#rue des 3 rois
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philoursmars · 1 month ago
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Marseille, les graffiti du quartier du Cours Ju, surtout le long de la Rue des Trois Rois.
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chic-a-gigot · 5 days ago
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L'Art et la mode, no. 3, vol. 14, 21 janvier 1893, Paris. Comédie-Française: Un Père prodigue. Dessin de Marie de Solar. Bibliothèque nationale de France
Déshabillé porte par Mlle Reichenberg. Blouse de linon de soie plissée accordéon avec bandes de perles fines et cristal faisant galons. Collerette coquillant jusqu'en bas de la blouse en dentelle. Le reste du déshabillé est en satin blanc.
Negligee worn by Miss Reichenberg. Accordion pleated silk linen blouse with bands of fine pearls and crystals forming braids. Shell collar to the bottom of the lace blouse. The rest of the negligee is in white satin.
Toilette portée par Mlle Reichenberg. Jupe et corsage en velours acajou, patte et corselet en jais, faisant tout le tour de la taille.
Ensemble worn by Miss Reichenberg. Skirt and bodice in mahogany velvet, flap and bodice in jet, going all the way around the waist.
Toilette portée par Mme Pierson. Corsage et jupe en lainage gris, fichu croisé devant en guipure.
Ensemble worn by Mrs. Pierson. Grey wool bodice and skirt, crossed guipure kerchief in front.
Tricorne en paille mordorée recouverte de gaze myosotis. Touffes de velours mordoré desquelles s’échappent des couteaux mordorés. Cache peigne fait de petits paquets de myosotis. — Création originale de Mme Esther Meyer.
Tricorne in golden straw covered with forget-me-not gauze. Tufts of golden velvet from which golden knives escape. Comb cover made of small bundles of forget-me-nots. — Original creation by Mrs. Esther Meyer.
Capote en paille, garniture de jacinthe retombant devant sur les cheveux. Echarpe de velours bleu de roy retenue par deux boules de pierreries à cabochons multicolores. — Création de Mme Esther Meyer.
Straw hood, hyacinth trim falling down the front over the hair. Royal blue velvet scarf held by two balls of multi-colored cabochon gemstones.
Robe d'intérieur portée par Mile Marsy. Blouse de linon pailleté de toutes couleurs. Manches de velours magenta avec volants de dentelle noire. Palatine de zibeline.
Capote drapée, velours rose ancien, garnie de poires en perles fines, tombant sur les cheveux. Palette en broderie d’or ancien faisant ailes devant. — Ravissante création de Mme Esther Meyer, rue Royale, 6.
Housecoat worn by Mile Marsy. Blouse in sequined linen of all colors. Sleeves in magenta velvet with black lace ruffles. Palatine in sable.
Draped hood, old pink velvet, trimmed with pears in fine pearls, falling on the hair. Palette in old gold embroidery forming wings in front.
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lounesdarbois · 2 years ago
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La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
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claudehenrion · 11 months ago
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Macron va stériliser (sic !) l'infertilité...( I )
Dans le tas de mauvaises nouvelles dont aucune ne donne envie de savoir quelle sera la suivante dans la liste, une lueur d'espoir, tout de même : il était temps ! A cause de (ou grâce à) un effondrement historique (et pas moins catastrophique pour autant) de notre natalité, le''plus jeune président de l'histoire de la république et son plus jeune premier ministre depuis la nuit des temps'' (il paraît que ce serait un compliment, pour eux... alors que tout le monde --sauf eux-- sait que la valeur des années –comme celle des damnés-- n'a pas de corrélation avec la longueur du la barbe du capitaine) vont résoudre le problème de la fertilité... dont la leur démontre qu'ils ne dominent pas vraiment le problème !
Mais comme rien n'est jamais simple dans la vie (et encore moins simple dans notre ''Etat dont le roi est un enfant''(pour rendre hommage à l'Ecclésiaste qui voyait dans ce seul manque de pot complet la source de tous les malheurs possibles), il a fallu que nos jeunes immatures s'amusent à faire une chose et son contraire, comme ils adorent le faire pour ''emmerder'' (c'est eux qui le disent) les adultes : au moment où notre président prend enfin conscience que notre démographie plonge sans espoir (au moins, tant qu'il s'entêtera à ne pas prendre les 3 mesures simples qui résoudraient le problème ''pour de bon'')... il faut qu'il aille, allez savoir pourquoi, relancer un combat mortel entre le Bien et le Mal et entre le Vrai et le Faux, qui ne peut que nous faire plonger encore plus profondément dans ce mal irrémédiable : une néfaste ''constitutionnalisation'' (un mot affreux pour une chose encore plus affreuse) : on panthéonise --c'est une idée fixe, chez Macron-- l'abandon de facto du serment d'Hippocrate (''Tu ne tueras pas'') et de la liberté de conscience –et de parole, tant qu'on y est : on est progressiste, ou on ne l'est pas !
(NDLR : il faut vite que j'écrive ces mots ''à ne jamais oublier et à soigneusement conserver dans nos mémoires'' : dès demain, il sera interdit d'émettre la moindre vérité non con-forme à l'assassinat ''dans les règles'' de bébés à la veille de naître. Notre société cannibale ignore ceux qui ne peuvent pas descendre dans la rue et tout casser (les très vieux et les trop jeunes). Rappel : pour avorter à 14 semaines, il faut écraser le crâne du bébé-à-naître (eux disent ''fœtus'' : ils croient ainsi n'assassiner personne, ce qui est le plus gros mensonge de l'histoire de la science).
Vous me direz que, après les immenses conneries qui ont escorté le covid, toutes sirènes hurlantes, vers une cata XXL dont on commence à peine à apercevoir les limites illimitées... on aurait dû savoir que la seule chose à laquelle il faut s'attendre, c'est ''le pire'', avec les gangs de clowns tristes qui ne nous mènent que ''nulle part''. Mais l'âme humaine, que quelques uns croient ''faite à l'image de Dieu'' –NB : ce qui ne veut pas dire que Dieu, lui, soit ''à l'image de l'homme'' et ressemble à Macron : à la rigueur, certains l'ont comparé à Jupiter, les pauvres. Mais à Dieu... Ah ! ça... non, Dieu merci, si j'ose !-- est pleine de ressources, et refuse ce qui serait trop lourd pour elle à supporter... Un faible espoir pour une catastrophe irrémédiable... dont personne n'avait besoin.
Mais revenons à l'infertilité, promue ''grande cause nationale'', ce qui veut dire qu'on va nommer, à grands frais pour changer, un ''comité d'experts'' (comme les médicastres qui ont menti et/ou se sont trompés sur tout, à propos du covid –-- ou, à propos de l'Ukraine, ces généraux dont pas un seul n'a imaginé ce qui s'est passé, et qui continuent à refuser de voir ce qui crève les yeux : ils ont eu tout faux depuis le début !) qui vont aligner poncifs, fausses évidences et lieux communs sur un sujet sur lequel ils sont… puceaux ! Ce comité ne sera certainement pas ''Théodule'' --ce qui veut dire, étymologiquement : ''qui est au service de Dieu !''--, mais plutôt ''théoclaste'' (= qui brise Dieu) ou théophage (= qui bouffe du dieu)... mais son inefficacité coûteuse, foncière, incontournable n'est déjà plus à démontrer (elle est ''de système').
Grâce aux crétineries XXL de hollande, et par la faute des faux-prophètes d'un réchauffement général (qui rendent les avions, les SUV et les bagnoles au diesel responsables de la sécheresse au Sahara !), la France, cette ex-bonne élève de la démographie, rentre dans le rang et n'assure plus le fameux ''remplacement des générations'', ce qui justifie le vent de panique chez nos pseudo-élites –qui tremblent à l'idée qu'il y ait moins de con-tribuables pour leurs fins de mois-- et les poncifs idiots de nos puceaux ès-gauloiseries (alors qu'il suffirait, là comme ailleurs, de simplement annuler toutes les mesures stupides prises par hollande, responsable et coupable).
Mais manque de pot, c'est sur la terre entière que ce phénomène est perceptible. Les géographes de l'Université de Bruxelles viennent de terminer une étude qui démontre que –tenez-vous bien !- 64,4 % de la population mondiale se situe sous le seuil du simple renouvellement des générations. Pour l'Institut démographique de Vienne (en Autriche, pas dans le Dauphiné !), 1/3 des femmes d'Asie (Japon, Sud Corée, Singapour, Taïwan...) n'auront pas d'enfant... Et les chiffres officiels de l'ONU (pour ce que vaut cette source empoisonnée !) s'inquiètent (se réjouissent, plus souvent !) d'une ''Baisse massive de la fécondité de 2000 à 2020''. Nos auto-préposés à la gaudriole ont du pain sur la planche ! Et s'ils n'étaient pas aussi infatués, prétentieux et incultes, ils connaîtraient la suite de la triste vérité :
Le ''taux de fécondité'' était , mondialement, de 4,8 enfants par femme en 1970, tombait à 3,7 en 1980, puis à 3,3 en 1990, à 2,8 en 2000 avant de se ramasser à 2,3 en 2021 –dernier chiffre disponible. ''Ça, Madame, c'est de la chute... ou je m'y connais pas'', dirait mon amie Madame Michu ! Et comme pour compliquer la tache tâche de notre Comité théophobe en gestation, on apprend que les zones où la fécondité est ''très faible'' (c'est-à-dire inférieure à 1,7 enfant par femme) représentent 40,8 % de la Terre, dont toute l'Europe. C'est dans ce club de 3ème division que la France vient de faire son entrée : première en con-FISC-ation, mais dernière pour la bagatelle (présenté comme ça... on commence à comprendre : le lemme n°2 est une conséquence du lemme n°1, CQFD !). Mais même les régions ''à forte natalité'' (> 3,5 enfants par femme), concentrées en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud-est, ont commencé une forte décrue (elles viennent de 5, voire 7, en moyenne !) grâce à ou à cause des études des filles et (donc) de l'âge au premier enfant... et de la contraception, même pas con-stitutionnelle, là-bas. Ils vont avoir du bouleau, nos puceaux !
Le monde actuel, dans le fond, est beaucoup plus rigolo que nous, ses utilisateurs / usagers, ne le vivons : il se complaît à nous faire des niches perpétuelles, et à peine les plus prétentieux d'entre nous ont-ils la vague impression qu'ils commencent à piger un truc (ce qu'ils transforment aussitôt en ''programmes absurdes'' s'ils sont députés européens ou –et c'est pire !-- membres de la grosse Commission qui assassine l'Europe sous ses mauvaises idées... C'est simple : entre eux et nos ministres, on ne peut dire qui est le plus pervers, le plus vicelard, le plus nocif, le plus mortifère...
Au moment où ils racontent qu'il voudraient lutter contre le refroidissement démographique ambiant (= la fin, à terme, de toute humanité), ils n'ont rien trouvé de plus contre-performant que de ''sanctifier'' un faux principe démoniaque... Toutes les données vont être bouleversées et mises cul par dessus tête, nos Nuls n'ayant, évidemment, rien vu venir des catastrophes immenses que ce vote (que je me dépêche de dire criminel avant le ''saut vers la mort''--et non pas ''de la mort''-- qui entrera en vigueur demain), va –et ne peut que-- entraîner... Encore eût-il fallu qu'ils sachent (NDLR-2 : je préfère cette forme à ''sussent'', grammaticalement plus correct mais qui peut prêter à sourire, le monde et nos politiciens étant... ce que nous savons !) ''de quoi ils blatèrent''...
H-Cl.
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if-you-fan-a-fire · 1 year ago
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"2 jeunes gens sont morts de façon tragique," La Presse. August 10, 1943. Page 3. --- Ils auraient bu de l'alcool de bois dimanche dernier. - Enquête demain. ---- Deux adolescents ont succombé, ce matin, à un empoisonnement causé par l'absorption d'alcool de bols. Tous deux sont de S.-Henri. Il s'agit de Marcel Roy, 14 ans, 5172, rue Ste- Marle, et de Marcel S.-Jean, 15 ans, 5061 ouest, rue Notre-Dame,
Le premier a succombé vers 2 h., ce matin, en l'hôpital Général de Verdun où il avait été transporté hier soir. Le second est mort vers 8 h. ce matin à l'hôpital Général, division ouest. Les cadavres furent transportés à la morgue de Montréal où une enquête sera ouverte demain matin avec un jury sous la présidence du Dr Pierre Hebert, coroner conjoint du district de Montréal.
Témoignages des parents D'après les témoignages des parents des victimes voici les détails de cette tragédie: Les deux jeunes hommes étalent partis de leur domicile respectif de bonne heure dimanche après-midi pour se rendre, avec un groupe d'amis, au parc Lafontaine. Ils y avaient passé l'après-midi.
Au cours de la soirée du même jour, ils s'étalent rendus, avec les mêmes amis, à une soirée d'amateurs qui avait lieu au stade Notre- Dame, chemin de la Côte S.-Paul.
Le frère d'une des victimes, M. Lucien S.-Jean, nous a déclaré que ce serait au cours de la soirée que les deux malheureux auraient absorbé la boisson mortelle.
Il nous a encore déclaré qu'hier matin, Mme Hugues S.-Jean réveilla son fils, Marcel, à l'heure habituelle, pour aller travailler. Cependant, le jeune homme refusa de se lever, révélant à sa mère qu'il souffrait d'un violent mal de tête et de maux d'estomac. Elle lui demanda alors ce qu'il avait mangé ou bu la veille. Il répondit qu’il n'avait rien bu et qu'il se sentait simplement malade. Sur la fin de l'après-midi d'hier, M. Lucien S.-Jean constata que l'état de son frère empirait. "Les yeux lui sortaient de la tête", dit-il, et il avait l'écume à la bouche.
"Il était presque méconnaissable". C'est alors qu'll fit venir le Dr Laurin, de la rue Notre-Dame ouest, qui lui conseilla de faire transporter le malade à l'hôpital.
Mustisme complet "Nous avons tenté par tous les moyens, durant la journée de lundi, de lui faire avouer ce qu'il avait absorbé, mais ce fut en vain. Ce n'est qu'à l'hôpital qu'il nous déclara avoir pris de l'alcool avec des amis. Il n'a j'amais voulu nous dire qui lui avait donné la boisson".
"Après avoir fait transporter mon frère à l'hôpital, ajouta M. Lucien S.-Jean, je me rendis chez les parents du jeune Roy. Je savais que Marcel Roy soufrait du même mal. Je leur enjoignis de faire transporter leur fils à l'hôpital.
M. et Mme Joseph Roy, parents de l'autre victime, nous ont déclaré qu'ils tentèrent eux aussi de faire avouer à leur enfant ce qu'il avait pala. Es n'obtinrent pas plus de succès. Le Dr Archambault prodigua les premiers soins au jeune Roy.
Les deux adolescents conservèrent le plus absolu mutisme jusqu'à leur dernière heure. Mais on croit qu'un adulte leur aurait fourni l’alcool. Le Dr Jean-Marie Roussel, médecin-légiste, nous déclarait ce matin qu'à leur äge un ou deux onces d'alcool de bols suffisaient pour causer la mort. Même si les deux victimes avalent déclaré plus tôt qu'ils avaient absorbé une telle boisson on aurait eu peu de chances de les sauver.
Les sergants détectives Fitzparick et Senecal, de l'escouade des homicides font aujourd'hui une en- quête dans ce cas. On s'attend à des révélations prochaines. Legende:
MARCEL ROY (à gauche) et MARCEL SAINT-JEAN, morts dans des circonstances étranges à l'hôpital après avoir bu, dimanche dernier, ce que l'on croit être de l'alcool de bois.
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leblogdemarinaetjm · 1 year ago
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SAMEDI 9 DECEMBRE 2023 (Billet 3/3)
« HÔTEL DE LA MARINE »
Cela faisait longtemps que nous voulions le visiter. Enfin, hier matin, nos billets réservés depuis la veille, nous y sommes allés… et AVONS ÉTÉ LITTÉRALEMENT É-MER-VEI-LLÉS !
Impossible de vous décrire par le menu toutes les véritables splendeurs que nous avons vues. Juste vous montrer quelques photos, pas plus… pour vous laisser la surprise lorsque vous viendrez à votre tour.
Notre conseil : n’y allez pas… précipitez-vous-y !
A noter :
1) Pour visiter l’Hôtel de la Marine, la réservation est obligatoire et les jauges, pour une fois, sont strictement respectées. Vous pourrez déambuler dans les différentes pièces de l’Hôtel sans être incommodés par un grand nombre de visiteurs. C’est hyper appréciable, surtout après les mauvaises expériences des Expositions Van Gogh et Modigliani.
2) Et la scénographie sonore des audioguides est REMARQUABLE. Là aussi, nous ne vous en disons pas trop. Elle est très bien faite et l’idée est très originale.
Si vous en avez envie, lisez ci-dessous l’historique des lieux, vous serez peut-être moins dépaysés ensuite sur place.
Les photos sont à la fin du Billet.
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Les Parisiens connaissent bien ce monument dont la façade orne la partie nord-est de la Place de la Concorde. Souvent, ils en connaissent le nom. Mais peut-être moins l'histoire. Nous vous invitons à découvrir les secrets de l’Hôtel de la Marine, lieu emblématique de Paris mais également grand témoin de l’histoire de France.
La place Louis XV, actuelle Place de la Concorde, doit sa création à la volonté de la Ville de Paris d’édifier une statue en l'honneur du Roi Louis XV en 1748. Pour mettre en valeur cette statue équestre, l’idée d’une place à la gloire du roi, sur le modèle de la place Vendôme et de la place des Vosges, fait son chemin. 
Après de nombreuses hésitations, le Roi Louis XV donne un emplacement qui lui appartient à l’ouest de la ville, aux abords du jardin des Tuileries. Un concours d’architecture est alors lancé pour l’aménagement de cette place. Dix-neuf propositions sont déposées mais aucune ne satisfait le Roi. Il en est de même du second concours organisé.
Après cinq ans de débats, c’est Ange-Jacques Gabriel, Premier architecte du Roi, qui effectue une synthèse des différents projets pour créer les plans définitifs de la future place Louis XV.
La statue du Roi sera au centre. Au sud de la place, la Seine. Au nord, deux palais jumeaux aux façades classiques monumentales de part et d’autre de la rue Royale.
À la chute de la monarchie, cette place « Louis XV » changera de nom pour devenir « Place de la Révolution » puis « Place de la Concorde » à partir de 1795.
L’INSTALLATION DU GARDE-MEUBLE DE LA COURONNE
Après l’édification des plans et le lancement des travaux d’aménagement de la place, il est temps de trouver une affectation pour les deux palais situés au nord. 
C’est en 1765 que l’on décide d’installer le Garde-Meuble royal, institution en charge du mobilier du Roi, dans le palais le plus à l’est, le futur Hôtel de la Marine.
Pierre-Elisabeth de Fontanieu, intendant à la tête du Garde-Meuble, en profite pour faire aménager l’Hôtel pour répondre pleinement aux besoins de son administration : lieux de stockage, ateliers, appartements de fonction, galeries d'exposition... Durant près de vingt-cinq ans, le Garde-Meuble et son intendant vont occuper le palais.
Cette institution était en charge de l’aménagement des résidences royales, de l’entretien de leur mobilier, de la conservation des collections royales d’armes et d’armures et enfin des diamants de la Couronne.
PENDANT LA RÉVOLUTION
La Révolution française, qui éclate en 1789, change à jamais l’histoire de ce palais de la place Louis XV. Les jours du Garde-Meuble, symbole de l’administration et du faste royal, sont comptés. 
Deux événements marquent l’histoire du lieu. 
Le 13 juillet 1789, les révolutionnaires s’emparent des armes exposées dans la salle d’armes. Le lendemain, ils iront chercher des munitions à… la Bastille.
Le 16 septembre 1792, le vol des bijoux de la Couronne. Dans la nuit, une quarantaine de personnes entrent dans le salon où sont exposés les bijoux, et dérobent un butin de près de 30 millions de francs.
Symbole de l’Ancien Régime, le Garde-Meuble est purement et simplement supprimé lors de la Révolution. Une partie des meubles et objets d’art est alors vendue aux enchères ou brûlée, notamment pour en récupérer les métaux précieux. 
En 1800, l'institution est recréée sous le nom de Garde-Meuble des Consuls. Elle deviendra ensuite Mobilier impérial puis finalement Mobilier National en 1870. Le Mobilier national est toujours en charge des meubles des différentes institutions nationales telles que l’Elysée.
LE SIÈGE DU MINISTÈRE DE LA MARINE PENDANT 226 ANS
Dès le début de la Révolution, le Roi Louis XVI quitte Versailles pour Paris. Toutes les administrations de l’État présentes à Versailles doivent donc regagner la capitale. Mais un obstacle de taille se dresse : où les installer ? Le Ministère de la Marine s’installe dans le palais abritant le Garde-Meuble en 1789. C’est le début de deux siècles de présence de cette administration dans ce palais qui portera désormais le nom d’Hôtel de la Marine. Le ministère de la Marine ne quittera le bâtiment qu'en 2015.
2020, UNE NOUVELLE ÈRE POUR L’HÔTEL DE LA MARINE
Depuis le départ du ministère de la Marine, l’Hôtel de la Marine est confié au Centre des Monuments Nationaux. Chargé de mettre en valeur ce patrimoine exceptionnel, le CMN a mené une restauration de grande ampleur de l’ensemble du monument entre 2017 et 2021, pour ouvrir le monument au public et rendre aux appartements des intendants du Garde-Meuble royal leur faste du XVIIIe siècle.
Depuis 2017, les campagnes de restauration ont mis au jour de véritables merveilles, avec notamment la redécouverte des décors originaux des appartements de l’intendant tels qu’ils étaient à la fin du XVIIIe siècle.
(Source : « Plaquette de l’Hôtel de la Marine »)
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lesmislettersdaily · 2 years ago
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The Year 1817
Volume 1: Fantine; Book 3: In The Year 1817; Chapter 1: The Year 1817
1817 is the year which Louis XVIII., with a certain royal assurance which was not wanting in pride, entitled the twenty-second of his reign. It is the year in which M. Bruguière de Sorsum was celebrated. All the hairdressers’ shops, hoping for powder and the return of the royal bird, were besmeared with azure and decked with fleurs-de-lys. It was the candid time at which Count Lynch sat every Sunday as church-warden in the church-warden’s pew of Saint-Germain-des-Prés, in his costume of a peer of France, with his red ribbon and his long nose and the majesty of profile peculiar to a man who has performed a brilliant action. The brilliant action performed by M. Lynch was this: being mayor of Bordeaux, on the 12th of March, 1814, he had surrendered the city a little too promptly to M. the Duke d’Angoulême. Hence his peerage. In 1817 fashion swallowed up little boys of from four to six years of age in vast caps of morocco leather with ear-tabs resembling Esquimaux mitres. The French army was dressed in white, after the mode of the Austrian; the regiments were called legions; instead of numbers they bore the names of departments; Napoleon was at St. Helena; and since England refused him green cloth, he was having his old coats turned. In 1817 Pelligrini sang; Mademoiselle Bigottini danced; Potier reigned; Odry did not yet exist. Madame Saqui had succeeded to Forioso. There were still Prussians in France. M. Delalot was a personage. Legitimacy had just asserted itself by cutting off the hand, then the head, of Pleignier, of Carbonneau, and of Tolleron. The Prince de Talleyrand, grand chamberlain, and the Abbé Louis, appointed minister of finance, laughed as they looked at each other, with the laugh of the two augurs; both of them had celebrated, on the 14th of July, 1790, the mass of federation in the Champ de Mars; Talleyrand had said it as bishop, Louis had served it in the capacity of deacon. In 1817, in the side-alleys of this same Champ de Mars, two great cylinders of wood might have been seen lying in the rain, rotting amid the grass, painted blue, with traces of eagles and bees, from which the gilding was falling. These were the columns which two years before had upheld the Emperor’s platform in the Champ de Mai. They were blackened here and there with the scorches of the bivouac of Austrians encamped near Gros-Caillou. Two or three of these columns had disappeared in these bivouac fires, and had warmed the large hands of the Imperial troops. The Field of May had this remarkable point: that it had been held in the month of June and in the Field of March (Mars). In this year, 1817, two things were popular: the Voltaire-Touquet and the snuff-box à la Charter. The most recent Parisian sensation was the crime of Dautun, who had thrown his brother’s head into the fountain of the Flower-Market.
They had begun to feel anxious at the Naval Department, on account of the lack of news from that fatal frigate, The Medusa, which was destined to cover Chaumareix with infamy and Géricault with glory. Colonel Selves was going to Egypt to become Soliman-Pasha. The palace of Thermes, in the Rue de La Harpe, served as a shop for a cooper. On the platform of the octagonal tower of the Hotel de Cluny, the little shed of boards, which had served as an observatory to Messier, the naval astronomer under Louis XVI., was still to be seen. The Duchesse de Duras read to three or four friends her unpublished Ourika, in her boudoir furnished by X. in sky-blue satin. The N’s were scratched off the Louvre. The bridge of Austerlitz had abdicated, and was entitled the bridge of the King’s Garden [du Jardin du Roi], a double enigma, which disguised the bridge of Austerlitz and the Jardin des Plantes at one stroke. Louis XVIII., much preoccupied while annotating Horace with the corner of his finger-nail, heroes who have become emperors, and makers of wooden shoes who have become dauphins, had two anxieties,—Napoleon and Mathurin Bruneau. The French Academy had given for its prize subject, The Happiness procured through Study. M. Bellart was officially eloquent. In his shadow could be seen germinating that future advocate-general of Broë, dedicated to the sarcasms of Paul-Louis Courier. There was a false Chateaubriand, named Marchangy, in the interim, until there should be a false Marchangy, named d’Arlincourt. Claire d’Albe and Malek-Adel were masterpieces; Madame Cottin was proclaimed the chief writer of the epoch. The Institute had the academician, Napoleon Bonaparte, stricken from its list of members. A royal ordinance erected Angoulême into a naval school; for the Duc d’Angoulême, being lord high admiral, it was evident that the city of Angoulême had all the qualities of a seaport; otherwise the monarchical principle would have received a wound. In the Council of Ministers the question was agitated whether vignettes representing slack-rope performances, which adorned Franconi’s advertising posters, and which attracted throngs of street urchins, should be tolerated. M. Paër, the author of Agnese, a good sort of fellow, with a square face and a wart on his cheek, directed the little private concerts of the Marquise de Sasenaye in the Rue Ville l’Évêque. All the young girls were singing the Hermit of Saint-Avelle, with words by Edmond Géraud. The Yellow Dwarf was transferred into Mirror. The Café Lemblin stood up for the Emperor, against the Café Valois, which upheld the Bourbons. The Duc de Berri, already surveyed from the shadow by Louvel, had just been married to a princess of Sicily. Madame de Staël had died a year previously. The body-guard hissed Mademoiselle Mars. The grand newspapers were all very small. Their form was restricted, but their liberty was great. The Constitutionnel was constitutional. La Minerve called Chateaubriand Chateaubriant. That t made the good middle-class people laugh heartily at the expense of the great writer. In journals which sold themselves, prostituted journalists, insulted the exiles of 1815.
David had no longer any talent, Arnault had no longer any wit, Carnot was no longer honest, Soult had won no battles; it is true that Napoleon had no longer any genius. No one is ignorant of the fact that letters sent to an exile by post very rarely reached him, as the police made it their religious duty to intercept them. This is no new fact; Descartes complained of it in his exile. Now David, having, in a Belgian publication, shown some displeasure at not receiving letters which had been written to him, it struck the royalist journals as amusing; and they derided the prescribed man well on this occasion. What separated two men more than an abyss was to say, the regicides, or to say the voters; to say the enemies, or to say the allies; to say Napoleon, or to say Buonaparte. All sensible people were agreed that the era of revolution had been closed forever by King Louis XVIII., surnamed “The Immortal Author of the Charter.” On the platform of the Pont-Neuf, the word Redivivus was carved on the pedestal that awaited the statue of Henry IV. M. Piet, in the Rue Thérèse, No. 4, was making the rough draft of his privy assembly to consolidate the monarchy. The leaders of the Right said at grave conjunctures, “We must write to Bacot.” MM. Canuel, O’Mahoney, and De Chappedelaine were preparing the sketch, to some extent with Monsieur’s approval, of what was to become later on “The Conspiracy of the Bord de l’Eau”—of the waterside. L’Épingle Noire was already plotting in his own quarter. Delaverderie was conferring with Trogoff. M. Decazes, who was liberal to a degree, reigned. Chateaubriand stood every morning at his window at No. 27 Rue Saint-Dominique, clad in footed trousers, and slippers, with a madras kerchief knotted over his gray hair, with his eyes fixed on a mirror, a complete set of dentist’s instruments spread out before him, cleaning his teeth, which were charming, while he dictated The Monarchy according to the Charter to M. Pilorge, his secretary. Criticism, assuming an authoritative tone, preferred Lafon to Talma. M. de Féletez signed himself A.; M. Hoffmann signed himself Z. Charles Nodier wrote Thérèse Aubert. Divorce was abolished. Lyceums called themselves colleges. The collegians, decorated on the collar with a golden fleur-de-lys, fought each other apropos of the King of Rome. The counter-police of the château had denounced to her Royal Highness Madame, the portrait, everywhere exhibited, of M. the Duc d’Orléans, who made a better appearance in his uniform of a colonel-general of hussars than M. the Duc de Berri, in his uniform of colonel-general of dragoons—a serious inconvenience. The city of Paris was having the dome of the Invalides regilded at its own expense. Serious men asked themselves what M. de Trinquelague would do on such or such an occasion; M. Clausel de Montals differed on divers points from M. Clausel de Coussergues; M. de Salaberry was not satisfied. The comedian Picard, who belonged to the Academy, which the comedian Molière had not been able to do, had The Two Philiberts played at the Odéon, upon whose pediment the removal of the letters still allowed THEATRE OF THE EMPRESS to be plainly read. People took part for or against Cugnet de Montarlot. Fabvier was factious; Bavoux was revolutionary. The Liberal, Pélicier, published an edition of Voltaire, with the following title: Works of Voltaire, of the French Academy. “That will attract purchasers,” said the ingenious editor. The general opinion was that M. Charles Loyson would be the genius of the century; envy was beginning to gnaw at him—a sign of glory; and this verse was composed on him:—
“Even when Loyson steals, one feels that he has paws.”
As Cardinal Fesch refused to resign, M. de Pins, Archbishop of Amasie, administered the diocese of Lyons. The quarrel over the valley of Dappes was begun between Switzerland and France by a memoir from Captain, afterwards General Dufour. Saint-Simon, ignored, was erecting his sublime dream. There was a celebrated Fourier at the Academy of Science, whom posterity has forgotten; and in some garret an obscure Fourier, whom the future will recall. Lord Byron was beginning to make his mark; a note to a poem by Millevoye introduced him to France in these terms: a certain Lord Baron. David d’Angers was trying to work in marble. The Abbé Caron was speaking, in terms of praise, to a private gathering of seminarists in the blind alley of Feuillantines, of an unknown priest, named Félicité-Robert, who, at a latter date, became Lamennais. A thing which smoked and clattered on the Seine with the noise of a swimming dog went and came beneath the windows of the Tuileries, from the Pont Royal to the Pont Louis XV.; it was a piece of mechanism which was not good for much; a sort of plaything, the idle dream of a dream-ridden inventor; an utopia—a steamboat. The Parisians stared indifferently at this useless thing. M. de Vaublanc, the reformer of the Institute by a coup d’état, the distinguished author of numerous academicians, ordinances, and batches of members, after having created them, could not succeed in becoming one himself. The Faubourg Saint-Germain and the pavilion de Marsan wished to have M. Delaveau for prefect of police, on account of his piety. Dupuytren and Récamier entered into a quarrel in the amphitheatre of the School of Medicine, and threatened each other with their fists on the subject of the divinity of Jesus Christ. Cuvier, with one eye on Genesis and the other on nature, tried to please bigoted reaction by reconciling fossils with texts and by making mastodons flatter Moses.
M. François de Neufchâteau, the praiseworthy cultivator of the memory of Parmentier, made a thousand efforts to have pomme de terre [potato] pronounced parmentière, and succeeded therein not at all. The Abbé Grégoire, ex-bishop, ex-conventionary, ex-senator, had passed, in the royalist polemics, to the state of “Infamous Grégoire.” The locution of which we have made use—passed to the state of—has been condemned as a neologism by M. Royer Collard. Under the third arch of the Pont de Jéna, the new stone with which, the two years previously, the mining aperture made by Blücher to blow up the bridge had been stopped up, was still recognizable on account of its whiteness. Justice summoned to its bar a man who, on seeing the Comte d’Artois enter Notre Dame, had said aloud: “Sapristi! I regret the time when I saw Bonaparte and Talma enter the Bel Sauvage, arm in arm.” A seditious utterance. Six months in prison. Traitors showed themselves unbuttoned; men who had gone over to the enemy on the eve of battle made no secret of their recompense, and strutted immodestly in the light of day, in the cynicism of riches and dignities; deserters from Ligny and Quatre-Bras, in the brazenness of their well-paid turpitude, exhibited their devotion to the monarchy in the most barefaced manner.
This is what floats up confusedly, pell-mell, for the year 1817, and is now forgotten. History neglects nearly all these particulars, and cannot do otherwise; the infinity would overwhelm it. Nevertheless, these details, which are wrongly called trivial,—there are no trivial facts in humanity, nor little leaves in vegetation,—are useful. It is of the physiognomy of the years that the physiognomy of the centuries is composed. In this year of 1817 four young Parisians arranged “a fine farce.”
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christophe76460 · 22 days ago
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✅ La vie de prière de Daniel
Alors ces présidents et ces satrapes s’assemblèrent en foule auprès du roi, et lui parlèrent ainsi : Roi Darius ! que tu vives à toujours ! Tous les présidents du royaume, les préfets et les satrapes, les conseillers et les gouverneurs, ont tenu conseil ensemble pour établir un statut royal et mettre en vigueur une défense, portant que quiconque fera une demande à quelque dieu ou à quelque homme que ce soit, durant 30 jours, excepté à toi, ô roi, sera jeté dans la fosse aux lions. Daniel 6. 7-8
✅ La vie de prière de Daniel
La Parole de Dieu a donné à Daniel des directives claires pour les circonstances dans lesquelles il se trouvait. La prière de Salomon, lors de la dédicace du temple, anticipait ses difficultés : “S’ils… rentrent en eux-mêmes, et… reviennent à toi et te supplient… et te prient en se tournant vers leur pays… vers la ville que tu as choisie et vers la maison que j’ai bâtie pour ton nom ; alors, écoute dans les cieux, le lieu de ton habitation” (1 Rois 8. 46-49). Ayant foi en Dieu, Daniel a agi conformément à la Parole de Dieu.
L’esprit charnel pourrait suggérer : Pourquoi ne pas fermer la fenêtre et prier en secret ? – Refusant tout compromis de ce genre, Daniel a continué de prier avec ses fenêtres ouvertes. Mais s’il devait prier ainsi, pourquoi choisir une pièce donnant sur la rue ? Sans hésiter, Daniel a prié dans sa chambre en direction de Jérusalem. Alors s’il devait prier avec la fenêtre ouverte vers Jérusalem, pourquoi avait-il besoin de se mettre à genoux ? Ne pouvait-il pas adopter une autre position, pour éviter d’attirer l’attention sur le fait qu’il était en train de prier ? – Non, Daniel ne voulait pas renoncer à la bonne attitude devant Dieu : il s’est agenouillé, comme d’habitude. Et s’il devait prier avec les fenêtres ouvertes regardant vers Jérusalem en se mettant à genoux, était-il nécessaire de le faire trois fois par jour ? Il aurait certainement pu prier tôt le matin, avant que tout le monde ne passe par là, ou tard le soir lorsque tout le monde était parti. En fait, n’aurait-il pas pu, pendant ces 30 jours, renoncer à prier de jour et prier plutôt de nuit ? Dieu peut voir et entendre dans l’obscurité.
Aucune de ces suggestions n’influence Daniel ; il prie trois fois par jour, et en plein jour. Ainsi, bien qu’il soit en captivité, et entouré par ceux qui complotent contre sa vie, il trouve l’occasion de remercier Dieu aussi bien que de le prier. De plus, il prie et rend grâces “devant son Dieu” (Daniel 6. 10). Les hommes peuvent le voir prier, mais c’est devant Dieu, et non devant les hommes, qu’il prie. Et ce n’était pas pour Daniel quelque chose de nouveau.
⦁ < > H. Smith
⦁ Vendredi 3 janvier 2025
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csflkw2024 · 1 month ago
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17 décembre 2024
Charleston a été fondée en 1670 sous le nom « Charles Town », en l’honneur du roi Charles II d’Angleterre. Les américains ont plus tard renommé la ville lorsqu’ils ont commencé à assumer une identité autonome, n’étant plus reliée à la culture britannique, mais le nom d’origine n’est pas resté bien loin.
Fait intéressant, la plus vieille partie de la ville est aujourd’hui nommée French Quarter. C’est que dans les années 1680, plusieurs centaines d’huguenots, les protestants français, sont venus s’établir dans la toute nouvelle ville. Louis XIV venait de révoquer l’Édit de Nantes et retirait les droits des protestants en France, qui devenait un pays où seule la religion du roi, le catholicisme, était en vigueur. Ils ont été nombreux à fuir la France, et les 500 à 700 huguenots à choisir Charleston comme nouveau lieu de vie, qui leur garantissait la liberté de religion, ont marqué en profondeur les débuts de la ville. Il ne reste pas beaucoup de traces de ce lointain passé, mais un immeuble témoigne toujours de la présence des Français : l’église huguenote, située au cœur de ce French Quarter (photo 1). L’immeuble a connu plusieurs reconstructions au fil du temps ; l’édifice actuel a été construit dans les années 1840 dans le style néo-gothique. On mentionne que l’église y célèbre encore une messe en français, une fois par année.
Pour la photo 2, on trouve l’hôtel de ville de Charleston, construit entièrement par des esclaves au 19ème siècle. Je mentionne que le conseil municipal de la ville a attendu jusqu’en 2018 avant d’adresser ses excuses pour le rôle de la ville dans le système esclavagiste. Sur 12 élus, 7 ont voté pour les excuses, 5 ont voté contre. Preuve comme quoi les démons du passé n’ont pas fini de diviser ici.
Le marché public de la ville (photo 3) et le bâtiment principal du Charleston College (photo 4) sont de style néo-classique et se caractérisent par leur emprunt aux styles grecs et romains, tant par l’emploi des colonnades que par leurs frontons triangulaires.
Dans la plus vieille partie de la ville, on trouve quelques jolies ruelles (alleys) comme celle de Philadelphia (photo 5), ornée de végétation de de murs colorés. On trouve aussi quelques rues pavées de pierres (cobblestones). Ces pierres proviennent directement d’Angleterre. Au début du 18ème siècle, les navires anglais devaient remplir les calles pour les alourdir en traversant l’Atlantique, pour ensuite rapporter les produits du Nouveau Monde. On plaçait donc de vulgaires pierres au fond des navires, puis on les jetait ensuite par-dessus bord dans le port de Charleston pour faire de la place. Les habitants de la ville ont plus tard récupéré ces pierres accumulées et ils les ont utilisées comme pavés pour les rues de la ville. Les rues qui sont encore pavées de la sorte aujourd’hui le sont toujours par ces mêmes pierres anglaises (photo 6).
Près du port, on trouve une drôle de fontaine en forme d’ananas. Elle est devenue un symbole de Charleston grâce à sa forme originale (photo 7).
Dans le French Quarter, on trouve également un témoignage émouvant du passé peu reluisant de la ville : le Marché aux esclaves (photo 8). C’est l’un des derniers marchés du genre encore debout. On y venait, avant la guerre de Sécession, pour s’acheter ou vendre un esclave… Il a été transformé en musée consacré à l’histoire de l’esclavage.
Enfin, pour les deux dernières images, deux beaux immeubles du 20ème siècle dans leurs habits de nuit. La Charleston Library Society (photo 9), construite en 1914 dans le style beaux-arts, et le théâtre Riviera, construit en 1939 dans le plus pur style art déco (photo 10).
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philoursmars · 11 days ago
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Marseille, début Janvier. Dans le quartier du Cours Julien, vers les Rue des Trois Rois et Rue des Trois Frères Barthélémy.
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yes-bernie-stuff · 1 month ago
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Actes 9
Conversion de Saul
1 Cependant Saul, respirant encore la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le souverain sacrificateur, 2 et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amène liés à Jérusalem. 3 Comme il était en chemin, et qu’il approchait de Damas, tout à coup une lumière venant du ciel resplendit autour de lui. 4 Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? 5 Il répondit : Qui es-tu, Seigneur ? Et le Seigneur dit : Je suis Jésus que tu persécutes. [Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. 6 Tremblant et saisi d’effroi, il dit : Seigneur, que veux-tu que je fasse ? Et le Seigneur lui dit :] Lève-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire. 7 Les hommes qui l’accompagnaient demeurèrent stupéfaits ; ils entendaient bien la voix, mais ils ne voyaient personne. 8 Saul se releva de terre, et, quoique ses yeux soient ouverts, il ne voyait rien ; on le prit par la main, et on le conduisit à Damas. 9 Il resta trois jours sans voir, et il ne mangea ni ne but. 10 Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananias. Le Seigneur lui dit dans une vision : Ananias ! Il répondit : Me voici, Seigneur ! 11 Et le Seigneur lui dit : Lève-toi, va dans la rue qu’on appelle la droite, et cherche, dans la maison de Judas, un nommé Saul de Tarse. 12 Car il prie, et il a vu en vision un homme du nom d’Ananias, qui entrait, et qui lui imposait les mains, afin qu’il recouvre la vue. Ananias répondit : 13 Seigneur, j’ai appris de plusieurs personnes tous les maux que cet homme a faits à tes saints dans Jérusalem ; 14 et il a ici des pouvoirs, de la part des principaux sacrificateurs, pour lier tous ceux qui invoquent ton nom. 15 Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël ; 16 et je lui montrerai tout ce qu’il doit souffrir pour mon nom. 17 Ananias sortit ; et, lorsqu’il fut arrivé dans la maison, il imposa les mains à Saul, en disant : Saul, mon frère, le Seigneur Jésus, qui t’est apparu sur le chemin par lequel tu venais, m’a envoyé pour que tu recouvres la vue et que tu sois rempli du Saint-Esprit. 18 Au même instant, il tomba de ses yeux comme des écailles, et il recouvra la vue. Il se leva, et fut baptisé ; 19 et, après qu’il eut pris de la nourriture, les forces lui revinrent. Saul resta quelques jours avec les disciples qui étaient à Damas. 20 Et aussitôt il prêcha dans les synagogues que Jésus est le Fils de Dieu. 21 Tous ceux qui l’entendaient étaient dans l’étonnement, et disaient : N’est-ce pas celui qui persécutait à Jérusalem ceux qui invoquent ce nom, et n’est-il pas venu ici pour les emmener liés devant les principaux sacrificateurs ? 22 Cependant Saul se fortifiait de plus en plus, et il confondait les Juifs qui habitaient Damas, démontrant que Jésus est le Christ.
Saul à Jérusalem et à Tarse
23 Au bout d’un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le tuer, 24 et leur complot parvint à la connaissance de Saul. On gardait les portes jour et nuit, afin de lui ôter la vie. 25 Mais, pendant une nuit, les disciples le prirent, et le descendirent par la muraille, dans une corbeille. 26 Lorsqu’il se rendit à Jérusalem, Saul tâcha de se joindre aux disciples ; mais tous le craignaient, ne croyant pas qu’il soit un disciple. 27 Alors Barnabas, l’ayant pris avec lui, le conduisit vers les apôtres, et leur raconta comment sur le chemin Saul avait vu le Seigneur, qui lui avait parlé, et comment à Damas il avait prêché franchement au nom de Jésus. 28 Il allait et venait avec eux dans Jérusalem, et s’exprimait en toute assurance au nom du Seigneur. 29 Il parlait aussi et discutait avec les Hellénistes ; mais ceux-ci cherchaient à lui ôter la vie. 30 Les frères, l’ayant su, l’emmenèrent à Césarée, et le firent partir pour Tarse. 31 L’Église était en paix dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie, s’édifiant et marchant dans la crainte du Seigneur, et elle s’accroissait par l’assistance du Saint-Esprit.
Enée, le paralytique guéri par Pierre
32 Comme Pierre visitait tous les saints, il descendit aussi vers ceux qui demeuraient à Lydde. 33 Il y trouva un homme nommé Enée, couché sur un lit depuis huit ans, et paralytique. 34 Pierre lui dit : Enée, Jésus-Christ te guérit ; lève-toi, et arrange ton lit. Et aussitôt il se leva. 35 Tous les habitants de Lydde et du Saron le virent, et ils se convertirent au Seigneur.
Dorcas ressuscitée par Pierre
36 Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une femme nommée Tabitha, ce qui signifie Dorcas : elle faisait beaucoup de bonnes œuvres et d’aumônes. 37 Elle tomba malade en ce temps-là, et mourut. Après l’avoir lavée, on la déposa dans une chambre haute. 38 Comme Lydde est près de Joppé, les disciples, ayant appris que Pierre s’y trouvait, envoyèrent deux hommes vers lui, pour le prier de venir chez eux sans tarder. 39 Pierre se leva, et partit avec ces hommes. Lorsqu’il fut arrivé, on le conduisit dans la chambre haute. Toutes les veuves l’entourèrent en pleurant, et lui montrèrent les tuniques et les vêtements que faisait Dorcas pendant qu’elle était avec elles. 40 Pierre fit sortir tout le monde, se mit à genoux, et pria ; puis, se tournant vers le corps, il dit : Tabitha, lève-toi ! Elle ouvrit les yeux, et ayant vu Pierre, elle s’assit. 41 Il lui donna la main, et la fit lever. Il appela ensuite les saints et les veuves, et la leur présenta vivante. 42 Cela fut connu de tout Joppé, et beaucoup crurent au Seigneur. 43 Pierre demeura quelque temps à Joppé, chez un corroyeur nommé Simon.
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Découvrez les Temples Incontournables du Vietnam : Un Voyage Spirituel et Historique
Le Vietnam est un pays riche en histoire, en culture et en spiritualité, et ses temples en sont les témoins les plus emblématiques. Ces lieux sacrés, mêlant majesté architecturale et sérénité spirituelle, attirent chaque année des millions de visiteurs en quête de découverte et de recueillement. Pour préparer votre voyage, voici le top 7 des temples au Vietnam à ne pas manquer, qui illustrent la diversité et la profondeur de la culture vietnamienne.
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1. Temple de la Littérature, Hanoï
Construit en 1070, ce temple dédié à Confucius est une ode à la sagesse vietnamienne. Il se distingue par ses jardins paisibles, ses étangs et ses stèles sur le dos de tortues symbolisant la longévité. Un incontournable pour plonger dans l'histoire et l’éducation traditionnelle du Vietnam.
Lieu : 58 Quoc Tu Giam, Hanoï
Prix d’entrée : ~2,6 EUR
2. Temple de Ngoc Son, Hanoï
Situé au centre du lac Hoan Kiem, ce temple est un trésor culturel entouré d’eaux limpides et accessible via un pont rouge emblématique. C’est un endroit idéal pour comprendre la légende du lac et profiter de l’atmosphère mystique de la capitale vietnamienne.
Lieu : Rue Dinh Tien Hoang, Hanoï
Prix d’entrée : ~1,2 EUR
3. Temples Dinh et Le, Ninh Binh
Nichés dans une région connue pour ses paysages karstiques, ces temples rendent hommage aux fondateurs des premières dynasties vietnamiennes. Leur architecture royale et leur cadre naturel font de cette visite une expérience unique.
Lieu : Truong Yen, Hoa Lu, Ninh Binh
Prix d’entrée : ~0,8 EUR
4. Temple de Quan Thanh, Hanoï
Ce temple situé près du lac de l’Ouest est dédié au dieu Tran Vu. Avec sa statue de 4 mètres et son ambiance sereine, c'est un lieu propice à la méditation et à la découverte de la spiritualité vietnamienne.
Lieu : Rue Thanh Nien, Hanoï
Prix d’entrée : ~0,4 EUR
5. Temples des rois Hùng, Phu Tho
Ces temples, perchés sur la montagne Nghia Linh, honorent les fondateurs légendaires du Vietnam. Lieu de pèlerinage national, ils offrent une immersion dans l’histoire mythologique du pays.
Lieu : Lac Hong, Phu Tho
Prix d’entrée : ~0,4 EUR
6. Temple Sainte Mère Lieu Hanh, Quang Binh
Ce temple dédié à la déesse Lieu Hanh est entouré de paysages verdoyants, parfait pour une escapade spirituelle et relaxante. L’entrée est gratuite, ce qui en fait une visite accessible à tous.
Lieu : Quang Dong, Quang Binh
7. Temple Cao Dai, Tay Ninh
Découvrez le caodaïsme, une religion vietnamienne unique, au Temple Cao Dai. Sa décoration vibrante et ses cérémonies mystiques en font un site fascinant pour les amateurs de spiritualité et d’architecture.
Lieu : Tay Ninh
Prix d’entrée : Gratuit
Conseils pour Visiter les Temples au Vietnam
Habillez-vous modestement (épaules et genoux couverts).
Retirez vos chaussures avant d’entrer.
Respectez les pratiques religieuses et restez silencieux pendant les cérémonies.
Prenez des photos uniquement si cela est autorisé.
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archivesaix-sna · 3 months ago
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28-31 mai 1807
Célébration des jeux de la Fête-Dieu en présence de la princesse Pauline qui se rendait aux eaux du Gréoux
Procès-verbal de la Fête-Dieu, en l’an 1807
Source : Archives Municipales d'Aix-en-Provence Cote du document : fonds AA 55 ; pièce F° 377 v°
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Savoir faisons nous Jean Baptiste Boniface de Fortis, maire d’Aix, que le jeudi vingt huit mai mil huit cent sept à quatre heures après midi, en exécution de notre arrêté du vingt-quatre du courant ordonnant pour cette année, la célébration des cérémonies qui étoient jadis en usage, le jour de la fête-Dieu, nous nous sommes rendus dans la salle de l’administration à l’Hôtel de ville avec MM. Antoine Alexis et Gaston Marius Ovide d’Olivary, nos adjoints, et avons procédé de suite à la proclamation des officiers qui marcheront dimanche prochain à la procession.
Nous avons proclamé pour lieutenant de Prince le sieur Jacques Joseph Augustin Arnaud, étudiant à l’école de Droit de cette ville ;
Pour guidon de Prince, le sieur Suchet fils, négociant ;
Pour Roi de la Bazoche, le sieur Bourgogne fils ;
Pour guidon de Roi, le sieur Houchard fils ;
Et pour abbé de la ville, le sieur Assenat, tailleur.
Ces proclamations faites, nous nous sommes rendus avec messieurs nos adjoints, précédés du corps de musique des gros tambours et des trompettes de la ville, suivis du secrétaire en chef et du receveur municipal, et escortés par un déttachement de la garde départementale, chez chacun de messieurs les officiers ci-dessus nommés pour leur faire part de leur nomination, et ce en commençant par l’abbé qui nous a accompagnés chez le guidon du Roi ; tous deux nous ont accompagnés chez le Roi de la Bazoche et ainsi desuite chez le lieutenant de Prince, d’où nous sommes retournés à l’Hôtel de ville avec tous lesdits officiers auxquels nous avons confié le choix des batonniers, capitaines des gardes, porte enseignes, mignons, etc qui devront les accompagner à la procession.
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Le samedi suivant, 30 mai, les jeux se sont répandus dès le matin dans la ville, pour amuser le public et à six heures du soir ils se sont réunis, par nos ordres, sur le cours [Mirabeau], au devant de l’hôtel de Forbin où se trouve logée S.A.I. la princesse Pauline sœur de S.M. l’Empereur, passant à Aix pour se rendre aux eaux de Greoux. Cette princesse a daigné paroitre au balcon et sourire aux divertissements que les jeux ont exécuté simultanément. Le public a saisi cette occasion avec empressement pour témoigner à S.A. la joye qu’il ressentait de sa présence, et l’air a retenti pendant long temps des cris de vive la princesse Pauline ! vive l’empereur Napoléon !
A huit heures du soir, les batonniers de l’abbadie et peu de momens aprèz ceux de la Baroche, sont partis de la place de la métropole et ont fait le tour de la procession en exécutant le pas d’arme, vulgairement nommé la passade. Ils ont observé le défilé devant l’hôtel de S.A. suivant ce qui sera dit ci-après quant au tour de la procession.
A neuf heures précises, le guet composé des divinités du paganisme est sorti de l’Hôtel de ville et a parcouru les principaux quartiers jusqu’à minuit. Son Altesse a paru satisfaite du pas d’armes et du guet dont la marche étoit éclairée par une infinité de flambeaux.
Le dimanche trente et un mai, les jeux ont continué dès le matin à amuser le public. Les tambours de la ville ont parcouru les rues et ont donné des aubades aux fonctionnaires publics.
A dix heures, l’abbé de la ville, le lieutenant du Roi et le Roi de la Bazoche, le guidon du Prince et le lieutenant du Prince se sont rendus à l’Hôtel de ville, précédés de leurs batonniers, capitaines des gardes, porte-enseignes, mignons etc et suivis d’un grand nombre de leurs amis portant des rubans aux couleurs distinctives de chaque grand-officier.
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Ce nombreux cortège nous a précédés ainsi que monsieur le sous-préfet qui s’étoit réuni à nous, dans notre marche de l’Hôtel de ville à l’église métropolitaine St Sauveur.
Arrivés devant la porte du chœur, l’abbadie et le Bazoche se sont rendus dans la chapelle de corpus domini où on a célébré pour elles une messe basse.
Le lieutenant de Prince, son guidon, leurs batonniers et leur suite sont entrés avec nous dans le chœur où nous avons occupé nos places accoutumées, ainsi que messieurs de la cour d’appel, de la cour de justice criminelle, des tribunaux de première instance et de commerce, messieurs les juges de paix, etc ; à qui s’y étoient rendus séparément. Messieurs les directeur et professeurs de l’école de Droit étoient placés hors du chœur dans la chapelle dite de Ste Catherine, le lieutenant de prince et son guidon seront placés dans les hautes states, après notre second adjoint et avant le secrétaire en chef de la mairie. Leurs batonniers et leur suite ont occupé le milieu du chœur, sur des chaises. A l’issue de la grande messe qui a été célébrée par monseigneur l’archevêque, nous sommes retournés à l’Hôtel de ville, dans le même ordre que dessus.
A quatre heures après midi, l’abbadie a commencé à défiler dans l’église St Sauveur, est sortie par la grande porte et a commencé le tour de la procession ; elle a été suivie par la Bazoche ; venoient ensuite les le guidon du Prince et le lieutenant du Prince, lesquels parvenus devant l’hôtel de S.A.I. ont sollicité et obtenu l’honneur de lui être présentés et de lui offrir, suivant l’usage, des fleurs et des sucreries.
Cependant nous nous étions rendus à St Sauveur ainsi que les cours de justice, tribunaux et autres autorités constituantes pour assister aux vêpres, à l’issue desquelles la procession a commencé à défiler par la grande porte, dans l’ordre suivant :
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La croix de la métropole qui ouvrait la marche ;
Les commissaires d’humanité de l’œuvre des prisons ;
Les administrateurs du mont de piété ;
Les administrateurs du bureau de bienfaisance, dit l’hospice la miséricorde ;
Les administrateurs des hospices civils réunis, précédés des familles des hopitaux, la charité et St Jacques ;
Le clergé de la paroisse St Jean Baptiste extra-muros ;
Celui de la paroisse St Jean Baptiste intra-muros ;
Celui de la paroisse de la Magdeleine ;
Celui de la paroisse St Jérôme, ou St Esprit ;
Celui de la paroisse St Sauveur, tous précédés de leur croix ;
Messieurs les directeur et professeurs de l’école de Droit ;
Les prieurs de la confrairie de corpus domini avec leurs panonceaux ;
Le clergé de la métropole en chappe ;
Le St Sacrement, porté sous un daix par monseigneur l’archevêque ;
Monsieur le conseiller d’État préfet du département, et toutes les autres autorités et fonctionnaires, dans l’ordre prescrit par le Décret impérial du 24 messidor an XII.
Il est à observer qu’en suite d’une ordonnance rendue à notre réquisition par monseigneur l’archevêque le 28 mai, il y a eu un changement dans le tour de la procession, suivant lequel lorsqu’elle est parvenue au bout de la rue de la pureté ou, ou de Notre Dame de Nazareth, au lieu de passer par les rues de St Esprit, place St Honoré et de la miséricorde, elle a pris la rue des augustins et l’allée latérale du cours jusqu’au coin de la rue orbitelle où elle a repris son tour accoutumé.
D’après la même ordonnance, on avait établi un reposoir au milieu du cours devant l’hôtel occupé par Son Altesse.
La présence de S.A. avoit attiré dans la ville un prodigieux concours d’étrangers, ce qui a singulièrement contribué à donner
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beaucoup d’éclat et un grand caractère de gaieté à la fête. Le public a passé la nuit aux divers bals qu’ont donné les grands officiers qui avoient marché à la procession. On a remarqué surtout celui dont le lieutenant de Prince a fait tous les fraix, au rez de chaussée de l’hôtel de monsieur d’Éguilles. Le local étoit très élégamment disposé et ce qui en faisoit le principal ornement étoient les ingénieux emblemes dont étoient entourés les chiffres de S.A.I. et de sa majesté notre invincible monarque.
Le plus grand ordre a régné dans tout le cours de la fête dont le motif et les circonstances seront longtemps gravés dans le cœur et le souvenir des habitants d’Aix et de tout ce que dessus, nous avons dressé le présent procès-verbal à Aix, en l’Hôtel de ville, le premier juin mille huit cent sept.
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claudehenrion · 11 months ago
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Macron va stériliser (sic !) l'infertilité...
Dans le tas de mauvaises nouvelles dont aucune ne donne envie de savoir quelle sera la suivante dans la liste, une lueur d'espoir, tout de même : il était temps ! A cause de (ou grâce à) un effondrement historique (et pas moins catastrophique pour autant) de notre natalité, le''plus jeune président de l'histoire de la république et son plus jeune premier ministre depuis la nuit des temps'' (il paraît que ce serait un compliment, pour eux... alors que tout le monde --sauf eux-- sait que la valeur des années –comme celle des damnés-- n'a pas de corrélation avec la longueur du la barbe du capitaine) vont résoudre le problème de la fertilité... dont la leur démontre qu'ils ne dominent pas vraiment le problème !
Mais comme rien n'est jamais simple dans la vie (et encore moins simple dans notre ''Etat dont le roi est un enfant''(pour rendre hommage à l'Ecclésiaste qui voyait dans ce seul manque de pot complet la source de tous les malheurs possibles), il a fallu que nos jeunes immatures s'amusent à faire une chose et son contraire, comme ils adorent le faire pour ''emmerder'' (c'est eux qui le disent) les adultes : au moment où notre président prend enfin conscience que notre démographie plonge sans espoir (au moins, tant qu'il s'entêtera à ne pas prendre les 3 mesures simples qui résoudraient le problème ''pour de bon'')... il faut qu'il aille, allez savoir pourquoi, relancer un combat mortel entre le Bien et le Mal et entre le Vrai et le Faux, qui ne peut que nous faire plonger encore plus profondément dans ce mal irrémédiable : une néfaste ''constitutionnalisation'' (un mot affreux pour une chose encore plus affreuse) : on panthéonise --c'est une idée fixe, chez Macron-- l'abandon de facto du serment d'Hippocrate (''Tu ne tueras pas'') et de la liberté de conscience –et de parole, tant qu'on y est : on est progressiste, ou on ne l'est pas !
(NDLR : il faut vite que j'écrive ces mots ''à ne jamais oublier et à soigneusement conserver dans nos mémoires'' : dès demain, il sera interdit d'émettre la moindre vérité non con-forme à l'assassinat ''dans les règles'' de bébés à la veille de naître. Notre société cannibale ignore ceux qui ne peuvent pas descendre dans la rue et tout casser (les très vieux et les trop jeunes). Rappel : pour avorter à 14 semaines, il faut écraser le crâne du bébé-à-naître (eux disent ''fœtus'' : ils croient ainsi n'assassiner personne, ce qui est le plus gros mensonge de l'histoire de la science).
Vous me direz que, après les immenses conneries qui ont escorté le covid, toutes sirènes hurlantes, vers une cata XXL dont on commence à peine à apercevoir les limites illimitées... on aurait dû savoir que la seule chose à laquelle il faut s'attendre, c'est ''le pire'', avec les gangs de clowns tristes qui ne nous mènent que ''nulle part''. Mais l'âme humaine, que quelques uns croient ''faite à l'image de Dieu'' –NB : ce qui ne veut pas dire que Dieu, lui, soit ''à l'image de l'homme'' et ressemble à Macron : à la rigueur, certains l'ont comparé à Jupiter, les pauvres. Mais à Dieu... Ah ! ça... non, Dieu merci, si j'ose !-- est pleine de ressources, et refuse ce qui serait trop lourd pour elle à supporter... Un faible espoir pour une catastrophe irrémédiable... dont personne n'avait besoin.
Mais revenons à l'infertilité, promue ''grande cause nationale'', ce qui veut dire qu'on va nommer, à grands frais pour changer, un ''comité d'experts'' (comme les médicastres qui ont menti et/ou se sont trompés sur tout, à propos du covid –-- ou, à propos de l'Ukraine, ces généraux dont pas un seul n'a imaginé ce qui s'est passé, et qui continuent à refuser de voir ce qui crève les yeux : ils ont eu tout faux depuis le début !) qui vont aligner poncifs, fausses évidences et lieux communs sur un sujet sur lequel ils sont… puceaux ! Ce comité ne sera certainement pas ''Théodule'' --ce qui veut dire, étymologiquement : ''qui est au service de Dieu !''--, mais plutôt ''théoclaste'' (= qui brise Dieu) ou théophage (= qui bouffe du dieu)... mais son inefficacité coûteuse, foncière, incontournable n'est déjà plus à démontrer (elle est ''de système').
Grâce aux crétineries XXL de hollande, et par la faute des faux-prophètes d'un réchauffement général (qui rendent les avions, les SUV et les bagnoles au diesel responsables de la sécheresse au Sahara !), la France, cette ex-bonne élève de la démographie, rentre dans le rang et n'assure plus le fameux ''remplacement des générations'', ce qui justifie le vent de panique chez nos pseudo-élites –qui tremblent à l'idée qu'il y ait moins de con-tribuables pour leurs fins de mois-- et les poncifs idiots de nos puceaux ès-gauloiseries (alors qu'il suffirait, là comme ailleurs, de simplement annuler toutes les mesures stupides prises par hollande, responsable et coupable).
Mais manque de pot, c'est sur la terre entière que ce phénomène est perceptible. Les géographes de l'Université de Bruxelles viennent de terminer une étude qui démontre que –tenez-vous bien !- 64,4 % de la population mondiale se situe sous le seuil du simple renouvellement des générations. Pour l'Institut démographique de Vienne (en Autriche, pas dans le Dauphiné !), 1/3 des femmes d'Asie (Japon, Sud Corée, Singapour, Taïwan...) n'auront pas d'enfant... Et les chiffres officiels de l'ONU (pour ce que vaut cette source empoisonnée !) s'inquiètent (se réjouissent, plus souvent !) d'une ''Baisse massive de la fécondité de 2000 à 2020''. Nos auto-préposés à la gaudriole ont du pain sur la planche ! Et s'ils n'étaient pas aussi infatués, prétentieux et incultes, ils connaîtraient la suite de la triste vérité :
Le ''taux de fécondité'' était , mondialement, de 4,8 enfants par femme en 1970, tombait à 3,7 en 1980, puis à 3,3 en 1990, à 2,8 en 2000 avant de se ramasser à 2,3 en 2021 –dernier chiffre disponible. ''Ça, Madame, c'est de la chute... ou je m'y connais pas'', dirait mon amie Madame Michu ! Et comme pour compliquer la tache tâche de notre Comité théophobe en gestation, on apprend que les zones où la fécondité est ''très faible'' (c'est-à-dire inférieure à 1,7 enfant par femme) représentent 40,8 % de la Terre, dont toute l'Europe. C'est dans ce club de 3ème division que la France vient de faire son entrée : première en con-FISC-ation, mais dernière pour la bagatelle (présenté comme ça... on commence à comprendre : le lemme n°2 est une conséquence du lemme n°1, CQFD !). Mais même les régions ''à forte natalité'' (> 3,5 enfants par femme), concentrées en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud-est, ont commencé une forte décrue (elles viennent de 5, voire 7, en moyenne !) grâce à ou à cause des études des filles et (donc) de l'âge au premier enfant... et de la contraception, même pas con-stitutionnelle, là-bas. Ils vont avoir du bouleau, nos puceaux !
Le monde actuel, dans le fond, est beaucoup plus rigolo que nous, ses utilisateurs / usagers, ne le vivons : il se complaît à nous faire des niches perpétuelles, et à peine les plus prétentieux d'entre nous ont-ils la vague impression qu'ils commencent à piger un truc (ce qu'ils transforment aussitôt en ''programmes absurdes'' s'ils sont députés européens ou –et c'est pire !-- membres de la grosse Commission qui assassine l'Europe sous ses mauvaises idées... C'est simple : entre eux et nos ministres, on ne peut dire qui est le plus pervers, le plus vicelard, le plus nocif, le plus mortifère...
Au moment où ils racontent qu'il voudraient lutter contre le refroidissement démographique ambiant (= la fin, à terme, de toute humanité), ils n'ont rien trouvé de plus contre-performant que de ''sanctifier'' un faux principe démoniaque... Toutes les données vont être bouleversées et mises cul par dessus tête, nos Nuls n'ayant, évidemment, rien vu venir des catastrophes immenses que ce vote (que je me dépêche de dire criminel avant le ''saut vers la mort''--et non pas ''de la mort''-- qui entrera en vigueur demain), va –et ne peut que-- entraîner... Encore eût-il fallu qu'ils sachent (NDLR-2 : je préfère cette forme à ''sussent'', grammaticalement plus correct mais qui peut prêter à sourire, le monde et nos politiciens étant... ce que nous savons !) ''de quoi ils blatèrent''...
H-Cl.
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if-you-fan-a-fire · 1 year ago
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"Est-ce le roi des voleurs d'automobiles," La Patrie. October 6, 1933. Page 3. ---- Soupçonné d'avoir été l'un des principaux membres d'une bande internationale organisée pour voler des automobiles, et accusé de conspiration pour recel, Jimmy King Horn, 33 ans, 2250 rue Knox, a subi son enquête préliminaire hier après-midi devant le juge Lacroix. Le cautionnement de Horn, qui avait été fixé à $2.000 par le juge Tétreau a été renouvelé par le juge Lacroix.
Le procureur de l'accusé, Me Paul Désy, a tenté de faire réduire ce cautionnement, mais cette demande fut refusée par le juge qui déclara que, d'après la preuve présentée jusqu'à présent par la Couronne, le prévenu semblait faire partie d'une organisation internationale.
Pendant assez longtemps l'accusé fut surveillé par la police qui décida finalement de l'arrêter. Depuis son arrestation il a protesté de son Innocence. Il devra maintenant sabir son procès.
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jogallice · 5 months ago
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Aujourd’hui, mercredi 21/08/24, Journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme 🎗️
Ligue 2 : à l’issue de la première journée, le FC Annecy pointe à la quatrième place avec ses trois premiers points. Sept clubs ont gagné et sept clubs ont logiquement perdu (0 point). Les quatre autres, vu qu’il y a dix-huit clubs engagés, ont concédé le match nul (1 point) ⚽
Trois marchés le mercredi à Annecy : marché (alimentaire) de Meythet (rue François Vernex), marché (alimentaire et produits divers) du quartier des Pommaries et marché (alimentaire et produits divers) de Seynod (avenue de Champ Fleuri, place du Marché) ➡️ De 8h à midi 🧺
Le Brunch du mercredi : partagez un moment convivial seul, en famille ou entre amis ℹ️ Les enfants doivent être accompagnés 🎫 3 € par personne ➡️ Ce 21/08/24 de 10h à 14h au Petit Vernay (23 avenue Germain Perréard) 🍴
Après-midi médiéval : combats, défilé, présentation des armes avec la Confrérie de l'Ardente épée, jonglerie avec le Saltimbanque du Roi 🎫 10 € (adulte), 6 € (enfant) ➡️ Ce mercredi 21/08/24 de 14h30 à 17h30 au Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
Dj Pachu + guest : aprem musical au bord du lac (DJ set) ℹ️ Dans le cadre du 6e Toujours Festival (du 20 au samedi 31/08/24) 🎫 Gratuit ➡️ Ce mercredi 21/08 de 15h à 18h au Pavillon des fleurs (Menthon-Saint-Bernard, Grand Annecy) 🎛
7e Mercredi animé de l’été (sur huit programmés) : jeu de piste (les enfants doivent être accompagnés d’un adulte) ℹ️ Partagez un moment convivial en famille ou entre amis 🎫 Activité gratuite proposée par la MJC Centre Social Victor Hugo ➡️ Ce 21/08/24 de 16h30 à 18h au square Jean Chamey 🤓
Magic Garden aux platines : pour danser en profitant du coucher de soleil ℹ️ Restauration possible sur place (buvette au bord de l'eau, produits bio, locaux et faits maison) 🎫 Gratuit ➡️ Ce mercredi 21/08/24 de 18h à 22h à La buvette Monté Médio (Angon, Talloires-Montmin, Grand Annecy) 🌇
Toujours Comedy Club (soirée stand-up) : l’humoriste résident Alfred H invite Bedou, une valeur sûre du stand-up Marseillais ℹ️ Dans le cadre du 6e Toujours Festival (du 20 au samedi 31/08/24) 🎫 Gratuit ➡️ Ce mercredi 21/08/24 de 20h à 21h30 au Bistro des tilleuls 🎙️
L'Impérial s'amuse : Olivier de Benoist "Le Petit dernier" ℹ️ Dans le cadre du 9e Impérial Annecy Festival qui a lieu du 13 au vendredi 23/08/24 🎫 35, 22, 11 € ➡️ Ce mercredi 21/08 à 21h à l’Impérial Palace 🎤
Ernest et Célestine : le voyage en Charabie 🎬 Profitez d'une soirée ciné gratuit en plein air en famille ou entre amis ℹ️ Pour votre confort, pensez à apporter vos chaises, plaids et pique nique, site accessible 30 mn avant la projection ➡️ Ce mercredi 21/08/24 de 21h30 à 22h50 Parc Vignières-Pommaries 📽️
L’opération Vital’été a repris du service dans la cité lacustre le lundi 8 juillet (jusqu’au samedi 24/08/24) : aujourd’hui (mercredi 21 août), gymnastique douce, karaté, tennis de table, Touch Tennis et “Savoir rouler à vélo en sécurité” 👌 Activités gratuites et ouvertes aux adultes proposées et encadrées par 11 associations locales, profitez-en 👍
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : les températures seront en baisse et le vent de nord va se renforcer 🌡 La qualité de l’air devrait s’améliorer. Elle sera majoritairement moyenne et localement dégradée 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2). Armoise, graminées, plantain et urticacées : niveau 1. Peuplier et platane : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 17/08/24 au vendredi 23/08/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : lavez-vous régulièrement le nez avec du sérum physiologique pour éliminer les pollens 😷
Tout comme hier, deux dictons du jour : « Pluie violente à la saint Christophe peut mener à la catastrophe. » 🌧 « Je suis le mois d'août où nul loisir on ne peut prendre ou séjourner, mais faucher faner par plaisir, mettre en grange, battre et vanner. » 🌞
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un très bel été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🎸
Bonne fête aux Christophe et demain aux Fabrice 😘
📷 JamesO PhotO à La Balme-de-Sillingy le vendredi 16/08/24 📸
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