#salon de papier
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mattiasprojects · 18 days ago
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2024-12-12 Salon de Papier at Röhsska museet, Gothenburg. The last @salondepapier of 2024 at @rohsska Artist Klas Trollius @worriesindedance presented a generous collection of his own work, the work from @skogen_masthuggsterrassen , his process and some of his inspirations.  A great evening! Thanx again Klas for presenting at the Salon and thanx again Röhsska for hosting us again.  🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟
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forthecutelittledeer · 14 days ago
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When SOS Fessée comes to call...for you!
"Are you Charlène? I'm here to give you a spanking..."
"Yes. My parents warned me it would be today..."
"And did they warn you that you were supposed to be waiting with your nose to the wall? I'm going to have to give you a hundred extra for that, you know."
"Aieee! That many!? It's because my little brother was teasing me, that I said I'd wait out here and get the door...He pinches, the little shit!"
"..."
"Well, it hurts!"
"You DO understand what we're going to be doing today, right? I'm not here to have you write lines..."
"..."
"Anyway, is he, by any chance, the one who's standing witness today?"
[lowers her eyes] "yes..."
"And how old is your brother?"
"17..."
"Hmm, old enough, just barely...could you send him here? I have some paperwork he needs to look at...where is this going to take place?"
"I don't know...the salon, maybe?"
"Well, I guess that's up to him, since he's in charge, but why don't you go there anyway, and try and stand properly for let's say...20 minutes? And I'll set the penalty you've earned at 50, o.k.?"
"But it wasn't my fault!"
"75, then..."
"I'll go fetch him!..."
Quand SOS Fessée viendra vous chercher… !
"C'est toi Charlène ? Je suis là pour te mettre une fessée…"
"Oui. Mes parents m'avaient prévenue que ce serait aujourd'hui…"
"Et ils t'ont prévenue que tu devais attendre le nez au mur ? Je vais devoir t'en donner cent de plus pour ça, tu sais."
"Aieee ! Tant !? C'est parce que mon petit frère me taquinait, que j'ai dit que j'attendrais ici et que j'ouvrirais la porte… Il pince, le petit con !"
"…"
"Eh bien, ça fait mal !"
"Tu comprends bien ce qu'on va faire aujourd'hui, non ? Je ne suis pas là pour te faire écrire des lignes…"
"…"
"D'ailleurs, c'est lui qui est témoin aujourd'hui par hasard ?"
[baisse les yeux] "oui…"
"Et quel âge a ton frère ?"
"17…"
"Hmm, assez vieux, à peine… pourrais-tu l'envoyer ici ? J'ai des papiers qu'il doit regarder… où cela va-t-il se passer ?"
"Je ne sais pas… le salon, peut-être ?"
"Eh bien, je suppose que c'est à lui de décider, puisqu'il est responsable, mais pourquoi n'y vas-tu pas quand même, et essaies de te tenir correctement debout pendant disons… 20 minutes ? Et je fixerai la pénalité que tu as méritée à 50, ok ?"
"Mais ce n'était pas ma faute !"
"75, alors…"
(French translation by Google(with a little help from me), in honor of the French origins of my favourite imaginary company...)
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selidren · 1 month ago
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Automne 1929 - Champs-les-Sims
5/7
Il a pleuré pendant tout l'office. Silencieusement, il n'est pas du genre à faire un esclandre, mais on aurait dit que des années de larmes retenues étaient en train de couler. C'est vrai que d'aussi loin que je me souvienne, je ne parviens pas à me rappeler d'avoir déjà vu mon père pleurer, mis à part le jour des funérailles de Grand-Mère. Cela a été si surprenant qu'il a aussi déclenché les pleurs de Cléo (qui a encore répandu du maquillage partout, même dans ses cheveux) et j'ai vu les yeux d'Antoine devenir luisants. J'ai eu moi-même du mal à garder mon calme. As-tu déjà vu ton père pleurer ? C'est sans doute le spectacle le plus étrange qui soit pour moi.
Adelphe a enfilé ce qu'on appelle entre nous "son masque" : il était de marbre, visage figé, mâchoire contractée, regard droit devant lui. Il ne s'est déridé brièvement que quand je lui ai succinctement présenté Ada. Il a eu l'air interloqué. Il faut dire qu'elles sont étranges ces pratiques canadiennes où les dames viennent aux funérailles avec des voiles si épais qu'on ne peut pas voir leur visage. Il lui a jeté quelques petits coups d'oeil furtifs par la suite, mais quand Antoine a plaisanté sur le sujet, il l'a rabroué assez sèchement par rapport à son habitude et n'a pas essayé de parler à ta cousine.
Transcription :
Arsinoé « Madame Rumédier, accepteriez-vous de nous accorder encore une faveur ? »
Lucrèce « Bien sur, avec plaisir. »
Arsinoé « Comme vous avez raté les précédentes funérailles, j’aimerai que vous soyez notre invitée pour les prochaines. »
Lucrèce « Comment ? Vous avez perdu un autre proche ? Je ne le savais pas, toute mes condoléances. »
Arsinoé « Non, non pas du tout ! C’est compliqué... »
Lucrèce « Mon père a perdu sa mère et sa tante quand il était jeune d’une façon vraiment brutale et dans des circonstances… disons, confuses. Je n’en sais pas vraiment plus… Bref, il n’a jamais fait son deuil jusqu’à présent et il pense qu’il est temps. »
Lucrèce « Je vois... »
Arsinoé « Oui, nous allons organiser un service funèbre qui aura lieu à l’église en fin de semaine. Un moyen de leur rendre hommage vous voyez. Et de calmer la peine de mon père et de mon oncle. »
Lucrèce « Oh… je suis tellement navrée... »
Arsinoé « Non, ne le soyez pas. Il est temps que mon père tourne la page après toutes ces années. »
Lucrèce « On ne se remet pas facilement de la perte de sa mère… Pauvre enfant… Cela a t-il vraiment été si dur pour lui ? »
Arsinoé « Plutôt oui. Je dirai même, terriblement. Mais il a un caractère si particulier qu’il n’a juste pas réussi à le faire. Maman a essayé pendant des années de lui faire entendre raison, mais, il finissait toujours par lui dire que sa mère reviendrai. Il a fallu attendre le décès de Grand-Mère pour qu’il parvienne à l’admettre. »
Lucrèce « Grâce à votre oncle Adelphe... »
Arsinoé « Oui. Je vois que Lucien ne vous cache rien sur les membres de notre famille. »
Lucrèce « C’est si affreux… Je suis si désolée… »
Arsinoé « Vous allez bien Madame ? »
Lucrèce « Oui… c’est juste que c’est une histoire si triste… Je… j’ai perdu ma mère il y a peu. Je ne peux qu’imaginer… »
Arsinoé « Mes condoléances. Ne vous en faites pas tant. Mon père a une très belle vie. Malgré tout ça, il est très amoureux de Maman et il est devenu un égyptologue renommé. »
Lucrèce « Tant mieux. C’est simplement que je mesure seulement maintenant… Enfin, voici que je me mets dans un de ces états… Je dois faire dur astheure dans votre salon Madame Le Bris de Chastel. »
Arsinoé « Oh. Appelez moi Noé. Quand à ce nom, on ne l’utilise que sur les papiers en réalité. »
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 316
Ludovic, Ernesto et Emma (suite)
Nous trainons encore une heure affalés dans les fauteuils du salon télé avant de nous séparer pour le reste de la nuit.
J'attrape Ludovic et lui dit qu'il va se faire une grande première. Il se demande bien quoi. Quand je lui dis que nous allons tous les 4 faire l'amour à Emma, il retombe dans le fauteuil qu'il était en train de quitter.
Il balbutie qu'il n'a jamais touché une fille et encore moins une femme et en plus c'est ta mère ! PH le rassure et lui dit que ce n'est pas " une " femme mais EMMA, que ce n'était que ma mère sur le papier et que lui non plus avant elle, il était comme lui. Ernesto dit que par contre ce n'était pas son cas et que c'était même l'inverse, avant de me connaitre, il n'avait jamais connu de mec.
Je vois que Ludovic est en train de perdre pied. Je le prends dans mes bras. Il me serre fort contre lui. D'une petite voix il me demande comment j'arrive à gérer tout ça. Par là je comprends bien ce qu'il veut dire, mon homosexualité, mon hétérosexualité avec Emma, mes agences, mes études et mon statut d'héritier et surtout mes relations amoureuses avec eux tous !
Ok je crois que j'ai été un peu vite pour lui. Je m'excuse après d'Emma et lui dis que nous allons passer la nuit tous les deux dans une de ses chambres d'ami. Elle comprend et embarquant PµH et Ernesto, nous souhaite une bonne nuit.
Seuls, je sers à Ludovic un whisky bien tassé. Ile le boit sans se rendre compte de ce que c'est. Comme il n'avait pas hésité sur la gorgée, il s'étouffe et tousse. Je prends le verre avant qu'il ne tombe et nous partons tous les deux. Il est muet et je le laisse organiser ses pensées. Les chambres d'amis sont dans une aile de la maison assez loin de la chambre d'Emma. Dans la chambre à coté Henri et Kev vont passer la nuit.
Une fois la porte fermée, je le prends dans mes bras et le serre contre moi. J'imprime alors un léger mouvement de rotation. Le but recherché : le faire réagir. Il me repousse et me dit qu'il n'est plus un bébé qu'on console en le berçant. Je lui dis que ça tombe bien car je préfère les garçons un peu plus grands. Il se fâche à moitié et me demande si je peux être sérieux un moment. Je lui dis que je l'écoute mais qu'on peut quand même se préparer pour la nuit en même temps. Je me déshabille et comme il ne bouge pas, le déshabille aussi. Pendant ce temps-là, il me redemande effectivement comment je fais pour gérer tout. Comme nous passons sous la douche, cela me fait revenir en tête ma première expérience homosexuelle, avec Marc. Je décide alors de ne rien lui cacher. Je lui raconte donc ma première fois hétérosexuelle, puis ma première fois homosexuelle, avec Marc, puis les expériences que j'ai faites, les mecs que j'ai rencontrés. Comment notre relation à Marc et moi a évoluée en fonction des trips et des rencontres. Comment il avait accepté PH puis Ernesto alors qu'on s'aime vraiment tous les deux et comment on en était venus à s'aimer tous les 4 plus le satellite Hervé. Que s'il fallait se séparer nous en serions tous plus que malheureux. Je lui ai dit aussi le décès de mes parents et mon adoption par Emma. Aussi le recrutement de mon équipe d'Escort et de mes clients où j'ai donné de ma personne. Il m'écoute religieusement pendant plus d'une heure (j'ai fait un condensé !). Quand j'en termine avec son arrivée, comment il m'avait ébloui, lui, il me traite de grand malade. Qu'un cas comme le mien relève du pathologique plus encore que du psychologique. Comme nous sommes couchés l'un à côté de l'autre, il se presse contre moi et me dit que j'ai de la chance, que je ne le savais pas encore mais que j'avais auprès de moi un véritable amateur de fou. Que j'étais le Norman Bates de l'amour.
Il me roule un gros patin et nous nous endormons.
Le dimanche matin, PH et Ernesto nous ont retrouvés et réveillés en sautant sur notre lit. Ernesto nous dit qu'ils avaient dû être deux fois plus efficaces que d'habitude puisqu'ils n'étaient que deux mais qu'ils avaient été tellement bons qu'Emma ne s'en était même pas aperçue. En attendant ils nous câlinent, embrassent, nous disent gentiment qu'on leur a manqué et qu'ils avaient mal dormis sans nous. Ludovic leur répond que nous par contre nous avions divinement bien dormis. Il se fait sauter dessus par nos deux amis et bourrer les cotes de coups de poing amortis par l'épaisseur de la couette. Comme il se défend, il se retrouve immobilisé par Ernesto avec PH qui se couche sur lui, le prenant en sandwich. Je leur dis d'arrêter les enfantillages qu'il serait temps de rejoindre la civilisation.
On enfile vite des peignoirs et déboulons pour le petit déjeuner. Il est tard mais nous ne sommes pas les seuls. Henri tout habillé, précède un Kev la tête dans le cul, en peignoir lui aussi !
Pablo nous a préparé un petit déjeuner américain. Café, muffins, omelettes aux patates, bacon et pas de saucisses et haricots orange comme les anglais.
Quand Emma nous rejoint, aussi belle que s'il n'y avait pas eu de soirée et qu'elle s'était couchée à 20h, Ludovic la prie de l'excuser pour la veille. Emma le fait se rassoir lui claque un bisou sur la joue et lui dit qu'il y aura d'autres occasion.
A Henri et Kev, je demande des nouvelles de Paris. Henri me dit qu'ils ont reçu la sculpture qu'ils avaient commandée à Alban et qu'elle a déjà fait des envieux parmi leurs connaissances. Je précise à Ludovic que c'est le sculpteur qui m'a fait le " baiser " sur la terrasse et les deux cariatides calquées sur Ric.
Avant d'aller s'habiller, je propose un petit tour dans la piscine. Ok nous venons de manger mais avec une eau à 28°, il n'y pas de risque d'hydrocution. Les " adultes " nous suivent. Cela ne nous empêche pas de tomber les peignoirs et de plonger nus dans l'eau. 1/4 d'heure suffit pour nous tonifier. Nous investissons tous (sauf Kev) la chambre d'Emma où j'ai une garde-robe de secours. En effet je nous vois mal réenfiler nos sous-vêtements d'hier et nos smokings ! Ça chahute un peu mais nous arrivons à être présentables en moins d'une demi-heure !!
Nous retrouvons les autres. Henri ne veux pas rentrer trop tard sur Paris et nous quitte avec Kev après un dernier café. Il nous invite à résider chez lui quand le nous souhaiterons. Il ajoute " plutôt chez Kev " en se tournant vers lui pour avoir son approbation. KEv lui dit que j'étais un invité permanent et ajoute que mes amis étaient compris bien sûr. En disant ça la main qu'il avait " égarée " sur le fessier de Ludovic souligna, par la réaction de ce dernier, toute l'envie qu'il avait de nous loger.
Une fois partis et entre nous, Emma est venue se coller dans mes bras. On se roule une longue pelle, symptomatique de nos manques de l'un et de l'autre. Et bien sûr, ça me fait bander. Quand on se décolle, je vois que je ne suis pas le seul dans cet état. Je propose un retour à la piscine qui est unanimement accepté. On se déshabille sur le bord, laissant nos vêtements en tas. Ludovic à un moment de recul alors que nous ôtons nos sous-vêtements. Il se tourne vers moi et me dit " et Emma ? ". Je lui prends la tête, la fais pivoter jusqu'à ce que cette dernière entre dans son champ de vision. Là, il peut voir qu'elle aussi se mettait nue. PH passe dernière lui, attrape son boxer et le lui descend sur les chevilles. Il bandait déjà le cochon !
Plongeons, éclaboussures, poursuites et chatouillis, branlages furtifs, pelles beaucoup moins (furtives). Emma est partie prenante du jeu et Ludovic se surprend à lui rouler un patin. Il recule brusquement et me percute puisque je m'étais glissé derrière lui. Coincé entre nus deux, il ne peut que se coller aux seins d'Emma comme je le pousse en avant. Je l'embrasse dans le cou. Il tend la tête en arrière pour me donner ses lèvres. Je m'en empare, passe ma langue dessus avant de les laisser et de prendre celles d'Emma par-dessus son épaule. Sa tête se trouve au niveau des nôtres, je passe une main derrière la sienne et l'approche jusqu'à ce qu'on s'embrasse à trois. Il cède et me laisse gérer. Je passe d'une bouche à l'autre ? Donnant de la langue à chaque jusqu'à ce que nos trois langues se touchent, se cherchent et bataillent. J'arrive même à m'extraire du jeu, laissant Ludovic en prise directe avec ma " mère ".
Mes mains s'égarent sur son corps. De ses épaules musclées, elles descendent sur ses flancs, le faisant frissonner malgré la température de l'eau. J'attire ses hanches contre les miennes pour qu'il sente bien à quel point (cm) je l'aime. Nous sommes dans la partie de la piscine où nous avons tous pied. Je bascule le bassin pour placer mon gland juste sur sa rondelle. Il le sent et sans se décoller d'Emma, il roule du bassin jusqu'à réussir à le faire pénétrer dans son anus. C'est trop bon ! il m'emprisonne le gland seulement et j'adore la sensation. Comme il bande comme un malade, Emma en profite et se plante dessus. Le recul opéré par Ludovic, de surprise plus que de dégout, le fait se planter totalement sur ma queue. Surprise inverse et l'avancée de tout son corps le fait s'enfoncer dans la chaude moiteur du vagin d'Emma. Elle a l'intelligence de contracter ses muscles et j'entends un " trop serré " s'échapper de la bouche de Ludovic. Contrairement à la mère de Jean dont la chatte est un garage à bite et qu'à moins d'y être à 2, on n'en sent pas les bords, je sais, d'expérience, que celui d'Emma est musclé et que quand elle se contracte, on y serait presque comme dans un cul. Ludovic tourne la tête vers moi pour me le dire probablement. Je lui cloud le bec en plongeant ma langue dans sa bouche et lui glisse que oui, je sais comment Emma peut être " bonne ".
Les deux autres (PH et Ernesto) sont jaloux. Mon PH se colle à mon dos et m'encule d'un coup sec. Ernesto s'est glissé dans celui d'Emma et lui enfile sa bite dans le cul. Ludovic apprécie les sensations que cela lui donne. Il laisse échapper un " c'est trop bon " qui fait rire tout le monde. Ernesto nous dit qu'il sent bien le gland de Ludo tout au fond d'Emma. Nous profitons de cet enchevêtrement encore quelques instants mais l'eau de la piscine n'est pas le meilleur lubrifiant et avant que cela ne deviennent désagréable, nous sortons pour continuer nos " petites affaires " au sec. Nous étalons les matelas sur le carrelage et reprenons nos ébats. Un peu de gel ou beaucoup, et les emboitements se refont. J'ai cédé ma place à PH et pris la sienne. Ludovic, lui, a changé de face et encule Emma pour le plus grand plaisir d'Ernesto. Après lui avoir bouffé le cul et lubrifié abondamment la rondelle en lui enfonçant profondément sa langue chargée de salive, il lui met ses 24cm entiers. Long feulement de Ludovic pendant l'opération. Il apprécie c'est sûr. Emma ne s'en plaint pas car elle bénéficie d'un effet collatéral, le durcissement extrême de la bite de Ludo. Emma m'embrasse tout comme PH, Ludo et Ernesto (ces derniers en tordant le cou). Plus nous faisons l'amour et plus Ludovic s'enhardit. Je vois ses mains remonter des hanches aux seins d'Emma. Dans un premier temps il les pose simplement dessus avant de se mettre à les pétrir. Il fait comme avec les pecs d'un mec, il s'occupe plus des tétons que de leurs masses. Emma qui aime quand on titille et pince ses tétons, prend son pied. Je sais qu'elle réagit à leur stimulation par la contraction de ses muscles vaginaux et anaux. PH et Ludovic le ressentent bien et échangent sur le plaisir que cela leur procure. Leurs corps réagissent aussi et Ernesto comme moi nous faisons emprisonner nos queues par leurs contractions anales. Les pénétrations sont plus hard et demandent plus de force pour progresser. Nous sommes secoués et ça fait monter le plaisir plus vite.
Emma décolle en premier. Un long cri de plaisir s'échappe de sa bouche. Elle se contracte de partout comme son corps spasme. PH à son tour rugi qu'il jute et je suis piégé dans son cul, la bite bloquée en position " pénétration totale ". Au premier relâchement (successif à sa première éjaculation) j'explose à mon tour, lui tapissant l'intérieur de mon sperme. Mes éjaculations succéderont à chacune des siennes au moins 5 à 6 fois. De l'autre côté d'Emma, Ludovic et Ernesto sont dans le même état que nous. Pendant 5 minutes c'est à qui exprimera le plus son plaisir.
Quand nous nous déboitons les uns des autres, nous restons au moins 20mn à comater le temps de reprendre nos esprits.   
Sous la douche, prise tous ensemble, Ludovic remercie Emma et nous dit qu'effectivement, comme ça, les relations hétéros sont envisageables. Il s'excuse auprès d'Emma avant d'ajouter que sans nous autres (PH, Ernesto et moi), il n'y serait probablement pas arrivé. Je le prends dans mes bras, lui roule une pelle et lui dis que de toutes les façons, je n'envisageais pas qu'il en soit autrement. Je lui tire l'oreille et ajoute " que je ne te prenne pas dans les bras d'une meuf, ou ce sera ta fête ".
Il mime le petit garçon battu : " non, pas la tête, pas la tête ". Eclats de rire général !! Nous finissons notre douche et passons autant de temps à nous sécher réciproquement. L'heure du thé est dépassée depuis longtemps quand nous retournons à la maison. Mais comme nous sommes décalés, gros petits déjeuners tardifs et pas de déjeuner, nous attaquons quand même ce que nous avait préparé Pablo. Y'a pas à dire l'amour ça flingue les batteries !!
Le temps passe et nous avons juste le temps de passer au Blockhaus récupérer le sac et les papiers d'Ernesto avant de l'emmener à son avion. C'est limite s'il ne se fait pas engueuler pour son retard. Les aux-revoir sont brefs.
Retour au blockhaus. L'excitation retombe et je vois mon Ludovic gamberger à nouveau.
Il n'en revient pas d'avoir fait l'amour avec une femme. Il me dit que je l'avais piégé puis ajoute après un moment de silence que c'était pas mauvais quand même !
Avec regret, il nous quitte, devant retourner chez papa-maman. J'enrage de ne pouvoir le garder tout le temps avec nous. Mais rentrer au minimum le dimanche soir est un impératif familial.
Je tourne et je vire au point que PH me met une droite histoire de me remettre les idées en place. Ça le fait. Je suis tellement surpris. C'est la première fois qu'il le fait en dehors des entrainements. Comme je ne m'y attendais pas, il me cueille et j'ai le souffle coupé. Je fais semblant d'avoir pris gros et quand il se penche sur moi, s'inquiétant d'avoir tapé trop fort, je l'étale ! C'est son tour d'être pris à froid. Il se trouve face au sol, mon pied sur son omoplate droite et le bras qui va avec en extension. Pas de résistance s'il ne veut pas que je lui démonte l'épaule. Je le relâche et nous nous tombons dans les bras. Notre pelle est virile. Quand nous nous décollons, nous avons tous les deux le souffle coupé. Il s'étonne quand je le remercie. Je l'aime et je sais que son geste n'était pas méchant, tout comme ma réaction d'ailleurs ! Nous passons la soirée collés l'un à l'autre même s'il n'y aura pas de sexe ce soir-là.
Jardinier
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sofya-fanfics · 3 months ago
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Une mauvaise journée
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Cozytober 2024 pour le prompt : Des câlins après une mauvaise journée.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sakura entendit la porte s’ouvrir et des pas se diriger vers le salon. Elle reconnut immédiatement Sasuke. Elle ouvrit les yeux. Il avait allumé la lumière.
« Sakura ? Qu’est-ce que tu fais dans le noir ?
-J’essaye d’oublier cette journée. »
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
AO3 / FF.NET
Sakura ouvrit la porte de son appartement et entra. Toutes les lumières étaient éteintes. Sarada et Sasuke n'étaient pas encore rentrés. Elle se déchaussa et, sans allumer la lumière, se dirigea vers le salon et s'assit dans le canapé. Seules les lumières du village éclairaient l'appartement. Mais elle se moquait de rester dans la nuit. Elle n'était pas d'humeur à faire comme si tout allait bien. Sa journée avait été épouvantable. Elle avait l’impression que tout et tout le monde était contre elle.
Un scanner était tombé en panne. Elle avait dû supporter les réclamations et les égos surdimensionnés de deux collègues qui étaient en désaccord sur le traitement d’un patient. Naruto n’avait pas pu la recevoir pour signer les papiers pour l’acquisition d’une nouvelle machine. Et elle avait dû confier l’opération qu’elle devait pratiquer à un collègue parce qu’elle avait trop de papier à remplir. Toute cette journée lui avait donné mal à la tête. Elle adorait son métier, mais diriger un hôpital n’était pas tous les jours facile.
Elle s’assit lourdement dans le canapé et soupira bruyamment. Elle était bien contente que cette journée soit enfin terminée. Elle ferma les yeux et se concentrera sur sa respiration pour essayer de se détendre. Elle entendit la porte s’ouvrir et des pas se diriger vers le salon. Elle reconnut immédiatement Sasuke. Elle ouvrit les yeux. Il avait allumé la lumière.
« Sakura ? Qu’est-ce que tu fais dans le noir ?
-J’essaye d’oublier cette journée. »
Il s’avança vers le canapé et s’accroupit devant elle. Il lui prit la main et entremêla ses doigts avec les siens.
« Ça s’est mal passé ?
-Seulement les problèmes habituels de l’hôpital. »
Sasuke embrassa le dos de sa main pour la réconforter. Il s’assit près d’elle, se cala dans le fond du canapé et la prit dans ses bras. Sakura ferma les yeux et se blottit contre lui.
« La journée est terminée, essaye de te détendre. »
Il posa deux doigts sous le menton de Sakura, leva son visage vers le sien et l’embrassa. C’était tout ce dont elle avait besoin. De la tendresse de son mari pour lui faire oublier cette journée.
Fin
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e642 · 4 months ago
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Mon dieu. Quelle journée. Jvais spill the tea c'est trop. Ce matin jme réveille pas parce que j'ai pas dormi donc on part sur irritabilité et fatigue. À 8h yavait les inscriptions pédagogiques de la fac, genre le choix des options de merde qui vont définir un peu nos choix de master en vrai. Donc à 8h pétante j'y suis, je valide, je sors mon contrat, c'est écrit que je suis inscrite mais que j'ai pas de groupe. Gros coup d'angoisse. Si j'ai pas les choix que je veux, bye bye les masters déjà que jsuis pas brillante en plus. J'appelle la fac, ils me disent que globalement ils en ont rien à branler. Démentiel coup d'angoisse bis. Mon père passe dans le salon et me pose la question fatale en cas de panique "ça va ? Ça n'a pas l'air d'aller ?". Jrep avec la voix tremblante + 2/3 larmes. Le mec pète son front, il me dit "t'en as pas marre de pleurer tout le temps ? Tes faible. J'tai pas éduquée pour que tu deviennes une chialeuse". Bon. Bon. Bon. Bouche bée. Il m'a scotchée. Énorme coup d'angoisse tris (bis mais pour trois aled). Jpensais pas que la toxicité pouvait aller jusque là mdrr. Ensuite on doit partir pour que je rentre à nice et accompagne ma mère à l'hôpital pour son cancer. Premier degré, il y a eu 4 accidents sur la route. Donc on arrive en retard. Quand on arrive, la meuf du secrétariat nous dit "tenez les papiers, amusez vous bien". J'ai cru serrer. Ça se voit qu'elle a jamais eu de cancer elle putain de conne là. Ma mère part en consultation. Après on doit reprendre un rdv et j'ai la brillante idée de demander si dans leur hôpital de merde ya pas des psy cancéro pour accompagner les patients malades. La meuf me rép "si mais ils prennent pas de stagiaire, ils pensent que c'est trop traumatisant de voir des malades". J'étais en mode wtf, c'est le but d'un psy voir des gens malades (physique ou psychique), du coup jlui dis que ça tombe bien parce que ma mère traine son cancer depuis 10 ans mdrrr. Du coup elle a ronchonné, puis cédé en mode "je les appellerai". Jamais elle va les appeler. Je rentre à mon appartement et jme rends compte que j'ai besoin de ranger chaque M2 sinon jvais me sentir mal. Donc je range, ça m'a pris des plombes purée. Puis soudain, je suis tombée sur un petit mot que mon mec m'a écrit en scred. Un mot en langage soutenu visiblement, pour le citer: "pipi, prout, je t'aime". Ça a fini de m'achever jcrois. Et là jme retrouve seule comme une débile à attendre la mort. J'ai pas hâte de cette année en vrai. J'ai 50 problèmes qui se déclarent tous en même temps. Puis jme suis dit qu'il faudrait que je m'inscrive à un sport pour grappiller des points (on en est vraiment là), le seul sport encore dispo c'était.. roulement de tambour.... Badminton. Non c'est bon. Jpeux plus endurer cette journée faut que j'aille dormir.
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aliceinoakdale · 10 months ago
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Week-end
Alice - Valise
Rideau de Pierisim Prise électrique de Awingedllama Coussin 'Kuromi' de Bknysimz Sac de Platinumluxesims Valise de Felixandre Vêtements pliés de Wondymoon Vêtements pliés de Syboulette Pull de Leosims Bottes de Bergdorfverse Trousse de toilette de Platinumluxesims Brosse à dent électrique de TheClutterCat Brosse à cheveux de Sixam Sèche-cheveux de Pierisim Lingettes du jeu Fard à paupière de ATS4 Kit faux-cils de Syboulette Blush crème, déodorant, gel à sourcils, gel visage de Simkoos Gloss de Simkoos Crème pour les mains de ATS4 Crème et Rasoir, étui et solution de lentilles de Syboulette Crème, crème pour le corps de LilacCreative Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Alice - Sac à Main
Meuble d'entrée de Tuds Miroir de Littledica Plante de Awingedllama Bougie de Harrie et Felixandre Sac à main de Bergdorfverse Perrier de ATS4 Oreo de ATS4 Clés, Pince à Cheveux de ATS4 Lunettes de soleil de ATS4 Passeport, Tictac de ATS4 Rouge à lèvres de ATS4 Crème pour les mains de Platinumluxesims Chewing-gum de ATS4 Parfum de ATS4 Mouchoirs de ATS4 Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Tom - Sac de Voyage
Ventilateur de Awingedllama Radiateur du jeu Prise de Felixandre Rideaux de Pierisim Coussin de Simkoos Sac de voyage de Pierisim Vêtements pliés de Simkoos Pulls pliés de Leossims Pantalons pliés de Leosims Baskets de Syboulette Brosse à dent électrique de TheClutterCat Shampoing de Myshunosun Peigne de Platinumluxesims Crème et Rasoir de Syboulette Produits de Syboulette Crème de ATS4 Déodorant de ATS4 Crème pour les mains de ATS4 Lubrifiant de Theclutterscat Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Tom - Sac à dos
Salon de Sundays Ordinateur portable, casque de RightHearted Sac à dos de ATS4 Passeport de ATS4 Clé de Voiture de ATS4 Bouteille d'eau de ATS4 Chips de ATS4 Cigarettes de Simplex Parfum de ATS4 Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Animation de Simd
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alexar60 · 1 year ago
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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chic-a-gigot · 1 year ago
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Le Petit écho de la mode, no. 44, vol. 20, 30 octobre 1898, Paris. Nos patrons modèles. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Nous sommes heureux d’annoncer à nos lectrices que nous venons de créer à leur intention un service spécial des Patron-modèles, qui à chaque saison leur rendront de grands services.
Ces Patrons-modèles faits avec beaucoup de soin sont d’un effet charmant, et ont fort bon air, installés dans le salon d'une couturière.
Ils rendent également de grands services aux personnes qui font faire leurs toilettes par des ouvrières à la journée, ou par des couturières qui ne peuvent venir souvent à Paris, et qui par conséquent ne sont pas très au courant des dernières nouveautés.
Les Patrons-modèles sont exécutés sur des mannequins poupées, mesurant 0 m 57 de hauteur. Ils sont en fine mousseline de couleur unie ou brochée, avec garnitures imitant la fourrure, le velours ou tout autre ornement.
Sur ces jolis petits mannequins, nous exécuterons aussi bien les toilettes de ville, de cérémonie, de bal, les grandes confections, jaquettes, collets, sorties de bal ou robes d’enfants.
Prix des Patrons-modèles:
Costume complet: 15 fr. Jaquette ou collet: 7 fr. 50 Robe d'enfants: 7 fr. 50 Jupe ou corsage: 7 fr. 50 Grandes confections: 10 fr. Manches: 3 fr.
Le mannequin mesurant 0 m 57 de hauteur, recouvert en percaline grise ou noire, façon soignée, coûte 7 fr. 95, franco.
Nous rappelons à nos lectrices que notre atelier de patrons est en mesure de leur fournir les patrons coupés et assemblés (en papier ou en mousseline) de tous les modèles publiés dans notre journal, ou de tout catalogue dont elles nous enverraient le dessin.
Ce tarif des patrons est envoyé franco à toute personne qui en fera la demande, à M. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris.
We are happy to announce to our readers that we have just created a special model pattern service for them, which will be of great service to them every season.
These model patterns, made with great care, have a charming effect, and look very good installed in a seamstress's living room.
They also provide great services to people who have their ensembles made by day workers, or by seamstresses who cannot come to Paris often, and who are therefore not very aware of the latest developments.
The model patterns are made on mannequin dolls, measuring 0.57 meters in height. They are made of fine muslin in a solid color or brocade, with trimmings imitating fur, velvet or any other ornament.
On these pretty little mannequins, we will carry out city, ceremonial, ball gowns, large confections, jackets, collars, capes, or children's dresses.
Price of Model Patterns:
Complete costume: 15 fr. Jacket or collar: 7.50 fr. Children's dress: 7.50 fr. Skirt or bodice: 7.50 fr. Large confections: 10 fr. Sleeves: 3 fr.
The mannequin measuring .57 meters in height, covered in gray or black percaline, in a neat manner, costs 7.95 fr., French.
We remind our readers that our pattern workshop is able to provide them with cut and assembled patterns (in paper or muslin) of all the models published in our newspaper, or from any catalog for which they send us the drawing.
This master price list is sent free of charge to anyone who requests it, to Mr. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris.
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snowstar-fr · 13 days ago
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Discutions/Speak
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En :
Context : Captain and at her apartment at living room concentrate in his papers when la bête him make a little visit for to speak between them in play at chess even if Cap don't envy to see or play with him in view who it's pass with 4, Lunia and Snow (he try to the kill them for remember)
It's finish of course in discord one doesn't see it's agents as of object and the other see as of object usable, all the two are chief of their side
Fr :
Contexte : L'amiral et chez elle au salon concentré sur ses papiers quand la bête lui rend une petite visite pour discuter entre eux en jouant aux échecs même si L'amiral n'a pas du tout envie de le voir ou joue avec lui en vue qui c'est passé avec 4, Lunia et Snow (il a essayé de les tuer pour rappeler)
Sa se finit bien sûr en discorde l'une ne voit pas ses agents comme des pions et l'autre voit comme des objets utilisables, tout les deux sont chef de leurs côté
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mattiasprojects · 3 months ago
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June 17 / 2023 Salon de papier @ Galleri BOX
A hot and sunny afternoon during the exhibition on artistic publishing "A zine is a..." organized by Take Ten press with invited guests Fredrik Åkum and Ola Lindgren.
Great turn-up of guests for the day and interesting presentations of two different artist practices. The library was in place and we got some new donations.
Supported by Göteborgs stad.
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verver · 3 months ago
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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laurine-te · 4 months ago
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Le livre que je n’ai pas acheté
La Fondation Fiminco. Située à Romainville, c’est là que s’est déroulé le salon (Made Anywhere). Ce lieu qui est décrit comme joyeux, sensible, poétique, empli de curiosité et de partage donne l’impression d’un salon axé sur une démarche expérimentale, rassemblant artistes, éditeurs, designers, et plein d’autres… Habituée au salon du Livre jeunesse de Montreuil, je m’attends à une atmosphère chargée, étouffante, bien que dense d’ouvrages graphiques tous plus attrayants que les autres.
Le salon débute au rez-de-chaussée avec la salle des nominés Révélation Livre d’artiste. Le bâtiment est brut, alors que les tables sont couvertes de papier bulle, renforçant l’idée du livre comme objet précieux, fragile, qu’il faut manipuler avec soin. Certains sont d’ailleurs sous des plaques de verre, surélevées par des cylindres de bois.
L’espace est vaste et séparé en deux parties. Un couloir surplombé de néons colorés et décoré d’affiches aux couleurs pétantes mène à une pièce à l’atmosphère plus détendue (icono 1). Elle permet de s’assoupir, mais aussi échanger, acheter, créer… 
Les étages plus hauts sont plus lumineux et spacieux: : la hauteur sous plafond laisse une respiration visuelle agréable, et le lieu ne paraît pas surchargé malgré l’effervescence des objets et des visiteurs.
Toutes les salles sont reliées par une identité visuelle simple mais marquante par son papier jaune fluo (icono 2), qui fait toute sa force. Au-delà de l’identité du salon, tous les exposants sont reliés par le caractère libre de leurs objets : expérimentations, recherches, créations uniques… Ils ont pu être créés n’importe où et surtout librement. C’est un concept appuyé par la répétition du mot anywhere : (Made anywhere), Act!anywhere, Dance♫Dance♫Dance♫Anywhere♫…
C’est le stand d’Iconomoteur qui a attiré mon oeil, quelques instants avant de partir. C’est Jean-Claude Mattrat qui en est à l’origine : sérigraphe de formation, il réalise des ouvrages aux couvertures en toile et uniquement ornés d’un titre. A travers ses éditions, on ressent une exploration des moyens et des formes graphiques. Sans aucune narration, il suffit de se laisser contempler le contenu pour saisir l’idée d'expérimentation. C'est aussi là que je n’ai pas acheté le livre Brigandage (icono 3), mon favori. Il montrait des couleurs qui m’étaient agréables, des lignes s’entrechoquant entre elles, tout en conservant tout de même un espace de respiration qui était le bienvenu. 
Finalement, je suis sortie de ce salon l’esprit embrouillé, forcée de laisser mon esprit traiter toutes les informations qu’il avait accumulées. Avec un peu de recul, il était inspirant de me retrouver dans un espace baignant dans la créativité, tout en montrant des objets tous différents les uns des autres.
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fabiansteinhauer · 6 months ago
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Van der Velden
1.
Mit Roberto Ohrt, Julian Sirre, Patrick Schell zusammen hat der Rechtshistoriker Baastian van der Velden einen Band über Arthur Cravan veröffentlicht: Die Kunst, ich pfeife auf die Kunst. Cravan war ein Scheider, ein Passagier und Passant, jemand, der den Austritt empfahl, unter anderem denjenigen aus der Kunst. 2017 ist der Band erschienen, ein Katalog des 8. Salons. Van der Velden ist ein Knotenpunkt des kleinen juristischen Netzwerkes um Roberto Ohrt, zwei Wiethölteristen gehören dazu (einer davon bin ich, der andere bleibt bis auf weiteres anonym). Innerhalb der Theoriemosaik am MPI, mit meiner privaten Bibliothek des Institutes für wahrscheinliches und unwahrscheinliches Recht sammele ich alles zu Recht und Bild, sammele auch die Kontakte zu Spezialkenneusen und Kenneuren im Hintergrund. Einer davon ist Bastian van der Velden. Wenn ich jetzt etwas vom Recht Arthur Cravans wissen möchte, dann weiß ich, wen ich frage. Die Materialrecherche für den Band hatte in großen Anteil von der Velden erledigt.
2.
Arthur Cravan, ein Fabian, hatte einen hohen Berufsbezeichnungsverbrauch. Er wird gemütlich und vermutlich mit gutem Essen und Trinken aufgezogen, geradezu gepäppelt, das findet zwischen 1887 und 1909 in der Schweiz statt, dann ist er reif und taucht frisch und proper in Paris auf, macht Krach und gründet die Zeitschrift Maintenant. Ab jetzt hat man es schriftlich, dass Cravan Krach macht, gedichtförmig und beschimpfend - und falls das nicht langt, langt er persönlich zu, er wird also auch Boxer. Cravan macht Krawall, TamTam und RemmiDemmi, als wäre immer genau da, wo er sich gerade aufhält, ein Pantheon, an dem alles abgöttisch geliebt, aber darum auch ausgeteilt und verschleudert und hinausgeschleudert wird. Cravan kommt nach New York. Ist es die armoury show, auf der Cravan einen Auftritt als Adamit hat, damit Duchamp begeistert aber von der Security gewaltsam hinausbuchsiert wird? Kann sein.
Dass Mina Loy, die Mina Loy, die wunderbare, strahlende und fantastische Mina Loy ihn sich als Mann gewählt hat beseitigt keine Zweifel. Er muss was haben, vielleicht sogar doll sein, aber unruhig bleibt zu bestimmen, was das sein soll. Die beiden besuchen noch Trotzki in Mexico, wollen weiter nach Südamerika. Cravan hat keine Papiere und versucht es mit dem Boot, ward' ab da nimmer mehr gesehen. Cravan ist flüchtig gewesen, seit wann ist nicht zu sagen (schon weil man dem Tod keine Gründe geben darf), zuletzt ein geradezu kanonischer Flüchtling, das Ertrinken eingeschlossen. Man gehe den Dingen auf den Grund, man versenke sich in einer Sache, schreibt Hans Blumenberg in einem Text zum Meeresgrund. Cravan versenkt sich ins Leben, im Leben.
Gründen: Man kann dafür Verträge unterzeichnen Hände schütteln, Verfassungsurkunden unterzeichnen. Flüchtige und Flüchtlinge können auch Gründe geben - wie immer ist das ein Geben und Nehmen. Man nimmt was Gründliches gründlich um damit einen Grund zu haben, den man geben kann. Bei Cravan ist das manchmal ein linker Haken, manchmal ein rechter. Einmal wird er Meister, da ist er einfach in den Boxring gestiegen und sein Gegner blieb fern. Oft schreibt er Zeilen, am Schluss war es ein Segelboot.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Je t’ai écrit cette lettre
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023 pour le prompt : Je t’ai écrit ceci.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Sasuke avait loué un petit appartement à son retour à Konoha et Naruto était venu lui rendre visite dans la matinée. Ils ne s’étaient pas revus depuis le lendemain du mariage du jeune Uzumaki car lui et Hinata étaient partis en lune de miel. Ils étaient revenus la veille et Naruto avait décidé de rendre visite à son vieil ami, comme il avait déclaré à Sasuke lorsque celui-ci avait ouvert la porte de son appartement. Au bout d’un moment, Naruto remarqua une lettre posée sur la table basse du salon.
« Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-il en prenant la lettre. »
Sasuke écarquilla les yeux. C’était la lettre qu’il avait écrit à Sakura lors de son voyage de rédemption. Il lui avait écrit qu’il l’aimait et qu’il voulait qu’elle parte avec lui. Cela lui avait été plus facile de coucher ses sentiments sur un papier plutôt que de lui avouer en personne, même s’il n’avait jamais été le genre d’homme à écrire de grandes déclarations d’amour. Mais il n’avait jamais eu le courage de lui envoyer la lettre. Bien sûr, il avait fallu que Naruto la voit. Il n’osait déjà pas la donner à Sakura, alors ce n’était pas pour que Naruto la lise.
« Rends-la moi !
-C’est une lettre pour qui ? C’est pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit.
« C’est une lettre d’amour pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit encore plus et Naruto sourit jusqu’aux oreilles. Sasuke connaissait cette expression. C’était la même qu’il avait lorsqu’ils étaient genins et qu’il cherchait à l’ennuyer. Même s’il était marié et qu’il serait le prochain Hokage, par moment Sasuke avait l’impression qu’il était toujours l’enfant farceur de douze ans qu’il avait été. Naruto s’apprêtait à déplier la lettre. Sasuke se précipita sur lui, mais Naruto l’évita de justesse.
« Naruto, ragea Sasuke. »
Il ne rougissait plus à cause de la gêne qu’il ressentait, il était désormais en colère.
« Allez Sasuke, laisse-moi t’aider. Je peux te dire si ta lettre n’est pas trop mièvre. »
Sasuke essaya de l’attraper, mais Naruto l’esquiva à nouveau avant de s’enfuir par la fenêtre. Le jeune Uchiha le suivit. Il était hors de question qu’il le laisse s’en tirer comme cela. Ils se poursuivirent dans les rues de Konoha, devant le regard médusé de certains passants et indifférent d’autres habitués au comportement des deux amis. Cette poursuite se termina en combat sur le pont du village, Sasuke voulant récupérer sa lettre et Naruto refusant de la lui donner. Tous deux n’avaient pas remarqué que Kakashi les observait. Ils finirent par tomber à l’eau. Kakashi ramassa la lettre qui était tombée par terre et l’ouvrit. Il rit légèrement en la lisant.
« Et bien Sasuke, je ne savais pas que tu écrivais si bien. »
Sasuke rentrait chez lui. Il était trempé et énervé, mais au moins il avait récupéré sa lettre. Il la sortit de sa poche et la regarda à nouveau. Elle était chiffonnée mais au moins, Naruto n’avait pas réussi à la lire. Même si cela le contrariait que Kakashi l’ait lu.
« Sasuke-kun ! »
Il leva les yeux et vit Sakura arriver vers lui. Elle fronça les sourcils en voyant son état.
« Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
-Naruto, répondit-il simplement. »
Sakura acquiesça, n’étant pas surprise. Sasuke jeta un coup d’œil à la lettre. C’était maintenant où jamais. Il la lui tendit timidement.
« Je t’ai écrit cette lettre. »
Sakura rougit et la prit. Elle la déplia et commença à la lire. Elle fronça les sourcils et Sasuke sentit son cœur s’accélérer. Est-ce qu’elle allait refuser ses sentiments ? Est-ce qu’elle refuserait de partir avec lui ? Il avait l’impression que tout ce passait bien entre eux. Mais peut-être aurait-il dû réfléchir plus longtemps. Il lui demandait de quitter sa famille, son travail, ses amis pour le suivre. À quoi est-ce qu’il pensait ?
« Sasuke-kun. »
Il retint son souffle quelques secondes.
« Je ne peux pas la lire. »
Elle lui rendit la lettre et il la regarda. Elle était tâchée et par endroit, l’encre avait bavé à cause de l’eau. Elle était complètement illisible. Kakashi n’avait pas pu la lire non plus. Il s’était moqué de lui, pensa Sasuke, agacé.
« Qu’est-ce que tu m’avais écris ?
-Je te le dirai plus tard. Si on allait dîner dans ce nouveau restaurant où tu voulais aller. »
Sakura sourit et acquiesça. Il lui prit la main et ils se dirigèrent vers le restaurant. Ce n’était pas grave si elle n’avait pas lu la lettre, pensa Sasuke. Il était désormais temps qu’il lui avoue ses sentiments et cette fois il les lui dirait de vive voix.
Fin
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fster · 1 year ago
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Linogravure sur papier Wenzhou marouflée sur un dessin à l’aquarelle raté - 30x40 cm -exemplaire unique.
RENDEZ-VOUS:
Le 23 au 6B à Saint Denis pour le salon d’édition d’en plein magma organisé par @la_rage__
Les 14 et 15 octobre pour le @bib_festival aux ateliers de Bitche à Nantes
Bisou bisou
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