#oreillette
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edwoodette · 3 months ago
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claudehenrion · 23 days ago
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Et vous, pendant tout ce temps-là... ?
C'est le 4 mai dernier que j ai commencé à ne plus apparaître avec une régularité horlogère sur vos écrans. Quelques micromètres de nerf (?) s'opposaient à tout mouvement de ma cuisse droite, comme paralysée... à laquelle je n'avais jamais pensé sous cet angle-là. Premier séjour à Ambroise Paré et début d'une insupportable visite prolongée à travers les Enfers, c'est-à-dire l'APSP, notre nouvel asile d'aliénés. Tiens ! Je vous offre une visite...
(NB : Pour la première fois depuis les 14 ans qu'existe ce Blog, je vais écrire des noms en clair, me réservant des droits de poursuite contre chacun des acteurs de ce qui m'a vu passer l'arme à gauche à au moins 6 occasions --preuves disponibles, mais raisons insuffisantes-- et à n'être encore parmi vous que contre leur nullité).
Pour ''vous la faire courte'', je me suis retrouvé hospitalisé à ma demande aux urgences d'un hôpital parisien où une bornée de service m'expliquait que la lettre du médecin provincial qui demandait mon admission datait de la veille au soir, et que ''vous n'êtes plus une urgence''. Par chance, un ''cadre'' passe, voit mon état et ma détresse et me met à l'abri de cette tigresse. Je passe 48 h aux urgences, avec admiration pour les intervenants... puis on m'envoie au ''5 ème étage'', le service pneumologie, Dr Costantini... où l'admiration en prend un grand coup derrière les oreilles. Le volume et la structure de mon fournisseur de Blog ne me laissant pas assez de place, c'est peu à peu que je vous distillerai --preuves à l'appui-- quelques uns des hallucinants dysfonctionnements de ce réservoir digne d'un récit de ''serial killer'' ou de l'Afrique que prépare la suite des ''évolutions'' en cours, sans l'amitié si profitable de l'ex-puissance protectrice...
Pour que vous compreniez --à la fois-- ma colère et mon amertume, un récit des 48 heures terminales suffira : ''le bouquet final'', en quelque sorte. Imaginez un diagnostic qui préconise la modification électrique obligatoire de tout votre rythme cardiaque, pour que vos oreillettes ne piquent pas un sprint au moment pile où vos ventricules se bronzent au bon soleil ? Ils appellent ça ''cardioversion''... On réserve lundi à 7h30 ? OK. ! Vers les 10 heures... 'Ah ! Non, c'était pour ''de rire'' : c'est repoussé'' (''ces Messieurs ne sont pas d'accord sur le voltage'' --sic !''. NB : Jean penche pour 618 volts 42, mais Michel préférerait 72000 volts 05 d'un coup !) et repoussé encore, et finalement remplacé, sans que je sois ''au courant'', par... l'intervention d'un Kiné (je le jure !) Vous avez bien lu : à ma droite, la production horaire du palier CPY (4 à Tricastin, 6 à Gravelines, 4 à Dampierre et 4 à Blayais) ... et à ma gauche, Tony, kiné. La compète peut commencer !
Pour se faire pardonner, ils ont aussitôt eu l'idée de doubler (en gros) la dose qu'ils m'offrent de ''Bêta-bloquants''... la rendant ainsi tout-à-fait mortelle. C'est simple : je ne ne dois d'être en vie qu'à une ''Appli'' qui a mobilisé mes 4 enfants à 03h du matin : je tenais à leur dire A-Dieu... Etant à Paris, ils se sont rués au lieu de chialer, et ma fille Alexandra, toujours largement en avance sur les blocages ''hors sol'' (ou prébendés) des officiels médicaux et sur les idées fixement périmées des instances certifiées mais dépassées, avait en tête le nom d'un antidote ! Jolie perf', non ?
Mais ne vous relaxez pas trop vite : nous sommes loin du compte, encore... et pourtant ceci se passait il y a 2 jours, en plein Neuilly s/ Seine. Un peu plus tard, le même jour, entre dans ma belle chambre seul (135 €/ la nuit, quand-même ) un des grands chefs de l'hôpital --un de ceux que j'ai surnommés ''bac + 18', et qu'on reconnaît à une excroissance anormale autour du cou : un Stéthoscope avachi dont ils font semblant d'utiliser les capacités dépassées pour se distinguer de la valetaille que j'ai, à 2 reprises en ce lieu, découverte tellement ''anti-blancs'' que ça devrait en faire peur (il m'est de plus en plus utile de bien parler l'arabe !).
Ce que ce grand Sachem-sans-plumes et son audio-gri-gri convenu avaient à me dire était très simple : ''On est bien embêté... On a égaré votre dossier''. Avouez que j'ai pas de chance ! ''Tout'' perdre en 2025, au milieu de la vague immense des ''Big Data'', lorsque les impôts, la Sec.Soc, ou de soi-disant ''excès de vitesse'', la police de la pensée, les anti-fa et les insoumis en folie (c'est les mêmes, ces trois-là !) savent vous retrouver en millièmes de secondes où que vous vous cachiez... ''faut'l'faire'' !
Et, comme pour aggraver mon cas, j'ai méchamment contraint ce pauvre homme à avaler son sthétoscope-prétexte" : Oui, ils avaient tout égaré, ''les fioles, les plaquettes et les documents''... même si, au fond des choses, il ne s'agissait que de quelques prélèvements de moelle osseuse, réalisés sur moi (de manière un peu stérile tout de même --enfin... il faut espérer !). J'insiste lourdement, car ceci s'est passé en 2025 à Neuilly s/ Seine. Pas à Ouagadougou avant la colonisation (... ou depuis !) ! Et qui sait... vous vous égarerez peut-être un jour dans un de leurs collimateurs-perdeurs !
Résultat à cet instant ''T''des ces courses infernales (NDLR - Car ne l'oublions pas, il existe un passif terrifiant, parsemé de blessures graves et de menaces physiques et publiques : n'est pas le papa d'Alexandra Henrion-Caude qui veut --même si, je dois le dire la récolte montre où est l'âme de la France : 95% de ''votre fille a eu raison sur tout, depuis le début, contre tous et elle est la seule...'' Quel courage, quelle force !...et 5 petits pour cent de ''C'est une Complotiste !'' (sans explication ni support scientifique, évidemment : ils n'en ont pas trouvé, et pour cause !),mais avec une haine souvent pathologique : elle se reconnaît catho et a été classée ''de droite'' par les cuistres, encartés ou pas. Pour une fois qu'ils pouvaient en avoir 2 pour le prix d'un... Je raconterai tout, promis-juré. Tant pis pour eux.
Un médecin ex-militaire à l'ancienne, reconverti (un médecin, quoi ! Pas un brouteur con-pulsif d'écrans où personne ne sait ce que représentent les petits dessins, même pas celui qui les fait bouger sans savoir pourquoi...) a découvert au fond de moi un très vieux cancer (une leucémie lymphoïde chronique) que j'avais oublié de soigner depuis... 72 ans (Hôp St Louis. Pr Fermend), et qui se réveille lentement de sa léthargie. Promu ''Leucome'' entre temps, il exige de recevoir quelque considération, ce que sa parfaite discrétion et sa bonne éducation pendant tant d'années méritent sans doute.
Pronostic : oubliés à leur tour, tous les troubles multiples qui ont fait se tire-bouchonner Esculape et Hippocrate en leur faisant confondre le ''R-20 Fra-li-monti'' et mon anatomie... Finis, les changement d'heure circadiens à 58 000 volts et les iso-diagnostics définitifs aussitôt contredits par les faits... ''C'est le foie, vous dis-je ! Que nenni : le cœur, son axe, et la vitesse de pointe et son oreillette gauche... etc...). Depuis hier (''dossier'' retrouvé ou reconstitué ab absurdo), on est entré dans du concret : j'ai un nom, un parcours, un chemin, des horaires, des trucs douloureux à supporter... et c'est rassurant ! Je sais que tout ce bel édifice peut s'écrouler à chaque seconde... mais c'est bon d'en profiter.
Plus doux, encore : je fais des plans pour l'été, pour l'île Maurice, pour mon cher Mougins... et j'envisage même de reprendre, en tout ou partie, notre dialogue, à travers ce blog. Vous verrez se multiplier les tentatives : ce sera autant de pas vers un retour progressif à la normale... sans date prévisible pour le moment... mais ce soir est comme une ''grande première'' ! Merci, mon Dieu...
H-Cl.
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recidivelocale · 27 days ago
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Mon cœur pataphysique.
Pour vivre, on a mit dans mon cœur une ombrelle, elle ferme un foramen, un petit trou entre les deux oreillettes. Elle ressemble à une antenne parabolique.
Elle semble reliée à mon holter implanté au creux de ma poitrine, qui lui compte les battements cardiaques, il transmet l’info à un boitier qui lui-même l’envoie à un serveur de surveillance de l’hôpital, si loin de mon boitier, de mon holter, de mon ombrelle et des lents battements de mon cœur qui me disent que je suis en vie.
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skopostheorie · 2 months ago
Note
i hear a "cheh" in my oreillette 😌✨
LFMKSJOFEOJEGHOWFOHCWBOFWOHDWOHQLJSOHDWOJQDOHDQHODQ ON NY CROIRAIT PAS 🤭🤭
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chic-a-gigot · 2 years ago
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La Mode nationale, no. 11, 19 mars 1898, Paris. No. 13. — Groupe de toilettes. Bibliothèque nationale de France
Explication des gravures:
(1) Toilette de jeune femme, en corkscrow beige garni de galons mohair noir. Jupe plate, garnie de tresses posées en longueur et formant carreau seulement dans le bas. Corsage blouse garni également en longueur et formant carreaux en haut du corsage, manches galonnées, col et ceinture en velours noir.
(1) Young woman's ensemble, in beige corkscrow trimmed with black mohair stripes. Flat skirt, trimmed with braids placed lengthwise and forming a square only at the bottom. Blouse bodice also trimmed lengthwise and forming checks at the top of the bodice, laced sleeves, collar and belt in black velvet.
Matériaux: 8 mètres corkscrow.
(2) Costume tailleur en serge vert-de-gris. Jupe unie avec piqûres dans le bas. Corsage veste ajusté, avec revers châle garnis de deux galons de satin noir tournant tout autour de la veste, petites poches de côté, ceinture et basque également garnies de satin, Col et plastron de lingerie.
(2) Tailored suit in grey-green serge. Plain skirt with stitching at the bottom. Fitted jacket bodice, with shawl lapel trimmed with two black satin stripes running all around the jacket, small side pockets, belt and basque also trimmed with satin, Lingerie collar and plastron.
Matériaux: 8 mètres serge.
(3) Toilette de réception, en satin duchesse aubergine. Jupe toute plate, unie et à gros plis derrière. Corsage tout drapé en satin aubergine, légèrement ouvert en rond sur un gilet de satin crème plissé; le haut du corsage est brodé de grosses fleurs tournant autour de l'empiècement. Manches plates avec petits bouffants surmontés d'un avec petits bouffants surmontés d'un volant tuyauté en satin aubergine.
(3) Reception ensemble, aubergine duchess satin. Very flat, plain skirt with big pleats behind. Fully draped aubergine satin bodice, slightly open in the round over a pleated cream satin waistcoat; the top of the bodice is embroidered with large flowers running around the yoke. Flat sleeves with small puffs surmounted by a with small puffs surmounted by a piped frill in aubergine satin.
Matériaux: 15 mètres satin.
(4) Toilette de demi-deuil en bure noire. Jupe unie garnie dans le bas de galons de laine formant losanges. Petite veste de bure entièrement galonnée en forme de losanges et ouvrant sur en gilet froncé en mousseline de soie noire, petites pattes carrées garnies de galons. Col Médicis en velours noir, manches galonnées.
(4) Half-mourning ensemble in black homespun. Plain skirt trimmed at the bottom with diamond-shaped wool stripes. Small homespun jacket entirely braided in the shape of diamonds and opening onto a gathered vest in black silk muslin, small square tabs trimmed with braid. Medici collar in black velvet, laced sleeves.
Matériaux: 8 mètres bure.
(5) Toilette de jeune fille, en drap beige. Jupe plate et unie. Corsage légèrement blousé avec empiècement de satin crème garni d'entre-deux pailletés, l'empiècement et le devant du corsage sont garnis d'une ganse froncée, coquillée avec paillettes au centre. Col avec galons pailletés, ceinture de velours gris bleu.
(5) Young girl's ensemble, in beige cloth. Plain flat skirt. Slightly bloused bodice with cream satin yoke trimmed with sequin inserts, the yoke and the front of the bodice are trimmed with a gathered, shelled braid with sequins in the center. Collar with sequined braids, blue gray velvet belt.
Matériaux: 7 mètres drap.
(6) Toilette de jeune femme, en drap vieux bleu. Jupe plate avec tablier piqué d'un côté, et brodé dans le bas de ganses du même ton avec perles assorties. Corsage blouse avec piqûres rappelant celles du tablier et broderies semblables à celles de la jupe, ouvert en rond sur un petit empiècement de taffetas crème plissé avec oreillettes également plissées.
(6) Young woman's ensemble, in old blue cloth. Flat skirt with apron stitched on one side, and embroidered at the bottom with braids in the same tone with matching pearls. Blouse bodice with stitching reminiscent of those of the apron and embroidery similar to those of the skirt, open in the round on a small yoke of pleated cream taffeta with ear flaps also pleated.
Matériaux: 7 mètres drap.
(7) Toilette de visites en serge vert olive. Jupe plate garnie de côté de soutaches noires formant boucles. Corsage avec draperies plates, garnies de soutaches semblables à la jupe et ouvrant sur un gilet de taffetas vert plissé. Col et ceinture en satin noir.
(7) Visiting ensemble in olive green serge. Flat skirt trimmed on the side with black braiding forming loops. Bodice with flat draperies, trimmed with braids similar to the skirt and opening on a pleated green taffeta waistcoat. Black satin collar and belt.
Matériaux: 8 mètres serge.
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briselegeredansletemps · 5 months ago
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On ne peut plus savoir si les gens sont fous à Paris -x parle tout seul, ou à son oreillette
Ce n'est pas normal, je regarde les gens
Comment rencontrer quand les regards s’évitent ?
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Prisonnier du miroir
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transparentgentlemenmarker · 9 months ago
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1. Marcher en tenant son portable côté mur
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Aussi simple que cela puisse paraître, longer le mur lorsqu’on passe un coup de fil en ville est pourtant une tactique bien plus sûre, pour ne pas risquer de se faire voler son smartphone. En portant le téléphone portable côté mur, cela dissuade un agresseur potentiel puisque cette technique lui complique la tâche.
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2. Accrocher son smartphone à une dragonne
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Hautement révolutionnaire, une lanière de smartphone est l’accessoire indispensable à toute personne souhaitant diminuer les risques de se faire voler son téléphone portable. S’il existe des dragonnes en perles façon collier ou en cordon traditionnel, il est conseillé de leur préférer une version plus solide, à l’instar d’une lanière en chaîne afin d'éviter qu’un pickpocket ne la coupe.
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3. Protéger son smartphone avec une coque antivol
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Devenue la prolongation même de tout smartphone qui se respecte, la coque de téléphone portable se décline à présent sous d’innombrables versions. De toutes, nous retiendrons les coques antivols, généralement munie d’une attache permettant une meilleure prise de notre smartphone.  
4. Éviter de sortir son téléphone portable pendant un bain de foule
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Dans les transports en commun, les concerts et les manifestions ou tous autres rassemblements massifs, mieux vaut garder son téléphone portable bien rangé pour éviter de se le faire voler. Autrement dit, ne pas dégainer son smartphone à tout va et à la portée de tous comme il en est souvent question dans le bus et le métro. De plus, nous vous conseillons de ne pas vous placer trop proche des portes de sortie lorsque vous avez votre téléphone à la main, afin d'éviter qu’on vous le pique et que la personne prenne la fuite sans que vous puissiez la rattraper. Notre dernier conseil ? Publiez votre photo Instagram une fois rentré à la maison, vos fans attendrons.
5. Ne pas mettre son smartphone dans sa poche
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Par habitude ou par moment d’absence, il arrive que nous placions notre smartphone dans la poche extérieure de nos vêtements. De quoi rendre nos smartphones visibles aux yeux de tous et d’augmenter le risque potentiel de se faire voler son téléphone portable. Une erreur fréquente qu’il est largement possible d’éviter en rangeant ce dernier dans une poche intérieure qui se ferme. Quant aux backpackers adeptes du téléphone planqué dans le sac à dos, nous vous recommandons de porter votre sac sur le devant, pour garder uh oeil dessus en toute circonstance.   
6. Utiliser des écouteurs sans fil bluetooth
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Nouveau gadget imparable, l’oreille bluetooth ou le kit main libre est l’ultime astuce pour limiter les risques de vol de smartphone. Que ce soit Apple, Huawei, Samsung, Carrefour, Decathlon, Guess ou toute autre marque, il est possible de trouver des écouteurs sans fil Bluetooth -ou oreillettes- pour n’importe quel budget.
7. Au restaurant, ne pas poser son smartphone sur la table. D’une évidence extrême, ne pas poser son smartphone sur la table d’un restaurant ou bien d’un bar est une règle d’or, et d’autant plus si nous sommes installés en terrasse. À la place, gardez votre téléphone bien rangé dans votre sac à main ou bien dans une poche intérieure de vos vêtements.
8. Installer une application antivol de téléphone. Toutefois, si malgré tous vos efforts et votre vigilance votre téléphone disparaît, la dernière étape consiste à le géolocaliser pour le retrouver en cas de vol. En tête nous avons l’application gratuite Mobile Me (IPhone), d’utiliser la fonctionnalité Localiser disponible sur iCloud. D’autres applications sont disponibles sur Iphone et Androïd, telles que FamiSafe, Find my Friends, Family Locator GPS Tracker, Glympse, Family Locator…
Bien tristement, il n’est pas rare de constater que notre entourage, ou que nous-même, payons les frais d’un vol de smartphone. Par manque de ou tout simplement par manque de chance, nombreuses peuvent être les possibilités à l’origine d’un vol à l’arrachée ou discret, qui ont pu motiver un agresseur à nous dérober notre mobile.
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marie-swriting · 2 years ago
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Je Ne Peux Pas Me Permettre De Te Perdre - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu te fais tirer dessus pendant une mission, ce qui fait que tu meurs presque dans les bras de Bucky.
Warnings : coup de feu, blessure par balle, reader qui est presque morte, un peu d'angst, John Walker, Bucky est protecteur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
NdA : Ce one shot est basé sur cette request faite par @tieddown-withbattleshipchains , en espérant que ça te plaira ! Personnellement, j'ai adoré l'écrire, ton idée était très inspirante.
Tu entres doucement dans une pièce sombre, tes sens en alerte, à l'affût d’une potentielle menace avec tes matraques en mains. Tu regardes de tous les côtés quand tu vois une ombre venir vers toi. Juste à temps, tu arrives à bloquer le coup d’une Flag Smasher avec ton arme. S’ensuit alors un combat enchainé entre toi et la femme masquée. Malgré le sérum de Supersoldat coulant dans ses veines, tu arrives à t’en sortir plutôt bien. Grâce à tes entraînements avec Bucky, tu arrives à t’adapter facilement à un combat avec une personne ayant une force décuplée. Tu arrives à donner plusieurs coups, mais pas assez pour la mettre K.O. Tu as juste réussi à lui faire perdre son masque, découvrant que ton adversaire est une femme d’environ une vingtaine d’année. Vous continuez à vous battre quand un coup de feu retentit. Les yeux grands ouverts, vous arrêtez de vous battre. En baissant les yeux sur ton ventre, tu vois du sang. La Flag Smasher te pousse avant de fuir pendant que tu tombes au sol. Tu portes ta main sur ta blessure et essayes d’y mettre de la pression, malgré la douleur.
-Y/N ? C’était quoi ça ? Tu vas bien ? demande la voix inquiète de Bucky dans ton oreillette. Y/N ! s’écrie-t-il en ne t’entendant pas répondre.
-J’ai perdu la cible, arrives-tu à articuler après quelques secondes.
-Je vais m’en occuper, informe Sam. Tout va bien de ton côté ? 
Tu n’as pas la force de lui répondre, trop concentrée à ne pas te vider de ton sang. Tu balayes la pièce de tes yeux, espérant trouver le tireur, mais ne vois personne. Tu continues à regarder aux alentours à la recherche de quelque chose pour t’aider, en vain. Ta respiration se fait de plus en plus saccadée quand Bucky apparaît. Une expression inquiète prend place sur son visage alors qu’il accourt vers toi. Avant de t’atteindre, tu l’entends ordonner à Sam d’appeler les secours. Bucky s’agenouille à tes côtés, enlève tes mains et fait pression sur ta blessure. Doucement, tes paupières se font de plus en plus lourdes, mais Bucky te secoue d’une main pour te garder éveiller.
-Je t’interdis de t’endormir, tu m’entends ? Reste concentrée, Sam a appelé de l’aide, ils vont bientôt arriver. 
-J’ai sommeil, balbuties-tu en le regardant avec difficulté.
-Je sais, mais tu ne peux pas fermer les yeux, d’accord ? Tu vas t’en sortir alors reste éveillée. 
-Bucky, je…, commences-tu en posant ta main sur les siennes.
-Non, chut, t’interrompt Bucky avec douceur. Concentre-toi pour ne pas fermer les yeux. Tu me diras ce que t’as à me dire plus tard. Tiens bon, Y/N, tu vas t’en sortir, répète-t-il alors que ses mains se tachent un peu plus de ton sang. 
Tu essayes d’écouter Bucky et fais tout pour ne pas sombrer dans le sommeil, mais plus le temps passe et plus c’est compliqué. Tu commences doucement à abandonner quand les secours arrivent vers vous. Au loin, tu entends juste Bucky hurler ton prénom pendant que tu sombres.
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Quand tu ouvres les yeux, tu te sens attaquée par la lumière du lieu. Tu les refermes pendant une seconde avant de les rouvrir plus lentement. Quand tu t’habitues enfin à la luminosité, tu analyses ton environnement et réalises que tu es dans une chambre d’hôpital. Tes yeux se posent sur Bucky qui est assis à tes côtés, ses mains tenant ta main droite alors qu’il est perdu dans tes pensées. Tu bouges légèrement tes doigts pour attirer son attention. En sentant le mouvement, la tête de Bucky tourne instantanément sur sa gauche. Quand il te voit éveillée, il soupire de soulagement avant de se rapprocher de toi. De sa main gauche, il caresse doucement ta joue.
-Hey, comment tu te sens ? chuchote-t-il.
-Comme si je venais de me faire tirer dessus, dis-tu en essayant de sourire.
-Au moins, on est sûrs de pas l’avoir perdue, intervient Sam, faisant rouler des yeux Bucky.
-Tu as mal quelque part ? Tu veux que j’appelle une infirmière ? Je devrais appeler une infirmière pour la prévenir que t’es réveillée.
-Pas besoin. La perfusion fait encore effet. 
-Ça serait plus sûr et peut-être qu’elles ont besoin de vérifier certaines choses comme tu es réveillée, insiste ton petit ami en appuyant sur le bouton pour appeler une infirmière. 
-Pire qu’une mère poule.
-La ferme, Sam.
-Me faites pas rire, ordonnes-tu en sentant une douleur dans ton ventre alors que tu as à peine rigolé à cause de leur chamaillerie.
-Désolé, s’excuse Sam.
Bucky continue de te regarder comme s’il avait peur qu’en détachant ses yeux de ton visage, tu disparaisses. Tu le regardes avec tendresse, espérant le rassurer en lui confirmant qu’il ne t’a pas perdu. Pendant ce temps, Sam se sent un peu laissé de côté, mais il ne peut s’empêcher de regarder la scène affectueusement, sachant très bien tout ce que tu représentes pour Bucky. 
En effet, depuis ta rencontre avec l’ancien Soldat de L’hiver, tu as toujours fait attention à ce qu’il ne manque de rien. Tu l’as aidé, et l’aides encore parfois, à s’adapter au monde actuel et tu es une des rares épaules sur laquelle il arrive à pleurer, sans honte. Vos sentiments l’un pour l’autre se sont développés doucement et votre relation a changé au même rythme. Votre lien est fort et indescriptible. Tout ce que vous savez c’est que vous ne pouvez pas vivre sans l’autre. Bucky ne peut surtout pas te perdre, pas seulement parce qu’il t’aime, mais aussi car tu es l’une des rares constantes de sa vie depuis qu’il a retrouvé la mémoire. 
Quelqu’un frappant à la porte de ta chambre vous sort de votre bulle. Tu t’apprêtes à saluer une infirmière quand tu découvres John Walker, dans sa tenue de Captain America avec son casque en main. Tu fronces les sourcils, ne t’attendant pas à le voir. 
-John, quel plaisir ! commence Bucky sarcastiquement. Tu es là pour rendre le Bouclier ?
-Buck ! le réprimandes-tu et il te fait un faux air innocent. 
-Je voulais savoir comment vous alliez, Y/N, te demande John en évitant ton regard pendant une seconde.
-Ça peut aller, considérant que j’ai failli mourir. 
-A propos de ça, je voulais m’excuser.
-De quoi vous parlez ? questionnes-tu, les sourcils froncés.
Même si tu n’as pas vu qui t’a tiré dessus, tu supposes que c’était un Flag Smasher, car ta blessure a permis à ton ennemi de s’échapper, enfin jusqu’à ce que Sam la rattrape, alors tu ne comprends pas les excuses de John. 
-Je… J’essayais de viser la Flag Smasher, explique John en jouant avec son casque, mais quand vous étiez en train de vous battre, vous avez changé de place et je vous ai tiré dessus sans faire exprès.
En entendant la fin de la phrase John, Bucky voit rouge et lâche ta main avant d’essayer de se jeter sur John. Sam le retient de justesse, empêchant Bucky de briser la règle numéro deux de sa thérapeute. John recule jusqu’à la porte au cas où Sam n’arriverait plus à retenir Bucky. Ton petit ami se force à ne pas utiliser toute sa force contre Sam, il sait qu’il pourrait se défaire de son emprise facilement, mais il sait que ce n’est pas la chose à faire. Bucky a réussi à obtenir son pardon, il ne peut pas tout ruiner maintenant. Cependant, ça n’empêche pas que John a failli ruiner la relation la plus chère à ses yeux. Déjà que Bucky n’arrivait pas apprécier le nouveau Captain America, maintenant, il n’a qu’une envie : le défigurer ou retourner dans le passé et forcer Sam à garder ce maudit Bouclier ainsi, tu ne serais pas dans ce lit d’hôpital.
-C’était un accident, je le promets, assure John. Je suis vraiment désolé.
-Ils apprennent plus à viser à l’armée ou comment ça se passe ? crache Bucky alors que Sam resserre un peu plus son emprise. Enfin, si tu n’as pas le champ libre, tu tires pas, c’est de la logique ! A cause de toi, Y/N a failli y passer et on a presque pas arrêté la Flag Smasher. C’est pas possible d’avoir aussi peu de réflexion ! 
-Bucky, il a pas fait exprès, interviens-tu, espérant détendre l’atmosphère.
Même si tu détestes John autant que Bucky, tu ne veux pas que ton petit ami lui refasse le portrait. Tu ne peux pas avoir Bucky comme ennemi numéro un du gouvernement américain à nouveau. 
-Je m’en fiche de ça, te rétorque Bucky. T’as failli mourir dans mes bras à cause de son incompétence, continue-t-il en pointant John du menton. Tu parles d’un Captain America ! Rien que pour ça, tu devrais rendre le Bouclier.
-C’était une erreur. Et puis, je viens tout juste d’être Captain America, j’ai encore beaucoup à apprendre, tente de se défendre John, énervant un peu plus Bucky.
-Ne pas tirer sur les innocents ne devrait pas en faire partie ! Ça, t’es censé l’avoir appris au début de ton entraînement à l’armée. C’était bien plus qu’une erreur. T’as intérêt à partir maintenant avant que je fasse de toi un résident permanent dans cet hôpital. 
-Vous devriez partir, John, confirmes-tu, sachant très bien que la colère de Bucky ne va pas redescendre tout de suite. Merci de m’avoir dit la vérité.
-C’était le moins que je puisse faire. Encore désolé, Y/N.
Quand John quitte enfin la pièce, Sam relâche doucement Bucky, mais reste prêt à tenir de nouveau Bucky au cas où. Ton petit ami prend une profonde inspiration avant de poser son attention sur toi à nouveau. Même s’il a l’air plus calme, tu vois à ses yeux que la colère est toujours présente. Il se rassoit à tes côtés alors que Sam s’installe au bord de ton lit.
-Tout ça aurait pu être évité si tu n’avais pas donné le Bouclier, s’exclame Bucky, faisant rouler tes yeux et ceux de Sam.
-Encore avec ça.
-Comment tu peux ne pas être énervée contre lui alors qu’il t’a presque tué ? te questionne-t-il, perdu.
-Ecoute, tu sais très bien ce que je pense de lui comme Captain America et aujourd’hui nous prouve un peu plus que ça ne devrait pas être lui, mais le fait est qu’il ne m’a pas blessé intentionnellement. 
-Intentionnellement ou pas, j’aurais pu te perdre.
-Et ce n’est pas le cas. Je suis toujours là, lui assures-tu en caressant sa joue. 
Bucky est sur le point d’ajouter quelque chose quand l’infirmière qu’il a appelée entre dans ta chambre. Elle vérifie tes constantes, te pose quelques questions et t’informe que ton médecin passera plus tard avant de te laisser te reposer. Grâce à son intervention, Bucky laisse enfin le sujet “John” de côté, même s’il fulmine encore. Pour détendre l’atmosphère, Sam change de sujet en évoquant sa maison en Louisiane. Il parle des températures, de son bateau familial et des différentes activités que sa ville natale a à offrir jusqu’à ce que ton médecin l’interrompe. Elle t’explique qu’ils ont réussi à te sauver pile à temps et que tu auras une cicatrice sur ton ventre. Enfin, elle t’informe que tu vas devoir te ménager pendant un moment, t’interdisant formellement de retourner sur le terrain jusqu’à nouvel ordre. Tu ne peux t’empêcher de pousser un soupir de frustration à sa dernière information. La dernière chose dont tu avais besoin c’était de rester clouée au lit. Quand elle quitte ta chambre, Bucky essaye de te faire voir le bon côté des choses, sachant très bien que tu es agacée par ta situation actuelle. Cependant, peu importe ce qu’il dit, ça ne semble pas être suffisant pour faire disparaître la moue sur ton visage. Sam te propose alors de venir faire ta convalescence chez lui en Louisiane, loin de la ville. Tu pèses le pour et le contre avant d’accepter, non sans faire lever les yeux de Bucky au ciel. 
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Quand tu es enfin autorisée à partir de l’hôpital, tu découvres l'État où vit Sam. Ce dernier vous a laissé, à toi et Bucky, la chambre d’amis. Tu l’as remercié un nombre incalculable de fois pour sa gentillesse alors que Bucky lui a seulement lâché un petit sourire pour montrer sa gratitude. 
Pendant ta convalescence, les deux hommes sont aux petits soins pour toi. Sam te fait découvrir les plats typiques de la région ou encore ses recettes de famille. Tu dois avouer que Sam est doué en cuisine, ce que tu n’aurais pas cru au premier abord. Sam t’apporte également des choses à faire pour t’occuper depuis le lit, comme des jeux de société ou des activités manuelles. Tu te considères maintenant pro dans la création de bracelets avec des perles en plastique. Tu en as fait pour Sam, sa sœur Sarah et ses fils AJ et Cass, mais également pour Bucky. À part AJ et Cass, Bucky est celui qui en a le plus avec des mots mignons ou ridicules allant de “mon amour” à “grincheux”. Certains de tes bracelets sont en parfait contraste avec son bras en Vibranium. 
Bucky, quant à lui, est toujours à tes côtés et s’inquiète même quand tu affirmes que tu n’as pas de douleur. Il t’aide à nettoyer ta blessure, changer ton pansement et s’assure que tu es toujours dans une bonne position pour dormir. Enfin, le soir quand tu es dans les bras de Morphée, Bucky te colle - tout en faisant attention à ta blessure - en posant délicatement sa tête sur ta poitrine pour écouter les battements réguliers de ton cœur. En les entendant, Bucky arrive à respirer et à s’endormir paisiblement tout en se répétant que tu es encore en vie, tu es encore à ses côtés, il ne t’a pas perdu. 
Après plusieurs semaines allongée, tu peux marcher une plus longue distance que celle de ta chambre à la salle de bain. Assise sur le lit, tu enfiles tes chaussures quand un Bucky avec des yeux grands ouverts vient vers toi.
-Je peux savoir ce que tu fais ? Tu dois te reposer, te rappelle-t-il, t’empêchant de finir de lacer ta chaussure gauche.
-Le docteur m’a dit que je devais marcher pour aider la guérison, expliques-tu en jouant avec les perles de son bracelet formant le mot “vieillard”.
-C’est quel genre de conseil idiot, ça ? Tu dois rester au lit.
-Bucky, si je reste une seconde de plus sur ce maudit lit, je vais le cramer, informes-tu avec un air sérieux. Et puis, je ne vais pas courir un marathon, je vais juste marcher très lentement aux alentours de la maison. Viens avec moi, si ça peut te rassurer.
-Et si tu te faisais mal en marchant ? s’enquiert-il et tu te retiens de lever les yeux au ciel.
-Alors heureusement que mon merveilleux et fort petit ami sera à mes côtés pour m’aider. Bucky, je vais bien, assures-tu en le regardant dans les yeux. Je n’ai pas mal et j’ai besoin de bouger. Je n’en peux plus de faire la plante verte dans cette maison. Je connais tous les recoins de cette chambre, j’ai besoin de sortir.
Bucky semble considérer la situation, pesant mentalement le pour et le contre avant de soupirer et de hocher la tête. 
-Bon, d’accord, mais si tu ressens ne serait-ce qu’une petite douleur, tu as intérêt à me le dire et on rentre, ordonne-t-il en défaisant ton lacet gauche pour le refaire, et on ne marche pas plus de cinq minutes, finit-il.
-Quinze, négocies-tu.
-Dix. 
-Vendu, acceptes-tu avec un regard enfantin.
Bucky termine de lacer ta basket droite avant de te donner sa main pour t’aider à te lever tout en examinant ton visage pour le moindre signe de douleur. Pour lui prouver que tout va bien, tu lui souris avant d’embrasser ses lèvres chastement. Il prend ton bras droit et le place sur le sien pour te soutenir alors que vous quittez doucement votre chambre provisoire. En sortant - enfin - de la maison, tu prends le temps d’apprécier la chaleur du soleil sur ton visage. Vous marchez alors que tu partages à Bucky toutes tes observations sur le paysage s’offrant à vous. Depuis ton arrivée, tu n’as pas eu le temps d’admirer la beauté extérieur de la maison de Sam donc, tu regardes chaque arbre, fleur et vague, profitant de la nature que tu n’as pas à Brooklyn. 
Après quelques minutes de marche, tu demandes à Bucky de vous arrêter. Tout de suite, il te questionne, inquiet que tu risques de tomber dans les pommes à n’importe quel moment.
-Je vais bien, le rassures-tu, mais son expression inquiète ne quitte pas son visage.
-Désolé d’être autant sur ton dos, mais je veux juste m’assurer que tu ailles bien.
-Je sais. 
-Tu penses que je suis lourd ? questionne-t-il en touchant le bracelet avec l’inscription “mon ange”.
-Non, je trouve ça mignon la façon dont tu t'inquiètes, dis-tu en relevant son visage de ta main. Tu es une vraie mère poule et j’adore ça, ajoutes-tu, le faisant légèrement rire.
-Est-ce qu’on peut réellement m’en vouloir, j’ai bien cru que j’allais te perdre, dit-il en se remémorant le moment où il t’a rejoint pendant que tu te vidais de ton sang. Quand tu as commencé à fermer les yeux, j’étais persuadé que c’était fini. Et je ne peux pas te perdre, affirme Bucky d’une voix tremblante. Je sais que je ne te le dis pas souvent, mais ma thérapeute me dit que je dois apprendre à mieux communiquer ce que je ressens alors, je te le dis : Tu es importante pour moi, j’ai besoin de toi pour continuer à avancer. Ça peut paraître égoïste, mais je ne peux pas me permettre de te perdre et si ça devait arriver… je ne sais pas ce que je deviendrais, continue-t-il avec les larmes aux yeux. J’ai besoin de toi auprès de moi. Je t’aime tellement.
En voyant une larme couler sur sa joue, tu le prends dans tes bras et caresses son dos. Il cache son visage dans le creux de ta nuque et inspire ton odeur. Une partie de Bucky se sent mal d’être celui qui reçoit le réconfort alors que tu es celle qui a été blessée, mais il en a besoin. Te perdre est sa plus grande peur et depuis que John t’a tiré dessus, il a pris conscience que se peur pouvait se réaliser en une seconde. Tu continues à le serrer contre toi, lui prouvant que ça ne te dérange pas de le réconforter, car tu le comprends. 
-Je t’aime aussi, Bucky, murmures-tu dans son oreille. Tellement. 
Vous restez enlacés pendant quelques minutes jusqu’à ce que votre anxiété s’évanouisse. Quand vous vous séparez, une de tes mains se pose sur la joue de Bucky alors que la deuxième caresse le bracelet avec les perles “pour toujours” avant de prendre sa main gauche. 
-Je ne peux pas te promettre que je serai toujours en sécurité à cause de notre métier, mais je peux te promettre une chose : je ferai toujours tout ce que je peux pour rester à tes côtés et je veux que tu me promettes la même chose car j’ai besoin de toi autant que tu as besoin de moi. 
-Promis.
Comme pour sceller votre promesse, vous vous embrassez délicatement avec le soleil se couchant comme témoin. Bucky ne pose pas ses mains sur tes hanches, craignant de te faire mal involontairement donc ses mains trouvent leur chemin sur tes joues alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux.
Marvel Mastelist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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automaticwolfpatrol · 2 years ago
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Ecouteurs Bluetooth sans Fil, 2023 Ecouteur Bluetooth 5.3 Stéréo, 40H Ecouteurs sans Fil avec CVC8.0 Antibruit Mic, Oreillette Bluetooth IP7 Etanche, Contrôle Tactile Écran LED Casque Bluetooth, Blanc. Cliquer ici pour économiser 56% de réduction. Cette offre finira pour 6 Août profiter cette offre pour ne pa rater cette réduction
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vincentreproches · 2 years ago
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Mi. Oreillette me glisse que l.auteur du Graff n’a pas apprécié la photo
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laporteusedegateaux · 2 years ago
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I hear Cheh in my oreillette
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This is my new favourite headline I've seen all year lmaooo
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dukediaper · 3 days ago
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Intro : d'où me vient cette envie ? Les souvenirs reviennent.
Les poteaux espacés à distance régulière marquent un clignotement devant le paysage qui défile. Le rythme de la musique dans mes oreillettes n'est pas tout à fait aligné aux mêmes battements mais je laisse mon esprit vagabonder entre les sonorités entraînantes et les paysages chatoyants. Les forêts et falaises escarpées du Jura ont maintenant laissé place aux plaines avec leurs prairies ou paissent les vaches. Le TGV poursuit sa course vers la prochaine gare tandis que ma tranquillité n'est que légèrement perturbée par les ordeurs écœurantes de friandises qu’un groupe de touristes japonnais se met à déguster ! Je préférerais humer les parfums du talc ou de fragrances délicates et apaisantes d’eaux de toilettes enfantines.
Triste de finir un séjour ponctué de belles rencontres, j'ai trouvé un peu de sérénité grâce à la couche que j'ai enfilé. Je ne sens pas vraiment la douceur de la ouate qui enveloppe mes fesses et mon sexe. Mais sa présence me rassure et m’apaise, je ne vais quand même pas sortir une peluche en public ! Malgré la quantité d'eau absorbée pendant le déjeuner avant le départ, je ne me suis pas encore lâché, même si je laisse la pression monter en mon bas ventre, prétextant que l'accès aux toilettes est trop compliqué. Prétexte farfelu puisque j'y ai accèdé au début du voyage pour enfiler cette douce protection. Tant que je ne faisais que farfouiller au fond du sac posé sur un siège libre pour choisir un modèle adapté, le geste etait masqué, mais mes pommettes rougirent au moment où il fallu glisser cet objet au motif féminin pourvu d'une bande élastique dans la poche du short. Poche qui fit évidemment un peu de résistance et ralentit mon geste, m’exposant plus longuement que prévu à la curiosité des voyageurs. Mais je trouvais ensuite ce vêtement court bien pratique pour glisser alternativement chaque jambe dans la couche culotte après avoir baisser le côté du slip et du bermuda correspondant. Les toilettes des TGV offrent un espace bien réduit pour ce genre d’acrobaties surtout quand on veut éviter de poser les pieds au sol ou se frotter aux parois.
Il fait quand même chaud dans ce train. Et j'ai oublié de prendre une bouteille d’eau. Je décide donc d’aller voir si je peux me dépanner au bar. En traversant les quelques wagons qui me séparent de la voiture bar, je croise plusieurs familles. Jeunes parents enlaçant tendrement leurs petites têtes blondes. J'envie un peu la légitimé de ces jeunes enfants à pouvoir se produire en public, habillés d'un body à boutons pressions à l'entrejambe, le derrière rembourré et déformé par la présence d'une couche épaisse.
Arrivé au bar, je jette un coup d'œil rapide à la carte des boissons. J'opte pour un chocolat chaud, évoquant un peu la boisson enfantine du biberon. Et sans doute qui attisera mon envie d'aller aux toilettes. Mais je suis DL et je porte une couche ! Il va falloir jouer finement, cette dernière est discrète mais pas très absorbante. Le voyage est encore long et il est hors de question de faire trop gonfler la matière absorbante. L'envie monte pourtant provoquant une pression dans le bas ventre et une forme d'excitation, qui, bien que je sirope à petites lapées espacées mon chocolat, m’asséche la gorge.
Combien de temps vais je tenir, quelle tactique adopter pour gérer cette situation et adopter le bon équilibre entre l'utilisation des toilettes et le pipi couche ?Je me concentre sur mes souvenirs et mon parcours de DL pour essayer de me distraire de cette envie de soulagement. Et de nombreux flashs se succèdent. Mais je n'ai pas le temps de vous les détailler maintenant, le haut parleur annonce l'arrivée à Paris. Je n'ai plus le temps d'aller aux toilettes dont l’accès est réellement obstrué par les premiers voyageurs qui accumulent leurs bagages devant la porte. Et maintenant, je dois changer de gare en prenant le métro : escaliers, lourds bagages, bousculades, moiteur de la promiscuité inévitable, vessie pleine, attention !
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manue-ringo · 4 months ago
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Mission à haute risque partie 2
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Malgré la tension qui déchirait chaque instant de leur mission, Mulder et Scully parvinrent à accomplir leur objectif. Ils avaient infiltré le centre de recherche génétique de NuGenesis, recueilli les preuves et mis en échec les systèmes de sécurité. Chaque mouvement, chaque décision avait été une question de survie, mais ils avaient réussi. Alors que l'alarme principale retentissait, signalant l'activation de la dernière sécurité, Mulder attrapa Scully par le bras et la tira vers la sortie. Les couloirs étaient déserts maintenant, mais leurs pas résonnaient comme un avertissement dans l’immensité silencieuse du complexe.
Scully, essoufflée et tendue, vérifia les documents qu'ils avaient collectés.
On a tout, Mulder. Si ce qu’on a ici se confirme, ça peux changer la donne.
Mulder hocha la tête, mais un sentiment de vide s’empara de lui. Ils étaient proches de la sortie maintenant, mais quelque chose dans son regard trahissait la profondeur de la douleur qu’il dissimulait. Un mélange de soulagement, mais aussi de colère — la guerre contre cette organisation n'était pas terminée.
Ce n’est pas fini, Scully. Pas tant que le reste de l’Empire n’est pas tombé. Murmura-t-il avec une détermination sombre.
Ils sortirent dans la nuit, l’air frais du dehors frappant leurs visages. Dans les minutes qui suivirent, leur équipe se regroupa pour l’extraction. La mission était techniquement un succès, mais ils savaient que la bataille pour anéantir le Centre ne faisait que commencer.
À des centaines de kilomètres, la situation au Manoir de l'Ange devenait catastrophique. Parker et son équipe avaient été submergés. Les hommes de Skinner, pourtant entraînés pour ce genre de situation, avaient été mis en déroute par l’ampleur de la défense du Manoir. L’endroit, à l'apparence d’une maison de luxe, s’était transformé en un véritable piège. Le personnel du centre semblait être des soldats aguerris, familiers avec chaque recoin du bâtiment, et ils avaient réussi à prendre l'initiative.
Parker, épuisée et de plus en plus furieuse, n'avait pas vu venir l'attaque frontale. Leur couverture avait été compromise, et ils étaient désormais encerclés. Des fenêtres brisées, des explosions étouffées, des bruits de pas se rapprochant à chaque seconde : ils étaient coincés.
On doit sortir. Ordonna-t-elle en scrutant l’horizon chaotique.
Un de ses hommes, blessé, gisait à terre, incapable de se relever. Le reste de l’équipe se battait, mais les chances de succès diminuaient à vue d’œil.
Un autre cri, plus proche cette fois, fit frissonner Parker. Le Manoir, pourtant imposant et plein de secrets, devenait une prison. Elle sentait la pression monter. Ses mains étaient pleines de sang, la sueur perlant sur son front.
Soudain, son oreillette grésilla, la voix autoritaire de Skinner brisant le tumulte :
Parker, vous devez vous retirer immédiatement. C'est une mission d'évacuation maintenant. C'est trop dangereux.
Parker serra les dents, hésitant à obéir. Elle jetait des coups d’œil rapides autour d’elle, à la recherche d’une issue, mais tout était fermé. Leur seul espoir résidait désormais dans l’intervention de Skinner.
Monsieur, j’ai besoin de plus de temps ! Répondit-elle d’un ton acéré, mais la réalité l’écrasait. Ils étaient dépassés.
C'est un ordre, Parker. Reculez ! Je ne vous laisserai pas mourir ici. Poursuivit Skinner, la voix dure, mais marquée d’une urgence palpable.
Elle sentit un frisson de rage et d'impuissance l’envahir, mais elle savait qu’il avait raison. Ils étaient trop nombreux, et plus elle résistait, plus ils risquaient de perdre.
Compris. Répondit-elle, sa voix trahissant la frustration.
Parker fit alors signe à ses hommes de se replier. Leur extraction avait été trop lente. Chaque minute était une seconde de trop. En se dirigeant vers la sortie, un violent coup de feu fit exploser une vitre à quelques centimètres d’elle. Le vent froid pénétra dans la pièce, mais Parker, toujours déterminée, ordonna à son équipe de se cacher derrière un mur. Ils avaient encore quelques secondes.
Au même moment, Skinner, qui avait supervisé l’évacuation depuis l’extérieur, lança la procédure d’extraction. Un hélicoptère apparut à l’horizon, son bruit assourdissant couvrant presque le chaos ambiant.
Les hommes de Skinner, qui avaient maintenu une ligne de défense pendant tout ce temps, couvrirent la retraite de Parker et de son équipe. Ils se dirigèrent précipitamment vers le point d'extraction.
Parker se retourna une dernière fois, l’adrénaline bouillonnant dans ses veines. Elle ne pouvait s’empêcher de regarder le Manoir qui lui échappait, un dernier regard vers l’enfer qu’elle n’avait pas pu maîtriser. La mission était un échec, et le poids de cette défaite la poursuivrait. Mais il n’y avait pas de place pour la faiblesse. La guerre n’était pas encore terminée.
Ils atteignirent le point d’extraction dans un fracas, juste à temps pour voir l’hélicoptère se poser. Parker monta à bord, le regard fixé sur l’horizon, déterminée à revenir pour finir ce qu’elle avait commencé. Elle savait que la partie n'était pas encore jouée.
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tunewtec · 23 days ago
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Casque PC Gamer : Comment Choisir le Meilleur Casque pour une Expérience de Jeu Immersive
Un casque PC gamer est essentiel pour les joueurs à la recherche d’une expérience de jeu immersive, qu'il s'agisse de jeux multijoueurs compétitifs ou de jeux solo. Un bon casque gamer vous permet d'entendre chaque détail du jeu, d'entendre clairement vos coéquipiers en ligne, et d’ajouter une dimension sonore réaliste. Découvrez comment choisir le meilleur casque PC gamer en 2025 pour une expérience de jeu optimale.
🎯 Pourquoi Choisir un Casque PC Gamer ?
✅ Son immersif – Profitez d’un son stéréo ou surround qui vous plonge dans l'action. ✅ Communication claire – Les casques gaming sont équipés de microphones de haute qualité pour des conversations nettes avec vos coéquipiers. ✅ Confort de jeu – Conçu pour de longues sessions de jeu avec des oreillettes ergonomiques et un design léger. ✅ Amélioration de la réactivité – L’audio spatial vous aide à entendre des bruits de pas, des tirs ou des attaques, améliorant ainsi votre réactivité.
💡 Le bon casque PC gamer vous permet d’avoir une immersion totale dans le jeu et de rester compétitif dans les jeux multijoueurs.
🔍 Les Meilleurs Casques PC Gamer en 2025
📌 1. SteelSeries Arctis Pro Wireless
🔹 Type : Sans fil, Surround 7.1 🔹 Microphone : Microphone ClearCast, rétractable 🔹 Autonomie : Jusqu'à 20 heures 🔹 Prix : À partir de 250 €
💡 Le SteelSeries Arctis Pro Wireless est un casque sans fil de haute qualité offrant une performance sonore exceptionnelle et un confort de jeu optimal. Idéal pour les joueurs exigeants qui veulent un son de qualité et une communication claire.
🎮 2. Logitech G Pro X
🔹 Type : Filaire, Surround 7.1 🔹 Microphone : Blue VO!CE, microphone amovible 🔹 Confort : Oreillettes en mousse à mémoire de forme 🔹 Prix : À partir de 130 €
💡 Le Logitech G Pro X est conçu pour les joueurs professionnels avec un son surround précis et un microphone de qualité studio, parfait pour les compétitions et le streaming.
🏆 3. Corsair HS70 Pro Wireless
🔹 Type : Sans fil, Surround 7.1 🔹 Microphone : Microphone omnidirectionnel, amovible 🔹 Autonomie : Jusqu'à 16 heures 🔹 Prix : À partir de 100 €
💡 Le Corsair HS70 Pro Wireless offre une qualité sonore incroyable avec une connexion sans fil fiable et un confort adapté pour de longues sessions de jeu. Un excellent choix pour les joueurs à la recherche de performance et de confort à prix abordable.
⚡ 4. Razer Kraken V3
🔹 Type : Filaire, THX Spatial Audio 🔹 Microphone : Microphone hypercardioïde, amovible 🔹 Confort : Coussinets en gel rafraîchissant 🔹 Prix : À partir de 100 €
💡 Le Razer Kraken V3 propose un son spatial THX qui offre une immersion totale et un microphone clair, idéal pour les jeux multijoueurs où chaque détail compte.
🎮 5. HyperX Cloud II Wireless
🔹 Type : Sans fil, Surround 7.1 🔹 Microphone : Microphone à réduction de bruit, amovible 🔹 Autonomie : Jusqu'à 30 heures 🔹 Prix : À partir de 150 €
💡 Le HyperX Cloud II Wireless est un casque sans fil avec un son surround 7.1 et une qualité de microphone exceptionnelle. Il est conçu pour offrir un confort durable et une performance sonore parfaite, idéal pour des sessions de jeu longues.
🛠 Comment Choisir le Meilleur Casque PC Gamer ?
📍 1. Définir vos besoins en jeu
📌 Jouez-vous à des jeux compétitifs ou à des jeux en solo ? 📌 Avez-vous besoin d’un casque avec microphone intégré pour des jeux multijoueurs ? 📌 Cherchez-vous un casque sans fil ou filaire ?
💡 Si vous jouez à des jeux compétitifs en ligne, un casque avec un microphone de qualité, une réduction du bruit et un son surround sera crucial pour la communication et la réactivité.
🎮 2. Vérifier la qualité sonore et du microphone
📌 Son surround : Les casques avec audio spatial vous permettent d’entendre les sons provenant de différentes directions, ce qui est essentiel dans les jeux de tir ou d'aventure. 📌 Microphone : Choisissez un casque avec un microphone clair et à réduction de bruit pour des conversations nettes sans interférence.
💡 Assurez-vous que le casque offre un son clair et une bonne qualité de communication pour être compétitif dans les jeux multijoueurs.
🔧 3. Confort et Durabilité
📌 Oreillettes : Optez pour des oreillettes rembourrées ou en mousse à mémoire de forme pour un confort de jeu prolongé. 📌 Poids : Choisissez un casque léger, surtout si vous jouez pendant plusieurs heures.
💡 Le confort est essentiel pour éviter la fatigue pendant les longues sessions de jeu.
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🧐 Conclusion
Choisir le meilleur casque PC gamer dépend de vos préférences de jeu et de votre budget. ✅ Les casques comme le SteelSeries Arctis Pro Wireless et le Logitech G Pro X offrent des performances exceptionnelles avec un son surround et un microphone de qualité. ✅ Si vous recherchez un casque sans fil à un prix compétitif, le Corsair HS70 Pro Wireless et le HyperX Cloud II Wireless sont d'excellents choix.
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claudehenrion · 23 days ago
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Et vous, pendant tout ce temps-là... ?
C'est le 4 mai dernier que j ai commencé à ne plus apparaître avec une régularité horlogère sur vos écrans. Quelques micromètres de nerf (?) s'opposaient à tout mouvement de ma cuisse droite, comme paralysée... à laquelle je n'avais jamais pensé sous cet angle-là. Premier séjour à Ambroise Paré et début d'une insupportable visite prolongée à travers les Enfers, c'est-à-dire l'APSP, notre nouvel asile d'aliénés permanent. Tiens ! Je vous offre une visite...
(NB : Pour la première fois depuis les 14 ans qu'existe ce Blog, je vais écrire des noms en clair, me réservant des droits de poursuite contre chacun des acteurs de ce qui m'a vu passer l'arme à gauche à au moins 6 occasions --preuves disponibles, mais raisons insuffisantes-- et à n'être encore parmi vous que contre leur nullité).
Pour ''vous la faire courte'', je me suis retrouvé hospitalisé à ma demande aux urgences d'un hôpital parisien où une bornée de service m'expliquait que la lettre du médecin provincial qui demandait mon admission datait de la veille au soir, et que ''vous n'êtes plus une urgence''. Par chance, un ''cadre'' passe, voit mon état et ma détresse et me met à l'abri de cette tigresse. Je passe 48 h aux urgences, avec admiration pour les intervenants... puis on m'envoie au ''5 ème étage'', le service pneumologie, Dr Costantini... où l'admiration en prend un grand coup derrière les oreilles. Le volume et la structure de mon fournisseur de Blog ne me laissant pas assez de place, c'est peu à peu que je vous distillerai --preuves à l'appui-- quelques uns des hallucinants dysfonctionnements de ce réservoir digne d'un récit de ''serial killer'' ou de l'Afrique que prépare la suite des ''évolutions'' en cours, sans l'amitié si profitable de l'ex-puissance protectrice...
Pour que vous compreniez --à la fois-- ma colère et mon amertume, un récit des 48 heures terminales suffira : ''le bouquet final'', en quelque sorte. Imaginez un diagnostic qui préconise la modification électrique obligatoire de tout votre rythme cardiaque, pour que vos oreillettes ne piquent pas un sprint au moment pile où vos ventricules se bronzent au bon soleil ? Ils appellent ça ''cardioversion''... On réserve lundi à 7h30 ? OK. ! Vers les 10 heures... 'Ah ! Non, c'était pour ''de rire'' : c'est repoussé'' (''ces Messieurs ne sont pas d'accord sur le voltage'' --sic !''. NB : Jean penche pour 618 volts 42, mais Michel préférerait 72000 volts 05 d'un coup !) et repoussé encore, et finalement remplacé, sans que je sois ''au courant'', par... l'intervention d'un Kiné (je le jure !) Vous avez bien lu : à ma droite, la production horaire du palier CPY (4 à Tricastin, 6 à Gravelines, 4 à Dampierre et 4 à Blayais) ... et à ma gauche, Tony, kiné. La compète peut commencer !
Pour se faire pardonner, ils ont aussitôt eu l'idée de doubler (en gros) la dose qu'ils m'offrent de ''Bêta-bloquants''... la rendant ainsi tout-à-fait mortelle. C'est simple : je ne ne dois d'être en vie qu'à une ''Appli'' qui a mobilisé mes 4 enfants à 03h du matin : je tenais à leur dire A-Dieu... Etant à Paris, ils se sont rués au lieu de chialer, et ma fille Alexandra, toujours largement en avance sur les blocages ''hors sol'' (ou prébendés) des officiels médicaux et sur les idées fixement périmées des instances certifiées mais dépassées, avait en tête le nom d'un antidote ! Jolie perf', non ?
Mais ne vous relaxez pas trop vite : nous sommes loin du compte, encore... et pourtant ceci se passait il y a 2 jours, en plein Neuilly s/ Seine. Un peu plus tard, le même jour, entre dans ma belle chambre seul (135 €/ la nuit, quand-même ) un des grands chefs de l'hôpital --un de ceux que j'ai surnommés ''bac + 18', et qu'on reconnaît à une excroissance anormale autour du cou : un Stéthoscope avachi dont ils font semblant d'utiliser les capacités dépassées pour se distinguer de la valetaille que j'ai, à 2 reprises en ce lieu, découverte tellement ''anti-blancs'' que ça devrait en faire peur (il m'est de plus en plus utile de bien parler l'arabe !).
Ce que ce grand Sachem-sans-plumes et son audio-gri-gri convenu avaient à me dire était très simple : ''On est bien embêté... On a égaré votre dossier''. Avouez que j'ai pas de chance ! ''Tout'' perdre en 2025, au milieu de la vague immense des ''Big Data'', lorsque les impôts, la Sec.Soc, ou de soi-disant ''excès de vitesse'', la police de la pensée, les anti-fa et les insoumis en folie (c'est les mêmes, ces trois-là !) savent vous retrouver en millièmes de secondes où que vous vous cachiez... ''faut'l'faire'' !
Et, comme pour aggraver mon cas, j'ai méchamment contraint ce pauvre homme à avaler son sthétoscope-prétexte" : Oui, ils avaient tout égaré, ''les fioles, les plaquettes et les documents''... même si, au fond des choses, il ne s'agissait que de quelques prélèvements de moelle osseuse, réalisés sur moi (de manière un peu stérile tout de même --enfin... il faut espérer !). J'insiste lourdement, car ceci s'est passé en 2025 à Neuilly s/ Seine. Pas à Ouagadougou avant la colonisation (... ou depuis !) ! Et qui sait... vous vous égarerez peut-être un jour dans un de leurs collimateurs-perdeurs !
Résultat à cet instant ''T''des ces courses infernales (NDLR - Car ne l'oublions pas, il existe un passif terrifiant, parsemé de blessures graves et de menaces physiques et publiques : n'est pas le papa d'Alexandra Henrion-Caude qui veut --même si, je dois le dire la récolte montre où est l'âme de la France : 95% de ''votre fille a eu raison sur tout, depuis le début, contre tous et elle est la seule...'' Quel courage, quelle force !...et 5 petits pour cent de ''C'est une Complotiste !'' (sans explication ni support scientifique, évidemment : ils n'en ont pas trouvé, et pour cause !),mais avec une haine souvent pathologique : elle se reconnaît catho et a été classée ''de droite'' par les cuistres, encartés ou pas. Pour une fois qu'ils pouvaient en avoir 2 pour le prix d'un... Je raconterai tout, promis-juré. Tant pis pour eux.
Un médecin ex-militaire à l'ancienne, reconverti (un médecin, quoi ! Pas un brouteur con-pulsif d'écrans où personne ne sait ce que représentent les petits dessins, même pas celui qui les fait bouger sans savoir pourquoi...) a découvert au fond de moi un très vieux cancer (une leucémie lymphoïde chronique) que j'avais oublié de soigner depuis... 72 ans (Hôp St Louis. Pr Fermend), et qui se réveille lentement de sa léthargie. Promu ''Leucome'' entre temps, il exige de recevoir quelque considération, ce que sa parfaite discrétion et sa bonne éducation pendant tant d'années méritent sans doute.
Pronostic : oubliés à leur tour, tous les troubles multiples qui ont fait se tire-bouchonner Esculape et Hippocrate en leur faisant confondre le ''R-20 Fra-li-monti'' et mon anatomie... Finis, les changement d'heure circadiens à 58 000 volts et les iso-diagnostics définitifs aussitôt contredits par les faits... ''C'est le foie, vous dis-je ! Que nenni : le cœur, son axe, et la vitesse de pointe et son oreillette gauche... etc...). Depuis hier (''dossier'' retrouvé ou reconstitué ab absurdo), on est entré dans du concret : j'ai un nom, un parcours, un chemin, des horaires, des trucs douloureux à supporter... et c'est rassurant ! Je sais que tout ce bel édifice peut s'écrouler à chaque seconde... mais c'est bon d'en profiter.
Plus doux, encore : je fais des plans pour l'été, pour l'île Maurice, pour mon cher Mougins... et j'envisage même de reprendre, en tout ou partie, notre dialogue, à travers ce blog. Vous verrez se multiplier les tentatives : ce sera autant de pas vers un retour progressif à la normale... sans date prévisible pour le moment... mais ce soir est comme une ''grande première'' ! Merci, mon Dieu...
H-Cl.
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enterthefoodverse · 2 months ago
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Fougasses aux lardons et thym, impro.
nostalgie des mets du Sud de la France, fougasses, croquants de Villarets, oreillettes...
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