#pilules roses
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Mon endo-lecture : Pilules roses, de Juliette Ferry-Danini
Arnaque à la sécu ou arnaque aux patient.e.s ? 🧐 C'est la question que l'on se pose une fois le livre "Pilules roses" terminé.
Toutes les femmes vous le diront : ça ne marche pas ! (Mais pourquoi écouter les femmes ? 🤷♀️)
📙 En 2020, dans mon livre "Endométriose : ce que les autres pays ont à nous apprendre" (pages 136-137) j'expliquais déjà que le Spasfon n'existe quasiment qu'en France. Je citais aussi la HAS qui reconnait l'inefficacité sur les douleurs menstruelles et une méta étude prouvant l'inefficacité de ce "traitement".
🌟 La Pr Ferry-Danini va plus loin en racontant l'histoire de cette molécule, qui méconnait patients et science, pour un joli pactole.
😉 Je termine par une pensée émue, pour tous les médecins qui m'ont prescrit du Spasfon, pour "soigner" mon endométriose. N'hésitez pas à passer chez votre libraire !
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"Tu es une femme très belle et sexy", a dit ma mère, l'a remerciée et l'a embrassée sur la joue. Mon amie a donné une pilule rose à ma mère. Au bout d'une demi-heure, ma mère se masturbe avec sa main.
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Des femmes contre la vivisection au XIXe siècle, un aperçu de l’histoire des pionnières de l’éthique animale
See on Scoop.it - EntomoScience
Comme je le raconte au début de Pilules roses, au moins deux visions épistémologiques de la médecine se sont opposées au cours de son histoire : d’un côté l’idée qu’il faut connaître les mécanismes…
by Juliette Ferry-Danini | Jan, 2024
via Dr. Juliette sur X, 03.01.2024
https://twitter.com/FerryDanini/status/1742583999556415860
Bernadette Cassel's insight:
https://www.scoop.it/topic/membracides?q=vivisection
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D’un cancer à une nouvelle vie
Je m’appelle Céline, j’ai 29 ans ; j’ai 5 formidables enfants et un bon mari grâce à Dieu.
Mais tout n’a pas été toujours rose dans ma vie. Quand on a le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie, on se croit invincible, à l’abri de tout. On pense pouvoir tout diriger, mener sa vie comme un bon chrétien. On passe notre temps à louer Dieu et à le remercier. Lorsque tout va bien, ce n’est pas très compliqué. Mais même en tant que chrétien, peut-on tout accepter avec le sourire ? On le devrait pourtant.
En mars 2006, mon époux était parti en Côte d’Ivoire pour une durée de 4 mois pour son travail, j’ai donc profité de ce temps d’absence pour rendre visite à ma famille dans la région parisienne. J’ai décidé lors de ces vacances au mois d’avril de faire un bilan de santé complet (ophtalmologiste, dentiste…). Lors de ma visite chez le gynécologue, j’ai dû effectuer un frottis de contrôle. Quelques semaines plus tard, j’apprends que le résultat est « anormal ». Des examens supplémentaires s’imposaient (biopsie, colposcopie…). Résultat : cancer du col de l’utérus.
À l’annonce de cette nouvelle, je me suis effondrée. Pourquoi Seigneur ? J’ai une vie saine et je fais ta volonté. Une intervention chirurgicale s’imposait. Il a fallu annoncer la nouvelle à mon mari qui était à des milliers de kilomètres de moi. Il a été rapatrié le 18 juin 2006 pour être présent à mes côtés. Les médecins m’avaient prescrit une pilule contraceptive afin que je n’aie pas de saignements lors de l’opération qui devait se dérouler le 26 juin 2006. Le gynécologue m’a ensuite expliqué qu’il serait difficile voir impossible pour moi de porter un enfant à son terme si je devais tomber enceinte. J’étais perdue et je me laissais porter par les évènements sans savoir pourquoi cela m’arrivait.C’est bizarre comme on cherche toujours des raisons à nos problèmes.
Après mon intervention, j’ai été sous traitement durant quelques semaines. Mais je me sentais toujours mal avec de violentes douleurs. Après avoir changée de traitement plusieurs fois, mon état ne s’était toujours pas amélioré. Un jour, lorsque mon mari travaillait et que les enfants étaient chez leurs grands-parents, j’ai été invitée par mon Pasteur et sa femme. Les douleurs étaient revenues alors que je partageais le repas avec eux. C’est alors que mon Pasteur Arnaud, m’emmena d’urgence à l’hôpital. Après des examens et une échographie, je vois à l’écran un petit être. J’étais enceinte depuis environ 16 semaines (début de grossesse le 20 juin 2006 ; j’étais donc enceinte lors de l’opération). Mais comment est ce possible ?
Je m’effondre. Comment vais-je le dire à mon mari ? En l’annonçant à mon Pasteur, il semble fou de joie ; il l’était certainement plus que moi. J’avais déjà 4 enfants dont le dernier avait à peine un an. Et puis, la maladie…j’avais aussi prévue de reprendre mes études. Bref, j’avais plein de projets, et tout était chamboulé. Et tout ça pour un enfant que je ne désirai pas et que je n’étais même pas sûre de pouvoir garder. Et qui me garantissait qu’il serait en bonne santé avec tous ces médicaments ? Mon mari lui, était beaucoup plus ravi. Il a juste dit : « Il va falloir que l’on change de voiture ». Je m’en voulais de ces mauvais sentiments. Après tout, je priais pour que Dieu me guérisse et non pas pour avoir un bébé. Mais Dieu n’a-t-il pas le droit de m’offrir ce cadeau ? Ce formidable cadeau.
Plus le temps passait et plus je m’attachais à cet enfant qui était issu d’un miracle. La première fois que je l’ai senti bouger, j’ai oublié tous mes soucis. Je l’ai aimé tout simplement comme j’aime mes autres enfants. Le Seigneur a aussi permis que je continue mes études durant ma grossesse, soutenue par ma famille et mon église. Et le 12 mars 2007 est né Malcolm, qui signifie « faiseur de miracles ». Car c’est un vrai miracle de Dieu. Et comme un miracle ne vient pas sans un autre, aujourd’hui je suis guérie du cancer. Ce sont les anticorps du bébé que j’ai développé durant ma grossesse qui ont facilités ma guérison.
Grâce à Dieu j’ai appris l’acceptation (accepter ce qu’il nous donne sans condition) et le renoncement (renoncer à nos propres projets pour suivre la volonté de Dieu). Aujourd’hui, je le loue et je le remercie pour tous ses bienfaits. L’homme cherche toujours des raisons à ce qui lui arrive, mais c’est manquer de foi que de ne pas accepter ce qui nous arrive. Dieu sait tout au-delà de nos espérances. Remercions-le car il a posé son regard sur nous.
Faisons lui confiance.
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KAYEM
Inexpressif, from Pilule Rose, 2023
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C’est personnel
« C'est personnel » Prédication par Andrew Rossiter à Villeneuve sur Lot le 25 juin 2023
Jérémie 20.10-13, Matthieu 10.26-33
Le film « Vous avez un message » est l’improbable histoire d’eau de rose de la relation entre une femme qui a une librairie pour enfants à Greenwich Village et un multimillionnaire qui installe un mega-supermarché de livres à deux pas de son magasin.
Quand Kathleen Kelly (jouait par Meg Ryan) découvre le projet de Joe Fox (Tom Hanks) elle est dévastée. Ils se rencontrent plus tard dans le film et le casting est excellent avec Meg Ryan dans le rôle de la pleurnicheuse. Pour expliquer que le projet ne vise pas sa boutique Joe Fox lui dit, « Ce sont les affaires, ce n’est pas personnel », sa réplique est, « c’est totalement personnel, c’est ma librairie qui va disparaître ».
Le thème de pleurnicher était aussi pris par le cinéma français en 1974 avec Jean Carmet dans « Comment réussir quand on est con et pleurnichard » et il découvre que pleurnicher peut vous faire réussir auprès des femmes et dans les affaires.
C’est « la France qui pleurniche », comme l’a dit Richard Ferrand à l’Assemblée Nationale, autant fière que cette France qui râle. Comme si les habitants d’un seul et même pays peuvent partager les mêmes traits de caractère.
Se lamenter, pleurnicher - nous connaissons tous des personnes qui se plaignent et qui peuvent nous plomber notre journée avec leur vision négative du monde. Ces personnes ne connaissent jamais ce que c’est d’être contents. C’est comme si le monde entier s’aligne contre eux pour leur apporter un mauvais coup après l’autre. Ces personnes peuvent détruire des relations et devenir des gens toxiques au point que nous essayer de les éviter. Nous les inviterons jamais pour fêter nos anniversaires.
Il existe un mot en français « jérémiades » que le dictionnaire définit par « une plainte sans cesse sur la place publique qui importune ». Le mot vient de notre prophète Jérémie qui a écrit cinq poèmes de lamentations, dont nous avons entendu un extrait ce matin.
Nous sommes bien plus hésitants que lui d’adresser nos prières à Dieu de cette manière. Nous ne nous plaignons pas auprès de Dieu, nous ne le morigénons pas, nous employons un vocabulaire « spirituellement correct » pour parler avec Dieu. C’est peut-être la mesure de la vérité d’une relation de pouvoir justement houspiller, réprimander et pourquoi pas engueuler l’autre. Si c’est le cas, nous pouvons dire que Jérémie entretenait une relation vraie et honnête avec Dieu.
C’est ainsi que je peux comprendre le langage souvent très violent dans plusieurs Psaumes par exemple. Exprimer sa soif de violence, vengeance et colère, vouloir voir Dieu détruire les ennemies et raser des villes est peut-être l’expression du fait qu’avec Dieu on peut tout dire. Face à l’autre, en qui nous avons une confiance totale, on peut tout dire.
Mais rares (ou non-existantes) sont nos relations où nous avons cette liberté d’expression. Nous avons peur de blesser l’autre, ou peur que l’autre nous tourne le dos et rompre la relation que nous avons tisser avec beaucoup de mal et de soin, donc nous enrobons nos quatre vérités d’une couche sucrée, pour « faire passer la pilule ». Nous nous entendons dire, « J’espère que je ne vais pas te blesser quand je te dis… » Sachant pertinent que ce que j’ai à dire va blesser l’autre. Mais comment le dire sinon? Ou nous entendons, « Je te le dis pour ton bien, tu sais ». Mais non, je ne sais pas, c’est peut-être plutôt pour TON bien que tu me le dis. Ou encore « Je dis ce que je pense ». C’est souvent mieux de penser alors avant de dire.
C’est justement avec Dieu que nous n’avons pas ces craintes. Dieu n’attend pas de nous les mots qui lui plaisent. Dieu n’attend pas de nous un comportement exemplaire et un vocabulaire correct. Certes nous pouvons blesser Dieu avec ce que nous disons ou faisons mais Dieu ne rompra jamais la connexion avec nous, Dieu ne nous tournera jamais le dos. Jérémie parle de ce qui dans son cœur, il ne parle pas de ce qu’il pense, rumine ou calcule. Il dit « Tu m’as dupé ». « Maudit soit le jour de ma naissance ». « Tu m’as séduit ». Il reproche Dieu d’avoir fait de sa vie un lieu de lamentations, de colère et de « négativité ». Car il ressent que tout est contre lui, comme si le monde gravite autour de son nombril. Il a trouvé le responsable et c’est pour cela qu’il est malheureux. Il est comme tous ces croyants qui ont la foi éprouvée, ou qui ont abandonné la foi et voient en Dieu le responsable de leurs malheurs. Comme si Dieu peut arranger leur situation par sa toute-puissance. Il voient un Dieu qui fait ce qu’il veut avec les humains et le monde, sans devoir rendre compte à quiconque.
Mais est-ce le Dieu de la révélation? C’est devant cette question que Jérémie s’arrête. C’est ici qu’il voit une autre possibilité. Jérémie déploie toute son énergie à aimer Dieu: il le sert, il prend sa défense, il est son porte-parole auprès du peuple… et il reste perplexe car il n’en tire aucune satisfaction. C’est comme si Dieu n’existe pas, ou qui ne donne aucun signe de son existence. Il descend dans un spiral de lamentations et de pleurnicheries.
Mais si ce Dieu n’existe pas? Si le Dieu manipulateur, injuste et interventionniste n’existait pas. S’il n’y pas de Dieu indigne d’amour? Si un tel Dieu n’est autre qu’un produit de l’imaginaire de ceux qui pensent mériter son intervention? Car c’est ce Dieu, ou cet image de Dieu que Jérémie conteste. Car ce Dieu n’est pas le Dieu d’amour, de grâce et du pardon inconditionnel.
Et s’il existait un tout autre Dieu? S’il existe un Dieu de la relation intime. Pas un Dieu qui arrange, ou qui n’arrange pas les choses selon nos souhaits, nos désirs et nos besoins, mais un Dieu qui intervient dans nos vies pour les transformer pour que nous devenions les croyants engagés à la transformation du monde.
Dans le film, Joe Fox représente le croyant bien dans ses bottes, « Ce sont les affaires ce n’est pas personnel ». Mais oui, c’est personnel, c’est pratiquement uniquement personnel. Intimement, viscéralement, profondément personnel. Meg Ryan, la pleurnicheuse, avait raison.
C’est à ce Dieu, le seul et unique, que Jésus consacre sa vie. C’est le seul et même Dieu qui attend notre amour en acte en son nom, pour que le monde aille mieux. Peut-être pas tout le monde, mais au moins le petit bout autour de nous. Et surtout parce que nous ne voyons pas, et peut-être nous ne verrons jamais la récompense de nos actions.
Ne soyons pas étonnés que le monde rejette ce message et ce Dieu, car le monde ne veut pas sa conversion et refuse les témoins qui en parlent. C’est à la conversion de ce Dieu que nous prêchons et c’est contre tout autre Dieu que nous révoltons. C’est parce que nous sommes libres d’exprimer les injustices avec nos mots à nous et de faire entendre nos incompréhensions que nous nous proclamons en faveur du Dieu de Jésus Christ qui agit en nous et fait de nous les témoins de ses actions dans les cœurs de gens afin que le monde change.
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Pilule abortive : cinq questions sur les tensions d'approvisionnement en misoprostol, médicament utilisé pour une grande majorité des IVG en France.
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Santé : l'Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament a alerté le mardi 18/04/23 sur des pénuries. Le gouvernement se veut pour sa part rassurant.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 4 minutes) publié par Franceinfo (France Télévisions) avec l’AFP (Agence France-Presse) le mercredi 19/04/23.
🌍 Informer et former 🖋
🌏 Informer tout en formant 🧩
🌎 Se former tout en s’informant 🎯
#santé #médicaments
#institutions #organismes
#politique #gouvernement #ministères
⏳ JamesO.InfO ⌛️
⚖️ Sobriété informationnelle 🖊
Le fil rose de JamesO.InfO
L’alimentation, la consommation et la santé.
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L’Ermite
Guillaume Apollinaire
Un ermite déchaux près d’un crâne blanchi Cria Je vous maudis martyres et détresses Trop de tentations malgré moi me caressent Tentations de lune et de logomachies
Trop d’étoiles s’enfuient quand je dis mes prières Ô chef de morte Ô vieil ivoire Orbites Trous Des narines rongées J’ai faim Mes cris s’enrouent Voici donc pour mon jeûne un morceau de gruyère
Ô Seigneur flagellez les nuées du coucher Qui vous tendent au ciel de si jolis culs roses Et c’est le soir les fleurs de jour déjà se closent Et les souris dans l’ombre incantent le plancher
Les humains savent tant de jeux l’amour la mourre L’amour jeu des nombrils ou jeu de la grande oie La mourre jeu du nombre illusoire des doigts Seigneur faites Seigneur qu’un jour je m’enamoure
J’attends celle qui me tendra ses doigts menus Combien de signes blancs aux ongles les paresses Les mensonges pourtant j’attends qu’elle les dresse Ses mains enamourées devant moi l’Inconnue
Seigneur que t’ai-je fait Vois Je suis unicorne Pourtant malgré son bel effroi concupiscent Comme un poupon chéri mon sexe est innocent D’être anxieux seul et debout comme une borne
Seigneur le Christ est nu jetez jetez sur lui La robe sans couture éteignez les ardeurs Au puits vont se noyer tant de tintements d’heures Quand isochrones choient des gouttes d’eau de pluie
J’ai veillé trente nuits sous les lauriers-roses As-tu sué du sang Christ dans Gethsémani Crucifié réponds Dis non Moi je le nie Car j’ai trop espéré en vain l’hématidrose
J’écoutais à genoux toquer les battements Du cœur le sang roulait toujours en ses artères Qui sont de vieux coraux ou qui sont des clavaires Et mon aorte était avare éperdument
Une goutte tomba Sueur Et sa couleur Lueur Le sang si rouge et j’ai ri des damnés Puis enfin j’ai compris que je saignais du nez À cause des parfums violents de mes fleurs
Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu De vol très indolent me tendre un beau calice J’ai ri de l’aile grise et j’ôte mon cilice Tissé de crins soyeux par de cruels canuts
Vertuchou Riotant des vulves des papesses De saintes sans tetons j’irai vers les cités Et peut-être y mourir pour ma virginité Parmi les mains les peaux les mots et les promesses
Malgré les autans bleus je me dresse divin Comme un rayon de lune adoré par la mer En vain j’ai supplié tous les saints aémères Aucun n’a consacré mes doux pains sans levain
Et je marche Je fuis ô nuit Lilith ulule Et clame vainement et je vois de grands yeux S’ouvrir tragiquement Ô nuit je vois tes cieux S’étoiler calmement de splendides pilules
Un squelette de reine innocente est pendu À un long fil d’étoile en désespoir sévère La nuit les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle inattendu
Et je marche je fuis ô jour l’émoi de l’aube Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici le regard des brebis Et des truies aux tetins roses comme des lobes
Des corbeaux éployés comme des tildes font Une ombre vaine aux pauvres champs de seigle mûr Non loin des bourgs où des chaumières sont impures D’avoir des hiboux morts cloués à leur plafond
Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières
Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m’apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j’approche En entrant j’ai béni les foules des deux mains
Cité j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au sol fouillé de clairières bleues Or mes désirs s’en vont tous à la queue leu leu Ma migraine pieuse a coiffé sa cucuphe
Car toutes sont venues m’avouer leurs péchés Et Seigneur je suis saint par le vœu des amantes Zélotide et Lorie Louise et Diamante On dit Tu peux savoir ô toi l’effarouché
Ermite absous nos fautes jamais vénielles Ô toi le pur et le contrit que nous aimons Sache nos cœurs cache les jeux que nous aimons Et nos baisers quintessenciés comme du miel
Et j’absous les aveux pourpres comme leur sang Des poétesses nues des fées des fornarines Aucun pauvre désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois le soir les couples s’enlaçant
Car je ne veux plus rien sinon laisser se clore Mes yeux couple lassé au verger pantelant Plein du râle pompeux des groseilliers sanglants Et de la sainte cruauté des passiflores
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Quand Gaïa essaye de faire passer la pilule du mouvement 2022 par une grande image toute rose
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L’île de l’amour.
Chapitre 3
Résumé : Les choses vont vite entre Marshall et Rosie. Peut être même un peu trop vite.
Avertissement : Fluff qui tourne en angst
Elle se réveilla au petit matin, Marshall n’avait pas bougé. Rosie était courbaturée, elle avait bien dormi mais elle voulait se retrouver chez elle. Elle repoussa doucement son bras qui pesait une tonne et sortit du lit sans faire de bruit. Elle ramassa ses vêtements et sortit de sa jolie maison.
Heureusement, elle avait chaussée ses baskets, les 3 kilomètres jusqu’au village lui parurent moins pénibles.
Dans les jours qui suivirent, Rosie se demanda si elle avait rêver ou si elle avait bien passer la nuit dans les bras de cet homme merveilleux. En fin d’après midi, le mercredi suivant, elle eut la surprise de entrer dans sa banque presque à l’heure de la fermeture. Julia disparue dans la voûte à document comme par hasard.
Rosie essaya du mieux qu’elle pu de calmer son cœur qui battait la chamade.
-Bonjour Monsieur Syverson, dit-elle avec sa voix professionnelle. Marshall sourit. Qu’est ce que je peux faire pour vous, aujourd’hui?
-Bonjour, j’ai … perdu ma carte bancaire… Est-ce que c’est possible d’en avoir autre? Il fixait avidement sa bouche.
-Bien sûr, dit-elle en souriant. La voulez-vous tout de suite ou on vous l’envoie par la poste? Dit-elle en rentrant rapidement son nom dans le logiciel de carte bancaire.
-C’est possible aujourd’hui? Vous fermez bientôt je ne veux pas vous retarder. Il jeta un coup d’œil à sa montre.
-Ne vous inquiéter pas pour ça. Je vais prendre le temps qu’il faut pour que vous soyez satisfait, dit-elle sans se rendre compte à quel point cette phrase pouvait être mal interprété.
-Vraiment? Il haussa un sourcil. Rosie rougit.
-Oui. Alors je vous la remplace maintenant.
Il hocha la tête.
-Avez-vous une pièce d’identité?
Il lui donna son permis de conduire et rapidement, elle lui émit une nouvelle carte. Cela ne lui prit que quelques minutes. Quand elle lui tandis la carte, il fit exprès de toucher sa main du bout des doigts. Rosie se mordit la lèvre pour s’empêcher de sourire.
-Est- ce qu’il y a autre chose que je peux faire pour vous monsieur Syverson?
Marshall hésita un instant.
-Pas aujourd’hui mais si j’ai d’autres questions, avez-vous un numéro pour vous rejoindre.
-Bien sûr. Elle lui tendit sa carte professionnelle. Pour toute vos questions à propos de votre compte vous pouvez me joindre à se numéro.
Marshall tritura la petite carte en carton entre ses doigts.
-Si j’ai des questions… plus personnelle… est-ce que vous avez un autre numéro?
Rosie haussa les sourcils et sourit en coin. Elle lui fit signe de lui redonner la carte. Elle griffonna rapidement son numéro de téléphone.
Marshall repartit tous sourire.
-À bientôt madame Gagné.
Marshall ne perdit pas de temps avant même qu’elle n’ait fini de fermer la banque, il lui avait envoyé un message texte.
« Netflix et chill ce soir? » Un second arriva tout de suite après.
« Petit déjeuner inclus 😏😉 »
Rosie sourit d’une oreille à l’autre. Il voulait la revoir. Elle téléphona à Antoine.
-Quoi? Tu as baiser Marshall Syverson et tu ne me l’as pas dit? Comment tu as pu me faire ça? Il était faussement offensé. C’était comment ? Avoue qu’il a une grosse bite!
Heureusement, c’était une conversation téléphonique, il ne la vit pas rougir.
-Ce n’est pas la question, il veut me revoir! Je fais quoi?
Elle s’assit au volant de sa petite voiture rouge.
-T’es conne ou quoi? Tu y vas ! Tu te mets sexy pis tu y vas! Va manger sa grosse queue!
Rosie rougit.
-Tu as raison, il m’a vu toute nue et il veut me revoir, ça doit être bon signe.
-Évidement espèce de nouille!
Rosie se dépêcha de retourner chez elle se doucher et se raser. Elle hésita. Complètement ou non? Elle laissa un peu de poil mais rasa la plus grande surface de son corps.
Elle répondit à Marshall.
« Tu veux que j’arrive à quelle heure? » Marshall lui répondit rapidement.
« Maintenant! 😁 Quand tu es prête! »
Rosie s’habilla se parfuma et se maquilla légèrement. Elle avait opté pour une robe fleurit simple facile à retirer… Elle mit quelques affaires dans un sac et partit. Elle s’arrêta en passant acheter de l’alcool.
« Je suis à l’épicerie, tu veux de la bière ou du vin? »
« Bière? Merci. »
Vingt minutes plus tard, Marshall lui ouvrit la porte en serviette. Rosie, bouche bée, ne dit rien. Torse nu, les cheveux mouillés, il était absolument renversant.
Marshall sourit.
-Entre. Il lui laissa le passage. Je vais aller m’habiller, j’en ai pour une minute. Tu peux enlever ta robe… heu ton manteau…
Rosie enleva son manteau de jeans et le déposa sur le divan et suivi Marshall à pas de loup. Il n’avait pas fermé la porte.
-Je peux retirer ma robe aussi, dit-elle en entrant dans sa chambre.
Le boxer que Marshall tenait à la main atterrit sur la commode quand il se précipita sur la jeune femme.
Cette soirée là, ils ne sortirent même pas de la chambre.
Tard dans la nuit, Rosie s’endormit la joue sur la poitrine velue de Marshall.
Au petit matin, Rosie se réveilla quand elle sentit une caresse sur sa joue.
Marshall la regarda tendrement.
-Bonjour, dit-elle en s’étirant. Le drap dévoila un sein rond attirant l’œil.
-Putain que tu as de beaux seins.
Rosie rougit, Marshall prit sa poitrine dans sa bouche, Rosie se cambra et le désir s’éveilla instantanément. Elle le repoussa sur le dos et l’enjamba rapidement, son sexe était bien dur.
Marshall l’empêcha de le mettre en elle.
-Chérie, tu es une coquine. Je n’ai plus de capote…
Rosie sourit.
-Changeons de plan alors, dit-elle en naviguant vers le bas de son corps.
-Quoi? Putain… Fuck… dit-il quand elle prit son sexe dans sa bouche et le suça avec ardeur.
Elle chassa les cheveux de son visage pendant qu’elle appréciait son goût.
-Rosie… chérie… je vais jouir… elle le suça encore plus fort jouant de sa langue sur son gland. Elle reçut la semence de Marshall dans le fond de sa gorge. Marshall grogna et prit une poignée de cheveux dans sa main et retint sa tête le temps qu’elle lèche sa longueur complètement.
-Bon dieu Rosie… La jeune femme se releva toute rose. Marshall passa la main dans ses cheveux. Elle but une gorgée d’eau.
-Viens ici belle coquine. Il l’embrassa encore et encore. Il l’attira à lui et la recoucha à ses côtés. Elle caressa sa barbe et ses cheveux.
Il parcourut son corps de baisers, chaque courbe, chaque centimètre de sa peau, sous la lumière brillante du soleil, elle le laissa découvrir son corps en soupirant de plaisir. Avec lui, elle se sentait désirer et en confiance. Il l’embrassa jusqu’entre les cuisses.
Il lécha sa chatte comme on mange une crème glacée avec gourmandise et appétit.
-Entre tes doigts, dit-elle dans un souffle. Il inséra deux doigts dans son vagin pendant qu’il suçait son clitoris.
Elle jouit en grognant de soulagement.
Il remonta vers son visage en l’embrassant partout.
-Pourquoi j’ai tellement envie de toi? Je n’ai plus de condoms… mais j’ai tellement envie de toi… Je ne vois personne d’autre… dit-il en aguichant son clitoris avec son gros gland.
-Moi non plus, je prends la pilule.
Elle l’attira à elle pour un autre round.
Une heure plus tard, Rosie se releva les cheveux en bataille.
-Je travaille bientôt. Il faut que je retourne à la maison avant d’aller à la Banque.
Marshall la regarda comme si elle était la plus belle femme au monde. La tête appuyer sur la main, il lui demanda.
-Est-ce qu’on va se revoir? J’aime vraiment beaucoup ce qu’on fait ensemble…
Rosie remit sa robe fleurit.
-Vraiment? Tu veux me revoir?
Rosie se fit une tresse dans ses cheveux blonds.
-Oui pourquoi pas? Le sexe avec toi c’est…
-Fantastique, gourmand, cochon? Tu as mon numéro. Elle lui fit un clin d’œil. Elle allait sortir de la chambre quand il lui dit en sautant du lit nu comme un vers.
-Attends. Il prit sa main et l’embrassa doucement sur les lèvres.
-Bonne journée.
Rosie travailla toute la journée le sourire aux lèvres.
Sur l’heure du lunch tout en buvant son café, elle reçut un message de Marshall.
« On se voit ce soir? »
« Déjà? »
La réponse fut rapide comme s’il attendait devant son écran.
« Ça te dérange? 🙁 »
« Non pas du tout! 😁😋 » Elle ajouta rapidement.
« Nue ou habiller? »
« Les deux ?!👉👈 »
Toute la semaine, les deux amants se virent tous les jours. Chaque fois chez lui. Ils étaient bien ensemble, ils avaient les mêmes intérêts et riaient beaucoup. Et sexuellement c’est fantastique. Marshall avait réveillée la démone assoiffée de sexe qui sommeillait en la jeune femme. Rosie se sentait tombé amoureuse de lui et cela lui faisait très peur.
Le vendredi soir, alors qu’ils avaient calmés leur appétit divers Marshall caressait doucement sa hanche. Couché en cuillère, il lui donna des baisers sur la nuque et lui demanda :
-Qu’est ce que tu fais dimanche midi?
-Je ne sais pas pourquoi?
-On a un déjeuner de famille tous les premiers dimanches du mois, j’aimerais que tu viennes avec moi.
Rosie se retourna dans ses bras, surprise. Son cœur tambourinait dans sa poitrine.
-Tu veux me présenter à ta famille?
-Oui, pourquoi pas? On est bien ensemble non?
Rosie cligna des yeux plusieurs fois.
-D’accord. Où est-ce ?
-Chez mon frère James à Saint-Hélier. Je viendrais te chercher vers 10H30 dimanche ou encore mieux viens dormir ici demain soir.
Marshall avait l’air aussi heureux qu’un gamin à Noel. Il l’embrassa de nouveau et avant de se lever.
Dans la cuisine, elle l’entendit parler au téléphone.
-Dit à James que je vais venir accompagner dimanche… Oui… Vous allez l’aimer… Elle est adorable… Bye.
Rosie regretta d’avoir dit oui aussi vite. Elle ne croyait pas qu’il voulait la voir pour autre chose que le sexe. Depuis leur rencontre c’était leur activité principale.
Elle s’assit sur le bord du lit, un peu confuse, elle remit son t-shirt et sa petite culotte.
Il la retrouva en train de regarder dehors les vastes étendus de terre à pomme de terre non cultivé présentement pour l’hiver.
Il revint avec 2 bouteilles d’eau.
-Ça va? Tu fais une drôle de tête. Il lui tendit une bouteille d’eau. Rosie se ressaisit et lui sourit.
-Oui ça va. Parle-moi de ta famille. Ça fait très longtemps que je n’ai pas rencontré de "famille".
Marshall s’assit dans le fauteuil près de la fenêtre flambant nu, très à l’aise avec son corps.
-Nous sommes cinq garçons et une fille. Ma maison était celle de mes parents avant leur retraite.
Il lui parla alors de sa nombreuse famille, à quel point ils étaient proches les uns des autres. Il lui parla également de sa vie de producteur de légume et ses amis.
Rosie se sentit un plus proche de lui et encore plus amoureuse à son grand désespoir. La soirée avançait de plus en plus.
-Parle moi de toi. Tu connais presque tout de moi et je ne sais presque rien de toi. As-tu des frères et sœurs?
-J’ai un frère plus vieux, il vit à Montréal au Canada. Il est marié et très heureux avec Simon depuis bientôt 18 ans. On s’aime beaucoup mais nous ne sommes pas aussi proche que ta famille. Mes parents vivent tous les deux dans des petites villes différentes. Ils sont séparer depuis au moins 22 ans. J’essaie de retourner les voir tous les ans à Noël.
Il prit sa main et fit tourner la bague à son annulaire droit.
-Et tu vas y aller cette année? Dit-il en regardant sa bague de plus près.
-Je ne sais pas encore. J’attends de voir si ma patronne va dire oui pour mes vacances…
Il ne l’écoutait plus.
-Pourquoi tu porte une bague à ce doigt? Tu n’es pas… mariée ?
Rosie dégagea sa main.
-Non je ne me suis pas mariée. Cette bague, je me la suis achetée toute seule quand je me suis séparé.
Elle s’emmitoufla dans les couvertures chaudes, pleines de son odeur masculine.
-Ça fait combien de temps que tu es célibataire, dit-il en la retrouvant dans les couvertures.
-Presque 2 ans. Je suis déménagé ici juste après.
Elle ne voulait pas s’étendre sur la question mais il était curieux.
-Vous avez été ensemble combien de temps?
Rosie commençait à être sérieusement ennuyée par cette conversation.
-Presque 10 ans. Marshall, je n’ai pas envie d’en parler d’accord? Tout ce que tu as à savoir c’est que je suis célibataire et sans enfant ok? Dit-elle brusquement.
Il se retourna dans couvertures, un peu insulté.
-D’accord, je ne poserais plus de question sur ton ex.
Rosie savait qu’elle avait été dure avec lui.
-Marshall, je suis désolée. Ça s’est mal terminer, je commence juste à me remettre. Je n’ai pas envie d’en parler, dit-elle en l’enjambant. Elle l’embrassa tendrement. Durant une seconde, elle crut bien qu’il avait compris mais il lui demanda.
-Est-ce qu’il y a des chances que ce mec revienne dans ta vie?
Rosie s’assit sur lui, elle commençait à perdre patience.
-Absolument pas. Il s’est marié et il est très heureux.
Elle sortit du lit, Marshall essaya de la retenir dans le lit en lui prenant la main.
-Où est-ce que tu vas?
Elle tira sur sa main.
-J’ai besoin d’un verre d’eau.
Elle referma la porte de la chambre un peu trop fort. Elle se versa un verre d’eau et s’appuya les mains sur le plan de travail la tête basse. Les souvenir affluent comme des vagues dans sa mémoire. Elle essaya de reprendre ses esprits et son souffle quand il lui dit :
-Est-ce que tu l’aime encore?
-Quoi? Elle se retourna brusquement. Il la regardait appuyé sur le réfrigérateur les bras croisés. La pénombre de la cuisine non éclairé cachait son expression. Il répéta.
-Est-ce que tu l’aime encore?
-Jamais de la vie! Tu veux vraiment tout savoir? Dit-elle trop fort, presque au bord de la crise de nerfs.
-Tu n’es pas obligé de tout me dire mais je ne veux pas m’impliqué avec toi si tu n’es pas disponible.
Rosie se retourna une fois de plus.
-Je ne l’aime plus et il n’y a aucune chance qu’il revienne dans ma vie. Je le déteste. Il m’a trompé pendant 3 ans.
Sa voix était montée dans les aiguës. Toutes les émotions refaisaient surface malgré les années qui venaient de passer.
-Chérie… Je ne voulais pas..
Elle vida l’eau dans le lavabo, il posa les mains sur ses épaules.
-Je retourne chez moi. Si je ne suis pas assez disponible pour toi tant pis…
Elle retourna dans la chambre chercher ses affaires. Il la suivit.
-Rosie ne t’en va pas comme ça! On est en plein milieu de la nuit. Reste ici.
-Non, je veux retourner chez moi. Je n’ai rien à faire ici.
Elle passa devant lui.
-Je ne veux pas que ça se termine comme ça… Il lui attrapa la main au passage. Elle s’arrêta et respira par petit coup. Elle le regarda dans les yeux. Ses yeux bleu brillaient d’eau dans la pénombre.
-Je ne veux pas non plus que ça se termine comme ça mais j’ai besoin d’être seule maintenant. Je te donne des nouvelles demain.
Tard cette nuit là, Rosie envoya un message texte à Marshall. Elle lui expliqua tout.
« J’ai été fiancé durant 8 ans avec un Québécois installé à Londres. Pendant qu’on essayait d’avoir un bébé, j’ai découvert des condoms dans ses poches… Il me trompait depuis trois ans avec des hommes. Il m’aimait mais il voulait essayer d’autres choses… Nos amis le savaient… Je viens avec un paquet de merde Marshall. Je suis insécure et brisée à l’intérieur. Peut-être que tu devrais fuir avant qu’il soit trop tard. »
Elle appuya sur « envoyer » en pleurant à chaudes larmes dans son lit.
Elle adorait Marshall de tous son cœur mais elle était terrorisée d’essayer et de souffrir de toute son âme à nouveau.
Moins d’une heure plus tard, elle reçu sa réponse.
« Je viens avec un paquet de merde aussi. Nous avons tous les deux des passés triste et compliqué mais nous pouvons avoir un bel avenir ensemble. Si tu veux. Je t’apprécie vraiment beaucoup Rosie. »
« Je veux un avenir avec toi mais je ne suis pas prête à rencontrer ta famille. On pourrait ralentir un peu? »
« D’accord. Ralentissons un peu. »
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La supériorité pratique des grandes religions chrétiennes, c'est qu'elles doraient pas la pilule. Elles essayaient pas d'étourdir, elles cherchaient pas l'électeur, elles sentaient pas le besoin de plaire, elles tortillaient pas du panier. Elles saisissaient l'Homme au berceau et lui cassaient le morceau d'autor. Elles le rencardaient sans ambages : "Toi petit putricule informe, tu seras jamais qu'une ordure... De naissance tu n'es que merde... Est-ce que tu m'entends ?... C'est l'évidence même, c'est le principe de tout ! Cependant, peut-être... peut-être... en y regardant de tout près... que t'as encore une petite chance de te faire un peu pardonner d'être comme ça tellement immonde, excrémentiel, incroyable... C'est de faire bonne mine à toutes les peines, épreuves, misères et tortures de ta brève ou longue existence. Dans la parfaite humilité... La vie, vache, n'est qu'une âpre épreuve ! T'essouffle pas ! Cherche pas midi à quatorze heures ! Sauve ton âme, c'est déjà joli ! Peut-être qu'à la fin du calvaire, si t'es extrêmement régulier, un héros, 'de fermer ta gueule', tu claboteras dans les principes... Mais c'est pas certain... un petit poil moins putride à la crevaison qu'en naissant... et quand tu verseras dans la nuit plus respirable qu'à l'aurore... Mais te monte pas la bourriche ! C'est bien tout !...Fais gaffe ! Spécule pas sur des grandes choses ! Pour un étron c'est le maximum !..." Ça ! c'était sérieusement causé ! Par des vrais pères de l'Église ! Qui connaissaient leur ustensile ! qui se miroitaient pas d'illusions ! La grande prétention au bonheur, voilà l'énorme imposture ! C'est elle qui complique toute la vie ! Qui rend les gens si venimeux, crapules, imbuvables. Y a pas de bonheur dans l'existence, y a que des malheurs plus ou moins grands, plus ou moins tardifs, éclatants, secrets, différés, sournois... " C'est avec des gens heureux qu'on fait les meilleurs damnés. " Le principe du diable tient bon. Il avait raison comme toujours, en braquant l'Homme sur la matière. Ça n'a pas traîné. En deux siècles, tout fou d'orgueil, dilaté par la mécanique, il est devenu impossible. Tel nous le voyons aujourd'hui, hagard, saturé, ivrogne d'alcool, de gazoline, défiant, prétentieux, l'univers avec un pouvoir en secondes ! Éberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. Le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace. Voilà le grand miracle moderne. Une fatuité gigantesque, cosmique. L'envie tient la planète en rage, en tétanos, en surfusion. Le contraire de ce qu'on voulait arrive forcément. Tout créateur au premier mot se trouve à présent écrasé de haines, concassé, vaporisé. Le monde entier tourne critique, donc effroyablement médiocre. Critique collective, torve, larbine, bouchée, esclave absolue. Rabaisser l'Homme à la matière, c'est la loi secrète, nouvelle, implacable... Quand on mélange au hasard deux sangs, l'un pauvre, l'autre riche, on n'enrichit jamais le pauvre, on appauvrit toujours le riche... Tout ce qui aide à fourvoyer la masse abrutie par les louanges est bienvenu. Quand les ruses ne suffisent plus, quand le système fait explosion, alors recours à la trique ! à la mitrailleuse ! aux bonbonnes !... On fait donner tout l'arsenal l'heure venue ! avec le grand coup d'optimisme des ultimes Résolutions ! Massacres par myriades, toutes les guerres depuis le Déluge ont eu pour musique l'Optimisme... Tous les assassins voient l'avenir en rose, ça fait partie du métier. Ainsi soit-il.
Louis-Ferdinand Céline, Mea Culpa.
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si je voulais te trouver dans tous mes rêves je fermerais mes yeux et prendrais des pilules. tout ça pour sortir de la réalité, fuir, très vite. mais je n'en veux pas du tout, je te veux juste là à ramasser les roses qui fleurissaient dans la glace de l’hiver.
p.s.m.
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IVG aux États-Unis : six questions sur la suspension d'une pilule abortive qui pourrait encore limiter le droit à l'avortement.
See on Scoop.it - JamesO
Justice : un juge fédéral texan a suspendu le vendredi 07/04/23 l'autorisation de mise sur le marché de la mifépristone, l'un des deux médicaments utilisés pour les IVG médicamenteuses. L'Agence étasunienne du médicament et le ministère de la Justice ont fait appel.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 7 minutes) publié par Franceinfo (France Télévisions) avec l’AFP (Agence France-Presse) le samedi 08/04/23.
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