#nonbinaire
Explore tagged Tumblr posts
Text
Kim Amber. She can control water but not create it
#artists on tumblr#dessin#drawing#illustration#procreate#digital artist#digital art#original art#oc#original character#pride#pride month#lgbtq community#lgbtqia#nonbinary#nonbinaire#nb#demigirl
17 notes
·
View notes
Photo
Hello ! Je vous avais annoncé des nouveautés en début de mois, les voilà ! Ces illustrations sont à présent disponible sur la boutique : Utip.io/RainbowQueerNation/findinggender Utip.io/RainbowQueerNation/Betransdocrimesaxolotl D’autres motifs mignon et fun arrivent bientôt ! #lgbtqia #lgbtfrance #lgbtcommunity #lgbtpride #lgbtartist #lgbtq🌈 #lgbtqiaplus #lgbtlove #transgender #transgenre #transgenrefrance #transisbeautiful #nonbinary #nonbinarypride #nonbinaryart #nonbinaire #nonbinaire🏳️🌈 #nonbinaryfashion #nonbinaryartist https://www.instagram.com/p/CnrEJR5LM8H/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#lgbtqia#lgbtfrance#lgbtcommunity#lgbtpride#lgbtartist#lgbtq🌈#lgbtqiaplus#lgbtlove#transgender#transgenre#transgenrefrance#transisbeautiful#nonbinary#nonbinarypride#nonbinaryart#nonbinaire#nonbinaire🏳️🌈#nonbinaryfashion#nonbinaryartist
17 notes
·
View notes
Text
"Une Autre Étincelle" - Sasha Laguillon 💛🤍💜🖤
1 note
·
View note
Text
☕️🖤
#starbucks#tumblrpost#tumblrphoto#green witchcraft#witch#witchcraft#witchy#witchyvibes#lgbt#nonbinaire#witchylife#lgbtq positivity#nonbinary#alt style
2 notes
·
View notes
Text
Je ne serai jamais un homme
Ce n'est pas parce que l'identité de genre peut être une caractéristique profonde d'une personne, un sentiment d'appartenance fort et intangible que ce sur quoi elle s'est construite n'est pas arbitraire à l'origine = le genre.
C'est en ce sens que je disais dans un précédent texte que le genre n'est que stéréotypes. J'entends par stéréotypes quelque chose d'infondé, attribué aux personnes en fonction de leur organes génitaux sans aucun lien avec eux.
Bien sûr que l'identité de genre existe chez l'écrasante majorité des êtres humains : iels ont besoin du genre pour se construire en tant que personne, pour se placer en société, et on ne peut pas changer l'identité de genre d'une personne (ce qu'essaient de faire les thérapies de conversion), il n'y a que la personne concernée et elle seule qui peut la déterminer et peut-être en changer un jour.
Oui, les identités femme et homme existent et ne sont pas prêtes de disparaître.
Mais quand je parle de genre, je fais surtout référence aux caractères associées arbitrairement aux hommes et aux femmes, à leurs comportements appris, à leur expression sociale à travers les vêtements, la voix, les gestes, etc. Je ne parle pas de comment les gens s'identifient car je ne comprends même pas moi-même le concept de s'identifier à un genre. Comme je l'ai déjà dit, ce qu'on associe au genre masculin me concernant, à savoir ma présentation sociale (vêtements, coiffure) et le genre grammatical que j'utilise pour parler de moi (qui est directement lié à ma présentation, fondée sur des goûts personnels, mais aussi à ma volonté de m'éloigner du "programme" qu'on m'a imposé à la naissance = tu seras une fille et tu te présenteras comme telle) n'est pas une caractéristique si importante que ça pour me décrire en tant qu'être humain. En réalité, je m'en fiche un peu d'être masculin en apparence, à l'échelle individuelle et intime, ce ne sont que des goûts parmi tant d'autres, mais je suis conscient qu'à l'échelle collective ça veut dire beaucoup et que ça échappe à mon contrôle. Comme tout le monde, je suis assigné, déterminé également par le regard des autres, et je ne peux pas faire grand-chose pour m'en extirper.
Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles une personne trans s'identifie comme femme ou homme (c'est aussi valable pour les personnes cis dans une moindre mesure, tout dépend de leur conscience du genre).
Parce que c'est comme ça qu'elles sont perçues socialement, tout le temps, et donc traitées (coucou le sexisme) : c'est une perspective matérialiste, peu importe comment les personnes se sentent vraiment et leurs opinions politiques sur la question du genre et du féminisme, elles sont traitées comme des hommes ou des femmes et sont placées dans la hiérarchie sociale en fonction. Homme et femme sont des statuts sociaux. Ce n'est pas faux en soi, et je comprends qu'on puisse accepter ces identités pour ces raisons.
Et pourtant je refuse de me définir en tant qu'homme, même si on me perçoit comme tel socialement la plupart du temps. Peut-être que je ne veux pas passer pour un homme toute ma vie, peut-être que c'est en partie pour ça que je veux tester plus d'androgynie dans mon apparence (cf arrêter la testo et ne pas porter de binder). Peut-être aussi que je n'ai pas l'impression de me reconnaître dans le vécu associé à un homme cis. À part mon apparence, il n'y a rien qui me rapproche des stéréotypes masculins, ni dans mes comportements, ni dans ma socialisation, ni dans mon rapport au corps (je n'ai pas de souci avec ce qui est considéré comme un corps féminin, je n'ai pas les éventuels complexes qui peuvent se retrouver chez des hommes cis, liés à leur pénis par exemple, ou à la calvitie, que je compte bien ne pas avoir car cette apparence masculine ne me correspond pas). Ne pas vouloir de torse plat, ne pas vouloir être musclé, ne pas vouloir être viril, ne pas vouloir être particulièrement poilu du visage, tout ça n'est pas anodin dans mon ressenti. Bien sûr certains hommes peuvent se retrouver aussi dans ce que je dis, et dans ces cas-là je me demande bien pourquoi ils s'accrochent tellement à leur identité d'homme… Si c'est leur pénis, ok, je ne juge pas, tant qu'ils ne sont pas transphobes ni sexistes (ce qui réduit pas mal le champ des possibles…), je respecte toutes les raisons pour lesquels une personne adopte une identité, tant qu'elle ne cherche pas à imposer un carcan aux autres. Je n'ai pas de souci avec les personnes cis qui ne comprennent pas la transidentité mais respectent les personnes trans, acceptent que d'autres personnes perçoivent le genre différemment. Mais je pense que celles qui rejettent le plus les personnes trans sont aussi celles qui ont un problème à régler avec leur propre genre… Si tu es à l'aise avec ton genre, qu'il se trouve être conforme aux attentes de la société cishétéronormée, et bien tant mieux pour toi j'ai envie de dire, tu auras moins de problème dans la vie, et il me semble que tu n'as aucune raison de t'en prendre aux autres. Vis ta vis et laisse les autres vivrent la leur.
Bref, si pour toi tu es un homme parce que tu es attaché au fait d'avoir un pénis et pas une vulve, grand bien te fasse. Mais si tu t'en fiches un peu d'être né avec un pénis, si tu ne considères pas cela comme supérieur, et que tu te dis homme juste parce qu'on t'a dit que tu en étais un, alors tu peux aussi réfléchir un peu plus en profondeur et peut-être participer à renverser le patriarcat en te désolidarisant de cette identité et de ces représentants les plus problématiques. Montrer des modèles d'hommes respectueux des femmes, c'est bien, mais le problème fondamental c'est l'ordre patriarcal qui est lié à l'hétérosexualité obligatoire et au système de genre… Donc il me semble plus pertinent de se désidentifier, de lutter activement pour participer le moins possible à l'oppression sexiste (et aux autres oppressions). Refuser tes privilèges, les atténuer. Très peu d'hommes le font. Et ce n'est pas en disant qu'on est non-binaire parce qu'on est sensible et qu'on aime le vernis. Je caricature mais j'ai peur qu'il y ait un mouvement dans ce sens, une sorte de pirouette pour maintenir la domination sous une forme plus douce en apparence. Non, c'est en refusant l'hétérosexualité, c'est en refusant l'exploitation des femmes, c'est en refusant de faire carrière et en se tournant par exemple vers des activités intellectuelles qui font avancer les luttes, et/ou en faisant des boulots de soin, en s'occupant d'enfants, c'est en dénonçant les comportements problématiques d'autres hommes, en rompant les solidarités, en fréquentant plus de de femmes et de personnes hors normes, etc etc.
Et ce, massivement, car à l'échelle d'une poignée d'individus rien ne changera. C'est aussi par le bas qu'on peut imposer une forme de changement politique, même si ça peut être en parallèle dans l'autre sens aussi.
Tout ça pour dire que personnellement ça ne me parle pas du tout de m'accrocher à une identité d'homme, pas plus que de femme, mais que je peux comprendre que d'autres personnes le fassent.
S'identifier en tant qu'homme ou femme, quand on es trans, c'est aussi un moyen de se faire respecter, et d'éviter certaines violences. Parce qu'être réassigné.e en permanence à notre corps, à telle ou telle caractéristique physique, être out en tant que personne trans, c'est épuisant et potentiellement dangereux. Pour la plupart des gens, être féminine et utiliser le féminin=femme et être masculin et utiliser le masculin=homme. Donc si on dit qu'on est un homme et qu'on passe pas trop mal (ce qui est déjà une chance), on nous genre tout de suite au masculin… Idem pour femme et féminin. Pas d'explications à donner, pas de questions déplacées, pas de remise en question de notre genre. C'est donc aussi une simplification, pour faire comprendre aux personnes cis qui ne voient pas en dehors de la binarité qu'on n'est pas notre genre assigné…
S'identifier en tant qu'homme ou femme quand on est trans peut être aussi lié au corps, tout comme pour beaucoup de personnes cis (en partie parce qu'elles n'ont pas réfléchi à la question du genre et/ou qu'elles vivent dans un environnement très stéréotypé) mais chez les personnes trans il me semble qu'il y a une forte dimension sociale consciente, qui coexiste avec de la dysphorie corporelle. Ce qu'on peut ne pas supporter sur son corps c'est à la fois ce qui nous identifie aux autres à tort comme des hommes ou des femmes (pilosité, poitrine, etc) mais aussi sentir qu'on n'a profondément pas envie d'avoir ces caractéristiques, qu'elles sonnent fausses sur soi, qu'elles sont en trop, qu'elles n'auraient jamais dû se développer en premier lieu. Ce n'est pas une expérience que je vis mais je rapporte ce que j'ai pu comprendre d'autres personnes trans. C'est un rejet plus profond, qui peut s'accentuer avec le temps, au fur et à mesure d'une transition parfois. Pour moi, tel que je le comprends, vouloir absolument un torse plat, plus de poils, voire un pénis, est lié au fait de se reconnaître dans l'identité d'homme. On regarde les autres hommes, majoritairement cis, et on est jaloux, on souffre de ne pas avoir le même corps qu'eux, on trouve cela injuste et c'est une souffrance qui peut être grandement apaisée par les chirurgies, les hormones, la musculation. J'imagine que c'est similaire pour les femmes trans pour des caractéristiques considérés comme féminines.
Les personnes trans comme cis ont donc plusieurs raisons tout à fait légitimes de s'identifier comme femme ou homme.
Mais ces identités existent aussi parce qu'il y a des personnes pour les utiliser…
Il n'appartient pas aux personnes trans de bouleverser l'ordre du genre, du moins à elles seules, elles ont toutes les bonnes raisons de ne pas trop le faire car cela entraîne souvent des violences et une marginalisation sociale. Pour moi c'est plus encore à la masse des personnes cis de commencer à rejeter ces identités, en particulier aux hommes puisqu'ils sont en situation de domination dans l'ordre du genre. Évidemment, plus les hommes sont privilégiés socialement (blancs, valides, bourgeois) et plus ils doivent questionner le genre. Mais les femmes aussi ont un rôle à jouer en arrêtant autant que possible de jouer le jeu de l'hétérosexualité.
En tant que personne trans relativement privilégiée (masculin, blanc, valide, issu de classe moyenne) je refuse d'appartenir au groupe des hommes juste parce que je ressemble dans mon apparence à un homme, juste parce que je suis masculin, et que j'ai pris de la testostérone. J'ai conscience que dans un certain nombre de situations cette identité homme m'est imposée par le regard social, que je le veuille ou non, et ça me protège aussi. Mais autant que faire se peut, je parlerai de ma transidentité, de ma non-binarité, je montrerai que les choses ne sont pas si simples, je naviguerai dans ce flou androgyne dangereux mais si libérateur.
J'ai le privilège pour l'instant d'évoluer dans des espaces respectueux, même à dominante cis, et j'ai un certain passing, donc je suis bien placé pour mettre un peu de dissonance dans tout ça. Ce ne sont pas à mes sœurs et adelphes transfem qui se prennent la transmisogynie et dont l'identité est constamment remise en question sur la base d'un sexisme décomplexé de nécessairement clamer haut et fort leur non-binarité, leur détachement partiel ou total de l'identité femme (si elles le peuvent de manière safe c'est bien mais ça doit pas être facile). Je pense à celleux qui ne passent pas ou pas tout le temps, à qui on va bien faire sentir qu'elles ne sont pas assez féminines ou à l'inverse qu'elles en font trop et qu'elle sont trop vulgaires. Le corps des femmes et des personnes fem encore et toujours commentés, jugés, moqués…
Je comprends parfaitement que, même si en aparté elles ne sont pas dupes sur la binarité, elles s'identifient en tant que femmes, déjà pour les mêmes raisons que des hommes trans peuvent s'identifier en tant qu'homme (cf plus haut), mais aussi parce que le prix social à payer est encore plus grand dans notre système patriarcal.
Moi je peux, à ma petite échelle, et de manière toute relative (je suis anxieux et je me protège aussi), m'émanciper un peu de la binarité dans l'espace social, petit à petit, car étant considéré comme masculin, on posera toujours moins les yeux sur moi que sur une personne fem.
Je ne suis pas dans cette démarche juste parce que fuck la binarité, c'est aussi la façon d'être qui se rapproche le plus du rapport à mon corps et de mon ressenti sur le genre. Je pense que je pourrais à long terme me détacher de plus en plus du regard des autres, du comportement et du physique attendu d'un homme, pour signifier que je ne rentre pas dans cette case.
0 notes
Text
Jour 6
Bienvenue au sixième jour de mon journal en français !
Aujourd'hui, j'ai mon premier jour de mon cours en anglais lequel le premier cours aussi que j'ai pris sur le campus de mon université. Il est passé bien et j'ai rencontré et parler avec une de mes camarades de classe.
Ma colocataire avait tort, il n'y a pas beaucoup d'essais. Mon dernier cours d'anglais avait plus d'essais alors je suis content d'avoir moins dans cette classe. Les devoirs pour la semaine ne sont pas encore prêts, donc je dois attendre un peu pour lire les articles.
Je suis toujours un peu nerveux à cause de mon apparence. Je suis non binaire et en anglais, j'utilise les pronoms they/them qui je pense n'existe pas dans le français (je préfère il/lui en français). Pendant mon enfance, c'était vraiment un problème et souvent, je ne peux qu'espérer qu'on essaye d'utiliser mon nom préféré, pas mes pronoms.
On va voir alors, je dois avoir la patience et l'espoir maintenant. À plus tard !
#french#frenchblr#français#le journal d'abby en français#french side of tumblr#nonbinaire#je pense que ça c'est le mot en français
1 note
·
View note
Text
En dehors, j'suis non binaire
En dedans, j'suis un Pantera Artic Cat Triple 800
on the outside i am a trans girl
on the inside i am a Ford F-150
4K notes
·
View notes
Text
fijne haaien- en nonbinaire mensendag!!!!! geef je blåhaj een kusje voor me 💛🤍💜🖤 🦈🦈🦈
40 notes
·
View notes
Note
Nonbinaire mensen wat voor pronouns gebruik je in het nederlands?? Ik weet niet zeker wat alle opties zijn maar minstens hij/zij/die/hen/het en combinatie/anders
#ik gebruik zelf hij/hem die/diens en hen/hun btw#poll#polls#peiling#nederlands#nederland#belgisch#belgië#belgie#nonbinair#non-binair#voornaamwoorden#persoonlijke voornaamwoorden#pronouns
75 notes
·
View notes
Text
Dinosaur dress!!!
She’s finally finished!!! Also the sharktooth rosary i love her
The skirt is just two large rectangles (1meter x 2 meters each i think?), gathered up like you would do with a 18th century petticoat. The top is just something i made up and if anyone cares i could post the pattern!
Its entirely handsewn, by me, from old bedsheets
#outfit#historical costuming#ootd#sewing#dinosaur#dress#trex#80s pattern#dressmaking#vintage#nonbinair#nonbinary outfit#help what tags do i use#history bounding#historybound
57 notes
·
View notes
Text
*danst op een trans nonbinaire manier dat mensen niet leuk vinden*
Trans Nonbinaire Boeken!
*FAQ Gender is overigens ook in het Engels verkrijgbaar.
12 notes
·
View notes
Text
jongens als anouk naar t fucking songfestival gaat namens nederland 😐
#ik zeg t je.#“dit is het beste jaar van mn leven” ok ik hoop dat je dit jaar nog fucking stikt 👍#het songfestival word dit jaar gehost door een nonbinair persoon! flikker n eindje op met je terf bullshit JE BENT NIET WELKOM 👍#sjonnie praat Nederlands
6 notes
·
View notes
Photo
Tout les stickers déjà sortis réunis en quelques planches de stickers ! Un petit teasing sur les prochains imprimés se cache dans cette publication ;) All outed stickers put together ! There’s a little teasing about the upcoming new prints ;) Utip.io/RainbowQueerNation/shop #lgbtqia #lgbtfrance #lgbtcommunity #lgbtpride #lgbtartist #lgbtq🌈 #lgbtqiaplus #lgbtlove #nonbinaryartist #nonbinaire #nonbinary #nonbinaryart #nonbinaire🏳️🌈 #nonbinarypride #transgenrefrance #transisbeautiful #transgenre #transvisibility #transgenderlove #transpride #transgender https://www.instagram.com/p/CpS6-iQL7yX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#lgbtqia#lgbtfrance#lgbtcommunity#lgbtpride#lgbtartist#lgbtq🌈#lgbtqiaplus#lgbtlove#nonbinaryartist#nonbinaire#nonbinary#nonbinaryart#nonbinaire🏳️🌈#nonbinarypride#transgenrefrance#transisbeautiful#transgenre#transvisibility#transgenderlove#transpride#transgender
3 notes
·
View notes
Text
neopronouns in het nederlands?
TL;DR: I thought it would be a fun exercise to translate some neopronouns to Dutch, so I did! This post will be in Dutch, explaining some background, my thought process, and listing my translations.
Een paar jaar geleden schreef ik een verhaal in het Engels met een hoofdpersoon die neopronouns (neovoornaamwoorden) gebruikt. Sindsdien denk ik er vaak over na hoe ik die naar het Nederlands zou kunnen vertalen. Daarnaast wil ik het ook in het Nederlands kunnen hebben over mensen die Engelse neovoornaamwoorden gebruiken. Voor zover ik weet zijn er nog geen boeken naar het Nederlands vertaald waar neovoornaamwoorden in zitten (ik hoor het graag als die er wel zijn!). Er is wel een Nederlandse versie van pronouns.page waar een aantal neovoornaamwoorden op staan. Sommige zijn uniek aan het Nederlands, andere lijken op Engelse neovoornaamwoorden en een paar zijn vertaald uit het Engels.
Om al die redenen besloot ik zelf te proberen een aantal van deze voornaamwoorden te vertalen. Het begon als een vertaaloefening voor mezelf, maar ik wil het graag delen zodat meer mensen kunnen meedenken. Ik ben geen professionele vertaler, maar ik heb een talenstudie gedaan (Grieks en Latijn) en schrijf fictie in zowel Engels als Nederlands.
NB: Dit zijn allemaal puur suggesties, geen definitieve vertalingen. Input is zeer welkom! Vooral van mensen die zelf neovoornaamwoorden gebruiken en mensen met (ver)taalervaring.
Bij mijn vertaalproces heb ik gekeken naar de klank van de Engelse woorden, hoe ze overeenkomen met andere voornaamwoorden (of ze bijvoorbeeld lijken op vormen van they, he, of she of juist niet) en welke vergelijkbare dingen er in het Nederlands mogelijk zijn. Vaak ben ik op meerdere opties uitgekomen. Mijn doel was niet om op een juiste vertaling uit te komen, maar om te onderzoeken welke mogelijkheden er zijn.
Op dit moment zijn de meest gebruikte genderneutrale voornaamwoorden hen/hen/hun en die/die/diens, of de combinatie daarvan die/hen/hun. Deze kunnen beiden vertaald worden naar they/them/their in het Engels. Maar hoe zit het met alle andere genderneutrale voornaamwoorden die er in het Engels zijn? Voor dit vertaalexperiment ben ik een lijst van neopronouns (neovoornaamwoorden) afgegaan op pronouns.page en heb ik geprobeerd ze allemaal te vertalen. Op die pagina staat ook informatie over waar de voornaamwoorden vandaan komen, mocht je daar interesse in hebben! Wanneer er een vergelijkbare set voornaamwoorden op de Nederlandse versie van de website stond, heb ik die met een link overgenomen; sommige daarvan staan daar gelinkt als vertaling, andere vond ik zelf passen maar zijn niet als vertaling gelinkt.
Voornaamwoorden en mogelijke vertalingen
ae/aer/aer — kan onvertaald blijven.
co/co/cos — optie 1: co/co/con; optie 2: co/co/cor; optie 3: onvertaald. In het Nederlands zijn voorbeelden te vinden van zowel -n, -r, als -s als bezittelijke uitgangen, dus vaak is de keuze in de vertaling een kwestie van smaak (al wordt -r in het algemeen gebruikt voor grammaticaal vrouwelijke woorden). Er is ook nog de -w van ‘jouw’ en ‘uw’, maar die past niet achter een ‘o’.
e/em/eir — optie 1: ie/em/eer; optie 2: ij/em/eer. Bij optie 1 heb ik alleen de spelling aangepast om de uitspraak te behouden. Bij optie 2 heb ik de klank ‘ij’ overgenomen van hij/zij, analoog aan ‘e’ en ‘he/she’. Dat is niet per se nodig, want 'ie' wordt ook al in het Nederlands gebruikt. Officieel is het een verkorte vorm van 'hij', maar door sommige mensen (inclusief mezelf omdat ik altijd dacht dat het van 'die' kwam) wordt het gender neutraal gebruikt. Of je 'ie' als mannelijk of neutraal ervaart zal dus afhangen van hoe je het gewend bent.
e/em/es — optie 1: ie/em/ies; optie 2: ij/em/ies.
ey/em/eir — ee/em/eer.
fae/faer/faer — optie 1: kan onvertaald blijven; optie 2: fee/fee/fees. Bij optie 2 heb ik ‘fees’ gekozen, omdat ‘feer’ de uitspraak van de ee-klank verandert.
hu/hum/hus — optie 1: hu/huum/huun; optie 2: hu/huum/huw. Luister. Dit was mijn enige kans om de -w te gebruiken. Over de dubbele ‘u’: hu/hum zijn de humanistische voornaamwoorden. Op deze manier wordt dus de uitspraak van ‘hu’ uit ‘humaan’ behouden. (In het Engels worden ze dus uitgesproken met een ‘hju’ klank.)
it/it/its — optie 1: het/het/hets; optie 2: het/het/zijn. ‘Zijn’ is officieel het bezittelijk voornaamwoord dat wordt gebruikt bij ‘het-woorden’, maar niet iedereen die ‘het’ voor zichzelf gebruikt zal het fijn vinden om ‘zijn’ te gebruiken. Vandaar ‘hets’ als andere optie.
ne/nem/nir — nij/nem/nir. Bij dit soort uitgangen die in het Engels lijken op ‘they/them/their’, had ik graag iets met ‘hen/hun’ gedaan, maar dit werkt niet zo met de n- aan het begin. Toevallig passen de -em en -ir uiteindes wel bij een mengeling van ‘hem’ en ‘haar’, waardoor het genderneutrale aspect op een andere manier naar voren komt.
ne/nir/nir — optie 1: nij/nir/nir; optie 2: nij/ner/nijr. Optie 2 komt van pronouns.page, maar staat daar niet gelinkt als vertaling.
per/per/per — kan onvertaald blijven (zelfs de etymologie van ‘person’/‘persoon’ houdt stand).
s/he /hir/hir — z/hij /her/hijn. NB: het persoonlijk voornaamwoord (eerste vorm) is s/he, z/hij. Ik heb een spatie gebruikt om de verwarring met de extra / te voorkomen.
thon/thon/thons — dien/dien/diens. ‘Thon’ is een samentrekking van ‘that one’, dus ‘dien’ als samentrekking van ‘diegene’.
ve/ver/vis — optie 1: vij/veer/vis; optie 2: vij/vaar/vijn. Omdat ‘ver’ klinkt als ‘her’ en ‘vis’ klinkt als ‘his’ heb ik bij optie 2 de uitgangen van respectievelijk ‘haar’ en ‘zijn’ gebruikt.
ve/vim/vis — optie 1.1: vij/vim/vis; optie 1.2: vij/vim/vir; optie 2: vij/vem/vijn; optie 3: vij/vijn/vijns. Optie 3 komt van pronouns.page, maar staat daar niet gelinkt als vertaling. Omdat ‘vim’ en ‘vis’ lijken op ‘him’ en ‘his’ heb ik bij optie 2 de uitgangen van ‘hem’ en ‘zijn’ gebruikt. Wat betreft 1.1 en 1.2, vond ik ‘vis’ minder passen bij de andere Nederlandse bezittelijk voornaamwoorden (vergelijk haar, zijn, hun) — ‘vir’ voelde gewoon beter. Daarnaast is ‘vis’ natuurlijk al een woord; ik denk niet dat het verwarrend zou zijn aangezien de woorden verschillende grammaticale functies hebben, maar misschien is het een ongewenste associatie. Deze optie heb ik bij ve/ver/vis/verself hierboven weggelaten, omdat ‘veer’ en ‘vir’ te veel op elkaar lijken. (Twee keer ‘veer’ zou dan nog evt. een optie zijn.)
ve/vir/vis — optie 1: vij/vir/vis; optie 2: vij/vir/vir. Zelfde als 1.1 en 1.2 hierboven.
xe/xem/xyr — optie 1: xij/xem/xyr; optie 2: ex/exem/exyr; optie 3: ex/ex/ex; optie 4: zie/zem/zyr. Deze was moeilijk. De letter 'x' werkt in het Nederlands minder goed aan het begin van een woord, waardoor optie 1 lastig uit te spreken is. Door er een ‘e’ voor te zetten wordt de uitspraak makkelijker, maar alle vormen behalve de eerste zijn daardoor langer en daardoor weer lastiger uit te spreken. Optie 3 lijkt eigenlijk niet meer op het Engels. Daarnaast betekent ‘ex’ ook al wat anders (dit hoeft niet per se een probleem te zijn, homonymen bestaan, maar het kan ongewenste associaties opwekken). Optie 4 zit dichter bij de uitspraak van het Engels, maar daarmee is de 'x' wel verloren gegaan.
ze/hir/hir — optie 1: zie/hir/hir; optie 2: he/zem/hijn; optie 3: he/her/zer. Bij optie 1 heb ik vooral naar uitspraak vs. spelling gekeken en ben ik verder dichtbij het Engels gebleven. In opties 2 en 3 heb ik een poging gedaan om hij- en zij-voornaamwoorden te mengen, net zoals ‘hir’ een mengeling lijkt te zijn van ‘her’ en ‘him’. ‘He’ heeft dezelfde e-klank als ‘ze’.
ze/zir/zir— optie 1: zie/zir/zir; optie 2: zem/zeer/zeer. Hier heb ik weer de spelling aangepast om de uitspraak te behouden. Een ‘ij’-klank werkt hier minder goed omdat je dan gewoon ‘zij’ krijgt. Optie 2 komt van pronouns.page.
zhe/zher/zher — optie 1: zhij/zheer/zheer; optie 2: zhij/zhaar/zhaar. De ‘zh’ vormt een ‘zj’ klank (zoals een Franse ‘j’). Optie 2 had ik zelf bedacht en vond ik toen precies zo ook op pronouns.page.
Tenslotte, ‘nounself’ voornaamwoorden: voornaamwoorden waarbij een zelfstandig naamwoord (‘noun’) als voornaamwoord wordt gebruikt, bijvoorbeeld star/starself of bun/bunself. Technisch gezien valt fae/faer hier ook onder. Vaak (maar niet altijd) gaat het om woorden met één lettergreep waarbij de verbuiging — hier met star als voorbeeld — star/star/stars/starself is. Er zijn ook vormen als fae/faer en cy/cyb/cyber/cyberself waarbij het woord in meerdere vormen wordt verbogen.
Bij deze voornaamwoorden is het een kwestie van een passende vertaling vinden van het grondwoord. Verder kan de vervoeging op dezelfde manier worden overgenomen. Bovengenoemde voorbeelden zou ik vertalen als ster/sterzelf, en nijn/nijnzelf. Fae/faer staat al eerder in de lijst, en ‘cyber’ wordt al als leenwoord in het Nederlands gebruikt en hoeft dus niet vertaald te worden. ‘Nounself’ vertaal ik als ‘woordzelf’ omdat ‘zelfstandig naamwoordzelf’ nogal een mondvol is.
#long post#genderneutrale voornaamwoorden#nonbinair#translation#localization#dutch#neovoornaamwoorden#neopronouns in dutch#voornaamwoorden#vertaling#non-binair
9 notes
·
View notes
Text
10/04 🦋
#green witchcraft#witch#witchcraft#witchy#witchyvibes#lgbt#lgbtq positivity#nonbinaire#canonphotography#canoneos#canon photography#canon photos#animal photography#horse
3 notes
·
View notes
Text
Peut-être... Mais c'est comme ça
Peut-être que si j'avais eu une enfance tomboy, si j'avais découvert mon orientation à l'adolescence, si je n'avais pas été en couple cishétéro pendant mes années de jeune adulte, si mon vécu avait été bien différent, peut-être que je n'en serais pas là o�� j'en suis, peut-être que j'aurais êté juste une butch, ou peut-être que j'aurais été non-binaire mais sans désir de transitionner médicalement, peut-être que mon rapport à la masculinité aurait été un peu différent, peut-être que je n'aurais pas été dans une certaine urgence d'embrasser cette masculinité que je n'ai pas pu explorer avant. Ou peut-être que j'aurais juste fait ça plus tôt... Je ne peux pas savoir.
Ce qui est sûr c'est que je n'ai pas été un petit garçon trans ni même un enfant masculin, je n'ai pas été un ado trans, et je ne suis pas un homme trans, cette narration n'est pas la mienne, elle ne correspond pas à mon vécu. J'ai été une petite fille qui ne se posait pas de question de genre, qui n'adoptait pas que des goûts marqués socialement comme féminins mais qui n'avait pas de problème à le faire. Qui n'était pas traumatisée par le fait d'avoir les cheveux longs, mais qui probablement aurait aussi aimé les cheveux courts, voire plus vu que c'est plus pratique à entretenir (car s'occuper de son apparence n'était, comme pas mal d'enfants, pas une priorité pour elle).
Qui adorait jouer à des jeux sportifs avec son frère tout en adorant passer du temps avec sa grande cousine à s'occuper de musique ou écouter ses histoires de cœur adolescentes, en s'identifiant un peu à elle, en la recopiant dans ses goûts.
J'ai été un enfant c'est tout. Je me voyais comme une petite fille peut-être, car on m'avait dit que j'en été une, mais pour moi ça voulait juste dire que j'avais une zézette et pas un zizi.
J'ai été une ado qui ne traînait quasiment qu'avec des filles, qui sentait qu'elle faisait partie de ce groupe, qui ne se trouvait pas différente d'elles au niveau du genre, qui ne ressentait pas de décalage.
Une ado pour qui c'était impensable de faire autrement, de s'éloigner des modèles qu'on lui avait présentés.
Les garçons étaient une autre espèce pour elle, ils l'intéressaient très peu pour lier des liens car elle ne voyait pas de points communs avec eux. Elle a un peu fait semblant de crusher vite fait sur eux, car apparemment c'est ce qu'on fait à l'adolescence, et aussi qu'elle avait envie secrètement qu'on s'intéresse un peu à elle...
Une fille qui ne s'identifiait vraiment pas aux garçons, qui a bien vécu sa puberté, qui ne désirait rien de différent, pour qui c'était tout à fait normal que son corps évolue dans ce sens puisque les personnes avec ce corps autour d'elle avaient vécu la même chose, et ces personnes étaient des femmes. Donc elle était une fille, apparemment, et ça ne lui posait pas de soucis.
J'ai été une jeune adulte, en couple hétéro, qui petit à petit a découvert qu'on pouvait faire autrement, en l'occurrence comme son copain... Qui a mis des années à se rendre compte qu'elle n'était pas hétéro. Avant de comprendre tout ce que l'extérieur projetait sur elle, de comprendre qu'être une fille n'était pas avoir une vulve, qu'elle n'était pas définie par son entrejambe, qu'elle avait été conditionnée par la société pour ne pas trop remettre en questions ces normes de genre, à les adopter tant bien que mal, sans être sûre que ça lui convenait vraiment ni même se poser la question.
Une fille qui a osé faire une rando à vélo à 23 ans avec un des pantacourts de son copain, même si la peur d'être jugée pour ses jambes poilues l'accompagnait encore, que c'était une situation exceptionnelle, et qu'elle ne portait que des pantalons au quotidien.
Une fille qui a basardé ces soutifs à 27 ans, ne supportant plus cet inconfort, jalouse de son copain qui mettait juste un t-shirt sans se préoccuper d'autre chose... Mais qui n'était pas jalouse de son torse plat. Qui a toujours globalement aimé sa poitrine, tout en reconnaissant qu'en avoir une visible dans l'espace public l'exposait à plus de danger que lui. Et qui supportait de moins en moins cet injustice au fond d'elle, sans mettre des mots précis dessus encore.
Une fille qui, au même moment, a commencé à se poser des questions sur ce qu'était une femme, sur ce qui la différenciait fondamentalement de son copain. Qui a entendu pour la première fois parler d'une personne transmasculine qui prenait de la testo. Et qui était très intéressée par cette question. Qui ne comprenait pas vraiment comment on pouvait faire ça, qui trouvait ça fou, mais qui en même temps ne niait pas ce vécu, qui s'efforçait de genrer la personne correctement quand elle parlait d'elle (ne la connaissant pas personnellement et ne l'ayant jamais croisée) car c'était une évidence pour elle. Qui trouvait les positions de son copain sur la question de la transidentité un peu limites, avec des sous-entendus plus pathologisants, et avec un discours sur le fait que cette personne était quand même plus jolie en fille et que c'était dommage.
Une fille d'accord avec lui sur le fait que les filles étaient plus belles globalement. Qui défendait aussi une certaine masculinité physique que son copain moquait parfois mais qui ne parlait pas de la même chose en réalité... Certes, qui était en couple avec lui et qui n'était pas dégouté physiquement par la masculinité de son copain, et qui était censé être hétéro donc il lui semblait logique de défendre le fait que les hommes aussi puissent être beaux et "attirants" mais qui ne parlait pas au fond d'une attirance amoureuse/sexuelle... Qui ne voyait juste pas en quoi avoir un physique "de mec" était moins beau en soi. Bien sûr tout était un peu embrouillé dans sa tête à cette époque, et elle était encore loin d'assumer son attirance pour les femmes et sa transidentité...
Une fille qui à 28 ans a commencé à se désidentifier, petit à petit, du mot femme, de tout ce qu'il impliquait.
Une fille qui n'en est plus une. Qui pensait en être une mais qui a changé d'avis.
C'est sa narration
Son histoire
Elle est unique, comme toutes les histoires.
Personne ne peut lui imposer autre chose, personne ne peut lui demander de revisiter son histoire pour en rassurer quelques un.e.s, même si leur vie a été plus difficile que la sienne, qu'iels regrettent de ne pas avoir commencé leur transition plus tôt ou de l'avoir commencé tout court.
Tout le monde a ses contradictions
Car la complexité bouleverse tout.
Je suis pluriel et je n'aime pas qu'on me résume à ce qu'on croit percevoir ou comprendre de moi.
Je n'aime pas qu'on me dise que j'ai été une petite fille, ça me met mal à l'aise. J'ai simplement peur qu'on me voit comme une femme actuellement. Qu'on change son regard sur moi à cette simple information.
Mais je peux le dire pour moi-même.
Même si ça concerne moins mon identité profonde qu'une identité sociale. J'ai été vu, traité, et donc je me suis perçu comme une fille, c'est tout.
Mais aujourd'hui je ne veux pas qu'on utilise mon histoire pour me délégitimer. Pour me dire que je ne suis pas ce que je dis être.
Je veux envoyer un message à mes adelphes qui, comme moi, ont pu se sentir ou se sentent encore des imposteurices, des fauxsses trans,
Vous n'ètes pas seul.e.s.
Vous avez le droit d'évoluer sur votre identité de genre, vous avez le droit de penser à un moment donné de votre vie que tel ou tel mot vous correspond, quelque soient les raisons pour lesquelles vous le pensez. Sincèrement convaincu.e.s ? Doutant mais préférant rester dans la norme par peur de la violence ? Trop jeunes, pas le bon contexte, pas la priorité ? Peu importe.
Vôtre vécu est légitime
Vous êtes trans
Et bien plus encore
Vous êtes magnifiques 💛🤍💜🖤
0 notes