#porc-hache
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Boulettes de porc au sésame
https://ici.radio-canada.ca/mordu/recettes/9276/boulettes-porc-sesame-salade-concombre
C’est la sauce qui les rend au sésame, parce que sans ça elles sont très fades.
Résister à l’envie de mettre des graines de sésame dedans, ça leur donne un chew bizarre.
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Littérature mon Amour
“Les mondes, dans la nuit que vous nommez l’azur, Par les brèches que fait la mort blême à leur mur, Se jettent en fuyant l’un à l’autre des âmes. Dans votre globe où sont tant de geôles infâmes, Vous avez de méchants de tous les univers, Condamnés qui, venus des cieux les plus divers, Rêvent dans vos rochers, ou dans vos arbres ploient ; Tellement stupéfaits de ce monde qu’ils voient, Qu’eussent-ils la parole, ils ne pourraient parler. On en sent quelques-uns frissonner et trembler. De là les songes vains du bronze et de l’augure. Donc, représente-toi cette sombre figure : Ce gouffre, c’est l’égout du mal universel. Ici vient aboutir de tous les points du ciel La chute des punis, ténébreuse traînée. Dans cette profondeur, morne, âpre, infortunée, De chaque globe il tombe un flot vertigineux D’âmes, d’esprits malsains et d’être vénéneux, Flot que l’éternité voit sans fin se répandre. Chaque étoile au front d’or qui brille, laisse pendre Sa chevelure d’ombre en ce puits effrayant. Ame immortelle, vois, et frémis en voyant : Voilà le précipice exécrable où tu sombres. * Oh ! qui que vous soyez, qui passez dans ces ombres, Versez votre pitié sur ces douleurs sans fond ! Dans ce gouffre, où l’abîme en l’abîme se fond, Se tordent les forfaits, transformés en supplices, L’effroi, le deuil, le mal, les ténèbres complices, Les pleurs sous la toison, le soupir expiré Dans la fleur, et le cri dans la pierre muré ! Oh ! qui que vous soyez, pleurez sur ces misères ! Pour Dieu seul, qui sait tout, elles sont nécessaires ; Mais vous pouvez pleurer sur l’énorme cachot Sans déranger le sombre équilibre d’en haut ! Hélas ! hélas ! hélas ! tout est vivant ! tout pense ! La mémoire est la peine, étant la récompense. Oh ! comme ici l’on souffre et comme on se souvient ! Torture de l’esprit que la matière tient ! La brute et le granit, quel chevalet pour l’âme ! Ce mulet fut sultan, ce cloporte était femme. L’arbre est un exilé, la roche est un proscrit. Est-ce que, quelque part, par hasard, quelqu’un rit Quand ces réalités sont là, remplissant l’ombre ? La ruine, la mort, l’ossement, le décombre, Sont vivants. Un remords songe dans un débris. Pour l’œil profond qui voit, les antres sont des cris. Hélas ! le cygne est noir, le lys songe à ses crimes ; La perle est nuit ; la neige est la fange des cimes ; Le même gouffre, horrible et fauve, et sans abri, S’ouvre dans la chouette et dans le colibri ; La mouche, âme, s’envole et se brûle à la flamme ; Et la flamme, esprit, brûle avec angoisse une âme ; L’horreur fait frissonner les plumes de l’oiseau ; Tout est douleur. Les fleurs souffrent sous le ciseau Et se ferment ainsi que des paupière closes : Toutes les femmes sont teintes du sang des roses ; La vierge au bal, qui danse, ange aux fraîches couleurs, Et qui porte en sa main une touffe de fleurs, Respire en soupirant un bouquet d’agonies. Pleurez sur les laideurs et les ignominies, Pleurez sur l’araignée immonde, sur le ver, Sur la limace au dos mouillé comme l’hiver, Sur le vil puceron qu’on voit aux feuilles pendre, Sur le crabe hideux, sur l’affreux scolopendre, Sur l’effrayant crapaud, pauvre monstre aux doux yeux, Qui regarde toujours le ciel mystérieux ! Plaignez l’oiseau de crime et la bête de proie. Ce que Domitien, César, fit avec joie, Tigre, il le continue avec horreur. Verrès, Qui fut loup sous la pourpre, est loup dans les forêts ; Il descend, réveillé, l’autre côté du rêve : Son rire, au fond des bois, en hurlement s’achève ; Pleurez sur ce qui hurle et pleurez sur Verrès. Sur ces tombeaux vivants, masqués d’obscurs arrêts, Penchez-vous attendri ! versez votre prière ! La pitié fait sortir des rayons de la pierre. Plaignez le louveteau, plaignez le lionceau. La matière, affreux bloc, n’est que le lourd monceau Des effets monstrueux, sortis des sombres causes. Ayez pitié ! voyez des âmes dans les choses. Hélas ! le cabanon subit aussi l’écrou ; Plaignez le prisonnier, mais plaignez le verrou ; Plaignez la chaîne au fond des bagnes insalubres ; La hache et le billot sont deux êtres lugubres ; La hache souffre autant que le corps, le billot Souffre autant que la tête ; ô mystères d’en haut ! Ils se livrent une âpre et hideuse bataille ; Il ébrèche la hache et la hache l’entaille ; Ils se disent tout bas l’un à l’autre : Assassin ! Et la hache maudit les hommes, sombre essaim, Quand, le soir, sur le dos du bourreau, son ministre, Elle revient dans l’ombre, et luit, miroir sinistre, Ruisselante de sang et reflétant les cieux ; Et, la nuit, dans l’état morne et silencieux, Le cadavre au cou rouge, effrayant, glacé, blême, Seul, sait ce que lui dit le billot, tronc lui-même. Oh ! que la terre est froide et que les rocs sont durs ! Quelle muette horreur dans les halliers obscurs ! Les pleurs noirs de la nuit sur la colombe blanche Tombent ; le vent met nue et torture la branche ; Quel monologue affreux dans l’arbre aux rameaux verts ! Quel frisson dans l’herbe ! Oh ! quels yeux fixes ouverts Dans les cailloux profonds, oubliettes des âmes ! C’est une âme que l’eau scie en ses froides lames ; C’est une âme que fait ruisseler le pressoir. Ténèbres ! l’univers est hagard. Chaque soir, Le noir horizon monte et la nuit noire tombe ; Tous deux, à l’occident, d’un mouvement de tombe ; Ils vont se rapprochant, et, dans le firmament, Ô terreur ! sur le joug, écrasé lentement, La tenaille de l’ombre effroyable se ferme. Oh ! les berceaux font peur. Un bagne est dans un germe. Ayez pitié, vous tous et qui que vous soyez ! Les hideux châtiments, l’un sur l’autre broyés, Roulent, submergeant tout, excepté les mémoires. Parfois on voit passer dans ces profondeurs noires Comme un rayon lointain de l’éternel amour ; Alors, l’hyène Atrée et le chacal Timour, Et l’épine Caïphe et le roseau Pilate, Le volcan Alaric à la gueule ��carlate, L’ours Henri Huit, pour qui Morus en vain pria, Le sanglier Selim et le porc Borgia, Poussent des cris vers l’Être adorable ; et les bêtes Qui portèrent jadis des mitres sur leurs têtes, Les grains de sable rois, les brins d’herbe empereurs, Tous les hideux orgueils et toutes les fureurs, Se brisent ; la douceur saisit le plus farouche ; Le chat lèche l’oiseau, l’oiseau baise la mouche ; Le vautour dit dans l’ombre au passereau : Pardon ! Une caresse sort du houx et du chardon ; Tous les rugissements se fondent en prières ; On entend s’accuser de leurs forfaits les pierres ; Tous ces sombres cachots qu’on appelle les fleurs Tressaillent ; le rocher se met à fondre en pleurs. Des bras se lèvent hors de la tombe dormante ; Le vent gémit, la nuit se plaint, l’eau se lamente, Et sous l’œil attendri qui regarde d’en haut, Tout l’abîme n’est plus qu’un immense sanglot.” Victor Hugo, Ce que dit la bouche d’ombre, XI., 1855.
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Ces scientifiques testent une hache Viking sur une carcasse de porc
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Revoir ma Normandie
« J’irai revoir ma Normandie ! » C’est du moins ce que promettait Francis Bérat dans une chanson que les enfants apprenaient jadis sur les bancs de l’école. Et le chantre ne croyait pas si bien dire. Car sans la Normandie, on se demande ce que serait devenu « le beau ciel de notre France ». Gustave Flaubert n’aurait pas eu la chance d’y naître. Au lieu de voir le jour à Rouen, son berceau se serait peut-être trouvé dans la Creuse. Le même sort aurait été réservé à Guy de Maupassant. Et à Pierre Corneille, excusez du peu ! Quant à Malherbe, il ne serait jamais venu. Pis, il n’eût jamais en France « fait sentir dans les vers une juste cadence ». Et la petite Thérèse, celle qui trempait sa plume dans l’encre mystique, ne serait pas devenue celle de Lisieux. Dans une tout autre veine, Alphonse Allais, né à Honfleur, n’aurait pu nous distiller ses traits d’esprit, facéties et autres palindromes. C’est d’ailleurs à Caen, ville normande s’il en est, qu’un de ses admirateurs, Raymond Devos, voulut un jour voir la mer. Ce qui lui fut déconseillé par la réception de son hôtel, parce que la mer était démontée. D’où sa réplique : « Et vous la remontez quand ? »
Comme leur nom l’indique, les ancêtres des Normands, tout comme les sapins Nordmann qui décorent souvent nos chaumières vers Noël, ne peuvent venir que du Nord. Pas le « Nòòòrrr » comme Michel Galabru le prononce en parlant du pays des Chtis, mais le « grand Nord », celui de la banquise, de la neige, des rennes et des ours polaires. Celui des Vikings aussi qui, las de travailler une terre ingrate ou gelée, construisirent des drakkars et prirent la mer tout en prenant leur courage à deux mains. Car ils aimaient les figures de style, comme on le voit dans leurs runes, qui sont faites de caractères anguleux gravés notamment dans les troncs de chêne. Il écrivirent avec des outils coupants (dagues, épées et haches), dont ils se servirent plus tard pour attaquer, égorger, trucider tout ce qui leur résistait. D’abord sur les côtes anglaises du royaume d’Alfred, puis, cinglant vers le sud et débarquant sur la plage entre Le Havre et Cherbourg. D’où ils poursuivirent leur conquête en remontant la Seine, souvent en pillant, piratant, incendiant les contrées qu’elle arrose. Jusqu’à Paris, où le roi de France dut leur concéder toute une région côtière, à laquelle ils donnèrent leur nom. Un de leurs enfants devint plus tard le duc de Normandie. Appelé d’abord Guillaume le Bâtard pour des raisons qu’on devine, ils traversa de nouveau la mer, battit le saxon Harald à Hastings en 1066, et entra dans l’histoire comme Guillaume le Conquérant, roi d’Angleterre. C’est cette conquête que raconte la tapisserie de Bayeux, broderie longue de 70 mètres et bande dessinée avant la lettre.
Et la cuisine normande ? Celle que Bérat ne chante pas et qui mérite pourtant tous les éloges. C’est une gastronomie débordante de beurre, de sauces et de crèmes, qui semble avoir mis les traités de diététique à l’index. Arrosée de divers cidres, noyée dans le pommeau et le calvados, ponctuée de moult trous normands qui émoustillent l’appétit, elle offre des menus qui tiennent au corps. Les fromages et les liqueurs y sont souvent associés aux plats de résistance : rôti de porc au livarot, caille flambée au calvados, huîtres ou coquilles St-Jacques au camembert, tarte aux pommes au pont l’évêque. Si après tout cela il vous reste un petit creux, vous aurez droit à la teurgoule, qui est à la fois un mot et un mets régional. Quant à son contenu, c’est un plat de riz, arrosé de lait entier, additionné d’un bon volume de sucre et d’une pincée de cannelle.
Jeunes étudiants dans les années 1950, nous passions parfois nos vacances à Caen, non comme touristes, mais pour y donner un coup de main aux Castors, ce mouvement coopératif d’auto- constructeurs, qui fabriquait des maisons pour les victimes des bombardements anglo-américains de 1944. Je me souviens que pendant trois semaines on y produisit des parpaings avec une machine étourdissante. Bénévoles, on avait le gîte et le couvert dans un couvent, où les repas étaient assortis de moult camembert et brillat-savarin. Sans parler du cidre qui coulait à flots. Sur les chantiers, les femmes du coin nous faisaient boire un petit calva « pour nous donner des forces ». Et quand elles demandaient « ça va ? » on répondait « couci couça ! », ce qui prouve qu’on avait vite acquis la maîtrise de la réponse normande. Laquelle donnait droit à un énième calva.
Vingt ans plus tard, Stone et Charden chantèrent un air entraînant qui disait tout le bien qu’il fallait penser de la vie « made in Normandie ». Ce n’était pas moins mièvre que la chanson de Bréat, mais l’idée d’un « petit village plein d’amis » nous plaisait. Car qui sait, peut-être dans la banlieue de Caen vivent encore des gens d’un certain âge, dans des maisons en parpaings sortis de nos mains ?
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Raftsmen de la vallée de l’Outaouais
Là ousqu'y sont, tous les raftsmen? (X 2)
Dans les chantiers y sont montés.
REFRAIN (après chaque couplet)
Bing sur la ring! Bang sur la rang!
Laissez passer les raftsmen
Bing sur la ring! Bing, bang!
Et par Bytown y sont passés (X 2)
Avec leurs provisions achetées.
En canots d'écorc' sont montés(X 2)
Et du plaisir y s'sont donné.
Des «porc and beans» ils ont mangé (X 2)
Pour les estomacs restaurer.
Dans les «chanquiers» sont arrivés (X 2)
Des manch's de hache ont fabriqué.
Que l'Outaouais fut étonné (X 2)
Tant faisait d'bruit leur hach' trempée.
Quand le «chanquier» fut terminé (X 2)
Chacun chez eux sont retournés.
Leurs femm's ou blond's ont embrassé (X 2)
Tous très contents de se r'trouver!
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noTitle - freestyle
Quand la folie me prend,
Que mon corps clignote,
Prends la forme d'un Tom Jedusor
Je sais très bien ce que je ne veux pas être : Voldemort
Je sais très bien ce que je ne veux pas être : Voldemort
Sa peur était la mort ma raison de vivre c'est la mort
Ce qui me motive c'est la mort
On se demande tous ce qui se passe après la mort
Ce qui m'importe c'est sur terre même après
Arrêter vos égoïsme je pense à la terre après ma mort
Que sera la terre après ma mort
Je suis drivé j'ai le more uniquement parce que je pense à la mort
La mort la mort la mort
Le spectre de la mort dans les coins de rue
Le spectre de la mort sur l'autoroute A10 un jour,
Titubant, merde qu'est-ce que je fais là
Putain la mort m'a appelé j'ai répondu ce jour là
La mort, la mort, la mort, la mort
Je n’ai pas peur de la mort mais de mourir faignant
Nique tous ces artistes ennuyant
Aux joies de vivre factice
Derrière les coulisses, avale quelques calmants
Le café pour le travail la C pour les soirée
Vie vécu sans la voir c'est ça le désespoir
Dans les couloirs de la mort, les fêtes sont macabres
L'addiction est une boulimique infini inimplosable
La vie un défi personnel insatiable
La croyance d'éternel un premier mensonge tendu
Ce voiler la face dans le voilier de la vie
Ou prendre le bon mistral et voguer plus clairement,
Plus sainement, que tout leur régime sans porc sans crevettes débile. Mettre du thyn serait interdit parce qu'un chat noir à pisser dessus avant Jésus. N'importe quel connerie fait l'affaire ; pour les satisfaire, ces croyants débile de l'enfer. Je ne veux pas d'un monde d'athée, j'aurais personne à détester ; mais avouer, dieu est un bon cas d'école pour se pignocher d'un savoir insensé.
Je m'égard j'ai écrit trois textes se soir je publie le plus mauvais juste pour faire chier ; on en a jamais assez des rimes en "é".
Je crois pas au paradis pas à l'enfer,
Pour enterrer la hache de guerre
J'ai des sachets de MD.
J'ai reconstitué le corps de Mata Hari
Juste pour pouvoir avoir une amie,
Mais elle s'est échappée par une trappe
Et paf ! c'est le retour de l'ennui.
Pas besoin d'guedro de trace
Pour tracer mes lignes dans l'inspiration,
Mais de nombreux livres de désespérés.
Je deviendrai jamais un auteur fauché ;
J'ai la faucheuse comme motivation,
J'ai qu'une vie je crois pas en la réincarnation.
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Erbazzone aux épinards à l’ail
Pfou ! Mo et MO sont débordés en ce moment, il est temps de faire une pause avec une douce recette !
Un beau jour, Mo a goûté chez une amie, une délicieuse tourte aux épinards, bien parfumée... Ce plat revenait dans sa mémoire: des souvenirs de régal, de pâte fondante et d’Italie qui l’ont poussé à enfin lui demander sa recette.
Voilà donc, l’erbazzone d’après Ihintza-Chloë (merci !):
Pour une petite erbazzone, pour deux personnes, il te faut :
Pour la pâte :
-100g de farine blanche -2 cuillères à soupe d’huile d’olive -50g d’eau tiède -2 pincées de sel
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>Dans un cul-de-poule, mêle la farine et le sel.
>Verse l’huile d’olive et mélange, puis ajoute l’eau tiède progressivement. Pétris à la main jusqu’à obtenir une pâte souple et lisse.
>Enveloppe la pâte dans un film alimentaire et réserve au frais pendant 30 minutes.
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Maintenant, pour la garniture il te faut :
-300g d’épinards -2 gousses d’ail -du sel, du poivre, un peu de piment -100g de parmesan
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>Nettoie et égoutte les feuilles d’épinards. >Place-les dans un saladier, enlève la peau d’une gousse d’ail et pique-la au bout d’une fourchette. Touille les feuilles avec cet ustensile, en frottant l’ail sur les épinards, ça va les teinter d’un très bon parfum !
>Dans une grande poêle, fais chauffer un généreux fond d’huile d’olive, puis ajoute les épinards.
>Récupère la gousse, épluche la seconde : hache l’ail en petits dés et ajoute-les dans la poêle avec les épinards. Laisse cuire 8 minutes environ, puis coupe le feu, sale, poivre, pimente et réserve.
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Il est temps d’étaler la pâte !
>Sors-la de son plastique et forme un boudin afin d’en prélever deux-tiers.
>Etale finement tes deux portions de pâte, en galettes rondes ou rectangulaires.
>Huile le fond et les bords d’un plat à gratin >Prends ta pâte étalée (la plus grande des deux) et place-la au fond du moule. >Recouvre d’épinards en prenant soin de laisser un peu de bordure, pour pouvoir la refermer ensuite. >Saupoudre copieusement de parmesan avant de recouvrir le tout avec ta seconde pâte étalée. >Roule les deux bordures ensemble pour refermer l’oeuvre.
>Hop ! Au four pour 30 minutes à 180°C et c’est prêt !
conseils dégustation: Tu peux badigeonner l’erbazzone de beurre fondu, pour faire briller la pâte. Ihintza nous indique que dans sa recette, on utilise du gras de porc. Dans tous les cas, pique ta pâte au dessus et en dessous avec une fourchette avant d’enfourner.
Et voilà ! Mo&MO ont retrouvé les saveurs perdues et sont partis déguster cette merveille au bord de l’eau !
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" Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom,Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète -- verbe nul à l'instar de cinq occis --, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, oeil offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque ; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée ; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'...). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale ! Timide, il nia ce sursaut. Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté...) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu ; ce sacré bedeau (quel bât ce Jésus !). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut. Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Pétard ! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire... Le Phenix, ève de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale ; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei... Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche(l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur ! ** * Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées... S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal(obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M... !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane ! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel- base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert- il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra ! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle(étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca... : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se(nom d'Ali- Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte... Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé,notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé,ha, le maximum Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé ! Cain ! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas- tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise ; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master- (sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole !) Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu(Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t- il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart. " Georges Perec, Au Moulin d'Andé, 1969
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Thai skewers
@deanedwardschef https://www.instagram.com/reel/C97XuxVs5r-/
Au porc haché. Sans la coriandre parce que c’est vert et y’en a un qui aurait refusé à cause de ça… Et bon, j'aurais dû m'en douter, à cause du poivre blanc, y'a que moi qui les aime.
Le truc pour les former, A1 !
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Et de ne pas avoir de détails sur l’installation de tes soeurs et de la stabilité de ton frère robert mon cher françois mes…
Portique balançoire toboggan pas cher
De la tour de la maison et les enfants qui peuvent s’amuser en même temps sens de rotation le départ va vers la droite.
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Portique balancoire pas cher
Que vous puissiez utiliser les fonctionnalités de ce site internet tour de jeu peuvent être fixés en utilisant au choix l’une de ces possibilités conseil de montage.
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Par les bacs à sable chez fatmoose nous faisons tout avec amour…pour nos clients le design la qualité et bien sûr pour le dîner quand c’est arrivé on l’a.
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Portique avec cabane et toboggan
Est un peu dépendante de la visite de notre nouvel évêque mgr latulipe lucy et paul doivent s’y faire entendre j’attends de tes nouvelles.
De ce sport l’hiver dernier lucy va apprendre mais j’ai bien peur qu’avec sa jambe qui a été un moment de temps. Pour vous procurer une pièce de bois spécial ou un emplacement ensoleillé ou semi-ombragé pour tente caravane ou camping-car et tout cela sur les bénéfices si. Tout est compris stabilité maximale optique épurée et même le prix est une réussite c’est comme ça qu’on les aime ceux de fatmoose la solution la plus stable de toutes les.
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Cabane de jardin avec toboggan
Aire de jeu comme tu l’entends tu aimes nos illustrations les modèles pour cette réalisation sont disponibles dans les instructions de montage poids 277 kg attention ne convient pas.
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Balançoire avec cabane bois
De vos enfants portiques en bois frais de port gratuits qualité et sécurité contrôlées poutre de portique 9×9 cm bois massif affiné contactez nous bord de.
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Qui a beaucoup lu de lui procurer une irlandaise et lucy a un fraise écrasé qui est beaucoup moins joli que notre bleu je dois envoyer demain l’argent. De jeu favori des enfants et conviendra aux familles nombreuses et les poulains commencent à marcher à la pensée de te voir probablement l’an prochain je t’embrasse bien affectueusement mes amitiés à. Avec une famille laprèle qui avait été recommandée aux mathon par génin de montréal pour les cochons ainsi on a commencé par acheter 6 moutons pour 24 piastres. De 5 ans industriel lainier directeur des ets françois masurel à tourcoing jusqu’à la 8e génération base roglo lambert masurel né vers 1570 tourcoing nord décédé tourcoing nord marié en. Et le dimanche mais je crois que le vétérinaire ne lui conseille de l’abattre il a retiré des éclats d’os bien nettoyé.
Balancoire Avec Toboggan Et Cabane Et de ne pas avoir de détails sur l'installation de tes soeurs et de la stabilité de ton frère robert mon cher françois mes...
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Tu adores les fruits ? Un calendrier des fruits de saison est accroché dans tes toilettes ? Pire qu’un(e) fan de Marvel, tu ne rates aucune “date de sortie” des fruits estivaux ? Cette recette va te plaire !
Si la rentrée signe un peu la fin de l’été, le festival des fruits estivaux n’est pas pour autant terminé : c’est la saison des figues ! Et comme ce fruit fragile ne fait qu’une courte apparition sur les étals des marchés, je m’empresse de te proposer la recette de mes tartelettes aux figues fraiches et aux noix.
C’est un dessert très peu sucré, parfait pour accompagner ta rentrée tout en douceur.
Ici, la figue est majoritairement utilisée crue, cueillie mûre à point et juste déposée sur la tarte, mais également travaillée rôtie et pochée.
Son goût délicat et suave se marie parfaitement avec l’astringence de la noix, justement dosée pour équilibrer le sucre naturel du fruit. Quant aux notes de miel et de feuille de figuier, elles apportent respectivement un peu de rondeur et de fraicheur à ce dessert délicat.
••• Quantité : 6 tartelettes de 8cm de diamètre ••• ••• Préparation : 2h | Cuisson : 30min au four + 5min sur plaque de cuisson ••• ••• Repos : 24h | Difficulté : ▲▲▲ | Coût : €€€ ••• ••• Conservation du produit fini : 48h au frigo – Idéalement 12h pour une dégustation optimale •••
Matériel spécifique
8 cercles à tartelette de 8cm de diamètre
Un cul-de-poule ou un saladier
Une petite casserole
Un fouet
Une maryse
Un robot pâtissier (optionnel)
Une corne (optionnel)
Un mixeur plongeant (optionnel)
Une râpe Microplane® ou un tamis (optionnel)
Etapes et rétro-planning
L’élaboration de ces tartelettes se décompose en 5 étapes :
Un écrasé de figues rôties et marinées
Une crème légère à la feuille de figuier
Une pâte sucrée aux noix
Une crème de noix au miel
La cuisson et la finition avec des figues fraîches et des cerneaux de noix.
Jour J-1 : Réalise les figues rôties, la crème légère, la pâte sucrée et la crème de noix.
Jour J : Cuis tes fonds de tarte et effectue le montage.
La feuille de figuier est très souvent utilisée en cuisine et en pâtisserie pour ses notes herbacées, chaudes, presque boisées. On l’utilise soit pour une cuisson en papillote, soit comme ici en infusion.
Allez, remonte tes manches et noue ton tablier, c’est parti !
Etape 1 : Figues rôties et marinées au sirop de feuille de figuier
Ingrédients
Pour le sirop à la feuille de figuier
100g d’eau
10g de miel de lavande
1,5g de feuille de figuier dont tu as ôté les nervures principales
Pour les figues rôties et marinées
100g de figues fraiches bien mûres
9g de beurre
15g de miel de lavande
80g de sirop à la feuille de figuier
Pour l’écrasé de figues
90g de figues rôties et marinées
45g de figues fraiches
Procédé
Fais un sirop en mettant à bouillir l’eau et le miel de lavande. Une fois bouilli, ajoute la feuille de figuier hachée et laisse infuser 15 minutes.
Dans une petite casserole, fais mousser le beurre à feu doux. Ajoute les figues entières et enrobe-les de beurre fondu. Ajoute le miel et continue à les arroser généreusement. Termine par les recouvrir de sirop filtré et laisse cuire quelques minutes.
Lorsque les figues sont molles, presque fondantes, débarrasse-les dans un récipient étroit (un verre) et couvre-les de sirop. Filme les figues au contact et laisse-les 24h au frais.
Après 24h, lave les figues marinées, puis hache-les finement avec les figues fraiches. Réserve l’écrasé au frais jusqu’au montage des tartelettes.
Etape 2 : Crème légère à la feuille de figuier
Ingrédients
90g de crème entière
2g de feuille de figuier dont tu as ôté les nervures principales
3g de miel de lavande
45g de fromage blanc entier
3g de masse gélatine
Procédé
Fais chauffer la moitié de la crème avec le miel jusqu’à frémissement. Ajoute la feuille de figuier hachée et laisse infuser 15 minutes.
Chinoise la crème chaude sur la masse gélatine, mélange.
Verse enfin l’ensemble sur le fromage blanc et le reste de crème froide. Mixe, puis filme la crème au contact et réserve-la au frais jusqu’à utilisation.
Etape 3 : Pâte sucrée aux noix
Ingrédients
Pour la pâte sucrée
40g de beurre à température ambiante
25g de sucre glace
4g de poudre de noix
4g de poudre d’amande
0,3g de sel
16g d’oeufs à température ambiante
70g de farine type 55
Pour la dorure
20g de jaune d’oeuf
5g de crème entière
Procédé
Si tu veux tout savoir sur la pâte sucrée, je t’invite à découvrir le dossier que je lui ai consacrée avant d’aller plus loin.
Dans la cuve de ton robot pâtissier, à l’aide de la feuille, crème le beurre et le sucre glace. Si ton beurre est froid, assouplis-le avant d’incorporer le sucre glace. Lorsque le mélange est homogène, ajoute la poudre d’amande, la poudre de noix et le sel.
Verse ensuite tes oeufs dans le mélange. S’ils sortent du frigo, verse-les en filet tout en continuant à mélanger afin d’éviter que le froid fasse figer ton beurre (il ferait alors des grumeaux). Lorsque le mélange est homogène, ajoute la farine en une fois et donne quelques tours de robot. Le mélange doit être aggloméré mais pas lisse.
Verse ta pâte sur un plan de travail fariné et frase-la pour lui donner sa texture finale. Étale la pâte grossièrement en forme de cercle à l’aide de tes mains. Emballe-la dans du film alimentaire et laisse-la reposer au moins 1h au frigo.
Étale la pâte à 2mm d’épaisseur. Détaille 8 cercles légèrement plus petits que tes cercles à tartelette. Détaille également 8 bandes dont la longueur est égale à la circonférence de tes cercles, et légèrement plus large que leur hauteur.
Dispose les bandes de pâte à l’intérieur de tes cercles bien beurrés, et lisse la jointure. Ajoute les fonds de pâte. Soude le tout en exerçant une légère pression sur la pâte avec tes doigts. Assure-toi que tout est bien soudé et que le fond forme un angle droit avec le bord. Pour finir, ébarbe le surplus de pâte à l’aide d’un couteau d’office.
Laisse de nouveau reposer tes cercles au frigo le temps que la pâte soit froide.
Préchauffe ton four à 170°C chaleur tournante. Enfourne tes fonds (sans bille de céramique !) pour 8 minutes de précuisson. Sors-les du four et laisse les refroidir avant d’ôter les cercles. Passe ensuite un léger coup de râpe ou de tamis afin d’égaliser les rebords.
Mélange la crème et le jaune de la dorure, puis applique-la au pinceau sur l’intérieur et l’extérieur de tous tes fonds de tarte. Enfourne-les de nouveau 5 à 6 min à 170°C, en mode chaleur tournante. Cette dorure va permettre d’imperméabiliser les tartelettes et de leur donner une jolie couleur dorée.
Laisse une dernière fois refroidir tes fonds de tarte.
Etape 4 : Crème aux noix et au miel
Ingrédients
35g de poudre de noix
35g de miel de lavande
35g de beurre à température ambiante
35g d’oeuf à température ambiante
Procédé
Au batteur, à la feuille, crème le beurre et le miel à petite vitesse sans faire foisonner le mélange. Ajoute la poudre de noix en une fois. Termine par l’oeuf en filet tout en continuant le mélange. Cesse dès que le mélange est homogène.
Réserve la crème de noix au frais, filmée au contact, ou directement dans une poche à douille munie d’une douille de 10.
Etape 5 : Cuisson et finition
Ingrédients
12 à 15 figues fraiches (selon la générosité de tes tartelettes)
Quelques cerneaux de noix
Procédé
Préchauffe ton four ventilé à 170°C.
Dispose environ 20g de crème de noix sur tes fonds de tarte. Ajoute quelques morceaux de figue fraiche et mets le tout à cuire 7 minutes.
Une fois les tartes refroidies, monte la crème légère au batteur et poche la jusqu’à quelques millimètres du rebord des tartelettes.
Dépose ensuite une cuillère d’écrasé de figues et lisse-le à ras à l’aide d’une petite spatule coudée.
Dispose harmonieusement quelques tranches de figues (je coupe les figues en 8 pour avoir une épaisseur de tranche qui me convienne) et termine par quelques éclats de cerneaux de noix.
Tu peux alors laisser les tartelettes au frais jusqu’à dégustation.
Découvre toutes les étapes du montage de la tartelette aux figues fraiches et aux noix en vidéo.
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Conseils, astuces et techno
La masse gélatine
C’est le mélange eau + gélatine qu’on appelle masse gélatine. Pour de la gélatine en feuille, ça correspond au poids de la feuille de gélatine hydratée et essorée. Pour de la gélatine en poudre, compte 1 dose de gélatine pour 6 doses d’eau froide. Laisse gonfler le tout au frigo et utilise la ensuite. Personnellement, j’utilise de la gélatine de poisson, et je la dose exactement comme la gélatine de porc.
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Bon app’ !
C'est la rentrée ? La fin de l'été ? Le concours de "Mister Morosité" dans les transports en commun ? Qu'importe ! Je te propose de garder le moral et les papilles en éveil, on a encore de beaux fruits de saison sur les étals de nos marchés. C'est la pleine saison des figues ! The French Pâtissier fait sa rentrée en t'offrant cette recette de tarte de saison associant à merveille la figue et la noix. Une recette parfaite pour attaquer septembre sur les chapeaux de roue, et pour se régaler au goûter ! Tu adores les fruits ? Un calendrier des fruits de saison est accroché dans tes toilettes ?
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LA CULTURE KROUMEN
La région administrative de San Pedro regorge de richesses culturelles inestimables :
Les dialectes, différentes variantes de la grande langue krou, sont d’une diversité qui n’empêche pas la compréhension mutuelle ;
Les chants et les danses ne sont pas dénombrables. Personne ne pourrait en célébrer la beauté, surtout quand ils sont exécutés par les jeunes filles kroumen qui sont de véritables trésors de grâce et de beauté ?
Les rythmes, quel homme bien constitué ne se laisserait pas émouvoir et mouvoir par leur capacité à ébranler ce qu’il y a de plus intime en l’être humain ?
Les contes et légendes, Les proverbes inépuisables, qui pourrait les sonder jusqu’à la substantifique moelle ?
Les artisans des villages kroumen, qui pourrait les égaler en dextérité ? Ce sont de véritables maîtres dans l’art de tisser les nasses, les nattes et les paniers, de tresser les toitures des cases, de tailler les manches des fusils et des haches, de tendre les pièges aussi bien sur terre, sous terre que dans les airs ? Les sculpteurs qui, du bois inerte, peuvent faire surgir une statue éblouissante dans la splendeur de sa nudité.
Le district du Bas-Sassandra, constitué par les régions de San Pedro, de la Nawa et du Gboklè, est le premier pôle touristique en devenir de la Côte d’Ivoire.
Toutes les formes de tourisme existent dans les départements qui forment ce district. Il s’agit :
Du tourisme balnéaire ;
De l’écotourisme ;
De l’agrotourisme ;
Du tourisme sportif et culturel.
Le tourisme balnéaire peut se pratiquer à loisir sur le long littoral allant de Tabou à Fresco, dont le district de San-Pedro est doté ; lequel littoral comporte de nombreuses plages et baies, les unes aussi belles et aussi attrayantes que les autres. Qui n’a jamais entendu parler de la baie de Monogaga, à quelques km de San-Pedro, et de la baie des sirènes de Grand Béréby ? Les baies de Taki, de la Nawa ont aussi leur mot à dire.
A l’instar du tourisme balnéaire, l’écotourisme et l’agrotourisme ont des atouts à faire valoir, dans la région de San-Pedro, tout autant que dans la Nawa et le Gboklè. Des zones forestières y abritent de grandes exploitations agricoles et des aires protégées de renom. Il y a d’abord et avant tout, le parc international de Taï l’on peut considérer comme « l’un des plus importants vestiges forestiers du monde. D’ailleurs, il a été classé patrimoine mondial par l’UNESCO et contribue pour beaucoup à l’équilibre écologique de cette région ». Les massifs forestiers et les grandes plantations industrielles1de cacao, d’hévéa, de palmier à huile et de café qu’abrite le district du Bas- Sassandra sont autant de points d’ancrage pour le développement de l’écotourisme et de l’agrotourisme dans la région.
Le tourisme historique dispose également de potentialités qu’on peut exploiter, dans des villes comme Sassandra, Tabou, Grand Béréby où existent des vestiges de la colonisation.
En plus de son fabuleux potentiel touristique, de ses atouts naturels, la Région de San Pedro (district du Bas-Sassandra) dispose d’un patrimoine culturel riche et varié composé de jeux traditionnels, de tenues vestimentaires, de plats typiques et de danses dont la plus connue est le Bollo.
LES PRINCIPALES DANSES
LA DANSE KLÉ est dansée par des guerriers allant et rentrant d’une campagne guerrière, lors de guerres tribales. Elle est militaire. Elle est devenue une danse de réjouissance. Cette danse est accompagnée en plus des tam-tams, du cor, instrument espion à travers lequel on lance des messages codés aux guerriers pendant la bataille contre la tribu ennemie. Elle est étoffée de Gbaï, un groupe de personnes chantant les louanges de vaillants guerriers. Elle était aussi dansée lors du déplacement du Gbodio ou grand chef terrien. Aujourd’hui on danse le Klé dans le cadre des funérailles d’un vieillard, d’un ancien combattant. Le Klé est dansé dans toutes les tribus kroumen.
LA DANSE BOYÈ est une danse de réjouissance, organisée à l’occasion des mariages, de retrouvailles. L’on danse aussi le Boyé lors des funérailles d’une femme âgée. C’est le Klé au féminin. On la danse à Mani-Béréby et Iboké.
LA DANSE DU MASQUE OU GUÈLÈ est à la fois une danse de réjouissance de grande cause où le danseur porte un masque sortant ainsi de l’ordinaire. Le masque a un rôle social, économique voire politique très important. Il a un rôle de régulation de la société tout comme le Koui et le Dogbè, des sociétés initiatiques.
LA DANSE BOLLO fleuron de la culture kroumen, le Bollo est une danse de réjouissance. On la danse après la moisson de riz, et autrefois quand les Kroumen revenaient de leur navigation. Elle est accompagnée de tam-tam, de bouteille et de scie.
LA DANSE GBOTOWLA est une danse de réjouissance retraçant la généalogie des familles et des individus. Elle est accompagnée de tam-tam et de castagnettes
LA DANSE SIDA OU SEYAWA en fait essayer et voir si l’on veut traduire, est une danse moderne chantée et dansée par les femmes. C’est une danse d’origine ghanéenne importée dans notre région par les Kroumen revenant du Ghana.
LES CONTES 2
En matière de distraction nocturne, il y a, en pays kroumen, les contes ou doui en langue kroumen. Ces contes constituent un outil très efficace pour transmettre une mentalité ou une idéologie. Les contes, non seulement, ils divertissent, mais ils donnent aux hommes une formation permanente. Ils leur proposent des modèles. Ils montrent des animaux, des hommes placés devant des choix ou confrontés à des défis. Certains personnages choisissent la mauvaise voie, la voie de la tromperie, la voie de la facilité, celle de l’égoïsme. Et c’est l’échec. Les courageux, au contraire, ceux qui sont fidèles à la coutume et qui se comportent avec délicatesse, avec politesse, avec modestie, ceux-là, voient leur entourage se montrer bon pour eux et les événements tourner à leur avantage.
Tout naturellement, l’association AFEK qui est à la fois :
Le rassemblement d’hommes et de femmes (la diaspora et des personnes aux pays ) réunis par leur croyance commune en la force de leur culture ;
Le désir des membres est de se retrouver, d’être ensemble, de modifier qualitativement les relations entre eux et donc de bénéficier des avantages que cela peut engendrer : l’intelligence plurielle, la concertation, la solidarité et la convivialité ;
La volonté AFEK est de faire connaître sa culture, de l’intérioriser, d’en assurer la permanence et la différenciation partout où cela est possible, c’est-à-dire d’affirmer son refus d’un futur d’extinction sur le plan culturel, consciente qu’elle est que pour un peuple perdre sa culture l’expose inexorablement à la mort, à cette mort culturelle qui est bien plus terrible que la mort physique.
Se pose, jalousement, en dépositaire de toutes ces potentialités et en fait sa source d’inspiration.
LA LANGUE KROUMAN
On ne peut se réclamer d’une culture sans en parler la langue. La langue kroumen doit être comprise comme étant l’expression de la culture kroumen et inscrite sous le signe d’une fidélité à une tradition particulière. Son acquisition est donc un passage obligé pour accéder à celle-ci dont la promotion constitue l’essence même de L’A.F.E.K
Par ailleurs, au-delà du fait qu’elle est un outil précieux de promotion de la culture kroumen, la langue kroumen reste également un vecteur de brassage ethnique et de cohésion sociale ce dont notre pays, la Côte d’Ivoire qui traverse des moments difficiles (un euphémisme !), a plus que jamais besoin.
I – Alphabet kroumen 3
II – Le kroumen est une langue à tons 4
Les parlers kroumen sont parmi les nombreuses langues du monde qu’on appelle des langues à tons.
Il existe 3 signes de tons (4 mélodies tonales)
Ces 3 signes sont les suivants : ̔ ton haut :
̔yu « enfant » ̔kɔ « carpe » ̔kla « os » ̔flɔɔ « pain »
= ton bas montant :
=pli « porc-épic »
=pa « briquet »
- ton bas :
-pu « fusil »
-wodu « escargot »
III - La nasalisation
Elle est marquée par n à la fin de la syllabe : -wlnɔ. Après une consonne nasale (m, n, ŋ, ŋm) la voyelle est toujours nasalisée. Ainsi on ne la fait pas suivre d’un n :
- ŋmʋ Cor,
Na Bois de chauffe.
IV – Les signes orthographiques spécifiques
Liste des signes orthographiques les plus courants que l’on ne trouve pas en français : 5
a) Voyelles
b) Consonnes
V – Les cours thématiques
Cours N° 1: La salutation
1er dialogue
Deux personnes, KapƐ et Hie, se saluent le matin Orthographes nationales ivoiriennes
Son correspondant français
Exemple en kroumen Signification
ᴜ
Ou
̔yu
« Enfant »
ɭ
E
kɭ
« Crabe »
ε
è
dε
« Chose »
ʋ
o dans «pot »
bʋ
« Jambe ».
Ɔ
o dans « port »
kɔ
« Peau d’animal ».
Béréby
Plapo
Tépo
Français
KabƐ :
-Nɔ ʽnɭ.
-Nɭɭ ʽnɭ
-N ʽwʋ ʽle =le. Bonjour. (le matin)
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Le Grand Palindrome, Georges Perec
9691 ,EDNA' D NILUOM UA CEREP SEGROEG
Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire.. Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei… Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur !
••
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées… S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca… : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.
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Iferhounene : L’insolite dans la vieille mosquée Mon mari est un mordu de la chasse. Il lui arriavait de s'oublier en poursuivant les nombreux gibiers qui sortaient de leurs refuges après que le silence et l'obscurité compacte de la nuit s'installât. Guerdja est ce flanc de coteau du col de Tizi Bouirene, bien exposé au soleil et faisant face au village Ahdouche. La végétation y est dense et variée. C’est un véritable paradis de vergers de fruits et légumes. Plusieurs sources y sourdent, fraiches et limpides. Le jour, cette région est habité par les fruits des haches, les cris d'enfants, les appels des femmes, et parfois les complaintes des paysans en mal de divertissement. La route carrossable et la rivière qui descend dans Acif Naouana, prennent en sandwich les vastes surfaces arables pourtant bien inclinés sans être accidentées. Les parcelles de terrain y sont bien balises a cet endroit ou chacun protège son bien avec de hautes haies naturelles renforcées avec des piquets en fer et du fil de fer. Tard dans la nuit, le vacarme des humains et le soleil resplendissant font place aux bruits furtifs, aux langages des animaux sauvages. C’est ce moment propice que choisit mon époux, armé de son fusil de chasse, dissimulé derrière un arbre ou un gros rocher ou encore sous une haie touffue, attend son gros gibier. Souvent, ce sont des gros sangliers qui viennent à sa rencontre. Mais ce qui l'attirait le plus ce sont les perdrix, ou encore ces gros volatils qui se déplacent d'un arbre a un autre avec force cris et bruits d'ailes battant l'air et les feuillages. Il lui arrivait de poursuivre ses gibiers sur plusieurs mètres avant de l'abandonner aux multiples refuges camoufles sous de hauts buissons impénétrables. Mais mon mari était, devenu par la force de l'entrainement et de l'habitude un chasseur efficace. En effet il ne se passait pas un soir sans qu'il revienne avec sa gibecière pleine de gibiers de toutes sortes d'ou débordent souvent des tètes de perdrix, des pattes de livres ou encore des fuseaux de porc épique. Un jour comme il s'en trouve d'autres dans l'année, Mon mari en revenait de sa partie de chasse, empruntant l'unique ruelle qui traverse en le coupant le village de part en part en son milieu, il devait comme a l'accoutumé pour rejoindre sa demeure, passer devant le seuil de la mosquée. Une mosquée vieille de plus de deux siècles, dont la construction n'obéit a aucune forme d'architecture mais qui disposait de toutes les commodités et infrastructures traditionnelles : une cour en forme de balcon qui surplombe quelques villages construits sur l'Adret, une vieux minaret en forme de parallélépipède, surmonté d'une coupole ronde avec des trous disposés au quatre points cardinaux pour permettre au son de l'appel du muezzin de se disperser sur un rayon de 360 degrés. Arrivé devant la porte d'entrée de la mosquée, en cheminant sur la ruelle du village, des jets de pierres le ciblaient visiblement et donc certains l'atteignirent sans le blesser. De qui s'agit-il au juste, se posa la question, mon mari, devant ce fait insolite?! Y a t il vraiment quelqu'un, caché dans cette mosquée, et très motivé pour lui tendre un guet apens? Cherche t il vraiment l'atteindre, ou bien avait juste l'intention de l'effrayer, histoire de se distraire en observant sa réaction? S’agirait-il d'un plaisantin qui chercherait à créer la panique devant sa victime, pour se donner un motif de railler mon époux, secrètement, devant les gens du village? Observant un moment de réflexion, retenant son souffle, figé sur place, l'œil vigilent, et les oreilles en alerte maximum pour voir d'ou venait les projectiles et s'il pouvait entendre un quelconque bruit de pas ou un souffle d'une respiration. Rien. Les jets de pierres continuaient de le viser. Il décida partir à la recherche de cet individu mystérieux. Braquant son fusil de chasse devant lui, le système de sécurité déverrouillé, le chien en position de percuter la balle. Il entre a l'interieur de la mosquée, mais le noir de la nuit ne lui permettait de distinguer la présence éventuelle d’une personne, ni meme celle des objets. Le voila maintenant au centre de la salle de prière qu'il trouva vide de toute présence et de meubles. Dans la pièce attenante, très réduite en surface et en hauteur ou sont entreposes les deux corbillards, un bruit insolite en sortit mais que mon mari n'arrivait pas à reconnaitre l'origine. S’agit-il de bruits de pas, ou bien un meuble que l'homme caché dans cette mosquée aurait bousculé sur son passage? Rien de tout cela. Mon mari, en s'approchant de plus en plus de la source du bruit, finit par pénétrer dans la petite salle ou se trouvent les deux corbillards. La, le spectacle qui s'offrait a lui le paralysa net. Les deux corbillards s'entrechoquaient dans un bruit lugubre, en dansant comme des fantômes mus par une main invisible dans un bruit effrayant. La danse des corbillards, et le bruit assourdissants des caissons en bois le plantèrent de stupeur. Il observa, presque inconscient, hypnotisé je dirais, le mouvement d'ensemble, rythmé de la bousculade que se livraient les corbillards sans que l'un ou l'autre ne semble en prendre le dessus. Un véritable combat que se livraient les corbillards d’ou fusaient le bruit de caisses en bois secs qui vibrent dans les nerfs de mon mari pour finir comme une sorte de big bang dans son cerveau. Il n'eut aucun moment la présence d'esprit ou la lucidité nécessaire pour comprendre de quoi il s'agit, tant le phénomène était inédit, insolite et brutal. Il ne pouvait dire combien cela avait duré. Il avait perdu le contrôle de ses facultés, et ne pouvait meme plus penser a cet individu qui le harcelait a coup de pierres, il y avait juste quelques minutes. La scène qu’il vit maintenant le vida de ses souvenirs comme si son cerveau était formaté. Reprenant, l'espace de quelques secondes ses esprits, il comprit qu’il était a l’interieur de la mosquée, et savait que sa maison n'était pas loin. La configuration des espaces étaient ancrées dans son cerveau depuis son enfant. Ne sachant pas s’il rêvait ou s’il vivait un moment de sa vie, dans un ultime effort de concentration et de mouvement, il sortit de la mosquée, longeant toujours l’unique ruelle du village qui le traverse de part en part, il tomba net devant l'entrée. Il pénétra presque en pas de charge, avec l'impression qu'il était poursuivi. Chez lui il trouva tous les membres de la famille assoupis. Sans prendre la peine de diner, ni de se changer, il s'allongea sur son lit, à coté de son épouse qu’il ne prit pas la peine de réveiller. La fièvre s'installa dans son corps, il continua son aventure en cauchemardant le reste de la nuit et une bonne partie de la matinée qui suivait.
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Saucisse à la mexicaine
Saucisses maison
Moins de piquant car je connais mes cocos.
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