#répression politique
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mirrorontheworld · 2 years ago
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Partout en France, les fermetures administratives les jours de grève et le passage des cours en distanciel sont autant d’atteintes au droit des étudiants et enseignants de se mobiliser, dénonce un collectif.
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malibuzz · 1 month ago
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La Répression de la Marche du 18 Janvier 1991 : Un Tournant Majeur dans la Lutte Démocratique au Mali
Le 18 janvier 1991, la lutte pour la démocratie pluraliste au Mali franchit un cap décisif. Sous l’égide du Comité National d’Initiative Démocratique (CNID), une marche de fraternisation avec l’armée fut organisée, arborant un slogan frappant : “Soldats, vous êtes nos frères”. Ce mouvement, bien que pacifique, se heurta à une répression brutale qui allait marquer l’histoire politique du pays. Le…
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rojinfo · 2 years ago
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Mersin : Opération politique contre le HDP
Mersin : Opération politique contre le HDP
Un raid policier contre le HDP a conduit ce mercredi matin à l’arrestation de 9 personnes dans la province de Mersin, en Turquie, dont les coprésidents des antennes du parti dans les districts d’Akdeniz, de Yenisehir et de Toroslar. Le parquet général de Mersin a ordonné l’arrestation de douze personnes. Parmi les personnes arrêtées ce mercredi matin, figurent les coprésidents et plusieurs…
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thebusylilbee · 4 months ago
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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raisongardee · 4 months ago
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"Mais voici : l’Eglise et l’Etat ayant été séparés par le simple fait d’une législation athée, l’Eglise a été privée du concours des lois civiles de répression et le pauvre têtard politique appelé bourgeois, sollicité à la fois, comme Hercule adolescent, par le vice et par la vertu, s’en est allé du côté où l’on avait l’air de s’amuser davantage et il est devenu franc-maçon. C’est l’affaire d’un homme de génie de raconter l’histoire des progrès de la bêtise européenne dus à l’extraordinaire diffusion de la lumière maçonnique dans ce dernier siècle. Nous avons tous connu de ces bons imbéciles, fiers de leurs insignes et décrétant à tout propos leur propre importance, contempteur adipeux de la religion et du clergé, parfaitement assurés d’être redoutables à Dieu et aux rois en se reposant des vulgaires soucis de leur boutique et de leur ménage par le fraternel délassement des travaux de table. Ces ruminants ont été montrés dans mille romans et ils ont fait les délices de plusieurs littératures. Mais c’est surtout en province qu’il est agréable de les étudier […] Il ne s’agit pas seulement de sauver les âmes et de sauver les Etats, il faut encore sauver l’intelligence humaine qui est en perdition sur un océan de bêtise et qui va tout à l’heure être engloutie. Mais, hélas ! il est bien tard. Quand les hommes faits pour obéir n’ont plus de maîtres, ils les remplacent aussitôt par des tyrans et se précipitent à l’esclavage."
Léon Bloy, Propos d’un entrepreneur de démolitions, 1884.
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ekman · 11 months ago
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Tu sais, France, je ne sais plus trop quoi te souhaiter à l’orée de quatre nouvelles saisons. On ne va pas se mentir, toi et moi. On se connait depuis bien trop longtemps pour verser dans les banalités d’usage. Nous savons tes vérités car nous avons fait l’état des lieux. Ce n’est pas brillant, reconnaissons-le. Ça l’est d’autant moins que la somme des boulets et des tumeurs qui ralentissent ton pas et minent ta santé prend maintenant plus de place que ta propre géographie. Déficits économiques abyssaux, remplacements physique et génétique de ta population d’origine, destruction ou réécriture de ton récit historique, pression croissante d’occupants hostiles et sous-formatés, disparition ou corruption des institutions, absence de direction et de décision politiques, effacement progressif et programmé des libertés publiques et individuelles, flicage et répression des populations natives, mansuétude judiciaire pour les exogènes, matraquage médiatique permanent... je pourrais en ajouter quelques autres wagons, mais à quoi bon ?
L’année écoulée a vu son lot de victimes physiques et morales grossir comme jamais depuis la dernière guerre – qui n’était en réalité que l’avant-dernière. La population française, je veux dire celle que l’on appelle maintenant “de souche” car à peu près leucoderme et vaguement chrétienne, n’a jamais été aussi divisée. Non sur des idées ou des opinions de politique générale, pas non plus sur la meilleure façon d’accomoder le bœuf bourguigon ou d’ouvrir une bouteille de Gevrey-Chambertin, mais sur l’attitude à adopter à l’heure du grand vautrage. Faut-il continuer à pousser son maigre avantage comme le bousier son bousin, le tête baissée, le verbe bas ? Doit-on ne plus se préoccuper que des intérêts du premier cercle, le seul qui compte encore, celui qui n’a de valeur que privée ? Est-il possible d’envisager une fuite salvatrice vers une terre encore civilisée ? Ou alors doit-on cultiver l’insouciance en espérant l’éclaircie, ce qui revient à développer un certain (mauvais) esprit en préparant les mouchoirs ? Les Français, selon leur caractère, leurs intérêts, leur degré d’espérance, suivent leur pente. En tout état de cause, qui qu’ils soient, ils se retrouveront tous au creux de la bonde, sur le côté gauche du vaste évier de l’Histoire.
Bonne année quand même, ma vieille et chère France !
J.-M. M.
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codumofr · 1 month ago
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Le premier uniforme militaire Français n'apparaître que lors de la moitié du XVIIe siècle et il faudra ainsi attendre la personne de François Michel Le Tellier de Louvois pour que l’apparition de l’uniforme militaire obligatoire arrive en France.
Uniforme des Zouaves. Infanterie Légère de l'Armée Français active de 1830 à 1962. Le nom de l'unité provient de la confédération tribale Kabyle du nom de Zouaoua, qui en août 1830 seront recruté par Louis Auguste Victor de Ghaisne, chef de l'Expédition d'Alger, comte de Bourmont suivant les conseils de Louis-Philibert d'Aubignosc. Ainsi, une première unité de 500 Zouaves sera recrutée parmi ceux ayant servi l'Empire Ottoman. Officieusement, cette unité est donc créer en Août 1830, mais ça ne sera que quelque mois plus tard sous la demande du successeur du Comte de Bourmont, le Général Clauzel que le Général Gérard, alors Ministre de la Guerre sera par arrêté, prescrit officiellement la création d'un "Corps d'Arabes Zouaves" répartie en deux bataillons et qui seront placé sous les ordres du Capitaines Duvivier et Maumet. Un des critères est que le soldat doit être tous indigène. En Mars 1831, l'ordonnance royale confirmera bel et bien la création de cette formation, mais aussi de deux escadrons de zouaves à cheval qui seront connus comme les "Chasseurs Algérien", mais elle sera éphémère car intégré dés 1832 aux "Chasseurs d'Afrique". Ils seront finalement dissous en 1962 après le départ de la France d'Algérie.
Uniforme de la Garde de Paris, composante de Garde Nationale Française de 1789 à 1868. La Garde Nationale Française est historiquement l'ensemble des milices de citoyens formées dans chaque commune au moment de la Révolution française, à l’instar de celle de Paris et placés sous le commandement de La Fayette. Cette garde sera créée en même temps que soixante District divisant Paris par l'Ordonnance de Jacques Necker en 1789, résultat d'une convocation des états généraux. Cette unité sera ainsi divisée en soixante bataillons qui porteront le nom de leur district d'origine. Elles ont existé (Garde de Paris et Garde Nationale Française) sous tous les régimes politiques de la France jusqu'à sa dissolution en juillet 1871 (La Garde de Paris ayant été entièrement intégré à la Garde National Français en 1868), aux lendemains des insurrections communalistes qu'elle a soutenues et de la répression de la Commune de Paris. Elle sera une milice citoyenne chargée du maintien de l'ordre et de la défense militaire de Paris, elle sera active dans de nombreuses batailles et sera finalement dissoute après l'épisode de la Commune.
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megaverserpg · 5 months ago
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Groupes - Idéologie politique
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Depuis l'explosion du laboratoire d'Elysium, les îles de Neferis et d'Elysium ont été plongées dans un climat de tension et de conflit. À Neferis, la répression s'est intensifiée et la lutte pour le pouvoir est omniprésente, tandis qu'à Elysium, un fragile équilibre tente de se maintenir entre différentes factions cherchant à imposer leur vision de l'avenir.
Chromium Rods
SORCIER·E·S EXTRÉMISTES ‧₊˚ La communauté magique a dû fuir les chasses aux sorcières, les traques, les bûchers (Elysium) ou est soumise au joug des moldus (Neferis). Ces sorcier·e·s sont donc pour le fait de gérer scrupuleusement les contaminé·e·s et les tracé·e·s, quels que soient les moyens employés. Iels craignent que l'existence de la brèche soit révélée aux moldu·e·s de l'un ou l'autre des mondes et sont donc prêt·e·s à tout pour la leur cacher.
MOLDU·E·S EXTRÉMISTES ‧₊˚ Qu'iels aient entièrement accepté leur don ou se considèrent comme des menaces ou anomalies, iels estiment que la traque des contaminé·e·s est le meilleur moyen de préserver les deux mondes, quitte à en souffrir.
Copper Shades
SORCIER·E·S SCEPTIQUES ‧₊˚ Incertain·e·s quant aux décisions des leaders sorcier·e·s, les sceptiques doutent de tout. Le secret est-il bénéfique ou non ? Les contaminés sont-iels une menace ou une force ? La marque est-elle judicieuse ou un acte barbare ? Les débats peuvent s'étirer des heures durant et les nuances varier des un·e·s aux autres.
MOLDU·E·S SCEPTIQUES ‧₊˚ Réticent·e·s mais forcé·e·s, ces moldu·e·s ont accepté la marque à contre-cœur, ne voyant pas d'autre option. Cependant iels subissent avec une difficulté croissante les ingérences des traceur·se·s. Nombre d'entre elleux peinent à se faire à leur nouvelle condition et à leur don, qui bouleverse totalement leur quotidien.
Iridium Sparks
SORCIER·E·S PROGRESSISTES ‧₊˚ Iels voient d'un œil bienveillant l'arrivée des moldu·e·s contaminé·e·s et souhaitent leur intégration au sein de la communauté sorcière. Iels voient les différences comme une force plutôt qu'une menace et considèrent la catastrophe comme un essor inattendu de la magie.
MOLDU·E·S PROGRESSISTES ‧₊˚ Ces moldu·e·s sont aptes à accepter leur nouvelle condition. Iels souhaitent être considéré·e·s comme les égal·aux des sorcier·e·s et sont prêt·e·s à faire des concessions, comme le fait d'accepter la marque, afin d'obtenir leur confiance.
Titanium Riots
SORCIER·E·S EXTRÉMISTES ‧₊˚ Leur opposition aux leaders sorcier·e·s est leur unique point commun : toustes sont prêt·e·s à se rebeller activement contre eux, mais leurs motifs divergent. Iels peuvent autant vouloir l'unification des mondes sorciers et moldu·e·s qu'espérer voir s'inverser la balance des forces. Iels commencent depuis peu à se réunir en secret et transmettent des invitations sous le manteau, se montrant particulièrement discret·e·s. La difficulté réside dans le fait de trouver un accord sur les moyens d'action et les objectifs envisagés.
MOLDU·E·S EXTRÉMISTES ‧₊˚ Opposé·e·s aux mesures prises à l'encontre des contaminé·e·s, iels se sentent traité·e·s comme du bétail, mais ont été (ou seront) forcé·e·s d'accepter la marque une fois débusqué·e·s par les traceurs. Certain·e·s détestent la magie, d'autres en ont peur.
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freepalestinenews · 2 months ago
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Palestine / Israël
Ces quatre cartes illustrent de manière frappante l'évolution de l'occupation israélienne de la Palestine au fil des décennies.
Voici une explication de cette colonisation et de son impact destructeur :
1. Pré-1948 : La première carte montre la Palestine historique avant la création d'Israël. Tout le territoire est occupé par les Palestiniens, avec des villes principales comme Haïfa, Jérusalem, Ramallah et Gaza.
2. 1947 – Plan de partage de l'ONU : La deuxième carte montre la proposition des Nations Unies en 1947 de diviser la Palestine en deux États, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes palestiniens. Bien que les Palestiniens représentaient la majorité de la population à l'époque, seulement 48 % du territoire leur était attribué.
3. 1967 – Ligne d'armistice : La troisième carte illustre l'occupation israélienne après la guerre des Six Jours en 1967, où Israël a pris le contrôle de la Cisjordanie et de Gaza. La Palestine a été réduite à 22 % de son territoire d'origine.
4. Aujourd'hui : La dernière carte montre la situation actuelle où des colonies israéliennes illégales se sont installées à l'intérieur de la Cisjordanie, fragmentant davantage le territoire palestinien. Le mur de séparation, en orange, accentue cette division, et les territoires restants pour un éventuel État palestinien ne représentent plus que 12 % de la Palestine historique.
Cette colonisation, en plus de priver les Palestiniens de leurs terres, détruit leur mode de vie, leur économie, leur liberté de mouvement, et leur droit à l'autodétermination. Les terres, autrefois fertiles et riches, sont désormais morcelées par des barrières physiques, ce qui empêche les Palestiniens de vivre dignement. La création de colonies et le mur de séparation augmentent les tensions, favorisent les conflits et conduisent souvent à des violences et des répressions. Elle tue donc non seulement physiquement par les violences militaires et civiles, mais aussi moralement et culturellement, en effaçant progressivement un peuple de son propre territoire.
C'est une tragédie humanitaire et politique qui s'étend sur plusieurs générations, entraînant des souffrances incessantes et la perte de vies humaines, tout en alimentant un cycle de guerre et de désespoir.
#FreePalestine#FreeGaza#StopGenocideOfPalestinians#GazaGenocide#SaveGaza#Genocide_of_Palestinians#Gaza#GENOCIDEGAZA#genocide#palestinewillbefree
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bsidibe · 9 days ago
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🎥 Me Mountaga TALL : Le CNID-Faso Yiriwa Ton, un Parti Politique Miraculé au Mali 🇲🇱✨
🎙 Extrait exclusif de l'émission Invité Politique diffusée sur Renouveau Télé le 1er novembre 2020.
Me Mountaga TALL, président du CNID-Faso Yiriwa Ton, revient sur :
✅ Les défis surmontés par son parti, acteur clé de l'instauration de la démocratie au Mali 🇲🇱
✅ Les épreuves traversées : répressions, prisons, et exclusion économique 🚫
✅ La résilience des militants et militantes qui ont tout donné pour leurs convictions 🙌
💬 Citations marquantes :
👉 « Une révolution mange ses enfants… mais le CNID a survécu. »
👉 « Le militantisme au CNID, ce n’est pas un vain mot, mais un véritable engagement. »
📌 Regardez cet extrait puissant et découvrez l’héritage et l’engagement du CNID-Faso Yiriwa Ton pour le Mali.
🕒 Timecodes :
0:00 – Introduction : Le parcours unique du CNID
0:16 – La lutte pour la démocratie et la résilience du parti
1:00 – Hommage aux militantes et militants engagés
👉 Lien vers l’intégralité de l’émission : Me Mountaga TALL sur Renouveau Télé (https://youtu.be/git464El2Vc)
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yespat49 · 30 days ago
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Tyrannie politique au Royaume-Uni. Le dissident Tommy Robinson arrêté à la veille d’une manifestation à Londres
Source Breizh Info cliquez ici Les persécutions du gouvernement britannique contre l’activiste de droite Tommy Robinson relancent le débat sur la liberté d’expression, les abus de pouvoir de l’État et la répression systématique des voix dissidentes. Connu pour ses prises de position contre les gangs de viols et la montée de l’islam radical au Royaume-Uni, Robinson, de son vrai nom Stephen…
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lepartidelamort · 1 year ago
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L’État juif en France dispose d’une vaste structure para-étatique qui démultiplie sa capacité de contrôle de la société. Il y a ainsi 1,5 million d’associations subventionnées à hauteur de plus de 50 milliards d’euros par an.
Le domaine de la « culture » est enrégimenté par le ministère du même nom, lequel dispose d’un budget de 10 milliards d’euros pour corrompre ceux qui consentent à alimenter la propagande constante du régime, notamment à la télévision et au cinéma.
La presse quant à elle perçoit des milliards d’aides, faute de lecteurs.
Il y a aussi les syndicats, tous plus ou moins marxistes, pro-invasion et férocement enjuivés, qui perçoivent des montants inconnus, puisque l’État comme le CAC40 les arrosent de cash de manière discrétionnaire. La CGT a par exemple un château à Fontenay-lès-Briis dont vous assurez l’entretien avec vos impôts, bien entendu réservé à ses dirigeants.
À ces factions et cette machine de propagande s’ajoutent les structures de répression politique pure que sont la LICRA, l’UEJF SOS Racisme, le MRAP, la LDH, etc., appuyées à l’intérieur du ministère de la Justice par la maçonnerie ou les réseaux trotskistes du Syndicat de la Magistrature, en plus du gouvernement en tant que tel. Enfin, la DILCRAH coordonne la purge de l’internet, etc..
Tout ça vient en plus du lavage de cerveau obligatoire qui commence à l’école, sous la direction du ministère de « l’Éducation » du juif homosexuel Attal.
Ce vaste système n’a d’équivalent que dans les régimes communistes, quoique les régimes communistes n’ont pas besoin de dissimuler ce genre de contrôle sous un vernis para-étatique. D’autant qu’ils n’en ont généralement pas les moyens.
La France est effectivement un système communiste dirigé par des juifs, mais il ménage une part d’économie privée pour financer cet énorme appareil de contrôle et de surveillance des populations qui utilise la sous-traitance pour une plus grande efficacité. L’innovation de cette république, c’est de financer l’esclavage des goyim par leurs taxes.
Imaginez si demain l’État finançait à hauteur de 50 milliards d’euros des associations de droite et d’extrême-droite virulemment anti-républicaine, anti-démocratique, racistes et antisémites.
Imaginez une seconde.
Chaque semaine, nous aurions des conférences, des manifestations, des concerts, des foires, des projets sur des thèmes pro-blancs.
D’où le fait que la France soit un enfer marxiste, pourri de métèques, avec des crasseux de gauche absolument partout, payés à semer le chaos pour le compte de la juiverie. Dans un tel environnement, la police politique juive ne rencontre évidemment aucune opposition sérieuse.
Pourtant, le régime hurle constamment contre « l’ultra-droite » dans un pays où la chasse au Blanc est ouverte.
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whencyclopedfr · 3 months ago
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Christianisme au Japon
Le christianisme arriva au Japon en 1549, lorsque les Jésuites posèrent le pied à Kagoshima. Les premières tentatives de diffusion de la religion suscitèrent de la confusion; cependant, en employant diverses méthodes, ils commencèrent à obtenir des résultats. Cependant, en 1650, le christianisme avait disparu de la société ouverte, la politique isolationniste du Japon ayant entraîné répression et persécution.
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raisongardee · 6 months ago
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"Les francfortiens, lecteurs de Freud, prenaient en effet soin de distinguer la "répression fondamentale" – c’est-à-dire tout ce qui renvoie au bridage freudien des pulsions tel qu’exposé par exemple dans Malaise dans la civilisation (1929), "nécessaire pour que la race humaine survive dans la civilisation" – et la "surrépression" qui renvoyait à des restrictions additionnelles, non nécessaires à la survie de la civilisation, mais rendues indispensables à l’exercice de telle ou telle forme de domination politique et sociale. Or, les philosophes français postmodernes des années 1960, dont Foucault et Deleuze, n’ont globalement pas su faire cette distinction capitale. De sorte que, en prônant la libération vis-à-vis de "la répression" administrée par les institutions, ils ont certes combattu les répressions additionnelles indues, mais ils ont aussi contribué à mettre fin à la répression pulsionnelle nécessaire pour devenir un être social. Ils ont en somme mis dans le même sac la répression qui augmente les sujets en leur permettant de ne pas devenir l’esclave de leurs pulsions et la surrépression dont procèdent des dominations indues. Il se pourrait donc bien que ces philosophes postmodernes aient appliqué sans le savoir le programme mandevillien de désinhibition morale complète et de pleine acceptation des "vices". De sorte que, tout en se croyant éminemment révolutionnaires et anticapitalistes, ils ont en fait permis ou contribué à la pleine réalisation du programme originel du capitalisme, le plan mandevillien."
Dany-Robert Dufour, Qui est Bernard de Mandeville ?, 2017.
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empiredesimparte · 2 years ago
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Napoléon V: Dear deputies, dear senators,
We French have the reputation of waiting for a great political upheaval to satisfy public opinion. Personally, I am deeply convinced that we must do Good in order to earn the country's trust. My Government will dedicate itself entirely to this task.
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I must, in view of the many questions, answer them. Only well-defined causes create deep convictions, just as highly deployed flags inspire sincere devotion.
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Is the Empire an enemy? Some of us see it as a retrograde policy, an enemy of the Enlightenment, eager to prevent world peace through its ambitions. The Empire would be the antithesis of the civilizing French Revolution.
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No. See for yourself, the Third Empire has kept all these revolutionary principles at the head of its Constitution. That is exactly what the Empire is: it frankly adopts everything that can ennoble hearts and exalt minds for the Good. Against abstraction, the Emperor, who embodies the Constitution, must have a strong Power, because the march of any new power is a struggle.
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The prerogatives of the Power of the Emperor are a decoy which serves as a pretext to the hostile parties. Many of you expect a crackdown on the rebels. How can the death of a man benefit a supposedly noble cause in the very country of the Rights of Man and Citizen?
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One saw some men, during the tragic night of the death of my father the Emperor, agitating the country and confessing themselves highly enemies of the national institutions. They reject with disdain your votes. They use their political rights only to undermine our institutions.
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Members of Parliament, you will not allow such violence to be repeated. Since the pacification of spirits must be the constant goal of our efforts, you will help me to seek the means to silence extreme opposition. I eagerly welcome all those who recognize the national will. To the others, let them know that their time is over.
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⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 1 Floréal An 230
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Emperor Napoléon V makes a speech to the French Parliament. He calls for the union of parties for the protection of national institutions. He also called for the opening of parliamentary discussions on the repression of revolts. Finally, the coronation of Emperor Napoléon V will take place in autumn of the year 230.
Napoléon V : Chers députés, chers sénateurs,
Nous, Français, avons la réputation d'attendre un grand bouleversement politique pour satisfaire les opinions publiques. Personnellement, je suis intimement convaincu qu'il faut plutôt faire le Bien pour mériter la confiance du pays. L'action de mon Gouvernement s'y consacrera entièrement.
Je me dois, au-vu des nombreuses interrogations, d'y répondre. Il n'y a que les causes bien définies qui créent de convictions profondes, tout comme les drapeaux hautement déployés inspirent des dévouements sincères.
L'Empire est-il un ennemi ? Certains d'entre nous y voient une politique rétrograde, ennemi des Lumières, désireux d'empêcher la paix dans le monde par ses ambitions. L'Empire serait aux antipodes de la Révolution Française civilisatrice.
Non. Voyez par vous-même, le Troisième Empire a gardé tous ces principes révolutionnaires en tête de sa Constitution. C'est exactement cela, l'Empire : il adopte franchement tout ce qui peut ennoblir les cœurs et exalter les esprits pour le Bien. Contre l'abstraction, l'Empereur qui incarne la Constitution, doit avoir un pouvoir Fort, car la marche de tout nouveau pouvoir est une lutte.
Les prérogatives du Pouvoir de l'Empereur sont un leurre qui sert de prétexte aux partis hostiles. Beaucoup d'entre vous attendent une répression face aux révoltés. Comment la mort d'un homme peut-elle profiter à une cause prétendue noble au sein même du pays des Droits de l'Homme et du Citoyen ?
On a vu quelques hommes, durant la nuit tragique de la mort de mon père l'Empereur, agiter le pays et s'avouant hautement ennemis des institutions nationales. Ils rejettent avec dédain vos suffrages. Ils n'usent de leurs droits politiques que pour miner nos institutions.
Membres du Parlement, vous ne permettrez pas qu'une telle violence se renouvelle. La pacification des esprits devant être le but constant de nos efforts, vous m'aiderez à rechercher les moyens de réduire au silence les oppositions extrêmes. J'accueille avec empressement tous ceux qui reconnaissent la volonté nationale. Aux autres, qu'ils sachent que leur temps est révolu.
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francaistoutsimplement · 5 months ago
Text
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
L'union de la gauche et ses désastres
(reseau international.net) /articles/actus-articles-2/lunion-de-la-gauche-et-ses-desastres/par Régis de Castelnau
Dans un article précédent , j’ai tenté de démontrer que le Parti socialiste dans son histoire,n’avait jamais été «de gauche». La sociologie de ses directions, ses modes d’organisation,et sa pratique du pouvoir dans une république de démocratie représentative, permet d’aboutir à cette conclusion. Cependant, si tant est que l’on retienne (à juste titre jusqu’à une période récente) le caractère opératoire du clivage droite-gauche, comme nous l’avons rappelé dans l’article précité, le Parti socialiste est toujours arrivé au pouvoir grâce à des alliances. Ce fut parfois avec la droite, mais plus souvent avec d’autres forces de gauche. Et en particulier, le Parti communiste souvent promoteur de ces stratégies d’union, et qui à chaque fois lui ont coûté très cher, jusqu’à sa disparition. Au détriment bien sûr des forces qu’il représentait, mais pas seulement.
Toutes les trahisons mises en œuvre par le Parti socialiste ont porté préjudice à la majorité du peuple français, qu’il a fini par enfermer dans un néolibéralisme destructeur pour le pays. Il faut toujours rappeler que l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017 est le fruit d’une opération assimilable à un coup d’État dont le PS fut l’un des principaux organisateurs.
On ne reviendra pas en détail sur les différentes catastrophes politiques générées par«l’union des forces de gauche», mais il convient quand même de se rappeler le catalogue.
L’union de la gauche de catastrophes en catastrophes
Aux élections législatives de 1924, alors que le Parti communiste occupé à sa «bolchevisation» s’était enfermé dans la marginalité, on assiste à la mise en place du «Cartel des gauches» qui se coucha prestement devant le «mur de l’argent» pour passer les manettes à Raymond Poincaré chargé de mettre en œuvre les pires politiques d’austérité.
Il y eut ensuite, le «Front populaire» de 1936 que Léon Blum abandonna au bout d’un an pour laisser le pouvoir à une alliance avec le centre-droit. En attendant l’interdiction du PCF en septembre 1939, avec la peine de mort pour ses distributeurs de tracts et l’installation de Pétain le 10 juillet 1940 lorsque la majorité du groupe socialiste lui vota les pleins pouvoirs en actant la fin de la République. Encore bravo !
Il y eut ensuite l’alliance tripartite de l’immédiat après-guerre à laquelle le Parti socialiste mis fin en 1947 pour installer avec l’aide de la droite la domination américaine sur l’Hexagone. Léon Blum ayant repris du service pour y veiller.
Le nom du socialiste qui se détache à ce moment est celui de Jules Moch féroce briseur de grève qui laissera des souvenirs cuisants chez les mineurs de fond.
En 1956, le PS (SFIO) remporte les élections législatives sur la base d’un programme de paix en Algérie. (On dirait du Zelenski....) Que le PCF entend soutenir en votant «les pleins pouvoirs» au gouvernement Guy Mollet. Celui-ci trahit immédiatement ses engagements, nomme Robert Lacoste proconsul en Algérie qui donne les pouvoirs de police et une partie des pouvoirs civils à l’armée ! Qui mettra en œuvre une répression sans mesure à base de torture, de disparitions et d’exécutions sommaires. Englué dans sa trahison, le parti socialiste sera incapable de s’opposer au délitement de l’État et à l’installation d’une situation de guerre civile que l’opération politique virtuose de Charles de Gaulle en mai juin 1958 évitera à la France.
À partir de son ralliement à la candidature de François Mitterrand à la présidentielle de 1965, le PCF se lancera à corps perdu dans la construction de «l’Union de la gauche» comme alternative au pouvoir gaulliste. Cette stratégie mortifère aboutira à la signature d’un programme commun en 1972 offrant à cette union des perspectives d’arrivée au pouvoir. La dynamique politique illusoire créée à cette occasion permettra l’arrivée de François Mitterrand à la présidence de la république en 1981. Tous les engagements furent rapidement remis en cause, scandé par le fameux tournant néolibéral austéritaire de 1983 (Fabius) sur fond d’abandon progressif de la souveraineté nationale au profit de l’Union européenne en construction. Le tout accompagné par l’effondrement du PCF, faisant ainsi perdre à la classe ouvrière son principal outil politique.
En 1997, nouvelle union de la gauche, «plurielle»cette fois-ci, avec l’arrivée de Lionel Jospin au poste de Premier ministre de cohabitation avec Jacques Chirac. Dont le gouvernement, néolibéralisme européen oblige, sera le plus grand privatisateur de l’histoire de France. Les lambeaux du PCF se contentant d’apporter son écot à la catastrophe politique et économique dont la défaite de Lionel Jospin à la présidentielle de 2002 fut l’épisode normal. Qui eut au moins un mérite, celui de nous éviter la honte du soutien de l’agression américaine en Irak en 2003. Dont chacun sait que Jospin aurait été, comme son camarade Tony Blair, l’acteur empressé. Hollande parrain de Macron
Et en 2012 «L’union de la gauche» de se rassembler à nouveau, derrière François Hollande cette fois-ci ! On allait voir ce qu’on allait voir, puisque «son ennemi était la finance» et qu’Emmanuel Todd nous annonçait «le hollandisme révolutionnaire». Ce mandat tout de trahisons, de laideurs et de lâchetés fut une épreuve pénible. De l’ectoplasme Jean-Marc Ayrault au nervi politique Manuel Valls, en passant par Cahuzac, Moscovici, Jouyet, Macron (déjà) et tant d’autres nullités corrompues, nous avons dû tout supporter. L’évidence que François Hollande allait être, selon l’expression d’Emmanuel Todd, comme vomi par le pays, les grands intérêts dont le Parti socialiste était l’instrument durent trouver une solution. Ce fut Emmanuel Macron qu’ils décidèrent d’installer à l’Élysée. Le macronisme destructeur que nous supportons depuis maintenant 7 ans est le fruit empoisonné de l’union de la gauche qui avait porté François Hollande au pouvoir. Dont il faut rappeler qu’elle disposait lors de son avènement de tous les pouvoirs de la république, présidence, Assemblée nationale, Sénat, hégémonie dans les collectivités locales.
Alors, l’union de la gauche que l’on vient de nous servir dans la vieille soupière de 1936,n’est qu’un brouet, qui serait aussi indigeste que les précédents.
Mélange d’éléphants socialistes survivants d’un troupeau étique surtout soucieux de conserver quelques gamelles, de jeunes loups installés là par les Américains, d’écologistes allumés recyclés dans le bellicisme russophobe, de faux communistes groupusculaires, et d’insoumis occupés à s’entre-déchirer, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas appétissant.
Mais il est clair, que même si par extraordinaire il remportait une victoire électorale, il ne pourra en aucun cas produire une réponse politique de rupture avec le techno-fascisme macronien.
Ne serait-ce que pour une bonne raison, celui-ci est directement le produit des «unions de la gauche» passées par le pouvoir depuis 30 ans. source : Vu du Droit (regis de castelnau)
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
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