#papillonnement
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© @papillonnne @papillonnne2
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Je ne fous rien, je papillonne.
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source : @cheminer-poesie-cressant
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réseaux sociaux
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on papillonne toujours plus dans l’abondance
l’infini n’est qu’un subterfuge pour nous distraire de la vie
se poser est devenu une chimère que nous ne rejoignons plus
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© Pierre Cressant
(mardi 24 décembre 2024)
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Au revoir
Imagine,
L’homme rencontre la femme.
Il n’a d’yeux que pour elle,
Et lentement son cœur s’enflamme.
Autour de lui, tout devient irréel,
Alors, il approche de la dame.
Comprenant que l’attirance est mutuelle,
Il discute avec elle et tombe sous son charme.
Ils échangent leur numéro, il la revoit souvent.
De cette rencontre est né un amour éperdu
Caché dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour l’épuise, il se sent vaincu.
Il décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, elle s’endort comme un loir.
Il en profite et sort de sa vie sans lui dire au revoir.
…
Imagine,
La femme croise de nouveau l’homme.
Il a vieilli, mais il est encore plus beau.
Elle décide de l’inviter boire un rhum,
Parce qu’elle l’a toujours dans la peau.
Elle l’écoute parler de son épouse et de ses mômes,
Pendant qu’elle se retient d’éclater en sanglots.
Avant de se quitter, soudain son ventre papillonne.
Dès lors, elle l’embrasse, et le passé ressurgit aussitôt.
Ils revivent cette fougue qu’ils croyaient perdu
Cachés dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour est impossible. Elle l’a toujours su.
Elle décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, il reste seul dans son désespoir,
En la regardant partir de sa vie sans lui dire au revoir.
Alex@r60 – août 2023
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saga: Soumission & Domination 332
Nouvel an 2015
Depuis deux jours, Samir et Ammed ne quittent pas la cuisine ; ils font les plats que nous consommerons pendant le " WE " qui arrive. Ce matin, sont arrivés les plats préparés de Julien (des terrines de poisson, de gibier, du saumon fumé maison et autres pains surprises) il nous laisse sa voiture frigo. Le pâtissier est passé livrer notre commande. La chambre froide est pleine à craquer mais dimanche soir ce ne sera plus le cas !
Depuis ce matin, les invités arrivent. Kevin est dans les premiers, Henri est invité au réveillon d'Emma et ils ont des affaires à voir avant. Il me remercie pour Sosthène et me demande si exceptionnellement je ne l'aurais pas invité. Il avait bien kiffé sa nuit avec lui. Je lui dis qu'il est invité comme tous mes autres escorts ce qui le surprend car il pensait encore que j'avais gardé bien séparés mes deux mondes. Je lui annonce la mauvaise nouvelle qu'il sera avec son mec, un canon de mécano ! Il me demande si je blague, que lui un lettré soit avec un manuel, très manuel, il n'en revient pas. Je lui dis que j'avais exagéré car c'est aussi le fils de mon concessionnaire Peugeot.
Ric arrive sur ses talons. Il m'annonce qu'Alban descend avec Bo-gosse et moitié. Mais ils ne seront pas là de bonne heure. Je lui passe les clés de la 300C pour qu'il l'a sorte et que ça fasse de la place pour les motos des invités. Je préfère ne pas les laisser dehors durant plusieurs jours. C'est moins grave pour les caisses (hormis nos deux Mercédès). Les aquitains arrivent en groupe les internes me disent qu'ils avaient dû échanger leur garde du 31 par 3 WE complets mais ils étaient sûr de ne pas le regretter. Les 3 " étalons " du club hippique suivent. Jules, lui, a préféré faire le voyage sur la selle d'un de mes deux Motards. Ils sont chauds bien que rafraichis par le climat hivernal.
A midi nous sommes déjà plus de 20. Pour ne pas entamer les préparations de Samir et Ammed, nous sortons en ville. Un " steak house " nous apporte notre content de protéines. Evidemment nous ne sommes pas à la même table mais quand certains veulent régler, je prends le tout sur ma carte. Nous trainons en peu en ville et squattons la quasi-totalité du bar où nous prenons notre café. A notre retour, nous trouvons quelques invités supplémentaires déjà dispersé entre les différents points de sport. Je fais le tour du blockhaus, les sacs et valises commencent à s'entasser dans les chambres. Bientôt il ne nous manque plus que nos commerçants, Julien, Daniel et les parisiens. Mes escorts qui apparaissent pour la première fois pour beaucoup de mes amis (sauf les plus proches qui les ont croisés à mon chevet lors de mon accident) font leur petit effet ! Kev est ravi de revoir Sosthène et je sais que ce n'est pas la présence de Justin qui va l'empêcher de conclure à nouveau avec lui. Ce dernier, Justin, se demande un peu quand même dans quel monde de fou il était tombé.     En tant qu'hôte, je le prends en charge et lui explique un peu comment marche la maison et les êtres qui actuellement l'occupent. Il sait que Sosthène travaille pour moi et connait tous mes escorts puisqu'il est chargé depuis le départ de l'entretien de ma flotte de RCZ. Du coup, il est surpris des autres mecs qui sont là . Façon idiote (dixit lui), de généraliser à partir de l'échantillon de mes relations qu'il connaissait. Il me demande qui est le mec qui colle aux basques de son Sosthène. Je lui dis que c'est un ami et lui demande si Sosthène lui avait expliqué la fête du nouvel an chez moi. Le " en gros " qu'il me répond me fait penser que mon escort à du édulcorer !
Je lui explique que nous serons 80 en tout et que des hommes chauds/bouillants avec des hormones en surdosages. Tous homo ou bi, ça va rapidement déraper en partouze où tous et chacun vont papillonner de l'un à l'autre en fonction des affinités et envies du moment. Il me regarde un peu effrayé et me dit qu'il avait pensé que Sosthène blaguait quand il le lui avait dit.
Je le laisse réfléchir et attend qu'il me dise quelque chose. Comme il reste coi, je lui dis qu'il peut, s'il le désire, nous quitter mais que je crois bien que Sosthène avait envie de rester. Je glisse que d'après le peu que ce dernier m'avait confié, lui-même ne déparerai pas parmi mes autres amis. Il me confie qu'il n'a que peu d'expérience et que Sosthène n'est que son 3ème mec. Je ris et lui dis qu'il va vite combler son retard ce WE. Il continue ses confidences et me dit craindre pour sa virginité anale lui qui n'est qu'actif. Je l'assure qu'il ne la perdra que volontairement. Personne ne se fait forcer chez moi sauf dans des scénarii mutuellement consentis. De plus il sera toujours libre de partir quand il veut.
Comme je lui fais visiter les différents niveaux, il kiffe la serre où maintenant une salle de muscu entoure la piscine de 25m. Après avoir vu le second étage, il me demande pourquoi j'ai autant d'installations. Entre mes 25 escorts et la maison plus quelques amis qui passent de temps à autre, il faut bien tout ça pour ne pas refroidir entre 2 séries. Quand Sosthène lui en avait parlé, il n'avait pas imaginé que nous nous retrouvions quasiment tous ensemble pour le sport.
Les Parisiens arrivent enfin avec une glacière. Interrogation : réponse " caviar " ! Ils avaient eu Samir au téléphone et me disent que les blinis doivent nous attendre.
Nous sommes tous réunis au 4ème pour l'apéritif. Le champagne est à bonne température et tout le monde apprécie la cuvée Cristal 2002 de Roederer. Tous aussi nous dégustons le caviar de nos Parisiens. Je profite de ce moment-là pour distribuer mes petits cadeaux. Avec l'aide d'Ernesto, PH et Ludovic, nous donnons à chacun son petit paquet. Je me suis gardé la distribution de celui de Côme et Justin entre autre. Le premier parce que c'est mon " beau-frère " et le second parce qu'il est nouveau dans mon monde. J'ai bien fait parce que Justin veut refuser dans un premier temps. Il argumente qu'il n'est là que par Sosthène. Je lui dis que si Sosthène et lui sont ensemble, c'est qu'il a surement des qualités cachées, je laisse un blanc, enfin pour quelques minutes encore. Eclat de rire général. Côme est venu à ma demande et celle de Ludovic. Il n'est pas très chaud d'être entouré de gays en chaleur puisqu'il ne kiffe que Jona et François. Mais, entre mon désir qu'il soit avec nous, celui de Ludovic et les arguments de ses deux Pd préféré, il a accepté de venir.
A mon top tout le monde ouvre. Marc et Hervé, tenus dans l'ignorance, sont surpris en bien. Connaissant l'oiseau, il s'étaient attendu à quelque chose de plus voyant. Merci pour la confiance !!
Ils sont tous content. Même mes deux gendarmes. Les anneaux sont suffisamment discrets pour être portés en service et l'inscription suffisamment absconse pour ne pas révéler une homosexualité non affichée. Ils sont suffisamment précieux pour les pétasses Parisiennes (que j'adore au demeurant). Seul le choix de l'or rose en surprend certains mais une fois mis aux doigts, le ton reste discret. Alors qu'on lève nos flutes pour l'occasion, c'est Ludovic qui me donne à son tour un petit paquet. Comme je m'interroge, il me dit que c'est de la part des 79 participants à cette soirée du nouvel an. Je les traite d'imbéciles ce qui les fait rire une nouvelle fois. J'ouvre. Ils savent tous ce que c'est et ça m'énerve, j'aime bien être celui qui sait tout !! Je découvre une tête de tigre en diamants avec les bandes en saphirs noirs réalisé par Van Cleef & Arpel, en pendentif pour mon oreille. Elle reprend le dessin de la tête que j'ai utilisée pour mon piercing, l'ensemble est raccord. Pour une fois je reste muet. Ils ont beau être nombreux, ça quand même du leur coûter un max à chacun. Je les remercie tous pour ce geste. Franck me dit que son grand père a participé aussi. PH me rassure aussi pour ceux qui n'ont pas nos moyens, chacun y a été selon ses possibilités. Tous voulaient participer. Je remplace le diamant d'Emma par cette nouvelle " breloque ". Et c'est le signal de départ. Il n'est que 22h30 et à 22h35 tout le monde est à poil ! A part Samir et Ammed passant dans les différents étages pour nous signifier le passage à 2015, je n'ai pas vu grand-chose de la soirée. Je me souviens m'être fait baiser par les étalons du club hippique mais pas que. J'ai aussi enculé pas mal de mecs. Un des moments mémorables a été le dépucelage de Justin, à sa demande, pour connaitre ce que ressentait Sosthène. Après s'être fait bien préparé la rondelle par son petit copain, il était venu vers moi pour que je sois le premier à l'enculer. Je ne demande qu'une fois " pourquoi pas Sosthène ? ". Réponse : " avant lui c'est toi qui me faisait bander ". Ça le mérite d'être clair. Sosthène est d'accord donc je m'enfonce en lui. Ça faisait longtemps que je ne m'étais fait un puceau et c'est vraiment trop bon. Je prends mon temps pour bien apprécier et qu'il prenne son pied lui aussi. Tout pendant que je l'encule, Sosthène lui tient la tête et alterne encouragements et roulage de pelle. Justin est courageux et tient à faire plaisir à Sosthène. Passés les trois/quatre premiers va et vient, il se détend brusquement et commence à apprécier ma présence. Il a un dos bien large et j'ai de quoi m'accrocher à ses épaules. Son petit cul commence à bien réagir à l'envahissement de sa pastille centrale il en vient à reculer tout seul sur ma bite quand je mets un peu trop de temps à le réenfiler. Il avoue à Sosthène que c'est finalement très bon de se faire enculer aussi. J'entends ce dernier lui répondre qu'avec lui, il aurait eu beaucoup de mal à se retenir. Il avait préféré que ça se passe mal avec moi ! Je le remercie en riant. Il s'excuse que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire. Je me retire avant d'avoir jouit et lui passe le relais. Maintenant que le chemin est fait, il pouvait y aller. Alors que Sosthène s'enfonce délicatement, sa bite est quand même la taille au-dessus de la mienne, Justin m'appelle. J'approche ma tête de la sienne. Il m'attrape par le cou et me roule une pelle avec un grand merci de les avoir aidés.
Un autre moment de pur plaisir : me faire prendre en sandwich, ma queue dans le petit Théo (le frère d'Ed) gentiment prêté par Tic et Tac qui vient de fêter ses 18ans et le cul défoncé par les 24x5.5 de Bo-gosse. La première fois de la soirée où je me suis laissé aller à jouir totalement. Son gros gland et sa façon particulière de donner une petite rotation à sa queue lors des pénétrations sont diablement efficaces ! Ça plus la rondelle de Théo qui pulsait autour de ma propre bite m'a fait craquer.
J'ai fait une pause après cela. J'avais un peu faim. Je m'aperçois que je ne suis pas le seul. Un bon tiers des participants est autour du buffet à se raconter les premiers plans. Ric me dit que mes deux Lads avaient fait merveille pour satisfaire son appétit. Mes deux motards de la gendarmerie nous rejoignent. Ils m'encadrent et je me retrouve avec un bras de chaque autour de mon cou. Ils sont ravis de leur 31. Ils trouvent ça encore plus démentiel qu'à leur dernier passage. Je leur dis que j'espère qu'ils n'avaient pas fait de folie pour leur participation à ça (en secouant la tête pour faire briller les diamants et saphirs noirs de mon oreille). En rigolant le plus balaise me dit qu'ils avaient rackettés quelques grands excès de vitesses en liquide (Joke bien sûr). Ils me disent que j'ai une équipe d'escorts qui tient la route. Ils se sont fait en parallèle mes deux vietnamiens. C'était leurs premiers et ils avaient kiffé leur douceur même au milieu de l'ambiance hyper chaude (pour rester corrects) qui régnait dans la serre. Ils rappellent à ceux qui sont autour de moi la surprise qu'ils avaient eu à nous contrôler sur l'autoroute, entre nos physiques moulés dans nos combis en cuir qui auraient fait bander un eunuque et l'arrivée d'Ernesto dans la Mercédès. Ils s'étaient demandé un moment sur quel monde ils étaient tombés.
Marc qui nous rejoint à la fin de leur récit, nous dit que c'est pas étonnant. Ce n'était pas la première fois que j'allumais la maréchaussée ! Et, à son tour, il raconte les deux fois où je suis passé à la " casserole " pour éviter le retrait de permis (cf. épisodes D-mot6 et D-mot7). Autour de nous ceux qui ne savaient pas me traitent de véritable obsédé. Je me défends que je n'avais pas eu le choix. Je venais d'avoir mon permis et à 18ans sur une X11 débridée, c'était le retrait de permis définitif au bas mot pour m'être fait contrôler à 210 !
Petit à petit on se retrouve tous au 4ème à reprendre des forces. Ça discute dans tous les coins. Mes escorts sont interrogés sur leur cursus...d'études pas de performances sexuelles !! Bande d'obsédés ! Alban tient dans ses bras Ric. Comme ils sont contre le bar/séparation de la cuisine, les quelques qui avaient encore des doutes quant au modèle qui lui avait servi pour les cariatides, sont confortés dans leur idée. Pour rire, il prend la pose et là c'est une évidence.
Il est 2h30, nous fêtons enfin le passage de l'année quand Xavier nous rejoint. Il ne pouvait pas abandonner sa femme un tel soir mais avait négocié pour pouvoir nous rejoindre au retour de la fête qu'ils avaient fait avec des amis. Depuis que j'ai "arrangé " leur petit problème de couple (elle n'arrivait pas à se faire pénétrer par les 26x6.5 de son mari), elle est très compréhensive et comme c'est chez moi, elle accepte qu'il vienne se défouler. Il ne reste pas habillé très longtemps. Les quelques escorts (c'est le seul client que j'invite à mes touzes) qui le connaissent le mettent à poil. Et ses 26cm déployés font envie à plus d'un. C'est d'ailleurs ce qui la relance !
Moitié (le mec de Bo-gosse) se jette le premier dessus. Habitué aux 24cm de son mec et un peu entrainé par les queues qu'il s'était mangé depuis le début de la soirée, nous l'avons vu se les prendre en entier, menton sur les couilles et nez contre le pubis. Les participants se trouvent à nouveau, ils s'écartent par 2, 3 ou même 4 et s'égaillent entre la terrasse, et les autres niveaux. Je monte avec Alban et Ric. Le sculpteur voulait voir le vieillissement de son " baiser ". La patine est brillante à certains endroits, ceux qui attirent le plus les caresses. Dans quelques années, la patine noire sera usée laissant paraitre le doré du bronze. Des gémissements nous attire de l'autre côté. Les mains accrochées aux hanches d'un des protagonistes de l'oeuvre, les jambes écartées, nous trouvons louis, le petit mec de Franck, en train de se faire littéralement défoncer par le Lad motard et ses 24x7. Les yeux fermé, il savoure le moment. Je lui caresse la tête, il ouvre les yeux. Je lui demande si Franck sait qu'il se fait emmancher par un tel engin. Il me sourit déjà bien parti entre le poppers et la saillie qu'il subit. Il me répond de descendre, je le trouverais sûrement en train d'enculer un de mes escorts et probablement Max (le petit mec à qui je donne des cours de français) ou Kamal.
Je descends au 3ème. Je vérifie que notre chambre est bien fermée et parcours avec Alban et Ric les autres chambres. Ça baise partout ! Au second chaque banc de muscu supporte un mec en train de se faire sodomiser. Ric nous abandonne et je pousse vers le fond. Sous les douches 4 mecs se font du bien et pas en se savonnant ! Dans la piscine les deux mecs qui y sont se roulent des pelles. Je leur rappelle que je ne veux pas de sperme dans l'eau. Ils secouent la tête pour me signifier qu'ils ont entendu mais ne se décollent pas pour autant. Au premier mon bureau sert aussi de support à un couple qui fait l'amour. Je descends directement au sous-sol. Le donjon est plein, au moins 15 mecs y baisent. Jimmy se faite enculer par la bite d'un des gendarmes accolée à un gode de bonne dimension. Arnaud se fait préparer par Léopold en vue d'une profonde saillie. Je le vois faire plusieurs allers et retours de la douche où il se plante un embout à lavement dans le cul et les WC à côté.
Dans le Jardin qui n'est plus que la moitié de lui-même depuis l'implantation de la seconde salle de sport, je vois Anthony faire des longueurs. Je l'arrête et il me dit se détendre un peu avant de retourner dans l'arène. Dans les palmiers,  Viktor et Nicolaï en 69 se font ramoner par Marc et Pablo.
Plus loin je tombe sur Ludovic et Côme en recherche de partenaire, enfin en ce qui concerne Ludovic. Côme, lui, s'est contenté jusque-là de faire l'amour à ses deux amis Jona et François. Je les prends par les bras et m'enfonce entre les arbres. Contre le mur du fond, la luminosité est faible. J'attire leurs têtes vers la mienne et je leur roule des pelles alternativement pour commencer puis tous les trois ensembles. Dans l'euphorie du moment, ils ne se reculent pas et leurs langues se trouvent et se touchent pour se battent avec la mienne. Mes mains caressent leurs deux corps musclés, je sens les leurs sur moi. Nos bites raidissent et nous les écrasons contre les hanches des autres. Côme est très excité. Ludovic me semble bien chaud lui aussi. De fil en aiguille, je me retrouve en train d'enculer mon Ludovic tout en me faisant moi-même sauter par son grand frère. J'adore ! A l'occasion d'un changement de position, je provoque la sodomie de Ludovic par son frère. Au départ je suis sûr que chacun pense que son frère s'est éclipsé et qu'ils font l'amour avec moi. Je les regarde. Ils sont superbes ! A part la barbe de 3 jours et ses épaules plus larges, on pourrait croire à des jumeaux. C'est d'ailleurs c'est elle (la barbe) qui trahi l'accouplement. Quand Ludovic sent les poils raides piquer son cou, il comprend que ce n'est pas moi qui lui lime le cul mais son frère. Avant qu'il ne le repousse, je prends sa tête entre mes mains, lui roule une pelle et lui dit de laisser faire et de prendre son pied. Je me redresse et fait de même avec Côme. Comme je suis en roulage de pelle avec lui, je sens mon Ludovic pomper ma bite qui, tout naturellement, était venue de placer devant sa bouche.
Alors qu'on reprend nos souffles Côme et moi, ce dernier, sans pour autant cesser d'enculer son frère, me traite de salaud. Je me recule et leur demande à tous les deux s'ils n'étaient pas en train de prendre un pied géant. Pour preuve Côme ne cessait de pilonner son frère et celui-ci, tout bandant, ne se sauvait pas à toutes jambes mais était plutôt enclin à reculer sur la bite qui le défonçait.
Ludovic se retourne sur le dos pour voir la tête de son frère en train de jouir de son corps. Je suis ravi quand Côme se penche et qu'ils se roulent un patin tout sauf fraternel ! Je rentre alors dans le jeu. Je me colle au dos de Côme et lui met mes 20cm. Ludovic m'aide en ouvrant les fesses de son frère avec ses mains. Nous nous éclatons dans cet échange à en partie incestueux. Côme est le premier à partir. Il accentue en violence ses coups de rein et s'immobilise, son gland au plus loin dans son frère, qui pulse au rythme de ses éjaculations. Il m'entraine avec lui. Ma bite a toujours du mal à résister aux compressions spasmodiques d'une jouissance extrême et je rempli ma kpote. Ludovic est le dernier à juter et se répand entres leurs abdos collés. Break, on se décolle et, avant que les deux frères se séparent et se retrouvent sur le dos côte à côte, je les entends se dire qu'ils s'aiment ! Avant que le sperme soit trop froid, je lèche leurs abdos. Et nous nous roulons de nouveau une méga pelle. C'est Côme qui me dira merci le premier pour ce plan qui a dégénéré. Ludovic me demande si cela ne me gêne pas qu'il aime son frère aussi. Je leur souris et leur dis qu'il n'était pas question pour moi de le séparer de ses frères ni même de ses parents. Et ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à comprendre qu'on puisse aimer plus d'une personne !!
Nous nous endormons dans notre coin, isolé de la furie ambiante.
Jardinier
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Été 1926, Hylewood, Canada (1/3)
Chère cousine Noé,
Maman a voulu voir le brouillon de la lettre que je t’ai envoyé l’année dernière, et elle m’a sévèrement réprimandé parce qu’elle dit que je fais le pitre et que je ne te dis rien d’utile. Je ne vois pas pourquoi elle vire folle pour rien. Dès qu’il se passe quelque chose (ce qui n’arrive pas souvent sur cette île !), elle se précipite pour en faire part à ta mère. Donc des nouvelles, des nouvelles…
Tout d’abord, je t’annonce les fiançailles de ma sœur Marie avec son Georges, qui a enfin réussi à la convaincre étant donné que depuis cette année, il est gestionnaire des entreprises Rumédier, ce qui lui confère une belle situation et plus de deux mille dollars de rente. Ce n’est pas phénoménal par rapport à ce qu’était la famille Rumédier à la fin du siècle dernier. Elle a, malheureusement, beaucoup perdu de sa superbe à cause de sombres histoires de réputation. Le père de Georges vient de mourir. Il était un bâtard, vois-tu… Tu sais que Rumédier faisait souvent affaires avec la compagnie pour laquelle je travaille ? J’ai été étonné de voir que la rente de Georges est si faible. Je veux dire qu’elle est coquette, mais elle devrait l’être encore plus au vu des chiffres qu’ils brassent. Je suppose qu’ils réduisent leur rente pour investir davantage dans quelques domaines dont nous n’avons pas les contrats, surtout qu’en ce moment, les marchés sont favorables à l’investissement. Bref, pour en revenir à Marie, elle est trop fière pour montrer qu’elle est aux anges. Je la chambre en permanence sur son « beau Georges, avec ses grands yeux violets et qui danse si bien », en papillonnant des yeux de l’air le plus agaçant que j’arrive à adopter, et elle me rabroue à coups de coudes. J’adore ma sœur. J’espère qu’elle sera heureuse.
Ensuite, nous avons une nouvelle bonne. Plus si nouvelle que ça, d’ailleurs, puisqu’elle a été engagée au départ de Mlle Carreau l’été dernier. Elle s’appelle Clothilde, elle cuisine divinement bien, mais comment dire… Elle a la main lourde sur la bouteille, et ce n’est pas pour agrémenter ses crêpes, si tu vois ce que je veux dire.
D’autre part, je suis majeur depuis presque une semaine ! Ce qui… ne me sert à rien pour l’instant, puisqu’aucune élection n’est prévue avant décembre, qu’à cause de la prohibition on ne peut plus acheter d’alcool de consommation domestique (ce qui n’empêche pas Clothilde de s’en procurer quand même…), que de toute manière, il n’y a pas de bar à Hylewood, et que quand je termine le travail à Kingston, je suis généralement trop fatigué pour m’y attarder bien longtemps avant de prendre la route.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris III#Clothilde Floch#Georges Rumédier
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RĂ©flexion#1 : Les animaux qui m'animent
"Si j'étais un animal, je serais...". Qui ne sait jamais posé cette question ? Lorsqu'on ne se la pose pas, elle vient à nous ; une personne, un portrait chinois, toutes les raisons sont bonnes pour qu'elle nous apparaisse. Et à chaque fois, elle s'impose comme un véritable miroir de nous même. En s'interrogeant sur l'animal que nous incarnons, on cherche à faire ressortir nos qualités et défauts primordiaux. Ces parts de nous-même qui seraient prêtes à bondir sur la moindre personne que nous croisons.
Alors je me demande, si j'Ă©tais un animal, je serais... :
Un phœnix !
Après tout, mon coming-out n'en serait-ce pas la preuve ? Du jour au lendemain, malade de chagrin, j'ai tout brûlé. Mes peurs, mes doutes, ma haine de moi-même, ma confiance en moi, mon rapport aux autres, mon identité, mes goûts, mes passions, mes sentiments et encore d'autres folies. J'ai tout brûlé, cramé, incendié et même enflammé. Tout y ait passé, tout mais surtout moi. "Mourir pour mieux renaître", n'est-ce pas là la leçon du phœnix ? Alors, de mes cendres, je renaquis poussin plumage arc-en-ciel et j'en étais fier. Ce premier incendie n'était et n'est que le premier d'une longue succession. "Mourir pour mieux renaître", et je ne cesse de le refaire. Mais une partie de ma vie, aussi importante soit-elle, me représente-t-elle réellement ?
Alors, je serais un renard !
La ruse et l'intelligence, ne sont-elles pas les "qualités" que l'on me ramènent à longueur de temps ?! Les intelligences sont plurielles, mais qu'importe ! 132 de QI, ça ne peut pas ne rien vouloir dire ?! Et pourtant : "Un éléphant, ça trompe énormément". Je suis "intelligent" mais est-ce que je me sens plus "intelligent", pas nécessairement, pas plus que les autres. Voilà une étiquette qui sous ses apparences bienfaitrices a fini par être boulet à mes pattes. Chaîne à mes pieds, elle m'a longtemps conditionné à mon terrier. Trop mystérieux, trop différent, incompréhensible, bizarre, s'aventurer au fond de mon terrier, là j'étais vraiment, finissait alors par faire peur à tout le monde. Tout le monde suivait les indications à l'extérieur sans même tenter d'en connaître l'intérieur. Alors même si on dit que les gens sont au final le reflet de qui nous sommes. Je ne crois pas que je suis un renard ; le miroir de la société est déformant. J'aime le renard mais il est un loup pour moi-même.
Serais-je donc un papillon ?
Ah, le papillon ! Il virevolte librement, un battement d'aile éphémère qui inscrit une beauté perpétuelle dans l'air. D'un battement d'aile, il crée un ouragan à l'autre bout du monde ; d'un "oui", voilà que je voyage en Europe et que je fais des rencontres mémorables. Il est cette sensibilité et cette fragilité qui m'incarnent. Il vogue de fleurs en fleurs quand ma concentration va impétueusement d'idées en idées. Je ne crois pas me perdre en affirmant être un papillon. Il a été chenille avant de se métamorphoser en cet arc-en-ciel de couleurs. Intelligent ? L'empathie qu'il transporte est l'une de ses facettes.
Oui, si j'étais un animal, je serais un papillon. Je l'incarne pleinement, ses qualités (empathie, métamorphose, liberté de l'esprit) comme ses défauts (hypersensible, instable, fragile). Oui, papillon, toujours tout papillonne en moi ; et voilà que dans cette parenthèse éphémère et hors du temps, je reprends déjà mon envol.
#life quotes#my writing#poetry#écriture#écrire#pensées#philosophy#philosophie#high school#animals#animaux#poésie#littérature
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Viens on papillonne ensemble . . . 🦋🦋
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Je ne peux pas me sentir triste pour le couple Stolitz , je m'explique ;
Sur les deux derniers Ă©pisode de la sĂ©rie beaucoup disent avoir pleurer lors des Ă©pisode mais moi non car le dĂ©nouement Ă©tait trop prĂ©visible car Vizie nous emmener clairement sur cette voix lĂ
La relation puait déjà depuis la fin de la saison 1 on a eut un petit espoir du côtés de stolas à l'épisode 2 de la saison 2 mais c'est vite retombé.
A l'heure actuelle Stolas et Blitzø sont mauvais l'un pour l'autre donc une rupture même temporaire est pas plus mal . Histoire que les deux prenne du recule et se remettent en questions . Après pour l'incube je pense que c'est qu'un coup d'un soir c'est ce que je dirais pour rassuré Blitzo . Qu'il faut vous laisser papillonner et si vos sentiments sont assez fort votre couple aura droit à une seconde chance .
D'un côté tu as un rêveur qui a pleins de comédie , roman et chanson d'amour en tête. Qui attend que quelqu'un lui donne la même chose que dans ses œuvre fictive et c'est pas un mal . Car il est en manque affectif . Il n'a jamais connu l'amour car Stella ne lui a donné que du mépris . Il connaît que l'amour via ses livres. Bien qu'au début se fut que sexuel et les sentiments ont débarqués .Stolas a cru à une Idylle à sens unique à cause des livres . Pour lui il le baise bien et fait gaffe à son plaisir donc pour lui tout les faits sont au vert . Alors que du point de vue de Blitzo le fait de pas se louper permet de pas perdre son investissement . En gros Stolas est assez fragile et naïf sentimentalement parlant
Blitzo pour commencé dans l'épisode 8 de la saison 2 . Ce dernier dit qu'il aime pas les trucs compliqué et les sentiments font malheureusement partie des trucs compliqué . Donc pour lui se tenir sur une relation exclusivement séquelle c'était parfait . On me dit que Blitzo à des trouble borderline. Peut être mais ça excuse pas tout et ne doit pas en devenir une. Pour moi il est pas Borderline mais encore bien IMMATURE et instable émotionnellement . Justement parce que il a peur de ses sentiments ou ne veut pas se pencher dessus . Couplé à une faible estime de lui . La preuve c'est qu'il a beaucoup trop d'ex soulignant le fait que le mec s'aime pas et il peut pas s'imaginer que l'autre partie peut l'aimer et s'imaginer être à ses côtés. Et ça montre aussi son côté Immature emotionnellement
Comme je dis c'est à cause de ça que je dis une rupture même temporaire c'est pas plus mal . Car ils se font du mal l'un l'autre . Et c'est parce que je voyais les choses venir que j'ai pas pu lâcher de larmes comme à l'épisode précédent. J'ai connu des situations comme ça Irl est dans un sens c'est mieux que ça se soit terminée de la sorte
J'ai oublié d'ajouter à tout cela le manque IMPORTANT de communication des deux . Le plus triste pour Blitzy c'est qu'il envie le couple MOOXIE ET MILLIE . Au fond de lui c'est ce qui veut ne souhaitant pas crever seul . Mais il est pas fichu de voir que la personne en face de lui peut lui offrir tout cela et de bon coeur
I can't feel sad for the Stolitz couple, let me explain; On the last two episodes of the series, a lot of people say they cried during the episodes but I don't because the outcome was too predictable because Vizie clearly takes us to that voice. The relationship could already since the end of season 1 we had a little hope on Stolas's side in episode 2 of season 2 but it quickly faded away. At the moment Stolas and Blitzø are bad for each other so even a temporary breakup is no worse. History that the two take a step back and question themselves. Afterwards for the incubus I think it's just a one night stand that's what I would say to reassure Blitzo. That you have to let yourself flutter and if your feelings are strong enough your couple will be entitled to a second chance. On the one hand you have a dreamer who has lots of comedies, novels and love songs in mind. Who expects someone to give him the same thing as in his fictional work and that's not a bad thing. Because he is emotionally lacking. He never knew love because Stella gave him nothing but contempt. He only knows love through his books. Although at first it was only sexual and the feelings landed. Stolas believed in a one-sided romance because of the books. For him he fucks him well and takes care of his pleasure so for him everything is green. Whereas from Blitzo's point of view, not missing out allows you not to lose your investment. Basically Stolas is quite fragile and emotionally naive
Blitzo started in episode 8 of season 2. The latter says that he doesn't like complicated things and feelings are unfortunately part of complicated things. So for him to stay in an exclusively sequel relationship it was perfect. I'm told that Blitzo has borderline disorder. Maybe, but that doesn't excuse everything and shouldn't become one. For me he is not Borderline but still very IMMATURE and emotionally unstable. Precisely because he is afraid of his feelings or does not want to look into them. Coupled with low self-esteem. The proof is that he has too many exes emphasizing the fact that the guy doesn't love himself and he can't imagine that the other party can love him and imagine being by his side. And it also shows his emotionally immature side As I say, it's because of that that I say a breakup, even temporary, isn't any worse. Because they hurt each other. And it's because I saw things coming that I couldn't let go of tears like in the previous episode. I've experienced situations like that Irl in a way it's better that it ended like that I forgot to add to all this the IMPORTANT lack of communication between the two. The saddest thing for Blitzy is that he envies the couple MOOXIE AND MILLIE. Deep down it's what he wants, not wanting to die alone. But he can't help but see that the person in front of him can offer him all this and with a good heart.
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Papillon
Papillonner
Papillomavirus
Papillon rĂŞve
Papillon crĂŞve
Papillon vole
Papillon seul
Papillon irisé
Papillon pique
Papillon d'été
Papillon fleur
Papillon coeur
Papillon d'malheur
Papillon d'ta soeur
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Last portraits of the year
© @papillonnne @papillonnne2
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"Les personnes générées par l'espace russe marchent, elles ne flânent pas, elles ne papillonnent pas au sens européen du terme, mais elles marchent, elles sont en mouvement. Ce sont des vagabonds enchantés en route vers l'infini, ou des cosaques en quête de bienveillance, ou des corps expéditionnaires envoyés aux frontières de l'empire pour l'étendre autant que possible.
Alexey Guintovt, entretien avec Olga Andreeva, Geopolitika.ru (2023)
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Papillon :
Vie courte et niaise.
Fin rapide et tragique.
Cet insecte est la preuve que papillonner, aussi intense soit le concept, est éphémère.
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5/12 dernier jour en Argentine
Alors que nous sommes en Argentine depuis moins d'une semaine, notre course folle vers Santiago va nous pousser à quitter le pays dès demain. Vu le nombre de contrôles routiers subis par Dr. X, on comprend qu'il ait envie de quitter le pays le plus vite possible.
Cette belle journée ensoleillée a donc été l'occasion de jouir du train de vie de l'européen moyen en Argentine. On remercie d'ailleurs Javier Milei, le nouveau président élu argentin, qui en plus de faire probablement sombrer son pays permet aux touristes impitoyables que nous sommes de profiter de la dévaluation du pesos.
Nos activités ont donc consisté à papillonner de boutique en boutique à la recherche de souvenirs authentiques, chose qui visiblement est rare à Mendoza. Plus décevant encore, Touille n'a pu trouver de cartes postales dignes de ce nom car "de nos jours tout le monde utilise les réseaux sociaux"... Reste les vendeurs de vins qui valent pour certains le détour.
Fort heureusement, un restaurant salvateur a pu consoler ces maigres déconvenues par un steak bien gras et juteux, la viande se révélant même (enfin) meilleure que celle que nous avions déniché au supermarché.
La majorité des protagonistes ne pouvant passer plus de 48 heures dans une grande ville sans faire une crise d'eczéma, il était déjà grand temps de retourner vers de plus déserts paysages. Nous avons donc fait route vers la frontière, nous arrêtant aux abords du lac Potrerillos, qui offre un beau cadre à notre dernière nuit sous le ciel argentin.
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".../... Je longe le trottoir d'un pas tranquille. De temps à autre je m'arrête pour regarder la rue, la circulation, les gens... Ils se pressent, la vie est si courte. Sur ma table de chevet est posé un livre. Pas le mien, le mien n'a pas encore brisé son cocon "manuscrit". Il attend pour papillonner, outre une bonne fin, une bonne correction, et je ne suis pas certain qu'il la mérite, après tout, peut-être n'a-t-il rien commis. Non, je pense à un autre livre, un vrai, un avec une jaquette qui fleure bon entre les pages lorsque l'on y fourre son nez, un rempli de mots qui se courent les uns après les autres, chahutent, se bousculent. En apparence, car à bien y regarder les mots s'organisent. Comme la rue, les gens, et la vie qui est si courte. Je traverse la chaussée et je pense à tous ces mots contenus dans les livres, tellement de livres, tellement de mots qui se courent après. Un mot regarde le préfixe du mot après lequel il cavale, il court sur la page. Parfois, il jette un coup d'oeil par-dessus son épaule et observe le suffixe du mot qui lui court après. De peur de se marcher dessus, le mot s'aménage un espace et pendant qu'il court, il faut qu'il fasse gaffe le mot, car il peut choir sur une virgule, se prendre un point dans la gueule, quand c'est pas deux, se faire cerner par des parenthèses, entre guillemets. il lui arrive même de se faire unir par un trait, alors le mot va par deux, clopin-clopant. D'autres fois, il court et puis plus rien, alors i saute la page. Mais les mots prennent leurs précautions. Les mots dans leur course, se réunissent en phrases, en paragraphes. Et ils courent comme ça depuis tellement longtemps, se posent tellement de questions qu'ils oublient au bout du compte qu'il n'est qu'un seul vainqueur, un indépendant celui-là , qui attendait là depuis le début, le mot "fin" La vie est si courte. .../..." Stéphane Mariesté extrait de: "Babylone sous les bombes"
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J'aime San Francisco - Kate Bishop
Marvel Masterlist
Romance Masterlist
Résumé : Tu es à San Francisco avec ta meilleure amie Kate et sa mission est de te faire tomber amoureuse de la ville.
Warnings : fluff, attirance mutuelle, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.1k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Used To This par Camila Cabello
Tu ouvres doucement les yeux, la lumière du jour t’empĂŞchant de rester dans les bras de MorphĂ©e. En tournant la tĂŞte, tu regardes Kate avec tendresse. Ses lèvres sont entrouvertes, de lĂ©gers ronflements s’en Ă©chappant. Tu la trouves mignonne. Tu ne le lui diras jamais.Â
Tu aimes Kate depuis ton adolescence et tu as toujours réussi à ignorer tes sentiments. Tu es même sortie avec d’autres personnes. Toutefois, tes sentiments sont revenus à la charge au moment où ta dernière relation s’est finie. Tu te bats pour ne rien montrer depuis un mois. Vous êtes amies depuis trop longtemps, ça serait étrange d’avouer ton attirance maintenant et tu ne sais pas si vous seriez capable de vous habituer à un changement aussi important dans votre relation alors tu l’admires en silence.
Tu te tournes complètement sur le côté pour avoir une meilleure vue sur son visage. Kate a dû te sentir car à peine quelques secondes plus tard, son visage se trouve face au tien, une mèche de cheveux tombant sur son visage. Le nez de Kate se retrousse légèrement, chatouillé par la mèche. Toujours endormie, elle essaye de bouger sa tête, espérant enlever ce qui l’embête, en vain. Tu retiens un rire avant d’enlever les cheveux avec tes doigts. Au même moment où tu replaces la mèche derrière son oreille, Kate papillonne des yeux. Tu retires ta main, craignant de l’avoir réveillée. Tu restes immobile jusqu’à ce que Kate ouvre les yeux et la culpabilité prend possession de ton corps.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller. Tes cheveux te dérangeaient et je voulais t’aider.
-Pas grave. C’est quelle heure ? demande-t-elle avec une voix encore endormie qui pourrait te faire tévanouir.
-Neuf heures.
-On devrait se lever alors, s’exclame Kate en quittant le lit.
-Quoi ? Pourquoi ? On est en vacances, soupires-tu en mettant ton coussin sur ta tĂŞte.Â
-On est en vacances Ă San Francisco seulement pendant cinq jours. Tu ne pensais quand mĂŞme pas qu’on allait rester dans la chambre d’hĂ´tel Ă rien faire ? questionne-t-elle en prenant ton coussin.Â
-Euh, si, en fait. Je n’ai jamais aimé San Francisco donc…
-Tu n’aimes pas San Francisco ? Tu rigoles ? t’interrompt Kate, sous le choc.
-Il n'y a rien de spécial ici, affirmes-tu en haussant les épaules.
-Pourquoi t’as organisé ce voyage alors ?
-Parce que mon ex voulait absolument venir ici et que je voulais lui faire plaisir. Enfin, c’était avant qu’elle me plaque il y a un mois car “finalement, elle ne m’aimait pas autant”, explique-tu, irritée à cause de Sarah, ton ex.
-Ce n’est pas une raison pour ne pas en profiter ! Tu es avec ta meilleure amie dans une nouvelle ville et je sais ce qu’on va faire, j’ai fait des recherches. Tu vas voir, d’ici la fin de notre séjour, tu sera amoureuse de San Francisco.
-C’est un challenge ?Â
-On peut dire ça, sourit Kate.
-Bonne chance.Â
-Allez, lève ton joli petit cul de ce lit et à la douche, t’ordonne-t-elle en te tapant avec le coussin. Je vais préparer l’itinéraire pour aujourd’hui.
Tu rigoles avant de lui faire le salut militaire et de sortir du lit. Kate pointe la salle de bain de la main et non sans un grognement, tu vas te prĂ©parer après avoir pris tes affaires.Â
Quand vous ĂŞtes prĂŞtes, vous prenez un des fameux tramways de San Francisco pour dĂ©couvrir la ville rapidement avant d’explorer des parties plus prĂ©cises. Pendant votre trajet, Kate est assise cĂ´tĂ© fenĂŞtre et regarde avec Ă©tonnement les paysages. Au dĂ©but, tu n’y prĂŞtes pas attention jusqu’à ce qu’elle te prenne la main et pointe les maisons typiques de la ville. La sensation de sa main dans la tienne rĂ©veille des papillons dans ton ventre. Ce n’est pas la première fois qu’elle le fait, mais maintenant, c’est diffĂ©rent. Tes sentiments sont plus forts qu’avant donc ce toucher est Ă la fois agrĂ©able et Ă©trange. Il reprĂ©sente plus que de l’amitiĂ©.Â
Kate lit quelques passages d’un livre de tourisme, espĂ©rant attiser ta curiositĂ©, et tu l’écoutes, enfin tu es plus captivĂ©e par sa voix que par les informations.Â
Quand vous jugez que vous êtes restées assez longtemps dans le tramway, vous vous rendez à la Jetée 39. Kate te traîne au point de vue pour admirer Alcatraz et le Golden Gate Bridge de loin avant d’aller à l’endroit où des lions de mer se trouvent. Quand tu les vois, tu dois avouer que tu commences à trouver cette ville un peu plus intéressante. Kate essaye de s’en rapprocher mais panique à la dernière minute quand un des lions de mer bouge et elle accourt vers toi. Tu rigoles à son action. Vous prenez quelques photos et continuez à visiter un peu plus jusqu’à ce qu’il soit tard.
Les jours suivants sont assez similaires. Vous découvrez la ville et Kate essaye par tous les moyens de trouver quelque chose qui pourrait te faire aimer l’endroit. Elle y arrive enfin le quatrième jour. Ce jour-là , elle t’emmène au Beat Museum. Tu es passionnée par ce mouvement littéraire et les auteurs qui le composent. En voyant la devanture du musée, tu te tournes vers Kate qui a un sourire fier sur son visage.
-Alors, San Francisco n’a toujours rien de spĂ©cial Ă offrir ? questionne-t-elle, rhĂ©toriquement.Â
-Tu commences Ă ĂŞtre sur le bon chemin. Je dois t’avouer que ce musĂ©e est l’une des seules raisons pour laquelle j’avais acceptĂ© de venir ici.Â
-J’en étais sûre ! Allez, viens, dit-elle en mettant son bras dans le tien.
Dans le musĂ©e, tu es totalement captivĂ©e. Pour une fois, tu es celle qui donne les informations Ă Kate qui Ă©coute avec joie. Elle te pose de nombreuses questions et tu y rĂ©ponds Ă chacune d’entre elles, mĂŞme Ă la plus basique. Tu lui rajoutes mĂŞme des petits faits drĂ´les que tu as dĂ©couvert au fil des annĂ©es. Avant de partir, vous passez par la boutique de souvenirs et tu achètes Le Vagabond Solitaire. Tu connais presque toutes les Ĺ“uvres de Jack Kerouac mais tu ne les possèdes pas toutes. Tu as lu la plupart sur ta liseuse et venir au musĂ©e est l’excuse parfaite pour acheter la copie physique de ce livre en particulier.Â
Le soir, vous allez manger dans un bar restaurant non loin de votre hĂ´tel. Sur le chemin, tu commences Ă lire le livre Ă voix haute pour faire dĂ©couvrir l’histoire Ă Kate. A ton plus grand bonheur, Kate est tout de suite intĂ©ressĂ©e et est presque triste de savoir que vous ĂŞtes arrivĂ©es au restaurant, voulant connaĂ®tre la suite. Tu lui promets de lui lire la suite plus tard.Â
L’ambiance dans le lieu est très dĂ©tendue grâce Ă la soirĂ©e karaokĂ© en cours. Vous rigolez aux diffĂ©rents groupes de personnes chantant de manière extravagante. Pendant que vous mangez, vous accompagnez parfois les personnes sur scène depuis vos chaises. Ta meilleure amie a officiellement fait un sans faute pour cette journĂ©e.Â
Quand vous avez fini de manger, vous ne rentrez pas tout de suite, continuant à regarder les personnes faire du karaoké. Une heure plus tard, Kate se tourne vers toi, un grand sourire aux lèvres. Pas besoin de chercher pour savoir ce qu’elle a en tête.
-Kate, non, rigoles-tu.
-Allez ! On ne connaît personne, on s’en fiche si on chante mal. Et puis, on est là pour s’amuser, tente-t-elle de te convaincre en te faisant un regard de chien battu.
-T’as intérêt à me trouver une bonne chanson !
-Yes ! s’exclame-t-elle, victorieuse avant de se lever.
Quand elle revient, elle t’annonce qu’il y a deux groupes avant vous. Kate refuse de te dire quelle musique elle a choisi, voulant te rĂ©server la surprise. Tu as diffĂ©rentes idĂ©es en tĂŞte de ce qu’elle aurait demandĂ©. Tu n’essayes pas de jouer aux devinettes, sachant qu’elle ne te donnera pas la rĂ©ponse. En temps normal, Kate lâche le morceau rapidement pour les surprises si tu insistes assez longtemps et que tu lui fais ton air de chien battu, mais quand c’est pour une surprise proche dans le temps, elle sait rĂ©sister. Quand vous ĂŞtes appelĂ©es, Kate te prend le bras et t’amène jusqu’à la scène.Â
Les premières notes de Lay All Your Love On Me commencent et tu la regardes en rigolant. Bien Ă©videmment, elle a choisi cette chanson ! Mamma Mia ! est votre film et vous connaissez les musiques sur le bout des doigts. Vous avez mĂŞme crĂ©Ă© vos propres chorĂ©graphies durant votre enfance en vous inspirant de celles du film.Â
Kate commence Ă chanter et tu attends patiemment, ton micro en main. Kate bouge sur la scène sans regarder oĂą elle met les pieds. Au moment oĂą elle chante “I beg of you”, son regard est concentrĂ© sur toi. La voyant sur le point de tomber, tu la rattrapes Ă temps alors que sa voix se fait instable sur la dernière note qu’elle doit tenir. Tu commences Ă chanter le refrain, gardant ta main sur son bras pour Ă©viter un nouvel accident. Tu continues ta partie en rigolant face aux singeries de Kate. Quand elle chante le refrain, Kate se rapproche de toi et pose sa main sur ta joue en chantant dramatiquement. Tu essayes de cacher ton trouble en la voyant si proche de toi, comme Ă chaque fois que vous arrivez Ă cette partie de la chanson. Ă€ ce moment-lĂ , tu voudrais l’embrasser, mais tu te retiens de toutes tes forces. Tu la fais tourner, espĂ©rant crĂ©er une lĂ©gère distance.Â
Vous continuez Ă vous amuser jusqu’à ce que la musique se termine. Comme pour les autres participants, vous ĂŞtes applaudits alors que vous retournez Ă votre table. Vous restez encore un peu avant de rentrer, la fatigue commençant Ă se faire ressentir.Â
Le dernier jour, vous visitez un peu plus calmement, ayant fait les lieux les plus importants, Ă l’exception du Golden Gate Bridge. Vous avez gardĂ© le cĂ©lèbre pont de San Francisco en dernier, voulant l'admirer durant le coucher de soleil.Â
Par chance, il n’y a pas beaucoup de personnes avec vous. Vous trouvez un banc pour pouvoir le regarder tranquillement. En attendant que le soleil se couche, tu continues à lire Le Vagabond Solitaire à Kate, sa tête posée sur tes genoux pendant que tu caresses ses cheveux. Quand elle te fait signe que c’est l’heure, tu ranges ton livre dans ton sac et Kate se rassoit comme il faut. Vous regardez le soleil descendre dans le ciel silencieusement, la main de Kate a naturellement trouvé son chemin dans la tienne entretemps. Alors que tu es perdue dans tes pensées, la voix de ta meilleure amie te ramène à la réalité.
-Alors, j’ai réussi à te faire changer d’avis ? Tu aimes cette ville ?
-Bien essayé, mais non. Il y a des choses intéressantes mais je ne suis toujours pas convaincue, avoues-tu avec un sourire.
-Un jour, je te ferai changer d’avis !
-C’est une menace ?
-Une promesse, corrige Kate en serrant ta main légèrement.
Vous restez silencieuses Ă nouveau, seulement cette fois, tu n’admires pas le soleil, mais Kate. Sentant ton cĹ“ur s’emballer, tu essayes de te calmer. Tu continues Ă la regarder avant de reprendre la parole :Â
-Merci d’être venue avec moi, au fait.Â
-Tu sais que je suis toujours contente de passer du temps avec toi.
-Et merci de ne pas avoir dit “je te l’avais dit”, ajoutes-tu, faisant froncer les sourcils de Kate. Ne mens pas, tu rêves de me le dire depuis que Sarah m’a plaqué. Tu n’arrêtais pas de me dire qu’elle me briserait le cœur et je ne t’ai pas écouté.
-Je ne te l’ai pas dit car tu souffrais déjà assez. Tu avais besoin que je te soutienne, pas que je te mette encore plus mal. Un jour, tu trouveras quelqu’un que tu mérites, j’en suis sûre.
-Ouais, dis-tu, peu convaincue.
-Peut-être que tu l'as même déjà rencontré, suggère Kate d’une voix douce.
Ton regard perdu posĂ© sur Kate, tu n’es pas sĂ»re de comprendre ce qu’elle sous-entend. Tu as peur de trop lire entre les lignes. Kate se rapproche de toi tout en te donnant le temps de reculer si tu le souhaites. Tu ne bouges pas et elle prend ça comme un bon signe. DĂ©licatement, elle pose ses lèvres sur les tiennes. Au dĂ©but, tu ne rĂ©agis pas, surprise. Kate arrĂŞte de t’embrasser, les joues rouges d’embarras.Â
-Désolée, je n’aurais pas dû t’embrasser. C’était bizarre, bafouille-t-elle en évitant ton regard.
-Non, je pourrais m’y habituer.
Tu prends sa main, attirant son attention sur toi. Ses yeux passent de vos doigts liĂ©s Ă ton visage et enfin Ă tes lèvres. Tu te rapproches d’elle et te penches pour l’embrasser. Kate rĂ©pond Ă ton baiser instantanĂ©ment. Tu poses ta main de libre sur le bas de sa nuque et Kate pose la sienne sur ta joue, approfondissant votre baiser. Vous continuez Ă vous embrasser, le coucher de soleil sur le Golden Gate Bridge devenant un lointain souvenir. Quand vous n’avez plus d’air, vous vous sĂ©parez, mais gardez vos visages proches avec un lĂ©ger sourire.Â
-Finalement, je crois que j’aime San Francisco.
Le sourire de Kate s’agrandit à ton affirmation avant qu’elle repose ses lèvres sur les tiennes, vous autorisant à vous habituer à ce nouveau changement dans votre relation.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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