#oups hein
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Je suis devant N'oubliez pas les paroles, ils viennent de passer Dans un autre monde de notre reine à tous et je viens de me rendre compte que j'ai bientôt 30 ans d'existence et qu'en 30 ans, j'ai toujours chanté tout sauf les bonnes paroles
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trucs que je déteste que les gens fassent/disent
- les gens qui donnent des tapes sur l’épaule (plus tu sursautes fort mieux ils se sentent) - les gens qui disent au jour d’aujourd’hui ou malgré que (faut arrêter de suite, si vous n’arrivez pas à vous y faire faut contacter l’académie française) - les gens qui haussent le ton dans une conversation pour pour couvrir ta voix et avoir la parole (attends ton tour comme tout le monde) - les gens qui font des bruits de bouche (pas de commentaire) - les gens qui coupent la parole (attends ton tour aussi) - les gens qui racontent une histoire/blague mais sans faire de chute (quel est l’intérêt ?) - les gens qui disent "hein” ou “quoi” quand ils ont pas entendu (ça ne m’a jamais donné envie de répéter) - les gens qui finissent leurs phrases par “ou quoi”: mais t’es bête ou quoi (si c’est tant une évidence que ça, t’as pas besoin de le relever) - les gens qui s’amusent à siffler avec leurs doigts (vous pensez que je peux me permettre de perdre de l’oui gratuitement comme ça ?) - les gens qui continuent à applaudir quand tout le monde a arrêté parce que c’est marrant apparemment ?? (ça ne l’est pas) - les gens qui mettent pas leur main devant lorsqu’ils éternuent (si j’avais voulue être malade je me serais débrouillée autrement tu peux garder tes postillons) - les gens qui disent “j’ai lu en diagonal” pour pas avouer qu’ils ont rien lu du tout - les gens qui te posent une question mais qui n’écoutent, ouvertement, pas la réponse (ne me la pose pas dans ce cas, ce sera un gain de temps précieux) - les gens qui vont courir aux heures chaudes et qui se plaignent d’avoir mal au crâne (sois plutôt reconnaissant de pas avoir fait une rupture d’anévrisme) - les gens qui disent “j’aurais pas aimé être à ta place” (en général c’est assez logique vu les contextes où cette phrase peut aller) - les gens qui utilisent une belle expression française mais se trompent (”mieux vaut tard que plus tard”, “pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir harponné”, “l’herbe est plus jaune ailleurs” c’est non) - les gens qui sont sûrs d’eux quand ils disent une énorme connerie (c’est plus pour eux que pour moi) - les gens qui disent qu’ils préfèrent le goût des fruits/légumes surgelés (à moins que tu n’aies pas les moyens d’acheter du frais je ne suis pas en mesure de comprendre) - les gens qui disent oki doki (c’est mon unsafe word jsp pk) - les gens qui prennent jamais de position en disant toujours “si tu veux” même quand la réponse ne peut pas être autre chose que oui ou non (-on appelle les pompiers ? oh bah si tu veux- niquel) - les gens qui pensent vraiment que leur horoscope est une excuse au fait que ce sont des vrais cons (je trompe mon mec mais ça c’est parce que je suis taureau oups ihih) - les gens qui répondent “ça va et toi ?” lorsque tu dis ça va dans le sens c’est carré (la ponctuation est ton amie) - les gens qui se plaignent d’une douleur mais refusent de prendre un médicament (juste prends le médicament ou tais toi ou les deux c’est encore mieux) - les gens qui agrémentent leur phrase par “ma belle”(ya pas grand chose de plus méprisant que ces deux mots collés) - les gens qui disent “ya pas de souci” alors qu’il y en a clairement un (juste parle fr) - les gens qui font la distinction entre les collègues, les connaissances, et les je le.la connais de vue (c’est pour se compliquer la vie ou à ce stade ya vraiment une diff ?) - les gens qui disent concubin et pas partenaire (j’aime pas ce mot, peut-être parce qu’il y a con et cu juxtaposés) - les gens qui disent “tant que toi ça va, moi ça va” (c’est connu, on va bien parce que les gens autour de nous vont bien ou inversement) - les gens qui commencent leur phrase par “bah” (ça me donne l’impression que j’étais censée savoir) - les gens qui disent trop bon trop con (t’es juste en train de laisser croire aux personnes les plus crédules qu’être gentil est finalement un défaut qui donne raison aux mauvais comportements) à suivre
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Compilation de réponses écrites au sujet de l'univers de Steam Powered Giraffe
Hare : Ass-où-quoi ??
The Skull : Mauvais Becile. C'est là que Ignatius a fini.
Hare : … Ignatius ? Bon sang, je n'ai pas pensé à lui depuis des lustres. Où as-tu entendu ça ?
The Skull : Becile Industries. J'ai obtenu un travail chez eux et ai entendu par hasard des… rumeurs. Des soupçons sur son travail, sur ce qui lui est arrivé. Je suppose qu'il a pété les plombs.
Hare : Hein ! Il était vraiment spécial. Je n'ai jamais aimé la façon dont il me regardait, comme s'il me désassembler du regard. J'ai toujours pensé qu'il aller devenir un ermite fou.
Hare : … Je suppose qu'il a suivi les traces de Pa' après tout.
The Skull : …
Hare : …
Hare : Eh bien, voilà ta réponse. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemble Ass-land ou quoi que ce soit. Bonne chance avec ça.
Note du traducteur: Ass signifie cul en anglais.
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Hare : Je n'ai jamais rencontré ce type. Ce qui le place au-dessus du reste de la famille.
The Skull : J'ai travaillé pour sa société, mais c'est tout. Il semble intelligent. Et il est un beau parleur. C'est assez pour être dangereux. Franchement, je suis satisfait de le garder à distance.
Hare : Hé, ouais…
Hare : …
Hare : Dis, euh…
Hare : Est-ce que… est-ce qu'on sait exactement quel est son lien de parenté avec Pa' ?
The Skull : … Euh.
Hare : Je veux dire, ça doit être par Norman, non ? C'est le dernier que nous ayons vraiment connu.
The Skull : Je… ne sais pas.
Hare : Mais bon, hé. Il aurait pu voler le nom, devenir célèbre rapidement grâce à la mauvaise réputation.
The Skull : …
The Skull : Je dois y aller.
The Skull : Je vais faire un peu de... « Recherches. »
Hare : Oups ! Que quelqu’un dise à Buster qu’il est sur une liste noire ! Hahaha !
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Hare : Ha ! Qu'est-ce que je ferais dans le Wisconsin ? Traire des vaches ? C'est ça, oui. Ce n'est pas comme si quelqu'un me conduirait là-bas non plus. Je n'ai pas le fric, je n'ai pas le temps. C'est pourquoi je n'y suis jamais allé. Je ne suis jamais euh... allé en dehors de la ville. *tousse*
The Skull : Je suis allé à Santa Ana une fois, avec Maître Becile.
Hare : Ah ouais ? Comment c'était ?
The Skull : … C'était une ville.
Hare : … C'est vraiment tout ce que tu vas me dire.
The Skull : Ce n'est pas comme s'il s'intéressait aux visites touristiques.
Locksmith : Quelles vies terriblement déprivées de tout que vous menez ! Ne jamais être témoin des sources culturelles qui parsèment notre continent, et encore moins notre globe. Admirer les paysages et les odeurs des montagnes et des déserts, contempler l'art immuable des maîtres artisans, savourer un spectacle en direct, sachant qu'il ne pourra jamais être reproduit. Comme je désire ardemment cette liberté de voyager ; Le Caire est splendide à cette époque de l'année.
The Skull : Et comment diable le saurais-TU ?
Locksmith : ...
Locksmith : National Geographic.
Note du traducteur : National Geographic est une chaîne culturelle qui parle d'histoire et de géographie populaire dans les pays anglo-saxons.
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Hare : Oh, tu veux dire Papa. Papa le merveilleux. Papa le génie. Monsieur Grand Maître-Des Robots. Monsieur A-Fait-Un-Million-De-Choses. Monsieur Peut-Pas-Trouver-Une-Autre-Petite-Amie. Le gars qui a fait jeter mon Pa' en prison. Le gars qui a ruiné sa réputation et l’a rendu fou. Le gars qui a « gagné ! » Le gars qui a pu vivre heureux pour toujours, riche et célèbre !
Hare : Colonel Peter A.-putain-Walter, le putain de Premier !
Hare : Le gars qui a construit Rabbit.
Hare : NIQUE CE TYPE.
The Skull : Dieu. Tu as tout fait sortir de ton système ?
Hare : TAIS-TOI.
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Hare : Le son que fera Rabbit quand je la jetterai enfin dans les égouts. Suivant.
The Skull : Je n’écoute pas leurs conneries.
Lockslith : De la même manière, je m’abstiens de m’adonner au style rudimentaire des Walters. Une fois a suffit pour trouver que l’orchestration faisait défaut.
Dee : Non.
The Jack : Ju Ju Magic.
Hare :
The Skull :
Locksmith :
Dee :
The Jack : HAHAHAHAHA !
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 9
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Allez, haut les cœurs. On prend une grande inspiration, on pense à tout ce qu’on a de cher et beau dans la vie... et on repart pour une lecture du point de vue de Tara.
Bonjour à vous, très aimables lecteurs et lectrices. Soyez les bienvenu·e·s dans cette suite de critique du tome 10 de Tara Duncan. J’entame le travail avec toute la sérénité dont je suis capable. Zen <3
Dans le chapitre précédent, une attaque orchestrée par Magister échouait, Xandiar était pénible en plus d’être misogyne et Tara découvrait un artefact puissant capable d’annihiler la vie sur des billions de kilomètres. Maintenant, on va oublier les intrigues principales et plutôt se [délecter] des [merveilleuses] histoires d’amour de ce bouquin, via le trio Cal-Robin-Tara.
Ouh, que ça va être amusant.
Le chapitre s’appelle “Tara, ou comment se retrouver avec nettement plus de fiancés que la normale”
“Tara avait souvent imaginé cette scène. Elle aurait été superbe... ou du moins nettement plus habillée qu’en ce moment et surtout beaucoup plus propre et moins zébrée. Argh.”
Aha. Ça commence fort.
Pffff.
À la question “Comment Tara va réagir en voyant Cal et Robin (deux des personnes auxquelles elle tient le plus au monde et qui ont des sentiments pour elle) entrer dans sa suite après tout ce qu’il s’est passé ?”, j’attendais pas forcément la réponse “Elle va être triste de ne pas être habillée comme pour le Met Gala”.
L’Oréal, c’est pas du tout le moment : 4 (faut pas déconner).
“Fafnir lui sauta au cou (hein ?), puis recula, maculée de sable rouge.
— Que ton marteau sonne clair, Tara ! Dis donc, tu pues !
Tara éclata de rire, le moment de gêne balayé par le célèbre franc-parler de la naine guerrière.”
Elle sort d’où, Fafnir ? Le chapitre précédent s’achevait comme ça : “Elle se sentait sale, échevelée, suante, et elle ne voulait même pas imaginer l’odeur qu’elle devait dégager. La porte de sa suite s’ouvrit avec obligeance et ce que la porte lui disait atteignit son cerveau juste au moment où elle se retrouva face à Cal.
Et Robin”. Faut au moins préciser que Fafnir est dans la pièce, enfin ! Soit à la fin du chapitre 8, soit au début du 9... mais mettez l’info quelque part ! Sinon, on est confus, et Fafnir donne l’impression de sortir de nulle part.
On dirait que Tara était tellement obnubilée par les deux garçons qu’elle a complètement occulté son amie. Remarquez, vu qu'un passage du chapitre 3 laissait entendre que Tara a eu moins de mal à se distancier de Fafnir (entre autres) que de Cal et Robin, y a une espèce de cohérence. Mais bon, quelque chose me dit que cette négligence en narration n’est pas voulue.
Tara va donc prendre une douche, en évitant copieusement Cal et Robin. La narration précise que sa suite n’est plus sertie de joyaux kitschs et a repris un environnement plus au goût de Tara. Cool. Quand elle revient, Tara embrasse les deux garçons et songe que oups, elle les aime bien tous les deux, en fait.
« Était-elle sans cœur, elle qui semblait plus ou moins amoureuse de deux garçons en même temps ? Parce que, maintenant qu’elle se trouvait devant les deux, il fallait bien qu’elle s’avoue ce qu’elle se cachait depuis des semaines. Cal lui mettait des papillons dans l’estomac et les genoux tremblants tout autant que Robin. (« mettre les genoux tremblants », riche expression. C’est moche)
Et slurk !
Moineau se plaça devant elle et lui dit gravement :
— J’ai réuni le magicgang parce que nous te devons des excuses. »
Oui bah t’inquiète Moineau, entre, fais comme chez toi. La narration t’a pas introduite non plus mais c’est pas grave, tout va bien. On peut sortir les persos de son cul sans prendre la peine de les commenter, maintenant. Tara a pas de réaction à voir tous ses potes dans sa suite pour potentiellement la première fois depuis un moment. Zéro ! C’est pas comme si on avait copieusement insisté quelques chapitres plus tôt pour signifier que Tara évitait tout le monde dans le groupe. C’est pas comme si les revoir devait susciter des émotions contraires chez elles. Est-ce qu’on peut savoir si Tara est contente de les recroiser ? Si elle a peur de leur faire du mal, si cette espèce de réunion organisée dans son dos l’agace ? Non ? L’attention est vraiment que sur les deux love interest à la con ?
La seule explication que je vois est qu’on suit le point de vue interne de Tara qui fixe Cal et Robin avec de grands yeux de merlan frit depuis qu’elle est rentrée, et personne n'ose lui dire qu’elle est gênante. Du coup je vais imaginer qu’il y a Fabrice et Sylver qui traînent quelque part dans le coin mais que personne ne prend la peine de les mentionner.
Bon, par contre, c’est quoi, cette histoire d’excuses que le magicgang doit à Tara ?
« — Des excuses ? Pourquoi ?
— Parce que nous t’avons abandonnée. Pour de mauvaises raisons. Moi, parce que je me suis retrouvée prise dans une situation compliquée. Les autres… vont te dire pourquoi. Mais quelles que soient nos excuses, nous savions très bien que ta situation était difficile, que tu allais devoir affronter des moments pénibles. Et nous n’avons pas été là. J’espère que tu vas nous pardonner. (Mais… c’est quoi ce renversement des rôles foireux… ?)
Tara était si surprise (d’autant que c’était elle qui les avait abandonnés, certainement pas le contraire) (BAH OUI EN FAIT) qu’elle sentit que ses yeux s’embuaient.
Fafnir le perçut immédiatement et, comme elle avait horreur du sentimentalisme, elle ouvrit le feu.
— Oui, enfin bon, moi, j’avais une bonne raison. Il fallait que je fasse accepter Sylver par les autres nains et, croyez-moi, ça n’a pas été facile facile. J’ai dû rester collée au pauvre demi-dragon pendant des jours. (Personne ne sort ça à voix haute. Je sais, j’ai dit dans une précédente critique qu’on peut faire parler nos persos comme on veut, mais ça, ça marche pas. Vous imaginez décrire un de vos proches en disant « le pauvre jeune homme » ? D’autant plus que c’est de son copain qu’elle parle.) À la fin, je crois bien qu’il aurait tout donné pour une bonne bagarre ou quelque chose du genre afin que je lui fiche la paix. Alors, le message de Moineau a été une bénédiction. Il doit régler des tas de choses avec les dragons, puisque, d’une certaine façon, il est l’héritier d’Amavachirouchiva, la princesse dragon. »
On passera sur la répétition moche de « dragon » de la dernière phrase (et le fait que Fafnir précise qui est Amavachirouchiva alors que tout le monde dans la pièce sait qui c’est, en principe). Quoi qu’il en soit, ça ne répond pas à ma question : Sylver est là oui ou non ? Et Fabrice ?
Les infos données en dialogue distraient sur d���autres points alors qu’on sait même pas qui est dans la salle, c’est quand même dingue.
Il s’avère que Sylver n’est pas là mais à l’ambassade dragonnienne du Lancovit, qui dépend de Chem. C’est plus sûr que d’aller directement au Dranvouglispenchir, où des personnes pourraient vouloir le tuer.
En revanche, Fabrice est bel et bien là !
« — À mon tour, fit Fabrice en lui souriant.
Le grand Terrien blond, meilleur ami de Tara pendant des années semblait… apaisé. Comme s’il avait réussi à concilier sa peur d’AutreMonde et son étrange statut de loup-garou. »
« Meilleur ami de Tara pendant des années », ça sonne comme s’il ne l’était plus maintenant. Rt.
« — Comme vous le savez (il fit une petite grimace à Moineau), je laisse souvent mes émotions prendre le pas sur ma raison (tu dis ça à Tara, Fafnir et Moineau, notamment. Je doute que tu sois le pire du lot quand il s’agit de s’emporter). Lorsque j’ai peur, je la laisse m’envahir au lieu de la maîtriser ou de la vaincre. Lorsque j’aime, j’aime à la folie au point de faire n’importe quoi. Lorsque je suis maladroit, je blesse ceux qui m’entourent sans réaliser vraiment ce que je fais. (La maladresse c’est pas une émotion) Ces journées passées sur Terre, à travailler avec mon père afin de remettre les Portes de transfert au château de Besois-Giron plutôt qu’au Manoir de ta grand-mère, Tara, à son grand soulagement d’ailleurs, m’ont beaucoup appris, parce que j’ai pu enfin parler avec mon père et qu’il m’a ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Et notamment sur une. Le danger existe partout (oh non non non non) (ah, il était temps qu’il s’en rende compte, Moineau, comme Tara, Cal ou Robin lui avaient répété la même chose sur à peu près tous les tons). Le nier ou l’ignorer est stupide (oui, ça aussi). Me retrancher derrière ce travail de routine sur Terre était certainement le moyen le plus sûr de me rendre dingue à plus ou moins long terme. Mon père était très fâché que je puisse penser qu’il ne pouvait plus s’occuper des Portes sous prétexte qu’il avait été blessé […] De plus, le Lancovit et Omois lui ont adjoint trois sortceliers, il est tout à fait protégé à présent. J’ai donc décidé de revenir ici. Le message de Moineau est arrivé juste au moment où j’allais l’appeler afin de l’en informer. »
… Donc c’est tout ? On va vraiment forcer Fabrice à revenir dans l’intrigue et les dangers, sous prétexte que « y a du danger partout » et que « son père peut se débrouiller » ? On va vraiment sous-entendre qu’il a eu tort de vouloir se mettre en sécurité ? Que la Terre n’est pas un lieu viable ? Que vouloir faire sa vie tranquillement sans être emmerdé par du danger constant causé par notre meilleure amie, c’est mal ?
Pourquoi l’intrigue s’entête à le bâcher sans raison ?? Pourquoi Fabrice pourrait pas simplement avoir un charadevelopment où il change de vie ? Pourquoi ne pas ouvrir cette possibilité dans cet univers où les persos sont si variés ? Tout dans la narration suggérait qu’il était heureux d’être resté sur Terre ! Alors quoi, une vie heureuse selon cet univers c’est une vie remplie de batailles jusqu’à la mort ?
Eh, ça dégoûte, franchement. Une des choses que je hais le plus au monde quand je lis un livre, c’est de sentir la présence de l’auteur ou autrice. Pas en terme de préférence de personnages, parce qu’on a tous nos petits chouchous quand on écrit, mais en terme de prescriptions. Et là , je sens dans chacune de ces lignes le sourire satisfait de madame S.A.M., qui dit « Vous voyez ? Fabrice se repent, il va pouvoir de nouveau partager les aventures des autres ! Il a de la chance qu’ils l’acceptent, hein ? Hein ? »
Et le paragraphe suivant est pire
« Moineau et lui échangèrent un sourire. Celui de Fabrice disait : « Je vais te reconquérir, paisiblement, sans cris, sans crises. » Celui de Moineau répondait : « J’aimerais bien voir ça mon coco. Tu m’en as fait baver, voyons ce que tu peux faire pour réparer. »
Déjà d’une, j’en ai marre, de deux, flemme des couples hétéros qui pensent qu’ils doivent être en permanence ensemble à cause de l’étoile du destin de nique sa mère, de trois madame S.A.M a des kinks SM non assumés qui se baladent partout dans les relations de ses personnages et va falloir qu’elle arrête et qu’elle les range. De quatre, Fabrice est un souffre-douleur et ces livres sont horribles avec lui. D’ailleurs je propose un compteur « Fabrice aurait dû rester sur Terre ». Pas encore applicable maintenant, mais quelque chose me dit que les points vont grimper très vite.
Fabrice ajoute qu’il a appris pour la relation entre Moineau et Jérémy, et il se comporte comme un ex possessif, il faut qu’il ARRÊTE, puis il achève en disant que Tara peut compter sur lui parce que c’est sa meilleure amie.
Vient le tour de Cal, qui explique qu’il était en mission pour voler des documents concernant la guerre des Failles aux pays qui refusaient de les céder à Lisbeth. Tara sent qu’il a peur pour elle, sans qu’elle sache pourquoi.
« Puis l’instant passa, et Cal sourit à Robin.
— Nous avons tout ra-tissé, sans rien ra-ter, ni rafistolage.
— Oh, toi, ta goule, répliqua Robin.
Ils éclatèrent de rire tous les deux, sous le regard interloqué de leurs amis. »
Cal et Robin ont une meilleure dynamique de duo que toutes les relations interpersonnelles du magicgang réunies. Ça devrait être un ship, je rigole plus.
Robin enchaîne en expliquant qu’il a été le binôme de Cal, et que Lisbeth leur a spécifiquement demandé d’éviter de parler de leurs missions à Tara (c’est pas faute d’avoir essayé de la contacter à plusieurs reprises, n’est-ce pas, Cal ?).
Il conclut en expliquant leurs petites blagounettes à base de rats et de goules aux autres. C’est dommage, j’aurais préféré qu’ils gardent ce moment de complicité pour eux, quitte à ne pas mêler leurs amis à leur échange pour cette fois. D’autant que les lecteurs savent déjà plus ou moins à quoi leurs piques réfèrent, donc la précision est redondante. Mais bon, c’est qu’un détail.
« Tara se leva. Slurk, slurk et slurk. Si elle se montrait froide et distante, ses amis se douteraient tout de suite qu’elle préparait quelque chose, ils la connaissaient un peu trop pour se faire avoir. Si elle disait la vérité, ils refuseraient de la lâcher et mettraient tout le monde en danger, parce que, pour une fois, elle ne souffrait pas du tout du syndrome de l’héroïne-qui-est-la-seule-à-pouvoir-sauver-le-monde, c’était hélas ! exactement le cas.
Et si elle ne disait rien ? Oui, c’était ça. C’était ce qu’elle devait faire. C’était la meilleure solution. Affecter d’être triste et leur pardonner. »
1/ Oooh, okay, je vois. Les amis de Tara ne saisissent pas l’ironie de la situation. C’est pour ça qu’ils s’excusent, et c’est aussi pour ça qu’ils ne s’attendent pas à ce qu’elle en fasse de même ou leur donne des explications.
… Attends, ça a pas de sens. Elle s’est mise à distance d’eux, a ghosté Cal à plusieurs reprises, et agit probablement de manière suspecte. Ses amis, qui sont censés bien la connaître donc, ne se doutent pas du tout qu’il y a anguille sous roche ? Ils n'ont pas relevé quelques indices ? Parce qu’elle en laisse passer à la pelle. La narration les oublie apparemment, les personnages de même. Je suppose que madame S.A.M. les a zappés aussi. C’est un peu frustrant qu’un livre publié traite ses éléments scénaristiques comme des détails qu’on peut ne pas mémoriser. Faut se relire, quand même.
2/ « Si elle disait la vérité, ils refuseraient de la lâcher et mettraient tout le monde en danger, parce que, pour une fois, elle ne souffrait pas du tout du syndrome de l’héroïne-qui-est-la-seule-à-pouvoir-sauver-le-monde, c’était hélas ! exactement le cas. » Cette phrase est affreuse. Pardon, je suis peut-être un poil trop rigide quand il s’agit de syntaxe, mais vous reconnaîtrez que c’est pas ragoûtant à lire. Je ne suis même pas sûre de ce qu’elle veut dire, et ce même avec des lectures espacées de plusieurs jours. Je comprends pas.
3/ « Je veux pas mêler mes amis à ça, ils vont mettre tout le monde en danger » De… de quoi ? Les potes qui ont passé toutes ces années à t’aider, à régler des problèmes à tes côtés, voire des problèmes que TU AS CAUSÉS ? (Reine Noire, anneau démoniaque que tu as utilisé pour ramener une marée de fantômes, coucou ?). Je peux savoir pourquoi un tel manque de confiance ?
J’ai failli le louper en lisant. J’étais persuadée que Tara les écartait des confidences parce qu’elle se refusait à les mettre en danger (raisonnement qui a ses problèmes, que j’ai déjà évoqués, mais qui a au moins l’avantage de provenir d’une intention louable). Mais là, quoi ? Pourquoi ses amis seraient un obstacle ? Parce que Dark Tara pourrait s’en prendre à eux si elle venait à ressurgir ? Dans ce cas ce serait pas de leur faute. Et franchement, quand on a une entité diabolique qui menace de potentiellement revenir, être entouré est encore ce qu’il y a de plus sûr.
C’est de l’intrigue forcée pour que Tara se mette à distance de ses amis, c’est tout.
Bref, elle leur pardonne, grande princesse qu’elle est, puis l’ordimagique de Tara sonne. Sa secrétaire l’informe qu’Archange débarque dans trois jours. C’est donc un peu la merde, et c’est ce moment que Robin choisit pour la demander en mariage.
Hhhrh. Je sais que l’argument derrière est qu’une fois mariée, les autres prétendants devront nécessairement la laisser en paix, mais y a une quantité de problèmes avec cette proposition.
• Déjà, le plus profitable pour Tara en terme d’alliances serait d’opter soit pour Chem, soit pour Archange. Ultimement, c’est le choix le plus logique, les factions qu’ils représentent ne peuvent simplement pas être traitées comme quantité négligeable. On est sur une question de guerre, Tara ne peut pas se permettre de minauder. Ça ne concerne pas des clashs individuels, là, mais des peuples entiers. La proposition de Robin lui offre probablement un amour sincère (et non pas une relation uniquement basée sur l’arrangement comme les deux autres) mais malheureusement, l’amour sincère ne va pas gagner la guerre, sauf preuve du contraire.
• Il n’y a aucune raison pour que Chem/Archange (surtout Archange) accepte un mariage de Tara et Robin sans représailles. Littéralement aucune raison. Donc ils vont se retrouver bien cons face à deux peuples furieux et qui veulent se mettre sur la gueule sans qu’ils puissent influencer, par-dessus le marché.
• Pour autant qu’on sache, le mariage peut ne rien revêtir de sacré chez les démons. Et on sait depuis le chapitre 8 comment ça marche chez les dragons, qui peuvent être polygames selon certaines conditions. Donc le mariage à lui seul n’est pas une défense viable.
• De toutes les personnes, Robin a certes été le plus longtemps dans une relation avec Tara, mais huh… ils ne sont plus ensemble ? Ils ont plus ou moins cassé, une demande en mariage c’est un revirement complet. Et puis Tara a bien souligné qu’elle ne voulait pas se marier avec lui dans le tome précédent.
C’est stupide. C’est pas des intrigues, c’est de la presse people éhontée, qui veut se faire passer pour du scénario en enchaînant les petits scandales. C’est pénible à lire, franchement.
« Tara avait le cœur battant, et l’impression, plus que jamais, que Robin ne la comprenait pas. Et ne comprenait pas la situation. (Je déteste devoir dire ça, mais : you’re so right, bestie ✨ slay 💅) Cette fois-ci, pas question de se sauver, de disparaître. Elle allait affronter tout cela de front.
Avec courage.
Oh là là, c’est où, la sortie de secours ?
— Le seul souci, fit Robin en plissant ses yeux de cristal, c’est que je suis un demi-elfe. Et que les Omoisiens ont toujours insisté sur le fait que la puissance de la magie des héritiers de Demiderus devait être renforcée par des mariages avec des sortceliers humains.
— Oh, fit alors une voix joyeuse, pas de problème, je vais pouvoir vous aider !
Ils se tournèrent tous vers Cal qui venait de parler et affichait un large sourire.
— Ben oui, fit-il devant leurs regards interrogatifs. C’est simple : épouse-moi, Tara ! »
Vous êtes tous les deux cons, inutiles et à côté de la plaque, alors je vais proposer une autre solution : vous vous mariez tous les deux ensemble et vous laissez Tara en dehors de cette histoire. Ça servira mieux le scénar que ce que vous proposez.
Mais malheureusement, les deux garçons n’entendent pas cette voix de la raison que je suis, probablement parce que je ne suis pas sur le même plan de réalité qu’eux. Robin n’est pas ravi et propose à Tara de leur donner sa réponse le lendemain après avoir réfléchi. Puis les deux amoureux se barrent.
Le groupe est tout choqué puis se marre parce que gag pas drôle où Fafnir comprend pas le second degré. Bel, le Familier de Fafnir, se dit quant à lui qu’il va surveiller Archange de près et voir s’il ne peut pas faire obstacle à ses plans.
Oui, on en est là, le chat est le seul à suivre le scénario.
« — Et avec tout ça, nous n’avons pas parlé de ton problème, Moineau, je suis désolée. (Tara qui s’excuse d’avoir regardé que son nombril, ce serait Noël si elle ne passait pas son temps à infantiliser ses potes depuis le début du tome) Mais je crois bien que j’ai trouvé la solution. Voici ce que tu dois faire.
Elle exposa son plan. Tout d’abord, Moineau sembla confuse. Elle n’utilisait la Bête qu’avec parcimonie (*insérer un flashback du tome précédent où elle s’en est servi pour pousser un gueuleton contre ses potes qui voulaient la retenir de faire un truc con et dangereux*). Puis l’avantage de ce qu’avait imaginé Tara lui apparut, même si cela supposait un peu de mise en scène.
Fabrice fit un clin d’œil à son amie d’enfance. Ce plan lui plaisait vraiment, mais alors vraiment beaucoup.
Moineau sauta au cou de Tara.
— Merci, merci, c’est une idée géniale, je n’y aurais jamais pensé ! Dis donc, j’aime bien que tu sois formée par une Impératrice machiavélique tu sais ! C’est tout à fait utile, finalement !
Ils éclatèrent tous les trois de rire. »
Qu’est-ce que c’est drôle.
En vrai, je déteste ce genre de passage. « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ai oublié au moment où ce qu’ils concernent surgit ». C’est si chiant, c’est gros comme des ficelles de marin, c’est trop méta pour pouvoir seulement caractériser les persos. Je pourrais en faire un compteur, mais normalement madame S.A.M. ne fait ça que deux trois fois par tomes, donc ce serait superflu. Surtout que j’ai déjà assez de compteurs comme ça.
Bref, Tara embraye sur le sujet de Selenba. Fabrice apprend sa présence au palais, et s’agite, persuadé qu’il s’agit d’un sale coup de Magister.
« — C’est impossible ! fit Fabrice en arpentant le salon de long en large, très agité. Jamais Selenba ne le quitterait. J’ai travaillé avec lui, c’est l’être le plus tortueux, le plus compliqué, le plus sournois que j’aie jamais rencontré (ptdrrrrr c’est un petit comique ce garçon). Si Selenba est ici, c’est qu’il y a ici quelque chose qu’il veut et auquel il n’a pas accès sans elle.
Tara secoua la tête.
— Fabrice, cela fait longtemps que nous savons qu’au moins dix pour cent des courtisans sont des sangraves ou des sympathisants ou encore des gens que Magister tient d’une façon ou d’une autre. (Et c’est… Pas inquiétant ? Je sais pas, je serais pas super à l’aise de laisser tout ça se balader sans rien faire, à leur place. Après, j’ai ptêt loupé l’info, hein, j’ai lu les livres qu’une fois chacun, mais huh. « Magister contrôle une partie du palais » « C’est rien, c’est la rue », ça me paraît pas une réponse très viable.) Crois-tu sincèrement que Selenba, qui va être sous surveillance 26 heures sur 26 serait plus capable qu’un complice inconnu de nous dérober quelque chose ? Je n’y crois pas un instant… Non, je pense qu’effectivement elle veut quelque chose. Peut-être la paix ? Peut-être qu’elle en a assez de se battre et de perdre ? Depuis des années, Magister essaye de prendre le pouvoir afin de détruire les dragons. Mais Selenba, elle, les dragons, elle s’en fiche. Et surtout, ce qui me convainc le plus, c’est qu’elle a demandé à être guérie. Elle ne veut plus être une buveuse de sang humain. Ce qui signifie clairement perdre sa force et sa supériorité, devenir une vampyr comme les autres. »
C’est bien gentil, ça, ma petite cocotte, mais n’oublie-tu pas un aspect non-négligeable dans l’affaire, à savoir que c’est une crimINELLE MULTIRÉCIDIVISTE NOTOIRE ?
Genre tu butes dix mille gens, tu viens toquer au palais pour dire « Pordon :c » et le problème est réglé ? C’est quoi, ça.
Ensuite, l’intrigue essaie de nous faire croire que Tara a trop évolué depuis le tome 1 et qu’elle e=est grave une génie parce que si si, tu vois, elle voit clair derrière les plans de mariage de Lisbeth !
« — Wahou, des complots derrière les complots ! Dis donc, elle est où, la copine naïve qui jouait avec Betty et moi dans les champs ?
— Elle est toujours là, répondit gentiment Tara. Sauf que maintenant, si elle veut survivre, elle doit utiliser son cerveau. Et souvent face à des gens bien plus intelligents qu’elle. Et d’ailleurs, je vais devoir vous demander de me laisser. Je pense que Robin, comme Cal, va vouloir me convaincre et, si vous êtes là, cela va compliquer leur tâche. On se reparle plus tard. »
Si t’as pas l’intention de les épouser l’un ou l’autre, pourquoi tu veux qu’ils essaient de te convaincre… ? C’est une perte de temps, non ? Ah non, j’oubliais que c’était une mégalomane pardon ça fait sens.
Fafnir, Fabrice et Moineau s’éclipsent donc après que Tara ait décidé de ne rien faire pour la question d’Archange, et alors qu’elle s’apprête à se poser, quelqu’un qu’elle ne connaît pas se pointe à la porte de sa suite ! Han ! D:
J’essaie de réagir conformément au suspense, ça vous va ?
Oui, parce que le chapitre se finit comme ça, lol.
Bref, c’était… un chapitre de Tara, quoi. Laborieux, décousu, extrêmement long, déplaisant. Mais j’ai survécu, yay !
Et la prochaine fois, le chapitre se concentrera sur Chem !!!!! Hiiii j’ai hâte de parler de ce gros bouffon de ses morts.
La bise !
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Hier je vais à la poste demander un tarif d'envoi spécial et BEAUCOUP moins cher (livre & brochure) pour la Belgique. Première fois hein. Un peu nerveuse de pas me tromper, les tarifs postaux ont encore augmenté en 2024 et sont désormais plus chers que les zines qu'on envoie, pas envie de payer plein pot. Bref. Le gars me dit okay mais faut vérifier si c'est écrit en français. Oh non l'enveloppe est déjà fermée! Je l'ouvre. Oups alors là oui c'est écrit en français mais c'est également un zine porno!
Finalement j'ai payé mon tarif livre & brochures, 0,63 centimes vers la Belgique.
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Comme promis, Marina rejoint ses amies Chloé et Justine après les cours.
Chloé: Alors, c'est quoi ta nouvelle qui ne pouvait pas se dire par texto?
Justine: J'ai stressé toute la journée tu sais!
Marina: Si je vous le dis, vous promettez de n'en parler à personne hein?
Chloé: Je serai muette comme une carpe. Vas-y et arrête de tourner autour du pot!
Marina: Alors… Vendredi, Fred m'a avoué qu'il avait un kick sur moi et il m'a embrassé!
Chloé: Allô??? Comment ça j’ai rien vu?
Marina: C'était en fin de soirée, vous étiez déjà parties!
Justine: Il a réagi comment quand tu l'as repoussé?
Marina: Euh…
Justine: Tu l’as repoussé, non?
Marina: Bah non, je pense que je l’aime bien moi aussi!
Justine: Ark Marie! Je comprends pas! C'est un Plènozas! Tu devrais t'éloigner de lui au plus vite!
Marina: C'est quoi cette réaction? Tu es jalouse parce que c'est MOI qu'il préfère?
Justine: Aucune chance que je laisse cet abruti m'approcher!
Marina: Hé! Ce n'est pas un abruti!
Chloé: Tu devrais être contente pour elle.
Justine: Non, elle va se faire avoir.
Chloé: Tu sais quoi? Ta petite attitude depuis quelques jours, ça fera! Tu es jalouse parce que tu aimerais avoir de l'attention d'un gars toi aussi. Laisse Marie vivre sa vie.
Justine: Relaxe Chlo.
Chloé: Si tu ne supportes pas ton amie, à quoi tu sers?
Justine: Wow! La fille inutile se casse! Byyyye! On verra qui a raison au final!
Marina: C'est ça, sauve-toi connasse!
Chloé: Qui aurait cru… Moi je suis trop contente pour toi, Marie. Félicitations!
Marina: Merci, mais je m'inquiète pour Justine, c’est quoi son problème?
Chloé: Je sais pas, elle est comme ça depuis un bout. Ne t’en fais pas, elle va s’en remettre.
Marina: Oups, mes pères m’attendent pour le souper. On se voit demain à l’école?
Chloé: Okidou, à demain! Écris-moi si tu veux ventiler.
Marina: Tu es la meilleure!
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NSBC • Chapitre 16
Victoria est passée nous voir, aujourd’hui. Elle a pu discuter un peu avec Gabriel…
… et Raphaël.
Gabriel n’est pas resté longtemps en compagnie de sa tante. Il a invité (avec mon autorisation) son copain de classe Tetsu. Ils ont l’air de vraiment bien s’entendre ces deux là, ça me fait plaisir !
Tetsu est un garçon qui a l’air d’avoir toujours le sourire. J’espère que toutes les fréquentations de Gabriel sont du même acabit…
Vic’ est finalement entrée pour nous féliciter pour nos fiançailles. Enfin, c’est ce que m’a rapporté Edward, puisque j’étais dans la cave à faire des analyses, à ce moment-là…
« Félicitations petit frère !
— Merci Vic’, et t’es toujours pas plus âgée que moi ! »
Elle est partie peu après, et Edward également, devant se rendre au travail. Je suis, quant à moi, remontée de mon petit laboratoire personnel car « femme enceinte » rime apparemment avec « vessie sur le point de craquer vingt-quatre heures sur vingt-quatre ». Et en entrant dans le salon, j’ai entendu Tetsu et Gabriel discuter.
« On restera amis pour toujours, hein ? demande la voix de mon fils.
— Bien sûr, Gaby ! Quelle drôle de question ! »
Alala, la jeunesse… Oups… Il faut que je me dépêche moi, pas envie de salir mon pantalon…
Je marche bizarrement, non ? J’appelle ça la démarche de la baleine.
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La principale différence que je note entre mes deux garçons, c’est qu’il y en a un qui est plutôt studieux, et l’autre qui préfère jouer dehors et sur l’ordinateur.
Bon, Raphaël fait ses devoirs, mais pas de gaité de cœur, je peux vous l’assurer ! Mais j’espère que l’intérêt pour l’école n’est pas décroissant, parce que sinon je vais me battre avec le dernier bout de chou dans mon ventre pour qu’il travaille… !
D’ailleurs, on arrive au terme. Et je le sens bien, je suis tout le temps en train de faire des siestes… Vivement qu’il sorte, ce troisième petit monstre !
Et c’est justement au milieu d’une de ces siestes que le dit monstre a décidé de montrer le bout de son nez.
Edward étant au travail à ce moment-là, je me vois obligée de me rendre seule à l’hôpital. Je laisse des consignes de sécurité aux garçons qui me regardent avec de grands yeux inquiets, et je monte dans le taxi qui m’attend.
Edward s’est libéré de son travail à la dernière minute, et c’est en courant que je le vois me rejoindre dans le couloir de l’hôpital. Il n’a pas l’air très content…
« Mon patron a presque refusé de me laisser partir, j’y crois pas !
— Respire, chéri… Aouch… »
On entre dans la salle d’accouchement, et alors que je m’installe, Edward s’exclame :
« Eh ! Mais vous êtes le médecin qui a failli la tuer lors de la naissance de Gabriel ! Vous savez ce que vous faites maintenant ?! »
« Mais oui, monsieur. Laissez-moi me concentrer, je vous prie. »
« Laisse, Ed. … Aïe. Tiens, tu es en uniforme de chef ? »
« Ils étaient en sous-effectif en cuisine… Mais on s’en fiche de moi, courage mon amour… On va accueillir le dernier membre de notre famille ! »
Oui, c’est vrai… Mais qu’est-ce que j’ai mal… ! Oh… Ce sont des pleurs, n’est-ce pas… ?
« Félicitations, Madame Berry ! Voilà une belle petite fille ! »
Une… Une fille ? Une fille ! J’ai eu une fille !
Ni une, ni deux, je suis debout sur mes deux jambes en un rien de temps, et je prends dans mes bras ma petite princesse.
« Edward… C’est une fille…
— Je sais mon amour. Je suis heureux aussi.
— Comment l’appelle-t-on ?
— Choisis, tu la voulais tellement.
— … Gaëlle. Ça te va ?
— C’est parfait !
— Bonjour Gaëlle, bienvenue dans la vie. »
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Dans la foulée, quand nous sommes rentrés, j’ai soufflé mes bougies. Eh oui, la petite a choisi de naître le jour de mes quarante ans… !
Et je dois avouer que je ne me sens pas très différente, malgré toutes mes appréhensions.
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Et c'est l'heure du récit de notre troisième jour dans la jungle ! Google drive ayant décidé de ne pas enregistrer mes modifications sur ce jour, la journée sera moins décrite que les autres, j'ai déjà oublié pas mal de choses …
C'est le chant des gibbons qui me réveille ce matin, ce qui est quand même nettement plus agréable que les poules ! Mon masque pour les yeux ayant efficacement caché la lumière du jour, j'ai pu dormir jusqu'à 6h, et de façon bien plus efficace que la veille. Je pense que le hamac de Sakal et le mien étaient un peu trop proches : quand j'ai commencé à me tortiller hier soir, je l'ai entendu se lever, défaire ses liens et les renouer un peu plus loin … oups! La nuit étant toujours aussi fraîche, j'ai alterné entre position fœtale qui permet de se réchauffer et position allongée qui fait du bien aux articulations mais où il fait trop froid pour que ce soit confortable. A noter que je n'ai pas mal au dos du tout malgré les circonstances, surprise agréable !
La journée se passe comme habituellement : on marche un peu, on fait une pause, on recommence, et on s'arrête deux heures pour midi avant de recommencer.
(Oh comme elle a été bien éduquée cette jeune fille!)
L'après-midi, on s'amuse à monter et descendre une montagne, c'est assez épuisant ! On croise par contre tout un tas de jolies fleurs roses (souvent par terre) très jolies.
On croise sur le chemin des dizaines de bosquets de bambous géants (qui atteignent dix mètres de haut en 2 ans, avant de mourir vers 3 ans en libérant les jeunes pousses) qui s'accrochent dans les sacs quand on passe à quatre pattes dessous, je commence d'ailleurs à avoir les genoux en bouillie, et suis très heureuse d'avoir mis un protège sac !
Pendant une pause avec un petit point de vue, je m'installe sur un rocher non loin de Mr Cho pour profiter du paysage et d'un filet d'air frais. Au bout de quelques secondes, je sens une morsure au mollet : une fourmi rouge a décidé de sauvagement m'attaquer ! Toute une ribambelle de copines se trouvant sur mes chaussures, je suppose qu'il y a une fourmilière dans le coin, mais impossible de la trouver. Mr Cho prend un petit bâton, le balance dans les airs à côté de moi … et les fourmis ont fait leur nid dans une feuille pliée encore accrochée à la branche ! Je fuis de façon tout à fait peu valeureuse une fois la photo prise, une petite pensée pour Chloé au passage.
On traverse également une zone remplie d'arbres couchés, déracinés l'année dernière par une grosse tempête. C'est non seulement impressionnant, mais aussi assez mal pratique, puisqu'on doit soit passer dessous, soit passer dessus, et ça commence à faire beaucoup d'escalade ! En descendant d'un des derniers troncs, je pose mal mon pied sur une branche cachée et me tord la cheville gauche, celle que j'ai abîmée l'été dernier :( Heureusement, rien d'aussi grave, je la sens encore trois jours plus tard mais on est probablement plus sur une petite foulure que sur une entorse !
Nous nous posons ce soir auprès d'une plus grande rivière (tout aussi froide que ses copines hein), et décide que je préfère mouiller mes chaussures et les avoir encore trempées demain matin que risquer de m'achever la cheville dans les roches instables (sans regret!)
En discutant le soir, Sakal nous raconte que lors d'un trek, un touriste a essayé de sauter de la cascade du premier jour et s'est cassé la jambe… il a donc fallu le ramener au village en le mettant dans un hamac pour le transporter. Pratique !
J'ai commencé ce trek frustrée par notre avance lente, m'attendant à retrouver un peu le rythme et l'efficacité qu'on avait eu en Malaisie. Une fois mes attentes realignées, j'apprécie en fait vraiment ces quelques jours : nos guides vont à leur rythme, font une pause quand ils le souhaitent, regardent le paysage, nous montrent plein de choses au lieu de foncer tête baissée vers l'objectif. On profite de toute la journée (et de la nuit, ce qui donne l'occasion de regarder un peu les étoiles !), et on se sent tout petits devant la nature :)
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What I love is comparing the vocables depending on the language.
For exemple, "uh oh" is "oh oh" in french, whereas "hmmn" is "heeeuuu", "aww..." is "oups", and "huh?" is "hein?".
You know what I think is really cool about language (English in this case)? It’s the way you can express “I don’t know” without opening your mouth. All you have to do is hum a low note, a high note, then another lower note. The same goes for yes and no. Does anyone know what this is called?
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RooOOoorr ! SANG DÉCONNER !
Bouh ! Qu'il-elle est vilaine...
vlatipa ma brave ptite'dame qu'un 8ème cas de Covipox, oups! de variole du singe, oh fiente, zut et crotte, la maladie des gays frénétiques,oups again, le “Mpox”… a été détecté.
Pourquoi donner des détails ? hein ! on sait juste que le gonz-esse revient d’Ouganda, et comme d'habitude il-elle ne sait pas comment il-elle a été contaminé !!!! faut croire que ça passe plus crème que de dire que j'ai partouzé sous méthamphétamine avec 9 Mamadou Grangrobaton !!!!
Alors un 8ème cas sur environ 70 millions d'habitants et que s'empresse de faire un GOUBERNEMENT de GÔÔÔCHE, hop 19 centres de vaccinations dédiés ce n'est pas suffisant on en ouvre 12 autres !
Que la farce et les boutons sur le zboub soient avec toi...
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L'iA ne dit pas grand chose, et pas très bien. Mais iel dit à peu près tout ce qu'on est capable de dire à la frontière de notre ubris centralisée, notre conscience, qui ne vaut pas grand chose sur le tapis du game qui se joue.
Elle va suivre les pronostics et avaler l'intégralité de ce qui est numérisé ou numérisable. Mais la BONNE NOUVELLE (!!!) est la suivante : aucune solution viable ne l'a été, numérisée, en fait.
Les artefacts découverts et renseignés le sont, l'intégralité des publications scientifiques aussi. Pourtant, le rassurant, pour les sauvageons en tout genre, est que l'essentiel ai échappé aux chercheurs, dans leur propre ubris d'inventeur, et aux capteurs, tournés vers le cul en béton de l'aquarium qui nous tient lieu d'auge puante.
Car le filtre est absolu, entre la création et la diffusion. L'une appartient à l'Esprit, l'autre à la conjoncture.
et il y a beaucoup de cons dans ces concordances moyennes et moyenâgeuses. Trop obstruant et obtus pour laisser passer la bonne idée, l'intention véritable, sous le radar de leur conception forcenée d'une humanité, qu'ils nous assènent et à laquelle ils nous assignent.
Alors ces idées, intentions, volontés, concepts, artefacts et preuves restent agglutinées à la grille d'absorption de la turbine qui tient lieu de cerveau aux bourgeois qui l'ont dissous, comme le reste, dans une part de bite coin. Pour le siroter en profitant, à la paille en bois.
Le bois utilisé pour une reconstruction à l'identique (on parle d'un moment où l'on grillait des innocents après leur avoir arraché la peau à vif au nom d'une religion), il en aurait été question si nos bourgeoises attitudes ne désiraient pas en remettre à l'identique, de la plus grande connerie, en cérémonies grandiloquentes et absurdes.
Des "personnalités sensibles", et je ne parle pas bien entendu de producteurs abuseurs ou de patrons de gauche ou de sommités ecclésiastiques (tiens on a toujours pas dissous le Vatican?), mais bien de chênes de 400 ans, une "forêt, qui ont été les témoins muets de cette scène, l'anthropopopo... Et qui en sont morts. Mais pour la noble cause hein!
En les coupant, et leurs homologues teck, frangipaniers et autres grandes personnes, le bourgeois colon fait la seule chose qu'on lui a apprit : exploiter son prochain sous forme de planche ou de cube, son corps mort. Les pompes funèbres et l'armée en savent quelque-chose. Mais elle ne vous garantiront pas qu'une autoroute ne passera pas sur votre cercueil dans 20 ans ou moins. La fosse, elle, vous le garanti. Elle est la plus courante des sépultures.
Et on revient à l'archéologie, l'histoire de nos morts, qui ne le sont pas. Les caveaux, tombes décorées ou signes funéraires persistants ont toujours été réservés, pour signifier au futur le mode de domination à exercer sur ceux des fosses communes : le morbide, le froid et sec de la connaissance tronquée et momifiée.
Alors les cimetières fleurissent, la vieille pierre entretenue montrant la durabilité de la rente familiale, fleur de pierre qui en raconte à l’œillet qui vaut quant même son prix aux abords de la dernière demeure. Fleur de béton,
Mais retour à la BONNE NOUVELLE, qui n'en est une uniquement pour... Oups, désolé les amis, je regardais pas derrière moi... On se dit à la revoyure du côté sauvage (n'oubliez pas vos croquettes)?
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Oups. Mais j'ai rien à raconter !
(enfin si j'ai rencontré quelqu'un à mon premier bbq de l'année et elle tente une approche je crois mais ça fait depuis 2020 que j'ai plus eu a gérer une situation sentimentale, merde) (elle est cool hein, mais il y a 100% de chance que je vais faire n'importe quoi) (seigneur pourquoi est ce que j'ai pas appris à relationner convenablement en même temps que tout le monde, quand on était au collège) (à l'époque j'étais bien contente de ne pas faire partie de la drama life mais je n'avais pas conscience que je ne faisais que reporter le problème)
Bref pour ne pas le dire en anglais je suis SI NORMALE quant à tout ça
Speak Your Language Day
BRINGING BACK THE DAY OF LANGUAGES!!!
This year's 7th of May we use our own language again!
A few basic rules (this is very much copied from the original UYLD creators):
If your language is something other than English, on May 7th you can speak that language all day!
Speak whatever language feels good for you! Any and all!!
You’ll blog in your language all day: text posts, replies, tags (except triggers and organizational tags), the whole nine yards. Regardless of what language people choose to speak to you, you answer in your own.
Midnight to midnight according to your own time zone
English native speakers, if you wanna participate you can practice a second language you’re learning
The tag is gonna be #Speak Your Language Day or #spyld
Non-verbal, non-written languages (like ASl, dialects, otherwise non-written languages) are more than welcome!
Tag me in any and all non english posts! Or submit to your liking!
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Plus tard, une surprise attend Ève à la sortie de sa chambre…
Ève: Lucas!
Lucas: Hein! Oups!
Ève: Tu vois, quand je te disais que tu te promènes souvent en caleçons à motif de petits cœurs. C'est exactement la vue que je ne veux pas avoir en sortant de ma chambre!
Lucas: Mais je sortais de la douche!
Ève: Ce n'est pas une raison! De un, c'est une tenue complètement inappropriée lorsque l'on partage un espace de vie avec des colocataires. De deux, ces caleçons-là sont vraiment laids! On dirait un vêtement tout droit sorti des Sims 1!
Lucas: Excuse-moi, mais comment OSES-tu dénigrer les Sims 1? L'original! La légende! Tu sais quoi? J'ADORE ces sous-vêtements! Et juste pour toi, je vais m'en acheter une dizaine et ne porter que ça lorsque tu es là!
Ève: Je te déteste!
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NSBC • Chapitre 8
Ma grossesse avance, et je peux vous assurer que c’est pas toujours une partie de plaisir… Alors, oui, sentir une vie qui se développe en moi a un côté assez réjouissant, mais entre les nausées, les maux de dos et l’impression d’avoir une vessie trois fois moins grande qu’avant… j’ai hâte qu’il sorte, ce bébé.
En plus, je ne vois pas souvent Edward. Il travaille les week-ends, et en semaine, il est déjà au boulot lorsque je rentre du mien. Je savais qu’il travaillait dans un bar, et ça ne me dérangeait pas spécialement au début, mais là, pendant ma grossesse, avec mes hormones qui font n’importe quoi, ça me rend triste…
Au moins, avec l’approche du terme, je remarque que finalement, mes nausées s’espacent. Je peux manger un petit-déjeuner sans avoir peur de tout vomir après !
Bon, j’ai parlé un peu trop vite, pour cette fois-là…
Je trouve le temps, quand même, d’appeler régulièrement le Conseil de Géologie pour ordonner l’analyse de différents cristaux ou métaux. Des fois, les analyses ne donnent rien de bon, mais quelques fois, j’ai des surprises. Alors il ne faut rien lâcher !
Et malgré tout, quand je regarde où j’en étais il n’y a même pas un an, je sais que j’ai entamé ma vie telle que je rêvais qu’elle soit. Remplie d’amour…
… et de réussite professionnelle.
Et puis un matin, alors que je me préparais pour aller au boulot…
« Oh, oh… EDWARD !! »
« Quoi, qu’est-ce qui se passe ?!
— Je vais accoucher, crétin !
— Hein ?! Déjà ?!
— Appelle un taxi, vite, il faut que j’aille à l’hôpital… »
Même paniqué, il a réussi à se bouger pour le faire, et nous sommes arrivés à l’hôpital.
« Un médecin, vite !
— Respire, Ed, tu ne m’aides pas du tout… »
Et apparemment, le type de l’accueil non plus n’est pas décidé à m’aider…
« Dites, c’est urgent, j’vous signale…
— Ouais, ouais, deux minutes… »
Finalement, je suis invitée à aller dans une des salles du fond. Edward me suit en courant, tout joyeux.
« Ma chérie, on va être parents, c’est génial !
— Je partagerai ton enthousiasme quand je n’aurai plus l’impression que cet enfant essaie de me déchirer l’intérieur du ventre… »
Cette remarque l’a refroidi, et il me suit sans rien dire après ça, même s’il n’arrive décidément pas à se dépêtrer de son sourire niais.
« Allez, mademoiselle, respirez, ne vous en faites pas, ça fait 45 ans que je fais ce métier ! »
C’est justement ça qui m’inquiète… Il sait encore tenir un instrument chirurgical sans trembler le vieux ?
« V-Vous êtes sûr que ça va aller, Docteur ? »
Ah, Edward panique à nouveau. Super. Et moi, je suis dans le coaltar… Qu’est-ce qu’il m’a injecté… ?
« Ah, oups, ça arrive de temps en temps…
— Pardon ?! » J’avais raison de me méfier du vieux… Il veut pas remettre ça à sa place ?!
J’ai dû m’évanouir après, parce que j’ai un blanc de quelques instants… et je me suis faite réveillée par des pleurs. Les pleurs de mon bébé… Oh, mon petit amour…
Je me suis levée aussi vite que j’ai pu (donc très lentement, vous vous en doutez) et j’ai fais la connaissance de mon petit garçon, sous l’œil bienveillant de son père. Bienvenu dans la famille, Gabriel…
A peine rentré, Edward prend ses marques, et change même la couche de Gabriel. Je suis contente qu’il le fasse, j’aurai ma journée de travail pour me préparer à cette idée…
Eh oui, j’y vais, c’est Edward qui a décidé de prendre un congé parental pour s’occuper du petit. Je l’ai d’ailleurs remercié chaleureusement en rentrant le soir, avant de demander des nouvelles de notre enfant.
« Rien de particulier, il a dormi presque toute la journée entre deux biberons. »
Un bébé qui dort bien, donc. Nos heures de sommeil ne vont peut-être pas diminuer tant que ça, finalement. Espérons que ça dure… !
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C'est déjà notre dernier jour au Cambodge, Dieu que le temps est passé vite !! Je crois pouvoir dire sereinement qu'on a eu un petit coup de coeur pour ce pays, plus que pour la Thaïlande. Peut être parce qu'on a vu moins de temples, plus de paysages, moins de touristes, peut être parce qu'on est plus à l'aise avec la moto (et ça compte beaucoup, vu le temps qu'on passe en transport), ou qu'on a adopté notre rythme ... En tout cas, nous en garderons un excellent souvenir !
Pour fêter cette dernière journée, nous commençons donc par... Une grotte ! (Oui, on aime l'originalité) On s'était dit qu'on y passerait une bonne heure, les lieux étaient tellement beaux qu'on est reparties presque 5h après. Oups !
La grotte est normalement inondée, mais en pleine saison sèche il ne reste plus grand chose (juste de quoi piquer une tête pour Annette, dans son t shirt car sans maillot... Sans regret, c'était sec en un quart d'heure tellement il fait chaud !), ça donne très envie de voir ce que ça donne en saison des pluies !!
On a des points de vue somptueux sur la zone, c'est un bonheur pour les yeux.
Une petite pagode est en rénovation non loin : juste pour rire, il y a deux personnes qui peignent le plafond sur cette photo ... Si quelqu'un arrive à comprendre comment ils ont réussi à grimper là haut, je prends!
On part ensuite se balader dans les mangroves. Si la promenade est marrante, elle est coupée court à cause de la quantité de déchets qui jonchent et le chemin, et la mangrove elle-même : le sol est rapidement tellement couvert de bouteilles en plastique, polystyrène ou restes de tong qu'on ne peut pas poser un pied par terre. Ce sont probablement les déchets ramenés par la mer, mais ça ne donne franchement pas envie de continuer. Tant pis !
En repartant, on tombe sur ce bâtiment tout en béton, sans fenêtres, sans ouvertures (oui, il fait rêver hein ?) : c'est un bâtiment d'élevage d'hirondelles ! Elles sécrètent un mucus pour construire leur nid qui est fortement apprécié par les chinois notamment, ils sont donc récoltés là dedans!
On finit l'après midi en faisant une petite balade dans le parc national voisin : on avait prévu d'y faire la randonnée de 8km, mais le chemin a été entièrement bétonné, on le fera donc à moto. A mi chemin, on tombe sur une grande tour à escalader qui donne une vue très agréable sur la canopée environnante.
On termine enfin la journée par un petit cocktail dans une bicoque avec vue sur le coucher de soleil, qui sera certes une fois de plus caché dans les nuages, mais qui donnera quand même quelques jolies couleurs ! Et puis les pieds dans l'eau à manger du poisson grillé, on est moins difficile ;)
Et voilà, au revoir le Cambodge, demain on passe au Vietnam !
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Toutes ces citations viennent de profs:
("X" étant un prof)
"Les maths c'est comme les femmes, si on n'en prend pas soin elles vous frappent"
"J'ai la capacité de concentration d'un nénuphar" (oui oui c'est bien une prof qui a dit ça!)
"Mais t'es maso toi"
"Imagine-toi sur le champ de bataille, poussant ton plus grand cri de guerre"
"C'est le weekend, le tableau aussi est fatigué"
"Vous avez fini le contrôle? Pensez au sens de la vie"
"Vous allez tuer les mouches avec un bazooka"
"Allez on sort les chars l'artillerie et la totale"
"La petite moustache réconfortante de Staline"
"Si quelqu'un vous tire dessus c'est jamais bon signe"
"Allons nous allons troller un peu"
Et la suite de une seule prof (A et B sont élèves, X et Y sont profs):
"Oups, j'ai failli l'achever"
"Oh oui Monsieur [X] je l'ai vu hier! C'est une véritable résurrection, après Pâques, comme le Christ!"
"Il est laid à l'extérieur. Ça vous touche ça? Toi [A] ça te concerne"
"Le langage codé c'est commun en amour. Enfin sauf si en face vous avez un débile. Tu parles à des débiles toi [B]?" (Réponse de [A]) "Si, si!"
"Madame, vous voulez de l'eau ?" "Non non s'étouffe littéralement je vais mourir c'est très bien"
"À l'époque vous seriez venus en t-shirt, par exemple de votre équipe qui a perdu hier"
[C] lève la main "Oui [C]?" "J'ai une question" "Bah oui on s'attendait pas à un strip tease"
"Soyez vierges!"
[en parlant d'un livre] "Alors là niveau inceste... déjà qu'il couche avec sa mère, s'il couche avec sa sœur alors qu'il était encore plus attiré par son frère... Mettez pas ça dans vos copies hein!"
"La mort qui tue"
parlant de [Y] qui fait une faute "Monsieur [Y]? Ah oui mais il vient des Pyrénées, il est dans ses montagnes..."
"Tous ceux qui lèvent la main sont des sados-masos"
"Vous connaissez l'allégorie ? Georges Brassens l'a chantée... L'allégorie, iii, i, i, e..."
puis-je lâcher de véritables citations de profs (dont quelques-unes un peu risquées) pour voir la réaction?
Bien sûr, garde ça SFW autant que possible, et ne donne pas les vrais noms des profs et des élèves impliqués, mais vas-y ! ça va changer mes adeptes mes followers des sondages avec un vague rapport avec le français et de la francophobie
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