Centre d'art Contemporain du Pays de Lorient, l'Atelier d'Estienne
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NICOLAS DAUBANES Contenir plus qu’il n’est possible de contenir Du 07 janvier au 12 mars 2023
Comme les mots, les mains d'un jeune prisonnier, qui confie à l'artiste ce qu'il a fait pendant un atelier ; comme l'établissement pénitencier où ils se rencontrent, et comme tant d'autres prisons - quelles qu'elles soient, puisque Nicolas Daubanes s'intéresse à toute situation de contrainte ou d'oppression.
Suite du texte de Juliette Belleret : www.atelier-estienne.fr
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L’ART CHEMIN FAISANT>VARIATIONS AUTOUR DU JUGEMENT DERNIER
L’ART CHEMIN FAISANT…24ème édition PARCOURS D’ART CONTEMPORAIN
"Variation autour du jugement dernier"
26 JUIN> 18 SEPTEMBRE 2022
Les artistes : DAVOR VRANKIC, LIONEL SCOCCIMARO, STÉPHANE PENCRÉAC’H, ÉRIC POUGEAU Commissariat Richard Leydier
Invité par Christian Mahé, Richard Leydier est le nouveau commissaire d’exposition dans le cadre de l���Art Chemin Faisant intitulé « Variation autour du jugement dernier ». Nous avons toujours cette envie de développer l’art contemporain dans le village de Pont-Scorff, en milieu rural et confronter le riche patrimoine de la commune avec des oeuvres contemporaines.
« Les images des oeuvres ont durablement imprimé nos rétines. Le grand mur de la Chapelle Sixtine peint par Michel-Ange, le polyptyque de Rogier Van der Weyden dans les Hospices de Beaune. S’impose la sensation d’un mouvement de fonds, d’une houle dévastatrice emportant tout sur son passage. La marche de l’histoire. On a beau essayer, on ne peut lui opposer de résistance. Lorsqu’on lit la Divine comédie de Dante Alighieri, le mouvement qui s’impose lors des pérégrinations de l’auteur aux Enfers, c’est la répétition. C’est dans la réitération que réside la damnation éternelle. Répéter les mêmes gestes pour l’éternité, voila la véritable punition. Sisyphe en sait quelque chose. Mais, comme l’écrit Albert Camus, il faut l’imaginer heureux. ».
Richard Leydier
Du mardi au dimanche - 13H30 à 18H30
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LEVALET
L’INCERTITUDE
27 MARS> 30 MAI 2021
Visite de l'exposition sur rendez-vous
Pour cette exposition, j'ai souhaité revenir sur ma démarche des précédentes années à travers la présentation de photographies, installations, dessins, peintures et sculptures. L'essentiel de mon travail s'inscrit dans une modalité d'intervention in situ, je m'attache à créer un dialogue entre les espaces physiques du quotidien et l'espace poétique du dessin. Mes intervention dans la rue sont pensées en fonction de l'architecture et des spécificités des lieux que j'investis afin de créer une connivence physique entre le réel et la représentation, ainsi je tente de créer une proximité immédiate entre l'oeuvre et celui qui la rencontre. De la même manière, dans mes travaux d'atelier ou pour les installations pensées pour des espaces dédiés à l'art, j'aime à utiliser comme support ou comme éléments structurants des objets du quotidien qui viennent rappeler la possibilité d'une porosité entre l'art et la vie. De ces confrontations, je tente de faire naître un regard décalé sur le monde contemporain et d'insinuer une forme de poésie dans les anfractuosités de nos univers fonctionnalistes. Mon travail s'apparente à celui du metteur en scène de théâtre dans la mesure ou je figure principalement des personnages, dessinés en taille réelle que je dispose de manière a créer une narration dans le dialogue avec le lieu. Ces hommes de bois ou de papier, miroirs déformants de l'homme moderne, viennent mettre au jour l'absurdité de nos sociétés.
DOSSIER DE PRESSE commissariat > Christian Mahé
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MONKEYBIRD>ANASTYLOSE
10 OCTOBRE> 20 DÉCEMBRE 2020 VERNISSAGE —9 OCTOBRE 18H30
L’anastylose (du grec ancien αναστήλωσις, compose de ανα : “de nouveau” et στηλόω : “eriger” ) est un terme archéologique qui désigne la technique de reconstruction d’un monument en ruines grâce a l’étude méthodique del’ajustement des différents éléments qui composent son architecture. La reconstruction est faite en utilisant les fragments trouves sur place avec des matériaux modernes, de couleur et de qualités différentes, de sorte que l’on puisse distinguer a l’oeil nu l’ancien du moderne et préserver les pierres antiques de l’altération (par exemple en utilisant des matériaux légers). Cette technique doit être appliquée avec précautions parce qu’elle s’appuie sur des hypothèses. L’anastylose obéit au principe de réversibilité, c’est-a-dire qu’on puisse démonter la reconstitution en cas d’erreur. Pour cette exposition a l’atelier d’Estienne, nous allons créer une exposition immersive dans un paysage utopique ou le temps est en suspend, nous nous réaproprions les ruines témoignant d’un temps révolu afin de créer un paysage nouveau, ou évoluerait une nouvelle civilisation, en quête de cohésion sociale et culturelle. Nous sommes particulièrement inspires par les paysages en ruines qui représentent ce qui tombe (ruer, tomber, s’écrouler). Mais aussi ce qui reste. Fenêtre d’une autre époque dans le présent nostalgique, l’architecture fut longtemps comme le livre de l’humanité, la pierre disant le sens comme plus tard ce seront les livres imprimes qui diffuseront la parole et la pensée. On pouvait “lire la pierre”. La ruine, n’est pas seulement un objet qui reste mais un véritable discours, écho lancinant que la représentation reconduit. Le travail des archéologues est de préserver cette mémoire avec délicatesse et prudence, tandis que les artistes peuvent laisser libre cours a leur inspiration et utiliser les restes du temps comme des palimpsestes, chercher le meilleur de l’homme pour reconstituer un monde ideal qui n’existerait que dans nos songes les plus tenaces. Mystique sacralisante, monumentalisation anachronique ou artificielle a posteriori, on pourrait constater l’attachement a la valeur d’ancienneté , valeur qui fait plus intervenir l’affectivité que le jugement historien. Plus qu’une “image survivante”, la ruine est un morceau de réel qui n’a finalement jamais été ni un accomplissement ni un aboutissement dans l’absolu.
commissariat > Christian Mahé
Du mardi au dimanche
De 14H à 18H
Gratuit
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IMAGINAIRES DE MURS
DÉCOUVREZ NOTRE PLAQUETTE 2020
ART CHEMIN FAISANT
IMAGINAIRES DE MURS
28 JUIN > 20 SEPTEMBRE 2020 HORAIRES D'OUVERTURE Du mardi au dimanche de 13h30 à 18h30 Gratuit
AFFICHE ART CHEMIN FAISANT - IMAGINAIRES DE MURS
DOSSIER DE PRESSE
Invitée par Christian Mahé, Elise Herszkowicz, directrice de Art Azoi propose à des artistes contemporains urbains de partager leur vision d'un art contextuel, audacieux, inventif. Ces artistes aux horizons différentes et expressions singulières viendront faire dialoguer leur pratique avec les paysages et les reliefs scorvipontains. Lorsque l'on évoque les murs, la symbolique nous emmène souvent vers la séparation, la frontière, l'éloignement, l'impossibilité ou le protectionnisme. Il s'agit ici de prendre le contrepied de ces incarnations et de laisser s'exprimer un art ouvert, coloré, résolument tourné vers l'autre et vers la modernité. Dans cette période troublée et inédite, ce parcours d'art - ou se mêleront créations in situ, installations immersives et peintures à grande échelle - propose des "retrouvailles artistiques". Avec la déambulation sereine et curieuse, des découvertes esthétiques, des rencontres inattendues, avec un temps nouveau ou l'on peut se concentrer sur l'essentiel.
Elise Herszkowicz
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RETROSPECTIVE 2017
Exposition Quentin Spohn>Shan Shui
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Le centre d'art vous propose durant le confinement une série de vidéos des expositions passées. En attendant la réouverture au public. Aujourd'hui : Quentin Spohn - Shan Shui Crédit photographique Stéphane Cuisset www.atelier-estienne.fr.
Portez-vous bien!!!
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LEVALET>THEATRE URBAIN
Pour cette exposition, j'ai souhaité revenir sur ma démarche des précédentes années à travers la présentation de photographies, installations, dessins, peintures et sculptures. L'essentiel de mon travail s'inscrit dans une modalité d'intervention in situ, je m'attache à créer un dialogue entre les espaces physiques du quotidien et l'espace poétique du dessin. Mes intervention dans la rue sont pensées en fonction de l'architecture et des spécificités des lieux que j'investis afin de créer une connivence physique entre le réel et la représentation, ainsi je tente de créer une proximité immédiate entre l'oeuvre et celui qui la rencontre. De la même manière, dans mes travaux d'atelier ou pour les installations pensées pour des espaces dédiés à l'art, j'aime à utiliser comme support ou comme éléments structurants des objets du quotidien qui viennent rappeler la possibilité d'une porosité entre l'art et la vie. De ces confrontations, je tente de faire naître un regard décalé sur le monde contemporain et d'insinuer une forme de poésie dans les anfractuosités de nos univers fonctionnalistes. Mon travail s'apparente à celui du metteur en scène de théâtre dans la mesure ou je figure principalement des personnages, dessinés en taille réelle que je dispose de manière a créer une narration dans le dialogue avec le lieu. Ces hommes de bois ou de papier, miroirs déformants de l'homme moderne, viennent mettre au jour l'absurdité de nos sociétés.
DOSSIER DE PRESSE
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MARC ANTOINE MATHIEU>HORIZON
HORIZON
Trait particulier : in-visible
5 OCTOBRE> 22 DECEMBRE 2019
VERNISSAGE — 4 octobre 18H30
L’horizon le symbole de ce que l'on peut voir et qui n'existe pas. Il est sans dimension. Il est partout et nulle part. L’horizon du paysage est le seuil de l’invisible. L’horizon des événements est la limite au delà de laquelle réside l’Autre, le méconnu définitif ; Il est l’inaccessible. L’horizon du regard fonde le voyage et la création. À l’Atelier Estienne, j’invite durant quelques semaines cet horizon. Ligne, fil conducteur ou simple trait, il est ici le complice de l’image fixe ou mouvante, l’épicentre de la rêverie. Le premier tracé dessiné par l’homme fut peut-être un horizon…
PINK ROOM "Le ballet des étourneaux", 2015 Marc Antoine Mathieu
HORAIRES D'OUVERTURE : Du mardi au dimanche de 14H à 18H - Gratuit
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PAYSAGES DE FORMES
L’ART CHEMIN FAISANT…21ème édition
PARCOURS D’ART CONTEMPORAIN
PAYSAGES DE FORMES
30 JUIN> 15 SEPTEMBRE 2019 VERNISSAGE —30 JUIN 10H30
Commissariat Yolande de Bontridder
HANS OP DE BEECK, MARION BEERNAERTS, JEANINE COHEN, ELLIOT KERVYN & LISA EGIO, CAROLINE LE MÉHAUTÉ, ATHINA IOANNOU, BENOIT MAIRE, TINKA PITTOORS, BENOIT PLATÉUS, ORIOL VILANOVA, TATIANA WOLSKA.
La question du paysage est au coeur des préoccupations de notre société. Invitée comme commissaire de l'exposition « Paysages de formes » de l’été 2019 à Pont-Scorff, 21e édition de L’art Chemin Faisant, Yolande De Bontridder a voulu donner à douze artistes contemporains d’horizons différents l’opportunité de partager le regard singulier qu’ils portent sur les liens tissés entre l’homme et son milieu naturel. Elle les a invités à investir le riche patrimoine historique, architectural et environnemental de Pont-Scorff - paysages, maisons anciennes, église ou manoir - pour revisiter ces lieux sous les formes les plus diverses, réalistes, poétiques, imaginaires, mentales, symboliques ou sociétales. Ainsi, Marion Beernaerts mettra en lumière le souterrain dans les bois. Tatiana Wolska construira et déploiera des « socio-sculptures » dans les jardins du manoir, occasion de méditer ou de partager des produits du potager au moment de l’inauguration. À l’Atelier d’Estienne, les rêves colorés des céramiques de Tinka Pittoors se confronteront aux bidons tout aussi colorés de Benoît Platéus en sous-sol. Dans la Pink room, la vidéo de Hans Op de Beeck fera surgir et s’éteindre d’étranges mondes parallèles. Enfin, les installations de Caroline le Méhauté, Benoît Maire, Athina Ioannou et Oriol Vilanova solliciteront notre imagination, comme autant de haltes réflexives dans cette poétique déambulation d’un lieu à l’autre de Pont-Scorff. Pour « Paysages de formes » Jeanine Cohen crée une oeuvre in-situ sur bâche, par la composition d'aplats de couleurs. Ces nouveaux paysages révèlent une forme de fragilité, une recherche d’objectivité, où le stimulus sensoriel de la couleur vient contrebalancer l’apparente froideur.
DOSSIER DE PRESSE
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Hors les murs... LES DÉMONS DU GYMNASE
19 MAI>26 MAI
Vernissage samedi 18 mai à 18H30
Dans le cadre de sa programmation satellite, l'Atelier d'Estienne invite Les Démons du Gymnase dans un cadre bucolique, forestier et enchanteur : le manoir de Saint-Urchaud.
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LOUIS GRANET CARTOON OPTIMIST
Du mardi au dimanche - 14H à 18H - Entrée libre
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LES NUITS DE LUCIE
LES NUITS DE LUCIE BIENNALE DE LA LUMIERE DANS LES CHAPELLES DE PONT-SCORFF Collectif FÉES D'HIVER
7.8.9 + 14.15.16 DÉC 2018 VERNISSAGE — 7 DÉC 18H30
A L’Atelier d’Estienne COCONS jusqu’au 23 DÉCEMBRE
Chapelle de Keryaquel Procession silencieuse> Claudine Meyer Installation interactive
Chapelle de Saint Servais La Ligne latérale>Florent Colautti Révéler l’espace par le son et la lumière.
Chapelle de Lesbin La Turbulence du Papillon>Florent Colautti
Horaires d’ouverture : Vendredi 7 dec., samedi 8 et dimanche 9 déc. de 17H30 à 20H30 Vendredi 14 dec., samedi 15 et dimanche 16 déc. de 17H30 à 20H30 Gratuit.
Déroulé du vernissage : 18H30 : accueil du public à l’Atelier d’Estienne>visite de l’exposition Cocons 19H : départ du bus pour la chapelle de Keryaquel 19H45 : départ pour la chapelle de Saint-Servais 20H30 : départ pour la chapelle de Lesbin, pot de clôture dans la chapelle.
Parcours en bus le soir du 7 décembre pour le vernissage Gratuit sur réservation au 0297324213 ou par mail [email protected]
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Hors les murs...#4>LUMIÈRE
EXPOSITION COLLECTIVE
Manoir de Saint-Urchaud
11 NOV>18 NOV 2018 - de 14H à 18H. Vernissage samedi 10 novembre à 19H - Manoir de Saint-Urchaud Gratuit
Exposition collective - 12 étudiants issus de l'Eesab Lorient Eugénie Noël, Diane Kay, Baptiste Lepolles, Marie Godbillon, Etienne Rabaud, Marion Nignol, Laura Buors, Astrée Lapalus, Maxime Arnoux, Ewen Averty le Bloa, Chloé Boulet, Mathilde Chéreau.
En résonance avec les « Cocons » du collectif Fées D’hivers à l’Atelier d’Estienne et dans le cadre de la Biennale de la Lumière dans les chapelles de Pont-Scorff, les étudiants de l’EESAB-site de Lorient présentent une exposition collective, dans une dynamique d’échange et de partage chère à l’Atelier d’Estienne. « Lumière », quatrième collaboration entre les deux institutions conduira une quinzaine d’étudiants à l’orée des brûloirs et des lampes à pétrole, et à l’ombre de Sycione et Turell.
DOSSIER DE PRESSE
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COCONS>ÉRIK LORRÉ
11 OCTOBRE> 23 DÉCEMBRE 2018 VERNISSAGE —10 OCTOBRE 18H30
Cocons est un travail sur la vie, l'évolution du monde. De ces cocons, on ne saura jamais ce qu'il en accouchera : monstres ou être bénéfiques, elfes ou trolls... Tout autour de nous est en gestation : idées, projets, humains, animaux, tout couve, tout est prêt à éclore... Des germes de ces gestations peuvent naître aujourd'hui ou ressurgir d'un passé ancien... L'humanité a ce pouvoir de faire éclore encore plus vite l'évolution, brisant ainsi le rythme de la nature, plus patiente, plus modérée... Notre civilisation à la porte d'une société numérique accélère encore plus ce processus... pour le meilleur ou pour le pire ! Cocons pose toutes ces questions et nous invite à réfléchir sur notre monde en gestation.
Du mardi au dimanche De 14H30 à 18H30 Entrée libre
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L’ART CHEMIN FAISANT...Bifurquer
L’ART CHEMIN FAISANT...20ème édition
BIFURQUER
17 juin >16 septembre 2018 Vernissage dimanche 17 Juin 14H30
Commissaire d'exposition Christophe Desforges
MARTA CARADEC, PIERRE HYBRE, PAULINE JULIER, LAURENT LE DEUNFF, QUENTIN MONTAGNE, PASCAL PELLAN, NOEMIE SJÖBERG, ADRIEN VERMONT
BIFURQUER "Pour aller où l’on ne sait pas, il faut passer par où l’on ne sait pas." Juan de Yepes (Saint Jean de la Croix)
Bifurquer, nouvelle édition de l’Art chemin faisant, la vingtième, poursuit cette idée d’un parcours artistique sur le territoire de Pont-Scorff, le cheminement d’une œuvre à l’autre, la rencontre d’un projet inscrit dans des sites, des lieux singuliers appartenant au patrimoine, à l’histoire et la mémoire de la cité. Bifurquer implique le mouvement, la mobilité, s’autoriser un changement de cap, tenter le plaisir de l’égarement. C’est peut-être aussi la faculté de ne pas se figer sur une idée fixe, de déplacer son point de vue, frôlant la lisière pour surprendre l’inconnu proche ou lointain. Dans une pratique artistique, l’auteur peut renoncer à une voie déjà tracée, abandonnant une direction pour une autre et risquer l’expérience de l’écart, du détour non balisé, de l’imprévu… et toujours à l’affût, en quête d’impression, de sensations, d’idée en cheminement… L’exposition rassemble huit artistes dont les œuvres, dessins, photographies, vidéos, peintures et installations, affirment une pluralité des sensibilités et la singularité des points de vue. Elle est conçue comme un trajet et invite les visiteurs à en être les arpenteurs.
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