#architectures utopiques
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" Noise"
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Dreams tonight
#art#abstract#artists on tumblr#creations originales#art for life#architectures utopiques#art on tumblr#yip!
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[A. My body, ruthless topie - cont'd]
[3. The body, by virtue of these utopias of an incorporeal body, disappeared. But my body cannot be reduced so easily. He has his own places, fantastic resources - cont'd]
d. And then, this body [is not only opaque and penetrable],
it is light, it is transparent
it is imponderable
i. Nothing is less than him:
He runs, he acts, he lives, he desires, he lets himself be crossed without resistance by all my intentions. Oh yes!
But only until the day when I hurt, where the cavity of my stomach widens, where they get blocked, where they get engorged, where my chest and my throat stuff themselves, until the day when my teeth hurt in the back of my mouth
ii. So, then there, I stop being light, imponderable, etc. ; I become a thing, fantastic and ruined architecture.
– Michel Foucault, Le Corps Utopique, 1966, Conférence radiophonique sur France-Culture
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Projet sur une architecture utopique à la cathédrale de Strasbourg
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Alexandra Leykauf, Kerman, 2012, 35mm (détail)
Conçus comme des espaces utopiques d’où surgissent différentes strates de la modernité et de sa ruine, les films de l’artiste allemande Alexandra Leykauf engagent des systèmes de dialogues entre sculpture, photographie, architecture et cinéma à travers la reprise d’une iconographie accumulée au fil du temps par l’histoire de l’art. Invitée à investir la salle de cinéma du musée, l’artiste a imaginé une séance aux contours élargis par des phénomènes de projections multiples dont son film Kerman (2012) en constitue le centre.
centrepompidou
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🏠Située à Théoule-sur-Mer près de Cannes, la villa murs aux mouvant et ondulant, le Palais Bulles, fait partie des lieux uniques en France.
De son architecte Antti Lovag, le Palais Bulles à été commandé par Pierre Bernard. Pourtant, ce dernier meurt, par conséquent Pierre Cardin l’a racheté en 1992 soit 8 ans après la fin de la construction.
Depuis cet achat, cette villa est très médiatisée, elle sert de pochette d’album, de décor pour des défilés, mais aussi de lieu pour voir l’inventaire de Pierre Cardin. Finalement, Pierre Cardin met en vente la villa, à l’architecture spatiale et utopique.
🏠Located in Théoule-sur-Mer near Cannes, the moving and undulating walls villa, the Palais Bulles, is one of the unique places in France.
From its architect Antti Lovag, the Palais Bulles was commissioned by Pierre Bernard. However, Pierre Bernard died, therefore Pierre Cardin bought it in 1992, 8 years after the end of construction.
Since this purchase, this villa has received a lot of media attention, it serves as an album cover, as a backdrop for parades, but also as a place to see Pierre Cardin's inventory. Finally, Pierre Cardin sells the villa, with its spatial and utopian architecture.
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dimensions variables
les frères tasseaux installation in situ (bois, vis), avril 2021
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La Forge, le sous-sol de la Fileuse, avec ses proportions spatiales inhabituelles, est littéralement une matérialisation écrasante de l'espace euclidien. Orthonormé, réduit à la simple expression d'une horizontalité absolue, il est une fine tranche d'espace géométrique plan.
Lorsque j'ai visité l'installation dimensions variables en cours de réalisation, je me suis souvenu des recherches de l'architecte Claude Parent et de l'urbaniste Paul Virilio. Dans les années 60, les deux hommes ont développé le concept de « fonction oblique ». Dans une série de projets utopiques, mais aussi à travers quelques réalisations exceptionnelles comme l'église Sainte-Bernadette du Banlay à Nevers, la prédominance de l’horizontalité comme plan de référence absolu est renversée. L'architecture du sol est composée de rampes, de plan inclinés, de gradins, de collines.
Parent et Virilio proposent une topographie architecturale dynamique qui pousse l'habitant à l'action et au mouvement. L'architecture et l'espace habitable ne sont plus conçus comme des séries de plans horizontaux superposés mais comme un paysage tridimensionnel vivant. L'ambition des deux hommes, qui assistent à l'émergence de la société de consommation et à la mutation de l'urbanité européenne traditionnelle, est de créer un espace dynamique, propice aux rencontres, à la vie sociale et à la mise en scène des corps en mouvements.
Le nuage de bois de l'installation dimensions variables est une tension spatiale en lutte contre l'horizontalité lourde de la Forge. Malgré la ténuité des allumettes qui la compose, elle impose sa force oblique à la presse de béton qui la contient. Le visiteur l'explore avec une sensation de subtil déséquilibre. Comme un brouillard qui altère la perception de l'espace et les sens du visiteur, l’installation dimensions variables parasite le lieu qui l'abrite, elle le transforme radicalement en assumant une fragilité dérisoire.
Dans une société normative et quantitative, avide de contrôle et de surveillance, où les mythes ont été remplacés par le storytelling, le brouillard est un outil créatif mystérieux, insaisissable, précieux et sans valeur.
Philippe Zulaica, mai 2021
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Les frères tasseaux (Antonin Leclere et Nicolas Panier) sont en même temps plasticiens, constructeurs, agenceurs, muralistes, écologistes, designers. Nourris par les arts graphiques, le Land-Art et l’architecture, ils construisent un écosystème singulier où se mêlent formes optiques, organiques et visuelles. instagram.com/lesfrerestasseaux
Philippe Zulaica est architecte, associé de l'agence Hai��ku Architecture à Reims. Lauréat du prix Grand Est de la Construction Bois 2018 pour 3 maisons rue Camille Lenoir à Reims, il s’intéresse particulièrement à la question du logement individuel en ville et au renouvellement du concept de cité-jardin. instagram.com/haiku_architecture
theotherside, porteur du projet panorama-poteaux et à la direction artistique. instagram.com/theotherside_186 theotherside-tos.tumblr.com
La Fileuse, friche artistique de la ville de Reims est commanditaire et financeur du projet panorama-poteaux. instagram.com/la_fileuse_reims
#lesfrerestasseaux#lafileuse#theotherside#tos#antoninleclere#nicolaspanier#philippezulaica#Reims#installation#art#france#panoramapoteaux
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Jane Jacob
1916-2006 Urbaniste militante États-Unis-Canada
Urbaniste radicale, Jane Jacob a contribué à bouleverser les pratiques architecturales et le pensée de l’aménagement urbain aux États-Unis.
Jane Jacob s’est formée en autodidacte sur les questions urbaines. En 1934, elle trouve un travail de secrétaire dans une usine de bonbons de Greenwich village, à New York. Elle commence en parallèle à écrire des articles sur la ville pour diverses publications et prend des cours pendant deux ans en géologie, zoologie, en sciences politiques mais aussi en économie. Elle épouse un architecte, le couple a trois enfants.
Elle est embauchée en 1952 comme rédactrice par la grande revue d’architecture et d’urbanisme Architectural Forum. C’est grâce à ce travail que, lors d’une visite à Philadelphie, elle remarque qu’une rue fraîchement aménagée est complètement vide. Un peu plus loin, une rue plus ancienne grouille d’activité. Elle perçoit alors les limites des grandes opérations de rénovation urbaine.
Elle développe ses intuitions dans « The exploding Metropolis », un article publié en 1958. Intéressé par ses analyses, la Fondation Rockefeller décide de financer l’écriture de son livre. À sa sortie en 1961, Déclin et survie des grandes villes américaines rencontre un succès inattendu, tant auprès du grand public que des milieux universitaires et de l’urbanisme. Dans cet ouvrage fondateur, Jane Jacob s’en prend violemment aux dynamiques qui, selon elle, ont tué les villes américaines.
Elle dénonce les partis-pris qui orientent l’urbanisme, la ville fonctionnelle et compartimentée qu’elle estime décorrélée des pratiques citadines de la vie quotidienne et des besoins des communautés. Jane Jacob n’a pas de mots assez durs pour Le Corbusier et les dogmes de la Charte d’Athènes, qui visent à supprimer, selon ses mots, « l'ordre réel qui lutte pour exister et être servi » et lui substituer un ordre artificiel utopique.
Son approche est intuitive, elle s’appuie sur la description de la vie de quartier qu’elle observe depuis sa fenêtre. Influencée par la vision sociale et philanthropique de la sociologie anglo-saxonne, elle oppose le bon sens des usagers de la ville aux doctrines hors-sol des décideurs politiques et des penseurs de la ville. Dans une Amérique qui prône l’autoroute, la voiture, la cité-jardin, elle oppose le retour au microcosme et aux interactions sociales.
On la moque, elle qui n’est ni urbaniste, ni architecte et ne possède aucun diplôme ayant trait à l’aménagement urbain. On critique son absence de solution face à la croissance des villes. Mais ses idées font leur chemin et contribuent à modifier en profondeur les pratiques et les institutions de l’urbanisme.
Son livre prône quatre grands axes qui jettent des base du « Nouvel Urbanisme » : 1. Une rue doit servir plusieurs fonctions primaires, 2. Un pâté de maison doit être limité, 3. Les bâtiments doivent être d’époques et d’utilisations variées, 4. La population doit être dense. Les principes d’organisation qu’elle défend, telle la mixité fonctionnelle des espaces, deviennent ainsi des incontournables de l’aménagement aux États-Unis mais aussi en Europe ou en Australie. D’autres, telles ses propositions pour le financement des logements sociaux, rencontrent moins d’écho. D’autres enfin, telle la co-veillance, sont d��voyés.
Sa perception de la ville fait aussi d’elle une militante. Elle s’oppose à la destruction de la gare Penn Station et à la construction dans Manhattan d’une voie express qui aurait détruit un quartier historique. Elle poursuit ses réflexions sur l’urbanisme, et notamment sur le rôle économique des villes et l’importance de la diversité, dans d’autres ouvrages.
Quand un de ses deux fils explique qu’il préfère aller en prison plutôt que d’aller faire la guerre au Vietnam, toute la famille déménage à Toronto en 1968. Elle s’engage pour l’indépendance du Québec dans un livre publié dans les années 1980. À la fin de sa vie, elle déclare : « Concevoir une ville de rêve est facile, reconstruire une ville vivante demande de l'imagination ».
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ARCHIGAME
2018
Prototype de jeu graphique, inspiré d’un workshop avec des classes de CE1 & CE2 autour de l’architecture utopique
Sérigraphie sur Plexiglass, découpe laser, 60 pièces, 35 x 50 cm
Graphic toy prototype, inspired by a workshop with kids from primary school, around utopic architecture
Silk-screen on Plexiglass, laser cut, 60 parts, 35 x 50 cm
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" Space Y"
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Cantaré
#art#abstract#art for life#artists on tumblr#creations originales#architectures utopiques#art on tumblr#yip!
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PARIS: LE BOULEVARD UTOPIQUE from Jan Kamensky on Vimeo.
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#bicycle #cycling #publicspace #fahrrad #urbanarchitecture #hamburg #architecture #utopiaforbicyclists #traffic #streetsofcorona #hamburg #verkehrswende #mobilitätswende #nocar #carfree #autofrei #urbandesign #stadtentwicklung #bikelane #bike
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PORNOPTICON
BIBLIOGRAPHY
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Metropolis
“Metropolis” n’est pas le premier film de Science Fiction, mais c’est celui qui a le plus déterminé le "look” de la ville du futur chez les cinéastes. Ce classique du genre étonne toujours par son inventivité et par sa démesure.
La ville est organisé verticalement avec des immeubles s’élevant jusqu’à 500 m et des passerelles qui aujourd’hui encore, font pâlir même un Rudy Ricciotti.
Elle parait d’abord comme utopique et agréable avec des vastes stades et des jardins paradisiaques à son sommet. Mais ces endroits sont réservé à une élite tiré sur le volet.
Puis le film montre son versant dystopique avec exploitation des travailleurs pauvres qui se tuent à la tache pour la faire fonctionner.
Entre les deux : la dynamique d’une ville en mouvement perpétuel qui se développe sur des plateaux multiples. Fritz Lang, fils d’architecte, a lui-même commencé des études d’architecture avant de faire des films et la ville qu’il crée à l’écran est le reflet de différents styles de son époque : la silhouette New-yorkaise, qu’il a vu impressionné en 1922 pour les plans large,
l’avant-garde russe et le Bauhaus pour les plans rapprochés. Ce mélange de styles souligne le côté cosmopolite de la ville, également renforcé par les multiples affiches, écrites dans des langues fantaisistes.
Même l’expressionnisme à la « Caligari » trouve sa place dans la maison biscornue qu’abrite l’inventeur et savant fou Rotwang (Rudolf Klein-Rogge). L’importance des poteaux métalliques élancés, qui soutiennent passerelles et autoroutes, souligne le savoir faire de l’ingénieur, omniprésent dans la cité futuriste.
Fritz Lang n’hésite pas à caricaturer la condition des ouvriers lobotomisés dans leurs cages à lapins souterrains, sans se douter que cette architecture systématisée et impersonnelle deviendra une réalité dans certaines banlieues des années 60/70.
Grace à sa richesse visuelle, “Metropolis” est devenue le modèle-type de la ville du futur. Metropolis est l’Eden pour les riches et l’enfer pour les démunies ; l’utopie et la dystopie en même temps.
Département artistique : Otto Hunte, Erich Kettelhut, Walter Schulze-Mitteldorff, Karl Vollbrecht, Edgar G. Ulmer / Décors : Willy Müller / Effets combinés : Eugen Schüfftan
METROPOLIS 1926 Fritz Lang
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MONKEYBIRD>ANASTYLOSE
10 OCTOBRE> 20 DÉCEMBRE 2020 VERNISSAGE —9 OCTOBRE 18H30
L’anastylose (du grec ancien αναστήλωσις, compose de ανα : “de nouveau” et στηλόω : “eriger” ) est un terme archéologique qui désigne la technique de reconstruction d’un monument en ruines grâce a l’étude méthodique del’ajustement des différents éléments qui composent son architecture. La reconstruction est faite en utilisant les fragments trouves sur place avec des matériaux modernes, de couleur et de qualités différentes, de sorte que l’on puisse distinguer a l’oeil nu l’ancien du moderne et préserver les pierres antiques de l’altération (par exemple en utilisant des matériaux légers). Cette technique doit être appliquée avec précautions parce qu’elle s’appuie sur des hypothèses. L’anastylose obéit au principe de réversibilité, c’est-a-dire qu’on puisse démonter la reconstitution en cas d’erreur. Pour cette exposition a l’atelier d’Estienne, nous allons créer une exposition immersive dans un paysage utopique ou le temps est en suspend, nous nous réaproprions les ruines témoignant d’un temps révolu afin de créer un paysage nouveau, ou évoluerait une nouvelle civilisation, en quête de cohésion sociale et culturelle. Nous sommes particulièrement inspires par les paysages en ruines qui représentent ce qui tombe (ruer, tomber, s’écrouler). Mais aussi ce qui reste. Fenêtre d’une autre époque dans le présent nostalgique, l’architecture fut longtemps comme le livre de l’humanité, la pierre disant le sens comme plus tard ce seront les livres imprimes qui diffuseront la parole et la pensée. On pouvait “lire la pierre”. La ruine, n’est pas seulement un objet qui reste mais un véritable discours, écho lancinant que la représentation reconduit. Le travail des archéologues est de préserver cette mémoire avec délicatesse et prudence, tandis que les artistes peuvent laisser libre cours a leur inspiration et utiliser les restes du temps comme des palimpsestes, chercher le meilleur de l’homme pour reconstituer un monde ideal qui n’existerait que dans nos songes les plus tenaces. Mystique sacralisante, monumentalisation anachronique ou artificielle a posteriori, on pourrait constater l’attachement a la valeur d’ancienneté , valeur qui fait plus intervenir l’affectivité que le jugement historien. Plus qu’une “image survivante”, la ruine est un morceau de réel qui n’a finalement jamais été ni un accomplissement ni un aboutissement dans l’absolu.
commissariat > Christian Mahé
Du mardi au dimanche
De 14H à 18H
Gratuit
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C’est le moment de nous repencher sur nos projets exploratoires , des inventions utopiques pour la MEDITERRANEE en fin de siècle #architectureutopique #utopia #fondationjacquesrougerie #architecture #organique #concours #archicompetitions #render #flamingo #flamingopolis #agencefa #architecte #utopicarchitecture (à Fos-sur-Mer) https://www.instagram.com/p/B--SDHHqNkQ/?igshid=1ivs6g05i5x7
#architectureutopique#utopia#fondationjacquesrougerie#architecture#organique#concours#archicompetitions#render#flamingo#flamingopolis#agencefa#architecte#utopicarchitecture
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