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côte atlantique, vers 1820, heure de Paris
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3ème balade sur la Côte Bleue.
Ici, La Redonne, au dessus de la Calanque des Anthénors.
Au pied de la falaise, des vagues échevelées par le mistral, hypnotiques...
#la redonne#ensuès-la redonne#côte bleue#calanque#calanque des anthénors#anthénors#vague#vagues#mistral#ressac#méditerranée
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Vers soi
Je vis dans une ville qui a un statut de capitale. C’est beau et bien aménagé. Toutefois, on n’est pas dans un environnement naturel. La promenade en forêt me permet d’entretenir cet amour que j’ai pour la vie et le monde vivant. La nature est toujours en constant changement. Chaque promenade me fait découvrir de nouveaux développements. Lorsque nous marchons lentement dans la forêt et voyons,…
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Superbe nouveau roman de Maylis de Kerangal. J’ai adoré.
Le résumé de l’intrigue est simple et intrigant : la narratrice voit son quotidien parisien bousculé par un appel de la police du Havre, où un homme a été retrouvé mort au bord de l’eau, non identifié, avec pour seul indice retrouvé sur lui un ticket de cinéma établissant un lien avec elle.
La voilà partie pour sa ville d’enfance et de jeune fille, ville étrange, fantomatique, captivante, envoûtante sous la plume de l’autrice.
C’est un livre sur les fantômes, ou le passé fantomatique plus exactement. Ce qui reste sous les années, sous la défiguration, sous l’oubli, sous la poussière, sous les bombes. Ce visage, que la narratrice ne reconnaît pas, est en miroir avec celui de la ville presque complètement détruite par la guerre, puis reconstruite, c’est aussi celui de sa jeunesse, loin derrière (elle a presque cinquante ans), et de son premier amour, par lequel elle a quitté l’enfance puis la ville. Tout est semblable et différent à la fois, elle est la même et une autre. On ressent lors de la lecture le frisson de l’enquête car le roman ressemble à un polar lent, mais aussi le trouble, le vertige du travail de mémoire. Elle a du mal à repartir à Paris où elle vit désormais avec compagnon et fille presque adulte (encore un double déformé), et se met à déambuler dans les lieux de son passé, croise des revenants pourrait-on s’amuser à dire, sent les vagues de souvenirs affluer et refluer. Le roman se fait aquatique, presque amniotique, on est plongé dans ce qui a constitué la construction de son identité, légèrement flottante, un peu en déséquilibre en ce moment de doute et de regards jetés dans le rétroviseur.
La prose de Maylis de Kerangal plus que jamais est hypnotique, précise et lyrique à la fois (comme de coutume), et m’a véritablement embarquée, dans les eaux troubles des zones intermédiaires, dans l’histoire de la ville, ses géographies particulières, sa double nature : ville estuaire qui accueille, et ville maritime d’où l’on part, porte-conteneurs, cargos, drogue ou réfugiés. Un livre coloré à l’arrivée pour moi de nuances de bleus et de gris, plus ou moins sombres.
Un roman subtil et profond, émouvant et d’une beauté mouillée de larmes.
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Eric Chazot - Marées
Une découverte poétique de plus avec l’écrivain et poète Eric Chazot.. Une page foisonnante, des poèmes qui vous emportent, un mariage réussi des sons et des mots…L’émotion et la passion de l’écriture sont au rendez-vous… Eric Chazot est aussi, par ailleurs un spécialiste reconnu (et un amoureux) de l’art tibétain dont certain de ses poèmes s’inspirent. A découvrir de toute urgence pour en savoir…
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Revue Ressacs
Chers tous, L’appel à textes pour le quinzième numéro de votre revue Ressacs est lancé ! Nous attendons vos contributions. Partagez et à bientôt ! Amitiés Ressacs
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#appel#blog#instalire#instalivres#leeham#littérature#littératuredailleursdeleeham#poème#poète#poésie#Ressacs#revue
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" Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre". Olivier de Kersauson
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
~Arthur Rimbaud
Montage vidéo zakariesworlds
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RESSAC.
Brétignolles-sur-Mer.
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Falaises en pays de Caux - ( RC )
photo argentique perso – années 80 – pays de Caux Vertige du parcours vertical,au profil d’escaladeseuls les oiseaux le négligent. Même les sons s’y heurtentceux du ressac s’y brisentrebondissent sur la craie. Limite abrupte,jointure entre un bout de cielet un lit de galets. Suivre ces strates horizontalesdessinant de lignes noiresde leurs empilements Empilement de millénaires,étalement de…
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#Albion#écho#Caux#chabrière#craie#failles#galets#lignes#limite#millénaires#mousses#ressac#ruptures#silex#verticale
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
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La marée
Ce que la mer nous apprend, c’est qu’elle a cette capacité de ne pas retenir trop longtemps ce qui n’est pas de sa nature. Ses vagues muent par le mouvement de la marée, ont la capacité de balayer la mer pour créer sur les terres un effet de ressac. En se promenant le long des plages, on peut voir parfois, après que la marée s’est retirée, ce qui n’avait plus de place sur les eaux pour ce qui a…
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2024 - Vivre libre
La crique est minuscule et d’un accès unique par l’océan. Prenant mon courage comme compagnon, je me suis glissé entre deux rochers après avoir effectué ma légendaire brasse coulée du chiot de plomb. Laissant ma couenne dorer sous la brise au son du ressac, il ne s’est pas écoulé dix minutes avant le débarquement. Déboulant à la nage depuis son embarcation, le groupe de quinze est arrivé cul-nu mais détendu. Entouré de multiples corps dans la plus totale diversité, je ne savais que faire du maillot quand une mamie s’est approchée pour me glisser l’oreille : - Vous pouvez tout à fait rester textile mais c’est quand même dommage de ne pas savoir profiter.
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Julius C'anar Cauchois- Le téléphone s'est tu tôt
Tu ne tiens pas la tonalitéLe téléphone s’est tu tôtOn vivait à bout des vaguesVagues ondes de vibrationsDe vibrations tergiversantTergiversant aux ressacs fousFous sulfures de notre gêneInfichus de se chauffer le cœurAcculés dans nos scrupulesCommunication sectionnéeSectionnée dans notre séquenceCaletant dans le carnage des émois
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La Revue Ressacs n°14
Bonjour chers amis, Ressacs n°14 est en ligne ! Ressacs n°14 est en ligne ! – RESSACS (eklablog.com) Ressacs | Facebook Merci d’avoir participé ! Suivez-nous, aimez, partagez et à bientôt ! Ressacs
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