#responsabilité des associés
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nfavocats · 2 months ago
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Comment rédiger un pacte d’associés en respectant le droit des affaires
Comment rédiger un pacte d’associés en respectant le droit des affaires
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claudehenrion · 2 months ago
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Et vous ? Ça va comme vous voulez ?
Que nos faux leaders en panne sèche de leadership n'ont-ils pas inventé, depuis 7 ou 8 ans, pour nous faire avaler des potions imbuvables ! Et il faut reconnaître qu'ils ont souvent réussi à nous surprendre, et parfois même à nous leurrer ! Parmi leurs plus belles réussites (c'est à dire celles qui ont le plus retardé leur chute, donc les pires, pour la France et les français), il faut s'extasier sur les titres dont ils se paraient pour mieux nous rouler dans la farine.
Tout a commencé il y a environ 7 ou 8 ans, au moment où les mauvais génies de ''Bildenberg'' ont décidé que Macron était l'homme qui esquinterait le plus vite tout le bel assemblage historique et culturel français, qui était un petit caillou dans leur chaussure et dans leur programme de destruction de tout ce qui s'opposait à leur dystopie majuscule. Ça semblait plutôt facile : il suffisait de balayer Fillon qui, en bon homme de Droite, n'opposerait aucune résistance. Ce qui fut fait.... et ça leur a donné l'idée de refaire le coup à chaque ''Présidentielle'', n'est-ce pas, Marine ?
Et c'est alors qu'on nous a imposé le premier mensonge --énorme, monstrueux, honteux-- de cette longue série-là : ils nous ont sorti de derrière les fagots ''le mozart de la finance'' : on allait voir ce qu'on allait voir ! Et on a vu ! (on a même souffert, sué, râlé, payé cher, beaucoup perdu...). ''C'est un banquier, et de chez Rothschild, s'il vous plaît'', nous rabâchait-on comme si c'était vrai... (NB : dans leur univers de référence, ils n'avaient pas trouvé plus beau compliment : les bobos devaient en être babas, gagas, paralysés par l'admiration, pétrifiés par l'honneur accordé... Certains l'ont été, un temps, mais ça a suffi : le mal était fait, le renard dans le poulailler, et leur faux mozart dans le vrai Elysée).
Vous pouvez vérifier mes dires en jouant avec l'échelle à droite de votre écran. C'est le 4 mai 2017. Il venait d'être élu, et je vous mettais en garde contre le chant des sirènes (Edito n°616) : ''Voilà un homme qui n'a pas la moindre notion de la valeur de l'argent, de ce qu'est un patrimoine, une transmission, une “gestion de bon père de famille”, des économies, et même… la Finance, dont, pourtant, il fut un des ministricules sans responsabilités ni utilité démontrables… ce qui est un juste prix pour le soi-disant ancien-banquier qu'il n'est pas. C'est un “banquier d'affaires” (ce n'est pas du tout la même chose) qui a été parachuté sans jamais avoir à apprendre le “b, a = ba ” de ce métier exigeant : chez Rothschild & Cie, on doit être stagiaire ès PowerPoint, tableaux Excel et nuits qui n’en finissent pas : ''Analyst'', d'abord, puis “Manager”, “Assistant director”, puis “Director”, et enfin “Partner”, lorsque (et si) on a fait ses preuves. Des années de travail pour accéder au ‘’jack-pot’’ qu’il a touché sans coup férir, merci, Bildenberg. Le jeune énarque saute les étapes et, en deux ans, il est catapulté associé-gérant, ce qui va permettre à cet iso-Rastignac de soi-disant conseiller de grandes entreprises dans leurs opérations de fusions-acquisitions (dites “Fusac”!), sans la moindre expérience et sans les connaissances juridiques, comptables, financières et fiscales… ce qui est un comble… ou une anticipation de ce qui nous attend !''.
Et d'ailleurs, tant qu'on y est... le 21 avril 2017, c'est-à-dire entre les deux tours, je vous avais déjà prévenus, chers amis : ''Tout se passe comme si la seule liberté qui nous était concédée se résumait à voter Macron ou Macron, avec plus ou moins d'empressement, de conviction ou de passion extatique… alors que personne ne sait rien sur ce jeunot qui est à la fois fugitif à en devenir transparent et terriblement agressif. Dans son absence de densité réelle, le peu qui transparaît (à travers des discours incompréhensibles, pleins de n'importe quoi et de son contraire) se trouve dans un bouquin, “Révolution”, qu'a commis ce chantre du “ratissage large” fin 2016.
Cet opuscule creux est typique d'une pensée de type “énarque’‘ : 260 pages au terme desquelles on se demande toujours de quoi il s'agit, et surtout comment le programme annoncé (mais pas trouvé !) pourrait être réalisé et (accessoirement !) financé… dont l'auteur parle comme s'il existait… après avoir répété sur tous les tons que la notion-même de ’'programme” correspond à une démarche dépassée. Seule certitude : il tient à être perçu comme “progressiste”, en donnant à ce mot des sens variables pour faire croire que ce défaut majeur de la pensée serait une qualité… ''Mozart de la finance'' ? Et puis quoi, encore ? Pour le grand malheur de notre cher pays, humilié, déclassé et risée du monde, trop de français ont cru aux énormités de la caste au pouvoir et prête à tout pour le garder ! Et nous ne sommes pas au bout des dégâts dont il est capable: il nous rappelait ce soir Jeudi 5 décembre qu'il lui reste 30 mois pour détruire ce qu'il n'a pas eu le temps de bouziller.
L'autre mensonge était moins gros (moins gros gibier) : Barnier, dit on, aurait été un merveilleux négociateur, dans ses différents mandats, notamment à propos du Brexit. Je vais encore me permettre de vous remettre en mémoire que ce blog vous prévenait que ''une fois privé des louanges imméritées du ''Système'', sa ''négo'' relative au Brexit avait été mauvaise du tout au tout et que son seul apport personnel avait été de rendre la sortie de l'Europe bruxelloise si coûteuse et si compliquée qu'elle en devenait impossible''. Et je vous invitais à demander à nos pauvres marins-pêcheurs martyrisés quelle note sur 20 ils attribuaient à Barnier-négociateur..
Je vous suggérais même (édito 1764 du 13 octobre dernier) que... ''Prétendre avancer dans le marigot qu'est Matignon en suivant les étapes d'une ''méthode'', c'est se foutre de la gueule des électeurs : devant 577 clampins (dont les grossiers personnages qui ne savent que beugler des insanités qui sont à son extrême gauche), qui, tous, ne veulent que plus de fric... que peut-il faire ? Ecouter, certes, un peu, puis dire non, refuser, rejeter... avec ou sans débat sur rien, et avec un dialogue ramené au seul mot ''Niet''. Ou céder, s'il est intelligent.
Elargissant la réflexion, j'écrivais avant-même qu'il soit élu : ''Un énarque est un ex-citoyen qui a une religion, l'Etat... un seul dieu, l'Etat... une seule foi, l'Etat... et qui, devant tout à l'Etat, lui promet obéissance et fidélité. C'est, en somme, un homme libre... totalement asservi. Et c'est à des clones comme ça qu'on demande de réguler le fonctionnement et d'optimiser les processus de l'Etat... de faire plus (Bon... à la rigueur !) avec moins (ce dont ils ne comprennent même pas le sens, puisqu'on a tout fait pour qu'il en soit ainsi), et comble du comble, de diminuer le nombre des ponctionnaires, leurs frères...''.
Michel Barnier est un modèle du genre, et le résultat ne s'est pas fait attendre : sommé de faire des économies, il a inventé pour la 200 ième fois la recette-miracle qu'il pense inédite : augmenter les impôts des français, de tous les français mais en ne parlant que des 65 000 les mieux payés, entre temps ramenés à 25 000 (ceux que toutes les entreprises hors de ''l'hexagone'' sont prêtes à surpayer pour les avoir --je le sais : j'en ai fait partie, dans une autre vie, il y a bien longtemps !) et qui vont, une fois de plus, ''se tirer'' à l'étranger, ne nous laissant que les mauvais ! En jargon républicain, le nom de ce jeu de massacre masochiste est : ''la justice sociale'' (NDLR : Zazie avait un joli mot en trois lettres pour qualifier ce gigantesque vol légal !).
Censure actée, il semble que tout était écrit d'avance. Le soi-disant ''fin négociateur'' s'est planté comme un bleu (''Je ne croyais pas que Marine le Pen irait jusqu'au bout.'' a-il osé dire !). Mais quel nul ! Nos dirigeants sont vraiment des bras cassés qui ne savent nous mener que du pire vers le ''encore plus pire''... Mais qu'avons-nous fait au Bon Dieu ? Il est vrai que nous nous sommes gargarisés de l'avoir tué et de n'avoir pensé qu'à le mettre hors jeu. Finalement, on peut Le comprendre... mais ça ne fait pas du tout nos affaires : à l'arrivée des résultats de l'étalage de leur nullité, il ne nous reste que les yeux pour pleurer. Et notre douce France à regretter...
H-Cl.
PS : je pensais terminer sur un compte rendu du discours élyséen (etymologie : ''qui vient du royaume des morts'' !) de ce lendemain de censure. J'en ai retenu que : ''C'est pas moi, c'est elle !''... ''moi, je ne suis ni responsable ni coupable'' ... et '' il nous reste 30 mois pour nous aimer, être d'accord sur tout, faire tout ce qu'on n'a pas fait en 8 ans... Si vous échouez, ce sera vous, les coupables devant l'histoire, de ne pas avoir attrapée la main que je vous tends si généreusement''... Tout ça serait pitoyable, si ce n'était pas dramatique !
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selidren · 5 months ago
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
7/10
Je lui ai demandé de ne pas le faire. Vous savez, il a commencé à dix-sept ans sans vraiment avoir le choix. Mon grand-père avait disparu, mon père était un adolescent de treize ans et ma grand-mère était déjà une vieille dame. Je me dis que ça n'a pas du être facile. Il veut sans doute que je reprenne le flambeau aussi tôt par tradition et il pense que j'ai au mauvaise opinion de mes capacités. Je crois que lui aussi, malgré les années, ne se pense pas toujours digne. Il se serait sans doute déchargé d'un poids je suppose.
Mais moi je ne suis pas prête. Pensez-vous ! Mes parents me traitent comme une adulte, mais il n'y a guère que ma soeur Cléo pour se voir comme une adulte par ici. Peut-être Antoine aussi, mais lui a toujours plus ou moins été un adulte, même quand nous étions petits ! Je me demande même ce que ça veut dire "être adulte", si ce n'est passer un âge symbolique qui signifierai qu'on sait enfin ce qu'on est en train de faire et que les échecs vont couter cher. Je refuse de prendre de telles responsabilités tout de suite, surtout si j'ai la chance d'attendre un peu.
Transcription :
Adelphe « Je n’en ai assez de rien. Je ne sais pas quelle image tu as de toi-même Noé, mais tu n’as jamais été un fardeau pour moi. Si je t’ai enseigné le métier, ce n’est pas par amour ou sens du devoir envers ton père. Ce n’est pas non plus parce que Eugénie Le Bris l’a diligemment commandé. C’était tout simplement parce que tu me l’as demandé et que cela te tenais à coeur. Je mentirais en disant que je n’apprécierai pas du temps à passer avec mes enfants et mon petit-enfant qui va naître, mais je peux tout aussi bien être ici et auprès d’eux. »
Arsinoé « Pardon, je… »
Adelphe « Assez avec les excuses jeune fille ! Il va falloir te montrer un peu plus assertive. Si c’est ton souhait d’attendre, alors nous attendrons. »
Arsinoé « J’aime bien l’idée d’avoir du temps pour me préparer. »
Adelphe « Alors ce temps, nous le prendrons. »
Arsinoé « Merci mon oncle. Mais même après, j’aimerai que vous ne vous effaciez pas trop. Que nous soyons davantage partenaires. Comme des associés en quelques sortes. Même si c’est mon nom sur les papiers et la devanture. »
Adelphe « Je suis plus âgé, plus expérimenté, un homme de surcroît. Sans compter que les clients sont habitués à traiter avec moi depuis des décennies. J’ai peur de te supplanter si je ne m’efface pas derrière toi, ou pire, que nos clients te contournent pour traiter directement avec moi. »
Arsinoé « Moi, ça ne me fait pas peur. »
Adelphe « Vraiment ? »
Arsinoé « Je vous connais trop bien mon oncle. Si jamais cela devait arriver, vous seriez tellement mortifié que vous feriez en sorte que cela ne se reproduise pas. Et tout ça sans même que je m’en rende compte. »
Adelphe « Ah ah ! Ce n’est pas faux ! Et puis j’admets que, dans mes jeunes années, j’aurai apprécié que ton grand-père ait été derrière moi, ne serait-ce que pour me rassurer. »
Arsinoé « Alors vous voyez ? Papa m’a toujours dit que je pourrai compter sur vous, quoi qu’il arrive. »
Adelphe « Je ne sais pas ce que j’ai pu faire pour mériter une telle confiance, mais je suis vraiment touché. »
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nimbusnomade · 1 month ago
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🐍 L’année du serpent de bois
Au Japon (comme dans de nombreux autres pays asiatiques), l’année est associée à l’un des 12 animaux du zodiaque chinois.
2024 était l’année du dragon d’eau. 2025 est celle du serpent de bois !
L’année du serpent est synonyme de croissance et d'épanouissement personnel ! C’est l’annonce d’une période où nos efforts passés porteront enfin leurs fruits. 🍍🍎🍐🍇
Bien que le serpent soit parfois perçu comme vindicatif, il est également honoré pour sa capacité à rendre des faveurs.
Une légende chinoise raconte qu'un serpent, sauvé par un roi de la dynastie Sui, réapparut dans ses rêves pour lui offrir des trésors inestimables. 🎁
La capacité des serpents à muer les associe à la résurrection et à la renaissance, et ils incarnent la longévité et la force vitale. 🌱
Partout au Japon, des sanctuaires sont dédiés aux serpents, célébrant Benzaiten, la déesse de la richesse et du divertissement, souvent représentée sous forme de serpent elle-même. Cette déité fait partie des sept dieux de la bonne fortune. Voilà pourquoi, dans l’archipel, on dit qu'une peau de serpent glissée dans votre portefeuille attire la prospérité financière. 💰
2025 c'est donc le moment idéal pour innover, pour semer de nouvelles graines et attendre des résultats tangibles d'ici la fin de l'année, même si le rythme de croissance variera pour chacun d'entre nous (il faudra d’ailleurs s’armer de patience, une mue ne se fait pas en un jour).
👘 成人式, LE SEIJIN SHIKI AU JAPON
Après la tradition de l’horoscope, passons à un autre élément très important de la vie japonaise : les jours fériés ! 📆
Connaissez-vous le 成人の日 (seijin no hi) ?
C’est le jour du 成人式 (seijin shiki), une cérémonie traditionnelle qui célèbre le passage à l'âge adulte des jeunes Japonais. 
Cette cérémonie se déroule chaque année le deuxième lundi de janvier. Cela tombe donc le 13 janvier cette année !
Le seijin shiki tire ses origines des rites de passage shintoïstes remontant au moins au VIIe siècle. Tous les jeunes qui atteignent l'âge de la majorité avant le 13 janvier sont invités à participer à la cérémonie.
✨ Le seijin shiki est un événement important dans la vie d'un Japonais, marquant symboliquement l'entrée dans l'âge adulte et les responsabilités qui l'accompagnent.
Jusqu'en 2022, le seijin shiki célébrait les jeunes atteignant 20 ans. Cependant, depuis le 1er avril 2022, l'âge de la majorité au Japon a été abaissé à 18 ans ! Mais attention, malgré ce changement, certaines restrictions demeurent, comme l'interdiction de consommer de l'alcool avant 20 ans. 🍾
👘 C’est l’occasion pour les jeunes femmes de porter un magnifique furisode (振袖), un type de kimono à manches longues. Les hommes optent quant à eux pour un costume occidental ou un kimono masculin.
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yespat49 · 7 months ago
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Stephen Nikola Bartulica : « Une grande partie de la responsabilité de ce qui se passe en Europe incombe aux dirigeants politiques conservateurs » [Interview]
Stephen Nikola Bartulica est membre du Parlement croate pour le Mouvement de la patrie (Domovinski Pokret-DP) et professeur associé de philosophie politique à l’Université catholique croate de Zagreb. Lors des élections européennes du 9 juin, M. Bartulica a été élu député européen pour le DP, qui fait partie du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR). Notre confrère Álvaro…
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cogitontos · 2 years ago
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"Le plaisir sexuel n’était pas seulement supérieur, en raffinement et en violence, à tous les autres plaisirs que pouvait comporter la vie ; il n’était pas seulement l’unique plaisir qui ne s’accompagne d’aucun dommage pour l’organisme, mais qui contribue au contraire à le maintenir à son plus haut niveau de vitalité et de force ; il était l’unique plaisir, l’unique objectif en vérité de l’existence humaine, et tous les autres – qu’ils soient associés aux nourritures riches, au tabac, aux alcools ou à la drogue – n’étaient que des compensations dérisoires et désespérées, des minisuicides qui n’avaient pas le courage de dire leur nom, des tentatives pour détruire plus rapidement un corps qui n’avait plus accès au plaisir unique. La vie humaine, ainsi, était organisée de manière terriblement simple, et je n’avais fait pendant une vingtaine d’années, à travers mes scénarios et mes sketches, que tourner autour d’une réalité que j’aurais pu exprimer en quelques phrases. La jeunesse était le temps du bonheur, sa saison unique ; menant une vie oisive et dénuée de soucis, partiellement occupée par des études peu absorbantes, les jeunes pouvaient se consacrer sans limites à la libre exultation de leurs corps. Ils pouvaient jouer, danser, aimer, multiplier les plaisirs. Ils pouvaient sortir, aux premières heures de la matinée, d’une fête, en compagnie des partenaires sexuels qu’ils s’étaient choisis, pour contempler la morne file des employés se rendant à leur travail. Ils étaient le sel de la terre, et tout leur était donné, tout leur était permis, tout leur était possible. Plus tard, ayant fondé une famille, étant entrés dans le monde des adultes, ils connaîtraient les tracas, le labeur, les responsabilités, les difficultés de l’existence ; ils devraient payer des impôts, s’assujettir à des formalités administratives sans cesser d’assister, impuissants et honteux, à la dégradation irrémédiable, lente d’abord, puis de plus en plus rapide, de leur corps ; ils devraient entretenir des enfants, surtout, comme des ennemis mortels, dans leur propre maison, ils devraient les choyer, les nourrir, s’inquiéter de leurs maladies, assurer les moyens de leur instruction et de leurs plaisirs, et contrairement à ce qui se passe chez les animaux cela ne durerait pas qu’une saison, ils resteraient jusqu’au bout esclaves de leur progéniture, le temps de la joie était bel et bien terminé pour eux, ils devraient continuer à peiner jusqu’à la fin, dans la douleur et les ennuis de santé croissants, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus bons à rien et soient définitivement jetés au rebut, comme des vieillards encombrants et inutiles. Leurs enfants en retour ne leur seraient nullement reconnaissants, bien au contraire leurs efforts, aussi acharnés soient‑ils, ne seraient jamais considérés comme suffisants, ils seraient jusqu’au bout, du simple fait qu’ils étaient parents, considérés comme coupables. De cette vie douloureuse, marquée par la honte, toute joie serait impitoyablement bannie. Dès qu’ils voudraient s’approcher du corps des jeunes ils seraient pourchassés, rejetés, voués au ridicule, à l’opprobre, et de nos jours de plus en plus souvent à l’emprisonnement. Le corps physique des jeunes, seul bien désirable qu’ait jamais été en mesure de produire le monde, était réservé à l’usage exclusif des jeunes, et le sort des vieux était de travailler et de pâtir. Tel était le vrai sens de la solidarité entre générations : il consistait en un pur et simple holocauste de chaque génération au profit de celle appelée à la remplacer, holocauste cruel, prolongé, et qui ne s’accompagnait d’aucune consolation, aucun réconfort, aucune compensation matérielle ni affective.
J’avais trahi. J’avais quitté ma femme peu après qu’elle avait été enceinte, j’avais refusé de m’intéresser à mon fils, j’étais resté indifférent à son trépas ; j’avais refusé la chaîne, brisé le cercle illimité de la reproduction des souffrances, et tel était peut-être le seul geste noble, le seul acte de rébellion authentique dont je puisse me prévaloir à l’issue d’une vie médiocre malgré son caractère artistique..."
- La Possibilité d'une île
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whencyclopedfr · 2 years ago
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Yama
Yama est le dieu hindou de la mort, le roi des ancêtres et le juge suprême de la destinée des âmes. Il est également connu comme "Celui qui retient les âmes", Pretaraja ou "Roi des Spectres", Dharmaraja ou "Roi du Dharma" et, sous le nom de Dakṣiṇasapati, il est le Gardien du Sud. Yama peut aussi être désigné plus simplement comme "la Mort" - Antaka, Kala ou Mrtyu. L'importance de Yama réside dans sa responsabilité de rendre des décisions justes et équitables fondées sur les actions passées d'une personne. C'est pourquoi il est étroitement associé aux notions de justice et d'ordre. Yama est également présent dans la mythologie perse, les mythologies chinoise et japonaise, ainsi que dans certains concepts du bouddhisme.
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infosisraelnews · 5 days ago
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Eyal Eshel accuse l’ex-femme d’Aharon Haliva : un scandale dans l’enquête du 7 octobre
La nouvelle saison de la série documentaire “Ennemis” sur Kan 11 a suscité de vives réactions, notamment de la part de Eyal Eshel, père de Roni Eshel, l’observatrice militaire tuée lors de l’attaque du 7 octobre. L’émission, qui dresse le portrait de Yahya Sinwar, a été critiquée pour son traitement de l’événement et les responsabilités qui y sont associées. Un documentaire controversé La série,…
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lepartidelamort · 13 days ago
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« Trump » veut déporter 100,000 Palestiniens en Albanie.
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MAKE ISRAEL GREAT AGAIN.
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Tuer et déporter à grande échelle n’est seulement un génocide que si les juifs en décident !
Précédemment : Trump veut expulser 1,5 million de Palestiniens en Égypte et en Jordanie
Le nègre orange étudie toutes les pistes pour procéder à la déportation de masse des Palestiniens.
La piste de l’Albanie (en Europe donc) l’intéresse !
C’est ce qu’indique le média israélien Channel 12.
Hauts fonctionnaires israéliens : La déclaration de Trump sur la migration des Gazaouis vers les pays musulmans n’est pas un lapsus mais fait partie d’un mouvement beaucoup plus large qu’il n’y paraît, coordonné avec Israël.
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Prochaine étape : l’Albanie ?
L’administration Trump est en pourparlers avec le gouvernement de Tirane au sujet de la migration de 100 000 habitants de Gaza vers le pays.
Des sources israéliennes estiment que l’Égypte et la Jordanie refuseront d’accueillir des réfugiés et affirment que des options telles que l’Albanie et l’Indonésie sont plus réalisables.
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Le premier ministre de l’Albanie est en panique.
Il se répand en serment de fidélité à la race juive et assure que tout est faux.
Je n’ai pas entendu quelque chose d’aussi faux depuis un certain temps – et il y a eu beaucoup de fausses nouvelles ces derniers temps ! Ce n’est absolument pas vrai.
Je respecte pleinement et je suis solidaire de la population de Gaza, qui a été déshumanisée par le régime sauvage du Hamas et qui a enduré une guerre infernale à la suite des horreurs médiévales du 7 octobre. Mais soyons clairs : personne n’a demandé à l’Albanie d’assumer une telle responsabilité, et nous ne pouvons même pas envisager de le faire.
Nous sommes fiers de nos solides amitiés avec Israël, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït et, bien sûr, le peuple palestinien, dont l’Albanie a reconnu l’État il y a très longtemps. Mais l’Albanie ne se trouve pas au Moyen-Orient et, depuis le cœur de l’Europe, nous ne pouvons pas faire plus que n’importe quel autre pays européen dans ce domaine. Cependant, nous souhaitons et prions pour que le peuple palestinien ait la possibilité de vivre dans son propre État, en tant que peuple libre soumis à un régime démocratique, et pour que le Hamas ne soit plus jamais en mesure de nuire à Israël et, avant tout, aux Palestiniens eux-mêmes.
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Mieux vaut être un ennemi des États-Unis qu’un allié des États-Unis.
Littéralement.
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L’Égypte et la Jordanie sont des options tout à fait réalisables, mais cela n’intéresse pas vraiment les juifs qui veulent une solution finale à la question palestinienne.
Les Palestiniens sont des révolutionnaires particulièrement déterminés et efficaces. En peu de temps, ils mobiliseraient ces deux pays contre « Israël » pour libérer leur terre ancestrale de ces envahisseurs.
Les juifs l’ont expliqué au nègre orange qui s’active donc pour mettre des milliers de kilomètres de distance entre les déportés palestiniens et ces juifs.
Trump est d’autant plus engagé sur le dossier que son gendre, le non moins juif Jared Kushner, veut faire main basse sur le front de mer de Gaza pour y construire de gigantesques complexes hôtelier construits sur les fosses communes remplies cadavres d’enfants.
C’est un vieil usage du peuple élu que de faire de l’or après un sacrifice d’enfants rituel.
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Le gouvernement albanais peut nier, il est dans une situation précaire.
Le Kosovo est occupé par l’armée américaine et si Trump décide de se retirer de la région, les Serbes attaqueront inévitablement les Albanais pour se venger des atrocités que ces gens ont commis contre eux avec l’aide de l’OTAN.
J’imagine que Trump doit le leur faire savoir dans des termes on ne peut plus clairs.
On notera que les juifs de Tel Aviv sont relativement discrets sur le sujet et qu’ils font semblant d’être partis pisser. Ce beau peuple n’a aucune envie d’être publiquement associé à cette besogne et préfère de beaucoup laisser leurs shabbat goyim s’en charger pour prétendre avoir les mains propres.
Surtout en pleine fête internationale de LOLocauste.
On peut difficilement les blâmer puisque leurs domestiques se démènent pour faire leurs volontés, même les plus indignes.
Quoi qu’il en soit, j’ai hâte de voir les réactions de Damien Rieu, CNews et toute la droite levantine hexagonale qui fait le service après vente de Trump sans aucune espèce de retenue. Hélas, je crains d’en être pour mes frais. Ils vont probablement éviter de le répéter à leur public qu’ils gavent de propagande sémitique à des doses qu’aucun organisme de cette planète ne peut tolérer.
Démocratie Participative
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latribune · 19 days ago
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ourcaddy · 21 days ago
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EURL ou micro-entreprise
EURL ou micro-entreprise deux statuts  Outre le statuts de micro-entreprise, vous pouvez opter pour celui de l’EURL. Créée en 1985 l’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) est une forme de société. Toutefois, sa particularité est qu‘elle est constituée d’un associé unique. Continue reading EURL ou micro-entreprise
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onparle-assurance · 27 days ago
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Comment l’assurance responsabilité entreprise peut protéger votre réputation et vos finances
Dans le monde des affaires, les imprévus et les incidents peuvent survenir à tout moment, mettant en péril la réputation et les finances de votre entreprise. Qu'il s'agisse de réclamations légales, d'incidents accidentels ou de dommages matériels, les risques sont nombreux. C'est là que l'assurance responsabilité entreprise, l’assurance pour petite entreprise, et l'assurance tous risques entrent en jeu, offrant une protection cruciale contre les éventuels risques juridiques et financiers.
Dans cet article, nous explorerons l'importance de l'assurance responsabilité entreprise, comment elle protège votre entreprise et votre réputation, et en quoi elle est essentielle pour maintenir la stabilité financière de votre société.
Qu'est-ce que l'assurance responsabilité entreprise? L'assurance responsabilité entreprise est une couverture qui protège une entreprise contre les réclamations juridiques liées à des dommages corporels, matériels ou des pertes financières causées à des tiers dans le cadre des activités de l'entreprise. Cette assurance est essentielle pour toute entreprise, qu'elle soit grande ou petite. Elle peut couvrir une variété de scénarios, tels que des accidents sur le lieu de travail, des erreurs professionnelles, des dommages causés par des produits défectueux ou encore des réclamations liées à des activités commerciales.
Dans le contexte d’une petite entreprise, l'assurance responsabilité entreprise est particulièrement cruciale. Une petite entreprise n'a souvent pas les ressources financières nécessaires pour gérer les répercussions d'une action en justice ou d'une réclamation de dommages. Par conséquent, souscrire à une assurance responsabilité entreprise est une étape essentielle pour éviter de lourdes pertes financières et des atteintes à la réputation.
Protéger votre réputation d'entreprise avec l'assurance responsabilité La réputation d'une entreprise est l'un de ses actifs les plus précieux. En cas de réclamation ou d'incident, la manière dont l'entreprise réagit peut avoir un impact durable sur son image publique. L'assurance responsabilité entreprise joue un rôle clé en protégeant cette réputation.
Lorsqu'une réclamation légale ou une poursuite est engagée contre une entreprise, même si cette dernière est en fin de compte acquittée ou jugée sans fondement, les frais juridiques, la médiatisation et l'attention publique peuvent nuire à la réputation de l'entreprise. Par exemple, une plainte concernant un produit défectueux ou un accident sur le lieu de travail peut donner l'impression que l'entreprise ne prend pas ses responsabilités au sérieux. Cela peut entraîner une perte de clients, des partenariats commerciaux fragilisés et une diminution de la confiance du public.
L'assurance responsabilité entreprise couvre non seulement les frais juridiques associés à la défense de l'entreprise, mais elle peut aussi aider à financer la gestion des crises de réputation. Par exemple, elle peut couvrir les coûts d'une campagne de communication pour restaurer la confiance des clients et partenaires après un incident.
Protection financière grâce à l’assurance responsabilité entreprise L'un des principaux avantages de l'assurance responsabilité entreprise est la protection financière qu'elle offre. Les petites entreprises, en particulier, peuvent être vulnérables face aux coûts associés à des réclamations juridiques. Les frais juridiques, les indemnités et les règlements peuvent facilement s'accumuler, menaçant la stabilité financière de l'entreprise.
Prenons l'exemple d'une petite entreprise de services qui, par erreur, cause des dommages matériels à un client pendant une mission. Sans assurance responsabilité, l'entreprise pourrait être contrainte de payer d'importantes indemnités, ce qui affecterait directement ses finances. Avec l'assurance responsabilité entreprise, ces frais sont couverts, ce qui permet à l'entreprise de se concentrer sur son activité principale sans craindre une ruine financière.
L’assurance pour petite entreprise : un pilier de la sécurité L'assurance pour petite entreprise, qui englobe des options comme l'assurance responsabilité entreprise et l'assurance tous risques, est une forme de protection globale pour les petites entreprises. Ces entreprises n'ont souvent pas les mêmes ressources que les grandes entreprises, ce qui les rend plus vulnérables aux risques financiers. L'assurance pour petite entreprise permet d'assurer la pérennité de l'activité tout en offrant une couverture contre divers types de risques.
En plus de l'assurance responsabilité entreprise, une petite entreprise peut envisager d'adhérer à une assurance tous risques, qui offre une protection contre une gamme plus large de dommages, y compris ceux causés par des catastrophes naturelles, des incendies, des vols, et bien plus encore. Cela permet de couvrir les pertes matérielles, tout en incluant également la responsabilité juridique dans le cadre des activités de l'entreprise.
L'assurance tous risques, en particulier, peut être cruciale pour les petites entreprises qui possèdent des biens matériels ou un inventaire susceptible d'être endommagé ou volé. Combinée avec l'assurance responsabilité, elle constitue une couverture complète pour minimiser les risques liés aux accidents ou aux erreurs.
Comment choisir la bonne assurance responsabilité entreprise? Le choix de la bonne assurance responsabilité entreprise dépend de plusieurs facteurs, tels que la taille de votre entreprise, la nature de vos activités et les risques associés à votre secteur. Voici quelques éléments à prendre en compte pour sélectionner la couverture qui vous convient :
Nature de votre activité : Certaines entreprises, comme les entreprises de construction ou les prestataires de services, peuvent être exposées à des risques accrus. Il est important de choisir une couverture qui prend en compte les spécificités de votre domaine d’activité.
Limites de couverture : L'assurance responsabilité entreprise peut être adaptée avec des limites de couverture spécifiques en fonction des besoins de votre entreprise. Assurez-vous de choisir une couverture suffisante pour couvrir les risques potentiels.
Examen des exclusions : Les contrats d'assurance peuvent comporter des exclusions qui limitent la couverture dans certains cas. Lisez attentivement les termes de la police pour vous assurer que vous êtes bien protégé.
Assistance en gestion de crise : Certaines polices d'assurance responsabilité entreprise incluent des services de gestion de crise pour vous aider à gérer les répercussions d'une réclamation, ce qui peut être un avantage précieux.
Conclusion L'assurance responsabilité entreprise est une composante essentielle de la stratégie de gestion des risques pour toute entreprise, qu'il s'agisse d'une petite entreprise ou d'une entreprise plus grande. Elle offre une protection contre les réclamations juridiques, préserve la réputation de l'entreprise et protège sa stabilité financière. Lorsqu'elle est combinée avec l'assurance tous risques et l'assurance pour petite entreprise, elle offre une couverture complète pour garantir que votre entreprise puisse se remettre rapidement des événements imprévus sans compromettre son avenir.
La souscription à ces types d'assurance est donc non seulement une mesure de sécurité, mais aussi un investissement dans la pérennité de votre entreprise. Assurez-vous de bien choisir la couverture qui répond aux besoins spécifiques de votre entreprise et consultez un expert en assurance pour vous accompagner dans cette démarche.
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boldlyscreechingninja · 29 days ago
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Assurance Drop Shipping
L'assurance Drop Shipping est essentielle https://www.artisanfurniture.ca/product_model/on-demand/ pour gérer les risques associés à la vente au détail en ligne. Elle protège contre les défauts des produits, les réclamations des clients et les responsabilités juridiques potentielles. Les principales polices comprennent l'assurance responsabilité civile des entreprises, qui couvre les dommages corporels et matériels, et l'assurance responsabilité civile des produits, qui protège contre les réclamations relatives aux articles vendus. D'autres options de couverture, telles que l'assurance des biens et l'assurance cyber-responsabilité, renforcent la stratégie de gestion des risques. Les exigences varient, en particulier au Canada, en fonction des produits vendus et des activités de l'entreprise. L'obtention de plusieurs devis permet de bénéficier de tarifs compétitifs et d'une couverture étendue, ce qui garantit des pratiques commerciales durables tout en tenant compte des risques uniques propres aux modèles de dropshipping. D'autres informations sont attendues sur ce sujet important.
Importance de la couverture
Pour une gestion efficace des risques, il est essentiel de comprendre l'importance de la couverture dans une entreprise de dropshipping. Bien que le dropshipping élimine la nécessité d'un inventaire physique, les entreprises restent exposées à divers risques, notamment les défauts de produits et l'insatisfaction des clients. L'assurance responsabilité civile des entreprises (RCE) est essentielle car elle protège contre les réclamations liées aux dommages corporels et matériels, ainsi qu'aux frais de justice associés. En outre, l'assurance de la responsabilité du fait des produits est importante pour se prémunir contre les réclamations liées aux produits vendus. Sans une couverture adéquate, une entreprise de dropshipping peut être confrontée à d'importantes responsabilités financières, ce qui pourrait mettre en péril ses activités. Par conséquent, une stratégie d'assurance complète permet non seulement d'atténuer les risques, mais aussi de renforcer la crédibilité auprès des fournisseurs et des clients, ce qui favorise un modèle d'entreprise plus durable sur un marché concurrentiel.
Exigences en matière d'assurance au Canada
Les exigences en matière d'assurance pour les entreprises de dropshipping au Canada peuvent varier considérablement en fonction de la plateforme utilisée et des produits spécifiques vendus. En règle générale, une police d'assurance responsabilité civile générale (CGL) est essentielle, car elle comprend souvent une couverture de la responsabilité du fait des produits. Cette assurance protège contre les réclamations liées aux blessures ou aux dommages causés par les produits vendus. En outre, la nécessité d'une assurance peut fluctuer en fonction de facteurs tels que le volume des ventes, la durée des activités de l'entreprise et les types de produits proposés. Les entreprises qui collaborent avec des fabricants étrangers peuvent constater que leur couverture est insuffisante et qu'il est donc nécessaire de prendre en compte d'autres aspects de l'assurance. Il est essentiel de comprendre ces exigences pour atténuer les risques et garantir la conformité avec les réglementations de la plate-forme, protégeant ainsi l'entreprise contre d'éventuelles responsabilités.
Options de couverture supplémentaires
S'il est important de satisfaire aux exigences en matière d'assurance pour les entreprises de dropshipping au Canada, il est tout aussi essentiel d'envisager des options de couverture supplémentaires qui peuvent améliorer la protection. L'assurance des biens sert à protéger les locaux à bureaux, l'équipement et les fournitures, en veillant à ce que les biens essentiels soient couverts contre les pertes éventuelles. L'assurance des marchandises offre la tranquillité d'esprit en couvrant la pleine valeur des marchandises pendant l'expédition, protégeant ainsi les entreprises contre les risques au-delà du transporteur.
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nsfwmiamiart · 29 days ago
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Fun Fact pour Mouloud Achour (@mouloudachour) and Omar Sy (@omarsyofficial):
Les squatteurs de France
Les squatteurs représentent un problème croissant en France, touchant aussi bien les propriétaires privés que les institutions publiques. Ces individus, souvent sans domicile ou en situation précaire, occupent illégalement des biens immobiliers qui ne leur appartiennent pas. Si certaines situations suscitent de la compassion en raison de la détresse humaine, d'autres mettent en lumière des abus qui exaspèrent les propriétaires et compliquent leur capacité à récupérer leur bien.
La législation actuelle : un défi pour les propriétaires
En France, la législation concernant les squatteurs est complexe et parfois perçue comme favorable aux occupants illégaux. En effet, si un squatteur réussit à établir une occupation pendant 48 heures, il devient difficile pour le propriétaire de l'expulser sans passer par une procédure judiciaire, souvent longue et coûteuse.
Cette situation engendre des frustrations chez les propriétaires, notamment lorsqu'ils se retrouvent à devoir supporter des frais importants (loyers impayés, dégradations du bien, frais juridiques) pour récupérer leur bien. De nombreux propriétaires appellent à une réforme de la législation pour mieux protéger leurs droits face à ces situations.
Les raisons du squat
Les squatteurs ne forment pas un groupe homogène. Leurs motivations sont variées :
Précarité : Certains occupent illégalement des logements par nécessité, faute de pouvoir accéder à un logement décent.
Militantisme : D'autres squattent pour des raisons idéologiques, dénonçant la spéculation immobilière ou le nombre de logements inoccupés.
Abus : Enfin, certains profitent des failles juridiques pour occuper des biens sans avoir à en assumer les responsabilités.
Les solutions envisagées
Pour résoudre cette problématique, plusieurs pistes sont envisagées :
Réformes législatives : Accélérer les procédures d’expulsion pour les cas avérés de squat.
Aide au logement : Renforcer les politiques publiques pour lutter contre la précarité et offrir des alternatives aux personnes dans le besoin.
Sécurisation des biens : Sensibiliser les propriétaires à sécuriser leurs propriétés pour éviter les intrusions.
Une question d’équilibre
Il est essentiel de trouver un équilibre entre la lutte contre les abus des squatteurs et le respect des droits fondamentaux des personnes en situation de précarité. La stigmatisation systématique des squatteurs ne peut pas être la solution, tout comme l'inaction face aux abus qui pénalisent les propriétaires.
La question des squatteurs reste un défi pour la société française, nécessitant un dialogue entre toutes les parties concernées afin de trouver des solutions justes et équitables.
YouTube Video: Maison squattée : ce propriétaire doit payer 1000€ pour les faire partir !
En France, il y aurait 30 000 procédures d'expulsion prononcées chaque année par la justice. Pourtant, à peine un tiers serait exécuté. Locataire qui ne paye pas ou squatteur entré par effraction. Deux associés rachètent les maisons, appartements et font partir les occupants indésirables. Cela met parfois du temps, mais ils arrivent souvent à leur fin en respectant la loi.
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maxireflexion · 3 months ago
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Sacré Bertand
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Prime Energy : Le rêve solaire
Quand j’était en primaire, Bertrand Piccard me faisait rêver, que ce soit avec son tour du monde en ballon ou son projet d'avion solaire, il incarnait pour moi l’image d’un réveur qui fait de ses rêves réalités, et cela au service d’une cause plus grande que lui. Alors, en lisant que PrimeEnergy Cleantech – une entreprise auquel il avait associé son image -s'est retrouvée en faillite, ça m'a interloqué
PrimeEnergy promettait un futur plus vert avec des installations photovoltaïques partout en Europe. C'était une belle histoire. Mais voilà, aujourd'hui, des centaines de Romands se retrouvent avec des pertes importantes, et l'entreprise a été déclarée en faillite en novembre 2024. Alors, comment est-on passé de cette promesse à ce fiasco ?
Des prêts douteux et une gouvernance... spéciale
Il semble que la faillte de est due décisions internes discutables : PrimeEnergy a accordé des prêts énormes à son actionnaire majoritaire, et à des entités proches. On parle de 19,5 millions de francs pour l'actionnaire et de plus de 50 millions pour d'autres sociétés. En gros, des montants bien au-delà de ce que l'entreprise réalisait en chiffre d'affaires. Drôle de logique.
Sans être expert, ça me semble être une erreur de gouverance assez flaglantre.
Le rôle de Bertrand Piccard
Ce qui m’interoge, c'est la place qu'occupait Bertrand Piccard dans cette histoire. Bien sûr, il n'a pas pris les décisions financières de PrimeEnergy. Mais son image a joué un rôle important pour attirer des investisseurs. Et cela questionne la responsabilité qu’il a et la gestion de son image auprès du petit invesstisseur suisse.
 Quand une personne qu'on admire soutient un projet, on a tendance à baisser notre garde, quitte à ce faire avoir avec les économie d’une vie. Notamment pourles petits épargnants. Beaucoup d'entre eux ont mis des dizaines, voire des centaines de milliers de francs dans PrimeEnergy. Certains ont même placé une partie de leurs économies de retraite. Et maintenant, ils risquent de tout perdre.
La diversification est un principe de base qu'on apprend vite quand on s'intéresse à la finance. Mais dans ce cas, beaucoup ont tout misé sur une seule entreprise, probablement car ils n’ont pas l’éducation financière suiffsante, ou car il faisait aveuglement confiance à Bertrand Piccard..
Ce que j'en retiens
PrimeEnergy, c'est l'histoire d'un projet qui avait tout pour réussir, mais qui s'est écroulé sous le poids de mauvaises décisions et peut-être d’un soupçon de malhonété. Ce n'est pas juste une faillite financière, c'est aussi une leçon sur la gouvernance, la transparence et la responsabilité.
Cela vaut comme une piqure de rappel : il faut toujours regarder au-delà des belles promesses.
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christophe76460 · 2 months ago
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Je continue.
Seigneur, dirent-ils alors, donne-nous toujours de ce pain-là. Et Jésus répondit : — C’est moi qui suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim, celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif (Jean 6:34-35).
⦁ À cette époque, le pain était un aliment de base indispensable dans la vie des Israélites. Dans la langue originelle, les mots « jamais » occupent la place centrale de la phrase. C’est comme si dans un français maladroit, on disait : Jamais plus faim n’aura celui qui vient à moi et jamais plus soif n’aura celui qui croit en moi. La foule n’a pas encore compris que Jésus est le véritable pain et qu’il parle à un niveau spirituel. La femme samaritaine voulait l’eau dont Jésus parlait pour qu’elle n’ait plus à aller puiser au puits. Ces gens, eux, veulent une multiplication des pains permanente, de manière à ce qu’ils aient toujours à manger.
⦁ Alors, Jésus se fait plus précis, disant qu’il est lui, le pain qui donne la vie. C’est moi qui suis est la première d’une série très importante de 7 révélations commençant par cette déclaration : le pain qui donne la vie ; la lumière du monde ; la porte ; le bon berger ; la résurrection et la vie ; le chemin, la vérité et la vie ; et pour finir : le vrai plant de vigne. Ces paroles sont soit associées à un miracle, soit résument un enseignement de Jésus. Elles ont pour but de souligner une fois encore que la fonction essentielle des actes et des paroles de Jésus était de révéler son identité et sa mission sur terre. Jésus est à la fois celui qui apporte le don de Dieu et le don lui-même.
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Je continue.
Mais je vous l’ai déjà dit : vous avez vu, et vous ne croyez pas. Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne repousserai pas celui qui vient à moi (Jean 6:36-37).
⦁ Jésus reproche à la foule son manque de foi, car elle avait eu le grand privilège de le voir et de profiter de ses miracles de compassion. Tous ceux que le Père me donne, fait référence à l’action souveraine de Dieu, tandis que celui qui vient à moi décrit la démarche humaine en réponse à l’initiative divine. Le Fils recevra tous ceux que le Père lui donnera. Cette élection divine est affirmée avec encore plus de précision et de force plus loin dans ce chapitre, lorsque Jésus dit :
Personne ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire, et moi, je le ressusciterai au dernier jour (Jean 6:44).
Comment donc peut-on réconcilier la souveraineté divine avec la responsabilité humaine ? Nous vivons ici-bas et nous ignorons comment fonctionne la machine céleste qui choisit certaines personnes afin qu’elles reçoivent la vie éternelle. Les Écritures parlent bien de l’élection des bienheureux, mais jamais de celle des perdus. En d’autres mots, ceux qui héritent du salut le doivent exclusivement à Dieu qui les a élus, tandis que ceux qui ne croient pas ne peuvent blâmer qu’eux-mêmes.
⦁ Le problème que je rencontre tient au fait que je fais un amalgame, une confusion entre le ciel et la terre. Je prends la compréhension fort restreinte que j’ai de ce qui se passe dans les sphères célestes et je le mets bout à bout avec ma façon de voir les choses à partir de mon monde ici-bas. Or les décisions divines d’en haut et humaines d’en bas n’appartiennent pas du tout au même niveau d’intelligibilité. Elles ne sauraient être évaluées sur le même plan logique.
Cela dit, l’invitation de Jésus est authentique : Quiconque veut, peut venir à lui, et il promet qu’il ne le rejettera pas.
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Je continue.
Car si je suis descendu du ciel, ce n’est pas pour faire ce qui me plaît, mais pour accomplir la volonté de celui qui m’a envoyé. Or, celui qui m’a envoyé veut que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés, mais que je les ressuscite au dernier jour. Oui, telle est la volonté de mon Père : que tous ceux qui tournent leurs regards vers le Fils et qui croient en lui, possèdent la vie éternelle, et moi, je les ressusciterai au dernier jour (Jean 6:38-40).
⦁ Jésus déclare à nouveau qu’il est d’origine céleste. Il dit explicitement qu’il est venu dans le but de faire la volonté de Dieu. Or celle-ci est l’obtention du salut par tous ceux qui sont donnés au Fils par le Père. Quand il dit : et moi, je les ressusciterai au dernier jour, il est bien évidemment question de la résurrection pour la vie éternelle ; et c’est Jésus qui l’ordonnera. Éventuellement, tout le monde reviendra à la vie, mais les autres le seront pour le jugement. Ce qui est rassurant d’après ce verset c’est que si on est donné au Fils par le Père en vue d’obtenir le salut, on ne peut pas se perdre en route.
⦁ Le passage sur terre des croyants peut être comparé à une transhumance. Une fois que quelqu’un a rejoint le troupeau de brebis du Christ, il va arriver de l’autre côté de la rivière où l’herbe est des plus verdoyante. Tous ceux qui cherchent véritablement à découvrir qui est la personne du Christ et qui lui font confiance possèdent déjà ici-bas une qualité de vie qui est éternelle. C’est un décret divin qui le garantit. Un passage écrit par l’apôtre Paul exprime cette vérité de la façon suivante :
Ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés (Romains 8:30).
En d’autres mots, si je fais partie des élus, je suis aussi sur le chemin qui aboutit à la gloire céleste.
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