#porc-hache
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meditationxi · 2 months ago
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Boulettes de porc au sésame
https://ici.radio-canada.ca/mordu/recettes/9276/boulettes-porc-sesame-salade-concombre
C’est la sauce qui les rend au sĂ©same, parce que sans ça elles sont trĂšs fades.
RĂ©sister Ă  l’envie de mettre des graines de sĂ©same dedans, ça leur donne un chew bizarre.
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blanche-page · 5 years ago
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Littérature mon Amour
“Les mondes, dans la nuit que vous nommez l’azur, Par les brĂšches que fait la mort blĂȘme Ă  leur mur, Se jettent en fuyant l’un Ă  l’autre des Ăąmes. Dans votre globe oĂč sont tant de geĂŽles infĂąmes, Vous avez de mĂ©chants de tous les univers, CondamnĂ©s qui, venus des cieux les plus divers, RĂȘvent dans vos rochers, ou dans vos arbres ploient ; Tellement stupĂ©faits de ce monde qu’ils voient, Qu’eussent-ils la parole, ils ne pourraient parler. On en sent quelques-uns frissonner et trembler. De lĂ  les songes vains du bronze et de l’augure. Donc, reprĂ©sente-toi cette sombre figure : Ce gouffre, c’est l’égout du mal universel. Ici vient aboutir de tous les points du ciel La chute des punis, tĂ©nĂ©breuse traĂźnĂ©e. Dans cette profondeur, morne, Ăąpre, infortunĂ©e, De chaque globe il tombe un flot vertigineux D’ñmes, d’esprits malsains et d’ĂȘtre vĂ©nĂ©neux, Flot que l’éternitĂ© voit sans fin se rĂ©pandre. Chaque Ă©toile au front d’or qui brille, laisse pendre Sa chevelure d’ombre en ce puits effrayant. Ame immortelle, vois, et frĂ©mis en voyant : VoilĂ  le prĂ©cipice exĂ©crable oĂč tu sombres. * Oh ! qui que vous soyez, qui passez dans ces ombres, Versez votre pitiĂ© sur ces douleurs sans fond ! Dans ce gouffre, oĂč l’abĂźme en l’abĂźme se fond, Se tordent les forfaits, transformĂ©s en supplices, L’effroi, le deuil, le mal, les tĂ©nĂšbres complices, Les pleurs sous la toison, le soupir expirĂ© Dans la fleur, et le cri dans la pierre murĂ© ! Oh ! qui que vous soyez, pleurez sur ces misĂšres ! Pour Dieu seul, qui sait tout, elles sont nĂ©cessaires ; Mais vous pouvez pleurer sur l’énorme cachot Sans dĂ©ranger le sombre Ă©quilibre d’en haut ! HĂ©las ! hĂ©las ! hĂ©las ! tout est vivant ! tout pense ! La mĂ©moire est la peine, Ă©tant la rĂ©compense. Oh ! comme ici l’on souffre et comme on se souvient ! Torture de l’esprit que la matiĂšre tient ! La brute et le granit, quel chevalet pour l’ñme ! Ce mulet fut sultan, ce cloporte Ă©tait femme. L’arbre est un exilĂ©, la roche est un proscrit. Est-ce que, quelque part, par hasard, quelqu’un rit Quand ces rĂ©alitĂ©s sont lĂ , remplissant l’ombre ? La ruine, la mort, l’ossement, le dĂ©combre, Sont vivants. Un remords songe dans un dĂ©bris. Pour l’Ɠil profond qui voit, les antres sont des cris. HĂ©las ! le cygne est noir, le lys songe Ă  ses crimes ; La perle est nuit ; la neige est la fange des cimes ; Le mĂȘme gouffre, horrible et fauve, et sans abri, S’ouvre dans la chouette et dans le colibri ; La mouche, Ăąme, s’envole et se brĂ»le Ă  la flamme ; Et la flamme, esprit, brĂ»le avec angoisse une Ăąme ; L’horreur fait frissonner les plumes de l’oiseau ; Tout est douleur. Les fleurs souffrent sous le ciseau Et se ferment ainsi que des paupiĂšre closes : Toutes les femmes sont teintes du sang des roses ; La vierge au bal, qui danse, ange aux fraĂźches couleurs, Et qui porte en sa main une touffe de fleurs, Respire en soupirant un bouquet d’agonies. Pleurez sur les laideurs et les ignominies, Pleurez sur l’araignĂ©e immonde, sur le ver, Sur la limace au dos mouillĂ© comme l’hiver, Sur le vil puceron qu’on voit aux feuilles pendre, Sur le crabe hideux, sur l’affreux scolopendre, Sur l’effrayant crapaud, pauvre monstre aux doux yeux, Qui regarde toujours le ciel mystĂ©rieux ! Plaignez l’oiseau de crime et la bĂȘte de proie. Ce que Domitien, CĂ©sar, fit avec joie, Tigre, il le continue avec horreur. VerrĂšs, Qui fut loup sous la pourpre, est loup dans les forĂȘts ; Il descend, rĂ©veillĂ©, l’autre cĂŽtĂ© du rĂȘve : Son rire, au fond des bois, en hurlement s’achĂšve ; Pleurez sur ce qui hurle et pleurez sur VerrĂšs. Sur ces tombeaux vivants, masquĂ©s d’obscurs arrĂȘts, Penchez-vous attendri ! versez votre priĂšre ! La pitiĂ© fait sortir des rayons de la pierre. Plaignez le louveteau, plaignez le lionceau. La matiĂšre, affreux bloc, n’est que le lourd monceau Des effets monstrueux, sortis des sombres causes. Ayez pitiĂ© ! voyez des Ăąmes dans les choses. HĂ©las ! le cabanon subit aussi l’écrou ; Plaignez le prisonnier, mais plaignez le verrou ; Plaignez la chaĂźne au fond des bagnes insalubres ; La hache et le billot sont deux ĂȘtres lugubres ; La hache souffre autant que le corps, le billot Souffre autant que la tĂȘte ; ĂŽ mystĂšres d’en haut ! Ils se livrent une Ăąpre et hideuse bataille ; Il Ă©brĂšche la hache et la hache l’entaille ; Ils se disent tout bas l’un Ă  l’autre : Assassin ! Et la hache maudit les hommes, sombre essaim, Quand, le soir, sur le dos du bourreau, son ministre, Elle revient dans l’ombre, et luit, miroir sinistre, Ruisselante de sang et reflĂ©tant les cieux ; Et, la nuit, dans l’état morne et silencieux, Le cadavre au cou rouge, effrayant, glacĂ©, blĂȘme, Seul, sait ce que lui dit le billot, tronc lui-mĂȘme. Oh ! que la terre est froide et que les rocs sont durs ! Quelle muette horreur dans les halliers obscurs ! Les pleurs noirs de la nuit sur la colombe blanche Tombent ; le vent met nue et torture la branche ; Quel monologue affreux dans l’arbre aux rameaux verts ! Quel frisson dans l’herbe ! Oh ! quels yeux fixes ouverts Dans les cailloux profonds, oubliettes des Ăąmes ! C’est une Ăąme que l’eau scie en ses froides lames ; C’est une Ăąme que fait ruisseler le pressoir. TĂ©nĂšbres ! l’univers est hagard. Chaque soir, Le noir horizon monte et la nuit noire tombe ; Tous deux, Ă  l’occident, d’un mouvement de tombe ; Ils vont se rapprochant, et, dans le firmament, Ô terreur ! sur le joug, Ă©crasĂ© lentement, La tenaille de l’ombre effroyable se ferme. Oh ! les berceaux font peur. Un bagne est dans un germe. Ayez pitiĂ©, vous tous et qui que vous soyez ! Les hideux chĂątiments, l’un sur l’autre broyĂ©s, Roulent, submergeant tout, exceptĂ© les mĂ©moires. Parfois on voit passer dans ces profondeurs noires Comme un rayon lointain de l’éternel amour ; Alors, l’hyĂšne AtrĂ©e et le chacal Timour, Et l’épine CaĂŻphe et le roseau Pilate, Le volcan Alaric Ă  la gueule Ă©carlate, L’ours Henri Huit, pour qui Morus en vain pria, Le sanglier Selim et le porc Borgia, Poussent des cris vers l’Être adorable ; et les bĂȘtes Qui portĂšrent jadis des mitres sur leurs tĂȘtes, Les grains de sable rois, les brins d’herbe empereurs, Tous les hideux orgueils et toutes les fureurs, Se brisent ; la douceur saisit le plus farouche ; Le chat lĂšche l’oiseau, l’oiseau baise la mouche ; Le vautour dit dans l’ombre au passereau : Pardon ! Une caresse sort du houx et du chardon ; Tous les rugissements se fondent en priĂšres ; On entend s’accuser de leurs forfaits les pierres ; Tous ces sombres cachots qu’on appelle les fleurs Tressaillent ; le rocher se met Ă  fondre en pleurs. Des bras se lĂšvent hors de la tombe dormante ; Le vent gĂ©mit, la nuit se plaint, l’eau se lamente, Et sous l’Ɠil attendri qui regarde d’en haut, Tout l’abĂźme n’est plus qu’un immense sanglot.”                   Victor Hugo, Ce que dit la bouche d’ombre, XI., 1855.
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anastaziasylvie · 5 years ago
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Ces scientifiques testent une hache Viking sur une carcasse de porc
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franckdoutrery · 3 years ago
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Revoir ma Normandie
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« J’irai revoir ma Normandie ! » C’est du moins ce que promettait Francis BĂ©rat dans une chanson que les enfants apprenaient jadis sur les bancs de l’école. Et le chantre ne croyait pas si bien dire. Car sans la Normandie, on se demande ce que serait devenu « le beau ciel de notre France ». Gustave Flaubert n’aurait pas eu la chance d’y naĂźtre. Au lieu de voir le jour Ă  Rouen, son berceau se serait peut-ĂȘtre trouvĂ© dans la Creuse. Le mĂȘme sort aurait Ă©tĂ© rĂ©servĂ© Ă  Guy de Maupassant. Et Ă  Pierre Corneille, excusez du peu ! Quant Ă  Malherbe, il ne serait jamais venu. Pis, il n’eĂ»t jamais en France « fait sentir dans les vers une juste cadence ». Et la petite ThĂ©rĂšse, celle qui trempait sa plume dans l’encre mystique, ne serait pas devenue celle de Lisieux. Dans une tout autre veine, Alphonse Allais, nĂ© Ă  Honfleur, n’aurait pu nous distiller ses traits d’esprit, facĂ©ties et autres palindromes. C’est d’ailleurs Ă  Caen, ville normande s’il en est, qu’un de ses admirateurs, Raymond Devos, voulut un jour voir la mer. Ce qui lui fut dĂ©conseillĂ© par la rĂ©ception de son hĂŽtel, parce que la mer Ă©tait dĂ©montĂ©e. D’oĂč sa rĂ©plique : « Et vous la remontez quand ? »
Comme leur nom l’indique, les ancĂȘtres des Normands, tout comme les sapins Nordmann qui dĂ©corent souvent nos chaumiĂšres vers NoĂ«l, ne peuvent venir que du Nord. Pas le « NĂČĂČĂČrrr » comme Michel Galabru le prononce en parlant du pays des Chtis, mais le « grand Nord », celui de la banquise, de la neige, des rennes et des ours polaires. Celui des Vikings aussi qui, las de travailler une terre ingrate ou gelĂ©e, construisirent des drakkars et prirent la mer tout en prenant leur courage Ă  deux mains. Car ils aimaient les figures de style, comme on le voit dans leurs runes, qui sont faites de caractĂšres anguleux gravĂ©s notamment dans les troncs de chĂȘne. Il Ă©crivirent avec des outils coupants (dagues, Ă©pĂ©es et haches), dont ils se servirent plus tard pour attaquer, Ă©gorger, trucider tout ce qui leur rĂ©sistait. D’abord sur les cĂŽtes anglaises du royaume d’Alfred, puis, cinglant vers le sud et dĂ©barquant sur la plage entre Le Havre et Cherbourg. D’oĂč ils poursuivirent leur conquĂȘte en remontant la Seine, souvent en pillant, piratant, incendiant les contrĂ©es qu’elle arrose. Jusqu’à Paris, oĂč le roi de France dut leur concĂ©der toute une rĂ©gion cĂŽtiĂšre, Ă  laquelle ils donnĂšrent leur nom. Un de leurs enfants devint plus tard le duc de Normandie. AppelĂ© d’abord Guillaume le BĂątard pour des raisons qu’on devine, ils traversa de nouveau la mer, battit le saxon Harald Ă  Hastings en 1066, et entra dans l’histoire comme Guillaume le ConquĂ©rant, roi d’Angleterre. C’est cette conquĂȘte que raconte la tapisserie de Bayeux, broderie longue de 70 mĂštres et bande dessinĂ©e avant la lettre.
Et la cuisine normande ? Celle que BĂ©rat ne chante pas et qui mĂ©rite pourtant tous les Ă©loges. C’est une gastronomie dĂ©bordante de beurre, de sauces et de crĂšmes, qui semble avoir mis les traitĂ©s de diĂ©tĂ©tique Ă  l’index. ArrosĂ©e de divers cidres, noyĂ©e dans le pommeau et le calvados, ponctuĂ©e de moult trous normands qui Ă©moustillent l’appĂ©tit, elle offre des menus qui tiennent au corps. Les fromages et les liqueurs y sont souvent associĂ©s aux plats de rĂ©sistance : rĂŽti de porc au livarot, caille flambĂ©e au calvados, huĂźtres ou coquilles St-Jacques au camembert, tarte aux pommes au pont l’évĂȘque. Si aprĂšs tout cela il vous reste un petit creux, vous aurez droit Ă  la teurgoule, qui est Ă  la fois un mot et un mets rĂ©gional. Quant Ă  son contenu, c’est un plat de riz, arrosĂ© de lait entier, additionnĂ© d’un bon volume de sucre et d’une pincĂ©e de cannelle.
Jeunes Ă©tudiants dans les annĂ©es 1950, nous passions parfois nos vacances Ă  Caen, non comme touristes, mais pour y donner un coup de main aux Castors, ce mouvement coopĂ©ratif d’auto- constructeurs, qui fabriquait des maisons pour les victimes des bombardements anglo-amĂ©ricains de 1944. Je me souviens que pendant trois semaines on y produisit des parpaings avec une machine Ă©tourdissante. BĂ©nĂ©voles, on avait le gĂźte et le couvert dans un couvent, oĂč les repas Ă©taient assortis de moult camembert et brillat-savarin. Sans parler du cidre qui coulait Ă  flots. Sur les chantiers, les femmes du coin nous faisaient boire un petit calva « pour nous donner des forces ». Et quand elles demandaient « ça va ? » on rĂ©pondait « couci couça ! », ce qui prouve qu’on avait vite acquis la maĂźtrise de la rĂ©ponse normande. Laquelle donnait droit Ă  un Ă©niĂšme calva.
Vingt ans plus tard, Stone et Charden chantĂšrent un air entraĂźnant qui disait tout le bien qu’il fallait penser de la vie « made in Normandie ». Ce n’était pas moins miĂšvre que la chanson de BrĂ©at, mais l’idĂ©e d’un « petit village plein d’amis » nous plaisait. Car qui sait, peut-ĂȘtre dans la banlieue de Caen vivent encore des gens d’un certain Ăąge, dans des maisons en parpaings sortis de nos mains ?
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fallenrazziel · 7 years ago
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Les Chroniques de LivaĂŻ #75 ~ IL PLEUT DES MORTS (juin 832) Hannelore Church, Ă©leveuse des bas-fonds
L'histoire de LivaĂŻ comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité  Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de rĂ©pondre Ă  ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensĂ©es, des Ă©preuves qu'il a traversĂ©es, ainsi que celles des personnes qui l'ont cĂŽtoyĂ©, aimĂ©, admirĂ©, craint, dĂ©testĂ©. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertĂ©s seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront Ă©galement de mon invention. LivaĂŻ, un homme que l'on croit invincible et inatteignable
 Est-ce bien sĂ»r ? Jugez-en par vous-mĂȘmes.
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La garnison nous a ordonné de faire abattre notre cheptel de porcs.
On Ă©tait les seuls Ă  produire de la viande dans les bas-fonds. De bonnes bĂȘtes, aussi bonnes que celles de la capitale, je vous le dis ! Mais quand les premiers furoncles ont commencĂ© Ă  apparaĂźtre, j'ai su qu'on Ă©tait cuits. Mon Achim et moi, on va devoir se trouver un nouveau travail.
On a appris que le Mur Sina était aussi infecté maintenant. On est cernés par la mort.
Qu'est-ce qu'on va devenir ? Avec nos deux gosses, il faut bien qu'on trouve de quoi croĂ»ter. On peut mĂȘme pas manger la viande de nos bĂȘtes, on nous a assurĂ© que mĂȘme morte, la chair contaminĂ©e pouvait tuer. Crever de ça ou d'autre chose, ma foi... Il nous reste notre bonne vieille jument, qui a l'air de tenir le coup. On l'a cachĂ©e dans une des piĂšces de la maison, on veut pas que des salauds viennent nous la tuer pour la bouffer.
Tout le monde crĂšve la dalle. Les rĂ©serves de nourriture des bas-fonds sont au plus bas. Et ce sont pas les quelques morceaux de pain rassis que le gouvernement nous fait tomber gĂ©nĂ©reusement dans le bec qui va arranger les choses. MĂȘme si y a dĂ©jĂ  eu pas mal de morts, on est encore trop nombreux pour ce qui reste. Je me demande bien Ă  quoi elle a servi, cette marche du mois dernier. La maladie s'est rĂ©pandue quand mĂȘme, et apparemment, personne a encore trouvĂ© de solution. Ils feraient bien de se bouger le cul, lĂ -haut. Ma petite Ilsa tiendra pas le coup, elle est malade depuis trois jours ; on l'a confinĂ©e dans sa chambre, je ne monte plus que pour lui donner un peu Ă  boire ; mon grand, Furlan, tient le coup, mais je l'empĂȘche de sortir autant que possible. Je sais qu'il a pas de bonnes frĂ©quentations, et j'ai pas envie de perdre mes deux gosses...
Mon Achim revient de l'Ă©table avec sa hache sur l'Ă©paule. Il a fait leur affaire aux cochons dĂ©jĂ . Furlan le suit, le regard un peu dans le vague. Nous qui voulions lui lĂ©guer l'Ă©levage... Il est bon en calcul et en affaire, et il a le sens du travail bien fait, il aurait fait un bon Ă©leveur. Je me dĂ©tourne de mes deux hommes, sans dire un mot, et je monte Ă  l'Ă©tage. J'entends ma petite fille gĂ©mir doucement, comme dans un souffle. La garnison a dit que l'eau de la fontaine Ă©tait peut-ĂȘtre contaminĂ©e, mais il faut bien qu'on boive quelque chose, non ? Je pense que ce sont des bĂȘtises, l'eau de la fontaine, tout le monde en boit ici, et si tout le monde est pas encore mort, c'est qu'elle doit encore ĂȘtre bonne. J'en monte un verre Ă  Ilsa. Avant, je mets un torchon sur ma bouche et mon nez.
Elle semble dormir mais je sais qu'elle souffre le martyr : les pustules qui couvrent ses cuisses l'empĂȘchent de bouger, chaque mouvement est un calvaire pour elle. On aurait pu l'emmener au refuge, transformĂ© en hĂŽpital, mais elle voulait pas ĂȘtre toute seule. Elle est dĂ©jĂ  si sage pour son Ăąge... Mon petit ange... Je lui Ă©ponge un peu le front avec un linge et je la fait boire. Ses lĂšvres sont sĂšches... Elle ne mange plus rien depuis un moment dĂ©jĂ . Elle prĂ©tend ne rien pouvoir avaler. Mais Furlan, qui va de temps en temps voir sa soeur, m'a rĂ©vĂ©lĂ© qu'elle prĂ©fĂ©rait nous laisser le peu de nourriture qui restait... Avoir conscience de la mort qui arrive, quand on a que huit ans... Chienne de vie... Je la voie rouler les yeux, elle va se mettre de nouveau Ă  dĂ©lirer... Mes enfants sont trĂšs proches ; c'est pour ça que Furlan s'en va si souvent de la maison, il veut plus voir sa soeur malade.
J'entends le pas de mon mari dans l'escalier. Un autre torchon sur le nez, il me fait signe de le suivre. Je laisse ma petite Ilsa seule de nouveau ; Ă  chaque fois, je me dis que c'est peut-ĂȘtre ma derniĂšre visite... Achim enlĂšve son torchon en bas des escaliers et me dit qu'on va devoir se rĂ©soudre Ă  tuer la jument... Elle semble en bonne santĂ© gĂ©nĂ©rale - bien que maigre comme tous les chevaux des bas-fonds - et sa viande ne doit pas ĂȘtre gĂąchĂ©e... De toute façon, si on le fait pas, les voisins risquent de le faire Ă  notre place, alors autant prendre les devants.
Furlan va ĂȘtre si triste... Il adore cette bĂȘte... Mais ce qui compte, c'est de survivre le plus longtemps possible.
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jadelaflamme · 5 years ago
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Raftsmen de la vallĂ©e de l’Outaouais
LĂ  ousqu'y sont, tous les raftsmen? (X 2)
Dans les chantiers y sont montés.
REFRAIN (aprĂšs chaque couplet)
Bing sur la ring! Bang sur la rang!
Laissez passer les raftsmen
Bing sur la ring! Bing, bang!
Et par Bytown y sont passés (X 2)
Avec leurs provisions achetées.
En canots d'écorc' sont montés(X 2)
Et du plaisir y s'sont donné.
Des «porc and beans» ils ont mangé (X 2)
Pour les estomacs restaurer.
Dans les «chanquiers» sont arrivés (X 2)
Des manch's de hache ont fabriqué.
Que l'Outaouais fut étonné (X 2)
Tant faisait d'bruit leur hach' trempée.
Quand le «chanquier» fut terminé (X 2)
Chacun chez eux sont retournés.
Leurs femm's ou blond's ont embrassé (X 2)
Tous trĂšs contents de se r'trouver!
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initiales-bd · 8 years ago
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noTitle - freestyle
Quand la folie me prend,
Que mon corps clignote,
Prends la forme d'un Tom Jedusor
Je sais trĂšs bien ce que je ne veux pas ĂȘtre : Voldemort
Je sais trĂšs bien ce que je ne veux pas ĂȘtre : Voldemort
 Sa peur était la mort ma raison de vivre c'est la mort
Ce qui me motive c'est la mort
On se demande tous ce qui se passe aprĂšs la mort
Ce qui m'importe c'est sur terre mĂȘme aprĂšs
ArrĂȘter vos Ă©goĂŻsme je pense Ă  la terre aprĂšs ma mort
Que sera la terre aprĂšs ma mort
Je suis drivé j'ai le more uniquement parce que je pense à la mort
La mort la mort la mort
Le spectre de la mort dans les coins de rue
Le spectre de la mort sur l'autoroute A10 un jour,
Titubant, merde qu'est-ce que je fais lĂ 
Putain la mort m'a appelé j'ai répondu ce jour là
La mort, la mort, la mort, la mort
Je n’ai pas peur de la mort mais de mourir faignant
Nique tous ces artistes ennuyant
Aux joies de vivre factice
DerriĂšre les coulisses, avale quelques calmants
Le café pour le travail la C pour les soirée
Vie vécu sans la voir c'est ça le désespoir
Dans les couloirs de la mort, les fĂȘtes sont macabres
L'addiction est une boulimique infini inimplosable
La vie un défi personnel insatiable
La croyance d'Ă©ternel un premier mensonge tendu
Ce voiler la face dans le voilier de la vie
Ou prendre le bon mistral et voguer plus clairement,
Plus sainement, que tout leur régime sans porc sans crevettes débile. Mettre du thyn serait interdit parce qu'un chat noir à pisser dessus avant Jésus. N'importe quel connerie fait l'affaire ; pour les satisfaire, ces croyants débile de l'enfer. Je ne veux pas d'un monde d'athée, j'aurais personne à détester ; mais avouer, dieu est un bon cas d'école pour se pignocher d'un savoir insensé.
Je m'Ă©gard j'ai Ă©crit trois textes se soir je publie le plus mauvais juste pour faire chier ; on en a jamais assez des rimes en "Ă©".
Je crois pas au paradis pas Ă  l'enfer,
Pour enterrer la hache de guerre
J'ai des sachets de MD.
J'ai reconstitué le corps de Mata Hari
Juste pour pouvoir avoir une amie,
Mais elle s'est échappée par une trappe
Et paf ! c'est le retour de l'ennui.
Pas besoin d'guedro de trace
Pour tracer mes lignes dans l'inspiration,
Mais de nombreux livres de désespérés.
Je deviendrai jamais un auteur fauché ;
J'ai la faucheuse comme motivation,
J'ai qu'une vie je crois pas en la réincarnation.
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poupounes-trotters · 8 years ago
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Erbazzone aux Ă©pinards Ă  l’ail
Pfou ! Mo et MO sont débordés en ce moment, il est temps de faire une pause avec une douce recette ! 
Un beau jour, Mo a goĂ»tĂ© chez une amie, une dĂ©licieuse tourte aux Ă©pinards, bien parfumĂ©e... Ce plat revenait dans sa mĂ©moire: des souvenirs de rĂ©gal, de pĂąte fondante et d’Italie qui l’ont poussé à enfin lui demander sa recette. 
VoilĂ  donc, l’erbazzone d’aprĂšs Ihintza-Chloë (merci !):
Pour une petite erbazzone, pour deux personnes, il te faut :
Pour la pĂąte :
-100g de farine blanche -2 cuillĂšres Ă  soupe d’huile d’olive -50g d’eau tiĂšde -2 pincĂ©es de sel
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>Dans un cul-de-poule, mĂȘle la farine et le sel.
>Verse l’huile d’olive et mĂ©lange, puis ajoute l’eau tiĂšde progressivement. PĂ©tris Ă  la main jusqu’à obtenir une pĂąte souple et lisse.
>Enveloppe la pùte dans un film alimentaire et réserve au frais pendant 30 minutes.
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Maintenant, pour la garniture il te faut :
-300g d’épinards -2 gousses d’ail -du sel, du poivre, un peu de piment -100g de parmesan
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>Nettoie et Ă©goutte les feuilles d’épinards. >Place-les dans un saladier, enlĂšve la peau d’une gousse d’ail et pique-la au bout d’une fourchette. Touille les feuilles avec cet ustensile, en frottant l’ail sur les Ă©pinards, ça va les teinter d’un trĂšs bon parfum !
>Dans une grande poĂȘle, fais chauffer un gĂ©nĂ©reux fond d’huile d’olive, puis ajoute les Ă©pinards. 
>RĂ©cupĂšre la gousse, Ă©pluche la seconde : hache l’ail en petits dĂ©s et ajoute-les dans la poĂȘle avec les Ă©pinards. Laisse cuire 8 minutes environ, puis coupe le feu, sale, poivre, pimente et rĂ©serve.
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Il est temps d’étaler la pĂąte ! 
>Sors-la de son plastique et forme un boudin afin d’en prĂ©lever deux-tiers. 
>Etale finement tes deux portions de pĂąte, en galettes rondes ou rectangulaires.
>Huile le fond et les bords d’un plat Ă  gratin >Prends ta pĂąte Ă©talĂ©e (la plus grande des deux) et place-la au fond du moule. >Recouvre d’épinards en prenant soin de laisser un peu de bordure, pour pouvoir la refermer ensuite. >Saupoudre copieusement de parmesan avant de recouvrir le tout avec ta seconde pĂąte Ă©talĂ©e. >Roule les deux bordures ensemble pour refermer l’oeuvre.
>Hop ! Au four pour 30 minutes Ă  180°C et c’est prĂȘt !
conseils dĂ©gustation: Tu peux badigeonner l’erbazzone de beurre fondu, pour faire briller la pĂąte. Ihintza nous indique que dans sa recette, on utilise du gras de porc. Dans tous les cas, pique ta pĂąte au dessus et en dessous avec une fourchette avant d’enfourner.
Et voilĂ  ! Mo&MO ont retrouvĂ© les saveurs perdues et sont partis dĂ©guster cette merveille au bord de l’eau ! 
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wildoute · 8 years ago
Quote
" Trace l'inĂ©gal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet Ă©crit nĂ© Perec. L'arc lu pĂšse trop, lis Ă  vice versa. Perte. Cerise d'une vĂ©ritĂ© banale, le Malstrom,Alep, mort Ă©dulcorĂ©, crĂȘpe portĂ© de ce dĂ©sir brisĂ© d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont Ă©reintĂ©, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bĂąti, miette vice versa du jeu que fit, nacrĂ©, mĂ©dical, le sĂ©lĂ©nite relaps, ellipsoĂŻdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolĂ© me ravale : le verre si obĂ©i du Pernod -- eh, port su ! -- obsĂ©dante sonate teintĂ©e d'ivresse. Ce rĂȘve se mit -- peste ! -- Ă  blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algĂšbre s'Ă©labore de l'or Ă©valuĂ©. Idiome Ă©tirĂ©, hĂ©site, bĂątard repliĂ©, l'os nu. Si, Ă  la gĂȘne secrĂšte -- verbe nul Ă  l'instar de cinq occis --, rets amincis, drailles inĂ©gales, il, avatar espacĂ©, caresse ce noir Belzebuth, oeil offensĂ©, tire ! L'Ă©cho fit (Ă  dĂ©sert) : Salut, sang, robe et Ă©tĂ©. FiĂšvres. Adam, rauque ; il Ă©crit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilĂ©, gĂ©nial Ă  la rue (murmure sud eu ne tire vaseline sĂ©parĂ©e ; l'Ă©peire gelĂ©e rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'...). Ressac. Il frĂ©mit, se sape, na ! Eh, cavale ! Timide, il nia ce sursaut. Hasard repu, tel, le magicien Ă  morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs Ă©mu, mixa, mĂȘla : Hep, Oceano Nox, ĂŽ, bĂ©chamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cĂšdre, malabar faible, ArsinoĂ« le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, mĂ©dicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retĂȘter : gercĂ©, repu, dentĂ©...) ni tobacco. Tu, dĂ©sir, brio rimĂ©, eh, prolixe nĂ©crophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-nĂ© ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzĂ©virs t'obsĂšdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier tĂ©ocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'Ă©ruptives Ă  babil -- admonesta, fil accru, TĂȘtebleu ! qu'Ariane Ă©vitĂąt net. Attention, Ă©bĂ©nier factice, ressorti du rĂ©el. Ci-gĂźt. Alpaga, gnĂŽme, le hĂ©ros se lamente, trompĂ©, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu ; ce sacrĂ© bedeau (quel bĂąt ce JĂ©sus !). Palace piĂ©gĂ©, TorpĂ©do drue si Ă  fellah tĂŽt ne peut ni le Big Ă  ruer bezef. L'eugĂ©niste en rut consuma d'art son Ă©pi d'Ă©olienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, Ă©lĂšvera, Ă©lu, bifocal, l'ithos et notre pathos Ă  la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion Ă©clatĂ© : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famĂ©), degrĂ© vide, julep : macĂ©doine d'axiomes, sac semĂ© d'École, vĂ©niel, ah, le verbe enivrĂ© (ne sucer ni arrĂȘter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman Ă  Ă©cho, l'art su, oh, tara zĂ©ro, belle Deborah, ĂŽ, sacre ! Pute, vertubleu, qualitĂ© si vertu Ă  la part tarifĂ© (dĂ©calitres ?) et nul n'a lu trop s'il sĂ©ria de ce basilic Iseut. Il Ă  priĂ© bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolĂątre DNA en sus) rĂȘvĂ©s, Ă©vaporĂ©s : ArbalĂšte (bĂštes) en noce du Tell ivre-mort, Ă©meri tu : O, trapu Ă  elfe, il lie l'os, il lia jĂ©rĂ©miade lucide. PĂ©tard ! Rate ta reinette, bigleur cruel, non Ă  ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied Ă  monstre velu, ange ni bĂȘte, sec Ă  pseudo dĂ©lire : Tsarine (sellĂ©e, lĂ ), Cid, ArĂ©tin, abruti de Ninive, DĂ©janire... Le Phenix, Ăšve de sables, Ă©cartĂ©, ne peut Ă©garer racines radiales en mana : l'Oubli, fĂ©tiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ĂŽ, Licorne Ă©cartelĂ©e, SirĂšne, rumb Ă  bannir Ă  ma (Red n'osa) niĂ©re de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'Ă©cale ; Volcan. Roc : tarot cĂ©lĂ© du PĂšre. Livres. SilĂšne bavard, repliĂ© sur sa nullitĂ© (nu Ă  je) belge : ipsĂ©itĂ© banale. L' (eh, ça !) hydromel Ă  ri, psaltĂ©rion. ErrĂ©e Lorelei... Fi ! Marmelade dĂ©virĂ© d'Aladine. D'or, NoĂ«l : crĂšche(l'an ici taverne gelĂ©e dĂšs bol...) Ă  santon givrĂ©, fi !, culĂ© de l'Ăąne vairon. Lapalisse Ă©lu, gnoses sans orgueil (Ă©cru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crĂąneur ! ** * Rue. Narcisse ! TĂ©moignas-tu ! l'ascĂšse, lĂ , sur ce lieu gros, nasses ongulĂ©es... S'il a pal, noria vĂ©nale de Lucifer, vignot nasal(obsĂ©dĂ©e, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid Ă  la dĂ©rive, DĂšdale (M... !) ramifiĂ© ? Le rĂŽle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'Ă©lan abĂȘti : EspiĂšgle (bĂ©jaune) Till : un as rusĂ©. Il perdra. Va bene. Lis,  servile  repu  d'Ă©lectorat,  cornac,  Lovelace.  De  visu, oser ? Coq cru, ĂŽ, Degas, y'a pas, ĂŽ mime, de rein Ă  sonder : Ă  marin nabab, murĂšne risĂ©e. Le trace en roc, ilote cornĂ©en. O, grog, ale d'elixir perdu, ĂŽ, feligrane ! Eh, citĂ©, fil bu ! ĂŽ ! l'anamnĂšse, lai d'arsenic, arrĂ©rage tuĂ©, pĂ©nĂ©tra ce sel- base de Vexin. Eh, pĂšlerin Ă  (Je : devin inĂ©dit) urbanitĂ© radicale (elle s'en ira...), stĂ©rile, dodu. Espaces (Ă©tĂ© binĂ© ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolĂ© : canon ! Leur cruel gibet te niera, tĂȘtard ratĂ©, pĂ©dicule d'aimĂ© rejailli. Soleil lie, flĂ©au, partout ire (MĂ©tro, Mer, Ville...) tu dĂ©connes. ÉtĂ© : bĂštel Ă  brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni Ă  Livarot ni Ă  Tir ! Amassez. N'obĂ©ir. Pali, tu es ici : lis abĂ©cĂ©daires, lis portulan : l'un te sert- il ? Ă  ce dĂ©fi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rĂȘvĂ© tu perças ? Oh, arobe d'ellĂ©bore, Zarathoustra ! L'ohcĂ©an Ă  mot (Toundra ? Sahel ?) Ă  ri : Lob Ă  nul si Ă  ma jachĂšre, terrain rĂ©cusĂ©, nervi, nĂ©e brĂšve l'haleine vĂ©loce de mes casse-moix Ă  (DĂ©ni, ĂŽ !) dĂ©campĂ©. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle(Ă©tal, ce noir Ă©dicule cela mal) ascĂšse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ĂŽ, fibule Ă  reve l'Énigme (d'idiot tu) rhĂ©toricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si nĂ© Guelfe, zĂ©breur Ă  Gibelin tuĂ© (pentothal ?), le faiseur d'ode protĂšge. IpĂ©ca... : lapsus. Eject Ă  bleu qu'aĂšde berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tĂŽt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et nĂ©, mal essorĂ©, hĂ©lĂ©. Mon gag aplati gicle. Érudit rossĂ©recit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bĂšte, turc, califat se(nom d'Ali- Baba !) sĂ©vit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-Ă©treinte... Nos masses, elles dorment ? Etc... AxĂ© ni Ă  mort-nĂ© des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'Ă©garent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (OrphĂ©e), miroir brisĂ© du toc cabotin et nĂ© du Perec : Regret Ă©ternel. L'opiniĂątre. L'annulable. Mec, Alger tua l'Ă©lan ici dĂ©mission. Ru ostracisĂ©,notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (Ă©lu camĂ©lĂ©on !), IsraĂ«l, Biafra, bal Ă  merde : celez, apĂŽtre Luc Ă  JĂ©ruzalem, ah ce boxon ! On Ă  Ă©copĂ©,ha, le maximum Escale d'os, pare le rang inutile. MĂ©tromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusĂ© ! Cain ! Lied imitĂ© la vache (Ă  ne pas estimer) (flic assermentĂ©, rengagĂ©) rĂ©git. Il Ă©vita, nerf Ă  la bataille trompĂ©. HĂ©, dorĂ©e, l'ÉgĂ©rie pelĂ©e rape, sĂ©nile, sa vĂ©ritĂ© nue du sĂ©rum : rumeur Ă  la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-crĂ©che, ergot, pur, BĂątir ce lieu qu'Armada serve : if Ă©tĂ©tĂ©, Ă©borgnas- tu l'astre sĂ©datif ? Oh, cĂ©lĂ©ritĂ©s ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise ; l'Ăąge : ni sel-liard (sic) ni master- (sic)-coq, ni cĂ©drats, ni la lune brĂšve. TercĂ©, sĂ©nĂ©galais, un soleil perdra ta bĂ©tise hĂ©ritĂ©e (Moi-Dieu, la vĂ©role !) DĂ©roba le serbe glauque, pis, ancestral, hĂ©breu(Galba et Septime-SĂ©vĂšre). Cesser, vidĂ© et niĂ©. Tetanos. Etna dĂšs boustrophĂ©don rĂ©pudiĂ©. Boiser. RĂ©vĂšle l'avare mĂ©lo, s'il t'a bĂ©ni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rĂ©tine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rĂȘve, civette imitable, tu as alertĂ©, sort Ă  blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t- il, ĂŽ, baiser vil ? Ă  toi, nu dĂ©sir brisĂ©, dĂ©cĂ©dĂ©, trope percĂ©, roc lu. DĂ©trompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abĂȘti, revenu. DĂ©sire ce trĂ©pas rĂȘvĂ© : Ci va ! S'il porte, sĂ©pulcral, ce repentir, cet Ă©crit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'Ă©cart. " Georges Perec, Au Moulin d'AndĂ©, 1969
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perfectstudentfestivalpalace · 5 years ago
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meditationxi · 2 months ago
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Thai skewers
@deanedwardschef https://www.instagram.com/reel/C97XuxVs5r-/
Au porc hachĂ©. Sans la coriandre parce que c’est vert et y’en a un qui aurait refusĂ© Ă  cause de ça
 Et bon, j'aurais dĂ» m'en douter, Ă  cause du poivre blanc, y'a que moi qui les aime.
Le truc pour les former, A1 !
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universallyladybear · 5 years ago
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Et de ne pas avoir de dĂ©tails sur l’installation de tes soeurs et de la stabilitĂ© de ton frĂšre robert mon cher françois mes

Portique balançoire toboggan pas cher
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Portique balancoire pas cher
Que vous puissiez utiliser les fonctionnalitĂ©s de ce site internet tour de jeu peuvent ĂȘtre fixĂ©s en utilisant au choix l’une de ces possibilitĂ©s conseil de montage.
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Portique avec cabane et toboggan
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Cabane de jardin avec toboggan
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Balançoire avec cabane bois
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thefrenchpatissier · 5 years ago
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Tu adores les fruits ? Un calendrier des fruits de saison est accrochĂ© dans tes toilettes ? Pire qu’un(e) fan de Marvel, tu ne rates aucune “date de sortie” des fruits estivaux ? Cette recette va te plaire !
Si la rentrĂ©e signe un peu la fin de l’étĂ©, le festival des fruits estivaux n’est pas pour autant terminĂ© : c’est la saison des figues ! Et comme ce fruit fragile ne fait qu’une courte apparition sur les Ă©tals des marchĂ©s, je m’empresse de te proposer la recette de mes tartelettes aux figues fraiches et aux noix.
C’est un dessert trĂšs peu sucrĂ©, parfait pour accompagner ta rentrĂ©e tout en douceur.
Ici, la figue est majoritairement utilisée crue, cueillie mûre à point et juste déposée sur la tarte, mais également travaillée rÎtie et pochée.
Son goĂ»t dĂ©licat et suave se marie parfaitement avec l’astringence de la noix, justement dosĂ©e pour Ă©quilibrer le sucre naturel du fruit. Quant aux notes de miel et de feuille de figuier, elles apportent respectivement un peu de rondeur et de fraicheur Ă  ce dessert dĂ©licat.
‱‱‱ QuantitĂ© : 6 tartelettes de 8cm de diamĂštre ‱‱‱ ‱‱‱ PrĂ©paration : 2h | Cuisson : 30min au four + 5min sur plaque de cuisson ‱‱‱ ‱‱‱ Repos : 24h | Difficulté : â–Čâ–Čâ–Č | Coût : €€€ ‱‱‱ ‱‱‱ Conservation du produit fini : 48h au frigo – IdĂ©alement 12h pour une dĂ©gustation optimale ‱‱‱
Matériel spécifique
8 cercles Ă  tartelette de 8cm de diamĂštre
Un cul-de-poule ou un saladier
Une petite casserole
Un fouet
Une maryse
Un robot pĂątissier (optionnel)
Une corne (optionnel)
Un mixeur plongeant (optionnel)
Une rĂąpe MicroplaneÂź ou un tamis (optionnel)
Etapes et rétro-planning
L’élaboration de ces tartelettes se dĂ©compose en 5 étapes :
Un écrasé de figues rÎties et marinées
Une crÚme légÚre à la feuille de figuier
Une pùte sucrée aux noix
Une crĂšme de noix au miel
La cuisson et la finition avec des figues fraĂźches et des cerneaux de noix.
Jour J-1 : Réalise les figues rÎties, la crÚme légÚre, la pùte sucrée et la crÚme de noix.
Jour J : Cuis tes fonds de tarte et effectue le montage.
La feuille de figuier est trĂšs souvent utilisĂ©e en cuisine et en pĂątisserie pour ses notes herbacĂ©es, chaudes, presque boisĂ©es. On l’utilise soit pour une cuisson en papillote, soit comme ici en infusion.
Allez, remonte tes manches et noue ton tablier, c’est parti !
Etape 1 : Figues rÎties et marinées au sirop de feuille de figuier
Ingrédients
Pour le sirop Ă  la feuille de figuier
100g d’eau
10g de miel de lavande
1,5g de feuille de figuier dont tu as Îté les nervures principales
Pour les figues rÎties et marinées
100g de figues fraiches bien mûres
9g de beurre
15g de miel de lavande
80g de sirop Ă  la feuille de figuier
Pour l’écrasĂ© de figues
90g de figues rÎties et marinées
45g de figues fraiches
Procédé
Fais un sirop en mettant Ă  bouillir l’eau et le miel de lavande. Une fois bouilli, ajoute la feuille de figuier hachĂ©e et laisse infuser 15 minutes.
Dans une petite casserole, fais mousser le beurre à feu doux. Ajoute les figues entiÚres et enrobe-les de beurre fondu. Ajoute le miel et continue à les arroser généreusement. Termine par les recouvrir de sirop filtré et laisse cuire quelques minutes.
Lorsque les figues sont molles, presque fondantes, débarrasse-les dans un récipient étroit (un verre) et couvre-les de sirop. Filme les figues au contact et laisse-les 24h au frais.
AprĂšs 24h, lave les figues marinĂ©es, puis hache-les finement avec les figues fraiches. RĂ©serve l’écrasĂ© au frais jusqu’au montage des tartelettes.
Etape 2 : CrÚme légÚre à la feuille de figuier
Ingrédients
90g de crĂšme entiĂšre
2g de feuille de figuier dont tu as Îté les nervures principales
3g de miel de lavande
45g de fromage blanc entier
3g de masse gélatine
Procédé
Fais chauffer la moitiĂ© de la crĂšme avec le miel jusqu’à frĂ©missement. Ajoute la feuille de figuier hachĂ©e et laisse infuser 15 minutes.
Chinoise la crÚme chaude sur la masse gélatine, mélange.
Verse enfin l’ensemble sur le fromage blanc et le reste de crĂšme froide. Mixe, puis filme la crĂšme au contact et rĂ©serve-la au frais jusqu’à utilisation.
Etape 3 : Pùte sucrée aux noix
Ingrédients
Pour la pùte sucrée
40g de beurre à température ambiante
25g de sucre glace
4g de poudre de noix
4g de poudre d’amande
0,3g de sel
16g d’oeufs Ă  tempĂ©rature ambiante
70g de farine type 55
Pour la dorure
20g de jaune d’oeuf
5g de crĂšme entiĂšre
Procédé
Si tu veux tout savoir sur la pĂąte sucrĂ©e, je t’invite Ă  dĂ©couvrir le dossier que je lui ai consacrĂ©e avant d’aller plus loin.
Dans la cuve de ton robot pĂątissier, Ă  l’aide de la feuille, crĂšme le beurre et le sucre glace. Si ton beurre est froid, assouplis-le avant d’incorporer le sucre glace. Lorsque le mĂ©lange est homogĂšne, ajoute la poudre d’amande, la poudre de noix et le sel.
Verse ensuite tes oeufs dans le mĂ©lange. S’ils sortent du frigo, verse-les en filet tout en continuant Ă  mĂ©langer afin d’éviter que le froid fasse figer ton beurre (il ferait alors des grumeaux). Lorsque le mĂ©lange est homogĂšne, ajoute la farine en une fois et donne quelques tours de robot. Le mĂ©lange doit ĂȘtre agglomĂ©rĂ© mais pas lisse.
Verse ta pĂąte sur un plan de travail farinĂ© et frase-la pour lui donner sa texture finale. Étale la pĂąte grossiĂšrement en forme de cercle Ă  l’aide de tes mains. Emballe-la dans du film alimentaire et laisse-la reposer au moins 1h au frigo.
Étale la pĂąte Ă  2mm d’épaisseur. DĂ©taille 8 cercles lĂ©gĂšrement plus petits que tes cercles Ă  tartelette. DĂ©taille Ă©galement 8 bandes dont la longueur est Ă©gale Ă  la circonfĂ©rence de tes cercles, et lĂ©gĂšrement plus large que leur hauteur.
Dispose les bandes de pĂąte Ă  l’intĂ©rieur de tes cercles bien beurrĂ©s, et lisse la jointure.  Ajoute les fonds de pĂąte. Soude le tout en exerçant une lĂ©gĂšre pression sur la pĂąte avec tes doigts. Assure-toi que tout est bien soudĂ© et que le fond forme un angle droit avec le bord. Pour finir, Ă©barbe le surplus de pĂąte Ă  l’aide d’un couteau d’office.
Laisse de nouveau reposer tes cercles au frigo le temps que la pĂąte soit froide.
PrĂ©chauffe ton four Ă  170°C chaleur tournante. Enfourne tes fonds (sans bille de cĂ©ramique !) pour 8 minutes de prĂ©cuisson. Sors-les du four et laisse les refroidir avant d’îter les cercles. Passe ensuite un lĂ©ger coup de rĂąpe ou de tamis afin d’égaliser les rebords.
MĂ©lange la crĂšme et le jaune de la dorure, puis applique-la au pinceau sur l’intĂ©rieur et l’extĂ©rieur de tous tes fonds de tarte. Enfourne-les de nouveau 5 Ă  6 min Ă  170°C, en mode chaleur tournante. Cette dorure va permettre d’impermĂ©abiliser les tartelettes et de leur donner une jolie couleur dorĂ©e.
Laisse une derniĂšre fois refroidir tes fonds de tarte.
Etape 4 : CrĂšme aux noix et au miel
Ingrédients
35g de poudre de noix
35g de miel de lavande
35g de beurre à température ambiante
35g d’oeuf Ă  tempĂ©rature ambiante
Procédé
Au batteur, Ă  la feuille, crĂšme le beurre et le miel Ă  petite vitesse sans faire foisonner le mĂ©lange. Ajoute la poudre de noix en une fois. Termine par l’oeuf en filet tout en continuant le mĂ©lange. Cesse dĂšs que le mĂ©lange est homogĂšne.
RĂ©serve la crĂšme de noix au frais, filmĂ©e au contact, ou directement dans une poche Ă  douille munie d’une douille de 10.
Etape 5 : Cuisson et finition
Ingrédients
12 à 15 figues fraiches (selon la générosité de tes tartelettes)
Quelques cerneaux de noix
Procédé
Préchauffe ton four ventilé à 170°C.
Dispose environ 20g de crĂšme de noix sur tes fonds de tarte. Ajoute quelques morceaux de figue fraiche et mets le tout Ă  cuire 7 minutes.
Une fois les tartes refroidies, monte la crĂšme lĂ©gĂšre au batteur et poche la jusqu’à quelques millimĂštres du rebord des tartelettes.
DĂ©pose ensuite une cuillĂšre d’écrasĂ© de figues et lisse-le Ă  ras Ă  l’aide d’une petite spatule coudĂ©e.
Dispose harmonieusement quelques tranches de figues (je coupe les figues en 8 pour avoir une Ă©paisseur de tranche qui me convienne) et termine par quelques Ă©clats de cerneaux de noix.
Tu peux alors laisser les tartelettes au frais jusqu’à dĂ©gustation.
Découvre toutes les étapes du montage de la tartelette aux figues fraiches et aux noix en vidéo.
youtube
Conseils, astuces et techno
La masse gélatine
C’est le mĂ©lange eau + gĂ©latine qu’on appelle masse gĂ©latine. Pour de la gĂ©latine en feuille, ça correspond au poids de la feuille de gĂ©latine hydratĂ©e et essorĂ©e. Pour de la gĂ©latine en poudre, compte 1 dose de gĂ©latine pour 6 doses d’eau froide. Laisse gonfler le tout au frigo et utilise la ensuite. Personnellement, j’utilise de la gĂ©latine de poisson, et je la dose exactement comme la gĂ©latine de porc.
***
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C'est la rentrée ? La fin de l'été ? Le concours de "Mister Morosité" dans les transports en commun ? Qu'importe ! Je te propose de garder le moral et les papilles en éveil, on a encore de beaux fruits de saison sur les étals de nos marchés. C'est la pleine saison des figues ! The French Pùtissier fait sa rentrée en t'offrant cette recette de tarte de saison associant à merveille la figue et la noix. Une recette parfaite pour attaquer septembre sur les chapeaux de roue, et pour se régaler au goûter ! Tu adores les fruits ? Un calendrier des fruits de saison est accroché dans tes toilettes ?
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fierdetrekroumen-blog · 6 years ago
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LA CULTURE KROUMEN
La région administrative de San Pedro regorge de richesses culturelles inestimables :
Les dialectes, différentes variantes de la grande langue krou, sont d’une diversité qui n’empêche pas la compréhension mutuelle ;
Les chants et les danses ne sont pas dénombrables. Personne ne pourrait en célébrer la beauté, surtout quand ils sont exécutés par les jeunes filles kroumen qui sont de véritables trésors de grâce et de beauté ?
Les rythmes, quel homme bien constitué ne se laisserait pas émouvoir et mouvoir par leur capacité à ébranler ce qu’il y a de plus intime en l’être humain ?
Les contes et légendes, Les proverbes inépuisables, qui pourrait les sonder jusqu’à la substantifique moelle ?
Les artisans des villages kroumen, qui pourrait les égaler en dextérité ? Ce sont de véritables maîtres dans l’art de tisser les nasses, les nattes et les paniers, de tresser les toitures des cases, de tailler les manches des fusils et des haches, de tendre les pièges aussi bien sur terre, sous terre que dans les airs ? Les sculpteurs qui, du bois inerte, peuvent faire surgir une statue éblouissante dans la splendeur de sa nudité.
Le district du Bas-Sassandra, constitué par les régions de San Pedro, de la Nawa et du Gboklè, est le premier pôle touristique en devenir de la Côte d’Ivoire.
Toutes les formes de tourisme existent dans les départements qui forment ce district. Il s’agit :
Du tourisme balnéaire ;
De l’écotourisme ;
De l’agrotourisme ;
Du tourisme sportif et culturel.
Le tourisme balnéaire peut se pratiquer à loisir sur le long littoral allant de Tabou à Fresco, dont le district de San-Pedro est doté ; lequel littoral comporte de nombreuses plages et baies, les unes aussi belles et aussi attrayantes que les autres. Qui n’a jamais entendu parler de la baie de Monogaga, à quelques km de San-Pedro, et de la baie des sirènes de Grand Béréby ? Les baies de Taki, de la Nawa ont aussi leur mot à dire.
A l’instar du tourisme balnéaire, l’écotourisme et l’agrotourisme ont des atouts à faire valoir, dans la région de San-Pedro, tout autant que dans la Nawa et le Gboklè. Des zones forestières y abritent de grandes exploitations agricoles et des aires protégées de renom. Il y a d’abord et avant tout, le parc international de Taï l’on peut considérer comme « l’un des plus importants vestiges forestiers du monde. D’ailleurs, il a été classé patrimoine mondial par l’UNESCO et contribue pour beaucoup à l’équilibre écologique de cette région ». Les massifs forestiers et les grandes plantations industrielles1de cacao, d’hévéa, de palmier à huile et de café qu’abrite le district du Bas- Sassandra sont autant de points d’ancrage pour le développement de l’écotourisme et de l’agrotourisme dans la région.
Le tourisme historique dispose également de potentialités qu’on peut exploiter, dans des villes comme Sassandra, Tabou, Grand Béréby où existent des vestiges de la colonisation.
En plus de son fabuleux potentiel touristique, de ses atouts naturels, la Région de San Pedro (district du Bas-Sassandra) dispose d’un patrimoine culturel riche et varié composé de jeux traditionnels, de tenues vestimentaires, de plats typiques et de danses dont la plus connue est le Bollo.
LES PRINCIPALES DANSES
LA DANSE KLÉ est dansée par des guerriers allant et rentrant d’une campagne guerrière, lors de guerres tribales. Elle est militaire. Elle est devenue une danse de réjouissance. Cette danse est accompagnée en plus des tam-tams, du cor, instrument espion à travers lequel on lance des messages codés aux guerriers pendant la bataille contre la tribu ennemie. Elle est étoffée de Gbaï, un groupe de personnes chantant les louanges de vaillants guerriers. Elle était aussi dansée lors du déplacement du Gbodio ou grand chef terrien. Aujourd’hui on danse le Klé dans le cadre des funérailles d’un vieillard, d’un ancien combattant. Le Klé est dansé dans toutes les tribus kroumen.
LA DANSE BOYÈ est une danse de réjouissance, organisée à l’occasion des mariages, de retrouvailles. L’on danse aussi le Boyé lors des funérailles d’une femme âgée. C’est le Klé au féminin. On la danse à Mani-Béréby et Iboké.
LA DANSE DU MASQUE OU GUÈLÈ est à la fois une danse de réjouissance de grande cause où le danseur porte un masque sortant ainsi de l’ordinaire. Le masque a un rôle social, économique voire politique très important. Il a un rôle de régulation de la société tout comme le Koui et le Dogbè, des sociétés initiatiques.
LA DANSE BOLLO fleuron de la culture kroumen, le Bollo est une danse de réjouissance. On la danse après la moisson de riz, et autrefois quand les Kroumen revenaient de leur navigation. Elle est accompagnée de tam-tam, de bouteille et de scie.
LA DANSE GBOTOWLA est une danse de réjouissance retraçant la généalogie des familles et des individus. Elle est accompagnée de tam-tam et de castagnettes
LA DANSE SIDA OU SEYAWA en fait essayer et voir si l’on veut traduire, est une danse moderne chantée et dansée par les femmes. C’est une danse d’origine ghanéenne importée dans notre région par les Kroumen revenant du Ghana.
LES CONTES 2
En matière de distraction nocturne, il y a, en pays kroumen, les contes ou doui en langue kroumen. Ces contes constituent un outil très efficace pour transmettre une mentalité ou une idéologie. Les contes, non seulement, ils divertissent, mais ils donnent aux hommes une formation permanente. Ils leur proposent des modèles. Ils montrent des animaux, des hommes placés devant des choix ou confrontés à des défis. Certains personnages choisissent la mauvaise voie, la voie de la tromperie, la voie de la facilité, celle de l’égoïsme. Et c’est l’échec. Les courageux, au contraire, ceux qui sont fidèles à la coutume et qui se comportent avec délicatesse, avec politesse, avec modestie, ceux-là, voient leur entourage se montrer bon pour eux et les événements tourner à leur avantage.
Tout naturellement, l’association AFEK qui est à la fois :
Le rassemblement d’hommes et de femmes (la diaspora et des personnes aux pays ) réunis par leur croyance commune en la force de leur culture ;
Le désir des membres est de se retrouver, d’être ensemble, de modifier qualitativement les relations entre eux et donc de bénéficier des avantages que cela peut engendrer : l’intelligence plurielle, la concertation, la solidarité et la convivialité ;
La volonté AFEK est de faire connaître sa culture, de l’intérioriser, d’en assurer la permanence et la différenciation partout où cela est possible, c’est-à-dire d’affirmer son refus d’un futur d’extinction sur le plan culturel, consciente qu’elle est que pour un peuple perdre sa culture l’expose inexorablement à la mort, à cette mort culturelle qui est bien plus terrible que la mort physique.
Se pose, jalousement, en dépositaire de toutes ces potentialités et en fait sa source d’inspiration.
LA LANGUE KROUMAN
On ne peut se réclamer d’une culture sans en parler la langue. La langue kroumen doit être comprise comme étant l’expression de la culture kroumen et inscrite sous le signe d’une fidélité à une tradition particulière. Son acquisition est donc un passage obligé pour accéder à celle-ci dont la promotion constitue l’essence même de L’A.F.E.K
Par ailleurs, au-delà du fait qu’elle est un outil précieux de promotion de la culture kroumen, la langue kroumen reste également un vecteur de brassage ethnique et de cohésion sociale ce dont notre pays, la Côte d’Ivoire qui traverse des moments difficiles (un euphémisme !), a plus que jamais besoin.
I – Alphabet kroumen 3
II – Le kroumen est une langue à tons 4
Les parlers kroumen sont parmi les nombreuses langues du monde qu’on appelle des langues à tons.
Il existe 3 signes de tons (4 mélodies tonales)
Ces 3 signes sont les suivants : ̔ ton haut :
̔yu « enfant » ̔kɔ « carpe » ̔kla « os » ̔flɔɔ « pain »
= ton bas montant :
=pli « porc-épic »
=pa « briquet »
- ton bas :
-pu « fusil »
-wodu « escargot »
III - La nasalisation
Elle est marquée par n à la fin de la syllabe : -wlnɔ. Après une consonne nasale (m, n, Ƌ, Ƌm) la voyelle est toujours nasalisée. Ainsi on ne la fait pas suivre d’un n :
- Ƌmʋ Cor,
Na Bois de chauffe.
IV – Les signes orthographiques spécifiques
Liste des signes orthographiques les plus courants que l’on ne trouve pas en français : 5
a) Voyelles
b) Consonnes
V – Les cours thématiques
Cours N° 1: La salutation
1er dialogue
Deux personnes, KapƐ et Hie, se saluent le matin Orthographes nationales ivoiriennes
Son correspondant français
Exemple en kroumen Signification
ᮜ
Ou
̔yu
« Enfant »
É­
E
kÉ­
« Crabe »
Δ
è
dΔ
« Chose »
ʋ
o dans «pot »
bʋ
« Jambe ».
Ɔ
o dans « port »
kɔ
« Peau d’animal ».
Béréby
Plapo
Tépo
Français
KabƐ :
-Nɔ ÊœnÉ­.
-NÉ­É­ ÊœnÉ­
-N Êœwʋ Êœle =le. Bonjour. (le matin)
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the-entangler · 7 years ago
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Le Grand Palindrome, Georges Perec
9691 ,EDNA' D NILUOM UA CEREP SEGROEG
Trace l'inĂ©gal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet Ă©crit nĂ© Perec. L'arc lu pĂšse trop, lis Ă  vice-versa. Perte. Cerise d'une vĂ©ritĂ© banale, le Malstrom, Alep, mort Ă©dulcorĂ©, crĂȘpe portĂ© de ce dĂ©sir brisĂ© d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont Ă©reintĂ©, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bĂąti, miette vice-versa du jeu que fit, nacrĂ©, mĂ©dical, le sĂ©lĂ©nite relaps, ellipsoĂŻdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolĂ© me ravale : le verre si obĂ©i du Pernod -- eh, port su ! -- obsĂ©dante sonate teintĂ©e d'ivresse. Ce rĂȘve se mit -- peste ! -- Ă  blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algĂšbre s'Ă©labore de l'or Ă©valuĂ©. Idiome Ă©tirĂ©, hĂ©site, bĂątard repliĂ©, l'os nu. Si, Ă  la gĂȘne secrĂšte verbe nul Ă  l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inĂ©gales, il, avatar espacĂ©, caresse ce noir Belzebuth, ĂŽ il offensĂ©, tire ! L'Ă©cho fit (Ă  dĂ©sert) : Salut, sang, robe et Ă©tĂ©. FiĂšvres. Adam, rauque; il Ă©crit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilĂ©, gĂ©nial Ă  la rue (murmure sud eu ne tire vaseline sĂ©parĂ©e; l'Ă©peire gelĂ©e rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'
). Ressac. Il frĂ©mit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien Ă  morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs Ă©mu, mixa, mĂȘla : Hep, Oceano Nox, ĂŽ, bĂ©chamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cĂšdre, malabar faible, ArsinoĂ« le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, mĂ©dicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retĂȘter : gercĂ©, repu, denté ) ni tobacco. Tu, dĂ©sir, brio rimĂ©, eh, prolixe nĂ©crophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-nĂ© ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzĂ©virs t'obsĂšdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier tĂ©ocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'Ă©ruptives Ă  babil -- admonesta, fil accru, TĂȘtebleu ! qu'Ariane Ă©vitĂąt net. Attention, Ă©bĂ©nier factice, ressorti du rĂ©el. Ci-gĂźt. Alpaga, gnĂŽme, le hĂ©ros se lamente, trompĂ©, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacrĂ© bĂ©deau (quel bĂąt ce JĂ©sus!). Palace piĂ©gĂ©, TorpĂ©do drue si Ă  fellah tĂŽt ne peut ni le Big Ă  ruer bezef. L'eugĂ©niste en rut consuma d'art son Ă©pi d'Ă©olienne ici rot (eh
 rut ?). Toi, d'idem gin, Ă©lĂšvera, Ă©lu, bifocal, l'ithos et notre pathos Ă  la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion Ă©clatĂ© : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famĂ©), degrĂ© vide, julep : macĂ©doine d'axiomes, sac semĂ© d'École, vĂ©niel, ah, le verbe enivrĂ© (ne sucer ni arrĂȘter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman Ă  Ă©cho, l'art su, oh, tara zĂ©ro, belle Deborah, ĂŽ, sacre ! Pute, vertubleu, qualitĂ© si vertu Ă  la part tarifĂ© (dĂ©calitres ?) et nul n'a lu trop s'il sĂ©ria de ce basilic Iseut.
Il a priĂ© bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolĂątre DNA en sus) rĂȘvĂ©s, Ă©vaporĂ©s : ArbalĂšte (bĂštes) en noce du Tell ivre-mort, Ă©meri tu : O, trapu Ă  elfe, il lie l'os, il lia jĂ©rĂ©miade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non Ă  ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied Ă  monstre velu, ange ni bĂȘte, sec Ă  pseudo dĂ©lire : Tsarine (sellĂ©e, lĂ ), Cid, ArĂ©tin, abruti de Ninive, DĂ©janire.. Le Phenix, eve de sables, Ă©cartĂ©, ne peut Ă©garer racines radiales en mana : l'Oubli, fĂ©tiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ĂŽ, Licorne Ă©cartelĂ©e, SirĂšne, rumb Ă  bannir Ă  ma (Red n'osa) niĂ©re de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'Ă©cale; Volcan. Roc : tarot cĂ©lĂ© du PĂšre. Livres. SilĂšne bavard, repliĂ© sur sa nullitĂ© (nu Ă  je) belge : ipsĂ©itĂ© banale. L' (eh, ça !) hydromel Ă  ri, psaltĂ©rion. ErrĂ©e Lorelei
 Fi ! Marmelade dĂ©virĂ© d'Aladine. D'or, NoĂ«l : crĂšche (l'an ici taverne gelĂ©e dĂšs bol
) Ă  santon givrĂ©, fi !, culĂ© de l'Ăąne vairon. Lapalisse Ă©lu, gnoses sans orgueil (Ă©cru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crĂąneur !
‱‱
Rue. Narcisse ! TĂ©moignas-tu ! l'ascĂšse, lĂ , sur ce lieu gros, nasses ongulĂ©es
 S'il a pal, noria vĂ©nale de Lucifer, vignot nasal (obsĂ©dĂ©e, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid Ă  la dĂ©rive, DĂ©dale (M.. !) ramifiĂ© ? Le rĂŽle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'Ă©lan abĂȘti : EspiĂšgle (bĂ©jaune) Till : un as rusĂ©. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'Ă©lectorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ĂŽ, Degas, y'a pas, ĂŽ mime, de rein Ă  sonder : Ă  marin nabab, murĂšne risĂ©e. Le trace en roc, ilote cornĂ©en. O, grog, ale d'elixir perdu, ĂŽ, feligrane! Eh, citĂ©, fil bu ! ĂŽ ! l'anamnĂšse, lai d'arsenic, arrĂ©rage tuĂ©, pĂ©nĂ©tra ce sel-base de Vexin. Eh, pĂšlerin Ă  (Je : devin inĂ©dit) urbanitĂ© radicale (elle s'en ira
), stĂ©rile, dodu. Espaces (Ă©tĂ© binĂ© ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolĂ© : canon ! Leur cruel gibet te niera, tĂȘtard ratĂ©, pĂ©dicule d'aimĂ© rejailli. Soleil lie, flĂ©au, partout ire (MĂ©tro, Mer, Ville
) tu dĂ©connes. ÉtĂ© : bĂštel Ă  brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni Ă  Livarot ni Ă  Tir ! Amassez. N'obĂ©ir. Pali, tu es ici : lis abĂ©cĂ©daires, lis portulan : l'un te sert-il ? Ă  ce dĂ©fi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rĂȘvĂ© tu perças ? Oh, arobe d'ellĂ©bore, Zarathoustra! L'ohcĂ©an Ă  mot (Toundra ? Sahel ?) Ă  ri : Lob Ă  nul si Ă  ma jachĂšre, terrain rĂ©cusĂ©, nervi, nĂ©e brĂšve l'haleine vĂ©loce de mes casse-moix Ă  (DĂ©ni, ĂŽ !) dĂ©campĂ©. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (Ă©tal, ce noir Ă©dicule cela mal) ascĂšse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ĂŽ, fibule Ă  rĂȘve l'Énigme (d'idiot tu) rhĂ©toricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si nĂ© Guelfe, zĂ©breur Ă  Gibelin tuĂ© (pentothal ?), le faiseur d'ode protĂšge. IpĂ©ca
 : lapsus. Eject Ă  bleu qu'aĂšde berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tĂŽt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et nĂ©, mal essorĂ©, hĂ©lĂ©. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-rĂ©cit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bĂšte, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sĂ©vit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-Ă©treinte

Nos masses, elles dorment ? Etc
 Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniùtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apÎtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d'os, pare le rang inutile. MĂ©tromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusĂ©! Cain! Lied imitĂ© la vache (Ă  ne pas estimer) (flic assermentĂ©, rengagĂ©) rĂ©git. Il Ă©vita, nerf Ă  la bataille trompĂ©. HĂ©, dorĂ©e, l'ÉgĂ©rie pelĂ©e rape, sĂ©nile, sa vĂ©ritĂ© nue du sĂ©rum : rumeur Ă  la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-crĂ©che, ergot, pur, BĂątir ce lieu qu'Armada serve : if Ă©tĂ©tĂ©, Ă©borgnas-tu l'astre sĂ©datif ? Oh, cĂ©lĂ©ritĂ©s ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'Ăąge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cĂ©drats, ni la lune brĂšve. TercĂ©, sĂ©nĂ©galais, un soleil perdra ta bĂ©tise hĂ©ritĂ©e (Moi-Dieu, la vĂ©role!)
DĂ©roba le serbe glauque, pis, ancestral, hĂ©breu (Galba et Septime-SĂ©vĂšre). Cesser, vidĂ© et niĂ©. Tetanos. Etna dĂšs boustrophĂ©don rĂ©pudiĂ©. Boiser. RĂ©vĂšle l'avare mĂ©lo, s'il t'a bĂ©ni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rĂ©tine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rĂȘve, civette imitable, tu as alertĂ©, sort Ă  blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ĂŽ, baiser vil ? Ă  toi, nu dĂ©sir brisĂ©, dĂ©cĂ©dĂ©, trope percĂ©, roc lu. DĂ©trompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abĂȘti, revenu. DĂ©sire ce trĂ©pas rĂȘvĂ© : Ci va ! S'il porte, sĂ©pulcral, ce repentir, cet Ă©crit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'Ă©cart.
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iferhounene · 7 years ago
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Iferhounene : L’insolite dans la vieille mosquĂ©e Mon mari est un mordu de la chasse. Il lui arriavait de s'oublier en poursuivant les nombreux gibiers qui sortaient de leurs refuges aprĂšs que le silence et l'obscuritĂ© compacte de la nuit s'installĂąt. Guerdja est ce flanc de coteau du col de Tizi Bouirene, bien exposĂ© au soleil et faisant face au village Ahdouche. La vĂ©gĂ©tation y est dense et variĂ©e. C’est un vĂ©ritable paradis de vergers de fruits et lĂ©gumes. Plusieurs sources y sourdent, fraiches et limpides. Le jour, cette rĂ©gion est habitĂ© par les fruits des haches, les cris d'enfants, les appels des femmes, et parfois les complaintes des paysans en mal de divertissement. La route carrossable et la riviĂšre qui descend dans Acif Naouana, prennent en sandwich les vastes surfaces arables pourtant bien inclinĂ©s sans ĂȘtre accidentĂ©es. Les parcelles de terrain y sont bien balises a cet endroit ou chacun protĂšge son bien avec de hautes haies naturelles renforcĂ©es avec des piquets en fer et du fil de fer. Tard dans la nuit, le vacarme des humains et le soleil resplendissant font place aux bruits furtifs, aux langages des animaux sauvages. C’est ce moment propice que choisit mon Ă©poux, armĂ© de son fusil de chasse, dissimulĂ© derriĂšre un arbre ou un gros rocher ou encore sous une haie touffue, attend son gros gibier. Souvent, ce sont des gros sangliers qui viennent Ă  sa rencontre. Mais ce qui l'attirait le plus ce sont les perdrix, ou encore ces gros volatils qui se dĂ©placent d'un arbre a un autre avec force cris et bruits d'ailes battant l'air et les feuillages. Il lui arrivait de poursuivre ses gibiers sur plusieurs mĂštres avant de l'abandonner aux multiples refuges camoufles sous de hauts buissons impĂ©nĂ©trables. Mais mon mari Ă©tait, devenu par la force de l'entrainement et de l'habitude un chasseur efficace. En effet il ne se passait pas un soir sans qu'il revienne avec sa gibeciĂšre pleine de gibiers de toutes sortes d'ou dĂ©bordent souvent des tĂštes de perdrix, des pattes de livres ou encore des fuseaux de porc Ă©pique. Un jour comme il s'en trouve d'autres dans l'annĂ©e, Mon mari en revenait de sa partie de chasse, empruntant l'unique ruelle qui traverse en le coupant le village de part en part en son milieu, il devait comme a l'accoutumĂ© pour rejoindre sa demeure, passer devant le seuil de la mosquĂ©e. Une mosquĂ©e vieille de plus de deux siĂšcles, dont la construction n'obĂ©it a aucune forme d'architecture mais qui disposait de toutes les commoditĂ©s et infrastructures traditionnelles : une cour en forme de balcon qui surplombe quelques villages construits sur l'Adret, une vieux minaret en forme de parallĂ©lĂ©pipĂšde, surmontĂ© d'une coupole ronde avec des trous disposĂ©s au quatre points cardinaux pour permettre au son de l'appel du muezzin de se disperser sur un rayon de 360 degrĂ©s. ArrivĂ© devant la porte d'entrĂ©e de la mosquĂ©e, en cheminant sur la ruelle du village, des jets de pierres le ciblaient visiblement et donc certains l'atteignirent sans le blesser. De qui s'agit-il au juste, se posa la question, mon mari, devant ce fait insolite?! Y a t il vraiment quelqu'un, cachĂ© dans cette mosquĂ©e, et trĂšs motivĂ© pour lui tendre un guet apens? Cherche t il vraiment  l'atteindre, ou bien avait juste l'intention de l'effrayer, histoire de se distraire en observant sa rĂ©action? S’agirait-il d'un plaisantin qui chercherait Ă  crĂ©er la panique devant sa victime, pour se donner un motif de railler mon Ă©poux, secrĂštement, devant les gens du village? Observant un moment de rĂ©flexion, retenant son souffle, figĂ© sur place, l'Ɠil vigilent, et les oreilles en alerte maximum pour voir d'ou venait les projectiles et s'il pouvait entendre un quelconque bruit de pas ou un souffle d'une respiration. Rien. Les jets de pierres continuaient de le viser. Il dĂ©cida partir Ă  la recherche de cet individu mystĂ©rieux. Braquant son fusil de chasse devant lui, le systĂšme de sĂ©curitĂ©  dĂ©verrouillĂ©, le chien en position de percuter la balle. Il entre a l'interieur de la mosquĂ©e, mais le noir de la nuit ne lui permettait de distinguer la prĂ©sence Ă©ventuelle d’une personne, ni meme celle des objets. Le voila maintenant au centre de la salle de priĂšre qu'il trouva vide de toute prĂ©sence et de meubles. Dans la piĂšce attenante, trĂšs rĂ©duite en surface et en hauteur ou sont entreposes les deux corbillards, un bruit insolite en sortit  mais que mon mari n'arrivait pas Ă  reconnaitre l'origine. S’agit-il de bruits de pas, ou bien un meuble que l'homme cachĂ© dans cette mosquĂ©e aurait bousculĂ© sur son passage? Rien de tout cela. Mon mari, en s'approchant de plus en plus de la source du bruit, finit par pĂ©nĂ©trer dans la petite salle ou se trouvent les deux corbillards. La, le spectacle qui s'offrait a lui le paralysa net. Les deux corbillards s'entrechoquaient dans un bruit lugubre, en dansant comme des fantĂŽmes mus par une main invisible dans un bruit effrayant. La danse des corbillards, et le bruit assourdissants des caissons en bois le plantĂšrent de stupeur. Il observa, presque inconscient, hypnotisĂ© je dirais, le mouvement d'ensemble, rythmĂ© de la bousculade que se livraient les corbillards sans que l'un ou l'autre ne semble en prendre le dessus. Un vĂ©ritable combat que se livraient les corbillards d’ou fusaient le bruit de caisses en bois secs qui vibrent dans les nerfs de mon mari pour finir comme une sorte de big bang dans son cerveau. Il n'eut aucun moment la prĂ©sence d'esprit ou la luciditĂ© nĂ©cessaire pour comprendre de quoi il s'agit, tant le phĂ©nomĂšne Ă©tait inĂ©dit, insolite et brutal. Il ne pouvait dire combien cela avait durĂ©. Il avait perdu le contrĂŽle de ses facultĂ©s, et ne pouvait meme plus penser a cet individu qui le harcelait a coup de pierres, il y avait juste quelques minutes. La scĂšne qu’il vit maintenant le vida de ses souvenirs comme si son cerveau Ă©tait formatĂ©. Reprenant, l'espace de quelques secondes ses esprits, il comprit qu’il Ă©tait a l’interieur de la mosquĂ©e, et savait que sa maison n'Ă©tait pas loin. La configuration des espaces Ă©taient ancrĂ©es dans son cerveau depuis son enfant. Ne sachant pas s’il rĂȘvait ou s’il vivait un moment de sa vie, dans un ultime effort de concentration et de mouvement, il sortit de la mosquĂ©e, longeant toujours l’unique ruelle du village qui le traverse de part en part, il tomba net devant l'entrĂ©e. Il pĂ©nĂ©tra presque en pas de charge, avec l'impression qu'il Ă©tait poursuivi. Chez lui il trouva tous les membres de la famille assoupis. Sans prendre la peine de diner, ni de se changer, il s'allongea sur son lit, Ă  cotĂ© de son Ă©pouse qu’il ne prit pas la peine de rĂ©veiller. La fiĂšvre s'installa dans son corps, il continua son aventure en cauchemardant le reste de la nuit et une bonne partie de la matinĂ©e qui suivait.
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