#ou elle d'ailleurs
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quelqu’on pourrait-il m’appendre le français ?
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je feuilletais un livre sur le patois de ma région et comme à chaque fois que je fais ça, je tombe des nues en découvrant qu'une expression que j'utilise en permanence est en fait juste du bon vieux patois bien de chez moi et que personne d'autre ne dit ça
sauf les personnages de kaamelott
genre là, le livre expliquait l'expression « tâcher moyen de... » et je me suis un peu insurgée parce que, mais enfin, c'est très répandu ça comme phrase, tout le monde dit ça non ?
et puis j'ai réalisé que j'entendais la phrase avec la voix de dame séli et je me suis posée des questions sur ma connaissance de ma propre langue
#j'ai aussi vu un 'lexique de kaamelott' et ça m'a fait marrer parce que c'est juste notre patois expliqué#un jour ma mère a entendu un personnage s'exclamer 'vois-tu moi-le!“ elle a pas compris ce qu'il se passait#'pourquoi y a des gens qui parlent gaga à la télé?' 'c'est écrit par un lyonnais' 'ah'#elenwe's babbling#je comprends toujours pas comment 'c'est quelle heure?' ne s'est pas répandu dans la france entière#ET NE ME LANCEZ PAS SUR 'TOUT MOUILLÉ D'CHAUD'#C'EST UNE EXPRESSION QUI PARLE D'ELLE MÊME POURQUOI PERSONNE LA COMPREND?#bref. tout ça pour dire que kaamelott a complètement faussé mon appréciation des expressions locales#d'ailleurs y a beaucoup de répliques que les gens pensent être des détournements grammaticaux humouristiques#alors qu'en fait c'est juste comme ça qu'on parle#et l'accent du tavernier (ou des paysans) c'est juste l'accent chez nous#guethenoc parle comme mon grand-père
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Thème n°1 (gratuit)
Niveau d'installation : ⭐⭐⭐
(prérequis : être un minimum à l'aise avec le codage de manière générale et l'hébergement externe d'une feuille de CSS)
➡️ Ce thème a été élaboré à partir du Blank Theme de Geniuspanda. ⚠️ Merci de créditer les personnes citées dans ce post ! ❓ Pourquoi il est gratuit ? → Et pourquoi pas ? Je ne demande rien de plus qu'un sujet où sont répertoriés tous les crédits ainsi qu'un petit mp pour savoir que vous utilisez le thème ! ✅ Vous pouvez utiliser entièrement ou partiellement le thème, selon ce qui vous intéresse en fait (du moment que les crédits sont conservés, j'insiste !). Vous pouvez le modifier comme vous le voulez, qu'il s'agisse des couleurs, des formes, des tailles (pitié, restez juste un minimum lisibles même si j'aurais clairement pu faire beaucoup mieux), polices... c'est open bar ! 🗒️Le CSS global est trop long pour être copié/collé directement dans la feuille de forumactif. Je vous conseille de l'héberger sur archivehost ou dropbox et de rajouter un lien vers celui-ci dans votre overall_header. N'hésitez pas à me mp si vous n'êtes pas à l'aise avec l'installation, je vais faire au mieux pour vous orienter ! Autrement, le Blank Theme explique comment s'y prendre juste ici : https://blankthemerpg.forumactif.com/t141-heberger-du-css-exterieur Il comporte : • La base du Blank Theme en modernbb (en configurant votre forum avec les paramètres associés) • Le plugin Messenger d'Ange Tuteur remanié par Geniuspanda, Switcheroo et le mode Edison clair/sombre réalisés par Monomer. • Une page d'accueil • Les catégories • La liste des sujets et l'apparence des sujets • L'apparence du profil • La liste des membres • La liste des messages privés et l'apparence d'un message privé • Une série de codages (fiche de présentation avec onglets, fiche utilisable pour rédiger ses annexes, fiche utilisable pour les posts administratif comme le règlement etc...) • Un set Instagram (profil, posts, like, suivre, commenter, story) • Un set de type Tinder (profil, like, super-like, match, pas intéressé) • Un set de 10 fiches de rp aux couleurs du forum (adaptable au mode noir/clair) ainsi qu'un codage pour l'apparence de vos sms • Un set de 5 signatures aux couleurs du forum 📌 Vous trouverez le forum où les codages ont été utilisés juste ici. Il s'agit d'un forum rpg que j'ai monté en décembre 2023 mais qu'on a fermé en mars 2024 avec ma co-admin. Les inscriptions sont fermées mais vous pouvez au moins y retrouver l'apparence globale de ce qui est proposé sur les captures d'écran. ⚠️ La police de base est Nunito Sans, sans-serif (font google) et celle des titres Cloister Blacklight (par Dieter Steffmann et à héberger de votre côté en sortant les fichiers nécessaires (.ttf, .wof + css) sur fontsquirrel par exemple). Il se peut que vous observiez des déformations si vous n'utilisez pas Nunito Sans puisqu'une police n'est pas précisément la même en taille de l'une à l'autre selon comment elle a été conçue. ⚠️ Le forum n'est d'ailleurs pas vraiment à 200% responsive... oups. Mais les couleurs sont facilement gérables dans le :root, autant pour le thème clair que le thème sombre. 🔧 En ce qui concerne les paramètres personnalisés : - bien afficher la liste des membres connectés et avec une période de 72 heures. - ne pas afficher la connexion rapide. - ne pas cocher la case optimiser votre css - cocher la case désactiver le css de base 🔧 En ce qui concerne l'ordre des champs du profil :
🔧 En ce qui concerne les posts administratifs sans que le profil admin n'apparaisse : Il faut que votre compte Administrateur (celui avec lequel vous avez fondé le forum) ait pour rang <span class="Administrateur">Administrateur</span>.
➡️ VOUS RETROUVEREZ LES CODES ICI : https://github.com/Practless/theme1/
➡️ ET ICI UN PETIT TUTORIEL D'INSTALLATION PAS À PAS : https://www.tumblr.com/grimmcodes/755161796494737408/tutoriel-installation?source=share
Et voilà ! Normalement vous devriez avoir l'exact même rendu. ⭐ La plupart des codages n'ont pas été nettoyés et laissés comme sur le forum rpg où ils ont été construits (avec les textes, les images etc... oui, j'ai eu la flemme, pardon hein mais c'était trop long d'y refaire un tour pour tout nettoyer...🧍♀️Peut-être qu'un jour j'vais y penser. Ou pas.) Note à savoir : je ne suis pas professionnelle, j'ai appris sur le tas et avec des tutoriels sur le net. Donc c'est sûrement le bazar, fait avec les pieds, pas optimisé et j'en passe. N'hésitez pas à me contacter si vous observez des problèmes. 🍀 Débizou si consentis et vive le rp francophone 🍉🏳️🌈🏳️⚧️💗
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J'aimerai parler du sens de la justice d'Azz car par exemple, pour sauver Carla du cirque. Il ne comprend pas pourquoi Iruma irait si loin pour elle alors qu'il la connait à peine le qualifiant de naïf. Mais aussi la naïveté de ce dernier quand il lui demande pourquoi elle n'a pas demandé de l'aide à la police et aux services sociaux, elle l'a fait en vain. Et cette admiration envers sa mère, cette justice qu'elle représentait est brisé par sa confrontation avec Ifrit. Et même si il réaffirme sa détermination quelque chose est brisé en lui. Car il veut détruire le mal sans pour autant chercher plus loin. Et c'est dangereux, car soumettre cette justice aveugle peut faire condamner des innocents. D'ailleurs la réaction d'Urara Valac face à Iruma et les autres est compréhensible. Car il n'a aucune preuve que ce qu'il dit est vrai et n'a pu compter que sur lui même depuis sa séparation avec sa famille.
Et maintenant qu'il est avec Iruma, il est tiraillé et le fait qu'Ifrit soit le lapin noir, va lui permettre d'avoir des nuances sur sa justice voir même se questionner davantage là dessus. D'ailleurs c'est salaud de faire disparaître Amaryllis comme ça alors qu'elle était là dans le chapitre récent du manga original. Or on n'a pas trouvé son corps et ils parlaient de complicité avec une organisation. Alors c'est laquelle ? Les six doigts ou bien la mafia de Babel il y a longtemps ? Et la silhouette qui pointe son flingue ? Ce serait pas le père d'Ameli ?
I'd like to talk about Azz's sense of justice, for example, in order to save Carla from the circus. He doesn't understand why Iruma would go so far for her when he hardly knows her, calling him naive. But also his own naivety, when he asks her why she hasn't asked the police and social services for help in vain. And his admiration for his mother, the justice she represented, is shattered by his confrontation with Ifrit. And even though he reaffirms his determination, something inside him is broken. Because he wants to destroy evil, without looking any further. And that's dangerous, because blind justice can condemn the innocent. For he has no proof that what he says is true, and has relied solely on himself since his separation from his family.
And now that he's with Iruma, he's torn, and the fact that Ifrit is the black rabbit will allow him to see the nuances of his justice and even question himself more. Also, it's a dirty move to make Amaryllis disappear like that, even though she was there in the recent chapter of the original manga. But her body hasn't been found and they were talking about complicity with an organization. So which one is it? The Six Fingers or the Babel Mafia of long ago? And the silhouette pointing the gun? Isn't that Ameli's father?
#mairimashita! iruma kun mafia#m!ik#m!ik spoilers#mairmashita manga#urara valac#asmodeus alice#ifrit djinn eito
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New York, juin 1993.
Au premier plan deux amoureux, en arrière-plan le pont de Manhattan. La jeune fille semble inquiète. Au loin sur l'East River un bateau, des lumières.
New York est une ville merveilleusement folle, ou l'était lorsque j'y habitais, longtemps avant cette photo. C'était la ville où tout était possible, le meilleur comme le pire. Elle vivait 24 heures sur 24, comme on l'entendait sur les stations de radio.
J'y allais en 1971 pour une amoureuse. Sans doute effrayée par ma venue, avec très peu d'argent, un visa touriste, elle quitta la ville de mes rêves pour...la France. Je restais. J’y achetais mon premier Leica, fit toutes sortes de bouleaux, devint photographe.
C'est à cela que je pense en regardant cette photo paisible.
Demain, les États-Unis jouent très gros. Le reste du monde aussi.
Cette jeune femme a trente et un an de plus. Moi aussi d'ailleurs.
Demain sera un autre jour, pour le meilleur ou pour le pire.
J'ai bien peur que ce soit pour le pire.
J'espère me tromper.
Il y aura d'autres amoureux qui viendront contempler le Manhattan Bridge.
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
20/20
Les souvenirs des obsèques se font de plus en plus flous et atténués avec les mois qui passent. Nous réapprenons à vivre sans Grand-Mère. Cela dit, le trou est toujours là et la maison semble aussi grande que déserte sans le bruit de sa cane qui tape contre le sol. Nous n'avons pas eu le coeur de la jeter. Je l'ai emballée et entreposée au grenier, au milieu de nombre de ses affaires. Quand à sa chambre, nous n'avons pas encore pu nous résoudre à déplacer les meubles, nous ne savons même pas si nous voulons les garder ou pas. Je pense qu'il faut faire table rase, mais je ne sais pas si tout le monde à la maison est prêt.
J'aimerai proposer que Marc-Antoine rénove la chambre (elle n'a pas bougé depuis presque quatre-vingt ans et aurait besoin d'un coup de frais) et qu'il en fasse la sienne, je n'en peux plus de le voir loger dans le grenier. Après tout, il va revenir s'installer définitivement ici dès l'automne puisqu'il a fini l'école. Il a d'ailleurs été diplômé avec les honneurs, même si cet événement à été largement éclipsé. J'en profite aussi pour t'annoncer que la liste de mon frère a été élue au conseil municipal lors des élections de mai dernier. J'ai maintenant sous mon toit un conseiller municipal et notre village est passé sous la bannière communiste. Qui l'aurait cru ? Je suis extrêmement fière de lui, et je n'ai jamais douté de sa réussite.
Je t'enverrai une autre lettre sous peu, j'espère un peu plus joyeuse.
Affectueusement,
Noé
P.S. Tu trouveras si joint un bordereau bancaire confirmant le virement d'un certaine somme sur ton compte en banque. Ne me demande pas comment j'ai obtenu tes coordonnées, je ne compte pas vendre mes sources. Sache cependant qu'il s'agit d'un emprunt pour la construction de ton port, et que j'escompte que tu me rembourse chaque cent.
______________________________________________________________
De : [email protected]
Sujet : La cane !!!
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Cher D,
J'ai été farfouillé au grenier et je l'ai trouvée ! La cane est toujours là, intacte ! A force de chercher des objets ayant appartenu à nos ancêtres dans cet immense grenier, je vais bientôt vivre dans un musée. Et encore, je n'ai pas encore commencé à fouiller dans les combles de l'aile construite par Arsinoé.
A la prochaine !
A.
Transcription :
Rose « Mais bon, on enterre pas Eugénie Le Bris en toute intimité. »
Ange « Monsieur le maire a même hésité à convier le préfet d’après Antoine. »
Rose « Vraiment ? Et comment saurait-il cela lui ? »
Ange « Il a des amis au conseil municipal. La question a même été mise à l’ordre du jour au dernier conseil de mairie. Finalement, ils ont décidé de ne pas le faire. »
Rose « C’est dommage, elle aurait aimé avoir un invité prestigieux à ses obsèques. »
Ange « Bon, sur ce… Je me rend compte que je suis épuisé. Vous montez aussi ma tante ? »
Rose « Non, j’aimerai encore rester un peu si tu n’y vois pas d’inconvénient. Je te chasse pas, mais je veux être un peu seule vraiment. »
Ange « Ne vous inquiétez pas, je comprends. Bonne nuit. »
Rose « Oh Grand-Mère… Vous avez eu la plus belle cérémonie d’adieu que quelqu’un puisse espérer. Vous pouvez être fière de tous vos descendants. Cette jeunesse est prodigieuse. J’espère que vous vous en êtes rendue compte avant la fin... »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Rose Le Bris#Ange de Chastel#Marc-Antoine Le Bris
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J'aime les hommes plus jeune que moi. Beaucoup plus jeune. La moitié de mon âge parfois. Mais quand une femme dit cela, elle est immédiatement jugée. Les femmes pensent que c'est une honte de craquer pour des hommes qui ont l'âge de mes fils. Les hommes pensent que je veux juste m'envoyer en l'air avec quelqu'un de plus vigoureux qu'un homme de mon âge. Je me suis faite appeler couguar assez souvent. Chacun juge selon son ressenti. Mais mon ressenti à moi est celui ci. De la même façon qu'un homme peut préférer une blonde à une brune, où qu'une femme va choisir un homme grand plutôt que petit, je n'ai pas choisi vers qui j'allais être attirée. J'avais seulement 18 ans que mon petit ami avait déjà 2 ans de moins que moi. A 20 ans, en regardant les hommes de 50 ans, je savais qu'ils ne m'attireraient jamais, sauf cas exceptionnel. Car je parle là de l'attirance physique, pas de celle qui se créée lorsqu'on apprécie une personne quel que soit son âge. Si un homme de 30 ans me drague, il a plus de chances d'attirer mon attention qu'un homme de 50 ans ou plus, sauf si celui ci est suffisamment intéressant pour me séduire. Mais en aucun cas, je ne suis attirée vers les jeunes hommes pour une question de sexe. Car pour moi, le sexe n'est qu'un aboutissement, pas une recherche. C'est une étape obligée quand on a envie de vivre une relation. Je n'ai aucun attrait pour les one shot. Avec l'âge, bien entendu, je plais de moins en moins aux hommes de 30 ans. Ou alors ils veulent seulement avoir une expérience avant de passer à autre chose et ça c'est hors de question. Je trouve cela tout à fait normal et je me suis faite une raison. D'ailleurs, il me serait difficile aujourd'hui d'envisager une relation comprenant du sexe avec un homme aussi jeune (comme avec un plus vieux d'ailleurs !) . Mais bref, voilà ! J'aime les hommes beaucoup plus jeune que moi, comme d'autres aiment les femmes maigres ou très rondes. Comme d'autres encore aiment les hommes glabre plutôt que les poilus. Simplement parce que c'est dans ma nature.
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"J'ai du savon qui lave Les péchés capitaux Un stylo-bille qui grave Le goût d'un apéro Un soutien-gorge à piles Qui n' s'allume qu'aux beaux yeux Un dentifrice habile À blanchir les aveux Un buvard facétieux Qui sèche les chagrins Un œil pour lire à deux Quand le jour s'est éteint Un violon capital Voilé de Chambertin A faire sonner le mal Plus fort que le tocsin Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Ou bien chez des voyous Habillés de chagrin Qui vont par les chemins Chercher leur bonne amie La Poésie
J'ai des bas pour boiteuse À faire boiter l'ennui Et des parfums de gueuse À remplir tout Paris Des pendules à marquer Le temps d'un beau silence Des lassos à lacer Les garces de la chance Des machines à souffler Le vert de l'espérance Et des vignes à chanter Les messes de la démence Des oiseaux-transistors Qui chantent sur la neige Garantis plaqués-or Plaqués par le solfège
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Qui s' prend pour un hibou À regarder la nuit Habillée de souris Comme sa bonne amie La Poésie
J'ai du cirage blond Quand les blés vont blêmir De la glace à façon Pour glacer les soupirs Des lèvres pour baiser Les aubes dévêtues Quand le givre est passé Avec ses doigts pointus J'ai tant d'azur dans l'âme Qu'on n'y voit que du bleu Quand le rouge m'enflamme C'est moi qui suis le feu J'ai la blancheur du cygne À blanchir tout Saint-Cyr Et sur un de mes signes On meurt pour le plaisir
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Des fois qu'elle serait là Elle te recevrait même pas Elle n'est là pour personne Elle n'aime pas qu'on la sonne C'est pas une domestique Elle sait bouffer des briques Mais quand elle veut, elle crie La Poésie !"
Léo Ferré
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TW — body horror, oppressions, médicamentation, violence médicale.
Petite, maman me disait que j'étais belle quand même.
Puis mes cornes ont poussé et son ton a changé. Elle ébouriffait mes cheveux et me mettait des chapeaux ridicules. « Ne le retire pas ! » ; elle criait, toujours sur mon dos. Ça va, c'est bon : c'est que des cornes. J'avoue qu'être altéré·e, chez moi, c'est écrit sur mon front. Il y en a d'autres qui flottent dans les airs. Ma fiancée, elle, elle a une ruche d'abeilles dans le ventre : ses lèvres ont le goût du miel. Faut pas chercher de logique ni de sens. D'ailleurs, Il n'y a même pas de lien génétique. Ça veut dire que papa et maman sont souvent des types lambdas ; et qu'un père cracheur de feu et une mère qu'a des ailes donnent pas naissance à un dragon.
Il y a des bébés qui naissent tout verts, moi j'avais des bosses sur le crâne. Certains, ça se déclare plus tard : genre les types qui voient dans le noir ou celles et ceux qui contrôlent la flotte. Mais ça fait toujours son apparition quand on est mioche. À partir de là, c'est quasi la même histoire pour tout le monde : parents paniqués, rendez-vous médicaux répétés et la sensation âpre des instruments gelés. À la fin, on a tous le droit aux petites pilules bleu pastel. C'est un traitement qui stoppe l'altération paraît-il. Mais ça fout le corps en vrac surtout.
Ado, je demandais à ma mère si je la dégoûtais. Elle me disait : « c'est pas que j'ai honte, c'est que j'ai peur pour toi ». M'ouais. Alors, je lui soufflais que j'étais triste et elle me répondait : « moi encore pire ».
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Un jour, une petite info sur le projet. C'est le putain de calendrier de l'avent ma gueule. On prévoit une préouverture en décembre. Les périodes de fête, comme c'est compliqué : elle s'étendra un peu. L'ouverture se fera en janvier. Les gens qui voudront pourront venir RP en avance et les gens qui peuvent pas viendront après sans avoir le stress d'avoir raté un truc !
BREF, si vous avez moindre la question sur les altérations, les ask sont ouverts et vous pouvez aussi poster un com' ! On vous laisse un petit poll pour l'annexe de demain. Ça portera sur les traitements pour les altérations.
Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
PS : le père Noël existe et c'est un altéré.
#rpg francophone#rpg forum#forumactif#rpg fantastique#rpg faceclaim#rpg city#projet rpg#projet forum
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tag game du rpg ♡
règles du jeu: créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — plus de 10 ans c'est sûr.
quel était le premier personnage que tu as créé? — il s'appelait Taylor, son fc était Eddie Remayne et il était photographe 😎
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — c'était surtout des fc que mon petit cœur d'emotumblrgirl appréciait beaucoup (Alex Turner, Jenna Coleman, Evan Peters, etc)
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — rien ne me vient en tête! je pense surtout ce qui est "mafia sombre romance toxique", ça ne me parle pas trop 💀
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — j'aime beaucoup les bandes d'amis soudés un peu idiots qui font n'importe quoi, les amis d'enfance et le bon vieux enemies to friends to lovers, pas forcément dans cet ordre d'ailleurs ✨
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — généralement, toujours du city/réel ou surnaturel, et côté fandoms en ce moment je penche surtout vers les jeux vidéos, donc resident evil, bioshock, dishonored, tomb raider, l'anthologie dark pictures, etc.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — je jouais une prophétesse hyper sarcastique et casse-pied qui faisait des doigts d'honneur aux archanges, avec des inspirations d'american horror story et good omens dans une vibe générale southern gothic, elle me manque un peu et je la ramènerais bien un jour pour jouer des mauvais tours!
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — généralement j'aime les spooky babies avec des penchants artsy, des personnages sortis tout droit d'un cliché d'halloween, souvent avec un métier en lien avec le funéraire ou les baraques hantées; je ne sais pas si emo est un archétype mais bon.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — il y en a plusieurs mais le plus récent était L'ombre du vent de Carlos Ruiz Záfon.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — je recommande le roman L'Hacienda d'Isabel Cañas pour celleux qui aiment les histoires de fantôme et les ambiances "mexican gothic" ♡ idéal pour se mettre dans le mood de la spooky season qui approche à grands pas!
☞ je tag: (c'est entièrement facultatif, si vous n'avez pas envie de le faire pas de pression !!) @beautyisakillerqueen @lisan-algaib @adeadpoetsociety @thiphus @rollinginthedeep-swan @timuschaos @un-mare-di-stelle @flying-corvidae @monocleunivers @soletear @etangsnrs @mybrainsamess @valhdia @zaynsjm (et je m'arrête là mais tout le monde est invité à participer si vous le souhaitez évidemment ♡)
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
⚠︎ warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
1 470 mots
Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-là tu es toujours là pour l'aider à se sentir à l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne à part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là, tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris à utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout à bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
À quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrôler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-là, tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
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Je trouve Damian particulièrement irritable pendant le ball, j'imagine qu'il est pas spécialement fan de ce genre de soirées. Vu qu'on s'approche de lui uniquement pour son statut, ce qui non seulement le met mal à l'aise mais l'énerve car les autres enfants viennent le voir juste parce qu'il vient de la famille Desmond et non parce qu'ils sont intéressés par lui pour ce qui est est vraiment. @suunkiised a posté quelque chose d'intéressant au sujet des invitations entre Anya et Damian et il y a, je trouve, un contraste très intéressant entre les deux. Quand Damian est invité par les filles, elles l'invitent sur des critères superficielles et comme je l'ai dit plus haut ne s'intéressent qu'à lui que par son statut ou bien sa famille.
En revanche, lorsqu'Anya est invité par les garçons, ces derniers n'ont aucun intérêt de se lier avec elle car ce n'est pas un contact prestigieux comme les autres gosses de la haute société. Contrairement à Damian, elle n'a aucun statut et n'est même pas riche. Mais suite à ses récents exploits, les garçons s'intéressent à elle pour ce qu'elle est vraiment et souhaitent davantage la connaître. ! Et bien qu'il y a de la jalousie amoureuse quand elle est invité par les garçons. Je pense qu'il éprouve aussi de l'envie mais aussi de la frustration envers Anya. Car au fond il aimerait recevoir des invitations comme celle d'Anya mais malheureusement les autres enfants ne le voient que par son statut
D'ailleurs au début, je comprenais pas pourquoi l'idée de savoir quel objet est plus raffiné que l'autre était nécessaire dans la sphère politique. Mais en parlant avec un ami, il m'a expliqué que pour des gamins de la haute société, avoir l'oeil et les connaissances pour déterminer si une chose a de la valeur c'est une qualité indéniable et faire passer ça sous l'apparence d'un jeu ça permet d'affûter leurs sens. Après tout, plus ils montrent leurs qualités et plus grandes seront tes chances de se constituer un réseau de contacts prestigieux. Et dit comme ça, ça a du sens !
I find Damian particularly angry during the ball, and I imagine he's not a big fan of these kinds of parties. Seeing as he's approached purely for his status, which not only makes him uncomfortable but angers him as the other kids come to see him just because he's from the Desmond family and not because they're interested in him for who he really is. @suunkiised posted something interesting about the invitations between Anya and Damian and there is, I think, a very interesting contrast between the two. When Damian is invited by the girls, they invite him on superficial criteria and as I said above are only interested in him because of his status or his family.
On the other hand, when Anya is invited by the boys, they have no interest in bonding with her because she's not a prestigious contact like the other high society kids. Unlike Damian, she has no status and isn't even rich. But following her recent exploits, the boys are interested in her for who she really is and want to get to know her better. And although there's some loving jealousy when she's invited by the boys. I think he also feels envy and frustration towards Anya. Because deep down he would like to receive such invitations as Anya's, but unfortunately the other children only see him by his status.
By the way, at first I didn't understand why the idea of knowing which object was more refined than the other was necessary in the political sphere. But talking to a friend of mine, he explained that for high society kids, having the eye and the knowledge to determine whether something is valuable is an undeniable quality, and putting it under the guise of a game sharpens their senses. After all, the more they demonstrate their qualities, the greater your chances of building up a network of prestigious contacts. And when you put it like that, it makes sense!
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" Nothing On Me "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd / Arkham Knight
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Une vie passée cachée de tous n'en était pas vraiment une. Plus que consciente, elle acceptait ce train de vie sans même un regard en direction de son existence passée. Tant qu'il était là, elle pouvait bien tout mettre en l'air, peu lui importait. Car après tout, sa vie c'était lui. Qu'elle s'en aille loin de tous, qu'elle abandonne ses études, qu'elle fuie sa famille, tout ça n'eut aucun impact sur elle, pas même alors qu'il lui était revenu d'entre les morts. De nouveau, sa vie ne tournait plus que autour de son existence même, son premier et dernier amour. C'était ainsi le destin qu'elle avait choisi.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘��𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟖𝟐𝟏.
Song : Nothing On Me - Kai
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Passant ma main sous le pommeau de douche, je frissonnai. L'eau était glacée.
La salle de bain était répugnante, du sol au plafond. Une odeur d'humidité flottait dans l'air, mélangée à celle d'herbes trempées, c'était pourquoi j'insistais toujours pour laisser la petite fenêtre entre la douche et le lavabo ouverte. Elle permettait d'aérer, elle apportait une certaine pointe de fraîcheur à la pièce. Elle n'effaçait pas les traces de crasse au sol, ni ne faisait disparaître les champignons qui avaient commencé à pousser sous l'évier, tout était dans le même état, rien n'avait bougé depuis ce matin. L'odeur était d'ailleurs toujours présente. Parfois je me demandais pourquoi je laissais cette fichue fenêtre ouverte ⸺celle-ci pourtant à côté d'une gare agitée. Cependant, lorsque j'oubliais de le faire et que je devais faire face à une odeur de renfermée chaude et intoxicante, je savais me montrer reconnaissante. Depuis le temps, j'avais retenu la leçon.
Malgré la condition sanitaire de la pièce, je laissais choir mes vêtements à même le sol. Ma brassière, mon boxeur et une vielle paire de socquettes blanches qui étaient à présent plus noires qu'autre chose. Tout traînait près du panier à linge qui débordait de vêtements malodorants.
Pendant que l'eau de la douche se réchauffait ⸺ce qui durait depuis déjà plus de cinq minutes⸺ je me lavais le visage. Je terminai de malaxer ma peau, évitant de faire tomber ma brosse à dents qui reposait sur le rebord du lavabo. Je venais à peine de me finir de me nettoyer la bouche, je n'avais pas pensé à la ranger immédiatement. Je n'avais aucune idée de quelle heure il était, je savais juste que nous étions bien loin de minuit, et que j'aurais dû être couchée depuis longtemps. Alors que je m'observai dans la glace brisée face à moi, cela m'importa peu.
J'essuyai mon visage d'une serviette à peu près propre et descendis jusqu'à ma nuque. Je tapotai la surface. Mes gestes furent très délicats.
Nue dans ma minuscule salle de bain, je chouchoutai mes traits autant que je le pouvais, de mes produits restants et avec les minutes de plus que j'avais à cause de la condition de ma douche.
Même après tous ces mois écoulés, je ne m'étais toujours pas faite à cette vie. Cet appartement miteux ne me revenait pas, ni le quartier violent dans lequel j'habitais. J'étais chanceuse lorsque le bruit des trains passants près de mon immeuble me réveillaient, parfois c'étaient des hurlements, le pleur de femmes battues, ou même des coups de feu.
Mais j'étais heureuse.
J'étais épanouie autant que je pouvais l'être dans une telle situation. C'était déjà ça, à mes yeux. C'était un sacrifice, il coûtait cher, mais je ne regrettais absolument rien.
Reposant ma serviette sur le petit crochet fixé au mur, j'ignorais la manière dont celui-ci se lit à trembloter pour faire volte-face. Je me chargeai rapidement de ma chevelure, parce que j'étais bien trop fatiguée pour les nettoyer ce soir, puis j'entrai dans la douche. J'aurais bien voulu refermer la porte coulissante derrière moi, cependant la porte en question était portée disparue. De l'eau éclaboussait le carrelage; c'était le cadet de mes soucis. J'étais bien trop occupée à passer mes doigts sur mon corps, partant de mes clavicules jusqu'à mes coudes. J'étais désormais trempée. De la tête aux pieds, des gouttes d'eau roulaient le long de mon épiderme, chaudes et empestant la rouille. Autrefois, j'aurais questionné la qualité de l'eau, je serais sortie en vitesse de là, sanglotant et beuglant à l'assassin, néanmoins, ça n'était pas le cas. La moi actuelle s'en fichait éperdument.
J'étais heureuse d'être là.
Mes mains glissaient jusqu'à entrer en contact avec mes hanches, elles tombaient dans le bas de mon dos jusqu'à effleurer mon derrière. Je tâtai de ma chair, la tête renversée en arrière, le regard rivé sur le plafond doré de moisissures. Je n'étais même pas sûre de cligner des yeux. C'était délicieux. Cette chaleur s'emparant de moi, cette fumée brûlante qui envahissait la pièce et ce silence. J'en oubliai tout. Je me souvins de tout.
Mes pensées se bousculèrent, mon cœur s'emballa.
Et tandis que je remontai mes mains en direction de ma gorge, mes paupières se fermèrent. Je précipitai mes doigts entre les racines de mes cheveux, trempant mes poils et tâtant de la chaleur de mon cuir chevelu. Le flot d'eau provenant du pommeau de douche continuait à me tremper, telle une cascade, j'étais son socle, de l'eau me coulait entre les jambes, sur la pointe de mes seins, jusqu'à mes coudes, mes chevilles et orteils. Même mon dos ne put y échapper. De la tête au pied, j'étais noyée, enfouie sous ce tsunami de chaleur, il m'en brûlait la peau, il me marquait au fer rouge.
Ce ne fut que quelques minutes plus tard que je me décidais à bouger, le temps de reprendre possession de mon corps. Je me saisis d'un gel douche à la senteur fruitée, et fis usage de mes ongles et paumes afin de récurer ma chair jusqu'au sang.
Je snobai les picotements qui survinrent un peu partout sur mon corps, me mettant en garde.
J'ignorai le creux dans mon estomac me prévenant que je me situais sur une pente dangereuse.
À nouveau, j'oubliais tout.
À nouveau, je me souvenais de tout.
C'était une addition divisé, un oxymore qui me brûlait les neurones, un feu glacé qui me rendait malade. J'en avais les larmes aux yeux. Et je frottais. Mais je frottais. Je me nettoyais jusqu'à ne sentir que mes mains me toucher, j'ignorais le souvenir de ces mains violentes entre mes jambes, j'ignorais cette sensation d'être pincée et explorée un peu partout. J'ignorais ce sentiment d'humiliation, cette impression d'être réduite à l'état de proie.
Une simple brebis face au Prédateur.
Ce ne fut qu'étant pleinement satisfaite que j'acceptais de descendre en direction de mon ventre. Jugeant mes bras suffisamment purifiés, je les abandonnais à leur triste sort.
Frôlant la surface de mon nombril du bout de mes doigts, je sursautai. Une étrange réaction survint. Je levai le menton vers le pommeau et, les sourcils froncés, me mordis la lèvre inférieure. Je laissai mes bras retomber le long de mon corps. Un soupir fébrile s'échappa d'entre mes lèvres pendant que mon cœur s'emballait. Ses battements se firent plus désordonnés.
Et alors que je tentai de retrouver mon calme, une énorme secousse suivit d'un bruit assourdissant me prirent par surprise.
Je tournai la tête et vis une silhouette se dessiner devant l'entrée de la douche, quelque peu assombrie par l'absence de lumière ⸺il n'y avait qu'une vieille lampe torche sur l'évier pour faire le travail. Celle du plafond avait rendu l'âme deux mois plus tôt. Il avait laissé la porte grande ouverte, donnant sur le salon d'une obscurité angoissante, presque surnaturelle.
Une de ses mains se fraya un chemin sur la vitre de la cabine, il s'y tint.
« Je t'ai cherchée partout. »
Un sourire se dessina sur mes lèvres.
« Je suis là. »
Je me reculai de la source d'eau, ouvris mes bras et le laissai s'approcher. Jason passa ses bras autour de ma taille. Sans attendre, il me pressa contre lui, enfonçant son visage dans le creux de ma nuque.
« Il est quelle heure ? » demandai-je.
« Deux heure. »
« Mhh, tu rentres tard, ce soir. Qu'est-ce que tu faisais ? »
Il ne répondit pas.
« Jason ? »
« On s'en fiche, je suis rentré c'est le principal. »
Sa manière d'éviter ma question me contraria légèrement. J'aurais voulu en savoir plus, j'aurais voulu l'épauler, malheureusement, je n'étais plus l'oreille contre laquelle il pouvait se confier. Depuis qu'il était revenu d'entre les morts ⸺quelques mois auparavant, il était devenu méconnaissable. Jason me cachait tant de choses, j'étais d'ailleurs l'une d'entre-elles. Enfermée à double tours dans ce vieil appartement miteux, je n'étais pas mieux que le reste de ses secrets.
« Mhh, tu as raison. Bon retour à la maison, mon amour. »
Mes bras étaient passés autour de sa nuque, je les dépliai avec pour objectif de caresser ses joues. Tout en pressant la pulpe de mon pouce contre sa cicatrice, je plongeai mon regard dans le sien. Jason sursauta au contact. Il ne me repoussa cependant pas. Il conservait ses bras autour de ma taille trempée, lui toujours habillé.
Sa peau était chaude, de lui émanait une odeur métallique. Il n'était vêtu que d'un simple t-shirt vert foncé et d'un pantalon noir suivit de chaussettes. Rien ne me parut suspicieux et j'étais si comblée à l'idée de le retrouver que rien d'autre n'attira mon attention. Jason me serra contre lui. Il plaqua mes seins nus à son torse, mon bassin contre le sien et fit se toucher nos fronts. Je glissai mes doigts dans sa chevelure, soupirant un peu. Puis, je murmurai gentiment :
« Tu veux te doucher avec moi ? »
Jason hocha la tête.
Je reculai donc à l'intérieur de la douche et l'emportai avec moi. Immédiatement, nos lèvres se rencontrèrent. La cascade d'eau retomba du sommet de ma tête jusqu'à mes pieds pendant que je m'accrochais à lui si désespérément que j'en avais fermé mes paupières. Jason avait fait de même. Je le sentis se débarrasser de ses vêtements en même temps, il avait commencé par en bas, déposant de léger baisers sur mes lèvres lorsque ses mouvements nous forçâmes à nous séparer. Puis il s'était dépêché de faire pareil avec son t-shirt pour venir se presser entièrement contre ma silhouette.
Jason m'enferma dans une étreinte ardente, si chaude que la température brûlante de l'eau qui nous tombait dessus en aurait presque eu honte. La sensation de ses bras autour de moi, de nos torses se frottant l'un contre l'autre, nos lèvres se rencontrant sans une once de répit... C'était divin. À l'instar d'un festin royal dont les saveurs faisaient exploser mon cœur dans une symphonie de pulsations.
Je le sentais partout autour de moi.
Jason et moi ne faisions qu'un, nous étions à présent le socle de cette cascade humide, rongés par cette même eau, bougeant au même rythme et notre épiderme fusionnant de part cette chaleur qui nous faisait petit à petit fondre. J'en avais des vertiges. Mes poumons se fidèrent de dioxygène à la vitesse de l'éclair, je m'accrochais à lui, me cramponnais à sa chair et goûtais ses lèvres humides. Jason répondait à ma vivacité avec passion, il s'agrippait à la chair de mes hanches, frottait son corps nu au mien dans des mouvements erratiques. Ça n'avait rien de pressé ni de sexuel, c'était sensuel et séducteur. L'effort que nous faisions à nous embrasser ne signifiait pas notre empressement quant à ne faire qu'un, c'était plutôt sous l'emprise d'un fort sentiment de soulagement que nous agissions. J'étais heureuse de le retrouver, c'était de même pour lui.
Jason remonta une main en direction de ma nuque, il s'en saisit et rapprocha nos visages. Il contrôlait le tempo et l'intensité de notre baiser.
Ses lèvres se moulaient parfaitement à la forme des miennes, notre salive ne faisait qu'un, gênée à répétition par l'averse qui nous tombait dessus. Le goût métallisé provenant du pommeau de douche me fit grimacer, cependant les caresser qu'exerçait Jason sur ma nuque suffirent à me distraire. J'en venais à gémir contre lui.
Je poussais une petite plainte dans sa bouche, il répondit dans un grognement grave.
C'en était presque animal, primitif, la manière avec laquelle j'étais pressée contre lui, comme si sans lui je risquais de manquer d'air. C'était bien plus que ça en soi. Son étreinte était bien plus que deux simples mains qui me pressaient contre lui, c'était notre fusion; corps et âme, c'était une connexion qui allait au delà des mots, qui transcendait toutes les réflexions que j'avais pu avoir jusqu'à présent.
J'aurais pu mourir ainsi, les poumons écrasés par ma cage thoracique, la respiration saccadée et la gorge ravagée par des brûlures enflammées. Tout ça pour rester auprès de lui. Pour toujours et à jamais.
Toutefois, il fallut que Jason se recule.
Ses paumes de mains se posèrent sur mes épaules, il embrassa doucement mon front, puis l'arête de mon nez, et imposa quelques centimètres entre nous afin que nos regards puissent se croiser. Je papillonnai des yeux. Il nous fit sortir du dessous du pommeau, en direction de la sortie de la douche et arrangea ma chevelure avec une minutie attendrissante. Elle me fit fondre sur place, les pupilles pétillantes et le bas ventre en compote.
« Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs. » il murmura.
« Jason... »
J'avais l'impression que mon cœur allait exploser.
« Merci d'être venue avec moi, merci de m'avoir suivi jusqu'ici. »
Jason embrassa le coin de ma bouche, puis ma mâchoire, puis ma tempe et il finit avec le milieu de mes sourcils. Il me dora de baisers, la prise de ses mains sur mon visage plus ferme que jamais.
« Je t'ai promis mondes et merveilles et j'y arriverai. » insista-t-il. « Tu mérites pas moins que ça, mon cœur. »
« Tant que tu me reviens. »
Je le pris par surprise en interceptant ses lèvres, je l'embrassai à mon tour.
« C'est tout ce que je veux. Toi. Toi et juste toi. Seulement toi. »
« Je t'aime. »
Une armée de papillons s'en allèrent chatouiller mon bas ventre. Je frémissai contre lui, incapable de réprimer le rictus qui prenait place sur mes lèvres.
« Moi aussi. »
Je l'embrassai.
« Je t'aime. Je t'aime. »
Tout était inhabituel depuis qu'il m'était revenu. J'avais appris son décès et m'étais immédiatement enfermée dans une dépression qui me fit frôler la mort du bout des doigts plus de fois que j'aurais aimé l'admettre. Malgré l'aide de ses frères, et de ses amis, il m'avait été impossible de tourner la page. Passer à autre chose après avoir aimé Jason Todd n'était pas une mince affaire. J'avais refusé tout type d'aide. Je m'étais enfermée dans ma chambre pendant des semaines entières et j'avais vécu avec pour simple compagnie le souvenir de son sourire et son odeur corporelle enduite sur ses vêtements. Lorsqu'il m'était revenu, j'avais cru devenir folle. Il était resté flou, je ne connaissais que les grandes lignes, la seule dont je me souvenais était sa proposition. Tout quitter le temps que les choses s'arrangent ou le quitter et définitivement tourner la page.
Alors oui, tout était inhabituel. De ce vieil appartement qu'il avait trouvé dans un des quartiers les plus miteux de Gotham, jusqu'à notre routine. Jason disparaissait presque tous les jours à faire je ne savais quoi. Parfois, il ramenait des tonnes de liasses d'argent qu'il cachait dans l'un des murs de notre cuisine, d'autre, il me revenait tout égratigné et m'empêchait de le questionner. Ce Jason était différent de celui que j'avais autrefois connu.
Celui que j'avais face à moi était plus sérieux, il avait perdu son éclat d'antan. Lorsque nous nous retrouvions, dans ces moments là, cette différence me dépaysait.
Cependant, une chose me restait familière : l'amour que je lui portais.
Lorsqu'il me caressait, m'embrassait, lorsqu'il me susurrait des mots doux au creux de l'oreille ou même lorsque nous ne faisions qu'un, il réveillait cette flamme de passion au sein de mon cœur, cette même flamme qui s'était embrasée la première fois que nos regards s'étaient croisés. Elle n'avait jamais disparu. Malgré tout Jason ne cessait de la raviver. À chaque toucher, parole, coup d'œil, il me faisait davantage l'aimer.
Je m'en fichais de ce qu'il me cachait.
Je me fichais de la provenance de tout cet argent.
Je me fichais de sa rancœur à l'égard de son père.
Je me fichais de tout tant qu'il me revenait vivant. Ma plus grande peur était de le perdre à nouveau, alors je refusais de le faire fuir avec toutes mes questions. J'avais juste besoin de savoir qu'il m'aimait et que jamais il ne me quitterait. Pour l'instant, Jason s'en sortait à merveille. Malgré le côté redondant de mon quotidien et mes conditions de vie inquiétantes, la pensée que je n'avais besoin que de lui pour être heureuse s'était rapidement certifiée.
Le sol à mes pieds aurait bien pu s'écrouler, il me suffisait d'entendre le son de sa voix et de sentir sa peau sur la mienne pour savoir que tout irait bien. Car tant qu'il était là, j'étais saine. J'étais complète. J'étais comblée.
Ma bouche trouva la cicatrice sur sa joue. Jason tourna la tête sur le côté, alors je le chassai et déposai un baiser sur sa mâchoire. Nous ne tardâmes pas à nous laver, l'eau de la douche ayant suffisamment coulé comme ça. Nous sortîmes de la salle de bain une dizaine de minutes plus tard. Vêtue d'un bas de jogging à lui et d'un simple soutien-gorge, je le suivis, main dans la main, jusqu'à notre lit ⸺un simple clic-clac dans le salon. Jason s'assit dessus et me guida sur ses cuisses, je pris place sans mal, ma poitrine collée à ses clavicules et mes bras passés autour de ses épaules.
L'appartement était minuscule, il n'y avait que deux pièces, un salon ⸺plus un petite cuisine, et une salle de bain. Dans un des murs était incrustée une armoire dans laquelle le peu de vêtements que nous avions étaient rangés. La qualité de l'endroit laissait à désirer, les murs, le sol et le plafonds manquaient d'isolation, les secousses provenant de la gare à côté handicapaient notre quotidien malgré les mois que nous avions déjà passé ici, nous n'avions jamais pu nous y habituer. Le frigo contenait mal nos restes de nourriture, il n'y avait pas de four et le micro-onde m'avait lâché la semaine dernière lorsque j'avais cherché à réchauffer mon bol de soupe. Sans parler du bazar qui traînait un peu partout dont nous étions responsables; entre bouts journaux, miettes de gâteaux, vêtements et sous-vêtements, objets parfois indescriptibles, CDs, cassettes, fils d'électroniques.
Nous vivions dans un chaos pur, avec au centre, juste lui et moi. Nous deux.
Je le sentais, toujours aussi proche de moi. Je le regardais dans le blanc des yeux, le corps chaud et un stupide sourire dessiné sur mes lèvres. Jason avait abandonné ses mains sur mes hanches, il jouait du bout de ses doigts avec l'élastique de mon ⸺son⸺ jogging. De cette manière, je me sentais invincible. Pas dans le sens où je me sentais forte, capable de tout surmonter, non. Je n'avais pas l'étoffe d'une héroïne. Malgré tout, je me sentais bel et bien invincible, je le devais à Jason. À ses côtés j'avais l'impression de ne rien risquer. J'étais certaine qu'il resterait à mes côtés, qu'il me protégerait : d'autrui, de mes souvenirs et traumatismes, de n'importe quoi. Tout ce qui aurait pu me blesser d'une quelconque manière.
J'aurais tout donné pour rester ainsi.
« T'as mangé ? » il me demanda.
« J'avais pas faim. »
Jason releva un sourcil.
« Tu m'as attendu, c'est ça ? Je t'ai déjà dit de pas le faire. » pesta-t-il dans un soupir. « Je t'avais laissé un peu d'argent sur le comptoir, t'y as même pas touché. »
« Je sais.. Mais m'en veux pas, j'étais persuadée que tu rentrerais tôt. »
« Je t'ai manqué ? »
« Quelle question... »
Il me pinça les hanches.
« Réponds, je sais que c'est vrai. »
« Eh ! »
Je plissai les yeux à la vue de son rictus taquin.
« Bien sûr que tu m'as manqué. Je t'ai attendu du matin jusqu'au soir. » marmonnai-je en roulant des yeux. « Tu mérites même pas que je te réponde. »
« Tu m'as manqué aussi, mon cœur. »
Je gloussai et me rapprochai de lui. Jason en profita pour lâcher mes hanches et plutôt les entourer de ses bras. Il me pressa contre lui, de nos bassins jusqu'à nos ventres et ma poitrine contre son torse. L'étreinte fut splendide, si romantique et passionnée. J'en eu des frissons. Le bout de nos nez se frôlèrent, finalement, nos fronts entrèrent en contact. Doucement, je vis ses yeux se fermer. Jason expira ensuite un doux soupir.
« Tu vas dormir ? » je l'interrogeai et passai mes doigts dans sa chevelure.
« Ouais, je suis crevé. » il répondit.
Son emprise sur mon corps me forçait à le suivre lorsqu'il me fit pivoter sur le côté et entrer en contact avec le matelas du clic-clac. Jason nous fit juste après reculer. Nous arrivâmes au niveau de nos oreillers respectifs, et il s'allongea sur moi, sans jamais lâcher mon estomac. De sa bouche, s'échappait un soupir d'aise. Sa tête se frotta à ma poitrine, il y trouva grand réconfort, sans ouvrir les yeux ne serait-ce qu'une fois. Je l'accueillais à bras ouverts. La vue de son expression détendue me sut suffisante. Ses traits étaient relâchés et les rayons lunaires provenant de la fenêtre juste à côté l'éclairait si joliment. J'en avais des papillons dans le ventre, le cœur qui pétillait. Il était magnifique, il m'était impossible de me lasser dès que mes yeux se posaient sur lui. J'étais irrésistiblement attirée par lui, charmée, envoûtée. Il m'était impossible de détourner le regard.
Jason déposa de doux baisers sur mon décolleté, il embrassa ma peau, me pressa contre lui. La manière dont il s'accrochait à moi était autant désespérée que passionnée. Je faisais de même en retour. Mes doigts se noyèrent dans sa chevelure corbeau, je l'agrippai et abaissai ma tête de manière à coller ma joue au sommet de son crâne.
C'était d'une perfection inconcevable.
Plus rien ne vint polluer mon esprit, je ne me souvenais plus de rien, n'omettais plus rien en retour. Tout ce qui comptait en cet instant se trouvait en mon sein, au creux de mon cœur. C'était lui, Jason Todd. Rien d'autre.
Je le vis s'assoupir, l'eus accompagné à l'aide de tendres caresses. Sa respiration s'était calmée, la force avec laquelle il m'eut précédemment maintenue en place disparue simultanément. Une demie heure s'écoula. Ne trouvant toujours pas le sommeil, j'étais malgré tout restée là, à ses côtés, attendrie par l'expression adorable sur son visage et tout autant intriguée par la cicatrice en forme de J incrustée dans sa joue. Je l'avais frôlé de mon pouce, j'avais ensuite embrassé sa tempe.
J'avais pris soin de lui aussi longtemps que possible. Morphée ne tarda pas à me voler, lorsque ma garde s'était baissée et que la fatigue avait commencé à me cueillir. Il m'accueillit à son tour et m'emporta dans le même monde de douceur dans lequel Jason avait déjà trouvé réconfort. Je l'y rejoignis avec hâte.
#jason todd x y/n#jason todd x you#jason todd#jason todd x reader#batman arkham knight#arkham knight#arkham knight x you#arkham knight x reader
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Eté 1934 - Champs-les-Sims
2/5
!! Ces dialogues ont été écrits pour essayer de retranscrire le niveau de langage d'un enfant de trois ans. Navrée si il n'est pas très clair. Une version plus lisible est dispo en bas. !!
Tu as sans doute déjà remarqué que j'ai également répondu à ta petite soeur. C'est une jeune femme adorable qui a simplement besoin de s'épancher un peu, et je suis contente de voir que cela lui fait plaisir. Je sais que c'est parfois difficile de le faire avec ses proches. Ma propre mère m'a parfois reproché de ne pas assez me confier à elle. Je pense qu'elle aurait aimé davantage de proximité. Il faut dire qu'en face, elle avait Oncle Adelphe, qui avait autrefois une relation presque fusionnelle avec ses enfants, surtout avec Alexandre, ce qui est difficile à imaginer aujourd'hui.
D'ailleurs, il semble qu'Antoine et Ange se soient lancées dans une espèce de compétition de meilleur père en imitant Adelphe. Cela reste amical heureusement. Je n'ai jamais vu des hommes aussi investis dans la vie de leur progéniture. Quand il rentre le soir, Antoine demande à Louise de lui raconter sa journée en détail, et il fait preuve d'une infinie patience pendant que la petite bégaye, bute sur les consonnes ou cherches ses mots pendant de longues secondes. Même Ange n'a jamais eu une telle patience.
En réponse, mon mari s'est lancé à corps perdu dans les études de nos filles et a fait des mathématiques son nouveau cheval de bataille. Cela a valu aux filles les félicitations de Mademoiselle Yvain.
Antoine a surenchérit en faisant apprendre à sa fille des mots comme "prolétariat", "capital" ou encore "Lénine". Louise a encore du mal à prononcer les sons en "l", alors ça a été assez laborieux. C'est une plaisanterie plus ou moins amicale entre Antoine et Ange, le premier reprochant au second son manque de conscience politique. Aurore y a mis fin quand la petite s'est mise à bégayer "Vive le camarade Staline." Ma belle-soeur n'aime pas qu'on répète des choses qu'on ne comprend pas, exactement ce qu'était en train de faire Antoine avec leur fille.
Transcription :
Louise « Puis on a lu l‘histoire et Maman a dit d’aller jouer avec Elisabeth. »
Marc-Antoine « Et bien dis moi, ça en fait une journée bien remplie. Et ça t’as plu ma grande ? »
Louise « Oui. Et Papa y fait quoi au travail ? »
Marc-Antoine « Moi ? Oh, tu sais ce n’est pas très intéressant. »
Louise « Pourquoi tu vas au travail alors ? Maman dit que c’est important ton travail. »
Marc-Antoine « Bon alors si Maman le dit… Et bien, Papa aide les gens. Enfin, il essaie. Mon travail, c’est d’essayer de régler les problèmes au village. »
Louise « Pourquoi ? »
Marc-Antoine « Il faut bien que quelqu’un le fasse non ? Je pense que je suis assez utile. Et puis, Papa veut que tous les gens aillent bien. »
Louise « Tu fais comment ? »
Marc-Antoine « Il faut que personne ne sois dans le besoin. Et dans l’idéal, il faudrait que chacun ait droit à la même chose. Tu sais, comme quand tu prend le goûter avec tes cousines, vous avez droit à la même chose. »
Louise « C’est pas vrai ! Pourquoi moi je peux pas avoir la fourchette ? »
Marc-Antoine « Tu es encore trop petite mais… oh ce n’est pas un bon exemple… Tu es peut-être encore un peu petite pour comprendre. Mais dis toi simplement que Papa veut que tous les gens puissent être égaux et qu’il n’y ait plus ni riches ni pauvres. »
Louise « Et c’est bien ça ? »
Marc-Antoine « Oui, c’est bien. Demande à Maman si tu veux. »
Louise « Maman elle pense ça aussi ? »
Marc-Antoine « Oui. Maman et Papa sont mariés parce qu’ils s’aiment mais aussi parce qu’ils pensent la même chose. »
Louise « … »
Marc-Antoine « Louise ? »
Louise « Maman elle pense que je peux avoir une fourchette aussi pour manger. Alors, tu es d’accord ? »
Marc-Antoine « Petite futée… C’est bien la fille de son père celle-là... »
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En train de capter un truc : les mercenaires humains venus chercher Erika à l'épisode 13 et dont on a jamais réentendu parler, je viens de comprendre le délire en fait !
Je repense à un post de ChiNoMiKo (que j'avais reblogué de mémoire) où elle donnait la vision qu'elle avait eue du personnage de Leiftan. Et dans sa version de l'histoire, qui n'a visiblement pas été retenue (ou pas dans la durée), Papounet était au courant pour Eldarya AVANT la potion, je crois qu'il débarque à Eldarya quand Erika est petite et très malade et bute les parents adoptifs de Leiftan pour choper de la flotte de la fontaine ou de la rivière de la mère de Leif qui est une naïade afin de soigner sa fille, ou un truc dans ce goût-là.
Du coup oui les mercenaires ça semble logique que ça vienne de cette version-là de l'histoire, où Papounet soupçonnerait sa fille d'avoir disparu à Eldarya, potentiellement il sait qu'elle et lui ont du sang faëry, du coup il envoie des gens pour la retrouver.
Sauf que bah du coup ça colle pas avec le canon établi par la saison 2, dans laquelle Papounet ne découvre l'existence d'Eldarya qu'APRES qu'Erika a bu la potion : il comprend pas pourquoi il se souvient de sa fille et personne d'autre, il fait des recherches et tombe sur l'histoire du moine et du fermier, etc.
Donc oui ok je pense que l'épisode 13 avait été écrit avec le canon de ChiNo en tête, sauf qu'il y a eu des changements de scénaristes et sans doute plein d'autres bordels, et la saison 2 n'a pas du tout pris en compte ce qui a été écrit en saison 1 sur le sujet (ni sur plein d'autres, d'ailleurs), du coup on se retrouve avec... Bah une grosse incohérence, où des mercenaires sont sortis d'un trou en scénarium pour retrouver Erika, et l'explication elle existait (ils viennent de Papounet), mais la version où elle existait n'a pas survécu assez longtemps pour qu'on l'ait, ce qui fait que de notre point de vue, y'a des types qui soi-disant connaissaient Erika, sont venus la sauver, mais qui, pourquoi, comment, on saura jamais.
J'invente sûrement pas le fil à couper le beurre mais je voulais le consigner quelque part parce que dans ma tête ça a fait :
Mdr
#eldarya#eldarya a new era#eldarya the origins#et un mystère de résolu lol#peut-être qu'un jour je comprendrai le gouffre de mémoria ou la localisation du temple fenghuang#peut-être même qu'un jour je saurai où était enterré valkyon pour de bon#ou ce qui est arrivé à la jambe de mathieu#faut savoir être optimiste
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Un autre regard : celui de la vérité brutale.
Avant d'entrer dans le vif de ce sujet, laissez-moi vous rassurer, Amis-lecteurs : je ne suis pas particulièrement royaliste, et c'est un point important, tenu compte de ce qui va suivre. On peut d'ailleurs dire que je ne suis pas républicain non plus, ni rien d'autre : du moment où il est admis que toute structure de rang plus élevé ne peut s'alimenter qu'en ponctionnant celles qui sont ''inférieures '', que ce soit un Roi, un Empereur ou un Macron (NB : sauf un Mélenchon, cas limite : lui, il vole tout !)... peu importe qui me détrousse, pour paraphraser l'âne de la fable d'Esope.
Il est cependant exact que je n'ai jamais supporté l'addiction inexplicable de nos ''élites'' (mais le sont-elles ?) pour la formule ridicule dont aucun de ces prébendiers n'accepterait de se départir : un ''Vive la République'' tonitruant, suivi d'un timide et adjacent ''et vive la France'' vite dit, mezzo (ou mezza) voce pour ne pas déranger les dormeurs durant leur sieste. Pour percer à jour le ridicule de cette formule (surtout dans un pays où rien de sérieux ne menace de près ou de loin la dite république), il suffit de mettre son équivalent dans les bouches de n'importe lequel des autres ''leaders'' à la manœuvre sur notre planète. Imagine-t-on, par exemple, LLMM Charles III d'Angleterre ou Felipe II d'Espagne n'ouvrir leur gueule royale que pour crier ''Vive la Royauté'' ? Voit-on Erdogan psittaciser sans fin ''Vive le Califat''... Xi-Jinping ''Vive mon régime indéfini et pour cause''... Viola Amherd (Présidente de la Confédération helvétique) expliquer sur les ondes les avantages de son système –qui, pourtant, a fait ses preuves, lui... ou, plus grotesque encore, Kim Il Song vociférer ''Vive mon régime, c'est-à-dire vive Moi'' ? Nos Nuls en mourraient de rire... mais leur ridicule à eux ne les tue pas, hélas...
Notre complexe de supériorité (plus con que plexe, si j'ose) trouve sa source principale dans la succession de ''les Lumières + la Révolution française'' qui, par manque de chance, a frappé notre pays plus violemment que beaucoup d'autres. Préparés par le faux brillant du cartésianisme, nos arrière-aïeux ont été tellement éblouis par leur propre intelligence d'avoir trouvé des mots à mettre sur des concepts foireux, qu'ils ont oublié que la seule définition connue d'une Civilisation passait par la fusion de modes de vie avec une religion dominante ou autour d'elle. Vous pouvez chercher : vous ne trouverez pas un seul exemple d'une véritable civilisation qui ne soit la conséquence directe d'une métaphysique pré-existante. La France, seule depuis la naissance du temps humain, a prétendu libérer les peuples de chaînes plus ou moins avérées et a mis l'Europe à feu et à sang pour lui offrir un cadeau empoisonné, dont les dits peuples ont mis pas loin de 2 siècles et demi pour se rendre compte qu'ils n'en voulaient pas.
Car le mal était fait : un appareil administratif alimenté par tous les mécontents du temps, s'est mis en place, faisant parfois regretter certaines des causes qui avaient entraîné LA Cause. L'indéniable grandeur résultant de ce qui a été rebaptisé ''Ancien régime'' avec tout le mépris du monde, a mis ou va mettre 3 siècles à s'éteindre, remplacée peu à peu par... rien –ou par ce que contemplent chaque jour nos yeux désespérés, et qui revient à peu près au même : le néant sous toutes ses formes et dans tous les domaines.
Ceux qui ont cru qu'un système sorti de cerveaux vite devenus ''d'un autre temps'' pouvait avoir une chance d'offrir à l'humanité l'équivalent de ce qu'elle avait mis tant de siècles a grignoter vers un mieux progressif mais régulier, portent donc une lourde responsabilité dans l'effondrement en cours (et qui semble irréversible) de ce qui fut la construction de la Civilisation judéo-chrétienne, de loin la plus réussie qu'ait connue l'Humanité, jusque là en marche vers sa propre grandeur, et depuis peu (à l'échelle de l'Histoire) vers une sale décadence faite –et c'est le plus triste, sans doute- - avec l'assentiment des peuples-victimes, qui mettent joyeusement la main à la pâte pour accélérer la et leur chute finale, France en tête et macronisme oblige !
Il faut vraiment avoir la citoyenneté bien accrochée pour avaler toutes les contre-vérités, les mensonges, le charlataneries qui sont la toile de fond de nos jours depuis, disons, 1981, qui a vu des idées intenables d'abord, puis fatales une fois votées, s'imposer et devenir le nouveau ''petit livre rouge'' d'une anti-religion, finalement mortelle à l'Homme sous de belles idées. La catastrophe avait commencé avec la super connerie giscardo-chiraquienne du ''regroupement familial'', vite suivie par les montagnes de faux humanisme des deux mandats de Mitterrand (leur liste dépasserait les limites de ce blog. Citer les 35 heures ou la redéfinition par le vide du mot ''Justice'' suffira !). On est alors entré dans la création d'une véritable contre-religion reposant sur la folie lâchée en liberté, mais dont les buts étaient doubles : détruire tout ce qui marchait plutôt bien en racontant que c'était mauvais... et remplacer tous les socles millénaires par des catalogues de mesures absurdes ne pouvant servir qu'à accélérer la chute de l'ensemble... Leur hymne ''Internationale'' dirait : ''C'est la chute finale'' !
Ce n'est pas sans raison que la veuve du gendarme assassiné hier à 200 m de chez moi par un multi-récidiviste (qui n'était là que parce que ''le système'' se moque pas mal des gens normaux, braves, gentils honnêtes et travailleurs) a évoqué courageusement ''1981'' comme début des folies permissives, destructrices et mortelles à terme (nous y arrivons !) qui nous assassineront peu à peu : à toujours tout confondre, ils finissent par se fondre eux-mêmes. Nous aurons, hélas, de nombreuses occasions d'approfondir ces idées. Ce soir, le chagrin de cette veuve si forte, si digne, tétanise trop la France (je veux dire : la vraie. Pas ce truc informe que LFI ose affubler de ce beau nom) pour que je puisse continuer : trop, ça devient vraiment beaucoup trop... Affaire à suivre...
H-Cl.
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