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Nora Or - Community manager - Spécialisé dans le brand content !!
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22/04/2024
Aujourd'hui j'ai fini l'écriture du positionnement de mon projet sur la SF. J'ai également avancé sur la réflexion visuelle de mon projet (que je montrerais dans un second post).
Pourquoi je ne suis pas Georges Orwell ?
Le jeu de société que j’élabore a pour thème central la question de la communication lorsque celle-ci est restreinte par les groupes dominants (tel que le gouvernement dans ma fiction). Alors, comment se défendent les groupes opprimés lorsque celle-ci est contrôlée par des forces supérieures de manière systémique ? Comment s’extraire de ces rapports de forces ?
J’ai choisi de le faire au travers de la SF et de sa littérature pour extrapoler des comportements visibles de transformation du langage dans nos sociétés contemporaines. Un exemple de ces pratiques à notre époque actuelle serait le suivant: Sur les réseaux sociaux, les algorithmes reconnaissent des mots (comme par exemple "Suicide") qui vont emmener à la suppression de certains contenus ou aux shadowban de ceux-ci. Si ce système a pour objectif (officiel) de limiter l'apparition de contenus choquants pour les utilisateurices, il limite aussi les contenus dans lesquels des groupes marginalisés pourraient se retrouver, ou bien même des posts de prévention contre ceux-ci. Alors les utilisateurices ont trouvé des moyens de contourner ces systèmes en mélangeant des lettres et des signes pour finir par ressembler au mot original. Donnant ainsi lieu à des termes/visuels comme "$ui6de".
Comme l'illustre cet exemple actuel de nos plateformes numériques; qui nous permettent pourtant de communiquer plus vite qu'il ne l'a jamais été possible. La question de la censure dans les médias est vieille comme le monde, mais c'est parce qu’elle se renouvelle à chaque innovation technologique. J'ai alors voulu extrapoler la censure jusqu'à ce qu'elle puisse se passer à l'intérieur même du corps (bien qu'au travers d'une machine qui le contrôle). Est-ce que même dans cet Etat de contrôle là, nous serions capable de contourner la censure? De penser autrement? J’y fais le pari que oui.
Mon travail a été quelques fois comparé au "Newspeak", ou "Néoparler" créé par Georges Orwell dans son roman 1984. Dans son œuvre, ce concept détermine une volonté de l'Etat Totalitaire d'essentialiser le langage à des substances extrêmement brutes et rigides. Cela passe par la suppression de nombreux mots et variantes pour ne les rapporter qu'à un seul d'entre-eux.
Ex: Les mots "mauvais", "infect", "dégoûtant", "répugnant", "exécrable" ont tous été supprimés pour devenir le mot "inbon".
Le but profond étant d'essentialiser une langue à son sens minimum pour ne devenir que "toute noire ou toute blanche", être pour ou contre, en enlevant toute nuance possible pour stériliser le débat. Le rendre impraticable par la langue, mais même à terme, pour le rendre impensable. Si les mots sont vidés de toutes substances alors on ne peut plus penser certains concepts.
Il est vrai que le roman de Georges Orwell m'a inspiré dans ma démarche et je comprends le rapprochement fait avec le "néoparler", pour autant, je pense que je me situe sur l'axe opposé de son travail. Dans le monde qu'il a créé, la culture, la langue et la connaissance sont des dangers continuellement détruits et/ou réinventés par le régime en fonction de ces besoins et qui doit être oublié/appris/intégré par la population.
Dans le monde que j'ai choisi d'investiguer, ce n'est pas la société qui est essentialisée en tant que tel, car tout ce qui existe, ou a existé n'est pas nié. Ce sont les individus qui sont profondément essentialisé·es au strict minimum. On leur donne un rôle, doté d'une fonction qu'iels devront éternellement satisfaire. Il s'agit là plutôt d'une critique d'une reproduction des classes sociales (à la manière de Bourdieu), puisqu'en fonction des connaissances attribuées à chaque individus, iels n'auront jamais accès au même capital socio-culturel.
Ex: Un individu qui aura les connaissances "Couture" et "Cuisine", ne pourra jamais accéder à la place qu'occupe un individu ayant "Histoire de l'art futuriste" et "Aéronautique" (et inversement).
Jusque-là c'est somme toute classique, pourtant la deuxième chose qui va me différencier de Georges Orwell c'est que je vais laisser ma dystopie devenir "vivante", car je vais la laisser se parler et "se faire". Je parle ici du système de langage dans lequel vont se trouver les joueureuses. Iels vont devoir échanger des messages codés, à cause de la technologie du Mnêmokratus, pour faire parvenir les réels messages recherchés (dans le langage que nous connaissons).
Ex: Avec la connaissance "Cuisine", si l'on recherche le mot "Président", l'on pourrait dire "Le chef des commis".
Ce système est une volonté de ma part pour mettre en lumière le procédé suivant: même avec des accès restreints (volontairement par l'Etat), les communautés (souvent opprimées) trouvent toujours un moyen d'exprimer leurs opinions en sublimant la substance des mots/des signes/des images. C'est en fait le chemin inverse que je fais par rapport à Orwell puisque chez moi c'est la répartition de la culture qui est essentialisée mais qui se voit sublimer et extraite jusqu'à la moelle, tandis que chez lui c'est la diversité de la langue pratiquée par tous·tes qui se voit essentialiser au rôle d'outil (de domination).
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Découvrez comment trouver le bon positionnement de votre produit. Je partage avec vous les 5 étapes clés à suivre pas à pas.
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LE POSITIONNEMENT EST L’AFFIRMATION DE SOI
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Nous sommes dans une phase énergétique où chacun doit se positionner, s’affirmer en s’appuyant sur son authenticité. Les énergies actuelles sont sans appel, elles remettent à leur place tous ceux qui hésitent, marquent le pas, pleurnichent sans arrêt sur le sort du monde, se plaignent que ça ne va pas assez vite, tous ceux…
#Celle du Nouveau Monde et celle de l’ancien monde.#Cette réalité qui nous entoure est une pièce à deux faces.#chacun doit se positionner#L��individu ne peut pas faire le grand écart entre deux mondes.
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les crypto-monnaies et les investissements seront remplacés par un stockage de valeurs la règle de la pyramide financière doit être éliminée de la circulation économique et financière le marchand honnête est de nature esthétique et morale, mais il est surtout rationnel et de long terme
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saga: Soumission & Domination 354
WE à la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et Côme. Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un câlin soft et la chambre d'à côté aussi vu l'avertissement de la veille.
Dès que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mètres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre présence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes là. La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou même gênés.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent même à laisser échapper des gémissements de plaisir sur le coté des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bâton de plaisir de leur pote bien profondément dans leurs gorges.
Je suis le premier à enfoncer ma bite là où j'avais la langue. Enkpoté contrairement à mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se désaccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frère est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lèvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'être à nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associées. J'adore limer sa rondelle, peut être que l'effet " famille " amène une dimension excitante supplémentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frère. S'il a déjà fait l'amour à son grand frère (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à côté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses côtés pour le démarrage.
Ça beau être son petit frère, il n'a pas débandé pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'à une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse même la délicatesse à positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. Là, c'est ce dernier qui d'un recul franc et décidé, s'empale sur les 19 cm fraternels.
Après ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frères s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les même. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste à nos côtés. Le cul de Max est délicieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excité. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frère. C'est plutôt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous décollons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, à côté, ils restent collés jusqu'au bout. Enguerrand éponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collés. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte à sa bouche et roule un patin à son frère qui n'est toujours pas sorti de son cul.
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accélère le tempo. Passage sous les douches, groupés, même si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons à être habillés et le coeur à 60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous étions tous ses fils. Elle n'hésite pas à reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au même titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH à se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus réservé et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends même à regarder souvent son ainé. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois même une tendresse particulière.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a été le plus radical. D'écorché vif à ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiègle, content de vivre qu'il devait être auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne règne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typées " homo " nous échappent, vêtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, après la surprise des premières sorties. D'autant plus que mes cadeaux de Noël et du nouvel an ne sont pas forcément du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplémentaire pour Enguerrand non prévu à l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a été trop content que je ne fasse pas de différence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutôt, au maximum, une chevalière armoriée ! C'est sûr que ma boucle d'oreille, même si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, détonne, mais je suis accepté et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le café dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'étale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour métaboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la même occasion. Enguerrand cours vite à la maison chercher de quoi protéger nos peaux et après une séance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes réveillés par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, même son ainé qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver très beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et père. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thé avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte à sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur résume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand à l'air de se confirmer. Ces trois-là sont resté collés pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mérite d'être heureux après son année pourrie chez son confrère. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprès de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, après tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son âge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mère, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec était canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup échangé avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'être volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en début d'après-midi chez Emma. Cette dernière ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma présence. On travaille quand même deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thé ! Nathan ne fait pas attention à moi, accaparé par le travail que Pablo lui a donné à faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas à un " bonjour Sasha " mais plutôt à " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thé. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intérêt d'être bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fête ".
La réponse de cet impertinent : " arrête, ça me donnerait peut être envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose à faire qu'à bavarder.
PH arrive avec Ludovic à ce moment-là. Thé puis une petite tête dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tâches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invités devront se débrouiller avec nos têtes différentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur côté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrée est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espèce de pâté en croute à base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai régal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosé à coeur. Le reste du repas est du même niveau. Les discutions portent sur l'actualité et l'économie.
Ma voisine de gauche me demande où j'ai acheté une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place Vendôme elle comprend mais elle ne peut s'empêcher de me demander ce qu'en a pensé ma mère. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrètement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrête et me dit qu'il fera ça demain. Kev le félicite pour son entrée. Comme ils disent dans les émissions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients très chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutôt qu'un simple râpé.
On laisse donc la cuisine rangée et prenant tout le monde à témoin je propose un petit bain de minuit passé. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vêtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons même pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjugué par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifié. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeuré par l'idée.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégâts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisième oscille entre sa bouche et ses tétons.
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille à la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'étouffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'étrangle, je sens ma rondelle lubrifiée par la langue de PH. Je me détends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai préféré cette position où c'est moi qui maitrise la pénétration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses. Ludovic me roule un patin et PH fait de même avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'étais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont écarté ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " étalon " avant de le passer à PH. A ce moment-là je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chaviré par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens à la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je décolle mes lèvres des siennes pour lui demander s'il était prêt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je préviens Pablo et nous procédons à la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive après avoir changé de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment où Pablo entame la pénétration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgré cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'à ce que Pablo soit totalement entré. Après il apprécie. Je reste à sa tête pour vérifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'à ce que je sois assis devant lui. Là, il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais déjà testé mais ça me confirme ses capacités et son intérêt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux côtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
it's all about sharing Christmas
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2024 – 604
1/30
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format A6
collée sur support bristol
format A5
--- erreur dans le positionnement du timbre
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Petit message pour les Français… vous êtes probablement syndiqués du coup ce serai cool d’éviter la CFDT et si vous y êtes déjà faites leur part de votre mécontentement.
Suite à l’assassinat par “Israël” des 3 agents Palestiniens qui travaillaient pour le Quai d’Orsay, le Ministère des affaires étrangères refusent de leur rendre hommage. Les syndicats ont décidé de prendre les choses en main et d’organiser un hommage malgré tout le 27 février. Tout les syndicats soutiennent la démarche SAUF la CFDT.
Parce que bon des syndicats qui refusent de se positionner contre un genocide y’en a beaucoup trop et c’est clairement pas eux qui vont nous aider quand on sera dans la galère alors financez les bons syndicats.
Edit: En syndicat qui est assez important pour avoir du poids et qui a des bonnes bases concernant la Palestine (même si c’est pas parfait) y’a Solidaires.
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Comme nous l'évoquions ce mercredi, de nouveaux opérateurs de recherche avancée sont à présent disponibles sur toutes les plateformes. Un petit pas pour l'Homme, un grand pas pour la recherche de billets !
Il est maintenant possible de désactiver le compteur de billets non lus d'une communauté en utilisant le menu ●●● situé dans le coin supérieur droit de cette dernière via l'option "Annuler notif.".
Un nouveau réglage permet aux administrateurs d'autoriser les modérateurs à inviter de nouveaux membres dans une communauté.
Sur le Web, la fonctionnalité intégrant les communautés aux recherches est désormais accessible à tous. Ainsi, une nouvelle option dans le menu déroulant des résultats d'une recherche permet d'étendre cette dernière aux communautés en lien avec le(s) terme(s) recherché(s), et cette option sera prochainement disponible dans l'application. Enfin, une zone “Communautés apparentées” est également proposée sur le côté de la page sur le Web.
Les utilisateurs ayant d'ores et déjà rejoint des communautés se voient recommander de nouvelles communautés dans davantage de sections, notamment via un nouveau carrousel du flux "Pour vous".
De la même manière que jouer avec le continuum espace-temps pourrait provoquer un paradoxe temporel, antidater des billets comporte toujours quelques risques que nous vous détaillons dans cet article.
🛠️ Correctifs
La version 36.4 de l'application iOS corrige le bug qui faisait que certaines pubs pouvaient interrompre les pistes audio lues en arrière-plan.
Après avoir rédigé une longue réponse sur le Web (et en de plus rares occasions sur le Web mobile ou sur Android), le curseur ne se positionne plus de façon abrupte et inattendue dans la zone suivante.
Le 18 septembre dernier, des e-mails de vérification concernant les domaines personnalisés n'ont pas pu être envoyés durant une courte période du temps. Le problème a été rapidement corrigé et les e-mails en attente ont bien été envoyés. Plus de peur que de mal.
🚧 En cours
Pas d'incident en cours à signaler cette semaine.
🌱 Prochainement
R.A.S. non plus de ce côté-ci cette semaine.
Vous rencontrez un problème ? Consultez les problèmes connus ou écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible.
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté (en anglais).
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LES PUTAINS DE PLs DU FORUM
Sur le forum, il n'y a pas une tonne de lore. À la place, on a préféré travailler sur des PLs. Il y en a 5 et ils sont tous liés ; ça permet de voir tous les personnages communiquer entre eux et d'éviter des effets de groupe. Certains de ses PLs sont des organisations avec des rôles sans maximum, les autres sont fermés à un nombre de personnages précis. À chaque MàJ (ou si l'on voit qu'un PL se fait prendre d'assaut), on rajoutera un ou deux personnages par PL !! Les PLs, c'est une technique simple pour avoir des liens dès le début. Alors, on s'est dit que c'était important d'y accorder un peu plus de notre temps.
SOMMAIRE : Plutôt que de faire un post indigeste, on va faire un post par PL. Voici leur résumé, l'horaire où ils seront postés et, quand ils le seront, t'auras juste à cliquer sur le liens ! ▸ Le Refuge de Bescel ▸ Les Mini-Justiciers ▸ Les Zarbi·es ▸ Les Misérables ▸ A-BISSE
LE REFUGE DE BESCEL
Orphelinat pour gamin·es altéré·es — (2/3 libres + rôles sans max) La bâtisse s'étend à la surface, dans le 14è, niche ses petits dans les profondeurs des catacombes. Elle les enterre, en sécurité, pour qu'aucun monstre ne puisse les manger. Mais la maison ne serait qu'un squelette en ruines sans les âmes à l'intérieur. POSTÉ ICI
LES MINI-JUSTICIERS
Groupes d'influenceur·ceuse·s altéré·es — (6/6 libres) Iels ont repris le nom de ce dessin-animé de quand on était mioche. Parce qu'iels voulaient faire de leur "vilain défaut" une force. C'est des personnalité du Net qu'on pas peur de s'afficher altéré·e aux yeux de tous. POSTÉ ICI
LES ZARBI·ES
Association de défense des droits altérés — (2/3 libres + rôles sans max) On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon. POSTÉ ICI
LES MISÉRABLES
Groupe d'anarchistes révolutionnaires — (3/6 libres) Milice armée, groupe terroriste, une réponse à la baffe de trop : chacun à son idée sur la question. Iels vivent dans les catacombes, dans un ancien théâtre. Iels sortent la nuit : défendent les altéré·es et retrouvent les disparu·es. Eh, pense pas que ce soit un groupe de super-héros, c'est surtout un ensemble de névroses. POSTÉ ICI
A-BISSE
Corps altéré·e de la gendarmerie. TW — oppression policière, toxicophobie. — (5/6 libres) Les gosses paumés, ça se retrouve toujours dans des coins sombres. Parce qu'on a tous peur du noir, mais on a chacun notre façon de fuir : il y a les Misérables et l'A-BISSE qui s'battent pour la lumière. Positionner dans une idée de médiation, ça a vite dérapé sur du contrôle et de la surveillance. L'érythryle en bouc émissaire, ils font passer beaucoup de lois liberticides "pour notre bien". DISCLAIMER : Le PL n'a pas pour but de glorifier ou d'embellir les FDO. Au contraire, on rappelle qu'il s'agit d'un corps étatique qui oppresse, contrôle et tue. Si le PL vous intéresse, n'oubliez pas de vous renseigner sur cela ! POSTÉ ICI
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
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Du plaisir d'écrire
Et si on se rappelait que le but d'un RPG c'est le plaisir d'écrire ? Pas d'être productif, proactif, suractif, mais de prendre du plaisir, de ressentir la passion, le bonheur, ou juste l'excitation de se mettre derrière son clavier pour frapper les touches aussi vite que possible pour lâcher les idées que l'on a en tête.
J'ai commencé à écrire sur des forums RPG avant les règles qui encadrent l'activité des membres : nombre de ligne, nombre de réponse par mois, choix du pronom d'écriture, points d'activité, nombre de MC autorisé... et je comprends pourquoi ces règles ont été mises en place, parce que j'ai été confrontée à des partenaires qui ne relançaient pas dans ses réponses. J'ai attendu la réponse à un rp pendant 18 mois d'un membre qui se connectait tous les jours. J'ai vu des membres créer des MC sans écrire. J'ai aussi créé des MC sans dire que c'était moi derrière chacun. J'ai vu apparaitre le "tu" comme pronom de réponse.
J'ai aussi connu des animations qui mettaient au défis les joueurs de faire des réponses en alexandrins, en rimes, en utilisant l'argot, en citant des chansons, en utilisant des mots désuets, en écrivant plus de 1000 - 2000 ou 3000 mots... Et je me demande aujourd'hui si l'écriture est encore au centre des forums rpg ?
Je me vois, moi, me demander plus facilement si je vais pouvoir m'intégrer dans un groupe plutôt que de savoir si je vais pouvoir écrire des rps différents. J'angoisse à l'idée de venir sur un forum rpg où je ne connais personne, alors qu'auparavant je m'inscrivais pour la seule appréciation du contexte et de l'univers. J'ai peur de ne pas pouvoir me faire aux règles, aux autres joueurs, aux relations humaines, de dire un mot de travers, de mal me faire comprendre ou d'écrire un personnage qui n'intéressera personne.
Et le plaisir d'écrire - dans tout cela - je ne sais plus où le positionner. Je prends plaisir à écrire, mais je me rends compte qu'aujourd'hui, j'ai besoin de prendre plaisir à partager.
Et vous, est-ce que vous prenez toujours plaisir à écrire ? à dépasser vos limites, à sortir de votre zone de confort en tant qu'écrivain (même amateur), à vous essayer à de nouveau style, à interpréter des personnages qui vous sont diamétralement opposés juste pour écrire différemment ?
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
#upthebaguette#article copié en entier car réservé aux abonnés#(je tiens à préciser que je suis pas abonné.e à mille trucs j'ai accès à ces articles via ma fac)#french#en français#emmanuel macron#french side of tumblr#bee tries to talk#france#histoire
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À chaque instant, n'oubliez pas de lui rappeler qui est aux commandes
Les femmes qui dominent: Une dynamique de pouvoir et de sanction
Depuis des siècles, les relations de pouvoir ont évolué, oscillant entre des dominations variées. Longtemps, les femmes ont été sous-représentées, voire marginalisées, dans de nombreux aspects de la société. Mais, dans certains milieux et contextes, le vent a changé de direction. Des femmes audacieuses ont pris le contrôle, rappelant à chaque instant aux hommes qui est vraiment aux commandes.
Chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé par ces femmes est un rappel constant de leur position dominante. Et dans cette dynamique, le pouvoir de sanction devient également apparent. Elles n'hésitent pas à punir, à rectifier, à redéfinir les limites lorsque celles-ci sont transgressées. Ces sanctions peuvent être subtiles ou explicites, mais elles servent toujours à réaffirmer leur position de force.
Ces femmes ne cherchent pas nécessairement à écraser ou à diminuer les hommes, mais plutôt à définir clairement les règles du jeu. Leur autorité ne s'exprime pas uniquement à travers des récompenses, mais aussi à travers des corrections lorsque la situation l'exige.
L'image traditionnelle de la femme douce et soumise est bouleversée par ces femmes puissantes qui ne demandent la permission à personne. Elles sont des dirigeantes, des innovatrices, des meneuses. Dans le monde des affaires, des arts, de la politique, et même dans la vie quotidienne, elles se positionnent comme des leaders, non pas parce qu’elles veulent prouver quelque chose, mais parce qu'elles le méritent.
Et le plus fascinant dans cette dynamique, c'est l'adaptabilité des hommes qui entrent dans leur orbite. Nombre d'entre eux reconnaissent et respectent cette autorité, acceptant même les sanctions comme un moyen d'apprentissage et de croissance. Ils comprennent que suivre une femme puissante ne diminue en rien leur propre valeur. Au contraire, cela peut être une source d'enrichissement personnel et professionnel.
Cela dit, tout comme il est essentiel de célébrer ces femmes fortes, il est tout aussi crucial de reconnaître que chaque individu, homme ou femme, a sa propre force et sa propre dynamique. La vraie puissance réside dans l'équilibre, l'harmonie et la compréhension mutuelle.
Les femmes dominantes, avec leur assurance, leur détermination, et leur capacité à punir, ne sont pas une menace, mais plutôt un symbole du progrès de la société vers une égalité des genres. À chaque moment, elles rappellent aux hommes leur place, non pas par arrogance, mais par le désir d'une collaboration harmonieuse où chaque individu connaît sa valeur.
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saga: Soumission & Domination 337
Enguerrand et Max-2
Le vendredi, j'ai pris mon après-midi, un peu nerveux quand même. Ok c'est un homo mais c'est aussi un policier. PH rit que ça ne m'inquiète que maintenant.
Max et Enguerrand sont venus directement de leurs lycées. Enguerrand me dit que son histoire s'est rependue dans son lycée. L'état des mecs qui les avaient agressés aussi ce qui fait que son coming-out involontaire a moins été pris en compte que le fait qu'il ait cassé la gueule à 4 cons.
Je les envois se laver avant l'arrivée de notre invité. Ils ont beau être arrivés une bonne heure avant lui, ce n'est que quand il sonne au porche que nous voyons réapparaitre leurs deux têtes !!
Je descends le chercher. Il est surpris de l'aménagement de l'entrepôt. Je le vois mater les voitures et motos qui encombrent le garage alors que je le pousse vers le monte-charge. Il trouve intéressant que nous ayons gardé ce moyen d'élévation. Il mate au travers de la porte moitié bois moitié verre chaque étage. Quand nous arrivons au 4ème, il me dit que j'avais réussi à utiliser tous les niveaux. Je cite : bureau de ma société, salle de sport, espace nuit et espace de vie plus au-dessus la terrasse. Je le débarrasse de son blouson et Enguerrand s'avance pour le saluer. Il salut Ludovic et Max avant que je lui présente PH. Je remarque que là aussi, il note tout d'un seul regard. Sa tête a fait un 360° et s'est figée quelques dixièmes de seconde sur la cuisine. Je suis sûr que c'est plus sur les deux torses nus qui dépassent du plan de travail que pour la piscine qui la surplombe.
Il nous donne des infos sur l'avancée de notre dossier. Puis on passe aux conseils pour lesquels nous l'avons fait venir (entre autre...). Je lui propose de mettre en pratique et nous descendons tous au second.
Il est impressionné par l'installation de muscu qui entoure le tatami central. Les deux petits se mettent en tenue c'est-à-dire avec seulement leurs petits shorts moulants sur les fesses. Notre invité est surpris et son paquet enfle nettement. Les deux trublions se positionnent l'un en face de l'autre et lui font une petite démonstration de leurs connaissances dans l'art de mettre à bas un agresseur. Dans un premier temps c'est Max qui fait le méchant puis c'est le tour d'Enguerrand. Max a plus de mal à se débarrasser d'Enguerrand que l'inverse. Flic s'en rend bien compte et me demande si Enguerrand ne ferait pas de la boxe française. Je confirme son intuition. Il se rapproche des deux protagonistes et leur explique comment dévier les chocs à la tête.
Malins, ils l'obligent à leur démontrer les gestes. Il est vite engoncé par ses jeans et son polo. Je lui propose un short. Il veut bien s'il lui colle moins qu'à ces deux " petites frappes ". C'est dit avec un ton affectueux qui enlève le côté insultant.
Je lui sors ceux que mes deux gamins avaient refusés et les lui tends. Il regarde à droite et à gauche pour se trouver un coin pour se changer mais ne voit que les bancs avec patères qui sont dans l'entrée. Il retire ses vêtements et en slip (Dim sport bien rempli) enfile le premier short. C'était un de ceux que j'avais voulu imposer aux deux gamins et à lui, ça moule bien. Comme il va pour essayer l'autre je lui dis que ce n'est pas la peine, il est de la même taille. Je le sens un peu gêné mais il s'avance pour lutter avec eux. Je profite qu'il commence à se frotter aux petits jeunes pour dire à Ludovic et PH que ce serait dommage de ne pas profiter nous aussi de ses conseils. Il ne nous remarque que quand nous les rejoignons en jocks.
Ça l'arrête et il me demande si c'est un piège. Je fais l'innocent (et ça je le fais très bien) et l'assure que non, c'est juste notre tenue pour faire du sport. Il essaye de me croire et nous passons une bonne heure à intégrer les évitements qui nous laisseront le minimum de marque nécessaire à justifier le cassage de gueule de l'adversaire.
Sa gêne réapparait quand je pousse tout le monde sous les douches. Mais le peu de cas (forcé) que nous faisons de sa mise à poil le rassure et nous nous douchons dans une bonne ambiance. Je note quand même en passant qu'il dispose d'un bel outillage. Il ne semble pas très poilu à moins qu'il ne s'épile le torse lui aussi. Ses couilles sont rasées mais la touffe est broussailleuse. Séchages individuels sauf pour nos deux belligérants qui se sèchent mutuellement.
Sans faire de cas, je lui tends un trunk ADDICTED pour remplacer son slip DIM trempé de sueur. Il accepte tout en me disant qu'il me le rendrait propre. La poche met en avant son paquet d'un plus bel effet. On se rhabille, ses jeans font plus " remplis ". On monte diner.
Il est maintenant complètement détendu avec nous. Il commence, je pense, à bien cerner les liens affectifs qui nous unissent tous. Nous faisons avec lui comme avec un ami homo déclaré. C'est-à-dire que nous n'en parlons pas mais que nous n'écartons aucuns sujets ou gestes qui nous sont propres. L'apéritif le surprend non par les alcools proposés mais par mes hommes de service.
Il prend le parti d'en rire et nous dit que c'est vraiment une drôle de maison que nous formons.
Nous passons une bonne soirée. Nous apprenons qu'il n'a que 28ans. Le vin aidant, sans que nous soyons souls pour autant, il se détend vraiment jusqu'à nous avouer au détour d'une conversation que ce n'est pas toujours évident de rencontrer des mecs vu sa situation. Si ce n'est pas interdit dans la maison poulagas, ça reste encore difficile à dire sans que cela n'amène quand même des réflexions et de la gêne.
Max saute alors sur ses genoux, lui roule un patin qu'il n'a pas le temps d'esquiver et lui dit qu'avec Enguerrand et lui-même, il dispose de deux petits copains discrets, mais très très chauds. Il enfonce le coin en ajoutant qu'il va leur falloir encore quelques cours d'évitements afin de bien les intégrer à leurs techniques de combat.
Il est scié et ne se dégage même pas de Max. Il arrive juste à dire que ce n'est pas possible tout en posant ses mains sur la taille de Max. Enguerrand en rajoute en avançant que même s'ils lui sont redevables de bien plus, il est sûr qu'ils prendront tous du plaisir.
Flic me regarde, cherchant de l'aide de mon côté. Je hausse les épaules dans un geste d'impuissance et appuis en ajoutant que ce n'est plus des enfants que l'on peut dresser mais des jeunes adultes qui maîtrisent leurs vies. Ludovic qui est pris à parti en tant que frère d'un des deux petits tentateurs lui dit la même chose.
Il est évident que la situation le fait bander à mort ! Je le sens prêt à nous quitter de peur de céder à la tentation. Mon petit " beau-frère " me fait signe qu'il veut que nous gardions Flic pour la nuit au moins. Je lui fais comprendre de se débrouiller par eux même. J'aide juste en offrant un Jet 27 sur glaçon après le café.
Il finit par nous dire au revoir et je laisse ses deux " élèves " le reconduire à la porte.
Nous allons nous coucher sans attendre leur retour.
C'est donc très surpris qu'au petit déjeuner, nous voyons apparaitre Flic avec nos deux impertinents pour prendre un café. Il est gêné mais, poussé par Enguerrand et Max, il nous rejoint dans la cuisine.
Je lui souhaite la bienvenue et lui dit que s'il porte plainte pour viol, il aura du mal à convaincre un juge vu ses capacités à maitriser les contrevenants. Ludovic qui voit plutôt l'autre facette, lui garanti que ce n'est pas par nous qu'il sera embêté.
Il arrive quand même à avaler un café. Les deux gamins sont eux tout contents du coup qu'ils lui ont fait. Max ne peut s'empêcher de nous dire que la nuit avait été grandiose.
Comme je sens Flic gêné, je l'affranchis que nous somme rarement pudiques entre nous et qu'un mec arrive à satisfaire ces deux petites " salopes " ne peux être qu'élogieux pour le mec en question. Nous sommes passés avant lui et connaissons l'exigence de ces corps en fin de croissance !
C'est à ce moment-là, je crois, qu'il a décidé de laisser vivre. PH l'a encore une fois assuré que tout ce qui se passait ici n'était jamais arrivé dès qu'on passait la porte sur la rue.
Du coup il accepte des oeufs brouillés, du bacon et des pommes de terre sautées, base de nos petits déjeuners de fin de semaine. Nous échangeons nos cartes de visites avant qu'il ne parte avec la promesse de nous revoir.
Je conduis Max et Enguerrand à la propriété.
Quand je rentre je m'arrête à mon bureau. A cet étage, dès qu'une porte de chambre s'ouvre, les caméras enregistrent tant qu'il y a du mouvement. Le fichier est lourd, signe qu'ils ne se sont pas endormis tôt ou plutôt si mais très tôt ce matin.
Je passe en vitesse rapide et ralenti de temps à autre. Il assure notre Flic. Sans débander il a réussi à mettre sur les genoux mes deux protégés. Max a eu un peu de mal avec son ecchymose sur les côtes. Plusieurs fois je l'ai vu grimacer. Par contre ils sont très complices tous les deux. Je crois bien que Max a appris d'Enguerrand si je comprends bien ce que la vidéo me montre. Ils se complètent et en duo ils ont l'air bougrement efficace. Si après un tel traitement, flic n'est pas accros à nos deux trublions alors je ne comprends pas. Même un hétéro se serait fait plaisir avec eux.
Je crois bien que c'est la première fois que deux mecs arrivaient à l'avaler entier au cours de la même baise. Il a adoré enculer en alternance les deux culs. Je le vois tester plusieurs positions : Enguerrand dans les bras de Max, Max sur le dos d'Enguerrand ou les deux culs positionnés côte à côte les deux petits mecs en levrette collés de l'épaule au bassin. A chaque fois, Flic plongeait dans un cul puis dans l'autre. Pour finalement retirer sa kpote et arroser de jus les deux dos accolés. Puis je vois les regarder se finir en 69. On voit nettement quand ils se " nourrissent " respectivement. D'après le temps qu'ils mettent à se téter, la production est bonne. Si Enguerrand est comme ses deux frères, il " donne " au-dessus de la moyenne.
Flic nous recontacte le soir même. Je l'invite à passer. Ça sonne aussitôt. Il avait appelé de sa voiture devant notre porte.
Il monte nous rejoindre. Il semble embêté par son aventure de la veille. Il me demande où sont les jeunes et si ils vont bien.
J'éclate de rire. Il s'en fait pour ces deux petites salopes qui ont pris un pied d'enfer à se faire défoncer à tour de rôle. Je le rassure, ils ne sont en aucun cas traumatisés par leur nuit passée avec lui. Ça l'inquiétait car pendant un moment ils avaient réussi à lui faire oublier que ce n'était pas des mecs de son âge comme à son habitude. Du coup il avait été fort dans la baise.
Je fais attention à ne pas me couper avec ce que j'ai vu sur l'enregistrement. Ludovic lui dit que c'était leurs désirs à eux aussi. Vu comme ils étaient content ce matin même et d'après ce qu'ils nous avaient confié, lui (Flic) avait assuré et qu'ils avaient trop aimé cela. Ils espéraient même pouvoir recommencer.
Flic nous dit que c'était une première pour lui. En général il trouvait des partenaires dans ses âges et plutôt sur internet pour ne pas tomber sur des mecs du coin. Cette contrainte plus celles dues à son travail, faisait qu'il ne baisait pas tous les jours. Ça, plus leurs corps très excitants, il n'avait pu se retenir avec eux.
Je lui prends l'épaule et je lui dis que s'il le veut, il dispose maintenant de deux petits mecs affamés de sa bite. J'ajoute que s'il a peur de les ramener chez lui, il y a toujours une chambre de libre au premier pour abriter leurs ébats.
PH lui dit qu'il faudra quand même leur laisser le temps de travailler leurs cours !
Flic s'offusque qu'il n'était pas question qu'ils loupent leur année à cause de lui. On est sur la même longueur d'onde.
Ludovic le sent quand même encore en retenue. Il appelle son frère et lui dit que Flic est avec nous. La réaction est directe " il est à nous celui-là ". Max ponctue d'un " pas touche les obsédés " quand Enguerrand lui dit avec qui nous sommes.
Comme il a mis le haut-parleur, Adam, notre " Flic " entend tout comme nous les réactions de ses deux compagnons de jeux.
Il est d'accord avec eux mais les met dans le même sac que nous. Surtout quand je lui dis que le jour où la viande fraîche le sature, on est prêt à prendre la relève.
J'ajoute : t'en a pas déjà assez par hasard ?
Il rit et nous dit qu'il peut attendre quelques jours de les revoir. Le téléphone de Ludovic est encore en ligne avec celui de son frère. Nous entendons en sortir un " vous pouvez venir nous chercher demain soir pas trop tard qu'on passe au blockhaus avant de rentrer chez Max ? " suivit de " au fait t'es libre demain soir Adam ? ".
Je gueule que j'espère qu'ils ont fait leur devoir sinon ça va chauffer pour leurs fesses. Réponse impertinente de Max, " on préfère se les faire chauffer par la police". Je capitule et, d'un coup de menton, signifie à Flic de nous donner sa réponse.
Il se tortille un peu sur le canapé mais se laisse tenter. Max nous supplie alors de venir les chercher vers 16h qu'ils aient quand même un peu de temps avant de regagner leur chez lui.
Samir arrive avec l'apéritif. C'est vrai que c'est l'heure. Nous causons un peu. Nous apprenons qu'il vient du 93. Muté il y a presque un an, il avait passé plus de temps à accumuler les permanences que de WE de liberté. Mais ça le changeait agréablement des racailles du 9.3. Par contre ça ne facilitait pas les rencontres.
On parle études supérieures et sport. Il nous demande qui nous a formés en self-défense. PH lui dit qu'il a été le premier à enseigner le karaté puis que nous avions rencontré un pratiquant de Krav Maga. Depuis nous avions mâtiné nos pratiques de techniques militaires US, de boxe Française avec Ludovic et dernièrement nous avions intégré à notre petit club un pro de Capoeira.
Il comprend mieux notre niveau. Ce qui le surprend c'est ma référence aux techniques américaines. Sans dévoiler comment je lui explique que nous avons deux amis qui ont eu l'honneur de faire un stage auprès d'eux l'été dernier. Ils nous avaient enseigné un peu de ce qu'ils avaient appris.
Il me demande si ce serait trop demander que de les rencontrer. J'hésite. C'est quand même un flic et s'il vient à nos séances d'entrainement, il ne mettra pas longtemps à découvrir le pot au rose. Il y aura bien un de mes escorts pour manger le morceau sans le vouloir. D'un autre côté, il s'est un peu compromis avec Enguerrand et Max et s'apprête à le refaire demain soir. Ça plaide pour lui !
Après 5 minutes de réflexion, je lui dis de passer le mardi soir suivant. Mes deux mecs me regardent comme si j'étais fou.
Je préviens Flic que si tout ce qui se passait ici était top-secret à l'extérieur, ce serait pareil pour tout ce qu'il y verrait et entendrait. C'était la seule et unique condition à respecter de sa part et de notre côté nous la respecterons aussi.
A son tour de réfléchir. Il se doute bien qu'il risque de flirter avec l'illégalité mais je crois qu'il est trop intrigué pour refuser. Ça plus les deux culs de nos " petits frères ".
Il reste diner avec nous, personne ne l'attendait dans son appartement vide. Je prends quand même le temps de textoter à DGSE pour demander le dossier complet du type.
Jardinier
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