#pointillisme contemporain

[jonathan-pradillon]

Peinture contemporaine sur toile : Cycle rose.

Œuvre réalisée au pinceau à la peinture acrylique et au marqueur acrylique (Posca) sur châssis en bois entoilé en coton (100% coton, toile cloutée).  Couleurs iridescentes. Rebords du châssis peint à la peinture acrylique noire. Protection : œuvre vernie à la bombe aérosol brillante.

Pour voir un aperçu vidéo de cette peinture, rendez-vous sur : https://youtu.be/gvsVxSvRo5w

Format : 61 cm x 50 cm x 1,5 cm.

Diagonale : 78,9 cm.

Poids approximatif : 0,400 kg.

Date de réalisation : 05/2023. Artiste : Jonathan Pradillon

Pièce unique œuvre signée. Certificat d’authenticité fourni. Emballage soigné.

Prix : 650 €.

Pour acquérir cette peinture, rendez-vous sur :

Artinsolite : https://www.artinsolite.com/product-page/cycle-rose

Artsper : https://www.artsper.com/fr/oeuvres-d-art-contemporain/peinture/1970409/cycle-rose

Singulart : https://www.singulart.com/fr/oeuvres-d-art/jonathan-pradillon-cycle-rose-1829669

Artfinder : https://www.artfinder.com/manage/jonathan-pradillon/product/contemporary-art-painting-pink-cycle/?utm_campaign=shareaholic&utm_medium=copy_link&utm_source=bookmark

Artmajeur : https://www.artmajeur.com/jonathan-pradillon/fr/artworks/16878913/cycle-rose

Etsy : https://www.etsy.com/fr/listing/1477967462/tableau-contemporain-sur-toile-cycle?click_key=f4a6ffcd4c19083e894d5d0a10158c5ea4a99fd6%3A1477967462&click_sum=f0532989&ref=shop_home_active_1&pro=1

Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B0C6KPYSJQ?ref=myi_title_dp

Saatchiart : https://www.saatchiart.com/art/Painting-Pink-cycle/968246/10541107/view

[1939-wizard-of-oz]

Une impressionniste oubliée sort de l’ombre au musée de Pont-Aven : Anna Boch

Arts et Expositions

Par Guy Boyer le 06.02.2024

Montée avec le musée d’Ostende, l’exposition consacrée à la femme peintre et collectionneuse Anna Boch (1848-1936) permet de découvrir cette figure méconnue de la période impressionniste et postimpressionniste venue en Bretagne en 1901 et 1912.

Premier événement à bénéficier de la générosité du musée d’Orsay en parallèle à l’exposition « Paris 1874. Inventer l’impressionnisme » (du 26 mars au 14 juillet), l’exposition « Anna Boch. Un voyage impressionniste » au musée de Pont-Aven, jusqu’au 26 mai, met au cœur de son parcours le Portrait d’Eugène Boch de Vincent Van Gogh (1853-1890) prêté par le musée parisien. Cette œuvre importante souligne les liens de cette famille belge avec l’avant-garde des années 1890 et leur goût de la collection.

Collectionneurs de Van Gogh, Gauguin, Marquet

L’exposition commence par la carrière de peintre d’Anna Boch, de ses débuts en Belgique jusqu’à ses voyages en Bretagne et dans le Sud de la France. Malgré certaines œuvres assez faibles, le corpus de cette artiste méconnue surprend par certains éclairs de génie et plusieurs emprunts à ses contemporains comme Segantini ou Valtat. Vient ensuite une section dédiée à ses différentes demeures et ses commandes à des artistes Art Nouveau comme Victor Horta (une réussite) et Maurice Denis (un échec). L’un des chapitres les plus passionnants reste celui consacré à ses collections artistiques puisqu’Anna Boch et son frère Eugène possédaient des Ensor, Gauguin, Van Gogh, Émile Bernard, Paul Signac, Henry Moret et Albert Marquet.

Une fortune de faïence

En Belgique, le père d’Anna Boch est célèbre car il est le fondateur de la société de faïencerie Boch frères (antenne belge de Villeroy & Boch). La famille vit confortablement dans le château de La Closière, près de La Louvière. Dès les années 1870, Anna Boch décore des plaques, plats et assiettes en camaïeu de bleus. Dans ces premières créations de céramique, on peut retrouver des traces de sa formation auprès d’Isidore Verheyden, un peintre de plein air (ne pas manquer son incroyable portrait par Anna Boch, où on le voit penché sur un tableau posé en biais).

Avec le groupe des XX

Dès 1885, Anna Boch rejoint le salon des XX, un cercle artistique fondé par son cousin Octave Maus, où exposent James Ensor et Jan Toorop mais aussi une quantité d’invités étrangers. C’est là qu’elle voit les dernières nouveautés artistiques, du divisionnisme de Segantini au pointillisme de Seurat. On reconnaît dans le travail d’Anna Boch une solidité de la composition (ici le reflet du bouquet de fleurs dans un miroir) et une harmonie des couleurs.

Une famille voyageuse

Aimant se déplacer facilement, Anna Boch achète une Minerva en 1907. On la voit ici, à bord de l’automobile, parmi les paysages du Midi de la France. Deux tableaux superposés permettent de comparer son style et celui de son frère. Devant un même paysage méditerranéen surmonté d’une tour sarrasine, on voit leurs approches différentes. Lui (en haut) schématise la composition, elle (en bas) joue des effets de matières et de couleurs. Même le chauffeur, Albert Lepreux, est de la partie et plante son chevalet avec eux dans la nature, de la Normandie au Maroc.

La Bretagne en deux temps

En 1901 et en 1912, la troupe sillonne la Bretagne. De Bénodet à Carhaix, Anna Boch en ramène des paysages maritimes. Aux plages des bords de l’Odet du premier séjour succèdent les falaises et rochers de la Bretagne du nord. Les grands formats panoramiques sont ensuite remplacés par des toiles au cadrage resserré.

Des commandes aux artistes

C’est l’architecte belge Art Nouveau Victor Horta qui restaure en 1895 la villa d’Anna Boch dans le quartier de Saint-Gilles à Bruxelles. Huit ans plus tard, la commanditaire déménage dans une maison construite par Paul Hermanus à Ixelles, où elle fait transporter le décor de Horta, cheminée comprise. Elle imagine également un grand décor qu’elle confie à Maurice Denis mais devant toutes les allégories antiques que celui-ci propose, elle préfère renoncer.

En pleine nature

L’exposition se conclue par une section plus faible consacrée aux liens d’Anna Boch avec le groupe de peintres luministes Vie et lumière. Les scènes bucoliques de ramasseurs de glands ou de ramendeuses de filets, qu’elle réalise alors, perdent en nervosité et en contrastes colorés. Pourtant, c’est l’époque d’une certaine reconnaissance publique en France puisqu’elle expose à la galerie Druet en 1908. Dans les années 1930, elle organise le devenir de ses collections, donnant plusieurs œuvres aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ou au musée d’Ixelles.

https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/impressionnisme/une-impressionniste-oubliee-sort-de-lombre-au-musee-de-pont-aven-11189177/

[annemathurinillustration]

“Champagne !”, encre et peinture or sur papier, 2021

Pour la revue Dissonances #42

[sculptures-creations-art]

" Points de Venise"

[expliquemoilartcontemporain]

Lac Sainte-Anne, 2008, David Garneau.

Ça pixel'art ! La technique est la superposition des motifs tourbillonnants réalisés avec des points de ton clair sur une peinture aux contours simplifiés et une palette chaude. Un hommage et une réappropriation du pointillisme. Un clin d'oeil aux images de nos écrans créées à partir de milliers pixels. Le saviez-vous ? : pixel = picture element.

[galeriedescuriositesuniverse]

CACAHUÈTE @cacahuete_pirouette 2019 . Il y a peu nous avons rentré deux nouvelles créations. Deux inventaires de formes construite par pointillisme, présente en deux formats (A2 et A1). Ces séries limitées sembles nées pour briller dans des intérieurs contemporain, leur minimalisme tire sa source de la démarche de design, prouvant une fois de plus la co-dépendance entre tout les domaines de création. . Petite astuce, si ces œuvres s’inscrivent parfaitement comme décor mural associés à d’autres œuvres, les présenter au sol adossés à un meuble ou un mur, offrira une véritable ambiance loft ou atelier d’artiste à votre intérieur. . Rendez-vous sur notre boutique pour obtenir votre CACAHUÈTE! . #galeriedescuriosites #carnetdecroquis #minimalisme #createurfrancais #boutiquedeco #atelierdartiste #interieurdeco #decorationinterieure #frenchartist #amenagementinterieur #decorationmurale #consommerlocal #toulousemaville #frenchdesigner #designcollection #collectart #artcurator #boutiquecreateurs #boutiqueenligne (à Toulouse, France) https://www.instagram.com/p/CC6b6CvIluX/?igshid=xzrlbi5th3ve

[actusfrances]

Ma journée au Parc AnnéesquatrevingtdiX : quel avenir pour les parcs d'attractions ?

Tribune. Par Sabrina Daniel Calonne, réalisatrice.

Les vacances scolaires et en particulier celles de Noël sont propices à la consommation de parcs de loisirs : sortie familiale où l’on peut être "libres ensemble" (1), univers connecté à des produits culturels populaires, formule all-inclusive avec options de services personnalisés et boutiques de souvenirs, tout est réuni pour passer un bon moment. Pourtant, la perspective d’une telle sortie le 26 décembre ne m’enchantait guère. Se déplacer en voiture pour rejoindre un décor de carton-pâte concentrant des attractions gourmandes en électricité excitant des bambins bardés d’accessoires en plastique à l’effigie des personnages du lieu me paraissait décalé par rapport à nos préoccupations écologiques contemporaines. Mais être libres ensemble, c’est avant tout être ensemble. Me voici donc le 26 décembre à l’entrée du Parc Astérix. Une mousse projetée depuis les toits des maisons lutéciennes enveloppe les visiteurs massés devant les grilles d’une ambiance de Noël, et me rappelle à moi combien il est désormais rare de voir tomber la neige en hiver. Et si... Je me prends à savourer ces impressions que j’avais presque oubliées : un ciel gris en pointillisme ; les flocons qui se déposent silencieusement sur les cheveux, sur les épaules, sur les cils ; les joues roses des enfants aux yeux pétillants, tournés vers le ciel ; l’envie de tirer la langue pour en attraper un, au goût de… savon. Je suis néanmoins dans l’ambiance. Je cours ensuite de manège en manège, excitée moi aussi par cette débauche d’énergie électrique à ciel ouvert. Qu’importe pour une fois si les restaurants sont mauvais. On y sert des pizzas ou des pâtes réchauffées au micro-onde, des glaces bourrées de sucre dans la formule enfant : aucun effort sur le bio ou sur le story-telling des menus À la fin de la journée, j’ai marché 9,6 kilomètres, c’est à peu près le seul point positif, mon bilan carbone devant être dans le rouge si l’on tient compte en plus de la nuit que je m’apprête à passer à l’hôtel distant de quelques kilomètres, pour éviter les prix inabordables des hébergements du parc. Mais, avouons-le, j’ai passé un bon moment. J’ai le sentiment d’avoir fait un bon dans le passé, dans les années 90, à l’époque de mes dix ans et du fort engouement pour ces parcs d’attraction. L’engouement se dément-il d’ailleurs puisqu'en 2019 le Parc Astérix a accueilli 2,3 millions de visiteurs, contre 1,3 millions en 1992 ?

Et si le parc d’attractions de demain se nichait plutôt au cœur d’une forêt ?

Au fond, ces parcs 1.0, où il est convenu de dépenser son capital carbone, sont inspirants sur ce que pourraient être les attractions de demain. Imaginons des parcs exutoires pour mieux nous aider à tenir notre engagement écologique quotidien, des parcs ciblant les générations  qui n’ont pas grandi avec les sommets climatiques (2), et qui en 25 ans ont accumulé le poids des responsabilités sur leurs épaules : celles d’atténuer l’impact cumulé de leurs aînés sur l’environnement, de corriger le leur, et d’éduquer leurs enfants au zéro impact. Parmi les attractions : la reconstitution d’une autoroute où l’on peut conduire une voiture à essence ou diesel au-delà de 130 kilomètres / heure ; un escape game où il s’agit de mettre en marche le maximum d’appareils ménagers avant de quitter la cabine en laissant couler l’eau des robinets à flot ; pour la pause-déjeuner des hamburgers empaquetés et placés dans des emballages plus grands encore; des poubelles uniques sans tri des déchets, et partout, de la lumière halogène sur des manèges énergivores et pour nous y conduire, de jeunes gens distribuant des flyers qui finissent au sol, à voler au vent, avant de s’échouer sur les pas-de-portes des boutiques de souvenirs avec sacs plastiques. Reste à déterminer comment tout cela serait possible sans être effectivement polluant… Ma fille gigote et cherche à retirer son manteau. J’ai chaud, me dit-elle. Je lui rappelle que nous sommes en hiver, et que comme le suppose le dicton, il n’est pas question de se découvrir d’un fil avant mai. Elle hausse les épaules, et me fait remarquer que les dictons, on s’en moque un peu. Que répondre. Je n’avais jamais pensé au devenir des dictons de nos grands-mères dans le contexte du réchauffement climatique. Sera-t-il possible d’en inventer de nouveaux ? Le climat sera-t-il bientôt à nouveau suffisamment stable pour nous permettre d’échafauder des adages ?  Et si le parc d’attractions de demain se nichait plutôt au cœur d’une véritable forêt, avec des animaux sauvages, de la neige en hiver, et une saison basse en mars, à cause des giboulées ? Peut-être est-ce ce qui adviendra de nos parcs régionaux et nationaux, dans lesquels s’inventent déjà toutes sortes de sports outdoors et parfois extrêmes, recherchant précisément des sensations fortes ? Reste à déterminer qui prendra l’initiative de les mettre sous cloche, et à quels espaces nouveaux serait ensuite assignée la fonction "nature sauvage" ?

[1] Libres ensemble. L’individualisme dans la vie commune. François de Singly. Ed. Armand Colin. 2016 [2] La première COP est organisée à Berlin en 1995 après qu’en 1992, le troisième Sommet de la Terre à Rio ait intégré la protection de l’environnement et le développement durable comme incontournables pour l’avenir de l’Homme et de la planète.

À propos de l'auteur

Sabrina D. Calonne se consacre à l’écriture, à la réalisation de films documentaires et au développement de projets ayant pour fil rouge notre façon d’être au monde et d’être ensemble. Formée aux Ateliers Varan, elle prépare actuellement un projet de court-métrage « Mobiles », réflexion sur l’engagement politique d’une génération active et mobile, les quadragénaires, dans le village des Landes où elle réside.

from We Demain, une revue pour changer d'époque https://ift.tt/2GQkwis via IFTTT

[greguti]

Or donc, vendredi soir, j'étais à l’Écu de France à Viroflay pour découvrir le concert-performance d'artistes en résidence : le quatuor Talea et la plasticienne Isabelle Frank. Titre de l'oeuvre : "LOCO - D'un train l'autre".

Concrètement, le quatuor a joué deux pièces. D'abord toute l’oeuvre de Steve Reich Different Trains (et c'est déjà une gageure), qui dure 27 mn. Puis une composition de la violoniste Christine Massetti (en bas à gauche sur la photo), sur 27 mn aussi, en réponse et en reflet aux thématiques de Different Trains (la guerre, la folie meurtrière des nations, les trains qui permettent le voyage mais aussi la mort, les frontières qui séparent...).

La composition de Reich est un exemple célèbre de musique contemporaine "répétitive" et "minimaliste". Celle de Massetti est plus diversifiée, avec moult techniques de jeu différentes, des séquences quasiment bruitistes et d'autres mélodieuses et impérieuses, des moments d’intensité lors des évocations de l’absurdité de la guerre. Elle utilise à plusieurs reprises la technique de "l'archet rebelle", où les crins de l'archet sont libérés de leur support pour venir frotter tous ensemble les cordes de l'instrument. Debout, les cordes de son instrument frottées avec énergie, on a l’impression de voir une version pour violon d’un Jimi, qu’il soit Page ou Hendrix.

Pendant tout le concert, l'artiste Isabelle Frank peint des images abstraites et des paysages fugaces sur une vitre, projetée sur grand écran au-dessus des musiciennes. Ses mains projettent sur la vitre, à rythme soutenu, des taches et les rubans de couleurs, qui s'étalent, qui glissent et se mélangent lentement, jusqu'à ce que ces tableaux vivants s’effondrent d'un coup de pinceau rageur, comme des déchirures qui font place à d’autres compositions. On voit des galaxies, des plages, des champs, du pointillisme et de l’abstrait, du Kandinsky ou un happening psychédélique de 1968, et par moments on se croirait dans la séquence de la porte des étoiles du film de Kubrik, 2001, A Space Odissey. 

Le plus épatant dans tout ça, c'est que j'y suis allé avec mon fiston, presque 8 ans, mais en ayant assez peur qu'il s'ennuie rapidement face à une musique si particulière. Ben non, au contraire, il a adoré, autant le spectacle des images en mouvement que celui des musiciennes et leur musique.

Alors certes, mon fils est d'une intelligence et d'une sensibilité hors-norme, c'est un être tellement parfait (#ProudDadInside), mais je crois que cette réaction enthousiaste témoigne surtout de l'intérêt et de l'émotion qu'a suscité cette oeuvre.

Et donc voilà, maintenant j'ai le virus et je veux me plonger plus avant dans la musique contemporaine. A part Steve Reich, Philippe Glass et John Cage, faut dire que j'y connais pas grand chose encore. (Crédit photo : @viroflayculture sur Facebook) Suivez le Quatuor Talea sur Facebook : https://www.facebook.com/quatuortalea/ Le site d’Isabelle Frank : http://www.isabellefrank.fr

[leeclementpaintings-blog]

Peinture abstraite à l'huile de l'artiste américain Lenny Nobrega. . . Calme et contemplative, cette peinture à l’huile met en lumière des personnages hauts en couleur et attachants. L’expression de plaisir et de légèreté nous rappelle certains travaux de Matisse. La maîtrise du langage expressif de la couleur se dévoile, chez Nobrega, par un fin mélange et contraste des couleurs fauvistes et l’usage, pour le fond, de la technique du pointillisme à l'instar de Van Gogh ou de Seurat. Nobrega joue sur l’ambiguïté spatiale pour tacler l’un des principaux enjeux de la peinture moderne ; le conflit entre l’illusion de la profondeur et la planéité de la toile. Vu en vrai, l’effet détruit l’illusion... Et l'œuvre de Nobrega nous surprend, enchantés et émus. . . Œuvre disponible sur notre site (lien ⬆️) ou sur le site de notre partenaire Artper, numéro 1 des galeries d'art contemporain en ligne: http://www.artsper.com/fr/oeuvres-d-art-contemporain/peinture/157051/nuptials-on-neptune . . . #miamibeach #miami #laart #geneva #abstractart #montpellier #modernart #paris #france #galeretheartist #artsper #igersuk #instalike #instadaily #instagood #instaart #swag #vscocam #ストリートアート #アート #フランス#パリ #igersuk #instagramers #artist #investment #investor #finance #interiorstyling #interior @galerietheartist @lee.clement.art

[lescourspourjohanna]

des avant gardes aux surrealistes

TD1

Cours 1

Sem 2

DES AVANTS GARDES AU SURRÉALISME

Les avants gardes apparaissent dès 1905, avec le Fauvisme.  Avec la 1ère Guerre Mondiale, l’art ne peut plus être le même. On trouve le mouvement Dada durant l’entre 2 guerres. Les impressionnistes sont les premiers modernes. Manet n’a pas suivi les autres impressionnistes et Cézanne s’en revendique l’héritier. Puis le post-impressionisme avec néo-impressionisme/divisionnisme (en relation avec l’impressionnisme) le pointillisme, le symbolisme, les nabis, le cubisme, le futurisme, le constructivisme, l’expressionnisme allemand, le dadaïsme. Avec pour finir, le minimalisme, le pop art… La notion d’avant garde dans les années 1960 s’estompe et disparait. Le surréalisme intervient à la fin des avant gardes du XXeme. En France André Breton.

Depuis Manet il y a une prise de position des artistes avec ce rapport mimétique au réel et des règles de représentations.

BIBLIOGRAPHIE

Béatrice Joyeux-Prunel: Les avant gardes artistiques 1848-1918, Collection Folio Histoire.

Anna Boschetti Isme: Du réalisme au post modernisme, Edition CRNS, 2014

Denys Riout Qu-est-ce que l’art moderne?  Collection Folio, 2001

Jean Louis Ferrier, l’Aventure de l’art au XXeme siècle,1995

Philippe Dagen L’art français, le XXème

Kenneth Silver Vers le retour à l’orde, l’avant garde parisienne et la 1ere guerre modiale, 1991

L’art dada et le surréalisme

Michel Seuphor L’aventure de l’abstraction

Catalogue La Révolution Surréaliste, Centre Pompidou

Le surréalisme est à associé à l’idée de révolution. Elle apparait dans les années 2à et s’impose grâce notamment à une vraie internationalisation de l’art. Ce mouvement existe en France et s’exile aux Etats-Unis.  Au USA un mouvement s’impose vers les années 1940, l’abstraction. Vers les années 1950-60 en France, retour au réalisme avec les nouveaux réalistes. En Europe, les néo-dadaïstes américains, les artistes pop, en Allemagne les réalistes capitalistes.

Vision plutôt linéaire et progressiste de l’histoire de l’art,

Manet  (1832 1883) Avec Le déjeuner sur l’herbe titre d’origine Le Bain1863) Le sujet qui s’impose est la scène de bain, qui est rejeté à l’arrière plan. En tant la figure féminine peut est associé aux hommes. Exposé au Salon des Refusés. Les personnages son connus, on reconnait Victorine Meurent, Gustave Manet et son beau frère Ferdinand. On ne représente des être réels, nus sans prétexte mythologique.

Inspiré par Le concert champêtre de Titien, 1509, Il s’agit semble-t-il d’une allégorie de la poésie.

Référence aussi d’une gravure de Raphaël, Le jugement de Paris

Ce dont témoignentne l’art de Manet c’est le renvoi à un monde large de la peinture, les courtisanes, les nymphes… Il ne fait pas reference uniquement à des oeuvres du passé mais franchit les seuils du contemporain et s’inspire de son ainé réaliste brillant et charnel: Courbet.

Courbet, Baigneuses, 1853

Manet y fait référence ainsi que le titre d’origine.

Courbet, Demoiselles des bords de Seine, 1856

Manet déshabille les modèles, et les confrontent aux hommes habillés de manière  froide et frontale. Art cérébral dans la forme. La composition est innovante, par le traité en différente plans et  l’utilisation de la lumière: les formes se dissolvent. Forts contrastes de couleurs et grande palette chromatique réservée à la nature morte du premier plan. Manet peint clair sur clair, il n’y a pas d’ombre.Un éclairage venant presque du centre du tableau, une lumière frontale, supprimant quasiment le modelé. Lumière pas naturelle. Foucault dit« un corps féminin à la japonaise ».

Manet avec ce tableau rompt dans le fond et le forme avec ce que l’on considérait comme les règles de l’art. Idée que la nature de l’oeuvre d’art se défini moins par son degrés de ressemblance au réel qu’elle ne relèverait d’une expérience de sensations. Elle heurte la vision du public de l’époque. C’est une oeuvre qui scandalise le public. Suite aux critiques, Manet conserve sa force au rajeunissement des thèmes et des genres. Il réalise ensuite des natures mortes, inattendues, en 1865 il présente un duo de toiles au Salon: Le Christ au outrages, stigmatisé par sa vulgarité car absence d’idéalisation et Olympia. L’association de ces 2 toiles choques également. Mais elles sont présentées au Salon afin d’éviter une autre crise de la part des artistes.

Un dimanchee après-midi à l’ile de la Grande Jatte, Seurat, 1884

Le pointillisme dit aussi le divisionnisme, présenté à la dernière exposition des impressionnistes.

1905, Apparition du fauvisme. Le cloisonnisme renvoie à plusieurs peintre, permis lesquels; Gauguin, Emile Bernard. Les nabis, en 1889, avec une poignée de jeune peintre autour de Paul Sérusier, et Maurice Denis.

Hommage à Cézanne, Maurice Denis 1900

Sujet du quotidien, d’inspiration réaliste

Roger Fry propose me terme de « post-impressionisme » pour rendre compte autour de Cézanne des productions témoins d’une nouvelle tendance. Pour Fry, Cézanne était le libérateur de la peinture moderne, rejetant l’art des apparences pour qui l’impressionnisme était encore redevable d’une conception naturaliste de la nature.

Après 1850, un vaste mouvement contestataire propose des renouvellements qui imposent progressivement leur rupture.

Les premiers modernes nourrissent encore des espoirs pour être acceptés par les Académies anciennes.

Mouvement qui se placent à l’encontre de l’académisme, du nationalisme et le conservatisme… Connotation politique à l’égard des systèmes en place.

Ce qui est défendu c’est l’idée que l’art existe à côté du monde réel plutôt qu’en son sein et la préférence donnée à la synthèse, qui est un concept symboliste important.

1895, sécession de Venise

Futurisme 1909, lancé par Marinetti chef de file de futuristes italiens par un manifeste dans le Figaro.

Il s’agit d’un siècle de découvertes. On parle aussi du siècle des catastrophes, à la production de masse se trouve associé la destruction, voir le meurtre de masse.

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“Zèbre”, encre sur papier, 2021

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“Un coeur simple”, encre sur papier, 14,8x21 cm

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"Great horned owl", encre sur papier, 15x15 cm

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“Cactaceae”, encre sur papier, 21x29,7 cm

[annemathurinillustration]

“Postcard from the future”, encre sur papier, 15x10 cm

[jonathan-pradillon]

Tableau contemporain : Mouvement de formes abstraites / Jaune.

(Peinture réalisée sur commande)

œuvre réalisée au couteau à la peinture acrylique (Pébéo-Studio) et au Posca (Uni) sur châssis en bois entoilé en lin (Toile 100% lin, 380g/m², sans acide, châssis clouté et agrafé). Rebords du châssis peints à la peinture acrylique noire. (Couleurs iridescentes)

Protection : œuvre vernie à la bombe aérosol satinée.

Plus de 18 heures de réalisation.

Pour voir un aperçu vidéo de cette œuvre, rendez-vous sur : https://youtu.be/Bt8QIGeCTMs

Format : 50 cm x 50 cm x 2,1 cm.

Diagonale : 70,7 cm.

Poids approximatif : 0,400 kg.

Date de réalisation : 01/2019.

œuvre signée. Certificat d’authenticité fourni. Emballage soigné.

Prix : 200 Euros.

(œuvre vendue)

Pour plus d’informations sur cette œuvre, rendez-vous sur : www.jonathan-pradillon.com