#qui se battent contre
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"Qui et que sommes-nous face à la maladie ?...Sommes-nous prêt à combattre un mal invisible surpuissant ?...et comment ?...et jusqu'où ?... #OctobreRose Bravo et courage à toutes celles qui se sont battu contre, qui se battent contre, ou qui devront malheureusement un jour, se battre contre." #ThibautMarcCAPLAIN
“Qui et que sommes-nous face à la maladie ?…Sommes-nous prêt à combattre un mal invisible surpuissant ?…et comment ?…et jusqu’où ?… #OctobreRose Bravo et courage à toutes celles qui se sont battu contre, qui se battent contre, ou qui devront malheureusement un jour, se battre contre.” #ThibautMarcCAPLAIN
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#"Qui et que sommes-nous face à la maladie ?...Sommes-nous prêt à combattre un mal invisible surpuissant ?...et comment ?...et jusqu&03#ThibautMarcCAPLAIN#OctobreRose#ou qui devront malheureusement un jour#qui se battent contre#se battre contre." ThibautMarcCAPLAIN
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«Etes-vous devenus complètement fous?» : à l’aube d’une escalade majeure du conflit, Poutine fait passer des messages aux Occidentaux
En marge du forum de Saint-Petersbourg, le président russe a organisé une discussion avec les agences de presse internationales, espérant faire entendre la position de Moscou au delà de l'épais brouillard de propagande. Les points clés:
Sur les discours alarmistes des Occidentaux quant à un attaque russe contre l’OTAN:
«Qui a inventé cette connerie ? Ce serait absurde s'il n'y avait pas derrière l'idée de tromper leur propre population.»
«A quoi cela sert-il vraiment ? A maintenir leur propre position impériale.»
Sur les causes du conflit:
«Personne en Occident ne veut se rappeler comment cette tragédie a commencé. Cela a commencé par un coup d’Etat en Ukraine.»
«Pourquoi [la France et l'Allemagne] ont-ils négligé leurs obligations de garants des accords entre l’opposition et le gouvernement en vigueur à l’époque ?»
«Ils sont donc responsables de ce qui s'est passé. A égalité avec les forces américaines qui ont provoqué la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels.»
Sur les intentions de Washington:
«Personne aux Etats-Unis ne s'intéresse à l'Ukraine, ils s'intéressent à la grandeur des Etats-Unis, qui ne se battent pas pour l'Ukraine ni pour le peuple ukrainien, mais pour sa grandeur et son leadership dans le monde.»
Sur les frappes en territoire russe avec des armes occidentales:
«Alors pourquoi n'avons-nous pas le droit fournir nos armes de la même classe aux régions du monde où des frappes seront menées sur des cibles sensibles?»
Sur l'utilisation de l'arme nucléaire:
«Si les actions de quelqu'un menacent notre souveraineté et notre intégrité territoriale, nous considérons qu'il est possible d'utiliser tous les moyens à notre disposition.»
«Vous ne pouvez pas prendre cela à la légère.»
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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Strictly no heroics, by B. L. Radley
The world is run by those with the Super gene, and Riley Jones doesn’t have it. She’s just a Normie, ducking her way around the hero vs. villain battles that constantly demolish Sunnylake City, working at a crappy diner to save up money for therapy, and trying to figure out how to tell her family that she’s queer. But when Riley retaliates against a handsy superhero at work, she finds herself in desperate need of employment, and the only place that will hire her is HENCH. Yes, HENCH, as in henchmen: masked cronies who take villains' coffee orders, vacuum their secret lairs, and posture in the background while they fight. Riley's plan is to mind her own business and get paid...but that quickly devolves when she witnesses a horrible murder on the job. Caught in the thick of a gentrification plot, a unionization effort, and a developing crush on her prickly fellow henchwoman, Riley must face the possibility that even a powerless Normie can take a stand against injustice.
The writing was very reminiscent of tumblr folk tales, probably because B. L. Radley apparently used to(?) write on here. Or maybe I thought that because I knew Radley wrote on tumblr... Whichever it is, the vibes of the writing style were there, it was fun
It was also nice to have representation that doesn't end at "this character is gay, and this one is black": we get different gender and sexual identities, different body types (our MC doesn't have gressin limbs), different skin colors, Riley's sister even has a prosthetic leg. I feel like a lot of people would think it's too """woke""" but like, that's actually what the real world looks like outside of your bubble? Minorities are still a good chunk of the population and queer people do tend to band together, somehow. Anyways, I really liked that aspect of the story
The plot wasn't some convoluted evil master plan from some removed villain with the fate of the world at stake, it was closer to home (which makes sense given Riley and her lack of powers), so it was really refreshing and made the whole story seem way more realistic.
I'll definitely want to read more of Radley's works if they get more publishing deals after this one!
French version under the cut
Ceux dotés du gène des Super dirigent le monde, et Riley Jones n'en fait pas partie. Elle est une simple Normie qui esquive les combats incessants entre super héros et super villains qui détruisent Sunnylake City. Elle travaille dans un dinner minable pour pour payer sa thérapie tout en essayant de trouver le moyen de dire à sa famille qu'elle est queer. Seulement, lorsque Riley se venge d'un super héros aux mains baladeuses au travail, elle se retrouve en manque cruel d'un emploi et la seule entreprise qui veut bien l'embaucher est SBIRE. Oui, SBIRE, comme les sbires masqués des super villains qui prennent leur commande de café, nettoient leur repaire secret, et font les durs en arrière-plan pendant qu'ils se battent. Riley compte se mêler de ses affaires et toucher sa paie, mais ce plan tombe rapidement à l'eau lorsqu'elle assiste à un meurtre horrible au travail. Prise au milieu d'un complot d'embourgeoisement, d'une tentative de syndicalisation et ses sentiments naissants envers son irritable collègue, Riley devra faire face à la possibilité que même une Normie sans pouvoirs puisse prendre position contre l'injustice.
Le style d'écriture m'a rappelé les contes populaires de tumblr, probablement parce que B. L. Radley écrit (écrivait ?) sur le site. Ou peut-être que j'y ai pensé parce que je savais que Radley écrivait sur tumblr... Dans tous les cas, les vibes étaient là, c'était fun
C'était aussi sympa d'avoir de la représentation qui s'arrête pas à "ce personnage est gay et celui-là est noir" : on voit différentes identités de genres, différentes sexualités, types de morphologies (notre personnage principale n'a pas des membres-gressins), couleurs de peau. La soeur de Riley a même une prothèse de jambe. Je suis sûre que beaucoup de gens trouveraient ça trop """woke""", mais euh, c'est à ça que le monde réel ressemble en dehors de leur bulle ? Les minorités représentent quand même une bonne partie de la population et les personnes queer ont tendance à se regrouper, d'une façon ou d'une autre. Bref, j'ai vraiment apprécié cet aspect du roman
L'intrigue était pas un plan alambiqué fomenté par un lointain méchant où le sort du monde est en jeu, c'était une échelle plus humaine (ce qui a du sens au vu du manque de pouvoirs de Riley), donc c'était très rafraichissant et rendait l'histoire bien plus réaliste
Je lirai absolument plus de livres par Radley si iel publie d'autres livres à l'avenir !
#strictly no heroics#bl radley#b l radley#books#booklr#booklr community#book recs#book recommendations#queer books#book reviews#lgbt+ books#yes i'm still trying to post all the reviews i procrastinated in 2023#2 more to go
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23 octobre : un jour pour défendre les libertés en Hongrie
La Hongrie commémore les événements de 1956 en même temps que la journée de 1989 qui a mis fin au régime communiste. Cette fête nationale est aussi, pour une partie des Hongrois, l’occasion de manifester contre le régime autoritaire mis en place en 2012 par Victor Orban.
Le 23 octobre 2011, quelque 100 000 manifestants défilaient dans les rues de Budapest pour protester contre le régime liberticide que Viktor Orban était en train d’instaurer en Hongrie. Quelques uns, parmi les plus âgés, avaient participé à l’insurrection contre le régime communiste hongrois, le 23 octobre 1956. On se souvient que 10 jours plus tard, cette révolution démocratique avait été écrasée par les forces soviétiques, au prix de 200 000 morts. Un tiers de siècle plus tard, un 23 octobre (1989), ce régime prenait fin, laissant la place à une république de Hongrie qui a fonctionné démocratiquement jusqu’au 1er janvier 2012, date de l’entrée en vigueur d’une nouvelle constitution, inspirée des idées de l’extrême droite hongroise.
Cette journée du 23 octobre, dite Fête de la Révolution (Forradalom ünnepe), est devenue fête nationale en 1990, marquée par des célébrations officielles de cette double célébration, est aussi l’occasion pour l’opposition de protester contre un État hongrois aux tendances de plus en plus autoritaires. Cette année, des milliers de Budapestois défilent en soutien des étudiants qui se battent pour l'autonomie de la l’Université des arts du théâtre et du cinéma (SZFE) menacée par le pouvoir et la liberté académique. La conquête de la mairie de Budapest par l’opposition, en octobre 2019, donne néanmoins l’espoir aux démocrates de pouvoir mettre fin un jour au régime de Viktor Orbán.
Mise à jour 2022 : En 2022, ce fut une journée très paradoxale en Hongrie puisque, d’un côté, on y commémore une agression russe et que, en même temps, le gouvernement hongrois soutient l’agression russe de l’Ukraine. Cette année, le président Orban, largement réélu, n’a pas profité de ce jour férié pour rassembler ses partisans à Budapest comme il l’avait fait les années précédentes. Il a choisi faire profil bas et de s’exprimer depuis une ville de province alors que l’opposition manifestait, comme chaque année, dans la capitale.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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La LITTÉRATURE FRANCO-ONTARIENNE EST UNE LITTÉRATURE D'ACCUEIL (Conférence donnée à l'Université de Windsor, octobre 2023)
Je suis honoré de pouvoir dire quelques mots sur ce que je considère comme une littérature d’accueil. J’aime bien le concept de « littérature du vaccum » qui veut dire une littérature existant dans un contexte social et politique vide ou incomplet. C’est un concept conçu et défini par le poète et essayiste franco-ontarien Gaston Tremblay.
Je cite ici son propos écrit sur la page de l’Institut canadien sur les minorités linguistiques :
« L’implosion des institutions sociales canadiennes-françaises, lors de la Révolution tranquille, crée un tel vide dans les régions limitrophes du Québec que la nouvelle garde franco-ontarienne s’inscrit dans le courant contre-culturel nord-américain. Certes, ce premier mouvement d’identification à la contre-culture sera suivi d’un retour aux sources, mais il se fait alors par le biais du patrimoine régional, plutôt que par l’exploitation du corpus littéraire canadien-français traditionnel. C’est donc après une double rupture, dans un vacuum institutionnel et idéologique, que la littérature franco-ontarienne se développe. »
Je souscris à ce concept car c’est la réalité quotidienne de tout Franco-ontarien qui écrit. Il y a en effet peu d’institutions qui permettent aux gens de lettres de l’Ontario français d’être considérés comme des écrivains du centre. Nous sommes des écrivains et des écrivaines de la marge. Les institutions qui existent politiques et sociales sont fébriles et se battent elles-mêmes pour leur survie. Ce constat fait de la littérature franco-ontarienne, une littérature des espaces clos et ponctuelle. Ponctuelle dans le sens qu'elle existe à des endroits précis. Pour constater qu’elle est en vie, il faut aller là où elle a pris la parole, au Théâtre du Nouvel-Ontario par exemple ou là où on lui accorde la parole, par exemple à la bibliothèque métropolitaine de Toronto. Ensuite, la littérature franco-ontarienne semble disparaître, elle est là mais peu visible et donc certains pourraient penser qu’elle est inexistante ou morte. Pour s’assurer de sa survie, il y a ces moments ponctuels qui sont vitaux, surtout pour les spécialistes et les universitaires afin de constater que rien de mal n’est arrivé à la littérature du vaccum. Elle est toujours vivante. Ces moments ponctuels sont les salons du livre et les conférences universitaires en Ontario.
C’est en jetant les bases de la littérature franco-ontarienne dans les années soixante-dix que les Franco-Ontariens définissent le cadre de ce qui sera leur littérature. Ils sont inspirés par la contre-culture, mouvement qui déboulonne les institutions culturelles formelles et ouvre les portes aux expériences artistiques en tout genre. Les différentes vagues qui suivent la contre-culture, notamment l’influence du folklore franco-ontarien, a permis à la littérature franco-ontarienne d’imposer son existence dans une société anglophone dense et compacte.
Les arts franco-ontariens actuels tels qu’on les connait permettent d’affirmer une chose. La lutte pour son existence est faite. Comparé au siècle dernier et celui d’avant, il est possible d’affirmer que la littérature franco-ontarienne a une voix unique et singulière. Il suffit de consulter le site Web du Conseil des Arts de l’Ontario pour trouver des services offerts aux artistes franco-ontariens, services qui n’existaient pas dans les années mille-neuf-cent soixante-dix. Mais exister est une chose, vivre en est une autre. C’est ce combat permanent pour sa vie et sa survie qui fait de la littérature franco-ontarienne, un art face à son péril de façon constante.
Le poète et essayiste Gaston Tremblay aime citer Roger Bernard qui a dit « On ne naît pas Franco-Ontarien, on le devient ». Je suis d’avis que même si le droit héréditaire existe, il n’exclut en rien le droit littéraire d’être franco-ontarien. J’insiste sur le terme « droit littéraire » car ce droit peut apparaître et disparaître dans le sens où l’écrivain francophone de l’Ontario qui a déménagé en Colombie britannique et y vit depuis dix ans peut ne plus se définir comme Franco-Ontarien. Si en plus, son œuvre se poursuit ailleurs, il obtient le droit littéraire de se définir autrement.
J’en veux pour preuve un article du Journal Le Devoir daté du 17 octobre 2015. On y interviewait Patrices Desbiens, un des piliers de la littérature franco-ontarienne. Il dit en répondant à un journaliste québécois, je cite :
« Il y a du monde qui pense encore que je vis ce qui est dans Sudbury. Ce n’est plus mon monde, ça », raconte au bout du fil le Franco-Ontarien né à Timmins, qui habite Montréal depuis 1993. « J’étais là dans le temps, faque j’écrivais ce que je voyais. Maintenant, je suis ici, faque j’écris ce que je vois ici. »
Ce commentaire ne peut être celui d’un écrivain français, irlandais, ou japonais. Ce phénomène n’est possible que dans la « littérature du vacuum », celle où l’identité est en permanence menacée par le vide. L’identité littéraire de Patrice Desbiens, même si elle est ancrée en Ontario, reste volatile. Il exerce ainsi son droit de définition de lui-même sans que cela ne soit invraisemblable. C’est ce qui différencie les écrivains franco-ontariens, des écrivains français ou allemand. Eux restent éternellement des écrivains français ou allemands, même s’ils émigrent.
Cette fragilité indéniable de l’identité littéraire franco-ontarienne est également sa force. Elle empêche les dérives sectaires. Nous ne sommes pas sur un territoire où la majorité est opprimée comme au Québec durant les années de la grande noirceur. Nous sommes sur un territoire de minoritaires. L’existence prend donc une autre connotation, le mot pays possède un autre sens. Jean-Marc Dalpé dans « Les murs de nos villages » dit ceci :
« Les murs de nos villages nous hurlent comme les chiens enragés : Prenez-le, Prenez-le, Prenez-le, Prenez-le le pays Prenez-le dans vos mains Prenez-le dans vos bras dans vos ventres dans vos cœurs Dansez avec le pays »
Le pays a ici une autre signification. Il s’agit aussi bien du mien que de celui qui est natif de Timmins et qui parle français. Dans ce contexte, l’identité ne se fait pas par rapport à l’hérédité mais à la langue et la culture. Autrement dit aucun passeport, aucun discours national ne peut prétendre résoudre la question identitaire du Franco-Ontarien.
C’est une force, cette précarité littéraire, ce microcosme, car il s’ouvre presque naturellement à ceux et celles comme moi qui apportent leur sensibilité de minorité francophone aux origines africaines ou autres. La porosité de l’édifice crée un système de vase communicant et l’écrivain franco-ontarien issu d’une minorité s’identifie facilement à la littérature du vaccum.
Je donnerai un exemple dans la définition des organismes. Si vous prenez L’UNEQ, l’Union des Écrivaines et des Écrivains Québécois. Elle a pour mandat la défense des droits socio-économiques des auteurs et auteures du Québec et la valorisation de la littérature québécoise. Nous pouvons pointer du doigt sur une carte où se situe le Québec. Mais quand on parle de l’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français, on ne peut encercler l’endroit précis de l’Ontario français. Cette flexibilité, qui peut être perçue comme une nébulosité pour certains, est une occasion pour toute minorité d’utiliser cet état de fait pour exister.
Depuis 2017, il existe un organisme appelé Mosaïque culturelle à Ottawa. Son mandat est « d’assurer le rayonnement de la culture des communautés afro-descendantes francophones au sein de l’Ontario et créer une plateforme d’échange à travers le Canada francophone et la francophonie internationale. » Cet organisme utilise cette flexibilité pour s’émanciper et voler de ses propres ailes. Par exemple, Mosaïque culturelle est présente au Salon du livre africain de Paris chaque année. Il ne s’agit de s’affranchir d’une tutelle. Il s’agit de se faire porteur d’un message comme un pigeon-voyageur et d’en rapporter un à cette communauté éparpillée qu’est l’Ontario français.
En tant qu’écrivain de l’Ontario français, nous sommes ce que nous voulons être. Aucun politicien ne peut encadrer nos propos, y mettre une teinte idéologique puisque l’Ontario français n’a ni gouvernement, ni ministre de la Culture. Souvent, le ministre de la culture de l’Ontario ne parle pas français.
Maintenant, je donnerai un aperçu de mon expérience pour illustrer la relation toute particulière que j’estime avoir avec la littérature de l’Ontario français. Vers la fin des années 80, j’ai rencontré à la bibliothèque métropolitaine de Toronto, un écrivain en résidence du nom de Paul Savoie à qui j’ai montré mes textes poétiques. Il a été d’une grande gentillesse et d’une grande aide pour le jeune écrivain que j’étais. Il m’a prodigué des conseils. Ce fut l’accueil premier d’un minoritaire par un autre minoritaire. Paul Savoie est au départ un Franco-Manitobain. Ici, il y a déjà une introduction à la générosité de la littérature franco-ontarienne. Quelqu’un qui a bénéficié de cette générosité m’a accueilli au sein de sa famille d’adoption.
Paul Savoie organisa une soirée de poésie et m’invita. Je lus des textes en compagnie de qui ? Jean-Marc Dalpé. C’était en 1987 et il venait de publier sa fameuse pièce de théâtre « Le Chien » qui allait lui valoir le Prix du Gouverneur général. Ensuite, je décide par un concours de circonstance de m’inscrire à l’Université Laurentienne en littérature française. Je tombe dans le cours d’introduction à la littérature d’un certain Fernand Doré, une personnalité phare dans l’émergence de la littérature franco-ontarienne.
Je dirais quelques mots sur lui, juste pour que les lecteurs qui ne savent pas de qui je parle aient une idée du personnage. C’était un professeur de Lettres à l’Université Laurentienne et un auteur également d’essais fort captivants sur la littérature franco-ontarienne. Mais surtout il fut une inspiration pour le mouvement d’émancipation de la littérature en Ontario français. Il est à l’origine de plusieurs mouvements artistiques comme CANO (Coopérative des Artistes du Nouvel-Ontario), de Prise de Parole, maison d’édition née pour exprimer la parole des francophones d’ici. Il participe aussi à la création du TNO, Théâtre du Nouvel-Ontario. Provocateur dans son style d’enseignement, il titillait les étudiants, leur lançait des défis à demi-mots pour voir si nous comprenions la matière et pour communiquer sa passion. Il m’a eu comme étudiant dans plusieurs cours et j’ai pu bénéficier de son savoir et de ses encouragements surtout dans mes articles dans le journal étudiant. Fernand Dorais était jésuite et il venait du Québec.
J’ai également connu Robert Dixon, autre personnalité importante, ce fut aussi mon professeur. Précis, éloquent même, il avait une patience infinie pour expliquer la poésie, surtout la poésie d’ici. Il est l’auteur d’un texte-phare « Au Nord de notre vie ». Ce texte a été repris par le groupe de musique franco-ontarien CANO. Robert Dixon a reçu le prix du Gouverneur général pour « Grand Ciel Bleu Par Ici » en 1997. Robert Dixon était au départ un anglophone. Il avait des parents d’origine hollandaise. Mais il joua un rôle déterminant dans la construction de ce qui est la littérature franco-ontarienne d’aujourd’hui.
Il y en a eu d’autres. Toutes ces personnes m’ont accueilli les bras ouverts car pour eux, la littérature franco-ontarienne est une littérature d’accueil. C’est une des composantes de ce qui fait sa structure. Elle ouvre ses bras et tend l’oreille. C’est une littérature inclusive.
Un individu comme moi a toujours été minoritaire. Je suis né à Montréal mais je suis originaire du Rwanda. Mes parents avaient fui ce pays en 1959 car minoritaires, ils subissaient des vexations qui se transformèrent en tueries jusqu’au génocide de 1994. Dans les pays africains où j’ai grandi, j’étais différent, toujours minoritaire. En revenant au Canada, ça n’a rien changé. Je le suis encore. Donc, j’estime que personnellement, il m’a été facile de comprendre et d’adhérer à la démarche littéraire franco-ontarienne.
Il faut que je souligne que la littérature de la majorité a tendance depuis longtemps à s’accaparer des écrivains de la minorité pour en faire les leurs. Le cas le plus emblématique est Gabrielle Roy. Certes, elle a écrit au Québec mais certains de ses livres parlent du Manitoba, son lieu de naissance et où elle avait grandi. De nos jours, il y a de plus en plus de résistance. Des écrivains comme Jean-Marc Dalpé ou Daniel Poliquin s’affirment davantage comme écrivains franco-ontariens même quand il y a une tentative de récupération de la part de la littérature majoritaire, québécoise dans ce cas. Ceci est un bon signe et je souhaite que cela perdure.
Je vous ai parlé de l’organisme Mosaïque culturelle, je dois aussi dire quelques mots sur une maison d'édition dans la banlieue de Toronto qui vient de fêter ses 5 années d’existence. Elle s’appelle Les éditions Terre d’accueil. Sur sa page de son site Internet, on peut lire ceci comme définition : « Éditeur d’auteurs immigrants au Canada, les Éditions Terre d’Accueil publient, pour tous les groupes d’âges, des œuvres littéraires en accompagnant au mieux ses auteurs dans le processus de publication et de promotion. Elles donnent ainsi une voix aux immigrants canadiens, une voix qui fait résonner leurs réalités auprès des lecteurs francophones. »
D’ailleurs, mon roman « Toronto, je t’aime » est réédité par cette maison d’édition. Je trouve que le nom de cet éditeur « Terre d’accueil » illustre parfaitement mon propos. Il y a de la place pour tous et il ne s'agit pas de remplacer mais de contribuer du mieux qu’on peut à cette littérature du vaccum. Ce qui est remarquable est que parmi le catalogue de cette maison d’édition, il y a un livre sur les aînés de la région du Durham qui s’intitulent « Les visages de la Francophonie » de Durham. Il y a donc un besoin de créer des ponts entre ceux qui nous ont précédés et ceux qui sont en train de poursuivre le développement de cette littérature.
Avant de terminer cette conférence, je vais aborder la contribution de l’écrivain et de l’écrivaine de race noire à la littérature franco-ontarienne.
Depuis qu’Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor et Léon Gontran Damas décidèrent d’utiliser la langue française comme une arme contre l’oppression grâce au mouvement de la négritude, le francophone de race noire a indéniablement plongé sa plume dans une encre quelquefois fielleuse mais surtout sans complexe.
Nous, francophones de race noire, nous nous approprions la langue dans un combat qui reste titanesque car l’ancien colon refuse de reconnaître que nous avons modernisé la parole française, nous l’avons engrossée, inoculée du venin de la vérité sur ce que nous sommes, c’est-à-dire des êtres humains à part entière. Nous sommes aussi très inventifs dans nos textes car nous n’avons de compte à rendre à personne, Aucune chapelle, aucun conclave ne dicte nos mots. Quand on lit Alain Mabanckou ou Fatou Diome, on peut constater qu’ils se permettent d’innover ou d’africaniser cette langue avec beaucoup de goût.
Ramenons le débat dans un contexte francophone de l’Ontario. Les francophones de race noire ou issus de la colonisation sont également dans une contribution innovante. Dans la musique, on peut citer Yao, spécialiste du slam ; il y en a d’autres dans la poésie, Gabriel Osson ou dans la fiction Melchior Mbonimpa. Cela n’enlève rien aux auteurs franco-ontariens qui ont commencé dans la contre-culture et avec la musique du groupe CANO. Ce sont des précurseurs, les Robert Dickson et Jean-Marc Dalpé. Les francophones originaires d’ailleurs, notamment de l’Afrique, se sont joints à leur voix. Ils ont peut-être un autre accent et des préoccupations pas toujours identiques, cependant ils ont indéniablement un point commun : le besoin de dire en français leur vérité, leur hantise et leur rêve.
En ce qui concerne la hantise, le besoin de survivre en français, j’estime que le poète Patrice Desbiens a écrit de beaux textes pour décrire l’oppression anglophone ou encore le malaise de sa propre identité (L’homme invisible/The invisible man, 1981). Si vous prenez la pièce de théâtre « French Town » de Michel Ouellette, il est également question de l’identité difficile à porter d’une famille franco-ontarienne dans le nord. Ou relisez « L’Obomsawin » de Daniel Poliquin et vous constaterez que l’auteur montre le mal-être d’une communauté francophone qui cherche à justifier ses difficultés identitaires en pointant du doigt un bouc-émissaire.
Les écrivains franco-ontariens de race noire ont aussi des plaies non cicatrisées qui façonnent la plume des auteurs noirs. Il y a des plaies urbaines comme la violence policière et la discrimination à l’emploi. L’auteur francophone de race noire ressemble à cet homme noir secouant un chiffon rouge dans le tableau de Théodore Géricault, Le radeau de la Méduse (1818-1819). Il est le plus haut perché, aidé par d’autres naufragés et tente d’attirer l’attention d’un bateau salvateur à l’horizon.
La littérature franco-ontarienne est donc la rencontre des écrivains et écrivaines venus d’univers différents mais qui ont la liberté d’exprimer leurs préoccupations et leurs hantises dans un même vecteur, un creuset ouvert à autrui, un territoire sans véritable frontière infranchissable, plutôt un pays sans passeport. Une littérature porteuse de fraternité universelle. Merci.
Didier Leclair, écrivain
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Quand on a connu tout et le contraire de tout, quand on a beaucoup vécu et quand on est au soir de sa vie, on est tenté de ne rien lui dire, sachant qu'à chaque génération suffit sa peine, sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause font partie de la noblesse de l'existence. Pourtant, je ne peux me dérober et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci, en me souvenant de ce qu'écrivait un auteur contemporain : "Il ne faut pas s'installer dans sa vérité et vouloir l'asséner comme une certitude mais savoir l'offrir en tremblant comme un mystère". A mon jeune interlocuteur, je dirai que nous vivons une période difficile, où les bases de ce que l'on appelait la morale et qu'on appelle aujourd'hui l'éthique sont remise constamment en cause en particulier dans les domaines du don de la vie, de la manipulation de la vie et de l’interruption de la vie. Dans ces domaines de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir. Oui, nous vivons une période difficile où l'individualisme systématique; le profit à n'importe quel prix, le matérialisme l'emportent sur les forces de l'esprit. Oui, nous vivons une période difficile où il est toujours question de droit et jamais de devoir et où la responsabilité qui est l’once de tout destin, tend à être occultée. Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela, il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine. Il faut savoir, jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière heure, rouler son propre rocher. La vie est un combat le métier d’homme est un rude métier. Ceux qui vivent sont ceux qui se battent. Il faut savoir que rien n’est sûr, que rien n’est facile, que rien n’est donné, que rien n’est gratuit. Tout se conquiert, tout se mérite. Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu. Je dirai à mon jeune interlocuteur que pour ma très modeste part, je crois que la vie est un don de Dieu et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde, une signification à notre existence. Je lui dirai qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves, cette générosité, cette noblesse, cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde, qu’il faut savoir découvrir ces étoiles, qui nous guident où nous sommes plongés au plus profond de la nuit et le tremblement sacré des choses invisibles. Je lui dirai que tout homme est une exception, qu’il a sa propre dignité et qu’il faut savoir respecter cette dignité. Je lui dirai qu’envers et contre tous il faut croire à son pays et en son avenir. Enfin, je lui dirai que de toutes les vertus, la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres, de toutes les vertus, la plus importante me paraît être le courage, les courages, et surtout celui dont on ne parle pas et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse. Et pratiquer ce courage, ces courages, c’est peut-être cela «L’Honneur de Vivre».
Hélie de Saint Marc (1922-2013)
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Résilience
Dans cinq jours, ma fille célèbrera ses 20 ans, et les préparatifs battent leur plein ! J'ai reçu son cadeau hier... Bah je vais rien divulguer, c'est des airs pods, les sines sont pétés. C'est même pas un truc classe, je me sens nul. Elle a invité toute la famille (moi et mon ex, donc) . Vingt ans, c'est un sacré cap, putain, je me réjouis pour elle ! Mais, pour ajouter à l'ambiance, devinez qui sera là... Le remplaçant que mon ex a trouvé, environ le lendemain, un type que je ne peux m'empêcher de qualifier de "maïs transgénique" depuis 16 ans.
Jpp de peser le pour, le contre, le jamais, le pourquoi pas.
Mon corps est-il suffisamment résilient. Si j'avais le soutien d'amis, de famille... Mais je vais pas en parler. Mes dilemmes internes, j'en cause pas. Un peu à mes chats, et encore, ils comprennent pas trop.
J'ai mis en place des stratégies d'adaptation : gestion du stress et communication avec moi-même et mes centres émotionnels ; tenter de leur retrouver un équilibre, mais c'est tellement le bordel. Nous redevenons un peu capables de ressentir des émotions positives et de renouer des relations sociales.
Offrir du soutien, nous protéger, tenter le pari du mieux-être émotionnel et viser la santé mentale... Et... Illuminer le monde, extérieur, intérieur, et aussi bien que possible ce qui m'entoure.
(Dans ma tête)
(c'est un tel bordel)
(que je me raccroche à l'élastique de petite culotte qu'on m'a accroché autour des chevilles quand j'ai dit "ok, je saute !")
(Et dans ma vie)
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Là je viens de chialer parce que j'ai été ultra déçue de Ju'. On est parties 3 mois au Canada, on était dans le même appart, dans le même stage, on était h24 ensemble et là wtf??
Ce matin elle veut bien me chercher en voiture donc trop chouette. Le temps d'aller jusqu'à l'école il faut marcher et déjà elle me dit pas que Lé, sa pote, va nous rejoindre mais ça osef en vrai mais jsp moi je l'aurais fait même si c'est un détail. D'ailleurs Lé j'en avais déjà parlé, c'est une meuf qui cherchait un stage et je lui ai dit que je pouvais parler d'elle à mes maîtres de stage pour qu'elles la prennent. Donc elle a son stage grâce à moi. Puis même à côté de ça je lui ai déjà beaucoup parlé, ça se passait bien, on s'entendait bien. Mais là elle fait que la bise à Ju' et lui pose des questions sur le Canada. Bref, elle me calcule pas. Ça me casse les couilles donc je m'impose et je lui demande comment ça se passe au stage. À ce moment là je me sens enfin dans la conv donc tranquille.
Par contre quand on entre dans l'école MDR c'est limite si elles me tournent le dos?! Puis Ju' qui voit toutes ses potes et qui me laisse derrière sans me présenter ou essayer de m'intégrer. Du coup je me dis ok bah je dégage alors.
Je rentre dans l'auditoire et là je vois L, un ange tombé du ciel ptdr. Du coup je m'assied à côté d'elle et on passe finalement la journée ensemble.
En fait j'en reviens pas de ces gens qui s'en battent les couilles des autres c'est un truc de dingue? Surtout qu'on fait des études dans le social putain? Puis comment tu peux laisser derrière une pote avec qui t'as vécu une expérience unique comme ça, avec qui t'as eu pleins de délires, avec qui t'as partagé des moments émouvants, avec qui t'as appris à vivre au quotidien,...? Tout ça comptait pas pour elle? C'était juste une parenthèse qu'on referme une fois finie? Et pourquoi je suis aussi sensible putain? Moi qui ai dit à mes potes d'enfance que je considérais Ju' comme ma sœur alors qu'elle en a rien à foutre. Ça me tue dans tous les sens du terme.
(06/02/2023)
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Qui dit super-héros (et super-vilains), dit équipes. Que serait l’univers Marvel sans les Avengers ? L’univers DC sans la Justice League ? Il y a donc des équipes dans le Londres de Leap of faith. Ceci est une liste des idées que j'ai pour le moment, elles pourront être modifiées.
— Avengers.
Oui comme dans les comics, comme dans les films, les Avengers de Londres s’appellent les Avengers pour une bonne raison. Tout a commencé il y a 3 ans, quand trois jeunes des quartiers bourgeois de Londres ont décidé de s’improviser super-héros. Pas pour aider leur ville, mais pour la célébrité et la popularité que ce rôle implique, ils ont pris ce nom dans ce but. En 3 ans l’équipe à bien évolué, il y a de nouveaux héros. Les Avengers ont beaucoup de fans, beaucoup de notoriété, mais aussi beaucoup de détracteurs. Ils ont un discours ouvertement méprisant envers les humains normaux, font beaucoup de dégâts et font parfois payer leurs interventions. Il y a aussi beaucoup de scandales d’abus de pouvoir au sein de l’équipe.
Malgré tout ça, les Avengers restent l’équipe qui dispose de plus de moyens financiers, l’équipe considérée comme la plus puissante de Londres et la plus prestigieuse. Ils exigent d’être reconnus par l’État britannique et d’avoir un salaire.
— Les héros anonymes.
Aussi surnommés les “super-losers” par les Avengers. Les héros anonymes ont commencé il y a 5 ans, comme un groupe de parole pour mutants. Beaucoup ont dit vouloir aider les citoyens, c’est ainsi que les héros anonymes sont devenus une association de héros. Ils se battent contre les vilains bien sûr, mais font d’autres actions comme faire des distributions de repas pour les personnes dans le besoin. Les héros anonymes ont la philosophie que tout le monde peut agir à son échelle pour aider la société. Ainsi les humains sont acceptés dans l’association et peuvent avoir des costumes, mais ils n’ont pas le droit de se battre contre les vilains. L’association est plutôt appréciée par la population, même si elle n’a que peu de moyens.
Eux veulent que le rôle de héros reste un rôle bénévole.
— Freaks nation.
Tout a commencé il y a 3 ans, quand une énième brutalité policière tua une jeune adolescente de Newham. Son crime ? Ne pas avoir réussi à contrôler son pouvoir. Cela révolta tous les habitants du borough, de violentes émeutes éclatèrent à Londres pendant 6 jours. Pendant ces émeutes, de jeunes mutants s’allièrent pour combattre la police. Après les émeutes ils décidèrent de combattre pour les borough pauvres de Londres et pour toutes les personnes marginalisées.
Chez les Freaks on trouve des punks, des sans abris, des jeunes des quartiers pauvres, des personnes queers, chacun peut rejoindre les Freaks s’il le souhaite. Il n’y a pas de leaders, ce groupe est anarchique. Ils prônent l'auto-organisation et l’entraide communautaire, leur principal ennemi est l’État britannique et la police. Ils affrontent parfois les super-vilains, parfois s’allient avec eux, ils détestent plus que tous les Avengers avec qui ils se battent parfois. Ils respectent les héros anonymes mais les considèrent comme des doux rêveurs.
Eux-même ne se considèrent pas comme des héros, car ils considèrent que les héros sont des despotes nombrilistes. Ils proposent aussi aux nouveaux mutants des entrainements pour mieux maîtriser leurs pouvoirs.
— Evil corp.
Le mal ! Littéralement, c’est par ironie que ce gang de vilain s’est nommé ainsi. Evil corp est constitué de vilains venant de tous horizons. Des gangsters confirmés, des vilains maladroits et ridicules, de simples citoyens n’ayant pas eu de chance, des fans un peu bizarres qui ont obtenu des pouvoirs ou des jeunes et moins jeunes des quartiers difficiles qui n’ont pas d’espoir pour échapper à la pauvreté.
Ils n’ont pas forcément de but commun, ils considèrent juste qu’en s’associant ils seront plus forts contre les héros et contre le gouvernement.
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La France, la Russie et les traîtres (suite2)
C’est là un concept foireux. Aux Amériques, par exemple, les Anglais s’étaient alliés avec les Cherokees : trahison civilisationnelle. Les Français s’étaient alliés avec les Sioux : trahison civilisationnelle. En 1914, les Allemands se sont alliés aux Ottomans : trahison civilisationnelle. En 1895, les Anglais arment les Ethiopiens contre les Italiens : trahison civilisationnelle. Les Américains avaient des Noirs dans leur armée en 1944 : trahison civilisationnelle. Pour faire échec aux ambitions de Charles-Quint, François Ier s’était allié au Grand Turc : trahison civilisationnelle. Les Russes acceptent que des tchétchènes se battent à leurs côtés : trahison civilisationnelle. Les Ukrainiens acceptent des jihadistes dans leurs rangs pour cartonner des Russes : trahison civilisationnelle. En réalité, il n’y pas de " trahison civilisationnelle". Dès lors que l’ennemi principal est défini, un État noue des alliances pour tenter d’anéantir la menace. Cela s’appelle la diplomatie ; tout simplement. Un nationaliste français qui soutient aujourd’hui l’Ukraine de Zelensky pour défendre une "petite nation injustement attaquée" obéit très exactement au même réflexe que ces patriotes français qui en 1939 étaient prêts à aller en découdre avec les Boches pour sauver la Pologne, et l’année suivante pour sauver la république française qui était pourtant déjà bien vermoulue. Une partie d’entre eux est ensuite allée à Londres rejoindre le général de Gaulle. C’est le réflexe de la « petite patrie », qui nourrit les querelles et les haines entre Européens et qui nous a fait tant de mal. Quatre-vingt années après la victoire des alliés de mai 1945, on voit le résultat. Dans l’entre-deux guerres, les nationalistes français avaient déjà parfaitement conscience de la dégénérescence raciale imposée par le régime républicain : Drieu La Rochelle, Brasillach, Céline, Pierre-Antoine Cousteau, Henri Béraud, Lucien Rebatet et quelques autres s’étaient élevés contre cet envahissement des étrangers encouragé par le régime. Il s’agissait à l’époque des juifs, des Italiens, des Arméniens, des Noirs, des Algériens et des Annamites. C’était le début de la grande invasion que nous connaissons. Les intellectuels français avaient fait leur travail en nous mettant en garde contre ce qui se préparait. Les forces en présence aujourd’hui sont exactement les mêmes qu’en 1940. Les projets sont les mêmes. C’est une guerre à mort qui ne peut se solder que par l’anéantissement d’un des deux camps. Et il ne faut pas se tromper de camp. Hervé Ryssen
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en fait j'ai trois ou quatre cerveaux qui se battent les uns contre les autres en continu pour que je les écoute dont un qui essaye d'être attentif et de retenir quand on me parle mais les autres ils sont pas d'accord et tout ceci fait que j'ai le(s) cerveau(x) très musclé(s) je crois
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Oui, mon capitaine (jour 18)
Le choc eut lieu à 23h30. Oh oui, ça allait faire la une des journaux. Ça impressionnerait le monde entier. Mais pas parce que nous arriverions en avance. Parce que nous marquerions l'Histoire avec une tragédie qui aurait largement pu être évitée. Pour de multiples raisons. Il géra la situation sans la gérer. Déléguant à Thomas Andrews la lourde tâche de décider que faire dès à présent. Il n'y avait pas assez de canots à bord. Les passagers n'étaient pas encore au courant. Bien-sûr, il y avait eu l'impact. Ceux présents sur le pont avaient tout vu. Moi, j'étais juste là. Je n'avais aucun réel pouvoir sur la suite des événements. Je devais me contenter d'attendre les ordres. La première classe d'abord. Evidemment, ceux qui avaient payé plus cher leurs billets et étaient les mieux lotis devaient être privilégiés. Une vie contre une autre. Qu'est-ce-que la valeur d'un homme riche face à celle d'un homme pauvre ? Le navire n'avait pas fait de choix, lui, en percutant l'icerberg. Le capitaine, mon commandant, n'avait pas décidé de tuer ou de sauver des vies en voulant que le Titanic arrive plus tôt à Southampton. Pourtant, une nuit cauchemardesque et fatale s'annonçait à présent. Presque trois heures passent. Nous avons tiré la dernière fusée de détresse. Tous les passagers probablement, sont sur le pont et sont déchainés. Tout est bon pour avoir sa place dans l'un des canots de sauvetage. Mais nous n'en avons pas assez. Aucun n'est réellement rempli. Qui peut bien savoir s'ils ne couleront pas une fois pleins ? Mais nous répondons aux ordres. Oui... mais pas que. Face à la mort, nous devons gérer la situation et continuer de différencier ceux qui montent à bord de leur grosse bouée de sauvetage et sauvent leur peau de ceux qui meurent. "Je libère l'équipage", lâche Edward Smith. "Désormais, c'est chacun pour soi. Moi, je vais sombrer avec lui." "Oui, mon capitaine." Face à la mort, nous portons toujours l'uniforme qui nous différencie du reste de l'équipage. Nous avons désormais le choix de sauver nos vies ou de remplir les canots restants. Mais vous savez, face à la mort, nous réagissons tous différemment. L'eau et l'air sont glacés. Certains sautent dans l'eau et meurent sous le coup. D'autres se battent et poussent les femmes et les enfants pour s'enfuir. Il n'y a plus de première, de deuxième ou de troisième classe. Au fond, nous ne sommes que des hommes. Et qu'est-ce-que des hommes sur un paquebot faisant naufrage au coeur de l'océan.
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Que vois-je ?? Ils se battent quand je ne suis de sorti. C'est Trèfle qui a gagné contre Papatte. Je n'aurais pas parié dans ce sens là.
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youtube
[08.10.23 Fareed Zakaria de l'émission GPS sur CNN interviewe le leader de l'Initiative nationale palestinienne Mustafa Barghouti (ni Hamas, ni Fatah) qui lui signale que l'attaque du Hamas contre Israël était une réponse à l'occupation israélienne et que les Palestiniens, comme les Ukrainiens, se battent pour leur liberté.]
Le Palestinien Hasan Abi (youtubeur 1,7M d'abonnés) a enregistré l'entrevue et l'interrompt pour commenter, lui qui a subi le conflit toute sa vie et qui, à ce point de la nuit complète un marathon "live" de 4 heures.
Abi dénonce l'enfer de la Bande de Gaza, une prison à ciel ouvert où survivent 2 millions de Palestiniens de 18 ans d'âge moyen et 57% sans emploi dont le territoire hyper-colonisé par des terroristes venus de Brooklyn et d'autres ghettos est divisé (pour mieux régner) en 463 îlôts/checkpoints. On empathise sa colère et on vomit notre mépris éternel pour les nazitanyahus et les royaumes pétroliers arabes qui les ignorent, faute de motivation$.
Écoutez Hasan, vous allez peut-être commencer à comprendre.
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Journal du vendredi 11 Août 2023 / Le bal des voisines.
Une si longue absence. Journal d’Auvergne.
Dix photos à choisir sur plusieurs semaines de travail. Il y a forcément de la casse. Il y a des photos oubliées, mais aussi les voisines, parfois aussi bien, sinon meilleures que la photo sortie gagnante. D’obscurs calculs ont fait qu’elle restera…oubliée. Enfin pas tout à fait, puisque l’on a toujours la possibilité de revenir sur certains choix. Pour la photo d’aujourd’hui, c’est évidemment trop tard pour le travail commandé.
Retour sur un extrait de mon journal publié le 7 octobre 2022, avec la photo « d’à côté *».
« Samedi 12 mars 2022.
J’essaie généralement d’éviter de montrer dans ce journal deux photos du même sujet ou d’un même événement en même temps. Je l’ai tellement vu dans des magazines qui croyaient en insistant lourdement que ces parutions mettaient en valeur leur sujet, alors que je pense que cela ne faisait que l’affaiblir, par cette insistance qui ne finirait qu’à ne convaincre personne, médiocrité du traitement de l’information qui a contribué à la discréditer : lourdeur contre finesse. Je le fais parfois, comme avec des images de souvenirs personnels, mais le propos est différent. Trop de photos ne tuent elles pas la photo ?
Hier je publiais la photo du maire de Montaigut en Combraille posant au milieu des pompiers de la petite ville, une photo peut-être un peu à l’ancienne, quand poser pour le photographe était un honneur, ce qui n’est plus forcément le cas aujourd’hui. Cette scène fut suivie d’un défilé menant à la caserne des pompiers, défilé que je suivais en prenant des photos comme l’aurait fait peut-être un correspondant local, peut-être pas conscient que ces photos d’un quotidien à priori « banal » sont des photos décrivant la vraie vie de ces lieux un peu retirés du monde et qui se battent pour exister économiquement, pour exister tout court, tentant de survivre grâce à des hommes comme ce maire, par ailleurs ouvrier dans une usine qui, par ses emplois a sans doute permis d’éviter une descente aux enfers de cette localité.
Bref, tout cela pour vous dire que non seulement je raffole de cette démocratie locale, sans doute la plus vraie, la plus sincère, mais aussi de ses habitants qui se battent à leur manière pour que leur monde ne sombre pas avant la fin de notre monde.
Le défilé nous mena à la salle des fêtes avec des discours, des décorations et…de la musique de fanfare, et c’est là ou je voulais en venir. J’écrivais hier : « défilé en partant de la place de la mairie vers la salle des fêtes, avec au centre la fanfare. J’ai toujours aimé les fanfares depuis mon plus jeune âge. Cette musique me mets de bonne humeur, avec ses personnages qui la compose, ses percussions, parfois des fausses notes vite oubliées »…
Mais aujourd’hui, même si l’on a l’impression que la fanfare est joyeuse, je la trouve souvent triste, essayant de cacher cette tristesse en se donnant des airs de fête. C’est mon ressenti en écoutant cette musique belle et triste à la fois ».
* Photo publiée le 7 octobre 2022 et retenue dans les dix !https://alain-keler.tumblr.com/post/697431687295074304/après-une-si-longue-absence-journal-dauvergne
"Cette photographie a été produite dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BNF", sous le titre « Une si longue absence. Journal d’Auvergne ».
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