#rouly
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ladybirdaura · 1 year ago
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hair // tram - m1225
head // lelutka - billie 4.0 @ skin fair | 2024
skin //  avarosa- joy @  kustom9 | march 2024
eyes //  avarosa- emily eyes
sweater // amitomo - cuddly set set3c @  kustom9 | march 2024
shorts //  rouly - 501 high waisted shorts @  kustom9 | march 2024
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24kuhlso · 1 year ago
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Creating An Avatar in 2024 || Second Life
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saber-secondlife · 2 years ago
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I stayed up waitin', anticipatin' and pacin'
DETAILS
✧ Style ▸Hair: Stealthic - Surge ▸Top: ISON - devu cross knit top │Dubai Event (June 2023) ▸Bottom: ISON - paola knit pants │Dubai Event (June 2023) ▸Shoes: Pure Poison - Linda Sandals ▸Glasses: ROULY :: 'Tresor' Sunglasses
✧ Decor Apple Fall Hampton Outdoor Fireplace Heart - Wildflowers - Bougainvillea - White {moss&mink} Anais Tantra Chair Lounger KraftWork Snack Pool Tray . Natural Wicker (decor)
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moonlightblogs1 · 2 years ago
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#37 Dramatic
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Sponsored: Diversion - Deidre Dolly Set @ FaMESHed X (June 10th - July 6th)
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LeLUTKA - Kaya Head @ LeLUTKA Mainstore
DOUX - Giggle Hair @ DOUX Mainstore
Swallow - Dropped Gauged Ears @ Swallow Mainstore
Badwolf - Warning Weights @ Badwolf Mainstore
Avi-Glam - Glasslike Eyes @ Avi-Glam Mainstore
Avarosa - Allie Skin @ Avarosa Mainstore
Russkaya - Razor Chocker @ Russkaya Mainstore
Vegas Tattoos - Chrysanthemum Tattoo @ Vegas Tattoos Mainstore
ItGirls/VELOUR - Picasso Babe - Porcelain @ VELOUR Mainstore
ROULY - Rouly Tights @ ROULY Mainstore
MAZE - Soft Thighs @ MAZE Mainstore
Torment - Elsie Garters @ Torment Mainstore (Need MAZE Soft Thighs)
Dazzling - Mabel Platform Heels @ Dazzling Mainstore
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miss-mossball · 3 months ago
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ADHD crow
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magicvicky1 · 1 year ago
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A small comic I drew imagining how their dynamic would work :3 Rouge would obviously always be a tease with Su lol
Translation:
“Knuckles never told he had such a pretty girlfriend~. Your name’s Julie-Su, right?”
“Hmph! Don’t you think that those tricks will work on me.”
“That's what they always say”
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zackwhitefang · 1 year ago
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Moar Septembre doodles for @umbreow's birthday, cuz time is a construct!
I'm not one day late, you're one day ahead!
Anyways, it's good to finally be free from comms XD
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dixvinsblog · 1 year ago
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Gilles Compagnon -L'horizon du ciel...
L’horizon du cielposé sur le toittient le soleil à boutde levés bras… Miroir acier d’argent,fragile effroi,mémoire en mousse,verdâtre taffetas… Tissu plissé en l’oeilarrimé là. Un rêve,un songe,sur la brillancedes tuiles… La pluie ne chante plusson roulis d’étoile… Fini ce chant de l’eau… Étreint silence !
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confidential-couture · 1 year ago
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Unboxing Hermes Roulis Mini | Confidential Couture | #Hermeshandbags #prelovedluxury  Welcome to a world of unparalleled elegance! 🧡✨ In this video, join me for an exquisite unboxing experience as we unveil the timeless beauty of the Hermes Roulis Mini Veau Evercolour. From the iconic orange box to the meticulous craftsmanship, every detail of this luxury piece is a testament to the artistry of Hermes. The Roulis Mini, in stunning Veau Evercolour leather, is a true embodiment of sophistication and style. As we unbox, witness the delicate interplay of colors and textures that make this bag a coveted accessory for the discerning fashion enthusiast. Get ready to immerse yourself in the luxury of Hermes – from the signature clasp to the impeccable stitching, every feature of the Roulis Mini tells a story of craftsmanship and luxury. Join me in this unboxing journey, and let's appreciate the artistry and beauty of Hermes together. Don't forget to like, subscribe, and share the joy of unboxing this iconic piece! 🧡👜 #HermesUnboxing #LuxuryFashion #RoulisMini
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camisoledadparis · 2 months ago
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on se gondole dans le roulis, ici on cuit au bain-marie
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justforbooks · 5 months ago
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L'automne à Paris me tourner la tête, là où le ciel gris me fait des courbettes, Pour un dernier bal, le (grand) jour dans les feuilles, d'un étrange mal, j'ai le cœur qui s'endeuille,
L'automne à Paris, c'est comme un poème, qui fait du roulis le long de la Seine, Un soleil fané, dans le rues, divague, laissant aux pavés, un peu de l'été, en gage,
Doucement ta main vient chercher la mienne, Et moi je sais bien que c'est surtout toi que j'aime, quand j'aime l'automne Ă  Paris.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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brightscraps · 7 months ago
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welp, finally i motivated to make ANOTHER dandy’s world oc, meet Rouly !!
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miss-mossball · 5 months ago
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Iris x Haze <33
do do dooo, the iconic couple <3
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magicvicky1 · 1 year ago
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From hate to love, there’s only one step, right…?
A little drawing I did of these two a while ago, mostly to try improving how I do my lineart xd About the ship itself, I’ve came to like it thanks to some of some fanart I saw both on Twitter and here on Tumblr. While Rouge and Julie-Su’s dynamic always amounted to “Two girls fighting over a guy”, I think that had the comic allowed them interact without Knuckles involved and didn’t had Rouge being so cruel, they could have gotten along well. I could see an scenario of Su still being suspicious and Rouge trying to play nice with her while secretly planning some devious stuff, but from then on they start to understand each other and thus their relationship becomes more cordial, and maybe they even start developing feelings…Idk just throwing ideas for any fic writers who are interested xdxd
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papillondusublime · 6 months ago
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
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she-who-paints-with-fire · 5 months ago
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[Decrypting... done.]
Commander Delio Rouly, wherever you are: may the wind be at your back and may your ECM never fail, you spooky motherfucker.
|| KARATEKA ||
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