#nonbinaire
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alicray · 6 months ago
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Kim Amber. She can control water but not create it
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rainbowqueernation · 2 years ago
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Hello ! Je vous avais annoncĂ© des nouveautĂ©s en dĂ©but de mois, les voilĂ  ! Ces illustrations sont Ă  prĂ©sent disponible sur la boutique : Utip.io/RainbowQueerNation/findinggender Utip.io/RainbowQueerNation/Betransdocrimesaxolotl D’autres motifs mignon et fun arrivent bientĂŽt ! #lgbtqia #lgbtfrance #lgbtcommunity #lgbtpride #lgbtartist #lgbtq🌈 #lgbtqiaplus #lgbtlove #transgender #transgenre #transgenrefrance #transisbeautiful #nonbinary #nonbinarypride #nonbinaryart #nonbinaire #nonbinaiređŸłïžâ€đŸŒˆ #nonbinaryfashion #nonbinaryartist https://www.instagram.com/p/CnrEJR5LM8H/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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furiously-living · 9 months ago
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"Une Autre Étincelle" - Sasha Laguillon đŸ’›đŸ€đŸ’œđŸ–€
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diplodocusmp3 · 2 years ago
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â˜•ïžđŸ–€
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meloshbielka · 9 months ago
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Je ne serai jamais un homme
Ce n'est pas parce que l'identitĂ© de genre peut ĂȘtre une caractĂ©ristique profonde d'une personne, un sentiment d'appartenance fort et intangible que ce sur quoi elle s'est construite n'est pas arbitraire Ă  l'origine = le genre.
C'est en ce sens que je disais dans un précédent texte que le genre n'est que stéréotypes. J'entends par stéréotypes quelque chose d'infondé, attribué aux personnes en fonction de leur organes génitaux sans aucun lien avec eux.
Bien sĂ»r que l'identitĂ© de genre existe chez l'Ă©crasante majoritĂ© des ĂȘtres humains : iels ont besoin du genre pour se construire en tant que personne, pour se placer en sociĂ©tĂ©, et on ne peut pas changer l'identitĂ© de genre d'une personne (ce qu'essaient de faire les thĂ©rapies de conversion), il n'y a que la personne concernĂ©e et elle seule qui peut la dĂ©terminer et peut-ĂȘtre en changer un jour.
Oui, les identitĂ©s femme et homme existent et ne sont pas prĂȘtes de disparaĂźtre.
Mais quand je parle de genre, je fais surtout rĂ©fĂ©rence aux caractĂšres associĂ©es arbitrairement aux hommes et aux femmes, Ă  leurs comportements appris, Ă  leur expression sociale Ă  travers les vĂȘtements, la voix, les gestes, etc. Je ne parle pas de comment les gens s'identifient car je ne comprends mĂȘme pas moi-mĂȘme le concept de s'identifier Ă  un genre. Comme je l'ai dĂ©jĂ  dit, ce qu'on associe au genre masculin me concernant, Ă  savoir ma prĂ©sentation sociale (vĂȘtements, coiffure) et le genre grammatical que j'utilise pour parler de moi (qui est directement liĂ© Ă  ma prĂ©sentation, fondĂ©e sur des goĂ»ts personnels, mais aussi Ă  ma volontĂ© de m'Ă©loigner du "programme" qu'on m'a imposĂ© Ă  la naissance = tu seras une fille et tu te prĂ©senteras comme telle) n'est pas une caractĂ©ristique si importante que ça pour me dĂ©crire en tant qu'ĂȘtre humain. En rĂ©alitĂ©, je m'en fiche un peu d'ĂȘtre masculin en apparence, Ă  l'Ă©chelle individuelle et intime, ce ne sont que des goĂ»ts parmi tant d'autres, mais je suis conscient qu'Ă  l'Ă©chelle collective ça veut dire beaucoup et que ça Ă©chappe Ă  mon contrĂŽle. Comme tout le monde, je suis assignĂ©, dĂ©terminĂ© Ă©galement par le regard des autres, et je ne peux pas faire grand-chose pour m'en extirper.
Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles une personne trans s'identifie comme femme ou homme (c'est aussi valable pour les personnes cis dans une moindre mesure, tout dépend de leur conscience du genre).
Parce que c'est comme ça qu'elles sont perçues socialement, tout le temps, et donc traitées (coucou le sexisme) : c'est une perspective matérialiste, peu importe comment les personnes se sentent vraiment et leurs opinions politiques sur la question du genre et du féminisme, elles sont traitées comme des hommes ou des femmes et sont placées dans la hiérarchie sociale en fonction. Homme et femme sont des statuts sociaux. Ce n'est pas faux en soi, et je comprends qu'on puisse accepter ces identités pour ces raisons.
Et pourtant je refuse de me dĂ©finir en tant qu'homme, mĂȘme si on me perçoit comme tel socialement la plupart du temps. Peut-ĂȘtre que je ne veux pas passer pour un homme toute ma vie, peut-ĂȘtre que c'est en partie pour ça que je veux tester plus d'androgynie dans mon apparence (cf arrĂȘter la testo et ne pas porter de binder). Peut-ĂȘtre aussi que je n'ai pas l'impression de me reconnaĂźtre dans le vĂ©cu associĂ© Ă  un homme cis. À part mon apparence, il n'y a rien qui me rapproche des stĂ©rĂ©otypes masculins, ni dans mes comportements, ni dans ma socialisation, ni dans mon rapport au corps (je n'ai pas de souci avec ce qui est considĂ©rĂ© comme un corps fĂ©minin, je n'ai pas les Ă©ventuels complexes qui peuvent se retrouver chez des hommes cis, liĂ©s Ă  leur pĂ©nis par exemple, ou Ă  la calvitie, que je compte bien ne pas avoir car cette apparence masculine ne me correspond pas). Ne pas vouloir de torse plat, ne pas vouloir ĂȘtre musclĂ©, ne pas vouloir ĂȘtre viril, ne pas vouloir ĂȘtre particuliĂšrement poilu du visage, tout ça n'est pas anodin dans mon ressenti. Bien sĂ»r certains hommes peuvent se retrouver aussi dans ce que je dis, et dans ces cas-lĂ  je me demande bien pourquoi ils s'accrochent tellement Ă  leur identitĂ© d'homme
 Si c'est leur pĂ©nis, ok, je ne juge pas, tant qu'ils ne sont pas transphobes ni sexistes (ce qui rĂ©duit pas mal le champ des possibles
), je respecte toutes les raisons pour lesquels une personne adopte une identitĂ©, tant qu'elle ne cherche pas Ă  imposer un carcan aux autres. Je n'ai pas de souci avec les personnes cis qui ne comprennent pas la transidentitĂ© mais respectent les personnes trans, acceptent que d'autres personnes perçoivent le genre diffĂ©remment. Mais je pense que celles qui rejettent le plus les personnes trans sont aussi celles qui ont un problĂšme Ă  rĂ©gler avec leur propre genre
 Si tu es Ă  l'aise avec ton genre, qu'il se trouve ĂȘtre conforme aux attentes de la sociĂ©tĂ© cishĂ©tĂ©ronormĂ©e, et bien tant mieux pour toi j'ai envie de dire, tu auras moins de problĂšme dans la vie, et il me semble que tu n'as aucune raison de t'en prendre aux autres. Vis ta vis et laisse les autres vivrent la leur.
Bref, si pour toi tu es un homme parce que tu es attachĂ© au fait d'avoir un pĂ©nis et pas une vulve, grand bien te fasse. Mais si tu t'en fiches un peu d'ĂȘtre nĂ© avec un pĂ©nis, si tu ne considĂšres pas cela comme supĂ©rieur, et que tu te dis homme juste parce qu'on t'a dit que tu en Ă©tais un, alors tu peux aussi rĂ©flĂ©chir un peu plus en profondeur et peut-ĂȘtre participer Ă  renverser le patriarcat en te dĂ©solidarisant de cette identitĂ© et de ces reprĂ©sentants les plus problĂ©matiques. Montrer des modĂšles d'hommes respectueux des femmes, c'est bien, mais le problĂšme fondamental c'est l'ordre patriarcal qui est liĂ© Ă  l'hĂ©tĂ©rosexualitĂ© obligatoire et au systĂšme de genre
 Donc il me semble plus pertinent de se dĂ©sidentifier, de lutter activement pour participer le moins possible Ă  l'oppression sexiste (et aux autres oppressions). Refuser tes privilĂšges, les attĂ©nuer. TrĂšs peu d'hommes le font. Et ce n'est pas en disant qu'on est non-binaire parce qu'on est sensible et qu'on aime le vernis. Je caricature mais j'ai peur qu'il y ait un mouvement dans ce sens, une sorte de pirouette pour maintenir la domination sous une forme plus douce en apparence. Non, c'est en refusant l'hĂ©tĂ©rosexualitĂ©, c'est en refusant l'exploitation des femmes, c'est en refusant de faire carriĂšre et en se tournant par exemple vers des activitĂ©s intellectuelles qui font avancer les luttes, et/ou en faisant des boulots de soin, en s'occupant d'enfants, c'est en dĂ©nonçant les comportements problĂ©matiques d'autres hommes, en rompant les solidaritĂ©s, en frĂ©quentant plus de de femmes et de personnes hors normes, etc etc.
Et ce, massivement, car Ă  l'Ă©chelle d'une poignĂ©e d'individus rien ne changera. C'est aussi par le bas qu'on peut imposer une forme de changement politique, mĂȘme si ça peut ĂȘtre en parallĂšle dans l'autre sens aussi.
Tout ça pour dire que personnellement ça ne me parle pas du tout de m'accrocher à une identité d'homme, pas plus que de femme, mais que je peux comprendre que d'autres personnes le fassent.
S'identifier en tant qu'homme ou femme, quand on es trans, c'est aussi un moyen de se faire respecter, et d'Ă©viter certaines violences. Parce qu'ĂȘtre rĂ©assignĂ©.e en permanence Ă  notre corps, Ă  telle ou telle caractĂ©ristique physique, ĂȘtre out en tant que personne trans, c'est Ă©puisant et potentiellement dangereux. Pour la plupart des gens, ĂȘtre fĂ©minine et utiliser le fĂ©minin=femme et ĂȘtre masculin et utiliser le masculin=homme. Donc si on dit qu'on est un homme et qu'on passe pas trop mal (ce qui est dĂ©jĂ  une chance), on nous genre tout de suite au masculin
 Idem pour femme et fĂ©minin. Pas d'explications Ă  donner, pas de questions dĂ©placĂ©es, pas de remise en question de notre genre. C'est donc aussi une simplification, pour faire comprendre aux personnes cis qui ne voient pas en dehors de la binaritĂ© qu'on n'est pas notre genre assigné 
S'identifier en tant qu'homme ou femme quand on est trans peut ĂȘtre aussi liĂ© au corps, tout comme pour beaucoup de personnes cis (en partie parce qu'elles n'ont pas rĂ©flĂ©chi Ă  la question du genre et/ou qu'elles vivent dans un environnement trĂšs stĂ©rĂ©otypĂ©) mais chez les personnes trans il me semble qu'il y a une forte dimension sociale consciente, qui coexiste avec de la dysphorie corporelle. Ce qu'on peut ne pas supporter sur son corps c'est Ă  la fois ce qui nous identifie aux autres Ă  tort comme des hommes ou des femmes (pilositĂ©, poitrine, etc) mais aussi sentir qu'on n'a profondĂ©ment pas envie d'avoir ces caractĂ©ristiques, qu'elles sonnent fausses sur soi, qu'elles sont en trop, qu'elles n'auraient jamais dĂ» se dĂ©velopper en premier lieu. Ce n'est pas une expĂ©rience que je vis mais je rapporte ce que j'ai pu comprendre d'autres personnes trans. C'est un rejet plus profond, qui peut s'accentuer avec le temps, au fur et Ă  mesure d'une transition parfois. Pour moi, tel que je le comprends, vouloir absolument un torse plat, plus de poils, voire un pĂ©nis, est liĂ© au fait de se reconnaĂźtre dans l'identitĂ© d'homme. On regarde les autres hommes, majoritairement cis, et on est jaloux, on souffre de ne pas avoir le mĂȘme corps qu'eux, on trouve cela injuste et c'est une souffrance qui peut ĂȘtre grandement apaisĂ©e par les chirurgies, les hormones, la musculation. J'imagine que c'est similaire pour les femmes trans pour des caractĂ©ristiques considĂ©rĂ©s comme fĂ©minines.
Les personnes trans comme cis ont donc plusieurs raisons tout à fait légitimes de s'identifier comme femme ou homme.
Mais ces identités existent aussi parce qu'il y a des personnes pour les utiliser

Il n'appartient pas aux personnes trans de bouleverser l'ordre du genre, du moins Ă  elles seules, elles ont toutes les bonnes raisons de ne pas trop le faire car cela entraĂźne souvent des violences et une marginalisation sociale. Pour moi c'est plus encore Ă  la masse des personnes cis de commencer Ă  rejeter ces identitĂ©s, en particulier aux hommes puisqu'ils sont en situation de domination dans l'ordre du genre. Évidemment, plus les hommes sont privilĂ©giĂ©s socialement (blancs, valides, bourgeois) et plus ils doivent questionner le genre. Mais les femmes aussi ont un rĂŽle Ă  jouer en arrĂȘtant autant que possible de jouer le jeu de l'hĂ©tĂ©rosexualitĂ©.
En tant que personne trans relativement privilégiée (masculin, blanc, valide, issu de classe moyenne) je refuse d'appartenir au groupe des hommes juste parce que je ressemble dans mon apparence à un homme, juste parce que je suis masculin, et que j'ai pris de la testostérone. J'ai conscience que dans un certain nombre de situations cette identité homme m'est imposée par le regard social, que je le veuille ou non, et ça me protÚge aussi. Mais autant que faire se peut, je parlerai de ma transidentité, de ma non-binarité, je montrerai que les choses ne sont pas si simples, je naviguerai dans ce flou androgyne dangereux mais si libérateur.
J'ai le privilĂšge pour l'instant d'Ă©voluer dans des espaces respectueux, mĂȘme Ă  dominante cis, et j'ai un certain passing, donc je suis bien placĂ© pour mettre un peu de dissonance dans tout ça. Ce ne sont pas Ă  mes sƓurs et adelphes transfem qui se prennent la transmisogynie et dont l'identitĂ© est constamment remise en question sur la base d'un sexisme dĂ©complexĂ© de nĂ©cessairement clamer haut et fort leur non-binaritĂ©, leur dĂ©tachement partiel ou total de l'identitĂ© femme (si elles le peuvent de maniĂšre safe c'est bien mais ça doit pas ĂȘtre facile). Je pense Ă  celleux qui ne passent pas ou pas tout le temps, Ă  qui on va bien faire sentir qu'elles ne sont pas assez fĂ©minines ou Ă  l'inverse qu'elles en font trop et qu'elle sont trop vulgaires. Le corps des femmes et des personnes fem encore et toujours commentĂ©s, jugĂ©s, moquĂ©s

Je comprends parfaitement que, mĂȘme si en apartĂ© elles ne sont pas dupes sur la binaritĂ©, elles s'identifient en tant que femmes, dĂ©jĂ  pour les mĂȘmes raisons que des hommes trans peuvent s'identifier en tant qu'homme (cf plus haut), mais aussi parce que le prix social Ă  payer est encore plus grand dans notre systĂšme patriarcal.
Moi je peux, à ma petite échelle, et de maniÚre toute relative (je suis anxieux et je me protÚge aussi), m'émanciper un peu de la binarité dans l'espace social, petit à petit, car étant considéré comme masculin, on posera toujours moins les yeux sur moi que sur une personne fem.
Je ne suis pas dans cette dĂ©marche juste parce que fuck la binaritĂ©, c'est aussi la façon d'ĂȘtre qui se rapproche le plus du rapport Ă  mon corps et de mon ressenti sur le genre. Je pense que je pourrais Ă  long terme me dĂ©tacher de plus en plus du regard des autres, du comportement et du physique attendu d'un homme, pour signifier que je ne rentre pas dans cette case.
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abbyshousefire · 10 months ago
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Jour 6
Bienvenue au sixiÚme jour de mon journal en français !
Aujourd'hui, j'ai mon premier jour de mon cours en anglais lequel le premier cours aussi que j'ai pris sur le campus de mon université. Il est passé bien et j'ai rencontré et parler avec une de mes camarades de classe.
Ma colocataire avait tort, il n'y a pas beaucoup d'essais. Mon dernier cours d'anglais avait plus d'essais alors je suis content d'avoir moins dans cette classe. Les devoirs pour la semaine ne sont pas encore prĂȘts, donc je dois attendre un peu pour lire les articles.
Je suis toujours un peu nerveux à cause de mon apparence. Je suis non binaire et en anglais, j'utilise les pronoms they/them qui je pense n'existe pas dans le français (je préfÚre il/lui en français). Pendant mon enfance, c'était vraiment un problÚme et souvent, je ne peux qu'espérer qu'on essaye d'utiliser mon nom préféré, pas mes pronoms.
On va voir alors, je dois avoir la patience et l'espoir maintenant. À plus tard !
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illumicumber · 1 year ago
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En dehors, j'suis non binaire
En dedans, j'suis un Pantera Artic Cat Triple 800
on the outside i am a trans girl
on the inside i am a Ford F-150
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nederlandsespoorwegen · 5 months ago
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fijne haaien- en nonbinaire mensendag!!!!! geef je blĂ„haj een kusje voor me đŸ’›đŸ€đŸ’œđŸ–€ 🩈🩈🩈
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polldermodel · 10 months ago
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Nonbinaire mensen wat voor pronouns gebruik je in het nederlands?? Ik weet niet zeker wat alle opties zijn maar minstens hij/zij/die/hen/het en combinatie/anders
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aardbrein · 1 year ago
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Dinosaur dress!!!
She’s finally finished!!! Also the sharktooth rosary i love her
The skirt is just two large rectangles (1meter x 2 meters each i think?), gathered up like you would do with a 18th century petticoat. The top is just something i made up and if anyone cares i could post the pattern!
Its entirely handsewn, by me, from old bedsheets
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overprikkelqueer · 9 months ago
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*danst op een trans nonbinaire manier dat mensen niet leuk vinden*
Trans Nonbinaire Boeken!
*FAQ Gender is overigens ook in het Engels verkrijgbaar.
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castielsprostate · 19 days ago
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jongens als anouk naar t fucking songfestival gaat namens nederland 😐
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rainbowqueernation · 2 years ago
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Tout les stickers dĂ©jĂ  sortis rĂ©unis en quelques planches de stickers ! Un petit teasing sur les prochains imprimĂ©s se cache dans cette publication ;) All outed stickers put together ! There’s a little teasing about the upcoming new prints ;) Utip.io/RainbowQueerNation/shop #lgbtqia #lgbtfrance #lgbtcommunity #lgbtpride #lgbtartist #lgbtq🌈 #lgbtqiaplus #lgbtlove #nonbinaryartist #nonbinaire #nonbinary #nonbinaryart #nonbinaiređŸłïžâ€đŸŒˆ #nonbinarypride #transgenrefrance #transisbeautiful #transgenre #transvisibility #transgenderlove #transpride #transgender https://www.instagram.com/p/CpS6-iQL7yX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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puttingwingsonwords · 1 year ago
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neopronouns in het nederlands?
TL;DR: I thought it would be a fun exercise to translate some neopronouns to Dutch, so I did! This post will be in Dutch, explaining some background, my thought process, and listing my translations.
Een paar jaar geleden schreef ik een verhaal in het Engels met een hoofdpersoon die neopronouns (neovoornaamwoorden) gebruikt. Sindsdien denk ik er vaak over na hoe ik die naar het Nederlands zou kunnen vertalen. Daarnaast wil ik het ook in het Nederlands kunnen hebben over mensen die Engelse neovoornaamwoorden gebruiken. Voor zover ik weet zijn er nog geen boeken naar het Nederlands vertaald waar neovoornaamwoorden in zitten (ik hoor het graag als die er wel zijn!). Er is wel een Nederlandse versie van pronouns.page waar een aantal neovoornaamwoorden op staan. Sommige zijn uniek aan het Nederlands, andere lijken op Engelse neovoornaamwoorden en een paar zijn vertaald uit het Engels.
Om al die redenen besloot ik zelf te proberen een aantal van deze voornaamwoorden te vertalen. Het begon als een vertaaloefening voor mezelf, maar ik wil het graag delen zodat meer mensen kunnen meedenken. Ik ben geen professionele vertaler, maar ik heb een talenstudie gedaan (Grieks en Latijn) en schrijf fictie in zowel Engels als Nederlands.
NB: Dit zijn allemaal puur suggesties, geen definitieve vertalingen. Input is zeer welkom! Vooral van mensen die zelf neovoornaamwoorden gebruiken en mensen met (ver)taalervaring.
Bij mijn vertaalproces heb ik gekeken naar de klank van de Engelse woorden, hoe ze overeenkomen met andere voornaamwoorden (of ze bijvoorbeeld lijken op vormen van they, he, of she of juist niet) en welke vergelijkbare dingen er in het Nederlands mogelijk zijn. Vaak ben ik op meerdere opties uitgekomen. Mijn doel was niet om op een juiste vertaling uit te komen, maar om te onderzoeken welke mogelijkheden er zijn.
Op dit moment zijn de meest gebruikte genderneutrale voornaamwoorden hen/hen/hun en die/die/diens, of de combinatie daarvan die/hen/hun. Deze kunnen beiden vertaald worden naar they/them/their in het Engels. Maar hoe zit het met alle andere genderneutrale voornaamwoorden die er in het Engels zijn? Voor dit vertaalexperiment ben ik een lijst van neopronouns (neovoornaamwoorden) afgegaan op pronouns.page en heb ik geprobeerd ze allemaal te vertalen. Op die pagina staat ook informatie over waar de voornaamwoorden vandaan komen, mocht je daar interesse in hebben! Wanneer er een vergelijkbare set voornaamwoorden op de Nederlandse versie van de website stond, heb ik die met een link overgenomen; sommige daarvan staan daar gelinkt als vertaling, andere vond ik zelf passen maar zijn niet als vertaling gelinkt.
Voornaamwoorden en mogelijke vertalingen
ae/aer/aer — kan onvertaald blijven.
co/co/cos — optie 1: co/co/con; optie 2: co/co/cor; optie 3: onvertaald. In het Nederlands zijn voorbeelden te vinden van zowel -n, -r, als -s als bezittelijke uitgangen, dus vaak is de keuze in de vertaling een kwestie van smaak (al wordt -r in het algemeen gebruikt voor grammaticaal vrouwelijke woorden). Er is ook nog de -w van ‘jouw’ en ‘uw’, maar die past niet achter een ‘o’.
e/em/eir — optie 1: ie/em/eer; optie 2: ij/em/eer. Bij optie 1 heb ik alleen de spelling aangepast om de uitspraak te behouden. Bij optie 2 heb ik de klank ‘ij’ overgenomen van hij/zij, analoog aan ‘e’ en ‘he/she’. Dat is niet per se nodig, want 'ie' wordt ook al in het Nederlands gebruikt. Officieel is het een verkorte vorm van 'hij', maar door sommige mensen (inclusief mezelf omdat ik altijd dacht dat het van 'die' kwam) wordt het gender neutraal gebruikt. Of je 'ie' als mannelijk of neutraal ervaart zal dus afhangen van hoe je het gewend bent.
e/em/es — optie 1: ie/em/ies; optie 2: ij/em/ies.
ey/em/eir — ee/em/eer.
fae/faer/faer — optie 1: kan onvertaald blijven; optie 2: fee/fee/fees. Bij optie 2 heb ik ‘fees’ gekozen, omdat ‘feer’ de uitspraak van de ee-klank verandert.
hu/hum/hus — optie 1: hu/huum/huun; optie 2: hu/huum/huw. Luister. Dit was mijn enige kans om de -w te gebruiken. Over de dubbele ‘u’: hu/hum zijn de humanistische voornaamwoorden. Op deze manier wordt dus de uitspraak van ‘hu’ uit ‘humaan’ behouden. (In het Engels worden ze dus uitgesproken met een ‘hju’ klank.)
it/it/its — optie 1: het/het/hets; optie 2: het/het/zijn. ‘Zijn’ is officieel het bezittelijk voornaamwoord dat wordt gebruikt bij ‘het-woorden’, maar niet iedereen die ‘het’ voor zichzelf gebruikt zal het fijn vinden om ‘zijn’ te gebruiken. Vandaar ‘hets’ als andere optie.
ne/nem/nir — nij/nem/nir. Bij dit soort uitgangen die in het Engels lijken op ‘they/them/their’, had ik graag iets met ‘hen/hun’ gedaan, maar dit werkt niet zo met de n- aan het begin. Toevallig passen de -em en -ir uiteindes wel bij een mengeling van ‘hem’ en ‘haar’, waardoor het genderneutrale aspect op een andere manier naar voren komt.
ne/nir/nir — optie 1: nij/nir/nir; optie 2: nij/ner/nijr. Optie 2 komt van pronouns.page, maar staat daar niet gelinkt als vertaling.
per/per/per — kan onvertaald blijven (zelfs de etymologie van ‘person’/‘persoon’ houdt stand).
s/he /hir/hir — z/hij /her/hijn. NB: het persoonlijk voornaamwoord (eerste vorm) is s/he, z/hij. Ik heb een spatie gebruikt om de verwarring met de extra / te voorkomen.
thon/thon/thons — dien/dien/diens. ‘Thon’ is een samentrekking van ‘that one’, dus ‘dien’ als samentrekking van ‘diegene’.
ve/ver/vis — optie 1: vij/veer/vis; optie 2: vij/vaar/vijn. Omdat ‘ver’ klinkt als ‘her’ en ‘vis’ klinkt als ‘his’ heb ik bij optie 2 de uitgangen van respectievelijk ‘haar’ en ‘zijn’ gebruikt.
ve/vim/vis — optie 1.1: vij/vim/vis; optie 1.2: vij/vim/vir; optie 2: vij/vem/vijn; optie 3: vij/vijn/vijns. Optie 3 komt van pronouns.page, maar staat daar niet gelinkt als vertaling. Omdat ‘vim’ en ‘vis’ lijken op ‘him’ en ‘his’ heb ik bij optie 2 de uitgangen van ‘hem’ en ‘zijn’ gebruikt. Wat betreft 1.1 en 1.2, vond ik ‘vis’ minder passen bij de andere Nederlandse bezittelijk voornaamwoorden (vergelijk haar, zijn, hun) — ‘vir’ voelde gewoon beter. Daarnaast is ‘vis’ natuurlijk al een woord; ik denk niet dat het verwarrend zou zijn aangezien de woorden verschillende grammaticale functies hebben, maar misschien is het een ongewenste associatie. Deze optie heb ik bij ve/ver/vis/verself hierboven weggelaten, omdat ‘veer’ en ‘vir’ te veel op elkaar lijken. (Twee keer ‘veer’ zou dan nog evt. een optie zijn.)
ve/vir/vis — optie 1: vij/vir/vis; optie 2: vij/vir/vir. Zelfde als 1.1 en 1.2 hierboven.
xe/xem/xyr — optie 1: xij/xem/xyr; optie 2: ex/exem/exyr; optie 3: ex/ex/ex; optie 4: zie/zem/zyr. Deze was moeilijk. De letter 'x' werkt in het Nederlands minder goed aan het begin van een woord, waardoor optie 1 lastig uit te spreken is. Door er een ‘e’ voor te zetten wordt de uitspraak makkelijker, maar alle vormen behalve de eerste zijn daardoor langer en daardoor weer lastiger uit te spreken. Optie 3 lijkt eigenlijk niet meer op het Engels. Daarnaast betekent ‘ex’ ook al wat anders (dit hoeft niet per se een probleem te zijn, homonymen bestaan, maar het kan ongewenste associaties opwekken). Optie 4 zit dichter bij de uitspraak van het Engels, maar daarmee is de 'x' wel verloren gegaan.
ze/hir/hir — optie 1: zie/hir/hir; optie 2: he/zem/hijn; optie 3: he/her/zer. Bij optie 1 heb ik vooral naar uitspraak vs. spelling gekeken en ben ik verder dichtbij het Engels gebleven. In opties 2 en 3 heb ik een poging gedaan om hij- en zij-voornaamwoorden te mengen, net zoals ‘hir’ een mengeling lijkt te zijn van ‘her’ en ‘him’. ‘He’ heeft dezelfde e-klank als ‘ze’.
ze/zir/zir— optie 1: zie/zir/zir; optie 2: zem/zeer/zeer. Hier heb ik weer de spelling aangepast om de uitspraak te behouden. Een ‘ij’-klank werkt hier minder goed omdat je dan gewoon ‘zij’ krijgt. Optie 2 komt van pronouns.page.
zhe/zher/zher — optie 1: zhij/zheer/zheer; optie 2: zhij/zhaar/zhaar. De ‘zh’ vormt een ‘zj’ klank (zoals een Franse ‘j’). Optie 2 had ik zelf bedacht en vond ik toen precies zo ook op pronouns.page.
Tenslotte, ‘nounself’ voornaamwoorden: voornaamwoorden waarbij een zelfstandig naamwoord (‘noun’) als voornaamwoord wordt gebruikt, bijvoorbeeld star/starself of bun/bunself. Technisch gezien valt fae/faer hier ook onder. Vaak (maar niet altijd) gaat het om woorden met Ă©Ă©n lettergreep waarbij de verbuiging — hier met star als voorbeeld — star/star/stars/starself is. Er zijn ook vormen als fae/faer en cy/cyb/cyber/cyberself waarbij het woord in meerdere vormen wordt verbogen.
Bij deze voornaamwoorden is het een kwestie van een passende vertaling vinden van het grondwoord. Verder kan de vervoeging op dezelfde manier worden overgenomen. Bovengenoemde voorbeelden zou ik vertalen als ster/sterzelf, en nijn/nijnzelf. Fae/faer staat al eerder in de lijst, en ‘cyber’ wordt al als leenwoord in het Nederlands gebruikt en hoeft dus niet vertaald te worden. ‘Nounself’ vertaal ik als ‘woordzelf’ omdat ‘zelfstandig naamwoordzelf’ nogal een mondvol is.
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diplodocusmp3 · 2 years ago
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10/04 🩋
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meloshbielka · 2 years ago
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Peut-ĂȘtre... Mais c'est comme ça
Peut-ĂȘtre que si j'avais eu une enfance tomboy, si j'avais dĂ©couvert mon orientation Ă  l'adolescence, si je n'avais pas ïżœïżœtĂ© en couple cishĂ©tĂ©ro pendant mes annĂ©es de jeune adulte, si mon vĂ©cu avait Ă©tĂ© bien diffĂ©rent, peut-ĂȘtre que je n'en serais pas lĂ  oĂč j'en suis, peut-ĂȘtre que j'aurais ĂȘtĂ© juste une butch, ou peut-ĂȘtre que j'aurais Ă©tĂ© non-binaire mais sans dĂ©sir de transitionner mĂ©dicalement, peut-ĂȘtre que mon rapport Ă  la masculinitĂ© aurait Ă©tĂ© un peu diffĂ©rent, peut-ĂȘtre que je n'aurais pas Ă©tĂ© dans une certaine urgence d'embrasser cette masculinitĂ© que je n'ai pas pu explorer avant. Ou peut-ĂȘtre que j'aurais juste fait ça plus tĂŽt... Je ne peux pas savoir.
Ce qui est sĂ»r c'est que je n'ai pas Ă©tĂ© un petit garçon trans ni mĂȘme un enfant masculin, je n'ai pas Ă©tĂ© un ado trans, et je ne suis pas un homme trans, cette narration n'est pas la mienne, elle ne correspond pas Ă  mon vĂ©cu. J'ai Ă©tĂ© une petite fille qui ne se posait pas de question de genre, qui n'adoptait pas que des goĂ»ts marquĂ©s socialement comme fĂ©minins mais qui n'avait pas de problĂšme Ă  le faire. Qui n'Ă©tait pas traumatisĂ©e par le fait d'avoir les cheveux longs, mais qui probablement aurait aussi aimĂ© les cheveux courts, voire plus vu que c'est plus pratique Ă  entretenir (car s'occuper de son apparence n'Ă©tait, comme pas mal d'enfants, pas une prioritĂ© pour elle).
Qui adorait jouer Ă  des jeux sportifs avec son frĂšre tout en adorant passer du temps avec sa grande cousine Ă  s'occuper de musique ou Ă©couter ses histoires de cƓur adolescentes, en s'identifiant un peu Ă  elle, en la recopiant dans ses goĂ»ts.
J'ai Ă©tĂ© un enfant c'est tout. Je me voyais comme une petite fille peut-ĂȘtre, car on m'avait dit que j'en Ă©tĂ© une, mais pour moi ça voulait juste dire que j'avais une zĂ©zette et pas un zizi.
J'ai été une ado qui ne traßnait quasiment qu'avec des filles, qui sentait qu'elle faisait partie de ce groupe, qui ne se trouvait pas différente d'elles au niveau du genre, qui ne ressentait pas de décalage.
Une ado pour qui c'était impensable de faire autrement, de s'éloigner des modÚles qu'on lui avait présentés.
Les garçons étaient une autre espÚce pour elle, ils l'intéressaient trÚs peu pour lier des liens car elle ne voyait pas de points communs avec eux. Elle a un peu fait semblant de crusher vite fait sur eux, car apparemment c'est ce qu'on fait à l'adolescence, et aussi qu'elle avait envie secrÚtement qu'on s'intéresse un peu à elle...
Une fille qui ne s'identifiait vraiment pas aux garçons, qui a bien vĂ©cu sa pubertĂ©, qui ne dĂ©sirait rien de diffĂ©rent, pour qui c'Ă©tait tout Ă  fait normal que son corps Ă©volue dans ce sens puisque les personnes avec ce corps autour d'elle avaient vĂ©cu la mĂȘme chose, et ces personnes Ă©taient des femmes. Donc elle Ă©tait une fille, apparemment, et ça ne lui posait pas de soucis.
J'ai Ă©tĂ© une jeune adulte, en couple hĂ©tĂ©ro, qui petit Ă  petit a dĂ©couvert qu'on pouvait faire autrement, en l'occurrence comme son copain... Qui a mis des annĂ©es Ă  se rendre compte qu'elle n'Ă©tait pas hĂ©tĂ©ro. Avant de comprendre tout ce que l'extĂ©rieur projetait sur elle, de comprendre qu'ĂȘtre une fille n'Ă©tait pas avoir une vulve, qu'elle n'Ă©tait pas dĂ©finie par son entrejambe, qu'elle avait Ă©tĂ© conditionnĂ©e par la sociĂ©tĂ© pour ne pas trop remettre en questions ces normes de genre, Ă  les adopter tant bien que mal, sans ĂȘtre sĂ»re que ça lui convenait vraiment ni mĂȘme se poser la question.
Une fille qui a osĂ© faire une rando Ă  vĂ©lo Ă  23 ans avec un des pantacourts de son copain, mĂȘme si la peur d'ĂȘtre jugĂ©e pour ses jambes poilues l'accompagnait encore, que c'Ă©tait une situation exceptionnelle, et qu'elle ne portait que des pantalons au quotidien.
Une fille qui a basardé ces soutifs à 27 ans, ne supportant plus cet inconfort, jalouse de son copain qui mettait juste un t-shirt sans se préoccuper d'autre chose... Mais qui n'était pas jalouse de son torse plat. Qui a toujours globalement aimé sa poitrine, tout en reconnaissant qu'en avoir une visible dans l'espace public l'exposait à plus de danger que lui. Et qui supportait de moins en moins cet injustice au fond d'elle, sans mettre des mots précis dessus encore.
Une fille qui, au mĂȘme moment, a commencĂ© Ă  se poser des questions sur ce qu'Ă©tait une femme, sur ce qui la diffĂ©renciait fondamentalement de son copain. Qui a entendu pour la premiĂšre fois parler d'une personne transmasculine qui prenait de la testo. Et qui Ă©tait trĂšs intĂ©ressĂ©e par cette question. Qui ne comprenait pas vraiment comment on pouvait faire ça, qui trouvait ça fou, mais qui en mĂȘme temps ne niait pas ce vĂ©cu, qui s'efforçait de genrer la personne correctement quand elle parlait d'elle (ne la connaissant pas personnellement et ne l'ayant jamais croisĂ©e) car c'Ă©tait une Ă©vidence pour elle. Qui trouvait les positions de son copain sur la question de la transidentitĂ© un peu limites, avec des sous-entendus plus pathologisants, et avec un discours sur le fait que cette personne Ă©tait quand mĂȘme plus jolie en fille et que c'Ă©tait dommage.
Une fille d'accord avec lui sur le fait que les filles Ă©taient plus belles globalement. Qui dĂ©fendait aussi une certaine masculinitĂ© physique que son copain moquait parfois mais qui ne parlait pas de la mĂȘme chose en rĂ©alitĂ©... Certes, qui Ă©tait en couple avec lui et qui n'Ă©tait pas dĂ©goutĂ© physiquement par la masculinitĂ© de son copain, et qui Ă©tait censĂ© ĂȘtre hĂ©tĂ©ro donc il lui semblait logique de dĂ©fendre le fait que les hommes aussi puissent ĂȘtre beaux et "attirants" mais qui ne parlait pas au fond d'une attirance amoureuse/sexuelle... Qui ne voyait juste pas en quoi avoir un physique "de mec" Ă©tait moins beau en soi. Bien sĂ»r tout Ă©tait un peu embrouillĂ© dans sa tĂȘte Ă  cette Ă©poque, et elle Ă©tait encore loin d'assumer son attirance pour les femmes et sa transidentitĂ©...
Une fille qui à 28 ans a commencé à se désidentifier, petit à petit, du mot femme, de tout ce qu'il impliquait.
Une fille qui n'en est plus une. Qui pensait en ĂȘtre une mais qui a changĂ© d'avis.
C'est sa narration
Son histoire
Elle est unique, comme toutes les histoires.
Personne ne peut lui imposer autre chose, personne ne peut lui demander de revisiter son histoire pour en rassurer quelques un.e.s, mĂȘme si leur vie a Ă©tĂ© plus difficile que la sienne, qu'iels regrettent de ne pas avoir commencĂ© leur transition plus tĂŽt ou de l'avoir commencĂ© tout court.
Tout le monde a ses contradictions
Car la complexité bouleverse tout.
Je suis pluriel et je n'aime pas qu'on me résume à ce qu'on croit percevoir ou comprendre de moi.
Je n'aime pas qu'on me dise que j'ai été une petite fille, ça me met mal à l'aise. J'ai simplement peur qu'on me voit comme une femme actuellement. Qu'on change son regard sur moi à cette simple information.
Mais je peux le dire pour moi-mĂȘme.
MĂȘme si ça concerne moins mon identitĂ© profonde qu'une identitĂ© sociale. J'ai Ă©tĂ© vu, traitĂ©, et donc je me suis perçu comme une fille, c'est tout.
Mais aujourd'hui je ne veux pas qu'on utilise mon histoire pour me dĂ©lĂ©gitimer. Pour me dire que je ne suis pas ce que je dis ĂȘtre.
Je veux envoyer un message Ă  mes adelphes qui, comme moi, ont pu se sentir ou se sentent encore des imposteurices, des fauxsses trans,
Vous n'Ăštes pas seul.e.s.
Vous avez le droit d'évoluer sur votre identité de genre, vous avez le droit de penser à un moment donné de votre vie que tel ou tel mot vous correspond, quelque soient les raisons pour lesquelles vous le pensez. SincÚrement convaincu.e.s ? Doutant mais préférant rester dans la norme par peur de la violence ? Trop jeunes, pas le bon contexte, pas la priorité ? Peu importe.
VÎtre vécu est légitime
Vous ĂȘtes trans
Et bien plus encore
Vous ĂȘtes magnifiques đŸ’›đŸ€đŸ’œđŸ–€
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