#pouilleux
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Partageons mon rendez-vous lectures #30-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Le Pouilleux massacreur de Ian Manook Le pouilleux massacreur de Ian Manook – Editions La manufacture de livres Magali de Caryl Férey Magali de Caryl Férey – Editions Robert Laffont Lu en avant première, dans le cadre du Prix du Roman Fnac. Hexes d’Agnieszka Szpila En lecture Missing : Germany de Don Winslow Missing : Germany de Don Winslow…
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running that sentence in various online translators to see how well it translate and hsfjsjlff
something i wish i'd see more in trigun fanarts is people having vash speak their native/non-english languages completely unprompted, ive seen folks have him speak french, which he canonically knows, but i really do believe he's a polyglot. mostly because of that one time in the desert when he saw the samurai and wanted to greet him in japanese but struggled to remember how to even say hello.
my headcanon is that rem had them learn as many languages as possible but with the big fall and so many people dying, which i think is what led english to became No man's land main (or even only?) language, means that vash (and knives!) both got horribly out of practice and are various sort of rusty in every others languages.
what im saying if there's any pun or joke you've been dying to write but just doesn't work in english vash (and knives!!) are right there!
#long post#described in alt text#<- going to go add for the doodle too. it's simple enough i should be able to#i didnt how i could translate 'jerte' 'pouilleux' and 'couillon' properly so i checked online translators and turns out they struggle too!#my art#my comic#edit: added the alt text for the doodle but it doesnt show on this version D: i maybe shouldve have added it before adding these?
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Bébé chat rencontré en vacances : mi chat mi chauve-souris, et un peu pouilleux
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Noël, donc. Noël laïc et républicain. Noël kurde, aussi. Pan ! Boum ! Noël avec Darmanain. Noël dans la joie des carcasses fumantes et des églises brisées, des croix retournées et des curés qui pardonnent tout, comme saint Connard de la pampa, cheville ouvrière du globalisme gerbatoire. Noël au balcon grâce aux réchauffement caricatural d’un monde vert qui tourne au charbon. “Atomkraft ? Nein, danke !”, qu’on pouvait lire au cul des minibus Volkswagen conduits par les pouilleux rouge-verts des années 70. Voilà le résultat, bande de glands. Noël accoudé à la balustrade, qui attend Pâques qui se fera à coups de tisonnier, à n’en pas douter. Noël dans les quartiers populaires al-jazeerisés jusqu’à la garde, champs de tir cocaïnés à la mode mexicaine. Visitez en famille le charnier du square Pablo Neruda ! Noël chez Macron, avec une belle grosse bûche au chocolat noir recouverte de poudre énergisante. Le rêve, quoi : onze footballeurs blacks qui fondent dans la bouche, pas dans la main. Noël à Bethlehem, avec ses gilets pare-balles et ses check-points. Pas de trève à Noël. Vos cadeaux sur Amazon, avec livraison par esclave bengalais offerte. Pas de trève pour Noël. On commente sur LCI, BFM et consorts. Trève des confiseurs, mon cul : ça bombarde encore et toujours à Donetsk. Ça fait plaisir à BHL qui continue de danser sous son chandelier. “Happy Hannouka !“, que ça gueule d’un bureau à l’autre, de Wall Street à la City. Noël incolore mais racisé, genre indéfini mais barbu.e. “Dis Parent 2, pour Noël je voudrais un vagin ! – On dit “Fêtes de fin d’année”, mon.a chériel.” Monde formidable qui tourne sur lui-même et perd l’équilibre. Monde qui dérape, monde qui s’étale, monde qui saigne. Noël rouge sang. Bon allez, on se dépêche, le sapin perd ses plumes, triste victime du génocide arboricole, extinction des feux, rébellion de salon. Joyeux Noël à tous – pardon, à toutes et à tous et aux autres aussi. Bref, joyeux Noël inclusif ! J.-M. M.
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The version I (French) know isn't called like that - we call it "Lousy" as in someone who is full of lice (le Pouilleux)
At the beginning of the game, a random card is removed from the deck. No-one knows which one it is, so the secret is kept longer. The "Lousy" card is the one which can't find its pair.
Old maid is a card game where three queens are removed from a standard deck of cards. Cards are dealt to players one per turn, and pairs are discarded. The player left with the single queen (the "old maid") loses.
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Céline, une fois de plus, avait, comme Drumont, tout compris de ce qui arrivait à la France.
Elle allait devenir un Hexagone. Un espace occupé par des tartuffes prolétariens (Céline), des mendiants ingrats (Léon Bloy) et des narbonnoïdes.
On croit Drumont ou Céline antisémites, c’est faux. Ils étaient narbonophobes, hexagonophobes.
Comme les grands cathos de l’époque, Bloy, Bernanos, ils ont crié dans le désert. Ce désert français où l’on ne les a pas entendus et où ne subsistent que des abbayes recyclées en hôtels pour cad’ sup’ et des villages relouqués par l’industrie du tourisme pour des bataves friqués pressés de se faire casser la tête à coup de son et lumière.
Un peuple de pouilleux, disait Céline qui savait de quoi il parlait du fond de ses banlieues à problèmes.
C’est quoi un narbonnoïde ?
Un être à forme vaguement humaine et qui a des papiers français.
Il vient du fond des âges ténébreux, il a dévoré le cromagnon, il a massacré l’aristocratie celte, détruit l’ordre romain. Il a violé, pillé brûlé et surtout baillé. Il a fait l’hérétique au moyen âge, le libertin avec Gilles de Rais, Sade ou les présentateurs télé, la Révolution et ses sacrifices humains, l’épuration et ses sacrifices humains, et depuis il se repose.
Il fait grève tout le temps, il attend sa retraite avec angoisse (un peuple de pêcheurs à la ligne disait Drieu dans son Journal). Il fait de la trottinette ou du roller, baise en tas, échange sa femme ou tripote ses gosses qu’il appelle Kevin ou Mégane, métisse sa fille et cultive son obésité. Il chausse des baskets, bouffe Mac Do, défile contre Seillière ou Le Pen ou Bush ou tout le monde, et surtout il idolâtre sa citoyenneté. Sa citoyenneté de merde made in Monde-diplo ou Charlie-Hebdo.
Nicolas Bonnal
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F et P pour l’ask game ?
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
. Y'know what, j'arrive pas à me décider sur un dialogue de mes fics RPZ donc fuck it, j'ai choisi ma fic Les Légendaires :D
"Valiha ne pouvait pas excuser Larsen. Elle ne pouvait pas lui pardonner ce qu’il avait fait.
Et au vu des yeux fous qu’il leva vers elle, lui non plus.
« Tu sais, Valiha, » susurra-t-il d’un ton à peine humain, « je te déteste. Je t’ai toujours détestée, depuis ton arrivée au palais. Toi, l’enfant prodige, annoncée et amenée par notre prophétesse. Toi, oh toi, qui brillais si fort que ta lumière éclipsait la mienne. Et de quel droit ? Hein ? De quel droit pourrais-tu prétendre au trône ? Toi, l’enfant de pouilleux, l’amnésique sans nom, sans famille, sans honneur ?
- Tu vas trop loin, Larsen, » siffla la jeune femme entre ses dents, rétractant sa main pour avancer sa lame, « et tu te trompes d’ennemi. »
Le prince ricana. « Ah ? Et dis-moi, quel est mon ennemi ? Qui ? Qui, ici, m’a dérobé mon trône ? Darkhell, peut-être ? Non, Valiha. Tout ça, c’est de ta faute ! Si tu n’étais jamais venue au palais, si tu n’avais jamais été adoptée par mon père, les choses seraient différentes. Je serais seul héritier. Mais tu m’as tout volé ! L’admiration du peuple, l’affection de mon père ; tout cela aurait dû m’appartenir, mais regarde où nous en sommes !
- Rien de tout cela ne t’a jamais été dû, Larsen ! Tu as eu ta chance, et tu l’as gâchée lorsque tu as choisi d’agir comme tu l’as fait !
- J’ai perdu ma chance lorsque nous étions enfants, Valiha ! » Le regard du prince était sanglant, fou, et pourtant les larmes avaient recommencé à couler sur ses joues. « Jamais on ne m’a donné l’occasion de faire mes preuves ! Jamais on ne m’a laissé montrer que je serais un bon roi ! Dis-moi, est-il juste que les choses se soient passées ainsi ? Est-il juste que mon père m’ait délaissé, abandonné à ton profit ? Hein ? Est-il juste qu’on m’ait tant promis pour tant me retirer ? »
Valiha voulut se défendre, rétorquer qu’il était seul coupable, qu’il n’avait aucun droit d’accuser le roi, leur père.
Mais les mots qu’elle cherchait ne furent pas ceux qui sortirent de sa bouche.
« Je suis désolée. »
Sa propre voix lui parut étrangère.
« Il est trop tard pour être désolée, » cracha Larsen, « trop tard pour utiliser les mots. Lève ton sabre, Valiha. Laissons parler nos lames. »"
J'aime bien écrire les personnages en colère, les personnages qui se sont beaucoup retenus mais qui, enfin, crachent tout ce qu'ils ont sur le cœur :) C'est quelque chose que j'ai fait dans certaines de mes fics DSMP, aussi, mais pas tellement dans mes fics RPZ. C'est dommage. À moins qu'un jour... ?
P : Are you what George R. R. Martin would call an “architect” or a “gardener” ? (How much do you plan in advance, versus letting the story unfold as you go?)
Hmm... un mélange des deux ? Tout dépend de la complexité du concept de base, à vrai dire– pour la plupart de mes OS j'ai une idée, parfois une vague ligne directrice, et je vais là où m'emporte mon inspiration, là où pour ma longue fic DSMP, par exemple, j'ai genre. 6 pages de notes sur ce que je veux écrire quand et comment X) Après je dirais plus gardener, parce que même quand j'ai un plan je m'autorise beaucoup de petites déviations, des passages par-ci par-là qui restent dans l'ensemble là où j'avais prévu qu'ils soient mais divergent un peu de ce que je voulais – difficile d'ignorer la voix d'un personnage quand elle t'amène autre part :]
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Adieu ma communauté Kichwa 😭
Après une dernière matinée à faire des fleurs en perle, je tente d'apprendre aux enfants le Président... Et on finira donc sur un Pouilleux, c'est bien le Pouilleux !
Puis un petit câlin à Rumi (qui a fait pipi par terre cette fois, esquivé !), et il faut dire au revoir ... Presque 10 jours déjà quand même !
Au moment de repartir, un des invités propose de me ramener en moto, plutôt que de prendre deux bus différents.
Forte de mon expérience avec le Dr Rathatton, j'ai confiance, je monte donc ! Bon, il conduit quand même sacrément bien quand même, on sent qu'il y a plus d'expérience que mon dernier conducteur x')
Après 2h15 sans s'arrêter, une demie heure de bouchon, et un derrière en lambeaux, je paye la pizza le soir ! Conseillée par Feder, un volontaire italien qui était dans la communauté, je ne peux que m'incliner, c'était une vraie pizza 😍
Me voici donc de retour sur Baños (mon conducteur continue lui jusqu'à Otavalo, il en a à peu près pour 7h de route ... Et il a déjà fait ça avant hier pour venir, quelle motivation !!), direction Riobamba demain :)
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Ici et seulement ici, Christelle Dabos
Christelle Dabos est de retour avec un roman choc sur les années collèges, mélangeant réaliste et fantastique. Dans Ici et seulement Ici, on suit Iris, Pierre, Madeleine et Guy, respectivement en 6e, 5e, 4e et 3e ; une remplaçante, ancienne élève Ici ; des élèves, bons et mauvais, croisés au cours de l’année.
On est propulsés Ici, avec ses règles et ses interdits, ses castes, ses problèmes. Il y a des Hauts et des Bas (comprenez des populaires et des harcelés), des classes Paires et des Impaires où il y a des Pouilleux, et tout un tas de règles tacites. C’est un roman choral extrêmement bien construit, très bien écrit (mais je n’en attendais pas moins de Christelle Dabos) et très très différent de La Passe-Miroir.
J’ai vraiment aimé mon expérience de lecture de Ici et seulement Ici, et à certains égards ça m’a rappelé ma période collège (heureusement elle ne s’est pas si mal passée pour moi que pour certains personnages !). Le tout est dans une ambiance très sombre, très étrange, très mystérieux, et je ne saurais même pas expliquer pourquoi c’est si bizarre. J’ai encore du mal à mettre des mots dessus, mais par contre je peux affirmer que j’ai beaucoup aimé.
En tout cas, ça m’a vraiment fait fort plaisir de retrouver Christelle Dabos, avec son style et ses univers bien à elle, et je ne voulais pas lire ce nouveau roman trop vite, j’ai vraiment essayé de le savourer comme un bonbon ! Je serai curieuse de lire les avis de celles et ceux qui ont lu Ici et seulement Ici…!
25/04/2023 - 30/04/2023
#livres#books#livre#book#littérature#littérature jeunesse#littérature jeune adulte#ici et seulement ici#christelle dabos#éditions gallimard jeunesse
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Le Pouilleur Masacreur I.Manook
Présentation pour la Rentrée littéraire 2024, de Ian Manook propose Le Pouilleux massacreur, roman noir et social avec un voyage dans les années 60 et sa jeunesse
Rentrée littéraire 2024 Roman noir et social avec un voyage dans les années 60 et sa jeunesse Ian Manook, l’un des pseudonymes de Patrick Manouchian, propose son nouveau roman, Le Pouilleur massacreur, un retour en arrière pendant l’année 62, avec sa jeunesse qui cherche un avenir. Une formidable immersion dans ce passé proche avec des retentissements actuels. En janvier 1962, une femme est…
#bande de jeunes#Billet littéraire#Bric à brac de culture#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Guerre#Guerre d&039;Algérie#histoire#Histoire contemporaine#Histoire de France#Jeunesse#Littérature francaise#Litterature contemporaine#roman#Roman noir#Roman social
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Le pouilleux massacreur de Ian Manook
Le pouilleux massacreur de Ian Manook – Editions La manufacture de livres Le pouilleux massacreur de Ian Manook, présentation 11 janvier 1962, meurtre d’une femme. Elle a été défigurée. La scène de crime a été piétinée. Martineau enquête sur ce meurtre. Sorb et Figo font partie d’une bande jeunes banlieusards qui s’ennuient. Ils sont enfants d’ouvriers et commettent quelques méfaits, notamment…
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#lepouilleuxmassacreur#avis Ian Manook#avis Le pouilleux massacreur#avis Le pouilleux massacreur de Ian Manook#avis romans Ian Manook#éditions la manufacture de livres#Ian Manook#la manufacture de livres#la manufacture de livres éditions#Le pouilleux massacreur#Le pouilleux massacreur de Ian Manook
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( THE CONTEXT )
Notre heure est venue. Nous nous sommes préparés. Nous avons gagné des forces. Nos pouvoirs vous ont aveugles. Vous pensiez qu’aucune force ne pourrait vous défier. Enfin, nous sommes de retour et la revanche des Sith est proche.
AN 21 AV. BY, DANTOOINE • Seule, la respiration haletante d’émotions, elle marchait, avalée par la brume matinale, guidée par l’éclat persistant des lunes perçant son manteau pollué. Elle avançait, laissant quelques fois son regard froid se disperser sur le fer entassé sur le bas-côté, enlacé de ronces aux feuilles macabres, accablées par la tristesse qu’elles avaient vu passer. Elle marchait seule, assaillie par le souvenir de son enfance, dont les fantômes narguant se dessinaient à l’horizon. Elle se voyait jouer, puis regarder la tablette sur laquelle une ombre lui promettait un avenir civilisé et urbanisé, protégé du gangstérisme par ses PACIFICATEURS aux sabres-laser levés. Eux-mêmes qui l’avaient rejetée pour s'être abandonnée à sa rage de vaincre, de prouver que de la fange pouvait s’élever une force indomptable, sauvage et salvatrice de tous pêchers. Ces prestidigitateurs qui disparaissaient dans un écran de fumée en même temps que la RÉPUBLIQUE face aux difficultés de leur système désœuvré. Partout autour d’elle s’étendait cette vision de leur rêve démocratique fait de maisons rouillées, rongées par la misère poisseuse de ses habitants. Ventres vides, crânes pouilleux rasés, vêtements rapiécés, trop pauvres et éloignés des mondes du noyau pour être considérés. Les siens avaient été abandonnés, trompés. Voilà pourquoi elle était revenue, et arrivé au bout de son chemin, se retourna pour se laisser caresser le visage d'un vent d’espoir. Fendant les cieux, les barges de transports SÉPARATISTES atterrissaient de toutes parts, tels des anges apportant du réconfort à leur peuple affamé. RESCAPÉE DE L’ORDRE, elle était à présent apaisée, tandis que d’innombrables droïdes défilaient dans une mélodie de cliquetis. Aujourd’hui, elle venait de libérer sa planète de la tyrannie de son sénateur galactique, gisant au loin, le corps transpercé par sa lame saignante. Pourtant, sa soif de vengeance n'était pas rassasiée. Fort heureusement, car la guerre ne faisait que commencer.
icons by @skaelds
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Après la lettre reçue par Victio de Corvus (cf. post du 8 avril), les Éditions Kelach ont voulu enquêter auprès de l’antagoniste Bellis de Corvus et se sont rendues au manoir de cette noble famille. Notre rencontre avec Bellis ne s’est pas exactement passée comme nous l’espérions…
Bellis : « Bienvenue au manoir des Corvus ! Permettez-moi de me présenter : comtesse Bellis de Corvus, mère de Columba de Corvus. Ma fille nécromancienne est absolument parfaite ! La seule chose que je lui reproche est le pouilleux qu’elle s’est choisi pour mari. Un incapable qui crapahute dans MON manoir avec son corbeau mal élevé ! Beuh ! J’ai beau être désagréable avec lui, il s’accroche. Mon but : qu’il dégage ! Ce que je lui reproche ? Tout.
Vous pouvez m’aider ?
Quoi, comment ça vous passez à travers moi ? Pourquoi dites-vous que je suis un fantôme ? Écoutez-moi bien, tête de pioche : JE NE SUIS PAS UN FANTÔME ! »
Fin de l’entrevue.
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06/03/2024 (bis) Je vais maintenant commenter le film "New-York 1997", j'ai noté à peu près vers quel moment j'ai eu ces réflexions lors du film. A noter que je vois ce film plus de 40 ans après sa sortie donc j'aurais peut-être un jugement super faussé sur ce qu'il s'y passe.
" New-York 1997 ", 1981, réalisé et écrit par John Carpenter
Début du film, mise en contexte
Création d'un lieu distinct de la société: l'île de Manhattan comme prison. Reprise d'un lieu iconique "détruit" pour devenir cette prison. La destruction vient d'une exaçerbation d'une idée de la violence que je pense hors de la morale américaine (notamment de l'époque).
Environ 13 min film
Mise en avant d'un groupuscule rebel et en conscience de cet état policier. Je me demandais à ce moment-là du film si c'était une notion d'espoir pour en sortir mais au final je pense que c'était vraiment juste pour les catégoriser de méchant. Au final, de la même manière qu'il fonctionne, cela dépend de si lae spectateurice est de base pour un état policier ou contre.
Environ 18 min film
Négociation entre un représentant des criminels et un groupe de personnes armées représentant l'état policier. Comme ces derniers sont obligés de s'incliner pour la protection du président, on comprend que les criminels rivalisent avec eux et que l'ordre imposé par l'état est en danger.
Environ 22 min film
Déjà plusieurs mentions faites à l'URSS par le passé du protagoniste, on ressent la guerre froide. Le conflit a une part d'actualité mais il est aussi projeté sur une petite partie de ce qu'il pourrait devenir pour les spectateurices. Le protagoniste (Snake Plissken) semble moralement gris pour lae spectateurice. Il a servi l'Amérique ( mention de Stalingrad), ce qui élève sa valeur mais il a aussi commis des crimes, ce qui la baisse.
Environ 24 min film
On constate qu'il y a un enjeu nucléaire au travers du sauvetage du président (rappelle encore la guerre froide). Snake est piégé pour sauver le président, il va mourir s'il ne le fait pas sous 22h. Cette manière d'orchestrer les éléments m'a évoqué le théâtre: en un lieu (l'île de Manhattan), en un jour (22h), en une action (sauver le président). Je prend souvent le théâtre en exemple car je trouve ces 3 règles très pertinentes pour élaborer des univers solides (surtout avec peu de moyens et de cerveaux pour le faire).
Environ 34 min film
Apparition d'un personnage qui semble de prime abord gai et gentil (prévient le protag d'un danger). Personnage là pour contrebalancer l'atmosphère noire en général. Je pese aussi qu'il est là pour créer une identification avec le spectateur qui ne vit (forcément) pas des événements aussi sombre et qu'il se reconnaisse en une figure. Jep ense aussi que c'était pour éviter de tomber dans le kitsch (pas sûr), mais de ce fait avoir un personnage réellement bon dans l'intrigue me semble essentiel pour laisser des points d'accroches aux spectateurices.
Via la scène dans le théâtre, les criminels/méchants sont globalement pouilleux et stupides et "fous".
Environ 39 min film
Snake est seul pour le moment dans le film et le talkie-walkie est encore son seul lien d'accroche avec une entité (et notamment avec la "bonne société" à cemoment-là).
Environ 41 min film
La scène m'a fait penser à celle d'un film de zombie avec les personnages qui sortent des égoûts et qui sont accroupis voir tordus.
Environ 48 min film
Snake apprend l'existence du "Duc de New-York". L'ennemi de l'intrigue se précise et l'objectif de Snake se réduit pour pouvoir retrouver le président.
Environ 55 min film
Le Duc arrive dans une voiture tunée avec des chandeliers et une boule de disco. Cela m'a donné l'impression d'essayer de le caricaturer comme un mec qui essaye d'être stylé mais finalement il est kitsch (parce que pauvre/criminel). Cela renforce l'idée de l'ennemi en en faisant un "faux-riche" et un "faux-puissant" puisqu'il se "déguise".
Environ 1h08 min film
Humiliation du président par le Duc. Pour lui, le président représente l'autorité "suprême" des USA à sa botte mais le spectateur va encore une fois pouvoir mépriser le Duc sur sa position car il a des informations (que Snake et ces alliés ont aussi d'ailleurs) que lui n'a pas.
Environ 1h13 min film
Après avoir été cool, froid et fort tout le long du film, la scène du ring devient l'occasion pour lae spectateurice de s'identifier à lui car il est enfin affaibli et tout le monde dans l'arène est contre lui (sauf lae spectateurice) qui doit le supporter plus fort que la foule. Je me suis posé la question de si son adversaire sur le ring était une caricature russe (notamment au travers des sourcils et de la barbe qui étaient vraiment très fake)????????
Environ 1h20 min film
Petit moment où j'ai moyennement compris la temporalité parce qu'on voit l'aube du côté des policiers, juste après la nouvelle que le président s'est évadé. Je me disais ok l'aube, le nouveau jour sur l'Amérique, mais juste après dans la scène de tentative de récupérer l'avion il fait de nouveau nu un crime)it noire?
Environ 1h32 min film
Le président tue le Duc (même s'il sauve Snake), au final il ne vaut pas mieux que les criminels (puisque tuer est un crime). Juste avant le Duc et Snake se battent pour une corde pour pouvoir sortir d'entre ces murs, alors même qu'ils étaient les deux plus à mêmes de survivre (car force et pouvoir) dans cette ville de Manhattan. Cela m'a fait penser à une vanité mais peut-être que là encore je fabule?
Finalement Snake est remonté hors des murs et est sauvé de son chantage de mort. J'ai honnêtement pensé jusqu'au bout qu'il allait mourir et qu'ils ne le sauveraient pas. Finalement je suppose qu'ils ne l'ont pas fait pour ne pas rompre la confiance des spectateurs envers la représentation de l'ordre policier?
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Nous nous retrouvons samedi afin de finaliser notres action Noel des pouilleux.
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Mini tournage de film hier, c'était trop trop drôle
1g 2cb
Les minutes paraissent des heuuuures mais tout était tellement beau, et complet et apaisant et euphorisant
On a beaucoup dansé et beaucoup beaucoup rigolé
On a eu des moments de complicité et d'intimité simplement par le regard, on arrivait à se dire tellement de choses sans parler, c'est comme si nos âmes étaient reliées
On a fini la soirée avec Jérôme et Marine (les directeurs de Fred) et c'était vraiment hilarant, Jérôme a tellement tout donné chaque fois qu'il chantait
La "matinée" a été sans fin aussi mais j'aurais aimé qu'elle ne s'arrête jamais
On est si heureux ensemble, on a tellement de chance de s'être trouvés que ça me paraît toujours surréaliste
(ah oui et mdrrrr on est deux pouilleux 😭)
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