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#petit orquesta
ardeportal · 3 months
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Viaje Psicodélico este sábado en Villa Dolores
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Mushi Mushi Orquesta y Petit Orquesta se presentan mañana en la Sociedad Urbana Villa Dolores
Dos orquestas nacionales de innovadora propuesta comparten fecha por primera vez este sábado. Por un lado, Mushi Mushi Orquesta, un ensamble de músicos uruguayos con influencias de la música balcánica, vals y folclore rioplatense. Por otro lado, Petit Orquesta, la banda de tres guitarras y tres voces integrada por Alfonsina, Marcelo Fernández y Damián Gadea.
Mushi Mushi nace en el verano de 2008, como una actividad espontánea entre un grupo de amigos. Del juego se pasó a la curaduría de un auténtico ensamble de músicos con proyección profesional, que ya cuenta con tres discos (el homónimo de 2010, Otro cuerpo, otro esqueleto de 2012 y Quebrajar de 2016) y un single doble, de 2021.
Con un lenguaje instrumental particular, el proyecto―actualmente integrado por Alejandro Schmidt en guitarra y metalófono,  Diego González en violoncello y saxofón, Gonzalo Peluffo en guitarra y ronroco, Ignacio Pérez Traverso en acordeón y teclado, y Pablo Sosa en batería―fusiona una diversidad de instrumentos de viento, percusión y cuerdas, atravesando diferentes estilos musicales que van desde el rock and roll y el jazz, hasta las raíces folclóricas nacionales y de diferentes partes del mundo, dando lugar a un sonido personal y único.
“De mirada eléctrica y corazón acústico, Mushi Mushi Orquesta encarna la impronta de composiciones colectivas a partir de melodías y frases de brutal y concreto contenido”, definen en su Spotify, descripción que respalda sus distintivos espectáculos que sumergen a los escuchas en variados climas y atmósferas.
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Con Petit Orquesta, Alfonsina, Fernández y Gadea proponen versiones hipnóticas de músicas ajenas y propias que al día de hoy, se mantienen secretas para las plataformas digitales.
En Instagram definen su estilo como "baladas fantasmales y otras psicodelias", pero también lo han definido como "delincuencia musical y humildes alquimias". Si bien son culpables de alguna que otra versión ajena, Petit Orquesta continúa ampliando su repertorio también con composiciones propias mientras van sumando escenarios a su historia. Para Alfonsina, la banda fue la oportunidad de volver a volcar su energía en la guitarra, dentro de un sonido más tradicional, alejado de los matices electrónicos que tiñen su obra. Para los tres, una oportunidad de divertirse y experimentar en la sala de ensayo y frente a la audiencia.
Mushi Mushi Orquesta y Petit Orquesta se presentan juntos por primera vez este sábado 8 de junio en la Sociedad Urbana de Villa Dolores a partir de las 21hs, en un concierto que―prometen―quedará impregnado en los tímpanos de sus escuchas… Quedan entradas a la venta en RedTickets.
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furze · 21 hours
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― petit milquesta 05+09 graphics
F2U . please credit if using! resizing ok!
i love this artstyle sm
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lace - da-lace argyle pattern - freepik butterfly - rawpixel all character images from milgram x clock over orquesta collab
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milgram-fan-archive · 2 months
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Clock over ORQUESTA x MILGRAM (Petit Milquesta) - manga
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ignaciofuneluna · 1 year
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La bisabuela en el 96
Mi abuela lucy en el 2002
El cabro de la orquesta del inba, 2007
el robinson, 2018
mi tata alberto, 2019
petit, 2020
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haitilegends · 3 years
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Haïti Legends ''Sa Nou Dwe Konnen''
Jean Emmanuel Jabouin '' Premier Trompettiste du Compas Direct''
Biographie
Louis Carl St-Jean.
De son vrai nom Jean Emmanuel Jabouin, Talès a vu le jour à la Croix-des Bouquets le 24 juin 1930. Il est le fils du Cayen Emmanuel Jabouin, ancien fonctionnaire de l’administration publique, et d’Indiana Victor, originaire de la Croix-des-Bouquets. À l’âge de 3 ans, Talès est frappé par la fièvre typhoïde, qui le laisse avec une légère paralysie des jambes. Peu après sa guérison (vers quatre ou cinq ans), il commence à manifester un intérêt pour la musique. Non sans rire, il raconte: « Je prenais plaisir à m’asseoir sur la « manoumba » lorsque les troubadours qui venaient se produire presque toutes les fins de semaine dans la cour de la maison de mes parents prenaient leur pause… Ces exécutants eux-mêmes prenaient plaisir à me regarder pincer les lames de cet instrument qui était plus grand que moi. »
En 1937, la mère de Talès déménage et s’installe avec son fils à la rue du Champ-de-Mars, presque au coin de la rue de l’Enterrement, au cœur du Morne-à-Tuf. La maison voisine est celle des époux Augustin Baron où se produit souvent le légendaire pianiste et musicien François Alexis Guignard (dit Père Guignard). En cours de semaine, il fabrique, avec des tiges de papaye, des saxophones qu’il joue, assure-t-il, avec la plus grande joie pour les voisins. En octobre 1941, Talès est admis à l’Ecole Centrale des Arts et Métiers où il apprend la musique et la trompette sous la direction du maestro Augustin Bruno.
En juillet 1947, Talès, frais émoulu de la Centrale, fait ses débuts avec l’Ensemble Anilus Cadet, dont le QG se trouve à la rue de l’Enterrement, en face de l’Hospice Saint François de Sales. Il joue alors à côté de Fritz Ferrier, d’Issalem « Sonson » Bastien et d’autres exécutants qu’Anilus recrutait au besoin. En septembre 1949, Talès occupe l’un des dix pupitres du Jazz des Caraïbes. C’est cet orchestre, monté par Issa El Saieh, qui, en février 1950, accompagne Daniel Santos, Estela « Tete » Martinez et d’autres stars latinoaméricaines de passage au « Simbie Night Club », au « Vodou Night Club » et dans d’autres boîtes de nuit port-au-princiennes. Nous tenons de lui cette confidence pour le moins étonnante: « C’est au sein de l’Orchestre des Caraïbes que je peux retracer mes meilleurs souvenirs sur la scène musicale… » Après la dislocation de ce dixtuor, Talès s’associe de nouveau au groupe d’Anilus Cadet, qui obtient le deuxième prix du carnaval de 1951 pour la méringue « Bèl carnaval ». (Le premier prix a été décerné à TI-TA-TO.)
À la même époque, Talès, Emmanuel Duroseau fils (piano), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Louis Denis (batterie) et Marcel Jean (tambour) vont prêter leurs talents à Guy Durosier, qui, sur la recommandation d’Issa El Saieh, dirige l’Ensemble Tabou, le sextette de l’Hôtel Rivoli (Pétionville). Au cours de la même période, Talès accompagne dans les quatre coins du pays le troubadour Nicolas « Candio » Duverseau, grand chantre du magloirisme. Il joue aussi dans d’autres groupements d’occasion qui animent des pique-niques dominicaux et des soirées dansantes organisées le plus souvent par Stanislas Henry et Antoine Dextra à Carrefour Marin, commune de la Croix des Bouquets.
À la fin de 1951, Talès adhère à l’Orchestre Atomique Junior, monté par Nemours Jean-Baptiste après sa séparation de l’Orchestre Atomique. Au cours de l’année 1952, le groupe de Nemours est dissous. Immédiatement le bouillant maestro est appelé à diriger l’Orchestre Citadelle. Lorsqu’Hector Lominy se sépare de cet orchestre, Talès y est engagé pour seconder Jean Moïse. Véritable bûcheur, Nemours met sur pied parallèlement un petit groupement pour « faire la côte », selon l’expression de l’époque. Avec Dérico (chanteur), Webert Sicot (saxophone alto), Gérard Dupervil (trompette), son frère Montfort Jean-Baptiste ou parfois Augustin Fontaine (contrebasse), Hilaire ou parfois « Bibiche » (batterie) et d’autres musiciens, il sillonne par monts et par vaux les coins et recoins de la République, spécialement pour animer des fêtes champêtres.
En novembre 1953, Talès prend le chemin du Casino International et s’associe au Conjunto Panamerican dirigé par le trompettiste Emile D. Dugué. Il évolue alors aux côtés d’Ulysse Cabral (chanteur), Julien Paul (contrebasse), Charles Dessalines (saxophone alto), Gabriel Dasque (tambour), etc. Environ six mois plus tard, Talès s’écarte de ce groupe pour aller remplacer Kesnel Hall dans l’Orchestre Atomique, placé alors sous la baguette du pianiste Robert Camille. Il y passe moins de six mois et regagne l’Orchestre Citadelle pour succéder à Gesner Domingue.
Vers la fin de 1954, Nemours Jean-Baptiste, toujours maestro de l’Orchestre Citadelle, fonde le Conjunto International. Pour l’aider à égayer les clients des restaurants dansants de Jean Lumarque, dont l’un à Kenscoff, l’autre à Carrefour, il invite plusieurs musiciens, dont Talès à la trompette, à participer dans cette merveilleuse aventure : Dérico (chanteur), Mozart Duroseau (accordéon), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Webert Sicot (saxophone alto), parfois Gary Labidou (saxophone alto) et Kreutzer Duroseau (tambour). Le 22 mars 1955, après les travaux d’agrandissement et d’aménagement du night club « Aux Calebasses » à Carrefour, « Le Conjunto » devient officiellement « Ensemble Aux Calebasses ». Il convient de rappeler que la date du 26 juillet 1955 a été symboliquement retenue comme celle de la fondation de la formation musicale de Nemours Jean-Baptiste, ancêtre, donc, du compas direct. Talès en sera le premier et unique trompettiste jusqu’à l’arrivée de Walter Tadal en 1956.
Lorsque, en septembre 1958, Nemours quitte « Aux Calebasses » pour aller se produire au « Palladium Night Club », de Sénatus Lafleur, il baptise son groupe de son nom: Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste. « Alors, affirme Talès, prendra naissance le compas direct », genre musical dont il a été l’un des grands artisans, de concert avec Walter Tadal, Raymond Gaspard, Julien Paul, Louis Lahens, André Boston et de bien d’autres musiciens. Là-dessus, il sied d’entendre la voix de Talès pour mieux nous renseigner: « Quand on parle de compas direct, il faut avouer que Kreutzer Duroseau a été le véritable catalyseur de ce mouvement … Richard Duroseau représente l’âme même du compas direct… » (Entrevue avec Louis Carl Saint Jean, 22 octobre 2005.)
Le 5 juillet 1964, le Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste entame une tournée aux Etats-Unis. Le 22 septembre, date du retour du groupe en Haïti, notre trompettiste, en parfait accord avec Nemours, fait ses adieux au compas direct. Il est remplacé par le brillant trompettiste jérémien Emilio Gay. Dès le début de l’année 1965, Talès entame sa carrière aux Etats-Unis. Sur la recommandation de l’excellent saxophoniste Charles Dessalines, il intègre « Los Ases del Sesenta » qui jouent à Broadway Cafe, Myrtle Avenue, Brooklyn. Il y restera jusqu’en mars – avril 1977. Moins d’un mois plus tard, il entre au Conjuto du chanteur cubain Monguito Guillan (dit « El Unico ») où évolue également le contrebassiste Fritz Grand-Pierre. Par la suite, Talès et Raymond Marcel jouent tantôt avec ''Enrique Rosa y La Sabrosa'' tantôt avec Johnny Dupre y su Orquesta Internacional. En 1980, Talès met fin à sa carrière musicale après avoir passé deux merveilleuses années au sein du groupe du chanteur dominicain Rafael Batista.
À part d’avoir été un talentueux trompettiste, Talès a également été un analyste fin et lucide de la question musicale haïtienne. S’il reconnaît en Nemours Jean-Baptiste « un maestro extraordinaire et un grand visionnaire », ses musiciens préférés ont toujours été : Antalcidas O. Murat, Guy Durosier, Murat Pierre, Michel Desgrottes, Raoul Guillaume, Richard Duroseau et Webert Sicot. D’ailleurs, comme Nemours Jean-Baptiste lui-même, Talès a toujours vu en Antalcidas Murat « un maître ». En outre, il n’a jamais passé par quatre chemins pour affirmer : « Je suis Haïtien avant d’être musicien […] C’était un honneur pour moi d’avoir joué dans le groupe de Nemours pendant près de quinze ans. Cependant, je dois avouer que le Jazz des Jeunes était, de loin, le plus grand ensemble musical du pays… C’est le Jazz des Jeunes qui jouait la vraie musique du pays... » (Entrevue avec LCSJ, 25 octobre 2005). Hubert François, Jean Moïse, Alphonse Simon, Raymond Sicot et André Déjean ont été ses idoles parmi nos trompettistes.
Si Talès était connu comme un très bon musicien, il jouissait aussi de la réputation d’un excellent père de famille. Tandis qu’il menait sa carrière de musicien, il a travaillé comme barbier pendant plus de deux décennies dans un salon de coiffure situé à Sterling Place, à Brooklyn. Il a ainsi assuré l’éducation de quatre merveilleux enfants que lui a donnés sa femme Denise Frédéric Jabouin qu’il a épousé en 1953: Reynald Jabouin, docteur en médecine (décédé à New York en janvier 2015); Patrick Jabouin, agent immobilier et docteur en Théologie; Fanya Jabouin Monnay, docteur en thérapie conjugale et familiale et Jean Emmanuel Jabouin, Jr., MBA en Marketing.
Après avoir parcouru sans naufrage notre espace immense, Talès se repose de ses œuvres merveilleuses depuis le 3 octobre 2015 au Forest Lawn Cemetery, à Fort Lauderdale, en Floride. Pour son émule Raymond Marcel: « Talès repésentait le modèle de l’ami fidèle... La sonorité suave de son jeu avait fait de lui l’un de nos meilleurs trompettistes. » De son côté, son ancien camarade Serge Simpson, deuxième accordéoniste et premier et unique vibraphoniste du Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste, a salué en lui: « Un homme d’un comportement exemplaire. Le jeu de Talès à la trompette, poursuit Simpson, reflétait deux qualités rarement réunis chez une seule personne: la discipline et la bonne humeur. J'ai toujours gardé un grand respect pour ce musicien... » Puisse le nom de Jean Emmanuel Jabouin rester gravé à jamais dans la mémoire de tous ceux qui ont aimé la musique haïtienne en général, le compas direct en particulier. Ce n’est qu’un au revoir, Talès! Ce n’est qu’un au revoir!
Auteur:
Louis Carl Saint Jean
4 octobre 2015
#JeanEmmanuelJabouin
#Talès
#TompettisteCompasDirect
#Biographie
#LouisCarlStJean
#HugoValcin
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tinovalduvieco · 2 years
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Un petit tast de La Traviata .Obra de G.Verdi que el Cor i Orquesta Simfònica Harmonia amb un ventall de gran cantans com Tina Gorina,Carles Cosias,Toni Marsol sota la direcció musical d¨Albert Deprius i Maria Voronkova ,Directora d´escena i el cor Harmonia.Amb una escenografia espectacular els dies 10 i 16 de juliol ho podeu gaudir a la Sala Mozart de Calella.
Calella.Maresme.Catalunya Sala Mozart 08/10/16/07/2022
©Tino Valduvieco
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sonyclasica · 3 years
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RUNDFUNKCHOR DE BERLÍN
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VERDI: QUATTRO PEZZI SACRI
Las Quattro Pezzi Sacri de Giuseppe Verdi ocupan el lugar central en este nuevo álbum del mismo nombre del Rundfunkchor Berlin y la Deutsches Symphonie-Orchester Berlin bajo la dirección de Gijs Leenaars. Ya disponible.
Consíguelo AQUÍ
El álbum también incluye piezas menos conocidas para coro de otros compositores italianos de finales del siglo XIX y principios del XX. Al final de su vida, Giuseppe Verdi volvió al punto de partida de su carrera: la composición de música sacra.
Escritas por separado durante las últimas décadas de la vida del compositor, las cuatro obras para distintas instrumentaciones se publicaron en 1898 bajo el título colectivo de Quattro pezzi sacri. Esto indica que no deben entenderse como una sola obra cerrada, sino como una colección de piezas sueltas que originalmente no estaban juntas. El himno "O salutaris hostia" de Giachino Rossini se introdujo posteriormente como movimiento en una de sus obras más excepcionales: "Petite messe solennelle".
El álbum también incluye dos piezas corales de "Otto cori op.2" de Ermanno Wolf-Ferrari, que posteriormente fue conocido sobre todo por sus obras operísticas. En esta primera pieza con textos en italiano y alemán se revela su amor por la música italiana del Renacimiento. Otra rareza es "A Raffaello Divino" de Marco Enrico Bossi, cuyo catálogo de composiciones sigue siendo en gran parte desconocido, salvo sus obras para órgano. Como respuesta a la dramática obra tardía de Verdi, el "Réquiem" de Giacomo Puccini cierra el álbum. Puccini escribió el breve réquiem para el cuarto aniversario de la muerte de Giuseppe Verdi, el 27 de enero de 1905.
Rundfunkchor de Berlín
Con unos 60 conciertos anuales, numerosos CD y tres Grammys, el Rundfunkchor de Berlín es uno de los coros más importantes del mundo. Su amplio repertorio y su riqueza sonora lo han convertido en el socio elegido por las principales orquestas y directores de su ciudad natal, pero también a nivel internacional.
Gijs Leenaars
A partir de la temporada 2015/16 Gijs Leenaars asume su cargo como nuevo director principal y director artístico del Rundfunkchor de Berlín. Leenaars está considerado uno de los directores de coro más interesantes de la nueva generación. Su programación, sorprendentemente imaginativa, reúne los clásicos del repertorio coral con obras poco interpretadas de todas las épocas.
Orquesta Sinfónica Alemana de Berlín
La Deutsches Symphonie-Orchester Berlin celebra su 75 aniversario en la temporada 2021-22. Desde su fundación en 1946, ha adquirido reconocimiento en todo el mundo. Su dramaturgia, sus programas de concierto únicos y su compromiso con la música contemporánea caracterizan a la orquesta. 
 Listado de temas:
Giuseppe Verdi (1813 – 1901)
Quattro Pezzi Sacri For Soprano Solo, Choir and Orchestra
1.     I. Ave Maria
2.      II. Stabat Mater
3.     III. Laudi alla Vergine Maria
4.      IV. Te Deum
5.     Pater noster (Volgarizzato da Dante) For mixed choir a capella
Gioachino Rossini (1792 - 1868)
6.     O salutaris Hostia For mixed choir a capella
Ermanno Wolf-Ferrari (1876-1948)
Otto cori op. 2 For choir a capella
7.     Due canti Nr. 1
8.     Due canti Nr. 2
Marco Enrico Bossi (1861 - 1925)
9.     A Raffaello Divino For mixed choir a capella
Giacomo Puccini (1858 - 1924)
Requiem, SC 76 For three-part choir, viola and organ
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ERRORES CON SUS PARTITURAS
QUINCENA MUSICAL DE 2020
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 Esta es una valoración, generalizada, solo imputable a quien la escribe, asumiendo la disconformidad o conformidad -total o parcial- por parte de aquellas personas que se dignen en leerla. Otra cosa bien distinta es querer matar al pregonero, como ocurre con frecuencia. El primer error de la Quincena Musical donostiarra de este año es faltar a la verdad; y cuando eso se hace con pleno conocimiento cabe la aplicación, según el DRAE, de que se ha mentido. No ha habido la octogésima primera edición de este festival veraniego, o sea la 81, sino la septuagésima novena, la 79, ya que no se celebró en los años 1944 y 1960. Persistir en ese error es totalmente injustificable y poco respetuoso para con el público.
El segundo error de bulto es el haberse celebrado, ante las adversas circunstancias que ha habido durante todo el mes de agosto con la pandemia del virus Covid/19. Su suspensión o haberla dejado en una mínima expresión de siete o diez días hubiera sido plausible, asumible, nada criticable y políticamente casi correcto. Pero dar inicio el día 2 y su fin el 29, incumpliendo la normativa institucional de mantenimiento de distancias entre localidades (hay documentación fotográfica que así lo recoge en eventos importantes como en el Auditorio Kursaal o en el Claustro del Museo de San Telmo), es una tremenda responsabilidad en la gestión de los eventos. ¡Claro que se llenaron los espacios, lo que no se dice es en qué forma y modo!
Otro fallo inexplicable (al menos no se ha dado razón alguna) es no haber contado este año con la participación del Orfeón Donostiarra que bien pudo estar presente con un programa ad hoc, cual hubiese sido interpretando la “Petite Messe Solennelle” de G. Rossini, con poco coro, cuatro solistas y una orquesta camerística. Tampoco se utilizaron la Sala de Cámara del Kursaal o el mini auditorio del Centro Superior de Música “Musikene”, para ofrecer determinados eventos, como el Ciclo de Música Antigua, con una capacidad, con las distancias debidas que podrían haber albergado entre unas 150 a 200 personas.
Si se tomaron las medidas higiénicas para obligar al respetable a limpiarse las manos con el correspondiente líquido desinfectante y con el uso obligado de mascarillas, bien se le pudo haber dotado de un programa de mano que estuvo ausente en cada concierto, figurando en unos cartones, poco apreciables a la vista de 30x40 centímetros.
¿Existe algún problema para que en la Quincena Musical no se puedan ofrecer conciertos matutinos, a mediodía, o es que en tal momento la ciudad y los diletantes están en un sopor que no admite el gozo del arte de Euterpe?¿Qué delito ha cometido Ludwig van Beethoven para que solamente se le homenajeara en dos conciertos con motivo del celebrarse en todo el mundo el 250 aniversario de su natalicio?¿Y que se puede decir de contratar a artistas locales, sin relevante calidad, casi a ultima horas, o de hacer cantar a un coro con mascarillas, en lugar inadecuado, donde el efecto armónico de las voces tiene graves pérdidas de valoración acústica?
Estupendo el trabajo de hizo el fantástico conjunto guipuzcoano Euskal Barrokensemble, en un precioso “Concerto per liuto”; la elegancia de la ahora nominada Euskadiko Orkestra, bajo la batuta de Bychkov, concertando con poderío las beethovenianas Obertura de “Corolario” y la Sinfonía nº 3, Op. 55, “Heroica”; o el apreciable paso de voz del Calos Mena adentrándose en la tesitura de alto dejando a un lado la de contratenor o falsetista, en una elegante velada titulada “Catene d’Amore” con la buena asistencia de la soprano Jone Martínez. Es hasta aquí donde debe entrase a ofrecer el criterio subjetivo de quien firma, sin enjuiciar otros errores (u otros conciertos a los que se le negaron una invitación), mucho más graves, de gestión (sobre los que cabe, por ahora, la presunción de inocencia) y que no son de recibo para un festival de musical que lleva años sin hacer cumbre en esta piel de toro, tal y como antes nos tenía acostumbrados. ¡Vamos cuesta abajo y con viejos frenos de arena!
Ser nuevo gerente de la ESO (hay una historia turbia detrás), con un sueldo que triplica, como poco, el del anterior, y a la par acompañar, como pianista a dos cantantes, que se las vieron y desearon para sacar adelante su trabajo, dada la inexperiencia y falta de conocimiento del percutor de las techas como pianista repertorista, es algo que clama al cielo y a otras cosas que algún se irán sabiendo. Hay datos y testimonios de confirman lo dicho.
Manuel Cabrera.
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kevindurkiin · 4 years
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Orquestas Maravillosas Francia
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Playlist
Andre et sont Orchestre – Mourir d’amour (4:01)
Françoise Michelle et son piano – Bilitis (3:41)
Ted Heath y su Orquesta – Moulin rouge (3:09)
El Piano Magico – Balade pour Adeline (2:32)
Eddie Carbert – I love Paris (2:54)
Maurice Lareange – Domino (1:57)
Maurice Lareange – Un amour à Normandie (2:48)
Orquesta Encantada – Sous les toits de Paris (2:18)
Orquesta Encantada – Femmes (4:31)
Roberto Inglez – Mam’selle (3:16)
Orquesta Publivox – Été du 42 (3:42)
Mel Colombo – C’est magnifique (3:35)
Andre Et Son Orchestre – Emanuelle (3:03)
Orquesta Maravella – C’est si bon (1:52)
Fausto Papetti – Love story (2:55)
Fausto Papetti – Petite fleur (3:34)
Fausto Papetti – Melodie d’amour (2:46)
Russ Conway – Pauvres gens de París (2:10)
Billy Vaughn – Je t’appartien (2:36)
Billy Vaughn – L’amour est bleu (2:31)
Les Baxter – Les feulles mortes (2:29)
Augusto Alguero – Je t’aime, je t’aime (2:20)
Franck Pourcel – Chiens perdus sans collier (3:20)
Franck Pourcel – Les gitans (2:16)
Paul Mauriat – En Avril à Paris (3:34)
Paul Mauriat – Sous le ciel de paris-Padam padam (2:48)
Paul Mauriat – L’ame des poetes-Simphonie (2:34)
Raymond Lefevre – Paris canaille (2:08)
Perez Prado – Le mambo de París (3:32)
Francis Lai – Un homme et une femme (3:58)
Mantovani – La mer (3:48)
Mantovani – La vie en rose (3:02)
Victor Young – Le chevalier de Paris (3:41)
Victor Young – Parles-moi d’amour (3:12)
Victor Young – Hymne a l’amour (3:16)
Michel Legrand – Mademoiselle de Paris (2:33)
Michel Legrand – Sous les ponts de Paris (3:31)
Michel Legrand – Paris (1:50)
Orquestas Maravillosas Francia published first on https://soundwizreview.tumblr.com/
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gobqro · 4 years
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Más jazz para disfrutar en línea
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María Alonso, Jazz a la Mex; Juggernot, Magnolia, Filulas Juz, Cienfuegos, e Iraida Noriega, fueron las bandas que participaron en el cuarto día de actividades del Festival Internacional Jazz de Verano, que lleva a cabo en línea la Secretaría de Cultura del Estado de Querétaro, del 13 al 19 de julio. María Alonso (voz), Jorge Lagunas (guitarra), Andrés Lores (bajo), y Oscar Musiate (batería), integrantes de ‘María Alonso, Jazz a la Mex’, brindaron su concierto en línea con temas como “Llorona”, “Voy a apagar la luz”, “Acá entre nos”, y “No me vayas a perder” de la autoría de la vocalista, entre otros temas, con el ritmo que provoca el jazz. Entre las colaboraciones de la Banda de M��sica del Estado, participaron los maestros Javier García, Gerardo Merino S., Gerardo Merino G., Juan Carlos Murillo e Iván Rangel; interpretaron el tema “St. Louis Blues” de W.C. Handy, teniendo como escenario la antigua estación del tren.
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De la Ciudad de México, la banda Juggernot, integrada por los hermanos Asaph y Samuel Sánchez y César Baruch de la Guardia, brindó su concierto con una propuesta de jazz y electrónica, entre la música instrumental académica y la sensibilidad. Javier Vázquez, Darío Aguilar, Mauricio Torres, Rubén Abitia, Alejandro Orozco y Paola Martínez, jóvenes integrantes de la banda queretana “Magnolia”, deleitaron a sus seguidores con su concierto en línea, en donde interpretaron temas como: All of me, Song for may father, The saga of Harrison Crabfeathers y Fly me to the moon, entre otros. Luis Obregón, integrante de la Orquesta Filarmónica del Estado de Querétaro, tuvo participación con el tema “Petite fleur” de Sydney Bechet. El quinteto Cienfuegos, de Jalisco, condujo su participación con temas que fueron del rock al jazz y la música contemporánea, con excitantes improvisaciones enmarcadas en la música de México. En el ciclo académico, se llevó a cabo la tercera y última parte de la conferencia “La influencia del jazz en la música clásica de los siglos XX y XXI”, a cargo de Leticia Pérez y Leonardo Bautista. De igual manera, este jueves cerró el taller “Armonía y composición en el jazz moderno” impartida por Andrés Carapia.
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Los integrantes de Sarabanda, Eduardo Núñez, Serguey Sokolov, Juan Alzate y Alonso Hernández, brindaron la clase magistral de este día, en donde abordaron su experiencia al incursionar en el jazz de manera individual, las instituciones en las que se formaron y las recomendaciones que, desde su perspectiva, pueden mejorar las experiencias de los participantes en esta clase magistral en línea. Culminando el cuarto día del programa del FIJV, se presentó Iraida Noriega, dando muestra de su amplia trayectoria artística en un concierto que se disfrutó de principio a fin, donde la artista de la Ciudad de México, hizo gala de su improvisación envuelta en el jazz, con temas como “Midght caller”, “Nada será igual”, ambas de su autoría, así como “Serenata huasteca”, de José Alfredo Jiménez, entre otros temas que ejecutó de manera exquisita. Sobre su participación, Iraida publicó en su concierto: “La circunstancia que vivimos me llevó a crear un concierto en solitario, con 3 segmentos: uno a piano y voz, otro con el uku mariposa (un instrumento de diseño personal) y el último de live looping. Aunque el concierto es en solitario, nunca estuve sola en el camino”. Las actividades continúan en Facebook y YouTube de la Secretaría de Cultura del Estado, hasta el 19 de julio. El programa puede consultarse en www.culturaqueretaro.gob.mx, Instagram y Twitter @SECULTQro
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milgram-fan-archive · 2 months
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Clock over ORQUESTA x MILGRAM (Petit Milquesta) - merch/announcements
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culturizando · 7 years
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#UnDíaComoHoy: 13 de noviembre en la historia
El 13 de noviembre es el día 317º día del año. Quedan 48 días para finalizar el año. Estos son algunos de los eventos más destacados que ocurrieron un día como hoy 13 de noviembre.
-Hoy se conmemora el Día mundial de la bondad. Se trata de un día en el que se hace un llamamiento mundial para ser felices y hacer felices a todas aquellas personas de nuestro alrededor. El origen del Día de la Bondad se remonta al año 1977. La idea de dedicar un día a la bondad fue promovida por la World Kidness Movement (WKM) en Tokio. A partir de ese momento se han unido muchos países a esta celebración a nivel mundial. El término de bondad hace referencia a la actitud personal positiva y constructiva hacia los demás seres humanos, los animales, la naturaleza, etc. Se trata de una inclinación natural a hacer el bien, sobre todo de aquellas personas que nos rodean. ¡Feliz Día de la Bondad para todos!
-7 a. C.: en todo el norte de China se registra un terremoto que deja 415 víctimas.
-354: en Tagaste, pequeña ciudad de Numidia (actual Argelia), nace San Agustín, el autor de “Las Confesiones” y “La Ciudad de Dios”, obispo de Hipona de 396 a 430, y uno de los más importantes pensadores cristianos junto a San Pablo.
-1850: en Edimburgo, Escocia, nacía el novelista, poeta y ensayista Robert Louis Balfour Stevenson. Es el autor de exitosas obras como la novela de horror “El extraño caso del Dr. Jeckyll y Mr. Hyde” (1886) y la novela de aventuras “La isla del tesoro” (1883). Sus escritos transitan géneros variados, publicó ensayos, crónicas de viaje, novelas de aventuras e históricas. Ya en su infancia, Stevenson manifestaba un gran interés por la literatura, durante esos años escribió numerosas historias y ensayos. Sin embargo, su primer libro, “An inland Voyage” fue publicado en 1878, después de haber abandonado la carrera de ingeniería náutica y ejercido como abogado. Robert Louis Stevenson, al igual que varios personajes de sus historias, realizó numerosos viajes por distintas partes del mundo. En uno de ellos, a los 26 años de edad, conoció en Francia a Fanny Osbourne, quien se convertiría en su esposa. Años después, en Nueva York, entabló una amistad con otro famoso escritor de la época, Mark Twain, el autor de “Las aventuras de Tom Sawyer”. Luego se trasladó, junto con su esposa y sus hijos, a las islas del Pacífico Sur. Stevenson, falleció el 3 de diciembre de 1894.
-1903: muere Camille Pissarro, pintor impresionista francés. Se le conoce como uno de los “padres del impresionismo”. Pintó la vida rural francesa, sobre todo los paisajes y las escenas en los que aparecían campesinos trabajando, pero también escenas urbanas en Montmartre. En París tuvo como discípulos a Paul Cézanne, Paul Gauguin, Jean Peské y Henri-Martin Lamotte.
-1907: fue realizado el primer vuelo en helicóptero de toda nuestra historia, en la localidad de Lisieux, dentro del departamento de Calvados, al noroeste de Francia. El helicóptero, que contaba con un motor Antoinette que proporcionaba 24 CV con dos rotores de rotación inversa ubicados a ambos lados del aparato, logró elevarse unos 30cm por encima del suelo durante 20 segundos. Ese mismo día realizó otro intento, consiguiendo elevarse la máquina a una altura de metro y medio, con Paul Cornu y su hermano Jaques como pasajeros. Paul Cornu falleció el 6 de junio de 1944 bajo los escombros de su casa, que fue destruida en el transcurso de los bombardeos precursores del Desembarco de Normandía por los aliados durante la Segunda Guerra Mundial.
-1918: en el marco de la Primera Guerra Mundial Hungría y los aliados firman un armisticio (Armisticio de Belgrado).
-1934: nace Garry Marshall, actor, director, productor de cine y escritor estadounidense. Conocido por su participación en producciones como Pretty Woman, Happy Days, Mork & Mindy, The Princess Diaries, entre muchas otras más.
-1941: se estrena la película Fantasía de Walt Disney. Tercer largometraje de animación, considerado un «clásico de animación», de los estudios Disney. Su producción fue lanzada algo después de Blancanieves y los siete enanitos (1937) y al mismo tiempo que Pinocho, estrenado a comienzos del año 1940. La obra es una película experimental sin diálogos (salvo el director de orquesta y Mickey Mouse) cuyo objetivo es ilustrar o acompañar con la animación temas de música clásica. Contiene ocho piezas musicales, tocadas la mayoría de ellas por la orquesta de Filadelfia, bajo la dirección de Leopold Stokowski que componen las siete secuencias musicales.1945: en Francia, la Asamblea Constituyente proclama unánimemente a Charles De Gaulle como jefe del Gobierno provisional.
-1950: muere asesinado Carlos Delgado Chalbaud, presidente venezolano. El asesinato de Carlos Delgado Chalbaud constituye el único magnicidio en la historia republicana de Venezuela. Se dice que el magnicidio fue ordenado por Marcos Pérez Jiménez. El asesinato de Chalbaud provocó una crisis política nacional y obligó a reorganizar la Junta Militar, Germán Suárez Flamerich, para ese entonces embajador en el Perú, fue encargado de inmediato de la presidencia de la junta.
-1955: nace Whoopi Goldberg, actriz estadounidense. Su primer trabajo relevante fue como protagonista del espectáculo unipersonal Whoopi Goldberg (1984-85), presentado en Broadway. Sus trabajos más notables los realizó en las películas The Color Purple (1985), Ghost (1990), Sister Act (1992), Sister Act 2 (1993), The Lion King (1994), “The Associate” (1996) y Girl, Interrupted (1999). Por su interpretación de Celie Johnson en The Color Purple, dirigida por Steven Spielberg, Goldberg ganó el Globo de oro a la mejor actriz de drama en 1986 y el premio Image en la categoría de mejor actriz en 1988; en 1990 ganó el Óscar a Mejor Actriz de Reparto por su interpretación de Oda Mae Brown en “Ghost”.
-1969: nace Gerard Butler, actor, cantante, abogado y productor de cine británico. Empezó su carrera como actor en las obras teatrales «Coriolanus» y «Trainspotting», tras las cuales obtuvo su primer trabajo en una película, «Mrs. Brown», en 1997. El mismo año apareció en «El mañana nunca muere», y en 2000 fue por primera vez el personaje principal de una película, en «Dracula 2001», donde se hizo conocido. Posteriormente apareció en «Tomb Raider: La cuna de la vida» en 2003, en la que actuó junto con Angelina Jolie. En 2007 interpreta al rey Leónidas I en la película 300, la cual le dio a conocer ante el público y le lanzó al estrellato.
-1971: en Marte entra en órbita la sonda estadounidense Mariner 9.
1978: nace José Muñoz, cantante español. Conocido por ser parte del grupo Estopa.
-1985: entra en erupción en volcán Nevado del Ruiz situado en la región andina colombiana. El calor licuó la nieve acumulada en la cima del volcán de 5.321 metros de altura y produjo inmensas avalanchas de lodo y piedras. En cuestión de minutos, el alud alcanzó el río Lagunillas y sumó más masa a la ola de deshechos que arrasó al pueblo de Armero situado en la falda del volcán. Las casas fueron arrasadas y miles de personas sepultadas en el barro. En total murieron 25.000 personas, la inmensa mayoría en el pueblo de Armero. La fatalidad quiso que el alud llegara por la noche sorprendiendo a muchos habitantes de Armero antes que pudieran advertir la tragedia.
-2009: tras el impacto de la sonda LCROSS, la NASA anuncia el descubrimiento de ‘significativas cantidades’ de agua en la Luna.
-2015: ocurren una serie de atentados en París (Francia), perpetrados en su mayoría por atacantes suicidas en los que murieron 137 personas y otras 415 resultaron heridas. Un tiroteo en el restaurante Petit Cambodge, en el X Distrito de París, se saldó con al menos cuatro muertos. Un segundo tiroteo tuvo lugar en el teatro Bataclan, en el XI Distrito de París, con al menos 100 rehenes. En una brasserie cercana al Estadio de Francia, una explosión dejó al menos 10 muertos o heridos. La autoría de los ataques fue reivindicada por la organización yihadista Estado Islámico.
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Discos escuchados en 20-19
       Teruhisa Fukuda - Japan: Musical Offering of a Shakuhachi Master (2018)
       Kelman Duran - 13th Month (2018)
       Susana Santos Silva - All the Rivers, Live at Panteão Nacional (2018)
       Bantu Continua Uhuru Consciousness - Emakhosini (2018)
       The Soft Moon - Criminal (2018)
       Rejjie Snow - Dear Annie (2018)
       Snail Mail - Lush (2018)
       The Wombats - Beautiful People Will Ruin Your Life (2018)
       Neko Case - Hell-On (2018)
       Death Drag - Shifted (2018)
       Toby Driver - They Are the Shield (2018)
       Drudkh - Їм часто сниться капіж (They Often See Dreams About the Spring) (2018)
       Dead Combo - Odeon Hotel (2018)
       Baba Commandant and the Mandingo Band - Siri Ba Kele (2018)
       Глеб Колядин [Gleb Kolyadin] - Gleb Kolyadin (2018)
       Nap Eyes - I'm Bad Now (2018)
       Murder by Death - The Other Shore (2018)
       Monte Resina - Aluado Bulimor (2018)
       Ivar Bjørnson & Einar Selvik - Hugsjá (2018)
       Marlowe - Marlowe (2018)
       Wayfarer - World's Blood (2018)
       Summoning - Old Mornings Dawn (2013)
       Lil Peep - Goth Angel Sinner (2018)
       Mundo Livre S/A - A Dança dos Não Famosos (2018)
       Cecilio.G - MAD MAX POWER (2018)
       Betacam - Mítico (2018)
       Axolotes Mexicanos - Salu2 (2018)
       Atom Rhumba - Cosmic Lexicon (2018)
       Za! - Pachinko Plex (2018)
       Aliment - Brother (2018)
       El Petit de Cal Eril - ∆ (2018)
       Rodrigo Amado, Joe McPhee, Kent Kessler & Chris Corsano - A History of Nothing (2018)
       Kikí d'akí - Breve encuentro (2019)
       Joan Miquel Oliver - Elektra (2018)
       Yung Beef - Adromicfms 4 (2018)
       Fernando Alfaro - Sangre en los surcos (2018)
       Elastic Band - Fun Fun Fun (2018)
       Disco las Palmeras! - Cálida (2018)
       Cooper - Tiempo, Temperatura, Agitación (2018)
       Mutant Beat Dance - Mutant Beat Dance (2018)
       Soleá Morente - Ole Lorelei (2018)
        Ferran Palau - Blanc (2018)
       Pega Monstro - Casa de cima (2017)
       Maria Rodés - Eclíptica (2018)
       Justin Hurwitz - First Man (2018)
       Various Artists - We Out Here (2018)
        Thelonious Monk - Mønk (2018) *** 4.5/5
       Dapuntobeat - Digital Pills (2018)
       Cookin' Soul - Doom Xmas (2018)
       Graham Lambkin / Jason Lescalleet - The Breadwinner (2008) *** 4.5/5
       Bernard Parmegiani - De natura sonorum (1975) *** 4.5/5
       Various Artists - Tuva, Among the Spirits: Sound, Music and Nature in Sakha and Tuva (1999)
       Dr. Roger Payne - Songs of the Humpback Whale (1970)
        Akira Sakata, Chikamorachi & Masahiko Sato - Proton Pump (2018)
        Aterciopelados - Claroscura (2018)
        Aterciopelados - Caribe atómico (1998)
        Mercado de los Corotos, by Augusto Bracho (2018)
       Da Pawn - Pistola de Balín (2018)
       Jeff Rosenstock - POST- (2018)
       Saintseneca - Pillar of Na (2018)
       Say Sue Me - Where We Were Together (2018)
       Rival Consoles - Persona (2018)
       Julee Cruise - Floating Into the Night (1989)
       Lowrider - Ode to Io (2000)
       Grotto - Smokonomicon (2016)
       Hawkwind - Warrior on the Edge of Time (1975) *** 4.5/5
       Elder - Dead Roots Stirring (2011)
       Steve Hillage - Fish Rising (1975) *** 4.5/5
       Respire - Dénouement (2018)
       Los Caramelos - Cicatrices de un cuento (II) (2018)
       Nacho Casado - Verão (2018)
       Milo - Budding Ornithologists Are Weary of Tired Analogies (2018)
       DJ Muggs & Roc Marciano - Kaos (2018)
       Nostrum Grocers - Nostrum Grocers (2018)
       Apollo Brown & Joell Ortiz - Mona Lisa (2018)
       Panda Bear - Buoys (2019)
       The Collective - TEXTURES : WALLS (2019)
        The Caretaker - An Empty Bliss Beyond This World (2011)
       Toro y Moi - Outer Peace (2019)
       Mark Deutrom - The Blue Bird (2019)
       John Garcia and The Band of Gold - John Garcia and The Band of Gold (2019)
       The Scary Jokes - Burn Pygmalion!!! A Better Guide to Romance (2019)
       Future - BEASTMODE2 (2018)
       Anja Garbarek - The Road Is Just a Surface (2018)
       Craig Armstrong - Sun on You (2018)
       The Good, the Bad & the Queen - Merrie Land (2018)
       Beautify Junkyards - The Invisible World of Beautify Junkyards (2018)
       Abul Mogard - Above All Dreams (2018)
       Michael O'Shea - Michael O'Shea (1982) *** 4.5/5
       Tim Buckley - Starsailor (1970) *** 4.5/5
       Nico - The Marble Index (1968)
       Orquesta de las Nubes - Manual del usuario (1987)
       Panchasila - Panchasila (2018)
       Tim Buckley - Happy Sad (1969)
       Lula Côrtes e Zé Ramalho - Paêbirú (1975)
       Son House - Father of Folk Blues (1965) *** 4.5/5
       J.B. Lenoir - Alabama Blues (1965) *** 4.5/5  
       Ry Cooder - Paris, Texas (1985)
       Billy Paul - 360 Degrees of Billy Paul (1972)
       Ry Cooder & V.M. Bhatt - A Meeting by the River (1993)
       Elizabeth Cotten - Folksongs and Instrumentals With Guitar (1958)
       Skip James - Today! (1966)
       Mississippi John Hurt - Today! (1966)
       Muddy Waters - Folk Singer (1964) *** 4.5/5  
       Muddy Waters & The Rolling Stones - Checkerboard Lounge Live Chicago 1981 (2012) *** 4.5/5  
   Otis Spann - The Biggest Thing Since Colossus (1969) *** 4.5/5  
   Chester Watson - Instrumental Tape (2019)
   Future - Future Hndrxx Presents: The WIZRD (2019)
   English Baroque Soloists / Monteverdi Choir / John Eliot Gardiner - Mass in B minor (1985)  *** 4.5/5  
   Wiener Philharmoniker / Carlos Kleiber - Symphonie Nr.5 (1975)  *** 4.5/5  
   Berliner Philharmoniker / Pierre Boulez - Symphony of Psalms; Symphony in Three Movements; Symphonies of Wind Instruments (1999)  *** 4.5/5  
   Muggs x DOOM - Muggs x DOOM (2018)
   Gun - Gun (1968) *** 4.5/5  
   Dark - Round the Edges (1972)
   Morgen - Morgen (1969)
   Truth and Janey - No Rest for the Wicked (1976)
   Leaf Hound - Growers of Mushroom (1971)
   The Moody Blues With The London Festival Orchestra - Days of Future Passed (1967) ***5/5
   Sascha Goetzel / Borusan Istanbul Philharmonic Orchestra  - Rimsky-Korsakov: Scheherazade         *** 4.5/5    
   Sharon Van Etten - Remind Me Tomorrow (2019)
   The Kinks - Something Else by The Kinks (1967)
   Scott Engel - Scott 4 (1969)
   Gong - Radio Gnome Invisible Trilogy (2015) *** 4.5/5
   Chicago Symphony Orchestra / Pierre Boulez / Анатолий Угорский [Anatol Ugorski] - Le poème de l'extase; Piano Concerto; Prométhée (1999)
   Genesis - Nursery Cryme (1971)
   Chicago Symphony Orchestra / James Levine - Rhapsody in Blue; An American in Paris (1993) *** 4.5/5
   Talk Talk - The Colour of Spring (1986)
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FEBRERO:1.        James Blake - Assume Form (2019)2.        Felipe El Hombre - Los Hijos del Sol (2018)3.        Eptos Uno - Haciendo historia 4.        Berliner Philharmoniker / Herbert von Karajan - Le Sacre du printemps (1964)5.        L' Orchestre de la Suisse romande/Ernest Ansermet - Le sacre du printemps (1957) *** 5/56.        L' orchestre de la Suisse Romande / Ernest Ansermet - The Fire Bird (Complete Ballet) (1958)7.        Igor Stravinsky - Ballets; Stage Works; Orchestral Works (L'Orchestre de la Suisse romande/Ernest Ansermet) (2001) *** 4.5/58.        Orchestre de la Suisse romande / Ernest Ansermet - Pulcinella Suite; Song of the Nightingale (1960) 9.        L' Orchestre de la Suisse Romande / Ernest Ansermet - Petrouchka (1950) 10.        Igor Stravinsky - Apollo Musagettes / Renard (L'Orchestre de la Suisse Romand, Ernest Ansermet) (2002) 11.        Jonathan Bree - Sleepwalking (2018) 12.        Junior Wells - Coming at You (1968) 13.        L' orchestre de la Suisse Romande / Ernest Ansermet - Nutcracker Suites Nos. 1 and 2 (1959) 14.        Fenton Robinson - Somebody Loan Me a Dime (1974) 15.        Magic Sam Blues Band - West Side Soul (1968) *** 4.5/5 16.        The Velvet Underground - White Light / White Heat (1968) 17.        Muddy Waters - Fathers and Sons (1969) *** 4.5/5  18.    Fred McDowell - My Home Is in the Delta (1964) 19.    Mississippi John Hurt - Last Sessions (1972) 20.    Mumford & Sons - Delta (2018) 21.    Blank Banshee - Blank Banshee 0 (2012) 22.    Champion Jack Dupree - Blues From the Gutter (1959) 23.    John Lee Hooker - That's My Story (1960) *** 4.5/5   24.    Various Artists - The Favourite (2019) 25.    ¿Téo? - ¿Téo? (2018) 26.    John Lee Hooker - Travelin' (1960) 27.    Johnny Shines - Too Wet to Plow (1975) *** 4.5/5    28.    Blind Willie Johnson - The Complete Blind Willie Johnson (1993) 29.    Robert Johnson - King of the Delta Blues Singers (1961) 30.    Snooky Pryor - Snooky (1987) 31.    Sonny Boy Williamson - His Best (1997) *** 4.5/5    32.    Muddy Waters - Muddy "Mississippi" Waters Live (1979) *** 5/5     33.    Steve Reich - Music for 18 Musicians (1978) *** 4.5/5      34.    Ennio Morricone - C'era una volta il West (1968) 35.    Ennio Morricone - C'era una volta in America (1984)  *** 4.5/5     36.    Kronos Quartet / Pat Metheny - Different Trains; Electric Counterpoint (1989) *** 4.5/5       37.    Howlin' Wolf - Moanin' in the Moonlight (1959) 38.    Johnny Shines - Johnny Shines (1974) *** 4.5/5 39.    Colin Scot - Colin Scot (1971)   *** 4.5/5  40.    Black Dresses - Thank You (2019) 41.    Czarface & Ghostface Killah - Czarface Meets Ghostface (2019)42.    Vladimir Spivakov / Sergej Bezrodny / Dietmar Schwalke / Alexander Malter - Alina (1999) 43.    FLUX Quartet - Feldman Edition 6: String Quartet No. 2 (2002) 44.    Stan Getz & João Gilberto featuring Antônio Carlos Jobim - Getz / Gilberto (1964)   *** 4.5/5   45.    Dietmar Wiesner / Markus Hinterhäuser / Robyn Schulkowsky - Crippled Symmetry (1994) 46.    Takács Quartet - The 6 String Quartets (1997) 47.    Miles Davis - Sketches of Spain (1960) 48.    Carla Bley & Paul Haines - Escalator Over the Hill (1971)   *** 4.5/5   49.    The Don Ellis Orchestra - Electric Bath (1967) 50.    Arditti String Quartet / Dawn Upshaw - Arnold Schoenberg 2: Streichquartette I-IV (1994) 51.    English Baroque Soloists / Monteverdi Choir / John Eliot Gardiner - L'Orfeo (1987)  *** 5/5    52.    The Tale Quartet - String Quartets Nos. 1-3 (1990)  *** 4.5/5   53.    Les Arts Florissants / William Christie / Guy de Mey / Guillemette Laurens / Agnès Mellon / Jean-François Gardeil / John Holloway - Atys (1987)54.    Roberto Loreggian - Fiori Musicali: 3 Organ Masses *** 4.5/5   55.    Federico Moreno Torroba - Monte Carmelo (Federico Moreno Torroba, Gran Orquesta Sinfónica del Teatro Calderón, Madrid) (1999)  56.    The English Concert / Trevor Pinnock - Dido and Aeneas (1989) 57.    Al Ayre Español - Al Ayre Español Edition (2012)58.    Ana María Iriarte / Inés Rivadeneira / Selica Pérez Carpio / Manuel Ausensi / Miguel Ligero / Rafael López Somoza / Perecito - La Revoltosa (1962) 59.    Malibu Ken - Malibu Ken (2019) 60.    Yugen Blakrok - Anima Mysterium (2019) 61.    Sada Baby - Bartier Bounty (2019) 62.    Kill Bill & Rav - New Moon (2019) 63.    Wicca Phase Springs Eternal - Suffer On (2019) 64.    Blockhead - Free Sweatpants (2019) 65.    Rival Sons - Feral Roots (2019) 66.    Various Artists - Spider-Man: Into the Spider-Verse (Soundtrack From & Inspired by the Motion Picture) (2018)67.     Steve Hackett - At the Edge of Light (2019) *** 4.5/5   68.    Siena Root - Different Realities (2009) *** 4.5/5   69.    Bessie Smith - The Essential Bessie Smith (1997)  *** 4.5/5   70.    Alberta Hunter - Amtrak Blues (1980) 71.    Dinah Washington - Dinah Jams (1954) 72.    Meek Mill - Championships (2018) 73.    James Booker - Junco Partner (1976) 74.    José Andrëa - Bienvenidos al medievo (2019) 75.    Alan Stivell - Renaissance de la harpe celtique (1971) 76.    Galandum Galundaina - Senhor Galandum (2009)77.    Alberta Hunter / Lucille Hegamin / Victoria Spivey - Songs We Taught Your Mother (1962) 78.    Catrin Finch & Seckou Keita - Clychau Dibon (2013) 79.    Planxty - Planxty (1973)
///////////////////////////////////////////////////////////////////////////MARZO: 1. Planxty - Planxty (1973) 2. Tri Yann - Double Best of (2011) 3. Dick Gaughan - Handful of Earth (1981) 4. Soho Rezanejad - Six Archetypes (2018) 5. Mägo de Oz - Ira Dei (2019) 6. Saurom - La magia de la luna (2017) 7. Jake Bugg - Hearts That Strain (2017) 8. Little Simz - Grey Area (2019) *** 4.5/5 9. Nicholas Britell - If Beale Street Could Talk (2018)10. Tase - Boomerang (2018)11. Nave Especial - Ruzzi12. Párpados- Ramona 13. Vendaval - Pehenche (2016) 4.5/5 14. Ida Cox with the Coleman Hawkins Quintet - Blues for Rampart Street (1961) 15. John Lee Hooker - House of the Blues (1960) 4.5 16. Maria Beraldo - Cavala (2018) 17. Niña Dioz - Reyna (2018) 18. Perras on the Beach - Flow de Cuyo (2018) 19. Muddy Waters - Hard Again (1977) 4.5 20. Bruce Springsteen - Nebraska (1982) 21. Stevie Ray Vaughan and Double Trouble - Texas Flood (1983) 4.522. Freddie King - Getting Ready... (1971) 23. Brian Eno - Ambient 1: Music for Airports (1978) 24. Armand Amar - Human (2015) 4.5 25. Julio Iglesias - Yo canto (1969) 26. Alec Benjamin - Narrated for You (2018) 27. Solange - When I Get Home (2019) 28. Maurice Louca - Elephantine (2019) 29. Motorpsycho - The Crucible (2019) 30. Julio Iglesias - Julio Iglesias (1970) 31. John Lee Hooker - It Serve You Right to Suffer (1966) 4.5 32. Julio Iglesias - A flor de piel (1974) 33. Julio Iglesias - El amor (1975) 34. Julio Iglesias - Sono un pirata, sono un signore (1978) 35. Andrew Bird - My Finest Work Yet (2019) 36. The Caretaker - Everywhere at the End of Time - Stage 6 (2019) 37. Xiu Xiu - Girl With Basket of Fruit (2019) 38. Saba Alizadeh - Scattered Memories (2019) 4.5 39. Irfan - Seraphim (2007) 40. Scott Walker - Tilt (1995) 41. Ariana Grande - Thank U, Next (2019) 42. Behdad Moghaddasi - Persian Suite (2010)43.  
Lay
-
Namanana
(2018)44.  
BaianaSystem
-
O futuro não demora
(2019)45.  Juçara Marçal e Kiko Dinucci -
Padê
(2008)46.  
Milton Nascimento
&
Lô Borges
-
Clube da Esquina
(1972)47.  
WWWINGS
-
PHOENIXXX
(2016)48.  J
ulio Iglesias
-
Soy
(1978)49.  
Julio Iglesias
-
A Mexico
(1975)///////////////////////////////////////////////////////////////////////////ABRIL:
Quelle Chris - Guns (2019)
Stoney Willis - Nu Stogie (2018)
Billie Eilish - When We All Fall Asleep, Where Do We Go? (2019) *** 4.5/5
Nivhek - After Its Own Death / Walking in a Spiral Towards the House (2019)
Ini Kamoze - Ini Kamoze (1984)
Movimiento Original - Soldados del ghetto (2008)
Billy Woods & Kenny Segal - Hiding Places (2019)
Devin Townsend - Empath (2019)
The Comet Is Coming - Trust in the Lifeforce of the Deep Mystery (2019)
Avey Tare - Cows on Hourglass Pond (2019)
La Dispute - Panorama (2019)
Matmos - Plastic Anniversary (2019)
Nuru Kane - Sigil (2006)
Townes Van Zandt - Our Mother the Mountain (1969) *** 4.5/5
Townes Van Zandt - Townes Van Zandt (1969)
These New Puritans - Inside the Rose (2019)
American Football - American Football (2019)
Lucki - Freewave 3 (2019)
Fennesz - Agora (2019)
Durand Jones & The Indications - American Love Call (2019)
Joe La Reina - Esas nuevas modas (2017)
Nuvolascura - Nuvolascura (2019)
PUP - Morbid Stuff (2019)
Waste of Space Orchestra - Syntheosis (2019)
Nils Frahm - Wintermusik (2009) ***  4.5/5
Nils Frahm - Felt (2011) ** 4.5/5
The Stuttgart State Opera Orchestra & Chorus / Dennis Russel Davies - Akhnaten (1987) ** 4.5/5
Nils Frahm - Encores 2 (2019)
Michael Nyman - The Cook, the Thief, His Wife & Her Lover (1989)
Aphex Twin - Selected Ambient Works Volume II (1994) ** 4.5/5
Pep Llopis - Poiemusia la nau dels argonautes (1987)
Ravi Shankar and Philip Glass - Passages (1990) 5/5
Groupe de Recherches Musicales de la RTF - Persepolis (1971)
Nuno Canavarro - Plux Quba (1988)
Magnolia Electric Co. - The Magnolia Electric Co. (2003)
Tim Bowness - Flowers at the Scene (2019)
Zakir Hussain & Shivkumar Sharma - Rag Madhuvanti and Rag Misra Tilang (1987) *** 4.5/5
Nusrat Fateh Ali Khan - Shahen-Shah (1989) ** 4.5/5
GAS - Pop (2000)
Various Artists - Symphonies of the Planets 1: NASA Voyager Recordings (1992)
Various Artists - Symphonies of the Planets 1-5: NASA Voyager Recordings (1992)
Anouar Brahem Trio - Astrakan café (2000)
Hamza El Din - Escalay: The Water Wheel (1971)
Anouar Brahem - Le pas du chat noir (2002) *** 4.5/5
Black to Comm - Seven Horses for Seven Kings (2019)
Opera Magna - Del amor y otros demonios (2019)
The Claypool Lennon Delirium - South of Reality (2019)
Francisco López - Anima Ardens (2016)
Francisco López - Amarok (2010)
Stelios Petrakis, Efrén López & Bijan Chemirani - Mavra Froudia (2011)
Jana Winderen - Energy Field (2010)
Prague Chamber Orchestra - Dvorák: Serenade for Strings; Czech Suite (2001)
Dr. Dre - 2001 (1999)
Le Orme - Sulle ali di un sogno (2019)
Traveler - Traveler (2019)
Soen - Lotus (2019)
YG - Stay Dangerous (2018
Gesaffelstein - Hyperion (2019)
Bournemouth Sinfonietta / Jean-François Monnard / Maria Kliegel - Cello Concertos Nos. 1 and 2; Suite, Op. 16; Allegro appassionata; The Swan (1996) *** 4.5/5
Apparat - LP5 (2019)
Bandalos Chinos - BACH (2018)
Emmanuelle Bertrand / Pascal Amoyel - Suites pour violoncelle; Méditations hébraïques pour violoncelle et piano (2003) *** 4.5/5
Julio Iglesias - Un canto a Galicia (1972)
Lizzo - Cuz I Love You (2019)
Uboa - The Origin of My Depression (2019)
Anderson .Paak - Ventura (2019)
Sunn O))) - Life Metal (2019)
/////////////////////////////////////////////// 322MAYO:
Marea - El azogue (2019)
Weyes Blood - Titanic Rising (2019)
Black Sabbath - Heaven and Hell (1980)
Various Artists - El camino de Leda (2019)
Juliana Hatfield - Weird (2019)
Aldous Harding - Designer (2019)
Beirut - Gallipoli (2019)
Boy Harsher - Careful (2019)
Jessica Pratt - Quiet Signs (2019)
Hante. - Fierce (2019)
Lila Downs - Al chile (2019)
Vampire Weekend - Father of the Bride (2019)
Bjørn Riis - A Storm Is Coming (2019)
Kelsey Lu - Blood (2019)
Fontaines D.C. - Dogrel (2019)
Pile - Green and Gray (2019)
Mdou Moctar - Ilana (The Creator) (2019)
Avalanch - El secreto (2019)
Tierra Santa - Quinto elemento (2017)
Monkey3 - Sphere (2019)
Maja S. K. Ratkje - Sult (2019)
Christian Scott aTunde Adjuah - Ancestral Recall (2019)
Critical Defiance - Misconception (2019)
Avantasia - Moonglow (2019)
Beast in Black - From Hell With Love (2019)
Inculter - Fatal Visions (2019)
King Crimson - Dinosaur (KC50 Vol. 17) (2019)
Smoulder - Times of Obscene Evil and Wild Daring (2019)
Tierra Whack - Whack World (2018)
Khruangbin - Con todo el mundo (2018)
Marcela Viejo - Pequeñas Profecías (2018)
Cala Vento - Balanceo (2019)
Iron Savior - Kill or Get Killed (2019)
MihTy - MIH-TY (2018)
Big Thief - U.F.O.F. (2019)
Loyle Carner - Not Waving, But Drowning (2019)
Altın Gün - Gece (2019)
Gathering of Kings - First Mission (2019)
Theon Cross - Fyah (2019)
Greg Foat - The Mage (2019)
Budos Band - V (2019)
Wand - Laughing Matter (2019)
Banco del Mutuo Soccorso - Transiberiana (2019)
Holly Herndon - PROTO (2019)
Alfa Mist - Structuralism (2019)
Young Nudy & Pi'erre Bourne - Sli'merre (2019)
Maluma - 11:11 (2019)
Farruko - Gangalee (2019)
Tyler, the Creator - Igor (2019)
Ifriqiyya Electrique - Laylet el Booree (2019)
Ramin Djawadi - Game of Thrones: Season 8 (Music from the HBO Series) (2019)
Sadness - I Want to Be There (2019)
LINGUA IGNOTA - All Bitches Die (2017)
Solid Space - Space Museum (1982)
Próchno - Próchno (2019)
The Residents - Commercial Album (1980)
Gabor Szabo - Dreams (1968) 4.5/5
Deutsch Amerikanische Freundschaft - Alles ist gut (1981)
YG - 4Real 4Real (2019)
Daddy Yankee + Los de la Nazza - Imperio Nazza: King Daddy Edition (2013)
///////////////////////////////////////////////////////////////   382JUNIO
YG - 4Real 4Real (2019)
Daddy Yankee + Los de la Nazza - Imperio Nazza: King Daddy Edition (2013)
Chester Watson - Time Moves Slower Here (2019)
Jai Paul - Leak 04-13 (Bait Ones) (2019)
Fire! Orchestra - Arrival (2019)
Cazzu - Error 93 (2019)
Front Line Assembly - Tactical Neural Implant (1992)
Slauson Malone - A Quiet Farwell, 2016–2018 (2019)
Jamila Woods - Legacy! Legacy! (2019)
Denzel Curry - ZUU (2019)
Injury Reserve - Injury Reserve (2019)
slowthai - Nothing Great About Britain (2019)
Lucy Rose - No Words Left (2019)
Aesop Rock - Skelethon (2012)
Amerigo Gazaway - A Christmas Album (2018)
Atlas Pain - Tales of a Pathfinder (2019)
Aya RL - Aya RL (1985)
Big Boi - Sir Lucious Left Foot: The Son of Chico Dusty (2010)
Black Alien - Abaixo de zero: Hello Hell (2019)
Stella Donnelly - Beware of the Dogs (2019)
Departure Chandelier - Antichrist Rise to Power (2019)
Magma - K.A (2004)
Magma - Mekanïk Destruktïw Kommandöh (1973)
Somn - The All-Devouring (2019)
Riot City - Burn the Night (2019)
Flying Lotus - Flamagra (2019)
Dos Monos - Dos City (2019)
Wilma Vritra - Burd (2019)
Madonna - Madame X (2019)
Anouar Brahem - Conte de l'incroyable amour (1992) ***** 4.5/5
Crimeapple & DJ Skizz - Wet Dirt (2019)
Death Grips - NO LOVE DEEP WEB (2012)
DJ Muggs & Mach-Hommy - Tuez-les tous (2019)
El-P - Cancer 4 Cure (2012)
Danny Brown - XXX (2011)
The Divine Comedy - Office Politics (2019)
Death Grips - The Money Store (2012)
Orville Peck - Pony (2019)
Kishi Bashi - Omoiyari (2019)
Killer Mike - R.A.P. Music (2012) **** 4.5/5
21 Savage & Metro Boomin - Savage Mode (2016)
ScHoolboy Q - CrasH Talk (2019)
Lil Ugly Mane - Mista Thug Isolation (2012)
Kevin Abstract - Arizona Baby (2019)
Paul Bley - Open, to Love (1973)
Masta Ace & Marco Polo - A Breukelen Story (2018)
David Torn, Tim Berne & Ches Smith - Sun of Goldfinger (2019)
Bertrand Belin - Persona (2019)
Cheeto's Magazine - Amazingous (2019)
//////////////////////////// 431 JULIO
Freddie Gibbs & Madlib - Bandana (2019)
Thom Yorke - ANIMA (2019)
Hildur Guðnadóttir - Chernobyl (2019)
black midi - Schlagenheim (2019)
Saweetie - ICY (2019)
Shabazz Palaces - Black Up (2011)
Ghostemane - Oogabooga (2015)
Ghostemane - For the Aspiring Occultist (2015)
A$AP Mob - Hella Hoes (2014)
Magma - Köhntarkösz (1974) **** 4.5/5
Magma - Ëmëhntëhtt-Ré (2009)
Ghostemane - Rituals (2016)
Ed Sheeran - No.6 Collaborations Project (2019)
Niño de Elche - Colombiana (2019)
The Roots - undun (2011)
Sonnymoon - Golden Age (2009)
Andrés Suárez - Cuando vuelva la marea (2011)
Siekiera - Nowa Aleksandria (1986)
Mayhem - Grand Declaration of War (2000)
Burzum - Filosofem (1996)
Ved Buens Ende..... - Written in Waters (1995)
Solaris - Marsbéli krónikák (1984)*** 4.5/5
Premiata Forneria Marconi - Storia di un minuto (1972)
Premiata Forneria Marconi - Per un amico (1972)*** 4.5/5
King Crimson - Lizard (1970) *** 5/5
Throbbing Gristle - 20 Jazz Funk Greats (1979)
Suicide - Suicide (1977) *** 4.5/5
Yann Tiersen - All (2019)
Terje Rypdal - Odyssey (1975) ***5/5
Tomasz Stanko Septet - Litania: Music of Krzysztof Komeda (1997)
Camel - Mirage (1974)
Camel - The Snow Goose (1975) *** 4.5/5
Quella Vecchia Locanda - Il tempo della gioia (1974) /*** 5/5
DJ Armok / DJ Bishop / Pillbox - Dungeon Rap: The Introduction (2019)
ZelooperZ - Dyn​-​o​-​mite (2019)
PoiL - Sus (2019)
Banco del Mutuo Soccorso - Io sono nato libero (1973) *** 4.5/5
Renaissance - Turn of the Cards (1974)*** 4.5/5
////////////////////////////////////// 469 AGOSTO
Earl Sweatshirt & Apollo Brown - Some Brown Songs (2019)
Earl Sweatshirt - Wicked (2019)
Stoney Willis & Earl Sweatshirt - Farm (2019)
Blood Orange - Angel's Pulse (2019)
Mach-Hommy - Wap Konn Jòj! (2019)
Eberhard Weber - The Colours of Chloë (1974)
The Jazz Composer's Orchestra - The Jazz Composer's Orchestra (1968) ***** 5/5
Sam Rivers - Crystals (1974)
Bob Dylan - The Rolling Thunder Revue: The 1975 Live Recordings (2019)
Bob Dylan - The Bootleg Series Vol. 5: Live 1975 - The Rolling Thunder Revue (2002)
Bob Dylan - Hard Rain (1976)
Black Dresses - Love and Affection for Stupid Little Bitches (2019)
State Faults - Clairvoyant (2019)
Sun-Ra and His Astro Infinity Arkestra - Atlantis (1969)
Mabe Fratti - Pies sobre la tierra (2019) ***** 4.5/5
Eartheater - IRISIRI (2018)
Moral - And Life Is (1984)
Keith Jarrett - The Survivors' Suite (1977)**** 4.5/5
Benjamin Hudson / Sebastian Klinger / Jürgen Kruse - Spiegel im Spiegel (2006)
the Mountain Goats - In League With Dragons (2019)
Big Big Train - Grand Tour (2019)
King Gizzard and the Lizard Wizard - Infest the Rats' Nest (2019)
Bill Orcutt - Bill Orcutt (2017)
LINGUA IGNOTA - Caligula (2019)
Eberhard Weber Colours - Silent Feet (1978)
Bill Orcutt & Jacob Felix Heule - Colonial Donuts (2015)
Zaz - Effet miroir (2018)
Wintersleep - In the Land Of (2019)
Trending Tropics - Trending Tropics (2018)
Ghostemane - N / O / I / S / E (2018)
CunninLynguists - Oneirology (2011)
Kno - Death Is Silent (2010)
El Cuarteto de Nos - Jueves (2019)
Esbjörn Svensson Trio - Viaticum (2005)
Meitei - Komachi (2019)
Brockhampton - Ginger (2019)
Little Brother - May the Lord Watch (2019)
Various Artists - Blues Hollerin' Boogie: Great Voices of the Blues (1994)
Bon Iver - i,i (2019)
Quasimoto - The Unseen (2000)
Aesop Rock - Labor Days (2001) ***** 4.5/5
Edan - Beauty and the Beat (2005)
Dr. Octagon - Dr. Octagon (1996)
Aesop Rock - None Shall Pass (2007)
//////////////////////////////////// 513
Tool - Fear Inoculum (2019) Ralph Towner - Solstice (1975) Lana del Rey - Norman Fucking Rockwell!                                        
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elmartillosinmetre · 5 years
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Berlioz, el Atila francés
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[Hector Berlioz en fotografía de Pierre Petit en 1863 (Biblioteca Nacional de Francia)]
Se conmemora en 2019 el 150 aniversario de la muerte del compositor francés Hector Berlioz, figura esencial del Romanticismo europeo, clave en la evolución de la orquesta contemporánea
El suyo es un caso singular. Un compositor romántico que no tocaba el piano. Un talento formado tardíamente convertido en uno de los más importantes forjadores de la orquesta contemporánea. Un enamorado de Beethoven que transformó radicalmente el sentido del género sinfónico. Un operista de genio que fracasó una y otra vez en los teatros líricos. A los 150 años de su muerte, Hector Berlioz (La Côte-Saint-André, 1803 – París, 1869) se alza como una de las máximas figuras de la música francesa de todos los tiempos, pese a lo cual parece necesaria aún la reivindicación de su obra, pues más allá de su celebérrima Sinfonía fantástica, no es el nombre de Berlioz demasiado popular ni en los ciclos de conciertos ni en los cartelones de los coliseos de ópera.
En su pequeña localidad natal, no lejos de las estribaciones alpinas, tuvo Berlioz una somera y claramente insuficiente formación musical. Pero en 1821, ya con 18 años, escuchó en París Ifigenia en Táuride de Gluck y quedó conmocionado. Esa noche decidió que costara lo que costara se dedicaría a la música. Le costó durante algún tiempo el afecto de su familia y parte de la asignación con la que su padre lo había mandado a la capital a estudiar medicina. Pero consiguió llegar al Conservatorio parisino, que entonces dirigía Cherubini (con el que tendría más de un roce) para estudiar composición con Jean-François Lesueur y contrapunto y fuga con Anton Reicha, músicos ya muy serios.
El 5 de diciembre de 1830 Berlioz estrena en el Conservatorio su Sinfonía fantástica en un ambiente de fervorosa exaltación entre un pequeño círculo de admiradores, que desde esa misma noche contará con Liszt. Berlioz ha tenido tiempo ya de editar una primera obra (Ocho escenas de Fausto) y de ganar el premio de Roma. Su estancia de quince meses en Villa Médici fue más pródiga en aventuras personales que en logros artísticos, pero cuando vuelve a París y en diciembre de 1832 reestrena la Sinfonía fantástica con el añadido de Lelio, hay ya un círculo de notables expectantes: en aquel concierto se reúnen Hugo, Dumas, Chopin, Paganini, Heine, Sand, Gautier…
Hay que pararse en esta obra genial, porque supone un verdadero rediseño de la sinfonía y de la propia orquesta, del que en realidad no se sacarán todas sus consecuencias hasta el siglo XX. Berlioz admira a Beethoven, pero da un paso más allá. Unifica los cinco movimientos de su obra con una idea fija que la recorre. Crea un programa para ella. Bajo la fuerte influencia del Fausto de Goethe, el compositor sublima a través de la música su pasión amorosa por la actriz irlandesa Harriet Smithson, de la que había quedado prendado cuando en 1827 visitó París para hacer de Ofelia y de Julieta. Pero, lo más importante, todo eso lo hace revolucionando la plantilla orquestal.
Casi 130 músicos requirió Berlioz para la interpretación de su obra. Añade instrumentos que eran ya habituales en los fosos operísticos pero no en la música sinfónica (arpas, campanas), extiende la sonoridad de las maderas utilizando oboes y clarinetes en distintas tesituras, reúne hasta cuatro conjuntos de timbales, da un nuevo papel al metal, cuya distribución y tesituras también amplía con cornetas de pistones y oficleidos, y escribe numerosas partes con cuerdas divididas. El resultado es una obra que descolocó a los clásicos y entusiasmó a los audaces. Berlioz se ganó justa fama de transgresor. “Ese dionisíaco furioso, ese terror de los filisteos”, escribió de él Schumann.
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Esta experimentación con la tímbrica marcará el fuerte colorido de toda su música, que se apoya también en el uso del cromatismo, un cromatismo puramente expresivo, no funcional, apoyado en la armonía de Gluck y de Beethoven, no en la escuela de Wagner. La experimentación con la forma lo conducirá a crear especies de híbridos entre sinfonías y óperas, que quedan definidos por su peso dramático y las innovaciones ya comentadas en el terreno tímbrico.
En 1833, Berlioz conocerá finalmente a Harriet, se casará, tendrá un hijo con ella, aunque la relación acabará deteriorándose rápido. De cualquier forma, su nueva situación personal le exige más ingresos. Se hace crítico. Lo que lamenta profundamente. Pero la historia de la música gana a uno de los escritores más agudos y perspicaces, un juicio que confirman sus excitantes Memorias. Paganini, el gran virtuoso del violín, le ha comisionado una obra. Será Harold en Italia, que se presenta en 1834 como sinfonía, una nueva vuelta de tuerca al género, pues la obra incluye una viola que aun sin llegar al papel solístico típico de los conciertos, tiene un protagonismo destacado.
Berlioz se queja del trato oficial que le impide acceder a puestos laborales en el Conservatorio. Pero en 1837 recibe un importante encargo del estado (será su monumental Réquiem) y luego en 1840 otro encargo oficial, una Sinfonía fúnebre y triunfal, partitura para una gran banda militar, que probablemente Berlioz escribió a partir de borradores anteriores, pero en 1842 aún estaba dándole vueltas a la obra, a la que añadió partes para cuerdas y un coro. Entre medias (1839), ha estrenado otra sinfonía, la más exitosa de todas, Romeo y Julieta, subtitulada sinfonía dramática. En 1838, la primera ópera de Berlioz (Benvenuto Cellini) había sido un fracaso rotundo, y eso lo llevó a escribir esta obra que puede considerarse casi una fusión de la sinfonía con la ópera, ya que en ella el drama se expresa fundamentalmente en las partes instrumentales, mientras las voces solistas y los coros conducen una narración si se quiere más convencional.
En los años 40, Berlioz inicia una importante carrera de director fuera de Francia. En 1846 trata de repetir el éxito de Romeo y Julieta con una obra de construcción similar, pero La condenación de Fausto fracasa con estrépito. El compositor se había implicado de tal forma en la obra que incluso su economía se ve gravemente afectada. Mientras, en Londres, donde triunfa como director, Benvenuto Cellini vuelve a ser rechazada. En los 50, el ritmo de composición se reduce, y Berlioz sólo estrena dos obras importantes, el Te Deum y el oratorio La infancia de Cristo, aunque en 1856 publica también la versión orquestal de Les nuits d’été, un ciclo de canciones sobre poemas de Téophile Gautier escrito originalmente en 1841 y fundamental en el desarrollo de la mélodie francesa.
El último gran proyecto de su vida fue Los troyanos, una gran ópera en cinco actos escrita entre 1856 y 1858 de la que sólo se estrenó su segunda parte en París en 1863. La ópera completa se vio por primera vez en Karlsruhe en 1890, pero en dos noches sucesivas. Hubo que esperar a 1957 para ver una producción casi completa: fue en el Covent Garden, con dirección musical de Rafael Kubelík. En 1969 Colin Davis ofreció al fin la versión íntegra a partir de una edición crítica de la obra, sin duda una de las mayores creaciones de la lírica francesa, por fortuna, hoy en pleno proceso de reivindicación. Aunque el coste de su producción retrae habitualmente a los teatros, en 2009 pudo verse en Valencia en lo que fue su estreno en España. Paralelamente a Los troyanos Berlioz trabajó en otra ópera, una comedia basada en Shakespeare que tenía en mente desde los años 30, Beatriz y Benedicto, que se estrenaría en 1862 en Baden Baden con notable éxito. Hoy se representa poco, a pesar de que es una ópera magnífica, con pasajes por completo memorables. Urge una revisión al alza del Berlioz operista.
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Fallecida su segunda esposa (la cantante española Marie Recio) en 1862, Berlioz se reencuentra con un amor idealizado de la infancia, Estelle Duboeuf, seis años mayor que él. Estelle admite el juego de intercambios postales y algún que otro encuentro, pero no pasa de ahí. Decepcionado, Berlioz se embarca en una última gira por Rusia de la que vuelve exhausto en febrero de 1868. En los meses siguientes, dos ictus lo dejan impedido en su casa parisina, en la que acaba muriendo el 8 de marzo de 1869. Aquel que se postuló un día como un “Atila, llegado para devastar el mundo musical” acabó derrotado por el desamor y las venas de su cerebro, pero las pisadas de su caballo aún resuenan en las paredes de la academia.
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TODO BERLIOZ EN DISCO
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La más importante edición discográfica dedicada a la efeméride berliociana se debe a Warner Classics, que ha publicado en una caja de 27 cedés la (casi) integral de la obra del compositor francés, incluyendo algunas piezas que se graban por primera vez y algún registro histórico de notable relevancia.
La colección se ordena en bloques temáticos. El primero está dedicado a la música orquestal (oberturas y sinfonías). Norrington, Boult, Previn, Jansons se cuentan entre los directores. La Sinfonía fantástica y Lelio se ofrecen en la grabación clásica de principios de los 70 de Jean Martinon con la Orquesta de Radio Francia; Harold en Italia, en versión de Leonard Benstein; Romeo y Julieta bajo la batuta de Muti desde Filadelfia; y la Gran sinfonía fúnebre y triunfal en otra versión histórica, la de Desiré Dondeyne y la Musique des Gardiens de la Paix, un conjunto musical de la Prefectura de la Policía de París.
Sigue un bloque de pequeñas piezas instrumentales entre las que se incluyen algunos inéditos organísticos y una extensa sección con obras vocales (canciones, cantatas...) que ofrece también algunas piezas nunca antes grabadas. Se incluyen dos versiones de Les nuits d'eté, pero las dos orquestales, lo que no se entiende muy bien: la de Gardiner, que utiliza a solistas diferentes para cada canción, y la de John Barbirolli, con la gran Janet Baker, registro histórico y referencial. Baker hace también algunas otras piezas, por ejemplo, la cantata Herminie. Entre los solistas vocales están también Gens, Villazón, Hampson, Von Otter e incluso Victoria de los Ángeles. La Damnation de Faust se ofrece en la muy competente versión de Kent Nagano.
El siguiente bloque es el de música religiosa, en el que nos encontramos con la Misa solemne y La infancia de Cristo de Gardiner, el Te Deum de John Nelson y el Requiem en la versión histórica de Louis Frémaux con la Orquesta Ciudad de Birmingham (1975). Las versiones de las tres óperas completas se deben a John Nelson, aceptables interpretaciones, aunque me temo que aquí la referencia la tiene la competencia: las grabaciones de Colin Davis para Philips (hoy en Decca) me parecen muy superiores. La novedad es la grabación de los fragmentos conservados de La monja sangrante, una ópera escrita en los años 40, nunca representada y que yo pensaba completamente perdida: pues no, han quedado al menos ocho fragmentos que han sido los registrados por el director francés Daniel Kawka en lo que es una novedad absoluta de repertorio.
Finalmente, se incluyen algunos de los arreglos de Berlioz (no todos, lo que hace que el proyecto no pueda considerarse una integral exhaustiva), como el que hizo sobre La Marsellesa o las orquestaciones de La invitación al vals de Weber y Erlkönig de Schubert, cuatro pequeños fragmentos vocales registrados en la primera década del siglo XX y la primera grabación comercializada completa de la Sinfonía fantástica, que hizo el director Rhené Baton con la Orchestre des Concerts Pasdeloup en 1924. Nunca se había vuelto a publicar desde entonces. Su rescate ha sido al parecer posible gracias a las copias conservadas en los archivos de Radio Francia.
Por cierto, que Warner Classics acaba de estrenar una web que, entre otras cosas, permite la escucha en streaming de todo su catálogo disponible a través de diversas plataformas (Apple Music, Deezer, Spotify). 420 cortes digitales conforman esta magna Edición Berlioz, el mayor esfuerzo hecho nunca por una discográfica por la difusión del legado del gran maestro francés.
[Diario de Sevilla. 22-07-2019]
LISTA DE REPRODUCCIÓN EN SPOTIFY
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sonyclasica · 5 years
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JOHN BARBIROLLI
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THE COMPLETE RCA AND COLUMBIA COLLECTION
Sir John Barbirolli realizó una serie de grabaciones en Nueva York para Columbia Americana y RCA Victor, que siguen siendo esenciales para una apreciación completa de la carrera de este venerado director de orquesta. Sus obras son tan extraordinarias hoy como lo fueron cuando se lanzaron inicialmente. Sony Classical se complace en poder reunir sus grabaciones completas de la Filarmónica de Nueva York de 1938 a 1940 en una sola edición de 6 CD. A la venta el 21 de febrero.
Son 17 trabajos que aparecen por primera vez, remasterizados a partir de los discos y cintas analógicos originales. Aquí se incluyen colaboraciones con los violinistas Nathan Milstein y Mishel Piastro, el violonchelista Joseph Schuster, el clarinetista Benny Goodman y el pianista Robert Casadesus.
El joven John Barbirolli apenas era conocido en Estados Unidos cuando la Orquesta Filarmónica-Sinfónica de Nueva York lo eligió para ser el sucesor de Arturo Toscanini a partir de 1937. La primera temporada del londinense de 36 años fue un triunfo tanto para los intérpretes como para el público, y aunque sus años en Nueva York se vería cada vez más estropeado por una rivalidad injusta con Toscanini,, y por la hostilidad partidista de dos críticos influyentes, la tenencia de Barbirolli ahora puede considerarse un verdadero éxito. Desde 1938 hasta 1943, Barbirolli estuvo en Nueva York hasra que regresó al Reino Unido para hacerse cargo de la Orquesta Hallé de Manchester.
Entre los tesoros que aquí se encuentran reunidos está la Debia Iberia y la Francesca da Rimini de Tchaikovsky (ambas grabadas en 1938) y la primera grabación de la Cuarta Sinfonía (Trágica) de Schubert (de 1939). Hay varias obras de Mozart, entre ellas el Concierto para clarinete con Benny Goodman (de 1940) y la Sinfonía n.º 25 y el Concierto para piano n.º 27 con Robert Casadesus (ambos de 1941).
CONTENIDO
DISC 1:
Purcell (arr. Barbirolli): Suite for Strings, Woodwind and Horns (Remastered)
Debussy: Images pour orchestre, L. 122: No. 2, Iberia (Remastered)
Tchaikovsky: Francesca da Rimini, Op. 32 (Remastered)
Respighi: Antiche danze et arie per liuto, Suite No.3 (Remastered)
Respighi: Fontane di Roma (Remastered)
DISC 2:
Schubert: Symphony No. 4 in C Minor, D. 417, "Tragic" (Remastered)
Schubert: 5 German Dances, D. 89 (Remastered)
Brahms: Symphony No. 2 in D Major, Op. 73 (Remastered)
DISC 3:
Sibelius: Symphony No. 1 in E Minor, Op. 39 (Remastered)
Sibelius: Symphony No. 2 in D Major, Op. 43 (Remastered)
DISC 4:
Smetana: The Bartered Bride, JB 1:100: Overture (Remastered)
Rimsky-Korsakov: Capriccio espagnol, Op. 34 (Remastered) with Mishel Piastro, violin; Joseph Schuster, cello
Ravel: La valse, M. 72 (Remastered)
Berlioz: Roman Carnival Overture, Op. 9 (Remastered)
Brahms: Academic Festival Overture, Op. 80 (Remastered)
Debussy: Petite Suite, L. 65, No. 4 "Ballet" (Remastered)
Debussy: Première rhapsodie, L. 116 (Remastered) with Benny Goodman, clarinet
Bach, J.S. (arr. Barbirolli): Sheep May Safely Graze, BWV 208, No. 9 (Remastered)
DISC 5:
Mozart: Clarinet Concerto in A Major, K. 622 with Benny Goodman, clarinet
Mozart: Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major, K. 595 (Remastered) with Robert Casadesus, piano
Mozart: Symphony No. 25 in G Minor, K. 183 (Remastered)
DISC 6:
Bruch: Violin Concerto No. 1 in G Minor, Op. 26 (Remastered) with Nathan Milstein, violin
Tchaikovsky: Suite No. 3 in G Major, Op. 55: IV. Tema con variazioni. Andante con moto (Remastered)
Various (arr. Barbirolli): An Elizabethan Suite (Remastered)
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worldskipthebeat · 6 years
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DJ Rhythm & Hues’ Top Albums of 2018
2018 was a stellar year for music. Increasingly accessible production and distribution methods meant that little independent labels can still thrive, on platforms like the venerable Bandcamp. Plus, vinyl sales were up! Here are some artists and albums that took my fancy in 2018.
VIDEO OF THE YEAR
Petite Noir - La Maison Noir
https://www.youtube.com/watch?v=hMoVH1pv5gg
BURNERS!!
Afrikan Boy - Peppeh Sounds, Vol. 1 Ammar 808 - Maghreb United Bacao Rhythm & Steel Band - The Serpent's Mouth Baloji - 137 Avenue Kaniama Batuk - Kasi Royalty Bixiga 70 - Quebra Cabeça Blinky Bill - Everyone's Just Winging It And Other Fly Tales Burna Boy - Outside Calibro 35 - Decade Chancha Via Circuito - Bienaventuranza (WONDERWHEEL) Dizzy K. Falola - Sweet Music Volume I DJ Khalab - Zaire EP (ON THE CORNER) DJ Lilocox - Paz & Amor (PRINCIPE) Hagan - Yenkyi Karol Conka - Ambulante Khalab - Black Noise 2084 Kokoso - Liboso Maga Bo - Apresenta Samba de Coco Raízes de Arcoverde (KAFUNDO) Matteo Boyero with Tim Wall, Nick Onley and Robert Goldsmith - Morning Cartoon (WAHEVER) Mauskovic Dance Band - Down In The Basement EP (SOUNDWAY) Nonku Phiri - Sîfó Orchestre Abass - De Bassari Togo Orquesta Akokán - Orquesta Akokán (DAPTONE) Penya - Super Liminal Pongo - Baia EP Sonido Gallo Negro - Mambo Cósmico Umoja - Ayena / Kponyole Underground System - What Are You
BEATS and VIBES
47Soul - Balfron Promise Altın Gün - On (BONGO JOE) Anelis Assumpcao - Taurina Baq - Гэрээ Санасан (BABYLON) Diali Cissokho & Kaira Ba - Routes *Dominique Fils-Aimé - Nameless Dur-Dur Band - Dur Dur of Somalia Emily Wurramara - Milyakburra (WANTOK) Esinam - Esinam Fossiles de l’Atlas - Fossiles de l’Atlas Vol. 2 Idris Ackamoor & The Pyramids - An Angel Fell Khruangbin - Con Todo el Mundo La Luz - Floating Features *Melissa Laveaux - Radyo Siwèl *RAMZi - Pèze-Piton Ribongia - M∆∆T Rosalia - El Mal Querer Scott Xylo - Find Us When You Get There Sons of Kemet - Your Queen Is a Reptile Sudan Archives - Sink EP Tigermoth - Gung Fu
COMPILATIONS
VA - Spiritual Jazz Vol. 8: Japan Parts I & II - Modal, Esoteric and Ethereal Jazz from Japan (1961-1983) VA - Camarão - The Imaginary Soundtrack to a Brazilian Western Movie (1964 - 1974) VA - Havana Cultura ¡Súbelo, Cuba! VA - Hong Kong Disco (WAN CHAI) VA - Radio Mawimbi: Volume 2 VA - Disques Debs International Vol. 1 (STRUT)
LABEL MENTIONS : Support indie music and indie labels!!
Galletas Calientes Black Acre Hakuna Kulala On The Corner Int’l Black Gqom oh Kafundo BLTNM 100 copies Tiger’s milk Under U DOHITS Hello Sailor Wantok
As always check out our previous favourite album posts here:
2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012
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