#retrouver l'amour de sa vie
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FINIR AVEC LA FAIBLESSE SEXUELLE AVEC LE MARABOUT BAH ABAKI.
Le sexe joue un rôle important dans un couple. En plus d'être le moyen par lequel on passe pour procréer, la relation sexuelle constitue de nos jours un moyen de loisir ou du plaisir pour les uns et un centre de jeux pour d'autres. Pour cela les deux partenaires doivent bien jouir au cours du jeu. Il n'est donc pas considérable qu'un des deux partenaires faillisse à cette noble mission. Mais force est de contacter que de nos le partenaire qui lâche plus vite l'affaire ou quitte précocement le jeu est l'homme. Et pourquoi donc?
Tout simplement parce qu'il y a la faiblesse sexuelle. La femme ne jouit plus du jeu. Une frustration s'implante tant chez l'homme que chez la femme. Cela peut engendrer beaucoup de conséquences au sein du couple. Rami ces conséquences, on peut citer
*La séparation d'un couple
*La femme peut rapidement commettre l'adultère
*Le souci permanent chez l'homme...
Si vous êtes homme et vous souffrez de ce mal, sachez que ce n'est pas une honte mais plutôt une faiblesse. Grace aux plantes médécinales,le grand maitre marabout ABAKI vous guérira rapidement ce genre de mal et vous aurez encore plus de vigueur dans l'activité sexuelle ceci dans un court délai.
Nom: Bah Abaki Mail: [email protected] Site: https://retourdamour.me.ma/ Tél/ WhatsApp: +229 69553390
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intér��t et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin À quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon. Il n'y a pas d'amour heureux
Image : Giulio Aristide Sartorio - La sirène (1893)
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Ce qu'un enfant ferait pour ses parents
Lors de l'épisode 8 de la saison 3, Rayla décide de rester à la flèche de tempête pour payer le prix de la faute de ses parents et Callum voit sa raison de rester comme une fierté. Dans l'épisode 9 de la saison 6, Callum a fait un bracelet de phoenix de lune pour qu'elle puisse revenir dans le monde des vivants. Dans le nid de Zubeia, Callum a utilisé un sort de lune pour connaître la vérité sur ce qui s'est passé ! C'est grâce cette information que Rayla a pu dire que c'est grâce à ses parents que l'oeuf est en sécurité et qu'ils ont pu le ramener à sa mère. Malheureusement, elle se sépare d'eux et bien que ça lui brise le coeur. Ses parents comprennent mais ils savent qu'elle aura une bonne vie. Ce qui contraste avec Claudia qui retrouve Viren car elle a besoin qu'elle lui montre le bon chemin, que c'est grâce lui, qu'elle a pu se construire. Mais Terry essaie de la raisonner car un mort ne peut pas donner de réponses. Viren était son phare qui s'est éteint dans les flammes.
Rayla décide de sauver Runaan lui rappelant qui il était, l'assassin mais aussi le père qui l'a élevée. Et par son amour et celui d'Ethari, elle le ramène dans le monde des vivants auprès de Callum. Tandis que Claudia en apprenant le passé d'un père aimant sa défunte fille. Cela lui permet de retrouver l'amour nécessaire, celui malsain et auto destructeur, pour exécuter le sort. Encore une fois leurs amours envers leurs parents se confrontent à nouveau (J'en parle plus ici). Rayla peut enfin tourner la page concernant ses parents. Elle avait quitté Callum pour traquer Viren, qualifiant même de vengeance dans la saison 4 pour avoir des réponses concernant sa famille. Alors que Claudia qui voit son modèle détruit, elle trouve du réconfort avec Aaravos en sympathisant avec sa peine. Quand à Terry, il trouve que cette histoire d'amour est devenu tordu par la suite. Aaravos la manipule en choisissant les bons mots pour décrire Leola mais aussi Viren. Il le qualifie d'un père aimant, un grand homme qui était prêt à tout sacrifié quitte à être mal compris. Ce qui se complète avec la phrase "peu importe si c'est ignoble ou dangereux".
En parlant avec mon ami, il trouve qu'il y a un contraste entre ces deux là, sur comment elles gèrent leurs deuils :
Claudia a longtemps été dans le déni en étant obsédé de ressusciter son père que quand ce dernier voit toute les erreurs qu’il a faite et qu'il décide d’en subir les conséquences, dans la paranoïa, sa fille croit que tout le monde l’abandonne pour au final essayer d’accepter la vérité.
Rayla se résigne à la mort de ses parents au début car elle les voyait comme des traîtres. Avant que Claudia lui donne les pièces deux ans plus tard pour qu'au final elle accepte qu'ils se soient sacrifiés en héros. Ramener ses parents aurait été égoïste de la part de Rayla, alors qu'Ethari attend toujours le retour de Runnan. Donc au final c’est Claudia qui a agit par égoïsme et Rayla par abnégation.
What would a child do for their parents
In episode 8 of season 3, Rayla decides to stay at the storm spire to pay the price for her parents' wrongdoing, and Callum sees her reason for staying as pride. In episode 9 of season 6, Callum made a moon phoenix bracelet so she could return to the world of the living. In Zubeia's nest, Callum used a moon spell to learn the truth about what happened! With this information, Rayla was able to say that it was thanks to her parents that the egg was safe and that they were able to return it to his mother. Unfortunately, she's parting ways with them and although it breaks her heart. Her parents understand, but they know she'll have a good life. This contrasts with Claudia, who finds Viren because she needs him to show her the right path, that it's thanks to him that she's been able to build herself. But Terry tries to reason with her, because a dead man can't give answers. Viren was her lighthouse, which was consumed by flames.
Rayla decides to save Runaan, reminding him of who he was, the murderer but also the father who raised her. And through her love and that of Ethari, she brings him back to the world of the living, back to Callum. Claudia, on the other hand, learns of the past of a father who loved his deceased daughter. This allows her to regain the love she needs - the unhealthy, self-destructive love - to carry out the spell. Once again, their love for their parents collides (more on that here). Rayla can finally turn the page on her parents. She had left Callum to track down Viren, even calling it vengeance in season 4 to get answers about her family. While Claudia sees her role model destroyed, she finds comfort in Aaravos, sympathizing with his grief. As for Terry, he finds the love affair twisted in the aftermath. Aaravos manipulates her by choosing the right words to describe both Leola and Viren. He calls him a loving father, a great man who was ready to sacrifice everything even if it meant being misunderstood. This is complemented by the phrase “no matter how vile or dangerous”.
Talking with my friend, he finds that there's a contrast between the two of them, in terms of how they deal with grief:
Claudia has long been in denial, obsessed with bringing her father back to life, but when he sees all the mistakes he's made and decides to face the consequences, in paranoia, her daughter believes that everyone has abandoned her, and finally tries to accept the truth.
Rayla resigns herself to her parents' death at first, seeing them as traitors. Then, two years later, Claudia gives her the coins, and she finally accepts that they sacrificed themselves as heroes. Bringing back her parents would have been selfish on Rayla's part, while Ethari is still waiting for Runnan's return. So in the end it was Claudia who acted out of selfishness and Rayla out of self-sacrifice.
#the dragon prince#tdp#tdp s6#tdp s6 spoilers#tdp analysis#analysis#rayla#runaan#lain#tiadrin#claudia#viren#aaravos
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WANTED ;; ft. sam claflin
LIEN FAMILIAL (dash) ;; parfois, il s'imagine tout plaquer. renoncer à tout ce qu'il a toujours (cru) vouloir être, prendre le large sur un bateau, voir le monde et s'épargner une vie au goût factice, dans laquelle il n'a jamais été qu'un spectateur. et puis il pose les yeux sur dashiell, le dernier de la famille, celui qui a toujours été libre de suivre ses lubies du moment. partir sur un coup de tête, découvrir les routes américaines, faire des rencontres, profiter du moment présent sans réfléchir aux conséquences. le ressentiment a grandi avec les années, et même lorsqu'il tente de la contenir elle rejaillit inévitablement lors des moments où ils se trouvent ensemble. des années de rancoeur l'aveuglent, l'empêchent de voir que la liberté qu'il lui envie tellement n'est pas non plus un choix. là aussi, dash a souffert toute sa vie du poids des attentes sur lui, ou en l'occurrence, de leur absence. gamin médiocre, incapable de trouver une place dans l'entreprise familiale, incapable d'être à la hauteur, ses parents l'ont délaissé. indigne de leur intérêt, sa liberté a un goût amer qu'holden ignore (ou feint d'ignorer). puisqu'on veut toujours ce qu'on ne peut pas avoir, les frères se renvoient leurs attentes déçues et leur aigreur, désormais alimentée davantage par la présence de divine, la fiancée d'holden, dans le quotidien d'un dash qui peine à rester insensible à leur connexion.
LIEN AMBIGUE (divine) ;; ils étaient l'évidence même : liés par un anneau, par une promesse. il l'avait aimée tout de suite, elle s'était laissée apprivoiser. sur tous les points, holden et divine se retrouvaient. leur amour était solide, construit sur des bases d'une dévotion et d'une loyauté extrême : d'un côté comme de l'autre, ils étaient prêts à se dire pour la vie, dans le meilleur comme dans le pire. et si l'amour dure trois ans, alors ils avaient connu le meilleur, et le pire restait à venir. secrets et rancoeurs douces voilent la vision dégagée qu'ils avaient déjà de leur mariage, pourtant aucune secousse semble assez puissante pour en faire s'effondrer les piliers.
Vous pouvez retrouver l'intégralité du pré-lien de Dash Whitaker sur Bottom of the River !
crédits ; @unfinishedfairytales (depraysie) & @kiddressources
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"Pour la chevalerie, les bases de cette race sont un ensemble de normes spécifiques agissant comme autant de forces psychiques et psychologiques qui "obligent", créent une tension interne et donnent forme, parfois sur le plan somatique, a un type humain particulier, le chevalier, lequel, par leur activation au sein d'une "voie", cesse d'être un individu indifférencié pour devenir une personne différenciée par ses qualités, sa nature propre et une série d'attributs s’articulant en fonction de la nature de la "voie" et de ses choix personnels. Ces forces sont l'honneur, la fidélité – la fides - le courage, l’abnégation, l'amour du combat, valeurs relevant d'un ethos héroïco-viril païens, auxquelles l'Eglise ajouta la pitié, le désir de paix, l'amour du prochain, la protection d’autrui, la charité, etc., idées envers lesquelles le chevalier n'offrait bien souvent qu'une obéissance formelle. Joint à un mode de vie profane commun à tous les chevaliers, tout cela créa un "style" se caractérisant par des rapports clairs et ouverts d'homme à homme, l'affirmation d'une personnalité active allant jusqu'au sacrifice de ses intérêts et de sa vie de façon anonyme, le goût de la hiérarchisation et des rapports de commandement/obéissance, le tout s'organisant dans un ordre organique tissé de multiples liens réciproques s'articulant verticalement. Ces spécificités, admirablement mises en forme au Moyen Age, sont d’ailleurs celles de toute "société d’hommes" à quoi se résume, in fine, la chevalerie. Ce "style" généra divers comportements qui, par exemple, faisaient mettre en parallèle la claire conscience d'une nette supériorité sur les non-chevaliers envers lesquels les chevaliers admettaient avoir des droits et des devoirs, et un amour farouche pour la distance aristocratique, le rejet de toute familiarité, même envers les autres chevaliers pourtant perçus comme des égaux. Ce "style", maintenu par une tension psychique permanente, la peur de "mal faire", de faillir ou de déchoir – principes que l’on retrouve dans le Japon des samuraï -, implique un comportement psychologique bien particulier face aux aléas de la vie. Le plus caractéristique est celui représenté par cette alternance qui faisait passer le chevalier d'un enthousiasme total à un abattement complet. Cette attitude se vérifie surtout lors des combats : enthousiastes avant l'engagement, les menant à se ruer impétueusement et sans ordre sur l'ennemi, les chevaliers, s’ils perdent la bataille, tombent dans une complète désespérance pour laisser place, en peu de temps, à un nouvel enthousiasme, et ainsi de suite. Cette alternance agissait en fait comme une catharsis permettant d'épurer et d’équilibrer le psychisme de l'homme afin de lui permettre de suivre de manière cohérente la "voie" choisie."
Bernard Marillier, B.A.-BA Chevalerie, 1998.
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"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux. "
Louis Aragon
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Léa est intriguée par tous ces témoignages qu'elle trouve sur internet ainsi il n'est pas rare que des jeunes femmes de sa tranche d'âge soient encore réduites au statut de petites ou encore aient droit à des punitions telles que la fessée.
Elle a retenu notamment celui de C. qui bien qu'étant déjà entrée dans la vie active après de brillantes études vit encore chez sa maman avec qui elle entretient une relation fusionnelle si ce n'est charnelle. Malheureusement C. malgré son apparence physique ainsi que ses tenues quotidiennes pour se rendre à son travail et son mode de vie adulte a conservé une certaine ... immaturité. Et sa maman que pourtant C. adore plus que tout, fait régulièrement les frais de son caractère de peste, de ses sautes d'humeur, de ses provocations publiques et surtout surtout de ses crises de colères incontrôlées. Aussi parfois il arrive que la seule alternative qui fonctionne pour parvenir à ce que C. retrouve calme et sérénité est une bonne fessée déculottée "à l'ancienne" voire anachronique mais toutes deux conviennent que..... c'est une solution qui fonctionne à merveille et par ailleurs n'entache pas l'amour et la tendresse réciproque qu'elles ont l'une pour l'autre....
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Épisode 8
Quand il a pris la décision de partir, son esprit s'était mis à tourner sans arrêt dans sa tête.
Tous ces instants de bonheur qu'il avait passé en compagnie d'Amelie, toutes ces balades dans la nature, elle adorait se promener dans la nature.
Gabin revivait tout cela dans sa tête et ce n'était pas pour lui déplaire, il s'y complaisait, il laissait même filer les idées qui subrepticement s'incrustaient dans sa tête.
Maintenant qu'elle n'était plus la physiquement mais présente dans son esprit , il avait décidé pendant ces quelques jours de battement avant son départ de profiter encore un peu d'Amelie. Il savait que sa disparition était le résultat de ses propres choix.
Il avait décidé qu'il ferait exploser son appartement avant de partir vers d'autres aventures, personne ne retrouverait le corps d'Amelie, elle était à lui et à lui seul.
Gabin toujours assit dans son fauteuil se calma pour retrouver un poul régulier, il voulait effacer toutes traces de lui et d'Amelie. Cette histoire lui appartenait pour toujours et il n'avait pas l'intention de la partager.
Lui garderait cela, plus son amour éternel, le goût de sa peau et les repas qu'il s'offrait comme un rite sacrificiel.
Lui aurait tout cela, les autres n'auront rien.
Gabin écoutait toujours Chopin, le piano égrenait dans sa tête un son avec frénésie chaque note teintait son cerveau de blue. Il imaginait le virtuose penché sur son piano absorbé par le son et le rythme. Il imagine Chopin en transe caressant les touches avec ferveur devant un public en délire. Il remplit de nouveau son verre en méditant sur la musique classique, il se souvint qu'il partageait ce plaisir avec Amelie.
Plus tard, debout dans sa cuisine , il regardait la tranche de foie et les légumes frémir dans la poêle. Il regardait cette préparation avec amour, il était conscient que c'était un morceau d'Amelie qu'il allait déguster, puis digérer. Pour l'occasion il avait pris une bouteille de Bordeaux blanc un peu capiteux pour accompagner ce délicieux repas. Il avait acquis de la vaisselle au design conçu par un artiste de renom, les motifs étaient étranges et attirants à l'œil. Gabin admirait ses assiettes, il n'etait pas mécontent de les avoir acheté.
Maintenant Gabin savourant doucement son plat en écoutant Chopin. Il se sentait détendu oubliant le temps de ce repas ses soucis et ses tracas.
Vautré sur son canapé, il pensa que ces murs n'entendraient plus cette musique, ne seraient plus spectateurs de ses faits et gestes.
- hey merde ! gueule t-il
- On peut pas tout avoir ! brailla Gabin
Gabin se servit un autre verre d' eau de vie histoire de se mettre en forme tout en continuant à écouter la musique qui inondait le salon.
Il se souvient qu'un après midi ils avaient écouté un concert de piano orchestré par un célèbre maître. Il se souvient qu'elle s'était blottie contre lui, ils avaient écouté toute l'œuvre dans cette position. C'était à cette même place, sur ce canapé mais à un autre moment. Un moment sacré.
- comme le temps passe ! s'exclama Gabin
Il avait gâté Amelie peut être avec un peu trop de zèle, il en était conscient mais pour lui l'amour n'a pas de limite.
Il se resservit un verre d'eau de vie , ça lui faisait du bien , il aimait ce film qui passait dans sa tête, ces deux acteurs et leurs jeux. Gabin aimait les images et les dialogues . C'était un film intense, cette tranche de sa vie avait vraiment été intense.
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En deux ans, je n'ai jamais cessé de l'aimer. Mes proches ami(e)s savent que c'est l'Amour de ma vie, je ne l'ai jamais caché, malgré toute la pudeur que j'avais, j'étais plutôt fière de le dire. Je n'oublie pas le nombre d'appels que j'ai eu avec Morgane où elle a dû subir toutes ces fois où j'en parlais. Certaines personnes disaient qu'elle finirait par regretter et qu'elle reviendrait vers moi... mais c'est faux. Elle ne revient pas. Je ne suis plus qu'une personne qu'elle a aimé autrefois, une relation parmi d'autres, et c'est comme ça que se passe la vie. J'ai toujours voulu croire que j'étais l'amour de sa vie moi aussi, car c'est ce qu'elle me disait, mais peut-être que finalement je ne suis pas le sien.
J'oublie personne, bien-sûr que je pense moins à certaines, mais personne est oublié dans mon coeur ou dans ma tête. Il y a celles qui ont + particulièrement marquées ma vie, et qui sont peu, cela se compte sur les doigts d'une main. Mais je ne suis pas aussi marquante qu'elles le sont pour moi, et c'est quelque chose que j'ai du mal à accepter. J'ai toujours tout fait pour elles, et je suis oublié en un instant. Du jour au lendemain, je ne suis plus celle à qui on envoie un message le matin et avant de dormir. Plus celle que l'on souhaite appeler un soir. Plus celle à qui on veut raconter des journées. Plus celle à qui l'on parle de tout. Je ne suis plus "l'une des personnes les plus importantes" parce qu'on me remplace. C'est toujours comme ça. Et je pensais qu'elle, elle agirait d'une autre façon. Que je n'allais pas me sentir remplacé. Je passe de tout à rien. Ce que je suis ne suffit jamais.
Il y a quelques semaines je disais à mes proches que je sentais bien l'année prochaine, que j'allais retrouver l'Amour de ma vie, j'avais un bon pressentiment sur ça. Et tout s'est écroulé il y a peu. En réalité j'espérais même pas, j'attendais pas non plus, il y avait juste quelque chose qui me disait que pourquoi pas l'année prochaine serait la bonne enfin. J'ai certainement parlé trop vite. Peut-être que j'aurais dû écouter mon instinct, que je vais me remettre à croire, et je vais attendre de voir comment se déroule les choses.
L'avant me manque terriblement. Ces choses simples avec elle que j'aimais tant. Juste à se partager des musiques, à se conseiller des séries. Ces appels. Planifier des voyages ou des sorties. Ça me manque, et ça se reproduira plus jamais, c'est ça qui est dur. Devoir accepter qu'elle ne parlera jamais de moi comme je parlais d'elle.
2023 se termine dans deux jours, et je voudrais arrêter d'écrire sur elle, sur le nous qu'on a été auparavant. J'ai tout donné, tout fait, tout, mais ce n'est pas moi. C'est la dernière fois que j'en parle, et donc le dernier post de cette année. Merci 2023, j'attends de voir ce que 2024 me réserve.
❤️
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for the original character ask! (you get to chose which OC you'd like to talk about)
2 - 7 - 12 - 20 - 26 - 31 - 37 - 50 - 51 - 60 :)
Original characters asks
Salut, merci pour les questions :)
Je vais choisir Zoé, l'héroïne de mon projet de roman !
2: What is your character’s favorite memory?
Au début de l'histoire, ses souvenirs les plus chers sont ceux liés à son défunt fiancé. Notamment le jour où ils ont décidé de se marier et tout ce qui suit cette période. Les moments simples où ils avaient l'impression que le monde leur appartenait.
Tout cela est bien sûr à double tranchant car la source de sa joie est devenue celle de sa plus grande douleur. Ces souvenirs laissent la place à des cauchemars où tout est distordu.
7: How does your character feel about their name?
Elle aime son prénom. Court, simple, efficace, jolie signification...que demander de plus ?
12: How would/does your character feel about roller coasters?
Elle a participé à des batailles, je pense que ça ne l'effraierait pas trop. Bon, elle n'est pas le genre à rechercher les sensations fortes pour les sensations fortes, mais elle n'aurait pas peur d'essayer.
(Enfin, passé le choc de la découverte si on imagine qu'elle se retrouve transposée d'un coup dans notre monde moderne).
20: What is the most surprising thing about your character?
Ce qui surprend ceux qui la côtoient est le fait qu'elle a l'air posée, mature et conciliante, mais elle est absolument sans pitié et effrayante quand elle s'énerve. Il n'y a plus qu'à s'accrocher. Surtout qu'elle a une personnalité très droite et terre à terre.
Certains s'imaginent en voyant sa blondeur et ses yeux clairs qu'elle est une étrangère. Son apparence reflète en effet les métissages qui peuvent avoir lieu dans une zone frontalière.
Sinon, je veux maintenir un effet de surprise sur son passé pour les lecteurs en dévoilant petit à petit les raisons de son départ (on évite l'info dumping, yeah !).
26: What is your favorite headcanon for your character?
C'est difficile d'en choisir un. J'aime tout : sa famille, son évolution, son adaptabilité, les liens qu'elle noue avec les autres personnes au palais...
31: What social media would your character use?
Vraiment très basique : Facebook et/ou Instagram pour suivre ses proches et communiquer avec eux. Elle aurait peut-être un Tumblr pour partager de belles images. Ce serait le genre à être assez discrète et à ne pas dévoiler sa vie privée. Elle ne serait pas fan de LinkedIn.
37: Do people have justified grudges against your character?
Pour commencer : ses ennemis (et ceux de la famille impériale) qui sont convaincus de leur cause et la voient comme quelqu'un qui se met en travers de leur chemin.
Ensuite, elle se heurte au début à une dame de compagnie plus âgée (Hélène ? Je n'ai pas encore décidé de son prénom). Il s'agit plus d'une incompatibilité de personnalités. Zoé se focalise plus sur leur rivalité mais ignore certains détails qui justifient le comportement d'Hélène.
50: What is your favorite thing about your character?
Le fait que ce soit un personnage adulte dans des situations d'adulte. Ce n'est pas une jeune ingénue en début de vingtaine qui rentre à l'école de magie (ou je ne sais quelle institution comme la romantasy en a le secret) et va avoir le coeur qui bat pour le beau ténébreux.
Elle découvre un nouvel environnement, mais elle le fait en tant que personne qui connaît le monde et a de la bouteille. C'est une femme qui a connu l'amour et la douleur de la perte.
Comme je disais aussi dans un autre questionnaire, j'aime la dualité des rôles qu'elle joue, à la fois guerrière et dame du palais. Beaucoup trop de discours sur Tumblr et internet vise à catégoriser les personnages féminins en : "femme douce et féminine traditionnelle" VS "Guerrière".
Ce qui est absolument réducteur vu que les vraies personnes rentrent rarement dans des cases. Ensuite, pour certains le fait qu'un personnage féminin sache se battre est une insulte envers les femmes qui ne le font pas...Ce qui est encore une fois très agaçant puisque cela sous-entend que seules les femmes qui se conforment aux normes arbitraires de la féminité sont dignes d'intérêt.
51: What is your character’s favorite animal?
Les chats et les chevaux ! J'en dis un peu plus sur son rapport aux animaux ici.
60: If you could title your character’s life, what would you title it?
C'est plus ou moins le titre du roman : "Zoé, dame du palais". Ou alors tout simplement "Impératrice Zoé" :D.
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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Au lendemain de la tentative d'assassinat de son mari 13 juillet 2024 en Pennsylvanie, Melania Trump a qualifié ce dimanche de "monstre" l'auteur des tirs, Thomas Matthew Crooks il a tenté d'éteindre la passion de Donald, son rire, son inventivité, son amour de la musique, et sa verve, le sens du devoir
Le secrétaire à la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas, a rejeté les demandes répétées visant à renforcer la protection des services secrets pour Donald Trump.
Vôtre choix pour la suite des présidentielles
Message émouvant de Mélania Trump qui s'exprime pour la première fois sur la tentative d'assassinat sur son mari :
"Je pense à vous, mes compatriotes américains, en ce moment même. Nous avons toujours été une union unique. L'Amérique, le tissu de notre nation bienveillante, est déchirée, mais notre courage et notre bon sens doivent s'élever et nous réunir à nouveau. Quand j'ai vu cette balle violente frapper mon mari, Donald, j'ai réalisé que ma vie et celle de Barron étaient au bord d'un changement dévastateur. Je suis reconnaissante envers les courageux agents des services secrets et les forces de l'ordre qui ont risqué leur vie pour protéger mon mari. Aux familles des victimes innocentes qui souffrent maintenant de cet acte odieux, j'offre humblement mes plus sincères condoléances. Votre besoin de puiser dans votre force intérieure pour une telle raison me rend triste. Un monstre qui voyait mon mari comme une machine politique inhumaine a tenté d'étouffer la passion de Donald - son rire, son ingéniosité, son amour de la musique et son inspiration. Les aspects essentiels de la vie de mon mari - son côté humain - étaient enfouis sous la machine politique. Donald, l'homme généreux et attentionné avec qui j'ai traversé le meilleur et le pire. N'oublions pas que les opinions divergentes, les politiques et les jeux politiques sont inférieurs à l'amour. Notre engagement personnel, structurel et de toute une vie - jusqu'à la mort - est sérieusement menacé. Les concepts politiques sont simples comparés à nous, êtres humains. Nous sommes tous des humains, et fondamentalement, instinctivement, nous voulons nous aider les uns les autres. La politique américaine n'est qu'un véhicule parmi tant d'autres qui peut élever nos communautés. L'amour, la compassion, la gentillesse et l'empathie sont des nécessités. Et souvenons-nous que lorsque viendra le moment de regarder au-delà de la gauche et de la droite, au-delà du rouge et du bleu, nous venons tous de familles ayant la passion de se battre pour une vie meilleure ensemble, pendant que nous sommes ici, dans ce royaume terrestre. L'aube est de nouveau là. Réunissons-nous. Maintenant. Ce matin, élevons-nous au-dessus de la haine, de la vitriol, et des idées simplistes qui alimentent la violence. Nous voulons tous un monde où le respect est primordial, où la famille est au premier plan et où l'amour transcende tout. Nous pouvons réaliser à nouveau ce monde. Chacun de nous doit exiger de le retrouver. Nous devons insister pour que le respect soit la pierre angulaire de nos relations, à nouveau. Je pense à vous, mes compatriotes américains. Les vents du changement sont arrivés. À ceux d'entre vous qui pleurent en signe de soutien, je vous remercie. Je salue ceux d'entre vous qui ont tendu la main au-delà de la division politique - merci de vous rappeler que chaque homme politique est un homme ou une femme avec une famille aimante.
Un héros
La conclusion
Une prière
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Champs-les-Sims - Automne 1914
5/6
Il est difficile d'échapper à sa poigne de fer et à son bon sens impossible à contredire. C'est bien pire depuis que la guerre a commencé. Je l'entends parfois marcher de long en large pendant des heures la nuit durant, sans doute pour apaiser son angoisse, mais au matin, il n'en parait rien. Cette femme est une force de la nature. Si bien que je me retrouve honteuse à être affectée par une petite maladie de rien du tout alors qu'elle a tant perdu mais reste debout contre tout ce que la vie peut lui envoyer. J'aimerai un jour, quand je serai à mon tour une vieille dame, avoir sa vaillance.
Transcription :
Albertine : Je suis si inquiète, Madame Eugénie. Constantin n'est pas taillé pour la guerre, j'ai si peur que cela ne le brise.
Eugénie : Contrairement à ce que certains peuvent raconter, aucun homme n'est vraiment taillé pour la guerre selon mon sentiment. Ils fanfaronnent et se voient en héros du front, mais se retrouvent toujours un jour ou l'autre dans la détresse quand on leur met une arme dans les mains et qu'on leur désigne un ennemi. Toute cette jeune génération qui est partie le sourire aux lèvres, ils n'ont pas connu la guerre. Adelphe n'était même pas né quand les Prussiens ont failli prendre Paris. Alors que savaient-ils de la violence ?
Albertine : Cela me plait de discuter avec vous, mais je dois... *kof* *kof* *kof*
Eugénie : Pour l'amour du ciel, restez donc allongée ! Je vais envoyer Madame Legens vous faire une tisane. Vous allez rester alitée le temps que l'on s'assure que cette petite angine de poitrine ne se change pas en pneumonie. Je peux parfaitement m'occuper des enfants seule ma petite.
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Pub pour le pré-lien
entre 25 et 29 ans - célibataire - kiné - libre/pris PATIENTE DONT IL VA TOMBER ÉPERDUMENT AMOUREUX Lya a eu un grave accident sur la piste il y a cinq mois, blessée au dos, les médecins pensent que la course c'est fini pour elle mais dans sa tête c'est impossible. C'est toute sa vie. Elle vit très mal le fait d'être blessée. Pour elle c'est rééducation, elle se bat pour retrouver sa voiture de course quitte à tout donner trop fort et trop vite. Pour l'aider elle peut compter sur les kinés, malheureusement le tempérament de feu de la jeune femme lui crée des problèmes et les kinés démissionne les uns après les autres. C'était avant qu'il n'arrive. La semaine dernière il a fais son entrée dans sa vie, lui il lui tient tête et ne prend pas de gants avec elle. Il la pousse et croit en elle, certes c'est explosif entre eux mais Lya se dépasse. La guerre est présente quand il est dans la maison, le feeling est là, l'attirance aussi. Tout les deux le ressentent mais aucun n'ose faire quoique ce soit, elle ne veut pas céder la première. Il n'a jamais vu une femme aussi têtue de toute sa vie, mais il est impressionné par son côté battante, il veut l'aider à retrouver sa vie d'avant et le métier qu'elle aime tant. Elle est troublée et étonnée qu'il ne l'ait pas abandonné comme beaucoup autour d'elle. L'amour fait des miracles c'est évident. Séances après séances ils se sont rapprochés et Lya a décidé de l'emmener avec elle à l'avant première, là bas les paparazzis se sont fais une joie de les photographier. "Le nouveau couple". Ce n'est même pas vrai. Rien ne s'est passé entre eux, quelques taquineries, flirts non assumés. Lya est en colère contre cet envahissement de sa vie privée, d'accord il lui plait mais elle n'ose pas se l'avouer et se le dire. La jeune femme compte bien s'excuser vis à vis de lui qui se retrouve dans les magazines, ils ne se sont pas revus depuis la publication des photos volées sur les différents sites ou magazines, en tout cas les paparazzis ont repris leur place devant chez elle. PROPOSITION D'AVATARS : aron piper, zayn malik, francisco lachowski, Noah LaLonde, Christopher Briney, au choix
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Ghoulcy Week 2024 Day 5 SFW French
Bonjour chers habitants d'abri, me voilà de retour avec la semaine ghoulcy. Le thème du jour 5 est le meilleur ami de l'homme. J'ai beaucoup aimé écrire pour ce thème, c'était très drôle. J'espère que ça vous plaira. Belle journée et bonne lecture.
Canigou se sentait bien auprès de ses nouveaux maîtres, ils étaient atypiques mais très affectueux. Lucy lui parlait tout le temps en se désignant comme Maman tandis que l'autre qui était plus silencieux elle l'appelait Papa. Maman d'ailleurs rigolait toujours quand l'homme grognait à être appeler ainsi. À trois ils formaient une famille étrange mais cela plaisait à l'animal.
Maman lui expliquait tout les soirs qu'elle avait une sœur appeler Janey et qu'ils étaient à sa recherche. Maman allait même jusqu'à lui murmurer à l'oreille quand Papa dormait que c'était ça leur but le plus important, encore plus que découvrir leurs origines. C'était apparemment important pour Papa ce qui signifiait que c'était important pour Maman. Ces deux-là avaient du mal à se l'avouer mais il y avait beaucoup d'amour entre eux.
Papa faisait croire à Maman qu'il était silencieux mais lui aussi lui parlait pendant que Maman dormait. Il parlait de sa vie d'avant, de Janey mais aussi énormément de Maman. Ce qu'il ressentait pour elle, ce qu'il avait penser de ce qu'elle avait fait dans la journée. Tout des secrets que Canigou ne pouvait communiquer et qu'elle ne voudrait d'ailleurs pas dire.
L'humaine et la goule l'adoraient vraiment, ils avaient toujours des attentions envers elle. Des caresses, des bisous mais aussi de la nourriture. Pour montrer sa gratitude et son amour, Canigou les protégeaient dès qu'elle le pouvait. Humains, cafards, bestioles rien n’empêchait le chien de défendre ses parents.
Il arrivait à Canigou de repenser à son ancienne vie et ancien maître, il serait à vie dans son cœur. Elle aime à penser qu'il serait heureux pour elle de la savoir autant heureuse et choyer. Ses journées sont beaucoup remplis qu'auparavant. Plus de courses sur place mais des terrains immenses, pas un maître mais deux ce qui signifiait deux fois plus d'amour. La vie était belle et Canigou avait hâte de retrouver Janey afin qu'elle s'embellisse encore plus.
Maman et Papa l'avaient laissé avec une goule aux cheveux roses tandis qu'ils avaient disparus dans les escaliers. Quand Canigou avait voulu y aller, la dame l'avait arrêter et ramener vers un bol d'eau. Malgré la gentillesse de la femme, le chien se languissait de sa famille, elle voulait se blottir contre eux pour dormir, câliner bien au chaud comme à leur habitude. Au matin, Maman et Papa étaient revenu la chercher, ils semblaient fatigués mais avaient d'énormes sourires et ils sentaient l'un comme l'autre. C'était amusant.
Depuis ce jour-là, Maman et Papa étaient tout le temps collés l'un à l'autre, ils rigolaient plus et étaient davantage tactiles l'un avec l'autre. Cela plaisait à Canigou, elle avait vraiment hâte de retrouver Janey et compléter leur famille.
Certes ils étaient une famille atypique, deux humaines, une goule et un chien mais au vu du monde extérieur c'était plus le fait de se considérer comme étant une famille qui paraissait étrange pour les autres. Pourtant si les gens voyaient l'amour qu'ils se portaient comme Canigou le percevait, ils n'auraient aucun doute qu'ils étaient une famille. La meilleure famille dont le meilleur ami de l'homme puisse rêver.
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