#schnock
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Interview Bernie Bonvoisin (Déc. 2023)
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📣 le dernier numéro de SCHNOCK La revue des Vieux de 27 à 87 ans N°46 spécial Michel Drucker vient d’arriver ! Il est disponible au rayon Cinéma de la @librairie_mollat @latengoeditions #micheldrucker #schnock #librairie #mollat #bordeaux (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/Cp2LOVCj-KX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Je sens que cet enterrement va être une pure soirée 🤟💖💥
(où on fait oheho oh oh oheho)
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The singular good photo I have of him
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Tipp: Ausstellung 'Horizonte' mit Sonja Kalb
3.11. – 30.11.2024 Galerie Heidefeld, Krefeld Mit der Ausstellung „Horizonte“ ins Jubiläum: 30 Jahre Galerie Heidefeld & Partner Schon seit Jahren verfolge ich den künstlerischen Werdegang von Sonja Kalb. Ihre Werke waren und sind für mich immer mystisch und doch kraftvoll, bunt, lebendig und voller Natur. Deswegen möchte ich herzlich gerne auf diese Ausstellung hinweisen, in der ebenfalls…
#Andreas Lutherer#Ausstellung#Bertamaria Reetz#Carola Paschold#Conrad Sevens#Eva M. Mathes#Exhibition#Galerie Heidefeld#Herbert Zangs#Jürgern Reiners#Klaus Schnocks-Meusen#Krefeld#Kunst#Kunstausstellung#Manuela Mordhorst#Michael Vogt#sonja kalb#Sophie Voigt Chadeyron#Viktor Nono#Werner Pillig
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 52 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes:
Today's naming incidents: Ranpo calling Kenji "Kenzi", the government guys calling the ADA "l'Agence des détectives privés" (the Private Detective Agency)
Today's quote:
Ranpo: Espèce de vieux schnock! (Old fart!) Fukuchi: Hé bien vieux toi-même d'abord! (Well then you're the one who's old!)[<-extremely childish comeback ] ENG subs: You are middle-aged, though. // I'm still young!
#i would like to thank all 10 of you taking turns still liking these#thank you for not letting me scream alone to the void kjshdkjashd#at this point i'm seeing this endeavour to the end no matter what but i appreciate your polite clapping 🫶#bsdrewatch2023#bsd french dub adventures#bsd#apparently i talk sometimes
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La lettre V
Vadrouille
Balais à frange
Valise
-> Coffre arrière d'une voiture
-> Personne crédule, facile à duper
Varger
Frapper à grands coups répétés sur quelqu’un ou sur quelque chose
Varloper
Maltraiter ou malmener fortement
Varnousser
S'occuper à faire plusieurs petites choses sans envergure pendant une bonne période de temps.
Vente (en)
En solde
Vidanges
-> Déchets, ordures ménagères, poubelle
-> Insulte, se dit d’une mauvaise personne. 🦘
Vidangeur
Éboueur
Visou
Avoir une habileté à viser, à tirer juste
Vlimeux
Personne qui agit par des moyens détournés pour en tromper une autre et, par extension et atténuation, personne espiègle ou malicieuse. Note : Ce terme a aujourd'hui généralement une valeur plaisante ou gentille, et est souvent utilisé comme apostrophe à l'adresse des enfants.
Un bel exemple ici dans cette chanson de La Bolduc de l’utilisation du mot « vlimeux » autour d’une bonne turlutte 🤣.
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Expressions
(spécial "virer")
Viré à l’envers
Être bouleversé, être ému, être perturbé
Virer dans le beurre / Virer d'sour
Tourner à vide, avancer sans rouler, tourner sans obtenir de traction.
Virer de bord
Changer de direction
Virer de bord (me)
( à utiliser avec un pronom personnel) Se relever d'une épreuve difficile, reprendre le dessus.
Virer son capot de bord
Changer d'idées, d'opinons ou de croyances.
Virer sur un dix cents
Réagir avec rapidité, s'adapter promptement
Virer une brosse
Boire de l'alcool avec excès (par exemple à l'anniversaire de Clémence), se saouler. Une cuite.
*********
Il y a aussi:
Vieux schnock / Vieille picouille
Aîné(e) déplaisant(e) et détestable
Veux, veux pas
Que tu le veuilles ou non. Employé lorsque t'as pas le choix ou par quelqu'un de résigné et de déterminé
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Note
Omg 💥anon, me too! 🙏
But for me, it more reminds me of what I was into when I was a teenager (and I don’t wanna go back *shudders*)
Like legit, I have a note from when I was like 16 that describes essentially 2019 schlatt but with fluffier hair and he’s a protestant instead of a catholic (I was raised in a conservative evangelical family 🤮)
~🍓🍰
bro got the knock off schlatt, schnock off if you will
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Nanu/Archer WIP [French]
Pour me motiver et m'encourager à continuer, je poste le début de ma fic Nanu/Archer. L'idée de cette fic est venue d'une discussion avec @istadris. Je sais que je devrais aussi finir "Quand l'espion se met à table" et aussi plein d'autres fics en cours T^T.
Enfin bref, enjoy ! (2430 mots pour l'instant)
/!\ Attention au langage, Nanu n'a pas envie d'utiliser un vocabulaire des plus soutenus :P /!\
C'était un pari stupide, il était trop vieux pour ce genre de conneries, pensa Nanu. C'était venu dans la conversation, comme un genre de défi, de bravade, pour titiller l'autre et le pousser dans ses retranchements. Et évidemment, impossible de se débiner. Plutôt crever, même. Nanu se sentait bien contrarié de la tâche imposée, la seule chose qui le consolait, c'était la propre tâche qu'il avait assigné à Giovanni. Ce n'aurait pas été drôle si la balance ne penchait que d'un seul côté, après tout.
Cela n'empêchait pas Nanu de fulminer. La tâche pouvait sembler simple. Archer. Ce chien dévoué à son maître. Giovanni lui proposait de le dévoyer. Oh, c'était effectivement tentant. Mais il sentait que la tâche serait ardue. Le chiot avait des crocs. Et une fidélité sans faille à Giovanni qu'il idolâtrait tel un dieu, ou presque. De plus, il ne fallait pas se fier à son visage glabre, presque poupin. Il était plus âgé et plus retors qu'il en avait l'air, après tout, il n'était pas le numéro 2 de la Team Rocket pour rien. Le laisser s'égarer entre ses bras, lui faire abandonner volontairement, ne serait-ce qu'un instant, sa dévotion à Giovanni... Là, la tâche sera compliquée. Giovanni le savait lorsqu'il avait avancé le nom d'Archer, avec un petit sourire satisfait.
Nanu tourna et retourna dans tous les sens les informations qu'il possédait déjà sur le type en question. Il lui fallait trouver un angle d'attaque. Quelque chose qui ferait chanceler l'esprit d'Archer et lui permettrait de glisser la possibilité d'essayer autre chose. Lui annoncer simplement que c'était la volonté de son maître ne suffirait pas, il trouverait la chose beaucoup trop absurde. Si on lui demandait son avis, Nanu retoquerait aussi qu'il trouvait ça débile et absurde. Que se satisferait-il de ce roquet alors qu'il avait Giovanni, tout en charisme et puissance ? Et comment pousser ce jouvenceau dans les draps d'un vieux schnock tel que lui ?
Il hocha la tête tout à ses pensées. Il ne voulait pas le contraindre. Archer devait se livrer de lui même. Sinon cela ne compterait pas. Le vieux flic se gratta la commissure des lèvres, pensivement. Il fallait utiliser l'évocation de Giovanni pour appâter Archer. Lui donner envie de toucher au jouet favori de son maître. Lui montrer la différence de niveau entre eux deux. Nanu eut un petit rictus amusé à cette pensée. C'était décidé, il allait s'en occuper le plus rapidement possible, se débarrasser de cette tâche encombrante. Il prouverait ainsi à Giovanni que ce n'était pas grand chose, alors que le flic était certain que ce dernier galérerait avec celle qui lui avait assigné.
•••
Quelques jours plus tard, à une heure tardive de la soirée, on pouvait retrouver Nanu se faufiler habilement à travers les couloirs d'un QG de la Team Rocket, évitant les caméras de sécurité et les gardes postés ici et là, avec la facilité d'un gars qui connaît les lieux comme le fond de sa poche. Ce n'était pas ardu pour lui d'exploiter et de contourner les failles du système de sécurité. Comme si elles étaient présentes pour qu'il puisse se promener en ces lieux à sa guise, ou presque...
Il lui fallut peu de temps avant d'arriver devant la porte du bureau d'Archer. Nanu sortit une carte magnétique de sa poche et déverrouilla sans peine la porte de la pièce. Il eut une petite moue déçue. C'était trop facile. Ça ruinait l'ambiance et son humeur, quasiment. Le vieux flic se glissa silencieusement dans le bureau à peine éclairé par les écrans imposants de l'ordinateur sur lequel Archer travaillait. Ce dernier semblait absorbé dans son travail.
A pas de velours, Nanu s'approcha du jeune homme de dos, jusqu'à lui poser la main sur l'épaule. Archer ne sursauta pas. A la place, la pointe d'un couteau vint l'accueillir, prête à se planter dans la main de l'importun. Nanu ricana. Okay, Archer marquait un point là. Il appréciait la petite menace en guise de bienvenue. Giovanni avait bien dressé son toutou, il semblerait. Le regard bleu acier d'Archer se reflétait dans les écrans de contrôle de l'ordinateur. On ne pouvait y déceler qu'un léger agacement. Nanu se sentit un peu piqué dans son orgueil. Quoi, sa venue pour jouer les troubles-fête n'était plus qu'une vague incommodité pour la Team Rocket ?
Nanu n'eut pas loisir de s'exprimer à ce sujet que déjà, Archer rangeait son surin et demanda, d'un ton un brin las, sans même se retourner, que lui valait l'honneur de cette visite tardive. Nanu ne put s'empêcher de lâcher un soupir. Il regrettait déjà d'être là. Il n'était plus aussi sûr de son plan maintenant qu'il se trouvait là et qu'Archer en plus de ça, avait un peu ruiné son effet de surprise.
« C'était toi que je venais voir. », annonça finalement Nanu.
Archer haussa un sourcil. Dans le reflet de l'écran, Nanu pouvait voir toute l'exaspération du jeune homme. Il pouvait même entendre les pensées d'Archer qui certainement vociféraient dans son petit crâne un truc du genre « Mais pourquoi il vient me faire chier ce type ??? ».
Archer se contenta de répondre un simple « Et... ? », l'invitant sans aucun enthousiasme à poursuivre. Nanu appuya fermement sur l'épaule d'Archer, peut-être inconsciemment dans l'intention de le faire un peu plus réagir que ça. Il se sentait un peu nerveux. Cela ne lui ressemblait pas du tout. Ce défi ne devait être qu'une formalité. Il baisait Archer et rentrait au bercail. Un truc simple. Normalement.
« En fait, ton cas m'intéresse. Jeune et presque à la tête de la Team Rocket. Tu as la confiance de Giovanni. Alors que du lait sortirait presque encore de tes narines si je les pressais. », finit-il par articuler.
Archer soupira en se massant les tempes. Puis pivota son siège pour enfin faire face à son interlocuteur.
« Tout ce chemin pour venir me dire ça. Magnifique. » dit-il, la bouche pincée d'exaspération contenue.
Soit Archer n'arrivait pas (plus?) à le prendre pour une réelle menace, soit il jouait vraiment bien son rôle. Dans tous les cas, ça lui déplaisait. Et Nanu devait faire quelque chose pour reprendre la main. Quitte à désarçonner Archer avec une vérité crue, nue.
« Tout ce chemin pour baiser ton petit cul, plutôt. J'voulais être plus subtil, mais tu me forces la main, là, gamin. »
Oh, quel regard mauvais dans les yeux d'Archer ! Nanu se délectait d'avoir marqué une touche et de reprendre un petit avantage. Maintenant, le tout était de l'intéresser à la chose et de l'amener à la faute.
Nanu continua sur sa lancée.
« Sérieusement, à part ton joli minois, je me demande ce que Giovanni te trouve. Tu es un chiot aux dents émoussées qui s'aplatit devant son maître à chaque instant. Jamais pu te trouver plus de personnalité qu'une carpette. Alors je me suis dit que sans doute tu suçais bien ou un truc du genre, tu vois... »
La lame du couteau vola, rapide et silencieuse, pour faire taire le vieux flic. Il eut à peine le temps de voir le mouvement d'Archer et ne se décala par instinct qu'au dernier instant, sentant le métal lui frôler une mèche de cheveux le long de sa tempe. Nanu ricana devant le regard noir que lui lançait Archer.
« Doucement, je vais finir par t'apprécier sinon... »
Archer expira longuement. Il rajusta ses manches, comme pour se redonner contenance et effacer toute trace de la vive émotion qui l'avait traversé peu auparavant. Puis il refit pivoter son siège pour faire à nouveau face à ses écrans, prêt à continuer son travail, tournant délibérément le dos à Nanu. Ce dernier sembla l'espace d'une seconde soufflé par l'audace d'Archer. A moins que ça ne soit de l'inconscience pure et dure ?
Non... Archer avait son côté fourbe et roublard. Il n'aurait pas si bien prospéré au sein de la Team Rocket sinon. Et puis lui aussi, malgré son apparence jeune et lisse, prenait de l'âge et de l'expérience. Nanu esquissa un sourire en coin : Archer lui rappelait presque ses jeunes années en fait. Il était arrogant et ambitieux à l'époque, lui aussi. Il usait et abusait de moyens peu recommandables pour arriver à ses fins au sein d'Interpol...
« Fais pas semblant de bosser. Je sais que tu me z'yeute du coin du regard. »
Il avait voulu ajouter « Tu sais que je suis un type dangereux » mais ça coulait de source. Giovanni ne s'entourait pas de jouets inoffensifs. L'ambition et la volonté de plaire à Giovanni pouvait rendre Archer extrêmement menaçant, Nanu le savait et l'avait déjà expérimenté. Que ne ferait-il pas pour l'approbation de son Boss ?
« Difficile de se concentrer quand il y a un tel pitre dans la pièce, je l'avoue. » finit-il par répondre à Nanu. Après une courte pause, il ajouta : « Sérieusement. Pourquoi cette visite ? Devons-nous couvrir une débâcle d'Interpol ? Un souci avec une de vos mouches? »
Nanu trouva les questions d'Archer sensées, mais il était tellement loin du compte. Il l'avait pourtant énoncé clairement. Il était là pour le baiser et lui faire aimer ça.
« Tu m'écoutes pas ou tu le fais exprès ? J't'ai déjà dit pourquoi j'étais là. Faut que je te fasse un dessin? »
Il voyait dans le reflet de l'écran le jeune homme se masser le front et l'arrête du nez, comme si les projets de Nanu lui donnaient mal à la tête. Nanu pouvait presque l'entendre supplier Arceus et lui demander qu'est-ce qu'il lui avait fait pour mériter ça. Cela se lisait sur le visage d'Archer. Après une longue minute, ce dernier finit par poser une question.
« Dans l'optique que cela soit le réel motif de cette visite... Pourquoi ? Qu'est-ce que cela vous apportera ? »
Nanu se passa par réflexe la main sur la nuque, son regard oscillant du sol au plafond. Il avait commencé par cracher le morceau, mais une partie de lui hésitait encore à tout déballer. Peut-être parce qu'énoncé platement, ça sonnait d'une stupidité extrême. Et d'une puérilité indigne du Boss de la Team Rocket et d'un ancien officier d'Interpol, sans doute. Un pari. Bon sang, qu'il se sentait très con, là, à cet instant. Il vit Archer hausser un sourcil, comme intrigué par la mine un peu décontenancée qu'il devait afficher.
Nanu soupira longuement, fatigué soudainement par la tournure que prenait les choses. Il était décidément trop vieux pour ce genre de conneries. Mais comme il avait opté pour lui dire la vérité, dans toute sa crudité, il ne pouvait pas faire marche arrière.
« Bah... J'aurai gagné mon pari. »
Le silence et le ronronnement des ordinateurs lui répondit. Nanu ricana. Au moins la révélation avait fait son petit effet. Et à voir le reflet du visage d'Archer dans l'écran, Nanu pouvait imaginer ce qui se passait à l'intérieur de son crâne, à triturer ces informations pour en déceler le vrai du faux, et décider si son précieux patron pouvait vraiment être à l'origine de ceci.
« Je sais que c'est compliqué pour toi d'imaginer que ton Boss puisse faire des pari sur ta belle petite gueule, mais voilà, le fait est là. »
« Si tout ce que vous me racontez est vrai, pourquoi accepterais-je ? Après tout, si je marche dans votre combine, cela ne ferait que perdre le Boss. », rétorqua t-il levant les yeux au ciel, comme si Nanu avait dit la chose la plus stupide du monde.
Nanu ferma les yeux, et expira une longue bouffée d'air dans un sourire crispé. Décidément, Archer n'était qu'un chien loyal à son maître et rien d'autre. Il était désespéré pour la moindre parole d'approbation de Giovanni. Il imaginait Archer se galvauder intérieurement d'être un défi impossible pour Nanu, choisi judicieusement par son Boss pour sa fidélité ultime à sa personne. Ce qui n'était pas faux, Nanu ne le niait pas. Mais il espérait retourner la situation à son avantage. Les coups bas, bien tordus, c'était plutôt son truc, après tout.
Il fallait juste qu'il trouve la formule qui ferait mouche.
Nanu s'humecta les lèvres, cherchant ses mots pour amorcer Archer. Si tout se passait comme prévu, le jeune homme allait finir par adhérer à son raisonnement, il allait se le taper, et il pourrait balancer ça dans les dents de Giovanni qui s'imagine la fidélité absolue de son toutou. Oh, qu'il se ferait plaisir à utiliser cette fidélité à tort et à travers !
« Non mais si j'avais un espoir de te séduire, je m'y serai pris autrement. Je sais qu'tu bandes pour Giovanni. Et pourtant c'est moi qui couche avec. La vie est injuste, hein ? »
Archer se retourna et si les regards pouvaient tuer, Nanu aurait été pulvérisé sur place. Mais le vieux se contenta de ricaner, content d'avoir piqué l'intérêt et surtout l'orgueil de ce jeune coq. Il le regarda se lever de son fauteuil, et se rapprocher de lui, le corps bouillant de colère froide, le toisant de toute sa hauteur, son ombre couvrant le vieux flic comme une menace voilée. Nanu se contenta de sourire en coin, et continua :
« Pourtant, t'es beau garçon et tu tuerais pour les beaux yeux d'ton patron. Mais c'est ça, ton problème. Il t'ordonne de te coucher et d'écarter les jambes, tu le fais dans la seconde, tout frétillant. »
Il vit arriver la mandale. Il ne se détourna pas et serra les dents. Il y avait de la force et de la colère dans la longue main d'Archer. La douleur était cuisante et Nanu se massa douloureusement la joue. Il plongea son regard dans celui d'Archer, pour y voir toute la peine que ce dernier avait à garder son calme. Il le sentait prêt à l'étrangler à la prochaine parole, limite. Oh putain, il commençait à apprécier leur petit jeu, en fait.
[à suivre]
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13
février 2024
Recherches projet perso
amitié entre un cormoran et un vieux schnock
Blaze
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Chronique Les Calamités (Juin 2022)
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ITS GREAT. ITS BRILLIANT CHARACTER WRITING.
i wish to add some of my own bcs this is amazing. made me cackle after i jusf had the worst sleep of my fuckin life.
will also include some manga moments bcs there were some excellent panels.
- phinks getting fuckin SCHNOCKED by machi and nobunaga
- chrollo going "urk-!" in response to phinks and feitan not knowing critical data about themselves. bro phinks doesnt know his blood type. sir that is important go get a test done you absolute buffoon
- uvo's panic when he tries to think of a way to get rid of the leeches and both shal and shizuku make it worse. had bro shakin
- shizuku comparing skill hunter to a death note and bono just sighing.
- feitan threatening to kill either nobu and phinks because they both keep trying to argue with the other and hes had enough
- phinks and nobu warning a hostage that if they dont obey feitan WILL cut off their ears. and then phinks adds on that he usually doesnt stop there. and its so casual like "yeah thats our fucked up little guy, cmere hostage guy just do what we say dw about it"
- phinks and nobu being nen nerds. theyre my everything.
- franklin being the one shouting at uvo for death screaming at the shadow beast. like franklin is so chill and yet hes the one getting heated XD
- machis devious smirk after uvo won. she is so proud of him you cant tell me im wrong.
- kortopi.
- the shellfish scene. easily the funniest scene out of the succession war arc
- shalnark being so happy to see everyone as they show up to the base in yorknew. we know for a damn fact bro was so excited to see his friends again.
anyway.
i love the troupe thank you for making this op i fucking love you
HxH Genei Ryodan is such a masterclass in humanizing villains, honestly to a ridiculous degree. They're legitimately terrifying, their crimes are cruel and inexcusable, the violent acts they commit are nearly always played seriously and condemned by the narrative, and yet I find myself rooting for them in every scene they're in.
It's not even the sad backstories some of them have, it's much deeper than that. I think I'm just fascinated with the intricate and peculiar friendship they all share. It's easier to get attached to comedy rather than drama, as a rule of thumb, and they're just endlessly funny.
I've been searching for examples of the interactions that stuck with me and was going to include screenshots but there are just way too many things. Like, okay, in no particular order:
Shizuku wearing Phinks' coat after her sweater gets torn in a fight.
Phinks tucking Kalluto under his arm like a chicken and carrying him out of an exploding building.
Nobunaga getting trapped in a pocket dimension and everybody agreeing that he should just stay there awhile because they've just taken a hostage and now there isn't enough space in the car.
Machi and Nobunaga hanging out like normal people, drinking beer and serving cunt effortlessly in stylistically matching outfits.
Kuroro getting a prediction that "the spider will lose half of its legs" and immediately going "nope not losing any of my men out there let's pack it"
Hisoka actually fucking saying "I can't tell you that. If I told you that, I would be telling you what I can't tell you. This is why I can't tell you that. That's all I can tell you." and they believed him. Maybe it's more normal with English subs, I dunno.
Everyone playing cards while Uvogin is fighting, all while talking about how good Uvogin is at fighting.
Uvogin giving Shalnark a little kissie. I don't even ship them, I think he just kisses all of his homies like a real man.
Franklin getting sent after a crate of beer. Like, that's just so funny to me. Errand boy.
Feitan and Shalnark calling Phinks "very feminine" and giggling.
Franklin and Nobunaga just fucking going at it, sword on gun violence, for no reason whatsoever. It seemed like they were having fun.
Nobunaga asking rhetorically how strong he is compared to the rest of the gang and them replying "7th or 8th idk" you fucking know they debated this.
Uvogin getting his dumb sexy ass captured and everyone showing up for him awww
Everyone being supportive of Shizuku being fucking stupid. Not even in a sweet way or anything, just kind of acknowledging that she has zero thoughts in her brain. "Shizuku why didn't you use your left hand" because she was spinning a vacuum cleaner in her mind, what's not clicking
Dunno what they call Kurapika in the English version but in the Russian subs they all collectively only ever refer to him as "ублюдок с цепями" or "the asshole with the chains".
Nobunaga immediately inviting two twelve-year-olds to join because he thinks they're hilarious, and everyone going "yeah okay as long as the boss is cool with it". You go Nobunaga, everybody grieves differently
The kids refuse and escape, go spying on the other members again, get caught again, and when Nobunaga sees them he's all "Wanna be friends now? ^^" <- nobody has anything against this
Feitan having his arm broken in a fight and Phinks going "HA!"
Literally every single time they toss a coin, but especially when Phinks and Bonolenov were arguing over who should fight Zazan if Feitan fucking dies???
Shalnark being a fucking gamer and inviting everyone else to speedrun Greed Island with him. Franklin going "no thanks" next shot he's in the goddamn game
Tossing the phone around. Can't remember whose phone it originally was but passing it around was hilarious every time. "We already killed the hostages" beep beep beep "Sorry I lied"
There are so many moments and I'm not even halfway done. Supreme quality villains. I need more of them. I need to inject them directly into my brain.
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Le greenwashing: La grande transformation
La splendeur autrefois florissante et vivante de la forêt druidique et sa destruction avaient depuis longtemps disparu de la mémoire fugace des hommes. Comme tant d'autres choses, le souvenir de ce crime s'est perdu dans les profondeurs obscures de l'océan du temps. A la place d'une nature vivante s'élevait une cité d'immeubles désolée, habitée par les parias d'un système malade, qui végétaient comme des zombies dans leur absence de perspectives. L'architecture était un monument sinistre de la cupidité et de l'insouciance humaines, tandis qu'une atmosphère oppressante de désespoir et de destruction régnait dans les rues sales, reflétant la souffrance oubliée de la nature.
Dans ce royaume de l'ombre créé par l'homme, Jean Ursus menait une existence misérable dans une tour délabrée de vingt étages. Comme beaucoup d'autres, le vieil homme faisait partie des oubliés d'une société impitoyablement avide de profit, qui vivaient tant bien que mal de la charité publique. Dans le passé, Jean avait travaillé pour un salaire modeste chez un employeur clérical, qui n'était toutefois pas très regardant sur les principes de sa religion chrétienne et qui avait jeté son travailleur assidu sur le marché du travail comme un vulgaire déchet lorsque celui-ci avait eu des problèmes de santé grâce à des conditions de travail plus qu'humaines. C'est ainsi qu'il est tombé dans les griffes d'un système pervers qui abandonnait les vrais nécessiteux, mais qui offrait aux fraudeurs de meilleures conditions de vie qu'à bien des membres de la population active.
L'appartement de Jean était une triste oasis de décrépitude et de solitude, où fleurissaient la moisissure noire et les rêves brisés. Le premier a conduit sa femme bien-aimée à l'hôpital, où des médecins incompétents et une médecine à trois vitesses, où les pauvres étaient plutôt considérés comme une charge gênante ou des rats de laboratoire, ont coûté la même chose à l'amour de sa vie.
Malgré les conditions inhumaines de ce logement loué à prix d'or et dont le loyer était payé par des institutions publiques corrompues et dépensières à un généreux requin de l'immobilier, il représentait néanmoins pour Jean une sorte de refuge auquel il aspirait désormais.
Outre le charme morbide de cette cité d'immeubles délabrée, qui se reflétait dans les fenêtres brisées et les façades défraîchies, il aperçut maintenant deux membres des 'Crazy Homocides' sur le chemin du seul kiosque fortifié de la banlieue.
Dans cet environnement empreint d'une sombre criminalité, même le prudent Ursus ne pouvait échapper à l'ombre qui s'étendait sur tout, telle une obscurité étouffante. Les deux membres du gang, Ibrahim Al Ahmaq et Charles Pissel, marqués par une aura lugubre, se mirent en travers du chemin du vieil homme avec un large sourire qui exprimait un mépris et une dérision complets.
Ibrahim, un beau garçon intelligent avec une pointe d'arrogance, s'est présenté devant Jean Ursus. Son sourire était comme un masque derrière lequel se cachaient de sombres intentions.
"Eh bien, qu'avons-nous ici ?", commença-t-il avec une gentillesse feinte. "Un vieux schnock solitaire sur notre territoire, c'est ce que j'appelle être courageux. Dans ce quartier délabré, il est facile de se faire attaquer ou même tuer. Tu as l'air de ne pas avoir besoin d'ennuis, et je suis sûr que nous pouvons t'aider à les éviter. Au fait, as-tu déjà payé le tribut ?"
Charles, une brute au quotient intellectuel digne d'un giganthrope, grogna en guise d'approbation et ajouta avec la finesse d'une masse : "Oui, on pourrait vraiment 'remonter le moral' de cette vieille épave, Ibrahim. Comme avec le Juif de la semaine dernière, qu'on a massacré parce qu'il avait une drôle de tête ! "
L'élément qui reliait Al Ahmaq et Pissel, que ses amis appelaient aussi Charlie le nazi, était sans aucun doute l'antisémitisme extrême des deux.
Jean, entouré des ombres menaçantes des deux en général et de l'odeur de matière fécale du moins hygiénique Nazi-Charlie en particulier, a tenté de désamorcer la situation.
"S'il vous plaît, messieurs, je n'ai pas grand-chose, mais je peux vous donner ce que je possède".
Sa voix était calme, mais son cœur battait fort sous l'effet de la peur. Pendant un moment, un silence pesant s'est installé, finalement brisé par le rire sardonique d'Ibrahim. Bien que Pissel, tel un gorille atteint de la maladie d'Alzheimer, ne sache pas exactement pourquoi son camarade s'est mis à rire, il s'est tout de même joint à lui en grognant comme un cochon.
Les mains tremblantes, Ursus sortit sa bourse déchirée et la tendit finalement à Al Ahmaq, qui la reçut avec une révérence moqueuse et la vida avidement. Une fois son forfait accompli, Ibrahim jeta négligemment la bourse et se tourna vers sa victime en secouant la tête.
"Qu'est-ce que je t'ai fait pour que tu me traites avec un tel manque de respect ? Tu ne vas tout de même pas sérieusement me laisser me débrouiller avec quelques sous, n'est-ce pas ? J'aimerais bien faire preuve de clémence envers un clochard délabré comme toi, mais ce ne serait pas juste pour les autres ! Charlie, je crois que ce type a besoin d'une leçon" !
Charlie le nazi a serré les poings et s'est approché de manière menaçante.
"Ouais, et si tu ne coopères pas, tu vas le regretter".
L'atmosphère était tendue, les mots étaient suspendus au-dessus de la tête de Jean comme une épée de Damoclès. Il était conscient de ses chances de s'échapper ou même de se défendre. Il ne pouvait pas espérer obtenir de la pitié de la part de ses bourreaux, il ne voyait donc qu'une seule possibilité d'échapper à son destin.
"Je sais où il y a des choses à prendre. De l'argent, des bijoux et d'autres choses de réelle valeur" !
Imperturbable, plein d'une anticipation primitive et brutale, le stupide donneur de leçons s'approcha de son souffre-douleur tremblant, tandis qu'Ibrahim ricanait joyeusement. Mais juste avant que Pissel n'atteigne sa victime, son acolyte a ressenti le besoin d'interrompre cette forme particulière d'entraînement de boxe.
"Stop Charlie, au pied ! Écoutons qui le vieux veut livrer au couteau".
L'homme de main brutal quitta à contrecœur sa victime et rejoignit son maître, conformément aux ordres.
"Eh bien, vieux traître, parle !"
Ursus se détestait pour cela, mais dénonçait maintenant d'une voix tremblante tous ses voisins dont il supposait qu'ils possédaient encore de modestes biens datant de temps meilleurs. Tandis que Charlie le nazi se tenait là, avec son habituel visage stupide et inexpressif, Al Ahmaq écoutait l'informateur avec un grand sourire. Finalement, celui-ci arriva à la fin de sa sordide confession.
D'un geste autoritaire, Ibrahim a fait taire le colocataire de bidonville délabrés, avide de renseignements.
"Tu es un vrai Judas, alors..."
"Quoi, c'est un juif ! Je vais le tuer !"
D'une voix stridente, Nazi-Charlie interrompit son chef et se prépara à achever son projet inachevé.
"Idiot, tu ne l'écraseras pas avant que je te le dise !"
Confus, Pissel fixa son acolyte qui l'avait réprimandé assez brutalement. Pour donner plus de poids à son ordre, Ibrahim a donné une gifle retentissante à son camarade qui avait réagi trop vite. Comme un chien battu, Nazi-Charlie attendait les prochaines instructions de son chef en baissant les yeux.
"Maintenant, mon vieux, cela ne nous suffit pas ! Mais, Allah aime les miséricordieux ! Si tu me montres ton respect, peut-être que je t'épargnerai".
Désespéré, Ursus tomba à genoux et balbutia des paroles de supplication en demandant pardon. Même si le vieil homme savait mieux que quiconque que ses supplications auprès des deux voyous étaient vaines, il osa tout de même solliciter leur compassion. Les yeux de Jean imploraient la compréhension, tandis que ses paroles se perdaient dans l'obscurité comme un dernier cri de désespoir.
Ibrahim était rempli d'une joie sadique et ne put réprimer un sourire méprisant en observant les tourments du vieil homme. "Oh, comme c'est touchant", se moqua-t-il avec une gentillesse feinte. "Mais tu ne comprends pas, vieux pet. Tes gestes d'humilité et tes larmes ne signifient rien pour moi. Ce qui m'amuse, c'est de te voir souffrir. Mais continuez ! J'adore vous voir mendier, chiens d'infidèles" !
Le requérant a finalement compris que sa situation était désespérée et s'est levé. Conscient qu'il n'avait plus rien à perdre, l'homme qui avait disparu depuis longtemps se réveilla en lui.
"Vous êtes de lâches scélérats qui vous en prenez aux plus faibles", s'exclama Ursus, la voix tremblante de colère et de peur. "Vous recevrez votre punition pour vos actes, tôt ou tard".
Pissel, dont l'esprit fasciste ne supportait pas la provocation, avait l'intention de se jeter sur le vieil homme.
"Pas si vite, espèce de troglodyte", dit Ibrahim d'un ton impérieux et avec un sourire malicieux. "Comme il lui a visiblement poussé des couilles, nous allons le laisser parler encore un peu. Quand je te l'ordonnerai, tu pourras en finir avec ce vieux con".
Le nazi Charlie, qui dans sa simplicité prenait ce salut d'homme des cavernes comme un compliment, claqua les talons de ses bottes de springer et leva la main droite pour saluer.
"Fils de putes lâches, si j'étais plus jeune, je vous ferais bouffer votre merde. Alors allez, bande de bâtards, faites ce que vous avez à faire".
Dans l'attente des événements désagréables qui allaient se produire, Jean se taisait. Une atmosphère fantomatique, semblable à une brume chuchotante d'un malheur sombre et imminent, imprégnait les structures délabrées du bidonville. En souriant méchamment, Ibrahim leva son bras droit pour donner le signal du massacre au nazi.
Cependant, Jean ne se rendait plus vraiment compte de tout cela, car son attention était détournée par l'anomalie spatiale qui venait de se former derrière ses bourreaux sous la forme d'une sorte de portail d'une noirceur extrême. Son cœur se mit à battre à toute vitesse d'horreur lorsqu'il sentit le vide inimaginable qui se trouvait derrière. "Regardez !", cria-t-il d'une voix paniquée. "Derrière vous !"
Ibrahim a réagi par un rire moqueur auquel s'est joint l'idiot de nazi Charlie.
"Tu ne sauveras pas ta peau avec ce truc débile, mec. Charlie, fais-lui sa fête à cette vieille épave".
Mais avant que le sbire ne puisse exécuter l'ordre de son maître, les deux voyous sentirent le froid glacial qui émanait du portail noir. Alors que Pissel continuait à ricaner bêtement en ignorant tout, Ibrahim se retourna.
"Mais qu'est-ce que c'est ?"
"Quoi, Ibrahim ?"
"Tourne-toi, abruti !"
La créature de l'ombre sortit de la porte entre les dimensions. Cette fois, cela ne durerait pas, mais le temps du retour définitif était proche. Une aura de pouvoir ancestral entourait la druidesse mort-vivante. Tandis que son patron gardait un silence confus, le nazi primitif Charlie n'en ressentait rien et proclamait haut et fort sa sagesse.
"Qu'est-ce que tu veux, espèce d'idiote ? Tu veux que je te baise ou que je te mette un coup de poing dans la bouche" ?
La druidesse hacka avec facilité les structures cérébrales peu complexes des deux voyous. Un rire moqueur s'échappa de ses lèvres alors qu'elle pénétrait dans leur monde mental stupide et primitif.
Face à cette situation étrange, Al Ahmaq décida d'attendre et de décider ensuite s'il devait se battre ou battre en retraite. Cependant, il avait fait le calcul sans cet idiot de Charles qui, profondément touché dans son honneur masculin douteux par le rire des femmes, s'apprêtait à punir l'auteur de l'impertinence féministe. Mais avant que Charlie le nazi ne puisse lancer sa guerre d'attaque contre la druidesse, celle-ci fut soudain entourée d'une lumière bleue étincelante qui laissa pantois même le fasciste le moins doué mentalement. Encore éblouis par ce spectacle, un grand grognement fit tourner les deux héros de la banlieue en direction d'Ursus.
Au lieu d'un vieil homme impuissant, ils se sont retrouvés face à un énorme ours des cavernes qui s'est précipité sur eux. Paralysés par l'effet de surprise, les deux membres de la bande ont subi un sort cruel sous la forme de coups de patte brutaux et amputants, qui ont finalement envoyé le crâne creux de Nazi-Charlie dans une poubelle voisine. Le lecteur gardera à l'esprit qu'une fuite ou une résistance de nos deux antihéros aurait très probablement été inutile.
La druidesse observa la scène avec un sourire moqueur sur son visage de mort-vivant, qui laissa place à une expression de profonde satisfaction une fois que les deux bandits de fortune eurent été découpés avec succès. Le voile entre les dimensions s'abaissa une dernière fois et le portail ainsi que la voyageur morts-vivant disparurent aussi brusquement qu'ils étaient apparus, tandis que Jean reprenait sa forme humaine en toute hâte.
Ursus contempla avec horreur les restes des deux brutes, tandis que son esprit s'efforçait de saisir le souvenir de son existence en tant que monstre-ours. Mais comme un rêve obscur, le souvenir s'estompa et il resta avec la sinistre certitude que quelque chose d'inexplicable s'était produit.
Finalement, submergé par la panique et la confusion, le vieil homme a fui la scène du crime et s'est réfugié dans son appartement délabré. Il a fermé la porte derrière lui, comme pour se protéger d'une menace invisible, et s'est barricadé dans sa propre prison de peur et de solitude.
La pensée de la police s'est imposée à son esprit, mais le désir de ne pas risquer d'autres ennuis a prévalu. Jean n'osait pas informer les autorités, de peur des conséquences létales qu'un habitant du bidonville risquait s'il enfreignait la loi du silence. De plus, les forces de l'ordre préféraient rester passives face à d'éventuels délits dans les quartiers pauvres et y être le moins présentes possible, car elles concentraient leurs forces sur la protection des quartiers chics contre la foule moins aisée et sur les leçons de violence d'État à donner aux manifestants quérulents et non conformes au gouvernement.
Tout en buvant une bonne gorgée d'une bouteille d'alcool bon marché, Ursus pensa à la terreur inconnue qui se cachait dans ce désert inhumain de crimes architecturaux.
Suite à donner - © 2024 Q.A.Juyub
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Ç’était avant. Dans quelques jours je reviens par Paris. Je ne sais pas si j’aurai le temps de passer par là, mais vous êtes dans mon coeur:
Ode à la jeunesse qui avez fait un « Paris libéré »
Pas d’illusions, les vieux schnocks qui avaient fait leur choix n’ont pas changé. Fais gaffe. Mais la jeunesse outragée qui s’est mobilisée à réveillé notre pays. Que la fête continue.
BONJOUR L’ÉTÉ à Paris canal St Martin
il y avait ce vendredi soir une telle ambiance autour dans les rues de tout un peuple, uni, jeune, beau, coloré, enthousiaste, heureux, ouvert d’esprit que je ne peux pas imaginer que des fanatiques bornés, racistes, homophobes, imbéciles, étroits d’esprit puissent nous dominer, nous « occuper », effaçant toute les cultures fondamentales dont celle de la musique mise en avant le 21 juin par Jack Lang. Il avait choisi ce solstice, symbole de la chaleur humaine qui ouvre toute les portes, qui enterre tous les hivers
Cell
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