#retrouver l'amour de sa vie
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bahabaki · 2 years ago
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FINIR AVEC LA FAIBLESSE SEXUELLE AVEC LE MARABOUT BAH ABAKI.
Le sexe joue un rôle important dans un couple. En plus d'être le moyen par lequel on passe pour procréer, la relation sexuelle constitue de nos jours un moyen de loisir ou du plaisir pour les uns et un centre de jeux pour d'autres. Pour cela les deux partenaires doivent bien jouir au cours du jeu. Il n'est donc pas considérable qu'un des deux partenaires faillisse à cette noble mission. Mais force est de contacter que de nos le partenaire qui lâche plus vite l'affaire ou quitte précocement le jeu est l'homme. Et pourquoi donc?
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Tout simplement parce qu'il y a la faiblesse sexuelle. La femme ne jouit plus du jeu. Une frustration s'implante tant chez l'homme que chez la femme. Cela peut engendrer beaucoup de conséquences au sein du couple. Rami ces conséquences, on peut citer 
*La séparation d'un couple
*La femme peut rapidement commettre l'adultère
*Le souci permanent chez l'homme...
Si vous êtes homme et vous souffrez de ce mal, sachez que ce n'est pas une honte mais plutôt une faiblesse. Grace aux plantes médécinales,le grand maitre marabout ABAKI  vous guérira rapidement ce genre de mal  et vous aurez encore plus de vigueur dans l'activité sexuelle ceci dans un court délai.
Nom: Bah Abaki Mail: [email protected] Site: https://retourdamour.me.ma/ Tél/ WhatsApp: +229 69553390
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ernestinee · 5 months ago
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intérêt et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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camisoledadparis · 8 days ago
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saga: Soumission & Domination 362
Espagne 2015-4 : Javier et Arturo
Quand nous arrivons, Javier est là, accompagné d'un jeune mec. Ils sont encore habillés quand la triplette passe sa frustration en déboulant comme des fous, à poil et qu'ils sautent dans l'eau attrapant au passage le jeune homme.
Javier sort vite de ses vêtements juste au cas où ils reviendraient le chercher !
J'explique à Marc et Hervé le pourquoi de leur excitation. Arturo (le nouveau) nage maintenant, nu, avec la triplette. Je repêche avec PH les vêtements qui flottent et pousse jusqu'à la lingerie les mettre au sèche-linge.
Paco ramène l'apéro et je le vois apprécier que Jesus soit revenu. Entre deux verres, les plagistes se dessalent dans la piscine. Et nous finissons tous dans l'eau, un verre à la main. Insidieusement, par les passages répétés sous l'eau, entre nos jambes (soit disant pour jouer) de nos plus jeunes avec Arturo qu'ils ont dévoyé, la température de nos corps monte. Nos sangs aussi semblent avoir des velléités d'expansion et je m'aperçois que je ne suis pas le seul à bander ferme. On les laisse faire et bientôt on se retrouve tous à poil, les maillots flottant entre deux eaux. On sort de l'eau et entre le léger vent chaud et les frottements, on sèche vite.
Pendant l'apéritif, nous avons appris qui était Arturo. Il fait fonction d'assistant auprès de Javier qui l'a récupéré auprès du pole-emploi local. Au départ il l'avait embauché comme homme toute main pour faire des petits travaux à son agence (peinture et bricolage). Puis ils sont passés aux travaux à la maison ! J'imagine bien Arturo le bleu de travail ouvert sur sa poitrine imberbe !! Depuis ils ne se quittent plus. Et comme il avait commencé une formation vente, Javier envisage même de le réinscrire en formation par alternance.
En attendant, il n'est pas farouche le gamin (18ans quand même). Au milieu de notre triplette, il se donne à fond dans la pipe. Petit format, dans les 1,75m musclé mais léger 55Kg, il est plutôt passif (info Javier). Extérieurement il est brun de poil mais imberbe avec une peau bronzé du plus bel effet. Elle est légèrement plus claire sur les fesses ce qui me fait dire qu'en hivers il reste hâlé.
Je devine qu'il y a plus que cela entre eux. J'isole Javier pour savoir le fin mot de l'histoire, je suis curieux, on ne me refera pas ! En fait, c'est le fils d'une connaissance mais néanmoins " gros con " qui l'a foutu à la porte quand il avait appris que son rejeton était homo. Sans ressource, ce dernier acceptait tous les tafs même manuels qu'il pouvait trouver. Et non, il n'avait pas encore fait la pute quand Javier l'avait récupéré !
Comme il connait la filiale espagnole de notre société pour avoir été approvisionneur en clients, je lui propose d'y faire taffer son protégé. Il refuse gentiment et me dit qu'ils n'ont pas besoin. Il gagne très bien sa vie, le salaire qu'il verse à Arturo est quasiment de l'argent de poche puisqu'ils vivent ensemble. Et côté sexe, il ne l'empêche pas de faire ce qu'il veut comme je peux le voir.
Je me retourne et vois l'animal planté sur les 22cm de mon Marc. On en rit et partons à la recherche d'un plan nous aussi.
Je rejoins João qui entreprend Max et Enguerrand en même temps. Il a besoin d'aide ! J'attrape mon beau-frère, il va pour se débattre et voit que c'est moi qui le ceinture à la taille. Rotation, il pose ses lèvre sur les miennes, me souffle un " ça te dirait qu'on se fasse un truc tous les deux ". Avant de m'entrainer dans la villa et leur chambre.
Nous faisons l'amour lentement. Chacun prend soin de maîtriser la montée du plaisir de son partenaire. A ce petit jeu, il est très doué. Quand on est trop proche de jouir, on s'arrête. Dans une de nos " pause ", il me dit qu'il est trop content que je les ai emmenés ici. Il n'en pouvait plus des camps scouts et de la ferme, même si quand ses frères y sont il est content et surtout quand toute sa nouvelle " famille " s'y réuni.
Lors d'une autre, il se presse contre moi et je sens des larmes tomber sur ma peau. Je le serre plus fort, embrasse le front qui est à ma portée avant de relever son menton, de le fixer dans les yeux et de poser doucement mes lèvres sur les siennes. Juste un baiser, pas de pelle, je sens que ce n'est pas le moment. Je devine qu'il se fait un mauvais flash-back. Il vient doucement à se confier. Avec ma façon très personnelle d'aborder les choses, je m'étais imaginé qu'il avait tourné la page et que XX de XXX n'était plus qu'une expérience qui aurait pu être meilleure. Mais ce n'est pas complètement son cas. Je le laisse venir. Alors que ses larmes coulent encore, il m'assure être très heureux avec Max et Nathan. Qu'il ne pouvait avoir de meilleurs amis et amants. C'est juste que de temps en temps, ça remontait sans crier gare et il ne voulait pas les souler avec ça. Surtout pendant les vacances. Il ne savait pas pourquoi, si c'était un mot, une attitude mais il revoyait des scènes avec XX et il avait mal.
Je reste à l'écoute. Il est couché contre moi, sa tête au creux de mon épaule et nous regardons le plafond. Il me parle du suicide. Du nombre de fois où il a failli se foutre en l'air, des méthodes qu'il avait même envisagé : fusil de chasse, accident de la route volontaire, même le train.
C'est noir mais il faut que ça sorte ! Il m'explique que c'était surtout après qu'il se soit fait enculer par toute la bande qu'il pensait à ça. Au tout départ, il avait cru que XX avait quelques sentiments pour lui et que c'était par jalousie envers sa soeur que ce dernier l'avait " pris ". Mais rapidement il avait ouvert les yeux et dès ce moment il s'était tellement senti une sous-merde, que ça marronnait dans sa tête. Il ajoute qu'il n'aurait probablement pas eu le courage de passer l'été. Bon l'autoflagellation et l'auto-complaisance dans la noirceur à ses limites. Je le secoue le fait basculer sur moi et lui roule un patin. Sa queue réagit au quart de tour et colle la mienne qui n'avait pas ramollie. Il a besoin de confiance en lui, bon je vais le laisser m'enculer, sans lui dire.
Petit 69, je lui mange la bite et la rondelle en alternance et lui demande de me faire pareil. Il me travaille bien l'anneau et entre régulièrement 1 bon cm de langue dedans. Je le pompe en faisant attention à ne pas aller trop loin.
Je le plaque dos sur le lit, mes mains maintiennent ses poignets alors que j'enjambe son bassin et que je recule pour dresser sa bite contre mon sillon. Je me penche, lui roule un patin et en jouant du bassin me plante ses 19cm dans l'oignon. Ma bouche étouffe son cri. Je me l'enfonce bien profond et ressent le petit coup de bassin qu'il ne peut retenir et qui propulse ses derniers mm dans mon cul.
Je décolle ma bouche de la sienne et lui demande si ça va. Les yeux brillants, il me dit que je suis trop bon (et il y met plus que le cul dans cette assertion). Je lui dis de se laisser faire et déploie toute mon expérience à lui faire l'amour. J'utilise toutes les variations possibles lors de ma chevauchée. Le travail compressif de ma rondelle que je module différemment selon que je rythme " au pas " ou " au galop " le met sur orbite.
Je serre les genoux contre son torse et roule sur le côté. Comme ça, sans qu'il ait déculé, il se retrouve au-dessus mes jambes autour de ses reins. Je les attrape aux plis des genoux et écarte bien pour lui laisser toute latitude à m'enculer. Il se redresse sur ses genoux, soulevant mon bassin sous lequel il glisse un oreiller. Et là mon " petit frère " se déchaine. Il me défonce le cul comme un fou, tapant son bassin contre mes fesses à chaque pénétration. Il ralentit, je sens qu'il veut un truc mais n'ose pas me le demander. Je suis sûr que c'est une levrette. Je le repousse et me tourne à 4 pattes. J'entends derrière moi un merci en même temps qu'il se réintroduit en moi. Là, accroché à mes hanches, il me lime royalement. Quelques contractions de ma rondelle et il largue la purée. Je le bloque en moi le temps qu'il se vide et continue à serrer alors qu'il sort. Moi j'ai rempli ma paume et alors que je vais pour lécher mon sperme, il me tire le bras pour en avaler un max. je récupère le reste et un peu plus en allant le chercher entre ses dents.
Le répit est bref. Max et Nathan nous ont retrouvés et sautés dessus. Ils veulent savoir pourquoi on s'était isolé alors qu'ils partagent tout tous les 3.
Malgré les gestes de dénégation d'Enguerrand, j'explique à ses deux amours que notre ami commun avait eu un passage à vide. Max voit tout de suite de quoi il retourne alors que Nathan ne réalise qu'après. Enguerrand se fait copieusement engueuler, comme quoi ils sont là pour lui, même quand il est mal. Il ajoute qu'il est temps qu'ils me laissent tranquille, que j'en ai déjà fait assez pour eux.
Là je les interromps. Je leur dis que je leur serais toujours dispo et que je préfère qu'ils viennent me voir plutôt qu'ils fassent une connerie. Je les engueulerais certainement mais je les aiderais dans tous les cas.
Max s'excuse qu'il n'avait pas voulu m'écarter en disant cela, juste qu'il voulait qu'Enguerrand sache que s'ils avaient tous les trois le même âge, il pouvait quand même s'appuyer sur eux deux.
On se câline un moment tous les 4 jusqu'à l'arrivé des miens, PH, Ludovic et Ernesto. Du coup ça repart en sexe !! Cette fois je profite des culs et ma bite s'enfonce à tour de rôle dans chacun de ceux de notre triplette. Mes amours aussi profitent des petits jeunes qui ne demandent que ça. Enguerrand se réserve quand même pour accueillir mon sperme au fond de lui. Je me termine en labourant son petit trou en levrette, tirant vers moi sa tête en arrière pour qu'on se roule une pelle. Nathan, couché sous mon petit beau-frère avale sa production alors qu'il se fait défoncer par Ernesto. Nous sommes découverts par Marc qui nous cherchait. Le diner nous attendait ! Retour sur la terrasse en maillots. Arturo est content de nous revoir, ça faisait un moment qu'il n'était entouré que de " vieux " !
Max lui demande combien de fois il s'était fait enculer. De but en blanc, ça surprend notre invité qui bafouille un 2 ou 3. Rires de Javier qui nous dit que comme ils lui sont tous passés dessus sauf Jesus, c'est plutôt 5 qu'il faut compter. Là, Marc annonce 6 car il l'a pris deux fois.
Arturo rougi sous son bronzage. Il se défend d'être une pute. Nathan l'entoure de ses bras et dit qu'il est juste un mec qui aime baiser c'est tout, comme nous tous ici.
Il a bien résumé la situation.
La paëlla Valencienne est très réussie et il ne reste pas un grain de riz quand nous en avons terminée avec elle. Paco est ravi de ça !
C'est vers 3h du matin que nous nous endormons un peu partout.
Le grand soleil me réveille. Je suis sur un des matelas de la piscine, dans mes bras se trouvent les deux frères, Ludovic et Enguerrand. Je me glisse pour aller prendre un café et voir où sont les autres. Debout je me retourne. Enguerrand a rejoint Ludovic et se love en cuillère contre son ventre.
La maison est encore muette. A la cuisine Paco me sert un café à réveiller un mort ! Mais ça fait du bien. Tout bas il me demande si tout va bien. Il me dit qu'heureusement que Marc et Hervé sont là, sinon Jesus l'aurait mis sur les rotules. Il ajoute que ça fait un moment qu'il n'était pas tombé sur un assoiffé de sexe comme lui.
Mug en main, je fais le tour de la villa. Personne dans le séjour, coups d'oeil dans les chambres, ils sont tous là en ordres dispersés. Romain n'est pas avec João, PH et Ernesto sont dispersés, l'un avec Hervé l'autre avec Jaime. Je vois ce qu'avais voulu dire Paco quand je surprends Jesus en train de pomper les 22cm de Marc !! Il me fait un clin d'oeil et lève le pouce. Je lui fais signe de continuer, je connais mon homme et sais qu'il adore ce genre de retour à la réalité.
Sur la terrasse, Enguerrand est réveillé et je le vois en train de s'enfiler la bite en érection matinale de son frère. Il me fait bander ce con !
Je me couche derrière Ludovic et lui enfile ma bite. Là, notre " tanche de jambon " (prise en sandwich, faut suivre un peu !) se réveille. Il voit avec qui il baise et nous traite d'obsédés. Il n'empêche qu'il ne se dérobe pas et que tous les trois nous jouissons pour la première fois de la journée.
On se déboite juste alors qu'arrive le reste de la triplette et mes escorts. Ils apportent café, jus d'oranges fraichement pressées plus du pain frais. On petit déjeune avant d'aller se laver.
Les jours qui suivent durant cette première semaine seront du même style. Jaime a pris pension à la villa tout comme Jesus. Les autres : les hollandais et Rubén passent de temps à autre. Arvid nous a demandé si on pouvait l'héberger nos deux dernières semaines. Il trouve l'ambiance de la villa démentielle et kiff les baises inopinées.
La " plage " commence à repérer le petit groupe que nous formons. Lorsque les rabatteurs de boites descendent distribuer leurs flyers, canons dans leurs maillots de bains sexys, ils nous convient tous. On doit être le seul groupe homogène en âge, musculature et maillots remplis de la plage.
Nous acceptons une soirée qui promet d'être chaude dans la boite dont les rabatteurs qui nous ont démarchés étaient plus beaux.
Jardinier
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ombre-originelle · 3 months ago
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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin À quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon. Il n'y a pas d'amour heureux
Image : Giulio Aristide Sartorio - La sirène (1893)
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clubvideotapes · 20 days ago
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Eyes Wide Shut, 1999
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Un jeune couple de la haute bourgeoisie vivant à New York, Bill Harford (Tom Cruise), un médecin brillant, et sa femme, Alice (Nicole Kidman), commissaire d'exposition, se rend à une réception mondaine pour la fête de Noël organisée par un riche patient de Bill, Victor Ziegler (Sydney Pollack). Bill y retrouve un vieil ami de l’université, Nick Nightingale (Todd Field), devenu pianiste professionnel. Ensuite, pendant qu'Alice se fait draguer par un Hongrois, Sandor Szavost (Sky du Mont), Bill se voit proposer un plan à trois par deux mannequins pour « aller jusqu'au bout de l'arc-en-ciel ». Il est interrompu par un appel de son hôte, car une de ses petites amies, Mandy (Julienne Davis), a fait une overdose de speedball. Mandy reprend ses esprits grâce à Bill et lui dit qu'elle lui doit la vie.
Le lendemain, après avoir fumé de la marijuana, Alice demande à Bill s'il a couché avec les deux filles. Il la rassure, mais elle lui révèle qu'elle a déjà été tentée de le tromper une fois et lui demande s'il n'a jamais été jaloux du désir qu'elle pouvait susciter chez les autres hommes. La discussion s'envenime, et Bill affirme qu'il pense que les femmes sont plus fidèles que les hommes. Alice lui confie alors un de ses fantasmes : avoir une aventure avec un officier de la marine. Ébranlé, Bill est contacté par la fille d'un patient qui vient de mourir. Il se rend sur place et, dans sa douleur, Marion Nathanson (Marie Richardson) l'embrasse de manière impulsive et lui avoue qu'elle l'aime. Bill la repousse avant que son fiancé, Carl (Thomas Gibson), n'arrive. Déstabilisé, Bill s'en va et erre dans les rues où il rencontre une prostituée, Domino (Vinessa Shaw). Bill se laisse charmer, mais juste au moment où Domino commence à l'embrasser, Alice appelle Bill, qui quitte Domino, gêné et de manière maladroite. Il va alors dans un club de jazz rejoindre Nick, qui lui apprend qu'il se rend parfois à des soirées « spéciales » où il doit jouer du piano les yeux bandés. Bill, intrigué, réussit à obtenir plus de détails : pour être admis, il faut un costume, un masque et un mot de passe (Fidelio). Bill cherche un magasin de costumes et offre au propriétaire, M. Milich (Rade Serbedzija), une somme généreuse pour louer un costume. Dans le magasin, Milich surprend sa fille adolescente (Leelee Sobieski) en compagnie de deux hommes japonais et lui exprime sa colère à propos de leur manque de décence.
Bill prend un taxi pour se rendre au manoir indiqué par Nick. Il donne le mot de passe et découvre à l'intérieur un rituel sexuel quasi religieux. Bien qu'elle soit masquée, une femme s'approche de Bill et le met en garde en lui affirmant qu'il n'aurait jamais dû se rendre ici et qu'il est en danger. Elle est ensuite emmenée par quelqu'un d'autre. Bill commence à errer dans le manoir, passant d'une pièce à l'autre, où il découvre des groupes d'hommes masqués pratiquant différents types d'actes sexuels, tandis que d'autres observent. Il est interrompu par un portier qui lui explique que le chauffeur de taxi souhaite lui parler de toute urgence au portail du manoir. Il le suit, et Bill se retrouve dans la salle de rituel, où le maître de cérémonie, déguisé en rouge, le questionne sur un second mot de passe pour quitter le manoir. Bill avoue qu'il l'a oublié. Le maître de cérémonie insiste pour que Bill « retire gentiment son masque » ainsi que ses vêtements. Soudain, la femme masquée qui avait essayé d'avertir Bill intervient. Elle demande à être punie à sa place. Bill est reconduit à la sortie du manoir et on l'avertit de ne parler à quiconque de ce qui s'est passé.
Juste avant l'aube, Bill arrive chez lui, se sentant coupable et confus. Il trouve Alice riant fortement dans son sommeil et la réveille. Alors qu'elle est en train de pleurer, elle lui explique qu'elle a fait un rêve troublant dans lequel elle faisait l'amour avec l'officier de marine et beaucoup d'autres hommes, riant à l'idée que Bill les regardait. Le matin suivant, Bill se rend à l'hôtel de Nick, où le réceptionniste (Alan Cumming) lui explique que Nick, effrayé et présentant des traces de coups, avait été emmené à cinq heures du matin par deux hommes très costauds, bien habillés et à l'air patibulaire. Nick a essayé, en partant, de passer une enveloppe au réceptionniste, mais celle-ci a été interceptée par les deux hommes qui l'ont emmené en voiture.
Bill ramène son costume au magasin de location, mais le masque est manquant. Milich explique, avec sa fille à ses côtés, qu'il peut fournir d'autres faveurs à Bill et « qu'il n'est pas nécessaire que ce soit un costume ». Les deux mêmes Japonais que la veille s'en vont du magasin, Milich laisse entendre à Bill qu'il a vendu sa fille pour qu'elle se prostitue. Bill retourne au manoir avec sa propre voiture. Un homme vient à sa rencontre près du portail de la propriété et lui remet une lettre l'avertissant de cesser immédiatement toutes ses investigations. De retour chez lui, Bill repense aux rêves d'Alice alors qu'il la regarde aider leur fille à faire ses devoirs.
Bill commence à reconsidérer les différentes propositions sexuelles de la nuit précédente. D'abord, il appelle Marion, mais raccroche lorsque Carl répond au téléphone. Ensuite, Bill se rend à l'appartement de Domino avec un cadeau. Sa colocataire, Sally (Fay Masterson), est chez elle, mais Domino n'est pas là. Après que Bill a tenté de séduire Sally, elle lui révèle que Domino a été testée positive au VIH. Bill quitte l'appartement, suivi par un homme. Après avoir lu un fait divers dans le journal concernant une reine de beauté décédée d'une overdose, Bill examine le corps à la morgue et l'identifie comme étant Mandy. Bill est convoqué à la maison de Ziegler, où ce dernier le confronte aux événements des derniers jours. Ziegler était l'un des participants à l'orgie rituelle et celui qui a identifié Bill ainsi que son contact avec Nick. Sa propre position au sein de l'organisation secrète est compromise par l'intrusion de Bill, depuis que Ziegler a recommandé Nick comme pianiste.
Ziegler affirme qu'il a fait suivre Bill pour sa propre protection et que les avertissements émis contre lui étaient de nature à l'effrayer pour l’empêcher de parler de l'orgie. Mais il lui explique que la société peut mettre ses menaces à exécution, disant à Bill : « Si je te disais leurs noms, je ne pense pas que tu dormirais aussi bien. » Bill demande des explications au sujet de la mort de Mandy, qu'on identifie par Ziegler comme la femme masquée qui s'est sacrifiée pour éviter à Bill d'être puni, ainsi que sur la disparition de Nick, le pianiste. Ziegler explique qu'il est sûrement bien en sécurité dans sa maison à Seattle. Il ajoute que la « punition » était une sorte de mise en scène orchestrée par la société dans le but d'effrayer Bill et qu'ils n'ont rien à voir avec la mort de Mandy. Il explique que c'était une prostituée et une toxicomane, et qu'elle est morte d'une overdose accidentelle. Bill ne sait pas si Ziegler dit la vérité au sujet de la disparition de Nick et de la mort de Mandy, mais il ne veut pas en savoir plus et préfère laisser tomber.
Quand il rentre chez lui, Bill trouve le masque loué sur son oreiller, à côté de sa femme. Il s’effondre en pleurs et décide de révéler toute la vérité à Alice sur les deux derniers jours. Le lendemain, ils se rendent dans un magasin de Noël avec leur fille. Alice le rassure en lui disant qu'ils devraient être pleins de gratitude d'avoir survécu, qu'elle l'aime et qu'il y a une chose qu'ils doivent absolument faire dès que possible. Bill lui demande de quoi il s'agit, elle répond simplement : « Baiser »
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kilfeur · 3 months ago
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Ce qu'un enfant ferait pour ses parents
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Lors de l'épisode 8 de la saison 3, Rayla décide de rester à la flèche de tempête pour payer le prix de la faute de ses parents et Callum voit sa raison de rester comme une fierté. Dans l'épisode 9 de la saison 6, Callum a fait un bracelet de phoenix de lune pour qu'elle puisse revenir dans le monde des vivants. Dans le nid de Zubeia, Callum a utilisé un sort de lune pour connaître la vérité sur ce qui s'est passé ! C'est grâce cette information que Rayla a pu dire que c'est grâce à ses parents que l'oeuf est en sécurité et qu'ils ont pu le ramener à sa mère. Malheureusement, elle se sépare d'eux et bien que ça lui brise le coeur. Ses parents comprennent mais ils savent qu'elle aura une bonne vie. Ce qui contraste avec Claudia qui retrouve Viren car elle a besoin qu'elle lui montre le bon chemin, que c'est grâce lui, qu'elle a pu se construire. Mais Terry essaie de la raisonner car un mort ne peut pas donner de réponses. Viren était son phare qui s'est éteint dans les flammes.
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Rayla décide de sauver Runaan lui rappelant qui il était, l'assassin mais aussi le père qui l'a élevée. Et par son amour et celui d'Ethari, elle le ramène dans le monde des vivants auprès de Callum. Tandis que Claudia en apprenant le passé d'un père aimant sa défunte fille. Cela lui permet de retrouver l'amour nécessaire, celui malsain et auto destructeur, pour exécuter le sort. Encore une fois leurs amours envers leurs parents se confrontent �� nouveau (J'en parle plus ici). Rayla peut enfin tourner la page concernant ses parents. Elle avait quitté Callum pour traquer Viren, qualifiant même de vengeance dans la saison 4 pour avoir des réponses concernant sa famille. Alors que Claudia qui voit son modèle détruit, elle trouve du réconfort avec Aaravos en sympathisant avec sa peine. Quand à Terry, il trouve que cette histoire d'amour est devenu tordu par la suite. Aaravos la manipule en choisissant les bons mots pour décrire Leola mais aussi Viren. Il le qualifie d'un père aimant, un grand homme qui était prêt à tout sacrifié quitte à être mal compris. Ce qui se complète avec la phrase "peu importe si c'est ignoble ou dangereux".
En parlant avec mon ami, il trouve qu'il y a un contraste entre ces deux là, sur comment elles gèrent leurs deuils :
Claudia a longtemps été dans le déni en étant obsédé de ressusciter son père que quand ce dernier voit toute les erreurs qu’il a faite et qu'il décide d’en subir les conséquences, dans la paranoïa, sa fille croit que tout le monde l’abandonne pour au final essayer d’accepter la vérité.
Rayla se résigne à la mort de ses parents au début car elle les voyait comme des traîtres. Avant que Claudia lui donne les pièces deux ans plus tard pour qu'au final elle accepte qu'ils se soient sacrifiés en héros. Ramener ses parents aurait été égoïste de la part de Rayla, alors qu'Ethari attend toujours le retour de Runnan. Donc au final c’est Claudia qui a agit par égoïsme et Rayla par abnégation.
What would a child do for their parents
In episode 8 of season 3, Rayla decides to stay at the storm spire to pay the price for her parents' wrongdoing, and Callum sees her reason for staying as pride. In episode 9 of season 6, Callum made a moon phoenix bracelet so she could return to the world of the living. In Zubeia's nest, Callum used a moon spell to learn the truth about what happened! With this information, Rayla was able to say that it was thanks to her parents that the egg was safe and that they were able to return it to his mother. Unfortunately, she's parting ways with them and although it breaks her heart. Her parents understand, but they know she'll have a good life. This contrasts with Claudia, who finds Viren because she needs him to show her the right path, that it's thanks to him that she's been able to build herself. But Terry tries to reason with her, because a dead man can't give answers. Viren was her lighthouse, which was consumed by flames.
Rayla decides to save Runaan, reminding him of who he was, the murderer but also the father who raised her. And through her love and that of Ethari, she brings him back to the world of the living, back to Callum. Claudia, on the other hand, learns of the past of a father who loved his deceased daughter. This allows her to regain the love she needs - the unhealthy, self-destructive love - to carry out the spell. Once again, their love for their parents collides (more on that here). Rayla can finally turn the page on her parents. She had left Callum to track down Viren, even calling it vengeance in season 4 to get answers about her family. While Claudia sees her role model destroyed, she finds comfort in Aaravos, sympathizing with his grief. As for Terry, he finds the love affair twisted in the aftermath. Aaravos manipulates her by choosing the right words to describe both Leola and Viren. He calls him a loving father, a great man who was ready to sacrifice everything even if it meant being misunderstood. This is complemented by the phrase “no matter how vile or dangerous”.
Talking with my friend, he finds that there's a contrast between the two of them, in terms of how they deal with grief:
Claudia has long been in denial, obsessed with bringing her father back to life, but when he sees all the mistakes he's made and decides to face the consequences, in paranoia, her daughter believes that everyone has abandoned her, and finally tries to accept the truth.
Rayla resigns herself to her parents' death at first, seeing them as traitors. Then, two years later, Claudia gives her the coins, and she finally accepts that they sacrificed themselves as heroes. Bringing back her parents would have been selfish on Rayla's part, while Ethari is still waiting for Runnan's return. So in the end it was Claudia who acted out of selfishness and Rayla out of self-sacrifice.
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raisongardee · 2 months ago
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"Pour la chevalerie, les bases de cette race sont un ensemble de normes spécifiques agissant comme autant de forces psychiques et psychologiques qui "obligent", créent une tension interne et donnent forme, parfois sur le plan somatique, a un type humain particulier, le chevalier, lequel, par leur activation au sein d'une "voie", cesse d'être un individu indifférencié pour devenir une personne différenciée par ses qualités, sa nature propre et une série d'attributs s’articulant en fonction de la nature de la "voie" et de ses choix personnels. Ces forces sont l'honneur, la fidélité – la fides - le courage, l’abnégation, l'amour du combat, valeurs relevant d'un ethos héroïco-viril païens, auxquelles l'Eglise ajouta la pitié, le désir de paix, l'amour du prochain, la protection d’autrui, la charité, etc., idées envers lesquelles le chevalier n'offrait bien souvent qu'une obéissance formelle. Joint à un mode de vie profane commun à tous les chevaliers, tout cela créa un "style" se caractérisant par des rapports clairs et ouverts d'homme à homme, l'affirmation d'une personnalité active allant jusqu'au sacrifice de ses intérêts et de sa vie de façon anonyme, le goût de la hiérarchisation et des rapports de commandement/obéissance, le tout s'organisant dans un ordre organique tissé de multiples liens réciproques s'articulant verticalement. Ces spécificités, admirablement mises en forme au Moyen Age, sont d’ailleurs celles de toute "société d’hommes" à quoi se résume, in fine, la chevalerie. Ce "style" généra divers comportements qui, par exemple, faisaient mettre en parallèle la claire conscience d'une nette supériorité sur les non-chevaliers envers lesquels les chevaliers admettaient avoir des droits et des devoirs, et un amour farouche pour la distance aristocratique, le rejet de toute familiarité, même envers les autres chevaliers pourtant perçus comme des égaux. Ce "style", maintenu par une tension psychique permanente, la peur de "mal faire", de faillir ou de déchoir – principes que l’on retrouve dans le Japon des samuraï -, implique un comportement psychologique bien particulier face aux aléas de la vie. Le plus caractéristique est celui représenté par cette alternance qui faisait passer le chevalier d'un enthousiasme total à un abattement complet. Cette attitude se vérifie surtout lors des combats : enthousiastes avant l'engagement, les menant à se ruer impétueusement et sans ordre sur l'ennemi, les chevaliers, s’ils perdent la bataille, tombent dans une complète désespérance pour laisser place, en peu de temps, à un nouvel enthousiasme, et ainsi de suite. Cette alternance agissait en fait comme une catharsis permettant d'épurer et d’équilibrer le psychisme de l'homme afin de lui permettre de suivre de manière cohérente la "voie" choisie."
Bernard Marillier, B.A.-BA Chevalerie, 1998.
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botr-rpg · 4 months ago
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WANTED ;; ft. sam claflin
LIEN FAMILIAL (dash) ;; parfois, il s'imagine tout plaquer. renoncer à tout ce qu'il a toujours (cru) vouloir être, prendre le large sur un bateau, voir le monde et s'épargner une vie au goût factice, dans laquelle il n'a jamais été qu'un spectateur. et puis il pose les yeux sur dashiell, le dernier de la famille, celui qui a toujours été libre de suivre ses lubies du moment. partir sur un coup de tête, découvrir les routes américaines, faire des rencontres, profiter du moment présent sans réfléchir aux conséquences. le ressentiment a grandi avec les années, et même lorsqu'il tente de la contenir elle rejaillit inévitablement lors des moments où ils se trouvent ensemble. des années de rancoeur l'aveuglent, l'empêchent de voir que la liberté qu'il lui envie tellement n'est pas non plus un choix. là aussi, dash a souffert toute sa vie du poids des attentes sur lui, ou en l'occurrence, de leur absence. gamin médiocre, incapable de trouver une place dans l'entreprise familiale, incapable d'être à la hauteur, ses parents l'ont délaissé. indigne de leur intérêt, sa liberté a un goût amer qu'holden ignore (ou feint d'ignorer). puisqu'on veut toujours ce qu'on ne peut pas avoir, les frères se renvoient leurs attentes déçues et leur aigreur, désormais alimentée davantage par la présence de divine, la fiancée d'holden, dans le quotidien d'un dash qui peine à rester insensible à leur connexion.
LIEN AMBIGUE (divine) ;; ils étaient l'évidence même : liés par un anneau, par une promesse. il l'avait aimée tout de suite, elle s'était laissée apprivoiser. sur tous les points, holden et divine se retrouvaient. leur amour était solide, construit sur des bases d'une dévotion et d'une loyauté extrême : d'un côté comme de l'autre, ils étaient prêts à se dire pour la vie, dans le meilleur comme dans le pire. et si l'amour dure trois ans, alors ils avaient connu le meilleur, et le pire restait à venir. secrets et rancoeurs douces voilent la vision dégagée qu'ils avaient déjà de leur mariage, pourtant aucune secousse semble assez puissante pour en faire s'effondrer les piliers.
Vous pouvez retrouver l'intégralité du pré-lien de Dash Whitaker sur Bottom of the River !
crédits ; @unfinishedfairytales (depraysie) & @kiddressources
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louisstephaneulysse · 4 months ago
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"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux. "
Louis Aragon
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souvenirsdesmercier · 2 years ago
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Léa est intriguée par tous ces témoignages qu'elle trouve sur internet ainsi il n'est pas rare que des jeunes femmes de sa tranche d'âge soient encore réduites au statut de petites ou encore aient droit à des punitions telles que la fessée.
Elle a retenu notamment celui de C. qui bien qu'étant déjà entrée dans la vie active après de brillantes études vit encore chez sa maman avec qui elle entretient une relation fusionnelle si ce n'est charnelle. Malheureusement C. malgré son apparence physique ainsi que ses tenues quotidiennes pour se rendre à son travail et son mode de vie adulte a conservé une certaine ... immaturité. Et sa maman que pourtant C. adore plus que tout, fait régulièrement les frais de son caractère de peste, de ses sautes d'humeur, de ses provocations publiques et surtout surtout de ses crises de colères incontrôlées. Aussi parfois il arrive que la seule alternative qui fonctionne pour parvenir à ce que C. retrouve calme et sérénité est une bonne fessée déculottée "à l'ancienne" voire anachronique mais toutes deux conviennent que..... c'est une solution qui fonctionne à merveille et par ailleurs n'entache pas l'amour et la tendresse réciproque qu'elles ont l'une pour l'autre....
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verver · 3 months ago
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Épisode 8
Quand il a pris la décision de partir, son esprit s'était mis à tourner sans arrêt dans sa tête.
Tous ces instants de bonheur qu'il avait passé en compagnie d'Amelie, toutes ces balades dans la nature, elle adorait se promener dans la nature.
Gabin revivait tout cela dans sa tête et ce n'était pas pour lui déplaire, il s'y complaisait, il laissait même filer les idées qui subrepticement s'incrustaient dans sa tête.
Maintenant qu'elle n'était plus la physiquement mais présente dans son esprit , il avait décidé pendant ces quelques jours de battement avant son départ de profiter encore un peu d'Amelie. Il savait que sa disparition était le résultat de ses propres choix.
Il avait décidé qu'il ferait exploser son appartement avant de partir vers d'autres aventures, personne ne retrouverait le corps d'Amelie, elle était à lui et à lui seul.
Gabin toujours assit dans son fauteuil se calma pour retrouver un poul régulier, il voulait effacer toutes traces de lui et d'Amelie. Cette histoire lui appartenait pour toujours et il n'avait pas l'intention de la partager.
Lui garderait cela, plus son amour éternel, le goût de sa peau et les repas qu'il s'offrait comme un rite sacrificiel.
Lui aurait tout cela, les autres n'auront rien.
Gabin écoutait toujours Chopin, le piano égrenait dans sa tête un son avec frénésie chaque note teintait son cerveau de blue. Il imaginait le virtuose penché sur son piano absorbé par le son et le rythme. Il imagine Chopin en transe caressant les touches avec ferveur devant un public en délire. Il remplit de nouveau son verre en méditant sur la musique classique, il se souvint qu'il partageait ce plaisir avec Amelie.
Plus tard, debout dans sa cuisine , il regardait la tranche de foie et les légumes frémir dans la poêle. Il regardait cette préparation avec amour, il était conscient que c'était un morceau d'Amelie qu'il allait déguster, puis digérer. Pour l'occasion il avait pris une bouteille de Bordeaux blanc un peu capiteux pour accompagner ce délicieux repas. Il avait acquis de la vaisselle au design conçu par un artiste de renom, les motifs étaient étranges et attirants à l'œil. Gabin admirait ses assiettes, il n'etait pas mécontent de les avoir acheté.
Maintenant Gabin savourant doucement son plat en écoutant Chopin. Il se sentait détendu oubliant le temps de ce repas ses soucis et ses tracas.
Vautré sur son canapé, il pensa que ces murs n'entendraient plus cette musique, ne seraient plus spectateurs de ses faits et gestes.
- hey merde ! gueule t-il
- On peut pas tout avoir ! brailla Gabin
Gabin se servit un autre verre d' eau de vie histoire de se mettre en forme tout en continuant à écouter la musique qui inondait le salon.
Il se souvient qu'un après midi ils avaient écouté un concert de piano orchestré par un célèbre maître. Il se souvient qu'elle s'était blottie contre lui, ils avaient écouté toute l'œuvre dans cette position. C'était à cette même place, sur ce canapé mais à un autre moment. Un moment sacré.
- comme le temps passe ! s'exclama Gabin
Il avait gâté Amelie peut être avec un peu trop de zèle, il en était conscient mais pour lui l'amour n'a pas de limite.
Il se resservit un verre d'eau de vie , ça lui faisait du bien , il aimait ce film qui passait dans sa tête, ces deux acteurs et leurs jeux. Gabin aimait les images et les dialogues . C'était un film intense, cette tranche de sa vie avait vraiment été intense.
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pourlemeilleur · 1 year ago
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En deux ans, je n'ai jamais cessé de l'aimer. Mes proches ami(e)s savent que c'est l'Amour de ma vie, je ne l'ai jamais caché, malgré toute la pudeur que j'avais, j'étais plutôt fière de le dire. Je n'oublie pas le nombre d'appels que j'ai eu avec Morgane où elle a dû subir toutes ces fois où j'en parlais. Certaines personnes disaient qu'elle finirait par regretter et qu'elle reviendrait vers moi... mais c'est faux. Elle ne revient pas. Je ne suis plus qu'une personne qu'elle a aimé autrefois, une relation parmi d'autres, et c'est comme ça que se passe la vie. J'ai toujours voulu croire que j'étais l'amour de sa vie moi aussi, car c'est ce qu'elle me disait, mais peut-être que finalement je ne suis pas le sien.
J'oublie personne, bien-sûr que je pense moins à certaines, mais personne est oublié dans mon coeur ou dans ma tête. Il y a celles qui ont + particulièrement marquées ma vie, et qui sont peu, cela se compte sur les doigts d'une main. Mais je ne suis pas aussi marquante qu'elles le sont pour moi, et c'est quelque chose que j'ai du mal à accepter. J'ai toujours tout fait pour elles, et je suis oublié en un instant. Du jour au lendemain, je ne suis plus celle à qui on envoie un message le matin et avant de dormir. Plus celle que l'on souhaite appeler un soir. Plus celle à qui on veut raconter des journées. Plus celle à qui l'on parle de tout. Je ne suis plus "l'une des personnes les plus importantes" parce qu'on me remplace. C'est toujours comme ça. Et je pensais qu'elle, elle agirait d'une autre façon. Que je n'allais pas me sentir remplacé. Je passe de tout à rien. Ce que je suis ne suffit jamais.
Il y a quelques semaines je disais à mes proches que je sentais bien l'année prochaine, que j'allais retrouver l'Amour de ma vie, j'avais un bon pressentiment sur ça. Et tout s'est écroulé il y a peu. En réalité j'espérais même pas, j'attendais pas non plus, il y avait juste quelque chose qui me disait que pourquoi pas l'année prochaine serait la bonne enfin. J'ai certainement parlé trop vite. Peut-être que j'aurais dû écouter mon instinct, que je vais me remettre à croire, et je vais attendre de voir comment se déroule les choses.
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L'avant me manque terriblement. Ces choses simples avec elle que j'aimais tant. Juste à se partager des musiques, à se conseiller des séries. Ces appels. Planifier des voyages ou des sorties. Ça me manque, et ça se reproduira plus jamais, c'est ça qui est dur. Devoir accepter qu'elle ne parlera jamais de moi comme je parlais d'elle.
2023 se termine dans deux jours, et je voudrais arrêter d'écrire sur elle, sur le nous qu'on a été auparavant. J'ai tout donné, tout fait, tout, mais ce n'est pas moi. C'est la dernière fois que j'en parle, et donc le dernier post de cette année. Merci 2023, j'attends de voir ce que 2024 me réserve.
❤️
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ernestinee · 3 months ago
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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ladyniniane · 5 months ago
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for the original character ask! (you get to chose which OC you'd like to talk about)
2 - 7 - 12 - 20 - 26 - 31 - 37 - 50 - 51 - 60 :)
Original characters asks
Salut, merci pour les questions :)
Je vais choisir Zoé, l'héroïne de mon projet de roman !
2: What is your character’s favorite memory?
Au début de l'histoire, ses souvenirs les plus chers sont ceux liés à son défunt fiancé. Notamment le jour où ils ont décidé de se marier et tout ce qui suit cette période. Les moments simples où ils avaient l'impression que le monde leur appartenait.
Tout cela est bien sûr à double tranchant car la source de sa joie est devenue celle de sa plus grande douleur. Ces souvenirs laissent la place à des cauchemars où tout est distordu.
7: How does your character feel about their name?
Elle aime son prénom. Court, simple, efficace, jolie signification...que demander de plus ?
12: How would/does your character feel about roller coasters?
Elle a participé à des batailles, je pense que ça ne l'effraierait pas trop. Bon, elle n'est pas le genre à rechercher les sensations fortes pour les sensations fortes, mais elle n'aurait pas peur d'essayer.
(Enfin, passé le choc de la découverte si on imagine qu'elle se retrouve transposée d'un coup dans notre monde moderne).
20: What is the most surprising thing about your character?
Ce qui surprend ceux qui la côtoient est le fait qu'elle a l'air posée, mature et conciliante, mais elle est absolument sans pitié et effrayante quand elle s'énerve. Il n'y a plus qu'à s'accrocher. Surtout qu'elle a une personnalité très droite et terre à terre.
Certains s'imaginent en voyant sa blondeur et ses yeux clairs qu'elle est une étrangère. Son apparence reflète en effet les métissages qui peuvent avoir lieu dans une zone frontalière.
Sinon, je veux maintenir un effet de surprise sur son passé pour les lecteurs en dévoilant petit à petit les raisons de son départ (on évite l'info dumping, yeah !).
26: What is your favorite headcanon for your character?
C'est difficile d'en choisir un. J'aime tout : sa famille, son évolution, son adaptabilité, les liens qu'elle noue avec les autres personnes au palais...
31: What social media would your character use?
Vraiment très basique : Facebook et/ou Instagram pour suivre ses proches et communiquer avec eux. Elle aurait peut-être un Tumblr pour partager de belles images. Ce serait le genre à être assez discrète et à ne pas dévoiler sa vie privée. Elle ne serait pas fan de LinkedIn.
37: Do people have justified grudges against your character?
Pour commencer : ses ennemis (et ceux de la famille impériale) qui sont convaincus de leur cause et la voient comme quelqu'un qui se met en travers de leur chemin.
Ensuite, elle se heurte au début à une dame de compagnie plus âgée (Hélène ? Je n'ai pas encore décidé de son prénom). Il s'agit plus d'une incompatibilité de personnalités. Zoé se focalise plus sur leur rivalité mais ignore certains détails qui justifient le comportement d'Hélène.
50: What is your favorite thing about your character?
Le fait que ce soit un personnage adulte dans des situations d'adulte. Ce n'est pas une jeune ingénue en début de vingtaine qui rentre à l'école de magie (ou je ne sais quelle institution comme la romantasy en a le secret) et va avoir le coeur qui bat pour le beau ténébreux.
Elle découvre un nouvel environnement, mais elle le fait en tant que personne qui connaît le monde et a de la bouteille. C'est une femme qui a connu l'amour et la douleur de la perte.
Comme je disais aussi dans un autre questionnaire, j'aime la dualité des rôles qu'elle joue, à la fois guerrière et dame du palais. Beaucoup trop de discours sur Tumblr et internet vise à catégoriser les personnages féminins en : "femme douce et féminine traditionnelle" VS "Guerrière".
Ce qui est absolument réducteur vu que les vraies personnes rentrent rarement dans des cases. Ensuite, pour certains le fait qu'un personnage féminin sache se battre est une insulte envers les femmes qui ne le font pas...Ce qui est encore une fois très agaçant puisque cela sous-entend que seules les femmes qui se conforment aux normes arbitraires de la féminité sont dignes d'intérêt.
51: What is your character’s favorite animal?
Les chats et les chevaux ! J'en dis un peu plus sur son rapport aux animaux ici.
60: If you could title your character’s life, what would you title it?
C'est plus ou moins le titre du roman : "Zoé, dame du palais". Ou alors tout simplement "Impératrice Zoé" :D.
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transparentgentlemenmarker · 6 months ago
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Au lendemain de la tentative d'assassinat de son mari 13 juillet 2024 en Pennsylvanie, Melania Trump a qualifié ce dimanche de "monstre" l'auteur des tirs, Thomas Matthew Crooks il a tenté d'éteindre la passion de Donald, son rire, son inventivité, son amour de la musique, et sa verve, le sens du devoir
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Le secrétaire à la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas, a rejeté les demandes répétées visant à renforcer la protection des services secrets pour Donald Trump.
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Vôtre choix pour la suite des présidentielles
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Message émouvant de Mélania Trump qui s'exprime pour la première fois sur la tentative d'assassinat sur son mari :
"Je pense à vous, mes compatriotes américains, en ce moment même. Nous avons toujours été une union unique. L'Amérique, le tissu de notre nation bienveillante, est déchirée, mais notre courage et notre bon sens doivent s'élever et nous réunir à nouveau. Quand j'ai vu cette balle violente frapper mon mari, Donald, j'ai réalisé que ma vie et celle de Barron étaient au bord d'un changement dévastateur. Je suis reconnaissante envers les courageux agents des services secrets et les forces de l'ordre qui ont risqué leur vie pour protéger mon mari. Aux familles des victimes innocentes qui souffrent maintenant de cet acte odieux, j'offre humblement mes plus sincères condoléances. Votre besoin de puiser dans votre force intérieure pour une telle raison me rend triste. Un monstre qui voyait mon mari comme une machine politique inhumaine a tenté d'étouffer la passion de Donald - son rire, son ingéniosité, son amour de la musique et son inspiration. Les aspects essentiels de la vie de mon mari - son côté humain - étaient enfouis sous la machine politique. Donald, l'homme généreux et attentionné avec qui j'ai traversé le meilleur et le pire. N'oublions pas que les opinions divergentes, les politiques et les jeux politiques sont inférieurs à l'amour. Notre engagement personnel, structurel et de toute une vie - jusqu'à la mort - est sérieusement menacé. Les concepts politiques sont simples comparés à nous, êtres humains. Nous sommes tous des humains, et fondamentalement, instinctivement, nous voulons nous aider les uns les autres. La politique américaine n'est qu'un véhicule parmi tant d'autres qui peut élever nos communautés. L'amour, la compassion, la gentillesse et l'empathie sont des nécessités. Et souvenons-nous que lorsque viendra le moment de regarder au-delà de la gauche et de la droite, au-delà du rouge et du bleu, nous venons tous de familles ayant la passion de se battre pour une vie meilleure ensemble, pendant que nous sommes ici, dans ce royaume terrestre. L'aube est de nouveau là. Réunissons-nous. Maintenant. Ce matin, élevons-nous au-dessus de la haine, de la vitriol, et des idées simplistes qui alimentent la violence. Nous voulons tous un monde où le respect est primordial, où la famille est au premier plan et où l'amour transcende tout. Nous pouvons réaliser à nouveau ce monde. Chacun de nous doit exiger de le retrouver. Nous devons insister pour que le respect soit la pierre angulaire de nos relations, à nouveau. Je pense à vous, mes compatriotes américains. Les vents du changement sont arrivés. À ceux d'entre vous qui pleurent en signe de soutien, je vous remercie. Je salue ceux d'entre vous qui ont tendu la main au-delà de la division politique - merci de vous rappeler que chaque homme politique est un homme ou une femme avec une famille aimante.
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Un héros
La conclusion
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Une prière
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selidren · 1 year ago
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Champs-les-Sims - Automne 1914
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Il est difficile d'échapper à sa poigne de fer et à son bon sens impossible à contredire. C'est bien pire depuis que la guerre a commencé. Je l'entends parfois marcher de long en large pendant des heures la nuit durant, sans doute pour apaiser son angoisse, mais au matin, il n'en parait rien. Cette femme est une force de la nature. Si bien que je me retrouve honteuse à être affectée par une petite maladie de rien du tout alors qu'elle a tant perdu mais reste debout contre tout ce que la vie peut lui envoyer. J'aimerai un jour, quand je serai à mon tour une vieille dame, avoir sa vaillance.
Transcription :
Albertine : Je suis si inquiète, Madame Eugénie. Constantin n'est pas taillé pour la guerre, j'ai si peur que cela ne le brise.
Eugénie : Contrairement à ce que certains peuvent raconter, aucun homme n'est vraiment taillé pour la guerre selon mon sentiment. Ils fanfaronnent et se voient en héros du front, mais se retrouvent toujours un jour ou l'autre dans la détresse quand on leur met une arme dans les mains et qu'on leur désigne un ennemi. Toute cette jeune génération qui est partie le sourire aux lèvres, ils n'ont pas connu la guerre. Adelphe n'était même pas né quand les Prussiens ont failli prendre Paris. Alors que savaient-ils de la violence ?
Albertine : Cela me plait de discuter avec vous, mais je dois... *kof* *kof* *kof*
Eugénie : Pour l'amour du ciel, restez donc allongée ! Je vais envoyer Madame Legens vous faire une tisane. Vous allez rester alitée le temps que l'on s'assure que cette petite angine de poitrine ne se change pas en pneumonie. Je peux parfaitement m'occuper des enfants seule ma petite.
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