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Comment gérer la colocation en toute légalité
Comment gérer la colocation en toute légalité
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" Après 2024, 2030 sera-t-elle une nouvelle année olympique en France ? Le Comité international olympique (CIO) a désigné mercredi 24 juillet les Alpes françaises comme site organisateur des Jeux olympiques d’hiver. Après plusieurs semaines d’incertitude liée à l’actuelle vacance du pouvoir, c’est une victoire pour Emmanuel Macron qui a défendu personnellement la candidature de la France devant le comité mercredi 24 juillet au matin.
Le CIO conditionne néanmoins la validation définitive de ce projet à la présentation des garanties financières et juridiques par lesquelles le pays hôte s’engage à couvrir les éventuels déficits de l’événement et à livrer les équipements en temps voulu. [...]
À quarante-huit heures de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, le sujet des Jeux d’hiver apparaît lointain. C’est pourtant maintenant qu’il faut s’en préoccuper, tant qu’il est encore temps de les arrêter. Coûts financiers, flou budgétaire, impact environnemental et verrou dans un modèle économique mortifère pour l’écosystème alpin : les problèmes posés par d’éventuels JO dans les Alpes sont nombreux et sérieux.
Si les plans climat et les schémas bas-carbone adoptés tant bien que mal par nos institutions ont un sens, si le souci budgétaire affiché par l’exécutif est réel, le projet de JO 2030 devrait être remis en question. Mettre en suspens la candidature et offrir aux citoyennes et citoyens la possibilité de se prononcer sur sa pertinence serait un signe de santé démocratique.
Ce serait aussi un geste de confiance envers la population, trop peu consultée sur les grands projets. Ceux-ci engagent pourtant les habitant·es, riverain·es et contribuables pour des années dans des trajectoires souvent polluantes et coûteuses.
Un demi-milliard de dépenses publiques
Le budget de fonctionnement annoncé pour les JO d’hiver s’établit à 2 milliards d’euros, selon le rapport du mois de juin de la commission de futur hôte – document qui comprend l’analyse du projet par un jury désigné par le CIO.
Cette enveloppe représenterait un coût de 462 millions d’euros pour la puissance publique – à partager entre l’État et les régions organisatrices. C’est autant que l’aide exceptionnelle débloquée par le gouvernement en février pour les hôpitaux. Ou que les financements annoncés en 2023 pour le plan logement devant permettre aux personnes sans domicile d’accéder à des solutions de logement pérennes. Ou encore que le fonds annuel de rénovation du bâti scolaire. C’est donc beaucoup d’argent, surtout dans le contexte du plan d’économie de 10 milliards d’euros décidé par Bruno Le Maire en février 2024.
Est-ce le meilleur usage à faire des subsides publics ? La question est d’autant plus pertinente que le montant à débourser sera en réalité sans doute beaucoup plus élevé : 2,4 milliards d’euros au total, pour une dotation publique comprise entre 800 et 900 millions d’euros, selon un rapport de l’Inspection générale des finances non publié, mais cité par le media La Lettre. Matignon, qui a commandé ce rapport, n’a pas répondu aux questions de Mediapart.
Une forte contribution de l’État
Dans le détail, les quelques informations publiques sur le volet budgétaire de cette candidature interrogent. La part de financement public, autour de 23 %, est beaucoup plus élevée que dans les dossiers d’autres pays, a remarqué Delphine Larat, membre du collectif No JO : 0 % pour la Suède pour les JO de 2026 – et retoqué de ce fait, 4 % pour l’Italie, 6 % pour la Chine (2022), 14 % pour le Kazakhstan (2022). Le montant et la part de provisions pour imprévus sont également « hors norme », autour de 258 millions d’euros pour la France, ajoute-t-elle.
Or les économistes des infrastructures ont bien documenté la sous-estimation systématique du coût des JO, dont les budgets ne prennent pas en compte tout un ensemble de dépenses plus ou moins cachées : les exonérations fiscales (nombreuses), les dépenses de sécurité ou de transports publics, etc.
Les rapporteurs de la commission de futur hôte s’inquiètent d’ailleurs à plusieurs reprises de la soutenabilité financière du projet, citant la construction des villages olympiques et d’une patinoire à Nice (Alpes-Maritimes).
Constructions massives dans les Alpes
Tout en promettant de « s’attaquer aux conséquences du changement climatique », le dossier des JO 2030 prévoit des constructions massives. Pas moins de cinq villages olympiques sont annoncés, avec 700 lits en projet au Grand-Bornand (Haute-Savoie), 700 supplémentaires à Bozel (Savoie), 1 500 à Nice – où la patinoire pourrait coûter 50 millions d’euros. Celle-ci pourrait prendre place sur des terrains destinés initialement à construire des logements sociaux. Et le projet serait particulièrement énergivore compte tenu du climat méditerranéen de la ville – un choix baroque pour des Jeux d’hiver.
Un « réseau routier olympique » devra par ailleurs être mis en place, notamment pour pallier les routes « étroites » dans les zones de montagne. L’empreinte carbone de l’ensemble est estimé entre 700 000 et 800 000 tonnes équivalent CO2 – sans aucun élément pour le vérifier –, soit autant que la consommation annuelle moyenne de 80 000 personnes en France.
Avec le réchauffement des températures, la neige tient de moins en moins en petite et moyenne montagne. Lors de l’édition 2022 de la Coupe du monde de biathlon au Grand-Bornand, en Haute-Savoie, elle a dû être livrée par camion avant la tenue des épreuves. Comment imaginer que la situation sera différente en 2030 ? Les canons à neige et retenues collinaires sont très consommatrices en eau, et, de ce fait, remis en cause par les défenseurs des écosystèmes. En 2022, la justice a suspendu l’autorisation d’une retenue d’altitude à La Clusaz, en Haute-Savoie, que la mairie voulait construire pour produire de la neige artificielle. C’est l’un des lieux choisis pour les JO de 2030.
Opacité antidémocratique
En l’absence de consultation et de référendum sur la tenue de JO d’hiver en France en 2030, il n’y a pas eu d’information correcte du public : le budget n’est pas publié en détail et le dossier de candidature n’est pas consultable en ligne. La clé de répartition entre État et régions n’est pas connue. Il n’y a pas eu d’étude alternative à la construction des nouvelles infrastructures, ni de contre-expertise du budget présenté par la France.
Avoir des JO dans les Alpes en 2030 « serait formidable pour inventer le modèle de Jeux d’hiver de demain qui doit être plus durable, qui doit s’adapter aux changements climatiques », a encore déclaré Emmanuel Macron au JT de France 2. Le chef de l’État semble se tromper de priorité : plutôt que le business olympique, c’est la montagne, son milieu naturel et les personnes qui y vivent qui doivent être défendus pour avoir une chance de perdurer.
La bonne question à poser est simple : cela est-il compatible avec des JO d’hiver ? Car, au vu des investissements nécessaires, ils enfermeraient ces territoires en plein bouleversement climatique dans un modèle touristique inadapté et dépassé.
Jade Lindgaard "
#MAIS QUEL PUTAIN DE TARE CE MACRON MAIS JPP DE CE SALOPARD J'EN PEUX PLUS !!!!!!#article copié en entier car réservé aux abonnés#j'ai juste enlevé quelques lignes pas trop importantes de l'intro pour faire plus court.#upthebaguette#en français#french side of tumblr#ecocide#climate emergency#olympics#winter olympics#france#french#pollution#biodiversity destruction#bee tries to talk
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Découvert !
Je vais vous partager ici un moment intime qui m'a attiré des moqueries et de l'incompréhension...
J'étais étudiant, j'avais mon logement, et depuis maintenant plusieurs années, je m'achetais mes culottes. Elles étaient féminines, avec de la dentelle, du satin... et je les portais au quotidien. J'avais pris soin aussi de m'acheter un lot de "Sloggi" pas trop féminines que je portais pour faire du sport.
J'allais de temps en temps à la piscine avec les copains et cela ne me posait pas de problème, je trouvais toujours une cabine individuelle pour me changer en toute discrétion.
Sauf, qu'une fois, je ne sais plus pour quelle raison, les cabines n'étaient pas disponibles et il m'a fallu partager les vestiaires collectifs.
Pour le déshabillage, j'ai réussi à me faire discret, prétextant avoir perdu mes clefs à l'accueil, je me suis changé lorsque les autres avaient quitté le vestiaire.
Lors de notre retour du bain, il n'en a pas été de même. J'ai tenté tant bien que mal d'enfiler discrètement ma culotte en me cachant sous ma serviette. Mais elle est tombée ! J'étais de dos, en culotte blanche et je priais pour que personne ne remarque le petit décors de la ceinture.
Trop tard !
Un des garçons a dit tout haut : "Mais ! C'est un slip de fille ! Ma sœur a les mêmes !"
J'ai tenté de me justifier, dire que je m'étais trompé de tiroir avec ma copine du moment... Rien n'y a fait. J'ai été le sujet de toutes les moqueries possibles.
Depuis ce jour là, j'ai changé de copains car aucun ne m'a compris, et je ne suis plus jamais retourné à la piscine sans m'assurer de la disponibilité des cabines.
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DISCOVERED !
I'm going to share with you here an intimate moment that attracted mockery and incomprehension…
I was a student, I had my accommodation, and for several years now, I had been buying my underwear. They were feminine, with lace, satin… and I wore them every day. I also took care to buy myself a set of not-too-feminine “Sloggi” that I wore when doing sports.
I went to the swimming pool with friends from time to time and that didn't pose a problem for me, I always found an individual cabin to change in complete discretion.
Except, once, I don't remember why, the cabins were not available and I had to share the collective changing rooms.
When undressing, I managed to be discreet, pretending to have lost my keys at reception, I changed when the others had left the locker room.
When we returned from the bath, it was not the same. I tried as best I could to discreetly put on my panties by hiding under my towel. But she fell! I was facing away, in white panties and I prayed that no one would notice the little decoration on the belt.
Too late !
One of the boys said out loud: "But! Those are girls' underwear! My sister has the same ones!"
I tried to justify myself, to say that I had gone to the wrong drawer with my current girlfriend… Nothing worked. I was the subject of every possible mockery.
Since that day, I changed friends because none of them understood me, and I never went back to the pool without checking that the cabins were available.
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Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique et engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi, au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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Bigoudi Bouclebrunes et les Deux Cours Partie 6 (La route d'Isentorche, partie 3)
Résumé des épisodes précédents : Grandoulf avait trouvé l’Anneau de pouvoir du Seigneur GrosCon et l’avait remis au gentil hobbit Bigoudi Bouclebrunes pour qu’il le détruise dans la Montagne du Destin. Avec l’aide de Laurentgorn Duvernay-Tardif, Broromir, Legrandslack, Kimchi, ainsi que le jardinier hobbit Samsauge et de leurs confrères Pépin et Méridien, ils étaient devenus la Communauté de l’Auto, aidant Bigoudi et Grandoulf dans leurs aventures. Après avoir perdu Grandoulf aux mains d’un France-Hélaine Duranceaurog et avoir perdu Broromir tombé devant les hordes d’orcs et goblins des zinternet en protégeant les hobbits Pépin et Méridien, ces derniers furent hobbitnappés et la Communauté de l’Auto fut bel et bien dissoute. Bigoudi et Samsauge prirent la route vers le Nord, prenant en pouce Conspiragollum. Ils venaient de s’arrêter lorsqu’ils furent pris en otage par les rôdeurs du Gondor et un certain Danslamire, frère de Broromir. Pendant ce temps, Laurentgorn, Kimchi, Legrandslack et Grandoulf avaient retrouver Pépin et Méridien qui avaient réussi à tourmenter Nantelroumane et Sogna-Languedeserpent.
Bigoudis Bouclebrunes et les deux cours : La route d’Isentorche partie 3
« Ah, mais vous savez, chers lecteurs… s’il y a des retards dans les dossiers pour des places en garderie, c’est de la faute aux immigrants. S’il n’y a plus de logements, c’est de la faute aux immigrants. S’il y a des longueurs dans les salles d’attente dans les hôpitaux? Les immigrants. Le coût de la vie qui monte, le transport public qui prend une débarque, les stationnements manquants, la réduflation, les nids de poule dans l’asphalte? Bin oui, les immigrants. C’est pas notre faute à nous, le gouvernement, si on fait rien pour régler ces problèmes-là, même si ça fait maintenant deux mandats qu’on s’asseoit sur notre steak… la vraie raison de pourquoi ça va mal, là… on va se le dire, c’est à cause de gens qui viennent dans un pays pour changer de vie, pour avoir une vie meilleure, qui pensent que le Québec est une terre d’accueil et qui n’ont généralement aucune idée des aides, des façons de faire ou encore de toutes les choses qui peuvent leur être offertes. Oui, oui, peu importe, si on est des lobbyistes, si on a l’air de faire de la collusion, si notre chef a choisi d’idolâtrer Maurice Duplessis alors que n’importe qui aurait voulu plus ressembler à Jean Lesage, ça n’est que hasard et fortuité. Non, en effet, le problème, ce sont les étranges. Parce que tsé… ‘sont étranges et on les connaît pas. Y viennent avec des costugnes bizarres, là, des tissus exotiques, y parlent en langues… faut leur apprendre qu’ici, c’est d’la flanelle pis le françâ! Au dible les polyglotte! »
Bigoudi referma le Mordor-Sud Matin. Décidemment, même en ces lieux, il n’avait pas de meilleure lecture que de lire l’expectorat littéraire de Bernarpaul Saint-Pierre Plamondrainville… même de la lecture de fond de cage à oiseaux était mieux que de lire ceci, ce dit-il. Mais encore « ceci » était mieux que de voir Conspiragollum s’exciter le seul poil du crâne qui lui restait avec Elon Musketaire et la reprise de toutes les Cybercharettes qu’il avait promis. En effet, Conspiragollum y allait d’un « MON BITCOIN!!! » par-ci, « POURQUOI NOUS TRAHIR, ELON?!?! » par-là et avec une cadence si effrénée que Samsauge avait gardé le kale de ses assiettes et les avaient mis dans ses oreilles en disant « quitte à ne pas manger ces choses-là, t’aussi bin s’en servir pour pas entendre l’autre »…
Bigoudi avait été un peu plus diplomate et avait tenté de parler à Conspiragollum, sans grand succès. Ce dernier tenait mordicus à dire que le libre-marché allait s’autorégulariser et que de donner tout son argent à un dragon reconnu pour garder son or allait finir par faire en sorte que ce même dragon allait créer de l’emploi pour partager son or.
Bigoudi secoua la tête. Il regarda à côté de lui. Samsauge avait ses touffes de kale dans les oreilles, mais à ses côtés se trouvaient des petits plats de fruits avec quelques feuilles de kale sur le côté, de la crème anglaise, du fromage cottages, un de la crème du Devonshire, une variété de scones dont : des natures, d’autres à la framboise et chocolat noir, au citron, à la lavande et au chocolat blanc, au chocolat au lait, aux bleuets et airelles, au sureau et caramel ainsi que quelques-uns à la fraise de la Comté. Il y avait des bagels, du fromage à la crème, du saumon fumé, des tartinades de crevettes, des saucisses natures, des saucisses au fromage, du bacon, ainsi qu’un immense plat avec des œufs brouillés, un bol avec des pommes de terres rissolées, une marmite remplie de fèves au lard et sirop d’érable, du jambon en tranche au sirop d’érable… il y avait même quelques oreilles de christ, des crêpes à l’érable, du pain doré à l’érable ainsi que des tartelettes au sucre d’érable nappées d’une triste crème fouettée qui était tombée à cause de la chaleur. Mais qu’à cela ne tienne, Bigoudi serait prêt à sacrifier ses papilles gustatives pour ne laisser aucune miette dans son assiette. Il y avait aussi un crime de lèse-majesté parmi le lot… un camembert froid. Bigoudi hochait la tête, se demandant qui, parmi les rôdeurs du Nord, tentait de les éliminer, Samsauge et lui. Un camembert, voyons… ça se mange chaud! Coulant, même! Et Conspiragollum s’était jeté sur cette moribonderie et l’avait goulument avalé. Bigoudi avait eu envie d’engueuler la triple couille qui leur avait servi une telle atrocité, mais il n’était pas en position pour quelque négociation. En effet, Danslamire, frère de Boromir, les avait pris sous son aile et les avait bien nourrit, malgré de maigres rations… « résolument, » se dit Bigoudi, « ces pauvres rôdeurs n’ont que la peau sur les os et ne peuvent nous donner plus. » Et il s’était résigné.
Danslamire entra alors dans la pièce et déclara « Je me dois de vous poser cette question encore, mes chers visiteurs… quelle est votre couleur préférée?
- Vert! Répondit Samsauge.
- BRUN! TADROSS! répondit Conspiragollum.
- Euh, oui! Répondit Bigoudi qui n’en avait pas la moindre idée… Mauve, mettons?
Danslamire le regarda encore… puis déclara « Et maintenant… quelle est votre quête? »
Samsauge feint n’avoir rien entendu en pointant ses feuilles de kale dans les oreilles.
Conspiragollum cria qu’ils allaient remercier les convois de camions et Bigoudi répondit qu’ils s’étaient aventurés dans le Nord pour y cueillir des framboises.
« Je sais que mon frère n’a pas été comme le devrait être un héritier du Gondor… » dit alors Danslamire, calmement. « Mais de grâce, dites-moi pourquoi mon frère aurait rejoint des cueilleurs de framboises… n’y a-t-il donc rien qui l’ait mis sur votre chemin? »
- Nous avons dû nous séparer de Broromir… il convoitait un anneau magique et… dit alors Samsauge, mais s’arrêta net en voyant le regard furibond de Bigoudi, l’intimant à se taire. « Euh…, reprit-il, On est allé checker les sources pour le 3e lien! »
Le regard de Danslamire s’éclaira. Et il comprit immédiatement. Il n’était aucunement question qu’il touche à l’anneau que portait Bigoudi. Il savait aussi que plusieurs groupes d’aventuriers avaient pris la grand route dans le but de détruire des anneaux fictis, pour décontenancer les forces obscures du Mordor… mais il ne s’essaierait pas avec ces anneaux. Même fausse, une ogive nucléaire renfermait une certaine force, une certaine crainte qu’il ne voulait pas touché.
« Vous pouvez finir votre goûter, reprit Danslamire. Puis, nous vous guideront vers les routes du Nord… et vous serez libres de poursuivre votre aventure. »
Ceci surpris Bigoudi. Mais il était reconnaissant envers les rôdeurs du Nord. Ils les avaient bien traité, au final.
Quelques heures plus tard, Bigoudi, Samsauge et Conspiragollum partaient en direction de Dol Guldur, la montagne du sorcier noir, appelé aussi communément St-Jérôme. Danslamire avait cependant averti Bigoudi de se méfier de Conspiragollum. Oui, c’était louable de lui donner de l’importance et de l’aider à avoir des outils contre les croyances étranges et pour l’esprit critique, mais que Bigoudi lui-même n’était pas à l’abris des croyances obscures et qu’il serait mieux d’être sur ses gardes. Bigoudi l’en remercia avant de trottiner vers Samsauge qui se secouait les oreilles, rejetant quelques restants de kale.
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À Isentorche, Laurentgorn Duvernay-Tardif, Grandoulf, Pépin, Méridien, Kimchi et Legrandslack regardaient Nantelroumane tenter de s’extirper de sa tour en vociférant des inepties.
« Assez de ce monsieur… je doute qu’il puisse être bien méchant… » dit Grandoulf, regardant autour de la Tour d’Isentorche. En effet, Barbaboisbois, l’être-arbre, avait tellement foutu le bordel dans la carrière du sorcier qu’il était maintenant impossible de distinguer quoique ça soit… un peu comme les plans du présent gouvernement de la Terre du Milieu. Même les éructations de Sogna-Languedeserpent n’arrivait pas à faire remonter l’opinion publique du Brohan et son emprise sur les brohirrims avait bel et bien cessé. De telle sorte que le parti de Nantelroumane était tombé 3e dans les sondages. Mais un cri strident retenti au loin. Des cavaliers vêtus de noirs sur des montures volantes s’étaient envolées au Sud d’Isentorche et se déplaçaient vers le Nord.
Grandoulf reconnu alors le chef de cette bande… Geneviève Nazguibeau, montée sur son coursier volant, avait l’allure de quelqu’un qui ne met jamais sa ceinture de sécurité en automobile… un air détaché, important, au-dessus de tout. La dernière fois que Nazguibeau était sortie de son antre, ça avait été pour dénigrer le transport public… c’était à peine sur la Sorcière-Reine n’avait pas sorti un « fuck you » de sa sacoche lorsqu’on lui avait demandé qui financerait les services publics qui sont sous autorité provinciale. Cette même Sorcière-Reine qui avait demandé à des parents endeuillés de payer 100$ leur place pour un cocktail-dinatoire afin de parler aux ministres des forces obscures pour faire en sorte d’avoir de meilleures interventions lors d’accident où l’alcool était en cause.
« Un vent de combat se lève, mes amis… ne restons pas ici. Nous devons prévenir les Brohirrims et aller chercher toute l’aide du Gondor pour nous aider à faire face à ces Nazguls… » dit alors Grandoulf.
- Des Nazguls? Dit alors Pépin, confus.
- Oui… 9 monarques humains, corrompus par le pouvoir des ténèbres. Nous connaissons la Sorcière-Reine de Louis-Hébert, Genevieve Nazguilbault… mais il y a aussi Simon Naz-Jolin-Barrettul… et ils ont accès à des France-Hélaine Duranceaurogs… des créatures faites de souffre, de feu et de souliers Louboutins, comme celui que j’ai vaincu et qui a failli causé ma perte lorsque nous avons traversé les mines de la Malarctic…
Pépin regarda le ciel, effaré.
« Le combat ne fait que commencer, mes chers amis… préparez-vous, il nous reste encore deux années complètes avec ces créatures viles et corrompues. » dit alors Grandoulf, une flamme révolutionnaire et furieuse dansant dans ces yeux.
Fin du chapitre.
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Législatives 2024: choisir la gauche ou la droite.
https://www.aurianneor.org/wp-admin/post.php?post=7895&action=edit
Le gouvernement actuel contrôle presque tous les médias et affirme que ce sont les élections du centre contre les extrêmes. C’est un mensonge qui marche.
La gauche et la droite sont deux idéologies qui reconnaissent l’importance d’avoir des élites. A droite, on considère que certains ont moins de droits que les autres: la femme, le noir, l’ouvrier, etc. L’élite est l’homme blanc catholique. Dans la droite macroniste, le peuple doit sacrifier sur son logement, sa santé et son éducation pour donner aux élites. On prend conseil auprès des plus riches. A gauche, on apprécie d’avoir des élites mais on ne demande pas au peuple de se saigner pour les élites. Les élites sont là pour informer le peuple et l’aider à être meilleur.
A droite, tout le monde doit soutenir son leader et répéter ses idées. C’est le programme de Macron, c’est le programme de Bardella. A gauche, il y a une pluralité d’opinions.
Macron affirme être le rempart de l’extrême-droite. Sa politique a imposé toutes ses réformes alors que la plupart de ses électeurs avaient voté pour lui non pas pour son programme mais pour faire barrage au Rassemblement National. Macron a encouragé la violence des policiers, a dénoncé le séparatisme islamiste, a dit qu’il voulait lutter contre l’immigrationnisme, a dit que la gauche va inciter les enfants à changer de sexe à l’école, dit qu’il y a des gens qui se lèvent tôt et des gens qui ne sont rien, a refusé les soins aux immigrés, a gouverné à coups de 49.3. Depuis 2017, les niches fiscales ont augmenté (pour ne pas payer d’impôts). Macron a augmenté la dette de la France en empruntant aux plus riches: Bolloré, Arnaud, Lagardère, etc. Au lieu de leur prendre l'argent sous forme d'impôts, Macron les enrichit encore plus grâce aux intérêts de la dette. Cette droite macroniste se rapproche du Front National. Elle est loin du centre. Gérald Darmanin, Rachida Dati, Didier Lallement sont des personnes politiques très à droite.
Le Rassemblement National est financé par Poutine. Leur patriotisme ne va pas à la France.
Il n’y a pas un choix entre le centre et les extrêmes mais bien un choix entre la gauche et la droite.
Dans l’histoire, quand la gauche se rassemble, cela a bénéficié au pays: la population a augmenté son niveau de vie sans pour autant sacrifier les dépenses publiques ni la performance de son économie. Le Front Populaire de 1936, l’Union Nationale de 1945 à 1958 et la gauche plurielle de 1997 ont été trois périodes où il y a eu des progrès sociaux pour les citoyens (la sécurité sociale de la santé et de la retraite, les congés payés, l’assurance chômage, la réduction et le partage du temps de travail). Dans chacune de ces périodes, les entreprises étaient très compétitives et se portaient très bien. De plus, la bourse se portait mieux quand la gauche était au pouvoir. Ceux qui en ont souffert, ce sont les ultra-riches qui avaient des biens mal-acquis (niches fiscales, réduction d’impôts, etc). Les ultra-riches n’ont pas besoin que le peuple soit archi-pauvre pour profiter de leur richesse. La gauche ne les saigne pas, elle leur demande une juste contribution.
Le nouveau front populaire veut déposséder les ultra-riches au lieu de s’en prendre aux mauvais pauvres visés par la droite. 500 familles possèdent la moitié de la richesse de la France. Il n’y a pas de problème de financement de la gauche. La France est un pays riche. Il n’y a aucune raison pour que la population se prive. Les inégalités se sont creusées depuis la fin des années 1970.
La droite néolibérale et la droite identitaire désignent des mauvais à qui ils font la chasse: les étrangers, les fainéants ou les inadaptés. Ils font la part belle aux ultra-riches qui ont plus de droits que les autres.
Il faut un état très fort et très démocratique qui protège les Français contre la concurrence déloyale des étrangers mal traités ou du dumping social et environnemental des produits étrangers. Les Français ont besoin d’être plus riches pour pouvoir acheter de la qualité et avoir des services publics de qualité ( santé, retraite, éducation, etc). Cette richesse a été capturé par les ultra-riches, pas par les immigrés ou les “fainéants”. Par exemple, Macron a défiscalisé le transport maritime. Le patron de CMACGM a fait des bénéfices records et est devenu une des dix plus grosses fortunes en France. Avec cet argent, il a racheté des médias sur lesquels on fait maintenant la promotion d’Emmanuel Macron.
Croire que la solution au problème c’est de s’en prendre aux mauvais pauvres (handicapés, personnes de couleur, etc.) en les traitant mal (salaires insuffisants, moins de droits) fait du mal à l’ensemble: des anciennes maladies comme le choléra ressurgissent, acceptation de conditions de travail moins bonnes, etc.
Beaucoup de Français sont en colère et inquiets pour leurs moyens de subsistance, leur santé, l’éducation des enfants, etc. Leur fournir des services publics à tous et partout coûtera très cher. La droite néolibérale de Macron demande aux pauvres de se saigner (diminution des retraites et des services publics) qui ne mériteraient pas assez. La droite identitaire du Rassemblement National demande de sacrifier les mauvais pauvres. La droite détourne la colère des gens vers autre chose que les bourgeois. La gauche du Nouveau Front Populaire demande de sacrifier le ultra de ultra-riche, mais ils restent quand même très riches. Pour redonner la prospérité aux Français, il faut taxer le capital et contrôler les prix.
Encore faut-il que les lois votées par l'assemblée nationale ne soient pas bloquées par le sénat qui n'est pas élu par les citoyens et n'est pas un vrai contre-pouvoir.
Quel dommage que l’on n’ait pas droit au référendum d’initiative populaire et que l’unique voie pour s’exprimer est l’élection de représentants!
Conférence de presse – Chiffrage et financement du programme du Nouveau Front Populaire – 33:36 / 1:08:55: https://youtu.be/4kYYTJoYPW0?t=1682
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Edito du directeur du Monde: Législatives 2024 : préserver notre démocratie - Le Monde: https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/06/28/legislatives-2024-preserver-notre-democratie_6244888_3232.html
Programme du Nouveau Front Populaire: https://yvelines.eelv.fr/files/2024/06/240618-PROGRAMME-FRONT-POPULAIRE_V6.pdf
Julia Cagé : oui, c’est possible, voilà comment…: https://youtu.be/rlF-ol1yZg0?si=P08AvYtTZtKj2r3O
youtube
Le brief éco. Pourquoi la bourse monte quand la gauche est au pouvoir ? – France Info: https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/le-brief-eco-pourquoi-la-bourse-monte-quand-la-gauche-est-au-pouvoir_2161896.html
La Bourse adore la gauche, mais seulement dans les graphiques – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20130927.RUE9104/la-bourse-adore-la-gauche-mais-seulement-dans-les-graphiques.html
Front Populaire : 80 ans d’avancées sociales en images – France Info: https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photographie/front-populaire-80-ans-d-avancees-sociales-en-images_3390429.html
1945 : après la guerre, un ordre social nouveau – La Vie: https://www.lavie.fr/idees/histoire/1945-apres-la-guerre-un-ordre-social-nouveau-1539.php
Les principales lois votées sous le gouvernement Jospin – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/politique/20020218.OBS3283/les-principales-lois-votees-sous-le-gouvernement-jospin.html
« C’est à gerber ! » : les propos d’Emmanuel Macron sur les personnes transgenres ne passent pas auprès de Mélanie Vogel – Public Sénat: https://youtu.be/KadEUIFV5EY?si=F0x7usNjokXxQBt6
youtube
Récupérer l'information, la boussole et l'oseille - La chronique de Waly Dia - France Inter: https://youtu.be/5eul6RTwRyg?si=YEVAooP04VwD-5y-
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
Oui au Référendum d’initiative populaire: https://www.aurianneor.org/oui-au-referendum-dinitiative-populaire-petition/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Le RIC – Référendum d’initiative citoyenne: https://www.aurianneor.org/via-httpswwwyoutubecomwatchv-e2lnzwuy4ks/
Le prix plafond et le prix plancher: https://www.aurianneor.org/le-prix-plafond-et-le-prix-plancher/
Le Sénat, le pouvoir de faire chier: https://www.aurianneor.org/le-senat-le-pouvoir-de-faire-chier/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Nos ancêtres les marrons: https://www.aurianneor.org/nos-ancetres-les-marrons-il-nexiste-quune-seule/
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Bonjour à toutes les personnes qui me suivent.
En période de COVID, comme beaucoup de monde, je suis resté isolé dans mon logement, et je regardais des films et séries sur Netflix. Je suis tombé par hasard sur une mini série documentaire intitulée "Jailbirds" ("Taulardes" en français).
Si vous me suivez depuis le début, vous connaissez mon intérêt pour cette thématique. Naturellement, cette mini-série a fait l'objet d'une chronique que je vous partage en lien. En faisant quelques recherches, on peut constater que le sujet de la prison est très ancré dans la culture américaine. La boucle est bouclée, pour l'instant, par rapport à mon premier article.
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Risques de moisissures à la maison 👉 Surveiller et éviter les excès d’humidité
✔️ Aujourd’hui, je vous propose d’aborder le sujet des moisissures dans les habitations, ces moisissures qui émettent des agents préoccupants dans l’air intérieur.
La bonne pratique 💪🏼 que je souhaite partager avec vous aujourd’hui, elle est directement issue du Guide pratique « Pour une meilleure qualité de l’air dans les lieux accueillant des enfants et adolescents », du ministère en charge de l’Écologie. Et cette bonne pratique, c’est, éviter l’excès d’humidité dans la maison. 🏠
Plus précisément, le guide quantifie cette bonne pratique, en fournissant une fourchette de référence ; il recommande de « maintenir une humidité acceptable (30-60%) dans les pièces de vie ». 💧
Cette humidité relative, elle peut être surveillée avec un hygromètre ; on en trouve dans le commerce. Et cette mesure, ça peut être un bon point de départ, au moins dans les pièces à enjeux, car un excès d’humidité favorise l’apparition et le développement de moisissures, qui se trouvent souvent dans les logements. Par exemple, en France, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) estime qu’entre 14 et 20 % des logements présentent des moisissures visibles. 🏘️
#moisissures
#humidite
#humidité
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Amedeo Clemente Modigliani, peintre et sculpteur italien, naît à Livourne le 12 juillet 1884. Il est le quatrième enfant de Flaminio Modigliani et d’Eugénie Garsin. Amedeo Modigliani décède à Paris le 24 janvier 1920.
Amedeo Modigliani LE PEINTRE MAUDIT
En 1886, Eugénie Garsin entreprend une chronique de la vie familiale. Elle mentionne pour la première fois son fils Amedeo dit "Dedo" : "un peu gâté, un peu capricieux mais joli comme un coeur". Les Modigliani quittent leur maison de la Via Roma pour une plus petite Via delle Ville à Livourne. A cette époque, Flaminio Modigliani est presque toujours en voyage. Avec eux vivent la grand-mère maternelle, le grand-père Isaac et les soeurs d’Eugénie, Laure et Gabrielle. Le petit Dedo et le grand-père Isaac sont des compagnons inséparables jusqu’à la mort de ce dernier. Isaac Garsin est un grand érudit et passe beaucoup de temps avec l’enfant, lui parlant d’art et de philosophie. Eugénie Garsin et sa soeur Laura enseignent dans la maison Via delle Ville.
Isaac Garsin décède en 1894. Uberto, fils de Rodolpho Mondolfi, ami d’Eugènie, est le premier grand ami de Dedo jusqu’en 1898. Le reste du temps, le petit Dedo vit entouré d’adultes.
En 1895, la mère d’Amadeo mentionne dans son journal : "Dedo a eu une pleurésie très grave et je ne me suis encore remise de la peur terrible qu’il m’a faite. Le caractère de cet enfant n’est pas encore assez formé pour que je puisse dire ici mon opinion. Ses manières sont celles d’un enfant gâté qui ne manque pas d’intelligence. Nous verrons plus tard ce qu’il y a dans cette chrysalide. Peut-être un artiste ?". Modigliani fréquente le lycée de Livourne.
En juillet 1897, Amedeo passe des examens et marque dans le journal de sa mère : "Je suis en train de passer des examens et je devrais faire un minimum. Les examens sont de quatrième en cinquième. Ceci pour les annales de la famille Modigliani." En août, il est reçu à ses examens.
Le 4 mai 1898, Emmanuel Modigliani - frère d'Amedeo - est arrêté pour ses activités politiques et condamné à huit mois de prison. Amedeo le considère comme "un héros". En août, Amedeo est de nouveau atteint d’une fièvre typhoïde suivie de complications pulmonaires. Il commence des leçons de dessin auprès du peintre Guglielmo Micheli à la Villa Baciocchi.
En avril 1899, Amedeo abandonne définitivement les études pour se consacrer à la peinture. A l’atelier, il rencontre Oscar Ghiglia qui deviendra un de ses meilleurs amis. Il reste de cette époque un portrait du fils Micheli et son autoportrait signé.
En 1900, Amedeo est atteint d'une nouvelle crise de pleurésie. Il est également touché par la tuberculose. Lors de l'hiver 1901, Amedeo et sa mère quittent Livourne pour un voyage de convalescence. Ils vont à Naples, Capri, Amalfi, Rome, Florence et Venise. Ils visitent les musées, les galeries et les églises. Pendant ce temps, Amedeo écrit plusieurs lettres à Oscar Ghiglia dans lesquelles il décrit son attachement pour l’art et les découvertes qu’il a faites.
En 1902, Amedeo Modigliani séjourne à Rome où il fait des copies dans les musées. Le 7 mai, il séjourne à Florence et s’inscrit à la Scuola di Nudo. Il partage un atelier avec Oscar Ghiglia. Il rencontre Ortis de Zarate. A la fin de l’été, il fait de la sculpture à Pietrasanta près de Carrara. Il admire le travail de Fattori. Dès cette époque, il souhaite partir travailler à Paris. Le 19 mai 1903, Amedeo Modigliani s’inscrit à l’institut des Beaux-Arts de Florence. Il étudie Carpaccio, Bellini et l’Ecole de Sienne. Il habite au 22 Via Maggio puis dans la Campielle Centopiere. Pendant ce séjour, il est aidé financièrement par son oncle Amédée Garsin. Ses amis sont notamment : Umberto Brunelleschi, Umberto Boccioni, Fabio Mauroner...
En 1907, Amedeo Modigliani quitte son atelier de la rue Caulaincourt et change régulièrement de logement (hôtel du Tertre, au Bateau-Lavoir et à l’hôtel Bouscarat), puis s’installe 7, place Jean-Baptiste Clément. Il rencontre Utrillo, Utter et Latourette (financier amateur d’art). En novembre, il rencontre le Dr. Paul Alexandre avec qui il se lie d’amitié. Jeune médecin amateur d’art, il sera le premier à s’intéresser à l’oeuvre de Modigliani. Il va le soutenir et l’encourager jusqu’en 1914, lui achetant régulièrement des oeuvres. Il le convainc d’exposer au salon des Indépendants. Modigliani s’intéresse aux arts primitifs et est influencé par l’oeuvre de Toulouse-Lautrec. Au Salon d’Automne, il expose deux toiles et cinq aquarelles. A ce salon, il découvre Cézanne à qui un hommage est rendu.
En 1908, Modigliani fréquente la colonie d’artistes, 7 rue du Delta, créée par Paul Alexandre et son jeune frère Jean. Lieu de vie et de travail, la colonie est supervisée par Maurice Drouard et Henri Doucet. Le 20 mars, il expose six oeuvres au salon des Indépendants dont la "Juive et l’idole". Il fait de la sculpture dont une à partir des traverses de chêne servant à la construction de la station de métro Barbès Rochechouart. Pendant cette période il connaît des difficultés financières importantes.
En 1909, Amedeo Modigliani s’installe à Montparnasse. Il rencontre la famille de Paul Alexandre dont il fait les portraits du père et de son frère. Il fait le premier portrait de Paul Alexandre. Il rencontre le sculpteur roumain Constantin Brancusi avec qui il se lie d’amitié. Brancusi lui fait découvrir l’art nègre et l’aide à travailler la sculpture sur pierre. Il refuse de signer le Manifeste Futuriste par Marinetti. En été, il retourne à Livourne pour quelques mois où il fait plusieurs études de tête, dont deux seront exposées au salon des Indépendants. Emmanuel lui trouve un travail de sculpteur à Carrara. En septembre, il revient à Paris avec "Le Mendiant", que Paul Alexandre achète. Il s’installe au 14 de la cité Falguière, à Montparnasse où il travaille la peinture et la sculpture.
En 1910, Amedeo Modigliani participe au 26e Salon des Indépendants. Modigliani attend d’être véritablement remarqué par les critiques mais seul Paul Alexandre lui achète ses oeuvres. Il vit plus ou moins dans la misère. Il habite successivement à la Ruche, au 216 boulevard Raspail, au 16 rue Saint-Gothard à Montparnasse ; puis de nouveau à Montmartre, 39 rue du passage de l’Elysée des Beaux-Arts, dans le couvent des Moineaux et à plusieurs reprises au Bateau-Lavoir. Jusqu’en 1914, il va se consacrer presque exclusivement à la sculpture sans pour autant abandonner la peinture. Il visite les expositions Matisse et Cézanne, ainsi que le Musée ethnographique du Trocadero.
En 1911, Amedeo Modigliani habite 39, passage de l’Elysée des Beaux-Arts. Il expose un ensemble de têtes sculptées ainsi que des gouaches à l’atelier du peintre portugais Amadeo de Souza Cardoso, rue du colonel Combes. Il fait un deuxième portrait de Paul Alexandre (il en fera un troisième en 1913). En mauvaise santé, sa tante Laure veut l’emmener en Normandie pour qu’il se repose. En septembre, il fait un court séjour à Yport en sa compagnie.
En 1912, Modigliani continue à faire de la sculpture. Il expose sept sculptures (têtes, ensemble décoratif) au salon d’Automne. Il rencontre Lipchitz et Jacob Epstein. Son frère Umberto l’aide financièrement. Il tombe de nouveau très malade et ses amis, dont Ortis Zarate, décident de l’envoyer en Italie chez sa mère. Les dates de ce voyage sont incertaines.
En 1913, avant de partir à Livourne, il dépose des sculptures, des gouaches et des dessins chez Paul Alexandre. De retour à Paris, il commence le cycle de Cariatides. Le marchand de tableaux Chéron, rue de la Boétie, s’occupe de lui pendant quelques temps. Chéron n’a pas réellement d’expérience en art et recherche plus son intérêt que celui de l’artiste. Il rencontre le sculpteur Ossip Zadkine, Kisling, Foujita et Soutine. Le marchand Paul Guillaume commence à s’intéresser à son travail.
En 1914, Modigliani reprend son travail de peintre et doit abandonner la taille directe. Au printemps, il fréquente Nina Hamnet. Le poète Max Jacob arrange une rencontre entre Paul Guillaume et Modigliani. Il devient son marchand : "En 1914, pendant toute l’année 1915 et une partie de 1916, j’ai été le seul marchand de Modigliani..." Il lui loue un atelier 13, rue Ravignan près du Bateau-Lavoir à Montmartre. Il vit quelques temps avec Diego Rivera au 16 rue Saint-Gothard. En juillet, il rencontre Béatrice Hastings, journaliste et poétesse anglaise, avec qui il vivra deux années souvent mouvementées. Sa production devient plus sûre, plus intense et sereine. Il fera de nombreux portraits de sa compagne. Il travaille chez Béatrice Hastings, chez le peintre Haviland ou bien dans l’atelier de la rue Ravignan. Il se fait réformer pendant la guerre. Paul Alexandre est mobilisé et ne reverra pas Modigliani. La collection de Paul Alexandre est essentiellement composée d’oeuvres datant de 1907 à 1912.
En 1915, Paul Guillaume lui achète des tableaux. Il réalise de nombreux portraits (Paul Guillaume, Apollinaire, Max Jacob, Kisling, Henri Laurens et en particulier Béatrice Hastings). Il fréquente Vlaminck, Picasso, Derain, Marie Vassilieff. Il habite 13, place Emile Goudeau. Dans une lettre à se mère datée du mois de novembre il écrit : "...Je fais de nouveau de la peinture et j’en vends. C’est beaucoup..." Les disputes avec Béatrice Hastings sont de plus en plus fréquentes.
En 1916, Modigliani rompt avec Béatrice Hastings. Son état de santé s’aggrave. Il expose avec ses amis dans l’atelier du peintre suisse Lejeune au 6, rue Huyghens. Cet atelier devient un centre de travail pour les artistes d’avant-garde. Il y rencontre le poète polonais Léopold Zborowski qui devient son marchand. Simone Thiroux est sa nouvelle maîtresse.
En 1917, il rompt avec Simone Thiroux qui est enceinte. Il conteste la paternité. Modigliani travaille dans l’appartement de Zborowski, 3, rue Joseph Bara à Montparnasse et lui cède sa production pour quinze francs par jour. Il réalise de nombreux portraits de Zborowski et de sa femme Hanka, et de leur amie Lunia Czechowska. Il commence une première série d’études de nus. En mars, il rencontre Jeanne Hébuterne, étudiante à l’Académie de Colarossi, qui devient sa compagne. En juillet, ils s’installent 8, rue de la Grande-Chaumière, dans une chambre louée par Zborowski. Le 3 décembre, Zborowski organise la première exposition personnelle de Modigliani à la galerie Berthe Weill, 50, rue Taitbout. Les nus exposés dans la vitrine font scandale et sont menacés de saisie par la police pour outrage à la pudeur. Avec ce scandale, aucun tableau n'est vendu. Modigliani travaille de façon intense.
En 1918, Modigliani réalise une autre série de nus. En mars, son état de santé se dégrade de plus en plus. Zborowski décide de l’envoyer sur la côte d’Azur avec Jeanne qui est enceinte. Ils s’installent à Nice pour un an. Sous la lumière du midi, Modigliani éclaircit sa palette, travaille sur des formats plus grands. Il peint les quatre seuls paysages que l’on connaisse de lui. Il retrouve Soutine et Foujita. Le 29 novembre, naît Jeanne, déclarée à l’état civil comme fille de Jeanne Hébuterne et de père inconnu. Elle sera par la suite reconnue par l’artiste. En décembre, Paul Guillaume organise une exposition dans sa galerie, Faubourg Saint-Honnoré à Paris, qui rassemble les toiles de Modigliani, Picasso et Matisse.
En 1919, Modigliani écrit plusieurs lettres à Zborowski pour lui demander de l’argent et envoie régulièrement ses toiles achevées à Paris. Il restera plusieurs mois à Cagnes dans la villa du peintre Osterlind. Il rend visite à Renoir. En mai, il retourne à Paris. Jeanne est de nouveau enceinte et sa fille le rejoint le mois suivant. En juillet, il s’engage par écrit à épouser Jeanne. Son état s’aggrave mais il continue de peindre ses proches : Jeanne Hébuterne, Lunia Czechowska, Hanka Zborowska, Zborowski... Il participe à l’exposition "Modern French Art" à la galerie Mansard à Heale en Angleterre. En septembre, il expose à Londres à la Hill Gallery où il a un grand succès. Francis Carco fait l’éloge de son travail dans un article pour l’Eventail, un magazine suisse. Quatre peintures de Modigliani sont exposées au Salon d’Automne.
En 1920, sa santé se détériore rapidement. Il fait son auto-portrait. Le 22 janvier, il est emmené inconscient à l’Hôpital de la Charité. Le 24 janvier, Modigliani meurt à l’Hôpital d’une méningite tuberculeuse sans avoir repris connaissance. Le 25 janvier, Jeanne Hébuterne enceinte de huit mois se jette du cinquième étage de l’immeuble de ses parents, laissant la petite Jeanne orpheline. Le 27 janvier, Modigliani est enterré "comme un prince" au cimetière du Père-Lachaise entouré de nombreux amis,
Les thèmes favoris de Modigliani sont la figure humaine et le nu. Dans ses peintures, Modigliani développe un certain nombre de critères stylistiques tels que le trait fortement accusé, la délimitation de surfaces, l’étirement des corps, facteur d’élégance et les yeux en amande placés souvent de façon asymétrique. Cette façon de travailler les volumes est assurément liée à sa pratique antécédente de sculpteur.
Les tableaux de Modigliani sont remarquables par la simplicité, la sobriété des lignes et des couleurs. Ses oeuvres traduisent un goût pour les compositions rigoureuses et sobres, à l'image des figures de l'Art Nègre et des mosaïques Byzantines.
Malgré la simplification et la déformation, les portraits de Modigliani ne perdent ni en caractère ni en expressivité. L'artiste utilise une palette limitée aux tons terre, bruns, rouges. Le portrait, de face, est simplifié. Les yeux sont en amande, le nez montre un long profil, le cou est allongé en référence à Sandro Botticelli. Modigliani renforce son propos en ajoutant au contraste des tons, des cernes de noir et de brun qui délimitent le contour du dessin. Souvent au bord de la misère, on en fait une figure de légende, celle du "peintre maudit".
Quelques Expositions « Amedeo Modigliani » :
2020 : Chagall, Modigliani, Soutine... Paris pour école, 1905-1940 - Musée d'art et d'histoire du Judaïsme, Paris
2012 : La Collection Jonas Netter - Modigliani, Soutine et l'Aventure de Montparnasse - Pinacothèque de Paris
2010 : Amedeo Modigliani - Musée de l’Annonciade, Saint-Tropez
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"Quand la Famille Devient un Poids : Mon Histoire d’Injustice et de Résilience"
Une main tendue, une injustice subie 🌦️
Ce matin encore, j’ai été confronté à une injustice venant de mes proches. J’avais accueilli chez moi la mère de mon fils, Rava, qui s’était retrouvée sans domicile. Ce geste, je l’ai fait avec l’approbation de ma compagne, Kahili. Pour respecter leur espace, je dormais dehors, les laissant partager la chambre avec notre fils. 🌙
Une matinée pleine de désillusions 🍽️
Au réveil, j’ai proposé à Rava de prendre le petit-déjeuner ensemble, un moment que j’espérais paisible. Une fois terminé, je me suis attelé à mes travaux habituels, notamment la création de contenu pour préparer la nouvelle année. J’ai demandé à Rava de surveiller Orama, notre fils, le temps que je travaille en ligne. 💻
Hélas, un instant d’inattention a suffi : j’ai surpris ma nièce dans la cuisine, dans une posture inappropriée devant mon fils de 3 ans. Choqué et en colère, j’ai pris mon fils à part et expliqué à ma nièce, ainsi qu’à son copain, que ce genre de comportement était inacceptable, surtout dans un lieu comme la cuisine. 🍴
L’explosion familiale et ses conséquences 💥
Ce simple incident a déclenché une véritable tempête. La mère de ma nièce, ma cousine, a déformé les faits, m’accusant injustement de comportements déplacés et d’incompétence. Sans raison valable, elle a détruit mes affaires, les jetant hors de la maison, et nous a ordonné de partir.
Elle m’a reproché des choses absurdes : selon elle, mon fils aurait frappé sa fille, je ne faisais rien de mes journées, et je "profitais" de leur argent – tout cela étant faux. En réalité, je vivais dans des conditions précaires, sans jamais me plaindre malgré leurs intrusions constantes. 🏚️
Un passé marqué par le sacrifice et le rejet 💔
Cette situation n’est que la continuité d’une longue série de malheurs. J’ai dû quitter le Centre des Métiers et des Arts pour m’occuper de ma mère gravement malade. J’ai géré seule ses démarches administratives lorsqu’elle a été placée en foyer, tout en subissant du harcèlement dans mon ancienne école.
Malgré tout cela, ma grand-mère a répandu des rumeurs à mon sujet, m’accusant d’être un menteur et un ingrat. Mes parents m’ont rejeté lorsque j’ai voulu reconstruire ma vie avec une femme que j’aime. 🕊️
Une quête de résilience malgré tout 🌟
Aujourd’hui, je suis contraint de quitter la maison, de remettre de l’ordre dans ma chambre saccagée et de trouver un logement pour moi et mon fils. Bien qu’il soit désormais en sécurité avec sa mère, je ne peux m’empêcher de ressentir une immense tristesse face à cette exclusion injustifiée.
J’ai contacté la police et les services sociaux, mais leur aide reste limitée. Même ma travailleuse sociale refuse d’intervenir, fatiguée des conflits familiaux qui semblent sans fin. 🚔
Une réflexion sur la solitude et la reconstruction 🌱
Tout cela m’a appris une leçon importante : on ne peut pas toujours compter sur les autres pour nous soutenir. Mes amis, ma famille et même la société m’ont tourné le dos, mais je ne compte plus attendre d’aide extérieure.
Il ne me reste que ma compagne, Kahili, qui est mon pilier dans cette tempête. Grâce à elle, je garde espoir et je suis déterminé à reconstruire ma vie, loin des conflits et des rumeurs. 💪
Conclusion : un chemin vers un avenir meilleur 🌈
Cette épreuve est douloureuse, mais elle me pousse à me relever et à devenir plus fort. Je vais continuer à avancer, pour moi et pour mon fils, en gardant en tête que le bonheur ne dépend pas des autres, mais de ma propre volonté à surmonter les obstacles.
Parfois, il faut tout perdre pour se retrouver. 🌻
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En France, les aidants familiaux de personnes âgées dépendantes bénéficient d'un soutien de plus en plus important
En reconnaissant l'importance de leur rôle et les difficultés qu'ils peuvent rencontrer. Voici un aperçu des principales aides mises en place :
Aides financières :
Allocation Journalière de Proche Aidant (AJPA) : Cette allocation permet de compenser partiellement la perte de revenus liée à l'arrêt ou à la réduction de l'activité professionnelle pour s'occuper d'un proche en situation de dépendance. Elle est versée sous certaines conditions et dans une limite de jours par mois et par an.
Crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile: Les aidants peuvent bénéficier d'un crédit d'impôt s'ils emploient une personne à domicile pour aider leur proche.
Complémentaire santé: Certaines complémentaires santé proposent des garanties spécifiques pour les aidants, comme le remboursement de certaines dépenses liées à la prise en charge de leur proche.
Soutien psychologique et social :
Réseaux d'aidants: De nombreux réseaux d'aidants existent sur le territoire, offrant un espace d'échange, de soutien et d'information.
Groupes de parole: Ces groupes permettent aux aidants de partager leurs expériences et de bénéficier d'un soutien psychologique.
Accompagnement personnalisé: Des professionnels peuvent accompagner les aidants dans leurs démarches administratives, juridiques ou sociales.
Solutions de répit :
Services de répit à domicile: Des professionnels peuvent intervenir à domicile pour soulager l'aidant et lui permettre de se reposer.
Hébergements temporaires: Des places en accueil de jour, de nuit ou en établissements spécialisés sont proposées pour permettre à l'aidant de prendre du temps pour lui.
Congé de proche aidant: Cette mesure permet à l'aidant de cesser temporairement son activité professionnelle pour s'occuper de son proche.
Autres aides :
PCH (Prestation de compensation du handicap) : Cette prestation peut financer des aides techniques, des aménagements du logement ou des services d'aide à la personne pour la personne aidée, ce qui peut indirectement soulager l'aidant.
APA (Allocation Personnalisée d'Autonomie) : Cette aide finance des services d'aide à domicile pour la personne âgée, ce qui allège la charge de l'aidant.
Comment en bénéficier ?
Pour connaître les aides auxquelles vous avez droit, il est conseillé de :
Contacter votre mairie: Les services sociaux de votre mairie peuvent vous informer sur les dispositifs existants dans votre commune.
Contacter un travailleur social: Un travailleur social peut vous accompagner dans vos démarches et vous orienter vers les structures adaptées.
Consulter les sites internet spécialisés: De nombreux sites internet proposent des informations sur les aides aux aidants.
Important: Les aides et les modalités d'accès peuvent varier en fonction de votre situation personnelle et de votre lieu de résidence. Il est donc essentiel de se renseigner auprès des organismes compétents.
En résumé, les aidants familiaux bénéficient de nombreuses aides en France. Ces aides ont pour objectif de les soutenir dans leur mission et de leur permettre de concilier leur vie personnelle et professionnelle.
Aller plus loin
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L'Économie de Partage : Opportunités et Défis
**Introduction**
L'économie de partage, également connue sous le nom d'économie collaborative, a émergé comme un modèle d'affaires innovant qui transforme la manière dont nous consommons et interagissons. Ce concept repose sur l'idée que les biens et services peuvent être partagés entre individus, réduisant ainsi le gaspillage et favorisant une consommation plus durable. Mais quelles sont les opportunités et les défis associés à ce modèle économique en pleine expansion ?
**Opportunités de l’Économie de Partage**
1. **Accès plutôt que propriété**
L'économie de partage permet aux consommateurs d'accéder à des biens et services sans avoir à en faire l'acquisition. Cela est particulièrement pertinent dans un contexte où le désir de consommation responsable et durable grandit. Par exemple, des plateformes comme Airbnb et BlaBlaCar offrent des alternatives à la possession de logements ou de véhicules.
2. **Économie collaborative et création de communautés**
L'économie de partage favorise les interactions entre les individus, renforçant ainsi le tissu social. Les utilisateurs peuvent rencontrer de nouvelles personnes, échanger des compétences et créer des communautés autour d'intérêts communs. Cette dynamique peut conduire à des relations plus solides et à un soutien mutuel.
3. **Opportunités économiques pour les particuliers**
Cette économie offre également des opportunités de revenus supplémentaires pour les particuliers. Que ce soit en louant une chambre, en proposant des services de transport ou en partageant des outils, chacun peut transformer des biens sous-utilisés en sources de revenus.
4. **Réduction de l’empreinte carbone**
En partageant des ressources, nous contribuons à réduire notre impact environnemental. Moins de biens produits et moins de déchets générés signifient une empreinte carbone globalement diminuée. De plus, cette approche encourage un mode de vie plus durable et conscient.
**Défis de l’Économie de Partage**
1. **Réglementation et législation**
L'un des principaux défis de l'économie de partage réside dans le cadre réglementaire. Les gouvernements et les municipalités doivent s'adapter à ce modèle économique en développant des lois qui encadrent ces nouvelles pratiques. Cela peut engendrer des tensions entre les plateformes de partage et les autorités locales, notamment en matière de fiscalité et de sécurité.
2. **Confiance et sécurité**
Dans une économie basée sur le partage, la confiance est primordiale. Les utilisateurs doivent se sentir en sécurité en utilisant des services qui impliquent des interactions avec des inconnus. Les plateformes doivent donc mettre en place des systèmes de notation, des vérifications d'identité et des assurances pour rassurer les utilisateurs.
3. **Qualité des services**
La diversité des offres dans l'économie de partage peut entraîner des variations dans la qualité des services. Les consommateurs peuvent rencontrer des expériences décevantes si les fournisseurs ne respectent pas des normes de qualité alignées avec les attentes.
4. **Impact sur les industries traditionnelles**
L'émergence de l'économie de partage peut perturber des industries traditionnelles, comme l'hôtellerie ou le transport, entraînant des réactions négatives de la part des acteurs établis. Il est important de trouver un équilibre pour intégrer ces nouvelles pratiques sans nuire à l'économie locale.
**Conclusion**
L'économie de partage représente une évolution fascinante dans notre manière de consommer et d'interagir. Elle offre d'énormes opportunités pour promouvoir un mode de vie plus durable et créer des communautés dynamiques. Cependant, il est essentiel de surmonter les défis associés pour garantir que cette économie collaborative puisse prospérer et bénéficier à tous.
En tant que consommateurs, entrepreneurs ou décideurs, il est important de réfléchir à notre rôle dans cette transformation. Comment pouvons-nous participer à cette économie de manière responsable et constructive ? Partagez vos réflexions dans les commentaires !
#ÉconomieDePartage
#Collaboration
#Durabilité
#Innovation
#Communauté
#DéveloppementÉconomique
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Comment gérer une location courte durée à distance ?
📢 Découvrez les secrets pour gérer une location courte durée à distance ! 🏡 Vous pensez que gérer un logement à 10 heures de chez vous est impossible ? Je l’ai fait, et je partage tout !
La location courte durée, c’est un peu comme un couteau suisse de l’investissement immobilier : flexible, potentiellement très rentable… mais pas sans défis. Si vous vous demandez comment gérer une location courte durée à distance, cet article est fait pour vous. Entre mes débuts en 2018 avec une boîte à clés et l’évolution de mes méthodes jusqu’à aujourd’hui, je vais vous raconter mes…
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Comment Voyager Gratuitement ?
Voyager gratuitement, c'est le rêve de nombreux aventuriers. Imagine parcourir le monde, découvrir des cultures et faire des rencontres inoubliables sans que cela te coûte un centime ! Que tu sois un jeune prêt à explorer l'Europe, un passionné de nature ou quelqu'un cherchant à échanger ses talents pour un logement, ce guide te révèle toutes les astuces et plateformes pour voyager sans débourser d’argent.
Pourquoi Voyager Gratuitement ?
Voyager gratuitement offre bien plus que des économies. C’est une expérience authentique et enrichissante qui te plonge dans le quotidien des habitants locaux, te permettant de découvrir des cultures différemment. Que ce soit en échange de services ou simplement en trouvant des moyens créatifs de réduire les coûts, tu vivras un voyage unique, loin des itinéraires touristiques classiques.
Les Solutions pour Voyager Gratuitement
1. Échange de Maison : Voyager comme Chez Soi
HomeExchange, par exemple, est une plateforme où tu peux échanger ta maison avec celle d'un autre membre. Grâce à ce système, tu loges chez quelqu’un d’autre et lui chez toi, sans frais. Lancé à la fin des années 90, HomeExchange permet aujourd'hui des échanges partout dans le monde grâce à un système de points appelé « GuestPoints », accumulés au fur et à mesure des échanges. C’est un moyen parfait pour découvrir une ville tout en profitant de tout le confort d'une vraie maison !
2. Voyager en Échange de Travail : Workaway, Helpx et le WWOOFing
Si tu es prêt à donner un coup de main, Workaway et HelpX sont idéaux pour partir en voyage gratuitement en échange de quelques heures de travail quotidien. Que ce soit pour travailler dans une ferme, garder des enfants ou aider à rénover une maison, ces plateformes proposent des missions variées et te permettent de voyager sans dépenser pour l’hébergement et parfois même pour les repas.
Le WWOOFing, quant à lui, est parfait pour les amoureux de la nature. En échange de quelques heures de travail dans une ferme biologique, tu reçois le gîte et le couvert. Le réseau WWOOF est vaste, s’étendant dans plusieurs pays, et te permettra de vivre une expérience au cœur de la nature tout en apprenant les techniques agricoles locales.
Voyager Gratuitement pour les Jeunes : DiscoverEU
Pour les jeunes Européens de 18 ans, le programme DiscoverEU offre un billet de train gratuit pour explorer l’Europe pendant 30 jours. Ce programme permet aux jeunes de voyager en train, contribuant à une exploration écologique de l’Europe tout en profitant de réductions sur les visites culturelles, les transports locaux et plus encore. Avec DiscoverEU, tu peux partir seul ou en groupe, l’occasion parfaite pour vivre une aventure européenne unique !
Couchsurfing : Séjourner Gratuitement chez des Locaux
Couchsurfing te permet de rester gratuitement chez des habitants locaux qui offrent un canapé ou même une chambre d’amis. En créant un profil détaillé et en cherchant des couchsurfeurs dans la ville où tu te rends, tu pourras non seulement économiser sur l’hébergement, mais aussi rencontrer des gens passionnés de voyages et désireux de partager leur culture. Bien que le service soit maintenant payant, il reste extrêmement abordable par rapport à un hébergement classique. Pour d'autres astuces ici
Sécurité et Voyager Seul : Astuces Incontournables
Voyager seul, surtout gratuitement, peut soulever des questions de sécurité. Voici quelques conseils :
Vérifie toujours les avis : Que tu utilises Couchsurfing, Workaway ou WWOOF, consulte les avis laissés par d’autres voyageurs.
Reste en contact avec tes proches : Partage régulièrement ta position et ton programme de voyage avec des amis ou de la famille.
Fixe des limites : En Workaway ou WWOOFing, par exemple, assure-toi que les conditions de travail sont claires dès le début.
Autres Astuces pour Voyager sans Argent
Faire du stop : Bien que cela demande une certaine prudence, le stop reste une option populaire et gratuite pour se déplacer.
Participer à des échanges linguistiques : Certaines plateformes mettent en relation les gens intéressés par des échanges linguistiques, qui peuvent inclure un logement temporaire.
TrustedHousesitters : Cette plateforme est dédiée aux amoureux des animaux. En échange de la garde d’animaux, tu bénéficies d’un hébergement gratuit dans de nombreuses villes et pays.
WarmShowers : Spécifique pour les cyclistes, WarmShowers te permet de trouver un logement gratuit (et parfois un repas) après une longue journée de pédalage.
Conclusion : Ose l’Aventure sans Te Ruiner !
Voyager gratuitement est à la portée de tous, grâce à des plateformes innovantes et à la générosité de nombreuses communautés. En utilisant les astuces et les plateformes présentées, tu pourras découvrir le monde d’une manière unique, authentique et économique. Alors, qu’attends-tu pour te lancer dans cette aventure ?
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Vendredi 18 octobre 2024
Je commence encore quelque chose de nouveau en sachant que je risque de lacher d'ici 3 jours, surement même avant.
J'ai trop d'émotions qui crèvent de sortir. Elle sont emprisonnées dans un corps qui à pas l'énergie pour elles.
La frustration : de pas avoir le bon corps, le bon logement, la bonne famille, pour pouvoir faire ce qui me tiens à coeur. Le conflit entre ce que j'aimerais être et ce que je ne peux pas être à cause de limitations que j'ai longtemps crues mentales.
La colère avec la boule d'acide dans l'estomac, de pas pouvoir aider, de pas être aider, de pas être entendu, compris systématiquement.
La tristesse, que les gens ne comprennent pas mon langage, mes intentions. Que ma colère et ma frustration ne puissent pas être utiles.
Maintenant je vais être plus précis.
Plus d'un an que des gens meurent sous nos yeux, qu'ont les entends, qu'on voit leur colère, leur larmes, leurs pertes, et les gens tourne la tête. Les gens tournent la tête quand mes ami.es se plaignent. Les gens tournent la tête quand je les met face à leurs responsabilités. Dans la commu ça parle de vouloir vivre en communauté. Moins centraliser nos vis sur l'amour romantique. BLABLABLA. Je m'en fiche que ta vie tourne autour de ton taff, de tes ami.es, de tes plans cul. Qu'on apprenne à vivre en communauté. Qu'on apprenne a gérer le conflit. A pas se ghoster. Pas juste croire que machin est toxique et puis du coup bye.
Qu'on apprenne à faire face. A faire aussi ce qu'on peut.
Comprendre qu'il y''a des gens qui n'ont pas le choix de ne "rien" faire.
Comprendre qu'il y a des gens qui ont le choix et les privilèges et qu'ils ne font pas.
Je pense qu'on se concentre sur des trucs qui règle pas les problèmes profond, et je suis persuadé de pas avoir la solution. Je sens juste que la forme est aussi importante.
Parler derrière le dos des gens parce qu'on est en colère. Au lieu de leur dire. STOP en fait. Je dois tellement bosser sur ça. Et partir quand y'a pas de changement, ni d'effort.
T'as pas l'énergie mais par contre pour ton taff t'en as ? Pour aller faire la fête t'en as ? Pour bitcher sur les gens t'en as ?
Les économies que je fait depuis que je bois plus, fume plus, vais pas en teuf, date, c'est le CHOC.
On m'a trop traiter misérablement parce que j'ai pas assez crié.
J'ai pas dit mais ferme ta gueule en fait. J'ai pas assez dit c'est finis. J'ai pas assez dit NON, j'ai pas assez lever mon petit cul de blanc pour partir. J'ai pas assez et pourtant je suis trop il parait.
Je me déteste pour des trucs que je fait même plus. Quitter les relations hétéroooo mais je les fanstames toujours ???? Quitter mon taff mais merde du coup j'ai plus de valeur ??? Avoir abandonné mon corps et ma santé, j'en paye le prix avant 30 ans. Croire que pour vivre en communauté il faut vivre en colocation mais LOL. Il faut être poly, lire de la théorie et poster sur insta les news. Mais WTF.
Non je sais pas partager mon partenaire sexuellement, non j'arrête la théorie qui me trigger tellement que je dors pas, du coup je passe par la fantasy pour plus de distance, j'enlève insta sur le tel parce que les cools kids c'était fun deux secondes mais en fait vous êtes trop chiant.es. Et les salomons c'est pas juste fashion, ça me permet de plus avoir de douleurs au pieds pour la première fois de ma vie.
Tout ce que j'ai fait parce que j'ai peur de pas faire parti du groupe alors que franchement, vouloir être seul, c'est tellement ouf. On est tellement devenu des individualistes masqués. Genre se divertir par les autres pour jamais se connecter à soi, sorry mais s'abandonner pour les autres ça devient du people pleasing et c'est pas vivre en commu. ça veut pas dire etre H24 avec des gens et aider à tout va. On fait ça parce que le capitalisme bliblablou tmtc, mais genre du coup on est tellement éloigné les un.es des autres. Bref mais en fait c'est la faute de personne, juste des riches, des mecs blancs cis het, des stars, des célébrités, qui nous donnent comme exemple d'etre pas respectueux blablablablablablabla c'est bon je me suis saoulé, j'ai cru je parle à qui même, je vais quitter ma fucking tête pour retrouver mon corps un peu, je vous laisse, je vous aime, prenez grave soin de vous, on vous détestera pour ça, levez vos belles fesses si vous le pouvez et allez vers l'amour qui vous plait.
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