Tumgik
#non ne reviens pas
chifourmi · 18 days
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On est sorties avec mes potes ce soir et c'était une trop chouette soirée... Jusqu'à la fin où l'une de mes potes m'a sorti "franchement t'as parlé avec 3 mecs différents durant la soirée, si j'étais ton mec j'apprécierais pas". Comment vous dire que j'ai eu instantanément envie de pleurer. Pleurer parce qu'elle m'a fait culpabiliser d'un truc qui n'avait pas à me faire culpabiliser. Pleurer pcq ces mecs dès le début je leur disais que j'étais en couple et pas intéressée. Pleurer pcq j'ai essayé de les brancher avec elles dès la première occasion. Pleurer parce que je suis fatiguée. Fatiguée de devoir me justifier. Comment elles peuvent juger sans savoir ce qu'on s'est dit. J'ai aussi envie de pleurer à cause du sexisme qui est ancré bien profondément dans les têtes, même celles des filles. Comment tu peux avoir si peu confiance en ta pote? C'est évident que je n'ai rien tenté ni quoi que ce soit et ça me répugne d'avoir l'impression de devoir me justifier. Elle m'a sorti "je les aurais stoppé direct". Mais cocotte je l'ai fait!!! L'un est parti juste après et les 2 autres respectaient et ça n'allait absolument pas plus loin?? J'étais tellement contente de rencontrer des gens putain et elles m'ont donné un goût amer de tout ça. J'ai aussi sympathisé avec des filles et après je les cherchais partout mais là évidemment mes potes ne se sont rien dit. Je suis tellement fatiguée qu'on voit les femmes comme des grosses putes en manque quand elles PARLENT à un garçon. C'est tellement toxique. Comment on va changer les mentalités si absolument tout le monde pense qu'une femme qui parle à un homme c'est forcément pour de la tchatche?? Elle m'a vraiment dit ça comme si j'avais trompé mon copain, limite avec du dégoût dans la voix. Je suis tellement déçue et énervée en fait, je me sens trahie. J'ai toujours été une girls girl et c'est vraiment un truc que je prends trop mal quand les filles ne le sont pas. Vraiment je suis trop triste j'ai l'impression d'avoir reçu un couteau dans le cœur. J'aime trop le musicien et je ne voudrais pour rien au monde lui faire du mal. Franchement c'est trop injuste ça me fait trop mal au cœur ce qu'elle m'a dit. Et mon autre pote a sorti "mais pourquoi tu le prends si mal?" en sous-entendant que si je le prenais comme ça c'était que quelque part je culpabilisais ou j'avais quelque chose à me reprocher mais non ce qui me fait mal c'est que j'ai senti qu'elles se sont complètement désolidariser de moi à cause de ces 3 mecs random. J'en reviens pas qu'elles m'aient juger sans savoir. Et si je le prends mal c'est pcq je suis ultra sensible aussi??? Bref.
(07/09/2024)
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aisakalegacy · 4 months
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Hiver 1920, Hylewood, Canada (1/2)
Ma bien chère cousine,
Une courte lettre pour donner des nouvelles. Je n’en reviens pas à quel point vos enfants sont grands. Marc-Antoine est le portrait craché de son père, j’ai cru tantôt que c’était Constantin qui se tenait debout comme ça. Tout va bien à la maison, sauf peut-être une chose assez affreuse qui heureusement ne nous concerne pas directement : le décès du pauvre M. Simmon, le mari de Françoise ma belle-sœur. Il a été retrouvé chez lui, empoisonné. On pense qu’il s’agit d’un suicide… Cette affaire donne à parler à toutes les commères de l’île, qui accusent la pauvre Françoise tantôt d’avoir poussé son mari à la mort, tantôt de l’avoir tué elle-même. Je n’en crois rien du tout. Ils auraient fêté leurs trente cinq ans de mariage cette année, vous rendez-vous compte ?
Mes enfants aussi grandissent et je ne sais plus où donner de la tête. Je n’ai pas de photo à vous envoyer, c’est terrible, je ne pense jamais à ces choses là. Lulu a quinze ans, et lui qui a été toujours été si sage et si raisonné, il se met dans des affaires sans réfléchir, et c’est à moi d’aller présenter mes excuses pour lui. Je le sais, les gens de l’île mettent son comportement sur le compte du fait qu’il n’a pas de père pour le discipliner, mais je ne veux pas les laisser médire.dire.
Son dernier coup m’a grandement embarrassée. L’autre jour, il suivait un raton-laveur (qu’allait-il faire à suivre un raton-laveur, me demanderez-vous…) et celui-là l’a mené jusqu’au sanatorium de nos voisins, et il n’a rien trouvé de mieux à faire que de se cacher dans les fourrés pour les observer par la fenêtre. Pensez-vous… Les pensionnaires qui y séjournent ont un teint si pâle, ils ont besoin de repos, pas d’être assaillis par les curiosités mal placées d’un adolescent en mal de sensations ! Ce grand niaiseux a été surpris, et non content encore d’être réprimandé, il a doublé dans sa faute en accusant nos voisins de je ne sais quelle sorcellerie. Je lui ai dit que c’était péché d’accuser de mensonges pour distraire de sa propre faute, mais il ne veut rien entendre. J’avais si honte, je suis allée m’excuser pour lui.
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selidren · 1 month
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
6/7
Comme mes filles, votre Lucien est un garçon fiable, même si il semble manquer d'ambition. Non pas que ce soit un mauvais trait de caractère, mais il me fait l'effet d'un jeune homme posé. A t-il envie de faire des études ? Je sais que ma Cléo veut aller à la Faculté de Lettres dont lui a parlé Antoine, et je pense que cela lui correspondra. D'ailleurs, elle est tellement motivée à y aller qu'elle redouble d'efforts en latin et en grec alors qu'elle n'aime pas tellement ces matières et qu'elle n'est pas très douée. Je ne sais pas si elle pourra réussir, mais je soutient sa décision, de même que Constantin. Sélène se destine au sport de haut niveau et Marc Antoine parle également de l'Ecole libre des sciences politiques. Jean-François veut suivre les traces de son père. Noé est à la meilleure des écoles avec Adelphe. En tous cas, notre rôle est bien de les aider dans les choix qu'ils font.
En revanche, il me parait dommageable que Jules ne soit pas prêt à prioriser les études de son fils. Tant mieux pour lui si il n'en a pas envie, mais tout de même, décréter que cela ne sert à rien ! Voilà une remarque avec laquelle Constantin n'est absolument pas d'accord. ("C'est tout simplement honteux ! Un gouffre de dépenses inutiles... Comment peut-il affirmer une chose pareille ?") Constantin fulmine derrière-moi et n'en démord pas. ("Il ne faut bien entendu pas dénigrer les formations de terrain, mais le terreau universitaire est primordial ! Sans lui, il aurait sans doute un ami de moins, moi ! Scandaleux, honteux !"). Ne le dites pas à Jules, mais il risque de ne pas recevoir de courrier de la part de Constantin avant un bon moment.
Transcription :
Cléopâtre « Ne t’inquiète pas. Personne ne t’as vue. »
Arsinoé « De quoi tu parles ? »
Cléopâtre « Tu es une sacré bonne actrice, si je n’étais pas sure de ce que j’ai vu, j’aurai presque pu croire à ton innocence. En tous cas, je t’ai couverte, tu n’as pas à t’en faire. Reviens me voir quand vous voudrez vous voir en douce, je m’occuperai de tout. »
Arsinoé « Merci Cléo… Pourquoi tu me couvre comme ça ? »
Cléopâtre « Bon, je l’avoue. Quand je t’ai vue te faufiler et rejoindre un beau rouquin derrière la barrière, j’ai été très jalouse ! Puis je me suis laissé prendre par le romanesque de la situation. La jeune princesse, timide et obéissante, mais si consumée par les flammes de l’amour et tant grisée par la passion qu’elle risque tout, ne serait-ce que pour un regard de lui. De quelle couleur sont ses yeux d’ailleurs ? »
Arsinoé « Hum… verte. »
Cléopâtre « Oh, un bel Adonis à la chevelure de feu et aux yeux verts vivant un amour secret avec une naïve Perséphone aux cheveux de blé et aux prunelles bleues comme les glaciers… C’est d’un tel... »
Arsinoé « Tu n’en fais pas un peu trop ? »
Cléopâtre « Je n’en fait jamais trop. La vie ordinaire est si barbante, si insipide et banale. Sélène qui aime son Berto le joueur de tennis, Maman qui a rencontré Papa dans une librairie, sans compter tous les habitants de ce village qui épousent le fils du voisin ou leur amie d’enfance… Regarde, je baille rien que de le dire ! Mais toi, ce que tu vis, c’est si intéressant, si intense ! Comme Cousine Emma avec son châtelain déchu, qui on sombré dans l’amour au détour d’un pré... »
Arsinoé « S’il te plait Cléo. Ce n’est pas drôle, c’est grave ce qui leur est arrivé. »
Cléopâtre « Tu es bien plac��e pour le dire dis donc ! Tu fais exactement pareil… ou plutôt vous l’auriez fait si tu n’étais pas si… toi ! »
Arsinoé « Mais non… pas du tout...  Je veux dire… à part un baiser… »
Cléopâtre « Mais c’est merveilleux ça ! Navrée de te taquiner comme ça, j’ai menti je suis extrêmement jalouse ! Mais tu as de la chance Noé, avec cette vie, tu n’as pas eu beaucoup d’occasions de t’amuser. Alors c’est le moment. Crois moi, tu dois absolument en profiter avant que Grand-Mère te trouve l’époux qui te sera le mieux assorti, c’est à dire ennuyeux à mourir. »
Arsinoé « Heu... »
Cléopâtre « Oh c’est sorti tellement de travers, pardonne moi ! Je veux juste te dire que quoi qu’il arrive, je serai là pour t’aider ou te couvrir grande sœur. Vas-y et amuse toi ! »
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e642 · 4 months
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Ma mère a beaucoup de rancœur à mon égard. Les années suivants mon hospitalisation, je comprenais. C'est pas facile pour un parent de frôler la perte de son enfant. Je lui ai laissé le temps. J'ai essayé de mieux faire. J'ai banalisé le fait qu'elle soit mal à l'aise avec moi. Qu'elle ait des axés de colère. Qu'elle me pique exprès. Je me suis dit que c'était pas grave car je ne suis pas avec mes parents la plupart du temps. J'ai bien compris que ce que j'avais fait avait au moins changé, à jamais, le regard de ma mère sur moi. Sans compter la maladie qui la ronge et qui lui fait en vouloir à n'importe qui qui ne serait pas malade. Ça peut s'entendre ça aussi. Quoiqu'il en soit, j'ai essayé, depuis 4/5 ans d'être l'enfant sage, ne créant plus de problème, n'inquiétant plus personne. Je demande rarement de l'aide. Je ne demande jamais d'argent. Je leur réponds globalement ce qu'ils veulent entendre. Je suis volontaire. Je réponds chaque jour à 2 appels. Je valide mes années. Je fais en sorte de jamais trop les déranger et pourtant, les rares fois où je reviens, je me sens si peu à ma place. Son manque de moi est rassasié en 1 ou 2 jours, après l'agacement et les reproches reprennent le dessus. Je dis rien parce qu'il n'y a rien à dire, je suis en face d'une maman éplorée, qui s'est convaincue elle-même qu'elle mourrait bientôt, qui n'a de cesse de sous-entendre à mon père et moi que si elle avait pu faire les choses autrement, elle l'aurait fait et que ça aurait été mieux. Le plus dur je crois, c'est que j'ai jamais eu l'impression qu'elle m'aimait vraiment, enfin si, mais il y a eu une coupure. Depuis ce temps, je ne l'ai jamais sentie fière de moi, ou contente que je sois là. Pourtant, j'essaie vraiment d'être présente et de faire en fonction d'elle, l'amener à l'hôpital, réussir mes études, discuter avec elle mais je la sens si distante. Elle m'a souvent répétée que j'étais quelqu'un de froid. Qu'elle ne comprenait pas ce que je pensais. Que j'avais jamais rien à dire ni à faire. Que j'étais pas intéressante. C'est peut-être vrai mais dans ses mots, j'entends du dégoût par moment et un réel regret. Ces 5 dernières années n'ont pas été accomplies dans l'unique but de regagner confiance, reconnaissance et intérêts de mes parents, seulement, je pensais que ça viendrait avec. Mais non. Ça m'affecte qu'elle prenne chaque chose et en fasse une pique acérée. Je trouve ça tellement dommage. Puis, au delà de ma désolation, je vois bien que ça ne changera plus.
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tormentedfeelings · 5 months
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✨ Illustration Noah & Allie - The Notebook ✨
Lorsque j'ai découvert la nouvelle chanson de Taylor Swift "But Daddy i love him", j'ai tout de suite penser a eux et j'ai eu envie de les redessiner. J'espère que vous apprécierez. Mon style semble être différent en quelques mois 💜
"Maintenant je cours avec ma robe déboutonnée
Criant, "Mais, papa, je l'aime"
Je porte son enfant
Non, ce n'est pas le cas, mais vous devriez voir vos visages
Je lui dis d'accélérer à travers les clôtures
Non, je ne reviens pas à la raison
Je sais que c'est fou
Mais c'est lui que je veux"
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*creeping into your inbox*
Hi ange je t'adore et j'espere que tu vas bien
Peut etre cette phrase semble trop formal mais uh je utilise les... steps? d'écrire une lettre que j'ai appris à l'école je suis désolé je ne peux pas francaiser à cette heure mais je t'aime et tu me manques beaucoup nyom nyom nyom hehe
Salut!
Tu me manques aussi. Les derniers jours ont été un peu... compliqués, mais ça va mieux. J'ai fini mes dessins pour la pride geek expo ! Ça compte sûrement comme un plus ?
J'espère que tu vas bien aussi (c'est une phrase très correcte, c'est sûr que tu ne la retrouves pas dans le 9-2, mais tu ne me retrouves pas là bas non plus, donc c'est totalement adapté !). Tu reviens chez toi demain, c'est ça ? J'espère que le voyage en train s'est bien passé .
Tu me manques aussi. Je t'aime
("nyom" à toi aussi)
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likielandco · 2 years
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
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x-heesy · 10 months
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MΣRDΣ 🤌🏾🤙
C'est la première fois que tu viens?
Ouais et toi?
Non, je viens souvent voir mon oncle
Il travaille au Riviera
T'es joueuse?
Non
Bah attends, il faut que tu joues pour gagner
J'y vais pour danser
(Danser, danser, danser, danser, danser, danser)
Las Vegas, la ville qui ne dort jamais
(Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais)
(Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais)
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Raconte
Qu'est-ce qu'y avait dans cette valise?
Tout ce que j'avais
T'as quelqu'un à qui téléphoner?
J'ai eucune famille
D'où tu viens?
Un bled dans l'est
Tu peux squatter chez moi
T'es pas une pute au moins?
Non, je suis là pour danser
(Danser, danser, danser, danser, danser, danser)
Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas
Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas
Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Merde, merde, merde, je me suis fait piquer ma valise
Fait chier, merde, je viens d'arriver c'est déjà la mouise
Tu viens d'où?
Farmington Hills, Michigan
T'as fais quoi avant?
Jessie Spano, Sauvés par le gong
When I wake up in the mornin'
And the 'larm gives out a warnin'
I don't think I'll ever make it on (Time)
Ça te fais pas un peu peur de danser nue?
Nomi Malone, c'est moi
Et j'suis là pour danser
(Danser, danser, danser, danser, danser, danser)
Las Vegas, Hollywood
La synthèse du triomphe
De la chute libre
Merde, merde, merde, j'en reviens pas, j'suis Nomi Malone
T'es dingue, merde, cent-mille dollars, j'deviens Sharon Stone
Merde, merde, merde, j'en reviens pas, j'suis Nomi Malone
C'est dingue, merde, cent-mille dollars, j'deviens Sharon Stone
Merde, merde, merde, j'en reviens pas, j'suis Nomi Malone
C'est dingue, merde, cent-mille dollars, j'deviens Sharon Stone
Merde, merde, merde, j'en reviens pas, j'suis Nomi Malone
C'est dingue, merde, cent-mille dollars, j'deviens Sharon Stone
—-
Is this your first time here?
Yeah, and you?
No, I often come to see my uncle
He works at Riviera
Are you a player?
No
Well wait, you have to play to win
I'm going there to dance
(Dance, dance, dance, dance, dance, dance)
Las Vegas, the city that never sleeps
(Never, never, never, never, never, never)
(Never, never, never, never, never, never)
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Tell
What was in that suitcase?
All I had
Do you have anyone to call?
I have no family
Where are you from?
A town in the east
You can squat at my house
Are you not a whore at least?
No, I'm here to dance
(Dance, dance, dance, dance, dance, dance)
What happens in Las Vegas stays in Las Vegas
What happens in Las Vegas stays in Las Vegas
What happens in Las Vegas stays in Las Vegas
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Shit, shit, shit, I got my suitcase stolen
Piss, shit, I just got here, it's already annoying
Where do you come from?
Farmington Hills, Michigan
What did you do before?
Jessie Spano, Saved by the Bell
When I wake up in the mornin'
And the 'tear gives out a warnin'
I don't think I'll ever make it on (Time)
Doesn't it scare you a little to dance naked?
Nomi Malone, it's me
And I'm here to dance
(Dance, dance, dance, dance, dance, dance)
Las Vegas, Hollywood
The synthesis of triumph
From free fall
Shit, shit, shit, I can't believe it, I'm Nomi Malone
You're crazy, shit, a hundred thousand dollars, I'm becoming Sharon Stone
Shit, shit, shit, I can't believe it, I'm Nomi Malone
It's crazy, shit, a hundred thousand dollars, I'm becoming Sharon Stone
Shit, shit, shit, I can't believe it, I'm Nomi Malone
It's crazy, shit, a hundred thousand dollars, I'm becoming Sharon Stone
Shit, shit, shit, I can't believe it, I'm Nomi Malone
It's crazy, shit, a hundred thousand dollars, I'm becoming Sharon Stone
@savage-sound @dakota-283 @invincible-selfxmade-punk @frenchpsychiatrymuderedmycnut @boanerges20 @faccaldo
La valise (The suitcase) by Rebeka Warrior, Marlène Saldana
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adri-atique · 8 months
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Tout livre devrait être lu au minimum deux fois. Certain livre demandent à être lu minimum deux fois. Parmi ces derniers, on y trouve Le maitre des illusions de l’auteure américaine Donna Tartt. Faisant usage de sa grande maitrise des mots, Tartt nous dépeint une histoire mouvementée mettant en scène l’étude des classiques grecques et la poursuite de l’esthétique académique à travers un narrateur témoin-sujet qui reviens sur son passé. A une première vue, le livre est tout simplement Richard, jeune homme de 28 ans fortement dépressif, qui nous raconte son année au collège Hampdenau Vermont. Plus le lecteur continue, plus on se rend compte qu’il s’agit en fait d’un aveu, la révélation d’un meurtre rester dans l’ombre depuis neuf ans., et plus on comprend l’état d’âme du narrateur.
« Nous n'aimons pas le reconnaître, mais l'idée de perdre contrôle est quelque chose qui fascine plus que tout, ou presque, les gens aussi contrôlés que nous le sommes. »
À ma première lecture, je me retrouvai dans la peau de Richard à 19 ans, fraichement débarqué dans une nouvelle école. Ayant moi-même vécu cette étape quelques fois dans ma vie, je fus capable de rapidement m’attacher au personnage et de m’immerger dans les descriptions imagées du Vermont. J’ai découvert avec lui les membres du groupe d’étudiants exclusif et leurs personnalités. J’ai tué et j’ai vécu le stress de cacher un meurtre avec ces derniers. J’ai levé les nombreuses couches de secrets gardés par les étudiants et j’ai vécu leur dissolution. La première lecture m’est resté dans la tête, trottant parmi mes idées durant des mois. Ses moments singuliers hantaient mes nuits au point qu’au début je restais éveiller le temps de faire et refaire le point sur les évènements connus, mais par la faute du narrateur et son obsession pour le pittoresque des événements, il y a autant d’inconnu qu’il y a de mauvaises décisions au travers des pages. Je devais le lire à nouveau, ou jamais je ne retrouverai le repos.
« La beauté est rarement douce ou consolatrice. Plutôt le contraire. La véritable beauté est toujours très inquiétante. »
La deuxième lecture révèle beaucoup de chose. Si lors de la première lecture j’étais Richard à 19 ans, je me suis retrouvée plus vielle de neuf ans lors de la seconde. Sachant déjà le dénouement, je découvrais de nouveaux détails qui laissaient présager les futurs événements. Ayant le contexte nécessaire, je remarquais les symbolismes présents dans le texte, que ce soient les fleurs déposées sur le seuil de la fenêtre ou bien les actions en arrière-plan. Cette seconde lecture a donné repos à mon pauvre cerveau malmener par le génie de Donna Tartt.  Je planifie le relire au moins une troisième fois, histoire de trouver encore plus de détails.
« Est-ce que quelque chose comme la “fêlure fatale”, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d’une vie, existe hors de la littérature ? Je croyais que non. Maintenant je pense que oui. Et je crois que voici la mienne : une avidité morbide du pittoresque à tout prix. À moi. L’histoire d’une de mes folies. »
Le maitre des illusions est un livre truffé de citations, de référence à la Grèce antique et totalement obsédée par la beauté, un livre parfait pour s’éduquer à travers maintes références (trouver les sources originales est en soi une aventure passionnante, je peux vous le dire.) Décrit comme étant une aventure de détective inversé, plusieurs lecteurs l’ont interprété plus comme étant une critique de la recherche de l’esthétique et comment faire ses choix pour le pittoresque sans penser aux conséquences peut mener à la perte d’un individu tel qu’il est. Un livre parfait pour les amoureux de la beauté académique.
À noter que j’ai originalement lu ce livre en Anglais, j’ai traduit les citations ainsi que le titre pour les besoins d’un texte uniforme. Toute impression m’es venu du texte original en anglais.
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latigrhess · 2 months
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J’ai jamais trop su ce que tu me trouvais. Certes, j’étais un peu belle, je suçais bien, j’avais des fesses rondes et pleines, mais une bouche veloutée et une apparence pas trop bâtarde, d’habitude, c’était pas assez pour gardez des gars comme toi. Les seuls hommes qui me voulaient toute entière c’était les hommes un peu laids, ceux qui miroitait le stéréotype que j’incarnait. Ils avaient les cheveux longs, les miens étaient courts, ils savaient jouer des instruments, et j’écrivais. Ils buvaient du bon café, connaissaient les refrains des tounes underground que je leur faisais écouter, ils avaient les mains pleine de cornes et portaient en tout temps des souliers de randonnés, ils avaient lâché le cegep après leur troisième session en travail social ou en art com lettre. C’était une harmonie des faux artistes. Toi, tu fittait pas là-dedans, tu la faussais, cette harmonie, avec ton linge neuf pas trouvé au Estrie aide pis ta petite coupe ben belle ben placée. J’était un orage sans contrôle, une fuckfriend controversée, mais toi t’étais à peu près normal, sauf quand t’entrais dans mon appart sale. T’étais pas comme les autres non plus, ça, j’ai jamais compris non plus. Tu me disais la vérité. Tu mentais, mais sur le futur, quand tu disais que t’allais pas t’en aller, que t’étais là pour rester, mais a pars ça, t’étais crissement honnête. C’est peut-être pour ça que jte croyais plus que les autres, quand tu me disais que j’étais belle, pis que quand, dans tes yeux, je voyais un reflet d’amour, je te faisais naïvement confiance. Tu m’as jamais dit je t’aime, mais tu l’as fait, avec ton corps, avec tes yeux, pis avec tes retours qui n’ont jamais cessé. Des fois, je faisais exprès d’être trop folle pour que t’aille pu envie de moi, comme ça, j’avais pas à faire d’effort pour avoir du self respect. Toute mes amies me disaient que j’méritait mieux, pis mes chums de gars voulaient te pèter en deux. Mais tu revenais tout le temps. Tu reviens encore tout le temps, t’es comme un frisbee perdu dans le vent, que je cherche sans cesse, et que je me résous à attendre, patiemment. J’ai espionné la page Instagram de toutes tes exs, et elles étaient toutes le genre de filles qui me regardent avec un mélange de peur et de dégout. Elles étaient toutes belles, par exemple, contrairement à moi. J’était un peu belle, mais le genre de beauté qui n’est qu’accompagné que d’amour, de passion. Des fois, j’étais jalouse, de ces filles pognées dans la male gaze, qui, malgré leurs manques de créativité, pouvaient, des gars comme toi, garder. En fait, j’ai jamais voulu de gars comme toi. Je voulais le gars que t’étais avec moi. Mais lui existais quasiment jamais, dès que de chez moi tu partais, vers les filles avec pas de poils sous les bras, tu repartais. Peut-être que tu m’aimais parce que j’étais tout le temps, au grand jour, celui que tu étais sous l’ombre de l’ingénieur accomplis. Peut-être que tu m’aimais parce que t’avais pas à avoir honte d’être paumé, d’être damnée, à une chute éternelle, qu’on ne sait comment arrêter. Peut-être que c’était not that deep aussi. Peut-être que ça a jamais voulu rien dire, que c’était du sexe c’est toute, peut-être qu’avec toute les filles tu te perdais dans leurs iris pis que c’était toi, le joker, pas moi. Peut-être que t’étais juste pas comme les autres pour moi, mais que moi, j’étais une copie carbone des autres.
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De Emma à Bruce
Bruce,
Je suis certaine que tu t’inquiètes pour Mina, comme nous tous. Eh bien, voilà la mauvaise nouvelle : elle n’est pas rentrée.
Il n’y a pas de bonne nouvelle.
Reprenons depuis le début. Tout le monde est passé à l’action dès que nous avons trouvé la poupée effrayante et la note. Nous avons fouillé la maison et le jardin, mais bien sûr personne ne croyait vraiment qu’elle était encore ici. Peut-être qu’il y aurait une trace de la fée (ou des fées) qui l’ont emmenée, avons-nous pensé, mais évidemment il n’y avait rien que nous autres Chasseurs d’Ombres aurions pu remarquer. Julian a envoyé un message de feu à Ty pour lui demander si le Détecteur pouvait être à nouveau modifié pour rechercher les elfes au lieu des fantômes. Ty a eu quelques idées, mais le seul résultat a été que le Détecteur sonnait continuellement. Ce qui est logique vu que cette maison regorge d’artisanat elfique maintenant. Puisqu’il est peu probable que les linteaux gravés des fenêtres aient enlevé Mina… ça ne nous aide pas.
Tessa a contacté l’Institut de Londres, qui a placé l’Enclave en alerte maximale et a envoyé quelques Chasseurs d’Ombres à la maison pour aider, ce qui a consisté principalement à faire du thé et des Bruits d’Anglais Inquiets (« oh ma pauvre, oh ma pauvre amie », « comment donc… » et ainsi de suite). Jem est allé poser des questions au Marché Obscur (je crois qu’il a utilisé le mot « interroger »), mais il est revenu bredouille quelques heures plus tard. Il a remarqué que ce n’était même pas comme si les elfes avaient refusé de parler : ils avaient honnêtement l’air tout aussi stupéfait que Round Tom ou que nous. Je suppose que la plupart des fées du Marché Obscur se tiennent aussi loin que possible des affaires des Cours, et tout le monde était d’avis que l’enlèvement d’une Chasseuse d’Ombres devait être un coup d’une des Cours parce que les fées lambdas ne feraient pas une chose aussi stupide que de violer les Accords avec une telle impudence.
Oh, il y a ça aussi. Tessa a contacté l’Enclave de Londres en tout dernier recours parce que maintenant ils sont au courant de cette énorme violation des Accords et personne ne souhaite une guerre avec le Royaume des Fées. (à moins peut-être le kidnapper ?) D’un autre côté, j’ai du mal à croire qu’Alec Lightwood soit capable de déclarer la guerre avant que nous n’en sachions davantage. Mais ça ravive quand même toutes les tensions, ce qui n’est pas une bonne chose.
Si jamais je rencontre Raziel, je vais lui demander… bon, d’accord, je crois que si jamais je rencontre Raziel, le feu sacré anéantira ma personne jusqu’au dernier atome, mais si je peux poser une question avant, ce sera pourquoi ne peut-on pas Tracer les enfants. Je sais que c’est parce qu’ils n’ont pas encore de runes, mais ne sont-ils pas ceux que l’on a certainement le plus besoin de Tracer ? ça ne semble être un défaut de conception dans tout ce système. Je devrais en parler à Clary, peut-être qu’elle pourra créer une sorte de rune Trouve-Bébé plus tard. Non pas que ça nous aide là tout de suite.
La question la plus importante, en dehors d’où est Mina et qui l’a enlevée, est : pourquoi quelqu’un voudrait faire ça ? ça n’a aucun sens. Julian s’est demandé si quelqu’un voulait se venger de Jem ou Tessa, mais il n’y avait personne selon eux. Round Tom a suggéré que quelqu’un essayait peut-être de faire accuser les elfes de l’enlèvement, mais encore une fois, pourquoi ? Dans tous les cas, nous n’avons pas encore contacté ni Kieran ni Adaon puisqu’on nous a averti de ne pas le faire.
Bruce, je me sens horrible. Tessa et Jem ne sont venus que pour nous aider avec la malédiction, et maintenant ça. J’en suis malade… peut-être qu’il y a quelque chose de profondément mauvais à Blackthorn Hall dont nous ne pouvons pas nous débarrasser même en rompant une malédiction. Ou peut-être que je m’inquiète et que j’ai des idées morbides. C’est probablement ça.
Julian m’appelle, je reviens.
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Je suis de retour, et j’ai des nouvelles. La ravisseuse a envoyé une note ! Enfin… une autre note. Et elle a donné son nom !
Votre enfant vous sera rendue si, et seulement si, l’on m’accorde une audience en privé avec celui que vous nommez Christopher Herondale.
Alors d’abord, « celui que vous nommez » … non mais vraiment ? Comment elle appelle Kit, L’Incroyable Génie ? Ensuite, c’était signé « Mère Hawthorn », ce qui ne nous disait rien ni à moi ni à Julian, mais Jem et Tessa ont échangé un regard entendu, et Kit avait l’air abattu. En fait, elle était la nourrice de la Première Héritière. Je veux dire la première Première Héritière, il y a bien longtemps. (Elle n’a officiellement prêté allégeance ni à la Cour des Lumières ni à la Cour des Ténèbres, d’après ce que nous avons appris, mais ça ne veut pas dire qu’elle ne va pas se servir de tout ça comme d’un moyen de pression contre les Cours.)
Donc ça a à voir avec Kit, et la politique féérique, et c’est le chaos. Je me sens très mal pour Kit, qui était plus pâle et tendu que je ne l’aie jamais vu. (Et je n’ai pas besoin de te rappeler, Bruce, que j’ai vu Kit hyper pâle et tendu.)
Kit, évidemment, a tout de suite accepté, il la rencontrerait, il ferait n’importe quoi pour récupérer Mina. Julian a fait remarquer que c’était peut-être un piège, et Kit a explosé :
- Évidemment que c’est un piège ! Mais je ne peux pas supporter qu’on fasse du mal à Mina à cause de moi.
Je ne crois pas l’avoir jamais vu comme ça, Bruce. Si énervé, si déterminé. Il grandit. Il a grandi, en quelque sorte, un peu comme Julian a dû grandir si vite ; ça me brise le cœur. Kit a l’air de savoir à quoi il a affaire (pas seulement aujourd’hui, mais de manière générale) et il sait aussi qu’il ne peut pas s’enfuir. Il doit y faire face.
Round Tom a souligné que Mère Hawthron était imprévisible mais même elle hésiterait avant de violer les Accords au point de faire du mal à Mina. Kit a rétorqué qu’elle avait déjà violé les Accords en commençant par la kidnapper.
En comprenant que Kit allait accepter le rendez-vous peu importe ce que nous lui dirions, Jem a suggéré qu’au moins nous ferions ça selon nos propres termes, dans un lieu que nous choisirions, et en prenant énormément de précautions.
- Comme tu veux, a répondu Kit. Mais je vais rencontrer cette Mère Hawthorn et récupérer Mina.
Et je sais qu’ils sont cousins au sixième degré ou quelque chose comme ça, mais il me faisait vraiment penser à Jace. Je crois que l’entêtement des Hérondale est ancré profondément dans les gênes.
Julian était étonnement silencieux depuis que Kit s’était emporté, et j’ai cru qu’il était blessé, mais ensuite je me suis rendu compte qu’il avait cette expression qui signifie qu’il avait une idée mais qu’il n’était pas encore prêt à la partager. Tout le monde parlait de charmes anti-fée et des runes que Kit allait porter, alors que Julian restait à l’écart de tout ça et réfléchissait… de cette manière qu’il a de réfléchir qui ne ressemble en rien à celle des autres. Complètement absorbé par les réflexions sur son plan.
Je me demande ce qu’il prépare. Je pourrais essayer de lui tirer les vers du nez, mais j’ai appris qu’il vaut mieux le laisser m’en parler quand il est prêt. Mais voir son expression m’a donné plus d’espoir que tout le reste de la conversation.
Emma.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/695837806397898752/emma-to-bruce
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aisakalegacy · 4 months
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Printemps 1919, Al Simhara, Égypte (1/3)
Chers cousins,
Quelques nouvelles d’Egypte, probablement les dernières que vous aurez de moi avant quelques temps j’en ai peur. Je vous envoie cette lettre grâce à ma contact, qui ne pourra pas reproduire l’opération cent fois, et qui a consenti à le faire pour me laisser donner des nouvelles à ma famille. J’envoie donc deux lettres : à vous, et à ma femme (et je ne sais pas si elle le mérite, puisqu’elle ne m’a rien écrit du tout !).
J’espère que Constantin n’envisageait pas de rejoindre un chantier prochainement, car cela s’annonce impossible ces prochaines années. C’est la guerre ! Oui, encore, alors que l’autre, la Grande, vient à peine de finir. Je reviens du Soudan où j’étais retourné quelques semaines - et au passage, Constantin, ma théorie était bonne : Reisner du chantier d’El-Kourrou y reconnaît bien le style éthiopien, mais lui pense non pas à une tombe excentrée mais plutôt à la preuve d’une activité artistique et artisanale intense qui s’est diffusée le long du fleuve et dont on retrouve trace jusqu’à Memphis, et qui pourrait donc venir d’un autre type de ruine.
Bref, je devais rencontrer le chef d’une équipe britannique installée à Al-Simhara ces derniers mois pour y poursuivre les fouilles que laissées par M. Naville. Sauf qu’en revenant, j’ai trouvé le camp totalement désert.
[Transcription] Jules LeBris : Excuse me, miss? Where is everyone? I can’t seem to find them. (Excusez-moi, mademoiselle ? Où sont passé les archéologues qui travaillaient ici ? Je ne peux en trouver aucun.) Nephty Hosni : Where have you been? Nationalist leader Saad Zaghlul has been arrested by the British and the entire country has been protesting. I was in a strike in front of Beit Ul-Umma this morning. We’ve been scattered and I had to flee. I don’t even know what has happened to my friends. (D’où est-ce que vous sortez ? Le chef nationaliste Saad Zaghlul a été arrêté par les Britanniques, et tout le pays manifeste. J’étais ce matin devant Beit Ul-Umma. Nous avons été éparpillées et j’ai dû fuir. Je ne sais même pas ce qui est advenu de mes amies.) Jules LeBris : I’m sorry, but I need to reach my friend myself, cheikh Fahad Madbouli. (J’en suis navré, mais j’ai moi-même besoin de contacter mon ami le cheikh Fahad Madbouli.) Nephty Hosni : The cheikh has been killed. I’m sorry. (Le cheikh est mort. Je suis désolée.) Jules LeBris : What? How? (Quoi ? Comment ?) Nephty Hosni : I told you. There are riots in town, and the British authorities don’t like it. (Je vous l’ai dit. Il y a des émeutes en ville, et les authorités britanniques n’aiment pas ça.) Nephty Hosni : You said you were a friend of the cheikh’s? (Vous avez dit que vous étiez un ami du cheikh ?) Jules LeBris : I am… was. Him and his wife hosted me for a little while back in 99. (Je le suis… l’étais. Lui et sa femme m’ont hébergé quelques temps en 99.) Nephty Hosni : Maybe my brother can help. He knows the archaeologists and he knew the cheikh. (Peut-être que mon frère pourra vous aider. Il connait les archéologues et il connaissait le cheikh.) Nephty Hosni : Hide, and meet me at nightfall near the old ruins. My house is nearby, so I can go home quick if patrols come. (Cachez-vous, et retrouvez-moi à la nuit tombée près des vieilles ruines. Ma maison est proche, ce qui veut dire que si les patrouilles passent, je pourrais rentrer rapidement chez moi.) Jules LeBris : Thank you, very much. (Merci, énormément.)
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tristesseclub · 4 months
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Mais non! Incroyable je viens de revoir ton blog dans les suggestions, je te suivais y'a genre 3 ou 4 ans, peut etre même plus, t'avais prit une pause où tu postais moins à un moment, je pensais que t'avais arreté pr de bon...
Oh mon dieu! Merci pour ton message! 🖤 complètement fou de se dire que tu te souviennes de ce blog. Je ne suis pas forcément assidu dessus (le travail, le quotidien, les enfants que je n’ai pas et ma vie sociale que j’ai à peine en sont les principales raisons) mais je reviens lorsque je suis en pleine crise existentielle (soit tous les 6 mois). Je te souhaite le meilleur à toi et à tous.tes ceux.celles qui liront ce message! Prenez soin de vous!
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e642 · 11 months
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Probablement que je ne m'y ferai jamais réellement d'avoir déménagé à Nice, loin de mes repères. A chaque fois que je reviens à Toulon, que je passe devant mon ancien appartement, que je vais au cinéma où je suis allée bien 50 fois avec mon mec, je ressens une nostalgie presque douloureuse. Je regrette ces lieux. Tout ce que j'y ai vécu, tout ce que j'y ai construit et investi. À chaque fois que je repars pour Nice, j'ai du mal à chercher le bon train sur le tableau de la gare. À chaque fois que je descends pour prendre le tram je me rappelle que j'ai même pas pris la peine de prendre un abonnement pour les transports. C'est comme si j'allais partir du jour au lendemain. Je sors pas dans cette ville. J'y construits rien. J'y vis rien. J'attends encore plus que l'année passe. En sachant que si je réussis, j'y resterai une année de plus. Et si je rate, ce sera encore un gouffre où il faudra escalader. Mais je sais, d'avance, que je n'ai pas la force. Je vis seule. Extrêmement seule. Sans ami, sans famille, sans sortie, sans rien. J'alterne entre les quatre murs de mon appartement que j'ai laissé vierge de ma présence, ou ceux de la fac. Je suis un fantôme. Chaque prof attrape ma veste pour me demander si tout va bien. Non. Évidemment. Mais ya rien à dire. J'ai l'impression, cette année plus que les précédentes, de passer à côté de quelque chose. Je sais pas si c'est du suicide ou si c'est quelque chose que les vivants font. Je ne sais pas mettre le doigt dessus. Je sais juste que j'alterne entre les crises de colère et celles d'angoisse. Je passe plus de temps à suffoquer qu'à réellement respirer. Je le sens dans tout mon corps l'anxiété. J'ai mal partout, j'ai des migraines, des nausées, des insomnies intenses, des maux de ventre de malade, mon vitiligo qui s'accroît dans mon dos. J'aurais beau ne plus parler que mon corps en dira toujours plus que moi. J'ai pas la sensation d'avoir une seule seconde de repos entre les pensées intrusives, les trucs à gérer, la fatigue, c'est un tout qui ronge mes entrailles. Je me sens grignotée par un mal qui aura de toute évidence ma peau. Elle me fait dépérir cette ville, cette vie, cette situation. Je me sens faible. Il y a des jours où j'entends même pas le son de ma voix tant je suis taiseuse. Je m'en veux je crois. Si c'est ça se chercher, alors je crois que je préférais accepter de ne jamais me trouver.
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vabazeri · 6 months
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Jour 39
Ouai, ouais ouais ouais... Les traumas hein, toujours pareil pfff.. Le pire c'est que je m'en rend compte après que c'est ridicule, que ça ne devrais pas me rendre comme ça mais j'arrive pas à contrôler cette merde, j'arrive pas à comprendre le truc qui fait disjoncter mon cerveau et pourtant ça fait un moment que j'étudie la question, que je cherche. Quand je suis pas dedant, c'est OK. Je comprend, j'analyse, je trouve la solution et c'est good. Mais des que ça reviens, tant que je stoppe pas la crise, c'est un chaos infernal dans ma tête et impossible de connecter 2 neurones... Rien de pire que de savoir qu'on a pas le contrôle de soit.
Cette fois c'est 2 choses : la peur de parler à quelqu'un et de se sentir jugé + le fait d'avoir été mis involontairement à l'écart sur un sujet ou j'estimais être un peu concerné et qui m'as clairement fait me sentir moins que rien.
J'ai pris un tsunami dans ma confiance en moi, déjà pas bien haute et hop, une crise 👌
MAIIIIIS, demi victoire, j'ai réussi à la stopper avant qu'elle détruise tout et quelle aille trop loin ! 🥳 (mais je l'ai vu arrivé là connasse)
Oui j'en ai parler à Hades, oui il a écouté comme il a pu, oui je pense qu'il a quand même compris malgré qu'on ai discuté brièvement. Je le sais grâce à quelques mots en fait
"on en discute demain à tête reposée... J'ai besoin de comprendre ce que tu ressens pour t'aider à mettre des pensements la ou ça fait mal"
Voilà.
Non mais j'ai beau me saboté FORT FORT, je reste persuadé qu'il est quand même hyper vaillant d'affronter tout ce que je lui fait involontairement endurer et que putain, j'ai ptetre trouvé reelement l'homme qu'il me faut quoi. Genre celui avec qui j'ai reelement envie de finir ma vie mais avec qui c'est vraiment possible (surtout la deuxième partie qui est importante)
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Ah oui, sinon j'écris un livre depuis 1 semaines et il est bien entamé, voilà bisous !
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edlim-sims · 6 months
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Jeudi soir, chez les April-Osias, Marvin est invité pour le dîner.
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Zacharie: Je suis tellement content que tu nous présentes l'homme qui fait vibrer ton cœur! Ma petite princesse qui vit son histoire d'amour! Euh, tu penses qu'il va aimer mes gnocchis?
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Marina: Reviens sur terre!
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Marvin cogne à la porte.
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Marina: Je suis contente que tu sois là. Tu vas bien?
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Marvin: Ouais… j'espère juste que tes papas vont m'apprécier.
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Marina: Marv, il n'y a rien de toi qui n'est pas adorable. Tu n'as aucune raison de t'inquiéter. Mes papas n'ont rien de sévère.
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Caleb et Zacharie font connaissance avec Marvin (assis, bien sûr, parce que les Sims sont trop stupides pour avoir une conversation en restant debout🙄)
Zacharie: Enchanté Marvin! Chéri, viens donc te présenter à notre gendre.
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Caleb: Ravi de te rencontrer, Malcolm!
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Une fois le repas servi…
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Caleb: Alors, dis-moi Malc… Marvin, tu n'envisages pas d'écrire un livre sur une rupture amoureuse par hasard?
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Marina: Papa!! Ce n'est pas drôle!!
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Zach: Marvin n'est pas un auteur, mon amour, c'est un pianiste. Suis la conversation un peu.
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Marina: Puis? Ça s'est bien passé, non? À part les conneries de Papaca.
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Marvin: Tes papas sont relax, mais c'est légèrement intimidant de rencontrer un grand peintre et un astronaute. Tu es sûre que tu ne t’ennuieras pas avec moi, un simple pianiste?
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Marina: Le meilleur pianiste!
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