part, j'accepterai même le plus muet des silences.
Ma main s'approche de la sienne, je la recouvre.
« Solas.. Je— »
Je suis incapable de finir.
Son regard s'adoucit, Solas plisse les yeux d'adoration et écarte ses doigts de manière à ce que je puisse les entremêler aux miens. Le geste est instinctif, je n'hésite pas et accepte son invitation. Nos mains fusionnent, la chaleur de sa main se lie à la mienne, c'est merveilleux.
Mon cœur est dans ma poitrine, je vais le vomir.
Cela ne fait pas longtemps que nous nous connaissons. Pourtant, il fait déjà partie de moi. Je l'ai dans la peau et ça m'en rend presque malade.
« Vhenan. »
Solas murmure. Il me paraît autant chamboulé.
« Restons comme ça, s'il vous plaît. »
Je l'aime. Je l'aime à la folie.
« Juste un instant de plus, Solas. Je vous en prie. »
Il hoche la tête. Un fin sourire courbe ses lèvres, de même pour ses yeux, c'est soudain, son teint s'éclaire et son pouce me caresse la joue.
« Très bien, vhenan, restons ainsi. »
Il fait de moi la femme la plus heureuse au monde. Le ciel pourrait bien nous tomber sur la tête...
#solas#solas x female lavellan#solas dragon age#solas x inquisitor#dragon age inquisition#solas x reader
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Cette histoire est celle d'un couple amoureux de la beauté de l'Alhambra de Grenade. En quête de bonnes affaires, ils ont trouvé les plans du chef-d'œuvre architectural andalou dans une librairie d'occasion à Londres.
Ils n'avaient pas besoin de plus, ou pas tellement plus, seulement 1300 artisans talentueux travaillant d'arrache-pied pendant trois années complètes pour créer une réplique fidèle du palais de l'Alhambra sur un terrain de 4,6 ha au cœur de Palmeraie de Marrakech, La Palmeraie.
Au fur et à mesure que les années passent et que les plantes exceptionnelles du jardin mûrissent, le palais se fond dans la végétation. Ils sont devenus si complexes qu'on pourrait croire que le Palais est là depuis des siècles.
Il perpétue la richesse et les trésors de l'artisanat marocain, avec des Zéliges de Fès, des plafonds en bois de cèdre finement ciselés et le tout patiemment sculpté par des centaines de paires de mains habiles.
Le jardin a été créé avec le même soin affectueux.
Il abrite une merveilleuse roseraie ainsi que des allées de palmiers bordant des bassins d'agrément et de nombreuses fontaines en marbre. L'inspiration de ces jardins andalous se retrouvent dans les motifs géométriques ornant les allées, qui séparent la forêt de bambous, le jardin des orangers et le jardin des cactus. Tant d'ambiances différentes pour se détendre et profiter d'un véritable chef-d'œuvre dans tous les sens.
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Il a encore neigé dans la nuit, ce qui ne décourage pas Sonia et Yohan de faire une partie de ballon avant d'aller travailler, ou à l'école.
Au retour du travail, Sonia est félicité par son fils : elle a décroché le poste de chef de staff ! Et c'est reparti pour jouer au ballon, cette fois avec Virginie, sa collègue, qu'elle a invitée à la maison. Voir deux chefs de staff jouer au ballon ensemble, ça fait sourire... c'est sûrement pour se détendre après le stress du boulot.
Yohan leur vole la vedette en fin de journée pour son anniversaire. Quel joli garçon il est devenu ! Passionné de sport (bien sûr) mais aussi avide d'apprentissages en tous genres, il sera aspi connaissance.
Et moi je sais déjà qui sera sa petite amie... héhéhé.
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"Il m'a apporté de la légèreté dans certaines périodes dures, il m'a aussi appris à gérer ma colère et réguler mes émotions." Un apport bien maigre par rapport à ce qu'il te fait vivre, développé ?
Passif agressif cette question. Ma foi, j'avais pris le soin de spécifier que ce n'était pas l'objet de la précédente question d'où le fait que je n'ai pas développé mais je peux le faire. En vrac et sous forme de liste voici les raisons de pk mon mec n'est pas entièrement une odieuse personne dénuée de sentiments.
La légèreté: en effet cette année a été ce que l'on pourrait qualifier de virage à 180° supplément trafic dense et verglas. J'ai eu d'importants pb de santé et des grosses décisions à prendre (Cf période des masters). Là où j'ai aimé son côté léger c'est que pendant cette période, je n'avais pas envie de parler de ça, de mes angoisses et mon malaise, je voulais qu'absolument tout le monde me foute la paix avec les questions type "tu vas faire quoi l'année pro ?", "Et ça donne quoi les masters alors ?", "Roh une licence pour rien ?", "T'en as pas marre d'être tjrs malade ?", ect. Lui n'a jamais abordé ces questions car il savait que j'avais juste pas envie d'en parler et ça m'a fait du bien de rester dans une atmosphère safe dans le sens loin de tout ça. Ya des pb dont t'as besoin de parler pour aller mieux et d'autres dont tu veux absolument éviter de ne seulement que laisser une emprunte vocale dans l'univers. Peut-être que c'est aussi qu'il en avait rien à foutre mais peu importe la raison, le fait est que j'ai apprécié ne pas avoir à me justifier.
La tolérance: c'est quelqu'un qui aime pousser les autres dans le retranchement et qui ne connaît pas même ses propres limites pour certaines choses. J'ai appris à me détendre un peu, à rester tranquille avant de le démarrer. Il m'a appris, ou plutôt, il m'a permis de mettre en pratique le fait de réagir à froid et non plus à chaud. Au lieu d'exploser de colère à son égard direct, bien que ça ait été mérité, j'ai appris à exploser de colère de mon côté, me calmer et revenir vers lui avec l'esprit clair. Le meilleur exemple reste le jour où il m'a avoué sa tromperie, avant de l'agresser verbalement et me mettre en situation de difficulté où je serai reprochable, j'ai pris la décision de me calmer et revenir lui demander tranquillement de me raconter.
La confrontation avec moi: ma rupture précédente, il y a quelques années, m'a mise à terre. J'ai réussi à en tirer des leçons et à me sentir reconnaissante même de cet évènement. En effet, sans cette rupture, je n'aurais pas eu certains déclics. La vérité c'est que jusque là, c'était des mantras, je me disais "ok dans ma prochaine relation faut que je fasse ci, que je fasse ça", mais je n'avais jamais eu l'occasion de remettre en pratique. Savoir que la communication est la clef c'est bien, réussir à ne pas se braquer, à aller vers l'autre, à discuter sans frontalement reprocher et se mettre l'autre à dos en est une autre. Je découvre une réelle congruence entre comment je veux réagir et comment je réagis vraiment, c'est signe de travail. Et je dirais que ça l'aide, je lui donne les bons gestes, les bonnes réactions selon mes critères, il en fait ce qu'il veut. Si c'est perdu, ça ne sera jamais pour moi.
La rigueur: je pourrais me comporter comme une merde, aller revoir mon ex, me venger pour la tromperie, être franchement condescendante voire méchante. Pourtant, j'ai décidé d'être carré avec lui jusqu'à la fin pour lui montrer qu'une femme peut avoir une réelle bienveillance à son égard. Que tout n'est pas une question de calcul.
Les traumas: il en a, issu d'une famille éclatée par la tromperie, enfant du milieu jamais calculé et ex particulièrement toxique, il y a des choses à panser. Je ne me mets pas en position de sauveuse, je veux seulement dire que son passé impacte son présent et du coup son futur. La seule chose que je peux faire pour lui c'est être fidèle, lui donner de l'importance et lui faire comprendre que le relationnel, les relations sentimentales ne sont pas une vaste compétition de qui brisera l'autre en premier, de qui insérera ses doigts plein de sel dans les plaies de l'autre en premier. Et je le sens plus ouvert, il fait un travail sur lui. C'est pas avec moi qui sera la meilleure version de lui même mais avec la prochaine, autant essayer de lui redonner une vision claire des choses et une balance correcte. Rien n'est binaire en ce qui concerne les émotions.
Le sexe: il m'a permis d'ouvrir mon regard sur le sexe en se montrant particulièrement safe, non jugeant, et dans le moment. Il fait très bien l'amour, ça me permet de dire qu'il n'est pas profondément teubé non plus. Il sait écouter, enregistrer et appliquer. Bizarrement, je me suis rarement autant régalée qu'avec lui car bien qu'il ait des failles à ce niveau là, il fait preuve d'une étonnante douceur et bienveillance. Je n'ai jamais reçu une remarque reevant de près ou de loin du body shame de sa part, pourtant il y aurait matière (mutilation, peau acnéique, vitiligo dans le dos, ectt). Il a tjrs été très rassurant en ce qui concerne les règles, les poils, le corps. C'est normal oui, mais les normes ont changé, c'est donc rare et donc à souligner.
Les petites attentions: bien qu'il en loupe des évidentes (Cf arriver 20 min en retard à la gare et me laisser croupir sous la flotte), il est capable de faire des petites attentions (m'apporter un redbull, me complimenter, retenir un truc qui m'a plu ect).
Naturel: Il est nature peinture et c'est appréciable, il a désacralisé -sans se rendre compte- le rôle de la meuf qui doit être parfaite, fifille, pudique, qui fait pas caca. Il me permet d'être dans une certaine mesure moi. Il n'y a qu'avec ce mec que j'ai pu aller faire des randos à 3h du mats, aller voir des couchers de soleil, instaurer une baignade par mois, ect. J'ai tjrs été une meuf qui aime bien la nature, les trucs atypiques et lui aussi, donc c'est agréable.
bonus: j'ai un toc qui consiste à m'arracher frénétiquement la peau autour de mes ongles sans même m'en rendre compte ou encore à bouger sans cesse mes jambes même quand je pionce, bah du plus loin que je me souvienne avec lui, il a tjrs pris mes doigts ou mis ses jambes sur les miennes pour que j'arrête et ça signifie bcp pour moi
Je m'arrête là, j'ai pas écrit tout ça pour le protéger, faire changer d'avis ou encore le faire mieux paraître. Juste, je liste ce qu'il fait de bien ou provoque de bien. Il faut dire quand c'est de la merde mais aussi quand c'est bien. Donc à bon entendeur, perso, je prends pas de parti, c'est quelqu'un de bien mais un peu immature
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CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le véhicule est à l’arrêt. À l’extérieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourées de béton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc… Ils ne se doutent pas. Et pourtant… Même une journée aussi ensoleillée, aussi tranquillement nonchalante, peut être le cadre rêvé d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nécessairement lui arriver quelque chose de pas très sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappé. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arrière. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de même envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligoté ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il déteste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passé par là ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marché ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrêtés par un passage à niveau. Long train de marchandise, puis la campagne.
2. On est arrivés à l’entrepôt. Gégé remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulé. La Perceuse étale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignés sur la table dépliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censé pincer, qu’est-ce que c’est censé couper, où est-ce que c’est censé s’introduire… Maurice attend que les instructions arrivent sur le téléphone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue à un jeu vidéo ; ce genre de modèle tout en plastique bipe pour un rien. Gégé et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, à qui prétend mieux faire, entre la méthode dite technologique et la méthode dite artisanale. Gégé dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rétorque qu’il a encore ramené une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrôle, qu’il sait doser… L’ambiance est plutôt bon enfant. Sur la banquette arrière, je crois que l’otage récite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider à garder son calme… Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment réagit l’otage. Il se tait, il écoute… Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ?
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyé chercher le toubib à cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle… Mais pas mécontent de ne pas pouvoir assister au travail à cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire… Je suis la route champêtre avec la fenêtre ouverte, en écoutant un CD pour me détendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice à côté de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maïs par ici ? Et du colza. Je débouche sur une parcelle de forêt. Je longe la rivière. Des nuées de moineaux à la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend déjà avec sa mallette, derrière le portail. C’est un médecin à la retraite. Cela se voit. Ça démarche est tout aussi disloquée que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents… Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinqué, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine monté, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas.
4. Big R était planqué chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-même. Ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois être mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais même pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes… Je sens que je suis en train de nourrir la forêt. Moi, le chauffeur, me voilà complètement étranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de même, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment…
5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tête, et il s’inquiète pour ses deux fils, forcément eux aussi traumatisés par leur découverte dominicale… Thierry répète : ils étaient là, en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si Inès va chercher à lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte… On lui fait signer sa déposition, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air déphasé, mais calme. Thierry a la gorge serrée. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il réalise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
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7 novembre : virages serrés
Séance avec Queen ce mardi. Elle était au box, ouf, pas besoin d’aller patauger dans la boue ! Elle bougeait un peu au pansage, pas agressive, mais elle n’avait pas l’air à l’aise.
On a travaillé dans un coin du manège, le nombre d’espaces de travail étant passé de 4 à 2, puisque le petit manège n’est plus (en attendant sa reconstruction) et que la nouvelle grande carrière n’est pas éclairée.
Détente tranquille au pas et au trot, en essayant de ne pas trop faire voler la poussière. Se retrouver dans 20x30 m après avoir eu tout l’espace de la grande carrière, ça fait bizarre. J’ai moins retrouvé le problème de la jument qui se tord vers la droite cette fois, mais par contre on tournait un peu comme un bateau.
On a travaillé sur le dispositif ci-dessus avec des barres au sol, d’abord au pas, puis au trot, puis au galop.
Au pas, le plus dur est de maintenir l’allure pour avoir un vrai pas actif et engagé. Au trot, il y a la même problématique, mais aussi l’incurvation commence à faire visiblement défaut. Certaines courbes sont un peu serrées. Mais tant que le mouvement en avant n’est pas là, c’est difficile de demander l’incurvation. Donc, des jambes ! Et maintenir le contact, pas de rênes flottantes.
Enfin au galop. Point positif : Queen est partie au galop alors que j’avais à peine placé mes aides, c’est comme si elle avait lu mes pensées. Elle est petite et agile et les tournants serrés ne sont pas vraiment un problème. Point négatif : c’est un galop un peu désordonné, voire même chaotique, et les transitions au trot pour changer de pied sont difficiles. Visiblement, galoper à faux à fond les ballons, ça ne la dérangerait pas tellement. Premier passage vraiment moche, et pour la suite, j’ai décidé de bien m’asseoir dans ma selle et de penser à mes transitions. Pour le dernier départ au galop après la barre n° 5, j’aurais voulu en profiter pour galoper et me détendre, mais j’ai l’impression qu’on était systématiquement à faux et ça partait un peu dans tous les sens.
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L’enjeu du yoga
« L’enjeu du yoga n’est pas de tenir une position en contractant son corps, mais au contraire de détendre certains muscles alors que d’autres travaillent. Il s’agit de trouver ce dont nous avons besoin réellement.
Le yoga et le chant sont 2 manières très concrètes d’apprendre son propre corps, ses forces, ses limites et son potentiel.
Ils permettent de se replacer dans le réel. Au quotidien, on utilise naturellement le toucher, l’odorat, le goût, l’ouie ou encore la vue pour ressentir les choses.
Le yoga et le chant relient toutes ces sensations.
Alors que nos 5 principaux sens ne font qu’absorber la réalité, le yoga et le chant offrent autant qu’ils absorbent.
Il y a un véritable mouvement dans cet échange, un mouvement qui se propage par sphères, et ne se contente pas d’un simple aller-retour. Leurs énergies sont pareilles à un boomerang qui ne cesse de tourbilloner qui repart dés lors qu’il a rejoint son point de départ.
Par le corps - le yoga et le chant – on peut calmer l’esprit. »
Sidi Larbi Cherkaoui, danseur et chorégraphe belge, « Pélerinage sur soi », p32.
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🎵Step by Step🎵 (Et s’il se trouve des amateurs de CDZ Abridged par ici, ils auront surement chantonné ce titre dans leur tête)
Pour une fois je ne suis pas à la bourre ! \o/
Ce n’est pas parfait et niveau texture on y est pas du tout, mais que les puristes me pardonnent ou aillent voir ailleurs si c’est au dessus de leurs forces : ce n’était pas l’objectif poursuivi.
Voici un petit exercice d’auto discipline ayant pour but la création d’un “process” de dessin.
Warning ! Petit pavé en approche ⬇
Quand j’étais jeune (et mal informée), je me figurais que le dessin et la peinture étaient le résultat d’une inspiration tombée du ciel et de barbouillages heureux.
Ah. Ah. Ah. Que de temps bêtement perdu.
Ensuite, petit à petit, et à force d’être abreuvée de tutos hors sols sur youtube (à l’époque des tutos hors sols, j’entend, distillés par des artistes dont on sentait à l’époque qu’ils-voulaient-bien-donner-une astuce-ou-deux-mais-sans-prendre-le-risque-de-voir-fleurir-la-concurrence-faut-pas-déconner-non-plus) j’ai compris qu’il y avait un truc quelque part. Et certains de ces artistes, parmi les plus généreux et les plus honnêtes en conseils, parlaient de leur “process” de création.
Bien évidemment quand j’ai vu ça, j’ai testé mille et une sauces pour assaisonner mon bordel et lui donner plus de gueule et de consistance.
Et devinez quoi ? Ben ça ne m’a pas avancé à grand chose.
Et pourquoi ?
1 - Encore une fois je testais des conseils trouvés sur internet sans comprendre comment et pourquoi les appliquer
2 - Je n’ai aucune patience
Et la patience et la compréhension ce ne sont pas des choses que l’on trouve au fond d’un paquet de lessive.
Pour comprendre pourquoi on fait les choses d’une façon et pas au petit bonheur la chance, il faut commencer par réaliser une chose sur la vie : le talent à l’état brut ça n’existe pas. Le talent c’est ce qui arrive éventuellement quand on arrive déjà à un certain stade de son travail, quel qu’il soit. Le talent c’est avant tout le résultat d’un travail.
Le jour où j’ai compris ça, j’ai commencé à vraiment progresser, parce que c’est le jour où j’ai commencé à remettre en question tout ce que je croyais savoir, à arrêter de comparer mon travail à celui des autres et surtout : à remplacer mes croyances par des fondamentaux.
Tout s’est alors mis en place, et j’ai même gagné en patience, parce que plus j’apprenais, plus je comprenais l’utilité de petits trucs tels que “prendre son temps”, “bien regarder”, “étudier”, et plus fort encore : “s’amuser”. (Parce que oui : il est possible de s’amuser en apprenant, si si)
Mes dessins ne sont toujours pas parfaits et me connaissant ils ne le seront jamais. Je suis la plus intraitable de mes critiques, au point que je dois parfois m’auto piéger pour voir mes dessins par surprise et avoir un peu de recul sur mon travail. (Oui, je suis grave). Je me laisse encore régulièrement avoir par mon impatience et mon perfectionnisme (quand les deux se rencontrent en général ça fait des étincelles et pas dans le bon sens), mais quand ça arrive je finis invariablement par me rendre compte que je n’arriverais à rien avec un tel état d’esprit pressé et exigeant.
Le dessin doit être un plaisir, pas une souffrance. En ce qui me concerne en tout cas, je vois le dessin comme ce qui devrait toujours être un moyen de me détendre, une façon d’épurer un peu mon quotidien du poids du stress ou de la routine. Pas une source de frustration supplémentaire.
Et moi pour ne pas être frustrée, aussi paradoxal que ça puisse paraître, j’ai besoin d’apprendre et de comprendre. Et j’ai besoin de progresser. Doucement, en laissant sur le côté du chemin cette intraitable peau de vache perfectionniste qui, de toute façon, ne fait jamais rien d’autre que me ralentir.
o/
Entre parenthèses, je remercie tous les artistes passionnés et amoureux de l’idée de vraiment transmettre leur passion. J’ai collectionné les livres, les tutos et les astuces au fil de ma vie parce que je ne pouvais pas avoir accès à de véritables cours. Mais ce sont des artistes et youtubers que j’ai découvert il y a une toute petite poignée d’années de ça qui m’ont permis d’avoir enfin le déclic dont j’avais besoin pour avancer. Ceux-là n'ont pas été avares de vrais conseils et m’ont permis de sortir de cette croyance qu’ont beaucoup de gens selon laquelle l’art serait une chose innée pour laquelle on serait ou pas doué.
Ils m’ont inspirés et transmis leur énergie et grâce à eux j’ai enfin pu évoluer et me sentir progressivement de plus en plus à l’aise avec mon travail.
Et c’est pourquoi je me permet le conseil suivant :
Si vous vous sentez perdus dans votre recherche de maîtres et de professeurs : choisissez ceux qui vous motivent à vous dépasser et à empoigner votre crayon. Les conseils de type “comment rajouter du bling bling” ne remplaceront jamais la curiosité, une solide motivation et de bons fondamentaux.
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23 juin
on est vendredi soir il est onze heures et demi et je suis au lit, j’ai pas passé la soirée à flirter avec des filles et en plus de ça j’ai payé dix euros pour voir une pièce de théâtre d’étudiants en deuxième année d’école de théâtre en allemand alors que c’était le premier soir du festival 48h neukölln avec des perf gratuites un peu partout dans le quartier, mais, point positif, pendant la pièce j’ai réussi à prendre un peu de hauteur sur cette histoire de r. peut être parce que j’étais assise sur des gradins, comme si je regardais ma propre vie se jouer sur scène en bas. la personnage principale était jouée par une fille qui ressemblait à adèle exarchopoulos en plus joufflue et moins maquillée et on la traitait de sorcière parce qu’elle ramassait des champignons au lieu de coucher avec des garçons et qu’elle vivait seule dans la forêt avec son père. dans une des scènes elle arrive pas à se détendre quand le mec qu’elle aime bien essaie de coucher avec elle et l’acteur qui le jouait était là assis sur le bord du lit en caleçon avec les jambes écartées avec sa barbe et son crâne chauve et je sais pas pourquoi mais ça m’a permis de prendre de la hauteur sur r. j’avais l’impression qu’il avait moins d’emprise sur moi. à la fin de la pièce la fille qui ressemblait à adèle exarchopoulos se rend compte que son crush s’est foutu d’elle et elle finit toute seule sur scène avec un fusil à la main et les larmes aux yeux sur crazy de patsy cline et ça m’a un peu bouleversée. elle jouait vraiment bien en plus.
j’ai mi flirté avec un mec par contre après la pièce, absolument pas sérieusement parce que ew il avait quarante ans et il était marié, mais c’est lui qui était flirty alors ça m’a incitée à être flirty en retour parce que tout entraînement est bon à prendre. c’était un peu fatigant mais agréable. c’est un jeu. je joue pas assez. j’ai envie de plus mentir aussi. pas avec r., je l’aime trop pour ça, mais avec des gens comme le mec de ce soir par exemple. je lui ai dit que j’étais écrivaine et il a demandé ce que j’écrivais et puis il m’a demandé si j’écrivais des chansons aussi et j’ai dit oui et il m’a dit qu’il essayait d’écrire des chansons depuis un moment mais qu’il avait du mal et qu’il avait besoin d’aide et il a dit qu’il me paierait bien sûr et puis il a pris mon numéro pour qu’on travaille ensemble and just like that i became a songwriter. j’ai trouvé ça hilarant. et ça m’a donné très envie de mentir la prochaine fois qu’on me demandera ce que je fais. là c’était pas vraiment un mensonge puisque ce matin à sept heures, allongée sur mon troisième lit de la nuit sans réussir à me rendormir, après avoir été réveillée par la coloc de n. qui venait faire son café dans la cuisine alors que je dormais sur le canapé depuis le milieu de la nuit pour échapper aux ronflements de n., j’ai commencé à chercher des paroles pour finir ma chanson. quand n. est revenue il lui a dit she writes songs! et elle a dit i know! et c’était un moment très cool.
24 juin
je me suis levée à 11h24 allo je répète je me suis levée à 11h24 je pensais pas que ça m’arriverait un jour de nouveau et j’ai toujours pas fait pipi parce que n. se douche et je crois que je pourrai jamais vivre en coloc. même si elle paie 350 euros par mois. j’arrivais pas à y croire. jeudi matin elle m’a trouvé une annonce de job de vendeuse dans une petite librairie indépendante et j’ai immédiatement envisagé de rediriger mes plans de déménagement vers berlin, mais je sais pas si j’y survivrais. on a passé la matinée à petit-déjeuner en discutant dans la cuisine comme si on s’était jamais quittées alors qu’on s’est vues une semaine y a quatre ans et c’est tout. on s’est promenées le long du canal et je lui ai raconté mon chagrin d’amour assise sous un arbre au bord de l’eau en regardant des objets divers et variés portés par le courant passer devant nous et elle m’a parlé de ses deux crush du moment plus ou moins indisponibles et ça m’a fait beaucoup de bien.
26 juin
encore étalée sur un lit avec des draps blancs avec la fenêtre grande ouverte parce qu’il fait trop chaud pour sortir et aussi j’ai la flemme. n. est partie à l’école et j’avais un peu peur de me retrouver seule avec mes pensées mais ça va beaucoup mieux aujourd’hui. samedi soir j’ai écouté les sept messages vocaux que r. m’avait envoyés pendant qu’on arpentait les rues brûlantes de neukölln, j’ai du demander à n. de me serrer la main très fort et évidemment j’y ai pensé tout l’après-midi mais je voulais pas les écouter de peur de me gâcher la journée. sur un bateau amarré au bord du canal dans un parc j’ai brodé LOVE ME sur une taie d’oreiller avec de la laine rose et vert fluo comme une incantation, ou une prière à l’univers, je sais pas pourquoi ses sept messages vocaux m’ont fait penser que j’avais encore une chance, alors que bon tous les signes pointaient dans la direction opposée, mais comme il le dit dans un de ses messages, quand on est “dans cette énergie crush” on voit des signes partout. je les ai écoutés à minuit allongée sur le lit à côté de n. avec le visage enfoncé dans mon coussin. je veux même pas penser au gouffre noir dans lequel j’aurais sombré si j’avais été seule. n. m’a sauvé la vie. j’avais le coeur lourd et tout ça mais au moins il pendait pas dans le vide, j’avais un truc auquel me raccrocher, j’étais pas seule avec ma lourdeur. ça change la vie d’avoir des ami.es. et je viens de m’en faire un de plus, c’est pas fantastique? r. mon ami. bon r., maintenant que tu es mon ami, tu peux m’aider à me trouver une copine stp?
dans ses messages il dit qu’il est “pour qu’on continue à échanger” mais qu’il comprend si c’est trop pénible pour moi à cause d’une “trop grande non réciprocité des sentiments” et j’ai vraiment très envie de lui répondre ok r. soyons amis et pour que ce soit moins pénible pour moi et que je me remette plus vite de mon coeur brisé tu pourrais m’aider à me trouver une copine? n. trouve que c’est drôle. mais en même temps, j’espère que c’est juste temporaire parce que je suis encore toute occupée par r. mais toutes les filles que j’ai croisées hier me donnaient pas du tout envie. même le couple de butch qui s’embrassaient sur la terrasse de la pizzeria hier soir, zéro frisson, zéro rien, alors qu’en temps normal ça m’aurait rendue folle, et ça m’inquiète un peu.
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Eté 1897 - Champs-les-Sims
5/7
J’étais au village quand les premières douleurs ont pris Marie. Le temps que je termine mes affaires et qu’on vienne me chercher, le travail était déjà bien avancé et ma grand-mère m’empêchait de rentrer dans la chambre. Je pense avoir rarement connu une telle angoisse.
Transcription :
Marie : Oh, comment se fait-il que cela fasse si mal.
Eugénie : Voyons, vous connaissez bien la réponse. Votre mère aurait-elle négligé votre éducation religieuse ? “J’augmenterai la douleur de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...”
Marie : “...et ton mari dominera sur toi”, oui oui, je sais tout ça ! Figurez vous que cela ne m’aide pas beaucoup.
Eugénie : Seigneur... si vous connaissez la réponse, pourquoi posez vous la question ?
Marie : Aah...
Eugénie : Tâchez donc de respirer et détendez vous. Vous tendre ainsi ne fera qu’augmenter la douleur que vous ressentez et rendra le passage de l’enfant d’autant plus pénible.
Marie : Je ne pense pas réussir à me détendre pour le moment. Je vais marcher encore un peu.
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